Eros Cosmos

Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:07

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 13 – Assaut sur le dôme par Nicolas Solovionni
Solo

Ça me fait un peu bizarre de me retrouver avec une équipe inédite. Le navigateur un certain Blummer. m’énerve un peu, il est trop curieux et pose un tas de questions auxquelles je n’ai nulle envie de répondre. Mais heureusement sa fonction ne sera importante qu’au moment de l’atterrissage. En ce qui concerne les autres ça peut aller, ils sont plutôt sympas voire délurés.

Dyane a dû expliquer aux deux détectives qu’elle m’avait convaincu de l’accompagner. Ils ont trouvé ça étrange, mais comme on les a laissés libres de leurs mouvements, ils n’ont pas posé trop de questions embarrassantes. Bien sûr nous ne leur avons touché aucun mot de la menace constituée par l’expédition d’El Menhir.

Nous avons atterri sans problème, Blummer s’étant comporté en meilleur technicien que ce que je pressentais. Je préviens Edina par radio.

– Attends-toi à une attaque sanglante imminente, je suis venu te prêter main-forte…

J’ai donc pénétré dans le dôme avec mes agents de sécurité, fait entrer l’armement et expliqué la situation à notre hôtesse. Les deux détectives nous accompagnent. Je suggère à Baboukar de les faire patienter dans une salle privée avec accès à la vidéo du sas. En même temps j’ai demandé à Blummer de satelliser mon vaisseau afin que El Menhir ne se doute de rien.

– S’ils passent par le sas piétons on les flingue. S’ils passent par-là la nasse, même tarif.

Plus qu’à attendre…

Trois jours plus tard, un vaisseau sollicitait l’autorisation de se poser…

– Ici le Pivert, commandé par le capitaine Gregor et blablabla…

Il existait une solution radicale : sortir le canon laser et pulvériser le vaisseau. Sauf que le capitaine Grégor et son équipage n’ont rien à voir avec le plan diabolique d’El Menhir et ne sont sans doute même pas au courant.. Il faut donc procéder autrement.

Nous sommes tous dans la salle de contrôle, Edina, Arkon, Baboukar, Dyane, Indira et moi ainsi que mes trois « agents de sécurité »

On attend et soudain une voix provenant du vaisseau de fait entendre.

– Ici Mazzioli, je désirerais m’entretenir avec madame Von Graz, j’ai une proposition intéressante à lui soumettre.
– C’est la voix d’El Menhir ! Me souffle Indira

Boubacar s’empare du micro.

– Ok, on prépare l’entrée du sas pour un seul visiteur. Personne d’autre n’est pour l’instant autorisé à quitter votre vaisseau, ceci pour des raisons de sécurité.
– Pas de souci. Répond la voix.

Comment ça pas de souci ? Je ne comprends pas leur plan, mais j’envoie néanmoins deux agents de sécurité à la sortie de la nasse, le troisième m’accompagnant à l’entrée du sas piéton. Je me masque.

Dans le sas on demande à l’homme de se déshabiller entièrement et de déposer ses armes éventuelles, puis de revêtir une tenue banalisée. L’homme obtempère sans discuter. Il demande s’il peut conserver son spacephone. Autorisation accordée, inutile de l’énerver.

Je comprends de moins en moins.

El Menhir sort du sas, souriant comme un prince. Il n’est en rien menaçant. Je vous le dis, je n’y comprends rien. Je me suis mis un peu en retrait. Baboukar s’avance…

– Je vais vous conduire auprès de Madame Eugenia…
– Madame Eugenia ?
– Edina si vous préférez.

On est passé à trois dans une petite salle vide, Edina, Baboukar et moi.

– On vous écoute.
– Le deal est simple, annonce El Menhir, on va dire qu’après la publication de votre localisation, des bandits sans scrupules vous ont attaqué et enlevé. Mais que j’ai pu remonter leur piste et suis venu vous délivrer. Du coup je suis éligible à la prime, que nous nous partagerons bien sûr. Qu’en pensez-vous ?
– Et vous êtes venu jusqu’ici pour me dire ça ?
– Mais absolument et vous rencontrer est pour moi un très grand plaisir.
– J’en suis fort aise. Mais votre proposition ne m’intéresse guère.

Elle n’aurait pas dû répondre ça. Elle aurait dû le faire lanterner. Maintenant les choses vont se précipiter.

– Vous avez répondu très vite, pourquoi ne pas réfléchir un petit peu ?

Il lui tend une perche, va-t-elle la saisir ?

Non.

– C’est tout réfléchi, l’entretien est terminé, on va vous reconduire au sas.
– Mais pourquoi ce refus ?
– Je ne vous dois aucune explication. Salut et bon retour !

Baboukar et moi reconduisons l’individu. Il sort son spacephone.

– Vous faites quoi ?
– Je préviens le vaisseau, leur dire que je rentre.

Il est possible que je me trompe, mais à tous les coups il va envoyer un signal à ses comparses afin de donner l’assaut. Il va falloir agir vite et limiter la casse.

Pour l’instant il n’a pas l’air de se méfier, je suppose que son intrusion ne visait qu’à évaluer les risques.

On ouvre la porte intérieure du sas, il y entre et se change.

– Ça bouge ! me dit Arkon dans l’oreillette, cinq mecs armés viennent de sortir du vaisseau, trois s’approchent du sas et deux autres s’en vont de l’autre côté du dôme.

Attention pour la boucherie !

– Je suis prêt. Indique El Menhir dans le micro.

Baboukar ouvre la porte extérieure, les trois lascars entrent dans le sas. Il referme la porte derrière eux, les assaillants sont surpris, d’autant que c’est maintenant la porte intérieure qui s’ouvre.

Je suis devant eux avec deux agents de sécurité.

– Déposez vos armes, sinon on tire.

L’un des types se croit malin et devient menaçant. Mes agents tirent.

Ça a duré trente secondes, bilan quatre morts y compris El Menhir, l’un de mes agents est blessé.

Baboukar demande des nouvelles de l’arrière.

– On a deux prisonniers. Lui répond-t-on.

On nous amène les deux gus désarmés et désemparés.

Je contacte le vaisseau qui les a acheminés ici.

– Ici Capitaine Gregor, je vous écoute.
– Je suppose que El Menhir ne vous a pas expliqué ce qu’il venait faire ici ?
– Vous savez, moi j’achemine, je ne pose pas de questions.
– Alors je vous informe que votre client est décédé tragiquement avec trois de ses acolytes. Je vous renvoie les deux rescapés de la bagarre. Vous allez pouvoir repartir…
– Mais qui va me payer ? Et je n’en veux pas de vos rescapés !
– Ce n’est pas mon problème. Je coupe.

On a jeté les cadavres dans la nasse, les poissons vont se régaler !

– Je te dois une fière chandelle. Me dit Edina.
– Bof, ça me plaît bien de jouer les chevaliers blancs.
– Mais un chevalier ça chevauche ? Non
– Ben oui !
– Et si c’était moi qui te chevauchais ?
– Bonne suggestion, mais avant je vais te présenter deux détectives cosmiques.
– Pourquoi faire ?
– Pour qu’on te foute la paix.

Je rejoins les deux énergumènes dans la petite salle où nous les avons laissé. Ils sont blancs comme neige, les gugusses.

– C’est fini, il n’y plus de risques ? Parvint à bredouiller Vitali.
– L’attaque a été complétement repoussée, quatre morts et deux prisonniers de leur côté, un blessé de notre côté. Le vaisseau qui transportait le commando s’apprête à repartir, tout danger est donc écarté.
– Quelle boucherie quand même ! Soupire Maderna
– C’était eux ou nous ?
– Et nous on fait quoi maintenant ? Demande Vitali.
– Déjà vous avez oublié de saluer Edina Von Graz, je comprends que la scène qui vient de se dérouler a pu vous traumatiser, mais je vous en prie retrouvons les bons usages.
– Bonjour Madame, pardonnez notre impolitesse. Lui dit Vitali.
– Nous sommes effectivement fort confus ! Ajoute Maderna
– J’accepte vos excuses, mais présentez-vous donc !
– Vitali et Maderna, détectives cosmiques.
– Certes mais qui vous mandate ?
– Un collectif composé de membres de votre famille, de votre agent professionnel et de quelques médias.
– Autrement dit des gens qui veulent se faire du fric avec mes aventures, pour information j’ai rompu avec toute ma famille il y a déjà plusieurs années. Et votre but en venant ici ?
– Vous délivrez !
– Me délivrez mais de qui, de quoi ? De qui serais-je la prisonnière ou l’otage, j’ai écrit un communiqué, il n’était pas assez clair sans doute ?
– Disons que l’hypothèse d’une mise en scène nous a traversé l’esprit !
– Ah oui ! Et maintenant ?
– Il restera toujours un léger doute… Reprend Vitali.
– Vous êtes gonflé, quand même ! Mais bon peu importe, on se retrouve tous tout à l’heure nous dinerons ensemble, vous allez gouter à notre glochton
– Glochton ?
– Ben oui, glochton ! En attendant je vous invite à patienter dans la salle de loisirs.

Les deux détectives paraissent complétement largués. Maderna est allé s’affaler dans un fauteuil tandis que Vitali s’approche de Dyane.

– C’était donc un piège ?
– En partie seulement, disons que le commando de mercenaires a un peu chamboulé tout ça.
– Et s’il n’y avait pas eu ce commando, vous auriez fait quoi ?
– Si je vous dis que je n’en sais rien, vous allez me croire ?
– N’empêche que vous m’avez manipulé !
– C’était de bonne guerre, et puis vous avez eu droit à un massage gratuit, alors arrêtez de pleurnicher.
– Ok sans rancune alors, je peux vous faire la bise ?
– Avec plaisir !

Il en est tout chose, Vitali !

– Vous pouvez m’embrasser mieux que ça ?
– Vous jouer à quoi, Dyane ?
– Je ne joue pas, j’ai un faible pour vous ,je n’en dirais pas autant de votre comparse… Lui répond-elle en lui mettant la main à la braguette.
– Vous allez me faire bander !
– J’espère bien, j’ai envie se sucer de la bite là tout de suite.
– Mais si on nous voit ?
– Cela en sera encore davantage excitant. Alors ce baiser c’est pour quand ?

Vitali à ces mots approche sa bouche de celle de Dyane et les voilà partis pour un patin magistral.

Les mains de la femme ne restent pas inactives et détachent la ceinture de l’homme faisant chuter à terre le pantalon. Du coup Diane se baisse, dégage le caleçon et embouche ce sexe joliment bandé.

Le hasard me fit passer par là. Joli spectacle, Dyane est une excellente suceuse, de plus cette bite me semble tout à fait convenable.

– Alors on se donne du bon temps ? Intervins-je.
– On ne vit qu’une fois, il faut en profiter ! Répond Vitali, se prenant pour un philosophe.
– Vous me semblez avoir une bien belle bite, Dyane si tu pouvais arrêter de sucer que je la voie mieux.
– Pas moyen d’être tranquille ! Rouspète Dyane tout en se dégageant. Tiens, prends-en plein la vue, mais c’est moi qui suce c’est pas toi.

Pas grave, je m’astique le poireau en les regardant. Mais un moment Dyane s’arrête, fatigue de la position accroupie ou fatigue de la mâchoire ? Allez savoir ?

Vitali pose son regard sur mes attributs sexuels, il semble kiffer, ma bite n’a pourtant rien d’exceptionnelle, elle est désespérément moyenne ! Dyane s’en aperçoit…

– Qu’est-ce que tu fous, t’es en train de calculer la bite du capitaine. Si tu as envie de la sucer vas-y, il est très cochon mon capitaine.

Du coup le type n’hésite pas une seconde et viens me gober la bite.

Putain qu’est-ce qu’il suce bien, ce mec devait fréquenter les clubs gays en secret. Oh, ces petits coups de langue sur mon gland, ses balayages sur ma verge. A ce rythme-là il va me faire jouir prématurément.

Stoffer13Et comme si ça ne suffisait pas Dyane trouve très malin de passer derrière moi afin de me foutre son doigt dans le cul.

Je deviens incapable de me retenir et je décharge dans la bouche de Vitali. Il s’en lèche les babines, ce gros cochon !

Je m’assois par terre, afin de souffler un peu… Et voilà Indira qui s’amène, ça devient un vrai boulevard ici…

– Alors on s’amuse, on rigole, on fornique ! Se gausse-t-elle.
– Absolument et si tu veux participer mets-toi donc à poil. Répond Dyane

Elle fait sans hésiter une seconde alors que pendant ce temps, Dyane s’est retournée et penchée, offrant son joli cul à Vitali.

– Encule-moi, mon gros bébé !

Et tandis que Vitali la pilonne comme il se doit, Indira est venue face à elle et la débraille pour mieux lui peloter ses gros nichons.

Tout cela ne dure pas trop longtemps, Vitali trop excité par toutes ces péripéties ne peux plus tenir la distance et éclate sa jouissance dans le troufignon de Dyane qui braille comme une génisse.

– Ben, et moi alors ? Se désole Indira.
– Tu veux me nettoyer la bite ? Lui propose le détective.
– Voyons voir… Qu’est-ce qu’il y a sur cette bite ? Du sperme, de la merde !
– Ben oui, elle sort du cul de Dyane !
– La salope !
– Non mais dis donc ! Proteste l’intéressée.
– C’est plutôt toi qui devrais nettoyer ! Suggère Indira.
– On le fait à deux ?

Et les deux cochonnes entreprirent donc de purifier le membre de l’homme de tout ce qui le souillait.

– Et pendant que tu y es, nettoie-moi donc le trou du cul ! Proposa Dyane en lui exhibant son joufflu.
– T’es dégueulasse ! T’as plein de merde autour du trou !
– C’est bien pour ça qu’il faut nettoyer !
– Alors demande le moi gentiment !
– Ma petite chérie, nettoie-moi le trou de balle et après je te lécherais l’abricot.
– Demandé comme ça, je ne peux pas refuser.

Indira vint alors lécher toutes les tâches brunes autour de l’anus de sa partenaire.

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse, tu veux gouter ?
– Hein quoi ?

Mais déjà Indira a collé sa bouche sur les lèvres de Dyane et les deux coquines ‘échange un long baiser au goût un peu particulier. Puis chose promise, chose due, Indira écarta ses cuisses afin que la blonde puisse venir lui faire minette.

Quelle ambiance, mes mais, quelle ambiance

Après quelques instants de récupération, Vitali se mit à parler.

– On est dans la merde,
– Pardon ?
– Quand on nous a confié cette mission, Maderna et moi étions certains de réussir, il y avait une énorme prime à la clé qui ne nous serait versée qu’en cas de réussite. On a un peu négocié et obtenu que 50 % de cette prime nous soit versée à titre d’acompte. Evidemment il y avait une clause de remboursement en cas d’échec de la mission, mais nous étions tellement confiants… Seulement voilà, on a échoué, l’acompte a été dépensé (peu importe les détails) et nous sommes incapables de rembourser.
– Ce sont les risques du métiers…
– Ne prenez pas ça à la légère, nous ne pouvons rentrer sur terre, nous n’avons pas de famille mais il va nous falloir survivre, si vous avez une idée pour nous aider, elle sera la bienvenue.
– Mon pauvre ami ! Vous savez faire quoi ?
– Maderna sait cuisiner…
– Eh bien on lui trouvera un poste de cuistot, je m’en occuperais personnellement et toi ?
– Je ne sais pas trop.
– Il y a des fermes à côté, le travail des champs ça te dirait ?.
– S’il n’y a rien d’autre…
– Et serveur, tu as déjà été serveur ?
– Ben non !
– Ça s’apprend assez vite, je pourrais t’embaucher dans mon cabaret, en plus comme tu es beau garçon ça te permettrait de faire des extras.
– Faire des extras, ça veut dire faire la pute ?
– Ce n’est qu’une question de vocabulaire, mais ce n’était qu’une proposition comme ça !
– Y’a une période d’essai ?
– Mais bien sûr, ma biche !

Epilogues

De retour sur Vargala-station, je suis allé faire un tour au Carrie’s bar où la charmante tenancière des lieux m’a informé que Topar avait vraisemblablement quitté la planète.

Indira s’est fait embaucher dans le salon de massage de Dyane, avec ses mains de fées, ça devrait aller pour elle.

Quant à Angie, dépitée de ne pas revoir son amant et furieuse de voir son projet d’empocher une prime juteuse s’envoler, elle réintégra docilement l’équipage du capitaine Trujillo.

Ainsi va la vie. Cette histoire de chevalier blanc m’a bien plu. J’aurais sans doute d’autres occasions.

A bientôt tout le monde

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:05

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 12 – Magouilles sur Vargala par Nicolas Solovionni
Trio2

Après s’être rhabillés, Vitali et Dyane descendirent à la buvette où suivant les instructions de cette dernière Maderna les attendaient déjà.

– Buvons le verre de l’amitié, ce serait indiscret de vous demander quelles sont vos intentions ?
– Je ne crois pas à la version soi-disant diffusée par Edina Von Graz, pour moi l’affaire n’est pas close…
– Et vous comptez faire quoi ?
– J’en sais rien, l’idéal serait de retourner là-bas, mais ça risque d’être compliqué…
– Compliqué mais pas infaisable ! Croit devoir ajouter Maderna
– Faisable comment ?
– On trouvera bien, on trouve toujours, c’est notre métier !
– Et si on collaborait ? Propose alors Dyane.
– De quelle façon ?
– Ah, ça j’en sais rien, mais je vais y réfléchir, en unissant nos forces et nos capacités on arrivera peut-être à quelque chose, ça s’appelle de la synergie !
– On pourrait se revoir pour en parler? Demande Vitali.
– J’allais justement vous le proposer.

Je me devais de faire un petit saut au Carrie’s bar. Coup de bol, Carrie et Marcia, sa mère sont dans la salle. Bisous, bisous, on est super content de se revoir, on boit un coup, on rigole et fatalement elles me demandent si un petit câlin me conviendrait.

Bien sûr que ça me convient et je dois dire que j’ai autant envie de l’une que de l’autre, même si mon attirance pour Marcia ne se limite pas à son agréable physique.

En chambre les deux femmes se déshabillent sans un mot et je fais de même.

Les voilà qui s’approchent de moi. Je me sens tout con, mes yeux zigzaguant de l’une à l’autre, je devrais dire pour être honnête d’une poitrine à l’autre !

Stoffer412Ça y est, elles posent leurs mains sur moi, celles de Marcia sur mes fesses, celles de Carrie sur mes tétons qu’elle serre fortement. Le résultat est radical, je bande comme un collégien.

Mes propres mains ne peuvent rester inactives, je pelote, les cuisses, les bras, les fesses, les seins… surtout les seins.

Ceux de Marcia sont à portée de ma bouche, mes lèvres s’emparent de ses gros tétons turgescents et je me régale, tandis que Carrie m’a choppé la bite et la masturbe avec beaucoup de savoir-faire.

Evidemment, la suite était inéluctable, Carrie se baisse et fourre tout ça dans sa bouche. Putain qu’elle suce bien, quelle langue diabolique !

Marcia s’est dégagée de mon étreinte, et passée derrière moi entreprend de me travailler le troufignon, d’abord de la langue, puis du doigt qu’elle enfonce hardiment avant de le faire bouger comme il se doit.

A ce régime je crains de jouir prématurément, mais je ne crains rien, je suis entre les mains de deux bonnes professionnelles, complices dans le plaisir ce qui ne gâche rien bien au contraire.

Je ne sais comment je me suis retrouvé sur le plumard, Carrie s’est quasiment assise sur mon visage offrant ses intimités à ma concupiscence.

Sa chatte a un goût de miel, son cul sentirait plutôt l’andouillette. Qu’importe ou plutôt tant mieux, j’ai toujours été amateur du sucré-salé !

Marcia laisse pour le moment ma bite tranquille et me masse de l’extrémité de ses doigts, en ne négligeant pas mes tétons qu’elle tortille comme une furie. J’adore !

Carrie se dégage, elle chuchote je ne sais quoi à sa maman, elles rigolent, puis s’embrassent sur la bouche. Quel spectacle de voir ainsi la mère et la fille se rouler une galoche, mais je sais pour les avoir déjà vu à l’œuvre qu’elles peuvent aller encore plus loi (voir Stoffer 3 – la bâtisse rouge)

Alors effectivement, ça dégénère, pour mon plus grand plaisir, la main de Carrie se pose sur la chatte de sa mère, laquelle, vous vous en doutez-bien lui rend la politesse.

Elles ne vont pas rester comme ça ?

Non, elles roulent à côté de moi, m’obligeant à me pousser, Marcia est sur le dos, sa fille lui grimpe dessus tête bêche, les voici donc en soixante-neuf.

Et moi dans tout ça ? M’auraient-elles oublié ? Bien sûr que non, elles m’offrent un spectacle et ce spectacle est bon puisque je bande ! Oh, que je bande !

Evidemment la position qu’elles ont prise ne me permet pas de tout voir, n’empêche qu’assister au ballet de la langue de Maria léchant la chatte de sa propre fille à quelque chose d’infiniment excitant et troublant.

Et puis ce qui devait arriver arriva (et très vite), Marcia est agitée de soubresauts, le sang lui monte au visage, elle crie, elle hurle, elle gueule. Elle souffle quelques instants puis reprend ses léchouilles visant cette fois le clito de sa fille afin qu’elle puisse la rejoindre dans l’extase.

– On est coquine, hein ? Commente simplement Marcia
– De belles coquines !
– Tu veux enculer ma mère ? Me propose Carrie.

Dame, je ne vais dire non !

D’ailleurs Marcia n’a pas attendu mon accord pour se positionner en levrette, croupion relevé, jambes écartées, trou offert.

Ce spectacle est trop beau, j’écarte un peu plus ses globes fessiers, j’y mets la langue, j’adore sucer un bon trou du cul… Puis j’enfonce ma bite, ça rentre comme un couteau dans une motte de beurre. Et je m’agite comme un beau diable pendant que Carrie passée derrière moi me pince mes tétons.

Je ne suis pas « bite d’acier » et je sais que je ne vais pas tenir très longtemps, trop excité que je suis. Je tente néanmoins de me maîtriser mais quand on ne peut pas, on ne peut pas… Le désir m’emporte, je décharge dans le fondement de Mamie Marcia, je décule. Elle n’a pas joui, mais elle l’avait fait avant et puis cette sodomie c’était pour me faire plaisir : Elle est trop gentille !

– On te laisse te rhabiller, on redescend, me dit Carrie.

Je me fais une petite toilette intime avant de me rhabiller, puis je sors de la chambre. A ce moment-là la porte de la chambre contiguë s’ouvre et je vois qui apparaître ? Je vous le donne en mille ? Topar !

– Topar ! Mais qu’est-ce que vous foutez là ?
– J’ai reconnu votre voix.
– OK mais ça. ne répond pas à la question.
– Je suis en danger de mort, soyez sympa, prêtez-moi une arme.
– De quoi ? Attendez une minute, je reviens.

Je rejoins les filles, leur explique que j’ai rencontré une vieille connaissance sur le palier de l’étage… qu’il ne faut pas qu’elles s’inquiètent… et remonte voir l’individu.

– Bon alors qu’est-ce qui se passe ? Vous n’avez pas pu rejoindre la presqu’île ?
– Si, mais on m’a exfiltré.
– C’est quoi cette histoire ?

Alors il m’a raconté. Je comprends donc que son tueur mafieux, flairant le gros coup, cherche à faire cavalier seul.

– Je me fais aucune illusion, quand le type n’aura plus besoin de moi, il m’éliminera. Donc si je veux éviter ça, il faut que ce soit moi qui le tue.
– Ben voyons ! Mais tu n’as pas besoin d’armes, costaud comme tu es, je t’ai bien vu faire sur le tarmac.
– Je veux mettre toutes les chances de mon côté… Il ne va pas m’attaquer de face, c’est un sournois.
– Je n’ai pas d’armes sur moi et même si j’en avais une, je ne vous la prêterais pas.
– Vous me conseillez quoi, alors ?

Il m’emmerde ce mec. Il est réellement paniqué. J’ai peur qu’il fasse une connerie et que Carrie ait des ennuis.

– Faites ça dehors !
– Comment ça dehors ?
– Débrouillez-vous, je ne suis pas votre chaperon. Et puis ne me dites pas que vous n’avez pas d’idée, vous étiez dans la police, non ?
– Et après je vais où ?
– Vous trouverez bien.

Kloben après maintes réflexions se dit qu’avant de prendre une décision définitive il serait opportun de prendre avis auprès d’une personne susceptible de s’impliquer dans cette affaire.

Le choix est rapide, beaucoup de capitaines sont en mission, il pense alors à El Menhir.

El Menhir est un vieux baroudeur, en retraite il gère un restaurant aux prix prohibitifs mais fréquenté par quelques voyous huppés et autres parvenus locaux. Grand ami d’un cadre de la mafia locale, il lui est arrivé de rendre service à celle-ci qui en échange ne s’est jamais trouvé très regardante sur ses activités. Pas vraiment mafieux mais très proche de ces derniers et se considérant comme membre de la « famille ».

« Il est en retraite mais c’est bien connu, tous les gens en retraite reprennent parfois du service quand il y a un gros poisson au bout de la ligne. »

El Menhir a déjà vu ce client attablé devant une salade et qui demande à lui parler. Il ne saurait dire où, mais c’est vrai que sur Vargala-station, tout le monde se connait de vue.

– Bonjour, je suis El Menhir, je vous écoute.
– J’ai un gros tuyau, un très gros tuyau, je ne sais pas quoi en faire, alors je le vends
– C’est quoi le tuyau ?
– Je sais où se trouve Edina Von Graz.

El Menhir parvint à dissimuler sa surprise. Cela faisait la troisième fois en quelques jours qu’on lui parlait de ça.

– Hum, le souci, c’est qu’elle n’est plus retenue en otage. Elle a publié un communiqué, vous n’êtes pas au courant ?
– Si, mais c’est une manœuvre de diversion.
– En indiquant sa position ! Ça ne tient pas debout.
– Je suis bien informé, croyez-moi !
– Et votre source…
– Je ne la divulgue pas.
– Alors aurevoir monsieur, je vous laisse terminer votre salade !.

N’empêche que El Menhir aurait bien voulu savoir. Il prit son temps pour se lever de son siège.

« Il va me le dire, je le sens ! » Se dit Kloben

– Si je vous indique ma source, je prends un très gros risque.
– C’est vous qui voyez.
– J’ai rencontré un type dans un rade, il était bourré et il m’a fait des confidences.
– Tss tss. C’est ça votre version à risques ? Racontez-moi autre chose ou je laisse tomber.
– Bon, je travaille un petit peu pour la mafia…

Tilt.

Évidemment Kloben ignore à qui il a réellement affaire et raconte l’histoire avec insouciance. Grave erreur, les gens de la Mafia détestent que l’un des leurs profite de la situation pour faire cavalier seul.

Et toujours est-il que El Menhir engendra le maximum d’informations et qu’ensuite plus personne n’entendit plus parler de Kloben. (étonnant, non ?)

Dyane est venue me trouver plusieurs fois pour me faire part de son inquiétude à propos des deux détectives.

– Ils sont pugnaces et plus intelligents qu’on pourrait le penser, ils vont tenter quelque chose, je le sens.
– Et s’ils ont un plan, tu penses qu’ils vont te faire des confidences ?
– Je n’en suis pas là, mais je crois que je peux gagner leur confiance.
– Ben alors continue.
– Je peux emprunter ton vaisseau ?
– Hein, quoi ? Et pour aller où ?
– Nulle part, je vais leur faire visiter et leur faire croire que je peux en assurer le commandement.
– Et ensuite ?
– Ensuite j’improviserai, tout dépendra de ce qui leur passera par la tête ?
– Ils vont te demander de les conduire dans le système de V6783
– Oui mais là je peux les faire lanterner, leur dire qu’il faut que je constitue un équipage, que j’ai besoin de tes codes de commandements, tout ça…
– Et ensuite ?
– Ensuite, je ferais confiance à mon sens de l’improvisation !

Topar ne comprend pas, il a élaboré dans sa tête toute une série de scénarios propre à éliminer définitivement Kloben. Oui mais voilà, cela fait trois jours que ce dernier n’a pas donné de nouvelles.

– Est-ce que vous pouvez joindre le capitaine Stoffer et lui demander de passer me voir ? Demande-t-il à Carrie.
– Vous n’avez pas de spacephone ?
– Je n’ai plus rien !
– Mon pauvre Monsieur ! se gausse-t-elle. Bon, je le préviens.

Je suis donc passé. Que peut bien encore me vouloir cet emmerdeur ?

Il m’explique.

– Il a dû se passer quelque chose, mais ne comptez pas pour moi pour faire une enquête. Lui signifiais-je.
– Vous n’êtes pas sympa.
– Pourquoi ? Je vous dois quelque chose ?
– Non, mais un conseil ça ne coûte pas cher.
– Restez au chaud ici et prévenez votre hiérarchie de venir vous chercher.
– Oui, bien sûr. Mais je n’ai plus de spacephone. Vous me prêtez le vôtre ?
– Certainement pas, mais je peux vous en dégottez un.

El Menhir a beaucoup réfléchi. Ses trois sources se recoupent parfaitement. Il convoque Indira.

– Le sas, c’est la seule entrée ?
– Pour un humain oui, mais les poissons en ont une autre.
– Pardon ?
– La base est construite sur l’extrémité d’une île. L’arrière donne sur l’océan, c’est ici que l’on recueille nos poissons, un simple coup de filet automatisé et hop, ils vont directo à la congélation.
– Et un homme peut emprunter cette voie ?
– Euh, je sais pas trop, peut-être qu’en faisant un trou dans la glace…
– T’as une idée de l’épaisseur ?
– Non.
– On saura faire, tu peux nous faire un petit plan, comment à partir de la nasse aux poissons, rejoindre les parties habitables…
– Oui, je peux faire ça.
– Tu le fais maintenant ?

Indira dessina un petit croquis que l’homme examina.

– Bon je vois à peu près le topo. On passe en force, quatre hommes devraient suffire, on fait un massacre et on embarque la mère Von Graz morte ou vive. Le temps de constituer une petite équipe et c’est bon pour moi.
– Mais pourquoi faire un massacre ?
– Parce que c’est comme ça qu’on gagne les batailles, dixit Napoléon Bonaparte.
– On ne peut vraiment pas faire autrement ?
– C’est fini tes scrupules de vierge effarouchée ? De quoi tu te plains ? T’auras ta part de prime comme convenu.

Indira ne répond pas, épouvantée par les propos de l’homme…

– Le temps de trouver un capitaine, quelques gros bras et j’y vais, inutile de trainer. On aura peut-être besoin de toi, je te préviendrai

Je pensais l’affaire terminée, j’étais tranquillou, seul chez moi quand mon interphone se manifesta en me dévoilant le visage d’Indira.

Qu’est-ce qu’elle me veut celle filoute ?

Je la fais monter. Elle arbore une mine affreuse.

– Je viens de faire une connerie, une très grosse connerie, il n’y a que toi qui puisses arranger les choses.
– Allons bon !
– Je pensais me faire un peu d’argent facile et c’est en train de tourner en cauchemar…
– Si tu me racontais…

Alors elle m’a raconté…

– Mais t’es vraiment la reine de connes.
– Je sais. Me dit-elle avant de fondre en larmes.
– Bon on se calme.

Je laisse passer l’orage et je réfléchis. La solution serait de me trouver au dôme avant l’arrivée de cet El Menhir qui me paraît effectivement être un type bien douteux.

– Bouge pas, je vais voir si je peux faire quelque chose.

Je téléphone aux membres de mon staff. Pour diverses raisons, ni Nerren, ni Dilos, ni Nadget ne peuvent se libérer rapidement. Dyane peut mais il y a un imprévu et de taille…

Alors juste un petit flash-back

Dyane a donné rendez-vous aux deux détectives.

– Je peux vous assurer le transport jusqu’au système de V6783, là où se trouve Edina Von Graz, et gratuitement encore, vous me dédommagerez après. Annonce-t-elle fièrement.
– Et par quel prodige ?
– Stoffer me prête son vaisseau.
– Oh, mais c’est très bien, ça ! Et on pourrait partir quand ?
– Très bientôt, il faut que je constitue un équipage, peut-être engager quelques mercenaires pas trop idiots et puis j’ai des codes à récupérer tout cela va prendre je ne sais pas… mais ça ne devrait pas excéder trois jours.
– Mais c’est super, ça ?
– Résiliez votre location d’hôtel, on se retrouve à l’astroport, je vous monterai vos cabines .
– Déjà ?
– Ben oui.

C’était donc cela le « petit imprévu » (fin du flashback)

– Tu me les vires ! Dis-je à Dyane.
– Mais non ! C’est une aubaine, ils vont pouvoir rencontrer Edina et ils vont se retrouver le bec dans l’eau.
– Bon admettons…

Je contacte l’astroport et visualise les demandes d’emploi, j’engage un navigateur, un ingénieur de bord et deux agents de sécurité. Je fixe le départ au lendemain et peux reprendre mon dialogue avec Indira.

– Ok, je t’emmène. Lui dis-je
– C’est que El Menhir veut que je l’accompagne.
– Pour mieux te mettre hors circuit, laisse-le poireauter.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:05

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 11 – Les errances de Topar et les fantaisies de Vitali par Nicolas Solovionni
Chanette

Kloben ne comprend pas que Topar ait pu lui échapper et surtout de cette façon.

– Il est où maintenant ce con ? Il n’a pas pu s’envoler !

Il contacte son chef de réseau et lui demande d’accéder à au spacephone du fuyard.

– Pas moyen, soit il l’a détruit soit il possède un modèle ultra sécurisé…
– OK, donc soit il se planque chez l’habitant, soit il est passé dans la presqu’île. Je peux avoir le code pour me renseigner ?
– Je m’en occupe, je te rappelle mais sois patient… le temps qu’il arrive à destination.

La mafia locale est une force de l’ombre, elle s’est attribué deux missions, la première est comme le font toutes les mafias prélever auprès des commerçants, artisans, restaurateurs, bistrots et bordels ce qui est appelé pudiquement « la contribution à la cause » mais qui n’est ni plus ni moins que du racket bien classique. La seconde mission c’est d’appliquer « la loi de Vargala » c’est-à-dire traquer et éliminer les assassins (voir plus avant).

L’organisation est sophistiquée, outre les collecteurs personne n’en connait les membres, chaque membre a une couverture « normale », ne connait que son chef de réseau et éventuellement un comparse quand les choses deviennent compliquées.

Deux jours plus tard, le chef de réseau rappelait Kloben.

– Je n’arrive pas à joindre Childéric, (le chef des exclus) ça me prend la tête, je te file le code…

Et c’est ainsi que Kloben parvint à contacter Childéric

– Allô, « code mascarpone », on peut parler ?
– Euh ? Oui, je suis seul !
– Vous avez accueilli un nouveau récemment ?
– Oui, il est sous notre protection… jusqu’à nouvel ordre…
– C’est Topar ?
– M’a pas dit son nom et j’lui ai pas demandé.

Kloben se livre à une description sommaire de Topar…

– Ça lui ressemble.
– Ce mec en a trucidé un autre, il a embarqué sur un vaisseau et il est revenu. J’aimerais savoir ce qu’il a été fabriqué ?
– C’est pas trop l’usage ! Proteste Childéric.
– Oui, mais la situation est exceptionnelle !
– Comment ça ?
– Ce mec est super entraîné, c’est un tueur, tu n’aimerais pas qu’il te remplace ?
– Ne t’inquiètes pas pour moi !
– Ok réfléchis-y, je te rappelle demain.

S’il n’est pas dans les usages de la presqu’île d’aller fouiner dans le passé de ses résidents, Kloben a néanmoins réussi à semer le trouble dans l’esprit de Childéric, aussi celui-ci convoque-t-il Topar sous un prétexte futile.

– J’ai besoin de distraction, tu n’as pas une belle histoire à le raconter ?
– Une histoire ? Quelle histoire ?
– Je ne sais pas, la tienne ?
– Tu risques d’être déçu. J’ai failli être le héros d’une belle histoire mais ça a foiré.
– Raconte quand même.

Et sans y trouver malice, Topar raconta sa quête pour retrouver Edina Von Graz… et son échec

– Autrement dit tu es passé à côté de 200 000 kochnicks.
– Ben oui, on ne peut pas gagner à tous les coups.
– Mais tu as fait comment pour échapper à la mafia ?
– Ils étaient deux mais n’avaient aucune notion des sports de combats, je les ai foutus K O.
– Ben dit donc, t’es un vrai champion, toi !
– Ben oui, qu’est-ce tu crois ?

Une réflexion idiote à la « m’as-tu vu » qui eut le don d’exaspérer Childéric.

– Mais pourquoi tu es revenu sur Vargala.
– Le capitaine du vaisseau a refusé de faire un crochet et m’a enfermé dans ma cabine, mais il n’a pas été trop vache, c’est lui qui m’a expliqué pour la presqu’ile.

Quand il fut de nouveau seul, Childéric s’empressa de rapporter cette conversation auprès de Kloben.

– O.k. merci. Faites attention à vous, ce mec est super dangereux.

Kloben est dubitatif, ce que lui a confié le chef des exclus est intéressant mais insuffisant. Ce qu’il a retenu c’est qu’il y a une super prime au bout de l’aventure…

« Il faudrait que j’aie un entretien entre quatre yeux avec ce Topar, mais comment faire ? »

Il a beau tourner et retourner le problème en tous sens, organiser cette rencontre est effroyablement risqué quelle que soit la procédure envisagée.

Alors il choisit de prendre le risque, en sachant bien que si la mafia apprend ce qu’il fabrique, sa peau ne vaudra plus cher. De plus les exécutions pour ce genre de trahison ne sont pas réputées pour leur délicatesse

Alors Kloben passe à l’action. Il commence par se rendre au Carrie’s bar (voir l’épisode précédent)

Il connaît le lieu puisqu’il en est le collecteur

– Il y a un mec qui va se pointer dans ton boui-boui tout à l’heure, il se présentera comme « Finger », tu l’hébergeras incognito quelques jours. C’est moi qui paie sa note, je vais te faire une avance. Si on t’interroge il n’existe pas. Moi seul pourrait le rencontrer avec le même code.

Il attend que la marée soit basse puis commence par demander au Bar des adieux de laisser la porte de communication ouverte, ensuite il prévient Childéric :

– J’arrive dans une demi-heure avec une mini-barge. Je veux que vous me livriez Topar, mains et pieds attachés.
– C’est contraire à tous les usages…
– A situation exceptionnelle, procédure exceptionnelle, ce type est une bombe à retardement, encore une fois, tu ne voudrais pas qu’il prenne ta place…
– Je disais ça comme ça…
– Faites lui un brin de toilette si nécessaire.

La garde prétorienne de Childéric maîtrise Topar et le ficelle. Kloben arrive avec sa barge volante et embarque l’homme.

– Vous faites quoi ? demande Topar vraiment peu rassuré.
– On t’exfiltre.
– Pour me tuer ?
– Tu verras bien !

La barge se pose devant la porte arrière du bar des adieux.

– Tu descends là… Tu pousses la porte c’est ouvert, tu fais comme si tu revenais des toilettes, puis tu te diriges vers le Carrie’s bar, tu te présenteras comme étant « Finger ». Allez, file, je viendrais te voir tout à l’heure.
– J’aimerais comprendre…
– Bon, si on avait voulu te tuer, ce serait déjà fait, alors tu fermes ta gueule.

Topar fit alors comme on lui avait dit, pouvait-il faire autrement ?

N’empêche qu’il se posait mille questions, en poste depuis pas mal de temps, il savait parfaitement comment fonctionnait la ville portuaire. Or ce qui se passait en ce moment ne correspondait à rien de connu. Il fallait une personne de très haute influence pour le faire sortir de la presqu’île, mais alors pourquoi aller se cacher dans un boui-boui ?

Ne trouvant pas de réponses à ses interrogations, il traça la route jusqu’au Carrie’s bar.

– Je suis Finger…
– Suivez-moi votre chambre est prête.

Carrie conduisit son hôte jusque dans une de ses chambres.

– Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous sonnez…
– J’aimerais bien manger un bout.
– Pas de problème, des genkulus, ça vous tente ?
– Super.
– Avec le vin de la maison ?
– Allons-y.
– Si vous voulez un câlin, je suis à votre disposition.
– Pas maintenant.
– Si vous préférez une femme plus mûre, ma maman est aussi une bonne pute.
– Pas maintenant.

Kloben avait pris des risques mais n’était pas assez fou pour qu’on le voit se poser en ville avec un passager recherché. D’où ce stratagème faisant repasser Topar par le bar du destin.

Il rejoint assez vite à son tour le Carrie’s bar, se fait reconnaître, monte dans la chambre du fugitif

– Maintenant faut qu’on cause.
– Qu’on cause de quoi ?
– Pourquoi ton plan de récupération de Edina Von Graz a foiré ?
– Un concours de circonstances, j’ignorais la configuration du lieu et donc le fait qu’il y avait un sas sécurisé. Je pensais compter sur l’équipage de Trujillo, mais ça n’a pas été possible. Et puis sur place Stoffer m’avait précédé…
– Le sas, c’est vraiment insurmontable ?
– Non, on peut le forcer soit avec l’aide d’un ingénieur en électronique, soit en le bousillant au laser, mais les occupants ne vont pas rester les bras croisés, ils vont nous attendre à la sortie intérieure du sas et ça va être un massacre.
– Et donc…
– Donc faut un commando de mercenaires en sachant qu’il y aura des pertes.
– On s’en fout des pertes, je vais réfléchir, reste au chaud, je vais repasser te voir

Ce bref échange a laissé les deux interlocuteurs dubitatifs.

Kloben ne pensait pas que l’affaire fut si compliquée. Dans son esprit, ce n’était qu’une opération éclair ne nécessitant que deux complices. Il se serait fait fort ensuite de démontrer qu’Edina était toujours en otage et que ses dénégations participaient du syndrome de Stockholm. Alors que là il fallait réunir toute une équipe, gérer la casse, gérer le partage de la prime, en sachant que plus nombreux seront les intervenants, plus les risques se multiplieront. Alors que faire ? Laisser tomber ou tâter le terrain auprès d’un baroudeur présent sur la planète ? Quant à Topar il lui faudra l’éliminer, ainsi sa mission sera accomplie.

Topar n’est pas complétement idiot. Il se sait en danger, et il n’a pas trente-six solutions, retourner à la presqu’île lui semble une folie, il lui faudra donc se débarrasser de Kloben. Et ensuite ? Ben ensuite, il ne sait pas du tout.

Vitali et Maderna.

Après toutes ces semaines d’isolement les deux détectives se sont rattrapées en festoyant comme des cochons et en profitant des charmes tarifés des prostituées locales.

Alors évidemment le lendemain, ils ont la gueule de bois.

– On tait quoi ? demande Maderna.
– On va rentrer !
– Sur un échec ?
– Ce sont des choses qui arrivent. Répond Vitali en sortant son spacephone afin de se connecter à l’astroport.

Il rouspète constatant qu’il n’y a y aucun départ de prévu à court terme, pour Terra Nova, leur destination d’attache.

– Soit on attend un vol direct, soit on se tape une correspondance…
– On est pas si pressé, attendons un vol direct.
– Tu crois qu’on pourrait essayer de tenter quelque chose ?
– Tenter quoi, on ne sait même pas ce qui s’est passé, la logique aurait voulu que Stoffer revienne avec Edina…
– Il a dû la libérer de ses geôliers et charger une autre équipe de venir la récupérer.
– Ouais, peut-être, je vais regarder les news, voir si on en parle…
– Attends, c’est trop tôt…

Mais Vitali actionne son appareil et tombe sur le communiqué d’Edina par lequel elle signale n’être l’otage de personne et précise sa position.

– Ah ben ça alors ! Regarde !
– C’est du bluff !
– Bien sûr que c’est du bluff. Il faut qu’on retourne là-bas.
– Et on fait comment ?
– Faut qu’on trouve un capitaine qui nous prenne comme passagers…
– Et ensuite ?
– Ben on l’enlève et on la ramène…
– Sur un vaisseau dont on aura pas la maitrise ? C’est n’importe quoi !

Le soir Dyane est passée me voir en coup de vent

– J’ai aperçu les deux détectives à la terrasse du « Crabe vert », ils n’avaient pas l’air bien frais…
– Ils ne devraient pas tarder à foutre le camp.
– Pas si sûr, ces gens sont pugnaces.
– Que veut-tu qu’ils fassent ?
– Aucune idée mais s’ils mijotent quelque chose autant qu’on soit avertis
– Et t’as une idée pour savoir ?
– Peut-être, peut-être.
– Je te fais confiance.

Et le lendemain, Dyane s’installait à la terrasse du Crabe vert, illuminé par les rayons du soleil local.

Au bout d’une heure Vitali et Maderna s’installèrent à quelques tables de distance. Dyane laissa passer quelques minutes avant de venir les aborder

– Bonjour messieurs, je suppose que vous me reconnaissez ?
– Hélas ! Répondit Maderna.
– Pourquoi hélas ? Vous nous devez la vie, le code galactique nous autorisait à vous balancer dans l’espace pour piraterie caractérisée.
– Je suppose que vous aviez une bonne raison de ne pas le faire ?
– Disons que de notre côté nous n’avons pas toujours été clean avec les lois, alors des actes idiots on peut parfois les comprendre.
– Et là, présentement, vous voulez quelque chose ?
– Simplement vous dire que nous ne sommes pas ennemis, entre voyous on peut se comprendre… et même s’entendre.
– Nous ne sommes pas des voyous. Rétorqua Vitali
– Un peu quand même.
– Juste un peu alors ?
– Tenez, pour conclure nos différents, je vous propose une chose. Je suis propriétaire d’un institut de massage haut de gamme. Un massage à l’œil, ça vous dirait ?
– Et il est où est le piège ?
– Il n’y en a pas, simplement je préfère ne plus vous avoir comme ennemis.

Le lendemain Maderna et Vitali étaient attendus à l’accueil des « doigts d’or » le salon de massage tenu par Dyane.

Cette dernière descend, elle demande à une fille d’accompagner Maderna au premier.

– Il est en bonnes mains… et en ce qui vous concerne, c’est moi qui vais m’occuper de vous ! Cela vous convient-il.
– Mais bien sûr ! Répond Vitali
– Nous avons plein de formules, voulez-vous lire l’écran ou préférez-vous que je vous commente tout ça ?
– Euh, je vois « salon anglais »…
– Ça vous tente ?
– C’est quoi exactement ?
– Des petites misères.
– J’essaierais bien !
– Alors allons-y, vous ne serez pas déçu !

Le salon anglais est en fait une sorte de mini donjon, la table de massage est remplacée par une sorte de cheval d’arçon, une croix de St André logée contre le mur, prête à l’emploi, des chaines descendent du plafond, et les étagères sont encombrées d’instruments de douce torture, cravache, pinces, godes et tout le fourbi…

– T’aimes quoi, des petites misères physiques, c’est ça !
– Oui mais pas trop fort, quand même…
– Les insultes, les humiliations, ça te branche aussi ?
– Comme si j’étais une esclave qu’on punit ?
– Par exemple !
– Alors je veux bien !
– Alors on commence de suite ! A poil, salope !

Vitali en lève tout à l’exception de ses chaussettes.

– Je suis sûre que tu aimerais me voir à poil ! Le nargue Dyane.
– Oui, bien sûr.
– Ce sera ta récompense en fin de partie, mais pour cela il faut être un bon esclave ! Bon voyons ces tétons, t’aimes ça qu’on te les pinces. Hein lopette ?
– Oui ! Aïe !
– Qu’est-ce qu’il y a ? Je fais trop fort ?
– Non c’est bon !
– Alors, souffre en silence, conard !

Dyane joue cinq minutes avec les tétons de Vitali qui bande maintenant comme un cochon puis change de cible et se met à lui malaxer les couilles en les faisant rouler entre ses doigts. Le « pauvre » Vitali gémit mais ne proteste pas.

– Maintenant allonge-toi là-dessus ! Lui dit-elle en désignant le chevalet.

Le dispositif est assez court ce qui fait que Vitali une fois allongé dessus a les jambes et les bras qui pendouillent.

Dyane se saisit d’une cravache et lui assène à la volée plusieurs coups sur ses fesses qui ne tardent pas à devenir cramoisies. Puis elle s’empare de l’un des godes posés sur l’étagère.

– Tu sais ce que c’est, ça ?
– Ben oui, c’est un gode .
– Et tu sais ce que je vais faire avec ?
– Me le mettre dans le cul, je suppose ?
– Tu supposes très bien, mais avant ?
– Euh ?
– Ben quoi, c’est si difficile à deviner ?
– Euh…
– Regarde le bien ce gode, il est beau n’est-ce pas ?
– Oui !
– Tu vas aimer l’avoir dans le cul ?
– Oui !
– Mais avant tu vas le sucer ?
– C’est humiliant ! Bredouille Vitali.
– Justement ! Et c’est pour ça que je veux que tu le suces. T’es qu’une lopette et les lopettes ça suce des bites

Stoffer411Vitali ne discute pas davantage et ouvre une large bouche.

– Allez suce, suce comme si c’était une vraie bite.
– Foufouffff !
– Faut pas parler la bouche pleine, on ne comprend rien. Ben dis donc tu le suces vachement bien ce gode, allez ça suffit maintenant… Mais dis-moi tu as déjà sucé une vraie bite ?
– Je ne sais pas !
– Dis donc pédale, tu te fous de ma gueule, en principe quand on a sucé une bite on s’en souvient, alors je veux une autre réponse !
– Je devais être bourré !
– Ben voyons, ils répondent tous la même chose ! En fait tu as honte, c’est ça ?
– Je ne sais pas…
– On peut faire un truc si tu veux, il y a toujours ici des mecs qui ne demandent pas mieux que de se faire sucer, tu veux que j’en appelle un ?
– Non, peut-être pas ?
– Sauf que ce n’est pas toi qui commandes, tu avais envie d’être humilié alors tu vas sucer une bonne bite devant moi et fermer ta gueule. Quelque chose à aouter ?
– Non !
– Alors je veux t’entendre dire « J’ai envie du sucer une bonne bite ! »
– J’ai envie de sucer une bonne bite !
– Tu vois, quand tu veux !

Dyane actionne l’interphone et demande après Cheng-Li, l’un des agents de sécurité.

L’homme arrive et retire pantalon et caleçon.

– Il bande mou, ce con, ça ne va pas du tout… Je vais arrange ça.

Dyane le branlotte quelques instants afin de bien raidir sa virilité.

– Allez vas-y.

Vitali embouche la bite du nouveau venu avec une insouciance déconcertante. En fait d’humiliation il a plutôt l’air de se régaler.

« Aucune importance » se dit Dyane, « l’essentiel c’est qu’il ressorte satisfait de la séance »

Elle passe dernière lui et tandis qu’il continue à sucer, elle lui écarte les fesses et lui introduit le gode dans le cul avant de le faire aller et venir. Il est aux anges, Vitali.

Et quand Cheng-Li retirant sa bite de la bouche du soumis le contourne pour s’en aller l’enculer, Vitali ne bronche pas.

« Heureusement que Maderna ne me voit pas ! se dit Vitali.

Justement qu’en est-il de Maderna ? Se demandera le lecteur (cochon de lecteur) Eh bien nous nous éterniserons pas sur sa séance en cabine de massage, il a choisi du classique on lui fait du classique c’est-à-dire du massage un peu partout avant qu’une main vienne lui empoigner la bite… et on connait la suite.

Revenons donc dans la chambre anglaise. Cheng-Li a fini par jouir dans le fondement de Vitali… Alors fin de séance et fin de l’humiliation consentie ? Non, pas tout à fait…

– Garde la bouche ouverte ! Lui dit Dyane.

Et Cheng-Li vient lui pisser dans la bouche !

– Avale, lopette !

Il le fait, il ne sait plus très bien où il en est, il a les yeux vitreux, mais ne regrette en rien cette séance. Dyane le libère.

– C’est fini, ça t’a plu ?
– Oui, mais je n’ai pas joui.
– Je sais, ce n’était pas dans le programme.
– Ah bon ?
– Parce que tu voudrais jouir, maintenant ?
– Oui…
– Alors tu vas au coin là vas et tu te branles
– Oh, c’est humiliant !
– Ben oui !

Vitali se dirige vers le coin et commence à s’astiquer le poireau. Dyane fait signe à Cheng-Li de s’approcher de lui. Ce dernier sait ce qu’il doit faire ou plutôt ce qu’il doit dire.

– T’aimes ça te branler, hein pédale ?

Vitali ne comprend pas sa présence et ne répond pas .

– T’es prié d’être poli avec à Cheng-Li quand il te cause.
– Ah ? Ben oui j’aime bien me branler .
– T’es qu’un suceur de bites !
– Ouin oui,
– Et un enculé !
– Ben oui ! Ahhh, ça vient..

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:03

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 10 – Au camp des exclus par Nicolas Solovionni

Gaystamp

Angie

L’homme, un dénommé El Menhir s’assit devant Angie.

– Bonjour, j’ai accepté ce rendez-vous par politesse, mais je ne vois pas bien où vous voulez en venir ?
– C’est très simple je possède les coordonnées de la planète où est détenue Edina Von Graz.
– Oui j’avais bien compris, mais j’ai l’impression que vous n’êtes pas au courant des dernières nouvelles.
– Quelles dernières nouvelles ?

L’homme lui tendit son spacephone ouvert à la bonne page. Angie lut, livide.

– La salope ! La salope !
– Donc nous pouvons mettre un terme à cet entretien.
– Ben oui. Murmura-t-elle, dépitée.
– Cela dit, vous êtes charmante, accepteriez-vous de dîner à avec moi ?
– Vous-voulez me draguez ?
– Pourquoi pas ? Mais on peut faire un peu connaissance avant !
– Vous espérez quoi ? Minauda Angie.
– Quand un plan tombe à l’eau, on peut toujours trouver un plan B.
– Je n’en ai pas.
– Rien ne nous empêche d’y réfléchir, retrouvons-nous ici dans deux heures.

Topar

Topar ne sait pas trop où se diriger. Vers la presqu’île, certes mais comment ?

Le bord de plage devient rapidement impraticable, il est donc obligé de s’enfoncer dans la végétation luxuriante. Et là, ça devient vite compliqué, il n’y a aucun chemin de tracé, ça monte et ça descend, il n’y a rien pour permettre de s’orienter.

La lassitude le gagne, il s’assoit sur un rocher et tente de réfléchir.

C’est alors qu’un gros lézard, une bestiole de 60 centimètres s’approcha de lui. Trois autres le suivent deux mètres derrière.

Dans un geste insensé l’homme se saisit du lézard par la queue et l’envoya bouler dans les fourrés.

– Fous le camp, sale bête !

Ses congénères apeurés rebroussèrent chemin sans demander leur reste.

« Ouf ! M’ont pas l’air trop dangereux. »

Il reprit son chemin, cette victoire futile lui ayant curieusement redonné du tonus.

Ça continuait à monter et à descendre…

« Je me demande si je ne suis pas en train de tourner en rond ? »

L’une des pentes lui sembla plus longue à gravir que les précédentes, la végétation se clairsemait au fur et à mesure de la pénible montée.

Le sommet offrait une vue légèrement dégagée, il respira un grand coup l’air vivifiant de l’endroit et scruta le panorama offert…

– De la fumée ! Ça n’a pas l’air tout près, mais c’est là que doivent camper les exclus. En route !

Il fallait donc redescendre la colline et ne pas se tromper de direction.

C’est deux heures plus tard qu’une voix surgit de nulle part le surpris :

– Vous entrez en zone interdite. Si vous n’êtes pas là par hasard, refranchissez la ligne, et on viendra vous chercher, sinon merci de déguerpir, l’endroit peut s’avérer dangereux.

– La ligne ? Quelle ligne ? Je ne vois pas de ligne.

Il recula de quelques mètres avant d’avancer de nouveau. Du coup le micro se redéclancha.

– Ne bougez plus. On va venir vous récupérer, comptez environ deux heures d’attente.

Effectivement deux heures plus tard un gros lard ne respirant pas vraiment l’intelligence vint à sa rencontre.

– Je vous ai apporté de l’eau, vous devez avoir soif.
– C’est pas de refus, vous n’avez rien à grignoter ?
– Si, si j’ai un peu de poulet froid et des biscuits.

Eh oui, toutes les planètes colonisées ont importé des volailles, c’est facile à élever et ça pond des œufs (si, si !). Dans certains coins, elles ont muté, pas bien grave.

Deux nouvelles heures à cheminer en compagnie d’un type qui n’en bronche pas une…

Indira

En sortant de l’astroport Indira se rendit chez Alternor, une vieille connaissance.

– Indira, quelle surprise, il y a une éternité…
– Bof, trois années terrestres…
– T’étais où ?
– Je me suis retrouvée dans un bordel sur Garonda, et là on m’a proposé… tu ne devineras jamais…
– Ben non …
– Un poste de demoiselle de compagnie auprès de… devine qui ?
– Dis-moi !
– Edina Von Graz.
– Non ?
– Si ! Donc je suis bien placée pour savoir où elle est, et comme il y a une belle prime à l’appui… donc je vends le tuyau.
– Mais tu n’es pas au courant ?
– Au courant de quoi ?
– Elle a publié un communiqué précisant qu’elle n’était plus otage…
– Je sais bien qu’elle n’est plus otage, mais j’ai sa localisation.
– Ça aussi c’est précisé dans son message.
– Alors tant pis pour moi.
– Eventuellement je peux te présenter à un type qui te dira si on peut faire quelque chose.
– Je n’y crois pas trop mais pourquoi pas ? Ça ne coûte rien d’essayer

Topar et son guide parviennent enfin au camp des exclus. L’endroit a tout d’un bidonville, des abris façonnés avec des assemblages de tôles ou de toiles imperméables, il y a un tas de saloperies empilées n’importe comment. L’odeur est infecte mais ne semble pas incommoder les poules qui se baladent en caquetant.

Une masure faite de rondins et de torchis jure avec la misère ambiante.

– C’est le château du chef, précise l’accompagnateur sans rire. Attends-moi là, je vais t’annoncer.

Topar pensait qu’on allait le faire entrer. Ben non, une espèce de viking hirsute et puant de crasse sort de la baraque avec une souche en guise de tabouret sur lequel il pose son gros cul.

– Je suis Childéric, c’est moi le chef et toi t’es qui ?
– Topar, j’ai fait une connerie…
– Tous ceux qui sont là ont fait des conneries. Et on ne veut pas le savoir. Qu’est-ce que tu sais faire ?
– Ce que je sais faire ?
– Ben oui, tu ne vas pas me dire que tu ne sais rien faire ?
– Je sais pas, j’ai eu une formation militaire…
– Tu sais te battre alors ?
– Oui.
– On va voir ça.

Le chef appelle un gros costaud qui bullait devant son tas de ferrailles.

– Viens-là toi, vous allez vous battre tous les deux, attention ne vous démolissez pas non plus.

L’individu s’amène avec nonchalance, jaugeant Topar, il se dit qu’il ne va en faire qu’une bouchée.

Les deux hommes se mettent en garde et soudain le costaud attaque en fonçant, Topar esquive, se retourne et lui envoie un coup de savate. L’homme dégringole en hurlant de douleur. Durée du combat : une minute !

– Eh bien, t’es pas cul de jatte, toi, je te prends dans ma garde personnelle, viens à l’intérieur on va boire un coup.

L’intérieur de la masure est assez spartiate, une table bricolée avec des souches et un bout de tôle, et deux autres souches en guise de sièges.

Childéric lui verse une mixture dans une bolée en terre cuite, du n’importe quoi fermenté n’importe comment. Topar prend énormément sur lui pour faire semblant d’apprécier.

– Je parie que tu te demandes où sont les femmes ?
– Ben oui, répondit Topar, qui ne s’était pourtant pas posé la question.
– La plupart sont prises, quelque unes sont maquées et d’autres campent entre-elles à l’extérieur du camp, un peu plus loin. T’aimerais que je t’en appelle une, ça te décontracterait.
– Pas maintenant …
– Si tu préfères les mecs, c’est possible aussi, j’ai les idées larges.
– Euh !
– Oh j’ai vu ton œil qui devient lubrique ! C’est ça, tu préfères les mecs. T’as raison, ça change, moi de temps en temps j’aime bien enculer un joli cul.
– Ah ?
– Tu me le fais voir ?
-Tu veux voir quoi ?
– Ben ton cul, pardi !
– Maintenant ?
– Ben oui, pas dans trois semaines ! Faut profiter des occasions quand elles sont là.

« Bon autant me mettre bien avec ce type, d’autant que ça ne me coûte pas grand-chose ! »

– Whah, quel cul ! Ecarte bien les fesses que je vois ton trou !
– Comme ça ?
– Super !
– Dis donc t’a dû en prendre des kilomètres de bites dans ton cul ?
– Ben, oui j’aime ça !
– Laisse écarté que je te lèche un peu le troufignard !
– Ouiii, c’est bon !
– Tu sais ce qu’on va faire, on va se mettre à poil ! Oh j’ai une idée on va se faire un trip à trois… Attends-moi !

Childéric sort de sa masure.

– Eh toi, tu sais où est Arsène ?
– Il bricole dans sa baraque.
– Tu lui dis venir me voir, illico !

Arsène se pointe rapidement, pas encore la trentaine, visage efféminé, torse, bras et jambes épilés. Très ambiguë, le jeune homme.

– Voilà, je te présente Arsène, une sacrée tantouse, on va se faire un petit trio, tu n’as rien contre.
– Non, chef ! Ce sera avec plaisir.
– Alors, tout le monde à poil.

Stoffer410
Topar n’a d’yeux que pour la grosse bite de Childéric. Il avance sa main vers elle sans rencontrer d’objections.

– Elle te plait, hein ?
– Elle est belle !
– Suce ! Salope !

Topar ne se le fait pas dire deux fois et engloutit le membre de Childéric dans sa bouche. Sa pine sent la vielle pisse mais il en a cure.

– Suce un peu celle d’Arsène pour changer.

Ben oui pourquoi pas ? Abondance de bites ne saurait nuire !

Et c’est parti pour l’alternance, un peu celle de Childéric, un peu celle d’Arsène et on recommence…

Une situation qui ne perdure pas puisque Childéric, très directif, prend la parole.

– Et maintenant je t’encule, mets-toi en position et pendant ce temps tu pourras continuer à sucer Arsène.

Childéric n’est pas spécialement quelqu’un de délicat et ses coups de bite dans le cul de Topar sont plutôt énergiques. A ce point que sucer en même temps devient compliqué.

Un grognement porcin… Childéric jouit dans le derrière de Topar et décule en manifestant son contentement.

– Ah, ça fait du bien , mais maintenant j’ai la bite toute poisseuse, nettoie-moi ça, tu vas te régaler.
– C’est que…
– C’est que quoi, fait pas ta jeune fille, et nettoie moi la queue.

Topar se force un peu mais procède au nettoyage demandé.

– C’est bon hein ! C’est pas n’importe quoi, c’est du foutre de chef , maintenant ouvre bien la bouche, j’ai comme une envie de pisser.

Topar ne broncha pas et avale plusieurs rasades du champagne doré du caïd local.

– Maintenant je vais vous regarder baiser, allez un peu de nerf

Du coup Topar et Arsène se mettent en soixante-neuf afin de se faire jouir l’un l’autre.

– Maintenant va te reposer, on va t’indiquer un abri de libre, tu auras un peu de ménage à faire

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:01

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 9 – Topar et la masseuse par Nicolas Solovionni
Massage3

Après un voyage sans grand encombre nous arrivâmes dans le système de Vargala après être sortis de l’hyperespace.

J’en profitais pour envoyer sur les réseaux locaux la déclaration d’Edina par laquelle elle affirmait ne plus être otage, qu’elle acceptait de recevoir un journaliste ou un enquêteur (mais un seul) pour confirmer ses dires etc… etc…

Petite digression technique pour comprendre comment sont véhiculés les messages en ces temps futurs. Les messages interstellaires sont acheminés automatiquement sur les vaisseaux en partance. Lorsque le vaisseau atteint son système de destination, le message rejoint la planète à la vitesse de la lumière. C’est tout simple, non ?

Donc quand je débarquerai, d’ici deux heures environ, le message aura déjà bien circulé et sans doute d’aucuns l’auront réacheminé vers d’autres planètes.

On s’est posé gentiment et c’est à ce moment-là que la tour de contrôle se met à causer.

– Attention, attention, nous sommes en procédure d’urgence, tous les occupants de votre vaisseau doivent en descendre, le temps que nous appliquons le protocole sanitaire.

Qu’est-ce qui leur prend ?

– Nous vous rappelons que la procédure comporte l’envoi d’un gaz létal à l’intérieur du vaisseau. Pensez à vos animaux domestiques.

Le matou du bord, Dyane va s’en occuper, mais il y a les deux détectives….

– On va avoir droit à un petit contrôle ! Les avisais-je. Après vous serez libre d’aller au diable, j’espère bien ne plus jamais vous croiser !

Mais le vrai souci si toutefois c’est véritablement un souci, c’est Topar. Je ne pouvais pas prévoir ce qui risque de se passer. Le type est bon pour une exécution en règle, et pas forcément en douceur. Tant pis pour lui !

Je le mets au courant, il reste impassible. L’approche de la mort provoque parfois des réactions insoupçonnables. Il descend du vaisseau avec tout le monde, tandis que haut-parleur de la tour intervient de nouveau

– Le gaz sera dissipé dans dix minutes, vous pourrez alors regagnez le vaisseau si vous le souhaitez. Monsieur Topar, faites trois pas en avant en éloignant vos bras du corps, nous vous invitons à suivre pacifiquement les agents qui viennent à votre rencontre, faute de quoi nous serions obligés d’utiliser la force.

Ça se complique ! Topar m’interroge du regard.

– Allez-y mon vieux, il n’y a pas d’autres issues, soyez courageux.

Topar se laisse d’abord emmener placidement par deux bonhommes… et soudain… tout alla très vite.

La mafia locale a à sa disposition des tueurs sans scrupules, artistes du poignard et du fil d’étranglement mais peu aguerris aux techniques de combat à mains nues. Topar, lui a reçu une formation paramilitaire pointue. Avant que les deux mafieux aient le temps de réaliser quoi que ce soit ils sont estourbis par Topar à grand coups de poings et de savates. Il fonce droit devant lui, cavale comme un cheval fou et sort du tarmac par l’arrière. Trop puissant le mec !

Topar a gagné la ville, il a une adresse de repli.

– J’ai quelques problèmes, héberge-moi jusqu’à demain matin…
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Une grosse opération en cours, je t’expliquerai, mais là faut absolument que je dorme, je ne tiens plus debout…

En fait, Topar n’avait pas sommeil mais n’avait nulle envie de taper la conversation avec son hôte.

Il attendit sagement sur la couchette qu’on lui avait prêté, jusqu’au lendemain midi puis après une douche rapide il se fit préciser le chemin pour se rendre au Pied de Gazelle. Endroit où il n’avait évidemment aucune intention de s’y rendre, mais parfois lancer des fausses pistes a du bon.

– Qu’est-ce que tu vas foutre là-bas ?
– Je te dis, un coup fumant, je reviens ce soir, je te raconterai tout.
– Ok je te préparerai une bonne bouffe, tu veux que je fasse venir des filles ?
– Oui, génial !

« Et comme ça si on retrouve ma piste, ils ne vont pas la retrouver longtemps. »

Et c’est au Bar du Destin que Topar se rendit.

Rien ne distinguait ce bar des autres établissements de ce genre sur la planète. Eclairage approximatif, clientèle d’habitués et d’équipages en bordée, soiffards vaseux, alcools frelatés, serveuses accortes et montantes…

– Je voudrais voir le patron.
– C’est moi !
– C’est pour passer de l’autre côté.
– De l’autre côté de quoi ?

Topar fut un moment désarçonné mais se reprit.

– On m’a donné un code …
– Et c’est quoi ce code ?
– Crocodile …
– Ok, mais c’est pas gratuit.

Normalement le code aurait suffi, mais le patron n’a aucun scrupule, s’il peut plumer le gogo, pourquoi ne pas le faire ?

– Ce n’est pas un problème. Répond Topar
– Bon alors je t’explique, tu vas t’asseoir dans un coin, tu ne parles à personne, dans deux heures une fille viendra te draguer, tu montes avec, tu la payes et tu me payes, et elle va t’expliquer comment ça se passe …
– Pourquoi attendre deux heures ?
– Parce qu’avant c’est pas possible.

Topar s’en alla ronger son frein devant une mousse bas de gamme.

Deux heures plus tard une belle rousse vint le calculer.

– Bonjour je suis Laticia. Je t’emmène au paradis, mon biquet.

Sans trop comprendre il la suivit jusqu’à une minuscule chambrette.

– Déshabille-toi mon grand, je vais bien m’occuper de toi, et comme ça tu partiras avec un bon souvenir.
– T’es gentille, mais vois-tu, je n’ai pas vraiment le cœur à baiser.
– Mais si, mais si… et puis entre nous, le patron est un peu énervé en ce moment, si je lui dis que tu n’as pas été gentil avec moi, il est capable de ne pas te montrer la petite porte magique.
– Dans ce cas , je vais te payer, mais on ne fera rien et je voudrais partir de suite.
– OK, transmets-moi les sous, mais pour ce qui est de partir maintenant, c’est impossible, il faut attendre que la marée soit basse, dans une demi-heure ce sera bon !
– Ah, bon ?
– Tu m’as l’air un peu noué, je vais te faire un petit massage, ça va te faire du bien.
– Je ne sais pas.
– Moi, je sais, allez on se déshabille et on s’allonge sur la couchette.
– Je ne suis pas sûr…
– C’est quoi le problème, tu n’aimes pas les femmes ?
– Si, si… Mais pourquoi tu insistes tant ?
– Parce qu’il faut bien que je gagne ma vie.
– Mais puisque je t’ai dit que je te paierais même si on ne fait rien.
– Ça choque ma conscience professionnelle !

Mais qu’est-ce qu’il nous fait, Topar ? Se demandera le lecteur.

Il est sans doute temps d’évoquer la sexualité du bonhomme, en fait il est gay, gay à 90 % aime-t-il nuancer auprès des rares amis dans la confidence. Gay et exclusivement passif, ce qu’il aime par-dessus tout c’est sucer de bonnes bites bien raides avant de les accueillir dans son cul.

Alors les 10 % restants qu’en est-il ? Eh bien il apprécie parfois des femmes au look de garçonnes, poitrines d’anges (parce qu’on ne dit pas poitrines plates)

Or Laticia n’entrait pas vraiment dans cette catégorie non c’était plutôt le genre grosses loches en folie.

Mais craignant que les choses se compliquent s’il continuait à faire la mauvaise tête, il se résigna. Il quitta en conséquence tous ses vêtements et s’allongea sur la couchette.

– Ben voilà ! Oh le joli cul ! C’est rare un aussi joli cul chez un homme !

« Tu parles, elle doit dire la même chose à tout le monde ! » Se dit-il.

– Bon on y va ! Je suppose que tu voudrais voir mes seins ?
– Non, non, t’es pas obligée…
– Non, mais dis-donc, tu ne vas pas me vexer, tout de même ?
– Euh… Vas-y montre-moi ! Reprit-il, confus.

Et Laticia se dépoitrailla libérant deux magnifiques globes laiteux terminés par deux impertinents tétons arrogants.

– T’as le droit de toucher, c’est mon jour de bonté.

Topar caressa donc les mamelles de la jolie pute s’efforçant tant bien que mal de dissimuler son manque d’enthousiasme.

– Hum, tu caresses bien ! Lui dit la fille qui n’en pensais pas une miette, embrasse-les si tu veux, je ne le propose pas à tout le monde mais comme toi tu as l’air sympas…

« Manquait plus que ça, en plus elle continue à me sortir le baratin qu’elle doit débiter à tout le monde… »

Il le fit quand même, les yeux fermés appelant ses fantasmes les plus secrets à la rescousse.

– Ah, voyons voir comme ça se passe là-dessous…

Laticia fit écarter les jambes de l’homme, sa main passa sous le scrotum, puis atteignit la verge pas vraiment bandée.

Stoffer09– Ben alors mon grand, on est en panne ?
– Ben oui, ça arrive, ce doit être le stress, la fatigue…
– Ferme les yeux, je vais te faire le coup de la baguette magique !
– C’est quoi, ça ?
– Tu verras bien… en fait non tu ne verras rien, tu n’as pas les yeux dans le dos, mais n’empêche que c’est magique.

Laticia humecta l’index de sa main droite et d’un seul coup d’un seul le lui introduisit dans l’anus.

– AArfff !
– C’est bon, hein ?
– AArfff !
– Je continue ?
– Oui !
– Retourne toi et lève les jambes, que je puisse m’occuper de ta bite en même temps. !

Et tout en continuant à lui doigter le trou du cul, Laticia se mit à branloter la queue de Topar qui cette fois daignait montrer enfin sa rigidité.

Elle prit ensuite le membre en bouche, faisant virevolter sa langue en un ballet satanique. Nous l’avons dit Topar est un passif, il préfère sucer que l’inverse, n’empêche qu’il est bien obligé d’admette que Laticia est une sacrée professionnelle.

Et contre toute attente, Topar sentit son plaisir monter.

– Je, je …

Laticia lui fit signe de la main qu’elle avait compris et continua sa fellation. Topar jouit alors dans un spasme. La fille se releva et alla se rincer la bouche.

– Alors, content, mon gros lapin ?
– C’était bien !
– Je t’explique la suite, il va être l’heure. Tu descends aux toilettes, il y a un porte mitoyenne indiqué « réserve », je l’ai débloqué tout à l’heure. Tu la pousses et tu te retrouves dans un petit couloir, tu pousses la porte du fond et tu seras dehors, ce sera définitif, dans l’autre sens la procédure est différente.

Topar suivit scrupuleusement ces instructions et se retrouva dehors sur un étroite bande de terre encore humide des eaux de l’océan qui venaient de se retirer.

La presqu’île était devant lui, il s’y dirigea comptant sur son sens de l’improvisation pour la suite.

A suivre

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