Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 8 – Partouze cosmique avec Indira par Nicolas
Solovionni
Après une petite douche réparatrice, je m’en allais voir Edina…
– Je voudrais te demander une faveur.
– Tout ce que tu veux mon petit chou. Me répond la maîtresse des lieux, d’humeur joyeuse.
– Il s’agit d’Indira …
– Mais encore ?
– Elle voudrait venir avec moi…
– Sûrement pas. Pas elle, choisis-en une autre si tu veux.
J’avoue ne pas comprendre ! Mais devant mon air décontenancé, elle daigne m’expliquer :
– C’est la seule fille à savoir qui je suis réellement, je ne peux pas prendre le risque de l’envoyer dans la nature.
– Mais quelle importance maintenant ?
– Ah oui, c’est vrai ! Alors d’accord embarque-la.
Il fut donc convenu que je décolérai le lendemain. Auparavant je contactais le capitaine Trujillo :
– Tu vas pouvoir repartir, le poulet je m’en charge !
– OK. Mais ce n’est pas possible de faire un peu de commerce, ici ?
– Je vais voir si je peux t’arranger ça !
Edina me souffle qu’elle a des glochtons surgelés en rabe.
– Ce sont des espèces de poisson, c’est délicieux, si tu veux je te donne l’adresse d’un restau sur Vargala, tu viendras de ma part. Précisais-je à l’attention de Trujillo.
Baboukar s’est occupé des détails de la transaction et après que Trujillo ait rempli ses calles, il redécolla en direction de Vargala, son port d’attache.
Trois semaines plus tard sur Vargala
– Le Dolphin du capitaine Trujillo est à l’approche, je vous préviens comme convenu. Indiqua Rudy, le contrôleur de l’astroport dans son spacephone.
Dix minutes plus tard Kloben était sur les lieux.
– Attention, attention, contrôle bactériologique, veuillez tous sortir du vaisseau et rester sur le tarmac en attendant que l’équipe sanitaire fasse son travail. Un gaz mortel sera utilisé pour l’opération, ne laissez aucun être vivant à l’intérieur y compris les chats et les oiseaux.
Et tandis qu’une équipe gaze l’intérieur du vaisseau un logiciel de reconnaissance faciale scanne l’ensemble des personnes présentes sur le tarmac.
– Merde il n’est pas avec eux ! Rouspète Kloben, le mafieux
Il reprend le micro.
– On va rouvrir votre sas. Attendez dix minutes avant de réintégrer le vaisseau si vous avez des choses à y faire. Capitaine Trujillo, merci de vous présenter à la capitainerie du port pour quelques courtes formalités ?
Trujillo a déjà vu cet homme, mais ignore ce qu’il est.
– Bonjour capitaine, z’avez fait bon voyage ?
– Très bien, mais vous êtes qui ?
– J’y viens, vous connaissez la loi de Vargala ?
– Evidemment ! Mais quel rapport avec moi ?
– Le rapport c’est que vous avez embarqué comme passager un criminel… nous attendions son retour, mais il n’est pas là
– C’est de Topar que vous parlez ?
– Oui c’est l’un de ses pseudos…
– Quand il m’a proposé de le prendre comme passager, vous vous doutez bien qu’il n’est pas venu se vanter de ses activités criminelles. Alors vous me reprochez quoi ?
– Rien du tout, j’aimerais juste savoir ce qu’il est devenu ?
– Il ne m’a jamais donné l’impression d’être un homme en fuite, il m’a précisé sa destination et m’a payé. On a appris ensuite qu’il était flic et qu’il voulait exfiltrer un otage…
– Et…
– Après je ne sais pas, soit il lui est arrivé quelque chose soit-il simplement resté sur place.
– Donc vous ne l’avez pas attendu, mais qui vous a donné instruction de repartir sans lui ?
– Je suis capitaine et seul maître à bord, et je n’ai pas d’instructions à recevoir pour prendre mes décisions, je fais encore ce que je veux ! S’énerve Trujillo.
– Je ne voulais pas vous froisser, mais c’est Topar qui vous a dit de repartir sans lui ?
– Le dôme m’a prévenu que Topar ne repartirait pas avec moi..
– Le dôme ?
– Ben, oui le dôme ! répliqua Trujillo.
Son interlocuteur ne comprenant rien, le capitaine se lança dans des explications complémentaires.
– Vous savez précisément quelle est la personne qui vous a indiqué que vous pouviez repartir sans votre passager ?
– Oui.
– Et donc ?
– Ce n’est pas un peu fini cet interrogatoire ?
– Ce n’en est pas un, c’est une discussion amicale.
– Tu parles !
– Répondez-moi et nous en aurons terminé.
– Je suis obligé ?
– Non mais ça nous fera gagner du temps, sinon on finira par trouver.
– C’est le capitaine Stoffer.
– Stoffer, mais qu’est-ce qu’il est allé foutre là-bas ?
– Vous lui demanderez, maintenant si vous me permettez, j’ai du poisson à décharger.
– Du poisson ?
– Oui vous savez, ces machins qui vivent dans l’eau avec des arrêtes.
Kloben donna ensuite instruction à Rudy de le prévenir dès que je reviendrais.
– Même procédure qu’avec Trujillo !
– Bien chef !
– Et on ne se moque pas.
– Bien chef !
Trujillo, fort énervé rejoignit son staff.
– C’était quoi ? Demande Angie, sa technicienne de bord.
– La mafia ! Ils en ont après Topar, d’après ce que j’ai compris, il aurait tué un mec.
– Et qu’est-ce qu’on à voir là-dedans ?
– Rien, mais ça m’a pris la tête, on va faire entreposer le poisson dans les docs, tu peux t’occuper de voir avec le restau que nous a indiqué Stoffer ?
Angie sauta sur l’occasion, préleva une grosse tranche de poisson, se dirigea vers le « Fumet des étoiles » et demanda à voir le chef.
– Je viens de la part du capitaine Stoffer, on a un stock de poisson à écouler, il parait qu’il est génial…
– Faudrait vraiment qu’il soit génial, parce que du bon poisson, on a ce qu’il faut, mais si c’est Stoffer qui t’envoie je veux bien faire un petit test.
Et le chef s’empara du filet de poisson, le décongela puis le poila de façon toute simple.
– Putain, c’est délicieux ce truc, ça sort d’où ?
– Je vous dirais, j’en ai un bon lot en dock, vous êtes preneur ?
– Oui, mais une fois que le stock sera épuisé…
– J’ai les coordonnées de la planète d’origine, on y est allé un peu par hasard… le poisson ils en ont à foison, mais il n’y a pas que du poisson…
– Quoi d’autre ?
– C’est là que serait détenue Edina Von Graz.
– Non ?
– Si !
– Y’a une prime pour sa récupération, je crois.
– Oui, une bonne prime !
– Et votre capitaine, ça ne l’intéresse pas ?
– Laissez-moi mes petits secrets, mais si vous connaissez quelqu’un que ça intéresse, je me contenterai du tiers de la prime. Répondit Angie.
– Laissez-moi vos coordonnées, je vais examiner le problème.
Je pris congé d’Edina le lendemain matin.
Vous allez donc penser que je vais arriver sur Vargala 24 heures après Trujillo, ben non, ça ne se passe pas comme ça, les étoiles ne sont pas fixes et gravitent autour du centre galactique à la vitesse de 250 km/seconde. Donc tout cela est variable. Je peux très bien arriver avant lui ou le suivre d’une semaine.
On a donc embarqué Topar, qui tire une tronche pas possible, ce qui peut se comprendre aisément. Et on l’a enfermé dans une cabine.
Ce type pose problème, je suis persuadé qu’il ne renoncera pas à sa prime et qu’il va trouver le moyen d’essayer de pourrir la vie d’Edina. Mais bon, ce ne sont plus mes oignons. Edina est bien consciente de la situation et aurait aimé que je le fasse disparaître… désolé, je n’ai pas l’âme d’un assassin
La cabine de Topar est munie d’un interphone, il me fait donc savoir qu’il aimerait bien me causer.
Qu’est-ce que cet abruti peut avoir à me dire ? Je le fais poireauter, je ne suis pas à sa disposition.
J’ai attendu qu’on soit passé dans l’hyperespace, ce qui fait que je me suis pointé dans sa cabine une bonne heure après son appel.
– Je vous écoute.
– On va où ?
– Demandé de cette façon, je ne risque pas de vous répondre.
La tronche qu’il me tire, s’il pouvait me bouffer, je suis sûr qu’il le ferait.
– J’aimerai savoir où nous allons, capitaine ?
– Je rentre sur Vargala.
– Ça ne m’arrange pas …
– Eh bien tant pis pour vous !
– Je vais vous faire une proposition, débarquez-moi sur Derell, je vous paierai largement.
– Non.
– Vous seriez gagnant …
– J’ai dit non et ce n’est pas négociable. C’est tout , Je peux m’en aller ?
– Si je débarque sur Vargala, je suis en danger de mort.
En me disant ça le mec est devenu blanc comme un ours polaire.
– Ce n’est pas mon problème !
N’empêche que m’a curiosité naturelle fait que j’aimerais bien savoir pourquoi il me sort ça.
– Et pourquoi seriez-vous en danger de mort ?
– J’ai tué un mec. !
– C’est très vilain, ça. Me gaussais-je.
– C’est ça. Foutez-vous de ma gueule !
– Et vous aviez une bonne raison de commettre un crime ?
– Bof.
– J’ai peut-être une solution pour vous éviter de vous faire trucider mais ce n’est pas gratuit.
– J’ai de l’argent.
– Je m’en fous de l’argent, ce qui m’intéresse c’est de comprendre vos motivations.
– Mes motivations ?
– C’était quoi ton plan, à l’origine ?
– Récupérer Edina, ensuite sur Vargala je demandais l’aide et la protection de la police locale.
– Et t’empochais la prime ?
– Oui.
– Donc t’es un chasseur de primes.
– Non, mais c’est l’occasion qui fait le larron.
– Drôle de larron ! Et si tu as l’occasion de récupérer la prime, je suppose que tu n’hésiterais pas ?
– Je ne vois pas comment ?
– Ne me prends pas pour un con, je vois d’avance comment tu pourrais te débrouiller.
– Ben non, j’ai joué une carte, j’ai perdu, il me faut tourner la page.
Ce mec me paraît aussi sincère qu’un candidat aux élections. Mais j’ai tendance à lui accorder le bénéfice du doute. J’ai bien le droit d’avoir mes faiblesses.
– Une fois qu’on sera posé, tu fileras au Bar du Destin, ils possèdent un passage vers la presqu’île des exclus, là-bas on te foutra la paix, c’est pas le paradis, c’est plein de voyous mais
c’est mieux que de se faire égorger. Il est possible qu’on te demande un code, ce sera « crocodile »…
– Merci m’sieur.
– On dit « merci capitaine ».
– Merci capitaine.
– De rien, salut.
Et je m’en allais rejoindre ma petite compagnie.
Parce que j’aime bien respecter certaines traditions, et notamment celle qui consiste pour le staff à boire un coup après être passé dans l’hyperespace.
J’ai invité Indira à partager ce pot de l’amitié en la mettant toutefois en garde.
– Ce genre de chose a tendance à finir de façon très débraillée, si tu vois ce que je veux dire…
– Humm.
– Si la situation devient gênante, tu pourras toujours t’éclipser discrètement, personne ne t’en tiendra rigueur.
Elle n’eut pour seule réponse qu’un petit sourire énigmatique.
On se sert à boire, on trinque, l’ambiance est bon enfant. Nadget est complétement déconnante.et au bout de quelques minutes seulement elle provoque Indira.
– Tu me plais bien, toi ! J’aimerais bien te caresser.
– Me caresser comment ?
– Gentiment !
– Oui mais me caresser quoi ? Les joues, les avant-bras, le bout du nez.
– Un peu partout !
– Même dans les endroits cachés ?
– J’aimerais bien, oui !
– Tout à l’heure peut-être ! Indique Indira.
Du coup Nadget est un peu refroidie. Dyane se rapproche à son tour.
– Et toi tu aimes caresser les femmes ?
– Ça m’arrive !
Et sans plus de discours, Dyane se dépoitraille.
– Ils te plaisent ?
– C’est une jolie poitrine !
– Tu veux caresser ?
– Avec plaisir.
Et sans hésiter davantage, les mains d’Indira se posent sur les seins de Dyane et se livrent à de sensuelles caresses.
En même temps, Nadget qui a de la suite dans les idées passe derrière Indira et entreprend de la déshabiller en douceur. Cette dernière se laisse faire…
Et les garçons, pendant ce temps ? Me direz-vous.
Il existe une règle implicite (mais pas toujours respectée) voulant que lorsque des femmes se caressent ensemble pendant une partouze, la venue d’un mâle est toujours contreproductive.
Alors on reste en place, la main sur la braguette, mais comme Nerren est proche de moi, sa main s’égare là où devrait être la mienne.
Je me laisse faire, j’adore qu’on me tripote la bite et afin de lui en faciliter l’accès, je vais même jusqu’à baisser mon pantalon.
Ce gros coquin s’empare de mon sexe et le branle jusqu’à ce qu’il bande correctement, puis il se baisse et met tout dans sa bouche.
C’est qu’il suce bien l’animal, mais j’aimerais bien sucer aussi, je le lui fais comprendre… Pas de problème, on se déshabille tous les deux. Et c’est donc mon tour d’emboucher cette jolie bite dont je ne saurais me lasser.
Dilos est peu intéressé par la bisexualité masculine, il préfère regarder les filles, mais pour ne pas avoir l’air idiot il s’est néanmoins débarrassé de ses vêtements et se branle mollement.
Les filles parlons-en un peu, en ce moment ça se passe sur la couchette où Dyane est entre les cuisses d’Indira et lui lèche la chatte, tandis que cette dernière gougnotte celle de Nadget.
Un joli trio qui s’agite frénétiquement, ponctuant ses débats de râles de plus en plus expressifs. Et bientôt ce sont des cris de jouissances dont j’ignore de qui ils proviennent. Je peux pas tout voir, c’est que j’ai une bite dans la bouche, moi !
Ces femmes se sont un peu calmées et s’échangent de tendres câlins. Du coup Dilos va tenter sa chance.
– Alors les filles, on s’est éclaté !
– Ben oui, je te vois venir, toi ! Lui répond Dyane.
– Comment ça ?
– Tu aimerais bien une petite sucette ?
– Ce sont des choses qui ne se refusent pas !
– Bon on va pas être vache, on ne va pas te laisser faire banquette ! Reprend Dyane en lui saisissant la bite et en l’embouchant tout de go.
C’est qu’elle la connait par cœur, Dyane la pine de Dilos, ces deux-là ont longtemps été très proches, ils le sont moins maintenant, mais ne sont pas fâchés.
– Les filles si vous voulez sucer, c’est délicieux et c’est tout raide, mais moi je fatigue un peu de la bouche.
Nadget et Indira répondent à l’appel avec une telle célérité qu’elles s’en cognent la tête. Petit moment de rigolade puis les deux filoutes entament une fellation à deux bouches.
Quelle partouze mes amis ! Quelle partouze ! Et ce n’est pas terminé. Nerren est maintenant derrière moi à me flatter les fesses, enfin quand je dis les fesses, il faudrait plutôt dire le trou du cul. Et vas-y que je te lèche et vas-y que je te fous un doigt agitateur !
Et après la langue et le doigt… Devinez quoi qu’y a ? Ben oui, il m’encule, le gaillard et il le fait très bien, j’adore ça et je n’ai même pas honte !
Et tandis que Nerren s’agite comme un forcené dans mon intimité, Dilos, ce petit cochon a trouvé le moyen de prendre Indira en levrette. Dans quel trou ? Ah, je ne vois pas bien mais je crois bien qu’il la sodomise !
La partouze bat son plein, je me fais enculer, Indira aussi tandis que Dyane et Nadget se gamahuchent à qui mieux mieux.
Qu’est-ce qu’il m’encule bien, le Nerren, tous ces coups de pistons dans mon cul me procurent des frissons de plaisir intenses. Et puis tout d’un coup un cri se jouissance, non ce n’est pas Nerren, c’est Dilos… qui du coup sort du cul d’Indira exhibant une bite visqueuse de sperme et de merde. Indira complétement barré se précipite sur l’organe et lui nettoie tout ça de sa petite bouche vicieuse.
Et c’est au tour de Nerren de jouir et de déculer, il s’essuie le zigouigoui et part s’assoir, épuisé, il manque d’exercice ce garçon.
– J’ai envie de pipi ? Ça intéresse quelqu’un ? demande Indira à la cantonade.
– Moi, moi, moi ! Répond Dyane.
– Faites pas ça ici ! Indiquais-je
– On épongera ! Me répond ma seconde de vaisseau
J’ai donc pu assister une nouvelle fois au charmant pipi d’Indira… juste assister pour cette fois, on ne peut pas tout avoir ! Dommage… mais voici Nerren qui s’est relevé.
– Si tu veux du pipi, je peux t’offrir le mien !
– Vas-y mon grand pisse-moi dans la bouche
Et pendant que j’avalais son champagne maison, une main m’attrapa la bite et la branla jusqu’au bout, c’était la main de Nadget…. Je l’adore cette fille… En fait j’adore beaucoup de monde, j’ai un cœur d’artichaut.
A suivre
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