Partager l'article ! Le collier de Marcia – 1: Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 1- Sierra par Nicolas Solovionni Bonjour, c’est de nouveau Ajas ...
Bonjour, c’est de nouveau Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser, car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.
Je suis en ce moment sur Vargala station, mon port d’attache, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens assez peu recommandables. Le chaleur est écrasante en cette fin de matinée, des nuages menaçants se profilent à l’horizon.
J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur cette planète.
Je n’ai à priori, plus aucune raison de sillonner l’espace mais il me manque. L’espace c’est une drogue !
Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)
Je ne m’en occupe pas beaucoup l’ayant laissé en gérance à la belle Riquita qui s’acquitte fort bien de cette tâche.
J’y passe de temps en temps, il faut bien montrer que j’existe. Et comme je suis un peu désœuvré ce matin je décide de m’y rendre de ce pas. I Ça y est, il pleut ! Mais qu’importe, le parapluie a été indenté en 1705 par un dénommé Jean Marius. Et c’est grande injustice que ce bienfaiteur de l’humanité ne soit pas honoré comme il le devrait ! Car depuis cette date, on n’a rien trouvé mieux que le parapluie pour se protéger de la pluie.
Vous me direz il est assez rare dans les textes ou les films de science-fiction de voir se balader des gens avec un paraflotte ! Que voulez *vous on ne peut pas penser à tout.
Bon, trêve de digressions, me voilà arrivé au cabaret dans lequel j’ai mon bureau attitré (normal, c’est moi le patron, non ?)
– Alors Riquita, quoi de neuf ?
– La routine… la routine… Ah ! On a embauché une nouvelle, elle veut absolument vous rencontrer…
– Parce que ?
– Je crois qu’elle se figure que tu vas pouvoir l’emmener dans l’espace !
– Elle a le droit de rêver, mais fais-la venir, ça ne coûte rien de discuter… et puis j’aime bien voir à quoi ressemblent les nouvelles
La voici, elle se prénomme Sierra, c’est une très jolie brune à la peau mate, Elle se pointe en maillot deux pièces argenté, les cheveux de jais en chignon et le sourire carnassier.
C’est qu’elle me ferait bander la travelotte !
– Ravie de faire votre connaissance ! Minaude-t-elle.
– Moi de même ! Répondis-je (que répondre d’autre ?)
– Si vous désirez tester mes talents, je suis à votre disposition !
– Je n’en doute pas un instant, mais vous désiriez me voir par politesse ou il y a autre chose ?
– A dire vrai j’ai un rêve fou, celui d’aller dans l’espace, de faire partie d’un équipage… Je me demandais si vous pouviez m’aider à réaliser mon rêve ?
– Carrément ?
– Je tente ma chance.
– Le souci, c’est que pour l’instant je reste au sol.
– Tant pis, je patienterai, vous voulez me voir complètement nue ?
– Si c’est pour m’influencer, sachez que je ne fonctionne pas comme ça.
Je suis tout de même un peu hypocrite sur ce coup-là !
– Je ne vous plaît pas ?
– Si bien sûr !
– Alors, regardez… ça ne vous engage à rien !
Et là voilà qui enlève ses bouts de chiffons qui lui servaient de sous-vêtements.
J’en a pourtant vu des merveilles mais là je suis subjugué, une magnifique peau cuivrée, des seins de rêves et une jolie bite qui pendouille.
Et la voilà qui pivote m’offrant la vue de son petit cul rebondi dont elle écarte les globes dévoilant son anus béant.
– Eh, oui, je viens de me faire enculer, le passage est encore ouvert, si vous voulez en profiter, ne vous gênez surtout pas !
– Tu m’as l’air un peu salope toi !
– Salope, je ne sais pas, marchande de plaisir je préfère…²
Riquita profite de la situation pour me mettre la main sur la braguette.
– Mais vous bandez, patron !
– On dirait oui, mais qu’est-ce que tu fabriques ?
– Je vais sortir cette bite, elle a besoin de prendre l’air.
Evidemment je me suis laissé faire, Riquita me caresse la pine et finit par la mettre dans sa bouche il fait digne à Sierra de venir la rejoindre et me voilà sucé par les douces langues de deux magnifiques créatures.
– On se calme les filles, vous allez me faire jouir trop vite.
Elle se redressent et c’est à mon tour de me pencher et de porter en bouche la délicieuse pine de Sierra
Je me régale, j’adore sucer des bites et celle-ci me convient fort bien. Sierra se laisse faire en m’offrant le plus beau de ses sourires.
Je lèche un peu ses belles couilles qui pendouillent, je la fais se retourner afin d’avoir accès à son petit trou. Il est charmant bien logé au milieu d’une superbe paire de fesses, je ne peux m’empêcher d’y porter la langue. J’adore ce petit gout très particulier.
Et pendant ce temps-là Riquita ne trouve rien de mieux à faire que de me doigter le troufignon.
Je sais par expérience que Riquita est une bonne enculeuse, mais aujourd’hui c’est la bite de Sierra que je veux dans mon cul. Et ça tombe très bien elle n’est pas contre. On se met en position Sierra y va de sa langue afin de bien lubrifier le petit endroit. Et hop, sa bite me rentre dans le cul avec une facilité déconcertante. Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer de plaisir.
Et pendant ce temps-là Riquita est passée devant moi, m’offrant sa bite à sucer.
J’ai la place du roi, une bite dans la bouche, une autre dans le cul.
Riquita jouit la première m’envahissant le palais de son sperme que j’avale. Sierra vient à son tour et décule. Je me fais un plaisir de nettoyer de ma langue son sexe pollué.
C’est bien mignon tout ça mais je n’ai pas joui, alors j’invite les deux coquines à me faire une pipe à deux bouches. Et elles s’acquittèrent fort bien de cette tâche !
Troublante cette Sierra. Si je repars dans l’espace peut être que je l’emmènerai, mais je ne lui en souffle mot.
A suivre
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