Partager l'article ! A la recherche d’Edina Von Graz – 2: Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 2 – Dyane et Ruby (et Yoyo aussi) par Nicolas Solo ...
Sachant comment fonctionnait le bonhomme, Dyane défit la fermeture éclair de son haut libérant et exhibant sa jolie poitrine.
– Oh, que c’est beau, on ne s’en lasse pas ! S’exclame Rudy.
– Caresse, mais doucement !
« Heureusement que je lui ai dit de faire doucement ! » Se dit Dyane, l’homme ayant tendance à confondre nichon et pâte à modeler.
– Embrasse-les, mais sans t’énerver, ce n’en sera que meilleur.
C’est toujours comme ça avec certains mâles, on leur dit de se calmer, alors ils se calment et cinq minutes plus tard, ils ont oublié de se calmer… Mais n’empêche qu’avec ce traitement les tétons de Dyane deviennent tout durs !
– Je te fais bander, hein mon salaud ?
– C’est toi la salope !
– Ben dit donc !
Les mains de Dyane sont venues trifouiller dans le pantalon de Rudy et en ont extrait une bite dressée comme un mât de cocagne.
– On va sucer un peu tout ça.
Inutile de demander son avis à l’homme, il est des propositions qu’on ne saurait refuser
Et hop, que je te mette ça dans la bouche et c’est parti pour une série d’allers et retours bien cadencé… Petite diversion pour s’occuper un peu des coucougnettes du monsieur qui sont bien pendantes…et puis un petit peu de bout de langue vibrante sur le bout du gland… ça les rend fous !
– Bon tu voudrais jouir comment ? Lui demande-t-elle.
– Y’a pas le feu !
– C’est pas une réponse.
– Une petite sodo, ce n’est pas trop demandé ?
– Va falloir que je retire mon pantalon, alors ?
– Ben oui ! Répond Rudy qui n’a pas trop le sens de l’humour ?
– Et comme ça tu verras mes fesses !
– Ben oui !
En ce moment Dyane a comme l’impression qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de son partenaire et le manipuler dans tous le sens du terme. Parfois le sexe ça rend dingue !
Elle se redresse, prend bien son temps, fait glisser son pantalon et son slip.
– Caresse mes fesses, caresse mes belles fesses !
– Oh que c’est beau !
– Ça va, je ne me plains pas trop !
– Lèche, lèche -moi le trou du cul !
– Il est propre au moins ?
– Mais dis donc ! Lèche tu verras bien !
Il lèche se ragalant du goût du fion de la jolie blonde, mais bientôt c’est un doigt qui vient fureter dans cet anus bien humecté.
– Mais dis-donc, je ne t’ai pas autorisé à faire ça !
– Euh…
– Tu peux continuer mais à ce moment-là, pas de sodo, c’est l’un ou l’autre !
– Cruelle !
– Parfaitement !
– Bon, je vais t’enculer comme une chienne !
– Mon cul est à vous, monsieur le poète !
Il entre facilement… faut dire que la belle Dyane a une certaine habitude de se faire ramoner par le petit trou… Et c’est parti pour une série de va-et vient ponctuée par des ânonnements compulsifs
Etant positionnée en levrette, Dyane ne peut pas voir le visage convulsé de l’homme qui se sait (déjà) proche de la jouissance.
Mais le voilà qui se retire brusquement…
– Retourne-toi, regarde-moi ! Eructe-t-il.
Juste le temps de le faire et trois ou quatre projections de sperme qui atterrissent sur la poitrine de la belle.
– Cochon !
– Ah, ça fait du bien !
– J’ai encore de la chance, il n’y en pas sur mes fringues…
– C’est la fougue de l’excitation…
– Oui mon biquet, le lavabo c’est toujours à côté ?
Dyane me rapporte ce qu’elle a glané… je me renseigne un peu sur ce Farah day. Je connais de vue son capitaine, un certain Douglas. Son Vaisseau fait une navette permanente entre trois planètes, apportant sur Vargala des produits non disponibles ici, médicaments, pièces détachées diverses et autres bricoles. Vraiment pas le profil d’un trafiquant ni surtout d’un pirate.
– Donc Ravo n’est capitaine de rien du tout, il a donc soit voyagé en tant que passager soit il s’est fait embaucher comme membre d’équipage ce qui pour nous revient au même. On se fout de la
planète où il a embarqué, il a dû faire un circuit !
– Tu laisses tomber, alors ?
– Je ne sais pas trop. J’ai consulté le site où ils parlent du piratage du Glory7, le vaisseau qui transportait Edina Von Graz. En fait la moitié des passagers ont été retrouvés.
– Mais pas Edina !
– Non pas elle.
– Tu te rends compte le nombre de personnes que ce genre de flibuste implique ? Déjà il faut une complicité dans le vaisseau, ensuite il faut une équipe pour reprendre le pilotage et l’acheminer
on ne sait où. Après il y a le dispatching avec tous les gens intéressés, marchands d’esclaves, proxénètes, ferrailleurs et que sais-je encore, de toute façon des tas de gens différents, sachant
que ces types vont aussi traiter avec d’autres, ça nous fait une véritable nébuleuse !
– En effet.
– Donc fatalement parmi tous ces gens-là, il y en a forcément un qui va causer !
– Et alors ? Demande Dyane
– On peut supposer que Ravo est un intervenant de bout de chaîne, pour une raison ou une autre il s’est senti menacé, aux abois et il tente de vendre ce qu’il sait, Il est aussi possible qu’il
bluffe soit partiellement soit complètement.
– Et alors ?
– Alors j’hésite, et toi t’en pense quoi ?
– Qu’est-ce qu’on risque, à part se planter ? Conclue-t-elle.
Pour ma part, je n’arrivais pas à me décider, j’ai donc eu l’idée de réunir les cadres de mon équipage afin d’avoir leur avis.
Petites présentations :
Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement.
Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant.
Nadget et une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord.
Tous ces braves gens sont désormais installés chichement sur la planète suite au pactole que nous avons récolté sur Orza (voir cet épisode), mais ils sont un peu comme moi, l’espace leur manque.
– Mais le gars t’a précisé qu’il nous faudrait une équipe de mercenaires…
– Pas question que j’embarque des mercenaires, c’est trop dangereux et ç’est une source de complications. Si on fait le coup, ce sera en douceur, et si c’est pas possible de cette façon on
laissera tomber en refilant le tuyau à la police galactique.
Après une discussion que j’aurais pensé plus longue, un consensus se dégage reprenant la formule de Dyane : « qu’est-ce qu’on risque sinon de se planter ! »
J’ai revu Ravo, lui ai précisé que j’acceptais sa proposition.
– Vous avez des précisions sur la façon dont elle est gardée, s’il y a beaucoup d’hommes armés… tout ça
– Bien sûr qu’il y a des hommes armés
– Et comment êtes-vous au courant ?
– Ça ne vous regarde pas.
– Si vous m’avez refilé un tuyau percé, il y aura des conséquences…
– Je n’ai pas l’habitude de me faire menacer ! Me répondit-il de toute sa hauteur. Vous acceptez ou vous dégagez de ma vue.
J’ai été à deux doigts de l’envoyer promener, mais finalement j’ai accepté… Et il m’a communiqué les coordonnées de la planète en question.
Donc on y va, le temps de se préparer, d’assurer nos intérims et de réunir un équipage de base et c’est parti !
Auparavant nous avons rempli la cale de pinards et alcools de luxe, confiserie fine… Il y a toujours des amateurs pour ce genre d’échanges.
– Attention ! Indique Dyane dans le micro, passage en hyperespace dans 20 secondes.
C’est une formalité, parfois c’est un peu brusque, il faut juste se cramponner un peu.
– Echec du passage en hyperespace ! Signale la voix suave et robotisée de l’ordinateur de bord.
– Motif de l’échec ?
– Présence imprévue à proximité du moteur numéro 2.
C’est quoi ce cirque ?
– Je vais voir ! Se propose Dilos
Il se dirige vers la salle des machines, ouvre la porte avec son sas et là…
– Les mains en l’air cher monsieur, soyez rassuré nous ne vous voulons aucun mal, nous souhaitons simplement prendre le contrôle de ce vaisseau. Lui lance Vitali avec un sourire sadique.
– Mais vous êtes qui ? Comment avez-vous fait pour entrer là-dedans ?
– Peu importe, conduisez-moi vers votre poste de commandement.
– Et sinon ?
– Sinon, je vous endors et nous irons tout seuls.
Dilos n’a pas trop le choix, il jauge ses adversaires, Vitali est un grand maigrichon, par contre Maderna est taillé comme un joueur de rugby. Ils sont armés tous les deux, il n’a aucune chance.
Spectacle surréaliste, alors que je suis là dans le poste de pilotage avec mon staff au complet, je vois pénétrer Dilos, les mains en l’air suivi de deux abrutis à la mine patibulaire arborant des armes de poing.
– Plus un geste nous prenons le contrôle de ce vaisseau.
J’avoue ne savoir que faire et nous nous regardons tous, surpris et choqués.
– Mais qui êtes-vous ?
Maderna n’a pas le temps de répondre… car voici que Yoyo, le chat du bord, qui était perché je ne sais où, bondit et atterrit sur la tête du bonhomme qui crie de douleur et de stupeur et lâche son arme qui tombe aux pieds de Nadget. Celle-ci la ramasse et en menace Vitali complétement désorienté qui lâche son arme à son tour.
Voilà un renversement de situation inattendu, merci le matou !
– Bon, maintenant vous allez nous raconter qui vous êtes et comment vous avez fait pour vous introduire dans notre vaisseau.
Flashback
Vitali et Maderna sont deux détectives privés de l’agence Cosmico-Mystery. Ils sont chargés officiellement par la famille d’Edina Von Graz de tenter de retrouver la trace de l’actrice. Recoupant des tas d’informations ils sont tombés sur Ravo, alias Herman Schumacher et sont persuadés que le bonhomme a joué un rôle déterminant dans cette affaire.
Ils ont suivi sa trace jusqu’à Vargala-Station, puis profitant d’une légère bousculade dans l’ascenseur de l’hôtel, ils lui ont injecté dans la nuque un microémetteur. Ravo n’a ressenti qu’une petite piqure sans suite, mais désormais toutes ses paroles seront enregistrées.
Alors bien sûr, ces deux crétins furent fatalement au courant de l’accord que j’avais passé avec Ravo.
Fin du flashback.
– Et vous êtes entrés comment ?
– Nous avons des passes universels.
– Je considère que vous venez de commettre un acte de piraterie. Je suis donc habilité à vous éjecter dans l’espace.
– Pitié, monsieur on ne fait que notre métier ! Bredouille Vitali.
– Pauvre mec ! Et elle est où l’alternative, vous enfermer pendant tous le voyage avec tous les risques que ça comporte, vous nourrir gratuitement ?
– Nous avons de l’argent !
– Rien à foutre. On va réfléchir à ce qu’on va faire de vous, Dilos et Nerren, foutez-moi ses abrutis à fond de cale, ligotés bien comme il faut.
Yoyo vient se frotter contre mes jambes, brave bête, il aura droit à une double ration de pâté !
A suivre
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