Partager l'article ! A la recherche d’Edina Von Graz – 1: Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 1 – Le mystérieux capitaine Ravo par Nicolas Solo ...
Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.
J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur Vargala-station, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens peu recommandables.
Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)
Je m’en occupe assez peu, laissant la gérance aux bons soins de la belle Riquita qui nous fait ça très bien, mais parfois il faut bien que j’y aille afin de montrer que le boss est toujours présent et de vérifier si tout se passe bien.
– Alors patron, on vient s’encanailler ? M’accueille-t-elle.
– Juste une petite visite de routine ! Je peux voir la cave ?
On descend tous les deux. Je regarde très vite si tout est correct, il faut bien que je justifie ma visite, puis on remonte.
– Je te mets à une table ? me propose Riquita.
– Non je ne vais pas m’attarder.
– Tu ne veux pas me sucer ?
– Pas à chaque fois, quand même !
– Fais toi plaisir, je suis en forme !
Et sans attendre Riquita baisse son fuseau bleu pour m’exhiber une magnifique bite chocolatée presque raide.
Que voulez-vous ? Sucer des bites est l’un de mes péchés mignons. J’aime autant les bites que les femmes, alors évidemment avec les trans j’ai les deux.
Et me voilà en train de lui prodiguer une fellation savante usant de mes lèvres et de ma bouche comme un artiste peintre ferait de ses pinceaux devant une toile qu’il rendrait sublime…
Simultanément je lui caresse les cuisses et les fesses, me régalant de la douceur de sa peau.
– Déshabille-toi, tu seras plus à l’aise ! Me conseille cette diablesse.
Je le fais et pour ce faire je suis bien obligé d’interrompre ma pipe. Me voilà nu et comme vous l’imaginez je bande comme un cerf en rut.
– A mon tour de sucer ! S’exclame Riquita qui sans recueillir mon accord se précipite sur ma biroute pour l’engloutir goulument.
C’est qu’elle suce divinement bien, la filoute, elle a une véritable langue électrique, elle va partout et très vite, léchage intempestif sur le bout du gland, léchage de la verge façon eskimo, gobage des couilles, allers et retours diabolique, fausse gorge profonde (fausse parce que c’est au fond de mes joues qu’elle engloutit mon pénis et non pas dans sa gorge, astuce connue)
Si elle continue à cette cadence je risque de jouir prématurément.
Je l’en avise et elle le comprend aisément, elle se redresse donc et en profite pour m’exhiber ses seins de rêves, ça tombe bien, j’allais justement lui demander de le faire.
Et vous pensez bien que devant des seins pareils, je ne peux rester figé, je caresse, je plote, mes lèvres s’approchent et font frémir ses tétons. Quel régal !
Les mains de ma partenaire ne restent pas inactives, elles viennent tâter la chair de mes fesses et s’approchent stratégiquement du mon intimité postérieure.
– Oh ! J’ai peut-être une surprise pour toi ! Me dit-elle soudain.
– Et on peut savoir ?
– J’ai une nouvelle trans…
– Encore, mais elles ont la bougeotte…
– Beaucoup n’aiment pas se fixer, mais pour la clientèle c’est bien, ça fait de la nouveauté. Je vais l’appeler tu vas voir elle est géniale.
La nouvelle s’amène quelques minutes plus tard, elle s’appelle Shalimar, fausse blonde à la peau mate, très jolie. Elle est vêtue d’une petite robe blanche chiné de gris, très décolletée et descendant au « au ras de la bite »
– Bonjour patron, me dit-elle.
– Montre-lui ta bite ! Lui demande Riquita.
La trans s’exécute exhibant un sexe prometteur mais flasque. Je m’en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation qui ont tôt fait de faire raidir convenablement la chose.
Son pénis est à présent décalotté et le gland apparaît dans toute sa beauté.
Attiré par ce sexe comme par un aimant, je me baisse et l’embouche. Je suce avec frénésie tandis que mes mains caressent ses grosses couilles pendantes.
Je fais une petite pause, sa bite ainsi imprégnée de ma salive n’en est que plus belle.
Je me retrouve je ne sais comment avec une bite dans chaque main, celle de Riquita à droite, celle de Shalimar à gauche, je les branlotte un peu. Je réalise alors (mais où avais-je la tête ?) qu’il est complétement incongru que je reste habillé en de telles circonstances.
Me voilà donc nu, je me penche pour m’occuper de nouveau de la pine de Shalimar, mais voilà que Riquita me pelote les fesses de façon intempestive.
Je me laisse faire car la suite n’est pas bien difficile à deviner et j’ai envie de cette suite.
C’est une suite en trois mouvements. Premier mouvement, Riquita me lèche le fion de sa langue diabolique à ce point que j’ai du mal à me concentrer sur ma pipe… mais c’est si bon…
Second mouvement, c’est un doigt qui s’introduit dans mon trou intime, qui va, qui vient, qui fait ressort comme un asticot qui fait du sport. C’est bien mignon tout ça, mais après ces petits préliminaires, j’aimerais bien que l’on entre dans le vif du sujet si toutefois vous me permettez cette expression…
Et après m’avoir fait lanterner plusieurs minutes, Riquita retire son doigt, prélude au troisième mouvement, je sens son gland quémander l’ouverture, ça passe de suite, ça y est, il m’encule !
Me voilà avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul ! Elle n’est pas belle la vie ! Quand je pense que je venais simplement vérifier le stock de pinard !
Riquita s’agite de plus en plus derrière moi, tandis que Shalimar pousse des petits jappements de plaisir… Et par une simultanéité involontaire, mes deux partenaires jouissent de conserve. J’ai tout le foutre de Shalimar dans ma bouche tandis que Riquita m’a inondé l’anus.
Fin de partie ? Pas vraiment parce que je n’ai pas joui ! Riquita m’offre sa bite sortant de mon cul à nettoyer, tandis que Shalimar se jetant sur ma pine me fait cracher ma jouissance en quelques minutes.
Merci les filles, c’était bien…
– Sinon rien à signaler ! Demandais-je à Riquita près m’être rhabillé.
– Non ! Ah si, j’ai un message ?
– Ben tu me le fais suivre comme d’habitude.
– C’est un gars qui ne veut pas laisser de traces j’ai noté ses coordonnées, Ravo, à l’hôtel des Elfes.
– S’il fallait que je donne suite à tous les messages que je reçois, je ne ferais que ça.
– Il m’a dit que ce qu’il avait à te proposer pourrait t’intéresser.
– Ils disent tous la même chose.
– Ecoute, je suis embêté, il m’a graissé la patte pour que j’essaie de te convaincre de le rencontrer.
– Fallait pas accepter !
– Je sais, je sais.
– Et si je donne pas suite, qu’est-ce qui se passe ?
– Il risque de mal le prendre.
– Tu m’emmerdes, Riquita, c’est bien parce que je t’aime bien, je vais aller voir ce mec ! Mais par pitié, ne recommence plus ce genre de connerie.
– Promis, patron.
Je me rends à l’hôtel en question et demande à rencontrer ce Ravo, il a un œil en moins caché par une plaque métallique, je me demande bien pourquoi il ne fait pas greffer un œil tout neuf, mais ce ne sont pas mes oignons.
Après une présentation minimaliste, le type me sort de sa poche un spacephone, cherche une photo et me la met sous le nez.
– Ça vous parle ?
– Euh oui, on dirait Edina Von Graz.
– Z’êtes au courant…
– Au courant de quoi ? Elle a disparu dans un croiseur de luxe, si j’ai bonne mémoire.
– Elle n’a pas disparu, elle a été enlevée.
– Vous en savez des choses…
– Le coup est classique, c’est un peu plus difficile maintenant avec les nouvelles normes de sécurité, mais avant il suffisait de quelques complicités internes. On s’arrangeait pour faire
atterrir le vaisseau dans un coin paumé, ensuite c’était le partage et la vente, On récupérait les bijoux, quant aux passagers on faisait le tri, les belles filles et quelques jeunes hommes pour
les harems et les réseaux de prostitution, les costauds pour servir d’esclaves dans des mines, des champs, tout ce que vous voulez…
– Et les autres…
– Les autres je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai localisé Edina Von Graz.
– Et…
– Je peux vous fournir les coordonnées de la planète où elle se trouve…
– Vous voulez que j’aille la récupérer ?
– Ce n’est qu’une suggestion. Il y a une belle prime à toucher.
– Et pourquoi ne pas l’avoir récupéré vous-même ?
– Je ne suis pas obligé de vous répondre, mais disons que d’une part je n’étais pas équipé pour le faire, et puis si je la récupère, je serais interrogé par la police galactique qui voudra savoir
ce que je fabriquais dans le coin… Ça vous suffit comme explication ?
Fallait voir la suffisance avec laquelle il m’avait sorti son baratin.
– Quand vous dites que vous n’étiez pas équipé pour le faire vous-même, vous entendez quoi par-là ?
– Il m’aurait fallu une petite équipe de mercenaires.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Je vous en dirais plus, quand j’aurais votre accord !
– Et pourquoi m’avoir choisi ?
– En débarquant ici j’ai demandé s’il y avait des capitaines qui accepteraient une mission un peu délicate et particulière, j’ai obtenu trois noms, vous étiez le premier de la liste, c’est tout
simple.
– Bon si j’accepte, c’est quoi les conditions ?
– 10 000 kochniks pour le renseignement et la moitié de la prime.
– Ça demande réflexion…
– C’est de l’argent facile, il suffit de préparer une opération de commando avec quelques costauds bien entraînés, je pense qu’on peut en trouver à la pelle sur cette planète…
– Pas si sûr ! Mais pour votre gouverne, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai à ne plus savoir en faire, si j’accepte ce sera pour faire une bonne action… et puis j’aime bien Edina Von Graz.
– Vous me donnerez une réponse quand ?
– Après demain !
En fait j’étais déjà partant, mais je n’avais pas envie de lui dire.
L’espace et l’aventure me manquaient, j’en avais marre de glander sur Vargala.
Je contactais Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, elle avait investi dans un institut de massage érotique que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester malgré ses sollicitations pressantes et répétées.
– Salut ma biche, ça te dirait de retourner dans l’espace ?
– Pour y faire quoi ?
Je lui expliquai…
– Curieux que ce mec n’ait pas fait le boulot lui-même, c’est qui ?
– Il s’appelle Ravo, je l’avais jamais vu,
– Tu veux que j’essaie de me renseigner sur ce mec ?
– Pourquoi pas ? Il est à l’hôtel des Elfes, j’ai pas de photo mais je vais te le décrire. Tu le reconnaîtras facilement, il a une plaque de métal à la place de l’œil gauche.
Vêtue d’un pantalon bien moulant et d’un haut très décolleté, Dyane pénétra dans le hall de l’hôtel des Elfes, un établissement moyen, dirons-nous, ni trop luxueux, ni trop pourri.
Elle s’assit derrière une table, commanda une limonade et précisa au préposé « qu’elle attendait quelqu’un. »
Elle avait une petite idée sur la façon d’aborder ce Ravo, jouer la confusion en se faisant passer pour une vieille connaissance, et comme souvent elle était persuadée que son charme l’aiderait.
Une heure plus tard Ravo n’était toujours pas descendu.
« J’espère qu’il n’est pas sorti ? »
Dyane attendit encore une bonne demi-heure, au terme de laquelle Ravo sortit de l’ascenseur précédée d’une fort jolie personne.
« Merde, ils sont ensemble, mon plan va foirer… comment faire maintenant ? »
Le couple se dirige vers le bar et commande une conso.
Dyane remarque un type assis pas trop loin d’elle et qui la regarde avec insistance, on pourrait même dire avec concupiscence.
« Ça ne coûte rien d’essayer ! »
Elle lui fait un sourire d’invite très explicite. Le bonhomme accourt.
– Vous cherchez de la compagnie ? Demande-t-il bêtement en guise d’introduction super originale.
– Peut-être, peut-être… mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
– Ah oui ?
– Le mec au comptoir, je suis persuadée de l’avoir rencontré mais c’était y a longtemps et c’était pas ici…
– Ravo ?
– Je ne sais pas si c’est ce nom-là. Bluffa Dyane. Vous le connaissez ?
– C’est un ours, il évite les conversations, Vargala n’est pas son port d’attache, j’ai cru comprendre qu’il avait eu une embrouille là où il avait ses habitudes,
– Il est là depuis quand. ?
– Une dizaine de jours.
Peu de renseignements, mais elle avait obtenu l’essentiel.
– On monte dans ma chambre ? Proposa le type plein d’espoir.
– Cela aurait été avec plaisir mais il faut que j’y aille. Je suis la patronne des « doigts d’or » un institut de massages, vous connaissez ?
– Non.
– Comme vous êtes sympa, je vais vous faire un petit mot, vous le présenterez à la caisse, on vous fera 50%.
En tant que capitaine, j’ai accès à certaines données du cosmoport et notamment aux mouvements des vaisseaux (atterrissages et décollages). J’obtiens donc la liste de tous les vaisseaux qui se sont posés dans les quinze derniers jours. Je les connais tous de mémoire sauf deux, mais aucun de ces deux-là n’étaient commandés par des gens ressemblant de près ou de loin à un capitaine Ravo.
Il est arrivé comment sur la planète, ce mec ?
– Y’a un truc ! S’il n’est pas arrivé comme capitaine ou comme membre d’état-major, c’est qu’il est arrivé soit comme simple membre d’équipage soit comme passager, j’aimerai bien éclaircir ce
point ! Expliquais-je à Dyane
– Toi, je te vois venir, tu vas encore me demander de turlutter Rudy (Rudy est l’un des responsables du trafic de l’astroport de Vargala station)
– Je ne te demande rien, mais si tu le faisais, ça m’arrangerait.
– T’es gonflé quand même.
– J’en suis conscient, mais je suis sûr que quelque part ça t’amuse !
– Ben voyons… je me renseigne pour savoir si Rudy est de service en ce moment.
Il y était
– Tiens te revoilà, toi ! Lui dit Rudy en écarquillant les yeux.
– Pas content de me voir ?
– Si, si mais je sens que tu vas encore me demander des trucs impossibles.
– Rien n’est impossible, il suffit de s’entendre
– Alors tu veux quoi ?
– Que tu me fasses défiler les trombines de tous les gens qui sont descendus ici depuis quinze jours.
– Facile ! Et la contrepartie ?
– Comme d’hab ! Minauda Dyane
Les visages défilent sur l’écran de Rudy mais aucune trace de Ravo,
Deux mots d’explications : à leur arrivé, les personnes qui débarquent doivent entre autres formalités franchir un portillon où elles sont prises en photos 3D tandis que leurs empreintes digitales et rétiniennes sont enregistrées.
– C’est impossible, un mec est apparu sur la planète il y a une dizaine de jours et je ne le vois nulle part sur tes trombines.
– Ça peut arriver !
– Comment ça ?
– Le machin peut tomber en panne…
– Il y a un back up, non ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses ! Quelques fois quelques kochniks ça aide à mettre le machin en panne.
– Mais quel intérêt ?
– Tout le monde est tracé ici, tout le monde à plus ou moins quelque chose à se reprocher, mais tout le monde s’en fout, on ne va mettre tout le monde en prison. Sauf qu’il y a des mecs qui on
fait des gros coups, ceux-là ils ont intérêt à effacer leurs traces.
– Bon alors là je vais être directe : Est-ce que dernièrement on t’a graissé la patte pour faire ça ?
– Tu crois vraiment que je vais te répondre ?
– Humm… évidemment, mais tu peux peut-être me dire quel équipage a débarqué alors que le machin était en panne.
– Oui, ça c’est possible !
C’était d’autant plus possible que j’aurais pu le faire moi-même, il me suffisait de croiser la liste des atterrissages avec le trombinoscope de leurs occupants, ce qui aurait permis de découvrir qu’un vaisseau s’était posé sans laisser aucune trace de son équipage et de ses éventuels passagers. Cela ne coûtait donc rien à Rudy de fournir le renseignement.
– Le Farah day ! Annonça -t-il. Tout content de lui.
– C’est quoi ce vaisseau ?
– Du Transport régulier, c’est un cargo ravitailleur.
– Mais explique-moi, dans un cas comme celui-ci, comment le mec fait pour vous prévenir de mettre le sas de contrôle en panne, il ne va tout de même pas prendre le risque d’utiliser la radio
?
– Ben non, ça laisserait des traces.
– Alors ?
– C’est tout simple, en principe on n’effectue aucun contrôle de bord sur les vaisseaux réguliers, mais ils peuvent néanmoins le demander sous un prétexte fallacieux, une personne présumée malade
par exemple, donc en gros, un message manuscrit va être donné au personnel sanitaire qui le refilera à la capitainerie. Autre question ?
– Non.
– On peut passer à ma petite récompense alors ?
– Bien sûr, bien sûr, et qu’est ce qui te ferais plaisir ?
– Comme d’hab non ?
A suivre
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