Eros Cosmos

Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 16:37

Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 3 – Jira, la femme du chef par Nicolas Solovionni

stamp ronde

 

Et, miracle, nous nous sommes posés sans encombre. Tout le monde s’embrasse, se congratule, à l’exception de Micky, blanc comme une craie.

On procède à quelques tests pour savoir dans quelles tenues sortir, ce sera tenue légère mais chauffante avec masque.

 

Nerren et Dyane font une très courte reconnaissance de territoire comme le veut l’usage sans rencontrer de problèmes particuliers.

 

Le check-up du vaisseau est plus inquiétant, les commandes automatiques de vol semblent toutes bloquées. Dilos s’active sur les ordinateurs mais à l’air perdu.

 

– On est mal ! Commente-t-il. Pour décoller on peut toujours faire un bricolage manuel, mais si on ne peut pas passer en hyperespace, après on fait comment ?

– Est-ce qu’on pourrait retourner sur Wiké ?

– En principe !

– Eh bien on fera comme ça, et on leur piquera un vaisseau, ça leur apprendra à nous recevoir comme des chiens. Bon, on va faire une petite reconnaissance du périmètre en réacteurs dorsaux, qui vient avec moi ?

– Euh, y’a quelqu’un dehors ! M’informe Nadget.

– Hein ?

 

On se précipite vers l’écran de contrôle. Dehors s’agite un humanoïde complètement à poil, les cheveux en pétard avec des tas de bracelets, de colliers et autres colifichets.

 

– Il ne sait pas qu’il y a un micro, ce guignol ? Et il n’a pas peur d’attraper froid ?

 

Du coup je branche le haut-parleur

 

– Bonjour ! Je suis Ajas Stoffer, le capitaine de ce vaisseau, nos intentions sont pacifiques.

– Gayascoh-Bah, agou Deo ?

– Qu’est-ce qu’il raconte ?

– C’est du nova, un peu archaïque, il nous demande si on est des dieux, le reste ça doit être son nom ! Me précise Nadget.

– Dis-lui qu’on est pas des dieux, mais qu’on les connait bien, on verra bien ce que ça donne !

– Baji rana karanga deo, kali balo

– Hein ?

– Il dit que son peuple va nous recevoir dignement… enfin un truc dans le genre.

– Sa langue, on a ce qu’il faut pour l’apprendre ?

– Ben oui, un quart d’heure de Loglangue et c’est bon.

 

On s’est donc tous farcis le petit logiciel magique et ensuite on parlait tous le nova comme des artistes.

 

– Je descends avec Nadget et Dilos, les autres vous restez là, on reste en contact radio permanent.

 

On a des armes visibles à la ceinture, mais on a aussi celles invisibles planquées sous la paume de la main et super efficaces en cas d’embrouilles.

 

On descend, Gayascoh, puisque c’est son nom, se confond en salamalecs. Je ne comprends pas tout, c’est bien beau d’apprendre le nova en vitesse rapide, mais sa langue a évolué.

 

Je comprends qu’on est convié à une sorte de fête. En revanche je ne saisis pas bien comment ces gens font pour survivre puisqu’il n’y a ni flore, ni faune.

 

On suit donc Gayascoh jusqu’à l’entrée d’une grotte, là il y a des escaliers aux marches rudimentaires, on descend, le type nous éclaire avec une torche en résine…

 

Elle sort d’où cette résine ? C’est peut-être pas de la résine ?

 

Et tout d’un coup le décor change, au lieu et place de murs caverneux, voici maintenant des murs tout lisses, des couloirs rectilignes au sol plutôt mal entretenu. L’éclairage semble électrique, comment cela est-il possible ?

 

Les couloirs ne sont pas très longs, il faut sans cesse tourner à gauche ou à droite, emprunter un certain couloir, ne pas en prendre un autre.

 

– Un vrai labyrinthe ! Me souffle Dilos.

 

Il disait peut-être ça au sens figuré, mais je me rend compte qu’on est effectivement dans un vrai labyrinthe. Si tout à l’heure on ne nous raccompagne pas à la sortie, on va être mal.

 

Et après un incroyable dédale nous quittons le labyrinthe pour retrouver d’autres parois caverneuses, puis nous pénétrons dans une grotte immense, éclairée elle par des dispositifs fluorescents.

 

Spectacle surréaliste : une trentaine d’hommes et de femmes de tout âge, complètement nus, peau très claire et bien dodues, avec colifichets partout où il est possible d’en porter, nous attendent.

 

Je m’étonne qu’ils soient tous à poil, par réflexe je regarde la température sur mon bracelet analytique,: 25°C ! Il règne un microclimat dans ces grottes.

 

Un bonhomme qui semble être le chef, ou le grand prêtre, ou le grand sorcier, allez savoir, nous abreuve d’un discours assez confus, dont il ressort que son peuple est content de nous recevoir et qu’il sont prêts à pratiquer « l’échange des dieux ». On ignore de quoi il s’agit mais il nous explique qu’ils ont de quoi nous payer, et même que nous pourrions visiter la salle des trésors.

 

Les choses se présentent donc plutôt bien et je réponds diplomatiquement au type de nous faire la liste de leurs besoins et que je reviendrais leur livrer à notre prochain voyage.

 

Le type s’appelle Fulgoll… sa tribu, les Oulms.

 

– Enchanté, moi c’est Ajas Stoffer, voici Dilos et Nadget.

 

Il regarde Nadget avec des yeux concupiscents, c’est tout juste s’il n’a pas la bave aux lèvres.

 

– Elle est belle ! C’est une offrande ?

– Pardon ?

– Je veux dire que je suis très flatté de l’honneur que vous nous faites en nous permettant de baiser cette très jolie femme.

 

La tête de Nadget !

 

– Rien ne presse, ajoute Fulgoll, voici ma femme et ma fille, du moins la plus belle de mes filles. Me ferez-vous l’honneur de les baiser. Elles sont très vicieuses et très dociles, n’est-ce pas Wulna ?

– Oui, Papa.

 

La Wulna fait des œillades à Dilos, moi j’ai droit à celles de Jira, la femme du chef.

 

On risque d’avoir du mal à gérer la situation. Dans la salle des hommes et des femmes s’activent à disposer des écuelles et des gobelets en terre cuite sur la table. On nous prépare donc une grande bouffe. Sur ce point pas de soucis, ça fait partie du métier d’honorer la table de ses hôtes même quand ce qu’on nous propose est moyennement consommable.

 

Pour la baise, c’est une autre paire de manches, Je n’ai rien contre les femmes rondes, mais là c’est limite, en revanche les deux nanas ont un beau visage et un beau sourire… Et puis il y a à peloter, donc on pourra faire avec !

 

Le gros soucis c’est Nadget.

 

Wulna demande à son père si elle peut « toucher l’offrande ».

 

– On peut peut-être attendre un peu ! Intervint-je par reflexe.

 

J’espère ne pas avoir commis une bévue irréparable.

 

– Voulez-vous voir la salle des trésors ! Nous demande Fulgoll ?

 

Bien sûr qu’on veut la voir, et même que cette diversion tombe à point !

 

On suit le bonhomme, les deux grassouillettes nous accompagnent. La salle en question n’est que 50 mètres plus loin et ne fait l’objet d’aucune protection apparente..

 

Il y a, posé sur une table, un peu n’importe comment, un incroyable fouillis de bijoux, de l’or, des pierres précieuses, des diamants ainsi que quelques objets que je n’identifie pas.

 

Je n’ai pas apporté d’analyseur de métaux, mais à coup sûr, tout cela n’est pas en toc et il y en a pour une fortune !

 

Du coup je me dis que leur fournir la liste des bricoles dont ils ont besoin contre une infime partie de ce mystérieux trésor, ne peut être qu’une aubaine.

 

Seulement voilà, il y a deux gros problèmes : le premier c’est de pouvoir repartir, possible mais compliqué ! L’autre est Nadget. Je la prend à part.

 

– Je ne sais pas quoi faire ! Commençais-je, j’ai l’impression que le vieux veut te sauter.

– Ce n’est pas une impression, il veut vraiment le faire.

– Je vais essayer de lui dire que ce n’est pas possible…

– Laisse tomber ! S’il veut juste me sauter, je peux faire avec ! On ne va pas laisser tomber le trésor pour des pudeurs de jeunes filles !

 

Ouf, j’en espérais pas moins !

 

– Seulement, il me faut des garanties ! Reprend-elle, si c’est juste pour me sauter, ça peut le faire, mais j’ai peur que ça aille plus loin…

– Comment ça ?

– Je ne sais pas moi, me brutaliser, me sacrifier, me bouffer…

– Mais non !

– T’en sais rien! !

– Je vais essayer d’avoir des précisions et puis je resterai près de toi pendant qu’il te sautera…

– Ben voilà !

 

On revient dans la grande salle, Wulna qui a de la suite dans les idées redemande à son père si elle peut toucher l’offrande

 

– Mais bien sûr ma fille, puisque c’est une offrande.

 

Je décide donc d’intervenir avec diplomatie.

 

– Cette offrande est très rare et très recherchée et je crois qu’elle vous comblera, mais nous comptons la présenter au grand Balantini.

– Qui c’est ? Je ne connais pas.

– C’est un haut dignitaire, très proche des dieux, avec qui nous avons des relations commerciales.

– Ah ? Répond l’autre visiblement largué.

– Nous voudrions nous assurer qu’elle puisse repartir aussi belle et aussi en forme que maintenant.

– Une offrande est une offrande, tous ceux qui veulent la toucher ont le droit de le faire avec mon approbation, mais il ne lui sera fait aucun mal.

 

Ouf !

 

– Bon alors je peux toucher ou pas ? Demande une nouvelle fois Wulna.

– Vas-y touche moi ! Répond Nadget.

– Faudrait enlever les habits !

 

Echange de regards entre elle et moi, dans le genre « quand faut y aller, faut y aller » !

 

Et pendant ce temps-là Jira, l’opulente femme du chef, m’enlace comme un boa en me faisant comprendre que si j’étais nu, ce serait beaucoup mieux.

 

Je me laisse entrainer dans un coin relativement isolé. Dilos et Wulna nous suivent et s’installent à 10 mètres de nous dans la pénombre. La Jira se colle contre moi comme une véritable sangsue.

 

Quelques personnes s’approchent, Jira les envoient vertement promener en les priant de dégager ! Hé, mais c’est qu’elle a de l’autorité la femme du chef !

 

Elle cherche mes lèvres, je ne refuse pas le baiser et en profite pour lui peloter ses énormes nibards. Je les aurais préférés moins gros mais comme dit le proverbe, abondance de nichons ne nuit pas, d’autant qu’ils sont terminés par de gros tétons que ma langue parvient sans peine à faire sortir de leur léthargie.

 

C’est que je bande maintenant comme un sapeur, je n’aurais pas cru.

 

La grosse Jira me fait de nouveau comprendre que si j’étais nu, les choses en seraient grandement facilitées.

 

Dont acte ! Je m’apoilise tout en fantasmant sur la belle cravate de notaire auquel j’aurais peut-être droit tout à l’heure.

 

Comme une furie Jira se précipite sur ma bite et la gobe ! Putain ! La fellation qu’elle me fait ! Ces troglodytes dodus semblent avoir assimilées tout le Kamasoutra depuis leur naissance !

 

Elle procède par de larges coups de langues sur le gland, des léchages longs et savants sur la hampe, des aller-retour profonds en pleine bouche et même du gobage de couilles.

 

Faudrait peut-être que je lui dise qu’à ce régime je risque de jouir prématurément. Le problème c’est que le Loglangue, le logiciel qui nous a permis d’apprendre la langue nova a oublié d’inclure tous les termes à connotation sexuelle. Ce qui fait que j’ai du mal à me faire comprendre.

 

Alors tant pis, ce qui devait arriver arriva, je décharge dans sa bouche. Ça l’a fait rigoler, Elle ouvre sa bouche remplie de mon sperme, elle veut me le faire partager. Si ça peut lui faire plaisir.

 

Bon on fait quoi maintenant ?

 

On s’est allongée l’un contre l’autre comme deux jeunes amoureux qui viennent de baiser pour la première fois derrière la grange.

 

Jira me caresse, elle a les mains douces et évidemment je lui rend la pareille. Et puis on s’embrasse.

 

Elle me dit qu’elle est heureuse de m’avoir comme partenaire, mais me demande pourquoi je suis si maigre.

 

Je ne suis pas maigre mais évidemment à côté d’elle…

 

Quelques minutes passent et voilà qu’elle s’en prend à mes tétons et me les pince d’abord assez délicatement, puis voyant que je réagis bien, plus fortement, elle les tire, les roule entre ses doigts, les tortille… Et voilà que je rebande !

 

Je me demande ce qu’elle a l’intention de faire ? De baiser probablement, mais comment ? J’ai un peu la trouille qu’elle veuille venir sur moi, c’est qu’elle est lourde, la madame !

 

Elle me fait des gestes bizarres, je comprends qu’elle souhaite que je me retourne. Allons-y !

 

Et la voilà qui me lèche le cul ! Ce n’est pas possible d’avoir une langue pareille, mais je ne vais pas m’en plaindre, je ne vous dis pas la sensation ! C’est trop bon de se faire butiner le cul par une bonne langue !

 

Elle y met tellement de salive que j’ai bientôt le trou du cul mouillé comme une éponge.

 

Petite pause. Je bouge ou pas ? Non, la voilà repartie à s’occuper de mon cul, mais cette fois ce n’est plus la langue qui travaille, c’est un doigt qui me pénètre l’anus, d’ailleurs impossible de savoir s’il s’agit d’un doigt ou de deux ? Vous croyez que c’est facile de compter les doigts qui entrent dans votre cul, vous ?

 

Bon, on va avoir un problème parce qu’avec ses mouvement de doigts, elle risque de m’exciter la prostate et de faire écouler mon sperme, ce qui nous obligera à un autre arrêt technique. Ensuite pour repartir, ça peut être compliqué, deux fois je peux, trois, je ne suis pas bite d’acier !

 

Elle s’arrête, se lèche les doigts, ouf, c’était bon mais… je l’ai déjà dit.

 

Elle se couche sur le dos à mon côté et de son doigt me désigne sa grosse chatte poilue..

 

Je crois deviner qu’elle veut que je la baise en position du missionnaire, mais ce n’était pas ça du tout.

 

Elle me fait comprendre par geste en me montrant sa langue et en me désignant du doigt qu’elle souhaite que je la lèche.

 

Moi je n’ai rien contre, je plonge ma tête entre ses grosses cuisses, l’environnement est poilu de chez poilu ! J’écarte ses grandes lèvres, c’est humide et ça sent un peu fort, mélange de cyprine, de sueur et d’urine. D’ordinaire les odeurs fortes ne me dérangent pas trop, mais là c’est un peu limite, je respire un bon coup et je me lance, et finalement j’y prend gout, sa chatte goûte bon. Elle a un très gros clitoris, j’y pose ma langue, puis mes lèvres, le suçant comme une micro-bite. Madame Jira, apprécie, tressaute, gigote, halète, transpire et finit par prendre son pied en gueulant des paroles incompréhensibles que les murs des cavernes lui renvoient en écho !

 

Bon, c’est pas tout ça, mais je voudrais bien baiser, moi ! Pour le moment Jira exprime se joie et sa reconnaissance en me couvrant de baisers multiples et variés. Une vraie sangsue vous dis-je !

 

J’en profite pour lui peloter ses énormes nichons, moi tant qu’il y a à peloter, je pelote !

 

Et la voilà qui se met en levrette ! Quel cul, mes amis, mais quel cul ! Elle m’indique alors d’un geste du doigt qu’elle aimerait bien que la prenne par le petit trou.! Ben oui, en y réfléchissant, ils ne peuvent avoir de moyens contraceptifs…

 

J’approche mon instrument reproducteur de l’endroit stratégique, mais ce n’est pas encore ça qu’elle souhaite. Elle tourne un peu la tête et me montre sa langue.

 

J’ai compris, mon plaisir devra attendre, madame souhaite que l’on fasse dans la feuille de rose, alors allons-y gaiement !

 

Comme je m’y attendais, ça ne sent pas précisément la rose, mais paradoxalement ça me gêne moins que de l’autre côté ! Mystère des effluves féminines ! Je lui lèche donc son délicieux trou du cul qui en baille de plaisir, lui provoquant d’amusants gazouillis.

 

– Traxyut minye ! Dit-elle

 

Je suppose qu’elle me demande de l’enculer et me remet en position pour le faire. Bingo c’est bien cela qu’elle voulait !

Orza03

Maintenant il faut que je tienne la distance et que je fasse de nouveau jouir la dame. Elle m’a facilité la chose en partant au quart de tour, du coup je me suis laissé aller et j’ai laissé popaul se décharger dans son cul.

 

Elle m’a nettoyé la bite après sans vérifier son état et se régalant de mon sperme, puis nous sommes embrassés de nouveau, Elle est très affectueuse, la femme du chef !.

 

Elle m’a épuisée la Jira ! Ces nanas sont de véritables cyclones. Dilos est à peu près dans le même état que moi. On a la dalle, on a soif.

 

Mais c’est Nadget qui est dans un drôle d’état, certes, ils ne l’ont pas abimé, mais elle s’est farci des kilomètres de bites dans tous les orifices.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 16:35

Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 2 – Orgie cosmique par Nicolas Solovionni

 

Solo

 

Il est de tradition sur les vaisseaux marchands, de faire la fête après que nous soyons passés en hyperespace, et j’avais prévenu Micky que l’ambiance risquait de devenir très chaude.

– Oh la la, j’ai peu ! Se gaussa-t-il

 

Mon équipage prend place autour de la table du mess, Dyane et Nerren que je vous ai déjà présentés, Dilos l’ingénieur de bord, Nadget, la belle blackette chargée entre autres de l’infirmerie, et Micky qui devient rapidement l’attraction du moment.

 

On boit un coup, on rigole… alors partouze ou pas partouze ? On attend que quelqu’un donne le signal. Ce sera Nerren qui apostrophe Micky :

 

– Il paraît que t’es mignon comme tout à poil ?

– On me l’a dit souvent, oui ! Mais tu ne serais pas un peu obsédé, toi ?

– Juste un peu ! Alors, tu nous fais voir ?

– Moi je veux bien, mais il faudrait que tout le monde soit d’accord ?

 

Mais comme la petite assemblée ne soulève aucune objection, Micky y va de son déshabillage devant les yeux médusés de l’assistance. Et il en rajoute, il se tortille du cul, se pince les tétons, se tripote les couilles…

 

– Wha ! Tu me fais trop bander, toi ! On peut toucher ? Demande Nerren.

– Mais bien sûr mon chou, j’adore les caresses !

 

Nerren ne voulant pas passer pour un rustre commence par lui caresser les bras. Puis ses doigts descendent vers ses gros tétons qu’il pinçouille.

 

– Oh, tu me fais de ces choses, toi…

– Tu m’excites ! Hum… ta bite, elle est trop belle !

– Touche là !

 

Nerren approche sa main et exécute quelques mouvement de masturbation.

 

– Hum, tu branles bien ! Tu suces aussi ?

– J’adore.

– En attendant, embrasse-moi, grand fou !

 

Nerren ne se le fait pas dire deux fois et embrasse Nicky à pleine bouche, tandis que la main de celui-ci éprouve le contenu de la braguette de son partenaire.

 

– Mais c’est qu’il bande bien, ce petit cochon !

– Forcement ! Concède Nerren.

– Déballe-moi donc la marchandise, sinon elle va étouffer.

 

Nerren se recule un tout petit peu afin de se déshabiller, et c’est tout nu et la bite en étendard qu’il revient vers Micky, et cette fois il s’accroupit à hauteur de la bite afin de la mettre en bouche et de la sucer comme il se doit.

 

Moi, je mate, amusé et excité, les deux nanas sont en pleine séance de fayotage, Dyane, la gretchen blonde à ma droite et Nadget la blackette à ma gauche, la première me tripote l’entrejambe, l’autre a trouvé le chemin de mes tétons, me voilà comme un coq en pâte.

 

Mais un qui me surprend, c’est Dilos. Dilos est un hétéro pur et dur, même si je l’ai vu une fois se faire sucer la queue par Nerren un jour de beuverie. Mais là il semble fasciné par le spectacle.

 

J’ai envie de jouer la provoc et je propose que tout le monde se mette à poil. Pas d’objection, on fait ça immédiatement et prestement, y compris Dilos qui bande comme un cochon.

 

Je fais signe à Nadget de continuer en mode provocation. Elle entre volontiers dans le jeu :

 

– Dis-donc, toi ? Ça t’excite de voir des mecs qui se sucent la bite ! Apostrophe-t-elle Dilos

– Pas du tout !

– Alors pourquoi tu bandes ?

– Justement je me demande ?

– C’est normal que je te fasse bander ! Je fais bander tout le monde, j’ai un super pouvoir ! Intervient Micky en rigolant.

– Tu devrais t’approcher de lui pour voir jusqu’où va son super pouvoir ! Lui dit Nadget.

– Ça va pas non ?

– Ben essaie, on te demande juste de t’approcher, personne ne va te mordre. Interviens-je.

– Mais vous êtes chiant.!

– Dégonflé ! Lui lance Nadget

 

Il cherche du « secours » du côté de Dyane, qui est sa copine de cœur, mais celle-ci ne répond que par un sourire narquois.

 

Alors Dilos prenant des airs de grand seigneur se lève de son siège ! J’espère qu’il ne vas bouder et quitter le mess, non il s’approche des deux zozos.

 

– Tu veux le sucer avec moi ? Lui demande Nerren.

– Mais non ! Répond Micky, ce n’est pas son truc, il veut juste me caresser la peau pour voir si elle est douce.

 

Bien joué ! Et Dilos se retrouve au pied du mur !

 

Il s’approche, se contente de lui passer la main sur l’avant-bras gauche. La main de Micky se pose sur sa cuisse et s’approche stratégiquement de son sexe. Dilos est comme paralysé et quand la main de l’androgyne enserre la verge afin de lui imprimer quelques mouvements de masturbation, il se contente de fermer les paupières.

 

Nerren se recule, Micky s’accroupit devant Dilos.

 

– Je vais te sucer juste un peu ! Tu verras, je fais ça aussi bien qu’une femme !

– Non ! Ça va maintenant…

– Laisse-toi faire, c’est une expérience.

– Je l’ai déjà fait, c’est pas mon truc !

– Ça ne compte pas, on était bourré. Objecte Nadget

– Bon tu te laisses faire un peu, il ne va pas te manger ! Intervient Dyane.

– D’accord je me laisse faire, mais vous êtes chiants aujourd’hui.

 

Toujours est-il qu’au bout de quelques instants, Dilos se pâme, le savoir-faire de Micky ayant raison de ses inhibitions.

 

L’androgyne a toutefois le tact de ne pas mener à fond sa fellation. Il devine que nous allons finir par tous nous mélanger et ne souhaite pas le rendre indisponible à ce genre de jeux..

 

– Alors, c’était comment ? Lui demande Dyane.

– Il suce bien, mais ce n’est pas pour ça que je vais virer de bord !

– Mais personne ne te demande une chose pareille. Répond-elle.

– Et toi tu le sucerais ? Lui demande Nadget.

– Surement pas !

– Il ne faut jamais dire fontaine… Commence doctement Nerren.

– Fontaine, fontaine, fontaine ! Ça ne veut rien dire ton truc !

 

Et tout le monde d’éclater de rire !

 

– Ils sont méchants avec toi, hein mon bichon ? Lui dit Dyane sur un ton de consolation tout en venant lui tripoter la bite. Embrasse-moi mes gros nichons, ça va te changer les idées.

 

Nerren a repris sa fellation sur Micky, Nadget s’approche d’eux, elle aussi veut gouter à sa bite.

 

Du coup me voilà réduit à faire banquette. Ce sont des choses qui arrivent, en attendant je profite du spectacle qui n’a rien de triste :

 

A ma gauche, Dilos est en train de lécher la chatte de Dyane comme un malade, ces deux-là se connaissent pourtant par cœur, mais ne dit-on pas qu’on ne se lasse jamais des bonnes choses. Devant moi, Nerren en galant garçon a laissé sa place de suceur de bites à Nadget, et lèche maintenant le cul du bel androgyne.

 

Je me décide à me lever de mon siège et me dirige vers Dyane. Elle est belle comme ça, une belle femme cougar très bien faite, avec une superbe poitrine et des tétons qui le font bien. Dilos lui lèche le minou comme un forcené en cambrant les fesses. Dommage qu’il ne soit pas bi, je serais bien passé derrière lui pour lui faire un tas de choses !

 

Je donnerais bien ma bite à sucer à Dyane, mais j’ignore si elle le souhaite en ce moment. Elle a les yeux fermés et est secouée de spasmes, elle transpire, elle gémit. Dilos est un bon suceur de chattes !

 

Elle finit par se rendre compte de ma présence, et me fait signe d’approcher ma bite. Je n’attendais que ça et profite donc de ses douces lèvres purpurines.

 

Mais sa fellation est vite interrompue par sa propre jouissance. Elle est trempée du sueur et de mouille, elle se retourne comme une crêpe, se met en levrette, écarte ses fesses en un geste obscène.

 

– Enculez-moi, les garçons !

 

Oui mais qui va commencer ?

 

– Je vous en prie, capitaine ! Me dit Dilos qui d’habitude ne me vouvoie pas mais qui fait son malin.

 

J’ai donc l’honneur et l’avantage de passer en premier, mais je ne suis pas un hussard et avant de faire pénétrer ma bite, c’est ma langue qui va lui explorer le fion, puis quand l’endroit est correctement humecté j’entre comme dans du beurre, je pensais pouvoir me maîtriser, mais ma libido est trop forte, il me faut jouir, alors je la pilonne comme un malade en de grands mouvements de bite.

 

Et pendant ce temps-là, Dilos est passé devant afin de se faire sucer.

 

Dyane recommence à gémir, je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir de nouveau, du coup j’accélère autant que je peux et je décharge dans son cul. Ma bite ressort toute spermeuse et parsemée de traces plus brunes. Dyane s’est jetée dessus pour tout nettoyer. Dyane est une cochonne. On s’est roulé un patin après, puis j’ai été récupérer, tandis que la bite de Dilos remplaçait la mienne dans son mignon petit cul.

Orza02

En face la situation a un peu évoluée : Micky à plat ventre et les cuisses relevées est en train de se faire enculer par Nerren lequel excité comme un pou en a le visage congestionné. Nadget se la joue coquine en flanquant de grandes claques sur les fesses de son collègue afin de l’encourager.

 

Et soudain Nerren jouit en poussant un cri étouffé. Il sort sa bite du cul de l’androgyne. Nadget la lui nettoie.

 

– Tu aimes le sperme ? Lui demande Micky.

– C’est un régal.

– Je dois en avoir encore dans mon cul, tu le veux ?

– Bien sûr !

– Allonge-toi je vais te le chier dans la bouche !

 

On admirera la poésie de la réplique !

 

– Tu ne veux pas !

– Si, si !

 

Micky s’accroupit au-dessus du visage de la blackette, il pousse et évacue le liquide blanchâtre qu’il contenait. Nadget s’en délecte et comme elle est très partageuse, au lieu d’avaler tout toute seule elle n’en va narguer Dyane et lui en crache la moitié dans sa bouche. Et même que ça les fait rigoler !

 

Je me demande si on ne va pas faire un temps calme, quitte à reprendre après, mais Micky décidemment insatiable et qui n’a pas encore joui vient solliciter Dyane.

 

– On n’a rien fait ensemble, tous les deux ? Lui dit-il.

– Tu étais très occupé, je ne voulais pas déranger ! Répond-elle avec le sourire.

– Je ne le suis plus !

– J’avais compris ! T’es en train de me reluquer mes seins ? S’ils te plaisent , tu peux les ploter.

 

Puisqu’il en a l’autorisation, il ne se gêne pas, et après avoir caressé très doucement les jolies globes offerts, il se met à les malaxer un peu moins délicatement.

 

– Hé ! Doucement !

– Oh pardon !

– Ce n’est pas grave, mais modère tes ardeurs.

– Ça mérite une punition, non ?

– Peut-être pas quand même !

– Si, si, je veux que tu me punisses ! J’adore quand on me punit.

– Ah ! C’est ça ton jeu ? Alors d’accord on joue ! Quelqu’un aurait une ceinture à me prêter ?

 

Je lui prête volontiers la mienne, Micky se met en levrette et cambre les fesses, Dyane commence à les lui cingler. Tout le monde regarde comme au spectacle. Les fesses de l’androgyne ne tardent pas à devenir cramoisies, la fille abandonne la ceinture laissant Micky agiter son croupion.

 

Je considère cette attitude comme une invitation, et je lui rentre ma bite dans son cul et entreprend de l’enculer comme il faut. Nerren vient derrière moi, et me sodomise à mon tour. C’est fabuleux, nous voilà tout trois en train de jouer au petit train ! Et j’ai la meilleur place, celle du milieu !

 

Ces dames ne restent pas inoccupées, après s’être échangés tendres caresses et doux baisers, les voilà qui se gamahuchent mutuellement en un soixante-neuf black and white tout à fait ravissant d’autant que Dyane a sorti d’on ne sait où un joli godemiché avec lequel elle pilonne le trou du cul de sa collègue.

 

La salle s’emplit bientôt de nos râles de jouissance tandis qu’une odeur de stupre se répand dans l’atmosphère confiné.

 

On se repose un peu, on boit un petit coup. Nerren égrillard vient se poster, bite en avant devant Nadget et Dyane qui ne semblent plus vouloir se séparer.

 

Elles n’ont aucun mal à deviner ses intentions et ouvre la bouche d’un air canaille. Le jet d’urine de Nerren va de l’une à l’autre et ce qui n’est pas avalé coule sur les seins et les pieds des cosmonettes.

 

Alors Nerren en gros gourmand qu’il est, leur lèche les pieds… Quelle orgie les amis, mais quelle orgie !

 

Après un voyage sans problème, nous nous sommes donc posés sur Wiké, l’accueil de ces gens-là n’a rien de convivial. A la limite ils nous méprisent. En plus ils sont chiants en affaires, j’ai été obligé de baisser le prix de mes bricoles, Du coup j’ai refusé de charger leur pinard dans mes cales, espérant qu’ils évolueraient dans leur proposition.

 

Il est d’usage dans ce genre de transaction que cela se termine autour d’une bonne table, et c’est ce que j’espérais afin que l’on puisse aborder un petit peu ce qui se passe sur Orza.

 

Mais là, rien du tout, même pas un coup à boire. Jamais vu de tels pisse-froid ! Et puis leurs femmes, pas un décolleté, pas une seule cuisse de découverte. Savent pas vivre ces gens-là !

 

L’autre solution pour avoir des renseignements est de fréquenter les lieux de bordés. Sur les planètes peu fréquentés en vaisseau, ces établissements n’ouvrent leur portes que lors des atterrissages, la formule, bouffe, alcool et sexe fonctionnant toujours à fond, mais il faut croire que sur Wiké on ignorait cette pratique.

 

J’ai quand même sous un prétexte à la gomme, tenté de brancher l’un des officiers du cosmoport.

 

– Orza, c’est intéressant comme planète ?

– Personne ne va sur Orza.

– Parce qu’il y a des légendes qui courent…

– Eh bien laissez les courir.

– Y’a des vaisseaux qui vont là-bas !

– J’en sais rien ! Au revoir Capitaine.

 

Désespérant.

 

On ne s’est donc pas attardé, et le lendemain direction Orza. Les deux planètes étant en ce moment en opposition, nous avons mis trois jours pour l’atteindre

 

On s’est d’abord satellisé, recherchant des traces d’activité biologiques.

 

Drôle de planète, la présence d’eau se résumant à quelques lacs gelés, il n’y a ni flore ni faune visible.

 

On sélectionne une zone où nos détecteurs ont relevé une infime activité biologique et on entame notre descente.

 

C’est là que les bizarreries ont commencé.

 

– Les commandes ne répondent plus ! S’affole Nerren.

 

Branle-bas de combat dans la salle de pilotage

 

– Laissez tomber la descente, il faut quitter le champ de gravitation…

– Ça ne marche pas !

– En manuel !

– Rien ne fonctionne, on va se casser la gueule.

– Les rétro fusées sont opérationnelles ! Nous informe Dyane.

– C’est quoi ce bordel ?

– Ben on va atterrir, mais pas à l’endroit qu’on avait sélectionné.

– Les commandes manuelles refonctionnent, on fait quoi ?

– On contrôle l’atterrissage, on verra le reste après.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 16:31

Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 1 – Micky, l’androgyne par Nicolas Solovionni

trav stamp

 

Voici une petite liste des principaux personnages qui interviendront dans cette histoire, il y a du monde, inutile de lire cette liste maintenant, mais sachez qu’elle est là et au fur et à mesure de l’avancée de votre lecture vous pourrez vous y référer si vous êtes perdu !

 

Ajas Stoffer : capitaine du Rosamonda et narrateur de l’épisode

Dyane Makaya : seconde de vaisseau à bord du Rosamonda

Nerren Petrov : navigateur à bord du Rosamonda

Dilos: ingénieur de bord du Rosamonda

Nadget : technicienne de bord du Rosamonda

Micky : crossdresser voyageant comme passager à bord du Rosamonda

Fulgoll : le chef des Oulms

Jira : la femme de Fulgoll

Wulna : la fille de Fulgoll

Gayascoh : le maître du labyrinthe chez les Oulms

Cassia Ling : subrécargue à bord du « Faucon Vert »

Sylvester : Craig : Assenti : compagnons de Cassia Ling

Rivers : capitaine du Tyrol28

Georgia : officier à bord du Tyrol28

Alexandra Plonga : Capitaine du « Buffon »

Karl Ritter : compagnon d’Alexandra

Boumata : officier à bord du Rami3000

Erarny : capitaine du Rami3000

Rita Skorg : esclave des Oulms échappé avec sa fille Bella : sa belle-mère Tacha et son mari Frey

Moam : Skorg solitaire

 

Je m’appelle Stoffer, Ajas Stoffer, capitaine d’un cargo spatial qui le fait bien et qui répond au joli nom de Rosa Monda. J’ai une quarantaine d’années en équivalence terrienne. Sexuellement, je suis hétéro, mais je me laisse parfois aller à quelques fantaisies avec les gens de mon sexe.

 

Vous avez aimé mes aventures érotiques avec la Reine Russo, on ne la retrouvera pas dans ce récit, mais rassurez-vous, il sera chaud !

 

1 – Micky, l’androgyne

 

Comme toujours entre deux missions je glande sur Vargala, une planète dont seule une très large île équatoriale est habitable et où se retrouve tout un tas de trafiquants et d’aventuriers en tout genre de ce coin de la galaxie.

 

J’aime bien prendre mon repas seul en me faisant chouchouter par d’accortes et peu farouches serveuses, en laissant vagabonder mes pensées.

 

Une très gênante envie de pisser me tenaille, je me lève donc et me dirige vers les toilettes du lieu. J’ai à peine commencé à pisser qu’une créature androgyne vient se coller dans l’urinoir mitoyen. Longs cheveux blonds, visage d’ange, un très léger maquillage.

 

Elle sort sa queue, et au lieu de pisser la voilà qui se branle. Je suis fasciné par la beauté de son sexe. Il me sourit, il est coiffé et maquillé comme une femme, mais il n’est pas travesti. (Je ne sais pas si je dois dire « il » ou « elle » ?)

 

– Elle te plait ? Me dit-il en désignant sa bite.

– Elle est très belle ! Concédais-je volontiers

– Tu peux la toucher si tu veux !

 

Je n’hésitais même pas et l’instant d’après j’avais sa douce bite dans la main et je la branlottais.

 

– Tu me la sucerais bien, non ?

– Ma foi, pourquoi pas ! Je peux? Demandais-je

– Juste un peu pour gouter, mais si tu veux, on peut aller ailleurs faire plein de choses.

 

C’est ce qui s’appelle se faire racoler, mais après tout, pourquoi pas ? Je me penche et prend ce délicieux membre dans ma bouche, juste quelques secondes, mais putain ce qu’elle est bonne sa bite, du coup je me tape une érection du tonnerre de Dieu.

 

– Je t’emmène chez moi ? Me propose-t-il.

– Je finis de manger d’abord…

– Moi aussi, le premier qui a fini, attend l’autre et ensuite on y va ! On fait comme ça ?

 

Je suis retourné dans la salle avec le gout de sa bite dans ma bouche, du coup je n’ai pas pris de dessert.

 

– Un petit café, Capitaine. Me demande la soubrette en me collant son décolleté sous le nez.

– Non pas aujourd’hui, ce sera tout.

– Il y a quelque chose qui n’allait pas ?

– Mais si tout va bien, Zaza, à demain.

 

Je me levais, embrassais la belle Zaza, un coup d’œil dans la salle, le travelo se lève aussi.et m’emboite le pas.

 

A la sortie, il s’approche de moi et me roule carrément un patin, c’est ma foi bien agréable, en plus il s’est aspergé un de ces parfum ! Envoutant !

 

– Je m’appelle Micky ! Me dit-il.

– Enchanté, moi c’est Ajas Stoffer.

– Je sais !

– Pourquoi, on s’est déjà rencontré ?

– T’es un petit peu connu ici, non ?

– Admettons.

 

Micky possède un petit studio, propre et coquet.

 

– C’est mon petit nid d’amour ! Me précise-t-il. On se déshabille ?

– Tu me passe ta carte que je te vire des sous, tu veux combien ?

– On verra ça tout à l’heure.

 

Bizarre, parce que cette attitude est contraire à tous les usages de la profession. D’ordinaire si la personne prostituée veut être sûre d’être payé, c’est avant la prestation que ça se passe. Sauf si les deux partenaires se connaissent bien…

 

Ou alors j’ai une gueule qui inspire confiance ? Allez savoir ?

 

Et voilà que le Micky est déjà à poil !

 

Alors, là il se passe quelque chose, me voilà en train de bander comme un malade.

 

Je m’explique : Je ne suis pas complètement bisexuel, si toutefois les étiquettes veulent dire quelque chose. Chez les hommes, seules, leurs bistouquettes m’intéressent. Je dis bien les hommes, pas les transsexuelles que j’ai plutôt tendance à considérer comme des femmes à bites.

 

Mais le Micky n’est pas une trans, pourtant son corps me trouble, complètement imberbe, une jolie peau, de gros tétons bruns qui pointent. J’en ai des frissons d’envie !

 

Alors je m’approche de lui, le caresse, le pelote, ne refuse pas le nouveau baiser sur la bouche qu’il me sollicite, puis me met à jouer avec ses bouts de seins.

 

– Je te fais de l’effet, on dirait ? Qu’il me dit.

– Tu me fous une de ces triques.

– Tu peux me faire ce que tu veux, sauf me brutaliser bien entendu.

Orza01a

Je n’ai pas de plan précis, mais je me précipite sur sa bite et l’embouche goulument. Quelle merveilleuse texture, quelle douceur, quel délice que ce petit gout très légèrement salé, j’ai soudain une idée très salace :

 

– Tu n’aurais pas envie de pisser ?

– Coquin, tu voudrais gouter à ma bière ?

– J’aimerais bien, oui !

– Attends quelques secondes que je débande un peu… Voilà, on va pouvoir le faire ! Ouvre bien la bouche, je vais te faire quelques gouttes.

 

Micky m’envoie son pipi dans la bouche, c’est la première fois que je fais ça avec un mec ! Mais est-ce vraiment un mec ou une créature androgyne ?

 

C’était bien bon, j’adore de petit gout de bouillon de légume tiède… Mais une fois avalé tout ça je reprends ma fellation et fait rapidement rebander son charmant appendice sexuel. Je développe toute la panoplie de mon savoir-faire ! Hé, c’est que j’en ai sucé des bites ! Je lui titille le gland de ma langue, je fais des allées et venues en pleine bouche de toute sa verge, je m’égare sur les testicules que je gobe.

 

Et quitte à m’égarer, autant m’égarer un peu plus, je le fais se retourner, et après lui avoir bien peloté son charmant fessier joufflu, je lui écarte tout ça et je viens butiner son œillet brun qui fleure un petit goût acre qui le fait bien.

 

J’ose enfoncer un doigt ! Il m’encourage à gros renforts de « Vas-y c’est bon ». C’est bien, j’aime qu’on m’encourage et je le pilonne comme un malade.

 

Tout cela est très bon, mais c’est encore sa bite que je préfère et je repars pour une séquence de lèche-pine.

 

Je suce avec une telle conviction que je commence à avoir mal à la mâchoire. On va donc changer de divertissement. Je me positionne sur le lit en levrette, le croupion relevé comme une lope vicieuse, sauf que moi j’assume complètement, je n’ai aucune honte !

 

– Vas-y mon beau ! Encule-moi ! Fous-moi ta bonne bite dans le trou du cul !

 

Il est entré facilement. Forcément, le passage est ouvert et fréquenté depuis un certain temps. Il me sodomise comme un chef, c’est fou de sentir cette colonne de chair s’agiter dans ma cavité intime. Ça me fait un bien fou, j’en frisonne de plaisir et ma bite bande comme un bout de piquet de hutte en bois.

Orza01b

Je ne peux plus me contenir, et pendant qu’il me défonce le cul, je m’astique le manche jusqu’à l’éjaculation.

 

Micky n’a pas joui, il doit prendre des trucs pour rester dur pendant des heures. Je m’en fous c’est moi le client et le client est roi !

 

Mais n’empêche que ce garçon est bien sympathique et qu’il m’a fait passer un délicieux moment !

 

– Ça t’as plu ? Me demande-t-il.

– Super ! Je te dois combien ?

– Oh, je ne refuse jamais de l’argent, mais en fait je ne savais pas comment t’aborder, quand je t’ai vu aller pisser, je me suis dit que j’allais tenter ma chance, ensuite ça a été un enchainement de circonstances.

– Tu ne vas pas me faire croire que tu voulais m’aborder, juste pour tirer un coup ?

– Je n’ai jamais dit ça, non, je voulais t’aborder pour te montrer un truc qui pourrait t’intéresser. Assis-toi donc, tu veux boire un coup ?

– Volontiers !

– J’ai du watchibole, du vrai.

 

Micky me servit un verre de ce délicieux breuvage, puis s’en alla ouvrir une armoirette mini d’un code d’accès dont il sorti un carnet en très mauvais état.

 

– Voilà ! Me dit-il, je fais le pari que tu es un homme de parole, donc si ce que je vais te montrer ne t’intéresse pas, promets-moi de n’en parler à personne.

 

Je lui fis cette promesse qui de toute façon n’engageait que lui.

 

– Voilà, j’adore fouiner au drugstore de Matit.et j’ai trouvé ça. C’est assez long à lire, mais je vais te faire un résumé, ce mec a tout simplement massacré tous les membres de l’équipage et les officiers qui étaient en mission avec lui. Il a fini en taule. J’ai essayé de le retrouver. En fait on se sait pas qui c’est, il était enregistré comme prisonnier avec un simple numéro. J’ai réussi à apprendre qu’il avait été tué suite à une tentative d’évasion. Il a rempli ce carnet. Il ne cite nulle part son nom, mais on suppose qu’il n’avait pas grande responsabilité sur son vaisseau qui s’est posé sur une planète qu’il nomme Orza. Les coordonnées sont indiquées sur le carnet. Sur Orza vit une communauté de mutants qui attire les vaisseaux qui passent à proximité, une fois le vaisseau posé, il ne peut plus repartir, une espèce de force l’empêcherait de le faire. Evidemment les mutants pillent le vaisseau et accumulent du butin…

– Qu’est-ce que c’est que cette salade ? Et comment il aurait réussi à repartir ?

– D’après ce qu’il raconte, on peut neutraliser la « force » pendant un court instant

– Tu ne crois pas que c’est un canular ?

– Pour être très franc je n’en sais rien, mais ce qu’il raconte me parait cohérent.

– Et qu’est-ce que je viendrais faire là-dedans ?

– Admettons que ça t’intéresse, tu y vas, je viens avec toi, s’il y a des choses à ramasser, on les ramasse, moi je me contenterais d’un million de kochniks !

– Quoi ?

 

Il est complétement fou !

 

– Ecoute capitaine ! Reprend Micky, je te propose un truc, tu t’installes bien tranquillement dans le fauteuil, tu lis tout ça bien gentiment, tu en as pour une heure, je vais te resservir du watchibole et après on prendra une décision.

 

Mon intention était de refuser ce marché débile, mais poussé par la curiosité, je décidais de lire entièrement ce mystérieux carnet.

 

Je lu donc le bidule, effectivement Micky l’avait bien résumé et la lecture ne m’apprit pas grand-chose de plus, le type se perdant dans des digressions sur la méchanceté de la nature humaine, la psychorigidité de son capitaine ou l’inhospitalité de la planète. En revanche les mutants dont il était question n’étaient jamais décrits et la force capable d’attirer des vaisseaux et de les immobiliser non plus.

 

J’étais donc très circonspect.

 

– Alors ? M’interroge Micky

– Ecoute, ce mec a beaucoup d’imagination, mais il y a quelque chose qui ne colle pas. Déjà une force capable d’empêcher un vaisseau de décoller, je ne vois pas bien, mais que la même force soit capable d’attirer un vaisseau, c’est du n’importe quoi ! En admettant que cette force existe, elle ne peut s’exercer que dans la proximité immédiate ! Combien de vaisseaux s’amuseraient à passer par là ?

– Alors restons-en là, je suis désolé de t’avoir fait perdre ton temps… Mais si tu veux m’offrir un peu d’argent pour le câlin, je l’accepterai volontiers.

 

Je m’apprêtais à lui faire un transfert de quelques kochniks quand j’eus soudain envie de vérifier quelque chose. Je m’emparais de mon spacephone et me connectais à la base de données planétaire, j’entrais les coordonnées indiquées par l’auteur du carnet.

 

Orza : « 4ème planète du système OF157KH, planète inhospitalière, atmosphère respirable et pression acceptable, températures moyennes diurnes entre -5° et -30°. Flore et faune microscopiques, traces de glaces d’eau, aucun minerai exploitable. Activité magnétique dangereuse. Résultats confirmés par les sondes…. Aucun compte-rendu de vol humain disponible. »

 

Ce qui confirmait ce que je craignais, tout capitaine voulant s’y rendre trouverait les mêmes renseignements et dans ces conditions pourquoi s’y rendrait-il ?

 

Néanmoins j’élargissais la recherche sur l’ensemble du système OF157KH

 

Wiké : « la troisième planète du système abrite une communauté paysanne d’environ 100.000 personnes aux dernières estimations. Exporte du bois précieux, du vin, et des produits locaux provenant de la pèche. »

 

Voilà qui change tout, une fois par an environ (en équivalence terrienne), les planètes Wiké et Orza entrent en conjonction, on peut donc imaginer qu’un cargo quittant Wiké, s’approchant d’Orza avant de sauter dans l’hyperespace se fasse attirer. Ça reste problématique mais ça devient possible.

 

En admettant que ce soit vrai et qu’on trouve des vaisseaux naufragés, qu’est-ce qu’on pourrait piquer ? Du bois précieux ? Je fais une recherche sur mon spacephone, effectivement le bois de Wiké se négocie à un très bon prix. Mais si la fable des vaisseaux attirés est exacte, celle de l’immobilisation l’est aussi, et dans ce cas comment repartir ?

 

« On peut neutraliser la « force » pendant un court instant » avait indiqué l’auteur du carnet, oui mais comment ?

 

Je me surprends à me passionner pour ce truc. Pourquoi n’irais-je pas faire un peu de commerce sur Wiké. Je me connecte aux appels d’offres, apparemment ils ont leur fournisseurs réguliers, mais ils restent toujours demandeurs de certains produits, la liste est surréaliste, des pièces détachées de ceci ou cela mais aussi des bouteilles en verre, des futs, des bouchons…

 

Je peux donc répondre à l’appel d’offre, je projette de me faire payer en produits peu volumineux, du vin par exemple, et de garder une bonne partie de mes cales disponibles, Ensuite un petit tour sur Orza pour démêler le vrai du faux.

 

– A priori c’est d’accord, j’en parle à mes lieutenants et tu auras une réponse définitive demain.

– T’es un chou !

 

Si je suis un chou tout va bien.

 

Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, est une sculpturale blonde mature qui travaillait à mes côtés depuis plusieurs années, compétente et délurée, elle m’était rapidement devenue indispensable.

 

Nerren était mon nouveau navigateur depuis quelques temps. Il m’avait conquis par son savoir-faire et sa disponibilité. Légèrement efféminé et les fesses accueillantes, il s’était rapidement adapté à l’ambiance du vaisseau

 

Je leur exposais la situation sous un jour le plus favorable possible. Ils furent d’accord, il ne me restait plus qu’à préparer le départ.

 

Je n’aurais jamais cru qu’il était aussi difficile de trouver un stock conséquent de bouteilles en verre et de bouchons, mais je stockais tout ça dans mes cales.

 

Je présentais Micky à mes seconds, je les avais prévenus, mais ils furent néanmoins surpris par l’étrange beauté de cet androgyne qui voyagerait en tant que passager.

 

– Pendant les arrêts planétaires de la mission, tu resteras sage, on va rencontrer des gens dont on ignore s’ils ont l’esprit ouvert ou pas, donc pas de maquillage, pas de perruque.

– Mais enfin, je me sens femme…

– Le capitaine est seul maitre à bord, et mes ordres ne sont pas discutables.

– Mais enfin !

– Par contre à bord, tu peux sortir tes frou-frous.

– Ah la la !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 15:46

La reine Russo - 14 – Le Diable Rose par Nicolas Solovionni

 

stamp transblack

Le voyage est long et les distractions un peu répétitives à bord, alors il reste le sexe et je ne m’en privais pas, Je baisais donc régulièrement avec Dyane ou Nadget, parfois les deux ensembles, et puis je fis charnellement la connaissance de Sandora. I Mais je ne touchais pas Lizda ! Il y avait aussi parfois des partouzes improvisées, que je quittais subrepticement quand Lizda s’y pointait.

Quant à ma bisexualité, je l’assurais en offrant de temps à autre ma bouche et ma rondelle à la jolie bite de l’ami Nerren. Les autres hommes ne semblaient pas intéressés par ce genre de choses, ce qui est leur droit, même si je ne peux m’empêcher de penser qu’ils se privent de quelque chose. Petite exception pour Pilzer qui n’était pas contre le fait que je le suce lorsque nous partouzions gaiement.

 

Mais revenons à Lizda, je ne suis pas de bois et redoutait qu’un jour les circonstances fasse que je craque devant son corps de déesse. Mais bon, la chair est faible et Lizda est tellement belle que quand elle m’a mis la main sur la braguette, je n’ai pas protesté…

 

Ce jour-là, je cherchais Nerren pour je ne sais plus quelle raison, passant devant sa cabine, je découvre sa porte poussée mais non fermée, je l’ouvre en grand et là je découvre de mes yeux subjugués, Nerren tenant serré dans ses bras la jolie Lizda complètement à poil, je ne la vois que de dos, mais quel spectacle, une chute de rein magnifique, un dos majestueux et une paire de fesses dont je ne vous parle même pas.

 

Evidemment je l’avais déjà vue nue, je l’ai même vue se faire fouetter, mais il y a des choses qui émeuvent toujours. Qui émeuvent et qui excitent, parce qu’il est là le problème. J’aurais dû être plus réactif et disparaître après un « excusez-moi messieurs-dames ». Ben non je reste là comme un con, et Lizda réalisant ma présence, saute sur l’occasion.

 

– Reste cinq minutes avec nous, Capitaine.

– Non, je passais…

– Mais si, juste un moment ! Renchérit Nerren. A trois ce sera plus marrant, on avait à peine commencé…

 

En disant ça l’homme se défait de l’étreinte de Lizda et m’apparaît la bite en étendard, tandis que la demoiselle s’amuse à faire balloter ses seins.

 

« Il ne faut pas que je fasse des trucs avec cette Lizda, elle va m’ensorceler ! » Me souffle une partie de mon cerveau. « Elle ne va pas me coller au cul pour dix minutes de baise, après tout je ne lui dois rien ! » me souffle l’autre partie.

 

Vous aurez deviné de quel côté la balance penchait d’autant que ma bite qui grossissait dans mon pantalon ne pouvait qu’influencer ma décision.

 

– Approchez-vous les garçons, vous voulez bien que ce soit moi qui mène la barque, comme ça vous ne vous battrez pas ! Allez à poil, capitaine comme tout le monde !

 

Et c’est à ce moment qu’elle m’a touché la braguette !

 

Abandonnant toute velléité de résistance, j’enlève mes fringues vite fait, me demandant comment la donzelle va « mener la barque »

 

– Accroupissez-vous, chacun d’un côté et caressez-moi mes douces cuisses.

 

Pourquoi pas ? Ce n’est pas si commun et c’est fort agréable, ses cuisses étant douces comme de la soie. Putain, qu’est-ce que je bande !

 

– Voilà, un peu plus haut, maintenant, caressez-moi le minou, non pas tous les deux en -même temps, Stoffer continue, et Nerren va s’occuper de mes nénés.

 

Elle me demande ensuite de la lécher, cette coquine est déjà mouillée comme une soupe, inutile de vous dire que je me régale de cette bonne chatte !

 

Et pendant que je la gamahuche, Lizda branle la belle queue de Nerren qui bande aussi fort que moi, puis elle s’assoit sur le bord de la couchette afin de pouvoir le sucer, j’en profite alors pour lécher les seins de cette très belle femme.

 

Et tout d’un coup elle lâche la queue de mon navigateur, me fait un irrésistible sourire et me demande :

 

– Tu veux la sucer ?

– Qui t’as dit que je faisais ce genre de choses ?

– Ce sont tes yeux ils parlent pour toi !

 

Ah, bon si j’ai les yeux qui parlent, maintenant… Mais je ne vais pas me prier de ce plaisir et j’embouche la belle bite de Nerren, toute mouillée de la salive de Lizda, en même temps ma main gauche ne restait pas inactive et lui tripotait la chatte…

 

Nous nous sommes refilé la bite de Nerren, un peu chacun pendant un petit moment, puis elle m’a demandé de me relever afin de pouvoir me sucer, et pendant qu’elle le faisait elle branlait la queue du navigateur.

 

Evidemment, elle pratiquait l’alternance, me branlant pendant qu’elle suçait Nerren et vice-versa.

 

C’était un véritable bonheur de la voir sucer, ne se contentant pas de faire des va-et-vient en bouche, mais balayant la pine de sa petite langue agile tout en exprimant son plaisir de ses beaux yeux malicieux.

 

Un moment elle s’amusa à rapprocher nos deux bites, faisant se chevaucher nos glands et se glissant tout cela entre les lèvres. Fabuleux, non ?

 

Puis elle demanda à Nerren de me sucer en même temps qu’elle. Je suis bien placé pour savoir qu’il suce divinement mais en ce moment ce n’est pas sa langue qui m’envoutait mais celle de Lizda qui lorsqu’elle délaissait ma bite, me pelotait les couilles.

 

La fille proposa à Nerren de s’assoir sur le rebord de la couchette, et elle s’empala sur lui.

 

Ce n’est pas juste, j’aurais bien aimé la baiser, cette coquine ! Mais je suppose que mon tour viendra, et pendant qu’elle montait et descendait sur la bite droite comme un mat de Nerren, ce dernier me suçait la queue.

 

Un moment Nerren sorti son engin du fourreau de Lizda, j’en profitait pour l’attraper en bouche et le sucer tout en tripotant la chatte de la belle, puis je remis moi-même la bite dans l’orifice, léchant ce qui n’était pas entré ainsi que les testicules.

 

Puis Lizda me laissa la place, je m’empalais donc à mon tour sur la queue de Nerren, tandis que la coquine me léchait la bite..

 

Que du bonheur ! Se faire prendre le cul par une bonne queue tandis qu’un mignon petit lot vous prodigue une savante gâterie !

 

Cela dura un petit moment, un moment délicieux, et quand Nerren décula, Lizda se précipita sur sa queue pour la nettoyer.

 

On souffle quelques secondes, puis Lizda se met sur le dos, lève ses jambes en l’air et me demande de l’enculer ! Je savais bien que mon tour viendrait, il suffisait d’attendre.

 

Je baise donc la belle et ce coquin de Nerren me redonne sa bite à sucer ! Le pied !

 

Mais ce n’était pas terminé, Nerren en veut encore il passe derrière moi et me fait comprendre qu’il veut de nouveau m’enculer, j’écarte une fesse lui signifiant par-là que je suis d’accord pour l’accueillir.

 

Et le petit train se met en marche, je baise et me fait baiser. Nerren finit par jouir rapidement, il sort de mon cul et reviens devant nous, nous offrant sa bite gluante de sperme et de pollution anale à nettoyer, ce dont Lizda et moi-même nous acquittons avec gourmandise.

 

Lizda jouit en faisant un ramdam impossible, je jouis à mon tour. Nerren vient recueillir avec ses lèvres, le sperme resté sur mon gland, puis le déverse dans la bouche de la fille qui s’en régale.

 

Et l’engrenage infernal était enclenché, je voulais revivre ces moments intenses que j’avais connu avec Lizda, on a remis ça en duo les jours suivants et sans que j’y prenne garde je m’amourachais de cette jolie plante.

 

Le lieutenant Annabelle Jiker reçut la dépêche du colonel Vonz

 

« Le Globo de Khar n’est pas sur Mijarka, l’original a été vendu, et cela est corroboré par l’acte d’achat de son propriétaire. La planète possède néanmoins une copie de valeur négligeable en oxyde de zirconium. En ce qui concerne Herbert nous sommes dans l’incertitude mais nous savons qu’il a été capturé par les résidentes et qu’il n’a pas quitté la planète. Nous ignorons son sort exact. Vous comprendrez que vu ces circonstances, vous n’êtes éligible à aucune prime. Cependant afin de vous remercier de votre collaboration, nous vous élevons au grade de capitaine ! »

 

« Bon je m’en tire bien, ils auraient pu me virer ! »

 

Quand le Rosa-Monda se posa sur Vargala, un message du capitaine Jiker m’attendait. Je m’étonnais de sa promotion mais la rencontrer n’était pas dans mes priorités immédiates.

 

Je commençais à louer une chambre dans l’hôtel où j’avais mes habitudes. Je la partageai avec Lizda, provisoirement, me dis-je n’ayant aucune visibilité sur la suite.

 

Par politesse je souhaitais rencontrer Riquita, la belle transsexuelle qui m’avait refilé ce magnifique tuyau percé. Je pénètre au « Diable rose », la boite où elle exerçait ses talents. A l’entrée après avoir payé on m’attribue un certain nombre des jetons qui serviront à payer les services sexuels qu’offre l’établissement. On m’informa qu’elle était absente aujourd’hui mais qu’elle serait là le lendemain. Evidement les magnifiques créatures du lieu me proposèrent leurs services, j’aurais pu garder mes jetons pour une autre fois, mais que voulez-vous la chair est faible, et je décidais de rester cinq minutes !

RussoN1

Au milieu de la salle sur la petite scène, une blonde mature un peu enveloppée se faisaient cravacher les fesses par une transsexuelle rousse dotée d’une énorme queue. Je n’étais pas sitôt assis, qu’une trans blonde cendrée, un peu sur le retour et que je ne me souvenais pas avoir déjà vu, vint me proposer ses charmes.

 

– Alors, beau gosse, on vient s’encanailler ?

– Hé !

– Je te plais !

 

J’aurais eu à choisir, j’en aurais probablement préféré plein d’autres, mais puisqu’elle est là, pourquoi pas ? Elle a une certaine classe et un joli sourire…

 

– Bien sûr que tu me plais !

– Je m’appelle Joanna et je suis une bonne salope ! Tu veux m’embrasser les nichons ?

 

Evidemment que je veux, et même que je le fais et pendant que je m’en régale, elle me branle ma queue, et viens y donner quelques bons coups de langues. Ma main trouve son sexe chaud et je le tripote

 

– Tu veux t’occuper de ma bite ? Me propose-t-elle.

– Avec plaisir.

– Tu aimes sucer des bites ?

– J’adore !

– On prend une cabine ou on reste là ?

– Restons là, j’aime bien qu’on me regarde.

– Hum, t’es un gros cochon, toi, Vas-y, suce-moi bien la bite !

 

J’eu vite fait de faire bander cette jolie colonne de chair en la faisant coulisser dans ma bouche, je titillais aussi le gland de petits coups de langue et lui aspirait les couilles.

 

– Un peu à moi maintenant ! Me dit-elle en embouchant ma bite d’autorité.

 

Une sacrée suceuse, mais je ne voulais pas jouir prématurément, ce qu’elle comprit parfaitement en m’offrant de nouveau sa bite à sucer, ce que je fis avec une passion dévorante.

 

Sans doute fatiguée de ma pipe, elle se retourna avec un grand sourire et m’offrit son cul magnifique. Je lui léchais donc la rondelle, j’adore cet endroit particulier à la saveur subtile, j’osais y glisser un doigt que je fis aller et venir. Cela la faisait rigoler, tant mieux moi j’aime bien les professionnelles qui restent d’humeur joyeuse.

 

– J’aimerai que tu m’encules ! Lui demandais-je.

– Mais bien sûr, mon beau capitaine.

 

Qui lui a dit que j’étais capitaine ? Pas bien grave !

 

Je me mets en levrette, et la voilà qui me sodomise en beauté. J’adore ça ! Je suis en extase. J’ai des frissons partout.

 

Un voyeur se pointe et pile juste devant nous, il a l’air fasciné par ce que nous sommes en train de faire et se branle. Il a une jolie bite à la peau très sombre et des couilles qui pendent bien.

 

– Approche-toi, lui dit Joanna, il va te sucer, il est un peu pédé, il aime bien sucer des bites.

 

Elle aurait quand même pu me demander mon avis, la jolie trans, mais quand la queue de l’inconnu se trouve à quelques centimètres de mon visage, je me jette dessus et m’en régale, son gland est mouillé de liquide préséminal, ça n’en est que meilleur

 

Ça ne dure pas assez longtemps, hélas.et Joanna propose à l’inconnu de permuter. Elle est gonflée, de disposer de moi ainsi, mais je laisse faire, je suis très joueur. L’inconnu passe donc derrière moi et me rentre sa bite dans l’anus, tandis que la transsexuelle me donne sa bite qui sort de mon trou du cul à sucer. Elle n’est pas très nette et polluée de taches brunes, ce n’est pas bien grave, cela lui confère un petit goût particulier.

 

Je suce avec frénésie, la sentant au bord de la jouissance, elle éjacule dans ma bouche, tandis que l’inconnu jouit dans mon fondement avant de s’éloigner sans un mot.

 

Joanna vient conclure en me roulant une galoche. Délicieux moment !

 

Après cette petite folie, je me rendis à l’hôtel de police où on m’informa que le lieutenant, non le capitaine, pardon, Jiker m’attendait en mon hôtel.

 

En voilà une démarche insolite !

 

Je pensais la retrouver dans le hall. Ben non, elle était montée dans ma chambre et n’était pas redescendue.

 

De plus en plus étrange !

 

Je montais, et au moment d’ouvrir la porte j’entendis comme des râles de plaisir.

 

J’ouvre et là : stupéfaction : Lizda et Annabelle Jiker sont à poil sur le lit en position de soixante-neuf en train de se gamahucher.

 

Elles ne m’ont même pas entendu rentrer, je me racle la gorge. Jiker se redresse et comme si elle était chez elle me demande :

 

– Tu peux nous attendre cinq minutes dans la salle de bain !

 

Parfois, il vaut mieux ne pas chercher à comprendre, je file dans la salle de bain, mais je laisse la porte entrebâillée

 

Les deux femmes se remettent sur le lit, Lizda en dessous, Jiker dessus, qui lui lèche les seins, qui lui adresse un sourire carnassier avant de l’embrasser profondément puis qui rampe de façon que son visage puisse rencontrer sa chatte, elle écarte les jambes de sa partenaire, et c’est parti pour le léchage de minou.

 

Tout en léchant elle lui introduit un doigt dans le cul après l’avoir préalablement mouillée.

 

Lizda gigote comme une damnée en se tiraillant ses bouts de seins.

 

Jiker lui a maintenant introduit deux doigts dans l’anus et les fait coulisser à un rythme infernal, laissant sa partenaire se masturber en gémissant

 

Et ça continue, valse des doigts et des bouches qui n’en peuvent plus de se donner du plaisir

 

Lizda finit pas éclater son plaisir. Quelques instants de repos pour souffler un peu et c’est reparti. Jiker s’est couchée sur le dos. Lizda se met à califourchon entre les cuisses de sa partenaire de façon à ce que les chattes puissent frotter l’une contre l’autre.

 

S’en suit une infernale séance de frotti-frotta aux termes de laquelle, le capitaine Jiker, haut dignitaire de la planète se mit à jouir en hurlant.

 

Mais elles en veulent encore, j’entends Jiker demander à sa partenaire de s’occuper de son trou du cul, pour se faire elle se met en levrette et attend. Lizda vient lui lécher l’anus, le balayant de larges coups de langue. Le massant de ses doigts, puis crachant dessus, avant d’y enfoncer les doigts. Jiker parvint alors à jouir par le cul, une jouissance moins intense que la précédente, mais quand même…

 

Et les voilà qui se pointent dans la salle de bain en sautillant comme des cabris.

 

– On a envie de faire pipi ! M’explique Lizda au cas où je n’aurais pas compris. Va nous attendre à côté.

– Je ne peux pas regarder ? Demandais-je.

– Non ! Réponds Jiker

– Laisse-le, ça lui fait plaisir ! Objecte Lizda

– O.K. Mais ne va pas aller raconter à tout le monde que tu m’as vu à poil, j’ai une image de marque à tenir, moi, maintenant que je suis capitaine !

 

Tu parles !

 

– Je commence ! Propose Jiker !

– Non, moi ! J’ai trop envie !

– D’accord, donne-moi à boire ma petite chérie, donne-moi ta bonne pisse.

 

Lizda s’assoit sur le bord de la cuvette, Jiker s’accroupit devant sa chatte, bouche ouverte, attend que la blonde libère les vannes et quand le jet li atterrit dans le gosier, avale tout ce qu’elle peut, le reste dégoulinant sur ses nichons et son ventre.

 

– C’était bon ?

– Délicieux, tu veux boire la mienne, maintenant ?

– Bien sûr !

 

Ces dames permutent, la donneuse devient receveuse. Le spectacle était joli, mais j’aurais bien participé, moi !

 

Bon attends-nous, Stoffer, on prend une petite douche et on arrive.

 

C’est dingue ça ! Comment, elles se sont connu ces deux-là ?

 

– Alors, il parait que tu fréquentes le « Diable Rose » ? Me dit Jiker avec un grand sourire.

– Comment tu peux savoir ça ? Et d’abord, je n’ai pas à me justifier.

– Oh, tu sais les mouchards, ça moucharde, mais je voulais te voir pour autre chose, regarde, j’ai reçu une dépêche, je te laisse la lire.

 

Je lu, satisfait que Gariga et son acolyte aient conclu l’affaire de cette façon.

 

– Tu confirmes tout ça ?

– Oui !

– Et Herbert ?

– Probablement dans un bagne agricole.

– Toujours vivant alors ?

– Ces nanas ne sont pas des tueuses, sauf quand elles donnent l’assaut, là elles sont redoutables.

– J’espère qu’il ne va pas s’évader !

– Impossible ! Déjà, s’évader du bagne, ce n’est pas évident, et même s’il réussissait il lui faudrait quitter la planète, je ne vois vraiment pas comment il pourrait faire !

– Bon ça va, je te pique ta copine, je vais lui montrer la vue sur la Grande Vallée.

 

Ah bon ?

 

Je suis un peu idiot parfois, je ne m’étais pas aperçu que le coup de foudre réciproque entre les deux femmes était allé si loin.

 

– Dis-moi, ça n’a rien à voir, mais quand tu vas avec les trans, tu suces ou tu te fais sucer ?

– Les deux, mon capitaine !

 

Lizda ne rentra que le lendemain :

 

– Je suis revenu te faire un bisou et te remercier, je vais loger quelque temps chez Annabelle, ça durera ce que ça durera !

– Alors bonne chance ! Mais dis-moi, vous vous êtes connues comment ?

– C’est tout simple, Anabelle semblait pressé de te voir, elle s’est pointée à l’hôtel, on n’allait quand même pas l’empêcher de monter…Elle m’a trouvé, on s’est présenté, on a discuté, on a sympathisé, et voilà !

 

Me voilà partagé, d’un côté je suis débarrassé de cette « pot de colle », de l’autre un petit pincement au cœur, cette nana était loin de me laisser indifférente.

 

Retour au « Diable rose ». On me fait patienter devant un breuvage local indéfinissable mais fort gouteux en m’informant que Riquita est occupée mais qu’elle ne saurait tarder.

 

L’ambiance du lieu est très chaude, ça drague, ça se caresse, ça se pelote… Au milieu de la salle est disposée une mini scène circulaire. Elles sont trois sur cette scène à moitié couchées, discutant et rigolant entre elles. : Une jolie trans très brune complètement nue à l’exception de ses bas résilles et qui se branlotte la bite négligemment. Une belle blonde aux cheveux plaqués sur le crâne, à poil elle aussi, mais en bas rouges, l’œil coquin. La troisième personne est une femme mature blonde bien potelée aux cheveux tressés.

 

RussoN2

Deux types d’âges murs dont un avec de belles moustaches viennent de se déshabiller et s’approche de la scène. Les deux trans les attrapent par la bite, leur signifiant par-là qu’ils sont les bienvenus.

 

Les deux trans ne s’embarrassent d’aucun préliminaire et se mettent chacune à sucer ces messieurs avant de se mettre en levrette, offrant leur anus avec générosité, tandis que la grosse blonde ne voulant pas être en reste effectue une reptation afin de pouvoir mettre dans sa bouche la bite de la trans brune.

 

Un troisième homme s’approche de la scène, nu et bite bandée. La trans brune lui fait signe de s’approcher et d’enculer la femme mature. Ce qu’il fait et au bout de trois minutes, ayant joui prématurément, il décule, quitte la scène sans un mot et s’en va voir ailleurs. Du coup la femme se relève et passe devant moi !

 

– Tiens, Stoffer ! Qu’est ce tu fabriques ici ?

– Bonjour Lisbeth ! Répondis-je reconnaissant enfin une vielle connaissance. Tu travailles ci, maintenant ?

– Ça m’arrive, ça m’arrive, j’aime bien m’amuser avec mes copines transsexuelles. Tu ne veux pas qu’on s’amuse un peu ?

– Ça aurait été avec plaisir, mais j’attends une copine !

– Gros cochon ! Je vais faire un arrêt pipi, tu viens ?

– Tentatrice !

 

Je ne sais pas quel démon a fait que je la suive, Il y a un tas de monde dans les toilettes, ça se tripote, ça se suce, ça s’encule… on se fraye un chemin, Lisbeth s’assoit sur la cuvette, je viens entre ses cuisses, elle pisse, je bois ce que je peux, ça a duré trente secondes mais ça fait toujours plaisir.

 

Retour dans la salle où sur la scène circulaire, le partenaire de la trans blonde, excité comme un pou, se place en levrette à son tour invitant la jolie créature à l’enculer, ce qu’elle fait avec une incroyable énergie ! Elle a dû prendre des vitamines !

 

Quand sortant d’une alcôve, Riquita m’aperçut, elle fit une drôle de tête, je souris pour la rassurer.

 

– Je suppose que tu as des choses à me raconter ? Commence-t-elle

– Oui ton tuyau était percé !

– Je ne t’avais pas pris en traitre, je t’avais prévenu qu’il n’était pas garanti à 100 %…

– Je sais, je sais, je ne te reproche rien, mais je voulais que tu sois au courant.

– Je ne sais pas quoi faire pour te consoler…tu es sûr de ce que tu dis ?

– Viens t’assoir, je vais te raconter…

 

Je lui narrais alors l’histoire, pas toute l’histoire, cela ne la regardait pas, mais lui expliquait pour la copie en oxyde de zirconium

 

– Encore une fois je suis désolée, tu as dû t’emmerder là-bas ?

– Non, je me suis fait draguer par la Reine locale, elle est charmante.

– Tu l’as baisé ?

– Oui !

– Gros cochon ! Mais dis-moi : est-ce qu’il y a un malentendu entre nous ?

– Mais non ! Pas du tout !

– Alors on s’embrasse !

 

Un gros bisou baveux qui m’a bien fait bander ! D’autant que la coquine en profite pour me pincer les tétons avant de m’offrir sa jolie poitrine couleur chocolat.

 

Je fais durer le plaisir, alternant mes baisers sur les seins et sur la bouche, je passais d’un téton à l’autre et l’autre à l’un, fou d’excitation à ce point que ma bite m’en faisait mal.

 

Quand elle m’offrit sa magnifique bite à sucer, j’en étais à me demander si je n’allais pas éjaculer prématurément en ne pouvant m’empêcher de me branler

 

– Touche pas à ta queue, il n’y a que moi qui ait le droit d’y toucher, d’accord !

– D’accord !

– Je vais te foutre ma bonne bite dans ton petit cul de pédé ! Tu veux qu’on aille en cabine ou on reste ici ?

 

Je m’en fiche qu’on me regarde, on est resté, et tant mieux s’il y a des voyeurs, la chose n’en sera que plus excitante.

 

Alors elle m’a longuement léché la rosette de sa petite langue agile, et puis tout d’un coup ans crier gare je me suis retrouvé avec sa bite dans le cul.

 

Elle m’a limé longtemps, longtemps, je n’étais plus là mais sur autre planète, hors du temps et l’espace. A un moment, malgré ce qu’elle m’avait dit je n’ai pu faire autrement que de me branler.

 

J’ai joui, elle s’est retirée, on s’est mis quelques instants en soixante-neuf pour un nettoyage mutuel de bites. On s’est embrassés avec passion.

 

Cette histoire s’est donc terminée comme nous l’avions commencé ! La boucle est bouclée.

 

J’ai invité Riquita au restaurant, on a bien rigolé…

 

La nuit va tomber dans une heure. Sur Vargala, des petits oiseaux gazouillent gaiement j’aime bien les oiseaux qui gazouillent. Finalement la vie est belle.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 15:43

La reine Russo - 13 – Les plaisirs de la Reine

par Nicolas Solovionni

 

marquise stamp

– Que je me fasse bien comprendre , ce n’est pas votre physique qui m’attire, c’est autre chose, vous possédez une sorte de magnétisme assez fascinant ! Arrêtez donc de rougir, Monsieur Gariga. Quel est votre petit nom ?

– Victor !

– Victor, caressez-moi les seins !

– J’ai vraiment cette permission ?

– Mais oui, mon gros loulou.

– Vous êtes une très belle femme…

– Il me manque un peu l’éclat de ma jeunesse.

– Mais non, mais non ! Ils sont très doux, je peux les embrasser.

– Ils sont à vous, vous pouvez leur faire ce que vous voulez du moment que vous ne les maltraitez pas.

Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Et vas-y que je te pelote, que je te lèche et que j’aspire les tétons, Et quand il se lasse du sein droit, il passe au gauche et ainsi de suite.

 

– Si vous me montriez votre bite, mon beau Victor !

– Elle est en forme ! Répondit-il en entreprenant de se débraguetter

– Mais non, Victor, pas comme ça, faite moi plaisir, descendez-moi tout ça, vous serez plus à l’aise et moi je verrais mieux

 

L’homme obéît de bonne grâce

 

– Allez, tant que vous y êtes, mettez-vous carrément à poil et moi je vais faire pareil.

 

Et voilà la délicieuse reine Russo toute nue en face du « négociateur ». La main de la reine se balade sur le torse de l’homme, pince légèrement le téton, comme ça, pour voir !

 

– Oui ! Dit simplement Victor.

 

Du coup elle y va carrément et lui tortille ses petits bouts, mais sans brutalité.

 

– Tu ne serais pas un peu maso, toi ?

– Non, disons, juste des petits trucs !

– Quoi par exemple ? Non laisse-moi deviner ! La fessée peut-être.

– Ça ne me déplait pas ! Avoue-t-il en rougissant.

– Tu voudrais que je te fesse ?

– Pourquoi pas, j’ai un peu honte !

– Honte, de quoi, ça ne fait de mal à personne ! Juste un peu à toi, mais c’est ton corps, tu en libre !

– Certes !

– Allez, viens te coucher sur mes genoux, mon gros loulou, je vais te faire rougir tes petites fesses.

 

Et ça non plus, il ne se le fait pas dire deux fois.

 

– Oh, mais c’est qu’il est joli ton cul ! C’est rare les hommes qui ont si beau cul ! On te l’avait déjà dit ?

– Non !

– Tiens vilain garçon ! Dit-elle en assenant la première claque.

– Aïe !

– C’est trop fort !

– Non c’est bon !

 

La reine se mit alors à taper sans compter et ne s’arrêta que quand le cul du fonctionnaire eut viré au cramoisi.

 

– Oh lala, j’ai mal aux mains !

– C’était bon ! Commenta-t-il

 

La reine poussa le vice jusqu’à lui embrasser les fesses avant de lui faire quitter la position.

 

– Un trop joli cul, vraiment !

– Vous êtes gentille !

– Et un doigt, t’aimes bien ?

– Un doigt ?

– Tourne-toi tu vas mieux comprendre.

 

Gariga a déjà compris mais il n’osait pas le dire, parfois les grandes gueules sont autant de grands timides.

 

– Si je mets un doigt-là, ça te fait quoi !

– Ce n’est pas désagréable.

– Et si je l’enfonce.

– Je ne sais pas ?

– J’essaie ?

– Juste un peu !

 

« Quel faux cul, c’est le cas de le dire »

 

– C’est bon ?

– Oui c’est bon !

– Je vais bouger plus vite !

– Oh lala !

– Tu aimes ?

– Ce n’est pas désagréable.

– Et un gode tu as essayé ?

 

Gariga se demande dans quoi cette drôle de reine veut l’embarquer, il regarde autour de lui, ne voit pas de godemichet et peut donc, pense-t-il faire une réponse vague.

 

– Y’a longtemps pour voir !

– Et ça t’avais plus

– Ce n’est pas désagréable.

 

Il ne sait dire que ça, ce doit être un tic de langage.

 

– Et tu n’as jamais eu l’envie de recommencer ?

– Jamais eu l’occasion !

– Et si j’e t’en donnais l’occasion ?

– Je ne sais pas.

– Allez, forçons le destin !

 

La reine claque dans ses mains, Tainath apparaît.

 

– Va donc nous chercher un gode, un pas trop gros ! Lui dit-la reine.

– Euh, elle nous regardait ? Balbutie Gariga !

– Non, elle était un peu plus loin à attendre mes ordres et à veiller à ma sécurité

– Ah bon, le gode, ce n’est peut-être pas la peine.

– Mais ce n’est pas grave mon gros loulou, si tu n’en veux pas je le garderai pour moi.

 

Tainath revint rapidement et tendit l’olisbos à sa reine.

 

– Tu veux me regarder pendant que je me l’enfonce ?

– Pourquoi pas ?

– Ou tu préfères m’enfoncer ta bite ?

– Ma foi, si j’ai le choix

– Alors d’accord, mais je vais te la sucer avant, ne fait rien, laisse-moi faire.

 

La reine rappela alors Tainath.

 

– Pendant que je le suce, tu vas lui lécher le cul et peut-être enfoncer un doigt, Victor adore ça !

– C’est que…

– Chut, laisse-moi faire, mon gros loulou.

 

RussoM

La reine s’empare de sa bite et la pourlèche comme elle aime à le faire en se livrant à se savants va-et vient avec ses lèvres serrées, tandis que ses doigts ont de nouveau attrapé ses tétons et les serre vigoureusement. Joli traitement par devant, joli traitement par derrière. Victor Gariga est au paradis.

 

Mais la reine stoppe brusquement ses actions et fait signe à Tainath de faire de même

 

– Maintenant tu peux me baiser !

– Avec plaisir !

– J’ai un petit regret, cependant…

– Dites-moi !

– J’aurais tant voulu que tu t’introduises ce joli gode dans le cul, cela m’aurait fait plaisir de te voir le faire.

 

Peu en état de réfléchir et soucieux de ne pas contrarier la reine qui jusque-là a été d’une gentillesse et d’une disponibilité exemplaire, il répond immédiatement.

 

– Passez-moi ce gode, votre grâce ! Je vais me l’introduire dans le trou du cul.

– Voilà qui est gentil ! Tainath va te donner un petit coup de main. Tainath encule-moi ce gentil monsieur avec le gode et pendant ce temps-là, il va me lécher la moule.

 

La reine se couche, Victor vient entre ses jambes et goute au fumet délicat que dégage la cramouille royale. Derrière lui, la soubrette a introduit le gode facilement, non seulement, l’homme n’a pas émis de protestation, mais le voilà qui dandine du croupion tellement le plaisir provoqué par l’objet devient intense.

 

– Je le retire ou je continue ? Lui demande Tainath.

– Continuez un peu, je vous prie.

 

La reine Russo pensait devoir simuler son plaisir, mais à son grand étonnement, l’homme s’acquitte plus que correctement de sa tâche ! Elle sent son plaisir monter, commence à miauler d’aise et finit par gueuler comme une baleine.

 

Tainath profite de cet instant pour retirer le gode du cul de Victor d’un coup sec, ce qui lui fait pousser à son tour un cri de plaisir.

 

– Maintenant tu peux me baiser ! Lui dit la reine.

 

Ce qu’il fit, le coït fut intense mais rapide, les deux amants ensuite s’embrassèrent.

 

La reine se serait bien passée de ce bisou profond, mais elle s’était bien amusée et avait bien ferré l’homme

 

Ils restèrent sans rien faire, allongés l’un près de l’autre pendant quelques minutes comme deux ados contents de s’être donnés l’un à l’autre pour la première fois

 

Et pendant ce temps-là, Tainath s’était accroupie sur le bord du pont et pissait dans l’eau, faisant déguerpir les pauvres grenouilles qui n’avait pas demandé cette sorte de pluie.

 

– Au fait, Victor, je n’ai pas encore retrouvé l’acte de vente, une déclaration sur l’honneur vous suffirait-elle ?!

– Laissez tomber, je saurais rédiger un rapport qui convaincra mes supérieurs hiérarchiques.

– T’es un amour ! Tainath, apporte-nous de quoi trinquer !

 

Le départ fut fixé au lendemain matin, Gariga ayant souhaité laisser l’équipage et les mercenaires s’amuser une partie de la nuit.

 

Le matin, avant que le capitaine ait entamé le compte à rebours, Bernardino entreprit Gariga.

 

– J’ai réfléchi à un truc, on est en train de se faire posséder par cette reine, elle possède des pouvoirs magiques.

– Pardon ?

– Elle a été capable de transformer Hubert en grenouille, elle a pu nous tromper sur la composition du diamant.

– T’as pris quoi comme substance ?

– Mais je l’ai vu la grenouille, elle me l’a montré !

– Allez, dodo !

 

Trois semaines plus tard Gariga et Benardino rendaient leur apport au colonel Vonz.

 

– Autrement dit, la mère Jiker nous a fait perdre notre temps. ! Commente ce dernier.

– Elle ne pouvait pas savoir ! Objecte Gariga. Personne ne pouvait savoir !

– Ce n’est pas parce que vous avez vu un faux que le vrai n’est pas planqué quelque part !

– C’est évidemment une chose possible mais la probabilité en est si faible que je n’y crois pas une seconde. En principe personne d’étranger ne pénètre dans cette salle du trésor, alors pourquoi prendre ce genre de précaution.

– Bon, je vous fais confiance, on va classer l’affaire ! Et Herbert ?

– Il a péri sur Mijarka ! Mentit Gariga en envoyant un bon coup de coude au lieutenant Bernardino.

– Vous en avez eu la preuve ?

– Non !

– Pas de preuve, pas de primes !

– Hélas ! Hélas !

 

Gariga s’en fichait, il avait agit en service commandé, sa prime n’aurait été que symbolique… en revanche celle de Jiker…

 

– Et oui, la vie est dure parfois ! Le lieutenant Jiker va l’avoir mauvaise !

– Sera-t-elle maintenu dans ces fonctions demanda Bernardino.

– Evidemment, elle n’est pas toujours très claire, mais elle maintient bien l’ordre sur Vargala. Je vais lui envoyer un message pour la mettre au courant. Au fait cette reine Russo, elle est comment ?

– Très belle et elle suce très bien ! Répondit Gariga.

– Pardon ?

– Non, non je plaisantais !

 

Ça devait arriver un jour, la Reine Russo me convoqua.

 

– Bon, ce que je vais te dire ne va pas te plaire, d’ailleurs ça ne me plait pas non plus ! Mais les meilleures choses ont une fin, il faut que nous mettions fin à cette liaison. On ne va pas se plaindre, on en a bien profité, mais il faut savoir tourner les pages.

 

J’avais beau m’y attendre, ça fait mal, je ne commentais pas sa décision et m’y pliais.

 

– Je vais préparer mes affaires, le temps de tout organiser, je devrais pouvoir partir dans deux jours.

– Faisons l’amour une dernière fois !

– Je ne vais pas pouvoir bander !

– Mais si !

 

Mais quand le cœur n’y est pas, la bite ne suis pas ! Comme aurait dit Lao Tseu.

 

Il pleuvait ce jour-là et nous avions délaissé la gloriette pour la chambre royale.

 

Déshabillée en vitesse; l’un devant l’autre, j’avais devant moi sa plastique impeccable dont je ne m’étais pas lassé, alors que pour le moment je n’avais à lui offrir qu’un sexe flaccide.

 

– Caresse mes seins ! Me demanda-t-elle.

 

Evidemment que je les caresse, que j’en apprécie la douceur et la rotondité, mais j’ai l’esprit ailleurs, je ne bande toujours pas.

 

Alors quand l’esprit n’en peut plus, il reste la mécanique comme disait je ne sais plus qui. Et la reine l’a parfaitement compris en m’attrapant mes bouts de seins et en les serrant entre ses doigts, en les tortillant, en les tirant.

 

Et miracle, voilà que popaul redémarre.

 

Flexion des genoux de la Reine Russo, et ma bite se retrouve dans sa bouche. Je suis écartelé entre m’abandonner au plaisir de cette bonne pipe et l’insupportable de devoir nous séparer. Pas facile à gérer !

 

Toujours en continuant à me sucer, la reine passe ses mains derrière moi, me caresse les fesses, les écarte, et parvient à me glisser un doigt dans l’anus. C’est vrai que j’adore ce genre de fantaisie.

 

Et quand elle estima que j’étais suffisamment chauffé, elle se précipita sur le lit, en levrette les cuisses bien écartées, le popotin relevé,

 

– Encule-moi ! Précisa-t-elle au cas où je n’aurais pas tout compris.

 

J’enculais ma Reine en m’efforçant de me concentrer sur ce que je faisais, je la fis jouir du cul et quand je me retirais elle procéda au petit nettoyage dont elle raffolait.

 

Des larmes me virent aux yeux, elle ne les vit pas ou alors elle fit semblant de ne pas les voir.

 

– Tu vois, ça s’est bien passé, si un jour tu repasse par-là viens me faire un bisou.

– Promis !

– Maintenant j’ai un service à te demander, je n’ai dévoilé à personne pour l’instant, l’identité de la fille qui a tuyauté Corelli pour faire évader Harnoncourt.

– Ah ?

– Je vais la bannir de la planète, tu me la prends dans ton vaisseau et tu en fais ce que tu veux, je sais que tu ne lui ne feras pas de mal, mais qu’elle se débrouille, qu’elle en chie un peu !

 

Elle appela ensuite Yolaina

 

– Tu vas me chercher Lizda, je la veux ici rapidement complètement nue et attachée, avec un collier de chien autour du cou. En passant tu demanderas à Nysis de nous rejoindre.

 

Yolaina trouve Lizda dans les cuisines royales, la fait se déshabiller devant tout le monde, puis lui ligote les poignets et lui passe le collier devant les sarcasmes de ses collègues.

 

Lizda n’en mène pas large et elle est toute pâle quand elle se retrouve devant sa reine.

 

– Nysis, tu voulais connaitre l’identité de l’espionne qui a aidé Harnoncourt à s’évader, la voici ! Prends la cravache et donne lui 10 coups sur les fesses; mais ne l’abime pas, je vais l’offrir en cadeau au capitaine Stoffer.

 

Lizda comprit alors qu’elle allait quitter la planète, son rêve se réalisait donc, alors les dix coups de cravache, vous pensez bien qu’elle n’en avait pas grand-chose à faire.

 

Crânement, elle se dirigea vers le mur à sa gauche, offrant son dos et ses fesses à sa fouetteuse.

 

– Non, fouette la devant ! Objecta la Reine.

 

Non seulement ça allait faire mal, mais voir arriver les coups n’a rien d’agréable, néanmoins elle se retourne crânement.

 

Elle a alors l’idée de fermer les yeux, ce qui fait qu’elle ne voit pas arriver le premier coup qui lui cingle le ventre, elle crie, rouvre les yeux, regarde à gauche à droite, ne sait que faire.

 

Nysis la regarde de toute sa hauteur avec un air sadique et une certaine classe, il faut bien le reconnaître, elle arme sa cravache et vise les seins, laissant une trainé rougeâtre en leur travers.

 

Lizda trépigne, crie et pleure, deux gardes sont prêtes à intervenir au cas où elle ne laisserait plus faire, mais la fille prend sur elle pour se remettre en position de recevoir les coups suivants.

 

Nysis fait durer le plaisir, espaçant ses coups d’une minute, voire davantage, puis frappant avec force.

 

– Salope tu me fais mouiller ! Dit-elle en assénant le dernier coup avec une violence sauvage.

 

Le supplice est terminé, Nysis a rangé sa cravache.

 

– Votre grâce, puis-je solliciter l’autorisation de me faire lécher par cette trainée, cette petite séance m’a mise dans un état…

– Tu as entendu, Lizda, Nysis veut que tu la lèches. Je ne vais pas refuser cette faveur à une si jolie fille. Allez, exécution.!

 

Nysis se coucha par terre, jambe écartées, Lizda, obéissante vint donc lui laper le minou inondé de mouille. Cela ne constituait pas une corvée pour elle qui après avoir tété les chairs délicates s’en fut titiller le clitoris et envoyé la fouetteuse dans les étages de l’extase.

 

Lizda se releva, on eut la grande bonté de lui passer une couverture et de la faire conduire à l’infirmerie où on lui appliqua un baume apaisant.

 

Deux jours après, le Rosa-Monda réunissait son équipage avec Dyane, Nerren, Nadget et Dilos, ainsi que les rescapés de l’équipage du Serpentaire : Corelli, Pilzer, Sandora et deux autres qui voyageraient comme passagers et bien sûr Lizda.

 

Greta demanda à rester sur la planète, son flirt avec Yolaina n’étant pas terminé.

 

On allait être serré mais on se débrouillera, et pour les vivres, la reine Russo avait assuré.

 

Il fallut bien que rapidement, Lizda me pose la question :

 

– Tu m’emmène où ?

– Sur Vargala !

– Et ensuite ?

– Il n’y a pas d’ensuite, je te débarque et tu te débrouilles.

– Avec quoi ? Je n’ai rien apporté, je n’ai pas d’argent et les fringues que je porte et qu’on m’a donné ne sont pas à ma taille.

– Je n’y peux rien, ce n’est pas mon problème !

– Arrivée là-bas tu pourras me prêter un peu de sous pour que je puisse manger, dormir…

– Si t’es sage et si je suis de bon poil.

 

Quelque part, elle me fait mal au cœur, cette pauvre nana, je vais la débarquer sur Vargala, elle va faire quoi ? Proposer ses services dans un restaurant, dans un bordel ? Je pourrais peut-être lui conseiller des adresses où les gens sont corrects. Mais comment lui dire ça ? Bof on en reparlera, le voyage va durer trois semaines.

 

– En fait je n’ai pas eu de pot, d’abord Gazo qui se fout de ma gueule, ensuite le Serpentaire qui n’a pas pu partir soi-disant parce qu’il n’y avait plus de combustible.

– Moi je trouve qu’au contraire tu as eu beaucoup de chance, après l’affaire Gazo, la reine Russo, pouvait t’emprisonner ou t’envoyer au bagne, elle ne l’a pas fait, elle t’a juste envoyé en cuisine, et pour la seconde affaire c’était le bagne ou l’exil, tu aurais préféré le bagne ?

– C’est une façon de voir les choses !

– Et d’abord, pourquoi vouloir quitter Mijarka ?

– A cause de cette salope de reine !

– Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?

– J’étais sa favorite et du jour au lendemain, elle m’a laissé tomber pour une pétasse. Alors je me suis jurée de m’éloigner d’ici par n’importe quel moyen. Les vaisseaux ravitailleurs n’avaient pas de place, alors j’ai attendu l’occasion !

– Une histoire de cul, en somme !

– Justement, tu le trouves comment, mon cul ?

 

Je la sentais venir, celle-ci ! Mademoiselle va me faire une opération sexe avec comme contrepartie le fait que je ne l’abandonne pas à son sort une fois débarquée sur Vargala.

 

Le souci, c’est qu’à part des adresses, et apparemment ce n’est pas cela qu’elle cherche, je ne vois pas ce que je pourrais lui proposer.

 

– Bon, tu me fous la paix, s’il me vient une idée, je t’en parlerais.

– Tu ne veux pas passer un petit moment avec moi ?

– Non !

– Tu n’aimes pas les femmes ?

– Si !

– Je ne suis pas ton genre ?

– Bon tu arrêtes !

– Je suce bien, il parait !

– Comment peux-tu dire ça ? A part Gazo tu n’as connu aucun homme, et il n’allait pas te dire que tu suçais mal.

– Tu ne serais pas un peu mufle, toi ? Laisse-toi faire, je vais t’étonner !

– Non !

– Je vais te dire un truc, j’ai déjà quitté Mijarka une fois. Un beau capitaine aux yeux bleus comme le ciel est tombé amoureux de moi, je me suis laissé faire et il m’a embarqué. On a vécu deux mois de folie, puis il m’a largué comme une vieille chaussette sur une planète pourrie, il a bien fallu que je survive, alors les pipes ça me connaît.

– Et t’es revenue comment ?

– Un coup de bol, j’ai galéré plusieurs mois et je suis de nouveau tombée sur le beau capitaine. Il n’a pas été vache, il devait retourner sur Mijarka, alors il m’y a reconduit. Alors tu te laisses faire ?

– Non !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Lilly17
  • Zarouny20b
  • Zarouny28a
  • Martinov17j2
  • Zarouny39a
  • Stoffer410

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés