Eros Cosmos

Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 15:20

La reine Russo - 7 – Diner intime avec la Reine par Nicolas Solovionni

FLL flag

En attendant qu’une décision soit prise, on plaça l’équipage en cellule, deux par deux et en les mettant sur table d’écoute, parce que « on ne sait jamais ». Et comme ils étaient en nombre impair, on accompagna le capitaine Harnoncourt d’un mouchard ou plutôt d’une moucharde et bien gaulée en plus.

 

Harnoncourt trouva la ruse fort grossière, mais ne fut pas trop rassuré, il n’était pas évident que l’ensemble de l’équipage comprenne la ruse, or si quelqu’un se mettait à évoquer le gros mensonge concernant Herbert, il était mal, très mal.

 

Mais en fait les choses se passèrent différemment :

 

Yolaina me montra les visages des types morts sur le tarmac, j’en connaissais certains de vue, mais surtout j’identifiais Davenport, ainsi que le gars qui m’avait refilé le tuyau sur Vargala.

 

L’affaire aurait pu en rester là si Yolaina n’avait pas eu l’idée de me montrer également les photos de l’équipage, je connaissais de vue Harnoncourt et la plupart des autres, mais la surprise, la grosse surprise…

 

– C’est un gars de l’équipage celui-ci ? M’étonnais-je devant la photo d’Herbert.

– Un technicien de bord qu’il nous a dit.

– C’est l’un des assassins de Karlson.

– Il se serait fait embaucher pour superviser l’opération ?

– Je crois en fait que c’est lui l’organisateur !

– Sans que l’équipage le sache ?

– Peut-être mais je n’en vois pas l’intérêt.

 

Je réfléchis quelques instants et me fait préciser les attributions de chacun des membres de l’équipage. Yolaina fit l’énumération

 

– Sandora Muller, technicienne de bord…

– Quoi ? Deux techniciens de bord pour à peine vingt personnes ? Ça ne tient pas debout, à mon avis vous devriez l’interroger de nouveau.

– On va aller la chercher, vous restez avec moi ?

 

Sandora arriva encadrée par deux gardiennes, une belle brune métissée, restée entièrement nue depuis sa descente du vaisseau, elle n’en menait pas large.

 

– Bon ! Commença Yolaina, d’abord une petite mise au point. On était d’abord parti sur l’hypothèse que l’équipage n’avait rien à voir avec ce qui s’est passé sur le tarmac. Depuis on en est beaucoup moins sûrs !

 

La Sandora devient blanche comme une craie.

 

– Alors voilà, ici c’est simple, ceux qui n’ont rien à se reprocher seront libérés, les complices des criminels seront châtiés suivant leur niveau d’implication, ça peut aller de l’esclavage dans nos champs pour une durée plus ou moins longue, jusqu’à la mise en broche, on est un peu cannibale, ici ! Alors maintenant, question : pourquoi deux techniciens de bord ?

 

Sandora à la tremblote, elle parvient à articuler :

 

– J’ignore pourquoi Herbert a été enregistrée comme technicien de bord, en réalité c’est moi qui faisais tout le boulot.

– Qui t’as dit qu’Herbert était enregistré comme technicien de bord ?

– Le capitaine !

– Et à quel moment ?

– Non !

– Comment ça, non ?

 

Et c’est les grandes eaux, Sandora craque.

 

– Je ne peux pas ! Qu’allez-vous me faire ?

– Ça dépend de ce que tu vas nous sortir :

– Il nous a dit ça après la fusillade.

– Autrement dit Harnoncourt a essayé de couvrir Herbert !

– J’en sais rien, laissez-moi tranquille, je ne sais rien de plus !

– Il t’as dit ça à toi personnellement ?

– Non, on était tous réunis.

 

Echanges de regards entre Yolaina et moi, nous n’avons plus de questions.

 

– O.K., vous ne la remettez pas en cellule, collez-là dans une chambre confortable mais fermée à clé, donnez-lui à boire et à manger ! Ordonna Yolaina aux gardes

– Euh, je pourrais avoir des fringues ?

– Mais oui ma grande, on va bien te trouver un joli pyjama !

 

Harnoncourt se maudissait d’avoir inventé ce stratagème impliquant Herbert. Il réfléchit à ce qu’il lui faudrait dire si la supercherie était découverte. Mais aucune des explications possibles ne le satisfit, il dirait donc la moins mauvaise.

 

– Nous avons appris que vous avez demandé à votre équipage de dissimuler le véritable rôle de Monsieur Herbert. Commença Yolaina quand Harnoncourt fut emmené devant nous

– Bravo les mouchards ! Rouspète le vieux briscard.

– On vous écoute !

– C’est tout simple ! Je dois dire en préalable que Herbert m’avait payé pour l’acheminer ici avec ses hommes sans me dire de quoi il retournait, je me doutais bien qu’il s’agissait d’une action dangereuse et musclé, mais il s’est bien gardé de m’en fournir les détails.

– C’est plausible ? Me demanda Yolaina

– Oui, ça se défend, Herbert n’avait aucun intérêt à lui indiquer le but de sa mission, faute de quoi le capitaine aurait pu demander une participation, avec toutes les complications qui vont avec.

– Admettons, mais ça ne répond pas à la question :

– Quand votre sono nous a demandé de nous rendre, j’étais seul avec Herbert, il m’a dit que vous bluffiez et m’a demandé de décoller, ce que j’ai refusé. J’ignorais s’il était armé, je lui ai proposé cette solution alternative, il a accepté.

– Hum ! Mais quand on vous a interrogé, vous auriez pu dire la vérité au lieu de tout mettre sur le dos de Davenport !

– Oui, mais si ça avait marché, je sauvais la vie d’Herbert, et il m’en aurait été recevable, c’est la carte que j’ai jouée. Il faut croire que c’était une mauvaise carte

 

Restait Herbert !

 

– Bon, on sait tout ! Tu n’as jamais été technicien de bord, c’est toi qui as payé Harnoncourt pour t’acheminer sur notre planète, et c’est toi qui es à l’origine de cette charge sauvage et ridicule sur le tarmac. Maintenant on t’écoute.

 

Contrairement à Harnoncourt, Herbert, pensant que la supercherie passerait comme une lettre à la poste, n’avait rien préparé, aussi se trouve-t-il complètement déstabilisé devant cette avalanche d’accusations !

 

– Tout ça c’est des conneries, c’est une machination !

– Alors, qu’en est-il ?

– Il en est que vous me cassez les couilles. Si vous avez quelque chose à me reprocher, j’exige un avocat.

– Vous en aurez un, mais ça m’étonnerait qu’il puisse vous sauvez. Par contre, si vous vous décidiez à collaborer, on pourrait éventuellement vous trouver des circonstances atténuantes.

– Merde !

– Sachez quand même, espèce de malpoli, que vos agissements relèvent d’un tribunal de guerre, le procès aura donc lieu très vite, sans doute demain. En ce qui vous concerne, nous réclamerons la peine de mort. Dans ce cas, vous serez condamné à être mangé, en plusieurs fois, un jour un bras, un jour une cuisse, on sait faire durer ! Vous n’avez toujours rien à ajouter ?

 

Herbert devient livide mais ne bronche pas, réfléchissant déjà à la façon dont il pourrait s’évader.

 

Le procès eut lieu le lendemain, la reine Russo présidait, Yolaina assurait l’accusation et Nysis avait été commise avocat de la défense

 

L’affaire fut brièvement menée, interrogatoire d’identité, puis la même question pour tous les membres de l’équipage : « étiez-vous au courant des objectifs de monsieur Herbert ? »

 

Harnoncourt réitéra ses aveux et Herbert joua à la carpe.

 

Yolaina demanda une peine de principe pour l’équipage sauf pour Sandora, elle chargea modérément Harnoncourt en demandant deux ans d’esclavage mais lourdement Herbert en demandant la peine capitale.

 

Nysis demanda la relaxe pour l’équipage, une peine de principe pour le capitaine qui n’avait que peu de chose à se reprocher. Quant à Herbert, elle demanda qu’on lui octroie une mort rapide parce qu’on ne répond pas à la barbarie par de la barbarie.

 

– Tu parles d’une avocate ! S’indigna l’intéressé.

– Silence ou je rajoute un outrage à magistrat !

– Au point où j’en suis vous pouvez rajouter tout ce que vous voulez !

 

A peine un quart d’heure plus tard ! Une greffière vient lire le verdict !

 

– Le tribunal en ayant délibéré ordonne la relaxe pour la totalité des membres de l’équipage, des chambres libres leur seront attribuées en attendant que soient réglés les détails de leur rapatriement. Le capitaine Harnoncourt est condamné à un an de travaux forcé en temps local dans nos champs, Herbert est condamné à être mangé en petits morceaux…

– Bande de salopes ! Hurla l’intéressé !

– Reconduisez cette saloperie en cellule !

 

Le soir la reine Russo m’invita dans ses appartements privés à partager son dîner. J’allais donc enfin savoir ce qu’elle allait m’offrir en échange de mes bons et loyaux services.

 

J’ignorais bien évidemment comment allait se dérouler ce repas et qui y était convié. J’interrogeais mes seconds, ils n’avaient pas été invités.

 

Je m’y rendis donc, avec un doigt d’appréhension espérant qu’on ne me ferait pas bouffer Herbert. Une pensée stupide me traversa alors l’esprit :

 

« Impossible ! Il n’a pas eu le temps de mijoter ».

 

Tainath l’accorte soubrette (parce que les soubrettes sont toujours accortes) à la peau couleur de caramel et aux yeux en amande me conduisit dans la salle à manger de « Sa Grace » en dodelinant du popotin.

 

Je m’attendais comme la veille à une immense table rectangulaire avec fleurs et chandeliers. Ben non la table était bien là, mais aucun couvert n’y était dressé ! « Bizarre, bizarre ! » me dis-je avant que mes yeux ne découvrent dans un coin, une table ronde avec ses assiettes, ses couverts et sa verrerie…. Pour deux personnes ! Il s’agira donc d’un diner en tête à tête ! Ah, bon !

 

N’empêche que je suis tout seul dans cette pièce et ne sais pas où me mettre, alors j’attends !

 

Au bout de cinq minutes, la porte s’ouvre :

 

– Sa grâce Russo ! Annonce la soubrette avec une certaine solennité.

 

La voilà qui arrive, j’incline la tête de façon protocolaire.

 

– Installons-nous ! J’ai grand appétit ! Mais avant Champagne !

 

Je suis incapable de sortir une parole, subjuguée par le spectacle qu’elle m’offre. La reine s’est en effet revêtue en haut d’un simple gilet de dentelles jaune ouvert sur une magnifique poitrine nue ! En bas une longue jupe très fine noire et assez transparente, Je ne peux pas voir s’il y a une culotte en-dessous

 

– Remettez-vous, capitaine, ce n’est qu’une poitrine !

– Elle est très belle !

– Merci ! Trinquons !

– Volontiers !

 

Tainath, la jolie soubrette remplit les coupes, on trinque, on boit. J’ai toujours l’appréhension idiote dans ces cas-là de tomber sur un verre empoisonné, mais non tout va bien !

 

– Pas terrible, celui-ci ! Commente la reine, j’ai du mal à en importer du bon, mais goutez donc ces crevettes, on les pêche ici, mais à l’origine, ce sont des crevettes terriennes, elles ont juste un peu muté mais en bien !

 

C’est vrai qu’elles étaient excellentes !

 

– Bon, maintenant parlons affaires, reprit la reine, vos informations étaient bonnes et nous avons probablement évité une tragédie. Cela mérite récompense !

 

Ah, enfin !

 

– Il vous faut savoir un certain nombre de choses, vous êtes-vous intéressé à l’histoire de la planète, capitaine ?

– Pas trop, à vrai dire, et les bases de données ne raconte pas grand-chose.

– Au départ, il y avait ici une base scientifique, et puis comme partout, suite à des restrictions budgétaires, la concession a été abandonnée, un escroc a réalisé une vente fictive. Un vieux couple très friqué s’y est installé et a fait construire le palais. Sur ces entrefaites la véritable mise en vente a été réalisée, c’est notre première reine qui l’a acheté à un prix bradé. Quand elle a débarquée pour prendre possession des lieux avec une vingtaine de femmes, une grosse surprise l’attendait. Déjà ce palais non décrit dans le contrat de vente, à l’intérieur on a retrouvé le cadavre de madame décédée probablement de mort naturelle, celui de monsieur n’a pas été retrouvé, mais elles n’ont pas trop cherché non plus. En fouillant on a trouvé une collection de bijoux dont le « Globo de Khar ». Nous avons fait venir un expert, les bijoux étaient authentiques, leur vente allait nous permettre de développer notre communauté…

– Leur vente ?

– Attendez ! Avant de les vendre, nous avons demandé à l’expert de nous faire une reproduction en zirconium amélioré du « Globo de Khar ». Vous vous sentez mal, capitaine ?

– Non, non tout va très bien ! Mentis-je.

– Vous comprenez maintenant pourquoi nous tenons tant à ce caillou en toc, c’est le symbole de notre communauté, il nous a permis de vivre et de prospérer décemment.

 

A ce stade je me demandais si la reine Machin n’était pas tout simplement en train de me baratiner. Facile à vérifier :

 

– Cette vente a eu lieu quand ?

– La première année de notre implantation, il y a de cela plus de cinquante ans.

 

Le piratage du vaisseau transportant le propriétaire actuel du « Globo de Khar » datait de quatre ou cinq ans, ce qui rendait vraisemblable les dires de la reine.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes désillusions.

 

– Il serait intéressant, mon cher monsieur, que cette histoire s’ébruite, sinon on ne va pas arrêter de venir nous faire chier. Pourriez-vous me rendre ce service capitaine ?

– Mais très certainement !

– Vous étés un chou !

 

Voilà que je suis un chou, à présent !

 

– Alors la récompense, reprit-elle, je ne sais pas ce qui vous aurait fait plaisir mais il vous faut savoir que notre situation budgétaire n’est guère brillante, nous avons dû nous endetter, nous arrivons à bien vivre et en ce qui me concerne moi et ma cour, nous vivons même très bien, mais nous sommes loin de rouler sur l’or. Alors capitaine, vous et votre équipage profitez de ce que peut vous offrir cette planète, un bon climat, de la bonne chère, je n’ose pas dire du bon vin; puisque nous n’avons que de la piquette, mais des belles femmes peu farouches, des vacances de rêves en quelque sorte !

 

Je rêve ! Tout ça pour gagner des vacances à l’œil ! Je l’ai mauvaise !

 

– Puis-je espérer que mes frais seront remboursés à titre de dédommagement, je vais repartir à vide et…

– Mais bien sûr mon chou ! Présentez-moi ta facture et je te l’arrondirais même un petit peu ! C’est la moindre des choses.

 

J’ai failli lui répondre que « sa grâce » était trop bonne » mais je me suis dégonflé.

 

– Je constate mon cher capitaine que vous n’arrêtez pas de me reluquer ma poitrine depuis tout à l’heure !

– Si cela vous offense, j’en suis désolé, mais comment pourrais-je ne pas la voir ?

– Je ne suis pas offensée, j’aime qu’on me regarde ! J’aime qu’on me caresse !

– Dois-je prendre ces propos comme une invitation ?

– C’en était une !

– Otez-moi d’un doute ! Je me figurais que sur cette planète les hommes étaient considérés comme des êtres inférieurs.

– Certes, mais nous ne sommes plus aussi psychorigides qu’avant. Nous n’avons pas l’intention d’abolir notre gynocratie, puisque nous y trouvons avantage, mais avoir des rapports avec un homme, n’est-ce pas une délicieuse et innocente perversion ?

 

Que voulez-vous répondre à ça ? Sinon détourner la conversation, et puisqu’elle me laisse le champ libre…

 

– Je peux caresser là ? Demandais-je en lui touchant le bas de son sein droit.

– Vous pouvez caresser partout !

 

Partout, partout encore faudrait-il que je puisse avoir accès, mais pour la poitrine ça va, je caresse, j’empaume, j’approche mes lèvres guettant sa réaction, et comme elle ne proteste pas, je lèche, j’aspire ses jolis tétons.

 

– Décidemment, ma poitrine vous plait ?

– Oui !

– Imaginez que je coince votre bite entre mes deux nichons et que je vous fasse jouir de cette façon.

 

Je n’en reviens pas de cette réplique aussi vulgaire qu’inattendue, mais paradoxalement cela m’excite, n’est-ce point émoustillant qu’une femme du monde s’encanaille avec des mots grossiers ?

 

– J’imagine volontiers

– Alors sort-moi donc cette queue que je la mette dans ma bouche ! Je l’ai bien apprécié hier, j’en reprendrais bien un petit peu !

 

Je vais pour ouvrir ma braguette, mais elle m’arrête dans mon élan :

 

– Non pas comme ça, mon cher, un peu de délicatesse, mettez-vous intégralement nu, ce sera plus romantique !

 

Je le fais donc et Tainath, la soubrette, vient gentiment prendre possession de mes fringues qu’elle dépose sur le dossier d’une chaise, bien dans ses plis Elle fait de même avec le peu d’habits que portaient la Reine.

 

A poil, celle-ci est magnifique, nous nous approchons l’un de l’autre, très près, j’ai ma bite contre son ventre, merveilleuse sensation !

 

Nous nous caressons mutuellement et sa grâce ne trouve rien de mieux à faire que de s’emparer de mes tétons et de mes les tortiller avec une certaine énergie.

 

J’adore cette caresse qui me fait me pâmer et me fait bander encore plus dur.

 

– T’aimes, ça, petite salope, hein ?

 

Voilà que je suis sa petite salope, à présent.

 

– Tu ne m’as pas répondu ! Insiste-t-elle.

– Oui, j’aime ça !

– Je veux t’entendre dire que tu es une petite salope !

 

On ne va pas la contrarier, la souveraine d’opérette !

 

– Je suis sûre que tu aimes bien les petites misères ?

– Juste les petites !

– Non, mais, je n’ai pas l’intention de t’abimer, mon petit chou ! Montre-moi donc ton cul !

 

Je me tourne, lui fais voir mes fesses, elle me complimente, mais souhaite que je les écarte.

 

– Il est marrant ton trou, je suis sûre que tu aimes y introduire des machins ?

– Ça m’arrive !

– C’est bien ce que je pensais, tu te fais enculer aussi ?

– Ça m’est arrivé !

– Hum, dommage que je n’ai pas un beau petit esclave pour qu’il t’encule devant moi, ça t’aurait plus, n’est-ce pas ?

– Pourquoi pas ?

– Mais t’es vraiment un gros cochon !

– Disons que j’aime les bonnes choses !

– C’est ce qu’on va voir, Tainath, prend la badine et flanque donc vingt coups sur les fesses à mon invité.

 

J’espère qu’elle ne va frapper trop fort, la soubrette !

 

Non ça va, c’est supportable, je ne vois pas de miroir, mais à tous les coups, je dois avoir après cette petite fantaisie, les fesses rouges comme un coquelicot.

 

– Ça fait du bien, non ?

– Disons que ça chauffe !

– Mon pauvre choux, ça t’a peut-être donné soif ?

– Ma foi…

– Tu aimerais goûter à mon pipi ?

– Mais bien volontiers, votre grâce !

– C’est un honneur rare, tu y auras droit après le dessert si j’y consens, mais en attendant Tainath va t’offrir le sien.

 

– Bouh ! Je suis contrarié, je voulais le pipi de la Reine, mais non, je rigole. Tainath s’approche de moi et me fait admirer sa jolie chatte aux lèvres chocolatées qu’elle écarte afin de m’exhiber son petit trésor tout rose.

 

Elle prend un verre, pisse dedans en le remplissant presque à ras bord et me le tend, j’aime bien les jeux de pipi, mais là il en a d’abondance. Je goûte, c’est très bon, mais j’en laisse la moitié.!

 

– Alors ?

– Délicieux ! Mais j’en garde un peu pour tout à l’heure.

 

A tous les coups je vais me faire engueuler, non, même pas.

 

– T’as gagné le droit de lui nettoyer la chatte, on va voir ce que tu sais faire avec ta langue.

 

Alors, là, ça n’a rien d’une corvée, j’adore lécher un joli minou. Je cherche simplement comment nous disposer. Mais la soubrette s’est déjà saisie d’un coussin qu’elle pose sous ses fesses, en s’allongeant par terre. Je n’ai plus qu’à aller la rejoindre, langue en avant.

 

Et c’est parti, je lèche les gouttelettes d’urine dont sa chatte est imbibée, puis je continue à lécher, la coquine doit être une chaudasse parce qu’elle se met à mouiller, c’est délicieux tout ça, je me régale.

 

Et la voici qui commence à se trémousser de façon très significative en produisant des halètements de plaisir, je continue, je m’active, elle gigote de plus en plus, je porte l’estocade en attaquant son clitoris. Un cri, elle a joui.

 

Je me relève, je suis content, j’aime bien faire jouir les femmes.

 

– Une nana de la garde entre dans la pièce en grandes enjambées et stoppe en plein milieu.

 

– Excusez-moi votre grâce, j’ai entendu du bruit…

– Tout va bien, c’est juste cette chienne qui ne sait pas jouir en silence. Tu peux te retirer. Tainath, fait venir les amuse-gueules.

 

La soubrette va pour récupérer sa culotte.

 

– Laisse cette culotte tranquille, je te trouve très bien avec la chatte à l’air !

– Comme il vous plaira, votre grâce !

 

Elle disparaît dans un petit vestibule et réapparait presque aussitôt en poussant une table roulante.

 

Et là j’ai eu très peur ! Car la table est particulière : il y a dessus une femme d’allongée, toute nue et recouverte de victuailles apéritives ! Je me souvins à ce moment-là que des rumeurs de cannibalisme circulait à propos de cette planète et me demandais déjà comment m’en sortir.

 

Je devais être blanc comme un linge mais en m’approchant je m’aperçus que la demoiselle respirait et souriait.

 

Ouf ! Ça va mieux !

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On a donc pioché sur le corps de la fille : des petits toasts au pâté, aux œufs de poissons, à la tomate, du moins quelque chose qui y ressemblait et d’autres trucs indéfinissables mais délicieux. (Pour les petits curieux qui veulent se cultiver, cette fantaisie d’origine japonaise de nomme nyotaimori et se pratiquait avec des sushis)

 

– Donnez-lui à manger, capitaine, imaginez cette pauvre fille recouverte de bonnes choses qu’elle ne peut pas manger.

 

Puisque c’est un jeu, jouons. Je prends un toast au pâté et lui fourre dans la bouche, elle commence à mâcher !

 

– Embrassez-là, elle en meurt d’envie, voyons.

 

Le problème c’est qu’elle n’a pas fini sa bouche, j’attends donc, mais la fille s’arrête de mâcher. C’est donc ça le jeu, mais c’est que je n’ai jamais fait ça, moi, j’en ai pourtant fait des bizarreries, mais pas celle-ci ! Bon, on ne va pas contrarier son monde et ça ne va pas me tuer. Je me lance ! Pas de quoi s’enfuir en courant mais je n’ai pas trop envie de recommencer.

 

En revanche, maintenant que sa poitrine est dégagée, j’ai une envie immarcescible de lui embrasser les seins. Je me paie le culot de demander à la Reine si je peux le faire.

 

– Mais c’est à elle qu’il faut le demander ! Me répond-elle.

 

Oui bien sûr ! La demoiselle me fait un signe de tête, signifiant par là que j’ai son autorisation. Mes lèvres se posent alors sur son téton droit bien érigé, je me régale, c’est la fête, mais je n’insiste pas trop, je sais me tenir quand même ! Bien qu’à y réfléchir j’aurais pu demander la permission de lui lécher la chatte, je n’ai pas osé, je suis un grand timide en certaines circonstances..

 

On enlève la table roulante, la fille couchée dessus nous fait un grand aurevoir avec un geste du bras ! C’est quand même surréaliste cette affaire-là !

 

– Un petit break avant de se mettre à table ! Me propose la Reine Russo, venez avec moi !

 

Où ça, où ça ?

 

Il y a une banquette dans un coin, la reine s’y installe et se positionne en levrette, le cul cambré, les cuisses écartés, ses orifices exposés ! Quelle vision !

 

– Enculez-moi, capitaine, enculez-moi comme une chienne !

– J’arrive !

– Vous le trouvez comment, mon cul ?

– Divin !

– Léchez-moi la rondelle !

– Avec grand plaisir.

 

J’adore lécher les trous du culs accueillants, surtout quand ils ont conservé leur petite odeur particulière trop souvent masqué par les produits de toilettes.

 

– Aimez vous le parfum de mon trou du cul, capitaine ?

– Il est exquis, votre grâce !

– J’en suis fort aise, j’ai volontairement oublié de m’essuyer tout à l’heure après avoir fait mes besoins, je me doutais que ça vous plairait.

– J’apprécie l’intention.

– Votre bite, maintenant, votre bite dans mon cul !

 

Excité comme j’étais, je lui ai carrément sauté dessus. Ma bite s’est enfoncée dans son trou du cul comme un doigt dans une motte de beurre. J’étais dans un état second, je ne me contrôlais plus après toutes ces fantaisies qui m’avait mis la bite en émoi ! Je pilonne, je pilonne tandis que sa grâce se met à frétiller et à émettre des gémissements peu protocolaires. Le sang me monte à la tête, je transpire comme un docker, ça devient infernal, elle nous fait un bruit impossible. J’appris un peu plus tard que Tainath était allée prévenir la garde de ne pas s’inquiéter.

 

Et la voilà qui jouit en essayant autant que faire se peut d’étouffer son cri de jouissance. Mais pourquoi donc ? Je continue, je sens que mon plaisir est proche, ça y est j’éjacule dans son trou du cul, je me retire. J’ai la bite polluée de sperme et peut-être d’autre chose, je ne regarde pas de près. La reine s’en empare et me nettoie tout ça de sa bouche et de sa langue.

 

– J’adore sucer une bite qui sort de mon cul ! Commente-t-elle

 

Ça va, j’avais compris ! On fait quoi maintenant ? Je suis en nage, je prendrais bien une douche, mais la reine semble avoir une autre priorité :

 

– J’ai encore plus faim que tout à l’heure, mettons-nous à table pour de vrai !

 

Ce n’est qu’un peu plus tard au cours du repas qui devint sage, que j’osais lui poser une question qui me brulait les lèvres :

 

– Au fait, Herbert, vous allez vraiment le manger ?

– Est-ce que nous avons des tronches de cannibales ? Non, j’ai un mois pour commuer sa peine en esclavage perpétuel, je le ferais au dernier moment, ainsi il va se payer trente jours d’angoisse.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 15:16

La reine Russo - 6 – Sexe et sang sur Mijarka

par Nicolas Solovionni

 

stamp partouz

A l’atterrissage sur Mijarka, l’échange radio fut tendu, nos cales étaient vides et nous n’avions rien à leur proposer. Ces dames se calmèrent légèrement quand je leur annonçais que Greta était à bord et souhaitait rencontrer Yolaina.

 

– Vous n’allez pas nous faire croire que vous ne venez que pour ça ! Nous dit la voix dans le micro.

– Non, nous sommes porteurs d’un message très important à destination de votre Reine !

– Le porteur du message peut débarquer, Greta également, sans armes bien entendu !

 

Sont trop méfiantes, ces nanas !

 

Je sors du vaisseau avec Greta, on vient nous palper, un palpage très rapproché, c’est le moins que l’on puisse dire, une nana fait signe à sa chef que tout est O.K.

 

Et là : scène absolument surréaliste, la chef des gardes enlace Greta, lui roule un patin et l’emmène je ne sais où, pendant que ces dames m’escortent vers le palais de la Reine.

 

J’aurais dû demander quel genre de salamalecs, il me fallait effectuer devant cette reine d’opérette. Je me renseignais auprès des gardes, qui m’indiquèrent qu’une simple inclinaison de la tête suffirait et qu’il convenait de l’appeler « votre grâce ! Et sans attendre plus longtemps on me conduisit au palais dans la salle des audiences.

 

Greta m’avait vanté sa beauté, mais là je l’ai devant mes yeux incrédule, une magnifique rousse, le port altier, pas de la première jeunesse mais éclatante de beauté, elle est vêtue d’une sorte de corset noir tellement décolleté qu’il découvre la partie supérieure de ses aréoles. Je bande !

 

– Quand vous aurez fini de me déshabiller du regard, vous pourrez peut-être me dire ce qui vous amène ?

 

Elle veut me déstabiliser ou quoi la belle mature ?

 

– Je suis désolé, votre grâce, mais votre beauté…

– Bon, ça va !

– Un navire de guerre est sur le point d’arriver sur votre planète, il y a à son bord une bande d’aventuriers prêts à en découdre, leur objectif est de s’emparer du « Globo de Khar », je ne sais s’ils agiront par la ruse ou par la force, mais ces gens sont très dangereux.

– Bien, on va voir ça ! Yolaina ! Mais elle est où est Yolaina ?

– Elle fait une pause, votre grâce ! Répondit Nysis, la sous-chef des gardes !

– Une pause ? Elle est en train de baiser, oui ! Allez me la chercher de toute urgence.

 

Puis s’adressant à moi :

 

– Vous êtes qui, vous d’abord ? Et pourquoi venez-vous me raconter ça en atterrissant sans rien dans vos cales ?

– Capitaine Ajas Stoffer. J’ai pensé qu’un tel renseignement méritait récompense.

– Ben voyons !

 

Et sur ces entrefaites, Yolaina, la capitaine des gardes fit son apparition, les cheveux en bataille.

 

Je dû donc répéter mon histoire.

 

– Est-ce qu’on a les moyens d’exploser leur vaisseau avant qu’il n’atterrisse ? Demanda la reine.

– Non !

– Et une fois posé ?

– Sans problème ! Mais ce serait dommage de démolir un vaisseau que l’on pourrait récupérer ! Idem pour les hommes, on manque de main d’œuvre dans les champs.

– Tu préconises quoi ?

– On les laisse venir, ils ne sauront pas qu’on les attend, on bénéficiera de l’effet de surprise.

– Bien sûr, mais qu’est-ce qui nous prouve que cet homme dit la vérité ? intervint Nysis.

– La personne avec qui j’étais il y un instant pourra sans doute confirmer tout ça ! Répondit Yolaina.

– Eh bien, allez la chercher ! Ordonna la Reine.

 

Greta apparaît, peu rassurée.

 

– Tiens, tiens ! Dit la Reine, on s’est déjà rencontré, vous êtes toujours aussi craquante au point de faire oublier ses devoirs à notre capitaine des gardes.

– Mais…

– Silence, confirmez-vous ce que nous a dit le capitaine Stoffer ?

– Je suis désolée, mais j’ignore ce qu’il vous a dit, puisque je n’étais pas présente !

– Stoffer, recommencez !

 

Ça ne fera jamais que la troisième fois, elles sont trop chiantes, ces nanas. Je raconte donc de nouveau.

 

– Greta, vous approuvez ?

– Oui, votre grâce !

– Comment se fait-il que notre secret a été dévoilé ?

– Après la mort d’O’Neal, Karlson a pris le commandement, c’était un homme instable, malade, il a parlé de trop et l’histoire est parvenue aux oreilles d’une bande de tueurs, Karlson et les autres membres de son équipage ont été assassinés, je suis la seule survivante.

– O.K. Yolaina, je te laisse organiser la réception de ces imbéciles. Capitaine Stoffer, vous serez mon invité ce soir ! Greta aussi naturellement.

– Mon équipage peut-il débarquer ?

– Si vous nous autorisez à inspecter votre vaisseau, l’équipage pourra débarquer.

– Soit !

– Nysis, tu t’occupes de ça ! Tu me loges tout ce petit monde au pavillon bleu. Service cinq étoiles, armes interdites évidement.

 

C’est ainsi qu’alors que je dinais en compagnie de la Reine, de Yolaina, de Nysis et de Greta, mon équipage fut entrainé dans une orgie improvisée.

 

A notre table nous étions sérieux, Yolaina et la Reine voulait connaitre tous les détails des évènements qui m’avaient amené jusqu’ici. Curieuse comme des belettes, elles posaient plein de questions y compris sur Vargala, la façon dont on y vivait, ses tripots, ses bordels et ses voyous …

 

Nous étions donc fort sages, à l’inverse au pavillon bleu…

 

Nysis avait délégué à Nara l’ordonnancement de la soirée, celle-ci avait pris du galon depuis qu’elle avait servi de souffre-douleur à la séance expiatoire de Lizda (voir plus avant)

 

Mon équipage prend place autour de la table, Dyane et Nerren que je vous ai déjà présenté, Dilos l’ingénieur de bord et Nadget, la belle blackette chargée entre autres de l’infirmerie. Comme je viens de le dire, je n’étais pas là, étant convié à la table royale, mais Dyane m’a raconté.

 

Et d’ailleurs je lui prêtre le clavier

 

Le récit de Dyane.

 

Nous sommes dans une belle salle à manger joliment décorée, la table est dressée avec soin et la vaisselle est de qualité. Il y a de part et d’autre de la table quatre banquettes, dont je me demande l’utilité, mais le lecteur aura sans doute deviné.

 

Nara prend la parole.

 

– Voilà je suis chargée par notre souveraine de faire en sorte que vous passiez une soirée agréable, je pense que vous appréciez ce que nous a préparé notre cuisinière. Notre vin est moyen mais pas désagréable, et pour le reste ces trois demoiselles et moi-même pourront répondre à vos sollicitations si vous avez envie, disons de certaines caresses. Je tiens à m’excuser auprès de vous, mesdames, mais nous n’avons pas prévu de partenaires masculins, il y a bien des hommes sur la planète, mais vous ne les auriez pas appréciés.

 

Incroyable, ça quand même ! On nous prend pour des obsédés sexuels ou quoi ? Bon c’est vrai que j’aime ça et que j’ai une attitude décontractée en ce qui concerne le sexe, mais il n’y a pas que ça dans la vie et je ne suis pas nymphomane..

 

Ces demoiselles qui font le service sont simplement vêtues, si on peut appeler ça vêtues : en bas une petite culotte, et en haut un gilet noir non fermé ce qui fait que quand elles bougent on peut voir leurs nénés !

 

Les plats sont délicieux, des fruits de mer locaux en entrée et ensuite une volaille non identifiée mais gouteuse accompagnée d’une sauce aux champignons. En revanche le vin est dégueulasse.

 

Heureusement qu’il y a la bouffe pour nous occuper parce qu’on a l’air de quatre paumés, on ne sait pas de quoi parler devant ces quatre canons qui vont probablement nous sauter dessus après le dessert.

 

La dénommé Nara semble avoir jeté son dévolu sur Nerren, chaque fois qu’elle sert ou qu’elle dessert, elle lui fout carrément ses nichons sous le nez, tandis qu’une jolie blondinette est aux petits soins pour Dilos.

 

En ce qui concerne Nadget et moi-même, je sens une certaine réserve, ces dames devant se demander si on est bi ou pas ? Alors c’est juste des sourires, auxquels je réponds poliment mais sans que cela puisse être interprété comme l’acceptation d’une avance. On verra plus tard !.

 

C’est au moment du dessert que l’affaire a tourné en orgie On nous a présenté des coupes remplie d’une sorte de crème aux amandes, un truc pas mauvais du tout. La blondinette qui avait décidé de chauffer Dilos ne trouva rien de mieux à faire que s’enduire le téton de crème et de le lui proposer ainsi. Mettez-vous à sa place il n’allait pas refuser ! Et le voilà en train de lécher les bouts de sein de la coquine qui en profite pour lui mettre la main sur la braguette.

 

Nara de son côté s’approche de Nerren et s’installe carrément sur ses genoux en lui offrant ses tétons à sucer.

 

Une de ces demoiselles finit par s’approcher de moi.

 

– Mes collègues sont coquines, n’est-ce pas ?

 

Bon, je ne suis pas neuneu, ça s’appelle une tentative d’approche, alors ou bien je l’envoie promener ou alors j’abrège les formalités en lui indiquant que si elle veut me peloter et plus si affinité, elle peut y aller ! Que croyez-vous que je décidai ?

 

Du coup la nana, sans autre forme de procès cherche mes lèvres et me roule un patin, elle embrasse bien la gouinette !

 

Et une fois qu’elle m’a embrassé, elle se débarrasse de ce qui lui sert de vêtements, puis elle me pelote, elle me déshabille, elle me caresse ! Une vraie tornade.

 

Je voudrais bien finir mon dessert quand même !

 

– Une petite seconde, je finis ma crème et après on fera des trucs !

 

Elle me fait signe de la main que non ! Comment ça ? Je comprends mieux quand prenant mon dessert à pleine main elle s’en répand sur tout le corps, les seins, le ventre, le nombril, les cuisses, la chatte aussi bien évidemment.

 

Alors je lèche tout ça, pour un bon dessert, c’est un bon dessert, et je me réserve sa chatte pour le final. Pas folle la fille m’entraîne vers la banquette, je jette un coup d’œil circulaire, il n’y a plus personne autour de la table, tout le monde est en train de baiser. Sur la banquette située dans le prolongement de la nôtre, Nadget est en train de se gouiner en soixante-neuf avec sa partenaire. C’est très joli. Magie du noir et blanc. Comme disait un poète l’amour en noir et blanc ça se termine en couleur !

 

Je lèche ma complice du moment, il n’y a bientôt plus de crème et la saveur sucré fait place à une autre plus mielleuse et légèrement salée, c’est qu’elle mouille la demoiselle et qu’elle ne fait pas semblant. Alors allons-y je vais la faire jouir en espérant obtenir ensuite la réciproque.

 

Ça crie à côté et je reconnais la voix de Nadget, qui vient de jouir. Pour l’avoir pratiquée je sais qu’elle part toujours très vite.

 

Et tandis que je m’applique sur la minette de cette fille dont je ne saurais jamais le nom, Nadget et sa copine du moment viennent nous observer. Faut surtout pas vous gêner les filles !

 

J’ai son clitoris au bout de ma langue, l’autre commence à se pâmer, j’insiste, et la voilà qui jouit, bruyamment et humidement .

 

Bon, je voudrais bien qu’elle s’occupe de moi maintenant, je ne m’inquiète pas trop, ça doit forcément faire partie du programme.

 

Mais alors que l’attendais entre mes cuisses, c’est Nadget qui vient me butiner, et comme je suis pratiquement à quatre pattes, c’est mon trou du cul qui subit les honneurs de sa jolie petite langue. Après la langue ce sont les doigts, tant mieux j’adore qu’on me doigte le cul. Les deux autres filles ne restent pas inactives, l’une s’occupe de mes seins, l’autre me roule une pelle. Quelle orgie mes amis, j’avais déjà participé à un trio lesbos, mais pas encore à un quatuor. Une belle première. Je me laisse faire, je suis complètement passive, tout y passe, les doigts, les langues… je me laisse faire à ce point que je ne me souviens plus laquelle des trois m’a fait jouir, mais ce fut fulgurant.

 

Je me relève pour boire un coup, de l’autre côté de la table, Dilos est en train d’enculer sa partenaire, je devrais dire de finir de l’enculer car il pousse un cri d’animal non identifié, il sort sa bite spermeuse et un peu cacateuse, la fille ne se dégonfle pas et lui nettoie tout ça en toute décontraction.

 

Une autre fille s’approche de moi avec un sourire coquin :

 

– Tu aimes mes seins ?

– Ils sont très beaux

– Lèche les !

 

Je n’hésite pas une seconde et savoure comme il se doit cet arrogant joli téton

 

– J’ai un peu transpiré, ça ne te gênes pas ?

– Non, j’aime bien les odeurs naturelles !

– Comme celle-ci ! Me dit elle en me dévoilant son aisselle.

 

Elle veut donc que je lui lèche l’endroit, j’aurais préféré continuer à m’occuper de ses seins, mais si je peux faire plaisir…

 

– Tu aimes ?

– Délicieux !

– Ça n’a pas un petit goût de pipi ?

– Ça ne me dérange pas !

– Tu voudrais gouter à mon pipi ?

– Avec plaisir !

RussoF2

Je me suis accroupie, elle a approché sa jolie chatte de ma bouche grande ouverte et j’ai dégusté son urine, sa délicieuse urine. Je l’ai remercié en la faisant jouir.

 

Je jette un coup d’œil en direction de Nerren, je ne sais pas trop ce qu’il a fait avec Nara, mais ils sont en train de faire causette comme deux vieilles connaissances.

 

La fête s’est un peu continué puis on nous a conduit à nos chambres, nous étions fourbus, mais satisfait de cette petite soirée.

 

Fin du récit de Dyane.

 

Je dinais pour ma part dans la grande salle à manger de la Reine. Si les plats étaient délicieux, le vin était une horrible piquette. Pas moyen d’en placer une, ces dames papotaient comme des pies, me posaient des tas de questions, mais je n’arrivais pas à rebondir sur la seule chose qui m’intéressait en ce moment. Qu’envisageait la reine pour me rétribuer de la précieuse information que je venais lui apporter ? Et à la fin du repas alors qu’on nous servait un breuvage qu’il n’avait de café que le nom, la Reine changea brusquement de registre :

 

– Savez-vous capitaine, qu’il y a un bout de temps que je n’ai pas sucé une bonne bite ?

 

Je cherchais une réponse intelligente, mais déjà elle avait la main sur la braguette.

 

RussoF11– Faites-moi voir, ça, j’ai envie de sucer ! Ça ne vous dérange pas au moins ?

 

Evidemment que ça ne me dérange pas ! En deux temps trois mouvements, elle m’a sorti ma queue de mon falzar et a commencé à la masturber, elle fut vite bien raide.

 

– Pendant que je suce le capitaine, l’une des deux va venir entre mes cuisses et me lécher la chatte.

 

Greta et Yolaina se regardent ne sachant se décider

 

– Alors, vous vous décidez ou pas, petites salopes ?

 

C’est Yolaina qui s’y est collée. J’ai trouvé que pour vivre sur une planète de femmes, la reine avait une science de la fellation très au point, me pompant avec énergie en interrompant régulièrement ses mouvements de bouche de petits coups de langues sur le gland. A ce régime-là, je n’ai pas résisté longtemps et j’ai déchargé de longues coulée de sperme dans sa bouche royale. Après avoir avalé tout ça en se léchant les babines, elle s’abandonna ensuite fermant les yeux attendant que Greta l’emmène au paradis. Elle poussa alors un cri fulgurant.

 

Affolée, une jolie soubrette, entra précipitamment dans la salle

 

– Votre grâce a appelé ?

– Oui Tainath, tu pourras débarrasser et prends ce qu’il faut pour nettoyer la bite du capitaine.

 

Une heure avant l’atterrissage, Herbert réunit les dix hommes de son commando de choc :

 

– Je vais maintenant vous dévoiler l’objet de notre mission. L’objectif est de piquer un diamant détenu par les nanas locales, je m’occuperais personnellement de la négociation. On va employer la méthode Blitz : En débarquant on fait un massacre, vous tirez sur tout le monde, le but c’est de les terroriser. Je m’occuperais du reste. Maintenant, je veux voir tout le monde en tenue de combat dans les cinq minutes. Vous n’obéissez qu’à Davenport et à moi. Exécution.!

 

– Ici le Serpentaire ! Nous demandons l’autorisation d’atterrir suite à avarie.

– Autorisation accordée ! Bienvenue sur Mijarka, atterrissez sur l’aire 121. On vous balise l’endroit.

– Elle nous font arriérer où ces grognasses ? On est complètement au bout au fond du terrain !

 

Une fois posé, Herbert scruta le tarmac.

 

– Personne ? Elles sont où ?

 

Il activa la sono :

 

– Atterrissage terminé, nous descendons !

– Stop ! Répondit le haut-parleur du cosmodrome. Pour le moment seules deux personnes sont autorisées à descendre, et sans armes !

– O.K. On n’est pas tout à fait prêt, on descend dans cinq minutes.

 

Herbert est perplexe, les choses ne se passent comme prévu.

 

– Bon, les gars : la sortie est à 9 heures. Vous descendez tous et vous vous précipitez là-bas au pas de course. Vous cinq devant en ligne, vous deux 10 mètres derrière sur la gauche, et vous deux pareil sur la droite ! A mon commandement, ouvrez le sas, allez-y ! Go !

 

Les dix gaillards descendent comme indiqué, Davenport se positionne en arrière,.

 

– Stop ! Arrêtez-vous immédiatement, sinon on ouvre le feu, ! Hurle Yolaina dans le haut-parleur.

– Stop ! Tout le monde en position de reddition ! Ordonne Davenport.

– Qu’est-ce que tu fous ? Tu ne comprends pas qu’elles bluffent ! Intervient Herbert dans l’oreillette.

 

« Merde ! On va avoir des pertes mais on s’en fout, elles n’auront pas le dessus » Se dit le truand in petto.

 

Peu convaincu, Davenport modifie néanmoins son ordre :

 

– Foncez, au pas de course, doigt sur la gâchette ! Ordonne-t-il.

– Dernière sommation !

– On avance, on avance !

 

Une rafale d’armes automatiques, dix corps gisent sans vie sur le tarmac.

 

Derrière son écran de contrôle, Herbert est effondré non pas à cause des morts, mais parce que son plan s’est brisé dans le sang avant même qu’il ne soit appliqué.

 

Il a la rage, il aurait eu à son bord des canons laser, il aurait fait ici un massacre qu’aucune survivante n’aurait pu raconter puisqu’il n’y en aurait pas eu !

 

Mais le « Serpentaire » ne possédait plus de canons laser.

 

Harnoncourt, le capitaine, surgit derrière lui :

 

– Mais vous êtes complètement malade ! C’est quoi ce bordel ?

– Vous, je vous paie pour me transporter, pas pour faire des commenterais.

– Je vous rappelle que je suis seul maître à bord !

– Justement, ce qui s’est passé, ce n’était pas à bord, alors foutez-moi la paix.

– J’ai conduit des missions dangereuses, mais un incapable de votre espèce, c’est une denrée rare !

– Vois voulez mon poing dans la gueule ?

– Je vais faire repartir le vaisseau, on ne va pas rester là ! Consignez-vous dans votre cabine !

 

Le rapport de force avait changé, Herbert se retrouvait maintenant isolé face à l’équipage.

 

La sono de l’astroport retentit :

 

– Toutes les personnes à bord de ce vaisseau doivent descendre, complètement nus, y compris les pieds, sans bagages et munis de vos badges d’identification. On vous laisse dix minutes.

– Dix minutes ? On a le temps de partir ? Demande Herbert.

– Oui !

 

– Nous n’avons pas entendu votre réponse, si vous essayez de décoller sachez que nous avons un canon laser pointé sur votre vaisseau.

 

– Du Bluff ! Dit Herbert !

– Vous avez bien vu, qu’elles ne bluffaient pas ! Je ne prends pas ce risque ! Répondit Harnoncourt.

– Arrêtez, si on descend, elles vont nous massacrer !

– C’est en effet une éventualité, mais peut-être qu’elles ne le feront pas. Pour ma part, je n’ai ordonné aucun assaut et je ne manquerai pas de leur préciser si elles m’en laissent la possibilité.

– Salaud ! Dégonflé ! Lavette !

– Calmez-vous, on va tout mettre sur le dos de Davenport, je vous ferais passer pour un technicien de bord, si ça marche, vous me revaudrez çà !

– Vous croyez que j’ai une tête de technicien de bord !

– Non, vous auriez plutôt une tête de con, mais on fera avec. Bon tout l’équipage en salle de contrôle immédiatement !

 

Ils étaient tous là : Corelli, le second, Pilzer, le navigateur, l’ingénieur du bord, Sandora qui était, la véritable technicienne de bord et une infirmière.

 

Harnoncourt résume la situation :

 

– Je ne vais pas me mettre à poil ! Proteste Sandora.

– Il vont nous faire quoi ? S’inquiètent les autres.

– Vos gueules ! Si tu ne veux pas te mettre à poil, t’as le droit mais si elles te tirent dessus tu seras bien avancée. Quant à ce qu’elles vont nous faire, j’en sais rien, mais vous vous présenterez tous comme des simples membres d’équipage pas du tout au courant des intentions des mercenaires qu’on a transporté. Herbert devra être présenté comme le second technicien de bord. Allez à poil tout le monde.

 

Harnoncourt brancha la sono et prit le micro :

 

– O.K., on obéit à vos ordres, nous allons descendre !

– Vous êtes combien ?

– Sept !

– O.K. Nous ferons sauter le vaisseau après votre descente, s’il reste du monde à l’intérieur, ben tant pis pour eux.

 

Les sept personnes descendirent.

 

– Ceux qui ont conservé leurs chaussures ou leur culotte, vous enlevez immédiatement. O.K. Maintenant vous vous éloignez les uns des autres de dix mètres, interdiction de communiquez entre vous.

 

Le groupe obtempéra difficilement, marcher pieds nus sur ce tarmac mal entretenu n’ayant rien d’évident.

 

– O.K. ! La nana à gauche, vous avancez jusqu’au muret marqué « 8 ». Et vous passez derrière.

 

Harnoncourt comprit la procédure, les guerrières ne souhaitaient pas se découvrir tant qu’elles n’étaient pas certaines que personne n’allait les canarder à partir du vaisseau. Mais ça voulait dire aussi que l’affirmation selon laquelle elles détruiraient le spationef était probablement du bluff.

 

Dès que Sandora passa derrière le muret, elle fut menottée et conduite à l’intérieur d’un véhicule, il en fut ainsi pour ses autres compagnons.

 

C’est Yolaina qui s’occupait des interrogatoires. Ce fut rapide, encore une fois Sandora passa la première :

 

– Vos fonctions à bord du vaisseau ?

– Technicienne de bord ?

– Avez-vous eu des contacts avec les gens qui nous ont attaqués.

– Ben oui, on se côtoyait un peu !

– Avez-vous reçu des confidences sur leur mission.

– Non, en fait ils ignoraient ce qu’on allait leur demander de faire.

– Comment le savez-vous ?

– Ils me l’ont dit.

– Qui était le chef des mercenaires ?

– J’en sais rien, on ne se parlait pas beaucoup et ça ne m’intéressait pas de savoir ça !.

– En tant que technicienne de bord vous les serviez à table, vous avez dû surprendre des conversations.

– Rien de frappant ! Des conversations de mecs…

– Il y en avait un qui avait l’ascendant sur le groupe ?

– Oui, Davenport !

– Vous avez couché avec ?

– Non ! Trop moche et trop con !

– Et avec d’autres ?

– Comme ça vite fait…

– En principe quand on couche, on se fait des confidences, non ?

– Bof, à part me raconter leurs vies, si vous saviez comme je m’en foutais.

 

De son côté Harnoncourt jura ses grands dieux que dans cette affaire il n’était que le convoyeur et indiqua qu’il avait été payé par Davenport pour le conduire ici.

 

Herbert s’en sortit plutôt bien, esquivant les questions trop précises.

 

– Je suis en état de choc, tous ces morts, il y en a qui s’en foutent, pas moi, je suis un être sensible.

 

Yolaina pensa alors que l’affaire était simple, un aventurier ayant eu vent de la présence ici du « Globo de Khar », avait pris le commandement d’une équipe de choc et avait loué les services d’un transporteur afin de les conduire ici sans leur préciser quel était l’objectif.

 

Les responsabilités de chacun semblaient donc bien définies. Restait à savoir ce que les amazones locales entendaient faire de tout ce petit monde.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 07:44

La reine Russo - 5 – Les tueurs de Vargala par Nicolas Solovionni

 

Mat Stamp

Boniface

 

Revenons un peu en arrière, sur Vargala.

 

Boniface, ce n’est d’ailleurs pas son vrai nom, mais personne ne le connaît, est un traîne-savates comme il y en a dans tous les coins mal famés de la galaxie, il survit de flibustes diverses et de petits trafics. L’espace ne l’intéresse plus d’autant qu’aucun capitaine n’irait enrôler un personnage aussi douteux.

 

Il reste souvent des heures à « La spirale », établissement moitié bistrot, moitié bordel, moitié restau médiocre, ce qui, le lecteur l’aura remarqué, nous fait trois moitiés.

 

Ce jour-là, Boniface y remarque un bonhomme arborant sa veste de capitaine de vaisseau, pratique désuète en ces lieux.

 

« Peut-être un coup à faire ? »

 

Il s’approche.

 

– Bonjour, vous êtes bien Muller ? Bluffe-t-il

– Non Karlson ! Capitaine Karlson !

– Ah ! J’ai confondu ! Je ne vous ai jamais vu ici !

– Non, je n’étais jamais venu, on s’est posé au plus près, l’équipage a été décimé par une bande de folles.

– Une bande de folles ? Ah, racontez-moi, parfois ça fait du bien de parler ! Je vous paie à boire ?

– Un conard de notre équipage s’est fait draguer par une bonne femme qui voulait s’enfuir de sa planète. Elle voulait payer son voyage avec quoi ? Je vous le donne en mille ?

– Dites voir !

– Le « Globo de Khar » !

– Rien que ça ! Répondit Boniface qui n’avait jamais entendu parler de l’objet.

– Et alors ?

– Alors, les nanas nous ont encerclé, on leur a rendu la pierre et refilé le voleur.

– C’est ça qui a décimé l’équipage ?

– Non ! On a failli avoir une mutinerie, pour ne pas perdre la face, le capitaine…

– Ce n’était pas vous, le capitaine ?

– Attendez, le capitaine a pris la tête d’une expédition punitive, ça a été un massacre, le capitaine a été tué. Ceux qui comme moi n’avait pas participé ont été gazé et fait prisonniers quelques semaines.

– Eh, bien ! Et vous comptez faire quoi ?

– J’en sais rien ! J’avais proposé une solution intelligente au capitaine, il ne m’a pas écouté et a préféré affronter ces furies sous la pression…

– C’était quoi, la solution intelligente ?

– Revenir avec un commando de mercenaires et embarquer le diamant. Mais maintenant c’est foutu, le vaisseau est avarié et ce qui reste de l’équipage ne vaut plus grand chose.

 

Boniface réfléchit, puis se livra à ce qu’il savait faire de mieux, le bluff :

 

– Admettons que je vous trouve un armateur qui vous fournirait un vaisseau et des hommes ?

– Vous en connaissez un ?

– Peut-être, peut-être ! Vous m’avez dit que c’était quelle planète ?

– Mijarka

– Et le nom du diamant ?

– Le « Globo de Khar »,

– Je vais voir ce que je peux faire ! On se retrouve demain, ici même heure ! Surtout n’en parlez à personne, il ne faudrait pas qu’on se fasse doubler !

– Motus et bouche cousue ! Mais vous m’aviez promis à boire…

– Mais bien sûr, Gundula apporte une bière à mon ami !

 

La pulpeuse Gundula s’approcha en mettant pratiquement ses nichons sous le nez de Karlson.

 

– Je peux te donner autre chose, beau brun, un moment avec moi, ça te tente ?

– Vous êtes une femme ou une transsexuelle ?

– Mais non, je suis une vraie femme.

– Vous ne savez pas où je peux trouver des transsexuelles ?

 

Gundula s’éloigna en haussant les épaules, mais Boniface s’empressa de lui fournir une adresse…

 

C’est ainsi, qu’un peu plus tard, Karlson montait avec Riquita, la belle transsexuelle et malgré ses promesses de  » Motus et bouche cousue » y alla de ses confidences sur l’oreiller. Mais ça Boniface ne le sut jamais.

 

Boniface s’empressa de se renseigner, effectivement le « Globo de Khar », était une pierre d’une valeur inestimable.

 

Ils étaient combien à connaître l’endroit où se trouvait la pierre ? Ce qui restait de l’équipage, ça ne faisait pas grand monde, mais trop de monde quand même.

 

Le lendemain Boniface rencontrait Herbert, l’un des gros caïds locaux. Celui-ci écouta son interlocuteur avec intérêt.

 

– Si le mec ne fabule pas, ça peut être intéressant, voilà ce que tu vas faire…

 

Boniface est de nouveau en présence de Karlson :

 

– J’ai trouvé un armateur et une équipe de quinze mercenaires…

– Quinze c’est peut-être un peu juste l

– Ah ?

– Cinq de plus, ce serait déjà mieux !

– A mon avis, c’est négociable, mais ça fait des parts en plus à distribuer !

– On ne sera pas obligé de leur dire la valeur de ce qu’on va chercher !

– T’es un malin, toi !

– Hé !

– Y’a juste un problème, faudrait pas qu’on se fasse doubler par l’un des membres de ton équipage qui se mettrait à bavarder !

– Bien sûr ! Répondit Karlson, ignorant où son interlocuteur voulait en venir.

– Alors on va faire simple ! L’armateur va embaucher tout ce petit monde sur un de ses vaisseaux réguliers. Pendant qu’ils seront dans l’espace, ils ne bavarderont pas !

– Génial !

– Pour ça il me faut la liste de ces gens-là avec leur trombine et tout le reste.

– O.K. Je télécharge ça de l’astroport et je te le transfère.

 

Une fois en possession de la liste Herbert s’en alla rencontrer le lieutenant Jiker

 

– On va avoir un petit nettoyage à faire, on aimerait compter sur ta discrétion, voilà la liste !

– C’est qui ces gens ?

– Des gens qui en savent de trop sur une chose que je ne peux pas dire !

– C’est d’un clair !

– Tu veux combien ?

– Tu ne crois pas que tu exagères un peu !

– Il n’y aura pas de vendetta, ces gens sont inconnus ici !

– Quand même, t’y va fort !

– Combien tu veux ?

 

Anabelle Jiker annonça un chiffre !

 

– Ça me parait correct

 

Le lieutenant Jiker n’était pas vraiment fière de ce qu’elle venait de faire, mais venait d’empocher un joli paquet de fric.

 

« Ce mec est trop dangereux, il faudra qu’un jour je trouve le moyen de le supprimer de la circulation ! » se dit-elle avant de penser à autre chose.

 

Herbert avait maintenant le champ libre.

 

Il avait toujours eu du flair et sentait bien ce coup. Du flair et le goût du risque, il avait déjà investi beaucoup dans cette affaire en soudoyant le lieutenant Jiker, et il en investirait d’autres… Evidement il n’entrait nullement dans ses intentons de partager quoi que ce soit avec Boniface, mais cet aspect des choses n’avait rien d’urgent.

 

Herbert n’aimait pas se salir les mains, le sale boulot; il le faisait faire par d’autres. Pour cette opération, ce serait Davenport, un individu cruel et sadique mais respectant les ordres comme un bon petit soldat.

 

Le massacre pouvait commencer, les deux hommes choisirent d’attendre à l’hôtel le plus près de l’astroport, le plus près dans les bas prix.

 

Ils attendirent Wong dans le petit salon, le soûlèrent de paroles en lui faisant croire qu’il serait embauché lui et ses camarades sur un cargo de lignes à condition qu’il raconte ce qui était arrivé au reste de l’équipage.

 

Wong confirma donc une partie des dires de Karlson, une partie seulement, car il ne savait pas tout, mais néanmoins suffisamment pour qu’Herbert se sente conforté sur la faisabilité du projet.

 

Bien sûr on lui demanda où étalent ses collègues, trois d’entre eux pensionnaient ici, pour les deux autres, il ne savait pas.

 

Les tueurs à qui Davenport avait sous-traité le travail entrèrent en action le soir même, éliminant Wong et trois de ses compagnons. Ce fut ensuite le tour de Karlson.

 

– Il en reste deux, un mec et une femme, écumez les hôtels, ils ne doivent pas être bien loin.

 

Limay leur échappa deux jours avant de se faire coincer, mais ils ne trouvèrent pas Greta.

 

Fin du flashback

 

Comme je m’y étais engagé, Greta avait trompé les contrôles de l’astroport avec un simple badge de bagagiste et se reposait dans une cabine de mon vaisseau

 

Bon, c’est pas tout ça, mais je fais comment pour identifier les conards qui ont éliminé Karlson et ses compagnons ?

 

Un petit tour au cosmodrome, parce qu’on ne sait jamais.

 

Prenant prétexte de me rendre à mon vaisseau, je cheminais sur le tarmac et relevais les immatriculations des spationefs posés là.

 

Il n’y en avait pas tant que ça, hormis deux vaisseaux, tous étaient des cargos indépendants, j’en connaissais certains appartenant à des collègues, pour les autres quelques petites vérifications s’imposaient.

 

Deux astronefs m’intriguaient, l’un était un vaisseau de ligne qui apparemment n’avait rien à faire ici, l’autre était un bâtiment de petite taille, trop petit pour faire cargo, peut-être un navire militaire recyclé.

 

Je montais à bord de mon vaisseau et me connectais à l’ordinateur de la capitainerie afin de vérifier ce que je voulais savoir.

 

Les cargos appartenaient tous à des capitaines ou à des armateurs répertoriés, ils faisant régulièrement escale ici, pour certains la planète constituait même leur port d’attache. L’un deux était le Mytra, le vaisseau de Karlson, le nom de l’armateur domicilié sur une autre planète ne me disait rien du tout, il faudrait un certain temps pour que celui-ci soit mis au courant de ce qu’il était advenu de ses équipages. Le vaisseau avait été placé sous séquestre provisoire et vu de l’extérieur me paraissait plutôt joli.

 

Les informations concernant le vaisseau de ligne ne montraient rien de suspect. Quant au spationef léger, je notais le nom et l’adresse de son propriétaire un certain Kaloum.

 

L’endroit était une espèce de drugstore où l’on pouvait acheter tout et n’importe quoi. Je n’y avais jamais foutu les pieds.

 

Il avait une vieille bonne femme derrière le comptoir assez revêche, je l’abordais au flan :

 

– Vous n’auriez pas des réacteurs dorsaux ?

– Non, on a pas ça ici, il faut aller chez Innaritu, près du cosmodrome.

– J’étais venu il y a longtemps ici, il y avait un gars qui s’appelait Kaloum, je crois !

– Il n’est plus là !

– J’aurais bien aimé le revoir !

– Vous voulez autre chose ?

– Vois ne sauriez pas où je peux le trouver ?

– C’est un drugstore ici, pas une agence de renseignements.

– Vous êtes très aimable, vous,?

– Je sais, c’est mon image de marque.

 

J’ai pensé un moment l’amadouer avec quelque argent, mais flairant une piste et voulant éviter de me faire remarquer, j’ai préféré faire profil bas.

 

Je contactais Dyane, lui faisait part de mes investigations et lui demandais d’aller draguer à la capitainerie pour essayer d’avoir des renseignements complémentaires.

 

– Il va encore falloir que je lui fasse une pipe ?

– Ben oui !

– J’irais à la même heure que l’autre fois, je me suis tapé un ticket avec un petit gros !

– Génial.

 

Le « petit gros » parait enchanté, ravi de voir arriver Dyane, laquelle s’est fendue de son plus beau sourire.

 

- Content de vous revoir ! Lui dit Rudy !
- Mais moi de même ! Répondit Dyane avec un sourire canaille.

– Le renseignement que je vous ai refilé l’autre jour, ça vous a servi ?

– Sauf que le mec en question s’est fait trucider, mais comme je n’aime pas les affaires louches, j’ai pas cherché à comprendre. Mais bon, je viens pour tout autre chose, j’ai envie de me mettre à mon compte.

– Ça ne marche plus avec Stoffer ?

– Si, il est charmant, mais j’aimerais être ma propre patronne. Y’a pas un vaisseau à vendre en ce moment ?

– Non !

– Le vaisseau de ligne, là-bas c’est un vrai vaisseau de ligne ?

– Ben, oui !

– Et qu’est-ce qu’il fait ici ?

– Un truc à touristes, ils viennent s’encanailler en restant un jour ou deux sur une planète de malfrats !

– Ah ! Et le machin là-bas, c’est quoi ? Dit-elle en pointant son doigt vers la vitre.

– On ne sait pas trop, ce n’est pas un cargo, il n’y a pas de cale, il bouge de temps en temps.

– Vous croyez que je pourrais l’acheter ?

– Un vaisseau sans cale ? Pourquoi faire ?

– C’est rapport au prix, ce ne doit pas être très cher !

– J’en sais rien !

– Il faudrait que je contacte le propriétaire !

– Je suis désolé, seuls les capitaines et les armateurs ont accès à ces informations !

 

Rudy savait pertinemment ce qu’il faisait, ses yeux exprimait la concupiscence. Dyane n’avait plus qu’à entrer dans son jeu.

 

– Même contre une pipe ?

– Je peux faire un effort !

– Sauf que le nom du propriétaire ne me suffira pas, je veux tout savoir ! On joue cartes sur table !

– J’aurais pas d’ennuis ?

– Mais non ! On fait ça où ?

– Ici, je vais fermer le bureau, mais comme normalement je n’ai pas le droit de communiquer ce genre d’information, je vais être un peu plus exigeant

– Et en quoi consiste ces exigences.

– Ben tu te mets à poil et je te baise !

– Ben voyons…

– C’est à prendre ou à lécher !

– A lécher ?

– Hi ! Hi !

– Non on se donne un quart d’heure ?

– Vingt minutes !

– Non mais c’est tout, oui ? On va dire un bon quart d’heure.

 

Et sans autres formalités, Dyane se dévêtit mais sans se presser au contraire de Rudy qui se déshabilla à la vitesse d’un cheval au galop.

 

Sa bite était déjà droite comme un étendard, il avança ses mains afin de peloter les seins de la belle mature !

 

– Oh que c’est beau, que c’est doux, que c’est excitant.

 

Dyane se laissa caresser sans broncher, elle ne dit rien non plus quand la bouche de l’homme entra en action afin de lui lécher les tétons.

 

« Bon, dans un quart d’heure ce sera fini ! Patience ma fille, patience ! »

 

– Oh, qu’est-ce que tu bandes bien ! Elle est trop belle ta bite

 

« Extrait du manuel de la parfaite escort girl : toujours complimenter les mecs sur leur bite, ça les rend heureux ! »

 

– Hé ! Ma foi je ne me plains pas !

 

RussoE1Elle tripota le membre quelques instants puis l’imbiba de salive avec sa petite langue agile, avant de sucer le gland, elle se rappela alors que la dernière fois, il avait apprécié qu’on lui doigte le trou du cul.

 

Alors elle doigta !

 

Dans d’autres circonstances, elle aurait demandé à l’homme s’il était bisexuel, mais elle ne voulait pas l’embarrasser, elle se contenta de doigter, un second doigt rejoignit le premier, puis un troisième, L’homme en hennissait de plaisir.

 

« Pendant que je m’occupe de lui, il ne me fout pas ses sales pattes partout ! »

 

Mais doigter de la sorte peut être fatigant et même donner des crampes, alors il fallut bien que Dyane retire ses doigts.

 

– Hum c’était bon ! Tu me suces un peu avant le final ?

– Mais certainement, milord !

 

Sa bite était grosse, ce qui n’était pas pratique pour la pipe, Dyane n’ayant pas une bouche d’avaleuse de sabre, alors elle fit comme la fois d’avant, balayage du gland avec le bout de la langue, léchage de la hampe, gobage des testicules.

 

Le temps passe vite quand on fait du sexe, Dyane n’avait pas regardé l’heure mais subodorait que le temps qu’ils s’était donné arrivait à son terme.

 

– Bon, maintenant tu peux me prendre ! Dit-elle en se mettant en levrette sur le fauteuil visiteurs.

– Je t’encule ?

– Non, mais tu crois que c’est la fête, laisse mon cul tranquille !

– Même avec un petit billet ?

– Me prendrais-tu pour une pute ?

– Je n’ai rien contre les putes ! Baiser pour avoir un renseignement ou baiser pour de l’argent quelle différence ?

– Alors d’accord, je suis une pute, mais tu vois la pute aujourd’hui, elle n’a pas envie de se faire enculer ! O.K. ?

– Une autre fois, alors ?

– Bon, tu me la fous dans ma chatte ta grosse queue ?

– On arrive, on arrive.

 

Rudy la pilonna quelques minutes, Dyane ne mouillait même pas et ne se donna pas la peine de simuler une quelconque jouissance. L’homme finit sa petite affaire en quelques minutes, jouit avec un grognement de gorille, et s’essuya la zigounette avec un mouchoir jetable.

 

– Ça fait du bien par où ça passe ! Commenta-t-il de façon fort originale, vous en conviendrez.,

– Alors tu me racontes quoi ? Demanda Dyane en se rhabillant.

– Eh bien voilà : le propriétaire est un fantôme, personne ne sait où il est passé et s’il existe encore. Le vaisseau ne vogue pas souvent, mais quand il le fait, ce n’est pas toujours le même capitaine et à mon avis ce sont probablement des prête-noms.

– C’est tout ?

– Tu vas faire quoi avec ces renseignements ?

– Ah, ah, et t’as vraiment rien d’autre à me dire ?

– Si, le vaisseau part dans quatre jours, un type agissant au nom du proprio a demandé un check-up !

– T’as le nom du capitaine ?

– Harnoncourt !

– Ben voilà !

 

« Qu’est-ce qui faut pas faire pour avoir un petit renseignement ! »

 

Je connaissais Harnoncourt de réputation, mais ne l’avais jamais fréquenté, un excellent capitaine à ce qu’on disait, mais froid, peu communicatif et imbu de sa personne. Je n’étais donc guère avancé d’autant qu’il ignorait probablement l’objectif final de la mission. En revanche, il en connaissait forcement la destination. Mais comment le faire parler ?

 

Je me procure sa photo en 3D et il me vient l’idée d’aller traîner dans les bars qu’il était susceptible de fréquenter. Après en avoir visité quelques-uns, j’entre au Majestic qui malgré son nom n’a rien de majestueux. Pas d’Harnoncourt dans l’établissement, mais je tombe en arrêt devant un bonhomme dont le visage me parle !

 

Bien sûr qu’il me parle, ce mec est l’un des deux tueurs de Karlson que j’ai vu sur la vidéo, il a plutôt le profil d’un exécuteur de basses besognes que celui d’un décideur. Je prends le risque de l’aborder :

 

– Capitaine Stoffer ! Me présentais-je.

– Davenport ! Que me vaut cet honneur ?

– J’ai besoin d’un gars comme vous pour une mission un peu dangereuse.

– Ah ! Ici ?

– Non, faudrait embarquer…

– Ça aurait été avec plaisir, mais je ne suis pas libre, j’ai un engagement.

– Tant pis, on n’en parle plus ! Je vous paie un verre ?

 

Après deux verres, le type semblait ravi d’avoir un nouvel interlocuteur, mais il n’était pas complètement idiot et paraissait faire attention à ce qu’il disait. J’attendais le moment propice pour demander l’air de rien :

 

– T’embarques sur quel vaisseau ?

– Le Serpentaire !

 

Je lui offrais un dernier verre et le laissait planté-là en lui affirmant que je regrettais beaucoup que nous n’ayons pu faire affaire.

 

J’allais ailleurs et consultait ma liste des vaisseaux en instance.

 

Bingo !

 

Le Serpentaire est le nom du spationef militaire recyclé.

 

Donc le puzzle s’assemble : un commando dirigé par je ne sais qui, va décoller en direction de Mijarka, il y aura à son bord le tueur de Karlson. Ils vont donc tenter par la force de s’emparer du précieux caillou.

 

La solution est donc toute simple, il me faut arriver avant eux, prévenir cette Reine Russo et ensuite on improvisera.

 

Une petite journée pour rassembler l’équipage et nous voilà partis. J’ai raconté à ma technicienne de bord que notre nouvelle mission serait sans doute dangereuse, du coup elle s’est défilée. Je pu donc attribuer le poste à Greta.

 

Comme le veut une certaine tradition, après que le vaisseau soit passé dans l’hyperespace, je trinquais dans ma cabine avec mes deux adjoints. Le sexe fait partie du quotidien des cosmonautes, mais j’estimais que ce n’était pas à moi de prendre d’initiatives en ce domaine.

 

Après deux verres, Dyane se mit à raconter avec force détails sa partie de jambes en l’air avec Rudy, le fonctionnaire de l’aéroport.

 

– C’est pas possible d’avoir une bite aussi grosse, pas facile de sucer un machin pareil, mais quand je lui ai dit qu’elle était belle, il était content comme tout.

– Et après il t’a baisé ? Demande Nerren ?

– Ben oui, je suis passé à la casserole !

– T’as joui ?

– T’es pas un peu malade, non ?

– T’es en manque, alors ?

– Pourquoi ? Tu veux me proposer tes services ?

– Un service trois pièces, oui !

– Et avec le mien, ça fera un service six pièces ! Intervenais-je bêtement.

– Oh ! Vous m’avez l’air bien excité, les garçons !

– On n’est pas excité, on a envie de te caresser !

– Et si je ne veux pas ?

– On s’arrangera entre hommes, qu’est que tu en penses, Ajas ?

– Pourquoi pas ? Répondis-je, mais c’est dommage, moi j’aurais bien vu un truc à trois.

– Bon, je m’en voudrais de vous contrarier, déshabillez-moi, les garçons !

 

Je sens que Nerren est un peu déçu, il est bisexuel mais à une nette préférence pour les messieurs. Moi je ne le suis qu’un tout petit peu, mais je l’ai déjà dit !

 

Donc nous déshabillons la belle Dyane de conserve qui se laisse faire avec le sourire.

 

– Vous ne croyez pas que vous allez rester habillés ! Nous lance-t-elle !

 

Et quelques instants après nous étions tous les trois, nus comme des grenouilles.

 

Evidemment (pourquoi « évidemment », d’abord ?) je me précipite sur ses seins que je connais par cœur mais dont je ne sais me lasser. Nerren nous tourne autour et finit par se positionner derrière moi et me pelote les fesses. Quel cochon celui-ci !

 

Et tandis que ma langue a remplacé ma main sur les nichons de ma navigatrice, Nerren ne trouve rien de mieux à faire que m’introduire deux de ses doigts dans mon troufignon. Bien sûr je me laisse faire, ne détestant pas ce genre de chose.

 

Dyane se libère de mon étreinte

 

– Sucez-vous les garçons, j’adore voir ça !

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Elle s’assoit, branle un peu la belle bite de Nerren et me la tend. Voilà qui n’est pas un problème, je la prends dans ma main, la caresse puis la porte en bouche. J’adore sucer des bites, c’est doux, suave, exquis et si pervers. Je me régale, je bave, je vais partout, le gland, la hampe, et même un petit peu les couilles. Je fais travailler ma langue et mes lèvres, je suis aux anges et je bande comme cochon !

 

– T’aime ça sucer des bites, hein pédé ! Me lance-t-elle.

– Et pas qu’un peu !

 

Dyane s’en va se coucher sur le bord de la couchette, les jambes dans le vide, bien écartées. La vue sur sa minouche est d’autant puis troublante, qu’elle y porte la main et commence à se palucher

 

On ne laisse pas une dame dans cet état quand on est avec elle, n’est-ce pas ? Je me précipite donc, je m’accroupis et fait entrer mes doigts dans cette divine cavité, ce n’est que très légèrement humide, mais au fur et à mesure que je la doigte, la mouille se met à couler d’abondance, tandis que la miss pousse des petits cris de plaisir.

 

Nerren revient derrière moi et me lèche le fion, il faut bien varier les plaisirs ! Je sens soudain que quelque chose veut entrer ! Ma parole, cet énergumène semble vouloir m’enculer ! Il aurait pu demander quand même, qui c’est le capitaine sur ce vaisseau ?

 

J’ai l’air de rouspéter, mais j’adore ça, d’autant que le mec n’a rien d’une brute. Il nous fait ça en douceur… et profondeur

 

Et tandis que Nerren me bourre, je continue à me régaler du jus de chatte de Dyane qui commence à gigoter et haleter de façon caractéristique

 

Je lui porte l’estocade en ciblant son clitoris. Elle braille, elle mouille, elle n’en peut plus, mais elle récupère vite.

 

– Baisez-moi, les garçons !

 

Moi je veux bien, mais on fait comment ? Ben on improvise et Nerren sort sa bite de mon cul pour la donner à sucer à la navigatrice qui s’en régale sans en vérifier l’état. Et alors que je m’apprête donc à la pénétrer, la voilà qui relève ses jambes, m’indiquant par-là sans me le dire qu’elle préfèrerait que j’entre par la porte de derrière. Pas de problème, entre enculés on ne peut que se comprendre.

 

Je sodomise Dyane en cadence, tandis que sa bouche se remplit du sperme de Nerren. Joli tableau ! J’accélère la faisant miauler de plaisir et je finis par jouir dans son cul. Je lui donne ma bite à nettoyer, il y a du sperme qui dégouline et un peu petit peu de merde, mais elle adore ça, la cochonne !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 07:40

La reine Russo - 4 – La punition de Lizda par Nicolas Solovionni

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Le récit de Yolaina

 

La reine Russo n’est ni méchante, ni sadique, mais elle aime bien s’amuser à faire souffrir sans exagération les filles qui lui ont désobéies. En fait si la faute était grave, c’était direction : le bagne. Mais en ce qui concerne Lizda, la reine n’avait manifestement nulle envie de l’exiler malgré la gravité de son forfait.

Alors voilà, j’ai été chargée de rassembler quatre-vingts filles, je les ai choisies au hasard, des gardes, des domestiques, des femmes de la cour, un peu de tout. Elles étaient d’abord là pour assister au spectacle.

 

Une table était dressée, pleine de victuailles avec au centre le trône de la reine, et à ses côtés deux de ses favorites. Derrière elles huit filles de la garde, discrètement armées et prêtes à intervenir en cas de problème, mais il n’y aura pas de problème.

 

La reine prend brièvement la parole :

 

– Lizda a commis une faute très grave, elle a voulu échanger une place sur un vaisseau de gangsters contre notre Globo de Khar. J’aurais pu l’envoyer au bagne ou pire encore, mais le pardon et la magnanimité font, vous le savez bien partie de mes valeurs. Aussi elle va souffrir et sera humiliée, mais ensuite une nouvelle chance lui sera donnée. Allez, fi de beaux discours, place au spectacle !

 

On fait venir Lizda, complètement nue, à quatre pattes et en laisse, elle se prosterne devant la Reine.

 

– Alors, grosse salope, tu sais ce qui va t’arriver ?

– Je vais être punie, votre grâce !

– Et je vais me régaler de tes souffrances.

 

La reine scruta alors l’assistance et pointa son doigt vers une des domestiques de la cour, elle devait être assez nouvelle, la reine ne se souvenant pas l’avoir déjà aperçue.

 

– Toi viens ici et passe sous la table ! Tu vas me lécher la chatte pendant tout le spectacle.

 

La fille s’approcha sans broncher et disparut sous la nappe..

 

– Et maintenant Lizda, tu vas me désigner deux filles de ton choix, ils souffriront en même temps que toi. Je sais c’est profondément injuste, mais c’en est que davantage excitant. Allez désigne-moi deux nanas, si elles ne sont pas contentes, elles n’auront qu’à s’en prendre après toi, quand on fait des conneries on les assume.

 

Lizda désigne donc deux femmes parmi les spectatrices, un peu au hasard, je dis un peu, car, pas si folle, elle évite malgré tout de choisir des filles qu’elle connait de vue.

 

Clélia est une petite blonde au nez pointu, toute étonnée de se voir désignée, elle semble chercher du secours chez ses voisines.

 

– Avance, salope ! Lui crie Nysis, mon adjointe qui a été choisie par la reine pour être maîtresse d’œuvre du spectacle. Nysis est une grande rousse aux long cheveux bouclés, c’est une belle femme mais je me méfie un peu d’elle, la sachant intrigante.

 

Moi, je suis chargée de superviser tout ça..

 

La seconde fille s’appelle Nara, une grande brune, très bien faite, elle avance en lançant un regard de haine à Lizda.

 

RussiDNysis fait se déshabiller les deux filles, leur attache les cheveux, leur passe un collier de chien muni d’une laisse autour du cou et leur demande de se tenir côte à côte.

 

– Voilà, et maintenant vous ne bougez pas d’un poil, sinon; on va être obligé de vous tenir. Lizda rapproche-toi et gifle-moi ces deux morues !

 

La pauvre Lizda, n’hésite même pas, elle sait déjà qu’elle s’est faite deux ennemies, alors elle balance une paire de gifles à chacune des nanas. Clélia se retient de pleurnicher tandis que Nara joue les bravaches .

 

– Plus fort ! Ce ne sont pas des gifles, ça, ce sont des caresses. Recommence et crache-leur dans la gueule.

 

Qu’à cela ne tienne, on refait, cette fois Clélia ne peut retenir ses larmes, tandis que Nara perd un peu de sa superbe.

 

– Bon maintenant, Clélia et Nara vous allez prendre chacune une bougie et faire couler de la cire sur les nichons de la pétasse.

 

Manifestement elles ne savent pas trop comment procéder, c’était un peu ce qui était prévu.

 

– Bon je vous montre ! Leur dit Nysis.

 

Elle s’approche de Clélia, la bougie dans la main, la fille recule d’un pas.

 

– Nara passe derrière elle et empêche-la de bouger.

 

Elle ne peut plus reculer, mais elle gigote.

 

– Ecoute-moi bien, salope, moins tu te laisseras faire, plus ça se passera mal ! Alors maintenant tu restes tranquille !

 

Elle essaie, mais elle est terrorisée, la bougie coule sur sr ses seins, elle crie un peu sans doute surprise que la brulure soit à peine perceptible. Nysis ne cesse que quand les tétons de la blonde sont entièrement recouverts de cire.

 

Ensuite les deux filles sont invitées à faire subir le même traitement à Lizda qui accepte le supplice sans broncher mais avec pas mal de vilaines grimaces.

 

Quant à Nara, c’est Nysis et Lizda qui viennent lui enlaidir sa jolie poitrine en faisant couler d’abondance la cire. La fille supporte, les yeux dans le vague, s’efforçant de penser à autre chose.

 

Une fille apporte alors sur un plateau d’argent, douze pinces munis de poids. Pourquoi douze ? Pour qu’il y en ait pour tout le monde ! Après qu’on leur a retiré les croutes de cire, chacune des trois filles se retrouve avec une pince à chaque téton et une autre aux lèvres vaginales. Réactions diverses, quand ça pince, ça pince, Clélia essaie de ne pas montrer les larmes qui lui viennent aux yeux.

 

On demande ensuite aux trois soumises de se mettre à quatre pattes, l’une derrière l’autre et de tourner dans l’espace situé devant la table de la reine. Evidemment le cheminement est pénible avec les poids tirant sur les pinces et étirant douloureusement les chairs.

 

Pour les faire avancer convenablement, Nysis s’est saisie d’un léger fouet avec lequel elle flagelle allègrement le derrière de ces demoiselles, ce qui les fait hurler comme de bien entendu.

 

J’avoue que le spectacle de ces trois belles plantes avançant en montrant leurs jolies fesses qui rougissaient un peu plus à chaque tour, m’excitait terriblement.

 

Après avoir fait relever les trois suppliciées, Nysis demande à Nara d’immobiliser Lizda en lui bloquant les bras par devant, puis le fouet entre de nouveau en action striant son dos de trainées rouges. La pauvre victime crie à chaque coup et son visage se noie de larmes. Mais elle sait rester digne.

 

Lizda croit son supplice terminé quand Nysis baisse son fouet, mais ce n’est qu’une petite pause, l’immobilisation se fait maintenant par derrière, et quand la fille comprend que l’on va lui viser les seins, elle articule un pauvre :

 

– Non, pitié !

 

Mais elle n’insiste pas sachant que cela est complètement inutile, alors elle tente de prendre son mal en patience le ponctuant de cris et de pleurs, tandis que sa jolie poitrine se couvre de zébrures cramoisis.

 

Changement de rôle, c’est maintenant Lizda qui immobilise Nara qui sort de l’épreuve complètement épuisée, en jetant un regard de profond mépris à ses tortionnaires.

 

Quant à Clélia, pour l’instant spectatrice, elle est complètement paniquée, sachant pertinemment ce qu’il l’attend. Si Nysis se l’est gardée pour la fin, ce n’est pas par hasard, c’est pour jouir de son appréhension.

 

– Non, laissez-moi ! Gémit-elle.

– Laisse-toi faire, je vais essayer de ne pas frapper fort.

 

Elle a alors l’idée de simuler un malaise, Mais Nysis n’est pas dupe.

 

– Ramassez-moi cette trainée et immobilisez-là, elle va voir ce qui en coute de jouer la comédie.

 

Nara et Lizda la remette debout et l’immobilise en lui tenant chacune les bras écartés. Nysis peut maintenant fouetter, l’objectif n’étant pas d’envoyer la fille à l’infirmerie, elle modère ses coups, mais ça reste une flagellation, et ça fait mal.

 

Le supplice terminé, elle retombe comme une chiffe molle et se met à chialer comme une madeleine.

 

– Si vous avez envie de pisser, pissez-vous dessus ! Dit alors Nysis.

 

Nara et Lizda se regardent incrédules, Clélia n’a rien entendu.

 

– Non ? Alors trois volontaires !

 

Tout cela était prémédité puisque ce sont trois femmes membre de la garde qui s’approchent.

 

– Vous trois étalez-vous par terre et bouche ouverte !

 

Pas difficile de comprendre ce qui va se passer, d’autant qu’après les morsures du fouet ce genre de fantaisie apparait aux yeux des participants comme quelque chose de bien bénin mais n’empêche que ça participe au spectacle !

 

Les trois filles sont maintenant couchées sur le dos, y compris Clélia qui semble en ce moment hors du temps. Les gardes viennent s’accroupir au-dessus des visages des soumises et se mettent à pisser dans un ensemble parfait. Lizda et Nara en avalent un peu, manifestement, elles ont déjà pratiqué ce genre d’amusement. Clélia reste ostensiblement la bouche fermée, Nysis s’en aperçoit mais à l’intelligence de ne pas réagir.

 

Seule la garde qui compissait sur Lizda reste en place. Elle avance son bassin de quelques centimètres, son anus s’ouvre, libérant un énorme étron qui atterrit sur le visage de Lizda qui se demande quoi en faire mais on lui tend un papier afin qu’elle puisse s’en débarrasser tandis que l’assistance rigole et applaudit

 

– Nettoie son trou du cul ! Ordonne Nysis.

 

Lizda se demande comment elle va s’en sortir, et se dit qu’elle peut peut-être faire semblant, mais ne voit pas trop comment. Elle ferme les yeux, approche sa langue de l’œillet brun, lèche un peu. L’épreuve lui paraît bien plus facile que ce qu’elle aurait imaginé. Elle ouvre les yeux, la demoiselle a le trou du cul tout propre.

 

– C’est terminé ! Embrassez-vous ! Demande Nysis aux trois filles

 

Clélia se jette alors dans les bras de Nara qui la console. Leur étreinte semble ne jamais devoir se terminer.

 

– Bon, ça va toutes les deux, il faut aussi embrasser Lizda.

 

Echange de regards. Nara s’approche à moins d’un mètre de Lizda.

 

– Salope ! Lui dit-elle.

– Je sais !

– Dis-le !

– Je suis une salope !

– Il faut vraiment qu’on s’embrasse ?

– Ce serait aussi bien, non ?

– J’ai plutôt envie de te cracher dans la gueule !

– Si ça peut te faire plaisir, ne te gêne pas. Répond Lizda en ouvrant la bouche.

 

Nara s’approche et crache, les deux visages sont tous près l’un de l’autre, les lèvres se rencontrent. Nara a un petit mouvement d’hésitation puis sa langue pénètre dans la bouche de Lizda. Contre toute attente les deux filles se roulent un patin baveux, les mains s’égarent, Nara mouille.

 

A ce moment-là j’étais près d’elles et j’ai entendu ce qu’elles se disaient :

 

– Salope ! Je veux que ce soir tu viennes me bouffer la chatte !

– Avec plaisir ! Répond Lizda

 

Quant à Clélia, elle ne comprend plus rien, manifestement elle se fait violence pour embrasser Lizda sur le coin des lèvres avant d’aller craquer dans un coin.

 

Les filles ont ensuite été prise en charge par les infirmières qui leur ont appliqué de quoi soulager leurs marques sur la peau.

 

– Et Lizda a repris ses fonctions ?

– Bien sûr que non, elle a été mutée aux cuisines royales.

 

Fin du récit de Yolaina et reprise du récit de Greta

 

J’ai été assez rapidement en état de repartir, mais Yolaina trouvait tous les prétextes pour me retarder, genre je manquais de vitamines et autres conneries, elle faisait de même avec les autres membres de ce qui restait de l’équipage alors que leurs blessures étaient bénignes.

 

Evidemment, Yolaina profitait de cette prolongation pour me sauter, mais ce n’était pas une corvée, loin de là ! Elle me sautait très bien et je ne restais pas inactive

 

Et un jour elle m’a posé la question que je redoutais :

 

– Et si tu ne rembarquais pas ?

– Non, Yolaina, ce n’est pas possible !

 

J’attendais qu’elle me demande d’argumenter, elle ne le fit pas, elle devait s’attendre à ma décision.

 

– O.K. Je vais réunir tes collègues, mais avant je vais te montrer quelqu’un.

 

Elle m’a conduit dans les souterrains du palais, je n’étais pas trop rassurée, elle a ouvert une porte, à l’intérieur il y avait Gazo, sa cellule était propre et apparemment il était bien nourri, cela ne l’a pas empêché de m’accueillir avec une bordée d’injures. On est reparti aussi sec.

 

– Je voulais juste que tu saches qu’il est vivant ! Mais conserve cette information pour toi, si un jour tu reviens, il sera encore en vie, j’y veillerais, cela pour te prouver que nous ne sommes pas cruelles et que tu pourras revenir sans crainte. Mais devant tes collègues je livrerai une toute autre version, il faut bien que nous nous protégions.

 

Nous avons ensuite été escorté jusqu’au vaisseau, mais avant d’embarquer, Yolaina pris la parole.

 

– Nous sommes désolées de la tournure des événements, mais je pense que vous pouvez comprendre qu’on ne s’attaque pas impunément à notre communauté, à notre reine et à nos symboles. Le dénommé Gazo, premier responsable de cette tragédie a été condamné à être mangé au cours d’une cérémonie expiatoire.

 

Je ne te dis pas la tronche de Karlson et des autres !

 

– D’autant, reprend Yolaina, que ce vol était stupide, ce bijou n’a aucune valeur marchande, il est en oxyde de zirconium amélioré, mais pour nous il est le symbole de notre communauté, il est sacré, et vouloir nous le retirer est considéré comme un sacrilège !

 

Et on est reparti avec le vaisseau, on s’est débrouillé avec les moyens du bord, c’est le cas de le dire, Karlson n’ayant aucune confiance en moi, je me suis contentée de l’assister pendant la navigation, je l’ai davantage regardé qu’assisté d’ailleurs, il me faisait un peu peur ! Quand on s’est posé ici sur Vargala, il m’a dit qu’il ne me rembaucherait peut-être pas. Voilà, voilà !

 

Fin du récit de Greta

 

– Le discours de Yolaina sur le diamant, d’après toi, c’est du bluff ou quoi ?

– Vas savoir ? Mais pourquoi cette question ?

– Oh, je demandais ça juste comme ça !

– Ben voyons !

– T’aurais pas comme une envie d’aller y voir de plus près ?

– J’en sais rien !

– Je ne te le conseille pas !

– Pourquoi ? Tu n’as pas envie de revoir ta copine ?

– Si, éventuellement, mais par contre je n’ai pas envie de me retrouver mêlée à une nouvelle histoire de vol !

– Je ne suis pas un voleur, ma chère ! Mentis-je honteusement. Bon parlons d’autre chose, je ne sais pas trop quel poste t’attribuer, on verra sur place. Sinon le plus urgent c’est de te planquer, t’as toutes tes affaires avec toi ?

– Presque !

– Tu pourras te passer de ce qui te manque ?

– Ben c’est à dire…

– Tu me fera une liste, j’irais t’acheter l’équivalent ! Je vais te planquer dans mon vaisseau, on va y aller de suite et je vais oublier de te faire enregistrer, je sais faire ça très bien ! En route !

 

J’ai mis la môme en sécurité, puis j’ai rejoint mes adjoints, Dyane et Nerren et leur ai un peu raconté tout ça :

 

– En résumé le « Globo de Khar » est peut-être sur Mijarka, mais je ne suis plus trop sûr que le tuyau soit bon ! Alors, on fait quoi ?

– Les nanas n’ont pas massacré la moitié d’un équipage pour protéger un truc en toc !

– Non, elles ont massacré la moitié d’un équipage parce qu’elles étaient attaquées.

– Les deux explications ne sont pas incompatibles. On peut tenter le coup ! Propose Dyane, mais il nous faut un prétexte pour se poser là-bas, après il nous faudra un plan !

– Pour le plan, j’ai engagé une nana qui s’est fait une copine sur place, or la copine a ses entrées dans les lieux sécurisés du château de la reine !

– Super, faudra affiner ça ! Reprend Dyane, maintenant le prétexte ? On ne va pas se pointer comme ça ?

– Je sais pas intervient Nerren, on peut simuler une avarie qui nous obligerait à nous poser ?

– Non, c’est nul ! Répond Dyane, j’ai une autre idée, un peu plus compliquée, on va essayer d’identifier les connards qui ont assassiné les membres de l’équipage, il y tout lieu de penser qu’ils veulent éviter que l’information se répande afin d’être seuls sur le coup. On expliquera à la reine qu’on est à la poursuite de ces gars-là !

– Génial !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 07:37

La reine Russo - 3 – Greta et Yolaina par Nicolas Solovionni

bisou1719

 

Mais la réalité fut pire, les amazones de Mijarka possédaient évidemment un écran de contrôle et quand elles virent des hommes en armes sortir du vaisseau, eurent le temps de poster une quinzaine de guerrières aux endroits stratégiques.

 

C’est ainsi qu’O’Neal à la tête d’une quinzaine de redresseurs de torts avancèrent sur le tarmac, armés jusqu’aux dents prêts à en découdre.

 

La sono locale se déclenche aussitôt :

 

– Vous n’avez aucune chance, posez toutes vos armes à terre et levez les bras en l’air ! Vous avez une minute pour obtempérer, sinon on ouvre le feu.

 

Moment de flottement !

 

– Rendez-vous ! cria O’Neal qui se rend compte de l’impossibilité de mener à bien l’opération..

 

Mais non seulement on ne l’écoute pas mais un imbécile se met à tirer sur une cible imaginaire.

 

La riposte est immédiate. Les amazones font feu. O’Neal et ses compagnons périssent dans un déluge de feu.

 

Les amazones sollicitèrent ensuite l’ouverture du vaisseau que Karlson sous la menace des canons laser, ne peut empêcher. Les filles montent à bord et gazent tout le monde avant de nous emmener devant la reine.

 

Le problème c’est que je suis à moitié dans les vapes et qu’on a beau me soutenir d’un côté, je marche en canard, et ce qui devait arriver arriva : je trébuche sur le sol de ce tarmac mal entretenu et perd connaissance.

 

Lorsque je me suis réveillée, j’étais dans ce qui devait être une infirmerie. Une nana m’informe que j’avais deux côtes de cassées et quelques contusions bénignes au visage.

 

Je me touchais et me découvrais garnie de pansements et revêtue d’un pyjama infâme.

 

Une autre arriva, c’était Yolaina la capitaine des gardes, une belle brune assez sculpturale, avec un très joli visage :

 

– Votre version ? Me dit-elle.

– Ma version de quoi ? Je ne suis qu’une petite employée sur ce vaisseau, je n’ai rien à voir avec ce qui s’est passé !

– Votre capitaine a renié sa parole !

– Encore une fois, je n’y suis pour rien.

– Il est mort !

– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?

– Il y avait beaucoup de monde sur ce vaisseau, vous ne trouvez pas ?

– Mais j’en sais rien, moi !

– Vous faisiez quoi sur ce vaisseau ?

– La boniche !

 

Elle m’a posé ensuite d’autres questions, rien de fondamental… Sauf celle-ci complétement incongrue, vu les circonstances :

 

– Je vous trouve très belle ! Vous allez avec les femmes ?

– Pardon ?

– Vous n’êtes pas obligée de me répondre !

– C’est quand même très intime ce que vous me demandez là !

– Donc c’est oui, sinon vous m’auriez répondu « non ».

– Quelle importance ?

– Aucune ! Mais nous allons vous garder quelques jours ! Si je peux vous aider à agrémenter votre convalescence, moi ça me plairait bien.

 

Drôlement gonflée la nana !

 

En fait la fille avait flashé sur moi, une sorte de coup de foudre, quoi ! Elle ne jouait pas la comédie, ça se voyait à la façon de me regarder.

 

Aussi quand avec beaucoup de tact elle m’a proposé de m’embrasser et plus si affinités, je ne me suis pas dérobée. Je vais peu avec les femmes, mais je n’ai rien contre non plus.

 

Donc le bisou n’a pas été chaste, il a même été très baveux. Je m’y attendais, de même ses mains baladeuses par-dessus ma veste de pyjama ne m’ont pas non plus surprise.

 

– Tu aimes les caresses ? Me demande-t-elle.

 

J’allais pas lui dire non.

 

– Enlève-moi ton machin, ce sera plus pratique.

– Moi je veux bien me mettre à poil, mais toi tu vas rester habillée ?

– Mais non, mais non ! Répond-elle.

 

RussoCL’instant d’après on était l’une contre l’autre toutes nues. Elle s’est alors jetée sur mes seins avec frénésie. Au début elle m’a fait un peu peur tellement elle semblait excitée, mais sa façon de m’agacer mes tétons a fini par me procurer de délicieux frissons.

 

Du coup je me suis senti obligée de lui rendre la politesse, ce qui n’a pas été une corvée.

 

– Je vais te bouffer la chatte ! Me dit-elle.

– Si tu veux !

 

Je m’allonge sur le lit, j’écarte les cuisses, et la voilà qui arrive. Dans la position que j’ai adoptée, je ne peux voir ce qu’elle fait, mais je sens bien sa langue me balayer la minouche. Je commence à sentir le plaisir monter en moi, il suffirait qu’elle s’occupe de mon clito afin que je démarre au quart de tour.

 

Mais il faut croire que ce n’était pas dans ses intentions immédiates, elle me fait relever un peu les jambes afin d’avoir accès à mon trou du cul et se met à me le lécher avec avidité, on ne me l’a pas fait souvent mais j’avoue que ce n’est pas désagréable. Et bientôt un doigt vient remplacer la langue et vient forer mon conduit intime, puis un deuxième doigt, puis un troisième, je ne suis pas sûre, quand on aime, on ne compte pas ! Je gémis, je halète, je transpire, cette nana va me rendre dingue.

 

Et hop les doigts s’en vont, drôle de sensation quand ils se retirent, on dirait que mon anus peine à se refermer.

 

Mais voilà qu’elle me met sous le nez un godemichet (d’où le sort-elle ?) Il est très beau, très réaliste, imitant à merveille une vraie bite avec un joli gland décalotté, il y a même la petite veine bleue qui en parcourt la hampe.

 

– Suce-le !

 

Ah bon ! Je ne vois pas quel plaisir il peut y avoir à sucer une matière synthétique, mais je suppose que ça participe au fun.

 

– Je vais t’enculer avec ! M’informe-t-elle.

 

Est-ce une question ou une intention, mais comme je ne fais aucun commentaire, Yolaina se met à enduire l’objet de gel intime (il sort d’où le gel intime ? Elle doit être magicienne !)

 

– Mets-toi en levrette, ce sera plus pratique !

 

On y va, on y va, me voici à quatre pattes sur le plumard, le cul cambré, les cuisses écartées, les orifices offerts, une vraie salope, quoi !

 

Et hop ça entre. J’entends un bruit bizarre, avant de réaliser que le gode est muni d’un vibreur intégré.

 

Maman, quelle sensation, Yolaina le fait coulisser dans mon trou du cul. Ça dure plusieurs minutes, je ne sais plus où j’en suis. J’ai des frissons partout, je miaule de plaisir, je transpire.

 

– Maintenant, retourne-toi, tiens le gode avec ta main pour ne pas qu’il sorte, on va finir en feu d’artifice.

 

Je fais comme elle a dit.

 

– Continue à le faire bouger toute seule, maintenant je vais te faire grimper aux rideaux !

 

Nous voilà presque en soixante-neuf, elle m’offre sa propre chatte que je déguste ainsi pour la première fois. Mais il ne m’est pas facile de me concentrer sur cette action, je continue à me pilonner le cul avec le gode tandis que Yolaina me titille le clito. Je ne peux pas tenir longtemps ainsi et j’éclate de plaisir.

 

Yolaina ne bouge pas, attend que je reprenne mon souffle puis me demande de m’occuper de son cul !

 

C’est la première fois que je lèche le cul d’une femme, avec les hommes je l’ai déjà fait, c’est légèrement faisandé mais ça ne me dérange pas. C’est très doux !

 

– Le gode ! Le gode ! Quémande-t-elle

 

Il est où le gode ? Je ne le vois pas ! Il s’est échappé de mon cul sans que je m’en aperçoive ! il a dû dégringoler du lit.

 

Tant pis ! Mets tes doigts !

 

Et c’est parti, je lui pilonne le cul de mes petits doigts agiles, elle se met à couiner de plaisir, finit par hurler comme une baleine, puis se jette dans mes bras et se met à m’embrasser un peu partout sans me laisser reprendre mon souffle. J’ai le visage plein de salive tellement ça dégouline. Une vraie furie.

 

– T’es trop mignonne, toi ! Me dit-elle en se calmant un peu !

– T’es gentille !

– Juste gentille ?

– Non, t’es une belle femme !

– Tu sais que j’ai envie de pipi ?

 

C’est ce qui s’appelle passer du coq à l’âne !

 

– Ben non je ne sais pas…

– T’aimerais que je te pisse dessus ?

– Ça ne me dérange pas !

– Tu voudrais gouter ?

 

Je n’ai jamais fait ça, mais j’ai fait le contraire, pisser sur des hommes pendant ma période « pute », quand un jour un bonhomme m’a demandé de lui uriner en pleine bouche, je l’ai fait, puis je me suis demandée quel plaisir il pouvait trouver à ce genre de pratique, alors j’ai voulu savoir et j’ai gouté un tout petit peu à mon propre pipi. Le moins qu’on puisse dire c’est que ce n’est pas mauvais, mais ça n’a rien non plus d’exceptionnel, on va dire qu’il y a une part de transgression, faire quelque chose de peu commun, même si la pratique semble plus courante qu’on veut bien le dire. Tout ça pour dire que je ne me voyais pas refuser, ce qu’elle me demandait, mais j’ai tenu à lui préciser les choses.

 

– Je veux bien, mais tu sais, c’est un truc que je n’ai jamais fait…

– Ce sera donc une première ! Quel honneur tu me fais !

 

Tu parles !

 

– Disons que j’avais envie d’essayer mais que je n’avais jamais eu l’occasion.

– Allonge-toi et ouvre ta jolie bouche, je vais poser ma chatte dessus et te donner à boire.

 

Un peu d’appréhension quand même ! Quelques gouttes tombent dans ma bouche, c’est salé, c’est tiède, c’est spécial.

 

– Tu aimes !

– Oui, donne-m’en encore ! Répondis-je, uniquement pour lui faire plaisir.

 

J’attends, je me rends compte qu’elle n’avait pas une grosse envie, c’était simplement le désir de jouer avec moi à ce petit jeu pervers. Elle se concentre, un petit jet me remplit de nouveau le palais, finalement on y prend gout, je le déguste.

 

Elle a terminé et vient me rouler une pelle alors que j’ai encore le gout de sa pisse dans la bouche. Quelle belle salope !

 

– A toi !

 

Je la sentais arriver, celle-là ! Il a fallu que je me concentre, j’ai cru que ça n’allait pas venir, mais c’est venu, Elle a tout bu et avec le sourire en plus !

 

On se regarde, on s’embrasse. Toujours avec autant de passion.

 

– Tu sais que je suis un peu amoureuse de toi ! Me dit-elle à brule-pourpoint.

– Et si je te disais que… non rien !

– Ben si, dis-le

– Ben moi aussi !

 

On s’est de nouveau embrassées, avec passion !

 

Ben oui les coups de foudre, ça existe, non ? Et même les coups de foudre mutuels !

 

Yolaina m’a indiqué qu’elle me présenterait à la reine. J’en avais pas grand-chose à foutre, mais je ne voulais surtout pas la contrarier.

 

J’ai donc accepté cet entretien. Ce fut assez surréaliste. Yolaina m’avait indiqué que la reine préférait me voir complètement nue, mais que je n’étais pas obligée. J’ai trouvé ça bizarre, mais je me suis pliée à cette volonté. Il fallait l’appeler « Votre grâce » et la saluer d’une simple inclinaison de la tête.

 

Alors j’ai vu la Reine, ça n’a pas duré longtemps, elle voulait me voir, simplement me voir. Moi j’étais subjuguée, la Reine Russo est une grande rousse, mature mais remarquablement bien conservée. Le visage est agréable, malicieux dirais-je. Mais il faut parler de sa tenue : en haut un gilet de cuir sans manche entrouvert sur sa poitrine nue, elle avait des seins magnifiques, des gros volumes mais qui ne pendait qu’à peine. Elle avait des bottes qui lui remontaient jusqu’aux milieu des cuisses et était parée d’une incroyable collection de colliers et de bracelets. Mais le plus surprenant était en bas, elle avait une jupette de cuir très courte, avec rien dessous et sa majesté était assise sur une chaise percée.

 

Non il n’y avait personne en dessous. Pas ce jour-là…

 

– Vous êtes une très belle femme, votre grâce ! Crus-je devoir dire.

– Il faut vous en remettre, ma petite ! Je m’entretiens, mais je suis loin d’être la plus belle femme du monde. Je voulais absolument vous rencontrer, je me demandais quelle pouvait être cette femme dont Yolaina s’était amourachée. Elle a décidément bon goût ! Il n’est pas impossible qu’un jour où l’autre je vous demande de partager ma couche. Y verrez-vous un inconvénient ?

 

J’en était gênée et esquissais un petit sourire de connivence.

 

– Je n’ai pas bien entendu votre réponse !

– Je n’y vois aucun inconvénient, votre grâce, ce sera un honneur pour moi !

– Voilà qui est mieux répondu. Si vous choisissez de rester parmi nous, nous vous accueillerons avec grand plaisir.

 

Le problème c’est que je n’avais pas la moindre envie de m’éterniser, mais je me gardais bien de le dire surtout devant la reine !

 

On me fit comprendre ensuite que l’entretien était terminé.

 

– Ce fut bref ! Commentais-je auprès de Yolaina.

– Forcement, elle est débordée, mais c’est une bonne reine !

 

Yolaina était une incorrigible bavarde, elle m’a raconté un tas de trucs. Ainsi j’ai appris tous les détails concernant le vol du diamant, elle n’était pas dupe de la version édulcorée que lui avait servi Lizda, mais faisait semblant de lui porter crédit. Je m’en étonnais et lui demandais pourquoi ?

 

– Si un jour, je lui demande un service un peu spécial, elle ne pourra pas refuser de me le rendre !

 

Elle m’a aussi raconté l’histoire de la planète, une petite communauté de femmes s’était mise en coopérative pour acquérir les droits de la concession ici. La plus riche d’entre-elles s’est auto-désignée reine et elles ont lancé un appel d’offre pour peupler la colonie, ici les hommes ne peuvent accéder à aucun poste de responsabilité, mais ce ne sont pas des esclaves. La reine Russo était l’amante de la dernière reine et celle-ci a abdiqué en sa faveur quand elle se sentit trop fatiguée. C’était il y a une trentaine de nos années…

 

Fin provisoire du récit de Greta

 

– Ah ! Intéressant tout ça ! Intéressant et excitant ! Mais que sont devenus Lizda et Gazo ?

– Ah ! Ah ! Bonne question ! Gazo, on lui a fait croire qu’on allait le bouffer !

– Et alors ?

– Alors il est tombé dans les pommes ! Elles ne l’ont pas bouffé, il doit être immangeable ! Je ne savais pas encore ce qu’elles en avaient fait. Quant à Lizda, je ne t’ai pas raconté ?

– Non !

– Alors voilà :

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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