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La reine Russo - 14 – Le Diable Rose par Nicolas Solovionni
Le voyage est long et les distractions un peu répétitives à bord, alors il reste le sexe et je ne m’en privais pas, Je baisais donc régulièrement avec Dyane ou Nadget, parfois les deux ensembles, et puis je fis charnellement la connaissance de Sandora. I Mais je ne touchais pas Lizda ! Il y avait aussi parfois des partouzes improvisées, que je quittais subrepticement quand Lizda s’y pointait.
Quant à ma bisexualité, je l’assurais en offrant de temps à autre ma bouche et ma rondelle à la jolie bite de l’ami Nerren. Les autres hommes ne semblaient pas intéressés par ce genre de choses, ce qui est leur droit, même si je ne peux m’empêcher de penser qu’ils se privent de quelque chose. Petite exception pour Pilzer qui n’était pas contre le fait que je le suce lorsque nous partouzions gaiement.
Mais revenons à Lizda, je ne suis pas de bois et redoutait qu’un jour les circonstances fasse que je craque devant son corps de déesse. Mais bon, la chair est faible et Lizda est tellement belle que quand elle m’a mis la main sur la braguette, je n’ai pas protesté…
Ce jour-là, je cherchais Nerren pour je ne sais plus quelle raison, passant devant sa cabine, je découvre sa porte poussée mais non fermée, je l’ouvre en grand et là je découvre de mes yeux subjugués, Nerren tenant serré dans ses bras la jolie Lizda complètement à poil, je ne la vois que de dos, mais quel spectacle, une chute de rein magnifique, un dos majestueux et une paire de fesses dont je ne vous parle même pas.
Evidemment je l’avais déjà vue nue, je l’ai même vue se faire fouetter, mais il y a des choses qui émeuvent toujours. Qui émeuvent et qui excitent, parce qu’il est là le problème. J’aurais dû être plus réactif et disparaître après un « excusez-moi messieurs-dames ». Ben non je reste là comme un con, et Lizda réalisant ma présence, saute sur l’occasion.
– Reste cinq minutes avec nous, Capitaine.
– Non, je passais…
– Mais si, juste un moment ! Renchérit Nerren. A trois ce sera plus marrant, on avait à peine commencé…
En disant ça l’homme se défait de l’étreinte de Lizda et m’apparaît la bite en étendard, tandis que la demoiselle s’amuse à faire balloter ses seins.
« Il ne faut pas que je fasse des trucs avec cette Lizda, elle va m’ensorceler ! » Me souffle une partie de mon cerveau. « Elle ne va pas me coller au cul pour dix minutes de baise, après tout je ne lui dois rien ! » me souffle l’autre partie.
Vous aurez deviné de quel côté la balance penchait d’autant que ma bite qui grossissait dans mon pantalon ne pouvait qu’influencer ma décision.
– Approchez-vous les garçons, vous voulez bien que ce soit moi qui mène la barque, comme ça vous ne vous battrez pas ! Allez à poil, capitaine comme tout le monde !
Et c’est à ce moment qu’elle m’a touché la braguette !
Abandonnant toute velléité de résistance, j’enlève mes fringues vite fait, me demandant comment la donzelle va « mener la barque »
– Accroupissez-vous, chacun d’un côté et caressez-moi mes douces cuisses.
Pourquoi pas ? Ce n’est pas si commun et c’est fort agréable, ses cuisses étant douces comme de la soie. Putain, qu’est-ce que je bande !
– Voilà, un peu plus haut, maintenant, caressez-moi le minou, non pas tous les deux en -même temps, Stoffer continue, et Nerren va s’occuper de mes nénés.
Elle me demande ensuite de la lécher, cette coquine est déjà mouillée comme une soupe, inutile de vous dire que je me régale de cette bonne chatte !
Et pendant que je la gamahuche, Lizda branle la belle queue de Nerren qui bande aussi fort que moi, puis elle s’assoit sur le bord de la couchette afin de pouvoir le sucer, j’en profite alors pour lécher les seins de cette très belle femme.
Et tout d’un coup elle lâche la queue de mon navigateur, me fait un irrésistible sourire et me demande :
– Tu veux la sucer ?
– Qui t’as dit que je faisais ce genre de choses ?
– Ce sont tes yeux ils parlent pour toi !
Ah, bon si j’ai les yeux qui parlent, maintenant… Mais je ne vais pas me prier de ce plaisir et j’embouche la belle bite de Nerren, toute mouillée de la salive de Lizda, en même temps ma main gauche ne restait pas inactive et lui tripotait la chatte…
Nous nous sommes refilé la bite de Nerren, un peu chacun pendant un petit moment, puis elle m’a demandé de me relever afin de pouvoir me sucer, et pendant qu’elle le faisait elle branlait la queue du navigateur.
Evidemment, elle pratiquait l’alternance, me branlant pendant qu’elle suçait Nerren et vice-versa.
C’était un véritable bonheur de la voir sucer, ne se contentant pas de faire des va-et-vient en bouche, mais balayant la pine de sa petite langue agile tout en exprimant son plaisir de ses beaux yeux malicieux.
Un moment elle s’amusa à rapprocher nos deux bites, faisant se chevaucher nos glands et se glissant tout cela entre les lèvres. Fabuleux, non ?
Puis elle demanda à Nerren de me sucer en même temps qu’elle. Je suis bien placé pour savoir qu’il suce divinement mais en ce moment ce n’est pas sa langue qui m’envoutait mais celle de Lizda qui lorsqu’elle délaissait ma bite, me pelotait les couilles.
La fille proposa à Nerren de s’assoir sur le rebord de la couchette, et elle s’empala sur lui.
Ce n’est pas juste, j’aurais bien aimé la baiser, cette coquine ! Mais je suppose que mon tour viendra, et pendant qu’elle montait et descendait sur la bite droite comme un mat de Nerren, ce dernier me suçait la queue.
Un moment Nerren sorti son engin du fourreau de Lizda, j’en profitait pour l’attraper en bouche et le sucer tout en tripotant la chatte de la belle, puis je remis moi-même la bite dans l’orifice, léchant ce qui n’était pas entré ainsi que les testicules.
Puis Lizda me laissa la place, je m’empalais donc à mon tour sur la queue de Nerren, tandis que la coquine me léchait la bite..
Que du bonheur ! Se faire prendre le cul par une bonne queue tandis qu’un mignon petit lot vous prodigue une savante gâterie !
Cela dura un petit moment, un moment délicieux, et quand Nerren décula, Lizda se précipita sur sa queue pour la nettoyer.
On souffle quelques secondes, puis Lizda se met sur le dos, lève ses jambes en l’air et me demande de l’enculer ! Je savais bien que mon tour viendrait, il suffisait d’attendre.
Je baise donc la belle et ce coquin de Nerren me redonne sa bite à sucer ! Le pied !
Mais ce n’était pas terminé, Nerren en veut encore il passe derrière moi et me fait comprendre qu’il veut de nouveau m’enculer, j’écarte une fesse lui signifiant par-là que je suis d’accord pour l’accueillir.
Et le petit train se met en marche, je baise et me fait baiser. Nerren finit par jouir rapidement, il sort de mon cul et reviens devant nous, nous offrant sa bite gluante de sperme et de pollution anale à nettoyer, ce dont Lizda et moi-même nous acquittons avec gourmandise.
Lizda jouit en faisant un ramdam impossible, je jouis à mon tour. Nerren vient recueillir avec ses lèvres, le sperme resté sur mon gland, puis le déverse dans la bouche de la fille qui s’en régale.
Et l’engrenage infernal était enclenché, je voulais revivre ces moments intenses que j’avais connu avec Lizda, on a remis ça en duo les jours suivants et sans que j’y prenne garde je m’amourachais de cette jolie plante.
Le lieutenant Annabelle Jiker reçut la dépêche du colonel Vonz
« Le Globo de Khar n’est pas sur Mijarka, l’original a été vendu, et cela est corroboré par l’acte d’achat de son propriétaire. La planète possède néanmoins une copie de valeur négligeable en oxyde de zirconium. En ce qui concerne Herbert nous sommes dans l’incertitude mais nous savons qu’il a été capturé par les résidentes et qu’il n’a pas quitté la planète. Nous ignorons son sort exact. Vous comprendrez que vu ces circonstances, vous n’êtes éligible à aucune prime. Cependant afin de vous remercier de votre collaboration, nous vous élevons au grade de capitaine ! »
« Bon je m’en tire bien, ils auraient pu me virer ! »
Quand le Rosa-Monda se posa sur Vargala, un message du capitaine Jiker m’attendait. Je m’étonnais de sa promotion mais la rencontrer n’était pas dans mes priorités immédiates.
Je commençais à louer une chambre dans l’hôtel où j’avais mes habitudes. Je la partageai avec Lizda, provisoirement, me dis-je n’ayant aucune visibilité sur la suite.
Par politesse je souhaitais rencontrer Riquita, la belle transsexuelle qui m’avait refilé ce magnifique tuyau percé. Je pénètre au « Diable rose », la boite où elle exerçait ses talents. A l’entrée après avoir payé on m’attribue un certain nombre des jetons qui serviront à payer les services sexuels qu’offre l’établissement. On m’informa qu’elle était absente aujourd’hui mais qu’elle serait là le lendemain. Evidement les magnifiques créatures du lieu me proposèrent leurs services, j’aurais pu garder mes jetons pour une autre fois, mais que voulez-vous la chair est faible, et je décidais de rester cinq minutes !
Au milieu de la salle sur la petite scène, une blonde mature un peu enveloppée se faisaient cravacher les fesses par une transsexuelle rousse dotée d’une énorme queue. Je n’étais pas sitôt assis, qu’une trans blonde cendrée, un peu sur le retour et que je ne me souvenais pas avoir déjà vu, vint me proposer ses charmes.
– Alors, beau gosse, on vient s’encanailler ?
– Hé !
– Je te plais !
J’aurais eu à choisir, j’en aurais probablement préféré plein d’autres, mais puisqu’elle est là, pourquoi pas ? Elle a une certaine classe et un joli sourire…
– Bien sûr que tu me plais !
– Je m’appelle Joanna et je suis une bonne salope ! Tu veux m’embrasser les nichons ?
Evidemment que je veux, et même que je le fais et pendant que je m’en régale, elle me branle ma queue, et viens y donner quelques bons coups de langues. Ma main trouve son sexe chaud et je le tripote
– Tu veux t’occuper de ma bite ? Me propose-t-elle.
– Avec plaisir.
– Tu aimes sucer des bites ?
– J’adore !
– On prend une cabine ou on reste là ?
– Restons là, j’aime bien qu’on me regarde.
– Hum, t’es un gros cochon, toi, Vas-y, suce-moi bien la bite !
J’eu vite fait de faire bander cette jolie colonne de chair en la faisant coulisser dans ma bouche, je titillais aussi le gland de petits coups de langue et lui aspirait les couilles.
– Un peu à moi maintenant ! Me dit-elle en embouchant ma bite d’autorité.
Une sacrée suceuse, mais je ne voulais pas jouir prématurément, ce qu’elle comprit parfaitement en m’offrant de nouveau sa bite à sucer, ce que je fis avec une passion dévorante.
Sans doute fatiguée de ma pipe, elle se retourna avec un grand sourire et m’offrit son cul magnifique. Je lui léchais donc la rondelle, j’adore cet endroit particulier à la saveur subtile, j’osais y glisser un doigt que je fis aller et venir. Cela la faisait rigoler, tant mieux moi j’aime bien les professionnelles qui restent d’humeur joyeuse.
– J’aimerai que tu m’encules ! Lui demandais-je.
– Mais bien sûr, mon beau capitaine.
Qui lui a dit que j’étais capitaine ? Pas bien grave !
Je me mets en levrette, et la voilà qui me sodomise en beauté. J’adore ça ! Je suis en extase. J’ai des frissons partout.
Un voyeur se pointe et pile juste devant nous, il a l’air fasciné par ce que nous sommes en train de faire et se branle. Il a une jolie bite à la peau très sombre et des couilles qui pendent bien.
– Approche-toi, lui dit Joanna, il va te sucer, il est un peu pédé, il aime bien sucer des bites.
Elle aurait quand même pu me demander mon avis, la jolie trans, mais quand la queue de l’inconnu se trouve à quelques centimètres de mon visage, je me jette dessus et m’en régale, son gland est mouillé de liquide préséminal, ça n’en est que meilleur
Ça ne dure pas assez longtemps, hélas.et Joanna propose à l’inconnu de permuter. Elle est gonflée, de disposer de moi ainsi, mais je laisse faire, je suis très joueur. L’inconnu passe donc derrière moi et me rentre sa bite dans l’anus, tandis que la transsexuelle me donne sa bite qui sort de mon trou du cul à sucer. Elle n’est pas très nette et polluée de taches brunes, ce n’est pas bien grave, cela lui confère un petit goût particulier.
Je suce avec frénésie, la sentant au bord de la jouissance, elle éjacule dans ma bouche, tandis que l’inconnu jouit dans mon fondement avant de s’éloigner sans un mot.
Joanna vient conclure en me roulant une galoche. Délicieux moment !
Après cette petite folie, je me rendis à l’hôtel de police où on m’informa que le lieutenant, non le capitaine, pardon, Jiker m’attendait en mon hôtel.
En voilà une démarche insolite !
Je pensais la retrouver dans le hall. Ben non, elle était montée dans ma chambre et n’était pas redescendue.
De plus en plus étrange !
Je montais, et au moment d’ouvrir la porte j’entendis comme des râles de plaisir.
J’ouvre et là : stupéfaction : Lizda et Annabelle Jiker sont à poil sur le lit en position de soixante-neuf en train de se gamahucher.
Elles ne m’ont même pas entendu rentrer, je me racle la gorge. Jiker se redresse et comme si elle était chez elle me demande :
– Tu peux nous attendre cinq minutes dans la salle de bain !
Parfois, il vaut mieux ne pas chercher à comprendre, je file dans la salle de bain, mais je laisse la porte entrebâillée
Les deux femmes se remettent sur le lit, Lizda en dessous, Jiker dessus, qui lui lèche les seins, qui lui adresse un sourire carnassier avant de l’embrasser profondément puis qui rampe de façon que son visage puisse rencontrer sa chatte, elle écarte les jambes de sa partenaire, et c’est parti pour le léchage de minou.
Tout en léchant elle lui introduit un doigt dans le cul après l’avoir préalablement mouillée.
Lizda gigote comme une damnée en se tiraillant ses bouts de seins.
Jiker lui a maintenant introduit deux doigts dans l’anus et les fait coulisser à un rythme infernal, laissant sa partenaire se masturber en gémissant
Et ça continue, valse des doigts et des bouches qui n’en peuvent plus de se donner du plaisir
Lizda finit pas éclater son plaisir. Quelques instants de repos pour souffler un peu et c’est reparti. Jiker s’est couchée sur le dos. Lizda se met à califourchon entre les cuisses de sa partenaire de façon à ce que les chattes puissent frotter l’une contre l’autre.
S’en suit une infernale séance de frotti-frotta aux termes de laquelle, le capitaine Jiker, haut dignitaire de la planète se mit à jouir en hurlant.
Mais elles en veulent encore, j’entends Jiker demander à sa partenaire de s’occuper de son trou du cul, pour se faire elle se met en levrette et attend. Lizda vient lui lécher l’anus, le balayant de larges coups de langue. Le massant de ses doigts, puis crachant dessus, avant d’y enfoncer les doigts. Jiker parvint alors à jouir par le cul, une jouissance moins intense que la précédente, mais quand même…
Et les voilà qui se pointent dans la salle de bain en sautillant comme des cabris.
– On a envie de faire pipi ! M’explique Lizda au cas où je n’aurais pas compris. Va nous attendre à côté.
– Je ne peux pas regarder ? Demandais-je.
– Non ! Réponds Jiker
– Laisse-le, ça lui fait plaisir ! Objecte Lizda
– O.K. Mais ne va pas aller raconter à tout le monde que tu m’as vu à poil, j’ai une image de marque à tenir, moi, maintenant que je suis capitaine !
Tu parles !
– Je commence ! Propose Jiker !
– Non, moi ! J’ai trop envie !
– D’accord, donne-moi à boire ma petite chérie, donne-moi ta bonne pisse.
Lizda s’assoit sur le bord de la cuvette, Jiker s’accroupit devant sa chatte, bouche ouverte, attend que la blonde libère les vannes et quand le jet li atterrit dans le gosier, avale tout ce qu’elle peut, le reste dégoulinant sur ses nichons et son ventre.
– C’était bon ?
– Délicieux, tu veux boire la mienne, maintenant ?
– Bien sûr !
Ces dames permutent, la donneuse devient receveuse. Le spectacle était joli, mais j’aurais bien participé, moi !
Bon attends-nous, Stoffer, on prend une petite douche et on arrive.
C’est dingue ça ! Comment, elles se sont connu ces deux-là ?
– Alors, il parait que tu fréquentes le « Diable Rose » ? Me dit Jiker avec un grand sourire.
– Comment tu peux savoir ça ? Et d’abord, je n’ai pas à me justifier.
– Oh, tu sais les mouchards, ça moucharde, mais je voulais te voir pour autre chose, regarde, j’ai reçu une dépêche, je te laisse la lire.
Je lu, satisfait que Gariga et son acolyte aient conclu l’affaire de cette façon.
– Tu confirmes tout ça ?
– Oui !
– Et Herbert ?
– Probablement dans un bagne agricole.
– Toujours vivant alors ?
– Ces nanas ne sont pas des tueuses, sauf quand elles donnent l’assaut, là elles sont redoutables.
– J’espère qu’il ne va pas s’évader !
– Impossible ! Déjà, s’évader du bagne, ce n’est pas évident, et même s’il réussissait il lui faudrait quitter la planète, je ne vois vraiment pas comment il pourrait faire !
– Bon ça va, je te pique ta copine, je vais lui montrer la vue sur la Grande Vallée.
Ah bon ?
Je suis un peu idiot parfois, je ne m’étais pas aperçu que le coup de foudre réciproque entre les deux femmes était allé si loin.
– Dis-moi, ça n’a rien à voir, mais quand tu vas avec les trans, tu suces ou tu te fais sucer ?
– Les deux, mon capitaine !
Lizda ne rentra que le lendemain :
– Je suis revenu te faire un bisou et te remercier, je vais loger quelque temps chez Annabelle, ça durera ce que ça durera !
– Alors bonne chance ! Mais dis-moi, vous vous êtes connues comment ?
– C’est tout simple, Anabelle semblait pressé de te voir, elle s’est pointée à l’hôtel, on n’allait quand même pas l’empêcher de monter…Elle m’a trouvé, on s’est présenté, on a discuté, on a sympathisé, et voilà !
Me voilà partagé, d’un côté je suis débarrassé de cette « pot de colle », de l’autre un petit pincement au cœur, cette nana était loin de me laisser indifférente.
Retour au « Diable rose ». On me fait patienter devant un breuvage local indéfinissable mais fort gouteux en m’informant que Riquita est occupée mais qu’elle ne saurait tarder.
L’ambiance du lieu est très chaude, ça drague, ça se caresse, ça se pelote… Au milieu de la salle est disposée une mini scène circulaire. Elles sont trois sur cette scène à moitié couchées, discutant et rigolant entre elles. : Une jolie trans très brune complètement nue à l’exception de ses bas résilles et qui se branlotte la bite négligemment. Une belle blonde aux cheveux plaqués sur le crâne, à poil elle aussi, mais en bas rouges, l’œil coquin. La troisième personne est une femme mature blonde bien potelée aux cheveux tressés.
Deux types d’âges murs dont un avec de belles moustaches viennent de se déshabiller et s’approche de la scène. Les deux trans les attrapent par la bite, leur signifiant par-là qu’ils sont les bienvenus.
Les deux trans ne s’embarrassent d’aucun préliminaire et se mettent chacune à sucer ces messieurs avant de se mettre en levrette, offrant leur anus avec générosité, tandis que la grosse blonde ne voulant pas être en reste effectue une reptation afin de pouvoir mettre dans sa bouche la bite de la trans brune.
Un troisième homme s’approche de la scène, nu et bite bandée. La trans brune lui fait signe de s’approcher et d’enculer la femme mature. Ce qu’il fait et au bout de trois minutes, ayant joui prématurément, il décule, quitte la scène sans un mot et s’en va voir ailleurs. Du coup la femme se relève et passe devant moi !
– Tiens, Stoffer ! Qu’est ce tu fabriques ici ?
– Bonjour Lisbeth ! Répondis-je reconnaissant enfin une vielle connaissance. Tu travailles ci, maintenant ?
– Ça m’arrive, ça m’arrive, j’aime bien m’amuser avec mes copines transsexuelles. Tu ne veux pas qu’on s’amuse un peu ?
– Ça aurait été avec plaisir, mais j’attends une copine !
– Gros cochon ! Je vais faire un arrêt pipi, tu viens ?
– Tentatrice !
Je ne sais pas quel démon a fait que je la suive, Il y a un tas de monde dans les toilettes, ça se tripote, ça se suce, ça s’encule… on se fraye un chemin, Lisbeth s’assoit sur la cuvette, je viens entre ses cuisses, elle pisse, je bois ce que je peux, ça a duré trente secondes mais ça fait toujours plaisir.
Retour dans la salle où sur la scène circulaire, le partenaire de la trans blonde, excité comme un pou, se place en levrette à son tour invitant la jolie créature à l’enculer, ce qu’elle fait avec une incroyable énergie ! Elle a dû prendre des vitamines !
Quand sortant d’une alcôve, Riquita m’aperçut, elle fit une drôle de tête, je souris pour la rassurer.
– Je suppose que tu as des choses à me raconter ? Commence-t-elle
– Oui ton tuyau était percé !
– Je ne t’avais pas pris en traitre, je t’avais prévenu qu’il n’était pas garanti à 100 %…
– Je sais, je sais, je ne te reproche rien, mais je voulais que tu sois au courant.
– Je ne sais pas quoi faire pour te consoler…tu es sûr de ce que tu dis ?
– Viens t’assoir, je vais te raconter…
Je lui narrais alors l’histoire, pas toute l’histoire, cela ne la regardait pas, mais lui expliquait pour la copie en oxyde de zirconium
– Encore une fois je suis désolée, tu as dû t’emmerder là-bas ?
– Non, je me suis fait draguer par la Reine locale, elle est charmante.
– Tu l’as baisé ?
– Oui !
– Gros cochon ! Mais dis-moi : est-ce qu’il y a un malentendu entre nous ?
– Mais non ! Pas du tout !
– Alors on s’embrasse !
Un gros bisou baveux qui m’a bien fait bander ! D’autant que la coquine en profite pour me pincer les tétons avant de m’offrir sa jolie poitrine couleur chocolat.
Je fais durer le plaisir, alternant mes baisers sur les seins et sur la bouche, je passais d’un téton à l’autre et l’autre à l’un, fou d’excitation à ce point que ma bite m’en faisait mal.
Quand elle m’offrit sa magnifique bite à sucer, j’en étais à me demander si je n’allais pas éjaculer prématurément en ne pouvant m’empêcher de me branler
– Touche pas à ta queue, il n’y a que moi qui ait le droit d’y toucher, d’accord !
– D’accord !
– Je vais te foutre ma bonne bite dans ton petit cul de pédé ! Tu veux qu’on aille en cabine ou on reste ici ?
Je m’en fiche qu’on me regarde, on est resté, et tant mieux s’il y a des voyeurs, la chose n’en sera que plus excitante.
Alors elle m’a longuement léché la rosette de sa petite langue agile, et puis tout d’un coup ans crier gare je me suis retrouvé avec sa bite dans le cul.
Elle m’a limé longtemps, longtemps, je n’étais plus là mais sur autre planète, hors du temps et l’espace. A un moment, malgré ce qu’elle m’avait dit je n’ai pu faire autrement que de me branler.
J’ai joui, elle s’est retirée, on s’est mis quelques instants en soixante-neuf pour un nettoyage mutuel de bites. On s’est embrassés avec passion.
Cette histoire s’est donc terminée comme nous l’avions commencé ! La boucle est bouclée.
J’ai invité Riquita au restaurant, on a bien rigolé…
La nuit va tomber dans une heure. Sur Vargala, des petits oiseaux gazouillent gaiement j’aime bien les oiseaux qui gazouillent. Finalement la vie est belle.
Fin
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