Lundi 19 juillet 2021 1 19 /07 /Juil /2021 17:10

Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza – 12 – Enfin libres ! par Nicolas Solovionni

Solo

– On pourrait se faire une petite détente ? Propose Micky l’œil égrillard, ça m’a bien excité tout ça.

 

Et sans attendre approbation ou en encouragement Micky s’approche de Karl et lui prend le sexe à pleine main et minaude :

 

– Dis-donc, toi, on n’a rien fait encore tous les deux, t’as quelque chose contre les garçons un peu efféminés ?

– Euh…

– Tu ne dis pas non, hein, gros cochon !

– Je ne dis pas non, mais y’a du monde ?

– Et alors ? Je suis sûr que ça va leur plaire.

– Bon, tu me lâches la bite ?

 

Et voilà que Nerren a qui on avait rien demandé s’approche d’eux.

 

– Si tu ne veux pas jouer avec lui, moi je suis là !

– Oh mais quand il y en a pour deux, il en a pour trois ! Rétorque Micky.

– Deux contre un, je m’incline, les garçons ! Capitule Karl.

 

Je trouve qu’il a eu la capitulation bien facile !

 

Et pendant que les trois mecs se tripotent, Jira tente sa chance auprès de Dyane. Celle-ci peu motivée au début finit par craquer quand l’opulente Oulm lui fourre ses tétons carrément sous le nez. Dyane ouvre alors la bouche et tète le fruit offert. Quelques instants après les deux filles s’embrassaient à pleine bouche.

 

Alexandra s’éloigne des quelques mètres, elle avance doucement et se retrouvant me fait un clin d’œil.

 

Une invite, bien sûr, mais pourquoi s’éloigner ? Je comprends mieux quand je la vois s’accroupir en position de pisseuse.

 

Echanges de regards, elle m’explique par gestes que la place sous ses cuisses étant libre, je pourrais volontiers m’y installer pour recueillir son urine en bouche.

 

C’est ce que, vous vous en doutez bien, j’ai fait, me réglant de boire à la source de délicieux nectar parfumé.

 

Sans doute par mimétisme, ma propre envie est venue, je n’ai pas eu besoin de proposer mon pipi à Alexandra, sachant qu’elle en est. Je l’arrosais donc copieusement, ce qu’elle ne pouvait avaler, coulant sur ses seins en leur imprimant de charmants reflets.

 

Je me collais à elle, je savais ce dont elle était friande, et lui tournicotait ses bouts de seins en tous sens, lui procurant des ondes et des gémissements de plaisir.

 

Tel un diable en boite, elle se retourna d’un coup, relevant son croupion en écartant les cuisses, m’offrant la vue de tous ses trésors.

 

Je compris qu’elle désirait que je l’encule. La chose me parût brusque, je veux dire que j’aurais aimé prendre mon temps, me faire sucer la bite, lui lécher la chatte… On ne fait pas toujours ce qu’on veut.

 

N’empêche que ce trou du cul à quelques centimètres de mes mains et de mon visage me nargue et que je ne peux m’empêcher d’aller le butiner, rencontrant ce goût âcre un peu particulier que les gourmets de l’amour apprécient tant .

 

Je l’ai léché avec une telle fougue que ma salive en dégoulinait sur elle, et quand ma langue commença à fatiguer, ce sont deux de mes doigts qui lui pénétrèrent l’anus et qui le lui pilonnèrent en cadence.

 

– Encule-moi ! Fous-moi ta bite dans le cul ! Me supplia-t-elle.

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, je positionnais mon gland à l’entrée, une légère poussée , et hop, le lieu était investi. Je m’activais comme un malade, ses cris et ses gémissements s’amplifiaient sans cesse, elle était réellement déchaînée, je m’activais, la bourrait à un bon rythme, de toute façon je ne pouvais aller plus vite, je ne suis pas « bite d’acier », non plus ! Je finis par jouir dans un râle.

 

– Continue, continue !

 

J’ai juste attendu une minute avant de repartir, ce n’est pas toujours évident de faire ça alors que l’érection à tendance à diminuer.. Je fis malgré tout un gros effort en invoquant la déesse de la luxure. Et Alexandra finit par jouir en se transformant en tuyau d’arrosage tellement elle mouillait.

 

Ouf, un peu de repos dans les bras l’un de l’autre….

 

Je n’avais pas pendant mes fantaisies avec Alexandra le loisirs de regarder ce que faisaient mes compagnons. Maintenant je pouvais mater et je dois dire que le spectacle était assez fabuleux,

 

Dyane était positionnée en soixante-neuf au-dessus de Jira couchée sur le dos. La différence de corpulence entre les deux femmes produisait une vison étonnante. Et puis ça gémissait, ça gesticulait… Deux furies en chaleur !

 

Mais c’est du côté de ces messieurs que l’insolite régnait, ils étaient tous les trois couchés sur le côté et s’étaient emboités, tel un petit train, Karl au milieu, puisqu’il est dit que c’est la meilleur place, il sodomisait Nerren tout en étant lui-même enculé par Micky. Ils ne se désolidarisèrent que quand les deux sodomites se mirent à jouir l’un après l’autre.

 

Nerren n’ayant pas éjaculé, il s’approche de moi, au cas où… Je ne refuse jamais de sucer une bonne bite et me fit un plaisir de lui rendre ce service.

 

Et la dernière image de cette partouze fut celle de Dyane pissant tout son sous dans la bouche de Jira.

 

Quand nous sommes revenus dans la grotte des Oulms nous n’avons rencontré aucune hostilité, Fulgoll a parlé à Jira comme s’il ne l’avait jamais fait enfermée. Mais quand nous avons demandé des nouvelles de Dilos et de Nadget on nous a répondu que cette dernière était encachotée.

 

Je suis donc allé protester auprès de Fulgoll.

 

– Elle a voulu changer nos traditions avec l’aide de Pukar, ils ont été châtiés.

– Comment ça « châtiés » ?

– Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient. Si vous voulez récupérer la trainée, faites-le mais le sort de Pukar ne vous regarde pas.

 

Décidemment ce Fulgoll m’apparut de plus en plus antipathique.

 

– Il sont où ?

– Dans un cachot !

– J’entends bien, mais lequel ?

– Mais je n’en sais rien, ce n’est pas moi qui les ai enfermés, moi je donne des ordres !

– Y’a bien quelqu’un qui doit savoir ?

– Débrouillez-vous !

 

Jira m’a alors pris à part :

 

– Je crois savoir où c’est, c’est souvent au même endroit, viens, on y va !

 

Effectivement nous avons trouvé Nadget et son gourou dans le même cachot que celui que j’ai eu le désavantage de pratiquer.

– A boire ! Implore Nadget

– Je vais chercher de l’eau ! Me dit Jira.

 

La pauvre fille est non seulement assoiffée, mais choquée, elle me monte son dos qui a été durement flagellé. Quand j’ai eu droit avec mes compagnons à ce supplice, il ne me semble pas que le bourreau avait frappé si fort !

 

Je lui explique qu’on a sans doute trouvé le moyen de partir de cette planète, elle n’a pas l’air de trop réaliser.

 

Jira revient avec deux outres en peau de laznok. Nadget et Pukar en boivent le contenu comme des trous. Je leur dit de boire doucement mais ils ne m’écoutent pas.

 

– Bon allez, Nadget, viens avec nous, on va te soigner.

– Et lui ?

– On n’est pas autorisé à le libérer.

– Personne ne va s’occuper de lui, il va mourir de soif.

 

On se regarde dubitatifs.

 

– On est pas là pour interférer dans leur politique intérieure ! Me dit Nerren.

– Je sais bien, mais je n’aime pas voir souffrir les gens.

– Bon on va faire un truc ! Proposais-je à Pukar, on va oublier de refermer la porte, toi tu vas aller te planquer où tu veux en attendant notre départ. Une fois qu’on sera parti, tu feras ce que tu veux, ça ne nous regarde plus.

– Comment ça ?

– D’accord ou pas ?

– Vous n’avez pas d’ordre à me donner !

– On ne donne pas d’ordre, on te libère, en échange on te demande de faire le mort jusqu’à notre départ. Il est où le problème ?

– Bon d’accord.

 

Je ne le sens pas ce mec-là, mais vraiment pas.

 

On est revenu dans notre abri, une mauvaise nouvelle nous attendait :

 

– Gayascoh refuse de baliser le labyrinthe ! Me confie Alexandra

– Qui peut l’obliger à le faire ?

– Fulgoll !

– Ça va être pratique ! Me désolais-je.

 

On est donc retourné rencontrer Fulgoll… En force Nerren, Dyane, Jira, Alexandra et Karl m’accompagnèrent. Nous avons laissé Nadget se reposer et Micky veiller sur elle.

 

Ça s’est très mal passé !

 

– Comment ! Vous osez vous présenter devant moi après ce que vous avez fait ? Eructe l’édile.

– On a fait quoi ?

– Vous avez libéré Pukar contre ma volonté ! Je ne laisserais pas passer cet affront. Je réfléchis à la manière dont je vais vous châtier.

 

Mais comment peut-il être déjà au courant ? Cela ne doit faire qu’une heure que nous avons laissé la porte ouverte. Donc soit Pukar est tellement con qu’au lieu d’être discret il s’est manifesté, soit Fulgoll nous a fait suivre. Et voilà que maintenant ce petit trou du cul veut nous châtier. Comme si on allait se laisser faire ?

 

– Mais enfin ! Ce n’est pas de leur faute si la porte s’est mal refermée ! Tente d’intervenir Jira.

– Toi je te répudie, tu as trahis notre peuple.

 

La situation devient compliquée et dangereuse. Il me paraît évident que Fulgoll n’attend qu’une occasion pour faire appel à ses sbires et nous enfermer. On a beau être déterminé, on ne fera probablement pas le poids.

 

Il faut donc absolument éviter ça ! Sans trop réfléchir aux conséquences, j’aligne un pain sur la tronche du chef des Oulms qui dégringole en arrière, en se cognant la tête. Il perd connaissance.

 

Je suis gêné pour Jira, c’est tout de même son mari… Mais elle a l’air de s’en foutre.

 

– On fait quoi ? Demande Alexandra.

– On va le réveiller et l’obliger à demander à Gayascoh de baliser le labyrinthe ou de vous accompagner à la sortie. Proposais-je.

– Vous ne le connaissez pas, il peut aussi bien demander à Gayascoh de vous perdre dans le labyrinthe.

– On emmènera Fulgoll en otage.

– Ça ne le fera pas, la majorité des Oulms lui est fidèle et nous ne sommes qu’une poignée.

– J’ai une idée ! Intervint Jira. Fulgoll on va le faire disparaître !

– Comment ça !

– On attend la nuit et on l’enferme dans un cachot.

– Ça fait beaucoup de temps à attendre, c’est trop dangereux ! Objecte Alexandra.

– Et puis même, une fois dans le cachot il va ameuter tout le monde… à moins qu’on le bâillonne ! Ajoute Karl.

– Alors j’ai mieux, on va le conduire dans le vieux labyrinthe, il ne saura pas en sortir. Et ça on peut le faire de suite, il suffit de longer la muraille là-bas, on ne nous verra pas.

– Il risque d’en mourir !

– S’il ne bouge pas j’irais le rechercher quand vous serez partis, on va lui laisser une outre d’eau…. Explique Jira

– Et s’il bouge ?

– S’il bouge tant pis pour lui !

 

Ces gens sont décidément d’un cynisme !

 

On a donc fait comme ça. Et on a laissé Fulgoll dans une des cavités du labyrinthe. A mon avis on n’est pas près de le revoir !

 

En revenant, Jira fait passer un message selon lequel il allait y avoir une prise de parole dans la grotte principale.

 

Il se sont tous radinés, y compris les femmes et les gosses, impressionnant de voir tous ces pauvres ères regroupés ainsi.

 

Jira montée sur une table de pierre annonce la couleur.

 

– C’est une triste nouvelle, ce matin Fulgoll, mon époux bien aimé et notre chef vénéré a eu une crise de folie, il s’est précipité vers le petit labyrinthe et s’y est perdu sans doute définitivement…

– Tu connais le secret de ce labyrinthe, comment est-ce possible que tu ne l’ai pas retrouvé ? Intervient quelqu’un.

– Je sais cheminer dans les premiers couloirs, mais je ne sais pas retrouver quelqu’un qui s’est perdu.

 

Il s’en suit un brouhaha indescriptible. Jira attend que ça se calme avant de continuer.

 

– Il nous faut un nouveau chef, quelqu’un est-il volontaire ?

– Pourquoi être si pressé, Fulgoll va peut-être réapparaître ! Rétorque un vieil Oulm.

– Non, nous avons besoin d’un chef ! Si Fulgoll réapparait, eh bien il reprendra sa place. Donc est-ce qu’il y a un volontaire ?

 

Et voilà que Pukar lève la main ! Il ne pouvait pas rester planqué ce con ?

 

Le vacarme reprend, apparemment Pukar est loin de faire l’unanimité.

 

– Laissez-moi parler ! S’égosille l’individu. Tout le monde n’est pas d’accord, il y a des gens qui ne m’aiment pas, mais je vous promet que je serais un bon chef.

– Ouh ! Ouh !

– Et puis, reprend-il. Je suis le seul volontaire, donc maintenant c’est moi le chef.

 

Pendant ce temps Wulna, la fille de Fulgoll souffle quelque chose à sa mère….

 

– Silence ! Il y a un autre candidat !

 

Et Wulna dans un geste théâtral lève les bras au ciel.

 

– Wulna ! Wulna ! Crie la foule enthousiaste, couvrant les huées des rares partisans de Pukar.

 

Un vote expéditif à mains levées entérina ce choix.

 

– Pukar, te soumets-tu à ta nouvelle chef ! Lui dit-elle.

– Bien obligé !

– Alors baise-moi les pieds !

 

Quand Wulna demanda à Gayascoh de baliser le labyrinthe, celui-ci élevé dans le culte d’obéissance aux chefs ne songea même pas à refuser.

 

Et nous voilà prêt à repartir !.

 

Nous n’avons rien récupéré de nos affaires confisquées lors de notre mise au cachot. Les sacs à dos, les armes, la radio et tout le reste. Personne n’avait l’air de savoir où c’était. Ils avaient peut-être été tout simplement jetés dans la « bouche verte ».

 

En fait seul Dilos avait pu conserver ses affaires, cela nous a permis de contacter le reste de l’équipage qui nous attendait à l’entrée extérieure de la grotte.

 

– Regagnez le vaisseau, on arrive !

 

Ils étaient inquiets, ça se comprend, et Dilos tout à ses amours avec Wulma n’avait pas pensé à les contacter. Quand je vous dis que l’amour ça rend fou !

 

– Les trucs qui sont dans la salle du trésor, on peut en prendre un peu, ça nous fera des souvenirs ! Demandais-je innocemment à Jira.

– Bien sûr, ça ne nous sert à rien.

 

Parce qu’au départ on était tout de même venu pour ça ! Mais on en a volontairement laissé un peu sans que je puisse expliquer pourquoi…

 

– Tu m’emmènes ? Demande Jira

– Moi je veux bien, mais tu vas te retrouver dans un monde dans lequel tu ne vas rien comprendre.

– Si je te demande de m’emmener, tu acceptes ou pas ?

– Je viens de te dire !

– Répond « oui » ou « non ».

 

Je ne sais pas trop pourquoi j’ai répondu « Oui », mais ça lui a fait vachement plaisir.

 

– Mais rassure-toi ! Reprend-t-elle, je ne vais pas t’encombrer, je vais rester ici mais tu m’auras offert un merveilleux souvenir !

 

Brave fille !

 

Elle m’a embrassée de la plus belle façon possible. J’en étais tout retourné.

 

Dilos a eu un mal fou à faire ses adieux à Wulna, j’ai même cru un moment qu’il allait rester sur la planète avec elle.

 

Gayascoh avait balisé le labyrinthe, mais, comme on n’est jamais trop prudent, je lui ai demandé de nous accompagner jusqu’à la sortie.

 

L’équipage fut fort surpris que nous soyons tous à moitié à poil, nous avions des vêtements de rechange sur le vaisseau, mais ce n’était pas cela le plus urgent.

 

J’ai procédé à un check-up poussé des instruments de bord sans rencontrer d’anomalies puis j’ai lancé le compte à rebours.

 

A moins cinq, tous les visages sont anxieux, les rythmes cardiaques n’en peuvent plus…

 

Moins sept, moins six…5, 4, 3, 2, 1. Et nous voilà partis. Tout le monde s’étreint. Alexandra pleure comme une madeleine.

 

On attend néanmoins de passer en hyperespace pour faire la fête, pour cela il faut attendre une heure ou deux.

 

Ça y est on est passé.

 

Dans le mess, je suis au milieu de mes officiers et de mes collaborateurs préférés, Dyane, Nerren, Dilos et Nadget. Bien sûr, il y a Alexandra et Karl, et puis Micky… On s’est tous habillés « normalement » Fallait voir la tête d’Alexandra et de Karl tout surpris de se retrouver habillés ainsi

 

Dilos est allé chercher le champagne dans la réserve, les nerfs retombent on a envie de s’éclater, je sens que ça va tourner encore en orgie cette affaire-là !

 

On lève nos verres !

 

– Je crois, dit Dyane qu’on peut boire à la santé de Micky, c’est quand même lui qui nous a sorti de ce merdier.

– C’est le hasard, voyons ! Répond-il, jouant les faux modestes..

– Non, non, le coup des « gardiens de la machine » c’était génial ! Intervient Alexandra.

– De l’improvisation, mais je reconnais que je n’ai pas été mauvais.

– Alors on va tous t’embrasser ! Propose Dyane.

– Oh, la ! Ce sera avec plaisir, mais on va peut-être vider nos verres avant, parce qu’après je ne réponds plus de rien.

 

On boit nos verres et on défile tous à la queue-leu-leu embrasser Micky qui se prend vraiment pour la vedette de la soirée. Mais après tout ça ne fait de mal à personne.

 

Il m’a bien semblé que certains ne se contentaient pas de l’embrasser, mais se livrait à des attouchements coquins.

 

– Je tiens à protester ! Dit soudain Micky après que la petite fantaisie fut terminée.

 

On se regarde tous avec des yeux étonnés.

 

– Ben oui continue-t-il, il y a en a deux d’entre vous que je ne nommerais pas qui ont profité de la situation pour se livrer à des attouchements au niveau de ma bite.

 

Ouf ! C’était donc une plaisanterie. Tout le monde se marre.

 

– Des noms, des noms ! Clame l’assistance

– Je ne suis pas une balance, mais devant la gravité des faits, je vais donner les noms, il s’agit de Dyane et de Nerren.

– Oh !

– Je demande à ce qu’il soit condamné par un jury d’honneur ! Continue Micky, complètement parti dans son délire.

 

Mais il me plait bien, moi son délire ! J’interviens donc.

 

– Proposition retenue, nous allons juger ces deux pervers. Je serais le président du tribunal. Karl et Dilos seront mes assesseurs. Il lui faut un avocat, qui veut essayer de défendre ces crapules !

– Moi je veux bien ! Dit Alexandra

– Et il faut un procureur, ce sera Nadget, de toute façon il ne reste que toi.

 

On s’installe comme au tribunal non sans s’être resservi une coupe de champagne,

 

– Donc je résume, Micky ici présent, accuse Dyane et Nerren d’attouchements sexuels non consentis, c’est bien ça ?

– Tout à fait, votre honneur !

– Si madame la procureure veut prendre la parole…

– J’attire l’attention du tribunal sur la gravité des faits, ces actes odieux vont traumatiser la victime à vie, il va culpabiliser, se sentir sale, souillé, perdre le sommeil et l’appétit et risque des éruptions cutanés… Et il sera obligé de se reconstruire.

– Merci nous allons reconstituer les faits. Dyane pouvez-vous devant le tribunal refaire le geste odieux que vous avez pratiqué sur la victime.

– Mais bien sûr, alors voilà, je me suis approché de Micky, je lui ai fait un baiser sur les lèvres et j’en ai profité pour lui tripoter la braguette, comme ceci, voyez-vous.

– Nous voyons très bien, et ça vous a provoqué quoi donc, Micky ?

– Une grande gêne et une grande honte, votre honneur ! Répond Micky qui a du mal à retenir son sérieux.

– Et physiquement ?

– Physiquement, mon pénis banda !

– Il banda ?

– Oui mais c’est purement mécanique.

– Humm ! Et après vous avez fait quoi, Dyane ?

– Je lui aurai bien sorti la bite de sa braguette, mais je ne pouvais pas il y avait la queue…

– Humm ! Et vous Nerren, qu’avez-vous fait ?

– La même chose que Dyane, votre honneur.

– Micky, lors de la reconstitution, lorsque Dyane vous a touché la bite, bandiez-vous ?

– Non pas vraiment !

– Alors Dyane, vous allez recommencez, jusqu’à ce qu’il bande.

– Mais parfaitement, votre honneur.

 

Dyane se livre alors un énergique frotti-frotta de braguette.

 

– Je crois que ça y est !

– Je demande une vérification visuelle ! Intervint Alexandra.

– Objection ! C’est indécent ! Rétorque Nadget.

– Objection refusé ! Montrez-vous notre bite, Micky.

 

Et Micky au lieu de sortir son engin de sa braguette, baisse carrément pantalon et caleçon

 

– Vous voyez bien votre honneur que s’il bande c’est qu’il n’a pas subi de préjudice, il a porté plainte pour se faire de la pub et essayer de se remplir les poches avec des dommages et intérêts.

– Vous insultez mon client ! Intervient Nadget.

– Toi, on ne t’a pas sonné !

– Oh !

– Vous voyez bien qu’il bande, non ? Regardez-moi cette bite comme elle est belle et fière !

– Ce n’est pas une preuve ! Cette bandaison n’est que purement mécanique !

– Bon, nous n’allons pas passer la nuit là-dessus, Madame la procureur quel est votre réquisitoire.

– Je requiers vingt coups de badines pour les deux délinquants sexuels. De plus je demande à ce qu’il soit interdit de tout jeux sexuel pendant huit jours. Déclara Nadget.

– Salope ! Lui lance Dyane.

– Et dix coups supplémentaires pour Dyane en raison de l’offense à magistrat.

– Maître Alexandra, votre plaidoyer.

– La relaxe pour les deux accusés qui n’ont fait de mal ni au plaignant ni à personne d’autre. Je demande en outre que le plaignant reçoive, dix coups de badines pour l’apprendre à encombrer les tribunaux avec des fadaises.

 

Je fais semblant de recueillir l’assentiment de mes assesseurs et je rends mon verdict.

 

– Ayant délibéré avec moi-même et en ayant informé mes assesseurs qui n’ont pas objecté, je condamne Nerren et Dyane, uniquement par principe et afin qu’on ne soit pas taxé de laxiste, aux coups de badines requis par l’accusation. Je ne retiens pas la privation de jeux sexuels. Faut pas déconner non plus. La sentence sera exécutable dès que la fin du procès. Quant au plaignant, qu’il aille se faire enculer ? Un volontaire pour s’en charger !

– Moi, moi ! Dit Karl, qu’on avait jusqu’ici pas encore entendu.

– La séance est levée. Nadget et Dilos sont chargés des punitions. On y va !

– On va peut-être se boire encore un verre, avant, j’ai un peu soif ! Objecte Dyane.

 

Alors d’accord on a bu un verre, on a trinqué puis on a voulu jouer le jeu jusqu’au bout.

 

Nous n’avons pas de badines à bord mais les ceinturons les remplaceront très bien.

 

Dyane et Nerren se sont déshabillés et ont offert leurs culs au coups portés respectivement par Dilos et Nadget. Tout cela se fait dans la bonne humeur, de toute façon Dyane et Dilos ont l’habitude jouer ensemble à plein de fantaisie érotiques, ils ne sont donc pas en terrain inconnu.

 

Vingt coups pour Nerren, trente pour Dyane comme prévu, les coups sont restés modérés, tout cela n’est d’abord qu’un jeu, n’empêche qu’ils ont le cul bien rouge.

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Karl est venu comme demandé, enculer Micky, lequel comme vous le pensez bien est ravi de l’aubaine et pousse des cris de chatte en chaleur.

 

Alexandra se déshabille en toute hâte et me fait signe de faire la même chose, je m’exécute de bon cœur et elle m’offre ses seins, c’est vraiment sa spécialité, je les tournicote comme elle le souhaite tandis que ma bite devient raide comme un bout de bois.

 

Ce que je lui fais la fait mouiller, et j’aurais mauvaise grâce à ne pas la soulager.

 

Je plonge entre ses cuisses et me régale de son jus, puis n’y tenant plus, je vais pour la pénétrer. Elle me fait alors comprendre qu’elle préférerait que la chose se passe dans son petit trou ! Je l’aurais parié !

 

A côté de nous Nadget et Dyane se partagent la bite de Dilos en le suçant alternativement et parfois conjointement.

 

Nerren est allé rejoindre le couple formé par Micky et Karl, et quand ce dernier eut terminé d’enculer l’androgyne, il se retira, épuisé.

 

– Tiens je te laisse la place, elle est chaude.

 

Evidemment Nerren n’attendait que ça !

 

Dilos en pleine forme et remonté comme un coucou se mit à baiser tour à tour ses deux jolies partenaires. Bizarrement il jouit alors qu’il sortait de la chatte de Nadget pour investir celle de Dyane. Du coup, victime d’un gros coup de barre, il s’écroula de fatigue, il avait peut-être bu un peu trop, aussi ! Son sperme ne fut pas perdu, les filles adoraient jouer les gourmandes.

 

J’ai joui dans le fondement d’Alexandra, c’était intense, et elle n’a pas boudé son plaisir. Forcement entre capitaines on se comprend !

 

Je pensais Dilos endormi, mais ce n’était pas ça, il sanglote comme un bébé !

 

– Wulna, je ne reverrais plus jamais Wulna ! Ouin ! Snif ! Ouin !

– Et moi tu ne m’aime plus ? lui demande Dyane

– Mais si mais je ne verrais plus jamais Wulna ! J’aurais dû rester là-bas !

– Non on se calme, bois un coup l

 

Quand je vous dis que l’amour ça rend fou !

 

Alexandra m’a pris à part !

 

– Qu’est-ce que je vais devenir sur Vargala ? Clocharde ? Je pourrais même pas faire la pute, je ne suis plus compétitive.

– Tu vas pouvoir investir dans un vaisseau, redevenir capitaine…

– Trouver un armateur, tu crois qu’on va me prendre comme capitaine après toutes ces années ?

– Non, l’idée c’est que tu achètes un vaisseau, un vaisseau à toi !

– Tu me ferais un prêt ?

– Bof ! Avec tout ce que j’ai ramassé, je peux même te faire une donation.

– Et en quel honneur ?

– Ne cherche pas ! Et fais-moi un bisou !

 

Quand je vous dis que l’amour ça rend fou.

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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