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Orgie de bureau par Alexis Defond-Rossignol
Voici l'histoire d'une partie à trois qui s'est déroulée sur mon lieu de travail, un week-end. Je devais finir un travail au bureau et j'annonçai à mes deux collègues, un homme et une femme, que j'allais venir bosser le samedi matin. Carole, ma collègue féminine, jolie blonde d'environ 1 m 65, corps menu, annonça à son tour qu'elle risquait de venir aussi. Petits regards complices, ce qui m'enchanta plutôt, car je la trouve bien mignonne. Notre autre collègue, Boris, grande bringue très macho, y va d'une réflexion graveleuse pour la forme.
En venant le samedi matin, je pensais à Carole et à son sourire mais je n'espérais rien, croyant plutôt à un petit jeu de séduction platonique. J'étais sur mon ordi depuis un quart d'heure quand la belle fit son apparition, toute guillerette. Elle portait une jupe noire très courte et un chemisier de couleur sombre assez décolleté. Appétissante !
- Salut, déjà là ? Tu es plus matinal que moi !
Et elle vint me taper la bise alors que d'habitude nous nous disions juste bonjour comme ça, pour garder une bonne ambiance de travail. Elle en profita pour poser une de ses mains sur ma poitrine et l'autre se balada gentiment vers mon entrejambe. Ses intentions étaient claires.
- Tu es venue travailler ou me déconcentrer, Carole ?
- Ben voilà ! J'ai justement plus grand chose à faire.
Elle s'éloigna et fit le tour de son bureau.
- En fait j'aime bien venir ici quand il n'y a personne car c'est très calme pour mon activité préférée.
Et voilà qu'elle sort un gode de son sac à main. Ma tête a dû en dire long sur mon étonnement, car Carole se mit à rire tout en faisant de la place sur son bureau, juste face de moi. Et elle continua sans broncher sa petite explication :
- Il y a trop de bruit chez moi, des gamins au-dessus et des gamins dessous qui font le boxon... Pas génial pour penser à des choses cochonnes. Elle s'installa sur le devant du bureau, bien face à moi, écarta les jambes et découvrit sa chatte bien épilée, elle ne portait pas de culotte, bien sûr.
- Ne te gêne pas pour moi ! Lui dis-je, j'ai plein de choses à faire moi aussi.
Je reculai mon siège à roulettes et me mis en position plus décontractée, pas collé à mon bureau, les jambes écartées. Une érection certaine commença à comprimer mon pénis dans mon pantalon.
- Oui, mets-toi à l'aise, mon chéri, et admire le spectacle.
Elle enfourna sans plus de préambule son godemiché dans son sexe. Il n'était pas très gros, assez épais mais pas très long (moins de 15 cm). Elle s'imprimait un va-et-vient énergique, sa tête renversée, les yeux mi-clos, plus qu'impudique. Je remarquai alors que ses petits seins étaient libres sous son chemisier, je pouvais les voir ballotter alors qu'elle balançait quelque peu son corps. Devant ce spectacle enchanteur, je sortis ma bite de mon pantalon et commençai à me branler.
- On va pas rester là à se mater, chère collègue, je suis sûr que nous avons mieux à faire.
Elle releva la tête, fixa mon pénis en érection dans ma main et retira son gode.
- Bien sûr que je vais m'occuper de toi, mon chéri.
Elle fit le tour de mon bureau et, après un baiser profond, se mit à genoux et goba mon sexe. Malgré une bouche qui ne m'avait jamais paru très grande, elle n'eut aucun mal à avaler tout mon sexe, bien plus long que son gode préféré et un peu plus large aussi. Elle suçait lentement, enfonçant bien mon membre jusqu'au fond à chaque fois. Son autre main était en train de frotter son clitoris avec frénésie. Elle gémissait à chaque fois que ma bite laissait la place aux sons, pour qu'ils puissent sortir de sa bouche.
- Tu suces bien, je connaissais beaucoup de tes compétences, mais pas celle-ci.
Elle était très habile, je grossissais dans sa bouche qui semblait se dilater comme un vagin. Je stoppai son va-et-vient, me retirai de sa bouche et me levai. Je l'aidai à se relever elle aussi et la plaçai contre le bureau. J'ouvris son chemisier, déboutonnai les premiers boutons. Tout en fourrant mes doigts dans sa chatte, je lui léchai ses délicieux petits seins bien fermes.
- Oui, prends-moi mon chéri, ta bite va faire merveille.
Je ne me fis pas prier. Je me relevai et présentai ma verge bien droite devant le vagin de la belle. Elle le prit de ses deux mains et la guida en elle. Je pris tout mon temps, ressortant plusieurs fois, ses mains m'y remettant aussitôt.
- Viens, me dit-elle.
Je poussai très fort d'un coup, elle lâcha un cri de surprise, j'étais bien au fond d'elle ! Je commençai à la limer bien profond et pas trop vite. Elle couinait à chaque fois que je touchais le fond et m'encouragea à continuer dans le même souffle.
Alors que tout allait pour le mieux, elle m'arrêta d'un seul coup.
- Attends mon chéri, j'aimerais bien avoir mes deux trous pleins en même temps.
Elle me fit me retirer, alla chercher son gode sur son bureau et revint se mettre très vite près de moi. Elle posa le gode sur le bureau qui tenait bien droit. Elle me demanda de l'aider à monter sur le bureau et je la tins alors qu'elle s'enfilait le gode dans le vagin pour bien le lubrifier. Puis elle se l'enfila lentement dans le cul, je la retins pour ne pas que ce soit trop rapide. Elle s'assit finalement littéralement sur le bureau, le godemiché avalé par le cul.
- Ça va être très très bon mon chéri ! Lâcha-t-elle.
Je pris ses jambes bien écartées sur mes bras, la tenant par les hanches. Je réintroduis ma bite dans son sexe comme dans du beurre et recommençai à la pilonner avec délice. Ses gémissements reprirent, plus langoureux.
- Deux bites, c'est vraiment le pied, mon chéri.
J'étais amusé qu'elle m'appelle mon chéri, et surtout très excité par son regard dans le mien, par cette double pénétration, par nous deux aussi. Je l'embrassai à pleine bouche. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit en grand : le troisième occupant du bureau, Boris, débarqua, le sourire aux lèvres.
- J'en étais sûr, mes cochons, ça baise derrière mon dos !
Un peu incrédules d'abord, Carole et moi rîmes de bon cœur avec lui. Au bout de quelques secondes de silence, nous nous regardâmes l'un après l'autre, moi toujours planté dans Carole, elle toujours sur son gode. Puis elle annonça :
- On va pas arrêter là mon chéri, je suis super excitée !
L'ordre était trop tentant, donc je me remis à limer. Sans se sentir exclu, Boris se débarrassa de ses vêtements du haut (blouson et chemise) et déboutonna son pantalon pour sortir un pénis épais et pas trop long (comme le gode) qui fut rapidement en érection. Il se masturbait debout et se rapprocha de nous. Carole le prit dans la main et le branla alors qu'elle avait toujours un gode dans le cul et subissait mes coups de boutoir. Nous commençâmes tous à gémir en cadence. Boris titillait du bout le clito de Carole, introduisant parfois un doigt dans son vagin, accompagnant ma queue. Lorsqu'il voulut mettre un doigt dans son cul, il se rendit compte qu'elle avait déjà le gode.
- Eh mais carrément, vous y allez fort. T'es une vraie vicieuse ma petite !
- Et j'adore ça petit malin ! Ça te dirait d'y mettre ta bite ?
- À ton avis, coquine ?
Carole ne supportait pas trop les sarcasmes macho de Boris au bureau mais semblait apprécier ce langage crû dans cette situation. Carole se mit à genoux pour sucer la queue de Boris, le gode toujours dans le cul, pour qu'elle atteigne sa grosseur optimale. Moi je suis resté contre le bureau à les regarder, à quelques centimètres d'eux. Je ne me branlais pas, ma bite était suffisamment dardée. Je retirai mon polo et je me retrouvai avec la main de Boris autour de la bite.
- Et, je suis pas pédé, hein ! Me dit Boris le macho. Mais t'as une belle grosse queue. Tu dois aimer ça, toi, ma petite garce ?
Carole se foutait pas mal de ce que disait Boris et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que la mienne. Elle devait avoir bon goût car Carole était goulue. Boris continua à me branler.
- Tu sais Boris, lui dis-je, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai déjà fait des trucs avec des mecs. Tu serais surpris du plaisir que tu aurais.
Carole se releva, visiblement étonné de ma déclaration. Elle sembla médusée de voir que Boris me branlait.
- Tu vas remonter dans mon estime Boris si tu continues comme ça.
Carole se remit à sa place sur le bureau, le gode toujours bien enfoncé, les jambes écartées.
- Boris, c'est ici que ça se passe mon petit.
Boris ne se fit pas prier et s'approcha pour s'empaler jusqu'à la garde dans le vagin de cette sacrée petite cochonne. Alors que les va-et-vient étaient rapides, je restai tout près d'eux, me laissant branler par Carole et Boris en même temps et léchant les seins de la belle. À un moment, je me mis derrière Boris, descendant son pantalon puis son caleçon et lui caressai l'anus. Il ne dit rien, Carole me sourit. Elle m'attrapa une main et lécha tous les doigts :
- Mets lui donc ça dans le cul !
- Euh là je ne suis pas sûr de...
J'avais déjà introduit un doigt dans le cul de Boris qui voulut se débattre. Je le poussai en avant, il pilonna un peu plus profondément Carole et accepta finalement plusieurs de mes doigts.
- Il va falloir dilater tout ça, dis-je, si tu veux accepter autre chose.
C'est le moment où Carole décida de se faire prendre par deux queues à la fois. Boris s'installa assis contre le bureau, la verge en avant. Carole retira le gode et je l'aidai à s'empaler par le cul sur la bite offerte, sans aucun mal. Boris tenait Carole par les bras tandis que je m'introduis dans son con tout mouillé. Nous nous mîmes à bouger ensemble, les bites butant l'une contre l'autre, Carole gémissant à chaque mouvement. Boris aussi semblait bien plus excité dans ce trou plus étroit. Il ne mit pas trop longtemps à venir alors que Carole en était déjà à deux ou trois orgasmes. Moi, je me retenais tant bien que mal. Boris jouit assez bruyamment, le corps de Carole fut parcouru de spasmes. Je continuai à limer alors que Boris et Carole ne bougeaient plus.
- Ok les gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi me reposer un instant, annonça la belle qui avait bien payée de sa personne.
Je me retirai. Carole se libéra de Boris et s'agenouilla devant moi, voulant que je jouisse sur elle. Elle m'astiqua sévère et mon sperme gicla sur sa bouche, ses cheveux, ses seins et son chemisier. Elle me nettoya bien la bite. Boris était resté comme il était, les bras en arrière en soutien, la bite en avant, souillée des secrétions de Carole et de son sperme. Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon collègue de bureau dans ma bouche. Il fut surpris, mais me laissa faire. Je lui nettoyai la queue tout en le pompant pour lui rendre sa virilité maximale.
- Oh génial, s'écria Carole, mon chéri tu es un génie, tu sais tout faire.
Elle s'allongea par terre derrière moi, passa sa tête entre mes jambes et se mit à sucer ma queue qui avait dégonflé (j'aime bien sucer un mec pour l'incongruité de la chose, et le goût, mais ça m'excite peu). La bite de Boris était très bonne, le foutre de la belle et son sperme se mélangeaient à merveille. Les deux pénis reprirent ensemble de la vigueur. Carole ne cessait de faire des "hum" en me suçant. Je cessai ma séance homo et annonçai la couleur :
- Boris, tu as bien enculé Carole, je viens de te sucer, pour parfaire ta culture je te propose de te faire enculer à ton tour.
À ces mots, Carole se releva et dit qu'elle était d'accord, qu'elle allait lui foutre son gode dans le cul bien profond. Boris, finalement, ne se fit pas trop prier, excité qu'il était, et il se retrouva à moitié allongé sur le bureau, pointant ses fesses vers Carole. Elle lubrifia de nouveau le gode dans son vagin tout en titillant l'anus de Boris avec ses doigts et avec sa langue. Puis elle commença à enfoncer le godemiché assez lentement et sans grande difficulté. Boris dandina du cul pour l'aider. Carole, agenouillée derrière le cul de Boris, était en train de l'enculer avec son gode. Du délire ! Elle me fit signe de lui apporter son sac. Elle en sortit un préservatif et du lubrifiant. Avec quelques signes, elle me dit qu'elle voulait que j'encule Boris. Je compris vite l'intérêt de la capote, finalement plus facile à lubrifier, car mon calibre était imposant pour un cul novice. J'enfilai le préservatif large size et m'apprêtai à me mettre du lubrifiant.
- Non, prends-moi en levrette ! Annonça Carole.
Ce que je fis pendant quelques instants, avant que Carole ne dise à un Boris amorphe, soumis, que le gode n'était pas assez gros et qu'il lui fallait du sérieux. Il tourna la tête et me vit approcher la bite en main. Il manifesta un peu, mais Carole se mit sur le bureau, lui présentant sa chatte épilée sous le nez.
- Ça va aller, bouffe-moi en même temps et tu vas adorer !
Je mis ma queue à l'orée de l'anus masculin et commençai à pousser lentement. Ma bite était bien lubrifiée et le cul de Boris plutôt souple. Je ne mis pas très longtemps, petit coup par petit coup, à entrer en entier. Puis je me mis à limer et là Boris se mit à gémir grave. Il ne pouvait plus se concentrer pour lécher Carole. Elle reprit son gode et se le mit énergiquement dans le vagin. Ce trou étroit me comprimait la bite qui ne cessait de vouloir grossir. Les gémissements de Boris devenaient de plus en plus plaintifs. Je ne savais si je devais continuer car je ne me sentais pas venir alors que je grossissais toujours. C'est à ce moment que notre maîtresse de cérémonie décida d'en finir avec elle et moi. Elle sauta à terre, se mit à quatre pattes sur la moquette et m'invita dans son cul, ouvrant son anus à deux mains. Je me retirai sans prévenir de Boris, le macho enculé, et je me plaçai derrière elle. Je m'enfonçai avec difficulté, son cul devant être habitué à son petit gode, son anus étant finalement moins dilaté que celui de Boris. Mais j'y allai sans ménagement, bien décidé à lui mettre le paquet. À ce régime de va-et-vient profonds, pendant plusieurs minutes, le cul de Carole se dilata bien et elle se mit à gémir de plaisir. Elle eut plusieurs orgasmes. Moi j'étais long à venir car j'avais déjà juté peu avant. Boris s'assis devant elle pour se faire sucer. Au moment où je lâchai mon sperme dans ses entrailles, elle gueula littéralement. Mes longs jets la remplirent et son corps se raidit. Boris se termina à la main, il jouit une nouvelle fois lui aussi.
Cette petite séance terminée, nous fûmes heureux. Chacun se rhabilla (nous ne nous étions pas trop déshabillés de toute façon) et sans trop de mots prononcés, Boris et Carole partirent le sourire aux lèvres en disant à lundi ! Je restai, espérant travailler enfin, mais au bout d'une demi-heure, comme j'avais toujours la main sur la bite, je décidai de rentrer.
Fin
Ce texte a été publié sur le site de Story X en 2010
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