Alexis

Lundi 2 septembre 2002 1 02 /09 /Sep /2002 14:03

Lits résistibles (en voilà un titre ?) par Alexis Defond Rossignol

 

cul015

Thémes abordés :  bisex masculine, bizarre, domination soft, humour.

L’action de ce délire urbain se déroule un mercredi, au mois de septembre

Nous sommes dans le seizième arrondissement près d’une bouche de métro. Il
est 8 heures et demi du matin, la journée s’annonce ensoleillé et
probablement très chaude.

Fred s’est réveillé de bonne heure, il n’arrivait pas à dormir, et en
désespoir de cause avait décidé, dans l’ordre : de se lever, de se doucher,
de s’habiller « décontracté mais avec des vêtements de marque » et de
descendre prendre son petit déjeuner au bistrot du coin. Fred ne fait rien
dans la vie, il est rentier, sa tante lui a laissé en héritage une belle
collection d’appartements, et le paiement des loyers lui assure un revenu
substantiel. Riche et glandeur à 30 ans.
Il n’y a qu’un client au comptoir, c’est Eric, ce dernier cultive un look
très bohème, tunique blanche très ample, barbe en pointe et catogan. Après
avoir essayé en vain de monnayer ses travaux d’artiste peintre, il s’est
aperçu que pour briller dans le milieu de la peinture contemporaine, il
suffisait à défaut de talent, d’un peu de culot et de quelques
connaissances. Depuis, il travaillait beaucoup moins et gagnait beaucoup
plus.
Les deux hommes se connaissent, ils leur arrivent de se mesurer aux échecs,
en fait, ils y jouent aussi mal l’un que l’autre, sinon ils causent,
critiquent tout le monde et s’échangent leurs anecdotes, parlent de leurs
dernières conquêtes, l’un comme l’autre sont aussi dragueurs que
célibataires convaincus.

208 01f Et voici que justement vient s’approcher du bar, une créature…
une créature comment dire ? Elle est blonde, fausse blonde, mais genre
fausse blonde qui s’assume, les cheveux sont raides et coupés au carré, le
visage lisse et les pommettes relevées, les lèvres sont bien ourlées et le
nez finement dessiné. La silhouette est agréable, les formes sont devant,
les formes sont aussi derrières, et le tout est habillé d’un ensemble
blouson, pantalon en vinyle et chaussé de talons qui ne sont pas aiguilles
mais qui sont néanmoins vertigineux. Une apparition !

- Joli lot ! Juge Fred !
- Une pute ! Répond Eric sur un ton désabusé mais néanmoins hypocrite.
- Et alors, elle est belle, cette femme, non ?
- T’aime le genre domina ?
- Ça change ! J’ai déjà eu quelques expériences comme ça, évidement
faut pas que ça aille trop loin…
- Des petites fessées ?
- Et même un peu de martinet ! Avoue Fred !
- De toute façon, elle est indraguable ! Reprend Eric
- Personne n’est indraguable ! Répond Fred péremptoire.
- 100 euros que tu n’y arriveras pas !
- Pas assez cher !
- 500 euros !
- Pari tenu ! Avant midi je la baise !
- Et comment je vais savoir ?
- Tu reste avec moi, on va la suivre, quand je l’aurais dragué, tu
continueras à nous suivre !
- Et tu crois que j’ai le temps de jouer à ces conneries ?
- Je crois, oui !

La jeune femme, appelons là Carole, ne remarque même pas la présence de nos
deux parasites, et semble passionnée par la vision de sa tartine beurrée
qu’elle trempe délictueusement dans sa tasse de double crème. Elle prend son
temps, regarde sa montre, ouvre son sac à main, en extrait un petit miroir,
vérifie son maquillage, embarque la monnaie contenue dans la petite soucoupe
traditionnelle et sort du bistrot. Nos deux blaireaux la suivent. Et tout ce
petit monde se précipite vers la bouche de métro.

Laissons les voyager, leur trajet ne présente aucun intérêt pour notre
histoire et rendons-nous ailleurs pour l’instant !

Cet ailleurs ce sera la rue du Faubourg Saint Antoine, dans le 12ème près de
la Bastille. Cette rue possède une étrange particularité, en effet
pratiquement tous les commerçants sont des marchands de meubles…

Vers le milieu de la rue… non pas là… sur le trottoir d’en face, un peu plu
loin, l’un de ces magasins est spécialisé dans la literie. Son propriétaire
est un certain monsieur Bertin, il aurait donc pu enseigner son magasin Lits
Bertin, cela aurait parfaitement convenu à ce genre de récit, mais sans
doute moins à la clientèle potentielle, le magasin a donc été baptisé Lits
Résistibles. On est tous pliés de rire ! Le mercredi, matin, moment creux
par excellence, un seul vendeur exerce, c’est Gaétan, archétype du vendeur
de ce type de produit, la trentaine, costume strict, coiffure soignée,
chemise bleue et cravate discrète.
Il s’emmerde Gaétan ! Il l’a déjà dit à son patron ! Pourquoi ouvrir si tôt
le mercredi, c’est le jour des gosses, personne ne vient acheter un lit à
cette heure là, mais le patron n’entend jamais rien (air connu)

Revenons dans le métro : station Bastille : Carole descend ! Les deux
blaireaux lui emboîtent le pas !

- Si ça se trouve, elle va voir un client, tu vas avoir du mal à la
draguer ! Intervient Eric, notre peintre contrarié !
- Laisse faire mon intuition ! Répond Fred
- Et elle dit quoi ton intuition ?
- Elle dit que ce n’est pas une professionnelle !

Carole s’engage rue du Faubourg st Antoine, elle s’arrête de temps à autre
devant une vitrine, semble alors en proie à de longues réflexions. Une
vitrine, deux vitrines, plein de vitrines, et la voici plantée devant celle
de Lits résistibles.

- A la prochaine vitrine, j’attaque ! Prévient Fred

Pas de bol pour Fred, car Carole pénètre dans la boutique !

- Raté ! rigole Eric
- Pas du tout, viens !
- On ne va pas rentrer ?
- Mais si ! Un magasin, c’est super pour draguer !
- Bon alors on y va !

Il n’en revient pas Gaétan, le carillon d’entrée vient de sonner deux fois.
D’abord une cliente potentielle, mais alors quelle cliente ! Ça lui aurait
plu d’être seul avec elle… mais d’où sortent ces deux guignols ? Trois
clients à cette heure, un mercredi, voilà de quoi reconsidérer certaines de
ses certitudes !

- Madame ?
- Je voudrais un lit, mais un lit assez haut !
- Assez haut ! Mais pourquoi assez haut ? Répond Gaétan a qui on
n’avait jamais encore demandé une telle chose !
- Je n’ai pas besoin de me justifier, je cherche un lit assez haut, en
avez vous ? Répond Carole très sèche !
- Bien sûr, répond Gaétan, mouché.

En fait, il n’est sûr de rien, mais il lui faut retenir sa cliente, après
son talent de vendeur fera le reste !

- Je vais vous montrer tout cela, mais je vous demande une seconde, je
vais faire patienter ces deux messieurs !

Gaétan se dirige vers nos deux zigotos !

- Ces messieurs désirent voir quelque chose ?
- Nous allons regarder, et nous vous appellerons quand nous aurons
décidé ! Répond Fred !
- Alors je vous laisse regarder ! Répond Gaétan, tout heureux à la
perspective de pourvoir prendre son temps avec la belle cliente.

Et tandis que nos deux parasites s’en vont faire semblant de s’intéresser
aux lits du rez-de-chaussée, Gaétan parvient à persuader Carole que de bien
plus beaux lits sont en exposition au premier étage, ils prennent donc
l’escalier pour s’y rendre.

- Actionne la porte d’entrée ! Demande Fred à son compère !
- Pourquoi foutre ?
- On dit pourquoi faire ! Pour qu’il se figure qu’on est ressorti !
!
Après avoir usé de ce grossier stratagème, ils montent discrètement
l’escalier et se mettent en planque derrière un énorme meuble de rangement.

- Voyez ce modèle, c’est ce qui se fait de mieux !
- Il n’est pas assez haut !

Gaétan hésite, il n’a pas envie se faire rembarrer une seconde fois, mais ce
doit être sa nature, il faut qu’il jacte, il faut qu’il cause, pour lui
c’est de l’argumentation, ça fait parti du métier !

- La tendance actuelle est de faire les lits le plus bas possible,
c’est historique en fait, autrefois, on grimpait sur le lit, le lit était
une véritable cabane isolée du reste, on y montait parfois avec une petite
échelle ou à l’aide de quelques marches, et il y avait un rideau qui…
- Ecoutez, je ne suis pas venu ici pour écouter un historique de
l’histoire des plumards, je veux un lit haut, un point c’est tout, et si
vous en avez pas, autant le dire tout de suite, ça m’évitera de perdre mon
temps.
- Je suis désolé !
- Vous pouvez ! Alors vous en avez ou vous en avez pas ?
- Je crois que ce modèle est ce qu’il y a de plus haut !
- Vous dites ça sans le regarder, alors qu’on ne vous a probablement
jamais posé la question, vous vous foutez de moi, ou quoi ?
- Je, je..
- Je quoi ? Et arrêtez de me reluquer comme cela, vous n’avez jamais de
cliente ?

Le moment de stupeur passé, Gaétan, refait surface !

- Des clientes aussi ravissantes que vous, c’est assez rare, si vous
voulez bien me permettre ?
- Justement, je ne vous permets pas !

Gaétan se rappelle ses cours de vente, il y a un moment ou l’on sait que
quoiqu’on fasse, la vente ne se fera pas, il faut à ce moment là en tirer
les conclusions, et se débarrasser du client s’il ne s’en va pas de
lui-même…

- Alors restons en là, peut-être trouverez-vous votre bonheur chez un
de mes confrères ?
- C’est bien dommage que vous n’ayez pas l’article, pour une fois que
je tombais sur un vendeur qui soit joli garçon !

Du coup Gaétan devient tout rouge ! Il reprend espoir

- Si vous voulez, on va mesurer quelques lits et on va bien en trouver
un qui soit plus grand que les autres…
- Remarquez, je vous dis ça, mais n’en tirez aucune conclusion, je ne
suis absolument pas draguable, c’est moi qui choisit, c’est moi qui décide,
je suis un peu dominatrice, voyez-vous !
- Oui, oui ! Bredouille gaétan. Euh c’est peut être pas la peine de
mesurer, à vue d’œil celui-ci me parait plus haut que les autres !
- Vous n’aimez pas les femmes dominatrices ?
- Tout dépend de la femme, avec une femme telle que vous cela ne me
générais pas du tout !
- Vous n’auriez pas du dire ça !
- Pourquoi donc ?
- Vous verrez bien ! Donc pour vous c’est celui-là le plus haut !
- Oui, absolument !
- Je peux l’essayer ?
- Bien sur ! Vous pouvez vous asseoir dessus !
- Parce que chez vous pour essayer un lit on s’assoit dessus ?
- Non, vous pouvez même vous y allonger, je vais juste vous demandez de
retirer vos chaussures.
- Parce qu’essayer un lit, c’est s’allonger dessus ?
- Ben !
- On fait quoi dans un lit d’après vous ?
- Euh !
- Vous êtes décidément bouché. Débrouillez-vous pour virer vos deux
clients du dessous et je vais vous montrer

Gaétan se souvient alors avoir entendu le carillon !

- Mais ils sont partis !
- Comment le savez-vous ?
- J’ai entendu le carillon
- C’est peut-être quelqu’un d’autre qui est entré !
- Je vais voir…

Gaétan revient quelques secondes après !

- Ils sont bien partis :
- Alors on va l’essayer !

Carole pose alors son sac à main sur bord lu lit, et se débarrasse de son
blouson. Elle a en dessous un petit haut assez décolleté à très fines
bretelles qui laissent les bras nus. Gaétan n’en peut plus ! Il ne comprend
pas ! Et nos deux parieurs toujours dissimulés derrière leur meuble en sont
au même point. Ces messieurs auraient pu penser qu’elle en serait restée là
et qu’elle se serait ensuite allongée sur cette belle literie… mais non,
elle retire son haut, Gaétan a les yeux exorbités, il se demande si elle va
commettre la folie de dégrafer son soutien-gorge. Elle le fait et deux
magnifiques seins piriformes ornés de belles aréoles brunes et de jolis
tétons érigés apparaissent…

- Je…
- Je quoi ? Vous n’avez jamais vu une poitrine ?
- Euh, il n’est peut-être pas nécessaire de…
- Dis donc, vendeur de mes fesses ! Tu as bien dis que tu accepterais
de te faire dominer !
- Oui, mais…
- Silence, ! Ou je te flanque une dérouillée. ! Et d’abord fout toi à
poil !
- Qui ? Moi ?
- Bien sûr toi ! Qui veut tu que ce soit ?
- Mais enfin, si quelqu’un vient ?
- C’est pas mon problème !
- Euh, alors, je vais bloquer la fermeture !
- Pourquoi faire, je n’ai pas l’intention de faire durer les choses
cent sept ans ! Allez à poil !

Alors comme dans un rêve Gaétan se débarrasse de ses vêtements, et tandis
qu’il le fait Carole termine son propre déshabillage, son pantalon est
retiré, sa culotte suit. Nos deux voyeurs ont maintenant la vision du corps
de déesse de la belle. Ils bandent comme des cerfs amoureux.

- Maintenant monte sur le lit et fout toi à quatre pattes ! On va
tester le plumard ! Ordonne Carole !

Le vendeur s’exécute.

- Je vais te faire un cul tout rouge ! Prévient alors la jeune femme.

Elle ouvre alors son sac, en sort un martinet, se met debout sur le lit et
commence à fouetter le vendeur qui n’a jamais encore connu pareille
situation.

- Pas trop fort quand même !
- Je fais ce que je veux ! Dis le que tu es mon esclave !
- Hein ?
- Dis le que tu es mon esclave ?
- Si vous voulez, mais pas si fort !
- Je n’ai pas bien entendu !
- Je suis votre esclave !
- T’aimes ça que je te fouette ?
- Ce doit être parce que je suis super excité !

Carole fouette à grande volée, contrôlant l’impact du martinet sur les
fesses du vendeur, en le faisant, elle accomplit une sorte de mouvement
trépignant des pieds qui font bouger toute la literie. Mais cette dernière
est aussi solide que silencieuse ! Du bon matériel.

Fred, n’en peut plus, il a sorti sa bite et se branle carrément. Eric se
sentant encouragé, hésite pourtant à l’imiter, mais l’excitation aidant, il
lorgne sur la biroute de son complice ! Une jolie queue bien droite, bien
dessinée au gland reluisant ! Un bien bel organe ! Il sent qu’il va faire
quelque chose de pas si courant !

- Elle est belle ta queue ! Chuchote-il à l’oreille de Fred
- Pourquoi ? Ça t’intéresse ?
- Non, je disais ça comme ça !
- Parce que si vraiment ça t’intéresse, on peut s’arranger !
- Je peux juste toucher un peu alors ?
- Vas-y touche !

Carole est complètement excitée par ce qu’elle fait, Le cul de Gaétan est
maintenant tout rouge, elle retourne farfouiller dans son sac et en sort un
joli gode vibrant qu’elle encapuchonne d’un préservatif ! Puis elle approche
l’objet du cul du vendeur !

- Oh ! Tu fais quoi ? Questionne ce dernier, craintif.
- Je vais t’enculer ! Répond Carole comme s’il s’agissait de la chose
la plus naturelle du monde.
- Mais ça va pas, non ?
- Tais toi, t’y connais rien !
- Mais je ne veux pas !
- Et après tu pourras me prendre !

Evidement c’est un argument ! Et Carole introduit donc l’objet dans le cul
du vendeur ! On ne lui a jamais fait ça ! Après quelques secondes pendant
lesquelles il faut bien forcer cet orifice non habitué à de tels outrages,
l’olibos s’est enfoncé dans le rectum et le vibrateur s’est mis en marche,
produisant de curieuses sensations dans le derrière à présent dépucelé de
notre vendeur

- C’est bon, hein ?
- C’est pas désagréable ! Concède Gaétan

Derrière le meuble, les choses ont évolués et Eric a maintenant englouti la
bite de son comparse dans la bouche et lui fait une fellation en règle, tout
en s’auto-masturbant. Les deux bites sont gonflées à bloc et ne vont pas
tarder à lâcher leur jouissance dans quelques instants.

Retour à Carole qui donne des instructions à son esclave de rencontre :

- Bon maintenant, je m’allonge, tu viens sur moi et tu me prends et tu
as intérêt à être à la hauteur !

Bandé comme il est Gaétan, se prépare, il enfile la capote que lui tend
Carole, il s’allonge sur elle, n’ose pas quémander un baiser sur les lèvres,
mais s’aventure sur les seins, il les caresse, les pelote, les triture, sa
bouche vient en renfort de ses mains, il embrasse, il suçote, il lèche. Il
s’approche du téton….

- Allez viens ! Le presse Carole.
- On n’est pas à cinq minutes ! Tente de parlementer le vendeur.
- J’ai envie que tu me prennes tout de suite ! D’accord ?

Gaétan se met donc en position afin de pénétrer cette créature de rêve, sa
bite s’approche de la chatte, cette si belle petite chatte à moitié épilée
de ses poils afin qu’on puise en admirer le fin découpage. Il est juste là
où il faut, il va la pénétrer….

…quand soudain elle pousse un cri :

- Mon mari ! Vite planque-toi !

A ces mots, Gaétan par pur réflexe dégringole du lit et s’en va pour se
cacher en dessous, mais le lit n’est pas assez haut et dans sa précipitation
il s’assomme à moitié contre la boiserie et se provoque une énorme bosse..

- Ah Ah ! Rigole Carole, je t’avais bien dis qu’il n’était pas assez
haut ! Il ne vaut rien ton plumard !

Elle se rhabille, Gaétan penaud, ne comprend plus rien et à moitié étourdi,
tente de rassembler ses affaires afin de se rhabiller à son tour. Il est
complètement frustré par cet épilogue imprévu, il cherche en vain le mari
qui bien sûr n’existe pas !

- Bon, il ne te reste plus qu’à me l’offrir ton plumard, puisqu’il ne
vaut rien ? Tente Carole.
- Je ne peux pas, mais je peux vous faire une belle remise !
- Tu ne veux pas me l’offrir ?
- Non, je suis désolé !
- Mufle ! Répond-elle, faisant le geste de se retenir de lui balancer
une gifle.

C’est alors qu’intervient Fred suivit de près par Eric !

- Hum ! (ça c’est Fred qui nous fait un raclement de gorge)
- Mais vous étiez-là, vous ? Bredouille le vendeur, comprenant de moins
en moins ce qui se passe
- Oui nous somme là, et voyez-vous, cela nous ferait énormément plaisir
que vous offriez ce lit à mademoiselle.

Gaétan évolue la situation. Il n’y a aucune menace dans les propos de Fred.
Mais le rapport de force ne lui est pas favorable, il préfère jouer la carte
de la prudence !

- Bon, bon on va faire un petit effort ! Finit-il par lâcher.
- Je vous remercie de votre intervention ! Intervient Carole à
l’adresse de Fred.
- Mais c’est un plaisir, voyons, que de secourir un aussi belle femme
que vous !
- Flatteur !
- Me ferez-vous simplement l’honneur de vouloir prendre un verre avec
moi ?
- Pourquoi pas, mais vous êtes bien sûr conscient des risques que vous
prenez ?
- Mais je suis prêt à les assumer ! Répond Fred, puis se tournant vers
Eric : « Nous nous reverrons demain, n’oublie pas de passer à ta banque ! »

Moralité : absolument aucune !

Alexis

PS : Soyez gentil, ne m’écrivez pas pour me dire que tout cela est
invraisemblable, je le sais bien que c’est invraisemblable. Mais qu’il me
soit permis de défendre le droit au délire !

a_defond_rossignol@hotmail.com

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Vendredi 2 août 2002 5 02 /08 /Août /2002 13:40

Marie-Clotilde, assistante en chirurgie dentaire
par Alexis Defond Rossignol

version non censurée
cul015

 

Thémes abordés : bizarre, humour, médical, uro

C’est au deuxième étage de cet immeuble bourgeois que se trouve le cabinet
de dentiste du docteur Pivot. Une simple plaque de cuivre, et en dessous une
autre moins noble mais précise ;  » sonnez et entrez  »
Max et Bernadette Hilaire obtempèrent et entre dans le lieu. On ne peut se
tromper, la salle d’attente est à gauche avec son traditionnel tour de
chaise et sa petite table encombrée de magasines périmés et froissés. Et
d’ailleurs pour qui hésiterait, une plaque sur cette porte indique  » salle
d’attente  »

- Ce n’est pas possible, il doit être en cheville avec un marchand de
plaques ! Plaisante Bernadette

Mais la plaisanterie fait flop ! Max bougonne, il a une chique à la joue
droite, ses dents le font énormément souffrir !

Ah ! Oui, je ne vous les ai pas présenté, ou du moins pas assez ! Max,
presque la cinquantaine, légèrement ventripotent, aucun fil blanc ne vient
encore perturber ses cheveux bruns peignés en arrière et légèrement bouclés.
Il a d’épaisses moustaches noires. Il est habillé en costume bleu marine
très sombre presque noir, la chemise est blanche, la cravate est jaune ornée
de motifs discrets, bref le mec n’a rien d’original, le cadre moyen ou le
petit patron… Que voulez-vous parfois ces gens là aussi ont parfois mal au
dents
Madame a accompagné son mari, elle a dix ans de moins que lui, un beau
visage, la bouche pulpeuse, une belle silhouette que sa robe bleue jean met
bien en valeur en laissant dénudées ses belles épaules qui luisent sous la
lumière…

- C’est quand même bizarre qu’il n’y ait personne dans la salle d’attente !
Remarque Bernadette !
- Tant mieux, on n’attendra pas ! Ronchonne Max
- De toutes façons, on n’aurait pas attendu, puisque nous avions rendez-vous
! Réponds Bernadette sur un ton fort péremptoire
- Dès fois ça veut rien dire !

Cinq minutes passent, pas plus ! Une porte s’ouvre sur le geste classique du
praticien ouvrant sa porte de communication avec le cabinet et la tenant par
la poignée (dés fois qu’elle s’échappe, la lourde !)

- Monsieur Max Hilaire !

C’est moi ! Tient à préciser Max en se levant

Le docteur Pivot fait signe au couple de les suivre, c’est un homme
approchant la soixantaine, chauve, le visage tout en longueur, de grosses
lunettes en écailles et vêtu d’une blouse blanche d’une immaculée propreté -
sans doute en change-t-il à chaque patient – Il fait asseoir Max et
Bernadette devant son bureau, et le cérémonial se poursuit permettant au
chirurgien dentiste de renseigner les données de ses patients sur son
logiciel médical.

- Je n’ai pas de fiche à votre nom ! Constate alors celui-ci !
- C’est la première fois que nous venons… Commence Bernadette, parlant alors
à la place de son mari. On nous a recommandé votre cabinet, et on nous a
affirmé que vous aviez une méthode pour soigner sans douleur !
- C’est parfaitement exact, mais comme toute médaille à son revers, je dois
vous prévenir tout de suite que je ne suis pas conventionné avec la sécurité
sociale et que par conséquent vos soins ne pourront être remboursés !

Voici qui à l’air de désoler Bernadette, qui du coup regarde son mari :

- Ah, on ne nous avait pas dit cela ! Qu’est ce qu’on fait, Max !
- Tant pis, on est là, on est là ! J’ai trop mal, il faut en finir !
- Je vous ferais un petit prix ! Lance le docteur conciliant ! Bon alors on
va commencer, je vais demander à madame votre épouse de rejoindre la salle
d’attente !
- Mais pourquoi ? Je ne vous générais pas ! Proteste cette dernière !
- Ce n’est pas moi que vous risquez de gêner, c’est le bon déroulement de la
méthode ! Soyez sans crainte dans vingt minutes, je vous rends votre mari,
guéri et même plus, il sera enchanté et ravi de mes prestations !
- Bon, à tout à l’heure chérie ! Intervient Max

Et comme au théâtre quand un personnage sort, il faut qu’un autre rentre !
Nous allons faire maintenant connaissance, et en même temps que Max, de
Marie Clotilde l’assistante du Docteur Pivot

Brune, de grands cheveux longs, les yeux bleus, mais c’est surtout la tenue
qui intrigue. La blouse croisée laisse apercevoir l’échancrure d’une
poitrine prometteuse, et puis elle ne descend vraiment pas très bas cette
blouse, mais dire que c’est juste à mi-cuisse serait encore carrément
exagéré ! Max écarquille les yeux à la façon du loup de Tex Averry et
bredouille un hésitant  » bonjour  » auquel notre assistante répond par un  »
salut  » fort peu protocolaire

- Préparez Le patient, Marie Clotilde ! Ordonne le docteur.

Max est donc invité à prendre place sur le fauteuil de supplice dentaire, il
est troublé Max, d’abord par la présence des ces horribles bras articulés
terminés par des engins qui dans quelques instants vont lui pénétrer dans la
bouche, et cela l’affole un peu, mais surtout maintenant par ce qu’il voit à
quarante centimètres de ses yeux… Marie Clotilde a passé autour du cou du
patient une serviette de protection, et pour cela elle a du se pencher
dégageant encore plus son décolleté. La partie la moins extérieure de ses
seins est maintenant complètement visible, deux demi-globes de chair soyeuse
au grain velouté s’offre à sa vue. Max n’en peut plus, il ne sait commander
à son sexe de rester tranquille et se met donc à bander !

C’est bien la première fois qu’il bande chez un dentiste. Ne sachant que
faire de ses mains, il décide afin de se donner contenance de se les croiser
sur sa poitrine par-dessus la serviette.

- Non ! Vous risquez de salir vos manches ! Le prévient Marie Clotilde.
Placez plutot vos mains sur les bras du fauteuil !

Il obéit, et l’assistante vient du plat de la main rectifier la bonne tenue
de la serviette, elle se penche encore et cette fois ci un joli téton à
réussi à pointer son petit bout à l’extérieur ! Max à la gorge sèche ! Il se
demande s’il rêve !

- Je … Commence-t-il.

Mais on ne saura jamais ce qu’il avait l’intention de dire, le docteur lui
fait pencher la tête en arrière, et lui ordonne d’ouvrir la bouche. Max est
frustré et tandis que le dentiste farfouille sa mâchoire, il se crispe sur
les bras du fauteuil.

- Ne vous crispez pas ! Détendez-vous ! Implore l’étrange assistante !

nurse07 Puis comme ça, comme si la chose en soi était banale,
Marie-Clotilde balade négligemment sa man sur la braguette bosselé de notre
patient qui n’en peux mais.. Il ne proteste pas, de toute façon comment
pourrait-il, se trouvant en ce moment dans l’impossibilité de parler ?

Devant l’audace de cette jeune personne, il se dit, Max qu’en avoir à son
tour ne devrait pas porter à conséquence et sa main droite se fait
caressante et après s’être timidement attardé sur un petit bout de cuisse,
empoigne maintenant vaillamment les fesses de la donzelle et les triture à
qui mieux-mieux.

Les hostilités sont donc engagées, et tandis que le dentiste imperturbable
se livre à l’ingrate tâche d’aller soigner les dents pourries d’une mâchoire
peu ragoûtante, l’assistante dézipe la fermeture éclair du patient et
promène son doigt sur la bite de Max par-dessus le tissu de son ridicule
caleçon blanc à poids rouge.

A présent notre coquine de Marie-Clotilde a dégagé le pénis tout raide de
notre patient, et après quelques caresses de convenances entreprend de la
masturber de façon aussi classique qu’efficace.

Après quelques instants pendant lesquels Max se laisse en même temps
bricoler les crocs et branlotter le bigoudi, celui-ci perçoit une curieuse
humidité lui rafraîchir le gland !  » Serait-ce une fellation qu’on
m’effectue ?  » se demande-t-il avant de réaliser que ce n’est pas tout à
fait cela, notre assistance s’est enquit d’une lingette et entreprend de lui
nettoyer savamment le zizi ! Mais pourquoi donc ! Pourquoi donc ?

Un bruit épouvantable envahit le cabinet, celui de l’odieuse roulette, mais
à peine le cerveau de Max l’a-t-il appréhendé qu’une délicieuse sensation
vient s’y superposer, celle de l’agile langue de Marie-Clotilde qui vient
d’entreprendre de savants balayages sur son gland turgescent Il se laisse
faire ! Il n’a pas le choix et sa main s’aventure dans la chatte de la jeune
personne, voilà qui aide à se donner une contenance !
Et plus la roulette officie, plus l’assistante pompe le dard, la
coordination des deux membres du corps médical est remarquable
Aux Dzzzzz Dzzzzz Dzzzzz de la roulette répondent des Slurp Slurp Slup
beaucoup plus évocateurs !

- Et maintenant la phase finale ! Annonce le docteur Pivot.

Alors tandis que celui ci envoie un jet de liquide médicamenteux dans le
gosier de Max, notre héroïne se met à califourchon sur la bite tendue après
l’avoir encapuchonnée et entreprend des mouvements coulissants qui rendent
tout chose notre patient

La prestation est-elle finie, on devrait dire  » les  » prestations ? Et bien
non, le docteur change de bras articulé, et choisit maintenant la pince, la
vilaine  » pinpince « , celle qui arrache les dents pourries ! Max ne la voit
même pas. Il ne sent pas non plus la piqûre d’anesthésie locale que lui
administre le dentiste !

- Prête Marie-Clotilde !
- Yes, Docteur !
- On compte
- 1, 2
Max ignore la signification de cet insolite compte qui n’est même pas à
rebours ! Mais sa jouissance monte, monte, il va jouir !

- Trois !

Et dans la même seconde Max libère sa jouissance tandis que le dentiste
tient au bout de sa pince, tel un trophée, la molaire foutue qu’il vient
juste d’extraire.

- Un petit rinçage Marie-Clotilde, s’il vous plait ?

L’assistante se relève, prend un verre en plastique et devant les yeux
médusés de Max, elle pisse dedans un joli petit jet jaune pâle ! Notre
patient ne cherche plus à comprendre, il est groggy, et quand le docteur
Pivot lui explique qu’autre fois l’urine était utilisé en bain de bouche et
qu’il serait grand temps de revenir à cette saine pratique, il n’entend même
pas. Il se gargarise deux ou trois fois avec la cuvée spéciale de
Marie-Clotilde. Il n’a plus mal.

- Voilà, le plus dur est fait, mais il faudra revenir, vous avez plusieurs
dents en mauvaise santé, il faut soigner tout cela d’urgence ! Voyez avec ma
secrétaire pour prendre plusieurs rendez-vous successifs… Evidemment ce
n’est pas donné, donné, mais que voulez-vous tout se paye en ce bas monde et
puis quand même, dites-moi franchement avez-vous souffert ?
- Pas du tout, docteur, j’avoue !
- Vous voyez !

Le docteur raccompagne Max à la sale d’attente ou l’attend Bernadette, son
épouse

- Alors chéri, tu n’as plus mal !
- Plus du tout ! Ce docteur est extraordinaire, mais les soins ne sont pas
terminés, il faudra que je revienne !
- Si mon époux parle de revenir chez le dentiste, c’est qu’effectivement vos
méthodes doivent êtes extraordinaires, peut-être que je pourrais en profiter
pour me faire un petit détartrage

Le docteur consulte sa montre !

- J’ai une bonne demi-heure de battement, je peux vous prendre tout de suite
si vous voulez !
- Alors d’accord ! Tu m’attends Chéri !
- Euh… euh….
- Ben quoi !
- Euh… euh…
- Jean Pascal, installez donc notre patiente ! Ordonne le docteur !

Une sorte de pâtre grec pénètre alors les lieux et invite Bernadette à la
suivre

- Arf ! Arf ! Arf !
- Mais pourquoi toussez-vous Monsieur Hilaire ? Lui demande alors le bon
docteur Pivot. Vous devriez consulter un oto-rhino, j’ai justement un
collègue qui…

Fin du délire

Alexis (août 2002)

merci à Horacio Altuna pour l’idée ! – dans la version publié sur
revebebe, j’avais autocensuré le petit passage uro, je suis un peu bête des
fois !

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Mardi 2 juillet 2002 2 02 /07 /Juil /2002 12:58

Ma voisine Artémise par Alexis Defond Rossignol

 

cul015

Thémes abordés : humour lesbos, uro

Je vais vous narrer la fantastique anecdote qu’il m’est arrivé la semaine
dernière.

J’étais ce dimanche après-midi d’octobre à l’extérieur de mon modeste
pavillon de banlieue en train de ramasser des feuilles mortes, qui comme on
le sait se ramassent à la pelle, lorsque ma voisine Artémise, toute
paniquée, se mit à crier, à hurler, à gigoter, bref à s’agiter perchée sur
son balcon !
La croyant en grand danger, mon sang ne fit qu’un tour. Je vais, je cours,
je vole, je me précipite la voir et je finis par comprendre, après avoir
démêlé un déluge de mots, de phrases et autres borborygmes qu’elle a une
fuite importante sous son évier de cuisine et que cela éclabousse partout !
Banal, me direz-vous ! Banal mais gênant !

Je m’offre d’aller voir ce qui s’en suit. Retour chez moi ! Je m’empare de
la boite à outils.

· Ou vas-tu Basile ? Me demande Ginette ma tendre et chère !
· Je vais dépanner la voisine !
· La pétasse ?
· Pétasse ou pas, je ne peux la laisser au milieu de sa fuite !
· Elle n’a qu’à trouver un plombier ! Rétorque ma moitié qui a toujours été
très humaine.

Et je m’en vais chez Artèmise, sous un regard courroucé.

Décrivons Artémise tandis que je me rends dans sa demeure, c’est une « vrai
fausse blonde », les cheveux mi-longs et raides, le visage allongé, et de
grands yeux noirs, elle possède un genre, comment dire, elle possède un
genre, voilà c’est dit ! Elle porte souvent des pantalons qui lui moule le
popotin d’une façon très attirante pour mon regard qui s’égare assez
facilement sur ce genre de choses.

Une fois dans les lieux, j’entreprends de constater l’origine des dégâts et
lance doctement le diagnostic :

- On dirait bien, Madame la voisine, que cela provient d’un joint
probablement déficient !
- D’un joint déficient ! Ciel ! Mais où trouver des joints non déficients un
dimanche après-midi ?
- Mais j’en ai, chère voisine, j’en ai !
- Que dieu vous bénisse, Basile ! Euh… Je peux vous appeler Basile, n’est ce
pas ?
- Mais volontiers puisqu’il se trouve que c’est mon prénom !
- Et appelez-moi donc Artémise !
- Ce sera plus simple en effet !

Premièrement, aller couper l’arrivé d’eau, deuxièmement opération pinces
pour dévisser les tuyaux. Et tandis que j’opère, couché sur le dos sous
l’évier, je vois Artémise, placée tout près, qui me regarde. Je note qu’elle
est en jupe ce qui chez elle est plutôt inhabituel, que cette jupe est assez
courte et de ma position, je vois l’espace nu de ses cuisses en haut de ses
bas ! Parce qu’elle met des bas, Artémise, première nouvelle ! Mais à cette
vue, je bande déjà ! Et c’est en pleine érection que je réussis à changer
les joints des tuyaux de madame.

- Ben voilà ! Répondis-je, toujours couché sous l’évier !
- Vous êtes un rapide, vous, je vous dois combien ?
- Mais rien du tout, c’est un service, voyons !
- Taratata, qu’aurais-je fais sans vous ! Si vous ne voulez pas d’argent
sans doute puis-je vous remercier autrement ?

Alors là, je ne sais ce qui me pris, mais prenant mon courage à deux mains
(et aidé de ma formidable érection !) Je lui demande si elle veut placer ses
deux jambes de chaque côté de mon corps encore étendu sur le dos. Comme ça,
pour la simple beauté de la vue ! Je ne peux voir son visage et ignore
comment elle va prendre ça ! Si elle le prend mal, je pourrais toujours me
rétracter hypocritement en disant que je disais cela pour plaisanter, tu
parles !

Ben, non, elle s’exécute Lorsqu’elle a pris position, je me glisse lentement
directement sous sa jupe afin d’y voir sa petite culotte d’un blanc
immaculé. Ainsi de mon emplacement, je me délecte de cette vision en notant
au passage qu’elle respire de plus en plus rapidement. Je lui demande
ensuite de ne pas bouger et je change de position (de sens si vous voulez !)
afin de pouvoir regarder son magnifique cul que j’avais déjà observé
furtivement auparavant. Je ne pense plus prendre grand risque en lui avouant
que son cul m’a toujours fait bander et que j’y pense souvent lors de mes
séances masturbatoires.

Je lui demande ensuite si je peux en voir un peu plus et en guise de
réponse, elle se penche un peu vers l’avant et me tend son splendide
fessier. Très lentement, je lui enlève sa jupe pour regarder ce cul et une
partie de son mont de vénus qui est partiellement sorti de sa petite
culotte, culotte à propos de laquelle je constate qu’elle se mouille quelque
peu. Je vois par la suite qu’elle s’est passé la main entre ses cuisses afin
de m’offrir le spectacle d’une masturbation avec un déhanchement lascif…

Ne pouvant plus me retenir, je baisse mon pantalon et me met à me branler
furieusement en regardant ce spectacle qui se déroule à quelques centimètres
de mon visage. Constatant mes manœuvres, elle se penche un peu plus en
bloquant ma main qui me branlait et me dit d’arrêter cela, de me conserver
pour plus tard. Je décide de passer à un rôle plus actif et je lui enlève sa
culotte. Quel spectacle ! C’est encore mieux que dans mes rêves ! Commençant
à sentir ses effluves, je ne résiste pas et je m’abats sur son sexe tout
mouillé avec ma bouche et je me mets à le lécher goulûment. Elle abandonne
sa main et me laisse tout le loisir avec ma langue et mes mains et je la
sens qui vient, elle se trémousse en spasmes violents.

Lorsque ses tremblements sont terminés, elle se met à quatre pattes sur moi
pour un soixante-neuf et se met à me manger furieusement pendant que je la
broute à qui mieux-mieux. Je ne peux résister à cette sensation et ne me
retiens plus, je me décharge sans retenue au fonds de sa bouche et elle n’en
laisse pas passer une goutte et continue à appliquer une succion qui finit
par me faire mal. Elle se relève et me dit qu’elle est déçue, qu’elle
voulait que je la défonce. Je l’informe qu’elle n’a pas à être déçue,
qu’elle n’a qu’à attendre un peu. Elle se penche alors sur moi et se met à
me branler doucement et y jetant un petit coup de langue de temps à autre.
Je reprends vie assez rapidement et finis de la déshabiller. J’en fais
d’ailleurs de même.

- Oh Basile ! Dit-elle soudain ! Je vais revenir, j’ai une de ses envies de
faire pipi !
- Mais Artémise, savez-vous que j’adore regarder une femme en train d’uriner
! Et que ce spectacle ne m’a été que trop rarement offert ! Serait-ce trop
vous demander de m’en faire profiter ?
- Voudriez-vous m’informer par-là que vous n’êtes qu’un gros cochon ?
- Ronk-Ronk ! Répondis-je !
- Alors je vais faire plaisir à ce gros cochon, et je crois même que je vais
lui pisser dessus !
- Je serais alors vraiment comblé !

Honey08bElle ne cause plus, elle pisse, elle m’en fout partout, et
quelques éclaboussures viennent atterrir dans ma bouche, voyant que mes
babines en sont alléchées, elle vise carrément mon gosier en riant à gorge
déployée ! Elle est belle toute nue, elle a des nichons aussi superbes que
son splendide derrière. Je lui mordille les seins tout en lui passant deux
doigts dans la foufoune. Je lui demande ensuite de se remettre debout contre
l’évier afin que je matte encore son cul dans la même positon que tout à
l’heure. Elle s’exécute et je me mets aussitôt à lui manger son cul et sa
chatte encore baignée d’urine. Après une seule minute de ce manège, je suis
de nouveau en moyen et je me mets aussitôt à la pénétrer par l’arrière (mais
pas par le petit trou). Je la pistonne énergiquement en lui empoignant les
seins. Elle finit par jouir en même temps que moi comme une déchaînée en
lâchant des cris d’allégresse.

- Ça va ? Artémise !
- Oui, Basile, ça va, mais n’est-il pas de tradition dans les histoires de
fesses, de terminer par une sodomie ?
- Vous auriez voulu, Artémise, que je vous enculasse le fion ?
- Que vous m’enculassiez, certes, mais le pourriez-vous Basile ?
- Que nenni ! Que nenni ! Mes couilles sont à présent aussi vides que le
cerveau d’un Skin-Head !
- Et combien faudra-t-il de temps à ces petites coucouillettes afin qu’elles
se rechargeassent ?
- Comme le fut du canon, un certain temps, chère Artémise !
- Soyez sérieux Basile ! Je brûle déjà d’avoir votre dard dans mon trou du
cul ! Déjà je languis, si en plus, je ne sais pour combien de temps !
- Alors, disons une heure !
- Je t’appellerais !

Rentré chez moi, j’affrontais de nouveau les sarcasmes de ma régulière !

- Tu lui as pris combien !
- Rien, c’était juste un joint !
- Faut jamais faire ça ! Au prochain problème, elle va te rappeler, et toi
pauvre type, tu vas courir, tout cela parce qu’elle a un gros cul !
- Un beau, pas un gros !
- Quoi ! Que dis-tu ? Qu’ouis-je ? Qu’entends-je ? Qu’esgourde-je ?
- Mais non c’est de la provoc’, ma chérie, veux-tu que je t’aide à éplucher
les petits pois ?

Je regardais la pendule, anxieux, ne sachant trop comment j’allais gérer la
situation.

- Dring Dringgggg

Putain de téléphone de merde ! Et c’est Ginette qui répond !

- C’est la pétasse, ça recommence à fuir !

Je prends le combiné, préviens Artémise que j’arrive, et déjà me voilà
rebandé, je me mets mes chaussures quand j’aperçois Ginette qui se prépare à
sortir.

- Mais Ginette ou prétends-tu aller un dimanche soir ? Quitterais-tu le
domicile conjugal ?
- Mais non, Basile, je viens avec toi, je vais en profiter pour lui demander
quel truc elle a pour avoir de si jolis crocus dans son carré de fleur, elle
ne pourra pas refuser de me le dire !

Horreur ! Comment lui dire de ne pas m’accompagner ! Je ne trouve pas ! Et
puis elle va se rendre compte que la fuite n’en est plus une !

- Ben alors, on y va ou pas ? S’impatiente-t-elle.
- Ben oui, on y va
- Et tu ne prends pas ta boite à outils ?
- Mais si j’allais la prendre, voyons !
- Je te trouve bien bizarre !

Je devais ressembler au gladiateur qui s’en va dans l’arène sans savoir s’il
s’en sortira ! Oh ! la la !
La tête d’Artémise nous voyant arriver tous les deux ! J’essaie d’avoir la
réplique intelligente :

- Ginette m’a accompagné, elle veut vous demander quelque chose à propos de
vos crocus !

J’essaie tout en parlant, de lui faire un signe de tête pour qu’elle
comprenne que d’une part je suis désolé de ce contre temps, que de deux je
ne sais pas si je vais savoir bien le gérer, et que de trois que la petite
enculade dans son postérieur est donc remise à une date ultérieure

- Oui ! Ça fuit à nouveau depuis une dizaine de minutes ! Me dit-elle.

Quel sens divin de la mise ne scène, cette merveilleuse Artémise devrait
faire du théâtre tellement sa réplique est clinquante de vérité ! Quelle
femme merveilleuse ! Non seulement elle a un beau cul, mais si en plus elle
fait dans l’art dramatique…

Pourvu que Ginette ne nous suive pas ! Ben si elle nous suit, ça va mal
finir, je le sens, je le sens ! Sauf qu’arrivé dans la cuisine, la marre de
flotte n’avait rien ni de virtuel, ni de théâtral, elle était là ! J’avais
tout simplement réparé comme un con ! Fichtre de fichtre, mais cela me
permettait au moins de ne point perdre la face ! Je recoupe l’eau, je
replonge sous l’évier, je redevisse, je refais tout très lentement, très
méticuleusement, sans me laisser troubler par qui que ce soit, et d’ailleurs
elle est où Artémise ? Ah bien sûr ! Elle doit être en train de causer
« petites fleurs » avec la Ginette ! Je re-contrôle tous les joints, je
revisse, je me lève, remet l’eau tout seul comme un grand, n’aperçoit pas
les deux nanas ! Je retourne sous l’évier, j’y reste cinq minutes guettant
l’apparition d’une éventuelle perverse goutte d’eau ! Puis ne voyant rien
venir et satisfait du travail enfin accompli, je me redresse !

- Ça y est, cette fois, c’est vraiment réparé !

Pas de réponse ! Un coup d’œil dans le jardin ou elles ne sont point ! Des
bruits viennent du fond de l’appartement, la chambre sans doute !
Probablement qu’après avoir épuisé leurs échanges horticoles, elles en sont
à parler chiffons !

- Aaaaaah vas-y c’est bon !

Mais qu’elle est cette réplique ? En voilà une drôle de façon de parler
chiffon ! C’est alors que devant mes yeux étonnés, j’aperçois Ginette, la
tête enfouie entre les cuisses écartées d’Artémise lui lapant la chatte à
grands coups de langue telle une forcenée !

- Basile, mon garçon ! Me dis-je alors. Ne fait pas l’erreur d’intervenir,
regarde discrètement et tiens-toi prêt au cas ou elles t’appelleraient… au
cas où…

Alexis

Tous mes remerciements à Luc (et à Lucie) qui m’ont fourni la trame

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 17:59

L’anniversaire de Magalie par Alexis Defond-Rossignol
(variation sur un texte anonyme)

scat
Ce texte contient des passages scatos explicites

thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, engodage masculin, feuille de rose, party, prostitution, scato, sodomie féminine, sodomie masculine, spermophilie, uro

Magalie avait 20 ans aujourd’hui. Ou peut-être plus, puisque ls femmes aiment tellement mentir sur leur âge. Elle était très jolie et bien faite. Tout ce qu’il faut là où il le faut.

A vrai dire, elle me plaisait beaucoup. On se connaissait depuis longtemps maintenant mais nous n’avions qu’une relation d’amitié. Elle vivait depuis peu dans son appart’ avec un jeune con arrogant.

Ce jour-là, elle me téléphona sur mon portable pour m’inviter à son anniversaire qui avait lieu le soir même chez elle. Je devais faire vite pour trouver un cadeau digne de ce nom, car l’heure du rendez-vous approchait. J’avais trouvé l’idée : un tee-shirt sur lequel on pouvait lire : Sea Sex and Sex

C’est vrai que Magalie était très portée sur la question et collectionnait les amants. L’année précédente, elle avait réussi à coucher avec les 10 mecs de la promo.

Il était huit heures, l’heure du rendez-vous avait sonné. J’arrivai à la porte de l’appart’ et elle m’ouvrit la porte en m’embrassant sur la bouche. J’étais agréablement surpris.

Elle avait invité Caro et Nathalie, deux copines que je ne connaissais pas encore. Après un apéritif bien arrosé, elle se décida enfin à ouvrir ses cadeaux.

Le premier fut une bague de très mauvais goût de son copain. Le deuxième, un stylo offert par Caro. Le troisième, un livre sur le Kâma-Sûtra. Et enfin, elle ouvrit mon paquet : un sourire se lit sur son visage quand tout d’un coup elle enleva son chemisier pour le remplacer par son nouveau Tee-shirt.

Pendant un court instant, elle me donna l’occasion d’admirer ses jolis seins car elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était digne des filles qui tournent dans les films pornos.

Son copain avait l’air énervé et, l’alcool aidant, lui fît remarquer qu’elle n’avait pas à se déshabiller de la sorte devant tout le monde. Cela était de trop pour Magalie qui lui retourna une gifle monumentale en le priant de sortir de chez elle. L’air penaud et humilié, le malappris s’exécuta.

La soirée commençait très mal. On voyait bien sur le visage de Magalie que le fait de se retrouver sans son copain du moment le soir de son anniversaire l’agaçait beaucoup.

On passa donc à table, où un festin nous attendait. C’est à ce moment que je réalisais que j’étais le seul mâle du groupe. D’un ton blagueur, je leur dis :

– Je ne sais pas si je peux rester, je risque de me faire violer.

Ni une ni deux, Magalie, Caro et Nathalie me lancèrent un regard qui en disait long sur leurs intentions.

– Pourquoi tu aimerais ça ?

La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’imaginais et je rétorquai

– Oh oui, ça serait intéressant. On commence quand ?

Caro n’hésita pas et me dit :

– Mais tout de suite, viens avec moi, tu vas connaître ce que le mot baiser veut dire ou plutôt être baisé.

Je la suivis et on se retrouva tous les deux dans la petite chambre de Magalie. Là elle me dit

– Déshabille-toi, enlève ton pull et ta chemise et allonges toi sur le lit.

Elle s’absenta quelques minutes puis m’ordonna de fermer les yeux. Cette sensation de soumission m’excitait énormément et une bosse se formait sous mon pantalon. Elle caressait mon sexe à travers le tissu puis, d’un coup, elle attrapa une corde qu’elle avait cachée dans son dos. Elle me lia les poignets aux barreaux du lit. Elle prit son foulard qui entourait sa poitrine et me banda les yeux. Sa dernière phrase fut :

– Maintenant que tu ne peux ni bouger ni voir, tu es à moi pour un moment.

Elle repartit quelques instants et, après ce qui me parut une éternité, revint sans dire un mot. Elle caressait mon corps et s’arrêta sur l’objet de son désir. Mon sexe devenait de plus en plus dur. Elle descendit ma braguette et ôta le bouton du pantalon. En un instant je me retrouvai en slip. Pas longtemps…

Elle me l’arracha puis accentua ses caresses. J’étais nu. C’était une sensation bizarre, longtemps j’avais rêvé d’être soumis mais ce soir, la réalité dépassait la fiction.

Elle continua ses caresses puis d’un coup sec elle commença à lécher mon sexe qui se raidissait de plus en plus. Elle le prit en bouche et commença à faire des mouvements réguliers de bas en haut, de gauche à droite, dans tous les sens. Je criai de bonheur. J’entendais dans la pièce d’à côté les filles rigoler.

Tantôt mon sexe, tantôt mes couilles se retrouvaient dans sa bouche. Elle accéléra le mouvement, reprit mon pénis en bouche. La seule chose qui l’intéressait c’était ma jouissance.

Je n’en pouvais plus…

– Je vais jouir, je vais jouir, oh oui encore…

J’explosai dans sa bouche et elle avala tout. Elle continua de lécher les dernières gouttes qui s’échappaient encore puis, m’embrassa dans la foulée. Sa salive mélangée à mon sperme, quel pied !

A ce moment je ne bandais plus, mais je savais que ce ne serait que de courte durée.

C’est à ce moment que je demandai à Caro de bien vouloir m’enlever son foulard, ce qu’elle fit de suite. Ce n’était pas Caro qui m’avait sucé de la sorte mais Magalie. Elle avait le sourire et n’attendait qu’une seule chose, recommencer.

Allongé sur le lit, je distinguais péniblement ce qui se passait au fond de la pièce, elle n’était pas seule, Caro et Nathalie étaient là, excitées comme nous deux par ce début de soirée. Elles étaient d’ailleurs prêtes toutes les trois à passer à l’attaque car elles étaient nues et se masturbaient mutuellement et se léchaient les seins.

     Rien qu’en apercevant ce spectacle je me remis à bander encore plus fort. Caro, experte en soirées coquines, me dit :

– Tu as intérêt à assurer car tu vas être notre objet sexuel à toutes les trois !

J’étais allongé sur le ventre et Caro s’accroupit sur mon visage et me dit :

– Lèche, lèche, lèche tout !

Je commençai un cunnilingus. Je léchai sa petite chatte toute trempée que je me délectai à sucer de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’aspirai tout. Tout en continuant mon affaire Nathalie, en manque de sensations fortes, m’enfila sur mon sexe bandé un préservatif et vint s’empaler d’elle-même sur mon sexe encore chaud.

Elle dirigeait les opérations mais je la pénétrai sans difficulté. Comme dans du beurre !

Mon cunnilingus devait faire plaisir à Caro car elle mouillait et mon visage en était maculé.

Dans mes souvenirs, elles ont joui toutes les deux ensembles. Actif pour l’une, passif pour l’autre, je subissais les assauts réguliers de ma cavalière. Nathalie se servait de mon sexe comme d’un gode qu’elle employait à enfoncer dans sa chatte.

Je n’en pouvais plus. J’étais mort de fatigue. Caro remit le foulard sur mes yeux en m’ordonnant de me reposer car la soirée ne faisait que commencer. Je devais être en forme pour le reste de la nuit. Le temps passait et elles n’étaient toujours pas de retour… Que se passait il donc à côté ?

J’avais soif et leur ordonnai au moins de me donner quelque chose à boire. Caro prit la parole :

– Ah bon, tu as soif ? Eh bien bois !

Elle se mit à quatre pattes et urina sur mon visage. J’avalai toute cette bonne pisse avec gourmandise, et cette action me fit bander instantanément.

– Si tu aimes ma pisse, tu devrais aimer ma merde !

Et sans me laisser le temps de répondre elle me fit lécher son anus, il sentait un peu fort mais ça ne me dérangeait pas. Son petit trou commença à s’ouvrir sous l’effet de ma langue. Elle poussa mais rien ne sortit.

– Tu ne perds rien pour attendre, tout à l’heure je te chierais dessus !

Magalie reprit la parole.

– Je vois que tu es en forme, alors tu vas nous prendre toutes les trois, l’une après l’autre !

L’une après l’autre, cloué au lit je m’exécutai pendant qu'elles venaient se faire enculer. J’étais leur jouet et cela me plaisait. J’adore être soumis. Après six pénétrations, je n’en pus vraiment plus et j’indiquai que ma queue me faisait souffrir. Mon sexe était gros et rouge. Il me faisait mal. Elles me détachèrent et je pus à nouveau bouger. Mais là Nathalie m’informa :

– Tu as le choix : soit de rester soit de continuer la soirée avec nous !

Je décidais de rester et, dans la minute qui suivit, je me retrouvai attaché sur le ventre, pieds et poings liés. Là, des voix s’élevèrent :

– Tu nous a bien enculées, à notre tour !

Elles dissimulaient sous le lit un gode qu’elles essayaient de faire entrer dans mon anus. Elles avaient beaucoup de mal, c’est pourquoi, tour à tour, elles me glissèrent trois doigts dans mon cul qui là se retrouvait bien dilaté.

A chaque fois elle me donnait le gode à nettoyer et je léchais ma merde.

En écartant mes cuisses elles glissèrent l’objet qui trouva sa direction en une seconde. Quel plaisir ! Quelle sensation ! J’en redemandais.

Je rebandais à nouveau et je réclamais une fellation. Elles voulaient encore une fois s’amuser et acceptèrent. Là, une voix inconnue apparût. J’appris ensuite que c’était le gardien de l’immeuble, un type approchant la soixantaine qui payait parfois les filles pour participer à leurs délires sexuels.

Magalie me détacha et me demanda de sucer la bite du gardien. Celui-ci baissa son pantalon et son caleçon et j’exécutais. Ce n’était pas ma première bite et je me régalais du contact de ce membre à la texture si douce, son gland sentait un peu la vielle pisse mais cela ne me dérangeait pas.

. baglick Au bout de cinq minutes, les filles me demandèrent de me mettre en levrette afin que le gardien m’encule. Il savait y faire et me pénétra sans violence me provoquant des sensations de plaisirs inouïes. Et pendant qu’il me pénétrait, Magalie passée sous moi s’amusait à me gober les couilles.

Le gardien prêt à éjaculer sortit sa queue de mon anus, se décapota et me la présenta à la bouche. Il éjacula dans ma bouche puis me roula une pelle.

En reprenant mes esprits, je vis le gardien se rhabiller, puis quitter l’appartement non sans avoir glissé un petit billet dans la main de Magalie.

Dans le fond de la pièce Caro et Nathalie entamait un 69 qui se termina par leur jouissance commune..

Magalie me demanda de me coucher par terre.

– Caro t’avais promis un cadeau, mais je peux t’en faire un aussi !  »

Le boudin qui sort de son cul est magnifique, Nathalie en attrape un morceau et se met à le lécher vicieusement tout en offrant l’autre extrémité à Caro. Magalie a fini de se vider, j’ai sa merde sur mon visage, je ne peux plus bander, trop crevé.

Je sers tout de même de papier à cul à Magalie, et elle me roule un patin, un patin merdeux.

Ça m’a fait plaisir, j’adore les bisous baveux.

Quelle soirée, mes amis, quelle soirée.

 

Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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