Enzo Cagliari

Samedi 28 mai 2022 6 28 /05 /Mai /2022 07:37

Maryse 2 – Dépucelage anal par Enzo Cagliari
Stamp Mature Sodo

 

Après une bonne nuit à ronfler comme un loir, c’est l’envie de pisser qui m’a sorti de mon sommeil. Je fais comme tout le monde, j’attends un peu, la bite toute raide, et les évènement de la veille me reviennent en mémoire.

J’avoue ne pas y voir clair dans tout ça et je suis partagé entre un sentiment de honte et une sorte de fascination pour ce qui s’est passé.

Car enfin, l’hétéro convaincu que je suis a dans la même soirée léché le sperme d’un autre homme, enculé l’individu en question et reçu un gode vibrant dans mon trou intime !

Je n’ai aucunement envie de m’abonner à genre de plaisanterie d’autant que Maryse m’avait fait part de ses intentions de rejouer la partie et en plus compliqué.

Ah, Maryse ! Tout cela est de sa faute ! Elle m’a ensorcelé avec ses provocations d’abord au bord de sa piscine, puis à table et enfin en m’invitant dans sa chambre conjugale.

Je prends donc la décision de quitter cette maison, j’inventerai un contretemps dans la matinée. Je n’ai aucune envie de partouzer avec ce mystérieux « père Michel ». Le père Michel ! Pourquoi pas la mère Lustucru pendant qu’on y est !

Quant à l’allusion de Maryse sur la bite de son fils, je me demande encore si c’était de la provocation ou pas !

Bon, il faut vraiment que me lève, l’envie de pisser me prend à la gorge, je me dirige donc vers les toilettes dont la porte s’ouvre vers l’extérieur mais ne possède aucun mécanisme de verrouillage, mais quelle importance ?

– Alors, on a bien dormi ?

Comment ai-je fait pour ne pas l’entendre arriver ? Je tourne la tête, c’est Maryse bien sûr ! Elle est en nuisette transparente, ses tétons érigés dardent sous le tissu. Elle me tend ses lèvres, j’ai la volonté de refuser le baiser profond dont elle s’apprêtait à me gratifier.

– Tu fais la gueule ?
– Non mais j’ai envie de pisser.
– Pisse-moi dessus !
– Non pas ce matin.

Elle s’est collée contre mon dos, me tripote les couilles d’une main, et le cul de l’autre. La situation devient intenable.

– Arrête Maryse !
– Tu en as déjà marre de moi ?
– Mais pas du tout !
– Alors prouve-le moi !

Je ne réponds pas, elle m’énerve et quitte à me répéter, il faut que je pisse. Alors si vraiment elle veut que je l’arrose, je vais le faire, ensuite, il faudra bien qu’elle aille se doucher, elle me foutera peut-être la paix après.

Je tente de me concentrer afin que je débande légèrement, pas évident avec l’autre sorcière en face. Je ferme les yeux, évoque l’image de ma prof de mathématiques de ma classe de seconde, incompétente, suffisante et moche. C’est radical, ma bite ramollit, j’ouvre les yeux, j’interpelle Maryse :

– Tu ne retires pas ta nuisette ?
– Non, je la mettrai au sale après !

C’est parti !

Je ne sais pas pourquoi, j’ai visé sur ses seins qui bientôt apparaissent dans toute leur beauté sous le tissus trempé.

Je n’arrive pas à pisser à fond, cela à cause de l’excitation. Maryse opère une flexion des hanches. J’ai compris, madame à soif, je lui donne donc à boire de ma bonne pisse bien chaude, et elle s’en régale, elle s’en lèche les babines, c’en est un vrai plaisir que de voir ça !

Quel est l’ignare qui a dit que l’homme ne pouvait pas penser quand il bandait ? Je sais bien que c’est faux car en ce moment je bande et je pense. Et j’ai une idée diabolique. Je sais ce qui va se passer maintenant, la Maryse va vouloir baiser… Eh bien je ne vais pas la repousser, loin de là, je vais y aller à fond. Quand ce sera fait, ma libido sera redescendue à la cave et je pourrais partir d’ici sans risquer de me faire piéger.

– On se prend une douche ensemble ? Me propose Maryse
– Pourquoi pas ?

C’est quand même diabolique de se faire savonner et de caresser une femme pleine de mousse juste devant soi, de sentir le galbe des formes glisser sous la main. Ma bite frotte contre son ventre, je n’ai qu’à me baisser légèrement pour la pénétrer. J’hésite un peu, pas très longtemps en fait, et je m’immisce en elle. Elle apprécie, moi aussi mais la position manque de confort. On se rince, on se sèche (mutuellement bien sûr).

Puis comme un zombie, me voilà en train de la suivre dans la chambre. Je crains un moment que Marcel soit dans les parages prêt à nous rejoindre, mais Maryse me « rassure » :

– Il bosse, mon petit cocu !

Et voici la Maryse sur le lit en levrette, le croupion relevé. Quel spectacle magnifique !

– Les capotes sont là ! Viens vite, j’ai envie que tu m’encules !

J’y vais comme à l’assaut, ça rentre comme dans du beurre. Je donne des grands coups de bite. Maryse ne tarde pas à gueuler et à m’encourager par des propos assez peu compréhensibles.

Le sang me monte à la tête, je ne peux plus rien contrôler, je me laisse aller ! Je jouis ! bon dieu que c’était bon !

Je décule. Maryse se retourne, m’enlève la capote et me nettoie ma bite gluante de sperme.

Elle se redresse et m’offre ses lèvres. Je les accepte, pris d’un grand élan de tendresse.

– Tu m’as bien baisé, mon salaud ! Dit-elle. Bon c’est pas tout ça, mais j’ai du travail.

Je fais quoi ? Je reste ou je reste pas ? Je reprends une douche parce que j’ai transpiré, regagne ma chambre et commence à enfouir mes affaires dans mon sac de voyage en laissant la porte ouverte.

– Bonjour Gilles, tu nous quittes déjà ?

C’est Paul, je ne l’avais pas vu entrer, celui-ci.

– Ben, oui, faut que j’y aille !
– Ça s’est bien passé hier ?
– Faut pas se plaindre ! Répondis-je sans vouloir m’attarder sur les détails.
– Ma mère m’a dit que tu te l’étais envoyé.
– Ah bon, elle te fait ce genre de confidences ?
– Elle ne peut rien me cacher ! On est très intimes.

Elle lui a donc raconté ce que nous avions fait avec le mari ! Voilà qui est peut-être embarrassant.

– Bon, il faut que j’y aille, j’ai une longue route. Lui confias-je.
– C’est dommage que tu ne restes pas un peu.
– Je te dis, il faut que j’y aille.
– Tu ne m’avais jamais dit que tu avais des tendances homo ?
– Je n’ai pas de tendance homo.
– Ce n’est pas ce que m’a dit Maman.
– Elle parle trop ta mère, je n’ai pas de tendances homo, on a juste un peu varié les plaisirs..
– Et ça te dirais de « varier les plaisirs » avec moi ?

Elle commence par m’énerver cette famille d’obsédés ! Mais quand la main de Paul vint se poser sur ma braguette, je ne proteste que fort mollement.

– Euh, si tu pouvais retirer ta main…
– Sois sympa, montre-moi ta bite avant de partir.
– Elle n’a rien de spécial !
– Ça fait rien, montre !

Et comme je ne bouge pas, c’est Paul qui m’ouvre la braguette et va chercher la bête à l’intérieur. Il me sort ma queue demi molle et lui imprime quelques mouvements de branle. Tétanisé pas cette audace inouïe je me laisse faire avant de réagir :

– Bon ça va ! T’es content ? Je peux peut-être y aller maintenant ?
– Attends ! Répond-il. Tu veux voir la mienne ?

Il n’attend pas de réponse et me sors un engin raide comme la justice.

Gloups ! Qu’elle est belle sa bite ! Je sais que si je la touche, je vais me retrouver dans un engrenage… Peut-être pas ? Après tout, je peux sans doute juste la toucher et en rester là ?

Je la touche, j’ai la gorge sèche, je suis pris par une irrésistible envie de la porter en bouche. Je me baisse. Ça y est, j’ai sa bite dans la bouche, la texture est douce, le goût légèrement musqué, ma langue se met à accomplir d’étonnantes circonvolutions sur son gland qui lui font pousser des soupirs d’aise.

– Tu suces bien, mon salaud ! Tu as dû en sucer des kilomètres !
– Ben, non, c’est juste la deuxième !
– Je ne te crois pas !
– Pas grave !
– Tu veux ma pine dans ton cul ?
– Faut peut-être pas charrier !
– Tu as tort, il paraît que j’encule très bien !
– Je te crois sur parole, laisse tomber !

N’empêche que l’image de sa bite me violant le trou de mon cul se forme dans mon esprit et que cela me trouble.

Je me mens à moi-même en me disant que je ne suis plus puceau du cul depuis que Maryse m’y a enfoncé un gode. Je sais bien pourtant que si mécaniquement les deux introductions se ressemblent, psychologiquement c’est autre chose

– Hum !

C’est Maryse qui entre à son tour, la porte étant restée ouverte.

– Ben les garçons, qu’est-ce que vous foutez, la bite à l’air ? S’amuse-t-elle.…
– On se suçait un peu ! Répond Paul.
– Mais c’est très intéressant, ça et je peux voir ?
– Bien sûr Maman, tu veux qu’on se mette en 69 ?
– Non, je ne verrais rien, Mettez-vous à poil tous les deux et Gilles va sucer Paul.

Elle est bien directive, la Maryse, on ne me demande même pas mon avis, mais j’obtempère .et une fois que nous fussions nus, je m’agenouille pour reprendre en bouche la jolie bite de Paul.

Qu’est-ce que c’est agréable de faire ça, je crois que j’ai véritablement découvert quelques chose.

Et pendant que je me délecte de ce beau membre, il se passe quelque chose d’incroyable.

Maryse s’est complètement déshabillée et vient s’agenouiller à me côtés. Elle me fait signe par geste qu’elle voudrait bien, elle aussi profiter de cette jolie pine.

Je la laisse faire et assiste à ce spectacle hors norme de Maryse suçant goulûment la bite de son propre fils. Elle m’avait hier suggéré l’avoir déjà fait, mais là c’est devant mes yeux, et ça me fait bander trop grave.

– Je suis cochonne, hein ! Commente-t-elle à mon intention en se relevant.
– C’est qu’on ne voit pas ça tous les jours ! Répondis-je un peu bêtement.
– On ne fait rien de mal à ce que je sache ! Ajoute-t-elle.
– Certes !

Je ne vais pas aller la contrarier, d’autant qu’à l’évidence je ne peux lui donner tort… mais quand même…

– Il y a longtemps que tu ne m’as pas enculé ! Dit-elle ensuite à son fils.
– Tu voudrais ? Maintenant ?
– Ben oui, j’ai comme une envie.

Et devant mes yeux subjugués, la Maryse se plie en deux en s’arboutant sur la commode, s’écarte les fesses et attend l’assaut.

Paul s’encapote (il la sort d’où sa capote ?) et fait pénétrer sa bite dans le cul de sa mère avec une facilité déconcertante..

Mais voilà que raisonne le carillon de la grille d’entrée.

– Qu’est-ce que ça veut dire ? Je déteste être dérangée quand je suis en train de me faire enculer !
– Le facteur peut-être ? Suggère Paul.
– Non, il est déjà passé, ce doit être le Père Michel, je lui ai commandé un poulet et des œufs, mais il est bien matinal je trouve. Restez-là, ne vous rhabillez pas, je reviens.

Maryse se rhabille sommairement et descend. Avec Paul on reste à comme deux andouilles sans savoir quoi se dire.

Quelques courtes minutes plus tard, Maryse revenait accompagnée d’un monsieur d’un certain âge comme on dit, belle prestance, un beau vieux comme on dit. Il tient en laisse un gros chien beige genre labrador.

Je cache ma nudité comme je peux.

– Gilles je te présente, le père Michel, comme je te l’ai dit hier, il adore enculer les hommes jeunes.
– C’est vrai, jeune homme vous aimez ça ? M’apostrophe-t-il.
– Euh, on va peut-être un peu vite ! Balbutiais-je.
– Non, c’est la vie qui va trop vite, c’est pour cela qu’il faut profiter des occasions. Je vais vous montrer ma bite, vous voulez bien ?
– Allez-y, il me semble que vous en mourrez d’envie.

Et le père Michel sort de sa braguette une bite demi-molle mais de bonne taille.

– Alors elle te plaît ?
– Elle est belle !

Et sans prévenir le père Michel m’attrape mes tétons et me les tord, une caresse qui me fait bander encore plus raide.

– T’aimes ça, un petit pédé ?
– Je ne suis pas pédé !
– Si ! En ce moment tu es un pédé et tu vas me sucer la bite.

Je ne réponds pas mais m’accroupis pour emboucher cette jolie bite. C’est donc ma troisième bite que je suce depuis que je suis arrivé ici, il va falloir que je prenne des notes si je veux me souvenir de tout cela !

Et pendant ce temps-là, Maryse s’est posée en levrette sur le lit et se fait défoncer le cul par son fils.

– Regarde-moi cette cochonne, elle miaule comme une chatte en chaleur ! Allez, tu m’as assez sucé, tourne-toi, je vais te préparer le cul. Oh, les jolies fesses ! Et tu me diras que tu n’es pas pédé après ça ! Ecarte-les bien que je puisse te lécher la rondelle..

En voilà un contact qui est bien agréable ! Il sait y faire ce vieux cochon. Après cette petite fantaisie, c’est son doigt qui vient pénétrer dans mon anus, et vas-y que je rentre et que je sors…

Maryse2Et cette fois je sens le gland qui quémande l’entrée. Je m’écarte au maximum et je pousse afin de lui faciliter l’accès. Il n’est pas entré du premier coup, mais monsieur est persévérant et voici que j’ai sa bite dans mon fion. C’est gros son truc, je ne sais pas si je vais supporter, pour l’instant ça me gêne. Et le voilà qui s’enfonce davantage, la sensation de gêne s’accentue encore.

Je suis à deux doigts de lui dire d’arrêter ce cirque, et le voilà qui se met à bouger. C’est donc ça la sodomie ! Mais c’est nul. Je ferme les yeux, j’attends que ça se passe. L’autre continue à coulisser. Ça va mieux ! Ça va beaucoup mieux et me voilà envahi par des frissons de plaisir. Que c’est bon !

– Oh tu m’encules bien, c’est trop bon.

Et le voilà qui s’excite comme un pou augmentant la cadence et me faisant hurler de plaisir. Il pousse un cri en déchargeant dans mon cul puis se retire.

– C’était comment ? demande-t-il
– Super.

De leur côté Paul et Maryse ont terminé leur petite sodo. Maryse s’est assise sur le bord du lit, les cuisses écartées et le chien est venu lui lécher l’entre-jambe.

Quelle famille ! Mais quelle famille !

Mais il va falloir que j’y aille…

– J’ai bien envie de faire encore des trucs avec toi, ça te dirait de baiser ma femme, c’est une belle cochonne, tu sais…
– On ferait ça quand ?
– Pourquoi pas ce soir avant le diner ? Tout le monde est invité.

Je ne suis pas à un jour près, je ne partirais donc que demain.

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 7 mai 2022 6 07 /05 /Mai /2022 07:11

Surprise-partouse 7 – Soirée luxembourgeoise par Enzo_Cagliari
zoo

 

Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle.

Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…

– Mais vous n’avez pas de chien ? S’étonne Katia
– Non, répond Monique, on aime bien les bêtes, mais c’est trop de contrainte, quand on sera en retraite on verra.
– Alors cette histoire ?
– Ah ! Ah ! En fait je n’avais aune expérience en la matière, tout juste avais-je été assez fascinée par des petites vidéos sur Internet, mais ça n’allait pas plus loin…
– Et toi Philippe ? Lui demande Katia.
– Un jour j’ai dit à Monique que ça ne me déplaira pas de la voir se faire lécher par un chien. Elle m’a répondu je ne sais plus quelle plaisanterie, mais j’ai bien senti qu’elle fantasmait un peu
– Non ce n’était pas du fantasme, juste de la curiosité ! Corrige Monique. Bon vous voulez l’histoire ?
– Oui, oui ! Avons-nous tous répondu en chœur !
– Alors la voici :

Le récit de Monique à Luxembourg

On rencontre parfois dans les clubs échangistes, des types qui organisent des soirées privées très spéciales, la plupart du temps il s’agit d’assister et éventuellement de participer à des séances sado-masos ou d’humiliation publique, mais ce jour-là Monsieur Germain nous a soufflé, l’air de rien, dans la conversation que les ambiguïtés de la loi française feraient que la prochaine soirée à thème se déroulerait… au Luxembourg.

– Et qu’est-ce qu’elle aura de spéciale cette soirée ? Questionne Monique
– Disons que le thème sera « nos amis les bêtes »
– Oh !
– Mais rassurez-vous, tout cela se passera sans aucune maltraitance et dans la bonne humeur.
– Ça te dit ? demandais-je à mon compagnon
– Pourquoi pas ? Répond Philippe

Monsieur Germain nous demande alors une « participation aux frais » Ben oui il n’y a pas grand-chose de gratuit en ce bas monde ! Et nous communique les coordonnées du lieu, la date et l’heure.

Et une semaine plus tard nous étions à Luxembourg. La séance se déroulerait dans un théâtre de poche qui faisait relâche ce jour-là. La salle devait pouvoir tenir une quarantaine de personne, mais nous n’étions qu’une vingtaine, répartis sur les deux travées les plus proches de la scène. Coup d’œil sur le public, un couple assez jeune, sinon des hommes et des femmes d’âge murs. La scène est décorée avec des motifs floraux, une petite banquette matelassée et un guéridon y sont installés.

La lumière de la salle s’éteint, celle de la scène s’allume, une musique plus on moins jazzy se fait entendre, et voici qu’y apparaissent deux splendides jeunes femmes, l’une une peu rondelette, fausse blonde coiffée au bol et vêtue d’une semple petite robe noire. L’autre, une grande brune en culotte et soutien-gorge grenat.

– Bonjour, bande de petites cochons; je suis Britta ! Nous informe la rondelette. Ma copine c’est Jessica. J’espère que vous allez passer une bonne soirée ! Hum, j’aimerais que vous vous redisposiez un peu sur les sièges, un homme, une femme, un homme… et il faudrait aussi que les couples se séparent, vous êtes là pour faire des rencontres, non ?

Du coup Philippe se déplace et je me retrouve entouré de deux inconnus.

– Bien sûr vous avez le droit, Reprend Britta, je dirais même le devoir, de vous tripoter pendant le spectacle et tant qu’à faire, faites-vous tripoter par votre voisin ou par votre voisine, Le tripotage, c’est mieux à deux. Allez on commence !

Les deux nanas se tortillent, Britta qui n’a (évidemment) pas de culotte nous montre ses belles fesses puis elle se retourne et nous dévoile sa petite chatte, puis elle dégage sa jolie poitrine. Jessica enlève son soutien-gorge.

Les deux belle créatures jouent avec leurs seins, se les caressent d’abord seules puis réciproquement,

Britta fait se retourner Jessica, lui baisse sa culotte et l’envoie dans l’assistance. Mais la surprise est ailleurs ! Elle est entre les jambes de Jessica, où s’exhibe une très jolie bite. Jessica est donc une transsexuelle, une magnifique transsexuelle !

Britta lui masturbe la bite quelques instants, puis la prend dans sa bouche avant de narguer l’assistance.

– Hum, elle est trop bonne sa bite ! Quelqu’un voudrait gouter ?

Hésitation dans l’assistance, il y a probablement des volontaires potentiels, mais personne s’ose se dévoiler.

– Toi ! Indique-t-elle alors en désignant un petit chauve. Je suis sûre que tu en meurs d’envie !
– Euh !
– Allez monte sur scène, tu ne vas pas le regretter.

Le bonhomme hésite encore un peu

– Bon, tu te décides ? Rends-toi compte de la chance que tu as, si tu te dégonfles je vais être obligé de désigner un autre volontaire.

Britta finit par venir le chercher en le prenant par la main et l’entrainer sur la scène.

– Voilà, mets-toi à genoux devant elle, et pour le moment tu lui branles un peu la bite. Mais dis-moi : tu as déjà sucer des bites ?
– Euh, y’a longtemps !
– C’est vrai ça ? T’es venu avec un copine ce soir ?
– Oui !
– Comment elle s’appelle ?
– Gisèle !
– Gisèle, vous êtes là ?
– C’est moi ! Annonce une belle brune à lunettes en se levant de son siège.
– Vous êtes très belle Gisèle, montrez-nous vos seins.

Pas gênée pour deux sous la jolie mature se dépoitraille dévoilant une belle paire de nénés.

– Tu savais que ton mari suçait des bites ?
– Bien sûr, c’est un gros cochon !
– Bon toi, le petit chauve, t’attends quoi pour le sucer ?
– J’y vais !

Et le mec après avoir léché la colonne et le gland, fourre tout le paquet dans sa bouche avant de se livrer à une série de va-et-vient.

– Bon ça va, laisses-en pour les autres, t’aurais bien voulu qu’il t’encule, hein ?
– Pourquoi pas ?
– Gros gourmand ! Je parie que tu bandes comme un porc ! Lui dit Britta en lui touchant la braguette. Oh, mais oui, tu bandes ! Baisse ton pantalon que tout le monde puisse bien voir ta bite et des fesses de pédé.
– Euh !
– Euh quoi ? Tu ne veux plus jouer ?
– Si, si ! Répond-il en baissant pantalon et boxer.

C’est alors que Jessica intervient :

– Mais il nous a menti tout à l’heure, en nous disant qu’il ne suçait pas si souvent.
– Elle a raison ma copine ! Reprit Britta, ça mérite une punition.
– 10 coups de martinet peut-être ? Propose Jessica
– Non…
– Laisse toi faire, tu l’as bien mérité ! Lui crie sa compagne
– Bon ben allez-y, je me laisse faire.
– Mais ce sera 15 coups au lieu de 10, ça t’apprendra à rouspéter.

Britta s’empare d’un martinet mais avant de commencer s’adresse à l’assistance.

– Bien, messieurs-dames on va compter les coups tous ensemble ! On y va !
– Un…

L’ambiance est déchainée, on compte les coups. Mes deux voisins ont la bite sortie de leur braguette, je m’en empare et les branle, mais pas trop vite, la soirée n’est pas terminée

– Quatorze, quinze.

Le bonhomme a maintenant les fesses rouges comme des tomates. Il se reculotte et regagne sa place sous les acclamations du public en délire.

Les deux femmes déplacent la petite banquette de 90 degrés ! Pourquoi donc ? Eh bien pour que les spectateurs puissent mieux voir, car, Jessica et Britta s’y installent en soixante-neuf, La transsexuelle en dessous et Britta au-dessus, son magnifique fessier tournée vers le public.

Ça dure un certain temps mais pendant ce temps-là le spectacle est aussi dans la salle. Mon voisin de gauche a trouvé le moyen de se faufiler entre mes cuisses et me lèche divinement la chatte, tandis que celui de droite s’amuse à me tripoter les nichons.

Du bruit sur la scène, les deux « artistes » remettent la banquette dans sa position initiale et s’y assoient côte à côte, elle s’échangent des pinces à linges qu’elles se fixent mutuellement sur les tétons. Britta s’est saisie d’un joli gode bleu avec lequel elle s’astique la chatte. Ne voulant pas être en reste Jessica en fait de même avec un gode rouge qu’elle fait aller et venir dans son trou du cul accueillant.

Et voici que quelqu’un sort des coulisses côté cour, c’est une belle femme mature aux cheveux blond vénitien coupés assez courts, elle est complètement nue et tient en laisse deux labradors, un beige et un noir..

Pas difficile de deviner ce qui va se passer.

– Bonsoir tout le monde, je suis Laurence ! Nous indique la dame. Et j’adore baiser avec mes chiens.

Britta et Jessica remettent la banquette à 90 degrés, puis cette dernière disparaît en coulisse pour revenir avec une chaise qu’elle place devant la banquette et sur laquelle Laurence s’assied.

On a donc si tout le monde a bien suivi, Laurence et Britta devant le public, de profil.

Rapidement les chiens viennent immiscer leur museau entre les cuisses des deux femmes, et c’est partie pour une partie de léchouille que ces dames semblent apprécier en se tortillant les tétons.

L’affaire dure cinq ou dix minutes, difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances.

Puis, Jessica fait coucher les chiens, Laurence se relève et s’adresse au public :

– Si vous saviez comme c’est agréable de se faire lécher la moule par un chien ! N’est-ce pas madame ?

Je n’ai pas réalisé immédiatement que c’était à moi qu’elle s’adressait.

– Ben alors, vous ne voulez pas me répondre ? Insiste la belle mature.
– Je vous crois sur parole, ça doit être très agréable ?
– Vous l’avez déjà fait ?
– Ah, non !
– Eh bien venez sur scène, on va combler cette lacune.
– Non, non, moi je regarde !
– C’est quoi ton prénom ?
– Monique !
– Mais c’est qu’elle veut se faire prier, Monique ! Mesdames, messieurs encouragez-là !

Je n’y crois pas, l’assistance se met à scander « Monique, Monique ». Je cherche secours du côté de mon compagnon. Je t’en fous, il hurle avec les autres.

Je suis coincée, enfin, façon de parler, je peux toujours m’en aller, on ne me retiendra pas de force ! Mais comment va réagir Philippe ? Après tout je m’en fous. Toutes ces réflexions se déroule à 100 à l’heure dans ma pauvre tête, à ce point que je me suis à peine aperçu que Laurence était descendue dans la salle, m’avait pris la main et me tirait vers la scène.

Le public applaudit ! C’est moi la vedette. Laurence approche sa bouche de la mienne, on se roule un patin d’enfer puis elle me demande de me déshabiller.

On m’invite à m’assoir sur la chaise. Je ferme les yeux, le chien arrive ! Il me lèche, Quelles sensations ! Laurence ne mentait pas, cette langue est diabolique, à moins que ce soit la perversité de la situation, mais je me mets à mouiller comme une fontaine.

Quelques minutes plus tard, Laurence dégage le chien et me dit :

– Reste là un moment, pour la suite, tu vas être aux premières loges.

Ben oui, la suite est devant moi, Jessica et Britta ont fait coucher le chien noir sur le flanc, sa bite est sortie par l’arrière, un machin rouge, tout raide.

Jessica suce le bite baveuse en prodiguant des grand sourires complices à un peu tout le monde, puis Britta prend le relais

 Britta522Le spectacle est fascinant, il y a là-dedans quelque chose d’absolument pervers, esthétiquement ça n’a rien de génial, mais qu’on puisse faire ça en toute décontraction me sidère.

Et tandis que les deux belles complices continuent de se repasser la bite du chien noir, Laurence s’est mise à sucer le chien blanc.

Je savais où je mettais les pieds en me rendant avec Philippe à cette soirée luxembourgeoise, Mais jamais je n’aurais imaginé que je serais là sur une scène, le pubis encore humide de la bave du chien.

On va maintenant me demander de sucer à mon tour ! C’est inévitable, sinon on ne m’aurait pas demandé de rester sur ma chaise. Et je vais faire quoi, je vais dire quoi ? En attendant je reste prostrée sur mon siège, incapable de détacher mes yeux de ce spectacle tabou.

Britta se relève, le visage dégoulinant de la mouille du chien

– Mesdames, messieurs, je fatigue un peu si quelqu’un veut me remplacer ?

Pas de réponse !

– Qu’est ce que tu en penses, toi, la salope à lunettes ?
– Moi ? Demande Gisèle, la compagne du petit chauve de tout à l’heure.
– Ça te dirait de sucer la bite d’un chien ?
– Je veux bien essayer, mais juste essayer.
– Alors fous-toi à poil et viens sur scène.

Elle n’avait plus grand-chose à enlever, elle le fait et rejoint la scène sous les applaudissements.

Décontractée, la nana, elle n’a même pas hésité, elle s’est baissée et hop, la bite baveuse dans la bouche.

Britta vient alors me rejoindre en m’offrant ses lèvres. on se caresse on se pelote, cette fille est la douceur même.

– Maintenant va aider Gisèle à sucer le chien.

Je l’attendais celle-là. J’y suis allé comme un zombie, j’ai embouché la bite du chien sans réfléchir, comme ça d’un coup d’un seul. Je me suis sentie salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excitait.

Un coup de gong. Laurence se relève !

– Et maintenant le final ! Il va être grandiose annonce-t-elle.

Britta et Jessica se positionne en levrette, le cul bien cambré, les cuisses bien écartées.

– Vous deux, pour l’instant vous regardez !

Je m’assois sur la banquette, Gisèle me rejoint et sans me demander quoique ce soit se met à me caresser mes nichons. Là ou il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

Et sur un signe de Laurence, c’est l’assaut, les deux bestioles montent sur leurs partenaires humains, Jessica se fait enculer par le chien, le spectacle est inouï, le chien la baise comme un métronome, on le dirait monté sur piles tellement il s’agite sans s’épuiser !

Et du côté de Britta c’est à peu près la même chose, sauf que j’ignore dans quel orifice le chien opère, d’où je suis-je ne vois pas bien.

– Tu vas le faire ? me demande Gisèle.
– Je ne sais pas trop… et toi?!
– Ah, oui, faut que j’essaie ça !

Les chiens se sont momentanément calmés, Britta et Jessica se sont relevées.

– Mesdames si ça vous tente ? Nous demande Laurence.
– Pour moi c’est d’accord ! Répond Gisèle qui est invitée à se mettre en levrette sur le tapis.

Je l’ai imité et le chien est venu me baiser me provoquant une jouissance aussi intense qu’imprévue tandis que le public applaudissait à tout rompre.

Et ensuite comme nous étions au théâtre, je suis venue saluer le public en compagnie de Gisèle, de Britta, de Jessica et de Laurence.

L’orgie s’est poursuivie dans la salle, mais j’étais crevée, j’ai demandé à Philippe les clés de la voiture, il m’a rejoint un quart d’heure plus tard après avoir baisé je ne sais plus qui.

Fin du récit de Monique

Et ainsi s’achève (provisoirement ?) mes aventures partouzardes et celles de nos amis.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:04

Dépucelage bisexuel par Enzo Cagliari

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Rapide description du narrateur avant toute chose : Christophe, blond à lunettes, 34 ans et venant juste de fêter mon premier anniversaire de divorce.

 

Parfois, on ferait mieux de se taire ! Daniel était connu à la boite comme étant comme on dit « à voile et à vapeur », moi ça ne me dérange pas, j’ai les idées larges. Ce garçon était aussi d’une très grande gentillesse, il occupait les fonctions de chef de service et prodiguait en plus des cours de bureautique. Etant moi même responsable informatique, il nous arrivait assez souvent d’être en contact professionnel.

 

Je ne sais plus à quel occasion nous sommes venus à parler « de cul » comme on dit, je lui confiais à cette occasion que j’étais hétéro mais que si les circonstances s’y prêtaient, une expérience homo, après tout, pourquoi pas ?

 

– Une bonne bite à sucer, de temps en temps, ce n’est pas désagréable, crois-moi ! Me dit-il avec un grand sourire.

– Oui, faudra que j’essaie un jour…

– Tu l’as jamais fait ?

– Si au lycée.

– Et t’en garde un bon souvenir !

– Oui, j’avoue.

– Et te faire mettre, c’est aussi dans tes fantasmes ?

– Pourquoi pas ? Faut tout essayer, non ?

 

Je ne prenais aucun risque en tenant de tels propos, Daniel avait son harem féminin à peine caché et ses amis du même sexe, il n’avait pas besoin de moi.

 

Ce jour-là je déjeunais avec lui dans une petite brasserie où nous avions nos habitudes.

 

– J’ai une vieille chaudière dans ma cave, l’ancien proprio devait me la faire enlever, mais il ne l’a jamais fait et je n’arrive plus à le joindre. Ça m’encombre et j’ai besoin de la place, mais je ne sais pas comment m’en débarrasser, Peut-être en la démontant ? Me raconte Daniel tout en se goinfrant son plat de tagliatelles.

 

Je ne sais pas quoi lui répondre et d’ailleurs, je m’en fous complètement de sa chaudière.

 

– Mon pote Patrick m’a proposé de passer voir ça samedi, mais je me méfie, il n’est pas trop bricoleur. Tu fais quoi toi, samedi ?

– Rien de spécial ! Ais-je la « faiblesse » de répondre.

– Tu ne pourrais pas passer vers 10 heures, on verra ce qu’on peut faire, à midi ça devrait être fini et ma femme nous fera une petite bouffe. Et puis tu verras, elle n’est pas farouche, ma femme… et elle a les idées larges.

 

Pas farouche ? Je n’ose lui demander à quel point.

 

Mais toujours est-il que nous donnons rendez-vous pour ce samedi.

 

Il me présente son épouse, Noémie est une jolie petite femme brune aux yeux malicieux. Elle est très souriante, très douce. Elle a de jolies formes. On échange quelques banalités d’usage, puis son ami Patrick arrive, brun, beaucoup de cheveux, look d’artiste : Présentations…

 

– Fais gaffe à ton cul ! Me prévient Daniel sur le ton de la plaisanterie. Patrick est à moitié pédé.

– Mais je n’ai jamais violé personne ! Répond l’intéressé sur le même ton.

– Je vous ai préparé des fringues pour vous changer, parce qu’on va se dégueulasser. Nous informe Daniel.

 

OK, on se change, on descend dans la cave. Je regarde le machin, effectivement, on peut démonter pas mal de pièces, ce qu’on fait. On porte tout ça dans le break de Patrick en protégeant bien tout ça avec des papiers journaux et des chiffons. Reste la carcasse indémontable, mais ainsi désossée, elle n’est plus très lourde mais encombrante, on la sort de la cave avec difficultés. Puis direction la décharge, et retour à la maison, il ne reste plus qu’à se doucher.

 

Daniel va chercher un sac en plastique afin de remiser nos fringues sales. On se déshabille donc dans la salle à manger, et là j’ai la surprise de voir Daniel se mettre complètement nu.

 

Il est entièrement épilé, assez fin, presque troublant.

 

– On va prendre notre douche ensemble, on est entre hommes, non ? Déclare-t-il.

 

Je lorgne sur sa queue, je ne sais pas ce qui m’arrive, ce doit être instinctif. Patrick se retrouve à son tour à poil. J’ai maintenant deux queues à mater. Je commence à bander, j’hésite à me dévoiler dans cette posture !

 

– Ben alors, tu fais ton timide ! Me lance Daniel.

 

Je me jette à l’eau et envoi valser mon caleçon à fleurs. Daniel se tourne un instant pour je ne sais quelle raison, me montrant son cul. Un petit cul bien cambré, un vrai petit cul de gonzesse. Du coup c’est la catastrophe, je bande désormais comme un sapeur.

 

– Humm, tu m’as l’air en forme, toi ? Tu penses à quoi là ? Me charrie Daniel.

– A rien !

– Elle est jolie ta bite ! Qu’est ce que tu en penses, Patrick.

– Très jolie ! Confirme ce dernier.

 

Les orientations sexuelles de Daniel, que j’avais un peu zappé, me reviennent comme un flash en mémoire. Comme me reviens ce que j’avais eu l’imprudence de lui répondre. Je sens qu’une machine infernale est enclenchée et que je ne sais pas comment l’arrêter. Mais sa femme ? Ben oui sa femme, Daniel ne va tout de même pas m’enculer alors qu’elle fait la cuisine et qu’elle peut revenir à n’importe quel moment ? Voilà qui devrait me rassurer… Mais il m’a dit aussi qu’elle n’était pas farouche ! Son ouverture d’esprit irait donc jusque là ? Non, je n’y crois pas !

 

Voici des pensées qui vont très vite, et qui ne résistent pas à la réalité. Parce que figurez-vous qu’en ce moment précis, Daniel a pris ma bite dans sa main avec un air faussement dégagé :

 

– C’est mignon tout ça !

 

Et voilà qu’il commence carrément à me masturber. Et je n’ai même pas protesté.

 

Je ne proteste pas non plus quand Patrick, passe dernière moi et me pelote les fesses. Je ne proteste pas davantage quand Daniel s’accroupit devant moi pour me sucer, ni quand le doigt se Patrick s’enfonce dans le trou de mon cul avant d’aller et venir. Je me pâme d’aise, mais voilà que Noémie sort de sa cuisine…

 

– Bon les mecs, qu’est ce que vous foutez ? Dépêchez vous d’aller vous doucher, sinon la bouffe va être trop cuite, vous aurez le temps de faire les pédés après manger !

 

C’est fou d’entendre ça !

 

– On y va, on y va ! Répond Daniel, très égrillard.

 

Son carré de douche est effectivement très grand, mais à trois ça fait quand même un peu juste.

 

– Allez-y, je passe en dernier ! Propose Patrick.

 

Me voila donc face à face avec Daniel, on se savonne, sans me demander mon avis il me passe de la mousse sur le corps, en profite pour me pincer les tétons, une caresse auquel je ne sais pas résister, et me revoilà en train de bander. Je caresse mon partenaire à mon tour, ma main enserre sa bite, une envie aussi subite qu’irrésistible me fait me baisser afin de la sucer, mais j’y renonce aussitôt, sucer du gel douche n’ayant rien d’agréable.

 

– Si on s’attarde de trop, Noémie va rouspéter. On reprendra tout ça cet après-midi. Tu voudras que je t’encule ?

– Pourquoi pas ? On pourra essayer ! M’entendis-je répondre sans aucune hésitation.

– T’aimes ça une bonne bite dans le cul ?

– Je ne l’ai jamais fait mais j’ai vraiment envie d’essayer.

– Rassure-toi, je vais te faire ça comme il faut… et puis ça va être la fête, ce n’est pas tous les jours que j’ai l’occasion d’enculer un puceau.

 

Je finis de me rincer, excité comme une puce et sors de la douche avec une érection de compétition.

 

Patrick s’en aperçoit, bien sûr !

 

– Hé, hé ! Commente-t-il simplement.

 

Daniel voulait qu’on reste à poil, mais Noémie nous informa que le couvert avait été dressé dehors sur la table de jardin. On a donc remis nos caleçons. Noémie quand a elle nous a fait une jolie surprise, elle a en effet troqué son tee-shirt contre un petit haut bien transparent sous lequel elle n’a pas mis de soutien gorge, et son pantalon contre une petite jupette qui ne cache rien du haut de ses cuisses. Et devinez quoi, elle se place juste en face de moi !

 

Le repas est délicieux, mais simple et modérément arrosé. Je comprendrais un peu plus tard que c’était parfaitement volontaire, l’objectif étant de nous garder en forme pour l’après midi. On parle de tout et de rien, de pinard, de football (je n’y connais rien), de boulot (la barbe) mais pas de sexe, enfin presque pas. Noémie nous a expliqué qu’en principe les voisins ne peuvent pas nous voir, sauf si l’idée leur venait de grimper dans les arbres pour cueillir des fruits ou pour tailler des branches. Autrement-dit, il nous faut rester sage jusqu’au café.

 

– Et pourquoi jusqu’au café ?

– Parce que le café, nous le prendrons à l’intérieur ! Réponds Noémie, malicieusement.

– Tu sais que Christophe est puceau du cul ! L’informe Daniel.

– Et vous allez le dépuceler ?

– Oui, il a dit qu’il était d’accord !

– Chic alors, il paraît que ça porte bonheur !

 

On est donc rentré après avoir dégusté un excellent clafoutis et on s’est installé autour de la table basse.

 

– Je vais faire le café, mettez vous à poil tous les trois et ne commencez rien sans moi ! Nous indique la maîtresse de maison.

 

On se remet à poil, curieux round d’observation où chacun lorgne la bite des autres. Un ange passe.

 

Noémie revient avec le café et le sert.

 

– On y v a ? Propose Daniel.

– Non, vous avez voulu du café, Donc on boit le café d’abord ! Répond Noémie.

 

Il ne me semble pourtant pas que quiconque ait réclamé ce café qu’elle nous a fait d’office. Toujours est-il que nous fûmes au moins trois à l’avaler bouillant.

Daniel

 

Noémie se lève et s’approche de moi :

 

– Lève-toi, s’il te plaît !

 

Comme un automate, j’obéis.

 

– Déshabille-moi !

– Que je vous déshabille ?

– Oui, que tu me déshabilles ! Et puis je t’en prie laisse tomber le vouvoiement.

 

Je n’avais pas du tout imaginé cette tournure, mais elle n’est pas pour me déplaire. Je commence donc par lui enlever son petit haut transparent en le faisant passer par-dessus des épaules. Et voila la jolie Noémie, les seins à l’air.

 

– Je n’ai pas le droit de toucher, je suppose !

– Mais si, tu peux toucher, caresser, lécher, sucer… ça m’excite et ça excite mon mari.

 

Voilà une autorisation dont je ne vais pas me priver, je la caresse, je la tripote, je m’amuse avec ses tétons, je les mets en bouche, les suçotent un petit peu. J’ai soudain envie de l’embrasser mais sa permissivité et celle de Daniel va-t-elle jusque là ?

 

Tactiquement je lui fais des bisous dans le cou, puis je remonte un peu, nos bouches sont très proches l’une de l’autre. Je n’ose pas, j’attends un signal. Ses lèvres s’ouvrent, c’est bon, on se roule une pelle, je bande, mais je bande, c’est dingue !

 

Je jette un coup d’œil aux deux autres zigotos qui sont en train de se faire une branlette mutuelle.

 

J’enlève la petite jupe de Noémie, elle n’avait pas de culotte et se retrouve donc quasiment à poil à l’exception de ses Dim-Up.

 

Bien sûr, je lui pelote ses petites fesses bien cambrées, puis je me baisse pour lui embrasser le pubis.

 

Mes lèvres s’aventurent un peu plus bas, je lui écarte ses lèvres vaginales, fourre ma langue dedans, me régale de ses sucs, puis m’attarde sur son clitoris.

 

– Stop ! Me dit-elle, il faut que je fasse un petit pipi.

 

Je pensais qu’elle allait se diriger vers les toilettes. Mais pas du tout ! Madame avise un compotier, en retire les deux ou trois pommes qu’il contenait, le pose par terre, s’accroupit dessus et pisse dedans. Quelle cochonne !

 

– Tu veux que je m’essuie ou je reste comme ça ?

– Je ne sais pas… balbutiais-je.

– Alors je reste comme ça ! Je vais m’assoir, ce sera plus pratique.

 

Effectivement. Elle s’affale dans un fauteuil et ouvre les cuisses.

 

– Allez, viens mon salaud, viens lécher ma pisse, fais-moi jouir, fais-moi jouir devant mon mari, et après c’est toi qui va passer à la casserole, il va bien t’enculer avec sa bonne bite.

 

Ce déchainement de vulgarité assez inattendu ne me dérange pas vraiment et je reprends ma besogne, lapant et me régalant de l’urine imprégnant sa chatte avant d’attaquer son petit clito décapuchonné. Assez vite sa respiration devient saccadée.

 

– Vas-y, vas-y, comme ça c’est bon ! Vas-y, Aaaaahh !

 

Madame à la jouissance bruyante !

 

Pendant qu’elle récupère, je m’interroge sur la suite, j’ai une envie folle de la pénétrer, mais je n’ose ! J’attends donc qu’elle me guide.

 

– Pouuuuh ! Tu m’as bien fait jouir, toi ! Viens me faire un bisou.

 

On y va et c’est reparti pour une nouvelle pelle bien baveuse, au terme de laquelle elle me dit :

 

– Et maintenant tu vas aller leur sucer la bite !

 

Ben, oui ! Et j’y vais. Je commence par celle de Daniel, uniquement parce qu’il est le plus près.

 

Petits coups de langues, sur la verge, sur le gland, cela me permet d’admirer la chose de tout près, une belle bite bien droite, bien tendue, bien nervurée et joliment terminée par un beau gland sombre et brillant. J’ouvre une large bouche puis me met à sucer. J’essaie d’imiter les mouvements de lèvres et de langues vus sur des vidéo coquines. Je me régale, ça me plait, aussi bien sexuellement que psychologiquement. Ce n’est quand même pas si souvent que j’aurais l’occasion de sucer la bite d’un collègue devant sa femme à laquelle je viens de prodiguer un broute-minou !

 

– Celle de Patrick, maintenant !

 

Bon, puisque c’est elle qui décide, on y va, j’avais déjà sucé quelques biroutes quand j’étais étudiant, la chose m’avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vite assagi quand j’ai rencontré Viviane (Viviane, c’est mon ex). Me remettre à sucer des bites 15 ans plus tard a quelque chose de magique, et celle-ci est bien agréable à sucer, je savoure cette jolie quéquette, m’enivrant de cette douce texture. Mais les meilleures choses ont une fin.

 

– C’est bon, tu l’as assez sucé ! T’aimes ça sucer des bites, hein petite pédale ? Me dit Noémie.

– C’est vrai que c’est bien agréable !

– Mets-toi en position, Maintenant on va t’enculer.

 

Je n’hésite même pas, je me mets en levrette, j’écarte les jambes et les fesses, j’attends… pas longtemps, mais ce n’est pas la bite de Daniel qui vient me titiller l’anus mais la langue de Noémie. Elle virevolte autour de mon œillet, je crois bien qu’on ne m’avait jamais fait ça. C’est son doigt qui maintenant a pénétré mon trou de balle. Ça va et ça vient, je sens un deuxième doigt. Puis elle enlève tout-ça.

 

– Ne bouge pas conserve la position. Ecarte bien ton cul avec tes mains.

 

J’obéis. L’humiliation de la situation (et de la position) m’excite terriblement, je me sens chienne, c’est une découverte !

 

Elle chuchote quelque chose aux autres hommes et quitte momentanément la pièce.

 

Elle revient harnachée d’un gode-ceinture.

 

– C’est pour faire le passage ! Me dit-elle en rigolant.

 

Ah, bon ?

 

Elle encapote le gode, en enduit l’extrémité d’une noix de gel intime, elle n’a plus qu’à l’approcher du trou de mon cul et à me pénétrer.

 

Ça y est, je l’ai dans le cul, son machin. Au début ça m’a fait drôle, me demandant quel plaisir il pouvait y avoir à se faire enfiler ce genre de chose dans un orifice qui n’était pas fait pour ça. Ça ne me faisait pas mal, non, ça me gênait, ça m’encombrait.

 

Et puis la sensation a vite changé, je n’ai plus trouvé ça désagréable, et des petits frissons de plaisirs ont commencé à m’envahir.

 

– Vas-y c’est bon, continue !

 

Sauf qu’elle n’a pas continué, elle s’est retirée, jouant les grandes dames :

 

– Messieurs, il est à vous.

 

Tout juste sil elle n’a pas fait une révérence.

 

J’ai conservé la position, j’ai senti le gland de Patrick quémander l’entrée de mon anus, puis y entrer, s’enfoncer et me pilonner. La sensation est différente d’avec le gode, d’abord, c’est vivant et puis psychologiquement, c’est autre chose, je me fais maintenant enculer pour de vrai, et cela m’excite.

 

J’ai senti Patrick jouir dans mon cul, il a laissé la place à Daniel qui l’a un peu plus grosse. Ce fut divin.

 

Et pendant que mon collègue me pilonnait le cul, m’envahissant d’ondes de plaisir, Patrick sodomisait Noémie avec fougue. Celle-ci jappait, haletait, appelait sa mère et finit par jouir dans un cri de fauve avant de s’affaler comme une chiffe molle.

 

En se retournant, elle ôta la capote se son partenaire et lui nettoya la bite de son sperme, manifestement elle se régalait.

 

Daniel sorti a son tour de mon cul, je n’avais pas joui, mais n’en étailt pas loin, c’est Noémie qui me fit conclure en me prenant ma queue en bouche, avant de me rouler une pelle au gout particulier.

 

Elle s’en alla ensuite en cuisienne chercher du Champagne qu’elle versa dans les coupes.

 

Elle nous les distribue. On va pour trinquer….

 

– 1, 2, 3. Commence-t -elle

– ?

– Il est des nôootres, il s’est fait enculer comme les oooootres…Chante en chœur le joyeux trio.

– C’est malin !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:01

 

Partie de campagne (Maryse) par Enzo_Cagliari

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Paul était un ami d’enfance que j’avais un peu perdu de vue, il s’était retiré dans un petit village du Lot où il s’était installé comme vétérinaire. Son mariage avait rapidement foiré et il vivait seul. Passant dans le coin pendant mes vacances, je lui annonçais mon arrivé au dernier moment pensant lui faire une bonne surprise.

Il m’expliqua alors qu’il ne pouvait pas m’héberger, ne disposant ni de chambre d’amis, ni de canapé d’appoint mais qu’il me présenterait à ses parents, un couple d’horticulteurs, etc… etc…

Ce plan alternatif ne m’enchantait guère mais je m’y résignais.

Paul me présente ses parents, fin de quarantaine tous les deux, sympas, Maryse une grande brune un peu potelée et son mari Marcel. La maison est grande et il y a une petite piscine où nous avons profité du soleil.

Maryse était allongée sur un matelas, sur le ventre. Le soleil chauffait les corps et peut être aussi les esprits ! Toujours est-il que ce qui se passa à ce moment fut tout aussi inattendu qu’agréable.

Lassé du soleil, Paul et Marcel décidèrent de rentrer se mettre au frais pour entamer une longue partie d’échec. Je restais donc là, alangui à deux mètres de Maryse, toujours sur le ventre.

– Alors Gilles, vous appréciez la piscine ?
– Oui madame, merci pour l’invitation !
– Soyez gentil de me passer l’huile solaire s’il vous plaît ?
– Bien sûr ! Tenez !

Délicatement, la mère de Paul dévissa le bouchon et entreprit de se masser les cuisses.

– Je n’arrive pas à me masser le dos, je peux vous demander de m’aider Gilles ?
– Bien sûr.

Je me positionnais donc à côté de Maryse et huilais abondamment mes mains. Celles-ci glissaient entre le haut de son slip et son haut de bikini. Maryse était vraiment très belle encore. Cette femme de 45 ans avait gardé une taille de guêpe et sa poitrine était très voluptueuse, enserrée dans son petit bikini. Mes mains huilaient maintenant les dos de ses cuisses, un endroit qui pourtant ne nécessitait pas qu’on y revienne. Mais bon, mes mains massaient délicatement les jambes et s’arrêtaient bien avant l’entrecuisse.

– Ça ne vous dérange pas si je dégrafe mon soutien-gorge ?

Je ne répondis pas ! Elle n’avait d’ailleurs pas attendu ma réponse ! Elle était maintenant sur le ventre, accoudée, la tête en avant laissant apparaître sa nuque délicate. Cette position faisait apparaître ses seins lourds mais fermes. Mes mains glissaient maintenant sur son dos et entouraient sa taille. En remontant, ils effleuraient le côté des deux seins. J’aurais parié qu’elle ne s’en rendait pas vraiment compte mais elle écarta ses deux jambes subrepticement. Mes mains flirtaient maintenant avec ses cuisses mais remontaient plus avant et effleuraient l’entrejambe de Maryse. Elle se retourna avec un sourire et écarta ses jambes un peu plus comme une invitation, un encouragement. J’osais donc l’impensable et frottais ostensiblement l’entrecuisse de Maryse. Mes doigts coulissaient doucement sur le tissu ce qui mettait en valeur la fente de la chatte de Maryse.

Inutile de dire que mon sexe était depuis longtemps en érection, turgescent et je sentais couler, les prémices du plaisir. J’aventurais un doigt sous le tissu et je rencontrais dans cette position immédiatement l’ouverture de son vagin. Mes caresses visiblement ne la laissaient pas indifférente ! Mon doigt coulissait doucement et l’huile rendait cela très agréable. En remontant vers l’avant, j’atteins son clitoris, ce qui induit un petit gémissement de la mère de Paul. Vers l’arrière, j’atteins son anus et je me rendis compte que cette zone ne lui était pas insensible non plus ! Les pointes de ses seins se durcissaient comme ma bite qui maintenant se dressait comme pour sortir de mon slip.

Un bruit de pas, de conversations et la certitude que la partie d’échec était terminée mit un point final à ce petit jeu qui nous laissait sur notre faim. Il était tard maintenant !

– Vous restez pour dîner, Gilles ?
– Volontiers, je vous en remercie.

Le dîner fut convivial. Maryse, en face de moi me dévisageait tellement (ou du moins il me le semblait) que j’avais l’impression que tout le monde s’en apercevait. Si c’était le cas, ils ne s’en émouvaient pas particulièrement. Paul à ma gauche et Marcel à ma droite se taquinaient en commentant la partie d’échec. Maryse n’était pas concernée par la discussion. Elle était resplendissante. Elle avait revêtu pour le dîner une petite robe très courte qui laissait libre ses belles épaules et qui moulait, ses seins laissés libres en la circonstance. Le repas se déroulait bien quand je sentis sur ma jambe, le pied de Maryse. Celui-ci remontait doucement le long de mes jambes nues (en effet je ne portais qu’un bermuda très ample). Elle remonta assez haut pour toucher de son orteil mes couilles pleines du jus qu’elles n’avaient pas pu évacuer précédemment. Les petits mouvements des orteils sur mes couilles et le long de la hampe de ma verge faisaient bien plus que m’émoustiller. Mon sexe, de nouveau bandait fort. J’étais gêné et redoutais que l’on s’en aperçut ! Mais non ! Mes voisins vaquaient à leurs débats passionnés.

Je fis tomber mon couteau, prétexte que je trouvais bien commun, pour regarder sous la nappe. Maryse avait bien compris le message et entrouvrit ses cuisses pulpeuses. Par un geste furtif de sa main, elle dévoila sa chatte poilue et humide. Sous peine de passer pour un plongeur sous-marin en exercice, je me relevais et là encore, restait interloqué et insatisfait. Paul me sortit de ma torpeur.

– Maryse et Marcel sont d’accord pour que tu passes la nuit ici, tu seras mieux qu’à l’hôtel !

J’acceptais, puisque c’était plus ou moins ce qu’avait prévu Paul. Appelé pour une urgence, ce dernier nous quitta

– On se verra demain ! Dit-il simplement

Après une peu intéressante soirée télé où mes pensées flottaient entre l’épisode piscine et l’intermède repas, tout le monde décida de monter se coucher. On me montra ma chambre, je me débarrassais de mon bermuda et vêtu de mon seul caleçon, je me dirigeais vers les toilettes quand je croisais Maryse qui en revenait. Elle portait maintenant un petit string transparent sous une nuisette non moins transparente. Le galbe de ses cuisses, sa taille fine, son cul parfait et ses seins, oui vraiment, elle n’avait rien à envier aux demoiselles qui étaient jusqu’alors passées au fil de ma queue.

– Bonne nuit Gilles ! Me dit-elle en me gratifiant d’un petit baiser tendre et superficiel sur les lèvres.
– Bonne nuit Madame !
– Laisse tomber le « Madame », appelle moi Maryse.
– Bonne nuit, Maryse
– Je me serais bien laissé tenter par un petit plan coquin à deux, mais Marcel n’appréciera peut-être pas, par contre à trois, ça te dirait ?
– Euh…
– Si Marcel est d’accord, je t’appelle !

Je me demandais si je ne rêvais pas et m’allongeais sur le lit, je ne cherchais pas à m’endormir et me demandais si ce plan allait ou non se concrétiser. J’entendis alors Maryse m’appeler :

– Si tu veux, viens nous rejoindre dans cinq minutes !

J’attendis donc avant de m’approcher. Maryse était nue, allongée sur le côté et son mari, Marcel lui ramonait la chatte sans ménager sa peine. Il relevait avec ses mains la cuisse de Maryse ce qui faisait apparaître sa chatte totalement glabre. La bite de Marcel limait fort. Sa bite me sembla très grosse, plus que la mienne en tout cas et elle luisait maintenant du jus de Maryse.

Elle jouit beaucoup dans de grands cris qu’elle ne chercha pas à dissimuler.

– Entre, Gilles !

Cette fois c’est Marcel qui m’invitait à entrer. Je pénétrais donc penaud dans la chambre.

– Ne sois pas timide. Approche. Tu la trouves comment Maryse ? Demanda-t-il en passant sa main sur les fesses de sa femme.

– Elle est très belle, monsieur !
– Bien sûr ! C’est une belle salope ! Maryse, écarte ta chatte et montre-la à Gilles

Maryse divergea ses jambes, et de ses doigts, écarta ses lèvres roses

– T’as déjà vu une chatte poilue comme ça ?

Il joignait le geste à la parole et caressait doucement la moule de sa femme.

– Ben non, maintenant toutes les filles se rasent…
– T’aimerais la lécher ?
– Voilà une proposition que je ne saurais refuser ! Répondis-je en paraphrasant Marlon Brando dans « Le Parrain »
– Maryse, allonge-toi sur le ventre et cambre bien ton cul. Gilles va te lécher ta chatte et ta rondelle aussi pendant qu’on y est

Elle s’exécuta et j’avais maintenant devant moi, offerte, une magnifique femme mature qui m’exhibait sa chatte luisante. Je m’approchai et palpais ses fesses tout en les écartant doucement. Son trou du cul tout brun était magnifique et sentait légèrement le caca. J’entreprenais de lui fourrer ma langue bien profondément rencontrant un gout acre mais qui me plaisait bien. Ma langue commença à lécher le fion offert puis ma langue l’encula doucement. Après un long moment, je descendais vers sa chatte qui dégoulinait du foutre de son mari. Cela ne me dérangeât pas plus que cela et j’enfonçais ma langue dans son vagin. Le goût du foutre de Marcel ne me parut pas désagréable. Pendant que je léchais la chatte, le mari enfonça un doigt profondément dans le cul de sa femme et après l’avoir fait aller et venir le retira, légèrement pollué de matière avant de lui donner à lécher. Je bandais comme un taureau et son mari commençait à récupérer de sa cavalcade. Son sexe recommençait aussi à durcir. Maryse se retourna subitement et nous regarda.

– Je suis gâtée aujourd’hui ! Deux bites rien que pour moi !

Et elle joint le geste à la parole en attrapant nos deux queues. Elle se rapprocha et entreprit de nous sucer alternativement. Sa bouche enfournait ma queue, pendant que ses mains asticotaient mes couilles qui commençaient à me faire mal. Sa science visiblement consommée de la fellation et son habilité m’amenaient de nombreuses fois près de l’extase sans m’autoriser à m’y abandonner. Tout en me suçant, elle branlait vigoureusement la queue de son mari.

– Maintenant il est temps que tu baises ma femme.

Oui, il était temps ! Je n’en pouvais plus ! Maryse se redressa, prit ma bite dans sa main et la dirigea vers sa chatte trempée. Elle était maintenant à califourchon. Pendant que je la baisais comme un salaud, en essayant de me retenir désespérément, son mari positionné derrière elle lui caressait le cul. Sa main, descendant plus avant commença à caresser mes couilles.

– Tu aimes ça ?
– Euh, ce n’est pas désagréable !
– Je vois que tu es un sensuel. Maryse allonge-toi sur lui que je t’encule. Proposa Marcel.

Maryse se positionna et son mari bien délicatement, doucement mais profondément l’encula. Il ramonait bien et je sentais à travers le vagin de sa femme, les coups de butoir de sa grosse bite. Maryse gémissait, hurlait même de plaisir.

– Ah ! Je veux boire votre foutre !

Elle desserra les étreintes et vînt positionner sa tête en dessous de nos deux bites. Elle prit la main de son mari et la dirigea sur ma bite. Marcel me branlait et j’aimais ça ! Je jouis le premier. Le jet chaud et copieux fut avalé goulûment par Maryse. Elle appuya sur la tige de mon vit et récupéra le dernier jet.

– C’est bon tu sais Gilles, tu en veux ?

Je restais interloqué par la question. Quelques gouttes de sperme, pourquoi pas, mais là…. Sans attendre ma réponse, elle m’allongea sur le lit et positionna Marcel au-dessus de moi. Ses grosses couilles pendaient alors que Maryse le branlait énergiquement. Je ne sais ce qui me prenait mais je commençais à caresser les couilles lourdes de Marcel. Sa bite palpitait. Dans un râle de plaisir, il commença à éjaculer. Le flot inonda ma figure. Maryse avidement lécha le foutre et quand elle eut tout récupéré, elle me roula un voluptueux patin où salive et foutre se mêlaient intimement. Elle se releva au-dessus de moi et laissa couler le reste de sa salive que j’avalais avec plaisir.

Cette première expérience de plaisir total était extraordinaire. Mais il était dit que le répit ne durerait pas.

Le temps de reprendre nos esprits et de fumer une cigarette et soudain Maryse me fit cette surprenante proposition

– Ça te dirait d’enculer mon mari ?

Maryse

Maryse, là encore me surprenait. Mais ma réaction aussi. J’étais dans un état d’excitation où les tabous n’existaient plus.

– Il adore ça ! Renchérit-elle. N’est-ce pas Marcel ?
– Bien sûr, je suis un vieux cochon ! Répondit l’intéressé.
– Pourquoi pas, ça sera une première ! Approuvais-je sans ambages

Maryse découvrit de dessous la tablette de sa table de chevet un tube de gel lubrifiant entamé.

– Tu sais, dit Maryse, j’encule Marcel assez souvent ! Il adore jouir du cul. Pour cela j’utilise ce petit joujou ! Précisa-t-elle en sortant de je ne sais où, un gode très réaliste.

Elle déposa un peu de gel sur ses doigts et enduit soigneusement la rondelle de son mari. Son cul était d’ailleurs très accueillant puisque Maryse introduisit ses trois doigts sans problème. Elle enduit ensuite ma bite de vaseline.

– Vas-y ! Bourre-lui bien le cul ! Vide tes couilles dans le fion de Marcel ! Dit-elle, visiblement excitée à l’idée de voir son mari se faire enculer par un homme.

Je me positionnais en face de sa rondelle et pénétrais doucement.

– Vas-y plus fort !

Je l’empoignais par les hanches et l’enculais maintenant bien profondément. Je le ramonais à fond, poussant vers l’avant. Le contact de mes couilles avec ses fesses était agréable. Sa bite était au repos et mes mains, tout en le sodomisant s’activaient et palpaient sans vergogne sa bite et ses couilles pendantes dans cette position. J’étais maintenant sur le point de jouir et Maryse, en grande experte s’en était aperçu.

– Ne jouis pas encore, ralentis, reste dans son cul.

J’obéis et alors que je récupérais mon self control, elle saisit le gode

– Toi aussi tu vas y goûter ! Je vais t’enculer pendant que tu encules Marcel.

J’eus un instant l’envie de refuser quelque chose qui m’avait toujours, du moins en théorie, répugné. Et puis non, dans cette folie ambiante, je ne répondis pas ce qui constituait un acquiescement ! Elle s’approcha de mon anus avec le gode lubrifié et pénétra doucement un petit centimètre. Dire que cela me plût immédiatement serait mentir. Je sentais une douleur aiguë. Mon anus vierge souffrait malgré le tact et l’expertise de Maryse. Mais, doucement la douleur s’estompa et une sensation qui n’était pas encore du plaisir mais qui néanmoins n’était pas désagréable m’envahit. Son gode était maintenant bien dans mon anus pendant que je ramonais toujours Marcel qui semblait adorer. Maryse maintenant m’enculait bien profond et je commençais à apprécier. Par en dessous elle touchait mes couilles et la base de ma bite à chaque va-et-vient. J’allais exploser et elle le sentit.

– Viens dans ma bouche.

Je sortis de Marcel alors que le gode était toujours dans mon cul. Elle me branla tout en maintenant le gode dans mon fion. Dieu que c’était bon.

– Laisse m’en un peu !

Marcel venait de se positionner près de la bouche de Maryse et voulait visiblement sa part de ma semence. Celle-ci ne tarda pas. Elle fut abondante et tous les deux se délectèrent de mon foutre chaud. Je me laissais tomber sur le lit, exténué, les yeux fermés. Je fus sorti de ma torpeur par la vision de Paul se branlant à quelques centimètres de mon visage. Une sorte de réflexe me fit ouvrir la bouche, et pour la première fois de ma vie, je suçais la bite d’un homme. C’était doux, c’était chaud… et délicieusement pervers. Très vite il éjacula me tapissant le palais de son foutre que j’avalais sans broncher.

Quelle aventure ! Mais maintenant l’envie d’uriner me tenaillait.

– Où tu va ? Demanda Maryse, qui s’en doutait un peu
– Pipi !
– Pisse-moi dans la bouche.

Maryse ne posait pas une question, c’était un ordre. On descendit du lit et je lui pissais donc dessus sans effort. Elle positionna sa bouche sous le jet fourni et avala goulûment.

– La prochaine fois, j’inviterai le père Michel à se joindre à nous. Il a une belle queue et il adore enculer les hommes jeunes, ça t’intéresse ?

Je n’ai pas répondu, mais je n’ai pas dit non.

Une question me taraudait pourtant :

– Et Paul dans tout ça ?
– Il est débordé, en plus de son boulot, il lui faut entretenir sa baraque qui s’en va à vau-l’eau depuis que sa copine l’a quitté. Mais bon j’espère que demain il pourra se libérer. Il y a longtemps que je ne lui ai pas sucé la bite !
– Quoi ?
– Oh, Pardon, je ne voulais pas te choquer !
– Je ne suis pas choqué ! Mentis-je
– Alors tout va bien !

Je retournais dans ma chambre, exténué, me demandant si demain, je partirais à l’aube ou si je resterais une journée supplémentaire…

D’après vous ?

Fin de l’épisode

 

Note : Ce texte est une réécriture d’une nouvelle anonyme intitulé « Une famille sympa » dont la dernière apparition sur le net date de 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 16:57

Le patio par Enzo Cagliari

scat

ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

 

Non ce n’est pas un rêve, c’est juste un souvenir à la fois fort et insolite

 

Je venais de terminer la construction d’un petit patio dans la maison de campagne de ma copine Laetitia.

 

Laetitia est une belle brune, complètement délurée et qui, allez savoir pourquoi rêve de se mettre en ménage avec moi. Moi, je l’aime bien comme copine et j’aime bien faire l’amour avec, mais je ne sais si je supporterais ses fantaisies en permanence.

 

Il était environ 16 heures. Après avoir pris une bonne douche, je m’étendis dans le hamac que nous avions installé sur le patio et en ai profité pour faire un somme pendant que ma copine allait faire un petit tour en ville afin de ramener de quoi dîner.

 

Dans mon sommeil, je sentis une main qui parcourait mon corps. J’ouvris les yeux et je vis ma belle Laetitia étendue face à moi dans le hamac qui me flattait l’entrecuisse tout en se masturbant, et surprise des surprises, elle était complètement rasée, chose que je lui avais demandé depuis plusieurs mois sans résultat.

 

Beau spectacle que de voir sa copine nue et sans aucun poil se masturber et en jouir. Je lui flattai les cuisses de mes mains et elle les écarta doucement pour me donner une meilleure vue. Pendant qu’elle frottait son clitoris tout rose, elle s’enfonça un, puis deux doigts dans son vagin en un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Après quelques minutes de ce manège et tout en continuant à se masturber, elle mit ses doigts dans sa bouche pour lécher son propre jus. Ne voulant pas être en reste, je pris mon pénis à pleine main et commençai à me masturber lui donnant un spectacle à mon tour. Quand l’ombre d’un grand black au loin me fit hésiter à continuer.

 

– Le jardinier risque de nous voir !

– Albert ? Et alors il n’en perdra pas la vue ! Il a le droit de mater les belles choses, ce brave homme. Tu sais qu’il a une très belle bite, hier je l’ai sucé et après il m’a enculé, c’était super !

 

Quelle belle salope !

 

Puis ce tournant vers de dernier elle lui cria :.

 

– Vous pouvez regarder, Albert, mais restez à distance. Si vous voulez vous branler, ne vous gênez pas, mais ne jouissez pas on aura peut-être besoin de vous..

 

Nous avons continué à nous caresser et à nous tripoter lorsque j’entendis un bruit vers l’entrée de la maison (il faut vous dire que la maison de Laetitia est retirée et l’accès est très difficile en voiture, les visiteurs doivent parcourir les derniers 500 mètres à pied). Donc, j’entendis un bruit et mon regard se porta dans cette direction : quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver deux femmes, une grande rousse toute frisée d’une trentaine d’année, accompagnée d’une autre femme beaucoup plus mûre, d’une cinquantaine d’années, qui nous regardaient et qui semblaient apprécier ce qu’elles voyaient.

 

– Venez, venez ! Leur cria Laetitia.

 

Et elle fit les présentations :

 

– Voici Caroline, une voisine et amie ! Voisine toute relative, puisqu’elle habite à deux kilomètres, et voici Chantal sa maman. Tu verras, elles sont très gentilles toutes les deux et pas du tout farouches.

 

Quelques minutes après, Caroline visiblement émoustillée, retirait son chemisier laissant échapper une grosse paire de seins bien fermes, s’approcha de ma copine et l’embrassa tout en enlevant son short sous lequel elle ne portait pas de petite culotte. Elle commença à se masturber d’une main et de l’autre elle pétrissait les petits seins de Laetitia. Des spasmes de jouissance parcoururent le corps de ma copine et elle répondit goulûment au baiser de Caroline. J’ai presque joui à la vue de ces deux femmes qui s’embrassaient et se masturbaient. Mais à ce moment, Chantal la belle mature m’interpella et me dit de me contrôler, que le meilleur restait à venir : elle déboutonna sa robe soleil, elle aussi ne portait rien dessous, et je pus voir de superbes seins gros comme des pamplemousses et un mont de vénus avec seulement quelques poils.

 

Elle s’approcha et fit le tour du hamac face à mon amie, se pencha et goûta au jus qui s’écoulait du vagin de Laetitia qui était en transe tellement elle jouissait. Je sentais les seins de Chantal sur ma cuisse et sa main bien ferme sur ma bite.

 

Ensuite, Chantal me lécha le pénis pendant que je glissais un doigt dans sa fente. Elle garda mon pénis dans sa bouche et glissa un doigt dans son vagin me guidant pour qu’elle atteigne l’extase. Laetitia et Caroline nous regardaient tout en se faisant des câlins. Après une légère pause Chantal me reprit en bouche pendant que son doigt s’égarait dans mon trou du cul, j’adore cette caresse.

 

On me demanda ensuite de m’allonger dans l’herbe, Ce fut Caroline qui la première m’enjamba et qui visant mon visage se mit à me pisser son jet doré que j’appréciais comme il se doit, puis ce fut au tour de Laetitia, un pipi moins gouteux mais tout même fort estimable qu’elle termina en m’aspergeant la bite, Puis vint le tour de Chantal, quand cette dernière eut terminé sa miction, j »allais pour me relever, mais je n’en fis rien et sur un signe de ma partenaire celle-ci me demanda de ne pas bouger, elle s’accroupit légèrement le cul tournée vers moi, mais rien ne se passa.

 

Caroline intervient alors en introduisant son doigt dans le cul de sa mère et en le faisant bouger ostensiblement. Pendant ce temps Laetitia me suçait ma bite trempée de la pisse de son amie.

 

Caroline fini par retirer son doigt, maculé de matière, elle le porta à sa bouche en testa le goût et le porta à mes propres lèvres. C’était délicieux.

 

Chantal indiqua qu’elle était maintenant prête, je vis son anus s’ouvrir et un gros étron commencer à se faufiler à l’extérieur avant qu’il ne dégringole sur mon visage.

 

– Merci Chantal ! Chuchotais-je.

 

cat 1802bJe léchais un peu ce beau boudin tout chaud, puis je me redressais, me demandant qui allait maintenant s’occuper de me faire jouir, car ma bite n’en pouvait plus, quand j’aperçu le jardinier qui sur un signe de ces dames s’était approché de moi, le pantalon sur les chaussettes et me présentait sa bite dressée comme un étendard.

 

Je m’essuyais sommairement le visage et approchais ma bouche de cette jolie queue que l’on m’offrait et m’en régalait.

 

On me fit stopper ma fellation au bout de quelques minutes et sur un ordre de ses dames je me positionnais en levrette afin que le jardinier m’encule. Laetitia en profita pour venir devant moi et me donna sa chatte toute trempée à lécher.

 

Pendant ce temps-là, Caroline après avoir de sa langue nettoyé le cul de sa mère avait entrepris avec cette dernière un soixante-neuf endiablé ! Quelles cochonnes !

 

Le jardinier jouit dans mon cul, je me relevais épuisé, mais Laetitia me fit signe de m’allonger sur le dos et vint s’empaler sur mon cul et me chevaucha jusqu’à ce que je jouisse.

 

On m’indiqua alors qu’une surprise m’attendait à l’intérieur et on me banda les yeux, comme je suis très joueur, je me laissais faire.

 

A l’intérieur, les filles se mirent à entonner le « Happy birthday to you », on enleva mon bandeau et je découvris un magnifique gâteau à la crème avec plein de bougies.

 

– Mais c’est l’anniversaire de qui ? Balbutiais-je.

– Mais le tien, andouille ! Répondit Laetitia, ça t’a plu au moins tous ce que l’on t’a fait ?

– Oui c’était très bien mais mon anniversaire ce n’est pas aujourd’hui c’est dans trois mois…

 

Laetitia confuse, s’en alla alors consulter un petit calepin

 

– Avec qui j’ai bien pu confondre ?

 

Fin

 

PS : ce texte est un rewriting du récit : Trois pour moi par Conrad publié sur ce site en 2007  J’espère que l’auteur de men voudra pas, et dans le cas contraire s’il souhaite que je le retire, je le ferais sans problème

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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