Enzo Cagliari

Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:21

Les libertins du Cantal

1 – Pension de famille

par Enzo

 

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Bonjour

 

Je m'appelle Thibault et je suis encore étudiant. Je suis châtain très clair, assez fin et je porte des lunettes en permanence. Je suis très porté sur le sexe et si j'adore les femmes, il m'est déjà arrivé lors de petites sauteries étudiantes de faire des choses avec des gens de mon sexe. 

 

Quelques semaines avant les vacances, ma petite amie a rompu avec moi. Ma mère auprès de laquelle je me suis confié a souhaité me consoler en me faisant une bonne branlette puis en me conseillant d'aller un peu à la campagne. Ne sachant pas trop où aller, je me retrouve quelques jours plus tard avec une adresse, il s'agit d'un couple d'amis d'une collègue de bureau de ma génitrice. Ils habitent le Cantal et louent pour les vacances quelques-unes de leurs chambres. Voici donc des vacances gratuites (merci maman)

 

Bon, on y va…

 

Après avoir galéré toute la journée, le train, le car, puis le taxi, j'arrive dans ce coin paumé à la tombée de la nuit. Très bon accueil, Florence est une jolie brune, la quarantaine épanouie, un beau sourire, une voix très suave et une jolie silhouette, elle me montre ma chambre… et là, première surprise, pas de coin cuisine, pas de douche, et même pas de chiottes. Elle paraît étonnée que je ne sois pas au courant et m'explique que dans cette partie, c'est la formule pension de famille, les repas se prennent donc… en famille et pour les commodités, je devrais me servir de ceux de la maison… Voilà qui ne me plait guère et je décide donc que je ne resterai pas… mais que je ne repartirai que le lendemain, car pour l'instant je suis crevé. Je précise à la dame que je n'ai pas faim, demande où sont les toilettes et vais me coucher direct.

 

Mal dormi, hâte de me barrer d'ici, mais rien ne presse, je vais au toilettes, remets mes habits de la veille, et comme j'ai un petit creux je descends voir si on m'a préparé quelque chose, je prendrais ma douche après... 

 

Florence est là, en robe de chambre en train de se tartiner une tranche de pain.

 

- Alors Thibault, bien dormi ?

 

Quelle familiarité ! Je n'ai pas autorisé cette bonne femme à m'appeler par mon prénom… mais bon, quelle importance ?

 

- Non, mais ce doit être le changement d'air. Bougonnais-je en guise de réponse.

- Vous verrez, vous allez vous plaire ici...

- Justement, je ne sais pas si je vais rester.

- A bon ? Un problème ?

- … votre… votre…

- Pardon ?

- Votre robe de chambre s'est ouverte…

 

Effectivement, et quel spectacle, les seins de cette femme qui s'offrent subrepticement à ma vue sont magnifiques, et voilà que je bande comme un âne. Et ces tétons ! Mon Dieu, ces tétons !

 

- Ah, oui, elle s'ouvre tout le temps, celle-ci ! Dit-elle en se réajustant, mais c'est pas bien grave, on est très décontracté ici, j'espère que je ne vous ai pas choqué, au moins ?

- Non, non…

- Par contre, on dirait que je vous ai fait de l'effet !

 

La salope, elle a maté ma braguette ! Et ce n'est pas ça qui va me faire débander.

 

- Normal je suis un homme.

- Vous me trouvez comment pour mon âge ?

- Très belle !

- Vous dites ça pour me faire plaisir !

- Non, non !

- Vous voudriez revoir un peu ?

- Je…

 

Elle ouvre de nouveau sa robe de chambre, l'enlève carrément, pivote sur elle-même afin de me montrer ses fesses… Je ne sais plus où me mettre. Je suis tombé sur la nymphomane du coin et je ne sais pas comment résister.

 

- Alors ?

- Je confirme, vous êtes très belle.

- Merci, dit-elle en remettant sa robe de chambre, mais sans l'attacher, il n'y a que nous deux ici ce matin, mon époux est parti aux champignons avec son neveu…

 

Bon, si ce n'est pas une proposition, c'est quoi ?

 

- Et puis, continue-t-elle, il n'est pas jaloux, il serait mal placé, d'ailleurs, il me fait cocu comme une femme de facteur, il baise tout ce qui a un cul, les femmes, les hommes… mais c'est un mari charmant, prévenant, un compagnon agréable et puis je l'aime, mais ça ne m'empêche pas de faire moi aussi mes petits extras. C'est de bonne guerre, non ?

 

Elle me caresse la joue du bout de doigts, ses seins sont à quelques centimètres de mon visage, je n'en peux plus...

 

- Je peux toucher ? Balbutiais-je

- Bien sûr, mon biquet.

 

Elle s'approche et je lui caresse les seins. Elle, de son côté me met la main à la braguette.

 

- Oh, le joli paquet qu'il y a là-dedans ! Je peux voir ?

- Il est à votre disposition…

- Je l'entends bien comme ça, mais j'aimerais que tu te déshabilles.

 

Elle me dit ça avec un tel sourire que je ne peux qu'obéir.

 

- Et bien en voilà un mignon petit jeune homme, et puis complètement épilé… et ces quoi ces petits anneaux sur tes seins, tu ne serais pas un peu maso, toi ?

- Très légèrement, très légèrement…

- Voyons ça ! Dit-elle en tirant dessus.

 

Je pousse un râle !

 

- Mais c'est qu'il aime ça le biquet, je suis sûr que tu aimes un tas de choses, toi ? Pas vrai ?

- On peut dire ça comme ça !

- Tourne-toi ! Oh les jolies petites fesses ! Comme elles sont mignonnes…

 

Et voilà qu'elle me triture le cul, qu'elle m'embrasse les fesses.

 

- Hum, je vais t'embrasser le trou du cul, j'adore ça ! 

 

J'aurais préféré qu'elle s'occupe de mon sexe, mais je suppose que ça viendra après.

 

- Hum, tu n'as pas pris ta douche, toi !

- Ben non, je comptais la prendre après le petit déjeuner… Je ne pouvais pas savoir que…

- Que quoi ?

- Que nous ferions ce genre de choses !

- Certes, et un doigt, tu aimes bien ?

 

Elle me demande, mais son doigt est déjà là !

 

- Attends, je vais me mettre comme ça… je pourrais te sucer la bite et te faire le cul en même temps.

 

C'est trop bon, j'ai peur de partir trop vite. Elle suce trop bien et son doigt dans mon cul est un régal.

 

- Tu veux que je retire mon doigt ?

- Non, non, continue…

- Hum, d'accord, c'est que t'aimes ça un doigt dans le cul ? Tu ne serais pas un peu pédé, toi ?

 

La question est embarrassante, je ne réponds pas, du coup elle me met un deuxième doigt. Quel bonheur !

 

- Allez viens dans ma chambre, on sera mieux...

 

Elle s'étale dans le lit sur le dos, me laissant ainsi l'initiative, je n'ose pas l'embrasser sur la bouche, mais par contre je lui lèche longuement les seins, titillant les pointes pour les faire grossir… Je ne m'en lasse pas...

 

- Si tu allais plus bas…

 

J'ai compris le message, sa chatte est toute trempée, je lèche là-dedans, écarte un peu tout ce fouillis, me régale de ses sucs, puis attaque son clitoris gentiment redressé et qui n'attendait que ma langue. Une minute après, Florence gueule comme une bête en se raidissant sur le plumard. Cela en est impressionnant. Un ange passe, puis elle me prend dans ses bras, m'embrasse d'abord chastement avant de me rouler un patin en règle tandis que sa main est déjà revenue sur ma bite. On a complètement changé de position, la voilà qui me suce la quéquette, tandis que sa main passant sous mes fesses réattaque mon cul avec son index... Elle me suce ainsi quelques minutes, puis se relève.

 

- Bouge pas, je cherche un truc !

 

Elle sort d'un tiroir un godemiché très réaliste et le recouvre d'un préservatif.

 

- Tu veux ?

 

Je ne suis pas sûr de ce qu'elle me demande.

 

- Tu vas faire quoi avec ça ?

- T'enculer !

- Peut-être pas !

- On va essayer, si ça te plait pas, on arrête, allez en position, tends-moi bien ton petit cul de pédé !

 

Je suis très joueur et j'obtempère, en fait je n'ai pas d'appréhension, des godes je m'en suis déjà introduit, mais je ne voulais pas qu'elle le sache. Ça y est, je l'ai dans mon cul, elle le fait aller et venir, je suis aux anges. Qu'est-ce que c'est bon de se faire ramoner le cul !

 

- C'est bon ?

- Génial, super !

- Je continue !

- Oui !

- Et avec une vraie bite tu as déjà essayé ?

- Non !

- Tu voudrais essayer ?

- Peut-être un jour, rien ne presse.

 

Elle continue à m'astiquer le fion pendant quelques minutes, puis ressort le machin, et se met en levrette.

 

- Allez mets-toi une capote, c'est à ton tour de m'enculer.

 

Je ne me le fait pas dire deux fois, je me positionne derrière elle, ça rentre comme dans du beurre, quelques mouvements de va-et-vient et je jouis. Elle aussi, à moins qu'elle ait simulé, alors histoire de ne pas être vache je m'apprête à lui lécher de nouveau son clitoris.

 

- Non attends un peu, il est encore trop sensible.

 

Bon, bon ! Elle se remet sa robe de chambre… Dommage je serais bien resté plusieurs minutes dans ses bras nus. J'adore qu'on me câline !

 

- Tu as déjà sucé des bites ! Me demande-t-elle à brûle-pourpoint.

- Oui comme, ça une ou deux !

- Comment ça une ou deux ? Tu ne te rappelles plus si c'est une ou si c'est deux…

 

J'ai dû rougir, car voyant mon embarras elle cherche à me rassurer.

 

- Moi les histoires d'hommes entre eux, ça m'excite, tu ne veux pas me raconter ?

- Rien de bien extraordinaire. C'était à une soirée étudiante dans une grande propriété, on devait être une vingtaine, des garçons, des filles, ça a vite tournée en partouze, il y avait là un mec très ambigu, très beau en fait, un espèce d'ange, il s'est mis à me caresser, les nanas à côté de moi m'ont demandé de me laisser faire, alors il m'a tripoté le sexe, me l'a un peu sucé et il m'a demandé de lui faire pareil, j'ai hésité, mais les filles m'ont mis au défi, alors je me suis lancé, ça m'a bien plus, du coup un autre étudiant s'est pointé et je l'ai sucé aussi. Il voulait aller plus loin, mais je n'étais pas prêt pour ça.

- Et tu as aimé faire ça ?

- Oui !

- Tu recommenceras ?

- Si l'occasion se présente…

- Si ça te dis, mon mari, il a une très belle queue, je suis sûr que tu aimerais bien la sucer… et après il pourrait te prendre, il fait ça très bien. Souvent, il encule mon neveu devant moi, c'est génial… 

- Ah, oui ?

- Mon connard de frère l'a viré de chez lui quand il a appris qu'il était à moitié pédé, alors on l'a recueilli et en échange il nous donne un coup de main.

 

Eh bien, quelle famille !

 

- Ah mais j'oubliais, reprend-elle, ça ne va pas être possible, puisque tu as décidé de ne pas rester.

- Euh, tout compte fait, je vais peut-être rester un peu…

- Je l'aurais pariée ! Dit-elle en se levant du lit. Je vais aller faire pipi, tu viens avec moi ?

 

Je la suis, je suppose qu'elle va me proposer de la regarder pisser, si c'est ça je ne vais pas dire non ! C'était bien ça !

 

Elle s'assoit sur la cuvette de façon à ce que je puisse bien voir… Effectivement un jet impressionnant ne tarde pas à jaillir, et mon sexe recommence à gonfler.

 

- Ça t'excite, hein de voir une femme qui pisse !

- J'avoue !

- Oh ! Je crois bien que je vais faire une petite crotte, ça ne te dérange pas 

- Euh… non.

 

Elle a poussé, une petite merde est sortie de son cul. J'ai trouvé ça rigolo.

 

- La prochaine fois, je te pisserais dessus, si tu veux !

- Pourquoi pas ?

- En revanche si toi tu as envie, tu peux m'asperger, et après on prendra notre douche ensemble.

 

Je n'en reviens pas d'une telle proposition, l'uro m'amuse et je m'y suis déjà essayé avec une copine, mais là…

 

- Vous voulez-dire, vous voudriez que… que…

- Bon écoute, tu vas peut-être arrêter le vouvoiement… allez pisse ! Pisse-moi dessus…

 

Gros effort de concentration mais ça finit par venir. Le jet atterrit sur son ventre, je le dirige mieux de façon à arroser ses seins. Elle ouvre la bouche, j'ai compris le message, je vise et elle en avale une bonne rasade.

 

- Humm, ça m'excite ce truc-là, dit-elle en agitant frénétiquement deux doigts contre son clitoris.

 

Je ne sais pas trop quoi faire, il y cinq minutes, elle me disait qu'il était encore trop sensible…

 

- Viens lécher !

 

OK, me revoilà entre ses cuisses, tout cela sent l'urine mais ça ne me dérange pas, je la lèche consciencieusement, c'est bien plus long que la première fois, à ce point que je commence avoir des crampes à la mâchoire… Mais son orgasme est aussi plus fort. Elle pousse un cri de furie en se tétanisant sur le siège de la toilette, c'en est impressionnant.

 

- Maintenant une vraie douche, tu vas me savonner, j'adore qu'on me savonne…

 

Ben voyons !

 

On est resté je ne sais combien de temps sous la douche, je l'ai caressé sous toutes les coutures, introduisant à sa demande mes doigts partout. Elle, de son côté n'était pas en reste, me tirant sur mes piercings, me branlant, me titillant les testicules et me doigtant le trou du cul. Elle finit par s'agenouiller entre mes cuisses et me faire jouir dans sa bouche… et là au lieu de recracher elle voulut m'embrasser… drôle d'impression…

 

René, son mari et son neveu Dominique, sont rentrés un peu avant midi. Brèves présentations, ces messieurs sont sympathiques et joviaux, René, la bonne quarantaine, sportif et beau garçon, Dominique, fluet, légèrement efféminé, très souriant.

 

Je ne suis pas fou, je me doute bien que Florence a parlé aux deux lascars de ce que nous avons fait ensemble ainsi que de ses propositions, mais pendant le repas pris ensemble, le sujet n'est pas abordé. J'ai bien mangé et la conversation était intéressante, ces gens-là sont vraiment sympathiques, intéressants et intelligents. Décidemment, je crois bien que je vais rester.

 

L'après-midi, Florence et René étaient occupés, ils ont suggéré à Dominique de m'emmener jusqu'à une fromagerie située à quelques kilomètres, prétexte à faire une bonne balade. Va-t-il en profiter pour essayer de me draguer ? Suspense… mais je décide de jouer le jeu. En fait il passe son temps à me raconter des tas d'anecdotes sur les lieux que nous apercevons, le mec est vraiment captivant… et puis au détour d'un chemin, il me dit qu'il a envie de pipi. Il pile, baisse son bermuda devant moi, et le voilà les fesses et la bite à l'air… il pisse en plein milieu du chemin, puis virevolte en se tripotant son engin, il me fait un clin d'œil et voilà que je bande… et qu'il s'en aperçoit.

 

- Si tu veux me caresser, je ne dis pas non, mais si tu ne veux pas, on n'en parle plus, je ne serais pas fâché. Me dit-il.

 

Mais déjà une force invisible a porté ma main sur ses fesses que je caresse…

 

- C'est doux, hein ! Caresse ma bite !

 

J'avais dit que je jouais le jeu, alors je le joue, je prends sa queue dans les mains et la masturbe un peu, elle est magnifique cette bite, bien droite, bien blanche avec une grosse veine, et un joli gland violacé et brillant d'excitation. J'ai vraiment envie de la sucer… je ne sais pas encore si je vais attendre qu'il me le demande ou si je vais prendre l'initiative.

 

- Florence t'as dit que mon truc c'était de m'habiller en femme ? M'indique Dominique

- Oui ! 

- Si tu veux je te montrerais, ce soir, tu veux ?

- Oui, bien sûr.

- Comme ça tu pourras me prendre, et pendant ce temps-là René t'enculera bien comme il faut. Il fait ça divinement, et il a une si belle bite ! J'y suis accro.

 

Ok, ça c'est le programme de ce soir, mais là pour l'instant on fait quoi ?

 

- Quand je suis en fille, je suis plutôt passive, quand je suis en garçon, je suis plutôt actif… Tu ne veux pas me sucer ?

 

Je ne réponds même pas, j'ai déjà sa queue dans la bouche. Ce n'est pas vraiment une première, mais je n'ai pas fait ça souvent… et là je me régale, le lèche, je suce, j'aspire.

 

- Arrête, v'la du monde !

 

Merde, c'est vrai en plus, un couple de randonneurs, ils ne nous ont sûrement pas vu, mais ils s'approchent par le chemin en lacet.

 

- Viens, je connais un coin où on sera peinard… allez viens, je suis frustré, je n'ai même pas vu ta queue.

 

On marche encore une demi-heure avant d'arriver devant une baraque en bois. Je crois l'endroit abandonnée, mais Dominique frappe à la porte et un sexagénaire barbu vient nous ouvrir.

 

- Bonjour, père Michel, je te présente Thibault, on voulait faire des choses ensemble, mais il y a des randonneurs… alors je me suis dit qu'ici on serait tranquille, et puis ça va te faire un spectacle.

- Entrez, je vais voir si j'ai un drap propre pour mettre sur le lit… vous voulez une bière ?

- Non après peut-être tout à l'heure, à moins que Thibault en veuille une…

- Non, non…

 

Le père Michel a la grande bonté d'actionner un spray de déodorisant. Il y en avait besoin. Sinon c'est un peu le bordel cette baraque, rien n'est rangé et le dernier ménage ne doit pas être récent. Je suis quand même un peu gêné et dès que le père Michel a le dos tourné, je le dis à mon compagnon :

 

- On ne va quand même pas faire ça ici devant lui ?

- T'inquiète pas, il est super cool, le père Michel… Allez enlève moi tout ça…

 

Je rêve ! Mais j'avais bien dis que je jouerais le jeu, me voilà à poil ce qui provoque un sifflement d'approbation du père Michel.

 

- Il est bien mignon ton copain, une belle bite comme je les aime…

 

Le père Michel se met à poil à son tour, ça ne me plait pas trop, mais il finit par s'assoir, gardant juste un string féminin rouge vif, complètement incongru, par lequel il fait dépasser son sexe par le côté.

 

Prenez une serviette propre, dans le bas de l'armoire, je ne trouve pas de drap ! Nous indique-t-il.

 

Nous voilà, Dominique et moi à genoux, l'un en face de l'autre sur le plumard. Il me tripote la bite et j'en fais autant avec la sienne qui grossit à vue d'œil.

 

- Allez suce, fait la bien bander !

 

Je ne me le fais pas dire deux fois, et me voilà de nouveau avec ce bel organe dans ma bouche. Cette fois je peux y aller sans appréhension, personne ne nous dérangera… je jette un coup d'œil en direction du père Michel, il se masturbe mollement et se tortille les tétons en ne ratant rien du spectacle. 

 

La bite de Dominique est bientôt raide comme un saucisson sec, je prends du recul, le gland dont la couleur tire sur le violet et qui luit à la lumière est magnifique, je l'embouche de nouveau et fait danser ma langue.

 

- C'est bon, je vais t'enculer, me dit Dominique, tourne-toi !

 

Je n'hésite même pas ! Me voilà en levrette tandis mon partenaire me lèche le fion en me complimentant :

 

- Humm, il est bon ton cul !

 

Je ne sais pas s'il est bon, mais ce qu'il me fait est tout à fait émoustillant, un doigt vient bientôt remplacer sa langue… puis un petit break, le temps qu'il s'encapote, il s'approche, me demande de l'aider en poussant, ce que je fais, il s'y reprend à plusieurs fois et finit par entrer.

 

- Tu la sens, ma bite ?

- Oui, vas-y encule-moi !

 

C'est le branle-bas de combat dans mon cul, ça va et ça vient et ça me fait un bien fou… Il est déchaîné le Dominique, le vieux sommier fait un bruit d'enfer… il finit par jouir en s'écroulant sur moi. Il décule me laissant avec le cul ouvert, drôle d'impression, manque d'habitude, peut-être… Je suppose qu'on va invertir les rôles, mais…

 

- Si tu enculais le père Michel, ça lui ferait plaisir ! Me suggère Dominique.

 

Le vieux sans attendre de réponse s'est déjà mis en levrette à même le sol de sa baraque.

 

On m'aurait proposé ce scénario il y a un quart d'heure, j'aurais carrément refusé, mais là ce doit être l'excitation, je m'enfile la capote que me tend Dominique, me positionne derrière l'ermite et le pénètre avec une facilité déconcertante. Je bouge un peu, essaie de ne pas partir trop vite, mais l'excitation est trop forte, je ne me contrôle plus et finit par décharger en poussant un rauquement de plaisir.

 

Il me félicite, me dit que je l'ai bien enculé, Dominique lui propose de le sucer mais il dit préférer se branler quand nous serons partis. Il nous offre de la bière, elle est tiède, mais ça désaltère quand même, puis se met à nous raconter ses souvenirs… des histoires d'aires d'autoroutes, car il avait été chauffeur routier, des bites qu'il suçait à la chaine, des partouzes dans les toilettes.

 

- Dés fois je me changeais en fille dans ma cabine, j'avais une petite robe, une perruque, je me maquillais, je me faisais appeler Micheline, j'avais du succès, maintenant je ne peux plus me travestir, le physique ne suit plus, on ne peut pas être et avoir été….

 

On finit par partir, on lui promet de revenir dans quelques jours. 

 

- Comment t'as connu ce vieux ? Demandais-je.

- C'est un type qui a hérité d'un bout de terrain, il s'est construit sa baraque dessus, il se débrouille… Un jour je me baladais, et un gros orage est dégringolé, je lui ai demandé de m'abriter. Il m'a offert une bière, on a papoté, et puis je me suis aperçu qu'il avait dans un coin quelques revues pornos avec des transsexuelles… le reste s'est fait tout seul…, il m'a sucé, je l'ai enculé… je l'aime bien, il est sympa ! 

 

- Bon, on va voir Claudine ! M'informe-t-il

- C'est qui, ça Claudine ?

- Ben c'est la nana qui fait des fromages. Tu vas voir, tu ne devrais pas être déçu ! Me confie Dominique.

- Ah, ah ! Et pourquoi donc ?

- Surprise, fais-moi confiance. Bon allons-y, il y a une heure de marche, je suis un peu crevé.

 

Claudine a de jolis cheveux auburn, coupés assez courts, elle doit avoir la quarantaine, une robuste femme aux formes bien affirmées, son visage à un côté "Belle des champs" qui lui va très bien, de beaux yeux bleus aussi. Elle salue Dominique en l'embrassant avec bonne humeur.

 

- C'est Thibault ! Me présente-t-il. Il est aussi cochon que moi !

 

En voilà une façon de me présenter, je deviens rouge de confusion.

 

- Alors on se fait la bise ! Embraye la fromagère. Je suis un peu débordée, mais entrez cinq minutes…

 

Elle nous propose du café et nous fait entrer dans la partie privée de son corps de ferme, puis nous laisse quelques instants, histoire de faire bouillir la cafetière.

 

- Tu vas voir, elle est super sympa ! Me dit Dominique

- Oui ça a l'air !

 

Claudine revient avec le café, nous le sert.

 

- Alors comme ça, vous êtes aussi cochon que Dominique, c'est vrai ça ? M'apostrophe-t-elle

- Je ne suis pas cochon, j'aime les plaisirs de la vie ! Parvins-je à balbutier.

- Vous avez bien raison ! Répond-elle.

 

Puis elle s'approche de Dominique, et lui met sa main sur la braguette.

 

- Et ça c'est en forme aujourd'hui ? 

- En pleine forme ! Tu peux lui faire prendre l'air si tu veux ?

- Je te dis, je n'ai pas beaucoup de temps… et puis, je ne voudrais pas gêner ton ami !

- Ça ne le gênera pas du tout, il la connait ma bite, il la même déjà sucé ! N'est-ce pas Thibault ?

 

Je réponds par un sourire niais, que la marchande de fromage doit prendre pour un signe d'encouragement car voici la bite de Dominique de nouveau sortie de sa braguette.

 

- Toujours aussi mignonne, cette quéquette ! Commente-t-elle en la masturbant un petit peu.

 

Puis, elle la porte à sa bouche et se met à la sucer ! Pour ma part je bande comme un dingue et me tripote l'entre jambe d'un air faussement négligé ! J'aimerais bien qu'elle s'occupe aussi de moi, j'aimerais bien la voir un peu déshabillée, la fromagère… j'aimerais bien un tas de choses.

 

Claudine fait une petite pause et tout en caressant les couilles de Dominique, elle me demande :

 

- Alors comme ça, toi aussi tu aimes bien sucer des bites ?

- Ben c'est un peu nouveau, mais j'avoue que ce n'est pas désagréable !

- Et tu t'es déjà fait enculer aussi ?

- Oui ! C'est tout récent d'ailleurs !

- Oh, ça m'excite de faire des trucs avec des mecs qui s'enculent… dommage que j'ai pas trop de temps… suce-le un peu pour me montrer comment tu fais.

 

Ok, je reprends dans ma bouche la bite de Dominique, je vais finir par la connaître par cœur, mais c'est vrai que je ne m'en lasse pas. Pendant ce temps-là fromagère a ôté sa blouse, enlevé son pantalon et retiré sa culotte. Mais elle ne va pas plus loin. Elle a une touffe de poils impressionnante, et je suis en train de me demander si je peux pendre l'initiative d'y aller voir de plus près… mais elle ne me laisse pas ce temps…elle se couche en deux sur la table, le cul offert. Le cul ! Qu'il est beau son cul ! Je bande comme un malade.

 

- Allez, Dominique ! Bourre-moi le cul !

- Directement !

- Oui, directement, un bon petit coup vite fait, après je retourne au travail… tu aurais dû me téléphoner au lieu de te pointer comme ça, on se serait organisé… Aïe ! Oh, oui vas-y enfonce moi bien ta bite, je la sens bien, allez encule-moi, c'est bon !

 

Il y met une telle énergie que la table avance toute seule. J'ai sorti ma bite mais je ne sais pas trop quoi en faire, me faire sucer en même temps est impossible dans la position qu'ils ont adoptée.

 

Claudine s'efforce d'étouffer ses cris de plaisir, son visage se congestionne, elle serre les dents. Dominique finit par jouir dans un râle et décule.

 

- Tu veux la sienne ? demande-t-il

- Oui, viens vite !

 

Proposition inespérée, je m'encapote (si ça continue comme ça on va épuiser tout le stock de Dominique) et pénètre dans le trou béant. Je la laboure en fermant les yeux, je suis dans un autre monde, je dois accélérer le mouvement pour qu'elle reprenne ses râles, ça marche, mais je sens que je vais partir trop vite, je finis par jouir en m'écroulant sur elle.

 

Elle se rhabille aussi sec, elle est radieuse.

 

- Buvez-vite votre café, il doit être froid… la prochaine fois appelez-moi, on prendra notre temps et on fera des tas de trucs… vous serez mes petits esclaves… d'accord !

- D'accord dit Dominique en me faisant un coup d'œil complice. Euh… Florence nous a demandé de rapporter un peu de fromage, tu nous fais un assortiment… avec de la Fourme…

 

- Tu as entrepris de me faire faire le tour des toutes les coquines et de tous les coquins du coin ? Plaisantais-je sur le chemin du retour.

- Hélas, le tour est fini ! S'il y en a d'autres, ils se cachent… Claudine n'est pas comme ça avec tout le monde, c'est une amie de Florence, elles se voient de temps en temps et elles se font des trucs, évidemment elle m'a présenté…

 

Bisex2803.jpgPour le repas du soir, Dominique a décidé de s'habiller en fille, le résultat est impressionnant, le visage est très bien maquillé sous une petite perruque blonde frisée, il s'est mis un chemisier bleu, recouvrant un soutien-gorge garni de faux seins. Mini-jupe, porte-jarretelles, bas noirs et escarpins complètent la tenue.

 

Dominique s'est assis à côté de René et moi à côté de Florence. Celle-ci nous a mitonnés un excellent cassoulet, hélas arrosé d'une pauvre piquette. La conversation est enjouée, mais très curieusement n'aborde pas le sexe. Ce n'est pas à moi de démarrer le sujet, j'attends, donc.

 

Arrive le fromage…

 

- Alors les jeunes, vous avez été dire un petit bonjour à Claudine ? Lance René.

- Elle était pressée, mais on l'a baisée quand même ! Répond Dominique

- Tous les deux ?

- Tous les deux ! Reprend-il. On lui a bien ramoné son petit trou à la coquine.

- Hum, tu m'excites quand tu parles comme ça ! Répond René qui attirant le travesti, entreprend de lui rouler une pelle.

- Je suis jalouse ! Me dit Florence qui m'embrasse à son tour tout en me mettant sa main sur la braguette. Et me voilà en train de bander…

 

Elle me demande de me lever de ma chaise, je m'exécute.

 

- Tu fais quoi, Florence ? Demande René.

- Je vais libérer le sexe de ce jeune homme, sinon, il va exploser…

- Ah ! Je te reconnais bien là, toujours prête à rendre service.

 

La maîtresse de maison est passée derrière moi, m'a dégrafé ma ceinture, baissé mon pantalon et mon slip, m'exhibant ainsi devant tout le monde. Elle m'enlève ensuite mon tee-shirt et se met à tirer sur les piercings de mes seins. Du coup, je me pâme et je bande un maximum.

 

- Oh, la belle quéquette ! S'exclame René, il faut absolument que j'y goûte !

- Attends, tu n'as pas tout vu ! Thibault tourne-toi et montre tes petites fesses à mon mari ! Ajoute Claudine.

 

Je me tourne et jouant le jeu à fond, je me mets à tortiller du cul.

 

- Mais c'est une véritable provocation, que ce petit cul là ! Clame René. Approche-toi de moi… ou plutôt non, tu vas passer sous la table et tu vas venir me sucer ! Tu veux bien ?

- Bien sûr !

 

J'obtempère, en fait je suis super excité par la situation, et par le fait de sucer ma deuxième bite de la journée. Je pensais trouver sa queue déjà dégagée… mais non, c'est à moi de faire tout le boulot, la procédure doit l'amuser. Donc OK, je dézippe la braguette, entre ma main là-dedans, sens la grosse bosse de sa bite bandée, caresse un peu tout ça, essaie de l'extraire, mais m'y prend comme un pied. Alors je change de tactique, je dégrafe la ceinture, écarte tout ça, dégage le haut du slip que je peux à présent descendre… et libère popaul qui se redresse fièrement. Une jolie queue, je la masturbe un petit peu, lui fait quelques bisous affectueux, puis je commence à sucer.

 

- Oh, mais c'est qu'il suce bien, ce petit minet ! Commente René.

- Et nous on fait quoi ? Demande Florence !

- Mais tu fais ce que tu veux, ma chère, pourquoi tu ne suces pas Dominique ? Elle est superbe, ce soir.

- J'y pense très sérieusement, mais on a le temps, il n'y a rien à la télé ce soir…

- Remarque si tu ne fais rien d'autre, tu pourrais peut-être aller chercher des capotes, car je crois que je ne vais pas tarder à enculer ce jeune homme… Sors de là-dessous, Thibault, on va faire une pause. Tu m'as bien sucé, alors dis-moi, ça te dirais que je t'encule ?

- Bien sûr !

- On va faire ça… on va faire ça là, par terre, vas-y met toi en levrette et écarte les fesses, j'arrive.

 

Encore une fois j'obtempère, finalement j'aime bien la passivité… 

 

- Hum, c'est serré tout ça… Commente Monsieur René.

- Un peu, oui, mais ça va aller, ce matin je lui ai foutu un bon gode dans le cul, il en redemandait, ce petit cochon, pas vrai Thibault ?

- Oui, c'est vrai ! Confirmais-je en entrant dans leur jeu.

 

Pour l'instant René est en train de me lubrifier le trou en me le léchant avec frénésie, et j'avoue que ses mouvements de langues sont très agréables. Dominique a enlevé sa petite jupe et est venu se positionner devant moi, bite à l'air déjà bien tendue. J'ai compris le message, et la mets dans ma bouche alors que pratiquement au même moment la bite de mon hôte pénètre dans mon étroit conduit. Quelle sensation, me voilà occupé avec deux bites l'une dans la bouche, l'autre dans le cul, et je n'ai ni à me forcer ni à me mentir pour me dire que j'aime ça. 

 

René me fait ça très bien, il est moins "brutal" que Dominique et sait se tempérer. Quant à Florence, elle nous a rejoint, elle se met sur le dos, rampe afin de venir sous moi et se met à me tripoter les tétons en tirant sur les piercings. Je bande comme un mulet et je sens que je ne vais pas tarder à éclater, même sans qu'on me touche la queue.

 

- On change ? Propose René à Dominique.

 

Ce dernier s'encapote et viens à son tour me prendre le cul, tandis que René me présente sa bite. J'ai un mouvement de recul, pourquoi n'a-t-il pas retiré la capote ? certes elle n'est pas vraiment sale, mais elle n'est pas non plus clean et puis elle sent mon odeur intime. L'autre n'est pas un sauvage, il a compris.

 

- Tu préfères que je la retire ? Me propose-t-il.

 

J'apprécie son tact, du coup j'ai envie de lui faire plaisir.

 

- On va essayer comme ça ! Répondis-je en embouchant la bite qui venait de m'enculer.

 

Effectivement pas la peine d'en faire un plat, et c'est le gout du latex qui domine. Dominique me pilonne derrière de plus en plus vite, je comprends qu'il va décharger… effectivement. Du coup René se replace derrière et s'agite de nouveau dans mon cul jusqu'à ce qu'il jouisse. J'ai un peu mal au cul, mais surtout j'aimerais bien jouir à mon tour. Je commence à me branler tandis que tout le monde se relève, René me donne une petite tape amicale sur les fesses.

 

- Alors c'était comment ?

- Super !

- Ça te dirait de m'enculer à ton tour ?

 

Demande complètement imprévue, mais pourquoi pas. Il se plie en deux sur la table, écarte ses globes fessiers, attendant ma bite. De l'autre côté, Florence utilise tout son savoir-faire pour faire rebander Dominique. Quelle vitalité celui-ci !

 

- Vas-y encule moi bien ! Me dit René

 

Je comprends que les mots l'excitent, je joue le jeu :

 

- Tu la sens bien dans ton cul, ma bite, hein ?

- Hummm… J'adore me faire enculer devant ma femme…

 

Je ne tarde pas à jouir et après avoir déculé, je m'affale sur une chaise, regardant d'un œil envieux Florence les cuisses écartés, la chatte dégoulinante de mouille....

 

Mais voici qu'entre un intrus, c'est Javert, un paisible labrador beige sans doute attiré par l'odeur de stupre qui règne dans la pièce... Il se dirige directement entre les cuisses de sa maîtresse et se met à la lécher. Loin de le repousser Florence l'encourage.

 

- Ben mon toutou ! Toi aussi tu as envie de faire des chose coquines ! Vas-y lèche bien ta maîtresse et après je m'occuperai de ta bite.

 

Ses propos n'ont l'air de choquer personne. La situation me fait rebander...

 

Et effectivement après que le chien eut bien lécher la maîtresse de maison, celle-ci coucha l'animal sur le flan pour avoir accès à son sexe qu'elle emboucha avec gourmandise.

 

C'est alors que Dominique vint la rejoindre pour participer à cette fellation bestiale.

 

 

Quelle famille !

 

©Enzo Cagliari mars 2010

 

(à suivre)

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:49

Ma tante et ma voisine
2 - Le jouet de deux femmes matures

par Enzo Cagliari

 

culmat

Texte comprenant des passages scato explicites

 

Bonjour, vous vous souvenez peut-être de moi, Pierre, jeune, brun, grand, fin… et très intéressé par tout ce qui touche au sexe, et plus particulièrement par les femmes mures… 


Je vous ai donc narré, il y a quelques temps dans une histoire intitulée " juste un peu de Chantilly " mes aventures avec ma tante Yvette et ma voisine Béatrice… 


L'après-midi nous avons mangé le gâteau ensemble mais ses dames étant fatiguées, nous n'avions rien fait d'autre. 


Quelques semaines après ces événements, je recevais un coup de fil de ma tante, j'étais ravi, m'imaginant déjà qu'elle allait me proposer une autre séance de folie sexuelle comme je les adore… Mais il ne s'agissait pas du tout de ça : 


- Pierre, tu pourrais me rendre un petit service ? 

- Mais bien sûr, ma tante… 


Déception ! Elle souhaitait en fait, que je lui enregistre un film à la télé… 


Le samedi suivant, je téléphonais à mon tour. 


- Allô, ma tante, je t'ai enregistré ce que tu m'as demandé, si tu veux, je t'apporte le DVD en fin d'après-midi. 

- C'est gentil, mais je ne sais pas si on sera rentré, mais ça ne fait rien, tu le laisseras dans la boite… 


Pourquoi avait-elle dit " on " ? Peut-être s'était-elle dénichée un copain. Quelque part cette idée m'embêtait, car si c'était le cas, cela voulait sans doute dire que nous n'aurions pas de sitôt l'occasion de nous amuser comme la fois précédente… 


Vers 18 heures je me rendis donc au domicile de ma tante Yvette. Personne ! J'attendais patiemment, un quart d'heure… une demi-heure… au bout de trois quarts d'heures, un peu dépité, je déposais le DVD dans la boite aux lettres et m'apprêtait à prendre le chemin du retour… 


Un coup de klaxon ! La voiture de ma tante qui stationne. Les portières s'ouvrent. Elle n'est pas seule, elle est avec ma voisine Béatrice ! Alors ça pour une surprise ! 


(Sans doute est-il temps maintenant de vous décrire de nouveau ces deux belles personnes : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 


- Pierre ! Comment vas-tu ? Tu tombes bien, tu vas nous aider à porter les paquets ! 


Je me retrouve avec plein de sacs dans les mains, on monte à l'appartement. 


- On revient du salon de la lingerie, on a acheté plein de trucs ! Me dit tante Yvette. Béa s'est trouvé un petit ensemble, c'est très sexy, ça devrait te plaire, tu veux voir ? 

- Oui, bien sûr 

- Montre lui, Béa… 


Béa ouvre un paquet et me montre un petit ensemble rouge, ça a l'air mignon mais comme ça, non porté, ça ne m'émeut pas plus que ça ! 


- Mais non Béa, montre-lui sur toi ! 

- Ça me paraît une excellente idée ! Répond cette dernière qui s'empare du paquet et s'en va dans une pièce voisine afin de se changer… 


Ma tante s'éclipse aussi mais vers la cuisine, afin d'aller chercher des rafraîchissements. Je reste seul un instant, assez confiant sur la suite des événements. Puis tandis qu'Yvette revient avec de la bière et des jus de fruit, Béa fait sa réapparition. Une merveille, ce petit ensemble soutien-gorge et string se marie magnifiquement avec sa belle peau bronzée ; elle pivote un peu afin de me faire admirer le verso, ses jolies fesses me provoquent littéralement. 


- Alors qu'est-ce que tu en penses Pierre ? 

- Superbe ! 

- On va vérifier s'il ne dit pas cela pour te faire plaisir ! Dit alors ma tante en s'approchant de moi et en me mettant alors sa main à la braguette. 


Je me laisse faire. Je bande comme un sapeur. 


- Ben dit donc, on dirait que tu lui as fait de l'effet ! Reprend ma tante à l'attention de son amie. 

- Attend, que je me rende compte… 


C'est maintenant ma voisine qui me tripote, sauf que son mouvement sur ma braguette est beaucoup plus explicite, elle me masturbe carrément à travers le tissu du pantalon. 


- On va sortir tout ça, sinon il va attraper un coup de chaud ! Reprend en plaisantant ma voisine, qui joignant le geste à la parole a déjà descendu la fermeture éclair… 


Puis la voilà qui farfouille, je sens maintenir sa main au-dessus du caleçon, l'exploration se poursuit et finalement elle me dégage tout, me voici le zizi à l'air devant ces deux si désirables femmes matures. 


- Embrasse-lui les fesses ! Me dit alors Yvette, tu en meurs d'envie ! 


Il n'y a pas que cela dont je meurs d'envie, mais évidemment je ne refuse pas l'invitation et pose mes lèvres sur la douce peau de ma tendre voisine. 


- Et toi tu n'essayes rien ? Lance Béa à sa complice. 

- Si, si bien sûr ! 


A son tour elle s'éclipse avec un paquet. Et pendant ce temps Béa me demande de me déshabiller complètement, et en attendant le retour de son amie, elle s'amuse un petit peu avec mon zizi. 


Et voilà ma tante Yvette qui revient ! Whaouuuu ! L'apparition ! Elle est carrément à poil, juste revêtue d'une nuisette rose, mais d'un rose transparent dont le tissu lui colle sur ces tétons turgescents ! C'est trop bandant comme spectacle, je vais finir par exploser. 


- Tourne toi, il va t'embrasser le cul ! Dit alors Béa. 


Je fais ce qu'on me dit, mais voici que ma tante écarte ses globes fessiers dévoilant ainsi son petit œillet brun et plissé. 


- Met-moi ta langue dans le trou du cul. 


Je lèche donc l'anus de ma tante et me régale de son odeur très particulière ! Béa m'encourage… 


- Tu aimes ça, petit cochon, lécher le trou du cul merdeux de ta tante, ça t'excite, hein ! Allez met lui bien ta langue au fond à cette salope ! Je suis sûre que tu aimerais bien l'enculer ta tante Yvette ? 

- Ben... 

- Ben, oui ou non 

- Je ne vais pas dire non ! 

- Ouais, un, jour peut-être... Qu'est-ce que tu en penses Yvette ? 

- Hum… Au fait puisqu'on est dans les essayages, si on ouvrait les paquets de "la petite boutique" ? 


En disant cela Yvette s'est relevée tandis que Béa farfouille dans les emballages. 


- Voilà c'est là, le paquet rouge c'est le mien, le paquet rose c'est le tiens ! Tu vois Pierre, au salon, il y avait quelques exposants très coquins qui avaient aussi autre chose que de la lingerie. ! 


C'est Béa qui ouvre la première boite, elle contient deux godes, l'un d'assez bonne taille et un autre légèrement plus petit. Ils sont très beaux, en matière plastique souple imitant parfaitement la forme d'un phallus dont il ne manque même pas que les grosses veines violacées. 


- Humm… deux bites, ça me plairait bien dit-elle tout en portant le plus gros gode à sa bouche et en le léchant de larges coups de langue vicieuse. 


Puis brusquement elle se le fourre dans le vagin et commence à se pilonner avec, toujours en restant debout. 


- Pas pratique cette position, si on allait dans ta chambre, Yvette ? 

mature-012.jpg 

Ma tante étant (bien sûr) d'accord ; on change tous de pièce… Béa se précipite alors sur le lit, et se replace illico le gode dans sa chatte trempée dans laquelle il rentre avec une facilité déconcertante, elle se masturbe un peu avec, puis se retourne, se place à quatre pattes et m'exhibe ses belles fesses, mais tout en continuant à se donner du plaisir. 


- Yvette, soit gentille, fous-moi l'autre gode, le plus petit, dans le trou du cul. 


Ma tante s'approche alors de l'anus de ma voisine et lui plante l'instrument là où elle le souhaitait. 


- Ça va comme ça ? 

- Oui, fais-le bouger un peu... oh là là, je suis trop excitée, je sens que je vais jouir, surtout n'arrête pas, c'est trop bon. 


Quel magnifique spectacle de ces deux belles femmes matures qui se donnent en spectacle devant moi ! J'ai bien sûr la queue toute raide, j'interviendrais bien d'une façon ou d'une autre mais je n'ose pas prendre d'initiative. 


- Accélère, je sens que ça vient ! Dit alors Béa, d'une drôle de voix... Oui comme ça, comme ça, Ah oui c'est bon, c'est bon, c'est bon... c'est trop bon ! 


Elle s'écroule sur le lit, son entrejambe dégouline de mouille. 


- Tu m'as bien fait jouir, viens que je t'embrasse ! 


Les deux femmes s'embrassent en un long baiser baveux, je me demande du coup si je ne suis pas de trop... 


Les deux godes sont à côtés d'elles, celui qui était dans le cul de Béa est tachée de merde.


- Tiens suce-le, nettoie-le ! Me demande cette dernière.

- Euh !

- Ben quoi tu ne veux pas gouter au jus de mon cul ?

- Si, si !


Et me voilà en train de sucer le gode.


- Hum tu as vu comme il suce bien ! Fait remarque Béa à son ami.

- Tu as déjà sucé une vrai bite ! Me demande ma tante Yvette.

- Euh, oui, un concours de circonstance…

- Raconte !

- C'est tout bête j'étais dans un sous-sol de sex-shop à Paris, où il y a des cabines avec des films. Je passe devant une cabine non fermée, deux vieux se branlaient mutuellement, ils avaient de très belle bites bien bandées, j'étais fasciné. Il m'ont proposé de m'approcher, puis ça é été un enchainement, je les ai sucés tous les deux.

- Ça t'as plu ?

- Oui !

- T'as recommencé !

- Un peu !

- La prochaine fois qu'on se verra, on te présentera un ami, tu verras, il a une belle bite…

- C'est comme vous voulez !

- T'as vu comme il bande quand il nous raconte ses histoires de pédé ! Fait remarquer Béa

- Quel dommage tous ces poils ! Reprend ma tante Yvette 

- Ben oui, déjà la dernière fois on a été obligé de te raser... ça repousse trop vite ! 

- Allez Pierre ! File dans la salle de bain, on va te raser tout ça.... 


J'y vais, ça ne me dérange pas qu'elles me rasent, j'aime bien qu'on s'occupe de moi... Béa me suit, puis s'amuse à me caresser ma quéquette. Ma tante nous rejoint deux ou trois minutes plus tard, elle s'est harnachée avec le tout nouveau gode ceinture qu'elle a acheté au salon de la lingerie... 


- Tu as besoin d'un gode pour le raser ? S'amuse Béa ! 

- C'est pour après, j'aime bien enculer un beau petit cul bien lisse. 

- T'es vraiment une belle cochonne 

- Je sais, je sais, mais toi aussi répondit ma tante. 


Et tout en disant cela elle m'aspergea le sexe de mousse à raser, elle me fit ensuite asseoir sur le rebord de la baignoire et commença à me raser. Je me laissais faire m'abandonnant à ce curieux traitement avec délice. Ce fut assez long car il fallut plusieurs fois changer de rasoir et remettre de la mousse. A la fin elle me plaça une petite compresse d'eau chaude, puis termina par un peu d'after-shave " spécial ladie" Les deux femmes portaient des propos flatteurs sur mon pénis tout glabre, c'est vrai que le résultat n'était pas mal. Je croyais qu'on en avait terminé à ce genre de chose et qu'on pourrait passer à d'autres divertissements, mais c'est que ma tante Yvette a plus d'un tour dans son sac. 


- Tourne-toi, maintenant on va te raser les poils du cul ! Penche-toi, tiens-toi avec les mains sur le rebord de la baignoire et ne bouge plus 


J'offris donc mon postérieur aux doigts de ma tante qui le rasa donc de la même façon que mon pénis. C'est la phase finale qui fut un peu différente, car au lieu et place de l'après rasage, je sentis une sorte de gel me rafraîchir l'anus, puis l'extrémité du gode ceinture se mit à pousser. J'écartais alors les fesses pour faciliter l'introduction, et l'engin put entrer confortablement. Yvette put ainsi me pilonner et entama une série d'allers et retour qui me provoquèrent un plaisir à la fois trouble et intense, sous les quolibets de Béatrice ! 


- Ça t'excite, hein, d'enculer ton neveu ! T'es vraiment une salope ! 


Et tout en disant cela elle passa derrière elle et lui pinça le bout des seins, provoquant des petits cris de ma tante Yvette. 


- Et toi Pierre, ça te fait quoi de te faire enculer par ta tante ! 

- C'est trop bon ! 

- Quelle bande de pervers ! 


Béa réussi à se faufiler dans l'étroit espace entre mes jambes et le bord de la baignoire et commença à me branler la queue. Je ne vous dis pas la sensation de sentir le plaisir à la fois par-devant et par derrière. J'allais prévenir les deux femmes que je ne tiendrais plus longtemps, mais il était déjà trop tard, je déchargeais une longue giclée sur le visage de ma voisine… 


- Espèce de cochon, ça mérite un gage, ça ! Dit alors ma tante ! 

- Qu'est-ce qu'on va lui faire ? 

- Viens, on va dans la cuisine ! 


Décidément j'aurais fait toutes les pièces dans cette maison. 


Ma tante choisit alors dans une corbeille de fruits une banane pas trop mûre. Elle ne l'éplucha qu'à moitié, puis s'assit sur une chaise, cuisses écartées et se l'introduit dans le trou du cul. 


- Faut que je me fasse jouir ! Précisa-t-elle, je suis trop excitée 


Et tandis qu'elle se branlait avec la banane, Béa passa derrière elle. Les visages des deux femmes se rencontrèrent et elles échangèrent un long baiser vicieux, bien sûr ma voisine en profitait pour peloter les seins de ma tante…, 


- Si tu veux une banane aussi, n'hésite pas ! 

- Je crois que je vais effectivement t'accompagner répondit Béatrice, mais Pierre il va faire quoi, on pourrait peut-être lui demander de se fourrer une banane dans le cul ? 

- Pour l'instant il regarde, je lui réserve une petite surprise…. Oh là, là, ça fait du bien de se branler ! Oh, je ne vais pas tarder à venir. 


Elle ressortit la banane pour en descendre un peu plus l'épluchure afin de pouvoir en entrer davantage dans son anus, ses yeux devinrent hagards, sa peau transpirait à grosses gouttes rendant luisante la sphère de ses seins ! Quel spectacle ! 


- Je viens, c'est bon, c'est bon ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah C'est trop bon ! 


Elle poussa un soupir tandis que sur l'autre chaise, les yeux mi-clos Béa entamait le même genre de masturbation. 


Ma tante sortit la banane dont l'extrémité était partiellement écrasée et recouverte de sa merde. 


- Tiens Pierre, viens manger cette bonne banane ! 


Je n'hésitais même pas et consommais le fruit rempli des odeurs et des jus de ma tante Yvette. 


- C'est bien ! Pierre, tu es un gentil garçon ! Me dit-elle tandis que le cri de jouissance de Béa emplissait la pièce 


Fin

 

Enzo juin 2007 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:23

     Ma tante et ma voisine

1 - Juste un peu de chantilly

par  Enzo Cagliari

 

culmat.jpg

 Texte contenant quelques passages de scato explicite

Salut, je me prénomme Pierre, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j'ai les cheveux bruns et suis assez fin. Je suis majeur depuis plusieurs années mais j'habite toujours chez mes parents... J'aime le sexe et je fantasme sur beaucoup de choses. En matière de femmes mes préférences vont aux femmes qui sont plutôt mûres et en tous les cas plus âgées que moi... 

 

... Comme par exemple, ma tante Yvette, ou notre voisine Béa... Il se trouve que ces deux grandes et belles femmes avaient été invitées un jour chez nous à un repas de fête organisé pour l'anniversaire de mon père. Au dessert, alors que des groupes de discussions se formaient, et la boisson aidant, certains propos devenaient de plus en plus grivois. Je ne me rappelle plus suite à quelle réflexion Béa avait alors déclaré ne porter que des strings. En disant cela, elle m'avait adressé un sourire que je fis semblant de ne pas remarquer. Ce fut alors tante Yvette qui confessa à son tour qu'elle aussi, adorait être en string et que justement elle en portait un aujourd'hui absolument ravissant... Je craignis un moment que partie comme elle l'était, elle aille jusqu'à nous proposer de nous le montrer. Aussi, quelque peu gêné, je m'écartais de cette discussion... A la fin de la soirée. Béa et Yvette avaient sympathisé... mais j'ignorais alors que cette sympathie avait été très, très loin... 

 

Quant à moi, j'ai après cet événement fantasmé bien souvent sur les culottes de ces deux belles personnes... Je n'eus ensuite aucune occasion me permettant de me retrouver en tête à tête avec ma tante. Quant à ma voisine, il m'arrivait de la croiser, et dans ces moments-là, elle me faisait des yeux de biches très provocateurs, auxquels je ne répondais pas, mettant ça sur le compte de son comportement extraverti... Jusqu'au jour où... 

 

Mais, laissez-moi vous raconter... 

 

C'était en juillet, mes parents étaient partis passer trois semaines de vacances aux Baléares, et je restais seul à la maison. 

 

Nous sommes un dimanche en fin de matinée. La journée s'annonce particulièrement chaude et ensoleillée et j'avais souhaité me composer un bon petit repas en célibataire. Je m'étais ainsi préparé un appétissant gâteau à la framboise et il ne manquait plus qu'un peu de crème chantilly pour le parachever. Je cherchais donc partout la précieuse bombe, mais elle n'était nulle part, ni dans le frigo, ni dans la réserve. Bien sûr j'aurais pu aller faire un saut jusqu'au centre commercial, (et dans ce cas il n'y aurait pas eu d'histoire) mais pourquoi se fatiguer alors qu'il me suffisait d'en demander à notre adorable voisine ? 

 

La chaleur m'avait servi de prétexte pour rester nu toute la matinée (j'adore être nu) Je me revêt simplement d'un slip et d'un short, enfile des espadrilles et me pointe devant la porte extérieure en bois du pavillon jouxtant le nôtre. Je sonne et entends Béa la voisine crier : 

 

- Oui, c'est pourquoi ?

 - C'est Pierre, je voudrais vous demander un petit service ! 

- Pierre ! Entre donc ce n'est pas fermé. 

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir alors ma voisine allongée dans un transat en train de se faire bronzer. Mais, seconde surprise elle n'était pas seule, un second transat était également occupé à ses côtés. Et la charmante personne qui s'y faisait dorer était ma délicieuse tante Yvette ! La petite table était occupée par deux grands verres, un petit seau à glaçons et une bouteille de Martini. Les deux femmes prenaient ainsi l'apéritif dans la plus totale décontraction. 

 

Imaginez ma stupéfaction et mon émoi... Mais laissez-moi vous décrire ces deux coquines : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 

 

Elles sont là toutes les deux, même pas en maillot de bain, non en lingerie de "ville". En soutien-gorge et en string. Je n'en reviens pas, ces deux belles femmes un peu matures sont très attirantes avec leurs longues cuisses, leurs belles épaules dorées et surtout leurs trésors que leur lingerie dissimule à peine. J'ai du mal à contrôler mes pulsions et voilà que je bande comme un cerf ! 

 

- Heu, bonjour Béa, bonjour ma tante... je dérange peut-être ? M'excusais-je 

- Mais non, Pierre, si on t'a dit d'entrer c'est que tu ne nous déranges pas. Mais tu m'as l'air un peu troublé, ce n'est quand même pas nous qui t'intimidons à ce point ? Répond Béa 

- Je ne suis pas intimidé ! 

- Moi je crois quand même que si, mais on ne s'est pas dit bonjour ! Bonjour mon neveu, je serais passée te rendre visite cet après-midi, mais puisque tu es là, vérifions quelque chose ! Ajoute Yvette. 

 

Je me demande bien ce qu'elle souhaite vérifier. Elle se lève alors pour m'embrasser, et sa main se pose de façon très volontaire sur ma braguette ! Je ne sais plus où me mettre. Mais son audace ne dure pas et elle retourne s'allonger. 

 

- Alors, c'était bien dur ? Lui demande Béa.

 - Humm... Super dur, tu peux aller constater par toi-même ! Répond ma tante Yvette. 

- Ne soit pas timide, ça nous fait plaisir de savoir qu'on te met dans tous ces états ! Me dit alors Béa après s'être levé pour tester à son tour ma braguette. 

 

Je me laisse faire, mais la situation commence à devenir embarrassante. Manifestement ces deux-là sont super excitées, et si je n'abrège pas, elles vont me sauter dessus : 

 

- Heu, Béa, j'étais juste venu chercher de la chantilly, parce que j'ai fait un gâteau ... 

 

Ma tante ne me laisse pas terminer, elle m'entraîne dans la cuisine de son amie... 

 

- Allez viens, on va voir si Béa en a quelque part dans sa cuisine... 

 

Arrivé à l'intérieur elle s'approche et se place devant moi. Je suis pétrifié, la vue de ma tante en petite tenue, sa peau bronzée et scintillante de gouttes de respiration, sa poitrine moulée dans ce fin soutien-gorge de dentelle à quelques centimètres de mes yeux. C'en est trop ! Aussi quand Yvette entreprend de me baisser mon short, je n'oppose aucune résistance. Elle me tripote la bite à travers le fin tissu du slip, tandis que Béa contemple le spectacle d'un air très intéressé. Elle a sorti un téton d'un des bonnets de son soutien-gorge et se le pince tandis que son autre main écartant le string est en train de tripatouiller sa chatte... Si ça continue je vais éjaculer dans mon caleçon... mais après tout c'est peut-être ce qu'elles cherchent... 

 

Yvette baisse alors mon slip, continue quelques mouvements de masturbation sur ma bite tendue comme un arc de compétition, je ferme les yeux, je retiens ma respiration, je suis en train de me faire branler par ma tante, c'est la première fois que mes rêves les plus fous se concrétisent... je suis merveilleusement bien. 

Mature_Blonde05.jpg

Puis la voilà qui s'accroupit ! Je me demande si elle va vraiment oser ? Oui, elle ose, sa bouche s'approche de mon pénis, l'enserre, sa langue intervient sur mon gland. Il faut absolument que je me retienne, sinon je vais éclater... 

 

Mais alors que je sentais déjà la jouissance proche, voilà qu'elle m'abandonne, qu'elle se relève et qu'elle interpelle Béa ! 

 

- C'est vraiment dommage qu'il ait trop de poil, tu ne trouves pas ? 

- Hum.... tu as raison, mais on pourrait lui faire un petit rasage, toutes les deux ?

- Qu'est ce tu en pense, Pierre ?

- C'est que j'étais juste venu pour chercher de la chantilly ! Répondis-je un peu bêtement. 

 

A ces mots, Béa, se dirige vers son frigo en ouvre la porte, sort une bombe de chantilly et me la tend ! 

 

- La voilà ta chantilly ! Tu as donc le choix : tu peux très bien rentrer finir de décorer ton petit gâteau, t'installer pour manger et passer l'après-midi à te dire que tu as sans doute raté quelque chose. Sinon, ben tu restes un peu avec nous, et je suis sûre qu'on va s'amuser un petit moment. 

 

Que croyez-vous que je fis ? Je restais, vous l'avez deviné, et me reculottant à peine je suivi ces deux belles femmes jusqu'à la salle de bain, ma bombe de chantilly dans la main... 

 

Arrivé sur place, Bea se débarrassa de son soutien-gorge dont un seul bonnet occupait sa fonction, sa jolie poitrine dont les bouts pointaient d'excitation se balançaient au rythme de ses gestes dans un curieux ballet érotique, puis dans la foulée elle envoya valser son string. Elle était donc entièrement nue et je pouvais admirer son pubis intégralement rasé. Imaginez mon trouble ! Notre voisine s'approcha alors du dos de ma tante et lui dégrafa son propre soutien-gorge, libérant ses deux petits seins aux tétons turgescents. Puis se courbant, elle fit glisser la culotte de son amie jusqu'en bas de ses chevilles. Je m'avançais un petit peu afin d'admirer derrière, la superbe croupe ainsi libérée, et devant un sexe aussi glabre que celui de notre belle voisine 

 

Elles me firent signe de me débarrasser de mon short et de mon slip et me demandèrent de m'asseoir sur le rebord de la baignoire. 

 

Béa s'approche avec une paire de ciseaux et commence à me couper les plus grosses touffes de poils qui ornaient jusque-là mon appendice sexuel. Cette petite coupe dura bien une dizaine de minutes. 

 

Puis Yvette prend le relais et commence à m'appliquer un gant chaud sur le pubis et sur les testicules. Effet garanti ! Elle tend la main vers ce qu'elle pense être la bombe à raser mais par distraction s'empare de la bombe de chantilly 

 

Avant que j'aie le temps de lui signifier son erreur, j'ai tout mon pubis recouvert de crème chantilly. 

 

- Yvette, tu t'es trompée de mousse ! Lui fait remarquer Béa en rigolant !

 - Ce n'est pas grave, l'essentiel, c'est que ça mousse, non ? 

 

Elle me masse les testicules avec la mousse, afin dit-elle que ça s'imprègne bien. Bea excitée comme une folle se caresse le minou en nous regardant. Puis Yvette commence à me raser délicatement, elle me rince à l'eau tiède, puis applique un gant chaud et termine par une lotion après rasage "spécial ladies" ! Ça y est je suis tout lisse, elle me masturbe un peu, mon sexe reprend vite la même vigueur que tout à l'heure dans la cuisine, et je me sens prêt à exploser dans les secondes qui vont suivre. 

 

J'ignore si ma tante s'en rendit compte, toujours est-il qu'elle m'abandonne une fois de plus pour se diriger vers la chatte de Béa, la voisine ! Elle se place à quatre pattes et lui lèche le minou comme une chienne en chaleur. 

 

Le spectacle est trop beau, ma tante à quatre pattes, le cul tendu, son gros fessier semblant me narguer. Alors prenant cette posture pour une invitation, je me baisse à mon tour et après quelques petits bisous très chastes sur la peau de ses fesses je m'enhardi très vite et fait fonctionner ma langue de plus en plus près de son petit trou, jusqu'à le lécher complètement en m'efforçant d'y pénétrer. C'est délicieux j'adore l'odeur de son cul. Il sent un tout petit peu la merde, mais dans l'état d'excitation où je me trouve, ça ne me dérange vraiment pas du tout. Elle se laisse faire, sans doute trop occupée à sa propre besogne. 

 

Encouragé je lui glisse un doigt dans l'anus et le fait aller et venir pendant deux ou trois minutes... Il ressort tout pollué. 

 

Mais voici qu'elle se relève et me dit : 

 

- Dis donc petit cochon tu m'as fait des choses sans me demander la permission ! Tu vas le regretter. Suce ton doigt. 

 

Voilà une chose qui ne me dérange pas du tout. 

 

- Alors, elle est bonne la merde de ta tante ? 

- Délicieuse ! 

- Si elle délicieuse, tu as le droit d'en reprendre !

- Je…

- C'est offert avec plaisir ! Me dit-elle.

 

Alors d'accord, je remets le doigt, ils touchent quelque chose de mou. Je les ressors, je ferme les yeux et je lèche. C'est bon !

 

Ma tante Yvette, me demande de me coucher sur le dos. Elle se positionne alors devant moi et me fourre d'abord sa chatte sous le nez afin que je la lui lèche....  Puis elle se recule en me demandant de garder la bouche ouverte 

 

- Je suis sûre que tu vas aimer la pisse. 

 

Je ne réponds pas, j'avale (on ne peut pas tout faire à la fois) Sa pisse est délicieuse. Mais quand le débit s'arrête, elle se contente de reculer un petit peu et continue à pousser.

 

Un magnifique étron dégringole de son cul et m'atterrit sur le torse. Béa vient le ramasser, le met dans ses mains et le lèche un peu, avant de me proposer de l'imiter. Ma foi, ce n'était pas mauvais.

 

Je sens qu'on me tripote l'anus, de la salive, un doigt, du gel, et c'est ensuite un gode qui tente de me pénétrer ! J'ouvre bien mon anus pour aider l'introduction. Une fois l'engin bien placé dans mon fondement ma tante Yvette s'empale alors sur mon sexe dressé et me chevauche, tandis que Béa s'amuse à faire des va-et-vient avec le gode fiché dans mon anus. Cette double excitation fit que je ne pus contrôler mon plaisir et excité comme jamais, j'explosais au fond de l'intimité de ma tante 

 

Me laissant un peu sonné, Yvette qui, elle n'avait pas encore joui m'abandonna pour aller rejoindre Béa, elles entamèrent alors un 69 incroyable, roulées par terre, ruisselantes de sueur et overdosées d'excitation, elles n'en pouvaient plus et haletaient, la langue de l'une sur le clitoris de l'autre. 

 

Du coup je me remis à bander devant ce spectacle magnifique ! Les deux femmes crièrent leur jouissance pratiquement en même temps ! C'était beau de les voir ainsi prendre leur plaisir en hurlant ! Elles sont restées un peu groggy quelques minutes, puis reprenant ses esprit Béa m'aperçut ! 

 

- Ce n'est pas vrai, tu bandes encore, alors d'accord, branle-toi devant nous, branle-toi devant deux belles femmes, mais attention à la fin tu devras avaler ton sperme ce sera ton gage ! Tu es d'accord ? 

 

Je leur dis que oui... De toute façon excité comme j'étais que pouvais-je dire d'autre ? Je finis par éjaculer sur les seins de Béa, puis de ma langue j'allais recueillir ma semence que j'avalais. 

 

Les deux femmes s'embrassaient maintenant avec infiniment de tendresse, la furie était passée, j'avais l'air de gêner... 

 

Je récupérais, mon slip, mon short et mes basquets, et m'apprêtais à partir ! 

 

- Bon je vous laisse, merci pour tout !

- C'est nous qui te remercions, Pierre, tu nous as permis de bien nous amuser, dis Yvette ! 

 

J'avançai vers la sortie, c'est Béa qui me rappela : 

 

- Dis donc n'oublie pas ta chantilly ! 

 

C'est vrai que j'étais venu pour ça ! 

 

- Ah oui c'est vrai ! 

 

J'allais donc la chercher dans la salle de bain ! 

 

- Va décorer ton gâteau et reviens avec au moment du dessert, on va le manger tous les trois et après... humm, tu sais qu'on connaît encore plein d'autre jeux ? Me confiât alors Béa très chatte. 

 

Enzo Cagliari - juin 2007

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 13 juin 2007 3 13 /06 /Juin /2007 20:00

Les cabines du premier

par Enzo

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Venu à Paris pour des raisons professionnelles, je devais rentrer par le train de 18 heures. Je l'ai raté, pas bien grave, il y en a un toutes les heures, du coup je décide de traîner un peu dans le quartier et mes pas me dirigent vers un sex shop. (On est obsédé ou on ne l'est pas !)

 

Je fouille dans les DVD, en choisis un et en demande la projection. Le type m'indique un numéro de cabine au premier étage. Je monte et m'attend à découvrir l'ambiance feutrée et discrète de ce genre d'endroit...

 

Je constate que la première cabine sur ma droite est ouverte, je regarde par curiosité, un mec est installé complètement nu et se masturbe, nos regards se croisent, il me fait un sourire auquel je ne réponds pas.... La seconde cabine est fermée, mais la troisième est également entrouverte, à l'intérieur un homme est penché entre les jambes d'un autre, je ne vois rien mais n'ai aucun doute sur ce qu'ils sont en train de faire. Décidément cet étage me parait bien chaud. Il y a encore une autre cabine d'ouverte, dans celle-ci, un type qui lui est resté habillé se branle mollement, m'apercevant, il me fait signe lui aussi... décidément c'est la mode ici... je ne réponds pas et repère ma cabine.

 

Je m'enferme, et commence à visionner le film que j'ai choisi. Mon choix n'était pas judicieux, ce film est ennuyeux, mal fait et pas excitant du tout. Je décide donc de quitter les lieux.

 

Je repasse devant les trois cabines, le monsieur est toujours en train de se branler dans la 8. Le couple homo dans la 4 a tiré la porte sans toutefois la fermer, mais on ne peut rien voir, je suis quand même très troublé par tout ça. J'entends des pas dans l'escalier, un mec arrive, et passe devant la cabine 2, là où il y a le mec à poil et s'y arrête. Je passe à mon tour devant cette cabine. Et je vois que l'homme nu est en train de débraguetter le nouveau.

 

Je descends, je suis très troublé, je me dirige vers la sortie, et puis me ravise, je refouille dans le bac à DVD et recherche un titre bien salace, je prends mon temps, en fait je me demande ce que je souhaite vraiment et si ma recherche n'est pas un prétexte pour retourner là-haut. Finalement, je choisis un film qui, je l'espère, sera mieux que le premier... et je remonte...

 

Je croise dans l'escalier le "nouveau" de tout à l'heure, j'ignore s'il s'en va où s'il va remonter. Je n'ose pas trop regarder dans les cabines ouvertes de peur de passer pour un pervers, et me dirige vers ma propre cabine. Mais, contrairement à tout à l'heure, je décide ne pas m'enfermer, uniquement pour voir ce qui va peut-être se passer. A ce stade je n'ai aucunement l'intention d'aller plus loin, c'est juste un jeu.

 

Je commence à mater, c'est pas la 8ème merveille du monde mais la fille est bandante, je me touche un peu le zizi, puis décide de le mettre à l'air puisque cela semble être la coutume locale. Me voilà donc en train de m'astiquer de façon très modérée... Et voilà le mec à poil qui s'amène. Il ne dit rien il est là dans l'ouverture de la porte, le sexe bandé, un très joli sexe, il est intégralement rasé, le visage est fin, limite efféminé, les cheveux légèrement bouclés, il me sourit.

 

- Je peux rester !

 

Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Si vous voulez !

 

J'ai le regard fixé sur sa bite... il faut absolument que j'arrête... de vieux fantasmes resurgissent dans mon esprit... Si je n'arrête pas ce cirque tout de suite, je vais me retrouver avec sa pine dans ma bouche dans moins de trois minutes...

 

- Elle te plait ma queue ? me demande-t-il.

- Euh...

- Touche là, si tu veux...

- Non, merci !

- Juste un peu...

- Non, n'insiste pas... murmurais-je sans trop de conviction.

- Tu en meurs d'envie...

 

Bon, ça ne m'engage à rien, je peux toujours toucher un peu, j'approche ma main et je caresse, c'est doux... et ça me fout une trique pas possible...

 

- Ben, ça te fait bien bander on dirait ! me dit-il.

 

Et sans me demander mon avis, c'est à son tour de me poser sa main sur mon sexe, je le laisse faire. Je branlote un peu mon visiteur. L'envie de la sucer est irrésistible... J'espère simplement qu'il n'a rien contre... Quelle évolution en quelques minutes. J'attends qu'il me le propose mais ça ne vient pas... J'approche alors mon visage n'osant rien lui demander directement.

 

Ma bouche est à présent à quelques centimètres de cette belle queue, il ne dit toujours rien.

 

- Tu veux me faire quelque chose on dirait ? Finit-il par demander.

- Peut-être !

- Dis-moi quoi ?

 

Il sait y faire le mec.

 

- Je peux te sucer un peu ? Proposé-je.

- T'es une petite salope, toi, mais tu as de la chance j'aime bien me faire sucer par les petites salopes !

 

J'approche ma bouche

 

- Tu ne veux pas te mettre à poil, ce serait plus excitant ! suggère-t-il.

- Euh... on ne risque rien ?

- Rien du tout, le patron est très cool, il ne monte ici que quand ça dégénère, sinon il sait parfaitement ce qu'on fait, il y a un circuit vidéo...

- Tu veux dire qu'il nous voit !

- Oui ! Allez déshabille toi, j'ai envie...

 

Je me dessape. Un autre type arrive, peut-être celui de la 8.

 

- Si tu veux nous regarder, te gènes pas, mais dans ce cas-là tu sors ta bite ! lui indique mon visiteur.

 

Le type n'hésite pas un seul instant et sort un très gros chibre !

 

- Oh, toi tu en as une grosse ! commente l'homme à poil.

 

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Ben oui, elle est plus grosse que la mienne... mais bon... L'autre est tout content ! Me voilà déshabillé et sans transition, j'ai pris la bite de l'homme à poil dans la bouche, et je me mets à la sucer tandis que le troisième larron lui pelote les fesses. Je m'applique, passe la langue sur le gland, fais descendre le long de la hampe, m'aventure un peu sur les testicules, je remonte, la serre entre mes lèvres, la fait aller et venir, je me régale... D'autant qu'il bande vraiment superbement...

 

- Attends, je ne vais pas jouir comme ça ! prévient-il tout à coup.

 

Je me recule, il sort alors un préservatif qui était logé dans sa chaussette, et l'enfile. Ok il ne veut pas me jouir dans la bouche, me dis-je mais ce n'était pas tout à fait ça...

 

- J'aimerais bien te prendre ! me prévient-il.

- Peut-être pas !

- Essaie, si ça ne le fait pas, je n'insisterais pas !

 

Du coup, j'hésite !

 

- OK on essaie ! Lançais-je

- On essaie quoi ? demande-t-il avec malice.

- Ben, ce que tu m'as proposé !

- Et je t'ai proposé quoi ?

- De me prendre !

- Il n'y a pas un autre mot pour ça !

- Il y en a plein d'autres...

- Dis-le !

- Tu vas me sodomiser !

- Un autre mot peut-être…

- Tu vas m'enculer !

- Oui, je vais t'enculer, petite salope !

 

Et la petite salope que je suis se tourne et tend ses petites fesses attendant la bite de cet étrange personnage !

 

- T'as vu son cul ? commente-il à l'attention du troisième larron !

- Superbe ! répond ce dernier.

- Mais ç'est pas pour toi, tu vas lui faire mal avec ta grosse queue...

 

Et voilà que l'organe de chair quémande l'entrée de mon petit trou !

 

- Je vais mettre un peu de gel.

 

Décidément ses chaussettes sont de vrais paniers magiques !

 

Il entre timidement, il force un peu, me demande de pousser, je le fais, il entre, s'installe et commence à aller et venir, curieuse sensation, ce n'est pas désagréable mais ça donne comme une sensation de gêne... Je me demande si je ne vais pas lui dire d'arrêter... Mais la sensation se modifie, je sens comme une sorte de frisson qui me parcourt tout le corps, c'est bien mieux, je le laisse faire tandis qu'il me pilonne de longs aller et retour.

 

- C'est bon ?

- Oui c'est bon, encule moi bien !

 

 

Le troisième type voudrait que je le suce pendant que je me fais prendre, mais ça ne me dit rien... du coup il s'en va. L'autre derrière pousse un râle, il vient de jouir dans la capote sans avoir déculé...

 

- Merci pour tout, bonne fin de soirée ! dit-il en regagnant sa cabine

- Toi aussi.

 

J'aurais préféré une fin de rencontre plus conviviale, Je ne sais pas, moi, un café, une mousse... et puis je n'ai pas joui.... J'ignore ce que je vais faire... Je ferme la cabine pour me rhabiller tandis que le film continue de se dérouler inutilement... inutilement... je peux toujours me branler en le regardant... et si je me faisais sucer à mon tour ? Une fois habillé, je ressors, mais toutes les cabines sont soit fermées soit inoccupées. Je regagne ma chaise et commence à me branler, porte ouverte....

 

J'entends des pas dans l'escalier....

 

13/6/2007

 

Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mardi 12 juin 2007 2 12 /06 /Juin /2007 18:36

Uro in Budapest

Par Enzo 

 

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Le hongrois est une langue difficile, parce que pour nous, francophones, nous n'avons aucun repère... J'avais quand même été intrigué par ce panneau dans cet immense sex-shop de Budapest qui semblait résumer les activités et services offerts par l'établissement. On y voyait à un endroit une femme uriner sur un homme, je pensais alors qu'il s'agissait d'une des spécialités du peep-show local, ce qui ne m'intéressait pas trop, et je me baladais nonchalamment dans la sex shop. Le fond était occupé par un bar, ou officiait quelques belles entraîneuses peu vêtues.

 

Je commandais une bière, elle me fut servie par une serveuse topless qui ne me fit aucune proposition d'ordre sexuel, laissant ce genre de choses aux autres filles. Je fus donc bien sûr abordé par l'une d'entre-elles qui me parla en anglais, me proposant carrément une passe. Je fis semblant de ne pas comprendre, et lui demandait si elle parlait l'islandais ! Non elle ne parlait pas l'islandais... ce vieux truc marche à tous les coups, elle essaya de me faire comprendre par gestes tout le bonheur qui pouvait m'attendre contre un peu d'argent, mais je jouais les abrutis, non pas que cela ne m'intéressait pas mais je voulais profiter pleinement de la soirée et pour l'instant, il était trop tôt...

 

La fille me laissa, en faisant semblant d'être déçue et elle alla aborder un autre touriste avec lequel le dialogue s'engagea et quelques secondes après le mec se faisait carrément sucer devant tout le monde avec force commentaires en allemand. Cette vision était très excitante mais ne dura pas très longtemps, car la fille finit par emmener son client vers une porte donnant vers un endroit sans doute plus discret.

 

Une deuxième fille tenta sa chance, m'expliquant à moitié en anglais, à moitié par gestes qu'on pourrait faire comme le couple en question, je refusais de nouveau. Du coup les nanas me snobèrent... Je pris mon temps pour siroter ma bière, puis me sentant une envie d'uriner je cherchais les toilettes... rien n'était indiqué de façon claire, je me dirigeais à tout hasard vers le sous-sol !

 

C'était là ! Mais juste à côté une autre porte affichait la même photo intrigante que celle du panneau que j'avais vu dans le hall. Je poussais, poussé (justement) par la curiosité et me retrouvait dans un petit vestibule où un gorille me fit comprendre que l'entrée était payante. Qu'à cela ne tienne, je payais, ce n'était pas excessif. Le mec me tendit alors une clé de vestiaire attaché à un bracelet à poche ! Ah ! C'est donc un sauna, je n'avais pas pensé à ça, mais bon j'avais payé...

 

Un minuscule couloir... avec des vestiaires, je me déshabille donc, me rend compte que le type ne m'a pas donné de serviette, je vais pour réclamer, mais voici qu'un autre client rentre, il n'a pas non plus de serviette... je ne cherche plus à comprendre j'avance, et me voici dans une petite salle de projection. Il faut que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je ne vois donc que l'écran, où l'on projette un film uro... c'était donc ça, j'aurais dû m'y attendre... mais quelle idée ce vestiaire, peut-être n'était-il pas obligatoire ?

 

Sur l'écran une belle femme entièrement nue est en train de pisser des litres d'urine sur une copine qui rigole comme une bossue en s'efforçant d'en avaler un maximum... J'essaie de m'asseoir sans bousculer personne et en attendant de pouvoir distinguer quelles sont les autres possibilités du lieu je m'intéresse donc au film, où comme souvent dans ce genre de vidéos, les scènes sont interminables et répétitives, heureusement que les modèles sont jolies, et d'ailleurs je me surprends à bander et comme je suis nu et dans un établissement de sexe, je commence à me tripoter...

 

Et voilà qu'une main arrive sur ma cuisse... je regarde sur ma gauche, j'y vois mieux à présent, un mec nu bien sûr, c'est lui qui me tripote, ça ne me dérange pas, je me laisse tripoter, je regarde sa queue, un bel objet bien raide... j'y touche ou j'y touche pas... j'avoue m'être (assez rarement toutefois) laissé aller à ce genre de fantaisies dans quelques cinés parisiens assez spéciaux... Comme dit l'autre : "ça change !" J'empoigne donc la bite du monsieur, et commence à la branler... Nous voici donc à nous branler mutuellement. Il me demande si je suis Anglais ? Non ! Allemand ? Non, French !

 

- Ah ! Je suis suisse ! Me dit le type ! Avec un accent caractéristique.

 

Je lui demande de quelle ville, histoire de dire quelque chose !

 

- Fribourg ! Tu veux me sucer ?

 

Oui, je veux bien le sucer ! Souvent les masturbations mutuelles dans ces endroits finissent en sucette, et il se trouve qu'à tout prendre je préfère sucer que de l'être...

 

Sa queue a un bon goût salée, je me régale, en la travaillant de la langue et des lèvres... mais pas longtemps, monsieur est au bord de la jouissance, me prévient et comme je ne veux pas de son sperme je me retire !

 

- On inverse ?

 

Bien obligé de rendre la politesse, je me laisse faire, ce con suce comme une pro, je suis aux anges, d'autant que deux mimines sont arrivées derrière moi et me pincent les tétons... Moment d'extase, mais je n'ai pas envie de jouir de suite, je dégage poliment le suisse. Je m'aperçois alors que les mains qui continuent de me caresser ont les ongles manucurés et vernis, des mains de femmes... je me retourne, la frimousse est agréable et souriante, les seins sont adorables. Elle me baragouine en anglais :

 

- Un petit plan uro ça te dit ?

- Bien sûr !

- On va faire ça gentiment c'est xxxx forints (monnaie locale)

 

Aïe, une racoleuse, mais là, je sens que je vais me laisser faire... J'hésite encore un peu

 

- Je n'ai pas d'argent sur moi

- Je sais, mais tu en as dans ton vestiaire, va le chercher, je t'attends, Humm, on va faire ça très bien, tu m'as excité, j'adore les mecs qui sucent des bites... T'aime ça sucer des bites, hein toi ?

- Ce n'est pas désagréable !

 

Je suppose qu'elle tient le même discours à tout le monde, mais ce n'est pas bien grave ! Je vais chercher les sous en faisant attention que personne ne me suive. La fille m'attend à la sortie du vestiaire. Je lui tends le fric, j'espère que je ne vais pas me faire arnaquer...

 

- Si tu as un peu plus, je peux te dominer si tu veux, je te tiens en laisse, je te pisse dessus, je te fais sucer des bites, je peux aussi te faire enculer, te fouetter et tout un tas de trucs très cochons...

 

Je lui demande combien, j'hésite :

 

- Non on va faire comme on a dit, et si ça me plait, je reviendrais te voir et on fera la totale ! Tentais-je

- Je te fais un prix...

 

J'ai la faiblesse d'accepter, j'ai bien conscience que je prends un risque... Elle ouvre alors son propre vestiaire et en sort un collier de chien qu'elle me passe autour du cou, une laisse y est accrochée. Elle me demande de me positionner à quatre pattes et d'avancer.

 

J'obéis donc pendant qu'elle me fouette le cul !

 

- Allez viens, esclave, on va bien trouver quelqu'un qui va bien t'enculer...

 

Bon, je peux arrêter le jeu quand je veux. Une petite salle carrelée jouxte la salle de projection, ce devait sans doute être un hammam dans un concept antérieur, au milieu un mec se fait pisser dessus par une belle blonde, et autour sur les marches une dizaine de personnes, que des hommes, assistent au spectacle, certains se branlent, d'autres le font mutuellement, un autre se fait sucer... ambiance hot.

 

La fille attend que le couple ait finit ce qu'ils sont en train de faire, ça va d'ailleurs assez vite parce que le mec se masturbe comme un malade en avalant l'urine de sa partenaire et finit par jouir avec un grognement sourd. Nous prenons leurs places. Elle me fait tendre le cul et commence à me fouetter, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Hé, c'est que ça commence à chauffer. Je le lui dis. Bonne fille, elle diminue la force de ses coups mais continue à taper, je dois avoir le cul tout rouge, au bout de cinq minutes de ce traitement elle arrête, et entreprend de me tripoter le cul, un doigt me pénètre le fondement, puis un second.

 

- Un volontaire pour l'enculer ? demande-t-elle à la cantonade, et ceci en plusieurs langues.

 

pisssbabes604.jpg

 

Situation assez surréaliste quand on y pense... Un grand blond finit par arriver, bite en avant, me revoilà avec une bite dans la bouche, pas très longtemps, car dès que le gaillard se sent assez dur, le voilà qui me contourne et me force l'anus. Un peu de mal à entrer, un peu douloureux mais ça va ! Me voilà en train de me faire sodomiser, l'affaire dure un peu trop longtemps, je me débrouille pour le faire savoir, la fille demande au mec de se retirer, puis me fait coucher sur le carrelage. Elle vient alors sur moi, et sans transition m'arrose la bite, je lui fais signe de monter vers mon visage, miracle elle comprend tout de suite, et les derniers jets de son pipi seront pour mon visage. Comment fait cette fille pour être tout le temps en train de pisser, mystère, mais pour l'instant elle lorgne vers mon sexe, constate qu'il est bien rigide, le suçote légèrement, mais je bloque un peu, ça doit être l'émotion. Elle me propose un truc que je ne comprends pas bien, mais c'est plus cher, je refuse, elle n'insiste pas, et me se met à me branler vigoureusement, je finis par lâcher mon sperme, je suis à moitié dans les vapes...

 

Ça tambourine à la porte de ma cabine, je me réveille, j'ai le pantalon et le slip sur les chevilles, un kleenex autour du gland, j'ai dû m'endormir

 

- Vous remettez du crédit ou vous sortez ! hurle le videur !

- Une seconde ! Répondis-je, le temps de me reculotter...

 

Le mec m'attendait à la sortie !

 

- Ça va ? Me demande-il

- Oui, oui, je reviens juste de Budapest, j'étais bien là-bas...

 

Le mec me regarde d'un drôle d'air... pourtant des fous il doit en voir tous les jours, sauf que moi, je ne suis pas fou, juste un peu rêveur... très rêveur...

 

 

FIN

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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