Enzo Cagliari

Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 16:47

La maîtresse de Tib par Tib et Enzo

Il n'est pas necessaire de lire la partie 1 écrite par Tib

Fetish2

2 – Vendredi suivant

 

 

Bien entendu, le vendredi suivant, à partir de 20 h, j’étais prostré au coin du rideau de la chambre, à poil bien sûr. Bien en évidence sur la tablette, trônaient deux flûtes à champagne (détail, dont la délicatesse ira, j’espère, droit au cœur de ma séduisante prédatrice, je me suis fendu d’une rouille de dompé*, commandée directement au bar de l’hôtel et, bien calée dans son seau bourré de glace pilée, elle attend son heure, planquée dans le petit frigo).

 

L’attente est moins longue, il est tout juste 20 h 30 quand la petite chiotte franchit le porche de l’auberge (et non pas : quand la petite Porsche franchit les chiottes de l’auberge).

 

Après un vol plané sur le pageot, je prends la pose en m’astiquant méchamment le sifflet pour lui donner toute sa prestance.

 

La voilà, toujours les mêmes fringues, la même arrogance dans le regard. Cependant ce dernier s’accroche une fraction de seconde sur le fier maintien du chauve à col roulé et elle file vers la salle de bain (toujours aussi loquace qu’un trappiste).

 

Retour dans la même tenue que la semaine dernière, sauf que la culotte est en voile blanc mais tout aussi diaphane et laissant deviner la tache sombre de la choucroute laquelle semble ne rien avoir perdu de sa cespiteuse pilosité.

 

Elle rafle les menottes (que j’ai surtout pas oubliées de ramener) et m’en affuble, par devant cette fois et s’installe dans le crapaud, cuisses ouvertes (tiens, c’est une posture de soumise ça, reste de rang, antécédent ?).

 

mistress1912– Debout, vile créature, et sers moi à boire.

 

Je ne sais quoi faire. Veut-elle dès maintenant du champ ou bien simplement un coup de flotte? J’opte pour la seconde solution et lui amène un verre d’eau.

 

Elle prend le verre et me lance la flotte en travers du portrait.

 

– Il me semble t’avoir dit que je ne buvais que du champagne.

 

Je suis certain que si j’avais servi ce qu’elle demande, j’aurais eu droit à la même réaction (ha ces bonnes femmes).

 

Bon je m’empresse pour la satisfaire et quand je m’apprête à remplir la seconde flûte, je morfle un coup vicieux de cravache sur la cuisse.

 

– J’ai dit sers moi à boire et non sers nous a boire. Décidément tu cherches les châtiments. Tu ne perds rien pour attendre.

 

Ce n’est pas la moitié d’une bourrique, celle-là. Même pas droit à une goutte de roteux (m’en fous je préfère la bière, na et si elle n’avait pas la cravache je lui tirerais bien la langue).

 

– Debout, fripouille lubrique, et branles-toi devant moi.

 

Ce disant, d’un coup de hanche, elle se place au bord de son siège et du doigt, repousse son cache-sexe sur le côté, découvrant le buisson touffu de sa chatte dont le triangle sombre cerne les grandes lèvres qui ressortent en un rose rouge luisant, comme un fruit mur.

 

Bon si c’est que ça, cela ne me pose aucun problème et j’entreprends à deux mains (menotte oblige) une paluchette consciencieuse (action bien inutile car le spectacle qu’elle m’offre suffit amplement à entretenir monsieur popol dans les meilleurs dispositions).

 

Elle se ressert un coup de champ. (tiens je fais plus le larbin?) et plongeant la main dans son sac, sort une sorte d’anneau qui s’ouvre en s’articulant. D’un geste vif, elle me le colle à la base de la queue et le referme. Ça fait un peu mal sur le coup.

 

– Avec ça tu pourras pas me manquer de respect.

 

La confiance règne, elle a peur que je débande, vexant, non !!

 

– A genoux et lèche moi les bottes, aujourd’hui tu peux remonter jusqu’en haut des cuisses et me montrer ton savoir-faire en cunni.

 

Pas besoin de me dire deux fois des trucs pareils, je vais lui prouver avec quelle abnégation un soumis exécute ses ordres.

 

Je mets le paquet, langue au vent et bouchées doubles, je sabote même un peu le boulot pour aller plus vite mais elle ne m’en fait pas le reproche (la Maîtresse intransigeante se ramollirait-elle? Ou bien, comme moi, serait-elle impatiente de me voir arriver au cœur du problème ?).

 

Lorsque je franchis la lisière des bas, je ralentis. La chaleur de la peau, si fine, si douce, si blanche à l’intérieur des cuisses relance mon excitation (cet anneau est à double effet, si il maintient l’érection, il l’empêche aussi de se développer plus, sûr que sans cet accessoire de mes couilles, j’eusse battu des records de longilignitude, c’est pas français mais la longueur du mot me plait).

 

De plus, un petit frisottis de poil me caresse la joue, je suis tout près du but. Mon nez, d’ailleurs en détecte la présence, j’ai les ailes du naseau dilatées par le parfum sublime qu’exhale l’intimité féminine toute proche. Mêlées à son parfum favoris (sûrement un numéro cinq machin chose) les senteurs de jus de femelles acidulées, agrémentées d’un voile de transpiration et d’un soupçon de vapeur de vessie, mmm c’est divin. Je deviens fébrile, il est temps de m’attaquer au plat de résistance.

 

Ma langue monte jusqu’au pli de l’aine, s’attarde un peu puis dérive lentement se frayant un chemin dans les poils du mont de vénus. Elle tressaille imperceptiblement, son souffle se bloque quelques secondes avant reprendre à un rythme plus élevé. Elle aussi est impatiente sous des dehors d’indifférence forcée.

 

Son odeur est plus forte aussi, plus musclée (plus musquée également), maintenant c’est le parfum entêtant de femelle en rut qui prédomine. Ça ne me monte pas au cerveau, ça descend directement dans les couilles. Si je n’avais pas le bloque-biroute qui me permet de me contrôler, je me redresserais et l’empalerais jusqu’aux rognons sans préavis.

 

J’entame la descente (au paradis ou aux enfers, j’sais pas mais à la cave, ça c’est sûr), ses grandes lèvres sont gonflées, tuméfiées et constellée de traces humides et luisantes. Du bout de la langue je les effleure, par petites touches rapides. De nouveau elle tressaille et le compas de ses cuisses s’ouvre encore plus.

 

Ma langue s’engage dans la fente, bouleverse les nymphes qui en émergent, frêles et tendues comme un voile. J’arrive au puits d’amour qui s’ouvre, baille tel un calice s’exorbitant (sic) à l’appel du plaisir. Il ruisselle littéralement d’une liqueur grasse, épaisse comme du miel. Je la bois, je m’enivre de ce nectar des dieux, c’est salé, un peu amer mais merveilleusement grisant. J’accentue mes caresses, du nez, du menton, du mufle, je fouille, fouine de haut en bas de la vulve, j’exaspère le clito qui s’érige, se dresse, se décapsule et bande comme un petit phallus. Des yeux au menton, d’une oreille à l’autre, la cyprine m’encolle la face d’un jus sirupeux. Mes mains participent à la fête, un puis deux et trois doigts entrent et sortent dans le cloaque jouissif, glissant sur les parois vaginales, les comprimant, cherchant le fameux point G. Du pouce je m’aventure vers la pastille brune, ridée de mille plis tourbillonnant. Quand je force un peu et que le pouce triomphe du sphincter et s’enfonce à demi dans l’anus, elle ne tressaille plus, elle trépide!! Elle n’ahane plus, elle râle !! Je vais la faire grimper aux rideaux la Madame, elle va me jouir sur le portrait l’inaccessible Maîtresse!!

 

Ben non, brutalement elle me repousse du pied. Son visage se crispe, ses yeux se ferment, ses cuisses se referment, son torse bascule en avant, sa poitrine, ses seins, se gonflent. Pendant quelques secondes elle reste figée comme pétrifiées. Puis lentement, elle se détend, rebascule vers le dossier.

 

La bourrique, elle s’est reprise, elle a résisté à la vague de plaisir que je sentais monter, déferler en elle !! (bon remise à zéro, un coup pour rien mais au moins je sais qu’elle n’est pas frigide, on se console comme on peut).

 

– Tu te débrouilles pas trop mal, mon salaud, mais te fais pas d’illusions c’est pas un compliment, juste un constat, t’as qu’une idée en tête, me sauter mais ça mon bonhomme tu peux te l’accrocher.

 

Elle se lève, s’étire un brin, mains sur les hanches elle s’approche à me frôler le tarin de son bonbon.

 

– Enlèves moi ma culotte, j’ai envie de pisser.

 

Je me redresse un peu et mes mains montent vers sa taille. Coup de genoux au menton.

 

– Avec les dents, mon toutou.

 

Je m’attendais pas à celle-là mais je m’y attelle de bon cœur en commençant par accrocher ce qui cache les poils, sans pour autant lui en arracher une touffe en même temps. Je tire mais il s’étire sans vouloir descendre (si j’insiste il va craquer, ce con, il ne sera pas enlevé mais ne servira plus à rien, le but sera atteint mais en sera-t-elle enchantée? Heu… pas sûr)

 

Je passe côté hanches et lui fait franchir le cap du popotin et reviens au centre, ça marche il descend et fini en chute libre sur les godasses.

 

Petit piétinement et elle file vers la salle d’eau en me faisant signe de la suivre.

 

J’ai deux soucis : si elle me demande de la reculotter avec les dents, après s’être soulagée, je suis pas de la classe mais y a plus grave et plus imminent. Est-elle du genre « pluie d’or »? Vais-je avoir droit à la douche d’urine ? (je sais pas ce qu’elle a bouffé hier mais d’après les légères effluves que j’ai reniflées tout à l’heure, ça doit être du corsé, du nanan, ça doit même piquer les yeux).

 

Bon allons-y, courage, et puis ce n’est pas la première fois que l’on me couvrira de pipi (heu… au figuré surtout).

 

Je trottine derrière la belle en cuisse, c’est chiant de marcher à quatre pattes avec des menottes.

 

Elle ôte ses godasses et grimpe directement sur la cuvette en s’y accroupissant (bon c’est dans son style ça, pourquoi faire simple ce qui peut être compliqué). Elle me fait signe d’approcher au plus près. A quatre pattes comme je suis j’ai les mirettes aux premières loges.

 

Petit jet timide en avant-garde puis le jet puissant, dru, coloré qui s’évase ensuite comme un voile doré et s’abîme au fond en bruissant comme un gazouillis de source, un frisouillis allègres, joyeux. L’onde odorante de vapeur urinaire qui m’assiège les naseaux est puissante, riche de senteurs mais finalement pas trop écœurante (sans me l’expliquer le mot bucolique surgit dans ma tête, faut le faire hein !!) cependant un fond d’odeur de jambon de Paris me dit qu’elle devrait peut être surveiller son taux de cholestérol (ça aussi faut le faire).

 

La fontaine se tarie, quelques gouttes encore, ploc… ploc… et c’est tout.

 

Un ordre claque :

 

– Torches moi.

 

Je tends les mains vers le rouleau… nouveau claquement

 

– Nan, avec ta bouche.

 

Je me disais aussi, c’était trop facile.

 

Aller, hardi petit, hauts les cœurs (et pas haut-le-cœur), je me contorsionne et me retrouve de nouveau le museau en pleine foufoune mais le jus n’est pas tout à fait le même. Je me décourage pas, je lèche, je fouine, je musarde, je batifole dans la barbiche, c’est un peu plus amer (tant que c’est pas amerd’alors) mais pas vraiment désagréable et puis peu à peu, ça change de texture, d’épaisseur, y’a plus de pisse mais y’a encore du jus, de plus en plus d’ailleurs, elle aime ça la cochonne, je sens son souffle qui s’accélère, se syncope.

 

Malgré le torticolis qui me guette, j’y vais d’un deuxième service consciencieux, je me barbouille et la barbouille du nombril au trou de balle. Des deux bras elle s’agrippe au mur, au lavabo, pour pas badaboumer et lance son bassin en avant pour mieux s’offrir, je vais peut-être l’amener au point de non-retour ce coup-ci et je guette, fébrile, le moment où je pourrais me redresser et la poinçonner enfin.

 

Pfft, encore une fois c’est loupé, encore une fois elle me repousse juste avant de prendre l’ascenseur (suis maudit moi).

 

– Lèves toi et vas m’attendre à côté.

 

Et voilà, « circulez, y’a plus rien à voir », ça m’use ça et puis la queue commence à me faire mal.

 

J’entends des bruits d’eau, elle doit se rafraîchir la foufounette.

 

Retour d’un pas décidé, elle farfouille dans son sac, en sort un drôle de truc, je n’en crois pas mes yeux, c’est une ceinture à gode, un engin de foire énorme !!!

 

Elle s’équipe tranquillement, ça lui fait une drôle touche.

 

– Tournes toi et appuies toi sur la chaise.

 

Alors là je romps le mur du silence.

 

– Tu ne crois tout de même pas que je vais t’obéir, tu dépasses et de loin, les limites permises.

– Mettons que je n’ai rien entendu. Je n’aime pas répéter, alors exécution.

 

 

 

La maîtresse de Tib

3 – Sodomisé

par Enzo

Alors là, 10 L.E.M comme disait Armstrong (celui qui a été sur la Lune). Mon cerveau passe en vitesse rapide et examine les possibilités qui me sont offertes :

 

Un : Je me casse, je suis venu pour la baiser, ben tant pis, je repartirais avec la bite sous le bras.

 

Deux : J’applique le principe selon lequel il faut parfois bousculer une femme pour gagner du temps. En gros je la force, je la viole. Mais justement c’est pas trop dans mes principes à moi. Ou alors il faudrait qu’elle me fasse un signe, genre « si tu me viole, je me laisse faire… » Mais je ne me fais aucune illusion, autant attendre la révolution prolétarienne…

 

Trois : Lui proposer des sous pour qu’on recadre tout ça, à ma façon. Mais je n’ai pas beaucoup de pépètes sur moi et ça m’étonnerait qu’elle prenne la carte bleue.

 

Quatre : Je négocie

 

Cinq : Je me soumets à ses caprices…. Ben, non… :

Allons-y pour la négociation

 

– Juste un mot ! Tentais-je en en disant trois.

– Tourne-toi, je sais ce que je fais, et je sais aussi ce que tu souhaites, je compte jusqu’à cinq, si à cinq tu n’es pas en position je disparais.

 

Je cherche quoi répliquer, mais ne trouve rien d’intelligent. Nouveau passage du cerveau en vitesse rapide.

 

Peut-être qu’elle ne va pas le faire, qu’elle s’amuse à me faire peur, à vouloir m’humilier… je n’y crois pas trop… « Je sais ce que tu souhaites » a-t-elle dit ». Ça veut dire que si elle m’encule je pourrais la baiser. Le prix me paraît très fort !

 

Un doigt humide qui tournicote contre ma rosette, me ramène à la réalité du moment, le doigt est rentré, et je n’ai rien dit, ce doit être la première fois que quelque chose qui n’es pas un thermomètre me rentre dans le cul. Il va falloir que je fasse un vœu !

 

Mais bon, un doigt, ça va, (c’est quand même incroyable que je n’ai rien dit) Deux doigts, bonjour les dégâts… et justement le voilà le second didi qui vient accompagner son petit camarade. Et elle fait bouger tout, ça, elle va, elle vient, elle remue, elle touille.

 

– Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes ?

 

C’est ma dominatrice qui se fait philosophe et qui vient de lancer un beau sujet de dissertation. De cette façon, me voilà occupé de partout, du cul et du cerveau… et comme si ça ne suffisait pas, Madame en remet une couche.

 

– Pourquoi les hommes refusent-ils de découvrir eux-mêmes ce plaisir qu’ils pensent donner aux femmes ?

 

Elle ne me demande pas de réponse, elle fait de l’action psychologique ! Quand à son action digitale, ça ne me déplait pas trop, mais faudrait pas non plus que ça s’éternise…

 

Vœu exaucé, elle retire ses doigts, brutalement.

 

– Sont plein de merde ! Me dit-elle !

 

Ce n’est pas un reproche, c’est un constat ! et d’ailleurs c’est même pas vrai qu’ils soient plein de merde, il y a juste quelques traces.

 

– Nettoie !

 

Moi je veux bien mais avec quoi ? Je cherche un Kllenex, un sopalin, une feuille de papier à cul…

 

– Avec ta bouche !

– Non !

– Pourquoi, je le fais bien moi !

 

Et joignons le geste à la parole, elle donne un coup de langue sur son doigt, elle fait ça comme si elle dégustait une glace au chocolat. Problème, il en reste.

 

– A toi !

 

J’ignore encore comment j’ai franchi ce pas, sans doute l’excitation de l’instant, je me suis surpris de n’éprouver aucun dégoût, je n’en aurais pas lécher des kilos mais en petite quantité ça n’a rien de repoussant.

 

– Tu vois ce n’est pas mauvais ? Me nargue-t-elle. Maintenant ouvre toi bien !

 

Non, ça y est je vais passer à la casserole ! Et puis un espoir, elle n’y arrivera jamais, ça ne rentrera pas, j’en suis persuadé, alors je la laisse jouer. Elle me tartine le trou du cul avec du gel (je suppose) manquait plus que ça, confondre mon cul avec une tartine ! Et je la sens qui essaie de forcer le passage avec son gode-machin. Je me marre, mon trou du cul est un château-fort et pour le forcer il faut un bélier high tech ! Ça ne passe pas, nouvel essai, ça ne passe toujours pas. Elle ne m’aura pas, je suis insodomisable, inenculable.

 

– Ouvre-toi-mieux !

 

Cause toujours, Philomène… Oh, que ce passe-t-il ? Et voilà que ça entre (timidement, mais ça entre). Je fais quoi ? Elle appuie, ça entre mieux, Elle appuie encore, c’est entré, c’est même très bien entré, elle ressort un peu, elle revient, ça coulisse, ça va et ça vient, je suis en train de me faire enculer, et je ne proteste même pas. Mais je pourrais, ça me gêne, je n’aime pas cette sensation d’être rempli et j’ai envie de rejeter tout ça. C’est quel numéro les pompiers ? Mais ma tortionnaire me pilonne a tout va, quelque chose se passe, quelque chose qui fait du bien, je n’en reviens pas, je m’habitue au truc, ça me fait frissonner, ça me fait du bien. On m’encule et je suis bien. Un curieux frisson de tout mon être, ma bite qui pourtant ne bande pas qui se met à pisser du foutre. C’est normal, ça ? Je jouis comme un robinet.

 

L’autre s’est retirée et me toise avec un air de victoire ! Elle peut, elle a gagnée.

 

– Tu as gagné le droit de me baiser, mais maintenant ça ne va pas être évident. On attend une heure ou on fait ça un autre jour ?

 

Elle se fout de ma gueule en plus.

 

– On attend une heure !

– Alors on va descendre au salon boire une coupe de champagne, c’est moi qui t’invite, et quand on remontera tu te mettra sur le dos, et je te chevaucherai…  ça te convient ?

 

Bien sûr que ça me convient… Mais qu’est-ce que j’ai mal au cul !

 

note du webmaster : la publication in extenso du chapitre 2 par Tib, nous a valu plusieurs critiques parfaitement justifiées, la seconde partie de ce chapitre était carrément hors charte, un auteur, Enzo s’est alors proposé pour réecrire la partie finale

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 16:42

Sœur Mathématique & Sœur Logique

réécrit par Enzo

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Sœur Marie, 26 ans, mieux connue sous le nom de Sœur Mathématique et Sœur Sainte-Lucie, 31 ans, mieux connue sous le nom de Sœur Logique rentrent le soir après une journée de vente de gâteaux au profit des bonnes œuvres …

 

C’est à 500 mètres du couvent que Sœur Logique fit part de ses inquiétudes à sa consœur :

– Tu as remarqué qu’un type nous suivait depuis 10 minutes ?

– Oui, je n’ose demander ce qu’il veut ? s’inquiète Sœur Mathématique

– C’est logique, voyons ! Nous sommes encore jeunes et désirables, il veut sans doute nous violer !

– Quelle horreur ! Et en plus selon mes calculs dans exactement 3' 47 » il va nous rattraper ! Que faire ?

– Soyons logique ! Il faut marcher plus vite…

 

Et elles accélèrent un peu le pas pour semer le mec…

 

– ça ne sert à rien… constate hélas Sœur Mathématique :

– Oui, c’est logique, lui aussi, il a accéléré !

– Qu’est ce qu’on peut faire, car d’après mes deniers calculs, dans très exactement 1' 13 » il va nous rattraper !

– Ben, logiquement si on se sépare, il va avoir un problème !

 

Et elles se séparent, Sœur Mathématique pris sur la droite le chemin le plus court pour rentrer au couvent. Et Sœur Logique opta pour un petit détour en se dirigeant vers la gauche (logique ! non ? )

L’inquiétant personnage perd quelques précieux instants à se décider laquelle sera donc son unique victime. Il décide finalement de suivre Sœur Logique sur sa gauche.

Sœur Mathématique rentre au courant et attend avec angoisse l’arrivée de sa consœur, imaginant les pires choses !

 

Malgré tout, ce n’est que quelques minutes plus tard que Sœur Logique rentre à son tour, Sœur Mathématique la presse de questions

 

– Dieu soit loué ! Que s’est-il passé ? Il ne t’a rien fait ? Est-ce qu’il t’a rattrapé ?

– Et bien, le type a du faire un choix, c’est logique, le choix c’était moi et il m’a suivi…

– Bon ça j’avais compris quand même ! Mais après ?

– Je ne pouvais rien faire d’autre que de courir le plus vite possible (logique !)

– Et tu l’as semé?

– Tout c’est passé dans la logique des choses, il s’est mis à courir !

– Mais il t’a rattrapée ou pas ? Demande Sœur Mathématique

– Il est logique qu’un homme court plus vite qu’une femme, il m’a donc effectivement rattrapée !

– Doux Jésus ! Et ensuite ?

– J’ai fait ce qu’il y avait de plus logique, j’ai soulevé ma jupe, je lui ai montré ma chatte toute poilue !

– Oh ! Non ! Tu n’as pas fait cela ? Et lui alors ?

– Logique également, il a baissé son pantalon et son slip !

– Horreur et damnation ! Je n’ose te demander la suite ! Murmure la Sœur Mathématique

– C’est pourtant logique ! Une bonne sœur avec la jupe relevée court beaucoup plus vite qu’un mec avec le pantalon et le bénard sur les chevilles !

– Ouf me voici rassurée, tu ne m’as donc point trompée ! Viens donc m’embrasser !

– Hum… déshabille-toi donc d’abord, petite vicieuse !

– Logique !

 

Enzo

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:30

Sanisette par Enzo Cagliari

scat
Texte scato explicite

Cette aventure a marqué un tournant dans ma sexualité. Je n’avais rien contre la scato mais je la limitais à mes fantasmes, ne me sentant pas motivé pour passer à l’acte et ne m’en étant non plus jamais donné l’occasion.

Et puis un soir

On rentre du cinéma avec Angie, une nana sympa que j’ai dragué dans un bistrot, on sort ensemble depuis quinze jours, et on couche tantôt chez l’un, chez l’autre, elle est sympa, une petite brune souriante pas compliquée et très délurée. Son seul défaut est d’avoir des petits seins, moi qui adore les gros, on ne peut pas tout avoir. Et voilà que…

- J’ai une grosse envie…
- Il y a une sanisette là-bas !
- J’ai horreur de ces trucs, là, je suis claustrophobe.
- Qu’est-ce que tu veux qu’il t’arrive, il y a un dispositif anti blocage…
- Non, le machin se retourne pour le nettoyage, quelle mort affreuse…

Bref elle balise la petite Angie.

- Si tu veux je rentre avec toi.

Elle finit par accepter. Elle entre dans la sanisette, baisse son futal et se met à pisser sans toucher la cuvette. Jolie spectacle auquel j’ai déjà eu droit, mais je ne m’en lasse pas, j’adore voir une fille pisser.

Je pousse même le vice jusqu’à mettre ma main sur le filet qui coule et la porter à ma bouche.

- Tu l’aimes bien ma pisse, hein, gros cochon ?
- Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.
- Et bien reprend en, c’est mon jour de bonté !

On ne refuse pas ce genre de choses quand on est branché uro comme je le suis.

Mais l’anecdote n’était pas terminé (vous vous en doutez bien)

- Je crois que je vais en profiter pour faire caca !
- Vas-y, je me tourne !
- Mais non, regarde !
- Non, je me tourne
- Pourquoi, ça te dégoutte ?
- Non, mais ça me gêne !
- Eh bien, met ta gêne au vestiaire, moi j’ai envie que tu me regardes faire.

Bon je ne vais pas la contrarier d’autant que je ne sais plus trop quoi dire pour me défiler.

Angie se met à pousser, toujours avec le cul décollé de la cuvette. J’avoue que le spectacle a quelque chose de fascinant, Un petit étron qui peine à sortir, puis qui se met à grandir, pour finalement se détacher et atterrir dans l’eau dormante avec un grand plouf.
sanisette.jpg
Un deuxième étron suit le même chemin, et un troisième. Je suis partagé entre fascination et répulsion. La fascination doit emporter ce match insolite puisque contre toute attente, je bande comme un cerf.

- C’était joli ? demande Angie, mutine
- Pas mal.

Elle tend la main vers le distributeur de papier.

- Merde, c’est vide, tu n’aurais pas un kleenex.

Je cherche dans mes poches, je trouve un paquet, je lui tends.

- Non, ça ne va pas, qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ça, c’est pas assez large.
- Tu te nettoieras à la maison, ce n’est pas une catastrophe.
- Non, mais je n’aime pas me balader avec de la merde collée aux fesses.
- Si on ne peut pas faire autrement…
- A moins que tu me nettoie le cul avec ta langue !
- Ben voyons !
- Non, je dis ça sérieusement.

Alors elle se relève, se penche en avant, écarte ses fesses et me fais voir son cul. Il reste un peu de caca autour de l’anus.

- Y’en a pas tant que ça ! tentais-je de temporiser.
- Eh bien justement ce sera plus facile, vas-y lèche !

Grand moment de solitude et de perplexité

- Bon tu ne vas pas faire ton dégoutté, tu as goutté ma pisse tu peux bien lécher ma merde !
- C’est pas pareil !
- Essaie au moins au lieu de rester là comme une andouille.

J’approche mon visage, l’odeur me fascine, je tente un coup de langue sur une zone cacateuse, pas de quoi s’enfuir en courant, second coup de langue, le pli est déjà pris, et tandis que ma braguette est sur le point d’exploser tant ma bite bande, je nettoie toute la merde qui trainait autour de son petit trou du cul..

- Alors elle est bonne ma merde ?
- Pas mauvaise.
- Embrasse moi !

On le fait alors que j’ai encore le goût du caca dans ma bouche, quelle cochonne cette Angie.

- Angie, je bande !
- Et tu voudrais que je te fasse une pipe ?
- Ben oui !

Elle n’est pas chiante, Angie, elle me l’a fait cette pipe, j’ai bien joui en repensant à son trou du cul merdeux que je venais de lécher.

On ressort. Un type semble choqué de nous voir sortir à deux.

- Ben faut pas vous gêner tous les deux ? Rouspète-t-il
- Mais cher, monsieur, quand il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir répond Angie.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 avril 2016 3 20 /04 /Avr /2016 18:01

Biquet on the road

par Enzo

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Nous somme en mai, le mois du muguet…

 

J'ai 35 ans, je me prénomme Eric et je suis technicien en machines à café (on ne rigole pas s'il vous plaît !). Je devais ce jour-là me rendre en Bretagne pour régler une affaire, après avoir terminé une intervention à Angers.

 

A la sortie de la ville, j'aperçois quelques autostoppeurs, je me dis que si dans le lot il y a une belle nana, je la prendrais volontiers, mais non, que des mecs... Je file en direction de l'autoroute... encore quelqu'un qui fait du stop, il est à moitié planqué derrière un poteau, pas très malin, je ralentis, dès fois que ce soit une fille... non c'est un mec, mais il a cru que j'allais m'arrêter.... Pas vache je pile, le mec court dans ma direction, je le fais monter.

 

- Je vais vers Quimper, vous pourriez me rapprocher ?

- C'est justement ma destination, mettez votre bazar à l'arrière...

 

Le mec a dans les 25 ans, les traits fins, légèrement efféminés mais pas trop, assez fin... On échange des banalités sur la météo, la circulation... Ce n'est qu'au bout de quelques kilomètres que je remarque un curieux petit drapeau sur son sac à dos. Alors là problème : c'est le drapeau gay ou le drapeau de la paix, ils se ressemblent et je ne sais pas faire la différence. Mais bon, le mec ne me doit rien, il est bien content de m'avoir trouvé, je ne vais pas me gêner pour lui demander.

 

- Le petit drapeau là, c'est le drapeau de la paix ?

 

Le mec devient rouge comme une tomate.

 

- Non... bafouille-t-il.

- Alors c'est le drapeau gay ?

 

Il n'est plus rouge, le gars, il est cramoisi.

 

- Oui, mais si ça vous choque, vous pouvez me déposer quand vous le pourrez.

- Mais ça ne me choque pas du tout, je suis très tolérant, et même très légèrement pratiquant...

- Vous êtes gay ? Me demande le gars étonné.

- Non, mais je suis un peu bi !

- Ah ?

 

Je décide de faire dans la provocation :

 

- Ben, oui, voyez-vous j'adore les femmes, mais j'aime bien sucer une bonne bite de temps en temps.

 

Le mec n'en revient pas.

 

- Vous ne me faites pas marcher ?

- Pas du tout, et pour être très franc, je ne vous trouve pas mal du tout.

- Vous n'êtes pas mal non plus ! Réplique-t-il

- Vous êtes pressé ?

- Non pas trop….

- Ça vous dirait, si on s'arrêtait un petit moment pour nous amuser un peu… Proposais-je.

- Je prends un risque, je ne vous connais pas.

- Alors c'est non ?

- Je ne sais pas, attendons un peu…

 

Pas de bol, moi qui commençais à fantasmer, son visage d'ange, ses long cheveux, son allure androgyne.

 

- Rassurez-vous, je respecte les gens, si vous me dites non, je ne vous forcerais pas. Repris-je.

- C'est tout à votre honneur, cher monsieur.

- Mais c'est vrai que vous avez un côté troublant, excitant…

- Merci, mais que diriez-vous si vous me voyez maquillé ?

- Parce que tu te travestis ? Oh, pardon, je vous tutoie

- Vous pouvez me tutoyez. Oui, je me maquille, je m'habille en fille avec une petite robe, des bas, des escarpins…

- Arrête, tu me fais bander !

- Il ne faut pas voyons. Mais vous me posez des questions, j'y réponds.

- Et pourquoi tu ne fais pas du stop en fille ?

- Je n'ose pas… j'ai peur des réactions.

- Et tu as ce qui faut sur toi pour te mettre en fille ?

- Tout !

 

On continue de discuter, le mec est maquettiste et là il prend quelques jours de repos, il va en Bretagne voir sa mère, mais aussi un ami qui habite dans le coin, son truc c'est de se travestir, il me dit qu'il est surtout passif mais qu'il peut être actif…

 

- Tu aimes bien sucer des bites alors ? Relançais-je.

- J'adore, et vous vous faites ça souvent ?

- Pas assez souvent à mon goût.

- Et la dernière fois c'était quand ?

- Il y a deux ou trois mois sur une aire de repos ! Lui mentis-je

- Racontez-moi, j'aime bien ce genre d'histoires !

 

S'il aime les belles histoires je vais lui en inventer une :

 

- Je m'étais déjà arrêté à cet endroit, il y a parfois des travestis qui tapinent, mais ce jour-là, il n'y en avait pas. Je vais donc aux toilettes et là un mec était en train de se faire sucer. Deux autres étaient en train de mater, la bite à la main. Du coup je m'approche, je sors ma queue et me met à me branler, je fais balader ma main vers le type à ma droite, il ne dit rien, et je commence à le branler, puis je me penche, il ne proteste pas et je le suce, le deuxième me tend aussi sa bite, mais, je ne sais pas pourquoi, elle ne me plait pas, pour ne pas le vexer, je lui dit "non, non, une à la fois". Un mec passe derrière moi, me descend carrément mon pantalon, je me retourne, j'ignore d'où il sort celui-là, il me pelote les fesses, puis me doigte le trou du cul. "Je peux te prendre ?" demande-t-il. Je regarde sa bite, j'ai pas envie de me faire démolir, non plus, mais la taille est correcte. Je réponds "oui", il me lèche un peu la rondelle, puis il s'encapote et m'encule. Ça a duré cinq ou dix minutes mais quelle sensation une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Quand le mec de derrière a joui, un autre a voulu prendre le relais, mais j'ai laissé tomber, j'avais eu ma dose, et surtout je voulais jouir. Je me suis branlé devant tout le monde espérant que quelqu'un m'offre son cul ou sa bouche, mais il n'y avait plus qu'une seule personne, le mec qui ne me branchait pas. Je suis sorti espérant faire une nouvelle rencontre, mais il n'y avait rien…

 

- Ça me fait bander ton histoire !

- J'espère bien que je te fais bander… Donc après j'ai eu une idée, je me suis foutu à poil et je me suis assis dans ma voiture, en laissant la portière passager entrouverte, et j'ai commencé à me branler tout doucement. Deux minutes plus tard un type arrivait, il m'a fait comprendre qu'il aimerait bien s'assoir à côté de moi, je l'ai invité à le faire, il m'a branloté un peu, a sorti sa propre queue, puis m'a sucé à fond… Il a voulu que je lui rende la politesse, je l'ai fait, je suis toujours très poli… Tu bandes toujours ?

- A fond !

- Tu me la montres ?

- Avec plaisir, cher monsieur.

 

Je rêve, ses craintes de tout à l'heure sont-elles tombées ? Ou est-ce l'effet de l'excitation ? Toujours est-il que le biquet extrait de sa braguette une superbe bite toute rose et super bandée avec un joli gland mauve et brillant. Intitule de vous dire que je bande aussi.

 

- Hummm ! Qu'elle est belle ? Et tu me laisserais la sucer ?

- Je crois bien, oui !

- Je vais essayer de trouver un coin tranquille.

- Tu veux que je me maquille un peu avant ?

- Ce serait une excellente idée.

 

Excellente idée, certes, mais, ça dure… ça dure… pire qu'une vraie femme… et que je te mette de la crème et que je te remette une autre crème, les machins pour les yeux, le rouge aux lèvres… j'espère qu'il ne va pas se faire les ongles…

 

- Alors ? Je te plais ? Quand je suis en fille, je m'appelle Suzy !

 

Le résultat est tout simplement extraordinaire, le visage est beau, doux, très féminin. Je bande comme un dingue. Si je ne me gare pas dans les cinq minutes je vais provoquer un accident de circulation. Mais ça tombe bien, je connais un peu le coin, je tourne à droite vers une voie peu fréquentée, dont je sais qu'elle longe un petit bois… Le moment venu je m'engage dans un chemin de terre et je stoppe.

 

Je lui fais un clin d'œil et je lui mets la main à la braguette qu'il a laissée ouverte, il se laisse faire et je sens son paquet qui durcit à mon contact, je lui sors tout ça et la masturbe un peu. Le visage de Suzy s'approche du mien, ça va être une première, je n'ai jamais embrassé d'homme, mais là, je n'hésite même pas, nos langues se mélangent, on se roule une vraie pelle bien baveuse, et pendant ce temps, la main du coquin en profite pour s'occuper de mon propre sexe.

Biquet16.jpg

Nous voilà tous les deux la bite à l'air, on se branle réciproquement, il fait ça très bien, n'allant pas trop vite et sachant très bien placer ses doigts, ce n'est pas le cas de tout le monde.

 

- T'es une bonne branleuse, Suzy !

- Merci mon chou !

 

Ah ! Voilà que je suis son chou, à présent ! Je me penche pour lui sucer la bite, de près à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche, elle est encore plus belle, je m'amuse à donner des petits coups de langues sur le gland, puis je glisse tout ça entre mes lèvres, avant de la faire coulisser. Je me régale ! Qu'elle est bonne cette bite ! Et je ne vous dis pas la trique que je me tape !

 

- Si on se mettait sur la banquette arrière ! Me propose Suzy.

 

Pourquoi pas ? Mais j'ai une meilleure idée, j'ai toujours une couverture dans mon coffre, au cas où je serais un jour obligé de dormir dans la voiture. Je lui explique qu'on peut s'installer dans un coin de ce bois qui a l'air désert.

 

On trouve facilement une petite clairière, j'étale la couverture, nous nous déshabillons et de façon quasi spontanée nous nous retrouvons en soixante-neuf. Quel plaisir de sucer cette bonne queue tout en se faisant faire la même chose. Il, (je ne sais plus si je dois dire il ou elle) suce divinement. Mais j'ai un peu peur de partir trop vite. C'est que sa bite, je la veux dans mon cul, moi !

 

- Prends-moi ! Lui demandais-je.

- Tu ne vas pas être déçu, je vais te la mettre bien profond ! Plaisante-t-il

- J'espère bien !

 

Je me mets en levrette, et Suzy commence par me lécher le fion, sa langue est une véritable anguille, aussi agile pour me préparer l'anus que tout à l'heure dans ma bouche. Il me met ensuite un doigt qu'il fait aller et venir, puis après s'être encapoté, son sexe quémande l'ouverture de mon intimité. Je pousse pour m'ouvrir au maximum, ça passe du premier coup, il s'enfonce bien, puis commence à coulisser. Je suis aux anges. Suzy m'encule trop bien, ma bandaison se maintient à un bon niveau ce qui n'est pas évident pendant la sodomie, mais la pensée de me faire mettre par une aussi jolie bite et par un personnage aussi ambigu contribue à m'exciter. D'ailleurs je me branlerais bien en même temps, mais je sais aussi que je me réserve, car Suzy va bien sûr me demander que je lui rende la politesse.

 

Au bout de 10 minutes, Suzy se retire, je suis dans un état second !

 

- C'était bien !

- C'était super, tu m'as enculé divinement, viens m'embrasser ma biche !

 

On s'embrasse très longuement, puis Suzy se positionne à son tour pour la sodomie. Son cul est magnifique, superbement galbé et avec une peau très douce. Moi qui d'ordinaire n'apprécie pas de lécher les culs, c'est sans hésitation que ma langue s'approche de sa rondelle et que je commence à mouiller tout ça. Ça m'excite, ça m'excite et je n'ai qu'une seule crainte : c'est de jouir trop rapidement… Suzy m'a donné du plaisir et j'aimerais lui en donner autant… Bah, si je pars trop vite on pourra toujours recommencer…

 

Ma bite entre très facilement dans le petit cul offert à mes assauts. Je me contrôle au maximum pour faire durer l'action. Suzy pousse des petits cris de satisfaction et je suis franchement content de réussir à lui donner du plaisir. Ma jouissance monte, monte encore, je ne peux plus me retenir ! Qu'est-ce que je fais ? Je décule en risquant de jouir dès que je suis retiré, ou alors je continue… Je continue… L'orgasme est violent, exceptionnel, pendant quelques courts instants je ne suis plus sur Terre. Je m'écroule à moitié sur Suzy. Puis on se relève.

 

- Tu m'as bien baisé ! Me dit Suzy.

 

Voilà un compliment que j'apprécie… Je lui demande comment il veut jouir ? Mon cul, ma bouche, ma main ?

 

- Ton cul ?

 

Ah, bon ! Il veut y retourner, je n'aurais pas cru : Mais ce n'est pas un problème, je me remets en levrette, mais il me demande de me placer sur le dos pour changer, en relevant les jambes… Pourquoi pas ?

 

Il a joui relativement rapidement, lui aussi devait avoir un trop plein de jouissance à évacuer avec toutes ces péripéties.

 

On s'embrasse, on se rhabille, et c'est là qu'on se rend compte qu'on avait un voyeur…

 

Le mec est là, pas gêné, la bite dans la main.

 

- Je n'ai vu que la fin, c'était très excitant ! Nous confie-t-il en guise de présentation.

- Et bien, tant mieux pour toi ! Lui répond Suzy.

- Vous ne voulez pas me sucer ? Demande le voyeur en s'approchant.

- Pourquoi pas ? Puisque c'est demandé gentiment !

 

Et sans transition, Suzy se met à genoux et commence à sucer la bite du mec.

 

- Baisse ton pantalon, je préfère sucer quand c'est bien dégagé, demande-t-il.

 

Le mec s'exécute et mon passager ambigu reprend sa fellation.

 

- Tu veux y gouter ? Me demande-t-il, moi je vais passer derrière.

 

Jolie bite, moins belle que celle de Suzy, un peu plus grosse et plus sombre, mais pas mal. Je mets donc en bouche ce bel engin tout imprégné de la salive de mon prédécesseur qui pendant ce temps-là était en train de faire de l'anulingus. Bien sûr la situation me fait rebander… et je commence à me tripoter la braguette.

 

Suzy revient de mon côté.

 

- Allez on change ! Me propose-t-il

- Je te baiserais bien ! Propose l'inconnu à Suzy

 

Et c'est là que le beau travelo intervient avec cette phrase surréaliste et en me désignant :

 

- Désolé, mais mon petit trou, c'est réservé à mon ami.

 

Le mec paraît dépité…

 

- Sauf bien sûr, s'il m'accorde cette permission… reprend Suzy

 

J'ai compris, c'est un jeu, je me marre intérieurement et ne bronche pas, tandis que l'inconnu reste comme un con avec sa bite dans la main.

 

- Alors c'est non ? Reprend-il.

- Je n'ai pas trop envie, et toi qu'est-ce que tu en pense, Eric ?

- Si tu en avais envie, je t'aurais donnée la permission, mais puisque tu n'as pas envie, je ne vois pas pourquoi tu le ferais… répondis-je

- Sauf si monsieur me dédommage d'un petit billet… reprend Suzy.

- Tu te fais payer ? Balbutie le voyeur.

- Pour la sodo, oui, et ne te plains pas tu t'es fait sucer gratuitement…

 

Le mec remballe ses outils :

 

- Bon, je vous laisse…

 

Il va pour s'en aller, puis revient sur ses pas.

 

- T'aurais voulu combien ?

- 50 euros !

 

Il hésite, puis se lance

 

- D'accord, on y va !

- L'argent d'abord !

- Mais tu es une vraie petite pute !

- Je sais, j'adore ça et j'assume.

- Vous n'avez pas honte de faire ça pour de l'argent ?

- Non, pourquoi, on devrait ? Répond crânement Suzy.

 

Le mec se recule, se reculotte et s'éloigne.

 

- Un pauvre type, frustré sexuellement, et en plus il se permet de nous juger. Il est sans doute plus à plaindre qu'à blâmer. Commente le travesti.

 

Il est 18 heures.

 

- J'ai faim je t'invite au restau !

- C'est gentil, mais je reste en fille ou je me remets en garçon ?

- Tu fais comme tu veux ! On pourrait s'arrêter pour la nuit et s'amuser dans une chambre bien confortable.

- Whaa, le super plan !

 

On tambourine sur la portière de la voiture.

 

- Oh, vous gênez le passage, là.

 

Le passage ! Quel passage ? Le temps de revenir à la réalité, je suis sur une aire de repos.

 

- Alors tu dégages, oui ou merde ?

- Oui ! Une seconde, et puis parlez-moi autrement !

 

Je démarre en vitesse, n'ayant pas envie de me quereller.

 

Je me souviens maintenant, ce type efféminé que j'ai pris en stop… où est-ce qu'il est passé ? J'ai donc rêvé tout ça ? Mais pourquoi, j'ai si mal au cul ?

 

Fin

 

 

 

Enzo Cagliari © 4/2016

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 20 décembre 2015 7 20 /12 /Déc /2015 17:49

Place de la Trinité par Enzo Cagliari

 

Stamp_Mature2.jpg

 

En cette fin d'après-midi de Septembre, je buvais tranquillement une bonne bière bien fraîche à la terrasse d'un café du quartier St-Lazare, quand j'entendis derrière moi cette réplique surréaliste prononcée par un homme à l'accent méridional :

 

- Ecoute Marie, arrête avec ça, je n'ai aucune envie de me faire enculer !

 

Je pensais la réflexion au second degré, elle m'amusa mais sans plus, mais il y eut une suite, et cette fois c'est une femme qui parlait :

 

- Fais-le au moins pour me faire plaisir, et si ça se trouve tu ne le regretteras pas !

- J'ai pas envie de devenir pédé, même pour tes beaux yeux… répliqua sèchement l'homme

 

Oups !

 

Marie_T.jpg Du coup je me tourne discrètement, la femme doit avoir au moins dans les 50 ans, mais super bien conservée, coiffure très chic, yeux verts, rouge à lèvres outrancier et sourire carnassier, elle est très bronzée (UV ?) avec pas mal de petites taches sur la peau, elle est vêtue d'une sorte de débardeur noir légèrement décolletée sur une poitrine qu'on devine généreuse (refaite ?). Le mec fait très chippendale, très grand, blond probablement décoloré, souriant et look de jeune loup.

 

- La question n'est pas là, ça ne va pas te tuer ! Je ne vois pas pourquoi, vous, les hommes vous voulez toujours nous enculer alors que vous vous avez honte de le faire…

 

De mieux en mieux !

 

- Ecoute, Marie, ou on parle d'autre chose ou alors je préfère qu'on stoppe tout de suite cette relation.

- Et bien stoppons tout de suite cette relation ! Répondit la bourgeoise du tac au tac.

- Bon, je te laisse, tu m'auras donné quand même quelques beaux souvenirs, mais on n'est pas vraiment du même monde, allez salut ! Répondit l'homme se levant…

 

La femme ne répondit même pas et se resservit une grande rasade de thé. Je venais donc d'assister à une rupture en direct, et rupture pourquoi, parce que si j'avais bien compris, la dame lui proposait une partouse bisexuelle, et que le monsieur ne voulait pas. Voilà qui m'amuse, et puis plus je mate cette personne, plus elle me branche, elle a un visage intéressant, une belle bouche, une jolie peau dorée, et puis ce joli décolleté bien rempli...

 

J'ai envie de m'amuser et je me lève de mon siège pour interpeller la dame, je vais me livrer à un exercice d'improvisation de haute voltige, je n'ai rien préparé, ça m'excite, j'ai neuf chances sur dix de me planter, et alors, quelle affaire, qu'est-ce que j'ai à perdre ?

 

- Bonjour Madame, je ne voudrais pas être incorrect, mais parfois on entend des choses qu'on ne souhaiterait pas entendre…

 

La tronche de la bonne femme qui me regarde comme si j'étais un martien fraichement débarqué de sa soucoupe ! Je continue :

 

- J'ai donc cru comprendre que le monsieur qui vous tenait, puis qui vous a faussé compagnie s'est éclipsé sans vous payer votre consommation, permettez-moi de la régler à sa place ?

 

Abasourdie, la nana se demande à qui elle a affaire :

 

- Mais, attendez, vous faites quoi là ?

- Je drague madame ! Répondis-je absolument pas démonté.

- Et bien j'en ai connu... mais des comme vous…

- M'autorisez-vous à m'asseoir à vos côtés ?

- Non, merci !

- Alors d'accord, je ne vous importunerais pas plus d'une minute, je voulais simplement vous dire que je vous trouve très séduisante...

- Très original !

- A ce point que si j'avais eu la chance que vous me fassiez la même proposition qu'à la personne qui était avec vous il y a cinq minutes, j'aurais en ce qui me concerne accepté sans hésiter !

- Qu'est-ce que vous racontez ? Me demande alors la bourgeoise éberluée qui se met à me détailler de la tête aux pieds comme si elle voulait savoir à qui elle avait vraiment affaire !

- Vous êtes craquante, réellement ! Repris-je.

- Vous, vous… avez entendu notre conversation ?

- Bien malgré moi.

- Asseyez-vous, ne restez pas debout, voyons, vous êtes qui ? Vous faites quoi dans la vie ?

- Je m'appelle Etienne, je suis courtier en œuvres d'art et ça me laisse beaucoup de temps libre !

 

Gros mensonge, mais ça fait plus branché que dépanneur en informatique.

 

- Intéressant, je m'appelle Marie-Claire et je vis de mes rentes, mais je m'intéresse à un tas de choses.

- La peinture ?

- J'aime les jolis tableaux, mais je ne m'y connais pas beaucoup !

- Le sexe !

- Ça fait partie des plaisirs de la vie, non ?

 

Et alors que je cherchais déjà ma prochaine réplique, la voici qui me balance :

 

- Alors comme ça vous aimez bien vous faire enculer ?

 

Ce langage aussi cru, proféré de façon si inattendu eut le pouvoir de m'exciter, et si elle veut vraiment jouer à ce jeu, je ne me déroberais pas ! Pire je la joue provoc :

 

- J'adore ça, une bonne bite dans le cul c'est génial !

- Homo ? Bi ?

- Bitophile !

- C'est quoi ça, c'est nouveau, ça vient de sortir ?

- Je ne suis pas attiré par les hommes, mais par leur queue, oui ! Oh vous avez une petite poussière sur le bras, permettez que je vous l'enlève !

 

Et sans attendre de réponse, me voici en train de lui caresser le bras...

 

- Vous avez la peau douce !

- Il parait, oui ! Vous caressez très bien !

- Je peux vous caresser encore mieux, si vous voulez...

- Ne rêvez pas, je ne suis pas non plus inconsciente au point de m'embarquer avec un inconnu.

- Alors faisons mieux connaissance !

- Je ne suis pas contre les aventures, mais j'ai une nette préférence pour les hommes soumis.

- Ça tombe très bien, j'adore jouer à l'esclave !

- Non ?

- Si !

- Caressez-moi encore les bras ! Quel dommage Que vous ne puissiez pas me caresser les fesses, j'adore qu'on me caresse les fesses !

 

L'idée !

 

- Je suis en voiture...

 

Je n'ai pas besoin de continuer, elle a compris !

 

- Vous êtes garé loin ?

- A cinq minutes à pied ! Dans le haut de la rue là-bas.

- Allez la chercher, je vous attends, mais bon, je reste cinq minutes avec vous et après je vous laisse, d'accord ?

 

Je marquais mon accord et déposais un billet sur la table !

 

- Je vous avais promis de payer votre consommation

- Garde ton fric, esclave et dépêche-toi !

 

O.K., je me dépêche, mais arrivé au coin de la rue, je me retourne par réflexe, Marie-Claire n'est plus à sa place. C'était trop beau pour durer, cette affaire. Tant pis, c'est pas bien grave !

 

Dix minutes plus tard, la voiture récupérée, je repasse malgré tout devant la terrasse du café. Miracle ! Marie-Claire m'attendait sagement, je donne un coup de klaxon et elle me rejoint.

 

Je ne connais pas trop le quartier où je suis venu pour un dépannage, elle m'indique quelques rues "tranquilles", on tourne pas mal. Marie Claire a relevé sa jupe bien plus haut que la mi-cuisse, j'y pose la main droite à chaque fois que je peux, me voilà en train de bander comme un dingue d'autant qu'à chaque contact, je monte un peu plus haut sans soulever de protestation. Finalement je parviens à me garer dans une petite rue.

 

Je lui remets ma main sur sa cuisse et approche mon visage du sien avec la ferme intention de l'embrasser.

 

- Attends ! Me dit-elle me stoppant net dans mon élan.

 

Et la voilà qui après avoir débouclé sa ceinture de sécurité, se soulève légèrement de son siège et retire sa culotte

 

- C'est un test, c'est pour voir si tu es un bon esclave, tiens renifle ! Me dit-elle, me passant l'objet.

 

Pas très nette, la culotte ! Elle est légèrement mouillée d'une urine récente, il y a aussi quelques traces moins claires.

 

Mes sentiments sont partagés parce que j'ai bien l'impression d'avoir perdu la maîtrise du jeu, mais il n'empêche que mon excitation est au maximum. Comme dans un rêve, je renifle la culotte, ces odeurs intimes me rendent fou. Je vais pour lui rendre :

 

- Non, tu la gardes, tu me la rendras ce soir ?

 

Ce soir ? Qu'est-ce qu'elle me raconte ? J'essaie de reprendre l'initiative, ma main s'approche de l'échancrure de son débardeur !

 

- Qu'est-ce que tu es en train de faire ? Fait-elle mine de demander en stoppant mon geste.

- J'essayais de découvrir ta poitrine...

- Ma poitrine, tu la verras ce soir, pour l'instant je suis venue pour que tu me pelotes les fesses.

 

Et en disant cela, elle se soulève un petit peu en pivotant légèrement sur la droite. Je réponds donc à l'invitation et entreprend de lui caresser ses globes fessiers. Elle a l'air d'aimer ça et me le redit :

 

- Hum, j'adore qu'on me tripote les fesses !

 

De caresses en circonvolutions, je m'approche l'air de rien du sillon, me demandant jusqu'où elle me permettra d'aller

 

- Fous-moi un doigt dans le cul !

 

Puisque c'est elle qui me le demande, on ne va pas se priver, je me lèche l'index, l'entre avec une facilité déconcertante et l'agite, elle m'encourage, pousse des petits cris, me demande d'introduire un second doigt que je lèche préalablement sans trop m'attarder sur l'état du premier. Un petit coup au rétroviseur, quelqu'un arrive côté trottoir. On arrête tout ! Je pensais qu'on reprendrait après, mais non :

 

- Lèche tes doigts ! Ordonne-t-elle

 

Bon, leur état n'est pas catastrophique mais ils sont quand même un peu pollués.

 

- Euh, peut-être pas !

- Ah bon, tu n'as pas envie qu'on se revoie ce soir ?

- Si !

- Alors tu lèches !

- J'aime pas trop !

- Mais si tu aimes, mais tu ne veux pas te l'avouer, lèche esclave, et ce soir je te pisserai dans la bouche !

 

Je lèche ! C'est la première fois que je mets mes doigts dans la bouche après qu'ils soient allés triturer un autre trou du cul que le mien. Parce qu'avec le mien, je l'ai déjà fait, mais uniquement dans les périodes de très forte excitation, je vainquis toutefois mes résistances et obtempérais, rencontrant un goût, certes âcre mais non repoussant.

- C'est bien ! Tu es libre ce soir ?

- Oui, en ce moment je suis célibataire !

- Voilà, c'est un petit club privé dans lequel je me rends presque tous les jeudis.

 

Elle m'explique, me note l'adresse :

 

- On se réunit entre copines et on joue à des jeux très coquins, Si tu aimes la soumission, tu ne devrais pas être déçu.

- Mais, attends, je ne tiens pas à me faire flageller non plus !

- Ne t'inquiètes pas, on n'est pas des sauvages ! On forme un petit club, parfois on amène des esclaves et on joue avec, quand on n'a pas d'esclave, on tire au sort et l'une d'entre nous devient l'esclave des autres, c'est ce qui m'es arrivé la dernière fois, ces salopes m'ont attaché, m'ont fouetté, m'ont pissé dans la bouche, ça m'a bien plu !

 

Elle me fait bander avec ces histoires…

 

- Ce soir je crois que Denise amènera un esclave, si tu as envie de te faire enculer tu pourras en profiter. Ça te tente, hein, gros cochon ?

- Ben !

- Tu aimes ça, les bites, hein ?

- J'aime bien les femmes aussi…

- J'avais compris, mais toi tu dois être le genre à trainer dans les pissotières de gare pour mater les queues des mecs. Je me trompe.

 

Je n'ai jamais fait ce genre de choses mais si ça l'amuse de le croire, je ne vais pas la contrarier

 

Elle me regarde vicieusement et ajoute :

 

-Allez, à ce soir, je compte sur toi, ne te dégonfles pas ! Au fait n'oublie pas de me rapporter ma culotte, tu as même le droit de te masturber dedans... Tiens, oui c'est une bonne idée, ça ! Rapporte la moi avec une belle tache de sperme !

 

Et sur ces paroles, elle sort de la voiture me laissant dubitatif.

 

C'était donc dix minutes de pure folie avec une mature nymphomane à moitié déjantée. Il n'était à ce moment-là dans mon esprit aucunement question que je donne suite à ses propositions délirantes. Un peu curieux, tout de même, je me demandais bien ce qui pouvait se passer dans ce mystérieux club privé... mon cerveau vagabonde... Je m'imagine découvrant le galbe de ses seins, tétant goulûment ses tétons, m'égarant ensuite vers son pubis, dégustant son suc intime, buvant son urine tiède. Et bien sûr, voilà que je bande ! Dilemme : gérer la situation tout de suite ou jouer au délicieux challenge du plaisir retardé. Un coup d'œil au rétro ! Après tout se branler dans une voiture en stationnement, voilà qui est d'une totale perversité ! Et puis il fallait que je me calme. Je me masturbais donc, très vite, sans rechercher un instant ni à optimiser mon plaisir ni à le retarder. J'éjaculais dans la culotte de la dame comme elle me l'avait suggéré, essayais en vain de m'essuyer avec, terminais avec des kleenex, fis une boule de tout cela que je m'apprêtais à jeter au caniveau par la vitre de la voiture, mais la présence sur le trottoir d'une mère de famille et de sa progéniture m'y fit renoncer. La boule atterrit donc sur le plancher de la bagnole et je démarrais, direction, la maison !

 

Une douche, une bière.... Puis la flemme de me faire à manger, je descends au traiteur chinois du coin. La serveuse est adorable, c'est une nouvelle, il n'y a que quelques semaines qu'elle est en France, j'ai du mal à communiquer avec elle. Quand je lui ai demandé son prénom elle n'a rien compris ! J'essaie de penser à un tas de choses afin de dissiper les images de l'après-midi qui reviennent en boucle dans mon esprit. Mais pas moyen. Ça revient, ça revient, ça n'arrête pas ! J'aurais mieux fait de rester chez moi et de regarder un truc à la télé.

 

Il n'y a pas grand monde au chinois ce soir, il y a des jours comme ça ! La serveuse me balance des petits sourires. Après tout, j'ai peut-être une chance ? Je la tente.

 

- Ça vous dirait si je vous emmenais boire un verre après votre service ?

- Oui !

 

Elle a dit "oui" c'est dingue ! Moi qui m'attendais à une longue procédure de drague, voilà l'affaire expédiée en un clin d'œil ! Mais bon, il faut fixer les modalités maintenant, je verrais ça plus tard, la fille est déjà repartie derrière son comptoir. Des images se forment déjà dans ma tête, je m'imagine en train de la déshabiller, de lui peloter les seins, de… et la voilà qui revient avec un verre qu'elle me pose à côté de celui qui est derrière mon assiette. Catastrophe, elle a tout compris de travers, tout est à refaire !

 

- Vous êtes très belle (nouvelle tentative)

- Oui ! répond-elle avec un petit sourire

 

Et puis, l'intuition

 

- You speak english ?

- Just a little !

 

Encore raté, il va falloir que j'apprenne le chinois, ou le vietnamien ou le thaïlandais, je ne sais même pas son origine. Je suis déçu parce que pendant deux minutes je me suis surpris à fantasmer trop fort sur elle. Tant pis, je rentre et je me masturberais à la maison (ça ne fera jamais que la deuxième fois aujourd'hui,) où j'irais voir une prostituée… où alors…. Et voilà les images de Marie-Claire qui reviennent…

 

Et si j'allais voir ? Je regarde l'heure, j'ai le temps ! Je m'installe sur le canapé, j'essaie de m'intéresser à la télé, mais il n'y a rien pour m'accrocher, plus il a de chaines, moins il y a de trucs à regarder voir, mes paupières deviennent lourdes, je m'endors.

 

Un bruit me réveille, il est à peine 21 heures, je n'ai pas dormi longtemps. Je me débarrasse de mon chéquier et de ma carte bleue, je ne prends que du liquide et je pars en reconnaissance... par le métro.

 

L'adresse qu'elle m'a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J'ai dix minutes d'avances, je tourne un peu dans le secteur. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d'y aller…

 

A 21 h 30 très précise, je sonne à l'interphone

 

- Oui ! Me répond une voix de femme

- Je viens de la part de Marie-Claire.

- Montez, 3ème gauche.

 

Je monte, la porte s'ouvre.

Denise_T.jpg

Une blonde plutôt mûre, un peu rondouillarde et très maquillée me toise, me fait entrer mais on reste dans l'entrée :

 

- Marie-Claire vous a expliqué comment ça se passait ?

- Juste en gros, elle n'est pas là ?

- Elle n'est pas arrivée !

- Ah ! Je vais faire un tour et je vais revenir, alors !

- Pourquoi je vous fais peur ?

- Non, non !

- Que vous a-t-elle dit au juste ?

- Elle m'a juste dit qu'on y pratiquait la domination entre amis ?

- Et vous êtes son esclave !

- Si on veut, oui !

- Tu as un droit d'entrée à payer, elle te l'a dit aussi ?

- Ben non !

- C'est 100 euros !

 

Je commence à me demander si je ne vais pas m'enfuir en courant, mais la somme demandé est relativement modeste et je l'ai sur moi. Je regarde Denise (puisque c'est son prénom) elle porte une petite robe blanche décolletée à fines bretelles et à grosses mailles, mais le petit plus c'est qu'elle n'a pas de soutien-gorge en dessous. Je ne vous dis pas l'effet que ça me fait ! Du coup je lui sors de mon portefeuille la somme demandée.

 

- Ils te plaisent mes nichons on dirait ?

- Ben, oui, faut avouer !

- Ne rêve, pas ce n'est pas pour toi ! Tu pourras peut-être mieux les voir tout à l'heure mais pour ce qui est de les toucher, nada !

- Tant pis pour moi !

- Voilà une grille, tu vas la remplir.

 

On vient de me tendre un questionnaire. Il comporte une série de pratiques regroupées en rubriques, je dois cocher dans des cases "oui", "non" ou "éventuellement". Déjà vu ce système-là chez une dominatrice il y a un bout de temps, je remplis le papelard debout, le rend à Denise Elle regarde ce que j'ai coché.

 

- Bon, t'es un petit soumis, toi ! Mais tu as l'air d'avoir de la bonne volonté. On va voir ça à l'usage ! Tu entres ici, il y déjà du monde. Tu te mets complètement à poil, complètement même les chaussettes !

 

Ok, on y va, je pénètre dans une très grande pièce avec un coin bar, genre salle de reception. Je dis bonjour, personne ne me répond. Pas trop sympa ! Le S.M. n'empêche pas la convivialité, mince alors. Je jette un regard circulaire mais Denise me presse :

 

- Tu fais quoi ? Je t'ai dit de te mettre à poil, pas de regarder ce qu'il y a au mur, c'est pas le musée du Louvre ici !

 

Bien, les hostilités commencent. Je pars ou je reste, mais maintenant que j'ai payé… Il y a là deux autres femmes matures qui sirotent des bières autour d'une petite table. On va les décrire un tout petit peu pour la suite :

 

Belinda_T.jpg Belinda, bronzée fausse blonde aux long cheveux raides, pas très grande, le regard noir et vicelard. Elle est vêtue d'un haut de maillot de bain assez ridicule aux couleurs du drapeau américain et d'une jupette courte bleu marine.

 

Tanya_T.jpg Tanya : forte brune à grosses lunettes perchées sur le bout du nez, les cheveux coiffés en chignon, très souriante, elle est vêtue d'un tailleur pantalon noir dont le haut est ouvert sur un énorme soutien-gorge mauve

 

Une petite soubrette black se tient près du bar, elle est juste habillée d'un petit tablier blanc de serveuse, ses seins de bonnes proportions débordent de chaque côté du plastron, c'est tout à fait bandant… Et puis il y a un quatrième personnage, dans le fond de la pièce, un homme, complètement nu à l'exception d'un ridicule nœud papillon, il est à genoux, plutôt bien foutu, un esclave comme moi sans doute ?

 

Denise s'approche de moi, me contourne, me regarde dans les yeux. Puis soudain sans prévenir, me crache au visage, me gifle et ordonne :

 

- Mets-toi à genoux ! Esclave !

 

J'accepte le jeu, elle se penche pour m'attraper mes tétons dans chacune de ses mains et me les serre avec force. Là, elle peut y aller, j'adore ce truc, et en plus ça me fait bander !

 

- On t'a donné l'autorisation de bander ?

- Non maîtresse !

- Bon, on va attendre Marie-Claire, mais tu ne perds rien pour attendre, tu vas déguster, mon salaud !

- Il a peut-être soif ? Suggère alors Belinda la petite fausse blonde au regard vicelard.

- Tu veux quoi ? Une bière ?

- Je veux bien, oui !

- Malou, une bière pour l'esclave de Marie-Claire !

 

Je ne suis pas dupe ! Ça cache quelque chose, mais cela m'étonne que l'on commence déjà les pratiques uro. Malou, la soubrette verse de la bière dans une chope et la tends à Belinda qui s'est levée ! Elle s'approche de moi et me balance tout le contenu à travers la figure ! C'est idiot parce que cette fantaisie me prive du plaisir d'observer mieux la soubrette qui regagne sa place le cul à l'air ! Quel joli popotin !

 

- Merci maîtresse ! Balbutiai-je en bandant encore plus fort.

 

La Belinda me parait bien excitée, elle se dirige vers un râtelier ou elle se saisit d'une fine cravache ! Ça y est je vais passer à la casserole… mais son geste est freiné par l'arrivé de Marie-Claire. Je le regrette presque, la perspective de me faire corriger par cette belle vicieuse m'excitait déjà !

 

- Alors les filles, on voulait commencer sans moi ? Plaisante-elle.

 

Elle embrasse ses trois copines, va mettre la main au panier de la soubrette, mais n'a pas un mot pour le chippendale toujours logé dans son coin.

 

- Mon petit esclave est là ! Je savais bien qu'il viendrait !

 

Tu parles, facile à dire, si j'avais pu communiquer avec la petite chinoise, je ne serais sûrement pas là !

 

- Tu m'as rapporté ma culotte, j'espère ?

 

Ah ! Oui la culotte ! Ben non je n'ai plus pensé à la culotte, qui est restée en boule avec un kleenex sur le plancher de la bagnole !

 

- Non maîtresse, j'ai oublié !

 

A ce stade, il est possible qu'elle me vire, ça se fait parfois, parait-il. ! Pas bien grave, enfin un peu dommage quand même. Et "vlatipa" que je reçois une paire de baffes. Je rentre vite dans mon rôle :

 

- Pardon maîtresse !

- C'est quoi ce jeu ? Intervient Denise, tu lui avais prêté ta culotte !

- Oui, il devait jouir dedans et me la rapporter…

- Humm, voilà qui mérite une sacrée punition ! Qu'est qu'on va lui faire ?

- On va voir, mais avant il faut que je vous raconte comment je l'ai trouvé ! En fait c'est lui qui m'a abordé en me disant qu'il voulait se faire enculer !

- Non ?

- Si ! Tiens racontes-nous tout ça ! me demande-t-elle et tu n'oublies aucun détail on n'est pas pressée, n'est-ce pas les filles ?

 

Me voici dans le rôle du conteur pour dames seules, c'est nouveau, je cherche mes mots ! La grosse Tanya est partie chercher des pinces à linges, elle s'approche de moi et m'en colle une à chaque téton ! Ça m'électrise. J'ai le malheur d'ouvrir la bouche, elle me crache dedans !

 

- Ça va t'aider à nous raconter !

- Il était une fois…

 

oooOOOooo

 

- Et voilà vous savez tout !

- On lui fait quoi ? demande Denise

- Si on jouait à Parfum de femme ? propose Belinda

- Je l'aurais parié ! rétorque Denise, mais tu n'es pas sûre de gagner cette fois ci ! Je passerais la dernière d'accord !

- Et moi juste avant elle ? reprend Belinda

 

C'est quoi ce jeu ?

 

- Bon je serais en deuxième alors ! dit Tanya. Tu connais le jeu, j'espère, toi l'esclave ?

- Ben non !

- Et bien tu vas nous renifler le cul et tu devras désigner laquelle a le meilleur parfum !

 

Ah, bon ! On ne me l'avait jamais faite encore celle-là ! Marie-Claire enlève sa robe ! Dingue, elle n'a pas remis de culotte, elle est nue en dessous à l'exception de son soutien-gorge blanc qu'elle n'a pas du tout l'air décidé le retirer. Elle doit s'entretenir sérieusement, pas de graisse, le bronzage est intégral, l'épilation aussi. Elle se tourne ! Quel beau cul !! Elle s'écarte les globes fessiers. On me fait approcher !

 

- Tu renifles et c'est tout pour l'instant !

 

Mon nez est collé à son trou du cul. Une légère odeur s'en dégage. Je pense déjà à l'état où doivent être ceux des deux autres qui disent gagner le concours. Et puis soudain la voilà qui pète, je me recule d'instinct mais une main me retient ! J'ai compris c'est ça le jeu ! Mais sa flatulence était plus bruyante qu'odorante. Manifestement elle tente de renouveler l'opération mais n'y parvient pas.

 

Elle s'éloigne ! Me voici partagé. Devenir testeur en flatulence n'a jamais été dans mes fantasmes, mais dans le cadre d'une domination, je prends plaisir à l'accepter… j'aurai quand même préféré d'autres choses, elles viendront sans doute après.

 

Et voici la "grosse" Tanya qui retire son pantalon et son énorme slip mauve !

 

- Allez, au boulot !

 

Elle n'écarte rien du tout et c'est moi qui sépare ses deux grosses masses de chair, ça sent la sueur, c'est plein de poils, mais ça sent la femme, j'approche, c'est très acre, je renifle, je fais le petit chien je suis en plein dans mon rôle, manifestement elle essaie de péter, elle n'y arrive pas !

 

- Lèche !

 

Ah bon, faut lécher maintenant ! Je lèche, ça ne m'a jamais dérangé de lécher un trou du cul et je commence même à y trouver du plaisir.

 

- Allez lèche encore ! Lèche mon cul plein de merde !

 

On est en pleine poésie !

 

- Tu as envie ? lui demande Belinda.

- Maintenant je ne sais pas, mais tout à l'heure sûrement, oui...

- Bon, à moi maintenant !

Belinda09.jpg

Et voici Belinda qui s'est débarrassée de sa jupette, c'est la troisième à garder le haut, ça m'énerve un peu ! Par contre j'ai l'impression que celle-ci elle peut me faire ce qu'elle veut, je l'accepterais, elle m'excite de trop ! Elle se met en position, moi aussi. Comme Marie-Claire elle est intégralement rasée et bronzée quoique moins intensément, son petit œillet est bien dessiné comme je les aime. L'odeur est envoûtante, pour l'instant c'est elle la meilleure... Si elle pouvait me demander de lécher... Je demande si je peux...

 

- Tu me lécheras tout à l'heure si c'est moi la gagnante et je te chierais même dessus pour te récompenser, je crois que j'ai une petite envie...

 

Glups ! Elle est un peu timbrée celle-là. Puis je me souviens avec horreur, que sur la grille que j'ai renseignée, j'ai indiqué scato : éventuellement ! C'est quoi pour elles "éventuellement" ?

 

Et me voici sous Denise, pas mal non, d'autant plus qu'elle accepte, elle, qu'on la lèche... Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle n'est pas très nette du cul, je me demande même si elle n'a pas carrément oubliée de s'essuyer. Elle me pète au visage plusieurs fois de suite... L'effet de surprise est passé, on s'habitue à tout... n'empêche que j'en ai plein les narines.

 

Alors c'est qui la gagnante ?

 

Dilemme, si je désigne Belinda, elle va me faire un truc que je ne souhaite pas... à moins que mon masochisme me le fasse supporter quand même...

 

- On dirait que tu hésites, me dit cette dernière, si c'est moi tu sais ce qui va t'arriver... je suis la seule à avoir envie, sinon les autres, elles te l'auraient dit...

 

Et histoire d'ajouter encore à la confusion elle retire son soutien-gorge, elle a de jolis seins un peu lourds dotés de larges aréoles brunes...

 

- Alors c'est moi ? Demande-t-elle.

- Oui ! M'entendis-je murmurer.

- Tu ne crois pas que tu as un peu trichée ? Lui lance Denise !

- Non j'ai joué, j'aurais pu perdre ! Bon je crois que j'aimerais assez que, puisque vous avez perdu, vous veniez me lécher le cul à votre tour en signe de reconnaissance de ma victoire !

 

Les trois femmes viennent à tour de rôle lécher le cul de Belinda. Puis on m'ordonne de me remettre à genoux. La femme se positionne comme tout à l'heure.

 

- Je n'ai jamais fait ça ! Crois-je utile de préciser...

 

Du coup elle se retourne, me crache au visage et m'envoie deux gifles !

 

- Dis donc, un esclave ça ne raconte pas sa vie, ça subit ! Tu savais ce que tu faisais en me désignant, oui ou non ? Alors pour l'instant tu lèches et moi je pousse... Surveillez-le bien les filles !

 

Je m'applique, mais manifestement, ça ne vient pas ! Elle se dégage, je crois alors m'être tiré du guêpier dans lequel je me suis moi-même fourré, mais ce n'est même pas évident.

 

- Bon on va attendre 5 minutes, en attendant on va boire un coup... Tu vas aller te mettre là-bas à la place de l'esclave et lui, il va venir ici... Pas debout, à quatre pattes comme un chien

 

Je croise donc le biquet et vais occuper son coin. On ne fait plus attention à moi, les quatre nanas, ont entrepris de maquiller le biquet, de lui mettre une perruque. Puis Marie-Claire se met à le masturber. Dès que sa bite a atteint une bonne érection, elle me fait signe de revenir...

 

- Allez, viens te faire enculer !

 

L'idée ne me déplait bien, mais je ne sais pas trop comment me disposer !

 

- Suce-lui la bite pour commencer, salope !

 

Je ne me fais pas prier. Sa bite est belle, bien droite, le gland est tout rose, je gobe l'objet avec avidité, je me régale, donne de savants coups de langue et de puissants mouvements de lèvres, je n'ai pas eu si souvent l'occasion de faire ça... mais me voilà excité comme un fou...

 

- Tu le lèches derrière maintenant !

 

Ça, ça me plait beaucoup moins, je n'ai jamais sucé le cul d'un mec, mais je m'aperçois que l'ordre ne s'adressait pas à moi, c'est le chippendale qui me lèche le fion afin de le lubrifier bien comme il faut.

 

- Vas-y encule la, cette salope !

 

Je pensais qu'il aurait du mal à entrer, mais non, ça passe à l'aise, et le voilà qui me ramone. C'est super bon, je me pâme...

 

- Alors, t'aimes ça te faire enculer, ma salope ? Me demande Marie-Claire.

- Oui, c'est bon !

- C'est comme ça qu'on répond à une maîtresse !

- Oui, j'aime bien me faire enculer, Maîtresse !

- Ah ! Voilà qui est mieux !

 

Belinda ordonne alors à mon sodomite de se retirer. C'était bon, même si j'ai un peu mal au cul... Elle s'approche de nous.

 

- Hum, il n'était pas très propre ton cul, tu as vu dans quel état tu lui as mis la bite !

 

Bon ! C'est vrai que la capote est un peu polluée, mais il n'y a rien de catastrophique non plus…

 

- Lèche ! Nettoie !

- Non, ça ne me dit rien !

 

Une lanière de cuir me cingle les fesses. L'ordre est répété :

 

- Lèche ! Nettoie !

- Non, je ne veux pas faire ça !

 

On me cingle de nouveau, la décision de quitter précipitamment ce lieu de débauches est quasiment prise.

 

- Dis-moi, tu es une petite salope, oui ou non ? Me demande Belinda en prenant un petit air canaille.

 

Ouf on parle d'autre chose, je crois donc avoir échappée au léchage… je réponds donc :

 

- Oui, oui, je suis une petite salope !

- Je ne suis pas sûre, les vraies petites salopes, ça n'hésitent pas à nettoyer les bites qui sortent de leur culs, toi pour l'instant tu te dégonfles, c'est pas bien… mais je sais que tu vas te ressaisir, allez lèche, nettoie et plus vite que ça, petite salope !

 

Cette nana m'envoute. Je réfléchis très vite, après tout j'ai bien sucé mes doigts cet après-midi, cette fois, c'est juste un peu plus gros. J'essaie, toujours la même impression, un goût assez neutre, un arrière-goût plutôt âcre, mais rien de franchement repoussant, je vais donc lui nettoyer comme il faut sa bite (ou plutôt sa capote) à l'autre chippendale ! Lequel est invité après cette petite fantaisie à retourner dans son coin.

 

- Tu t'es bien fait enculer, tu as droit à une récompense... me précise Belinda.

 

Je flaire le piège.

 

- Pour avoir ta récompense, il faut la demander ! Insiste-t-elle

- Maîtresse, est-ce que je peux avoir ma récompense ?

- Met toi déjà à quatre pattes et ensuite je veux que tu me nommes la récompense je vais te donner...

 

C'est bien ce que je pensais ! Je ne dis rien, je bloque ! Mais voilà que Tania est passé derrière moi et m'administre plusieurs coups de martinet à la volée... et elle n'est pas spécialement douce.

 

- J'arrêterais quand tu auras répondu à Belinda.

 

A ce stade, je peux très bien décider de me barrer de ce repaire de folles... mais Belinda s'accroupit devant moi, approche son visage à quelques centimètres du mien, fait quelques mouvements de langues et minaude :

 

- Et puis, ça me ferait tellement plaisir...

 

La salope, elle est en train de me manipuler, je résiste, je ne réponds pas, et l'autre derrière qui continue à me fouetter. C'est décidé, je me barre... Et puis le miracle : Belinda reprend ses mouvements de langues et cette fois atteint mes lèvres. Je craque, on s'embrasse l'espace de quelques secondes...

 

- Alors ?

- Chie-moi dessus, maîtresse !

 

Déjà je le regrette, mais on me fait allonger sur le sol, et comme tout à l'heure j'ai les fesses de cette superbe femme au-dessus de mon visage.

 

- Un petit pipi pour commencer ! Ouvre bien la bouche !

 

Jusque-là ça va, elle me pisse quelques gouttes que j'avale sans problème, la suite ça va être autre chose... si seulement elle pouvait bloquer comme la première fois... Mais elle ne bloque pas... je vois un étron qui commence à sortir de son anus, elle pousse encore... Elle a le tact de s'avancer un tout petit peu, pour que je ne reçoive pas tout ça sur le visage, effectivement l'étron se tortille, se détache et me tombe en bas du cou, drôle d'impression....

 

- Joli ! commente Denise.

- Attends j'ai pas fini ! Répond Belinda.

 

Un second et un troisième étron viennent rejoindre le premier. Je bande comme un cerf, et c'est tout à fait inattendu !

 

- Malou, le plateau ! Demande Marie Claire.

 

La petite soubrette s'approche de moi, ramasse à pleines mains les étrons échoués sur mon torse, et les dispose sur un plateau en argent.

 

- Je vois que ça t'excite ! Reprend Belinda, je ne pensais pas que ça te ferais bander comme ça, mais du coup, on va continuer le jeu, tu vas me servir de papier à cul ...

 

Bizarre, je la sentais venir, celle-là ! Sans réfléchir je précipite ma langue sur ses fesses et entreprend de nettoyer tout ça ! Ce n'est pas spécialement mauvais, un peu âcre peut-être, mais on s'y fait...

 

- Et ben dis donc, il t'a drôlement bien nettoyé, je me le réserve pour tout à l'heure ! Indique Tanya.

 

Oui, mais bon, j'en ai marre de faire le jouet, j'ai trop envie de jouir, je me branle, j'éjacule.

 

- Pourquoi tu t'es branlé ?

- Pourquoi tu as joui ?

- Salaud d'esclave !

- Vas-t-en ! Vas-t-en !

 

Elles sont de plus en plus menaçantes, qu'est-ce qu'elles vont me faire ?

 

Je me réveille en sueur, quel drôle de rêve, j'ai mouillé mon slip… il faut que je me lave et que je me change, mais je regarde ma montre, j'ai le temps, je n'ai pas beaucoup dormi.

 

J'hésite quand même à aller à ce curieux rendez-vous, le fait d'avoir joui m'a un peu démotivé, mais bon, ma curiosité l'emporte.

 

L'adresse qu'elle m'a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J'ai dix minutes d'avances, je tourne un peu dans le quartier. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d'y aller…

 

A 21 h 30 très précise, je sonne à l'interphone !

 

- Oui ! Me répond une voix d'homme

- Je viens de la part de Marie-Claire.

- Montez, 4ème droite.

 

Je monte, la porte s'ouvre. Une montagne de chair apparaît.

 

- Entrez !

 

J'obtempère, cherche Marie-Claire du regard. Le colosse m'indique qu'elle n'est pas encore arrivée, mais qu'elle ne devrait pas tarder.

 

- Une bière ?

- Non merci !

 

Le mec doit faire 1 m 95 il est bâti tout en largeur, un cou de taureau, son marcel laisse apparaître des biscotos impressionnants, un vrai pilier de rugby ! Il est coiffé en brosse, et est affublé de petites moustaches assez ridicules, à tous les coups, ce mec doit travailler dans l'armée ou la police. Je n'ai pas, mais vraiment pas envie de me faire dominer et sodomiser par ce monstre.

 

- Ah, zut, j'ai oublié le cadeau pour Marie-Claire dans la voiture, je reviens de suite ! Annonçais-je comme prétexte à ma fuite.

 

Arrivé en bas, je me faufile dans les rues, pas envie de rencontrer Marie-Claire à la station de métro.

 

C'est quelques minutes plus tard que je me rendis compte que j'avais oublié de rapporter sa culotte… comme dans mon rêve.

 

FIN

12/2015 © Enzo Cagliari

 

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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