Enzo Cagliari

Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 07:38

Orgie dans la clairière

par Enzo

 

bi stamp

 

 

C'était un samedi après-midi sous le radieux soleil du mois de juin.

 

Je me suis engueulé avec ma femme. Pour des bêtises en plus. Alors j'ai pris la bagnole et j'ai filé la route plus ou moins par hasard. Je me suis retrouvé à 20 kilomètres au bois de Capet.

 

Je me suis garé et me suis enfoncé dans la forêt, le lieu avait la réputation d'être un peu chaud il y a des années, j'ignore s'il l'est encore ?

 

Une heure que je marche, j'ai bien croisé un couple mais ils m'ont ignoré. Le problème c'est que je suis un peu perdu, il va falloir que je trouve le moyen de me repérer.

 

Ah, un type au loin, je vais lui demander où est la route quand je le croiserai. Le mec est en bermuda, chemise ouverte. A dix mètres de moi, il s'arrête, se met sur le côté et sort sa bite pour pisser sans se cacher. Je vais vers lui, il me sourit, il se branle maintenant devant moi. Je fais quoi ? Je me dégonfle ou je me lâche ?

 

- Si tu aimes la bite, je suis très doux ! M'indique-il.

- Elle est belle ! Parvins-je à articuler.

- Vas-y, touche !

 

Je lui branle un peu la bite, voilà des années que je n'ai pas fait des trucs avec un homme. Mais là je suis prêt, je bande comme un malade. Pendant que je lui astique la bite, il dégrafe mon pantalon et le fait tomber au sol, le caleçon suit. Me voici le cul et la bite à l'air. J'aimerais bien qu'on me regarde, je jette un regard circulaire, mais hélas les voyeurs ne sont pas là, ou alors ils sont bien planqués.

 

Ça y est, il a ma bite dans sa main, on se branle mutuellement et c'est bon. La main de l'inconnu s'égare, il me pelote les fesses et un doigt tente l'entrée de mon trou du cul.

 

- Tu aimes ?

- Oui Vas-y !

- Tu m'a l'air d'être une belle petite salope ? Me dit-il

- Toi aussi, non ?

- Dis-moi que tu sens bien mon doigt !

- Humm, j'adore qu'on me foute un doigt dans le cul !

- T'aime quoi d'autre ?

- Sucer, me faire enculer !

- Comme moi, alors on est deux belles salopes toutes les deux, embrasse-moi !

 

Ça par contre, ce n'est pas vraiment mon truc, mais bon, si ça peut lui faire plaisir ! En plus, il pique ce con, il s'est rasé avec du papier de verre.

 

- T'es plutôt passif, alors ? Me demande le type

- Je peux être les deux, mais c'est vrai que préfère être passif.

- Vas-y goûte à ma bite !

 

Bien sûr que je goûte à cette bonne bite, bien raide et au bout luisant, je lui pourlèche le gland sur lequel plane encore l'odeur de sa pisse. Puis je me lance dans une série de va-et-vient qui me remplisse la bouche. Quel plaisir de sucer une bonne bite, j'espère qu'il va ensuite me la mettre dans le cul.

 

- Tu peux me sucer un peu derrière ?

 

Encore un truc qui ne me branche pas trop, mais je le fais et lui colle ma langue contre son petit trou du cul.

 

- Faut que je te dise un truc ?

 

Ho, là là, qu'est-ce qu'il va me raconter ?

 

- Je ne suis pas venu seul dans ce bois, je suis un soumis, et ma maitresse m'a ordonné de lui ramener un esclave, si je le fais j'aurais une récompense.

- Et si tu ne le fais pas ?

- Ben, je serais puni !

- Et bien c'est très bien, si t'es maso, tu dois aimer être puni, non ?

- Heu, c'est beaucoup plus compliqué que ça, en fait !

- Elle est comment ta maîtresse ?

- Elle est belle, très belle, une très belle femme, elle est accompagnée d'une amie, très belle aussi.

- Et si je vais la rejoindre avec toi, elle va me faire quoi ?

- Rien de bien méchant, mais on s'enculera devant elles, ça c'est sûr.

 

L'idée finit par me plaire, on y va !

 

A notre arrivée, les deux maîtresses sortent de la voiture. Jennifer est une grande brune bronzée d'une quarantaine d'année, joli visage et attitude volontaire, vêtue d'un pantalon de cuir noir et d'un gilet de la même matière se fermant par une fermeture éclair sur le devant. Cynthia est une petite blackette habillée d'une minijupe et de collants. Son petit haut blanc est décolleté de façon très impudique, le haut des aréoles étant nettement visibles. Deux belles salopes, quoi !

 

- Alors, esclave, tu as fait une trouvaille ?

- Oui, maîtresse !

- Raconte !

- Ben j'ai croisé ce mignon petit pédé, j'ai sorti ma bite, il me l'a tripoté, après on s'est tripoté tous les deux, je lui ai mis un doigt dans le cul, puis il m'a sucé la bite et le trou du cul.

- Et, bien on trouve de ces salopes dans les bois ! Commente Cynthia en rigolant.

- M'en parle pas ! Les mœurs se dégradent de jours en jours, ma chère.

- Approche-toi ! Et met toi à genoux devant moi ! M'ordonne-t-elle

 

Je le fais !

 

- Tu vas ouvrir la bouche et je vais te cracher dedans ! Tu es d'accord ?

 

Je m'entends dire "oui". Rêvé-je !

 

- Mais avant tu vas me le demander, je veux que tu dises "Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !"

- Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !

 

Elle le fait, puis invite Cynthia à faire de même.

 

- C'est bien, on va te tester mieux, allez, en route

 

On s'enfonce dans le sous-bois, jusqu'à une petite clairière.

 

- A poil, tous les deux !

 

Ce n'est pas un problème, nous voilà rapidement nus comme des vers. Jennifer retire son pantalon et son string. Elle m'exhibe ses fesses, des belles fesses bien lisses. Elle en écarte ensuite le sillon.

 

- Viens me lécher le trou !

 

On y va ! Petit problème, le cul de la dame n'est pas très propre. Certes cela n'a rien d'une catastrophe, mais il est clair qu'elle s'est bien mal essuyé le troufignon après avoir fait sa grosse commission. Du coup, me voici stoppé dans mon élan.

 

- Ah, oui ! Viens me dire Cynthia ! Maîtresse Jennifer n'utilise jamais de papier toilettes, ce sont ses esclaves ou ses amies qui remplissent cette fonction. C'est moi qui me suis dévoué tout à l'heure, mais j'en ai laissé, oh, un tout petit peu. Allez approche- toi, tu as le droit de sentir avant de lécher.

 

Elle en profite pour m'assener un coup de cravache sur les fesses. Je fais quoi ? Je me barre en courant ! Ces fesses sont trop belles, j'ai trop envie de me prendre au jeu, je m'habitue à l'odeur qui n'a d'ailleurs (heureusement) rien d'insoutenable, puis pris d'une frénésie incontrôlable, je me mets à lécher tout ça avec application.

 

- Je veux sentir ta langue dans mon cul.

 

Oui, ben je fais ce que je peux, je n'ai pas une langue de caméléon, j'introduis juste le bout, c'est délicieusement pervers. Je parie qu'après on va m'intimer l'ordre de lécher le cul de la jolie doudou. D'ailleurs la voici qui retire sa culotte…

 

Déception ! Ce n'est pas pour moi, c'est l'autre esclave qui s'y colle ! Ce n'est pas juste.

 

Jennifer se dégage, je me relève, elle me fait face et me gifle. Elle est con, ça fait vachement mal. Je cherche où sont mes fringues pour quitter cette bande d'abrutis, mais la voilà qui m'enlace et qui m'embrasse. Décidemment, que voilà une maîtresse qu'elle est étrange ! D'autant que la baiser doit avoir un goût particulier après mon petit nettoyage.

 

- Tu aimes qu'on te domine ? Demande-t-elle.

- Non, ou alors juste des petites misères.

- Des petites misères ? Comme ça !

 

Et la voilà qui se met à me pincer et à me tordre les tétons ! Comment a-t-elle deviné que j'adorais ça ?

 

- C'est bon ?

- C'est trop bon !

- Alors laisse-moi faire, je vais te faire plein de bonnes choses, aussi bonnes que celle-là ! Tu veux ?

- On peut toujours essayer.

 

Elle ordonne à l'esclave de l'aider à m'attacher au tronc d'un arbre, face devant, puis sort d'une mallette deux pinces à seins qu'elle m'accroche aux tétons. Cynthia se marre, elle s'était éloignée et la voilà qui revient avec un bouquet d'orties. Au secours !

 

- Détachez-moi, je ne joue plus !

- Tu n'y connais rien, si les gens ont les orties en horreur, c'est parce qu'ils se grattent. Si tu ne te grattes pas, tu vas voir comme c'est bon.

- Pas envie, détachez moi, s'il vous plait.

- Alors juste une fois.

 

La salope ! Le bouquet atterrit sur ma poitrine. Toute de suite ça me picote.

 

- On arrête !

- Non, je veux que tu me dises de continuer, tu seras récompensé… Tiens regarde !

 

Elle dézipe lentement son haut, dévoilant un joli soutien-gorge rouge.

 

- Esclave, enlève moi-ça.

 

Il le fait, j'ai maintenant ces deux magnifiques seins terminé par de jolis et épais tétons bruns, à quelques centimètres de moi.

 

- Tu aimerais les lécher ?

- Oui !

- Alors laisse-moi jouer avec toi !

 

J'hésite, mais je me sais déjà vaincu.

 

- Alors !

- J'ai confiance, je me laisse faire.

 

Le picotement semble baisser d'intensité, mais Jennifer met maintenant l'intérieur de mes cuisses en contact avec les orties. Je la vois approcher le bouquet de mon sexe. Je ferme les yeux, le contact est terrible. Là où la douleur avait cessé elle revient, différente. L'envie de me gratter est énorme.

 

Jennifer se dirige alors vers l'esclave qui à son tour subit la caresses des orties, mais sans être attaché.

 

La douleur cesse peu à peu, mais j'ai la peau comme un chef indien partant à la guerre. Jennifer revient vers moi et joue avec mes seins pendant plusieurs minutes m'arrachant des cris ou la douleur se mélange au plaisir dans une curieuse symphonie de sensations...

 

- Approchez-vous vous verrez mieux !

 

Mais à qui parle-t-elle ?

 

J'aperçois alors un groupe de trois jeunes asiatiques, une femme et deux hommes. Les deux gars ont coiffés moderne, c'est-à-dire n'importe comment, mais la femme est très belle avec un visage délicat et de belles lèvres bien ourlées. Elle tient les bites parfaitement bandées des deux gars dans chaque main.

 

- Vous voulez participer ?

 

Pas de réponse.

 

- Vous pourriez répondre ! Si vous dites non, on ne sera pas fâchés et vous aurez même le droit de continuer à regarder.

- On regarde un peu, ça nous excite et après ils vont me sauter tous les deux ! Répond la fille.

- Comme vous voulez, prenez-en plein la vue, c'est gratuit.

 

Jennifer, me détache.

 

- Et surtout, ne te gratte pas ! Mets-toi en levrette et ouvre la bouche

 

Je suppose donc qu'il va me falloir sucer l'esclave avant qu'il ne me prenne le cul, mais il y avait autre chose avant. Je le vois se concentrer quelques instants avant de se mettre à pisser. Son jet m'atterrit dans la bouche.

 

- Maintenant, il va t'enculer avec sa bonne bite. Suce-la un peu avant pour qu'elle soit bien raide.

 

Bisex_nature_R32a.jpg

 

J'obtempère. Je me régale de nouveau du contact de cette belle bite dans ma bouche. Je la gâte et elle grossit bien. Je sens alors qu'on me tartine du gel à l'entrée de mon petit trou. L'esclave fait plusieurs tentatives avant que mon anus accepte ce corps étranger. (Eh, c'est que je ne me suis pas fait faire ça si souvent, on a bien un gode à la maison, mais il n'est pas très gros).

 

Et ça y est, ça coulisse dans mon cul, ce con me fait un peu mal, mais je ne dis rien, me souvenant qu'en principe la douleur initiale ne dure pas.

 

- Quel magnifique spectacle ! Commente Jennifer, je ne connais rien de plus excitant que deux mecs qui s'enculent.

- Pourquoi ne le font-ils pas tous ? Interroge Cynthia.

- C'est un mystère, ma chère, c'est un mystère répond-elle, mais en attendant lèche moi la chatte, elle dégouline.

 

Cynthia ne se le fait pas dire deux fois et se plaçant entre les cuisses de son amie, elle lui lape la chatte avec frénésie. La clairière s'emplit bientôt du cri de jouissance de Jennifer, laquelle après un nécessaire petit répit en redemande en se plaçant en soixante-neuf cette fois, afin qu'il n'y ait point de jalouse. L'affaire est rondement menée, Jennifer jouira une seconde fois avant que Cynthia la rejoigne au septième ciel. Quelques instants plus tard, l'esclave se retirait après avoir joui, me laissant le cul béant.

 

La petite asiatique intervient alors.

 

- Je proposerais bien un jeu !

- Dis toujours. répond Jennifer.

- J'aimerais bien qu'un de mes copains se fasse enculer !

 

Protestations de deux mâles qui ne s'attendaient pas à ça !

 

- Juste l'un des deux, précise-t-elle !

- Pas moi dis le premier

- Moi non plus dis le deuxième.

- On va tirer à pile ou face, le perdant se fait enculer, le gagnant me baise. C'est un jeu !

 

Les deux gars se concertent et finissent pas accepter.

 

- D'accord, tire une pièce, cet esclave (elle me désigne) enculera le perdant.

 

Le perdant n'élève aucune protestation, il se pointe devant moi après avoir retiré ce qui restait de ses vêtements et approche son visage du mien pour m'embrasser, je n'en demandais pas tant, mais accepte le baiser. Il embrasse super bien comme une femme, et au moins lui il ne pique pas. Il se met en position, je m'encapote. Et allons-y, excité comme je suis l'affaire ne dure pas bien longtemps. Il me remercie, me dit que je lui avais fait ça très bien, et le trio disparaît dans les fourrés.

 

- Bon, c'est l'heure des récompenses. Indique Jennifer.

 

Si je comprends bien, on commence par moi. J'ai donc le bonheur, le plaisir et l'avantage de sucer comme un soiffard les merveilleux nichons de Dame Jennifer. Voilà qui me fait rapidement rebander.

 

Hélas, les meilleures choses ont une fin. Jennifer me laisse et fait signe à l'esclave de se coucher dans l'herbe sur le dos. Elle s'accroupit au-dessus de sa bite, tandis que Cynthia s'accroupit au-dessus de sa bouche. Et avec une synchronisation remarquable, les deux femmes se mettent à pisser d'abondance. L'esclave boit ce qu'il peut, et est visiblement ravi de ce qui lui arrive. Quand je pense que j'ai raté ça !

 

L'esclave s'essuie, puis tout comme nous se rhabille. Il embrasse ensuite Jennifer avec tendresse et complicité. Le trip est fini, il n'y a plus d'esclave, ni de maîtresse.

 

- Ça m'a donné faim toutes ces bêtises, dites les mecs, si vous nous offriez, le restaurant ? Un petit truc, une bonne pizza par exemple. Propose Jennifer

 

L'esclave (qui ne l'était plus à cet instant) me fait signe qu'il est d'accord. Alors allons-y

 

Petit problème pour retrouver ma voiture mais ce ne fut là qu'un détail. Le restau s'est bien passé, ces braves gens se sont révélés aussi charmants qu'intéressants. On ne m'a pas demandé mes coordonnées, ce fut l'occasion qui aura fait le larron. On s'est quitté avec de gros bisous, même de la part de l'esclave qui piquait de plus en plus.

 

Quand je rentrais à la maison, ma femme m'attendait en grignotant un paquet de chips devant la télé.

 

- T'es toujours fâché ? Me demande-t-elle.

- Meu non, viens me faire un bisou.

 

 

FIN

10/4//2011

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 15:18

Masculin-Féminin

Aventure alpestre

par Enzo Cagliari

stamp_trav2.jpg
Thémes évoqués :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, jeux érotiques, masturbation, party, pluralité masculine, scato légère, spermophilie, uro, voyeurisme.

 

Dans les Alpes


Ah ! Je le retiens le Patrick avec ses plans foireux. Mais enfin, bon, ça ne s'est pas si mal terminé que ça…


- J'ai un plan super pour passer dix jours de vacances avec des super randonnées. Nous avait-il annoncé.


Effectivement, il s'agit d'un séjour dans un chalet de haute montagne à un prix défiant toute concurrence. On cherche le piège, "non, c'est très propre", nous a garanti le correspondant de Patrick, simplement l'hébergement est qualifié d'un peu spartiate avec le coucher en dortoir, mais ça on s'en fout, nous avons tous l'âme un peu partouzarde !


Et voilà, nous sommes six garçons et trois filles, tous en dernière année de médecine, à l'exception de Patrick qui est notre jeune prof d'anatomie, ils se connaissent bien entre eux, mais c'est la première fois que j'intègre leur groupe. Nous sommes en train de gravir à pied les deux kilomètres et quelques qui nous séparent de "la Félicité", avec les bagages, les duvets, les chaussures de rando et tout le tremblement.


Il nous a fallu changer de train à Lyon pour aller jusqu'à Briançon, là attendre plus d'une heure un car pour La Génoire, pour nous entendre dire ensuite que pour le reste, il fallait se débrouiller à pied.


Patrick tente de donner l'exemple en marchant en tête, les filles sont à la traîne, moi aussi d'ailleurs ! Je tiens compagnie à Elodie, superbe brune à la bouche pulpeuse et à la poitrine de star. Je l'aime bien, Elodie, j'ai essayé de la draguer dans le train, mais me suis rendu compte que c'était peine perdue, on a quand même fait tout le voyage en train face à face. A un moment, elle m'a demandé de lui descendre sa valise du porte bagage, elle l'a ouverte et s'est mise à chercher je ne sais quoi de façon frénétique. Elle sort des trucs, en met partout, puis range tout ça, referme la valise, et me demande de la remonter. Evidemment, elle a oublié d'y remettre un sachet.


- Tiens, tu peux le mettre dans ton sac à dos, tu me le rendras quand on sera arrivé !


Ben voyons ! Heureusement, c'est léger comme tout son truc !


On décide de faire un petit arrêt et la plupart en profite pour se soulager. Je n'en crois pas mes yeux, Lucia s'est accroupie pour pisser devant nous sans aucune pudeur. Je croise son regard, elle rigole. Jérôme, quant à lui urine à deux mètres de moi, sans se tourner, il a une jolie queue assez longue, quand elle bande elle doit être magnifique !


- Humm ! Ça te plaît bien de mater la queue à Jérôme ? Me lance Sophie.

- Ben quoi, elle est belle ?

- Tu aimes les bites, alors ?


Aïe, me voilà sur un terrain glissant… D'autant que Jérôme s'est approche de moi et me propose carrément.


- Caresse-là si tu veux !


Je cherche une phrase qui me permettrait de me sortir de cette situation embarrassante, mais Sophie en remet une couche.


- Je parie que t'es pas cap' de le sucer ?


Tout le groupe est maintenant autour de nous. Jérôme s'est un peu masturbé et arbore maintenant une magnifique bite en érection. Je décide de faire front :


- Ben, si ! Je suis cap'. Vous voulez voir ?

- Oui, oui, vas-y suce-le !


Bisex2401.jpg


Et je me retrouve avec sa queue qui sent le pipi dans la bouche. Manifestement, personne ne s'attendait à ce que je me lance aussi facilement. Je prends plaisir à sucer cette belle bite en de longs va-et-vient de mes lèvres. La situation doit exciter les filles puisque Elodie et Lucia se roulent une gamelle en se tripotant partout. Sophie m'a baissé mon pantalon et m'introduit son doigt mouillé dans mon trou du cul. Cinq minutes plus tard la bite de Jérôme explosait dans ma bouche, j'avalais une partie de son sperme, tandis que Patrick donnait le signal du départ, mon érection non calmée me faisait mal. 


Enfin, on arrive à la Félicité, on tambourine à la porte, ça ne répond pas, on retambourine, on s'énerve, et ce n'est qu'au bout de dix bonnes minutes (c'est quoi d'abord des bonnes minutes ?) que la porte consent à s'ouvrir, nous laissant découvrir un moine en aube de bure, le type doit avoir au moins soixante-quinze ans, il a dû se peigner avec un crayon, et se raser avec une râpe à fromage :


- Soyez les bienvenus ! Dit ce dernier sans conviction, je vais vous montrer le dortoir des hommes, celui des femmes est à vingt minutes de marche à "l'étape", je vais vous confier la clé, je vous conseille d'y aller avant que la nuit tombe !

- Comment ? On n'est pas tous ensemble ? Proteste Sophie.

- C'est le règlement de notre communauté !

- Les règlements, c'est fait pour être adaptés, objecte Patrick, personne ne nous avait précisé ce point, on est crevé, on reste ensemble.

- Ici, le dortoir n'a que six places ! Réplique le moine.

- Et bien dans ce cas, quatre garçons vont rester là avec deux filles, et les autres vont monter à l'annexe, on va tirer au sort ! Propose Lucia.


Le moine devient rouge comme une tomate.


- Il n'en est pas question, votre hébergement suppose que vous acceptiez notre règlement.

- Bon on laisse tomber pour ce soir, on avisera demain ! Décide Patrick de guerre lasse.


On dit aurevoir aux filles, le moine nous présente sa communauté, en fait trois autres moines, deux d'entre eux ont un âge canonique, le dernier est plus jeune mais ne semble pas avoir toutes ses billes. Pour le confort on a des chiottes à la turque à l'extérieur, et un lavabo dans le dortoir caché derrière un rideau. Rien n'est prévu ni pour le repas de ce soir, ni pour le petit déjeuner du matin. Le moine nous explique qu'il nous faudra faire nos courses au village, donc plus de deux kilomètres plus bas. Personne n'a envie de redescendre. Le moine nous propose de nous avancer douze pommes de terre qu'il faudra lui remplacer demain, il nous montre la cuisine, le réfectoire (collectif, il faudra donc manger avec les moines) et la minuscule chapelle.


- Nous allons y prier quatre fois par jour, nous dit-il en ayant la bonté de nous en indiquer les horaires, nous vous invitons à nous rejoindre. 


Ils nous attendent encore !


Il y a une certaine tension, Patrick se sent un peu péteux. On fait bouillir nos patates, on boude le réfectoire et on les mange dans le dortoir.


La nuit tombe vite, on est crevé, on se couche, mais avant on sort pisser chacun à notre tour en s'aidant d'une torche électrique.


Je ne suis pas pressé, j'irais en dernier. Auparavant je sors quelques bricoles de mon sac à dos, et je m'aperçois que j'ai oublié de rendre le petit sachet en plastique qu'Elodie avait omis de remettre dans sa valise. Je l'ouvre !


Glups !


Un soutif, deux strings et une paire de bas autofixant.


C'est ce qui s'appelle se faire rejoindre par son destin.


Explication et présentation


Je me prénomme Corentin, 29 ans, célibataire malgré quelques liaisons assez éphémères. Je mesure 1 m 70 pour 65 kg, cheveux noirs, yeux marrons. J'ai un penchant pour tout ce qui touche la lingerie féminine, et depuis une dizaine d'années je me suis fait une belle garde-robe de ce côté-là. Cela a commencé il y a plusieurs années quand alors que mes parents venaient d'emménager en pavillon, j'ai vu notre voisine pendre ses sous-vêtements dans son jardin. Elle avait toujours des dessous de dentelles et en couleur. A son insu, je me branlais chez moi en pensant à son beau linge. II faut dire que notre voisine était très mignonne et le montrait assez bien. Je continuais donc à épier ses sous-vêtements qui séchaient, jusqu'au jour où je décidai de m'en acheter pour me branler avec. 


Quelle super sensation que de porter un soutien-gorge, un porte-jarretelle, des bas et une culotte de dentelle. Au début je les mettais dans les W-C et je me masturbais. Je ne jouissais pas longtemps après avoir commencé mes va-et-vient. Cela a continué jusqu'au jour où pris d'une pulsion incontrôlable je réussis à m'introduire dans le jardin de la voisine afin de lui piquer une culotte de dentelle bleue qui m'excitait. Arrivé chez moi, je l'ai mise sur mon visage et je me suis caressé furieusement J'ai joui comme jamais je ne l'avais fait. Le lendemain, la voisine est venue demander si par hasard le vent n'aurait pas fait voler une culotte jusque chez nous. Si elle savait que c'était moi qui l'avais ! 


Cet épisode m'a fait réfléchir, j'étais sur une pente un peu compliquée, et je pris la décision de ne me masturber qu'avec des sous-vêtements que j'aurais achetés et portés.


C'est ainsi que quand l'envie me prenais, je revêtais des dessous féminins sous ma tenue d'étudiant décontracté. Le soir, après les avoir portés toute la journée, je me masturbais comme un dingue. 


Lors de ma première liaison sérieuse avec une fille, je cru judicieux de jouer la carte de la franchise et après une quinzaine de jours, je lui avouais mon fantasme et allais jusqu'à lui demander qu'elle me prête son string afin que je le porte. Elle m'a ri au nez, et je ne l'ai plus jamais revu. La seconde a été plus tolérante, elle n'est pas partie, mais a refusé de me prêter sa culotte, et s'est mise à me regarder d'un drôle d'air, c'est moi qui ai cassé. Quant à la troisième, ça l'indifférait complètement, et comme rien n'est pire que l'indifférence, je laissais également tomber. Je me suis dit alors que puisqu'aucune femme ne voulait partager mes fantasmes, je me ferais femme un jour et comme il faut bien commencer par quelque chose je décidais de me raser le corps intégralement et régulièrement.


J'ai ensuite essayé de voir sur Internet comment se débrouillaient les hommes qui avaient le même fantasme que moi. Cela m'a permis de rencontrer en réel Michael dabs son petit studio. Il avait mon âge et pour lui comme pour moi, c'était une première. On a essayé des tas de fringues chez lui, il en avait une sacrée collection ! Puis excités comme nous étions on s'est tripoté mutuellement, et je me suis retrouvé avec sa jolie bite dans la bouche. J'ai aimé le sucer, on s'est mis en soixante-neuf, puis je lui ai proposé de m'enculer. J'ai aimé sentir sa bite dans mon cul aussi bien physiquement que psychologiquement. Il a joui rapidement tandis que je me branlais à fond. Belle expérience gâchée par l'attitude finale (stress post éjaculatoire sans doute) de ce garçon qui s'inventa ensuite un rendez-vous imaginaire afin que je libère rapidement les lieux.


Une deuxième expérience avec un homme plus mûr fut plus intéressante, il portait remarquablement la lingerie pour un homme et ses jambes étaient fabuleuses. Quant à sa bite, c'était un petit bijou, un joli cylindre bien droit parcouru par une veine bien visible et terminé par un gland bien formé et de belle apparence. C'est avec une réelle gourmandise que je l'ai sucé plusieurs fois et puis d'une façon presque naturelle, il s'est occupé de mon petit trou, y mettant la langue et les doigts avant d'y enfoncer sa bite bien profondément. Il fit ça tellement bien que j'ai failli pleurer de bonheur. Nous ne souhaitions ni l'un ni l'autre donner suite à cette aventure, et nous ne nous sommes jamais revus.


J'assumais donc ma bisexualité, en plus de ma passion pour les sous-vêtements. J'obtins l'adresse de quelques boites et y allait de temps à autres sucer de la bite, en attendant de trouver l'hypothétique femme idéale, celle qui saurait m'accepter "en l'état" !


A la fac je m'efforçais de ne rien laisser transparaître de mes penchants. On disait Patrick bisexuel, et c'est vrai qu'il me regardait parfois d'une curieuse façon, mais cela n'alla guère plus loin. Un jour cependant, j'étais venu paré de mes sous-vêtements souhaitant me rendre en club dès la fin des cours. Et là l'enchaînement de circonstances : envie d'aller aux toilettes, celles des hommes inaccessibles, je crois m'enfermer dans une cabine de femme mais ferme mal le loquet, une nana se pointe, pousse d'abord une exclamation de surprise et se met à rigoler comme une bossue. J'ai fui sans croiser son regard espérant qu'elle ne raconte pas ça à toute la fac. J'avais honte et décidais de redoubler de prudence et donc de ne plus porter de sous-vêtements n'importe quand.


Retour dans les Alpes


Et voilà qu'aujourd'hui, suite à un concours de circonstances je me retrouve avec les sous-vêtements d'Elodie ! 


La tentation est trop forte, je sors pour pisser avec l'un des strings, l'enfile sous mon caleçon ridicule, puis au moment de me coucher, je m'arrange sans être vu pour me mettre à poil sous le duvet à l'exception du string ! Je me branle alors en pensant à Elodie, je ne l'ai retiré que quand l'excitation devenant trop forte, mon plaisir montait, il n'était pas question que j'éjacule dans son string ! 


Le lendemain matin, je me réveille le premier, je vais au lavabo en emportant mes vêtements de rechange mais aussi le fameux sac en plastique, après m'être rasé et lavé sommairement j'enfile le second string ainsi que les bas autofixants, je mets aussi le soutien-gorge, mais sans le rembourrer. Personne ne m'a vu, tout cela est planqué sous mes fringues "traditionnelles". Quelle sensation !


Je rejoins mon lit, les autres se réveillent. Et là j'ai conscience d'avoir fait une bêtise. Il est quasiment certain que dans la journée Elodie va me réclamer son sachet de sous-vêtements. Il faudra bien que je lui rende, et pour lui rendre, il ne faut pas que je les porte sur moi. Je cherche à m'isoler, mais il y a toujours quelqu'un… Même la cabane de WC qui ne possède aucun système de fermeture n'est pas la solution !


Patrick pris la parole !


- Bon, je suis conscient de vous avoir entraîné dans un plan foireux, j'en suis seul responsable et je vais tâcher de trouver une solution. On ne va peut-être pas s'éterniser ici, mais pour aujourd'hui, on va commencer par assurer la bouffe. Je vous propose qu'on descende tous au village pour faire des achats. Ah ! Au fait, j'ai eu les filles au téléphone, elles sont furieuses, rien à bouffer hier soir et ce matin non plus. Je leur ai dit qu'on s'occupait du petit dej' et on ira leur monter et on le prendra tous ensemble, que les moines soient d'accord ou pas !


On est tous d'accord, on descend, on achète plein de trucs à bouffer, du jambon, du saucisson, des chips, des patates pour remplacer celle que les moines nous ont "prêtés", de la bière, du pinard, et pour le petit-dej', de quoi faire du café, des croissants et des brioches. Tout ça dans nos sacs à dos.


Sur le chemin du retour, on avise une petite baraque abandonnée. L'idée de loger là-dedans plutôt que chez les moines nous effleure, mais c'est vraiment trop pourri. On hésite quand même, on tournicote un peu dans la cabane… et soudain…


- Attention !


C'est Jérôme qui perd l'équilibre et qui m'entraine dans sa chute, j'essaie de me contrôler, mais je n'y arrive pas, je dégringole sur une vielle planche. Rien de grave, je vais m'en tirer avec un hématome.


Les autres arrivent, nous entoure :


- Rien de grave ? demande Patrick

- Non, non, répond Jérôme !

- Montre-nous on ne sait jamais !


De bonne grâce, ce dernier baisse son pantalon, effectivement, il n'a rien… Je panique en me disant qu'après ce sera mon tour et qu'on va me découvrir avec les sous-vêtements d'Elodie, je ne sais plus où me foutre !


- Et toi Corentin, tu n'as rien ?

- Non, non, plus de peur que de mal !

- Fais voir quand même ta jambe, on ne sait jamais

- Non, non, je vous assure, je n'ai rien du tout…

- Fais voir quand même ! Parfois on croit qu'on a rien et il y a quand même quelque chose et après il peut y avoir des complications.

- Bon, je vous dis qu'il n'y a rien, je ne vais quand même pas vous signer une décharge de responsabilité, non ?

- Pourquoi tu ne veux pas nous montrer tes jambes, ce ne sont que des jambes, non !

- Parce que j'ai pas envie !

- Tu as fini de faire ta chochotte. Après tout c'est moi le responsable du groupe, s'il t'arrive quelque chose, ça peut me retomber sur le dos, donc je veux voir ! Reprend Patrick

- Non !

- Bon on va un peu t'aider, les gars vous m'aidez à lui retirer son pantalon !


J'ai cinq mecs qui sont autour de moi, ils ne sont pas vraiment menaçants, ni méchants, mais ils vont me déculotter, ça c'est sûr !


- Bon, vous l'aurez voulu !


Je baisse mon pantalon, et je me suis retrouvé debout devant eux en string blanc, les bas autofixants et le pantalon aux chevilles.


- Whah ! C'est quoi ce délire ?

- C'est MON délire, je fais ce que je veux, et ça ne fait de mal à personne. D'accord ?

- Regardez ça, les gars, on a un travelo dans notre groupe. C'est marrant comment sa bite tend le string ! 

- Et alors ? 

- Tu aimes te sentir femme, mon petit cochon. Est-ce que tu voudrais qu'on s'amuse ? Demande alors Patrick.

- Qu'on s'amuse à quoi ? Demandais-je.


Mais, ils avaient tous compris le message et se retrouvèrent vite les pantalons aux chevilles et les queues à l'air. 


- Ça te dirait de nous nous sucer, petite salope ? Demanda Patrick sans aucune méchanceté dans le ton de sa voix

- Pourquoi pas ?


Je pris le gland de Patrick en bouche, un peu maladroitement au début, mais très vite ma caresse buccale se précisa. II faisait le commentaire aux autres qui se paluchaient devant nous. Je me suis mis à sucer les autres à tour de rôle. Lionel avait une queue raisonnable, celle de Jérôme (que je suçais donc pour la deuxième fois) était longue et large, Philippe était le moins pourvu, François lui avait la queue qui sentait fort. 


Les commentaires allaient bon train : "Qu'est-ce qu'elle suce bien, la salope !", "Hum ! Une vraie petite langue de pute !"


J'ai appris plus tard que pour au moins deux d'entre eux (Lionel et Philippe) c'était la première fois qu'ils faisaient des trucs entre garçons. Mais ils avaient l'air de prendre goût à ces jeux puisque le premier suçait maintenant la bite de Jérôme et que Patrick se régalait de la queue de Philipe.


Un randonneur nous aurait aperçu, il se serait surement demandé si nous étions tous membre de l'amicale des suceurs de bites !


La partie battait son plein quand j'ai senti un doigt plein de salive sur ma rosette, c'était Patrick qui me préparait l'anus. 


- Tu voudrais que je t'encule ?

- Bien sûr !


Ravi de cette perspective, je poussais pour ne pas souffrir. Il approcha son sexe et pénétra mon petit cul d'un seul coup, j'ai failli mordre la queue de François que je suçais toujours. J'étais pris en sandwich pour la première fois et c'était bon.


Au bout de quelques minutes les deux garçons échangèrent leur place. Je me retrouvais avec la bite de François dans l'anus et celle de Patrick parfumée à l'odeur de mon cul dans la bouche. Ils ne tardèrent pas à décharger pratiquement en même temps. François me demanda de lui nettoyer sa bite gluante de foutre et de merde et je m'exécutais de bonne grâce. Lionel et Jérôme m'arrosèrent ensuite de leur sperme sur le visage, alors que Philippe voulut jouir entre mes fesses. J'étais le seul à ne pas avoir joui, mais je m'étais fait enculer par trois bites différentes. Patrick eu alors la bonté d'offrir sa bouche à ma queue afin que je puisse exploser à mon tour. 


Quand l'orgie fut terminée, ils m'ont dit qu'ils avaient une surprise pour moi. Ils m'ont offert un porte-jarretelles blanc, une culotte de soie, un soutien-gorge à balconnets et des bas, le tout assorti. 


- Mais ça sort d'où ?


J'ai compris alors que cette scène avait été préméditée. Comme avait été prémédité l'épisode du petit sac en plastique d'Elodie.


Quand nous sommes arrivés au chalet des filles, Patrick les salua :


- Bonjour les filles, on vous apporte le petit déjeuner, alors comment s'est passé votre soirée ?

- Rien à bouffer, juste quelques restes de biscuits, et rien pour s'occuper : Répondit Lucia, heureusement Elodie nous a bien léché toutes les deux, si elle fait des pipes aussi bien que les broutes-minous, vous ne devriez pas être déçus, les garçons !

- Hum ! On a aussi une surprise. Allez Corentin montre leur comme tu es belle !


Je ne me décidais pas et j'étais rouge de confusion, partagé entre le risque d'être un sujet de moquerie de la part des filles et l'éventualité de faire des trucs avec elles. 


Patrick raconta tout, les filles m'encouragèrent alors à me montrer en sous-vêtements. Puis Elodie décida de me maquiller, tandis que Sophie me vernit les ongles. Ensuite, Lucia, la plus cochonne, sortit un gode de son sac, me demanda de me mettre en position et sans trop de ménagement me l'introduisit dans le cul.


- Regardez comme il aime bien se faire enculer ! Dit-elle, allez dis-le nous que tu aimes ça !

- Oui, oui, j'aime ça !


Quand le gode ressortit, il était un peu merdeux


- Regardez-moi ce cochon, il m'a tout sali mon gode. Nettoie-le ! Me demanda-t-elle en l'approchant de ma bouche.


Cela ne me gêna pas du tout de le nettoyer


- Allez, montre-nous comment tu fais la salope ! Nous on veut voir ! Allez les garçons sortez vos bites !


Je recommençai à sucer les garçons quand Elodie haussa le ton : 


- Applique-toi ! Je crois qu'on va bien s'amuser avec toi, tu vas être notre petit esclave. A genoux, viens me lécher mon cul.


Elle me précisa qu'elle était probablement très mal essuyé le derrière, les WC locaux étant démuni de papier toilettes. Je m'exécutais de bonne grâce et après avoir nettoyé quelques inopportunes taches brunes de ma langue, je léchais le troufignon au goût âcre de la belle Elodie. Hum, délicieux ! Puis les filles voulurent me voir en action avec les autres garçons.


Je suçais donc Lionel, puis Philippe pendant que Jérôme m'enculait avec de grands coups de bite Puis Sophie me fit coucher sur le sol et vint s'empaler le cul sur ma bite dressée comme un mât de cocagne, pendant ce temps Lucia me donnait sa minette à lécher. 


J'étais la vedette du moment, cinq garçons aux bites fièrement dressées et trois jolies filles m'entourent. Et soudain Patrick se mit à me pisser dessus, le jet atterrit sur ma bite, puis Lionel pissa à son tour, j'ouvrais la bouche pour recevoir cette offrande, tout le monde se mit alors à pisser, j'en avais partout en avalait de grandes rasades. 


Quelle récompense ! 


Et j'en eu droit à une autre, car les filles m'ont ensuite fait cadeau de leurs dessous féminins. Et en écrivant ce récit, je porte les bas et le porte-jarretelles d'Elodie, la culotte de Sophie et le soutien-gorge bleu de Lucia. 


Enzo Cagliari

30/10/2010


Ce récit est une réécriture d'un récit homonyme publié par le site de Sophiexxx en 1999. Certains passages ont d'ailleurs été laissés intacts. La publication sur ce site aujourd'hui disparu était elle-même une copie d'une lettre publiée par une des nombreuses revues de correspondances érotiques telles qu'ils en existaient dans les années 1990, elle était signée "Claude, 25 ans"

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 07:04

Laisse-moi t'aimer comme ça !

par Enzo

 

bi stamp

 

Le coup de bol, je reçois un coup de téléphone de mon ami Charlie. C'est un black dans la trentaine, un gars très jovial, très décontracté, il est musicien et travaille à la télé.

 

- Tu n'as toujours pas de boulot ? Me demande-t-il.

- Ben non !

- Figure-toi qu'hier soir je dinais avec Gisèle…

- Ta patronne ?

- Oui, et avec Tristan Lamont, et il nous a dit qu'il cherchait un accompagnateur, parce que le sien a eu un accident, et que dans les gars qu'il connait pour le remplacer, il n'y en pas un de libre… alors j'ai pensé à toi. J'ai un peu arrangé le tableau, je lui ai dit que tu étais génial, que tu avais une bonne mentalité…

- C'est qui Tristan Lamont ?

- Bof ! Un mec qui se croit chanteur ! Il chante des conneries mais ça se vend très bien, tu n'as jamais entendu parler ?

- Ben non !

- C'est le type qui chante : "Laisse-moi t'aimer comme ça !"

- Ça ne me dit rien !

- Je vais te le chanter !

 

Non pas ça, Charlie est un très bon batteur, mais il chante comme un pied !

 

- Ce n'est pas la peine. Bon ! Qu'est-ce qu'il faut que je fasse, que je l'appelle ? Demandais-je

- Non, il veut que je vienne te présenter, il m'a proposé de passer chez lui à 17 heures, tu apporteras ta guitare.

- Et tu crois qu'il va m'engager ?

- Ah, il faudra peut-être forcer la chance, mais tu sauras faire, s'il te drague laisse-toi faire.

- Il est homo ?

- Il serait plutôt bi, il baise tout ce qui bouge, au restau, pendant que Gisèle était aux toilettes, il m'a carrément demandé s'il avait des chances de la sauter. Je lui ai répondu que ça pouvait se "négocier", ça ne l'a pas gêné du tout. Du coup il m'a demandé si c'était possible qu'elle vienne avec nous quand on va aller te présenter.

- Ah, bon ? Et elle va venir ?

- Oui !

- Mais qu'est ce qui la motive ?

- Je sais pas !

- OK, on y va quand ?

- Vers 15 heures.

- On se retrouve où ?

- Je passe te chercher avec Gisèle.

- D'accord, je te remercie, j'espère pouvoir te remercier comme il se doit, s'il m'engage.

- Ben tu me feras une pipe ! Me répond Charlie, hilare.

 

Ce n'est pas un problème, j'adore sucer des belles bites.

 

- D'accord je te ferais une pipe d'enfer !

- Allez, je te laisse te préparer, bichonne toi, rase-toi les poils, parfume-toi…

 

Bon, vous aimeriez savoir à qui vous avez affaire : Enzo, 29 ans, divorcé, bisexuel et musicien.

 

Je me rase le visage de très près, puis je me rase un peu partout, le torse, les bras, les jambes, les couilles, j'ai bien dû user dix rasoirs, et je ne me suis même pas coupé, je suis bon quand même. Je me regarde dans le miroir, je me trouve mignon. Ah, reste le cul, j'ai le choix, soit faire ça au-dessus d'un miroir, soit demander à Charlie de me raser, mais bon Gisèle sera là c'est un peu embêtant.

 

Je pensais qu'on serait entre hommes, dans cette hypothèse, je me faisais fort de chauffer le Tristan comme il le fallait. Là ça va être plus compliqué. Et puis je ne comprends plus, s'il veut se faire Gisèle, je ne vais pas le draguer en même temps… A moins que ça tourne en partouze, allez savoir ?

 

Bon je me rase le cul tout seul, si je dois passer à la casserole, ce sera service minimum, juste la pipe, la sodo est parfois un problème, certains mecs refusent d'entrer dans un cul qui n'a pas subi dix-huit lavements et vingt-trois déodorants. Je ne vais pas me prendre la tête avec ça !

 

Bon, allez, je me parfume, me peigne comme un zozor, passe un pantalon qui me moule bien mon petit cul, je mets une chemise rose et j'attends ces messieurs dames.

 

Charlie me présente Gisèle, on me l'avait déjà présentée mais elle ne doit pas s'en rappeler. C'est une belle femme dans les quarante-cinq ans, très brune, une bouche à tailler des pipes et un regard de salope (ce qui n'est absolument pas péjoratif dans mon propos)

 

Elle me toise, rigole un peu.

 

- Bon, on va peut-être au fiasco, mais sinon, normalement Tristan devrait craquer en vous voyant. Alors la consigne est la suivante, vous allez faire comme si Charlie et moi nous n'étions pas là. Vous vous laisser draguer, vous répondez à ses avances, s'il veut vous faire une pipe ou vice-versa vous vous laisser faire. Ça vous convient ?

 

Je n'en reviens pas, la productrice de la télé qui me donne des conseils…

 

- Moi, je veux bien, mais vous croyez vraiment qu'il va se lâcher comme ça en votre présence ? Demandais-je

- J'ai confiance ! Ne vous inquiétez pas ! Et s'il veut vous sodomiser, ne faites pas votre jeune fille, exigez juste une capote, j'espère qu'il en a sinon, j'en ai apporté.

 

Et en plus, elle fournit les capotes… Je rêve !

 

- J'avais pas trop prévu de me faire sodomiser, justement. Précisais-je.

 

Gisèle me fout alors une grande claque sur le cul, puis se met à me peloter les fesses. Voilà que je bande !

 

- Quand on a un cul comme le vôtre, on assume.

- Bon si j'ai bien compris je suis obligé de me faire enculer devant vous si je veux obtenir ce contrat d'accompagnateur !

- Obligé, non, vous faites ce que vous voulez, personne ne vous oblige, mais je peux vous assurer que si vous le faites, le contrat est dans la poche. Le seul risque c'est au tout début, est-ce qu'il va flasher sur vous ou pas ?

- Est-il indiscret de vous demander quel est votre rôle dans tout ça ?

- Bonne question, Charlie, je pense que tu seras d'accord pour que je ne réponde pas. Ça fait un peu partie du jeu. Quand nous en aurons fini vous aurez votre réponse, si toutefois la question se pose encore.

 

Et la voilà qui me tripote la braguette, c'est une sorcière cette bonne femme !

 

- Vous avez mis quoi en-dessous ?

- Un caleçon, un caleçon à fleurs

- Faites-voir !

- Vous voulez voir mon caleçon ?

- J'aimerais bien, oui.

 

Je baisse mon pantalon, lui montre le truc, elle glisse alors sa main dans l'ouverture du caleçon et en ressort ma bite toute bandée.

 

- Et bien dites-donc, vous êtes en forme, vous !

 

Elle se baisse, tire mon caleçon vers le bas et se met à me sucer la bite pendant quelques instants.

 

- Hum ! Elle est bonne, goutez-là donc, Charlie !

- Mais je la connais déjà, Gisèle.

- Bon enlevez moi ce caleçon, ce sera mieux avec le pantalon et rien en dessous.

 

Si elle le dit… mais le temps de faire tout ça, la voilà derrière moi à me caresser les fesses.

 

- Humm, qu'est-ce qu'il est doux votre cul ! Ecartez-moi bien tout ça, je vais vous lécher le petit trou !

 

J'adore cette caresse, sa langue s'agite pendant quelques courtes minutes sur mon œillet qui finit par s'entrouvrir par tant de sollicitations, j'ai à présent sa langue dans mon cul ! Quelle délicieuse sensation !

 

Et la voilà qui me glisse un doigt dans le cul, puis un deuxième, ça aussi j'adore ça. Elle me fait toute une série de va-et-vient puis ressort ses doigts, en vérifie l'état.

 

- Très légèrement merdeux, tout à fait comme j'aime ! Commente-t-elle en nettoyant tout ça avec sa langue. Mais, bon faut y aller ! On y va comment ?

- En métro ! Propose Charlie.

- C'est une bonne idée, ça ! On restera debout et vous vous collerez tous les deux contre moi, je veux bien sentir vos bites à travers vos pantalons.

 

On a fait comme elle avait dit, je suis collé devant Gisèle, Charlie est derrière. Les deux mains de la coquine enserrent nos bites perspectives. Tout cela est relativement discret, d'ailleurs ma guitare cache une partie de la scène, mais n'échapperait pas à un observateur attentif. C'est exactement ce qui se passe ! A un arrêt un type descend en nous lançant d'un air courroucé :

 

- Ne vous gênez surtout pas, faites ça devant tout le monde !

- Merci du conseil ! Répond Gisèle.

- Pauvres malades ! Conclue le coincé de la braguette en disparaissant.

 

Tous les regards sont sur nous, mais il n'y a plus rien à voir, nous nous sommes légèrement décollés et Gisèle a déplacé ses mains. Mais ces quelques minutes de folies ont été aussi excitantes qu'amusantes.

 

Et nous voilà chez Tristan : physique de jeune premier, très brun avec des gros sourcils, la barbe de trois jours, le cheveu très court. Il est vêtu d'un jean informe (quoique de grande marque très apparente) et d'un col roulé blanc très fin. Les présentations sont rapides.

 

Il me détaille des pieds à la tête. Je m'efforce de lui présenter le plus beau des sourires que je possède en stock. Il daigne me le rendre.

 

- On va commencer pour voir si c'est bon ! Nous dit-il. Toi, Enzo tu t'installes ici avec ta guitare. Et vous deux, mettez-vous là !

 

"Là" c'est un peu plus loin !

 

- Bon on y va, tu connais "Laisse-moi t'aimer comme ça" bien sûr ?

 

Aïe, la catastrophe, ben non, je ne le connais pas son tube sirupeux. Si je dis "non", je me fais jeter, si je dis "oui" je peux espérer le bluffer, je dis "oui".

 

- Voilà la partition, dans l'enregistrement on ne l'a pas respecté à la lettre, tu essaies de faire pareil.

 

Mission impossible ? Mais bon, on verra ! Le bellâtre branche son ampli, sort son micro et se met à pousser la chansonnette, c'est une horreur aussi bien musicalement qu'en ce qui concerne les paroles. Qu'est-ce que je fous là ? L'accompagnement n'est donc pas bien difficile. Il ne m'interrompt pas, on va jusqu'au bout.

 

- Pas mal ! Mais tu as trop respecté la partition…

 

Il me montre le truc, m'indique l'endroit où il faut modifier un accord et de quelle façon. Ça va, c'est dans mes cordes (c'est le cas de le dire) Donc on recommence.

 

- Formidable ! On essaie un autre morceau.

 

Ça passe aussi ! Le mec est enchanté !

 

- Putain qu'est-ce qu'il fait chaud ici ! Dit-il en enlevant son tee-shirt.

 

Surprise je m'attendais à une forêt vierge, mais non, c'est rasé ! Il m'invite à faire de même, j'ai compris le message, la route de la bite est ouverte, l'inconnue restant de savoir dans combien de temps je vais me faire enculer ! Une autre inconnue : c'est le rôle de Gisèle et de Charlie dans cette salade. On verra bien.

 

- Mets-toi à l'aise ! Reprend-il.

 

Pas de problème, si Monsieur est amateur de torse imberbe et de jolis tétons il va en avoir plein la vue.

 

- Hummm ! T'es troublant, toi, je peux toucher ? Demande-t-il

- Bien sûr !

 

Il me passe une main sur le torse, s'attarde sur le téton et me le pince. Ça m'électrise, j'aime bien ce truc-là.

 

- T'aimes ça, on dirait ?

 

Il est perspicace le mec !

 

- T'es quoi hétéro, homo, bi ?

- Bi !

- Bon on va encore essayer une chanson, je vais me mettre en caleçon, ce jean m'engonce de trop.

 

Quand je pense que Gisèle trouvait mon caleçon ridicule, celui de Tristan avec des petits dauphins et des petits ballons imprimés est tout simplement consternant.

 

- Fais pareil, tu seras plus à l'aise !

- C'est que je n'ai rien en dessous !

- Ah !

 

Il reste dubitatif quelques secondes, apparemment j'ai dû contrarier son plan. Mais le bonhomme a de la ressource. Il me remet la main sur le torse et me pince de nouveau le téton gauche, et tant qu'il y est l'autre main s'occupe du téton droit ! Bien joué l'artiste ! Je me pâme et je bande.

 

Il me fait un sourire qui se veut ensorceleur, puis approche son visage du mien. Je vais avoir droit à la gamelle. Je n'aime pas trop, mais ça ne va pas me tuer non plus. Ça y est, il me roule une pelle ! Berck, ce connard a bouffé de l'ail et a oublié de se laver les dents.

 

Diversion, je m'occupe à mon tour de ses tétons, il apprécie mais ils sont petits et difficiles à pincer. Je choisi donc de lui glisser la main dans le caleçon et je dégage une bite, qui ma foi, présente un très bel aspect, c'est bien bandé, c'est bien droit, le gland est luisant et attendrissant, je n'attends aucune autorisation et après l'avoir branloté un moment je me la fourre dans la bouche. Le goût est un peu fort, ça sent un peu l'urine mais je fais avec. Allez, je le suce comme une pro, petits coups de langue, grands coups de langues, va-et-vient, aspiration, mouvements des lèvres, gobage des couilles : tout y passe !

 

La bonne question, c'est : est-ce qu'il va vouloir que je le suce à fond, ou faudra-t-il faire autre chose ?

 

Il se dégage :

 

- Tu suces bien ! A moi !

 

OK ! Je suis dans ce genre de relations plus passif qu'actif, mais il faut aussi savoir partager les plaisirs. Je quitte (enfin) mon pantalon. Me voilà en quéquette et en chaussettes, et hop, ça y est, j'ai ma bite dans sa bouche ! Ho ! Mais c'est qu'il suce bien l'animal ! Je me laisse faire, puis essaie de me contorsionner pour qu'on se mette en soixante-neuf, mais je n'y arrive pas. Je lui indique quand même par signe que s'il continue comme ça je ne vais pas tarder à décharger. Il marque donc une pause.

 

- Qu'est-ce que c'est bon de sucer des bites ! Commente-t-il.

 

Il a bien raison, le garçon !

 

Puis il demande à Charlie de se déshabiller et de nous rejoindre. Celui-ci se pointe donc et Tristan lui prodigue une fellation à genoux, Je m'allonge donc sur le sol et recommence à sucer ce dernier.

 

On reste comme ça un certain temps, puis Tristan se relève, me demande d'en faire autant et commence à s'intéresser de près (de très près même) à mes fesses. Et que je te les pelote et que je te les malaxe, et que je te les caresse, et que je te lèche le trou du cul et que j'y mets les doigts.

 

- Prépare-moi ! Demande-t-il à Charlie on va faire le petit train.

 

Il va fouiller dans un tiroir, reviens avec deux capotes, l'une pour lui, l'autre pour Charlie. Il prend aussi du gel. Il m'en tartine le trou du cul tandis que mon copain black fait de même avec la rosette de Tristan.

 

- Je commence et je te dirais quand tu pourras venir, dit-il à l'adresse de Charlie.

 

Attention, ça va être la fête à mon cul ! Je me mets en levrette, il arrive derrière. Quand c'est bien fait, j'aime bien, mais encore faut-il que ce soit bien fait. Il me pénètre du premier coup et se met à me limer, il débute trop vite, me fait mal.

 

- Attention !

- Ne fais pas ta chochotte ! Me répond-il.

 

Charmant !

 

Mais bon, ça va mieux, je devrais dire "ça glisse mieux", et tout ça commence à me procurer des frissons de plaisir. Puis il reste enfoncé en moi, me fait me baisser jusqu'au sol toujours sans déculer, et on se met en cuillères, le temps qu'il reprenne le rythme, il demande à Charlie de venir le sodomiser à son tour.

 

Ça y est on fait le petit train, le seul problème c'est que Tristan semble plus intéressé par ce qui se passe dans son cul que par ce qu'il fait subir au mien, ses mouvements deviennent désordonnés, ça devient du grand n'importe quoi, il finit d'ailleurs par déculer pour laisser Charlie jouir dans son fondement.

 

Me voilà largué.

 

Tristan appelle alors Gisèle.

 

- Prend l'enveloppe sur la cheminée !

 

Elle le fait, compte les billets, puis lit un petit papier qui est avec.

 

- D'accord, mais tu ne tapes pas trop fort et tu ne m'attaches pas ! Dit-elle.

- Tu ne risques rien, tes amis sont là !

- Bon d'accord !

- T'as tout lu ?

- Oui !

- Plus d'objections ?

- Non ! On peut y aller !

 

Elle se déshabille entièrement. Elle est très belle avec ses seins un peu lourds aux mamelons très sombres.

 

- T'aime ça faire la pute, hein salope ? Lui lance Tristan.

- Oui et alors ?

- Alors rien, arcboute-toi après la table, lui dit-il tout en disposant une grande bâche sur le sol.

 

Il lui attache une barre d'écartement entre les chevilles, lui fait allonger les bras qu'il attache à une chaise coincée de l'autre côté de la table, puis s'en va chercher un gode qu'il recouvre d'une capote, avant de lui introduire dans l'anus, puis il se saisit ensuite d'une cravache.

 

Le premier coup zèbre la fesse de Gisèle en une trainée rose. Elle sursaute, étouffe un cri. Le deuxième coup tombe, laissant une trace chevauchant la première, puis le troisième. Vers le quinzième coup elle crie à chaque fois, désormais incapable d'étouffer sa souffrance, mais elle sublime néanmoins la douleur.

 

On a dépassé les quarante, son cul est devenu violet et boursouflé, Tristan continue à frapper, Gisèle pleure, mais sans crise. Elle encaisse, je me demande comment elle fait.

 

49, je suppose que le cinquantième sera le dernier. Effectivement mais pour le final Tristan augmente la force de son coup. Cette fois Gisèle hurle.

 

- Connard !

- Je sais ! Répondit-il.

 

Il pose la cravache, retire le gode, qu'il introduit tel quel dans la bouche de Gisèle, puis lui tartine un peu le trou du cul, s'encapote sa bite bandée comme un pieu, et l'encule.

 

- Détachez-la ! Nous demande-t-il

 

Sodo305b.jpg>

 

Gisèle pousse des petit cris sous les coups de butoir de Tristan, elle fait ce qu'elle peut pour maintenir le gode dans la bouche, mais il finit par dégringoler. Trois minutes plus tard alors la femme se met à jouir du cul, notre chanteur à la mode décule, et après avoir demandé à Gisèle de se retourner, il lui éjacule en plein visage.

 

- Ne bouge pas et ouvre la bouche ! Lui indique-t-il.

 

Il se concentre quelques instants (en fait il attend que sa bite débande), puis se met à pisser d'abondance en visant le visage de la productrice de télévision. Gisèle avale tout ce qu'elle peut sans problème, le reste finissant par faire une flaque insolite sur la bâche.

 

- Ah ! Ben ça fait du bien tout ça ! Commente-t-il. Vous pouvez vous rhabiller !

 

On le fait.

 

- Bon, vous allez devoir me laisser ! Reprend-il, j'attends du monde. Quand à ce monsieur, continue-t-il en me désignant, je ne crois pas qu'il fera l'affaire, je ne vais quand même pas engager un type qui n'a manifestement jamais écouté aucune de mes chansons.

 

Je tombe du placard, je me suis donc fait enculer pour rien !

 

- Qu'est-ce que tu en as à faire, l'essentiel c'est qu'il soit un excellent guitariste. Intervient Charlie.

- Justement, un excellent guitariste ne va pas s'abaisser à faire l'accompagnateur de Tristan Lamont ! Raille ce dernier.

 

Il y a une certaine tension.

 

- Je peux peut-être prendre une douche, et il faut que je me remaquille… je ne vais pas repartir comme ça. Intervient Gisèle

- Bon d'accord, mais si tu pouvais faire vite ! Concède Tristan.

- Nous on se casse, Gisèle, on t'attend au bistrot d'en face, propose Charlie.

 

- Quel fiasco, je t'ai emmené dans un plan foireux, je suis vraiment désolé ! Me dit Charlie une fois que nous étions dehors.

- On ne pouvait pas savoir… et puis je n'ai pas pensé non plus à écouter ses chansons avant d'y aller…

 

Vingt-cinq minutes plus tard, Gisèle ne nous avait toujours pas rejoints. On commence à s'inquiéter, mais la voilà qui sort de l'immeuble de Tristan.

 

- Quand une femme dit qu'elle va prendre une douche rapide, il ne faut jamais la croire ! Plaisante Charlie

- Bon, cet abruti m'a filé un bon paquet de fric, il m'a payé comme une escort de luxe ! Je vous offre le restau, j'ai envie d'un gros plateau de fruits de mer ! Propose Gisèle.

 

Je brûle de lui poser la question qui me brûle les lèvres. Mais est-ce bien nécessaire ? J'ai compris que cette femme un peu nympho et qui n'a pas de problèmes financiers vu sa situation a simplement le fantasme de faire "la pute", elle a eu l'occasion de le faire, elle l'a fait. Elle m'avouera plus tard aussi que de voir des mecs faire des trucs ensemble l'excitait terriblement. Côté sexe elle a donc eu ce qu'elle était venu chercher. Pour le reste elle est très remontée contre Tristan et parle même de lui briser sa carrière…

 

On arrive au restau, on choisit une table, on s'assoit, on commande du champagne. Le serveur s'en va préparer notre commande. Gisèle le rappelle :

 

- Madame désire autre chose ?

- Oui, un bon coussin pour mon cul !

 

FIN

 

 

Enzo Cagliari - 30/10/2010

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:23

Les libertins du Cantal

3- Le facteur, la crémière et les autres

par Enzo

 

 

bi stamp

 

Malgré cette folle journée, je me suis levé de bonne heure le lendemain matin… et avec la trique. Je descends à la cuisine en pyjama. Florence est en robe de chambre. Me voyant arrivé elle ouvre sa robe de chambre, du coup on s'embrasse et je lui pelote les seins pendant qu'elle me tripote la bite. Quelques instants plus tard, la voilà qui se met à me sucer… Voilà une journée qui s'annonce bien… Mais on sonne, elle se relève précipitamment, se réajuste…

 

- C'est le facteur ! Passe derrière la porte de l'escalier, ne la ferme pas à fond, comme ça, s'il y a du spectacle tu pourras en profiter…

 

Je ne cherche pas à comprendre, effectivement placé comme je suis, j'ai une vue très partielle sur l'évier de la cuisine, et j'entends entrer le facteur, probablement un antillais vu l'accent.

 

- Bonjour Madame Florence, c'est un paquet pour vous !

- Merci, vous voulez une signature ?

- Non, pas la peine, vous êtes toute seule, Madame Florence ?

- Et oui, mon mari est déjà parti et mes locataires sont en train de ronfler… Mais pourquoi me demandez-vous ça, petit coquin ?

- D'après vous ?

- Non je ne vois pas ! Plaisante-t-elle.

- Je peux ouvrir votre robe de chambre ?

 

Je n'entends pas la réponse, elle a dû approuver d'un geste de la tête, mais il est en train de la peloter…

 

- Doucement, doucement avec mes seins, ce n'est pas de la pâte à modeler… Attends, attends, arrête de t'agiter, je vais m'occuper de ta bite… et puis viens par ici, là on est en plein courant d'air.

 

Elle l'emmène jusque devant l'évier en plein dans mon champ de vision. C'est bien un antillais. Florence lui sort sa queue, un chibre impressionnant qu'elle est incapable de mettre entièrement dans sa bouche. Elle lui suçote le gland, lui lèche les couilles. Hummm, ça me fait bander tout ça, dommage qu'il ne soit probablement pas bi, le facteur, je l'aurais bien sucé à mon tour.

 

- Allez viens me prendre ? T'as une capote ?

 

Elle retire carrément sa robe de chambre et se met en levrette en bas de l'évier. L'autre se pointe.

 

- Non laisse mon cul tranquille, tu es trop gros.

- Je te donnerais un peu plus !

- Ce n'est pas une question d'argent, aujourd'hui je ne veux pas. Allez viens me baiser.

 

Je n'en reviens pas, elle se prostitue avec le facteur ? Et pourquoi ne m'a-t-elle pas demandé de l'argent à moi ? Bizarre tout ça ! Le facteur s'agite comme un forcené pendant une dizaine de minutes et finit par jouir en silence.

 

Black1104.jpg- Hummm, tu m'as bien baisé, le facteur !

- C'était bien, hein madame ?

- Très bien, n'oublie pas mon petit cadeau !

- Voilà Madame Florence.

- Merci, et surtout sois discret, je compte sur toi.

- Pas de soucis, Madame Florence, au revoir Madame Florence.

 

Je sors de ma cachette.

 

- Alors t'a bien maté ?

- J'ai surtout entendu et j'ai un peu vu aussi… il a une belle bite !

- Tu aurais bien aimé la sucer, hein petit cochon ?

- J'avoue !

- Pas de bol, il n'est pas bi !

- Dommage !

- Et regardez-moi, ça ! Rien que d'en parler, ça te fait bander… me dit-elle en me mettant la main là où il faut.

 

Mais à mon grand regret elle retire sa main, et s'éloigne.

 

- Bon, on va se boire un café, on verra le reste après…

 

C'est comme elle veut. Elle sert le petit déjeuner et s'assied en face de moi

 

- Faut peut-être que je t'explique deux, trois trucs… commence-t-elle. René et moi avons toujours été libertins. On habitait Lyon, on avait tout ce qu'on voulait sur place, les amis, les clubs… et puis les parents de René sont morts accidentellement, il a voulu reprendre la ferme, ça a toujours été son rêve. On a été bien accepté par les gens d'ici, mais côté libertinage, c'est pas tellement le genre du coin. Ici les gens sont hypocrites, on ne peut pas se dévoiler, on continue à voir quelques amis, pas beaucoup… et de temps en temps on va faire un tour à Aurillac ou à Clermont, mais ici on s'est efforcé d'être discret. 

 

Elle fait une pause, se prépare une tartine.

 

- Le facteur, j'ai fait une bêtise, reprend-elle, j'ai fantasmé sur lui et quand il m'a fait des avances, j'ai craqué. Je l'ai regretté ensuite, il y a des hommes qui ne peuvent s'empêcher de parler de leurs conquêtes aux copains, qui les racontent aux autres qui les racontent à leur femme… et c'est comme ça qu'on se fait une réputation. Je lui ai donc dit que j'avais eu un coup de folie mais qu'il n'était pas question de recommencer… J'ai cru l'affaire terminée, mais il est revenu ensuite à la charge : "Juste encore une fois, on prend son temps, on fait ça bien et après on n'en parle plus…" J'ai dit non, mais c'est vrai que quelque part j'en avais envie… il fallait que je trouve quelque chose pour stopper ces avances. Alors j'ai eu l'idée de lui dire que j'étais une ancienne prostituée, que je conservais quelques clients et que je n'avais pas l'intention d'en avoir d'autres… mais que pour lui je pouvais faire une exception. Ça changeait complètement la donne et j'ai cru qu'il laisserait tomber… Et bien pas du tout, il m'a répondu qu'il était d'accord pour me payer. J'ai accepté, en me disant que vu les nouvelles conditions, le risque qu'il en parle à tout le monde devenait moindre… payer pour faire l'amour n'est pas un acte dont on se vante quand on est macho.

- Et pourtant avec moi…

- Mais ça n'a rien à voir… il n'y a peu de risque, je ne vois quand même pas un locataire aller raconter dans tout le patelin qu'il s'est envoyé sa logeuse…

- Et Claudine ?

- C'était un matin en hiver, elle m'avait commandé un lapin, et elle est descendue le chercher à pied. Elle était frigorifiée, je lui ai préparé une boisson chaude, mais elle avait des frissons, je lui ai proposé sans aucune arrière-pensée de lui frictionner le dos. Elle m'a alors complimenté sur la douceur de mes mains, je lui ai expliqué que j'adorais masser, les hommes, les femmes. La conversation a dévié, les gestes aussi, et dix minutes après on se broutait la chatte… Depuis on se connait mieux, on se voit de temps en temps, elle aime bien les jeux de domination, elle m'a un peu initié…

 

Puis sans finir sa phrase, elle ouvre sa robe de chambre.

 

- Il fait chaud non ? 

- C'est vrai !

- Alors viens que je te suce, ça va me rafraîchir !

 

Je me lève, m'approche d'elle et lui caresse de nouveau les nichons.

 

- Bon tu me le quitte ce pyjama, tu vas crever de chaud !

 

Je m'exécute.

 

- Ça ne bande plus beaucoup, tout ça… Ne bouge pas, on va arranger ça !

 

Elle se lève, passe derrière moi et m'attrape les piercings de mes pointes de seins. L'effet est immédiat, me revoilà en train de bander comme un mulet. Je pense alors qu'elle va s'occuper de mon sexe, mais sa main, ou plutôt son doigt se dirige vers mon petit trou et le pénètre sans autre forme de procès.

 

- Alors tu aimes te faire enculer, maintenant, hein ?

- Oui, j'avoue !

- Tu aimes ce que je te fais avec le doigt ?

- Oui, continue…

 

Un raclement de gorge. C'est Dominique qui se pointe…

 

- Bonjour tout le monde ! Alors on commence la journée sur les chapeaux de roues ?

- Tu ne crois pas si bien dire, le facteur m'a fait une petite visite tout à l'heure, mais approche-toi donc, j'ai deux mains, je peux m'occuper de toi en même temps.

 

Elle baisse le pantalon de pyjama de Dominique, dégageant ainsi ses ravissantes petites fesses, puis nous doigte en même temps, puis se baisse pour nous sucer. Pendant ce temps Dominique me caresse… ça me fait drôle de me faire caresser par un mec, d'autant que ce matin non seulement il n'est pas travesti, mais il n'est pas rasé… J'accepte quand même son baiser, j'ai du savoir-vivre.

 

La sonnette.

 

Florence jette un coup d'œil.

 

- Super, restez à poil et continuez ce que vous faisiez…

 

Je m'apprête à protester mais Dominique me rassure.

 

- Faisons comme elle a dit, ne t'inquiètes pas.

 

Et voilà Claudine qui fait son apparition.

 

- Salut les petits pédés ! Quel joli spectacle ! Justement Florence, je venais t'acheter un lapin et en profiter pour te demander si je ne pouvais embarquer tes neveux pour quelques heures, j'ai envie de m'amuser.

- Si tu veux, mais j'ai quoi en échange ?

- Moi !

- Ça marche ! Alors les gars, ça vous dit de passer un bon moment avec Claudine… Dominique y a déjà eu droit, mais Thibault, si tu y vas, attends-toi à ce qu'elle te fasse des petites misères… Oh, rien de bien méchant, ce n'est pas une tortionnaire tout de même.

- Viens, tu ne regretteras pas ! Insiste Dominique.

 

Je donne mon accord, et on se donne rendez-vous trois quart d'heures plus tard pour le départ, le temps pour moi et mon complice de déjeuner, et de prendre une douche… et le temps pour ses dames de prendre du bon temps entre-elles… Et d'ailleurs elles ont commencé devant nos yeux en se roulant un patin d'enfer… avant de se diriger vers la chambre de laquelle nous n'avons pas tardé à entendre le bruit de leur jouissance

 

Une heure plus tard, Claudine, nous conduisait chez elle.

 

- Je me suis bien avancée, je n'ouvrirais la boutique que vers 16 heures, d'ici là on va pouvoir s'amuser, vous allez revenir avec des culs tous rouges, les mecs !

 

Surprise ! Claudine n'est pas seule chez elle, elle nous présente une grande brune à lunettes d'une quarantaine d'année :

 

- C'est Nathalie, ma grande sœur, elle vient de divorcer, et je lui fais un peu rattraper le temps perdu… Comment trouves-tu mes petits esclaves ma sœurette ?

- Humm… ils sont mignons, j'ai hâte de voir ce que tu vas leur faire.

- Tu ne vas pas être déçu ! Et l'autre dans sa cage, il a été sage, il n'a pas fait de saleté ?

- Non, il dort !

 

De qui parle-t-elle ? D'un chien ? D'un autre "esclave" ?

 

- Libère le et ramène le ici, on va l'exciter. Ou plutôt, non, on va tous aller le rejoindre. Allez, on descend !

 

Claudine a aménagé une pièce de son sous-sol avec une croix de Saint-André, un chevalet, des poulies, des cordes, et des planchettes garnies de divers instruments de flagellation et autres… Mais il y a aussi un pilori… et dans ce pilori ressortent le visage et les mains du… père Michel. Que fait-il ici, celui-ci ?

 

Nathalie libère le prisonnier, il n'est pas complètement nu, non ces dames l'ont affublé de bas auto fixant qui le rende assez ridicule.

 

- Oui, il vient une fois par semaine, et il me fait le ménage en grand, je le paie avec une petite séance de domination et il emporte quelques fromages et d'autres bricoles. C'est un échange de bons procédés… et il est tout content le père Michel, n'est-ce pas père Michel ?

- Oui, bien sûr Madame Claudine ! Approuve ce dernier.

- Tu as vu les deux mignons petits pédés que j'ai trouvés, tu les connais je crois ?

- Oui !

- Alors raconte, ma sœurette elle n'est pas au courant :

- Ben, Thibault a sucé Dominique devant moi, et après il s'est fait bien enculer. Après c'est Thibaut qui m'a enculé.

- Et après ?

- Après je me suis bien branlé en repensant à tout ça !

- Quels cochons ! Constate Nathalie.

- Tu vas voir, ils vont faire tout ça devant nous… lui confia Claudine.

 

Claudine nous demande de nous déshabiller, puis se tourne vers sa sœur. 

 

- Nathalie tu vas me dire celui des deux qui a la plus belle bite, le perdant aura droit à vingt coups de martinets et le gagnant celui de te sucer le cul !

- Et tu crois que je vais être d'accord pour me faire sucer le cul ? Répond Nathalie faussement choquée.

- Ben si tu ne veux pas qu'il te suce le cul, on va dire qu'il gagnera un fromage !

 

Les deux nanas rigolent comme des bossues.

 

- Alors ?

- C'est lui ! Répond Nathalie désignant Dominique qui fait son fier.

 

Les deux nanas m'attachent sur la croix, et elles s'amusent à me fouetter alternativement, c'est un peu fort quand même, je supporte, mais il ne m'en aurait pas fallu dix de plus.

 

Nathalie enlève alors le bas afin d'offrir son cul à Dominique. Le bougre se régale plusieurs minutes, puis on me délivre.

 

- Bon deuxième concours, dit-moi maintenant celui qui a le plus beau cul ! Reprend Claudine.

- La punition reste la même ?

- Oui, par contre pour la récompense, qu'est-ce que tu pourrais lui offrir ?

- Je sais pas, moi, mes nichons par exemple !

- Non, ce sont des esclaves, les esclaves, ça ne lèchent pas les nichons de leur maîtresse… mais tu n'aurais pas une petite envie de pipi ?

- Oh, ben si !

- Et bien voilà le vainqueur gagnera ton pipi ! Alors c'est qui le vainqueur ?

 

Pourvu que ce soit moi, je n'ai vraiment pas envie de me retaper vingt coups sur les fesses !

 

- Ça aurait dû être lui, dit Nathalie en me désignant, mais maintenant qu'il a le cul tout rouge, c'est difficile de départager.

- Tu as raison, on va fouetter Dominique, comme ça leurs culs seront tous les deux dans le même état.

- Mais pour quel raison ? Il n'a pas perdu !

- Parce que j'ai envie que ça se passe comme ça, après tout, une maîtresse n'a pas besoin de se justifier.

 

Elles attachent Dominique, le fouette en s'échangeant des plaisanteries qui ne font rires qu'elles.

 

- Et vingt ! On ne le détache que s'il a gagné, sinon ce n'est pas la peine. Annonce Claudine.

- Il n'a pas gagné, les plus belles fesses, c'est lui.

 

Ah, mais !

 

Les nanas ne sont pas méchantes, la deuxième série de martinet sur le cul de Dominique est beaucoup moins forte.

 

- Je fais comment pour le pipi ?

- Ben Thibault va se coucher par terre, tu l'enjambes et tu lui pisses dessus, vise bien sa bouche, il doit avoir soif !

- Il va boire mon pipi !

- Je crois bien, oui ! Les esclaves adorent boire la pisse de leur maîtresse.

 

Je me positionne, Nathalie aussi…

 

- Accroupis-toi se sera plus pratique.

 

Me voilà donc réduit à l'état de chiottes à la turque… mais il a bon goût son pipi.

 

- Je peux faire caca, aussi ? Demande Nathalie.

- Oh, oui, Oh oui ! Répond Claudine.

 

J'aurais pu protester, mais parfois les circonstances et l'excitation qui avec font que… bref, je n'ai pas protesté.

 

La salope chie un long boudin qui m'atterrit sur le torse. Drôle d'impression ! Je cherche à me débarrasser de tout cela mais les deux femmes m'en empêchent.

 

- Il faut que tu lui nettoies l'anus, maintenant me dit Claudine.

 

Ça ne coute rien d'essayer et ma langue sert donc de papier à cul a cette jeune débauchée. Et pendant ce temps-là la Claudine ne trouve rien de mieux à faire que de m'étaler le caca un peu partout, j'ai l'air intelligent comme ça !

 

A l'autre bout de la salle, le père Michel bande comme un bienheureux.

 

- Dis donc, toi la vielle salope, quelqu'un t'a autorisé à bander ?

- Euh, non !

- Détache Dominique, on va t'attacher à sa place.

 

Le pauvre vieux reçu à son tour une volée de martinet.

 

Claudine s'harnacha ensuite d'un gode-ceinture, puis après l'avoir détaché, demanda au sexagénaire de s'arcbouter sur une table. Elle l'encula avec l'objet pendant quelques minutes avant de refiler son instrument à sa sœur !

 

- Tu as vu comment il faut faire, à toi de jouer.

 

Nathalie, à ce jeu se montra assez douée, elle pilonna le père Michel pendant de nombreuses minutes. Ce dernier poussait des petits cris bizarres et s'écroula à moitié quand l'exercice fut terminé.

 

- Bon, maintenant, disparaît, il reste du ménage à faire en haut ! Lui ordonna Claudine.

 

Les deux femmes revinrent vers nous :

 

- Alors les garçons, on a le cul qui chauffe ! Bon dis-moi Nathalie, qu'est-ce que tu voudrais qu'on leur fasse maintenant ?

- Ben j'aimerais bien voir ce qu'ils se font entre eux.

- Bon, vous avez compris les gars, faites-nous un petit spectacle, mais attention : défense de jouir !

 

O.K. on y va et comme je préfère sucer qu'être sucé, je me mets à genoux devant mon partenaire et lui gobe la bite, ça a beau faire je ne sais combien de fois que je le suce, le plaisir est toujours le même. Je fais en sorte de l'exciter au maximum, afin qu'il soit bien raide pour la suite annoncée. Quand je sens qu'il est à point, je lâche son sexe et me positionne en levrette. Dominique demande une capote se l'enfile, puis m'encule sans difficulté. Il faudra que je compte le nombre de sodomie que j'ai subie depuis que je suis arrivé… Quand on aime on ne sait plus compter.

 

- Stop ! Dira Claudine après quelques minutes.

 

Dommage, c'était bien, par contre je ne suis pas encore bien habitué à l'après sodo, ces instants où on a le trou béant et où on se demande un peu ce qu'il se passe.

 

Les deux femmes nous demandent de les suivre. On se retrouve dans la chambre. Là elles se mettent à poil, et je peux enfin admirer leurs charmes, leurs jolis seins pyriformes, leurs petits culs et leur zézette assez poilues.

 

- Allez, je t'offre Dominique ! Lui dit Claudine.

 

J'ai compris, c'est donc le final, en double couple. La crémière me suce, elle fait ce qu'elle peut mais elle a des progrès à faire. Je suis soulagé quand elle écarte les jambes, le temps de mettre la capote et on y va, je la besogne pendant que Dominique fait de même avec Nathalie. Claudine au bout d'un moment me demande de changer de trou. Dominique aura-t-il aussi ce privilège ? Non, on, ne peut pas tout avoir ! 

 

Claudine gueule, je décharge un peu après, à côté c'est un peu plus laborieux, ce qui fait que la crémière rampe vers sa sœur et lui suçotent les tétons pour l'aider à prendre son pied. Miracle, ça marche !

 

On s'est fait une petite douche, à cinq avec le père Michel, puis Claudine nous a ramené chez Florence et René

 

Belle matinée, mais qu'est-ce que j'ai mal au cul !

 

A midi, je me suis fait une omelette, tout seul comme un grand, Dominique était parti en ville chercher je ne sais quoi ! Florence qui avait déjà déjeuné passe en coup de vent :

 

- Bertrand m'a signalé qu'ils ont pété une ampoule électrique, tu veux bien t'en occuper ? Je suis débordée.

 

Je voulais faire une sieste, tant pis, ce sera pour plus tard.

 

Je vais d'abord voir quel est le type d'ampoule. Bertrand est carrément à poil, Sophie est en maillot de bain. On se dit bonjour et Sophie me roule carrément un patin baveux. Je monte sur un tabouret afin de dévisser l'ampoule usagée. Puis je vais pour descendre :

 

- Humm, reste là-haut, je vais vérifier un truc.

 

Elle me met la main sur la braguette :

 

- Tu vois c'est juste la bonne hauteur. Tu veux jouer ?

 

Je réponds d'un sourire entendu, tandis qu'elle appuie sa caresse. Je bande comme un cerf. Je décide néanmoins de changer l'ampoule de suite.

 

- Je reviens tout de suite !

- J'espère bien, on t'attend de pied ferme !

 

Cinq minutes plus tard, j'étais de retour. Je remonte sur le tabouret, je change l'ampoule. On fait un essai.

 

- Reste là-haut !

 

En disant cela, Sophie a descendu mon bermuda et me branle la bite. J'ai beau être fatigué, je me laisse faire bien volontiers, d'autant qu'une fois la chose ayant atteinte sa taille optimale, elle se la fourre sans la bouche, la gobe, la suce, la lèche ! Je craque.

 

Bertrand ne loupe rien du spectacle et se branle frénétiquement.

 

- Tu veux venir à ma place ? lui demande Sophie.

 

Bien sûr que le voilà qui arrive, à son tour il me prodigue quelques bons moments de fellation. Il est doué, il a encore du progrès à accomplir, mais pour un mec qui n'avait jamais fait ce genre de choses avant la veille, il ne faut pas se plaindre.

 

Je profite d'un répit de mon fellateur pour descendre de mon perchoir.

 

- Rien ne vaut la terre ferme ! Commentais-je.

- Tu veux rester t'amuser un peu avec nous ? Demande Sophie, en retirant son haut de maillot.

 

J'acceptais, bien évidemment.

 

- On a un jeu ! Reprend-elle, pile c'est moi qui commande, face c'est Bertrand ! Et au bout d'une demi-heure on change ! Ça te va ?

- Ce n'est jamais moi qui commande alors ?

- Ben non !

- D'accord on y va !

 

Elle lance une pièce, c'est Bertrand qui a gagné. Sophie sans rien dire se met à genoux. Leur jeu doit être super rodé !

 

- Ça te dirait de lui pisser dessus ? me demande Bertrand ? Elle adore ça, cette catin !

- Pourquoi pas, j'ai justement une petite envie.

 

Sophie est devant moi, la bouche ouverte, elle vient de retirer son bas de maillot et attend. J'essaie de mon concentrer, mais ce n'est pas facile de pisser quand on a la bite en érection. D'autant que Bertrand croit intelligent de passer derrière moi afin de m'introduire un doigt dans mon fondement.

 

- Elle aime, ça… et bien justement on va la faire attendre, tu aimes mon doigt ?

- Bien sûr, tu peux continuer !

 

Il m'en met un deuxième, j'adore ça ! Je vais pour lui proposer de m'enculer, mais à quoi bon, l'acte viendra dans la logique des choses, et puis on joue, et le jeu c'est Bertrand qui commande pendant une demi-heure, alors je me tais, je me laisse dominer.

 

- Allez suce moi bien, et quand elle sera bien raide je vais te la foutre dans le cul !

 

Qu'est-ce que je vous disais !

 

Je le suce donc, et me régale de cette fellation, sa bite n'a pas été lavé depuis le matin, elle sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas, je la suce, je la lèche, je la tète, c'est trop bon !

 

- T'aimes ça, sucer des bites, hein ma salope ? 

- J'adore !

- Ma femme aussi elle adore ça, une fois on avait été dans un club échangiste à Paris, ce n'était pas terrible, ma femme se faisait draguer sans arrêt, ce que je n'avais pas vu, c'est que cette coquine avait donné rendez-vous à trois types à notre hôtel, ils nous ont rejoint, et moi je me demandais ce qu'ils venaient foutre ici. Sophie m'a demandé de me laisser faire. Alors on m'a attaché sur une chaise et on m'a mis un écriteau au cou marqué "cocu". Elle a sucé à fond les trois mecs, pas les uns après les autres, mais un peu l'un, un peu l'autre, ils avaient des bites superbes, je fantasmais vraiment dessus, mais apparemment ces mecs n'étaient pas bi du tout. Elle a fait durer l'affaire presque une heure, et à la fin les a fait jouir dans sa bouche. Puis elle leur a demandé de nous laisser. Après on a baisé tous les deux, ce fut rapide mais très intense. Bon allez tourne-toi, je vais te baiser le cul !

 

Je me mets en levrette, j'ouvre mon cul, et j'accueille sans difficulté la bite de Bertrand. Et hop, le voilà qui m'encule en cadence ! Quand je pense qu'il n'y a même pas une semaine, j'étais vierge du cul ! Il m'encule bien, mais il ne se contrôle pas, je le sens s'exciter et le voilà qui se met à jouir dans la capote, il reste quelques instants comme groggy avant de déculer.

 

J'ai légèrement débandé (effet du frottement de sa bite sur ma prostate ?). Sophie s'en aperçoit et ouvre une large bouche, en voilà une qui ne perd pas le nord ! Quelques instants de concentration, et allez hop, je lui pisse dessus sans me contrôler, elle en avale une partie, le reste dégouline sur son visage, son cou, ses seins son ventre ses cuisses… et sur le carrelage !

 

- Tu as encore droit à un petit quart d'heure ! Dit-elle à Bertrand.

- Je t'en fais cadeau, je suis "out"

- On continue à jouer ou pas !

- Laisse passer 10 minutes et vas-y, mais là je souffle un peu.

 

C'est assez surréaliste, nous voilà tous les trois assis au bord du lit, on est à poil et on discute de choses et d'autres. En fait ils vont partir en randonnée le lendemain et me demande si je connais des circuits. Ben pas vraiment, je suis nouveau dans la région… Mais j'ai quand même l'idée de leur parler du père Michel (en revanche par discrétion je ne parle pas de Claudine, la fromagère perverse). La suggestion a l'air de les amuser.

 

Mais voilà que les dix minutes sont déjà passées et la douce main de Sophie me masturbe bien efficacement.

 

- Toi le PD, tu restes à genoux un peu plus loin pendant que ce beau jeune homme va me baiser ! Et te plains pas, je te donne la permission de regarder, tu vas pouvoir t'en mettre plein la vue, hein cocu !

 

Mon portable sonne, c'est ma mère :

 

- Allo, Thibault, alors tu ne m'appelle pas ?

- Mon portable est tombé, je n'arrive plus à appeler, mentis-je

- Est-ce que ça se passe bien ? Est-ce que c'est joli comme coin

- Oui, oui, la vue est magnifique ! Là en ce moment je vois de belles collines.

 

Fin

 

Note de l'auteur : j'aurais pu continuer mais le risque était de faire de la répétition, ce troisième épisode sera donc en principe, le dernier…

 

Avril 2010

 

 

(c)Enzo Cagliari


What do you want to do ?
New mail
Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:22

Les libertins du Cantal

2 - Les locataires

par Enzo

 

bi stampj

 

Le lendemain matin, je me réveillais assez tard, je descendis en cuisine, n'y trouvait personne. J'effectuais un petit tour dans la maison, René devait être parti vaquer à ses occupations, Florence n'était nulle part et Dominique comme à son habitude devait ronfler comme un loir.

 

Je me fais un café, regarde la pendule, déjà 10 heures, un bruit de moteur, je jette un coup d'œil, c'est Florence qui revient de je ne sais où. Elle me fait un bisou rapide, n'a pas l'air de bon poil.

 

- Je viens de recevoir un coup de fil, je devais avoir des locataires pour la petite dépendance du fond, et ces conards se sont décommandés au dernier moment. Je vais garder les arrhes, mais ça va nous faire une perte… parce que repasser une annonce maintenant, il est trop tard.

- Pourquoi tu ne passerais pas une annonce sur un site libertin, je ne sais pas moi, "couple bisexuel hébergerait couple ayant les mêmes tendances…"

- N'importe quoi… Quoi que… on peut toujours essayer… bougonne-t-elle avant de me laisser en plan.

 

Et à midi, la voilà toute rayonnante qui m'annonce :

 

- J'ai eu quatre réponses à mon annonce, la quatrième ce sont des gens de Dijon, ils seront là en fin d'après-midi… Tu as eu une bonne idée, ça mérite un câlin, sors ton zizi je vais te faire une bonne pipe.

 

La sonnerie du téléphone portable de Florence mit malheureusement à mal cette intéressante initiative. Et tandis qu'elle s'en allait converser dans la salle à manger, j'allais ranger ma bite quand Dominique descendant du premier pénétra dans la cuisine.

 

- Ben qu'est-ce que tu fais la bite à l'air ?

 

- Florence voulait me sucer, elle a eu un contretemps.

- C'est pas grave, je vais la remplacer.

 

Et joignant le geste à la parole, ce ravissant jeune homme se penche vers ma virilité et la met dans sa bouche. Je ne tarde pas à bander pour ce bon, ce qui lui permet de soigner sa fellation… Qu'est-ce qu'il suce bien, je suis aux anges.

 

- Voilà, on s'absente cinq minutes et c'est l'orgie dans la cuisine ! Plaisante Florence en revenant. Dommage que je doive m'absenter un bon moment ! A tout à l'heure, amusez-vous bien, ne m'attendez pas pour le déjeuner. 

 

Dominique s'est hélas relevé,

 

- A ton tour de me sucer ! Me demande-t-il 

 

OK, ce n'est pas une corvée. Me voilà donc en train de sucer la très belle queue de Dominique. Elle raidit bientôt sous ma langue gourmande, et je me régale, mais il me fait signe d'arrêter et me propose :

 

- Tu veux que je t'encule ?

- Bien sûr !

 

Il a l'air étonné de ma réponse rapide, c'est vrai que j'y ai eu droit trois fois hier, et que c'était nouveau, mais j'ai apprécié, j'ai bien le droit, non ? Je m'arcboute contre le plan de travail de la cuisine et tends mon cul en le faisant dodeliner. Dominique ouvre tous les tiroirs les uns après les autres, je comprends qu'il cherche des préservatifs, il s'énerve, n'en trouve pas et part en chercher ailleurs… J'ai l'air fin tout seul dans la cuisine en train de tortiller du cul.

 

Il revient.

 

- Recommence à faire bouger ton petit cul, ça m'excite !

 

Il me tartine d'un peu de gel, et devant estimer que l'endroit est désormais habitué, me pénètre sans trop d'attention.

 

- Aie !

- Je t'ai fait mal !

- Un petit peu !

- Là, ça va ?

- Oui, ça va aller, vas-y doucement.

 

Ce mec a une bonne mentalité, il est très impulsif, parfois, il faut le freiner, le remettre à sa place, mais il n'est pas buté du tout et accepte volontiers les critiques, Il y va délicatement et me sodomise comme un dieu, en prenant son temps. Il finit par jouir et cherche ma bouche pour me rouler un patin. Dans mes relations avec les hommes c'est peut-être aujourd'hui le geste qui me plait le moi, mais je sens que vais m'habituer.

 

Ma queue est raide et je n'ai pas joui. Va-t-on inverser les rôles ? Je me souviens que Dominique m'a dit qu'il préférait les attitudes passives quand il se travestissait… Il m'attrape la queue, toujours revêtue du préservatif, me la tripote un peu. Je me laisse branler, après tout pourquoi ne pas jouir comme ça ? Quelques minutes après le préservatif se remplissait de ma semence, et nous nous embrassions de nouveau.

 

- Je vais en ville à pied chercher des trucs, tu viens avec moi ?

- Ben, il faut quand même que je bosse, il faut que je coupe du bois…

 

Je cherche de quoi me faire un sandwich et je monte travailler dans ma chambre.

 

Vers 16 heures, Florence tape à ma porte.

 

- Thibault, nos locataires seront là d'ici une heure. Comme René est pris en ville et ne rentreras pas de suite, je voudrais que tu sois à mes côtés pour les accueillir.

- Pas de problème.

 

Pas de proposition sexuelle ou de geste équivoque cette fois-ci… il n'y a pas que le sexe dans la vie…

 

Vers 17 h 30 une voiture pénètre dans la cour, je descends rejoindre Florence qui accueille les nouveaux venus : Bertrand a la trentaine, pas très grand, binoclard, dégarni et petite moustache, pas un play-boy, mais une bonne bouille quand même. Sophie a la même tranche d'âge, plus grande que son compagnon, sans doute une vraie rouquine, visage agréable avec des taches de rousseurs et de beaux yeux bleus, mais coiffée un peu n'importe comment avec des barrettes.

 

On se serre les mains, les deux zigotos nous dévisagent. Normal ils veulent savoir où est-ce qu'ils mettent les pieds. Florence me présente comme étant l'un de ses neveux. On les aide à décharger la bagnole, puis on les accompagne à la petite dépendance qui est de l'autre côté de la cour, on leur fait le petit topo d'usage sur les commodités, les formalités…

 

- Ah ! Il faut que je vous prévienne d'un petit truc, j'avais complètement oublié de vous brancher l'eau chaude, je viens juste de le faire… mais pour vous dédommager je vous ferais cadeau d'une demi-journée…

- Oh, ce n'est pas la peine ! Coupe Sophie.

- Si, si, il faut être régulier en affaires… cela dit si vous voulez prendre une douche vous pouvez profiter de la nôtre, cela ne nous gêne pas du tout…

- Je vais peut-être accepter ! Répond Sophie, le voyage m'a crevé, j'ai des courbatures partout… Et toi Bertrand ?

- Moi, ça va… mais on peut faire comme ça, va prendre ta douche, pendant ce temps-là je vais un peu déballer les valises…

- OK, je vous emmène alors ? Propose Florence.

- Le temps de prendre des affaires de rechange et je vous suis.

- Ah ! Reprend Florence, si vous en êtes d'accord, la maison vous offre un apéritif de bienvenue à 19 heures, nous pourrons ainsi faire mieux connaissance.

 

Ils sont d'accord.

 

Je reste dans la salle à manger pendant que Sophie prend sa douche. Elle ne s'y éternise pas et réapparait au bout d'un quart d'heure, vêtue d'un bermuda et d'un joli petit débardeur, la tignasse enroulée dans une serviette.

 

- Alors, ça fait du bien ? Dit Florence histoire de dire quelque chose d'intelligent.

- Oui, mais j'ai toujours mes courbatures… mais bon, c'est pas grave, après une bonne nuit, ça ira mieux…

- C'est un massage qu'il vous faudrait, je peux vous masser si vous voulez, je sais faire.

- Ah, ben pourquoi pas ?

- Couchez-vous sur le canapé, pendant ce temps-là je vais chercher les produits.

 

La femme s'installe sans rien retirer de ses vêtements. A son retour Florence lui propose :

 

- Faudrait peut-être enlever au moins le haut.

- Juste le tirer, peut-être ? Objecte-t-elle

- C'est comme vous voulez, mais ça va me gêner pour masser les épaules.

 

Elle enlève son truc tout en restant couchée… Pour quelqu'un qui vient de répondre à une annonce échangiste et bisexuelle, cet excès de pudeur ne manque pas d'être insolite.

 

Je me suis mis en retrait pour ne pas que ma présence gène Sophie. Florence masse la rousse avec application, l'autre à l'air d'apprécier.

 

- Vous faites ça très bien, ça me fait un bien fou !

- Et comme ça ? Demande Florence en lui parcourant la peau du bout de ses doigts.

- Oh, Oh, là là ! Arrêtez, ce n'est plus du massage ça !

- Ce n'est plus du massage, mais ça détend, vous voulez vraiment que j'arrête…

- Euh… non…

- On va peut-être enlever ce bermuda, je ne vous ai pas massé les fesses… Vous aimez qu'on vous masse les fesses ?

- Oui, oui, massez-moi les fesses !

 

Florence lui pétrit les fesses, les tapote du plat des doigts, les triture, les malaxe. Consciemment ou pas Sophie a écarté ses jambes permettant à la masseuse d'accéder à ses parties intimes.

 

- Ben dites-donc cher amie, on dirait que ça vous fais de l'effet ! Commente Florence en constatant que l'endroit commence à être bien mouillé.

- Je crois que vous avez fait ce qu'il fallait pour ça. Je suis toute mouillée.

- Je crois que nous allons bien nous entendre, chère Sophie… tournez-vous donc, je m'en voudrais de vous laisser dans cet état.

 

Ah, ce moment-là, Florence feint de découvrir ma présence :

 

- Thibault, peux-tu nous laisser entre femmes quelques instants, s'il te plait… Ah, moins que vous ne souhaitiez qu'il reste, chère Sophie.

 

Elle semble hésiter.

 

- On va en rester là pour le moment, ça m'embête d'aller trop loin sans que mon mari soit là…

- Tu es vraiment sûre, ma bibiche ? Répond Florence en lui explorant la chatte.

- Non, je ne suis pas sûre…

- Qu'est ce qui te ferait plaisir, tu penses à quoi en ce moment ?

- Je peux me lâcher !

- Bien sûr !

- J'aimerais bien sucer la bite de ton neveu pendant que tu me lèches la chatte !

 

Vite avant qu'elle ne change d'avis. Florence et moi sans aucune concertation nous retrouvons à poil, et j'offre ma virilité à cette énigmatique rousse. Elle suce bien, mais l'affaire ne dure pas longtemps, succombant sous les coups de langue de Florence elle pousse un hurlement et retombe comme une chique molle sur le canapé. Elle est mouillée de tous ces sucs et pas seulement de transpiration.

 

- Si vous voulez reprendre une douche, lui propose Florence.

- Oui, mais je vais d'abord rejoindre mon mari, il doit s'inquiéter… à tout à l'heure. Ah, il faut que je vous dise, mon mari, la bisexualité c'est un fantasme, il ne l'a jamais fait, mais il est prêt à franchir le pas, c'est une question d'ambiance… mais bon si ça ne le fait pas tout de suite, ne lui en voulez pas, il faudra peut-être plusieurs tentatives.

- Ne vous inquiétez pas, au contraire faire découvrir des plaisirs nouveaux à quelqu'un c'est très excitant. Mais dites-moi, son fantasme c'est juste sucer, ou aller plus loin.

- Il n'est pas contre la sodo, on a des godes à la maison, et on s'en sert tous les deux… Allez, j'y vais…

- Tu me finis ? Demandais-je à Flo.

- Pas question, la Sophie, je la veux dans mon plumard ce soir, avec ou sans René. Quant à toi et Dominique vous allez me baiser Bertrand, devant moi, ça va m'exciter un maximum. Au fait il est rentré, Dominique ?

- Oui, il est allé couper du bois près des grottes, je vais aller le prévenir qu'il soit prêt pour 19 heures.

- Quand tu lui auras expliqué de quoi il s'agit, je pense qu'il sera prêt sans problème.

- Tu vas t'habiller spécialement ? Lui demandais-je

- Non, je n'y pensais même pas, je pense qu'ils vont arriver "normalement"… et si ma foi, Sophie arrive en tenue sexy, je pourrais toujours aller me changer. Le plan c'est ça, je commence à chauffer Bertrand et quand il est bien excité, je vous fais entrer en jeu.

- Pas de problème.

 

Ces braves gens arrivent à 19 heures tapantes comme convenu, Bertrand en bermuda et polo de marque mais assez moche, Sophie en longue jupe de coton avec en haut un marcel noir assez quelconque qui lui découvre ses jolies épaules. Sur la table, une piquette locale qui permettra de faire du Kir, quelques autres bouteilles d'apéro, des jus de fruits, quelques biscuits apéritif concoctés par la maîtresse de maison… et plus insolite une belle assiette blanche un peu en retrait garnie de préservatifs et de dosettes de gel intime.

 

- Puis-je vous suggérez de vous placer sur ce canapé entre ces deux messieurs ! Indique Florence à Sophie. Et vous Bertrand venez donc près de moi… Voilà j'ai cuisiné un cake aux olives, et quelques autres bricoles, on ne mourra pas de faim… Je vous sers, vous prenez quoi, whisky, pastis…

 

Florence laisse passez le premier jet informel de la conversation, la météo, la région, la gastronomie locale, puis profitant d'un silence fortuit elle attaque :

 

- Et si vous nous disiez de quelle façon vous avez trouvé notre annonce ?

 

Les deux tourtereaux se regardent, puis Sophie répond :

 

- En fait, on a eu des problèmes familiaux cette année, ce qui fait qu'on avait rien prévu pour les vacances. Mais on n'allait pas passer trois semaines sans bouger non plus, on pensait au départ à se faire un petit week-end un peu coquin, on a cherché sur le net et on a trouvé votre formule, voilà c'est tout simple.

- Des petits week-ends coquins comme vous dites, vous en faites régulièrement ?

- Trois fois, non quatre fois… Reprend Sophie, Deux fois c'était pas mal du tout, avec un couple dont la femme était bi, les deux autres fois c'était assez décevant. On voudrait bien faire ce genre de rencontres plus souvent, mais on est vraiment dans une région paumée, et pour ce qui est de trouver des couples avec un mec bi, c'est la galère. Alors là, justement le fait d'être en vacances nous permettait d'aller plus loin.

- Très bien, nous allons essayer de ne pas vous décevoir, mon mari devrait rentrer tout à l'heure et se joindra à nous, et j'espère aussi que je pourrais vous présenter notre copine Claudine dans les prochains jours. Bon, j'enlève mon tee-shirt, il fait chaud ce soir.

 

Le soutien-gorge de Florence n'est pas vraiment ce qu'il y a de plus sexy, mais enfin, il n'est pas si mal et moule bien sa jolie poitrine. Le Bertrand reluque à la façon du loup de Tex Avery, c'était le but du jeu.

 

- Hummm, j'ai l'impression que Bertrand a envie de voir ma poitrine ?

-  Ma foi, ça ne me déplairait pas !

- Je m'en doute bien, qu'est-ce qu'on fait Sophie, on lui fait plaisir, je lui montre ?

- C'est comme vous voulez, mais le pauvre va être tout excité ! Répond l'intéressée avec un petit air coquin.

- Et il faudra gérer son excitation, je suppose ?

- C'est exactement ça !

- Je crois que je saurais faire ! Conclut Florence. Allez Bertrand, dégrafez-moi ce machin.

 

L'autre n'hésite pas, mais tout énervé qu'il est, il doit se reprendre à trois fois pour soulever les agrafes.

 

- Alors, c'est comment ?

- Très joli :

- Touchez, je vous en donne la permission, vous pouvez même me l'embrasser.

 

Ah, ça, il n'hésite pas, le voilà en train de gober les nichons de Florence, amusant spectacle… mais voilà que la main de Sophie que je n'attendais pas si tôt arrive sur mon entrecuisse. Je l'encourage du regard, mais comme un con je viens de m'apercevoir que j'ai enfilé un bermuda sans braguette. Elle veut passer sa main par en haut mais c'est trop serré, et j'ai fait un nœud. Alors elle essaie de passer par la cuisse, mais ce n'est pas évident.

 

- Je vais l'enlever ce truc, dis-je en me levant.

 

Et j'enlève le calcif avec, me voilà la bite à l'air… et je n'ai pas le temps de me rasseoir que la Sophie me pompe pour la deuxième fois de la journée. Du coup Dominique se lève à son tour, dégage son organe et se place à mes côtés, réclamant son dû. La rouquine nous suce alors alternativement. J'hésite à lui demander de se déshabiller, après tout, ça se fera naturellement.

 

De l'autre côté de la table basse, Florence assise est en train de sucer Bertrand qui s'est relevé et n'en finit pas de lui peloter les seins. Le spectacle de sa femme en train de sucer des bites n'a pas l'air de lui déplaire. Florence s'en aperçoit et lance sa première tentative.

 

- Ça te plait de voir ta femme sucer des bonnes bites, hein ?

- C'est vraiment une belle salope !

- T'aimerais bien être à sa place, hein, rien qu'un peu pour voir ce que ça fait...

 

Pas de réponse.

 

- Viens on va regarder de plus près, ça va nous exciter, n'ai pas peur je vais continuer à m'occuper de toi ! Attends on va tirer un peu la table basse, aide-moi un petit peu... Voilà…

 

Les voilà tous les deux près de notre trio.

 

- Accroupis-toi près de moi !

 

Florence profite du moment où Sophie abandonne ma bite pour prendre en bouche celle de Dominique, pour me prodiguer quelques mouvements de fellation.

 

- Regarde comme elle est belle ! Dit-elle à Bertrand.

 

Il est fébrile, Bertrand, il sait où il a mis les pieds, il respire un grand coup.

 

- Je peux essayer ! Dit-il dans un souffle.

 

Mais déjà il a ma bite sans sa bouche. Bon c'est sa première pipe, c'est un peu mécanique tout ça et ça manque de technique et d'expérience, mais on va lui apprendre au Bertrand, on n'est pas vache.

 

- Alors c'est bon la bite ? Plaisante sa femme.

- Délicieux ! Je peux goûter celle-là aussi ? Répond-il en désignant le membre de Dominique.

 

Elle lui abandonne sa proie ! Et hop le Bertrand en est déjà à sa deuxième bite. Il passe de l'une à l'autre dans la plus grande confusion, puis se calme et conserve la mienne en bouche, ce qui permet à Sophie de sucer Dominique.

 

Florence est passée derrière Bertrand, et lui a fait glisser son bermuda.

 

- Oh ! Le joli petit cul ! Plaisante-t-elle.

 

J'essaie de me dégager de sa fellation, qu'il me fait plutôt mal, sans le vexer.

 

- Attend je vais te montrer quelque chose !

 

Je profite du fait que la bite de Dominique est de nouveau libre pour m'en emparer.

 

- Voilà, regarde bien les mouvements que je fais !

 

C'est pourtant pas difficile, comment j'ai fait moi, j'ai bien appris tout seul… question d'appétence peut-être, je ne vais pas lui faire un cours magistral non plus, mais lui montre comment je fais avec ma langue, et avec mes lèvres.

 

- Allez, fais comme moi ! Lui demandais-je en lui tendant ma bite.

 

Bon, ça va, il a compris, c'est nettement mieux, et pendant ce temps-là Florence lui lèche le trou de balle, tandis que Dominique prodigue la même caresse sur l'intimité arrière de Sophie.

 

Bientôt Florence remplace sa langue par son index et lui trifouille le fion. Du coup il a du mal à se concentrer sur sa fellation et m'abandonne la bite.

 

- T'aimes ça qu'on te tripote ton petit cul ? Hein ma salope !

- J'adore ça, continue !

- Sophie, elle te le fait souvent ?

- Oui, et elle me gode aussi !

- Et ce que tu voudrais c'est une vraie bite ? Une bonne bite pour ton cul de pédé ?

- Oui !

- Et bien tu vas même en avoir deux pour le prix d'une… Allez Thibault, encule-moi cette salope.

- Euh, déjà ?

- Bien sûr, tu en meurs d'envie !

 

Je lui tartine un peu l'anus avec du gel, je m'encapote… et allons-y la jeunesse, je rentre relativement facilement dans ce petit cul. Le voilà dépucelé, je vais et je viens, la situation m'excite. Sophie s'est rapprochée pour ne rien perdre du spectacle.

 

- Alors c'est bon ?

- Oui, il m'encule bien !

- Depuis le temps que tu voulais une bite dans le cul…

- Qu'est-ce que c'est bon !

- Prépare-toi tu prendras le relais ! Indique Florence à Dominique.

 

Je ne peux plus me contrôler, je vais jouir, je jouis dans la capote, Sophie se penche, que veut-elle faire ? Et puis soudain, je comprends, j'ai à peine sortie ma bite du cul de Bertrand, que la voilà qui me la met dans sa bouche et entreprend de nettoyer la capote… je n'ai pas eu le temps de regarder quel était son état, mais la dame à l'air de se régaler.

Bisex0404.jpg

Après cet intermède, Dominique nique à son tour le Bertrand… je passe devant et m'occupe de sa bite que tout le monde a négligée jusqu'ici. Comme beaucoup d'hommes il a du mal à bander pendant la sodomie, mais mes caresses buccales réveillent un peu la bête. Plus loin, les deux femmes ont entamé un soixante-neuf d'enfer… Heureusement que la ferme est éloignée parce que dans quelques instants les cris de plaisirs vont fuser.

 

Ça ne rate pas, Sophie d'abord, puis Florence dans la foulée… Dominique décharge à son tour. Il n'y a donc que Bertrand qui n'est pas joui.

 

- Viens me prendre, ma salope ! Lui propose alors Florence en se positionnant en une levrette des plus suggestives.

 

Il n'hésite pas, s'encapote à la vitesse grand V et la besogne à qui-mieux-mieux, provoquant des jappements de plaisir de sa charmante monture.

 

- Encule-moi ! Finit-elle par dire.

 

Il ne se le fait pas dire deux fois, lui pénètre l'anus avec une facilité déconcertante, s'excite, s'énerve et finit par jouir dans un râle.

 

Dans un geste provocateur, Florence se retourne, et se met à lui lécher la queue toujours encapotée sans avoir trop vérifié dans quel état elle était ressortie de son cul. Ce doit être dans ses habitudes.

 

On est tous un peu crevés, on reste à poil à l'exception de Florence qui a remis son haut mais pas son soutien-gorge.

 

- Si vous voulez rester pour le repas, j'ai de quoi faire une super grosse omelette ! Propose-t-elle.

- Pourquoi pas ? Répond Sophie, T'as besoin d'aide ?

 

Les deux nanas partent en cuisine, nous voilà entre hommes. En fait on est un peu gênés, comme ça, tous les trois, la bite à l'air.

 

- On se ressert un apéro ? Propose Dominique.

- Plutôt un jus de fruit, ou même de l'eau ! Répond Bertrand, en fait j'ai vachement soif.

 

Dominique se lève pour nous servir du jus de pommes, il s'amuse à tortiller du cul. Je le soupçonne d'avoir envie de recommencer à faire des galipettes.

 

- Alors c'était bon ? Demande-t-il à l'adresse de Bertrand.

- Tu parles de quoi ? Du jus de fruit ou de mon dépucelage ? 

- D'après toi ?

- J'ai un peu mal au cul, mais sinon c'était super.

- Et mon cul tu le trouves comment ? Demande Dominique.

- Il est joli !

- Touche-le si tu veux, j'ai envie de me faire caresser le cul.

 

L'autre accepte, il paraît un peu gêné, tout de même.

 

- Alors c'est doux ?

- Oui, c'est doux !

 

Mais la conviction n'y est pas trop. Un peu bizarre quand même d'autant qu'il n'a pas du tout l'air de regretter ce qu'on lui a fait… Mais peut-être après tout, le fait de toucher les fesses d'un homme ne l'intéresse-t-il pas ?

 

Dominique n'insiste pas et lui dit :

 

- Tiens j'ai une idée, je reviens dans dix minutes…

 

Je crois avoir compris ce qu'il est parti faire, mais je n'en dis mot, espérant que l'initiative plaira à Bertrand. En attendant nous voici tous les deux comme deux andouilles, je ne sais pas trop quoi lui dire… je lorgne vers sa queue.

 

- Elle est belle ! Enonçais-je.

 

Il me répond d'un petit sourire. J'y mets la main, il se laisse faire, je le branle, ça grossit vite, et le voilà qui bande, Du coup sa libido se réveille et il me touche la mienne. Petits moments de branlette mutuelle, il ne branle pas très bien, c'est trop rapide, mais peu importe ce que je veux c'est la sucer. Je me penche et hop, je la gobe. Là je me régale, depuis que je suis dans le Cantal, j'ai vraiment appris à aimer sucer les bites, je ne m'en lasse pas. J'alterne les grandes mises en bouches, les léchages de verge et les lapements sur le gland. Il est aux anges, le Bertrand.

 

- Tu suces bien ! Me confie-t-il

 

Ça fait toujours plaisir, je devais avoir un don caché… 

 

- Tu ne voudrais pas essayer de m'enculer ? Lui demandais-je.

- On peut toujours essayer ! Qu'il me répond.

 

Je n'y croyais pas, je n'ose pas lui demander de me "préparer". Dommage que sa femme soit en cuisine, elle aurait été directive. Je lui demande malgré tout de me mettre un peu de gel. Il se met la protection d'usage, je m'ouvre au maximum et ça rentre… non ça ripe… deuxième tentative, ça ripe encore, qu'est-ce qu'il se passe ? Allez une troisième fois.

 

- Je ne bande plus assez, s'excuse-t-il, mais on ressaiera, peut-être tout à l'heure.

 

Pas bien grave et voici que Dominique arrive :

 

- Salut les garçons !

 

C'est spectaculaire, c'est la seconde fois que je vois Dominique en fille. Visage maquillé avec application, y compris les yeux, petite perruque blonde frisée. Chemisier blanc très transparent laissant deviner un petit soutien-gorge à balconnet d'où émergent ses gros tétons. En bas une petite jupe noire, des bas résilles noirs et bien sûr des escarpins.

 

- Alors ? Demande-t-il en virevoltant devant Bertrand.

- Etonnant ! Répond ce dernier.

- Ça te tente ?

- Ça me trouble !

- Ça te trouble, mais est-ce que ça te tente ?

- Disons que je n'ai rien contre le fait de me laisser tenter…

 

Et sur ces entrefaites, les deux femmes reviennent de la cuisine. Sophie est marrante, elle a recouvert sa nudité d'un tablier, mais ses seins débordent, c'est assez cocasse.

 

- Oh ! Bonjour madame… mais c'est toi Dominique ?

- Oui, oui, c'est bien moi !

- Et ben, ça alors ! T'es mignon tout plein comme ça !

- Mignonne ! Il faut me parler au féminin quand je suis en fille.

- Ah ! Bon, ben c'est pas un problème, tu es une femme à bite alors ?

- Et tu aimerais faire des choses coquines avec une femme à bite ?

- Pourquoi pas ? Et toi Bertrand ?

- Ma foi, je ne dis pas non ! 

 

L'ambiance est chaude, Florence rigole et prend la parole :

 

- Je voulais vous annoncer que pour l'omelette on va la faire cuire un peu plus tard, on va attendre René, mon mari, il va arriver d'un moment à l'autre.

- Et il est prévenu de qui se passe ici ? S'inquiète Bertrand.

- Florence l'a chauffé au téléphone, à mon avis tu vas avoir droit à ta troisième bite dans pas très longtemps ! Répond Sophie.

 

Bon, qu'est-ce que je deviens dans toute cette affaire ? Manifestement notre couple de locataires a envie de se payer un délire avec Dominique et réciproquement. Il ne me serait sans doute pas opportun d'intervenir, mais il me reste Florence, heureusement…

 

Alors tandis que Sophie roule un patin à Dominique et que Bertrand fait tomber la robe de cette dernière dévoilant une jolie petite culotte rose et un porte-jarretelles assorti. Je chuchote à l'oreille de Florence.

 

- J'ai demandé à Bertrand de m'enculer, mais il n'y est pas arrivé, je suis en manque…

- Mon pauvre Biquet… et en plus je suppose que quand René va arriver c'est sur Bertrand qu'il va jeter son dévolu… ton petit trou du cul n'est pas près d'avoir de la visite.

- A moins que tu me prennes avec un gode ? 

- Ah, oui, c'est une bonne idée, ça. Je vais chercher l'objet, j'ai un joli gode ceinture, je n'ai jamais eu l'occasion de te le montrer.

 

Les deux locataires asticotent Dominique qui se retrouve bientôt la bite à l'air. Une bite bien raide que Bertrand a prise en bouche, tandis que Sophie s'occupe du verso du travesti. Sa langue s'agite sur son œillet brun. Dominique se trémousse et fait sa folle :

 

- Oh, vas-y lèche-moi mon trou à merde, c'est trop bon. Minaude-t-il

- Oui, ben justement, on ne peut pas dire qu'il sente la rose ton trou du cul !

- Oh ! Alors arrête, j'ai du mal m'essuyer tout à l'heure, je suis désolé.

- Non, non, je finis toujours ce que j'ai commencé… et puis en fait ça ne me dérange pas tellement !

- Oh ! Quelle coquine tu fais, allez vas-y continue, nettoie-moi le troufignon puisque tu aimes ça !

- Bien sûr que j'aime ça, un jour, je te servirais de papier à cul… 

- C'est vrai ! Cochonne, va !

 

Florence revient harnachée d'un gode ceinture, un machin noir assez gros. Du coup j'ai un peu la trouille que ça me fasse mal.

 

- C'est pas un peu gros ?

- Tais-toi, je ne voulais pas le sortir si tôt mais puisque tu me l'as demandé, tu vas l'avoir. Suce-le, salope !

 

Je me prends au jeu et je suce le gode en latex, m'imaginant qu'il s'agit d'un vrai. Pendant ce temps-là Sophie fait aller et venir un, puis deux doigts dans le fondement de Dominique. Elle les ressort au bout d'un moment, constate leur état et fait semblant de s'énerver.

 

- T'es vraiment dégueulasse, tu as vu dans quel état tu as mis mes doigts ?

- Ma pauvre bichette, je croyais que ça ne te dérangeais pas ?

- Tu ne crois quand même pas que je vais bouffer de l'omelette avec des doigts plein de merde ?

- N'exagérons rien, ils sont à peine pollués.

- Alors dans ce cas, ce ne devrait pas être une corvée pour toi de les nettoyer !

 

Bien joué ! Dominique lèche donc les doigts de Sophie sans problème apparent, puis tend son cul, invitant Bertrand à le pénétrer. 

 

Miracle de la simultanéité, le gode de Florence s'enfonce dans mon cul en même temps que la bite de Bertrand dans le cul du travesti. On se fait bourrer en cadence, tandis que Sophie est partie s'astiquer la minouche sur le canapé en ne perdant rien du spectacle…

 

… Et c'est à ce moment-là que René rentre.

 

- Et bien il y a de l'ambiance ici, bonjour messieurs dames, moi c'est René, je suis le mari de Florence !

- Moi c'est Bertrand, se présente ce dernier. Permettez-moi de finir d'enculer votre neveu, ou votre nièce, je m'y perds, avant de vous rejoindre.

- Je vous en prie, faite comme chez vous, ce petit cul est délicieux, je l'ai souvent pratiqué, je ne m'en lasse pas.

- Ah, bon, vous enculez votre neveu ?

- Oui et il adore ça, et il suce bien aussi !

- Eh ben, quels cochons ! Moi, c'est Sophie, si voulez venir me rejoindre, ce ne sera pas de refus, toutes ces méchantes gens m'ont laissée seule et j'en suis réduite à me masturber toute seule.

 

Il y a des choses qu'il est inutile de dire deux fois à René. Il s'installe sur le canapé à côté de Sophie et commence à la peloter, puis il lui embrasse le bout des seins.

 

- Monsieur René ?

- Oui c'est moi !

- Vous n'avez pas de bite ?

- Pardon ?

- Je voulais savoir si vous avez une bite ? Répète-t-elle en mettant la main là où elle se trouve.

- Ben, vous voyez, vous l'avez trouvé !

- Sortez-moi ça que je la suce !

- Vos désirs sont des ordres… 

- Oh le bel organe. C'est mon mari qui va être content !

- Votre mari suce des bites ? Demande hypocritement René qui bien sûr avait été mis au courant de tout ça téléphoniquement par son épouse.

- Il a sucé ses deux premières bites aujourd'hui ! Jamais deux sans trois n'est-ce pas ?

- D'accord c'est promis, je vais lui en garder un peu, mais en attendant occupez-vous de la mienne.

- Volontiers, mais si vous pouviez me dégager tout ça, j'aurais ainsi le plaisir de vous peloter les fesses tout en prodiguant ma fellation.

 

Tout le monde s'amuse bien, je me fais défoncer par le gros gode-ceinture de Florence. Heureusement l'objet est souple, il est souple mais il est gros. Et soudain il m'arrive un truc de dingue, du sperme se met à couler de mon sexe sans qu'il y ait eu d'éjaculation.

 

- C'est normal, c'est le frottement sur la prostate qui fait ça ! Me rassure Florence.

 

Je me repose un peu. Bertrand exténué et en sueur arrête de limer Dominique et s'affale sur une chaise à mes côtés, avant de se raviser en demandant l'autorisation de prendre une douche. Je lui montre où ça se passe mais je ne reste pas avec lui… On jouera à la savonnette un autre jour. Du coup c'est Dominique qui vient à mes côtés, il doit manquer d'affection car le voilà qui me roule une pelle. Je me laisse faire. Après tout il embrasse bien !

 

Sur le canapé, René est en train de prendre Sophie en levrette. Quant à Florence elle débarrasse la table…Je l'aide un peu… je commence à avoir faim.

 

Et voilà que Bertrand revient, tout beau tout propre, mais pas très sec.

 

- Je me suis permis de vous emprunter une serviette ! Commente-t-il

 

Il est un peu à l'ouest, on le voit bien qu'il a emprunté une serviette, il en est entouré.

 

- T'es pas beau comme ça ! Le taquine Florence en lui retirant la serviette, je te préfère à poil.

 

Elle lui tripote un peu la bite, il se laisse faire, bande assez vite, elle le suce un peu histoire de le chauffer.

 

- Venez donc par ici ! Lui demande René qui continue à besogner Sophie.

 

Il a compris le message, il s'avance, place sa queue à hauteur du visage de René afin que ce dernier puisse le prendre en bouche.

 

- On va changer, tu vas me sucer, et pendant ce temps-là je vais sucer Sophie. Propose René.

 

Le trio se met en place et tandis que René lèche le sexe de la jolie Sophie, Bertrand suce sa troisième bite de la journée en ne cachant pas son plaisir.

 

- Allez suce-moi bien, j'attends que Sophie jouisse et après je vais t'enculer !

- Humpf, Humpf ! Répond ce dernier, la bouche pleine.

 

Sophie finit par hurler, et s'affale comme une chique molle, à moitié groggy.

Mais voici que Javert, le labrador de la maison fait son apparition en remuant de la queue comme un métronome. Il renifle un peu partout et jette son dévolue sur Sophie en venant entre ses cuisses.

 

- Oh ! Mais ça va pas, le chien ! Couché ! J'ai dit couché.

- Il n'est pas méchant ! Précise Florence revenue de cuisine.

- Oui, mais il veut me faire des cochonneries !

- Javert ! Viens ici ! Laisse Sophie tranquille.

 

Florence se rassoit, et du coup le chien s'en va la voir.

 

- Il est vicieux votre chien ! Ne peut s'empêcher de s'exclamer Sophie.

- Oui, mais il est si gentil !

- Il est en train de vous lécher la chatte !

- On dirait bien, oui !

- Et vous le laisser faire ?

- Oui, j'aime bien !

- Mais t'es une vraie salope ! (elle dit ça sans aucune animosité)

- Ça te choque ?

- Dison que c'est inattendu, j'ai déjà vu des vidéos sur Internet, des femmes qui se font monter par leur chien !

- Ben oui, c'est amusant, c'est excitant !

- Tu fais ça aussi ?

- Ça m'arrive.

 

Manifestement pendant quelques secondes, Sophie ne sait plus où elle en est.

 

- Tu devrais essayer tu en meurs d'envie ! Intervient Bertrand.

- OK, je me lance, renvoie-moi le chien, Florence, je vais me laisser faire.

 

Et c'est ainsi que Javert revint entre les cuisses de Sophie pour venir lui laper le minou.

 

- Oh ! Quelle langue !

- T'es vraiment une salope ! Te faire sucer par un chien ! Lui dit Bertrand.

- Oh oui, traite-moi encore de salope, ça m'excite !

- Tu veux qu'on lui suce la bite ! Propose Florence.

- La bite du chien ?

- Ben oui !

- Non quand même pas !

- Juste pour essayer !

- Alors d'accord juste pour essayer.

 

On couche le chien, Florence s'empare de la bite et commence à sucer avant de la proposer à Sophie qui a un mouvement de recul, puis ferme les yeux et se reprend.

 

Sophie se prend au jeu et comme elle a le croupion relevé, je m'autorise à lui doigter le trou du cul !

 

Le chien finit par éjecter un flot de liquide visqueux.

 

- Dommage je me serais bien fait monter... Déplore Florence.

 

Ce spectacle étant terminé, Bertrand qui a de la suite dans les idées est déjà en levrette, attendant l'assaut… et tandis que Florence part enfin faire cuire l'omelette, René encule le locataire.

 

Dominique proteste

 

- Et moi, alors ? Depuis que Thibault est là tu ne m'encules plus !

- Gros jaloux, place-toi à côté de Bertrand, je vais vous enculer tous les deux.

- Merci tonton !


à suivre
New mail
Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Leiris06b
  • Sarah7
  • Lilly04
  • chanette15d
  • Plan Vargala
  • Bellyvuo24 03

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés