Enzo Cagliari

Samedi 18 novembre 2006 6 18 /11 /Nov /2006 19:15

La nuque de la mulâtresse

Par Enzo

 

Stamp uro j

 

Ce fut d’abord sa nuque qui m’intrigua. Lassé ce jour-là des restaurants asiatiques, je cherchais autre chose, irrité par les tenanciers des officines turco-gréco-brochettes qui racolent littéralement le chaland, je me retrouvais un peu par hasard dans ce restaurant français traditionnel. On me place en terrasse près de la vitre dont la vue donne sur la place du petit pont surplombée par les majestueuses tours de Notre Dame...

 

Et puis donc, mais je l’ai déjà dit...

 

La peau mate, légèrement mate, des cheveux très bruns et très fins probablement défrisés mais laissant à l’arrière s’échapper quelques jolies impertinentes bouclettes sauvages, un vague chignon (pas terrible) maintenu par une sorte de chichi de lin blanchâtre. Une vingtaine d'année sans doute.

 

Sa nuque, était, je l’ai dit, dégagé, juste un peu avant les épaules par cet étrange pull-over écru, très traditionnel par ailleurs, sauf en haut ou il comportait un col rabattu (à la façon des cols marins), à larges mailles d’environ un centimètre.

 

Donc, un filet de poils en arête courait du haut de la nuque jusqu’à la naissance du dos, pour ensuite continuer jusqu’à je ne sais où mais en quantité moindre, me sembla-t-il. Je découvris après que cette jeune personne était accompagnée de ses parents, le père probablement réunionnais ou mauricien, la mère une méditerranéenne assez piquante.

 

Je n'ai pas arrêté de reluquer cette nuque pendant que je dégustais mon entrée, puis mon plat... Parfois quand elle gigotait un peu je pouvais apercevoir un petit peu de ses profils, celui de son visage avait un joli nez, celui de son torse, de troublantes formes.

 

Elle profita de l'intermède entre le plat et le "fromage ou dessert" pour descendre aux toilettes. J'ai eu conscience à ce moment-là que moi aussi j'avais envie, je me dirigeai donc à mon tour vers ces lieux une petite minute à sa suite.

 

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Deux cabines ! Je tente d'ouvrir celle des hommes, mais elle est fermée et quelqu'un me répond à l'intérieur en grognant... Est-ce alors le réflexe, le destin, l'inconscience, allez savoir... qui me fit pousser la porte des femmes... Celle-ci n'était pas verrouillé, et voilà que l'espace d'un instant j'entraperçois ma mulâtresse en train de pisser.

 

Je referme vite fait, marmonne un mot d'excuse..., je bande comme un âne... j'essaie de me calmer et j'attends.

 

Le mec dans la cabine s'éternise, si bien que la fille sort avant lui. Nos regards se croisent. Je rougis comme une tomate.

 

- Je suis vraiment désolé pour tout à l'heure... balbutiais-je.

- Vous n'avez pas à être désolé, c'est moi qui aie oublié de fermer la porte... et puis bon, vous avez fait quoi ? Vous avez vu une fille en train de pisser, quelle affaire ?

- C'est vrai, j'aime bien la façon dont vous prenez la chose !

- Il parait que je suis un peu extravertie, parfois, j'aime bien qu'on me regarde, c'est peut-être pour ça que inconsciemment j'ai oublié de fermer la porte.

 

Oh ! La la, qu'est-ce qu'elle me raconte ? J'essaie d'en savoir plus :

 

- Vous n'auriez rien dit si je vous avais regardé plus longtemps ?

- Je ne sais pas... mais peut-être que je n'aurais rien dit !

- J'ai raté quelque chose alors ?

- Vous voudriez que j'essaie d'en faire encore quelques gouttes ?

- Chiche !

- Je ne sais pas si je pourrais, Mais dites-moi, et si on faisait le contraire ?

 

Le contraire de quoi ? J'ai peur d'avoir du mal à suivre.

 

- Ben, moi je vous regarde pisser, c'est coquin aussi ça ?

- Euh... oui....

- Et bien allez-y !

 

Et elle me fait signe d'entrer dans la cabine. Je dois être en train de rêver, ce n'est pas possible... Mais comme un zombi, je pénètre dans l'étroit local, elle me suit.

 

- Ben allez-y, sortez là votre bite !

 

Mon dieu, quel langage dans la bouche d'une aussi jolie jeune femme. Je libère mon sexe, il est tout raide, j'essaie de me concentrer pour pisser, pas moyen, mettez-vous à ma place !

 

- Alors, on n'y arrive pas !

- Ben non !

- Je vais vous donner un coup de main...

 

Et la voilà qui comme si on se connaissait depuis trois siècles, m'attrape le sexe et commence à me masturber ! Je suis tombé sur la reine des nymphos, ma parole !

 

- Hummm, elle est mignonne ta bite, je te la sucerais bien un petit peu, tu me laisses faire...

- Heu...

- Ben tourne toi, et rassure toi je ne vais pas te mordre.

 

Je me tourne, elle s'accroupit, et sans autre formalité elle me gobe la quéquette. La porte des hommes s'ouvre, je m'aperçois avec horreur que la nôtre n'est pas fermée ! Je vois le mec qui nous regarde et qui fait des yeux de hiboux en découvrant le spectacle

 

- Faut pas vous gêner ! Rouspète-t-il.

 

Je ne sais plus ou me foutre, j'espère qu'il va partir, qu'il ne va pas ameuter tous le quartier. Il finit effectivement par partir en grommelant quelque chose....  Du coup ma bite a pas mal ramollie...

 

- On ferme la porte ! Proposais-je

- Oui, maintenant on peut ! T'as vu, il nous a vu ! J'en suis toute excitée ! Si t'as une capote tu peux me prendre...

- Ben non, j'en ai toujours une dans mon portefeuille, mais c'est resté en haut dans ma veste...

- Tant pis, mais ça te dirais de me lécher...

- Oui, oui...

 

On se contorsionne pour changer de position, elle se met debout, descend son pantalon et sa culotte et j'ai sa chatte devant les yeux, une chatte très poilue avec un filet de poils qui remonte sans doute jusqu'au nombril.

 

- Allez, vas-y, je ne voudrais pas que me parents s'inquiètent....

 

Alors d'accord, on y va, je plonge dans cette touffe de poils à l'odeur prononcée, de mes doigts j'écarte les lèvres. Joli contraste entre sa peau couleur café et cet écrin rose vif. Puis, je donne de longs lapements de bas en haut, me délectant de cette curieuse saveur aigre douce, la belle commence à respirer bizarrement, je m'attaque alors au clitoris et effectue des mouvements plus petits mais plus rapides. Je la sens venir ! J'ai peur qu'elle ameute tout le restaurant. Heureusement elle semble savoir ce qu'elle fait et après un petit cri étouffé elle se reprend, puis semble tout d'un coup assommée.... Mais ça ne dure pas... Elle lorgne mon sexe dont la vigueur est revenue. On ne dit rien, un seul regard et on a compris : la voici de nouveau en train de me sucer. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps... Je lui dis... Sa bouche lâche ma queue, à regret, semble-t-il, mais sa main la relaie, elle me branle, et quelques instants plus tard mon sperme allait maculer les murs de la cabine. On se regarde, on ne sait pas trop quoi se dire, j'ai envie de l'embraser tendrement...

 

...mais voilà qu'on frappe à la porte.

 

- Occupé ! Répond la belle

- Vous êtes combien là-dedans ? dit une voix

 

Ainsi donc l'affreux grognon est allé cafter aux gens su restaurant.

 

- On est deux ! Indique la coquine !

- Oui, ben c'est interdit ! Vous sortez maintenant !

- D'accord on sort !

 

On entend le type qui remonte l'escalier. On s'en sort bien sa protestation aura été très formelle.

 

J'ouvre, après avoir mis un peu d'ordre dans ma tenue, mais la fille ne me suit pas... je me retourne, la voici assise sur la cuvette :

 

- Ça m'a redonné envie de pisser cette affaire, tu veux regarder ?

 

Bien sûr que je veux voir ! Oh ! C'était un tout petit pipi mais qu'est-ce qu'il était beau, ce petit filet doré jaillissant de ce petit écrin rose entouré de jolis poils bruns...

 

Cette fois, il nous faut remonter, je n'ose pas lui proposer de nous revoir, j'attends un signe d'encouragement un déclic, quelque chose... rien.

 

- Allez, on ne se connaît plus ! Me dit-elle simplement en me faisant un mini bisou sur la joue !

 

Triste, je suis !

 

Je m'assois à ma place, où mon camembert qui sans doute las de m'attendre avait décidé de rompre l'ennui en se mettant à couler. Mon inconnue me présente de nouveau sa nuque. J'entends les brides de conversation :

 

- On commençait à s'inquiéter, tu n'es pas malade au moins ? Demande sa mère.

- Ben non, il y avait la queue, et la cabine n'arrivait pas à se libérer... et quand elle s'est ouverte, je vous le donne en mille, c'est un couple qui en est sorti !

- Ça alors !

- Il y avait même des traces de sperme sur le mur ! Ajoute-t-elle

- Il y a des gens quand même...

 

Enzo (novembre 2006)

(D'après de notes prises en avril 2002...)

 

 

 

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Mercredi 18 octobre 2006 3 18 /10 /Oct /2006 18:59

La grande Claire

par Enzo

 

Stamp uro

 

Cela faisait désormais plus d'un an que je restais célibataire. Certes je ne suis pas resté abstinent, plusieurs rencontres sans lendemain, pas mal de professionnelles dont certaines remarquables... mais il n'y a pas que le sexe dans la vie et la solitude commençait à me peser.

 

Un jour un collègue me proposa de venir déjeuner un samedi midi chez lui.

 

- On invitera une voisine, elle est seule depuis plusieurs mois, c'est une nana assez délurée, elle couche à droite à gauche, mais elle voudrait trouver quelqu'un pour se fixer... Je crois que vous devriez vous plaire....

 

Ça me fait marrer ces gens qui jouent les entremetteurs, mais bon, on peut toujours essayer, et je me pointais donc ce jour-là chez Elodie et Gilles. Elodie est un petit bout de femme, fausse blonde d'une quarantaine d'année avec un visage sympathique et quelques rondeurs. Elle s'était habillée très simplement d'un jean et d'un petit haut légèrement déboutonné sur l'échancrure d'une poitrine qu'on devinait mignonne...

 

On commença à prendre l'apéro en parlant de tout et de n'importe quoi, puis Claire arriva, grande bringue, à la peau très blanche, cheveux bruns, assez courts, et pas mal de poitrine dissimulée sous un haut en coton blanc. On se présente.

 

- C'est vous Hervé ? Il parait que Gilles veut nous marier ! Plaisante-t-elle

- Ben, oui, on se mariera peut-être tout à l'heure ? Répondis-je bêtement

- Je suis votre genre au moins ? demande-t-elle

 

Elle va m'embarrasser... en fait non ce pas vraiment mon genre mais je ne vais pas le lui dire.

 

- Et moi, je suis votre genre ! Biaisais-je

- Non, je n'aime pas les hommes à lunettes, ni les hommes à moustaches, en plus vous avez un petit ventre...

- Ok, on ne se mariera pas ce soir, alors ?

- Je ne crois pas non !

- Tant pis !

 

Du coup on parle d'autres choses, les conversations se croisent avec Gilles et Elodie. On finit par passer à table. Le repas est classique mais délicieux et assez arrosé.

 

C'est au moment du café que les choses commencèrent à dévier... Claire parle beaucoup de cul, parfois assez vulgairement, et chose étonnante Elodie n'est pas en reste... La grande brune évoque un moment une aventure avec une autre femme en terme assez crus

 

- Tu ne changeras jamais ! Rétorque Elodie

- Faut goûter à tout ce qui est bon ! Tu vas pas faire ta mijaurée, tu m'as bien roulé un patin il n'y a pas si longtemps !

- C'était un jeu !

- Oui, mais ça ne t'as pas déplu

- C'est vrai !

- Et je suis sûre que t'aurais bien été plus loin ?

- J'aurais peut-être été plus loin avec toi, si tu ne m'avais pas laissé tomber pour aller sucer des bites ! Rétorque Elodie.

- Oui, mais c'est parce que j'étais prise dans l'ambiance !

 

Et la voilà qui évoque cette soirée, avec force détails, ça commence à m'exciter tout ça !

 

- Ça te dirait que je t'embrasse à nouveau ? Demande-elle en conclusion à l'adresse d'Elodie

- Arrêtes, tu vas choquer notre ami

- Me choquer, moi, non pas du tout ! Protestais-je

- Ah tu vois ! Fit-elle s'avançant déjà vers sa victime.

 

Ce fut très rapide, Elodie accepta d'abord timidement le baiser de Claire avant d'entrer complètement dans son jeu. Elles se bouffent carrément le museau, se dégoulinant de salive... Et pendant ce temps la main de la grande brune ne reste pas inactive, elle déboutonne un peu plus le chemisier de sa complice, lui met la main sur la naissance des seins, continue à déboutonner et fait jaillir un joli petit nichon hors de son bonnet. Et voilà que je bande !

 

Finalement, elles se calment, Elodie se réajuste, un peu confuse !

 

- C'est très joli, il fallait continuer suggère Gilles !

- T'as qu'à en faire autant avec ton collègue, au lieu de nous mater ! Répond Claire.

- Ça va pas non !

- Pourquoi, je croyais que tu étais un peu bi !

 

Mon collègue devient rouge comme une tomate...

 

- J'ai jamais dit ça ! Tente-t-il de protester.

- Ben si, tu l'as dit souvent, pourquoi tu te défends ? Intervient Elodie

- Bon, si on parlait d'autre chose...

- Tiens je vous propose un truc les mecs, on se refait un bisou avec Elodie, mais après vous sortez vos queues et vous vous branlez, d'accord !

- Claire, voyons ! Tente d'objecter la femme de Gilles

- J'arrive ! Se contente de dire l'autre qui de nouveau et sans attendre de réponse cherche la bouche de l'autre femme...

 

C'est reparti pour un tour, cette fois ce sont les deux seins Elodie qui sont à l'air. Un moment de pause, Claire enlève son haut, puis elles repartent dans leur séance de fricotage....

 

- On se met à poil ! Propose la grande brune au bout de quelques instants !

- Attends, que font les hommes ? Répond la femme de Gilles.

- Allez, montrez-nous comment vous bandez bien ! Nous interpelle Claire.

 

Gilles me lance un regard interrogateur ! Je lui réponds par une mimique que je veux bien me lancer. Il sort alors son engin et commence à le branler, une belle bite bien raide avec un joli gland foncé, je l'imite donc...

 

- Non, ce n'est pas ça le jeu, il faut que vous vous branliez mutuellement !

 

On se regarde mutuellement

 

- Si ça peut leur faire plaisir, et si ça ne te dérange pas... Murmure-t-il

- Non tu peux y aller, ça ne me déplait pas de branler une belle bite !

- Ah oui, tu la trouve belle ?

- Superbe, oui !

- T'entends, Elodie, il trouve ma bite superbe, Hervé !

- Demande-lui qu'il te la suce, alors ! Réplique sa femme ! Depuis le temps que ça te trotte dans la tête, tu as l'occasion, là juste à côté de toi !

- Je peux ? Demandais-je alors à la grande stupéfaction de mon collègue à qui je n'avais jamais confié mes propres tendances bitophiles

- Allez ! Vas-y, suce !

 

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Et me voici avec son sexe dans la bouche ! Je le suce, je le lèche, je le gobe, ce n'est pas si souvent que j'ai l'occasion de sucer des bites, et puis celle-là est délicieuse.... Les femmes passent derrière nous, Elodie derrière moi et Claire derrière Gilles. Elles font descendre nos pantalons et nos caleçons... On fait une pause et on se met tous à poil...

 

- Alors elle était bonne sa bite ? Me demande Claire

- Délicieuse ! J'y regoûterais bien !

- Je peux y goûter aussi ? Demande-t-elle à l'adresse Elodie

- Ne me pique pas mon homme toi ? Rigole-t-elle

- Je ne veux pas te piquer ton homme, je veux juste lui faire une pipe.

- Non, il ne le mérite pas, il n'avait qu'à pas mentir tout à l'heure !

- Bon tant pis, je vais sucer celle d'Hervé mais elle est moins grosse !

 

Et me voilà avec Claire à genoux entre mes cuisses.

 

- Attends, il faut que j'aille faire pipi ! Protestais-je

- OK, ne bouge pas ! Gilles tu peux aller nous chercher une serviette...

 

J'ai eu un moment un peu de mal à suive, mais quand elle pose la serviette à nos pieds, je comprends mieux...

 

- Vas-y pisse moi dessus ! J'adore me faire arroser !

 

C'est décidemment la soirée des surprises. Je me concentre un peu mais ça ne vient pas !

 

- Tu vas pisser ou pas ?

- Je bloque !

- Concentre-toi !

 

Je finis par y arriver et je lâche mon jet sur la belle poitrine de Claire qui se barbouille avec...

 

- Vise ma bouche, je vais en boire un peu !

 

Je le fais, comme dans un rêve, lui emplissant le gosier de liquide jaune qui produit dans son palais un curieux bruit de bouche assez comique. Elodie excitée par le spectacle finit par rejoindre l'autre femme. Il ne restait que quelques gouttes mais elle les avala gloutonnement.

 

- T'aimerais qu'on t'arrose aussi ? me propose Claire

- Oui, oui, bien sûr !

- Et bien allonge toi ! Ah... il va falloir changer de serviette... Gilles une serviette...

 

Claire me chevauche et commence à me faire quelques gouttes sur le sexe. Elle me demande si elle peut remonter jusqu'à mon visage, m'asperge et me fait boire...

 

- Bon allez relève toi je vais te sucer... mais c'est pas parce que je te fais une pipe qu'on va se marier, hein d'accord ?

- Ne t'inquiète pas ! Je peux te peloter les seins !

- Pelote, pelote, c'est fait pour ça non ?

 

Elle me suce divinement ma bite pleine de pisse, à ce point que je lui demande d'arrêter, étant sur le point de jouir... Pendant ce temps-là, Elodie regarde la scène en se masturbant assez mollement, Gilles pour sa part s'astique comme un forcené. Claire me contourne et entreprend de me sucer le trou du cul ! Mon dieu quelle sensation que cette langue experte sur le bord de mon anus ! Il finit par s'entrouvrir et la voilà qui me mets un doigt !

 

- T'aimes ça, hein, t'es vraiment un gros vicelard, toi ? Plaisante-t-elle

- Pourquoi gros !

- Je suis sûr que t'aimerais bien te faire enculer ? Continue-t-elle.

- Je l'ai déjà fait, ce n'est pas désagréable !

- Ah ! Oui ? Tu la voudrais bien la bonne bite de Gilles dans ton petit cul de pédé ?

- Pourquoi pas ? S'il est d'accord ?

 

Claire alla fouiller dans son sac et en sortit un préservatif

 

- J'en ai toujours sur moi ! Précisa-t-elle.

- Je peux, chéri ? Demande alors Gilles à sa femme avant d'enfiler la capote

- Oui mais, juste un peu, je ne veux pas que tu jouisses, je veux que tu me prennes juste après.

 

Je me penche, je m'ouvre. Gilles force, mais ça ne passe pas, il aurait fallu un peu de gel... Il recommence, j'essaie de m'ouvrir plus, ça passe un peu, il donne un grand coup, ça y est, il est dans mon cul ! Il me remplit complètement, s'agite, je suis aux anges, c'est trop bon, Gilles s'excite, il accélère, accélère encore, incapable de se retenir et finit par jouir.

 

- Connard, je t'avais demandé de me réserver la fin ? Lui dit sa femme.

- Je suis désolé !

- Puisque c'est ça, c'est Hervé qui va me prendre ? T'as quelque chose à dire ?

- Ben...

- Ben quoi ? Allez viens Hervé, viens enculer la femme de ton collègue.

 

Je lance quand même un regard à Gilles, la situation pourrait être gênante, mais il me fait signe d'y aller. Elle se met en levrette sur le canapé et je me place derrière. Excité comme je suis j'ai un peu peur de bâcler l'affaire, mais j'arrive à me contrôler. Au bout de cinq minutes, madame se met à jouir comme une malade... du coup j'accélère et me délivre à mon tour.

 

On se regarde tous, un peu bizarre, on se sert de l'eau minérale, personne n'ose faire de commentaire après cette séance de folie collective au cours de laquelle seule Claire n'a pas joui.

 

Elle s'approche de moi :

 

- Tu m'invites ce soir ?

- Avec plaisir !

- Ce doit être une drôle d'expérience de vivre avec un mec aussi vicieux ?

- Je ne suis pas vicieux, j'aime bien les plaisirs de la vie, et j'ai peu de tabou.

- Et toi tu vivrais avec une fille comme moi ?

- On ne peut pas dire à l'avance, mais pourquoi pas ?

- On s'essaye alors ?

- On s'essaye !

 

Enzo, octobre 2006

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial bi pour 2006 (ex-aequo)

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Dimanche 18 juin 2006 7 18 /06 /Juin /2006 18:18

Rue Blondel

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Un quart d'heure qu'on est là

A poil assis sur le bord du matelas

A causer de rien et de tout

Nonchalamment je la caresse partout

Je ne suis pas pressée

J'aime qu'elle me parle, elle le sait

Plus hardies deviennent mes mains

Enveloppent le petit globe de ses seins

Titille le téton brun

S'égarent sur sa chute de rein

Elle ne parle plus, se couche sur le lit

S'abandonne à mes caresses, sourit

Mes mains, ma bouche, ma langue sur son corps, sur ses fesses

Puis je pivote, nos bouches goûtent nos sexes

Son timide miel coule en ma bouche

Elle n'est pas sérieuse quand elle couche

Me parle du parfum de sa capote

On éclate de rire, on est bien sur la même note

....

Envie de jouir maintenant

Elle devient très pro, évidemment

J'éclate, la serre dans mes bras

Va-t-elle bondir hors des draps ?

Non, elle reste près de moi et me parle chiffon

Elle est merveilleuse, ma cendrillon,

Je reviendrais encore lundi prochain

Elle me demande si c'était bien ?

"C'était bien mais c'est cher", dis-je pour plaisanter

Elle ne répond pas, préfère m'enlacer

M'offre en prime le sourire de son visage

Encore une belle journée, pas très sage

 

Enzo (mars 2006)

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Ce texte a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial poésie pour 2006 

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Vendredi 18 novembre 2005 5 18 /11 /Nov /2005 18:10

L’arrière-boutique du libraire

par Enzo Cagliari

 

Stamp uro

 

 

Patrice mon vieux copain aura 50 ans dimanche, je suis invité à son anniversaire, il est comme moi passionné d'érotisme et pas mal obsédé. J'ai donc eu l'idée de lui rechercher un cadeau qui soit très coquin mais qui ne choque pas outre mesure son épouse laquelle sans être coincée n'en reste pas moins une femme très réservée.

 

En flânant sur Internet je tombe sur une très curieuse assiette décorée. On y voit une femme en train de s'exhiber en urinant devant un homme qui se masturbe en profitant du spectacle. Je me renseigne, l'objet en est en vente dans une libraire du 5ème arrondissement.

 

Une assiette en librairie ? Bizarre, mais bon, pourquoi pas ? Elle est un peu trop osée pour l'offrir à mon ami devant son épouse, mais je pourrais toujours le faire discrètement, et puis peut-être que dans cette boutique il y a d'autres choix, sans doute un peu plus sages....

 

Ce jeudi, en sortant du boulot, un coup de métro et me voici devant cette librairie où règne un indescriptible fouillis dans la minuscule vitrine mal éclairée. Mais rien d'érotique ni même de coquin. Je vérifie avec la copie faite sur mon imprimante... C'est bien là. Mais c'est fermé, effectivement je n'avais pas fait attention, un petit post-it est collé sur la vitre : "de retour dans vingt minutes"

 

Bon je patienterai d'autant que j'ignore quand ont commencé ces vingt minutes, je repère un petit square à cinquante mètres et je décide d'aller m'y asseoir en attendant.

 

Coup de fatigue, normal je me couche trop tard tous les soirs, j'ai piqué un somme, j'espère que le libraire est encore ouvert, je me précipite. Oui c'est bon. J'entre !

 

Un type chauve à lunettes et pull-over gris est assis devant une table, il lit un bouquin et prend des notes :

 

- Bonjour ! J'espère ne pas me tromper d'adresse, j'ai vu une assiette sur Internet...

- Ah l'assiette avec la femme qui fait pipi ?

- Oui !

- Pas de chance, je l'ai vendu ce matin !

 

Catastrophe !

 

- Euh ! Vous n'avez rien dans le même genre ?

- Si ! Si ! Ici on trouve toujours son bonheur ! On a quelques bricoles dans l'arrière-boutique, mais là j'attends un coup de fil, je vais dire à Josiane de s'occuper de vous...

 

Le bonhomme active un interphone :

 

- Josiane tu peux descendre ? J'ai un client pour l'arrière-boutique, il venait pour l'assiette avec la fille qui pisse, mais il veut bien voir autre chose...

 

Et voilà Josiane : La quarantaine, assez grande, mince, joli visage, beaucoup de classe, cheveux long méchés de blond, petit gilet blanc fermé assez haut, pantalon noir, 

 

- Voulez-vous bien me suivre !

 

Bien sûr que je la suis ! Elle ouvre une porte et nous voici dans un réduit qui doit faire 6 m² c'est-à-dire 3 mètres de long sur 2 de large. Les murs sont remplis de rayonnage, imaginez la place qu'il reste au milieu.... Elle attrape un carton à dessin :

 

- Là-dedans j'ai quelques gravures... c'était le côté uro ou le côté voyeur qui vous intéressait sur l'assiette ?

- Euh !

- Vous pouvez me parler librement, j'ai l'habitude avec les fantasmes des hommes.

- Ben, disons que j'aimais bien le côté uro !

- Il doit me rester une gravure, voilà...

 

Je regarde, le dessin est superbe, une bourgeoise en chignon entièrement nue mais parée de bijoux pisse dans la nature, une autre femme également nue la regarde faire, tandis qu'un homme allongé sur une serviette se masturbe en regardant la scène...

 

- Joli, dommage que ce soit un peu abîmé ?

- Si ça vous intéresse, je peux vous la faire reproduire, si vous voulez...

- Pourquoi pas ? Mais vous n'avez rien d'autre ?

- En uro pur, non, j'ai de la scato si vous voulez…

- Non…

- Vous avez tort, j'en ai de très excitants et même pas vulgaire, sinon j'ai des photos...

- Non, ça ferait combien pour la faire reproduire ?

 

Elle me dit son prix, c'est un peu cher, j'essaie de marchander, mais la belle est dure en affaire.

 

- Je vais peut-être voir ce que vous avez en photos, c'est de l'ancien ?

- On a de l'ancien, oui !

 

Je regarde, mais rien ne me branche vraiment, jusqu'à ce que je tombe sur un superbe cliché d'une fille aux fesses rebondies qui urine dans la bouche d'un soumis.

 

- C'est pas mal, mais pour offrir ça fait un peu léger... Commentais-je néanmoins

- Voyons, qu'est-ce qu'elle a de plus que les autres cette photo, humm c'est vrai qu'elle est pas mal... ça vous excite ces photos-là ?

- Euh !

- Ne me dites pas non ! Je serais capable de vérifier !

- Ne me dites pas des choses pareilles, je crois que justement que je serais capable de répondre "non" rien que par jeu !

- Et vous pensez que je me dégonflerais ?

- Je ne sais pas !

 

Et c'est alors que sa main se posa sur ma braguette !

 

- Ça bandouille, mais maintenant ça va bander pour de vrai !

- Arrêtez, si votre mari...

- Mon mari s'en fout, ou plutôt non, il ne s'en fout pas mais il me laisse faire ce que je veux, du moment que je lui raconte... et parfois il regarde...

 

Elle se met à me défaire ma fermeture-éclair, elle fouille dans le slip, me caresse la verge par-dessus l'étoffe de coton, puis finit par sortir mon sexe tout raide !

 

- Ben voilà ! Je savais bien que vous étiez excité !

 

Et elle me lâche !

 

C'était donc tout ! Je me disais aussi que c'était trop beau pour être vrai.

 

- Vous alors !

- Ben oui, je suis un peu nymphomane, quand un homme est excité je le sens, et parfois je ne peux pas m'empêcher de le provoquer...

- Il va falloir que je me calme maintenant !

- Faites comme sur la gravure !

- Me masturber... mais sur la gravure il n'était pas seul...

- Vous n'êtes pas seul, je suis là !

- Oui mais vous ne faites pas pipi ! Lui fis-je remarquer.

- Vous voudriez que je fasse pipi ?

- J'ai le droit de rêver !

- Chiche ! Dans quoi je pourrais-je faire ça... tenez cette caisse en plastique, vous allez m'aider à la débarrasser !

 

Je rêve ou quoi ? Il y a quoi au bout de cette proposition, un piège, un truc ? Toujours est-il que pour l'instant je m'affaire avec elle à vider cette caisse poussiéreuse. Puis Josiane avec une totale décontraction retire son pantalon, me faisant découvrir le magnifique string qui se cachait en dessous, et comme elle est légèrement de côté je peux profiter de la belle cambrure de ses fesses. Elle ôte ensuite le string, dévoilant une belle petite chatte rasée en ticket de métro.

 

- Déshabillez-vous ! Me demande-t-elle !

 

Espérant que cette incitation signifie sans doute qu'on ne se contentera peut-être pas d'une masturbation, je m'empresse de retirer mes vêtements...

 

- J'enlève le haut aussi ? demande Josiane

- Bien sûr !

- Tous les même les mecs, vous voulez toujours voir les poitrines des femmes.

- Ben oui, on est des hommes !

 

Toujours est-il que cette poitrine est absolument merveilleuse, bronzée naturellement, bien galbée, les aréoles foncées, les tétons érigés

 

Elle est nue comme un ver. Nous sommes tous les deux nus comme des vers dans cet exigu cagibi...

 

- Bon je vais pisser ! dit-elle en s'accroupissant au-dessus de la caisse en plastique ! Toi tu te branles mais prépare un kleenex, faut faire attention aux étagères !

Linie.jpg

Quel romantisme ! Josiane ferme les yeux, j'attends qu'elle commence à faire avant de m'astiquer. Je ne réalise pas, je suis tombé sur une nympho un peu bizarre, je ne vois pas d'autres explications. Quelques gouttelettes jaillissent maintenant de sa petite chatte, suivies immédiatement d'un jet puissant et odorant qui fait un drôle de bruit en allant mourir dans la caisse en plastique. Je me masturbe donc, voilà qui me fera un souvenir ! Et je me régale du spectacle... mais tout à une fin, même son pipi, elle se relève avec une drôle d'expression dans la bouche. Je n'ai pas encore joui, peut-être va-y-elle me proposer autre chose ! Qui sait, une petite pipe ne serait pas de refus !

 

Et soudain elle gueule :

 

- Jérôme !

 

Oh, là là ! Je n'aime pas ça, je laisse tomber ma branlette inachevée, et vais pour récupérer mes fringues, mais horreur, elles sont derrière Josiane qui me barre le passage, quant à la porte de séparation elle est aussi derrière Josiane... Jérôme, le patron entre !

 

- Qu'est ce qui se passe ?

- C'est ce monsieur ! Dit alors la libraire, il a voulu se masturber devant moi pendant que je pissais, il m'a obligé à me déshabiller...

 

Je devais être à ce moment-là aussi blanc qu'un sac de plâtre...

 

- C'est un quiproquo...

 

Mais le mec ne m'écoute pas ! Il se saisit d'un martinet (d'où le sort-il celui-ci ?) et menace son épouse sans faire attention à moi !

 

- Espèce de salope, tu as encore fait ton numéro de pute en chaleur ! Donne-moi tes fesses !

 

La fille se cambre, l'autre la flagelle sans ménagement en essayant d'ajuster ses coups malgré l'exiguïté du lieu.

 

- Ah oui, vas-y fouette-moi, punis-moi, je le mérite ! 

 

Ses fesses commencent à se zébrer de rouge ! Je suis tombé en pleine mise en scène, j'ai eu peur, ça va mieux, je voudrais bien partir mais je ne peux pas passer... Jérôme a laissé tomber son pantalon.

 

- Et maintenant tu vas nous sucer tous les deux ! Lui dit-il

 

Elle ne se fait pas prier et embouche le gros machin raide du libraire avec un curieux bruit de gorge, elle le suçote quelques instants puis s'occupe de moi. Je ne tarde pas à rebander comme il faut, je la préviens que je vais jouir, et me finis dans le kleenex que je n'avais pas lâché ! Elle s'occupe à nouveau de son mari. Puis se tourne, cambre ses fesses et se laisse pénétrer le trou du cul en criant des paroles incompréhensibles telle une possédée ! L'affaire dure bien cinq minutes, puis les deux zigotos finissent par jouir, ils se font face et s'embrassent dans un grand élan de tendresse. C'en est touchant ! 

 

- Alors ça vous a plus le petit numéro de ma femme ?

- Ben, écoutez, il faudrait être difficile !

 

Mais l'homme est déjà reparti dans la boutique principale. Josiane me passe mes fringues et se rhabille aussi

 

- Bon alors d'accord pour la reproduction, on vous fait ça pour Jeudi prochain ? D'accord !

 

Je me vois mal marchander après ce qui s'est passé et j'accepte, je verse des arrhes, on me fait un reçu et je quitte la boutique....

 

Il fait nuit, qu'est-ce que je fous sur ce banc, l'heure... il est 19 heures, la librairie doit être fermée, je vais voir, effectivement le rideau de fer a été baissé. Je reviendrais demain. J'ai fait un drôle rêve, je m'envoyais la libraire nympho dans l'arrière-boutique... N'importe quoi.... Me voilà à faire des rêves érotiques en plein Paris dans un square ! Il va falloir que je me surveille. Bon direction le métro, je cherche ma carte de transport dans ma poche, je sens un bout de papier, je ne sais pas ce que c'est : je le lis :

 

"Avance sur commande d'une reproduction de gravure ancienne, 100 euros "

 

Oups !

 

Enzo, Novembre 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 17 février 2005 4 17 /02 /Fév /2005 18:49

Caroline n'a pas de culotte

par Enzo Cagliari

 

Voy

 

Bonjour, je m’appelle Eric et j’ai 23 ans, je suis assez ordinaire, châtain clair, mais il paraît que je plais, je suis en ménage depuis un peu plus d’un mois avec Caroline une belle blonde aux cheveux courts à la peau très blanche et la stature bien charpentée. Ce jour-là, nous avions décidé d’aller au restaurant vers 19 heures, mais, vous connaissez les femmes, elle insiste pour que nous partions au moins deux heures avant afin de faire un peu de lèche vitrines ! Voici qui ne me dit rien que vaille ! C’est alors que je lui proposais ce marché, tout à fait insolite :

 

- D’accord on fait les magasins, mais je ne veux que tu ne portes pas de culotte !

- Comment ça "je veux" ? Me dit-elle, tu ne vas pas me donner des ordres, non ?

- Ce n’est pas un ordre, c’est une proposition !

- Et en quel honneur ?

- J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes farfelus, tu as bien les tiens, toi !

- Mais si quelqu’un me voit !

- Personne ne te verra, ce sera notre secret !

- Tu as de ces idées parfois !

- Allez, donne !

- Non, viens la chercher, toi !

 

Je lui soulève la jupe, tire légèrement sur l’élastique et descend le petit bout de vêtement jusqu’à sa première cheville, le dégage d’un pied puis de l’autre. Exit la culotte, elle est dans mes mains ! Je la renifle, pas très nette tout ça, mais ses odeurs m’excitent,

 

- Tu fais quoi gros cochon ? me demande-t-elle

- Hum, ça sent bon tout ça !

- Ben ça sent mon cul et ma chatte !

- J’adore !

- Ça va, t'es pas trop difficile, surtout que je n’ai pas du bien m’essuyer tout à l'heure, je me suis dépêché pour répondre au téléphone... Et toi tu trouves que ça sent bon ?

- Ben oui !

- Et bien c’est dommage que nous soyons prêts pour sortir sinon je t’aurais demandé de me nettoyer le cul avec ta langue puisque tu aimes ça tant que ça !

- Bonne idée ! Dis-je en m’approchant !

- Non ! On a fait un marché ! Je n’ai pas de culotte et maintenant tu me dois deux heures de shopping !

- Mais Caroline ?

 

Elle ne voulut rien savoir et c’est la bandaison douloureuse que je l’ai accompagné vers le grand centre commercial qui est à 10 minutes de chez nous.

 

- Tu sais ça fait drôle de me sentir la chatte à l’air, finalement c’est une bonne idée, je suis tout excitée !

 

Et moi donc !

 

Pendant une heure elle essaie des trucs et des machins, j’en ai ma claque et mon excitation est complètement retombée, c’est alors que Caroline manifeste le désir de s’acheter une jupe plus courte que celle qu’elle porte !

 

Elle en essaie une, elle en essaie deux, elle en essaie encore une autre... Ça n’arrête pas ! Finalement elle flashe sur un modèle, un truc tout simple noir, elle sort de la cabine, virevolte, regarde si personne ne la voit et se penche ! Malédiction la jupe est si courte qu’on lui voit la naissance des fesses. Voilà que je bande de nouveau ! Je rentre avec elle dans la cabine, et lui fout la main aux fesses, elle m’embrasse et me chatouille la braguette. On n’en peut plus aussi bien l’un que l’autre on décide de payer la jupe et de se réfugier dans un endroit où nous pourrions décharger (c’est le cas de le dire) notre trop plein d’excitation.

 

C’est alors qu’un monsieur, très bien sur lui, la cinquantaine, nous aborde, le type est très classe, il est accompagné d’une grande femme blonde du même âge, bourgeoise de chez bourgeoise, mais avec des beaux restes.

 

- Bonjour, ça vous dirait de gagner 100 euros ?

- Pardon ? C’est quoi c’est un concours, c’est une émission de radio ?

- Non, c’est entre nous ! Je vous ai vu dans la cabine tout à l’heure !

 

Je rougis comme une tomate, mais pas Caroline qui a l’air de trouver ça très rigolo.

 

- Nous n’habitons pas très loin, je voudrais juste que vous fassiez l’amour devant nous ?

- Ça va pas non ? Répondis-je en m’apprêtant à laisser là ce vieux vicelard !

 

Mais Caroline me rattrape par la manche...

 

- Attends, t’es pas tout seul à décider, ça peut être marrant non ?

- Mais enfin Caroline....

- Marrant et excitant ! Croit devoir préciser le bourgeois

- Moi ça me dit, allez viens ! Me presse ma copine !

 

On les suit, sans trop rien dire sinon des banalités, ce truc me m’emballe du tout mais Caroline à l’air de s’amuser comme une folle à la perspective de s’exhiber devant ce couple de vieux vicelards.

 

Arrivés dans leur appartement cossu, ces messieurs dames nous demandent si nous voulons boire un verre ! Pourquoi pas !

 

- Voici l’argent ! On vous demande juste de faire l'amour sur le canapé, là pendant disons un quart d’heure vingt minutes, et nous on regarde...

- Vous allez juste regarder, vous n’allez pas vous masturber ? Demande Caroline.

- Si, si bien sûr, disons que ma femme et moi, nous allons nous mettre un peu à l’aise en vous regardant...N’est-ce pas Nicole ? dit-il s’adressant à sa femme

- Mais bien sûr mon vieux cochon ! Répondit la grande blonde !

 

Et sur ce, le "vieux cochon" nous demanda de nous déshabiller, Caroline me précéda dans cette tâche pas gênée du tout ! En deux temps et trois mouvements elle fut nue comme un ver, et s’amusait à se masser les seins avec la paume de ses mains

 

- Alors ça vous plait ?

- Superbe ! Répondit le bourgeois (allez, on va l’appeler Gérard)

 

Je me déshabillais à mon tour, je ne bandais plus, et tentait tant bien que mal de tirer sur mon sexe pour le rendre présentable.

 

- Vous êtes mignons tous les deux, j’adore les belles jeunes femmes... et les beaux jeunes hommes. Rajoute-il

 

Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ?

 

- Ça fait plaisir de voir un couple comme ça sans tabou, parce que je suppose que des tabous vous ne devez pas en avoir beaucoup... Vous devez en essayer des trucs ? Reprend Gérard.

 

J’allais répondre pour recadrer un peu tout ça, mais Caroline me coupe la parole !

 

- Hum ! C’est vrai qu’on aime bien essayer des tas de choses ! C’est Eric qui m’a demandé de ne pas porter de culotte tout à l’heure... je ne voulais pas et finalement ça m’a excitée...

- Je vois...

- Et attendez... Ma culotte quand je l’ai retiré, il l’a reniflé, elle n’était pas très propre vous auriez vu dans quel état ça l’a mis !

- Caroline ! Tentais-je

- Mais c’est très excitant ce que vous me racontez là ! Savez-vous que j’adore aussi les culottes un peu négligées, n’est-ce pas Nicole ?

- Oui, mon vieux cochon !

- Mais ça veut dire que vous avez le derrière un peu sale, alors ?

- Sale, n’exagérons rien mais il n’est peut-être pas très bien essuyé !

 

Gérard est complètement excité et se frotte la main sur la braguette.

 

- Si vous saviez comme j’aimerais vérifier ça par moi-même, mais bon, soyons sage, on vous a dit que nous voulions juste vous regarder faire l’amour...

- A moins que vous acceptiez qu’on double la prime en échange de quelques innocentes caresses ! Qu'en pensez-vous ? Intervient alors Nicole.

- Si c’est juste des caresses, ça marche ! Répond Caroline !

 

Gérard se déshabille, il n’est pas si mal que ça, il doit faire du sport. Il bande comme un malade, et je me surprends à trouver que sa bite est vraiment bien jolie ! Nicole, elle interrompt son déshabillage au niveau de la culotte et du soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir ses grosse totoches !

 

- Venez donc me faire sentir vos fesses ! Demande le vieux pervers à ma douce compagne.

 

Marissa0205a.jpg

 

 

Celle-ci sans rechigner s’approche et se retourne ! Gérard hume son entre-fesse !

 

- Hum, effectivement vous ne vous êtes pas essuyé le cul ! Constate-t-il

- Et tu aimes ça gros vicieux ? Demande Caroline passant à un tutoiement sans doute plus adapté à ce genre de situation !

- J’adore !

 

Gérard lui écarte le cul, il a carrément son gros pif à deux millimètres de son anus !

 

- Hum ! Quelle odeur ! On a fait le bon choix avec ce couple ! S’exclame-t-il. Hum ça sent la bonne merde de jeune femme ! Dommage que je ne puisse pas lécher, nous avons dit que nous limiterions aux caresses...

- Mais je suis sûre que vous allez nous proposer davantage pour en faire un peu plus, n’est-ce-pas vieux coquin ?

 

Et Caroline en disant cela se retourne et fait un bisou sur le bout du nez de Gérard qui n'en peut plus !

 

- Et si tu aimes à ce point l’odeur de mon cul, je peux même essayer de te faire une petite crotte ? Tu voudrais ?

 

Affaire conclue, on empoche la troisième prime, et tandis que Gérard lèche à qui mieux mieux le trou du cul de Caroline, Nicole me demande de venir vers elle !

 

- Alors toi, je suis certaine que tu aimerais voir mes gros nichons ?

- Oui bien sûr !

- Alors dégrafe-moi mon soutien !

 

Je le fais, fébrile, libère les grosses mamelles et sans lui demander la permission m’élance vers ses deux épais bourgeons bruns que je lèche avec avidité.

 

- Retire ma culotte, maintenant !

 

J’obéis !

 

- Et fais la même chose que ce que nous a raconté ta copine !

 

Je vais me priver, tiens ! Je porte l’objet à mes narines, ça sent fort, très fort, mais ma bite est toute raide.

 

- Tourne-toi je vais te lécher le cul !

 

A bon, moi aussi ! J’aurais préféré m’occuper de sa chatte que je n’ai pas pu bien voir mais que j’imagine baveuse et grasse à souhait. Mais voilà qu’elle me lèche le trou du cul avec une agilité incroyable, Je me laisse faire, cette Nicole fait ça divinement !

 

- Alors elle te l’a fait sa petite crotte ? Demande soudain la bourgeoise à son mari interrompant sa feuille de rose.

- Non, ça ne vient pas ! Dommage ! Mais je ne perds pas espoir

- Un peu de patience je vais t’en faire une belle ! Intervient Caroline complètement déchaînée.

- On échange nos partenaires ? Propose alors Nicole

 

Quoi ! Échanger quoi ? Mais Caroline a parfaitement compris et elle se ramène devant la bourgeoise lui fait une sorte de révérence !

 

- Je suis à la disposition de madame !

 

Je ne bouge pas ! Je suis paralysée ! Et c’est encore Caroline qui intervient, me regardant les yeux pleins de malices :

 

- Allez va voir Gérard, il ne va pas te manger !

- Mais attend, je ne suis pas pédé !

- Moi non plus ! Plaisante-t-elle

- Venez donc jeune homme, je ne suis pas une brute, et j’ai croisé votre regard quand vous me regardiez ma bite tout à l’heure...

- Et puis ça m’exciterait tellement que tu lui suces la queue ! Reprit Caroline, tu peux bien faire ça pour moi, j’ai bien accepté de me balader sans culotte, moi !

- Quelle comparaison !

- Allez, va le sucer, mon chéri ! On a accepté de faire les putes, on a pris l’argent, maintenant faut assumer... et puis j’ai l’impression que ce ne sera pas une corvée...

 

J’y suis allé comme un zombi, mais c’est vrai que cette bite n’est pas mal, mais c’est la chatte de Nicole qui m’intéressait moi, pas la queue du mari ! Lequel mari s’est emparé de ma propre queue afin de me masturber avec beaucoup de dextérité, il est doué le mec...

 

- Allez, suce ! Tu vas voir elle est bonne, après tu en redemanderas !

 

Je respire un grand coup et me voilà avec l’objet dans la bouche ! A ma grande surprise je n’ai aucun recul, aucun rejet, c’est doux, c’est chaud c’est excitant, et puisque la Caroline ma mit au défi de le sucer je vais m’appliquer. Caroline et Nicole se sont approchées pour profiter du spectacle, cette dernière doigtant avec énergie l’anus de ma compagne...

 

- Hummmm elle me ramone trop bien le cul cette salope !

 

Nicole finit par sortir son index tout pollué qu’elle lèche avec délectation, quelle cochonne ! Gérard me demande de stopper ma fellation, c’est dommage je commençais à y prendre goût ! Ma copine s’est installée par terre, et Nicole à un doigt dans chacun de ses orifices, ...

 

- Dites-moi Caroline, l’apostrophe Gérard, ça vous plairait que je sodomise votre conjoint ?

- Oh, oui ! Oh ! Oui !

- Mais... Protestais-je.

- Rassurez-vous, je vais passer un préservatif !

- Non. J’ai dit non !

- Dégonflé me dit Caroline ! Pourquoi est-ce qu’il n’y aurait que les femmes qui devraient se faire enculer ?

- Ah, ça c’est un argument surenchérit Nicole !

- Tournez-vous et présentez moi vos adorables petites fesses, jeune homme, ce ne sera qu’une formalité.

 

Quelque part dans ma nature profonde je ne devais pas y être si opposé que ça puisque j’ai fini par céder, et par offrir mon anus bien préparé et lubrifié par Nicole à cette délicieuse verge qui m’a donc dépucelé ! Il y a mis beaucoup de tact et procédait en des va-et-vient assez lents. A côté les deux femmes s’étaient placées en position de soixante-neuf et se doigtaient le cul mutuellement.

 

Gérard finit par déculer sans avoir joui, manifestement il avait d’autres projets

 

- Alors Caroline cette petite crotte que vous m’aviez promise ?

- Tu as de la suite dans les idées toi !

- Vous m’avez mis l’eau à la bouche !

- Ben justement en ce moment j’ai plutôt envie de pisser...

- Mais c’est très bien ça ! Allez, on va tous dans la salle de bain...

 

C’est qu’elle est large la salle de bain de Gérard et Nicole ! Notre hôte s’allonge alors sur le carrelage et demande à Caroline de lui pisser dessus ! On a déjà joué tous les deux à des jeux semblables mais sans aller très loin. Ma compagne se met donc au-dessus de son receveur !

 

- Tu veux que je te pisse sur la bite !

- Non ma bite c’est Eric qui va s’en occuper, pissez-moi sur le visage... dans la bouche...

 

Elle n’hésite pas et bientôt d’étranges chutes du Niagara viennent s’abîmer dans la gorge de Gérard qui avale tout avec une mine réjouie !

 

- Accroupis toi tu es trop haute ! Précise Gérard se décidant tout de même à tutoyer à son tour !

 

Caroline obéi, sa chatte est à présent à quinze centimètres de son nez !

 

- Et maintenant pousse ! demande-t-il une fois le pipi terminé.

- Ça vient gros dégueulasse ! Ouvre bien la bouche !

 

Moi, pendant ce temps, je le branlote, pas trop énergiquement, je pense qu’il ne souhaite pas jouir avant d’avoir reçu son cadeau… Quand à Nicole elle s’est assise sur le bidet et se masturbe avec frénésie en observant la scène d’un œil égrillard.

 

Un joli petit étron finit par se faufiler et par s’extraire du rectum de ma douce, le vieux cochon le reçoit en plein visage. J’accélère ma masturbation et fait jaillir son sperme de son sexe en quelques secondes. Il pousse un soupir de contentement tandis que sa femme se lève, ramasse la crotte dans ses mains et se met à la sucer comme s’il s’agissait d’un esquimau tandis que de sa main gauche, elle continue de se  branler jusqu’à ce qu’elle jouisse.

 

- Votre merde est délicieuse Caroline ! La complimenta-t-elle.
- Si vous le dites, moi je n’ai jamais eu l’occasion d’y goûter !
- Vous aimeriez ?
- Excitée comme je suis, je peux essayer.

 

Nicole détache un petit morceau de caca et s’en barbouille les lèvres.

 

- Venez m’embrasser Caroline !

 

Elle le fait ! Je suis sur le cul ! J’ignorais qu’en lui proposant de réaliser mon petit fantasme je libérerais un tel cyclone sexuel !

 

Et puis, c’est bien joli, tout ça mais je n’ai pas joui, moi et Caroline non plus.

 

- Vous permettez qu’on finisse ?
- Mais bien sûr ! Répond Nicole !

 

Gérard lui est en train de s’assoupir…

 

Alors je la prend Caroline par la main, l’entraîne vers le canapé, la fait se mettre en levrette, je la pénètre et cinq minutes après nous éclations, nous avons échangé un long baiser, nous nous sommes dit des mots tendres et nous avons pris congé de nos hôtes.

 

Ils voulaient nous payer le restaurant, nous avons refusé, mais quand ils nous ont demandé si nous serions intéressés à revenir, c’est d’une voix commune que nous leur avons dit oui.

 

Enzo (février 2005)

 

 

Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle extrême pour l'année 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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