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La grande Claire
par Enzo
Cela faisait désormais plus d'un an que je restais célibataire. Certes je ne suis pas resté abstinent, plusieurs rencontres sans lendemain, pas mal de professionnelles dont certaines remarquables... mais il n'y a pas que le sexe dans la vie et la solitude commençait à me peser.
Un jour un collègue me proposa de venir déjeuner un samedi midi chez lui.
- On invitera une voisine, elle est seule depuis plusieurs mois, c'est une nana assez délurée, elle couche à droite à gauche, mais elle voudrait trouver quelqu'un pour se fixer... Je crois que vous devriez vous plaire....
Ça me fait marrer ces gens qui jouent les entremetteurs, mais bon, on peut toujours essayer, et je me pointais donc ce jour-là chez Elodie et Gilles. Elodie est un petit bout de femme, fausse blonde d'une quarantaine d'année avec un visage sympathique et quelques rondeurs. Elle s'était habillée très simplement d'un jean et d'un petit haut légèrement déboutonné sur l'échancrure d'une poitrine qu'on devinait mignonne...
On commença à prendre l'apéro en parlant de tout et de n'importe quoi, puis Claire arriva, grande bringue, à la peau très blanche, cheveux bruns, assez courts, et pas mal de poitrine dissimulée sous un haut en coton blanc. On se présente.
- C'est vous Hervé ? Il parait que Gilles veut nous marier ! Plaisante-t-elle
- Ben, oui, on se mariera peut-être tout à l'heure ? Répondis-je bêtement
- Je suis votre genre au moins ? demande-t-elle
Elle va m'embarrasser... en fait non ce pas vraiment mon genre mais je ne vais pas le lui dire.
- Et moi, je suis votre genre ! Biaisais-je
- Non, je n'aime pas les hommes à lunettes, ni les hommes à moustaches, en plus vous avez un petit ventre...
- Ok, on ne se mariera pas ce soir, alors ?
- Je ne crois pas non !
- Tant pis !
Du coup on parle d'autres choses, les conversations se croisent avec Gilles et Elodie. On finit par passer à table. Le repas est classique mais délicieux et assez arrosé.
C'est au moment du café que les choses commencèrent à dévier... Claire parle beaucoup de cul, parfois assez vulgairement, et chose étonnante Elodie n'est pas en reste... La grande brune évoque un moment une aventure avec une autre femme en terme assez crus
- Tu ne changeras jamais ! Rétorque Elodie
- Faut goûter à tout ce qui est bon ! Tu vas pas faire ta mijaurée, tu m'as bien roulé un patin il n'y a pas si longtemps !
- C'était un jeu !
- Oui, mais ça ne t'as pas déplu
- C'est vrai !
- Et je suis sûre que t'aurais bien été plus loin ?
- J'aurais peut-être été plus loin avec toi, si tu ne m'avais pas laissé tomber pour aller sucer des bites ! Rétorque Elodie.
- Oui, mais c'est parce que j'étais prise dans l'ambiance !
Et la voilà qui évoque cette soirée, avec force détails, ça commence à m'exciter tout ça !
- Ça te dirait que je t'embrasse à nouveau ? Demande-elle en conclusion à l'adresse d'Elodie
- Arrêtes, tu vas choquer notre ami
- Me choquer, moi, non pas du tout ! Protestais-je
- Ah tu vois ! Fit-elle s'avançant déjà vers sa victime.
Ce fut très rapide, Elodie accepta d'abord timidement le baiser de Claire avant d'entrer complètement dans son jeu. Elles se bouffent carrément le museau, se dégoulinant de salive... Et pendant ce temps la main de la grande brune ne reste pas inactive, elle déboutonne un peu plus le chemisier de sa complice, lui met la main sur la naissance des seins, continue à déboutonner et fait jaillir un joli petit nichon hors de son bonnet. Et voilà que je bande !
Finalement, elles se calment, Elodie se réajuste, un peu confuse !
- C'est très joli, il fallait continuer suggère Gilles !
- T'as qu'à en faire autant avec ton collègue, au lieu de nous mater ! Répond Claire.
- Ça va pas non !
- Pourquoi, je croyais que tu étais un peu bi !
Mon collègue devient rouge comme une tomate...
- J'ai jamais dit ça ! Tente-t-il de protester.
- Ben si, tu l'as dit souvent, pourquoi tu te défends ? Intervient Elodie
- Bon, si on parlait d'autre chose...
- Tiens je vous propose un truc les mecs, on se refait un bisou avec Elodie, mais après vous sortez vos queues et vous vous branlez, d'accord !
- Claire, voyons ! Tente d'objecter la femme de Gilles
- J'arrive ! Se contente de dire l'autre qui de nouveau et sans attendre de réponse cherche la bouche de l'autre femme...
C'est reparti pour un tour, cette fois ce sont les deux seins Elodie qui sont à l'air. Un moment de pause, Claire enlève son haut, puis elles repartent dans leur séance de fricotage....
- On se met à poil ! Propose la grande brune au bout de quelques instants !
- Attends, que font les hommes ? Répond la femme de Gilles.
- Allez, montrez-nous comment vous bandez bien ! Nous interpelle Claire.
Gilles me lance un regard interrogateur ! Je lui réponds par une mimique que je veux bien me lancer. Il sort alors son engin et commence à le branler, une belle bite bien raide avec un joli gland foncé, je l'imite donc...
- Non, ce n'est pas ça le jeu, il faut que vous vous branliez mutuellement !
On se regarde mutuellement
- Si ça peut leur faire plaisir, et si ça ne te dérange pas... Murmure-t-il
- Non tu peux y aller, ça ne me déplait pas de branler une belle bite !
- Ah oui, tu la trouve belle ?
- Superbe, oui !
- T'entends, Elodie, il trouve ma bite superbe, Hervé !
- Demande-lui qu'il te la suce, alors ! Réplique sa femme ! Depuis le temps que ça te trotte dans la tête, tu as l'occasion, là juste à côté de toi !
- Je peux ? Demandais-je alors à la grande stupéfaction de mon collègue à qui je n'avais jamais confié mes propres tendances bitophiles
- Allez ! Vas-y, suce !
Et me voici avec son sexe dans la bouche ! Je le suce, je le lèche, je le gobe, ce n'est pas si souvent que j'ai l'occasion de sucer des bites, et puis celle-là est délicieuse.... Les femmes passent derrière nous, Elodie derrière moi et Claire derrière Gilles. Elles font descendre nos pantalons et nos caleçons... On fait une pause et on se met tous à poil...
- Alors elle était bonne sa bite ? Me demande Claire
- Délicieuse ! J'y regoûterais bien !
- Je peux y goûter aussi ? Demande-t-elle à l'adresse Elodie
- Ne me pique pas mon homme toi ? Rigole-t-elle
- Je ne veux pas te piquer ton homme, je veux juste lui faire une pipe.
- Non, il ne le mérite pas, il n'avait qu'à pas mentir tout à l'heure !
- Bon tant pis, je vais sucer celle d'Hervé mais elle est moins grosse !
Et me voilà avec Claire à genoux entre mes cuisses.
- Attends, il faut que j'aille faire pipi ! Protestais-je
- OK, ne bouge pas ! Gilles tu peux aller nous chercher une serviette...
J'ai eu un moment un peu de mal à suive, mais quand elle pose la serviette à nos pieds, je comprends mieux...
- Vas-y pisse moi dessus ! J'adore me faire arroser !
C'est décidemment la soirée des surprises. Je me concentre un peu mais ça ne vient pas !
- Tu vas pisser ou pas ?
- Je bloque !
- Concentre-toi !
Je finis par y arriver et je lâche mon jet sur la belle poitrine de Claire qui se barbouille avec...
- Vise ma bouche, je vais en boire un peu !
Je le fais, comme dans un rêve, lui emplissant le gosier de liquide jaune qui produit dans son palais un curieux bruit de bouche assez comique. Elodie excitée par le spectacle finit par rejoindre l'autre femme. Il ne restait que quelques gouttes mais elle les avala gloutonnement.
- T'aimerais qu'on t'arrose aussi ? me propose Claire
- Oui, oui, bien sûr !
- Et bien allonge toi ! Ah... il va falloir changer de serviette... Gilles une serviette...
Claire me chevauche et commence à me faire quelques gouttes sur le sexe. Elle me demande si elle peut remonter jusqu'à mon visage, m'asperge et me fait boire...
- Bon allez relève toi je vais te sucer... mais c'est pas parce que je te fais une pipe qu'on va se marier, hein d'accord ?
- Ne t'inquiète pas ! Je peux te peloter les seins !
- Pelote, pelote, c'est fait pour ça non ?
Elle me suce divinement ma bite pleine de pisse, à ce point que je lui demande d'arrêter, étant sur le point de jouir... Pendant ce temps-là, Elodie regarde la scène en se masturbant assez mollement, Gilles pour sa part s'astique comme un forcené. Claire me contourne et entreprend de me sucer le trou du cul ! Mon dieu quelle sensation que cette langue experte sur le bord de mon anus ! Il finit par s'entrouvrir et la voilà qui me mets un doigt !
- T'aimes ça, hein, t'es vraiment un gros vicelard, toi ? Plaisante-t-elle
- Pourquoi gros !
- Je suis sûr que t'aimerais bien te faire enculer ? Continue-t-elle.
- Je l'ai déjà fait, ce n'est pas désagréable !
- Ah ! Oui ? Tu la voudrais bien la bonne bite de Gilles dans ton petit cul de pédé ?
- Pourquoi pas ? S'il est d'accord ?
Claire alla fouiller dans son sac et en sortit un préservatif
- J'en ai toujours sur moi ! Précisa-t-elle.
- Je peux, chéri ? Demande alors Gilles à sa femme avant d'enfiler la capote
- Oui mais, juste un peu, je ne veux pas que tu jouisses, je veux que tu me prennes juste après.
Je me penche, je m'ouvre. Gilles force, mais ça ne passe pas, il aurait fallu un peu de gel... Il recommence, j'essaie de m'ouvrir plus, ça passe un peu, il donne un grand coup, ça y est, il est dans mon cul ! Il me remplit complètement, s'agite, je suis aux anges, c'est trop bon, Gilles s'excite, il accélère, accélère encore, incapable de se retenir et finit par jouir.
- Connard, je t'avais demandé de me réserver la fin ? Lui dit sa femme.
- Je suis désolé !
- Puisque c'est ça, c'est Hervé qui va me prendre ? T'as quelque chose à dire ?
- Ben...
- Ben quoi ? Allez viens Hervé, viens enculer la femme de ton collègue.
Je lance quand même un regard à Gilles, la situation pourrait être gênante, mais il me fait signe d'y aller. Elle se met en levrette sur le canapé et je me place derrière. Excité comme je suis j'ai un peu peur de bâcler l'affaire, mais j'arrive à me contrôler. Au bout de cinq minutes, madame se met à jouir comme une malade... du coup j'accélère et me délivre à mon tour.
On se regarde tous, un peu bizarre, on se sert de l'eau minérale, personne n'ose faire de commentaire après cette séance de folie collective au cours de laquelle seule Claire n'a pas joui.
Elle s'approche de moi :
- Tu m'invites ce soir ?
- Avec plaisir !
- Ce doit être une drôle d'expérience de vivre avec un mec aussi vicieux ?
- Je ne suis pas vicieux, j'aime bien les plaisirs de la vie, et j'ai peu de tabou.
- Et toi tu vivrais avec une fille comme moi ?
- On ne peut pas dire à l'avance, mais pourquoi pas ?
- On s'essaye alors ?
- On s'essaye !
Enzo, octobre 2006
Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial bi pour 2006 (ex-aequo)
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