Partager l'article ! Maryse 2: Maryse 2 – Dépucelage anal par Enzo Cagliari Après une bonne nuit à ronfler comme un loir, c’est l ...
Après une bonne nuit à ronfler comme un loir, c’est l’envie de pisser qui m’a sorti de mon sommeil. Je fais comme tout le monde, j’attends un peu, la bite toute raide, et les évènement de la veille me reviennent en mémoire.
J’avoue ne pas y voir clair dans tout ça et je suis partagé entre un sentiment de honte et une sorte de fascination pour ce qui s’est passé.
Car enfin, l’hétéro convaincu que je suis a dans la même soirée léché le sperme d’un autre homme, enculé l’individu en question et reçu un gode vibrant dans mon trou intime !
Je n’ai aucunement envie de m’abonner à genre de plaisanterie d’autant que Maryse m’avait fait part de ses intentions de rejouer la partie et en plus compliqué.
Ah, Maryse ! Tout cela est de sa faute ! Elle m’a ensorcelé avec ses provocations d’abord au bord de sa piscine, puis à table et enfin en m’invitant dans sa chambre conjugale.
Je prends donc la décision de quitter cette maison, j’inventerai un contretemps dans la matinée. Je n’ai aucune envie de partouzer avec ce mystérieux « père Michel ». Le père Michel ! Pourquoi pas la mère Lustucru pendant qu’on y est !
Quant à l’allusion de Maryse sur la bite de son fils, je me demande encore si c’était de la provocation ou pas !
Bon, il faut vraiment que me lève, l’envie de pisser me prend à la gorge, je me dirige donc vers les toilettes dont la porte s’ouvre vers l’extérieur mais ne possède aucun mécanisme de verrouillage, mais quelle importance ?
– Alors, on a bien dormi ?
Comment ai-je fait pour ne pas l’entendre arriver ? Je tourne la tête, c’est Maryse bien sûr ! Elle est en nuisette transparente, ses tétons érigés dardent sous le tissu. Elle me tend ses lèvres, j’ai la volonté de refuser le baiser profond dont elle s’apprêtait à me gratifier.
– Tu fais la gueule ?
– Non mais j’ai envie de pisser.
– Pisse-moi dessus !
– Non pas ce matin.
Elle s’est collée contre mon dos, me tripote les couilles d’une main, et le cul de l’autre. La situation devient intenable.
– Arrête Maryse !
– Tu en as déjà marre de moi ?
– Mais pas du tout !
– Alors prouve-le moi !
Je ne réponds pas, elle m’énerve et quitte à me répéter, il faut que je pisse. Alors si vraiment elle veut que je l’arrose, je vais le faire, ensuite, il faudra bien qu’elle aille se doucher, elle me foutera peut-être la paix après.
Je tente de me concentrer afin que je débande légèrement, pas évident avec l’autre sorcière en face. Je ferme les yeux, évoque l’image de ma prof de mathématiques de ma classe de seconde, incompétente, suffisante et moche. C’est radical, ma bite ramollit, j’ouvre les yeux, j’interpelle Maryse :
– Tu ne retires pas ta nuisette ?
– Non, je la mettrai au sale après !
C’est parti !
Je ne sais pas pourquoi, j’ai visé sur ses seins qui bientôt apparaissent dans toute leur beauté sous le tissus trempé.
Je n’arrive pas à pisser à fond, cela à cause de l’excitation. Maryse opère une flexion des hanches. J’ai compris, madame à soif, je lui donne donc à boire de ma bonne pisse bien chaude, et elle s’en régale, elle s’en lèche les babines, c’en est un vrai plaisir que de voir ça !
Quel est l’ignare qui a dit que l’homme ne pouvait pas penser quand il bandait ? Je sais bien que c’est faux car en ce moment je bande et je pense. Et j’ai une idée diabolique. Je sais ce qui va se passer maintenant, la Maryse va vouloir baiser… Eh bien je ne vais pas la repousser, loin de là, je vais y aller à fond. Quand ce sera fait, ma libido sera redescendue à la cave et je pourrais partir d’ici sans risquer de me faire piéger.
– On se prend une douche ensemble ? Me propose Maryse
– Pourquoi pas ?
C’est quand même diabolique de se faire savonner et de caresser une femme pleine de mousse juste devant soi, de sentir le galbe des formes glisser sous la main. Ma bite frotte contre son ventre, je n’ai qu’à me baisser légèrement pour la pénétrer. J’hésite un peu, pas très longtemps en fait, et je m’immisce en elle. Elle apprécie, moi aussi mais la position manque de confort. On se rince, on se sèche (mutuellement bien sûr).
Puis comme un zombie, me voilà en train de la suivre dans la chambre. Je crains un moment que Marcel soit dans les parages prêt à nous rejoindre, mais Maryse me « rassure » :
– Il bosse, mon petit cocu !
Et voici la Maryse sur le lit en levrette, le croupion relevé. Quel spectacle magnifique !
– Les capotes sont là ! Viens vite, j’ai envie que tu m’encules !
J’y vais comme à l’assaut, ça rentre comme dans du beurre. Je donne des grands coups de bite. Maryse ne tarde pas à gueuler et à m’encourager par des propos assez peu compréhensibles.
Le sang me monte à la tête, je ne peux plus rien contrôler, je me laisse aller ! Je jouis ! bon dieu que c’était bon !
Je décule. Maryse se retourne, m’enlève la capote et me nettoie ma bite gluante de sperme.
Elle se redresse et m’offre ses lèvres. Je les accepte, pris d’un grand élan de tendresse.
– Tu m’as bien baisé, mon salaud ! Dit-elle. Bon c’est pas tout ça, mais j’ai du travail.
Je fais quoi ? Je reste ou je reste pas ? Je reprends une douche parce que j’ai transpiré, regagne ma chambre et commence à enfouir mes affaires dans mon sac de voyage en laissant la porte ouverte.
– Bonjour Gilles, tu nous quittes déjà ?
C’est Paul, je ne l’avais pas vu entrer, celui-ci.
– Ben, oui, faut que j’y aille !
– Ça s’est bien passé hier ?
– Faut pas se plaindre ! Répondis-je sans vouloir m’attarder sur les détails.
– Ma mère m’a dit que tu te l’étais envoyé.
– Ah bon, elle te fait ce genre de confidences ?
– Elle ne peut rien me cacher ! On est très intimes.
Elle lui a donc raconté ce que nous avions fait avec le mari ! Voilà qui est peut-être embarrassant.
– Bon, il faut que j’y aille, j’ai une longue route. Lui confias-je.
– C’est dommage que tu ne restes pas un peu.
– Je te dis, il faut que j’y aille.
– Tu ne m’avais jamais dit que tu avais des tendances homo ?
– Je n’ai pas de tendance homo.
– Ce n’est pas ce que m’a dit Maman.
– Elle parle trop ta mère, je n’ai pas de tendances homo, on a juste un peu varié les plaisirs..
– Et ça te dirais de « varier les plaisirs » avec moi ?
Elle commence par m’énerver cette famille d’obsédés ! Mais quand la main de Paul vint se poser sur ma braguette, je ne proteste que fort mollement.
– Euh, si tu pouvais retirer ta main…
– Sois sympa, montre-moi ta bite avant de partir.
– Elle n’a rien de spécial !
– Ça fait rien, montre !
Et comme je ne bouge pas, c’est Paul qui m’ouvre la braguette et va chercher la bête à l’intérieur. Il me sort ma queue demi molle et lui imprime quelques mouvements de branle. Tétanisé pas cette audace inouïe je me laisse faire avant de réagir :
– Bon ça va ! T’es content ? Je peux peut-être y aller maintenant ?
– Attends ! Répond-il. Tu veux voir la mienne ?
Il n’attend pas de réponse et me sors un engin raide comme la justice.
Gloups ! Qu’elle est belle sa bite ! Je sais que si je la touche, je vais me retrouver dans un engrenage… Peut-être pas ? Après tout, je peux sans doute juste la toucher et en rester là ?
Je la touche, j’ai la gorge sèche, je suis pris par une irrésistible envie de la porter en bouche. Je me baisse. Ça y est, j’ai sa bite dans la bouche, la texture est douce, le goût légèrement musqué, ma langue se met à accomplir d’étonnantes circonvolutions sur son gland qui lui font pousser des soupirs d’aise.
– Tu suces bien, mon salaud ! Tu as dû en sucer des kilomètres !
– Ben, non, c’est juste la deuxième !
– Je ne te crois pas !
– Pas grave !
– Tu veux ma pine dans ton cul ?
– Faut peut-être pas charrier !
– Tu as tort, il paraît que j’encule très bien !
– Je te crois sur parole, laisse tomber !
N’empêche que l’image de sa bite me violant le trou de mon cul se forme dans mon esprit et que cela me trouble.
Je me mens à moi-même en me disant que je ne suis plus puceau du cul depuis que Maryse m’y a enfoncé un gode. Je sais bien pourtant que si mécaniquement les deux introductions se ressemblent, psychologiquement c’est autre chose
– Hum !
C’est Maryse qui entre à son tour, la porte étant restée ouverte.
– Ben les garçons, qu’est-ce que vous foutez, la bite à l’air ? S’amuse-t-elle.…
– On se suçait un peu ! Répond Paul.
– Mais c’est très intéressant, ça et je peux voir ?
– Bien sûr Maman, tu veux qu’on se mette en 69 ?
– Non, je ne verrais rien, Mettez-vous à poil tous les deux et Gilles va sucer Paul.
Elle est bien directive, la Maryse, on ne me demande même pas mon avis, mais j’obtempère .et une fois que nous fussions nus, je m’agenouille pour reprendre en bouche la jolie bite de Paul.
Qu’est-ce que c’est agréable de faire ça, je crois que j’ai véritablement découvert quelques chose.
Et pendant que je me délecte de ce beau membre, il se passe quelque chose d’incroyable.
Maryse s’est complètement déshabillée et vient s’agenouiller à me côtés. Elle me fait signe par geste qu’elle voudrait bien, elle aussi profiter de cette jolie pine.
Je la laisse faire et assiste à ce spectacle hors norme de Maryse suçant goulûment la bite de son propre fils. Elle m’avait hier suggéré l’avoir déjà fait, mais là c’est devant mes yeux, et ça me fait bander trop grave.
– Je suis cochonne, hein ! Commente-t-elle à mon intention en se relevant.
– C’est qu’on ne voit pas ça tous les jours ! Répondis-je un peu bêtement.
– On ne fait rien de mal à ce que je sache ! Ajoute-t-elle.
– Certes !
Je ne vais pas aller la contrarier, d’autant qu’à l’évidence je ne peux lui donner tort… mais quand même…
– Il y a longtemps que tu ne m’as pas enculé ! Dit-elle ensuite à son fils.
– Tu voudrais ? Maintenant ?
– Ben oui, j’ai comme une envie.
Et devant mes yeux subjugués, la Maryse se plie en deux en s’arboutant sur la commode, s’écarte les fesses et attend l’assaut.
Paul s’encapote (il la sort d’où sa capote ?) et fait pénétrer sa bite dans le cul de sa mère avec une facilité déconcertante..
Mais voilà que raisonne le carillon de la grille d’entrée.
– Qu’est-ce que ça veut dire ? Je déteste être dérangée quand je suis en train de me faire enculer !
– Le facteur peut-être ? Suggère Paul.
– Non, il est déjà passé, ce doit être le Père Michel, je lui ai commandé un poulet et des œufs, mais il est bien matinal je trouve. Restez-là, ne vous rhabillez pas, je reviens.
Maryse se rhabille sommairement et descend. Avec Paul on reste à comme deux andouilles sans savoir quoi se dire.
Quelques courtes minutes plus tard, Maryse revenait accompagnée d’un monsieur d’un certain âge comme on dit, belle prestance, un beau vieux comme on dit. Il tient en laisse un gros chien beige genre labrador.
Je cache ma nudité comme je peux.
– Gilles je te présente, le père Michel, comme je te l’ai dit hier, il adore enculer les hommes jeunes.
– C’est vrai, jeune homme vous aimez ça ? M’apostrophe-t-il.
– Euh, on va peut-être un peu vite ! Balbutiais-je.
– Non, c’est la vie qui va trop vite, c’est pour cela qu’il faut profiter des occasions. Je vais vous montrer ma bite, vous voulez bien ?
– Allez-y, il me semble que vous en mourrez d’envie.
Et le père Michel sort de sa braguette une bite demi-molle mais de bonne taille.
– Alors elle te plaît ?
– Elle est belle !
Et sans prévenir le père Michel m’attrape mes tétons et me les tord, une caresse qui me fait bander encore plus raide.
– T’aimes ça, un petit pédé ?
– Je ne suis pas pédé !
– Si ! En ce moment tu es un pédé et tu vas me sucer la bite.
Je ne réponds pas mais m’accroupis pour emboucher cette jolie bite. C’est donc ma troisième bite que je suce depuis que je suis arrivé ici, il va falloir que je prenne des notes si je veux me souvenir de tout cela !
Et pendant ce temps-là, Maryse s’est posée en levrette sur le lit et se fait défoncer le cul par son fils.
– Regarde-moi cette cochonne, elle miaule comme une chatte en chaleur ! Allez, tu m’as assez sucé, tourne-toi, je vais te préparer le cul. Oh, les jolies fesses ! Et tu me diras que tu n’es pas pédé après ça ! Ecarte-les bien que je puisse te lécher la rondelle..
En voilà un contact qui est bien agréable ! Il sait y faire ce vieux cochon. Après cette petite fantaisie, c’est son doigt qui vient pénétrer dans mon anus, et vas-y que je rentre et que je sors…
Et cette fois je sens le gland qui quémande l’entrée. Je m’écarte au maximum et je pousse afin de lui faciliter l’accès. Il n’est pas entré du premier coup, mais monsieur est persévérant et voici que j’ai sa bite dans mon fion. C’est gros son truc, je ne sais pas si je vais supporter, pour l’instant ça me gêne. Et le voilà qui s’enfonce davantage, la sensation de gêne s’accentue encore.
Je suis à deux doigts de lui dire d’arrêter ce cirque, et le voilà qui se met à bouger. C’est donc ça la sodomie ! Mais c’est nul. Je ferme les yeux, j’attends que ça se passe. L’autre continue à coulisser. Ça va mieux ! Ça va beaucoup mieux et me voilà envahi par des frissons de plaisir. Que c’est bon !
– Oh tu m’encules bien, c’est trop bon.
Et le voilà qui s’excite comme un pou augmentant la cadence et me faisant hurler de plaisir. Il pousse un cri en déchargeant dans mon cul puis se retire.
– C’était comment ? demande-t-il
– Super.
De leur côté Paul et Maryse ont terminé leur petite sodo. Maryse s’est assise sur le bord du lit, les cuisses écartées et le chien est venu lui lécher l’entre-jambe.
Quelle famille ! Mais quelle famille !
Mais il va falloir que j’y aille…
– J’ai bien envie de faire encore des trucs avec toi, ça te dirait de baiser ma femme, c’est une belle cochonne, tu sais…
– On ferait ça quand ?
– Pourquoi pas ce soir avant le diner ? Tout le monde est invité.
Je ne suis pas à un jour près, je ne partirais donc que demain.
Fin de l’épisode
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