Enzo Cagliari

Dimanche 20 avril 2014 7 20 /04 /Avr /2014 17:41

Je ne suis point homme difficile

par Enzo Cagliari

cochon

Je ne suis point homme difficile

Et quand tu m'ordonnes à domicile

Je le fais volontiers pour ton plaisir

Quand tu as voulu me fouetter les fesses

Tu m'as fait bien mal, je le confesse

Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tes pieds, tu m'as fait lécher

Cela ne m'a point effarouché

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu m'as fait sentir le goût de ton anus

J'ai pris ça pour un sacré bonus

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu m'as fait renifler tes culottes sales

Je me suis dit : voilà qui n'est point banal

Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu as voulu me pincer les tétons

Je n'en ai pas fait un roman-feuilleton

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu as voulu me faire porter des bas

J'avoue que cela quelque peu, me perturba

Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu as voulu dans le cul m'enfoncer un gode

Cela fut très inédit comme épisode

Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu as voulu m'inonder la bouche de ton urine

J'ai tout avalé en me branlant la pine

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand avec le concierge, tu m'as fait cocu

Je l'ai regardé te baiser et j'ai survécu

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Quand tu as voulu me faire sucer la bite de ton amant

Cela fut un vraiment un drôle de moment

Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir

Et quand tu as voulu qu'il m'encule

C'est drôle, je ne me suis pas senti ridicule

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

Et quand tu m'as demandé des vers de mirliton

J'espère être resté dans le ton

Car je suis prêt à tout pour ton plaisir

 

Mais repasser ton linge, non ça je ne pourrais jamais.

Car je ne suis point ton esclave ! Non mais !

 

Enzo (avril 2014)

 

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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:14

 

Surprise-partouse 6 – Poker perdant par Enzo_Cagliari

bi stamp

 

Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle.
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même (le chapitre 5 constituant un intermède sous forme de récit raconté par Monique) et ça se poursuit ci-dessous.

– Et après ? demande Alain
– Après, rien, Erica s’est changée et nous avons été bouffé un petit truc ensemble dans le coin.
– Il faudra nous les présenter.
– C’était dans nos intentions.
– Nous voilà tous encore plus excités qu’avant ! Nous devrions passer à table, mais je crois que tout le monde sera d’accord pour t’accorder une petite récompense pour nous avoir raconté ce merveilleux récit ! Alors la récompense, maintenant ou après ?
– Hum, il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé, mais le plaisir immédiat ce n’est pas mal non plus. Alain enculez-moi comme une chienne et en même temps je vais sucer les bites de ces deux pédés !

Alain ne se le fait pas dire deux fois, et alors que Monique s’est déjà mise en levrette, le cul cambré, l’anus ouvert, il s’en va laper cette offrande avec de grands coups de langue.

– Ton cul a une odeur divine ? S’exclame-t-il.
– Gros cochon !

Je m’approche ainsi que Thibault, du visage de la belle afin qu’elle puisse, comme elle en a exprimé le souhait, nous sucer nos bites. Elle commence par celle de Thibault. C’est pas juste !

Derrière elle, Alain s’est enfin décidé à la pénétrer et entre dans son cul avec une facilité déconcertante.

– Hum ! Quel plaisir de se faire enculer par des amis ! Clame-t-elle abandonnant un moment la bite de Thibault.

Elle ne la reprend pas, les coups de boutoir d’Alain à l’intérieur de son cul sont trop violents pour qu’elle puisse sucer en même temps.

– Oh ! Tu me défonces, c’est trop bon !

Il devient tout congestionné le Alain, il lève la tête, ouvre la bouche comme s’il cherchait de l’air, pousse un grand cri et éjacule. Il décule en soufflant comme un bœuf !

– Ça fait du bien, dis donc ! Comme je dis souvent « les enculés sont les meilleurs enculeurs ! »

Alain va pour retirer sa capote, un petit peu polluée, mais Monique l’en dissuade !

– Tss, tss, je vais nettoyer tout ça ! Quand on est cochonne il faut l’être jusqu’au bout ! A moins que… Katia, ça te dit ?
– Pourquoi pas, je n’ai pas encore eu l’occasion de goûter le jus de ton cul !

Mais l’opération s’avère impossible, la quéquette d’Alain est maintenant rétrécie comme une coquillette.

– Ah, ces vieux, c’est vicelard, mais ça ne tient plus le choc ! Heureusement qu’il y a du sang frais, je devrais dire de la bite fraîche ! Allez Thibault, met toi une capote, tu vas m’enculer à ton tour, mais défense de jouir, d’accord ?

Bien sûr qu’il est d’accord, elle le suce un peu préalablement afin d’assurer une raideur optimale, puis alors qu’il s’apprêtait à la contourner afin de la prendre en levrette, elle l’en empêche, le fait s’asseoir dans un fauteuil, et s’empale sur sa bite !

La voir ainsi monter et descendre, le corps mouillé de sa transpiration, a quelque chose de très érotique, je me branle doucement mais tout le monde semble m’avoir oublié.

Elle se livre à ce petit exercice fort physique pendant une dizaine de minutes, puis quitte son partenaire.

– Cette fois tu peux lécher ! Dit-elle à Katia.

Cette dernière ne se le fait pas dire deux fois et entreprend de nettoyer la bite encapotée de Thibault.

– Alors ?
– Délicieux ! Mais embrasse-moi donc, j’ai encore le goût dans la bouche.

Les deux femmes se roulent donc une pelle bien baveuse.

– Madame est servie annonce Carole.

On passe donc à table, personne ne se rhabille. Alain se met au milieu de la table de six, son épouse Katia en face lui, Thibault à sa gauche moi à sa droite, Monique est à gauche de Katia et donc en face de moi, Philippe est devant Thibault.

Et pendant que Carole sert les tranches de saumon fumé, puis verse le vin, Katia interpelle son mari :

– Et si tu nous racontais une histoire à ton tour.
– Moi je veux bien, mais je ne pourrais jamais être aussi brillant que Monique.
– On s’en fout, raconte !
– Ecoutez bien, ça devrait vous plaire.
– Nous sommes tout ouïe !

Le récit d’Alain

J’étais allé faire une démarche à La Défense dans le cadre de mon travail et m’apprêtais à rentrer. Je m’assois sur un siège en attendant le R.E.R…

– Bonjour, vous vous souvenez de moi ?
– Euh, oui !

Il convient préalablement d’effectuer un petit flash-back de dix années en arrière…

J’étais à époque complètement hétéro, mais j’avais quelques fantasmes qui eux l’étaient beaucoup moins, mais ce n’étaient que des fantasmes.

J’étais donc en déplacement à Nancy et je devais subir la corvée quasi obligatoire consistant à honorer une invitation au restaurant. Un moment, je me déplace aux toilettes pour aller pisser. Il y avait deux urinoirs côte à côte, je choisis celui de gauche et commence à pisser, quand un mec se pointe à ma droite.

Les usagers des pissotières publiques se rangent deux catégories extrêmes : ceux qui ne supportent pas que l’on puisse apercevoir ne serait-ce que l’ombre de leur bite et qui s’approchent si près qu’ils donnent presque l’impression qu’ils vont être avalés par l’urinoir et puis ceux qui au contraire pissent à quinze centimètres de la cuvette d’un air complètement décontracté.

Mon voisin faisait, vous l’aurez deviné partie de cette seconde catégorie. Je regarde malgré moi, sa bite est élégante, bien cylindrée et dotée d’un joli gland.

Le mec me fait un sourire de connivence. Par réflexe je fuis son regard et tente de me concentrer sur mon pipi. Mais au bout de quelques secondes, je ne sais quel démon me fait de nouveau loucher vers le voisin (ou plus précisément sur sa quéquette).

– Et, oui, c’est comme ça ! Je ne me cache pas ! Mais rassurez-vous je ne drague pas !

A quel jeu joue-t-il ?

– Je vous sens troublé ! Ajoute-t-il.

Et le voilà qui pivote d’un quart de tour, j’ai maintenant sa bite complètement devant moi.

– Je la range ou vous voulez la toucher ?

Il est complètement dingue, ce mec !

– Il paraît que ça porte bonheur ! Ajoute-il goguenard.

Je regarde derrière nous, il n’y a personne. La pulsion est irrésistible, je touche. C’est doux, c’est soyeux. De vieux fantasmes m’envahissent. Encore une fois je me retourne, je reprends ma respiration, effectue une flexion des genoux, l’instant d’après j’avais sa bite dans la bouche. Carrément !

Oh, ça a duré quoi ? Quinze secondes, pas plus, après je me suis relevé, réalisant curieusement que je venais de sucer une bite qui venait de pisser, et que le goût de son urine ne m’avait même pas gêné.

– On va dans la cabine, Me propose-t-il.

J’ai refusé !

– On peut se voir plus longtemps ? Insiste-t-il.

Je lui explique que je suis en déplacement, que je rentre ce soir à Paris… Il me tend un papier avec son numéro de portable. Je l’enfouis dans ma poche et je remonte. Je rejoins ma tablé et tente d’oublier cette rencontre insolite, mais rien à faire, ça me tortille l’esprit, je ne pense qu’à ça ! Et mon partenaire de table qui m’emmerde avec ses propos à la con…

Quand arrivent les cafés, je m’éclipse, en disant simplement que j’ai un coup de fil à donner.

– Allo ! C’est moi, je veux bien qu’on se voie !
– Je suis aussi en déplacement, je ne rentre que demain soir, Tu n’as qu’à venir à mon hôtel. Je m’appelle Robert…

Je regarde si je peux prendre un train plus tard, ça colle, je le rappelle, et le soir j’étais devant sa porte. Advienne que pourra !

Il est manifestement ravi de me voir.

– Je vais faire monter du Champagne !
– Non, tout à l’heure peut-être.
– Comme tu veux, pose ta veste.

Sitôt posé, Robert se met face à moi, et me caresse le torse. Je me laisse faire, peinant à dissimuler mon angoisse. Il me pince les bouts de seins à travers ma chemise et constatant que j’apprécie ce genre de choses, il accentue sa pression, puis me demande de me « mettre à l’aise ».

Il en fait de même et nous voilà tous les deux à poil, et toujours face à face. Robert reprend ses pincements sur mes tétons (c’est quand même plus agréable sur la peau nue plutôt qu’à travers le tissu !) et je lui rends la politesse.

On ne tarde pas à bander tous les deux comme des sapeurs. L’envie de porter son sexe à ma bouche est irrésistible, ma main s’approche et après quelques mouvements de masturbation, je m’accroupis pour sucer.

Et cette fois, j’ai le temps, je m’en donne à cœur joie. Cette queue j’en mets chaque millimètre carré en contact avec ma langue, je la coince au fond de mon palais, je la fais aller et venir, je suce, je lèche et je suce encore. Il me demande de lui lécher les couilles, je ne l’écoute pas, il me demande de lui lécher le trou de son cul, je ne l’écoute pas plus, seule sa verge m’intéresse.

Mais tout a une fin, je ne pouvais pas le sucer éternellement. Nous avons invertis les rôles quelques minutes, il ne s’attarda pas sur ma propre bite, Il se proclamait autoreverse, mais préférait le rôle actif. Il me démontra néanmoins ses qualités de suceur et je dois dire qu’elles étaient impressionnantes.

Et puis arriva la question fatidique

– Tu veux que je te prenne ?

Je la redoutais, mais m’étais dit qu’il ne servait à rien de m’y préparer, préférant improviser suivant les circonstances du moment.

– On peut essayer ! Répondis-je simplement.

Ce fut assez comique, en levrette malgré un bon tartinage de gel, toutes les tentatives échouèrent. Il me fit alors mettre à plat ventre et dans cette position, il put enfin s’introduire en moi (pas du premier coup).

Robert n’avait rien d’une brute et j’appréciais le tact (je crois que c’est le bon terme) avec lequel il me prit.

J’ai apprécié, énormément apprécié, quand il décula après peut-être dix minutes (on n’a pas trop la notion du temps dans ces moments-là !), il me laissa dans un état second, le trou du cul béant.

– T’as pas l’habitude, hein ?
– Non.
– J’ai bien vu, c’est pour ça que j’y ai été doucement.

Je l’ai remercié, il a cherché mes lèvres, ce n’est pas mon truc mais je ne pouvais pas lui refuser ça !

Il m’a demandé de lui serrer les tétons pendant qu’il se branlait. Quand il a senti que ça venait, il m’a demandé de me retourner afin d’éjaculer sur mes fesses. Après il m’a proposé de me sucer, il le fit très bien.

On s’est échangé nos coordonnées, on avait convenu d’un rendez-vous à Paris, mais à chaque fois l’un d’entre nous avait un contretemps et ça ne s’est pas fait. Puis finalement on s’est perdu de vue, loin des yeux, loin du… cul !

L’envie de me faire prendre de nouveau me tenaillait, rageant de louper tous les rendez-vous avec Robert, je me décidais à entrer dans un sauna gay. Ça fait drôle la première fois, j’ai donc découvert tout cet univers, les backrooms, les cabines, j’ai rencontré des tas de gens, des types glauques, des types peu sympas, le genre « je te baise sans dire un mot et je me casse sans dire aurevoir », mais aussi quelques personnes très sympas (ce n’est pas la majorité !)

En parler à Katia n’a pas été un problème. Nous avions un joli gode à la maison, un truc très réaliste, un jour alors qu’on s’envoyait en l’air je lui ai suggéré de me l’introduire dans le cul. Ça ne l’a pas dérangé et ça l’a même émoustillé, évidemment après j’ai joué les naïfs et quand je lui ai demandé très hypocritement : « je me demande si j’oserais faire ça avec un mec ? » Elle m’a répondu « T’as qu’à essayer ! »

Il nous était arrivé mais très rarement d’observer des comportements bisexuels masculins en boite échangiste, nous avons donc guetté l’occasion, mais sans la trouver. Nous nous sommes donc rabattus sur les petites annonces, ce qui nous a permis de rencontrer des gens comme vous…

Mais revenons à mon histoire et au présent :

– Bonjour, vous vous souvenez de moi ?
– Euh, oui !
– C’était à Nancy, il y a plusieurs années.
– Oui, oui, vous êtes Robert, c’est ça ?
– Vous avez le temps de prendre un pot ?

J’ai accepté. Nous sommes montés dans la rame et descendu à Châtelet.

– On devait se revoir, et puis les circonstances ne nous l’ont pas permis… Commence-t-il.
– Vous faites toujours des rencontres… Comment dire ? Insolites ?
– Non, moins, une fois ça s’est très mal passé, je me suis retrouvé en garde à vue.
– Ah oui ?
– C’était un jour dans une brasserie, je pissais tranquilou, et le mec à côté de moi m’a apostrophé « vous n’êtes pas obligé de m’imposer la vue de vos attributs sexuels ! ». Au lieu de m’écraser j’ai répondu : « Vous n’avez qu’à pas regarder, de plus ma bite n’a jamais tué personne. » « Si vous n’adoptez pas immédiatement une attitude décente, je préviens la direction ! ». Là encore j’aurais dû m’écraser, au lieu de cela je l’ai traité de refoulé et le ton a monté. Je suis remonté le premier, et j’ai fini mon café, je croyais l’incident clos. Deux ou trois jours après deux inspecteurs de police se sont pointés chez moi, ils me demandent de les suivre au commissariat, je demande pourquoi, ils me disent qu’on m’expliquera « là-bas ». Et ils me menottent les poignets ! Imaginez ma stupéfaction et ma honte ! Sur place on m’informe que je suis l’objet d’une plainte pour « exhibition sexuelle » déposée conjointement par le propriétaire du restaurant et ce connard de consommateur. J’ai appris que ce dernier était un ami du patron et qu’ils avaient récupéré mon nom quand j’ai réglé avec ma carte bancaire. J’ai évidemment nié en m’en tenant aux faits, à ce détail près que je leur ai dit que si je pissais à 30 centimètres de l’urinoir, c’était par pure distraction. On m’a traité de tous les noms, dégénéré, pédophile et j’en passe, et je suis resté 24 heures en garde à vue dans des conditions dégueulasses. J’en suis sorti choqué, malade, avec des envies de meurtres.
– Vous êtes passé au tribunal ?
– Non, c’était il y a trois ans, je n’ai jamais eu de nouvelles, je suppose qu’on a classé l’affaire.
– C’est déjà ça !
– Dans ce pays on est plus sévère avec les gens qui montrent leur bite qu’avec ceux qui attaquent des petites vieilles !
– Hélas !
– Vous allez me dire à quoi ça sert mes conneries ? Rencontrer des mecs aujourd’hui c’est facile comme tout, Internet, les bars, clubs, les saunas… Mais ce que j’aimais c’est le côté drague avec un peu de provocation, et le goût du risque aussi. Et vous ?

Je lui raconte, lui explique que je me considère comme bisexuel, alors que lui est exclusivement homo.

– Une petite partie entre hommes, ça te tenterais ?

Je note le retour du tutoiement.

– Je ne suis pas contre…
– On avait l’habitude de se rencontrer à quatre régulièrement et de jouer au poker perdant. Ce sont des gens de notre génération, très sympathiques ma fois. Mais le quatrième est en déplacement à l’étranger et on a du mal à le remplacer.

Il me propose une date, elle me convient, il me donne l’adresse…

Je me retrouve donc le jour prévu, vers 20 heures du côté de la porte Maillot, dans un appartement très chic.

Première surprise, c’est une femme qui m’ouvre.

– J’ai dû me tromper de porte, je me rends chez Monsieur Charles B…
– C’est bien ici, entrez, je suis son épouse, Huguette.

Je fais la connaissance de Charles, le maître des lieux, chauve et dégarni, la cinquantaine et d’André, un beau vieux comme on dit qui doit bien friser la soixantaine.

J’accepte le verre qu’on me propose, et qu’Huguette viens m’apporter, mais cette formalité est assez vite expédiée et on se dirige vers une table de jeu.

On m’explique les règles, il s’agit d’une variante du strip-poker, mais sans relance. Le vainqueur gagne le droit de choisir un perdant qui subit un gage. Au premier gage on enlève tout le haut, au second tout le bas, et au troisième le sexe devient explicite.

On commence. Je me retrouve avec cinq cartes pourries. Je redemande trois cartes, ce n’est guère mieux. André annonce une double paire. Personne n’a mieux. Il me désigne comme perdant et j’enlève donc le haut.

Le jeu continue, je m’étonne d’abord des faibles jeux des vainqueurs en me rendant compte ensuite que l’esprit du jeu est biaisé. Certains souhaitent plutôt perdre que gagner, et pour ce faire il est inutile de montrer son jeu.

J’ai été le premier à me retrouver à poil, et quand nous fumes tous les quatre entièrement déshabillés, la vue de toutes ces bites et surtout la perspective de ce qui se passerait après me provoqua une belle érection. De plus je pressentis que le prochain gage serait pour moi.

Charles annonce un brelan de 8. J’ai mieux mais ne dit rien.

– OK ! Gage pour Alain dit-il en se levant de son siège.

Et le voilà qui s’avance vers moi en se branlant la bite. L’instant d’après je l’avais dans la bouche.

Et tandis que je me régale de sa bite, j’assiste à ce spectacle surréaliste : Huguette ramasse les cartes et les range dans son étui, puis étale deux couvertures molletonnées, l’une sur la table, l’autre par terre, puis elle quitte la pièce.

Robert vient se placer aux côtés de Charles. Je suce donc les deux bites alternativement. André se contente de regarder. Cette petite séance à bien duré 10 minutes. Mais que voulez-vous, il faut bien se reposer de temps en temps la mâchoire.

Je me mets debout à mon tour, André me contourne et me pince mes bouts de seins en plaquant sa bite contre mes fesses, tandis qu’André se met à me sucer. Je bande comme un malade.

– Tu veux que je te prenne ? Me demande Charles

Je lui fais signe que oui.

SP6.jpg– Monte sur la table !
– Sur la table.
– Oui sur le dos, les cuisses en l’air !

Pourquoi pas ? Et si parfois, je n’avais pas bien compris, voilà André qui grimpe sur la table et se met dans la position demandé. Nous sommes donc l’un à côté de l’autre, Charles vient me pénétrer pendant que Robert s’occupe de pilonner de cul d’André. Un peu énervé, limite brutal, le père André, et plus ça dure, moins ça s’arrange à ce point que je me fais la réflexion que si c’était lui qui m’avait prodigué la première sodomie, je n’aurais peut-être pas évolué comme je l’ai fait.

Et tout d’un coup, le miracle, voilà que nos deux enculeurs changent de capote et permutent. C’est donc Robert qui me besogne. Quelle différence ! Je retrouve le souvenir de ma première rencontre, c’est à la fois intensif et doux, je me sens voluptueusement rempli, magnifiquement baisé, je m’abandonne totalement, je ne suis plus sur terre, je suis dans les étoiles. Je miaule de plaisir, je suis un enculé, une chatte de gouttière en chaleur et je me sens bien dans ma peau, super bien même.

Accélération ! Arrêt brutal ! Stand-by ! Retrait ! Robert a joui ! Il se décapote, me tapote amicalement l’épaule et s’éloigne. Mes deux voisins ont également terminé leur petite affaire et discutent à voix basse.

Bon, c’est quoi la suite ? Parce que si le trip était génial, j’aurais néanmoins bien aimé jouir.

Et voilà Huguette qui se ramène et qui nous propose de nouveau à boire. Mais madame s’est changée et arbore maintenant un petit haut en voile noir transparent qui ne cache pas grand-chose de sa jolie poitrine, probablement refaite.

– Alors on mate ? M’apostrophe-t-elle avec un provoquant sourire.
– Oui, oui, c’est ravissant, c’est très troublant.
– Vous êtes bi ?
– On peut dire ça comme ça !
– Je vous emmène dans la chambre ? C’est juste une proposition, vous n’êtes pas obligé…

Trois minutes plus tard, Huguette me chevauchait telle une Walkyrie en furie, poussant des cris comme une malade et me faisant jouir trop rapidement.

Je suis allé me rincer la biroute, je me suis rhabillé, j’ai pris congé, on ne m’a pas retenue, on n’a pas convenu d’un autre rendez-vous, on n’a pas échangé de coordonnées.

Voilà, voilà !

– Une belle histoire ! Commente Katia, j’en ai la culotte toute mouillée.
– Quelle culotte ? Tu n’en a pas ?
– Oui mais si j’en avais une elle serait mouillée !
– Finalement vous avez essayé plein de choses ! Reprend Alain.
– Et les chiens ça ne vous tente pas ? Lance Katia comme une boutade.
– J’ai fait ça aussi !
– Non ?
– Si !
– Et c’était comment ?
– Vous voulez que je vous raconte ?
– Bien sûr ! Répondirent en chœur Alain et Katia

à suivre

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:13

Surprise-Partouze

5 - Orgie chez Monique

par Enzo

 

 

stamp partouz

 

Ce récit s'enchaine directement avec le précédent. Au cours d'une orgie bourgeoise Monique, fausse blonde aux yeux bleus, la cinquantaine, est amenée à raconter les détails de sa dernière orgie…

 

Le récit de Monique

 

Ce jour-là j'avais rendez-vous dans un bon petit restaurant avec une amie. Elle a eu un empêchement au dernier moment, tant pis, je mangerais toute seule.

 

Je dégustais mon entrée lorsqu'à la table voisine, s'installe un couple, très élégant la cinquantaine, elle grande brune à la peau mate, lui blondinet genre sportif. Le mec me regarde avec insistance, je ne sais plus ou me foutre, c'en est gênant, il aurait été tout seul je lui aurais balancé une vanne, mais il y a sa femme… je me tourne vers elle, elle me sourit… Drôle de couple. Et voilà que le mec m'adresse la parole :

 

- Ne m'en veuillez pas de vous dévisagez ainsi, mais vous êtes vraiment très belle. Mais, je vous promets qu'à partir de maintenant je vais faire attention.

 

Je ne réponds que d'un sourire, qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Mon épouse n'aurait pas été avec moi, je vous aurais sans doute draguée… mais comme elle est avec moi…

- Vous avez un drôle de mari ! Rétorquais-je à l'adresse de madame.

- Oh, vous savez, j'ai les idées larges, et puis mon mari a toujours eu très bon goût, c'est vrai que vous êtes très belle.

- Merci, vous n'êtes pas mal non plus !

 

J'ai dit ça à l'adresse de Madame, ça m'a complètement échappé.

 

- Merci, j'apprécie quand ce genre de compliment vient d'une femme, ce doit être mon petit côté bi ! Reprend l'inconnue

 

Tiens, tiens, ça devient intéressant.

 

- Vous êtes donc un peu bi… et bien sachez que si votre mari n'était pas avec vous, peut-être que c'est moi qui vous aurait dragué.

- Je suis un peu bi, mais je peux l'être beaucoup… Mon mari aussi d'ailleurs… mais ne vous gênez pas pour lui !

- Non, ça ne se fait pas !

- Au diable les convenances, seriez-vous libre cet après-midi ?

- Oui !

- Alors nous vous invitons, nous serons, soit tous les trois si mon mari vous convient, sinon je l'enverrais faire un tour et nous serons toutes les deux.

- Vous êtes très directe !

- Vous acceptez, bien sûr ?

 

Un plan mijotât dans ma tête… Je fis une contre-proposition.

 

- Je dois être chez moi, en milieu d'après-midi, on doit m'apporter un paquet… donc c'est moi qui vous invite.

- Alors, pas de problèmes… vous vivez seule ?

- Non, mon mari travaille, il rentrera pour le diner.

- Il a les idées aussi larges que les vôtres ?

- Bien sûr ! Mon mari est aussi bisexuel.

- Pas possible ! S'exclame la belle brune.

- Si, il adore pratiquer des fellations, et moi j'aime bien le regarder faire ça !

- Vous nous faites marcher !

- Pas du tout.

- Et vous trouvez souvent des partenaires pour ce genre de choses ?

- C’est souvent l'occasion qui fait le larron, on a essayé les petites annonces, mais le déchet est considérable, on a aussi expérimenté les saunas. Moi je n'y vais plus, les types là-dedans quand ils voient une femme, ça se transforme en chasse à courre, mais mon mari y va quelque fois et parfois il ramène des types à la maison… et vous ?

- Un peu pareil, disons que nous avons un cercle d'amis, mais nous ne refusons pas d'élargir ce cercle.

 

Je souriais à ce jeu de mot probablement involontaire.

 

- Et votre truc, c'est la bisexualité, ou vous avez essayé d'autres choses. Relançais-je.

- Nous avons un peu tout essayé, le SM, l'uro, le travestisme aussi, Eric adore se travestir, il est mignon comme tout en femme…

- Ah, oui, j'aurais bien aimé voir ça !

- Qu'à cela ne tienne, on va passer chez nous avant de venir vous voir et on apportera le matériel, d'accord Eric ?

- Mais avec grand plaisir.

- Vous me donnez une idée, j'aimerais faire une surprise à mon mari, passez vers 17 heures, nous commencerons tous les trois à nous amuser et quand il rentrera, il se joindra à nous.

- Et bien c'est d'accord, au fait je m'appelle Florence.

 

L'idée convint parfaitement aux deux zigotos, et le repas se poursuivit en parlant de tout à fait autres choses. Vers 14 heures nous sortons tous les trois du restaurant.

 

- A tout à l'heure, Chère Monique. Me permettez-vous de vous rouler une pelle ?

- Mais bien sûr, chère Florence.

 

Je ne vous dis pas la tronche des passants. Eric souhaite m'embrasser à son tour, allons-y, ne faisons pas de jaloux.

 

A 17 heures Ling vint leur ouvrir

 

- Je ne vous ai pas parlé de Ling, commençais-je, c'est notre petite bonne chinoise. C'est aussi une complice, elle participe parfois à nos petits jeux. Elle est très douce, très gentille et très disponible… et d'ailleurs elle a intérêt à être gentille, sinon je lui fouette le cul. Ça me fait penser que ça fait un bon moment que je ne l'ai pas puni… Ça vous intéresserait de me regarder la punir ?

- Avec grand plaisir, si toutefois cette jeune personne en est d'accord !

- Si Madame souhaite me punir, devant vous, qu'elle le fasse ! Répondit Ling avec un merveilleux sourire.

- Parfait mais auparavant, il faut qu'Eric se transforme en petite femme, nous avons apporté ce qu'il faut… peut-il disposer de votre salle de bain ?

 

Restées seules, je demandais à Ling de nous servir des rafraichissements et d'enlever sa culotte pour le faire.

 

- Votre soubrette a un très joli cul, constata Florence, mais avant toutes choses, j'irais bien aux toilettes !

- C'est là-bas, la deuxième porte à gauche.

- Cela vous exciterait-il de me regarder faire ? Chère Monique !

- Mais bien sûr ! Chère Florence !

- Mais attention ! Quand on me regarde faire, on m'essuie !

- Ça me paraît logique !

- Et, on m'essuie avec la langue…

- Je l'entendais bien comme ça !

- Je vais enlever le bas, se sera plus pratique.

 

Une minute plus tard, elle était la chatte à l'air, et la voilà qui se dirige vers les toilettes en tortillant des fesses, je la suis.

 

- Dites-moi, Monique, vous avez peut-être envie aussi ?

- Peut-être un petit pipi…

- Alors vous allez me l'offrir, attendez, j'enlève le haut…

 

Et là voilà complètement à poil, il y en a qui ne perdent pas de temps ! Florence a une jolie poitrine un peu lourde, avec de gros tétons un peu sombres.

 

- Ils sont pas mal, hein ? Je vous les offre… Mais pissez leur dessus, ils seront encore meilleurs.

 

Elle s'assoit sur la cuvette, mais comprend vite que je vais avoir du mal à viser comme ça en hauteur, elle rectifie la position se met le cul sur le carrelage et attend.

 

- Commencez par viser mes seins, puis vous me pisserez dans la bouche…

 

Je fais comme elle le souhaite, je lui arrose les nichons puis dirige le jet vers son visage, elle avale tout sans broncher, puis se réinstalle sur la cuvette.

 

Je m'approche de son visage, lui fait un baiser sur ses lèvres mouillées d'urine, puis je descends un peu, farfouillant ses pointes de seins de ma langue.

 

- Monique, vous êtes une cochonne !

- Je sais !

- Mais, il faut que je fasse à mon tour, j'ai envie.

 

La voilà qui pisse, une vraie fontaine dorée, deux doigts s'immiscent dans le jet, je les porte à ma bouche, c'est vrai que je suis une cochonne.

 

- Je garde mon caca pour l'instant, nettoyez moi la chatte, chère Monique.

 

Je n'ai même pas attendu qu'elle me le dise, ma langue est déjà dans son sillon et absorbe le pipi restant, bien sûr le jeu n'est pas innocent, je lape encore, alors que le nettoyage est fini, je remonte un peu, attaque son clito, elle se laisse bien sûr faire, ses mains se cramponnent sur la lunette, elle pousse un cri de jouissance, l'affaire a duré moins de trois minutes.

 

- Merci, Monique, c'était merveilleux. Il faut maintenant que je fasse caca, mais, si cela vous gêne, je le comprendrais.

- Ça ne me gêne pas.

- Seriez-vous excitée à l'idée de me nettoyer mon cul ?

- Peut-être bien !

 

Je n'ai pas vu grand-chose, elle ne s'est pas relevée pour faire et je ne lui ais pas demandé non plus. La scato n'est pas un de mes trucs habituels, mais je ne refuse pas de m'y adonner quand je suis vraiment très excitée.

 

Florence se relève se tourne et me présente son cul.

 

- Allez, Chère Monique, servez-moi de papier à cul

 

Comme dans un rêve, ma bouche s'approche de son anus, il me faut d'abord surmonter l'odeur, puis ma langue virevolte autour de l'anus, léchant les petites traces de merde qui s'y trouvent. En fait j'adore ça !

 

- Alors Monique, comment trouvez-vous ma merde ?

- Ma foi, elle n'est pas mauvaise.

- Oh, je crois que je vais faire encore une petite crotte !

- Lâchez-vous Florence, je reste là !

 

L'anus s'écarte, un petit bout d'étron apparaît, J'y porte la langue. Florence pousse, le morceau se détache et arrive directement dans ma bouche. Je le garde quelques instants en bouche avant de le ressortir et de le prendre dans ses mains avec un air de défi, puis j'ai une idée perverse.

 

- Si nous nous embrassions, Florence ?

 

Mais avant de le faire, je remets l'étron dans ma bouche afin que de nos langues nous nous l'échangions

 

Et c'est les lèvres merdeuses qu'après ce délire, nous quittons les toilettes. Florence ne s'est pas rhabillée, et moi je suis toujours habillée… Eric nous rejoint.

- Je me présente, je suis Erica ! Déclame-t-il en sous faisant bénéficier d'une révérence assez grotesque.

 

Mais il faut bien avouer que la transformation est étonnante, il s'est maquillé à merveille, et sa perruque blonde lui fait un vrai visage de femme. Pour le reste il n'est vêtu que d'une nuisette transparente, et d'un petit slip en dentelle semi transparent où l'on distingue son sexe. Je m'aperçois aussi qu'il est complètement épilé.

 

- Mais qu'est-ce qu'il y a de caché là-dedans ? Demandais-je ingénument en lui tâtant la culotte.

- Un gros sucre d'orge ! Répond le travesti.

- Un sucre d'orge ! Mais c'est que sucerais bien un sucre d'orge, moi !

- Et bien sucez-le, c'est fait pour ça !

 

Et me voilà avec la bite d'Eric dans la bouche, elle est bonne, ni trop petite, ni trop grosse, je pense que Philippe appréciera, mais pour l'instant je me régale…

 

- Heu… rien ne vous empêchera de finir cette pipe tout à l'heure, mais vous m'aviez promis de punir votre petite bonne. Intervient Florence

 

Oui, c'est vrai, mais bon, ça pouvait attendre… d'autant que pendant ce temps-là, je n'ai pas encore joui, moi… Mais bon, faisons plaisir à mes invités.

 

- Ling !

- Oui, Madame !

- Pourquoi as-tu renversé du jus d'orange sur la table ?

- Madame doit faire erreur !

 

Et vlan, la pauvre reçoit une gifle en plein poire.

 

- Petite peste ! Madame ne fait jamais d'erreur, tu vas être doublement punie, d'abord pour avoir renversée du jus et ensuite pour m'avoir mal répondu !

- Oui, madame.

- A poil, Ling !

- Oui, madame.

- Et va me chercher le petit coffret.

- Oui, madame

 

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Je prends dans le coffret qu'elle m'apporte, deux pinces que je lui accroche sur les tétons, elle fait une grimace, je rajoute des poids, nouvelle grimace, puis je fais la même chose avec ses grandes lèvres…

 

- A quatre pattes, maintenant !

- Oui, madame !

 

Je lui fais faire un tour de table, les poids de ses pinces lui meurtrissent la chair pendant sa progression, et histoire d'en ajouter un peu plus, je lui fouette le cul au martinet pour la faire avancer plus vite. J'hésite à lui faire faire un second tour de table, ce serait sans doute trop cruel.

 

- Debout. !

- Oui madame !

- Et maintenant exercice d'adresse.

 

J'enlève les poids de ses tétons, juste les poids, mais je laisse les pinces. Je lève le martinet et lui fouette le sein. Je fais exprès de rater mon coup. Elle gueule. Second coup, la pince vole, troisième coup : la seconde pince vole. Je lui enlève les pinces de ses lèvres, la prend dans mes bras et la console, je l'adore cette petite Ling.

 

Florence a eu l'air d'apprécier le spectacle, elle se tripote le minou d'un air décidé tandis que Eric se branlote tout doucement.

 

- Ce n'est pas dangereux ? demande Florence

- Non, il faut simplement choisir des pinces qui ne risquent pas de couper…

- J'aurais bien aimé être à sa place ! Ajoute-t-elle.

- Voilà une chose tout à fait possible, renversez donc à votre tour un peu de jus d'orange, et vous verrez bien ce qui va vous arriver…

- Chiche ?

- Chiche !

 

Elle n'hésite, pas se dirige vers la table et renverse du jus du fruit.

 

- Florence !

- Oui !

- Vous venez de faire quoi ?

- De renverser du jus d'orange !

- Et pourquoi donc ?

- Pour avoir une punition, chère Monique.

- Et si ma punition, c'était de vous dispenser de punition ?

- Ce ne serait pas drôle.

- Alors je ne vais pas dispenser mais sursoir, nous ferons cela quand mon mari sera là !

- Cruelle !

- Je peux l'être, en effet… mais pour l'instant j'ai très envie de me faire prendre par votre travelo de mari !

- Il est à votre disposition.

 

Me revoilà donc avec la bite d'Eric (Érica) dans la bouche, je la suce consciencieusement pendant plusieurs minutes, puis me dégage, lui tend un préservatif, retire mon pantalon et ma culotte, puis et me positionne en levrette à même le sol.

 

- Maintenant, enculez-moi !

- Vos désirs sont des ordres, Monique, souhaitez-vous que je vous pénètre comme un hussard, ou plutôt que je vous lèche un peu avant.

- Si vous n'êtes pas gêné par l'odeur de mon trou, je serais ravi que vous me léchiez l'anus.

- Un cul, ça doit sentir le cul, sinon, ce n'est pas un cul ! Répond-il doctement avant de faire agir sa langue dans mon intimité rectale.

 

Il me lèche quelques minutes, puis je lui demande de me prendre. Je me fais ainsi enculer sur la moquette par Eric transformé en Erica devant sa femme et ma bonne. Pas mal, non ? Il me ramone avec frénésie quand le bruit de la sonnette retentit.

 

- Ling, si c'est Monsieur Philippe, expliquez lui ce qui se passe ici et dites-lui de nous rejoindre. Mais, ne vous arrêtez pas Erica, continuez à me bourrer le cul !

- Bien Madame !

 

Et tandis que Ling qui s'est prestement revêtue d'un kimono, va ouvrir je fais signe à tout le monde de se taire :

 

- Ecoutez, on va rigoler !

 

Effectivement, on entend tout :

 

- Bonsoir Ling, qu'est-ce que vous faites à moitié à poil ?

- Madame est avec des amis, et ils m'ont demandé de participer.

- Je vois… c'est qui ces amis ? Euh, ils sont toujours là ?

- Je ne les avais jamais vus, mais ils sont toujours là.

- Et madame a-t-elle donnée des instructions me concernant ?

- Oui, elle m'a dit que vous pouviez les rejoindre.

- Bien, je vais y aller ! Ils font quoi en ce moment ?

- Et bien madame se fait enculer par le mari de la dame qui s'est déguisé en travesti et la dame elle regarde…

- Et ben !

 

Et donc Philippe se pointe…

 

- Heu ? Bonjour messieurs-dames, bonsoir Monique, j'espère que je ne dérange pas.

- Pas du tout, répondis-je, nous ferons les présentations plus tard, dépêche-toi de te mettre à poil, plus on de fous plus on rigole !

 

Une fois mon homme déshabillé, je m'adressais à Florence :

 

- Florence, soyez gentille, préparez le cul de mon mari, je tiens absolument à ce qu'Erica l'encule. Oooh, c'est trop bon ce qu'il me fait.

- Mais avec grand plaisir… ais-je l'autorisation de lui sucer la bite ?

- Plus tard, Florence, rappelez-vous que vous êtes punie. Oh, oui, Erica continue comme ça ! Encule-moi bien, mais surtout ne jouis pas…

 

Florence fit alors mettre Philippe en levrette et entreprit de lui lécher le trou du cul avec de grands coups de langues. Ensuite elle introduit un doigt, puis un deuxième se faisant pâmer d'aise mon coquin de mari.

 

- Je crois qu'il est prêt ! Conclue-t-elle en retirant ses doigts, Oh ! J'ai les doigts un peu sales, je vais aller me les laver….

- Léchez-les donc, vous en mourrez d'envie ! Quand à vous Erica, sortez donc de mon cul, c'est au tour de mon mari de se faire enculer, mais avant montrez-moi votre bite.

 

La capote recouvrant son sexe est légèrement pollué et tout imprégnée de mon odeur culière, je mets tout ça dans ma bouche, je suis une cochonne, mais j'assume.

 

Erika offre sa bite quelques instants à Philippe, puis remet un condom et attaque son cul, il est étonné de la facilité avec laquelle il le pénètre. Il n'est pas obligé de savoir qu'il adore se faire enculer, mon petit mari…

 

- T'aime ça, hein, une bite dans ton trou !

- Oui, c'est bon, Aaaaaah

 

J'ai besoin de récupérer un peu et je m'assois pour profiter un peu du spectacle. En même temps je demande à Ling d'attacher Florence sur une chaise et d'aller me chercher des bougies.

 

Soudain, Erika augmente la cadence, faisant crier Philippe de plaisir, quelques secondes plus tard, ils s'écroulent l'un sur l'autre.

 

- C'était très bien ! Dit Philippe, mais j'aimerais bien jouir aussi…

- Ce n'est pas un problème, approche toi de Florence et elle va te sucer !

 

Tiens, je lui fais faire un truc à Florence que je n'ai jamais fait, sucer en étant attachée sur une chaise. Je me mets l'idée en réserve pour nos prochains jeux érotiques. En tous cas elle s'en sort très bien, elle pompe la bite de Philippe avec avidité et délectation que c'en est plaisir à voir. Mon mari finit par jouir en quittant précipitamment la bouche de Florence et en lui arrosant les nichons.

 

Il s'essuie avec un kleenex qui traînait par-là dans son paquet, et s'en va rejoindre Erika sur le canapé. Moi pendant ce temps-là j'allume trois bougies.

 

- Tu fais quoi ? Me demande Philippe

- Ben je vais punir Florence, elle a envie d'être punie et d'ailleurs elle le mérite !

- Qu'est-ce qu'elle a fait ?

- Et bien elle m'a draguée au restaurant ! Est-ce que j'ai une tête à me faire draguer au restaurant par une femme à moitié gouine qui est mariée avec un travelo ?

 

Tout le monde rigole.

 

- Et en plus elle a renversé du jus d'orange !

- Alors là faut pas hésiter, punis-là !

 

Je commence à planter une des bougies dans sa chatte et l'a fait bouger pour la chauffer un peu. Dommage j'aurais dû la faire attacher autrement, j'aurais bien aimé lui en planter une dans le cul.

 

J'approche l'une des bougies de son téton et m'apprête à faire couler la cire fondue.

 

- Non, t'es folle !

- Faites-moi confiance... et évitez de me tutoyer, vous aurez cette permission quand nous aurons baisé ensemble… ce qui ne devrait pas tarder d'ailleurs.

 

Elle me regarde avec des yeux apeurés. La goutte de cire atterrit sur son aréole. Elle soupire. Soupir de soulagement, soupir de plaisir, allez savoir ?

 

- Ça va ?

- Continue ! Pardon, continuez !

 

Un peu que je continue, les goutes se suivent, se rejoignent sur chacun des deux tétons finissant par les recouvrir complètement. A chaque goutte, elle se pâme. Je jette un coup d'œil sur son entre cuisse, c'est trempée. Le final devrait être géant !

 

Encore une goutte ou deux… sa respiration devient saccadé, je ne peux pas la laisser comme ça !

 

- Ling, détachez là !

 

Et pendant ce temps, je lui retire la cire qui s'est solidifiée.

 

- Couchez-vous par terre !

 

Je lui grimpe dessus en soixante-neuf et tandis qu'elle attaque mon sexe de sa langue, je donne quelques petits coups de langue sur son clitoris érigée, mais n'insiste pas de peur qu'elle parte trop vite, je m'imprègne un peu de ses sucs, mais décidément je crois que je n'arriverais pas à retarder son plaisir vraiment trop proche. Retour au clito et Florence braille comme une damnée en faisant des soubresauts spectaculaires. Je ne bouge pas, j'attends que ça se calme. Ça finit par se calmer.

 

- Tu veux que je passe en dessous ? Demandais-je.

- Non, non, reste là, je vais te faire grimper aux rideaux.

 

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, me disais-je. Mais Florence avait une langue de sorcière, alternant les mouvements lents et les rapides, sa petite sonate buccale eut tôt fait de m'envoyer dans le monde des plaisirs.

 

On change de position, on s'enlace, on se roule un gros patin, la tendresse a pris la place de la folie.

 

J'aperçois Philippe qui chuchote quelque chose à l'oreille de Ling. Que peuvent-ils bien comploter ? Ling s'avance tout sourire. Elle nous enjambe.

 

- Monsieur m'a demandé de venir vous rafraichir ! Commente-t-elle en nous pissant dessus.

 

Fin du récit de Monique

 

- Et après ? demande Alain.

- Après, rien, Erica s'est changée et nous avons été bouffé un petit truc ensemble dans le coin.

- Il faudra nous les présenter.

- C'était dans nos intentions.

- Nous voilà tous encore plus excités qu'avant ! Nous devrions passer à table, mais je crois que tout le monde sera d'accord pour t'accorder une petite récompense pour nous avoir raconté ce merveilleux récit ! Alors la récompense maintenant ou après ?

- Hum, il n'est pas de meilleur plaisir qu'un plaisir retardé, mais le plaisir immédiat ce n'est pas mal non plus, Alain enculez-moi comme une chienne et en même temps je vais sucer les bites de ces deux jeunes gens !

 

Enzo 11/2009

 

(à suivre)

 

 

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:12

Surprise-partouze
4 - Orgie Bourgeoise

par Enzo

 

 

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Au chapitre 1 : en sortant d'une fête, Angéla, Carole et Thibault m'emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.

Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d'un couple d'Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à 4 puis à 5 avec Carole

Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c'est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s'en mêlent.

Mais on peut lire ce chapitre indépendamment

 

Un mois s'était écoulé depuis les événements relatés dans le chapitre 3. Un jour je reçois un coup de fil de Carole :

 

- Salut Vincent, comment tu vas ?

- Carole quelle surprise !

- Tu ne sais pas ? Tu te souviens de Katia et Alain, le couple de vieux vicelards qu'on avait rencontré chez les antillais ?

- Oui, je devais les rappeler, mais je ne l'ai pas fait.

- Ben ils m'ont embauché comme soubrette, je m'éclate, c'est super bien payé.

- Tu t'éclates ?

- Oui, enfin pas tous les jours, Mais, je participe à leurs petits jeux érotiques, c'est parfois très excitant.

- Tu me raconteras, on peut se voir un de ces jours ?

- Justement, ce week-end, est-ce que t'es libre ?

- Oui.

- Ça te dirait de venir chez eux, ils organisent une espèce de partie avec des amis.

- Bof !

- Elle est pas mal, Katia pourtant ?

- C'est vrai !

- Et puis il y aura Thibault... et moi.

 

Je me pointe donc le vendredi soir dans un riche pavillon de la banlieue ouest de Paris. Il pleut à torrent. C'est Carole qui m'ouvre en tenue de Bunny. Elle me fait la bise.

 

- Pas trop mouillée ? Entre ! Bon, je t'explique, ils vont recevoir un couple d'amis et ils veulent leur faire une surprise en mettant à leur disposition des gars et des filles qu’ils vont pouvoir dominer.

- Tu ne m'avais pas dit ça au téléphone.

- Ben non, je ne connaissais pas encore les détails.

- Je ne suis pas d'accord pour faire n'importe quoi.

- T'inquiètes pas, ce ne sont pas des sadiques, j'ai compris qu'au début ils vont te demander de faire un strip en duo avec Thibault, de le sucer devant eux et de te faire prendre ... et puis tu auras une contrepartie financière.

 

Bon j'entre. Katia, la cinquantaine, grande brune, cheveux mi-longs et légèrement bouclés, très bronzée me reçoit en me faisant la bise, tout en me mettant la main à la braguette. Alain m'embrasse à son tour (sur la bouche, ce cochon) ainsi que Thibault le mignon blondinet.

 

- Nos amis vont arriver d'un moment à l'autre, ils se sont un peu perdus ! M'indique Katia.

 

Je remarque alors que son chemisier en voile noir, ne cache pas grand-chose de sa poitrine retenue par un soutien-gorge à balconnets. Elle s'est habillée d'une petite jupe noire qui laisse découvrir de jolies jambes gainées de bas résilles noir. Joli spectacle !

 

Elle s'aperçoit que je la déshabille du regard.

 

- Je te fais bander, un mon salaud ?

- Que voulez-vous, vous êtes si excitante !

- Et ça, ça te plait ! Répond-elle en soulevant sa jupe sous laquelle aucune culotte n'a été mise.

 

Je crois que je ne vais pas regretter d'être venu, mais Alain fait diversion en me proposant un whisky qu'il me vente pour être excellent, mais je n'ai pas envie de boire pour l'instant et me contente d'un jus de fruits. On papote de tout et de rien. Puis la sonnette de la grille retentit.

 

Le couple d'invités arrive.

 

On se présente, madame se prénomme Monique, fausse blonde aux yeux bleus, jolie visage, elle a au moins cinquante ans, mais parait fort bien conservée, elle est vêtue d'un petit haut en coton bleu ciel, légèrement décolletée, et d'un pantalon en vinyle noir. L'homme s'appelle Philippe, la cinquantaine, pantalon de toile et polo blanc de marque.

 

On se présente, on s'embrasse…

 

- Rappelle-moi où sont les toilettes ! Demande Monique à Katia, j'ai une de ses envies de faire pipi !

- Pourquoi aller aux toilettes ? Intervient son mari, je suis sûr que ces messieurs dames seraient ravis de te voir pisser.

- Vous croyez ? Répond Monique, mais comment faire ? On ne peut pas aller dehors, il pleut des cordes.

- Si vous en êtes d'accord, Carole va aller vous chercher un saladier. Reprend Alain.

- D'accord, mais, je vous en prie Alain, tutoyons nous !

 

Carole revient avec le récipient requit, tandis que Monique retire carrément son pantalon et sa culotte, exhibant sa chatte poilue devant toute l'assistance.

 

- Monte sur la table, Monique, nous verrons mieux !

- Hum, vous êtes cruelle avec moi. Vite, je ne tiens plus !

 

On l'aide à monter. Effectivement, il était temps, à peine en position c'est un geyser doré qui jaillit de son intimité. Le spectacle est magnifique. Une fois la miction accomplie, elle demande :

 

- Wha ! Ça fait du bien ! Ça vous a plu, j'espère ? Philippe, s'il te plaît, prends-moi un kleenex dans mon sac pour que je m'essuie !

- T'essuyer ? Mais je suis certain qu'une de ces jeunes personnes ne demanderait pas mieux que de te nettoyer avec sa langue !

- Et bien ça commence fort ! Commente la pisseuse ! Alors qui veut m'essuyer ?

- On te laisse le choix, propose Katia.

 

Elle choisit…. Devinez qui ? Votre serviteur ! Mais c'est tout sauf une corvée, elle s'assoit sur le bord de la table et je lui lape l'abricot. Il sent plutôt fort, mais ça ne me dérange pas, j'absorbe les gouttes d'urine, et c'est ma fois très bon !

 

- Colle bien ta bouche contre ma chatte ! Dit-elle, je crois bien que je vais pisser encore quelques gouttes.

 

Effectivement une petite pissette arrive au fond de mon gosier, je l'avale avec délectation. Puis je reprends mes léchouilles.

 

- Mais c'est qu'il lèche bien ce salaud ! Commente-t-elle

 

Ces mots m'autorisent à m'enhardir, je lèche maintenant le sillon de façon plus appuyé m'autorisant même à lui titiller le clito.

 

- Vas-y fait moi jouir !

 

La nana est super réceptive, au bout de moins de cinq minutes de mouvements de langue, elle éclate son plaisir. J’en suis tout chose !

 

- Faut-il que je remette ma culotte ? Demande Monique avec un faux air innocent.

- Je ne crois pas que ce soit nécessaire, répond Katia

- J’ai une question très cochonne, je peux la poser ? Reprend la première.

- Bien sûr !

- Si j’avais eu envie de faire caca, quelqu’un m’aurait aussi essuyé ?

- Je crois que ça n’aurait pas posé de gros problèmes.

- Si j’essayais…

 

C’est alors qu’Alain intervint :

 

- C’est comme tu veux, mais je te conseille d’attendre, rien ne presse et je vous propose de commencer la soirée par un petit apéro spectacle, ça devrait vous plaire à tous les deux… Asseyons-nous, Carole va faire le service.

 

Monique se place au milieu du canapé, entouré d’Alain et de Katia qui lui met la main sur la moule, tandis je prends place en compagnie de Thibault sur l’autre canapé où Philippe vient nous rejoindre.

 

- Voilà, ces deux jeunes hommes vont nous faire un petit numéro. Reprend Alain. Vous allez voir, vous ne serez pas déçus. Je les connais bien puisque j’ai eu le plaisir de me faire enculer par Thibault et ensuite j’ai joui dans le cul de Vincent !

- C’était en effet très excitant, ajoute Katia.

- Trinquons ! Lance Alain !

- Et vive les enculés ! Rajoute Philippe.

 

On boit en vitesse, les deux couples sont manifestement pressés de voir le spectacle. Alain met de la musique, un truc doux, un peu jazzy. Thibault et moi, nous nous mettons debout et face à face. J’ai en tête les instructions de Carole, assez simples en fait. Ça commence par ce que j’aime le moins, on se roule une pelle, je n’y peux rien, ça ne me fait ni chaud ni froid, puis je déboutonne la chemise de mon partenaire, afin de lui serrer les tétons, de son côté il soulève mon polo et me rend la politesse. J’ai déjà dit que j’adorais ce truc, qui me provoque des bandaisons d’enfer. On se les pince, on se les tire, on se les mordille. Je jette un regard furtif sur l’ambiance, Katia caresse carrément la chatte de Monique, tandis qu’Alain se contente de lui frôler la cuisse. De l’autre côté, Philippe se tripote la braguette, l’air ravi.

 

Je fouille dans la braguette de Thibault et lui sort sa belle bite toute bandée.

 

Je suis carrément dans le trip, et vais pour me pencher et la sucer, mais je suppose que nos deux couples de rigolos préféreraient sans doute que j'exhibe aussi la mienne de bite. Je laisse donc Thibault me baisser tout le bas, je le débarrasse à son tour de son pantalon et de son caleçon et du coup nous voilà tous les deux entièrement nus à l'exception de nos chaussettes.

 

- Je te suce d'abord ! M'indique Thibault en se mettant en position.

 

Ce n'est pas un problème, il suce trop bien, me délivrant de savants coups de langue bien placés. Je remarque qu'il pratique sa fellation "au bord" au lieu de m'engloutir… Je comprends que c'est pour le spectacle… on ne suce pas dans l'intimité comme on suce en s'exhibant… On en apprend tous les jours !

 

Sur les canapés, Monique, le sexe toujours occupé par la main de Katia, a dégagé la belle bite d'Alain qu'elle masturbe doucement. Philippe a lui aussi sorti son engin et se paluche tout seul. Un bien beau membre, j'espère que j'aurais l'occasion de le sucer, voire plus.

 

- A toi ! Me dit Thibault, se relevant.

 

Je m'accroupis à mon tour au niveau de sa queue et l'engloutis dans ma bouche avant de la sucer et de la lécher avec gourmandise.

 

- Hummm… c'est très excitant tout ça ! Proclame Philippe, j'irais bien les rejoindre.

- Ce n'est pas exactement ce qui était prévu, mais pourquoi pas, vas-y Philippe, on te regarde.

 

Le Philippe se déshabille à toute vitesse, et s'en vient tournicoter autour de nous, sa bite dressée comme un étendard. Abandonnant le sexe de Thibault, je me mets donc à sucer ce monsieur, il sent un peu fort mais ça ne me pose pas de problème. Thibault, lui, s'est placé de l'autre côté et lui lèche le trou du cul…

 

Mais voici que Monique, incapable de rester à sa place, nous rejoint, et tandis que Thibault continue de préparer le cul de son mari, je roule une pelle à sa femme, tout en lui retirant son haut, dégageant une belle poitrine un peu lourde que je lèche un petit peu… Et nous voilà tous les quatre emmêlés, je ne sais plus où donner de la tête entre Monique que j'essaie de peloter, les bites et les culs de Thibault et de Philippe. Me voilà soudain scotché après l'anus de Monique, que je déguste avec gourmandise, ça sent bon la fesse, ça sent bon le trou du cul. Du coup, j'introduis un doigt là-dedans.

 

- Je veux bien que tu mettes un doigt, mais tu lèches après ! Me dit-elle.

 

Ce n'est pas un problème ! Elle écarte maintenant le cul de façon obscène, après quelque doigtages, j'ai maintenant une envie folle de la sodomiser, le temps m'encapoter et me voici la bite dans son trou en train de la pilonner. Tandis que juste à côté, Thibault sodomise Philippe. La situation est trop excitante, je ne vois pas comment je pourrais m'empêcher de jouir, sinon en me retirant, c'est donc ce que je fais. Thibault interprète mal mon geste croyant qu'on veut échanger nos partenaires et prend donc ma place, tandis que Philippe m'invite à venir derrière lui.

 

- Je risque de ne pas tenir longtemps…

- C'est pas grave, viens !

 

Bon alors si c'est pas grave, j'y vais, j'essaie de me contrôler, mais voici un doigt qui s'introduit dans mon anus, c'est Alain. Je me laisse faire bien sûr. A côté Monique jouit comme une folle et Thibault se retire, la capote polluée et pleine de sperme, qu'il entreprend d'enlever, mais son épouse l'en empêche.

 

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- Garde là, je vais la nettoyer, j'adore lécher les bites qui sortent de mon cul ! Dit-elle.

 

Je décharge à mon tour, laissant Philippe le trou béant. Alain est toujours derrière moi, et m'astique toujours l'anus. Il attend quelques instants puis m'encule à mon tour. Ça ne dure pas bien longtemps, tous les mâles sont écroulés.

 

Katia qu'on avait un peu oubliée a réquisitionnée Carole pour lui faire une minette. Elle interpelle Monique :

 

- Alors tu te régales ?

- Super !

- Tu aurais pu m'en laisser un peu !

- Tu n'aurais pas aimé, elle était un peu sale !

- Tu veux dire qu'il avait un peu de merde ?

- Oui, c'est ça il y avait un peu de merde !

- Ben justement, c'est amusant quand il n'y en a que juste un peu.

- Si ça te tente, met moi un doigt dans le cul et lèche.

- Ça me parait une excellente idée, répond Katia en plongeant son index dans le trou encore béant.

 

Elle introduit un second doigt, puis un troisième, exécute quelques mouvements de va-et-vient puis ressort tout ça, et commence à lécher avec délectation.

 

- Alors, elle est comment ma merde !

- Délicieuse, ma chère… Continue comme ça, Carole, continue, ça vient, aaaaah.

- En ce qui me concerne, intervient Monique, il faut absolument que je fasse caca, comment je fais ? Je vais aux toilettes ? Quelqu'un m'accompagne ?

- Et si tu chiais ici devant tout le monde ? Propose Katia

- Ce ne serait pas moi la plus gênée…

- Carole va chercher une assiette, Monique va monter sur la table et nous faire un petit spectacle. Tout le monde est d'accord ?

 

Pas d'objection

 

Monique monte sur la table, s'accroupit au-dessus de l'assiette. L'envie était pressante, sans aucun préambule un long boudin sort de son anus et vient s'enrouler sur l'assiette.

 

- Maintenant prends ton assiette et viens me voir.

 

Katia a maintenant l'assiette sous les yeux :

 

- Une jolie merde, vraiment, félicitations ma chère ! S'exclame-t-elle avant de mettre sa langue en léger contact avec la matière.

- Qui veut m'essuyer ? Lance Monique à la cantonade. Toi ? Me propose-t-elle.

 

Délire pour délire, je ne me suis pas dérobé.

 

On reprend tous nos places tandis que Carole nous sert à boire.

 

- Ça fait du bien de se faire enculer ! Commente poétiquement Philippe.

- Moi je n'y ai pas eu droit ! Fait remarque Alain.

- La soirée ne fait que commencer ! Répond Monique… attend que Philippe récupère et il va te foutre sa grosse bite dans le cul.

- J'espère bien ! Ça faisait longtemps que vous n'aviez pas fait ça ?

- Non pas très longtemps… répond Monique, en fait il nous est arrivé une petite aventure il y a une dizaine de jours, mais je vais vous raconter :

 

à suivre donc avec " Le récit de Monique.

 

 

Enzo - novembre 2009

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:11

Surprise-partouze
3 - La punition de Carole

Stamp uro

 

Vous vous imaginez bien que ce qui s'est passé chez Thibault ce samedi soir et ce dimanche matin a laissé des traces. En fait, je suis plutôt satisfait de la façon dont les choses se sont passées. Tous ces gens sont peut-être un peu allumés, mais se sont révélés très corrects. N'empêche que j'ai l'impression que ma sexualité a pris un virage. Des perspectives que je n'envisageais qu'à travers le filigrane de mes fantasmes se font jour.

 

Le début de la semaine a été calme et tranquille, ce n'est que le jeudi que l'étrange proposition de Gwladys se mit à me tarauder. La carte comportait juste l'indication d'un numéro de portable sans autre précision. Elle m'avait sans doute donné que dans l'enthousiasme du moment, mais ça ne me coûtait rien d'essayer de l'appeler.

 

- Allô, c'est Vincent !

- Vincent, je ne vois pas...

 

Ça commence mal, non seulement c'est Gwladys qui me répond alors que j'aurais préféré que ce soit Simon, son mari, mais en plus elle ne me remet pas ! Je lui explique :

 

- Ah, d'accord, et tu aimerais bien que Simon t'encule, c'est ça ?

 

Quel romantisme !

 

- Ben oui !

- Hummm, tu vas lui sucer sa grosse bite noire, et après il va bien te la foutre dans le cul, et moi pendant ce temps-là, je vais me branler en vous regardant...

 

Manifestement, les mots l'excitent.

 

- Je peux passer quand alors ?

- Hum, si tu venais samedi vers 18 h 30, il y aura du monde et des surprises ?

 

Je donne mon accord, ça m'embête un peu qu'il y ait d'autres personnes, mais bon... Pour être très honnête, j'ai failli me dégonfler, c'est vrai qu'il y a quelque chose d'incongru de prendre un rendez-vous afin d'aller se faire sodomiser...

 

Ce matin, avant ma douche j'ai peaufiné le rasage de mon corps, ça m'amuse d'être ainsi tout lisse de partout… J'arrive donc vers 20 heures, une bouteille d'apéritif à la main. Gwladys m'accueille, joviale, on s'embrasse sur le bord des lèvres. Cette petite antillaise est décidément très mignonne, elle s'est habillée d'une petite robe verte à motif en tissu léger, courte et décolletée.

 

- Simon est en course, il va arriver d'une minute à l'autre... Et Carole et Thibault, ben on les attend.

 

C'est donc eux les autres invités ! Super on sera entre connaissances !

 

- Je parie que ton petit trou du cul, il piaffe d'impatience ! Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.

 

Ça commence fort ! Ne voulant pas être en reste, je lui mets la main sur les nichons.

 

- Pas touche pour l'instant, par contre, moi j'ai le droit ! Reprend-elle en accentuant sa pression sur mon sexe. Hummm, je suis toute excitée, tu sais ce qu'on va faire tout à l'heure ?

- Du sexe ? Répondis-je bêtement.

- Obsédé !

- Ça c'est vrai !

- J'ai proposé à Carole de la punir pour avoir osé sucer la bite de mon mari devant moi. Elle est complètement d'accord, elle m'a dit qu'elle adorait la soumission.

- Et qu'est-ce que vous allez lui faire ?

- Tu es un peu trop curieux. Tiens tu sais ce que tu vas faire, tu vas te mettre entièrement à poil, j'ai envie de revoir ton petit cul de pédé !

 

Ce n'est pas un problème, je me déshabille, espérant un moment que Gwladys en fasse autant, mais non…

 

- T'est trop mignon, toi comme ça, tout rasé… et tes gros tétons... hummmm ça m'excite.

 

Et la voilà qui se met à me les tripoter, à me les serrer, à me les tortiller. Du coup, je bande comme un malade !

 

- On dirait que ta bite est en forme, ce soir, mais tourne toi que je vois ton cul ! Oh ! Les jolies fesses ! Qu'est-ce qu'elles sont belles !

 

Elle a vraiment l'air de les apprécier, me les caresse, puis vient me les embrasser.

 

- Ecarte les, j'ai envie de faire un bisou à ton petit trou du cul

 

Je sens sa langue s'approcher de mon œillet et le titiller, mais elle s'arrête assez vite, se relève et approche son index de ma bouche :

 

- Suce !

 

Je le fais.

 

- Et maintenant laisse toi faire, je vais te mettre un doigt...

 

Elle me farfouille le troufignon sans trop de ménagement. J'aime bien... et de temps à autre de son autre main me balance de petites fessées.

 

Elle finit par ressortir le doigt et me demande de le sucer à nouveau... Le problème c'est qu'il est pollué son doigt. Je refuse donc...

 

- Dis donc, tu ne vas pas nous faire de manières...

- C'est pas des manières, il est sale.

- Bon alors d'accord, mais dis-moi que tu es une petite salope !

- Je suis une petite salope !

- Alors les petites salopes, ça suce les doigts qu'on leur a mis dans le cul...

 

Bon, je ne suis pas bloqué par la scato tant qu'on en reste à la lisière, et puis l'excitation arrange parfois bien des choses, je finis par obtempérer et elle me remet son doigt dans mon orifice intime

 

Un bruit de clé, Simon rentre, suivi de Carole et de Thibault qu'il a rencontré en revenant des courses.

 

Pas gênée, Gwladys continue de me doigter, me faisant tortiller d'aise.

 

- Ça va, faut pas vous gêner ! commente Simon, hilare !

- Où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! Répond l'antillaise en finissant par se lever afin d'accueillir Thibault et Carole en les embrassant sur la bouche.

 

Je me lève à mon tour, on se congratule, tout le monde en profite pour me peloter...

 

- Dis donc Carole, je t'ai embrassé, mais je n'aurais peut-être pas dû, tu viens bien ici pour que je te punisse, non ? Lui fait remarquer Gwladys.

- Ben, vas-y punis moi, je suis venue pour ça ! Répond l'autre !

- Et je vais pouvoir te faire tout ce que j'ai envie ?

- Presque... comme on en a convenu au téléphone...

- Alors à poil !

 

Et tandis que Carole se déshabille, Gwladys m'apostrophe.

 

- Dis donc, toi l'enculé, qui c'est qui t'as dit de quitter ta position ?

- Bien obligé, fallait bien que je dise bonjour...

- Mouais... ben remet toi comme tu étais et attend moi, je reviens.

 

Scène surréaliste, je suis à poil, à quatre pattes par terre, tandis que Thibault habillé et Carole déshabillée aident Simon à installer les gâteaux à apéritifs...

 

Et voilà que Gwladys revient, elle a un tas de trucs dans les mains qu'elle dépose sur une petite table : un martinet, des pinces, des menottes, du gel, des capotes... mais c'est son accoutrement qui m'intrigue le plus, elle est entièrement nue et harnaché d'un gode ceinture... et j'ai bien l'impression que c'est pour moi... L'idée ne me plait que moyennement, c'est le sexe de Simon qui m'intéresse, pas un substitut en plastique, mais bon, l'un n'empêche pas l'autre...

 

De façon très érotique elle revêt le faux sexe d'un préservatif, puis fait semblant de se masturber... Bizarrement ce spectacle ne me laisse pas insensible.

 

Elle m'enduit le trou du cul avec du gel, elle doit forcer un petit peu pour que ça entre, ça finit par entrer, oups, ça fait un peu mal, je serre les dents, et elle se met à limer. Les trois autres se sont approchés pour jouir (si on peut dire) du spectacle. Les deux mecs se sont débraguettés et se paluchent la quéquette. Celle de Thibault s'approche de ma bouche, je la prends, finalement j'adore sa bite à celui-là, et commence à la sucer avec délectation, le seul problème c'est que les coups de boutoir que je reçois dans mon cul, me font bouger et que j'ai du mal à sucer correctement.

 

Gwladys finit par se retirer, me laissant le cul béant.

 

- Oh, le cochon, il a mis de la merde sur ton gode ! Constate Carole, qui fait semblant d'être outrée.

- Hummm, ça mérite bien 10 coups de martinet ! Répond l'antillaise.

- Moi je lui aurais fait nettoyer avec la langue ! Propose Carole !

- T'aimerais bien être sa place pour faire ça ? Répond Gwladys.

- Peut-être...

- Tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce qui va t'arriver tout à l'heure...

 

Tout en discutant, l'antillaise s'est emparé du martinet et commence à me cingler les fesses, elle n'y va pas de main morte, mais je ne dis rien, je préfère ça que de sucer son machin... J'encaisse les dix coups et me surprend à bander... décidément qu'est-ce que je découvre comme trucs en ce moment. Thibault s'était reculé, préférant sans doute attendre la fin de la flagellation pour que je reprenne ma fellation. Effectivement, il s'avance, mais Gwladys l'écarte :

 

- Il faut d'abord qu'il nettoie !

 

La salope ! Moi qui croyais y échapper... Encore une fois personne ne m'oblige à rien (du moins j'espère) je peux toujours arrêter ce cirque et quitter cette bande d'hurluberlus. Mais l'envie de jouer et de me dépasser est la plus forte... Le gode n'est quand même pas si pollué que ça, en tout cas beaucoup moins que la réflexion de Carole me le laissait présager. Je nettoie donc les traces de merde, une fois vaincu les premières réticences, ça n'a rien de terrible.

 

- Quel cochon ! S'écrie Carole.

- Bon, allez relève toi, on va trinquer, après on s'occupera de Carole, après Simon t'enculera, et après on verra bien, on improvisera.

 

On s'approche tous de la table.

 

- Non pas toi, Carole, les chiennes, ça ne boit pas l'apéro avec les humains, tu restes à quatre pattes, tu auras peut-être quelques miettes...

 

Gwladys qui venait de parler, passe un collier de chien à la belle blonde qui sans protester, entre dans son rôle, se met à genoux, et attends.

 

Simon fait le service, on trinque... petit moment de flottement, parce qu'on ne sait pas trop comment va s'organiser la suite, mais c'est Gwladys encore une fois qui prendra l'initiative.

 

- Elle veut peut-être un bretzel notre chienne ? Allez Carole fait la belle !

 

Carole fait ce qu'elle peut et présente ses mains en les recourbant à la façon d'un chien qui quémande...

 

- Aboie un peu pour voir comment tu fais !

- Wouh, wouh !

- J'espère qu'elle ne mord pas. Plaisante Simon.

- Mais, non ! répond Thibault, elle peut même te lécher la bite... ou le trou du cul, hein la chienne ?

- Wouh, wouh ! approuve Carole.

 

Simon ne se le fait pas dire deux fois et donne sa queue à sucer à la belle blonde qui se jette dessus comme la pauvreté sur le monde.

 

- Non, mais attends, tu crois que c'est vraiment une punition ce que tu lui fais faire ? Intervient Gwladys...

- T'as raison on va lui faire lécher le cul de Vincent, il doit être encore pollué, propose Thibault.

 

Je me positionne donc devant-elle afin qu'elle accomplisse ce qu'on lui demande.

 

- Dis donc, t'es un vrai cochon, dit-elle, t'aurais pu t'essuyer un petit peu, quand même...

 

Ben, oui, personne n'y a pensé, mais tout cela n'a pas l'air de rebuter la jolie Carole qui entreprend de me lécher l'œillet et elle fait ça, ma fois, de façon bien excitante...

 

Et voilà que le portable de Simon sonne !

 

- Ah ! Vous avez pu vous libérer ? Oui, oui montez, plus on est de fous, plus on rigole... l'entend ton dire avant de raccrocher.

- Continue à lécher, ne t'occupes pas des gens qui vont entrer ! Ordonne Gwladys à Carole.

 

Simon ouvre aux nouveaux arrivants, on s'embrasse, on se congratule. C'est un couple, la cinquantaine, madame est une grande brune, cheveux mi-longs et légèrement bouclés, très bronzée, habillée d'un pantalon et d'un débardeur qui met en valeur de jolies épaules et qui lui moule une poitrine qu'on devine généreuse, monsieur est en chemisette rose. On fait des rapides présentations pendant que Carole continue à me lécher le troufignon, ils se prénomment Katia et Alain.

 

- On va juste rester une petite heure, après il faut qu'on file ! Précise Katia.

- Et bin, y'a de l'ambiance, on dirait ! S'exclame Alain.

- C'est notre esclave, ce soir, on peut lui faire tout ce qu'on veut... enfin, presque...

- Hummm, c'est vrai ça ? Je peux me lâcher ? demande Katia.

 

Gwladys s'approche alors d'elle et lui susurre quelque chose à l'oreille, sans doute ce qu'elle peut et ce qu'elle ne peut pas lui faire...

 

- Tu me passe ton martinet ? demande Katia... et apporte-moi deux bonnes pinces à linges...

 

Et en attendant, elle se déshabille, pas complètement puisqu'elle a l'idée saugrenue de garder son soutien-gorge, j'espère qu'elle finira par l'enlever, mais la vision est sublime ! Quelle jolie femme, ma bite en est toute raide d'émotion. Par un beau mouvement d'ensemble, Simon, Thibault et Alain enlèvent aussi leurs vêtements, et j'ai la surprise de voir ce dernier se jeter à mes genoux.

 

- Je peux te la sucer ?

- Bien sûr !

- J'adore sucer des belles bites ! Me confie-t-il.

- Moi aussi ! Me surpris-je à répondre.

- T'aimes bien te faire enculer aussi ?

- Oui, d'ailleurs je suis venu pour ça !

- On est tous des enculés ! Conclue-t-il philosophiquement en me prenant en bouche...

 

Putain, qu'est-ce qu'il suce bien ce bourgeois ! J'en ai des frissons...d'autant que Carole continue simultanément à me lécher le cul... pas pour longtemps, Katia l'emmène sur le canapé.

 

- Voilà, je vais accrocher ces deux pinces sur tes tétons de salope et après tu vas te mettre à genoux là-dessus, tu baisses la tête, et tu relèves les fesses...

 

Carole en bonne soumise ne bronche pas pendant la pose de la première pince, mais ne peut s'empêcher de lâcher un petit cri pour la seconde. Katia la gifle en criant :

 

- Supporte et tais-toi !

- Oui !

- Je t'ai demandé de te taire... Ouvre ta bouche.

 

La belle blonde obéit, laissant Katia lui cracher au visage...

 

- Allez, en position...

 

La grande brune ne perd pas aucun temps et assène immédiatement à sa victime un coup en travers des fesses qui laissent de très explicites marques roses.

 

- Je vais bien te fouetter et après tu vas me sucer, et tu auras intérêt à me faire jouir.

- Vas-y fouette moi !

 

Elle le fait, rythmant ses coups de façon à surprendre sa victime, alternant les petites séries rapides et les pauses.

 

- Non, mais, regarde un peu tous ces pédés ! dit-elle, s'interrompant un moment.

 

Il est vrai que le spectacle est cocasse ! Thibault, Simon et moi-même sommes debout devant Alain qui nous suce à tour de rôle, tandis que Gwladys qui est passée derrière lui, lui trifouille l'anus.

 

J'ai peur de jouir trop vite, et puis je préfère sucer que de me faire sucer, aussi je me mets à genoux à mon tour, et comme Alain est en train de sucer Thibault, c'est vers la grosse bite noire de Simon que je jette mon dévolu. Hummm, je me régale, c'est fou ce que la texture d'une bonne queue est douce dans la bouche. Je ne m'en lasse pas, mais à un moment Alain me propose d'échanger nos partenaires. Pas de problème et me voilà avec la bite de Thibault dans la bouche, moins impressionnante, mais plus facile à sucer. Gwladys elle aussi change de victime et passe derrière moi pour s'occuper de mes tétons qu'elle serre comme un dingue. Je m'en fous, j'adore ça, et ça maintient mon érection au top.

 

A l'autre bout de la pièce on a droit à une sonate pour martinet et gémissements d'esclave. Le cul de la pauvre Carole est maintenant rouge comme une tomate.

 

- Bon, tu as eu ta dose, relève toi et mets-toi face à moi pour le final, commande Katia.

 

Quand Carole voit alors sa tortionnaire lever son martinet vers ses seins elle comprend ce qu'elle veut faire et par réflexe porte ses mains à sa poitrine afin de la protéger.

 

- Retire tes mains !

 

Elle le fait, mais les replace aussitôt !

 

- Bon si tu veux tout arrêter, tu as un mot de sécurité, lui demande la brune.

- Non, non, mais...

- Mais quoi ? Tu veux arrêter, ou pas ?

- Non !

- Alors retire tes mains.

 

Katia lève son martinet, et cette fois Carole fait un demi-tour pour se protéger.

 

- Bon, Gwladys, viens la tenir, sinon, je ne vais jamais y arriver...

 

L'antillaise se place derrière la blonde et la maintient en position en lui tenant vigoureusement les poignets. Katia arme son bras, vise la première pince à linge qui se décroche du téton. Carole pousse un cri, puis attend crânement le second coup. Katia le rate, se reprend et fait sauter la deuxième pince. Nouveau cri de Carole.

 

- T'as vu, elle a les cuisses toutes trempées, elle mouille cette salope ! Fait remarquer Gwladys.

- Il n'y a pas qu'elle qui est trempée, répond Carole... si tu pouvais aller nous chercher des serviettes, sinon on va noyer ton canapé.

 

Et tandis que Katia s'installe et que la blonde commence à la lécher, Thibault propose à Simon :

 

- Bon, ils nous ont bien sucés, maintenant on pourrait peut-être les enculer !

 

Les deux mecs se capotent, nous font mettre, Alain et moi à quatre pattes. Thibault pénètre le petit bourgeois avec une facilité déconcertante, il doit être habitué. Avec moi, Simon a plus de mal, d'abord parce en ce qui me concerne, je ne suis pas vraiment habitué, après tout ce n'est que ma troisième sodomie et mon deuxième partenaire et le sexe de celui-ci sans être énorme est tout de même une pointure supérieure.

 

Ça finit par entrer ! Et le voilà qu'il se met à coulisser dans mon étroit conduit. Toujours cette sensation un peu pénible au début qui disparaît assez vite au fur et à mesure que la prostate devient excitée. Je n'aurais jamais cru que c'était si bon de se faire enculer... J'aurais dû commencer avant...

 

Nous voilà donc en méga partouze : Katia se fait sucer la chatte par Carole, elle a enfin retiré son soutien-gorge et offre ses seins à Gwladys. Simon m'encule et Alain se fait faire la même chose par Thibault. Ce dernier prend rapidement son plaisir et se retire, contourne son partenaire et lui offre sa bite toujours encapotée et légèrement pollué à nettoyer, ce qu'il accepte de faire sans problème. Simon jouit à son tour. Va-t-il me faire la même chose que son voisin... Ben oui... faut surtout pas se gêner, mais je me surprends à accepter de le faire... tandis que sur le canapé, Katia crie comme une cinglée, Carole l'ayant fait jouir... Les deux femmes s'embrassent avec tendresse...

 

Et voilà qu'Alain manifeste le désir de jouir en me sodomisant à son tour ! Pourquoi pas ? Après le passage de la grosse bite de Simon, ça devrait se faire sans problème. Ça ne dure pas très longtemps (hélas), et sitôt fini je me relève, je voudrais bien jouir à mon tour.

 

- Un peu de patience, me dit Gwladys, tu as mérité une récompense et j'ai envie que tu me prennes, mais il n'y a pas le feu !

 

Pas le feu ! Pas le feu ! Je voudrais bien l'y voir elle, ce n'est pas elle qui a les bourses pleines, mais bon s'il faut attendre, on attendra...

 

- J'ai une de ses envies de pisser ! Déclare Katia, tu veux que je fasse sur toi ? demande-t-elle à Carole.

- Bien sûr !

 

Et voilà qu'on se dirige tous vers la salle de bain, mais il ne faut pas rêver, sept personnes ça ne rentre pas. Carole s'installe dans le fond de la baignoire, Katia s'accroupit au-dessus, je me faufile avec Thibault et Gwladys, les deux autres restent sur le pas de la porte.

Agneta_Helle31.jpg

- Tu préfères que j'évite le visage ? demande Katia.

- N'évite rien, j'ai soif !

 

Pour une grosse envie, c'était une grosse envie, un vrai jet d'arrosage dégringole sur Carole qui essaie d'avaler ce qu'elle peut au passage.

 

- Si vous avez envie de pipi, les mecs, profitez-en... propose Gwladys

 

Délire pour délire, j'arrose à mon tour Carole, et Thibault ne tarde pas à m'imiter. Quant à Katia, elle reste en position semblant mijoter quelque chose... c'est le cas de le dire...

 

- J'ai une autre envie, un peu plus consistante, je peux ou pas ?

- Bien sûr que tu peux !

- Je veux que ce soit toi qui me le demandes !

- Vas-y chie moi dessus ! Mais peut-être pas sur le visage !

 

Et devant l'assistance médusée la belle Katia lâche un premier étron, rejoint bientôt par un deuxième puis un dernier qui atterrissent mollement sur les seins de la belle blonde. Un mélange de répulsion et de fascination finit par me faire rebander. Je commence à avoir mal aux couilles, moi !

 

Et quand Katia va pour quitter la baignoire c'est Carole qui lui propose :

 

- Reste-là, c'est moi qui vais te nettoyer le cul... avec ma langue !

- T'es une vraie salope, toi ! Vas-y nettoie mon cul plein de merde !

- Hé, hé !

- Tu aimes ça, hein ?

- Quand je suis excitée à fond, je peux aller très loin... ce ne sont pas des choses qu'on fait tous les jours... mais en ce moment, je m'éclate !

 

Après quelques brèves minutes de léchage de cul, la blonde se relève et offre ses lèvres à Katia qui les accepte (pouvait-elle faire autrement ?)

 

Carole prend une douche... Katia et Alain se rhabillent.

 

- Vous prenez quand même un verre avant de partir ? Propose Simon.

 

Ils acceptent, on est là tous les sept autour des bouteilles, on lève nos verres :

 

- On trinque à quoi ? demande Simon

- Aux enculés, bien sûr ! Répond Katia.

- Et aux salopes ! Ajoute Thibault provoquant l'hilarité générale.

 

Les deux zouaves boivent en vitesse, on se dit au revoir... La belle brune s'approche de moi, avec quelque chose dans la main.

 

- Toi, ça te dirais de passer chez nous un de ces jours ? J'aimerais bien que tu sois notre petit esclave et après tu pourras me baiser.

- Bien sûr !

- Voilà notre carte !

 

A suivre

Juin 2007

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Extrême pour 2007

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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