Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:14

 

Surprise-partouse 6 – Poker perdant par Enzo_Cagliari

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Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle.
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même (le chapitre 5 constituant un intermède sous forme de récit raconté par Monique) et ça se poursuit ci-dessous.

– Et après ? demande Alain
– Après, rien, Erica s’est changée et nous avons été bouffé un petit truc ensemble dans le coin.
– Il faudra nous les présenter.
– C’était dans nos intentions.
– Nous voilà tous encore plus excités qu’avant ! Nous devrions passer à table, mais je crois que tout le monde sera d’accord pour t’accorder une petite récompense pour nous avoir raconté ce merveilleux récit ! Alors la récompense, maintenant ou après ?
– Hum, il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé, mais le plaisir immédiat ce n’est pas mal non plus. Alain enculez-moi comme une chienne et en même temps je vais sucer les bites de ces deux pédés !

Alain ne se le fait pas dire deux fois, et alors que Monique s’est déjà mise en levrette, le cul cambré, l’anus ouvert, il s’en va laper cette offrande avec de grands coups de langue.

– Ton cul a une odeur divine ? S’exclame-t-il.
– Gros cochon !

Je m’approche ainsi que Thibault, du visage de la belle afin qu’elle puisse, comme elle en a exprimé le souhait, nous sucer nos bites. Elle commence par celle de Thibault. C’est pas juste !

Derrière elle, Alain s’est enfin décidé à la pénétrer et entre dans son cul avec une facilité déconcertante.

– Hum ! Quel plaisir de se faire enculer par des amis ! Clame-t-elle abandonnant un moment la bite de Thibault.

Elle ne la reprend pas, les coups de boutoir d’Alain à l’intérieur de son cul sont trop violents pour qu’elle puisse sucer en même temps.

– Oh ! Tu me défonces, c’est trop bon !

Il devient tout congestionné le Alain, il lève la tête, ouvre la bouche comme s’il cherchait de l’air, pousse un grand cri et éjacule. Il décule en soufflant comme un bœuf !

– Ça fait du bien, dis donc ! Comme je dis souvent « les enculés sont les meilleurs enculeurs ! »

Alain va pour retirer sa capote, un petit peu polluée, mais Monique l’en dissuade !

– Tss, tss, je vais nettoyer tout ça ! Quand on est cochonne il faut l’être jusqu’au bout ! A moins que… Katia, ça te dit ?
– Pourquoi pas, je n’ai pas encore eu l’occasion de goûter le jus de ton cul !

Mais l’opération s’avère impossible, la quéquette d’Alain est maintenant rétrécie comme une coquillette.

– Ah, ces vieux, c’est vicelard, mais ça ne tient plus le choc ! Heureusement qu’il y a du sang frais, je devrais dire de la bite fraîche ! Allez Thibault, met toi une capote, tu vas m’enculer à ton tour, mais défense de jouir, d’accord ?

Bien sûr qu’il est d’accord, elle le suce un peu préalablement afin d’assurer une raideur optimale, puis alors qu’il s’apprêtait à la contourner afin de la prendre en levrette, elle l’en empêche, le fait s’asseoir dans un fauteuil, et s’empale sur sa bite !

La voir ainsi monter et descendre, le corps mouillé de sa transpiration, a quelque chose de très érotique, je me branle doucement mais tout le monde semble m’avoir oublié.

Elle se livre à ce petit exercice fort physique pendant une dizaine de minutes, puis quitte son partenaire.

– Cette fois tu peux lécher ! Dit-elle à Katia.

Cette dernière ne se le fait pas dire deux fois et entreprend de nettoyer la bite encapotée de Thibault.

– Alors ?
– Délicieux ! Mais embrasse-moi donc, j’ai encore le goût dans la bouche.

Les deux femmes se roulent donc une pelle bien baveuse.

– Madame est servie annonce Carole.

On passe donc à table, personne ne se rhabille. Alain se met au milieu de la table de six, son épouse Katia en face lui, Thibault à sa gauche moi à sa droite, Monique est à gauche de Katia et donc en face de moi, Philippe est devant Thibault.

Et pendant que Carole sert les tranches de saumon fumé, puis verse le vin, Katia interpelle son mari :

– Et si tu nous racontais une histoire à ton tour.
– Moi je veux bien, mais je ne pourrais jamais être aussi brillant que Monique.
– On s’en fout, raconte !
– Ecoutez bien, ça devrait vous plaire.
– Nous sommes tout ouïe !

Le récit d’Alain

J’étais allé faire une démarche à La Défense dans le cadre de mon travail et m’apprêtais à rentrer. Je m’assois sur un siège en attendant le R.E.R…

– Bonjour, vous vous souvenez de moi ?
– Euh, oui !

Il convient préalablement d’effectuer un petit flash-back de dix années en arrière…

J’étais à époque complètement hétéro, mais j’avais quelques fantasmes qui eux l’étaient beaucoup moins, mais ce n’étaient que des fantasmes.

J’étais donc en déplacement à Nancy et je devais subir la corvée quasi obligatoire consistant à honorer une invitation au restaurant. Un moment, je me déplace aux toilettes pour aller pisser. Il y avait deux urinoirs côte à côte, je choisis celui de gauche et commence à pisser, quand un mec se pointe à ma droite.

Les usagers des pissotières publiques se rangent deux catégories extrêmes : ceux qui ne supportent pas que l’on puisse apercevoir ne serait-ce que l’ombre de leur bite et qui s’approchent si près qu’ils donnent presque l’impression qu’ils vont être avalés par l’urinoir et puis ceux qui au contraire pissent à quinze centimètres de la cuvette d’un air complètement décontracté.

Mon voisin faisait, vous l’aurez deviné partie de cette seconde catégorie. Je regarde malgré moi, sa bite est élégante, bien cylindrée et dotée d’un joli gland.

Le mec me fait un sourire de connivence. Par réflexe je fuis son regard et tente de me concentrer sur mon pipi. Mais au bout de quelques secondes, je ne sais quel démon me fait de nouveau loucher vers le voisin (ou plus précisément sur sa quéquette).

– Et, oui, c’est comme ça ! Je ne me cache pas ! Mais rassurez-vous je ne drague pas !

A quel jeu joue-t-il ?

– Je vous sens troublé ! Ajoute-t-il.

Et le voilà qui pivote d’un quart de tour, j’ai maintenant sa bite complètement devant moi.

– Je la range ou vous voulez la toucher ?

Il est complètement dingue, ce mec !

– Il paraît que ça porte bonheur ! Ajoute-il goguenard.

Je regarde derrière nous, il n’y a personne. La pulsion est irrésistible, je touche. C’est doux, c’est soyeux. De vieux fantasmes m’envahissent. Encore une fois je me retourne, je reprends ma respiration, effectue une flexion des genoux, l’instant d’après j’avais sa bite dans la bouche. Carrément !

Oh, ça a duré quoi ? Quinze secondes, pas plus, après je me suis relevé, réalisant curieusement que je venais de sucer une bite qui venait de pisser, et que le goût de son urine ne m’avait même pas gêné.

– On va dans la cabine, Me propose-t-il.

J’ai refusé !

– On peut se voir plus longtemps ? Insiste-t-il.

Je lui explique que je suis en déplacement, que je rentre ce soir à Paris… Il me tend un papier avec son numéro de portable. Je l’enfouis dans ma poche et je remonte. Je rejoins ma tablé et tente d’oublier cette rencontre insolite, mais rien à faire, ça me tortille l’esprit, je ne pense qu’à ça ! Et mon partenaire de table qui m’emmerde avec ses propos à la con…

Quand arrivent les cafés, je m’éclipse, en disant simplement que j’ai un coup de fil à donner.

– Allo ! C’est moi, je veux bien qu’on se voie !
– Je suis aussi en déplacement, je ne rentre que demain soir, Tu n’as qu’à venir à mon hôtel. Je m’appelle Robert…

Je regarde si je peux prendre un train plus tard, ça colle, je le rappelle, et le soir j’étais devant sa porte. Advienne que pourra !

Il est manifestement ravi de me voir.

– Je vais faire monter du Champagne !
– Non, tout à l’heure peut-être.
– Comme tu veux, pose ta veste.

Sitôt posé, Robert se met face à moi, et me caresse le torse. Je me laisse faire, peinant à dissimuler mon angoisse. Il me pince les bouts de seins à travers ma chemise et constatant que j’apprécie ce genre de choses, il accentue sa pression, puis me demande de me « mettre à l’aise ».

Il en fait de même et nous voilà tous les deux à poil, et toujours face à face. Robert reprend ses pincements sur mes tétons (c’est quand même plus agréable sur la peau nue plutôt qu’à travers le tissu !) et je lui rends la politesse.

On ne tarde pas à bander tous les deux comme des sapeurs. L’envie de porter son sexe à ma bouche est irrésistible, ma main s’approche et après quelques mouvements de masturbation, je m’accroupis pour sucer.

Et cette fois, j’ai le temps, je m’en donne à cœur joie. Cette queue j’en mets chaque millimètre carré en contact avec ma langue, je la coince au fond de mon palais, je la fais aller et venir, je suce, je lèche et je suce encore. Il me demande de lui lécher les couilles, je ne l’écoute pas, il me demande de lui lécher le trou de son cul, je ne l’écoute pas plus, seule sa verge m’intéresse.

Mais tout a une fin, je ne pouvais pas le sucer éternellement. Nous avons invertis les rôles quelques minutes, il ne s’attarda pas sur ma propre bite, Il se proclamait autoreverse, mais préférait le rôle actif. Il me démontra néanmoins ses qualités de suceur et je dois dire qu’elles étaient impressionnantes.

Et puis arriva la question fatidique

– Tu veux que je te prenne ?

Je la redoutais, mais m’étais dit qu’il ne servait à rien de m’y préparer, préférant improviser suivant les circonstances du moment.

– On peut essayer ! Répondis-je simplement.

Ce fut assez comique, en levrette malgré un bon tartinage de gel, toutes les tentatives échouèrent. Il me fit alors mettre à plat ventre et dans cette position, il put enfin s’introduire en moi (pas du premier coup).

Robert n’avait rien d’une brute et j’appréciais le tact (je crois que c’est le bon terme) avec lequel il me prit.

J’ai apprécié, énormément apprécié, quand il décula après peut-être dix minutes (on n’a pas trop la notion du temps dans ces moments-là !), il me laissa dans un état second, le trou du cul béant.

– T’as pas l’habitude, hein ?
– Non.
– J’ai bien vu, c’est pour ça que j’y ai été doucement.

Je l’ai remercié, il a cherché mes lèvres, ce n’est pas mon truc mais je ne pouvais pas lui refuser ça !

Il m’a demandé de lui serrer les tétons pendant qu’il se branlait. Quand il a senti que ça venait, il m’a demandé de me retourner afin d’éjaculer sur mes fesses. Après il m’a proposé de me sucer, il le fit très bien.

On s’est échangé nos coordonnées, on avait convenu d’un rendez-vous à Paris, mais à chaque fois l’un d’entre nous avait un contretemps et ça ne s’est pas fait. Puis finalement on s’est perdu de vue, loin des yeux, loin du… cul !

L’envie de me faire prendre de nouveau me tenaillait, rageant de louper tous les rendez-vous avec Robert, je me décidais à entrer dans un sauna gay. Ça fait drôle la première fois, j’ai donc découvert tout cet univers, les backrooms, les cabines, j’ai rencontré des tas de gens, des types glauques, des types peu sympas, le genre « je te baise sans dire un mot et je me casse sans dire aurevoir », mais aussi quelques personnes très sympas (ce n’est pas la majorité !)

En parler à Katia n’a pas été un problème. Nous avions un joli gode à la maison, un truc très réaliste, un jour alors qu’on s’envoyait en l’air je lui ai suggéré de me l’introduire dans le cul. Ça ne l’a pas dérangé et ça l’a même émoustillé, évidemment après j’ai joué les naïfs et quand je lui ai demandé très hypocritement : « je me demande si j’oserais faire ça avec un mec ? » Elle m’a répondu « T’as qu’à essayer ! »

Il nous était arrivé mais très rarement d’observer des comportements bisexuels masculins en boite échangiste, nous avons donc guetté l’occasion, mais sans la trouver. Nous nous sommes donc rabattus sur les petites annonces, ce qui nous a permis de rencontrer des gens comme vous…

Mais revenons à mon histoire et au présent :

– Bonjour, vous vous souvenez de moi ?
– Euh, oui !
– C’était à Nancy, il y a plusieurs années.
– Oui, oui, vous êtes Robert, c’est ça ?
– Vous avez le temps de prendre un pot ?

J’ai accepté. Nous sommes montés dans la rame et descendu à Châtelet.

– On devait se revoir, et puis les circonstances ne nous l’ont pas permis… Commence-t-il.
– Vous faites toujours des rencontres… Comment dire ? Insolites ?
– Non, moins, une fois ça s’est très mal passé, je me suis retrouvé en garde à vue.
– Ah oui ?
– C’était un jour dans une brasserie, je pissais tranquilou, et le mec à côté de moi m’a apostrophé « vous n’êtes pas obligé de m’imposer la vue de vos attributs sexuels ! ». Au lieu de m’écraser j’ai répondu : « Vous n’avez qu’à pas regarder, de plus ma bite n’a jamais tué personne. » « Si vous n’adoptez pas immédiatement une attitude décente, je préviens la direction ! ». Là encore j’aurais dû m’écraser, au lieu de cela je l’ai traité de refoulé et le ton a monté. Je suis remonté le premier, et j’ai fini mon café, je croyais l’incident clos. Deux ou trois jours après deux inspecteurs de police se sont pointés chez moi, ils me demandent de les suivre au commissariat, je demande pourquoi, ils me disent qu’on m’expliquera « là-bas ». Et ils me menottent les poignets ! Imaginez ma stupéfaction et ma honte ! Sur place on m’informe que je suis l’objet d’une plainte pour « exhibition sexuelle » déposée conjointement par le propriétaire du restaurant et ce connard de consommateur. J’ai appris que ce dernier était un ami du patron et qu’ils avaient récupéré mon nom quand j’ai réglé avec ma carte bancaire. J’ai évidemment nié en m’en tenant aux faits, à ce détail près que je leur ai dit que si je pissais à 30 centimètres de l’urinoir, c’était par pure distraction. On m’a traité de tous les noms, dégénéré, pédophile et j’en passe, et je suis resté 24 heures en garde à vue dans des conditions dégueulasses. J’en suis sorti choqué, malade, avec des envies de meurtres.
– Vous êtes passé au tribunal ?
– Non, c’était il y a trois ans, je n’ai jamais eu de nouvelles, je suppose qu’on a classé l’affaire.
– C’est déjà ça !
– Dans ce pays on est plus sévère avec les gens qui montrent leur bite qu’avec ceux qui attaquent des petites vieilles !
– Hélas !
– Vous allez me dire à quoi ça sert mes conneries ? Rencontrer des mecs aujourd’hui c’est facile comme tout, Internet, les bars, clubs, les saunas… Mais ce que j’aimais c’est le côté drague avec un peu de provocation, et le goût du risque aussi. Et vous ?

Je lui raconte, lui explique que je me considère comme bisexuel, alors que lui est exclusivement homo.

– Une petite partie entre hommes, ça te tenterais ?

Je note le retour du tutoiement.

– Je ne suis pas contre…
– On avait l’habitude de se rencontrer à quatre régulièrement et de jouer au poker perdant. Ce sont des gens de notre génération, très sympathiques ma fois. Mais le quatrième est en déplacement à l’étranger et on a du mal à le remplacer.

Il me propose une date, elle me convient, il me donne l’adresse…

Je me retrouve donc le jour prévu, vers 20 heures du côté de la porte Maillot, dans un appartement très chic.

Première surprise, c’est une femme qui m’ouvre.

– J’ai dû me tromper de porte, je me rends chez Monsieur Charles B…
– C’est bien ici, entrez, je suis son épouse, Huguette.

Je fais la connaissance de Charles, le maître des lieux, chauve et dégarni, la cinquantaine et d’André, un beau vieux comme on dit qui doit bien friser la soixantaine.

J’accepte le verre qu’on me propose, et qu’Huguette viens m’apporter, mais cette formalité est assez vite expédiée et on se dirige vers une table de jeu.

On m’explique les règles, il s’agit d’une variante du strip-poker, mais sans relance. Le vainqueur gagne le droit de choisir un perdant qui subit un gage. Au premier gage on enlève tout le haut, au second tout le bas, et au troisième le sexe devient explicite.

On commence. Je me retrouve avec cinq cartes pourries. Je redemande trois cartes, ce n’est guère mieux. André annonce une double paire. Personne n’a mieux. Il me désigne comme perdant et j’enlève donc le haut.

Le jeu continue, je m’étonne d’abord des faibles jeux des vainqueurs en me rendant compte ensuite que l’esprit du jeu est biaisé. Certains souhaitent plutôt perdre que gagner, et pour ce faire il est inutile de montrer son jeu.

J’ai été le premier à me retrouver à poil, et quand nous fumes tous les quatre entièrement déshabillés, la vue de toutes ces bites et surtout la perspective de ce qui se passerait après me provoqua une belle érection. De plus je pressentis que le prochain gage serait pour moi.

Charles annonce un brelan de 8. J’ai mieux mais ne dit rien.

– OK ! Gage pour Alain dit-il en se levant de son siège.

Et le voilà qui s’avance vers moi en se branlant la bite. L’instant d’après je l’avais dans la bouche.

Et tandis que je me régale de sa bite, j’assiste à ce spectacle surréaliste : Huguette ramasse les cartes et les range dans son étui, puis étale deux couvertures molletonnées, l’une sur la table, l’autre par terre, puis elle quitte la pièce.

Robert vient se placer aux côtés de Charles. Je suce donc les deux bites alternativement. André se contente de regarder. Cette petite séance à bien duré 10 minutes. Mais que voulez-vous, il faut bien se reposer de temps en temps la mâchoire.

Je me mets debout à mon tour, André me contourne et me pince mes bouts de seins en plaquant sa bite contre mes fesses, tandis qu’André se met à me sucer. Je bande comme un malade.

– Tu veux que je te prenne ? Me demande Charles

Je lui fais signe que oui.

SP6.jpg– Monte sur la table !
– Sur la table.
– Oui sur le dos, les cuisses en l’air !

Pourquoi pas ? Et si parfois, je n’avais pas bien compris, voilà André qui grimpe sur la table et se met dans la position demandé. Nous sommes donc l’un à côté de l’autre, Charles vient me pénétrer pendant que Robert s’occupe de pilonner de cul d’André. Un peu énervé, limite brutal, le père André, et plus ça dure, moins ça s’arrange à ce point que je me fais la réflexion que si c’était lui qui m’avait prodigué la première sodomie, je n’aurais peut-être pas évolué comme je l’ai fait.

Et tout d’un coup, le miracle, voilà que nos deux enculeurs changent de capote et permutent. C’est donc Robert qui me besogne. Quelle différence ! Je retrouve le souvenir de ma première rencontre, c’est à la fois intensif et doux, je me sens voluptueusement rempli, magnifiquement baisé, je m’abandonne totalement, je ne suis plus sur terre, je suis dans les étoiles. Je miaule de plaisir, je suis un enculé, une chatte de gouttière en chaleur et je me sens bien dans ma peau, super bien même.

Accélération ! Arrêt brutal ! Stand-by ! Retrait ! Robert a joui ! Il se décapote, me tapote amicalement l’épaule et s’éloigne. Mes deux voisins ont également terminé leur petite affaire et discutent à voix basse.

Bon, c’est quoi la suite ? Parce que si le trip était génial, j’aurais néanmoins bien aimé jouir.

Et voilà Huguette qui se ramène et qui nous propose de nouveau à boire. Mais madame s’est changée et arbore maintenant un petit haut en voile noir transparent qui ne cache pas grand-chose de sa jolie poitrine, probablement refaite.

– Alors on mate ? M’apostrophe-t-elle avec un provoquant sourire.
– Oui, oui, c’est ravissant, c’est très troublant.
– Vous êtes bi ?
– On peut dire ça comme ça !
– Je vous emmène dans la chambre ? C’est juste une proposition, vous n’êtes pas obligé…

Trois minutes plus tard, Huguette me chevauchait telle une Walkyrie en furie, poussant des cris comme une malade et me faisant jouir trop rapidement.

Je suis allé me rincer la biroute, je me suis rhabillé, j’ai pris congé, on ne m’a pas retenue, on n’a pas convenu d’un autre rendez-vous, on n’a pas échangé de coordonnées.

Voilà, voilà !

– Une belle histoire ! Commente Katia, j’en ai la culotte toute mouillée.
– Quelle culotte ? Tu n’en a pas ?
– Oui mais si j’en avais une elle serait mouillée !
– Finalement vous avez essayé plein de choses ! Reprend Alain.
– Et les chiens ça ne vous tente pas ? Lance Katia comme une boutade.
– J’ai fait ça aussi !
– Non ?
– Si !
– Et c’était comment ?
– Vous voulez que je vous raconte ?
– Bien sûr ! Répondirent en chœur Alain et Katia

à suivre

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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