Surprise-partouze
2 - un couple antillais
par Enzo
Donc à mon réveil, souhaitant prendre une douche, Thibault m’informe que les filles sont parties et que la douche on pourrait sans doute la prendre ensemble… Je devais être dans une période particulièrement libidineuse car cette proposition me fit (légèrement) bander… Du coup je retardais mon envie de pisser et me dirigeais vers la salle de bain.
- Je vais d’abord me raser !
- Tu te raseras après, viens donc ! M’invite-t-il
Et nous voici face à face, et sans aucun préalable voici le Thibault qui me caresse le torse… Alors bon, essayons de faire le tri, à la limite je veux bien faire des trucs bisexuels avec un mec (ben oui) quand on est un peu parti et qu’il y a des filles, mais là en duo masculin, ça me gêne un peu. N’empêche que quand le zigoto me serre mes tétons, non seulement je ne dis rien, mais cette fois ci ma bandaison devient dure de dure.
- Tu peux me faire pareil ? Quémande-t-il
Ben voyons, mais j’obtempère, et je ne tarde pas à voir le résultat, sa jolie verge se redresse à présent avec fierté exhibant son petit bout violacé d’où jaillit une petite goutte brillante… hum… envie de lui sucer… C’est dingue quand même, je suis entré dans ce studio hétéro, hétéro avec les idées larges, mais hétéro quand même et si ça continue je vais ressortir pédé comme un phoque (comme un foc ?). Mais au diable l’introspection, j’ai envie de sucer cette bite et je ne vois pas pourquoi je me gênerais, je me baisse donc, la tripote un petit peu, la cajole, la caresse, fais joujou avec, la presse contre me lèvres, et finis par l’emboucher, ce n’est jamais que la troisième fellation que je lui fais à ce gars-là, mais bon, je ne m’en lasse pas ! J’avance et je recule avec ma bouche, je me régale et je m’excite.
- Tu veux que je t’encule ? Me propose alors Thibault.
- Pourquoi pas, tu aimes ça toi enculer les mecs ?
- J’aime bien enculer les beaux culs, les mecs, les filles… allez, tourne-toi. Et mets tes mains à plat contre le mur.
En me tournant je le vois prendre un préservatif, dans la niche à savon, l’animal avait bien prémédité son coup…
- Ce ne serait pas plus confortable sur le canapé, non ?
- Ça change, on va faire couler l’eau, tu vas voir c’est génial...
Puisqu’il le dit !
Mais pour l’instant, il me lèche le trou du cul et vu l’ardeur qu’il y met, il a l’air de trouver ça très jouissif.
- Hum, il sent bon ton cul ! Commente-t-il
Comme ma dernière douche remonte à la veille, je suis un peu étonnée, mais bon, c’est vrai qu’il y a des amateurs d’odeurs un peu fortes, chez les femmes cela ne me dérange pas, chez les hommes je suis incapable de dire…
- Bon allez, prêt ?
- Prêt !
Il pousse, il pousse un peu plus et ça rentre… et le voilà qui m’encule… et comme hier soir après une petite période d’adaptation, je me surprends de nouveau à aimer cet acte… j’ai vraiment découvert quelque chose…. Thibaut continue à me défoncer, je suis bien, mais curieusement ma bite débande. Bizarre ce phénomène. La sodomie dure une dizaine de minutes, je suis complètement ailleurs, puis je le sens s’arrêter, puis se retirer. Je me retourne, il vire la capote.
- Finis-moi à la bouche !
- C’est que…
- Allez fais-moi plaisir, si tu n’aimes pas ça, tu craches, ça ne me vexera pas.
Bon, je reprends donc ma fellation, sa bite à un vague goût de latex auquel je n’ai pas trop le temps de m’habituer, je sens sa verge qui se livre à de curieux soubresauts dans mon palais, tandis qu’une bonne giclée finit par l’envahir. J’en avale un peu, j’en recrache une autre partie, le sperme (même si pour l’instant, je ne connaissais que le goût du mien) ne m’a jamais passionné…
Je ne bande pas, et j’ai envie de pisser, mais Thibaut a encore plus envie de moi et le voilà qui sans prévenir se met à me pisser sur le torse. Ça m’amuse, c’est chaud, c’est rigolo, et du coup je fais pareil, nos jets dorés se croisent et sans échanger un mot nous finissons notre délire en une immense partie de rigolade.
Bizarrement, le fait que je n’ai pas joui à l’air de l’indifférer complètement… Pas bien grave, je me dirige vers le lavabo pour me raser. Et tandis que je finis d’enlever la mousse, revoici Thibault qui se ramène :
- Pourquoi tu ne te rases pas partout ?
- Je le ferais peut-être un jour…
- Tu veux que je te le fasse, pour certains endroits c’est plus facile de faire ça à deux.
J’ai fini par accepter, n’hésitant pas à user un nombre impressionnant de rasoirs, il entreprit de me débroussailler l’ensemble du corps. Je me sens un autre homme, je ne me reconnais qu’à peine dans le miroir, Thibault passe derrière moi et me pince les tétons, et voilà que je rebande… il me masturbe doucement… mais le téléphone sonne !
Cinq bonnes minutes après, il n’était toujours pas revenu. Il y a des mecs comme ça, ils sont incapables de faire bref, il faut qu’ils bavardent, quelles que soient les circonstances extérieures…
Du coup je sors de la salle de bain, recherche mes fringues et me rhabille. Par politesse j’attends quand même que monsieur ait terminé sa communication pour me tirer…
- Tu t’en vas ? Finit-il par dire au bout d’un quart d’heure.
- Ben oui j’ai des trucs à faire chez moi !
- C’est dommage, je t’aurais bien proposé un plan cul !
- Une autre fois !
- Comme tu veux ! Ah, n’oublie pas ton portable ! Dit-il en me tendant un petit téléphone tout bleu.
- C’est pas à moi celui-là !
- Ah, bon, ce doit être à l’une des deux nanas….
- C’est vraiment dommage que tu partes, j’aurais bien aimé te mater encore comme ça tout rasé de près…
C’est qu’il insiste l’animal !
- On se rappelle…
- Montre-moi une dernière fois tes tétons et je te laisse filer.
D’accord, je soulève mon tee-shirt. Il me les attrape, me les tortille, mon dieu que c’est bon ! Et voilà que je bande de nouveau.
- Allez, tu n’es pas à une heure près, j’ai une petite idée derrière la tête, laisse-moi faire, on va s’éclater.
- Mais…
- Mais tu n’as pas bientôt fini de rouspéter, tu sais ce qu’on va faire, on va jouer au maître et à l’esclave et je vais te mettre au coin une demi-heure le temps qu’on s’organise !
- N’importe quoi !
- Va donc me chercher deux pinces à linges dans la salle de bain.
Allez donc savoir pourquoi j’y suis allé ? Allez donc savoir pourquoi je l’ai laissé faire quand il me les a accroché sur le bout de mes seins et allez donc savoir pourquoi j’ai accepté de me mettre au coin, à genoux et culotte baissée.
Thibault téléphone, il passe un coup de fil, deux coups de fil, trois coups de fil, et ça dure et ça raconte des tas de trucs… Je me fixe une heure limite pour mettre fin à ce cirque.
- Ça te dirait de sucer une belle bite noire ! Me demande-t-il
- Si le mec est sympa et correct, ça peut se faire ! M’entendis-je répondre.
Et le voilà qui refait un numéro ! Je ne saisis pas tout de la conversation, mais j’ai l’impression que l’affaire est en train de s’arranger. Effectivement après avoir raccroché, Thibault jubile.
- C’est un couple d’antillais, ils allaient partir pour une fête de famille qui ne leur disait pas grand-chose, du coup ils vont passer, ils n’habitent pas très loin… Mets-toi donc complètement à poil pour les attendre… Ou plutôt non, rhabille toi, ça t’embête de me faire quelques courses… à tous les coups ils vont vouloir du punch.
Et me voilà avec mon caddie à la main dans la supérette du coin ! La situation est surréaliste, je viens de me faire raser tous les poils par un mec qui m’a enculé deux fois, que j’ai sucé trois fois, et qui vient d’inviter un black bisexuel avec sa copine ! Il me semble pourtant qu’hier j’étais hétéro…
Simon et Gwladys sont arrivés un peu avant midi ! On se présente, la fille est charmante, un beau visage, une belle peau café au lait, le mec n’est pas très grand, petite moustache, l’air malicieux, très souriant.
- Alors comme ça tu sucerais bien une bite de black ! M’interpelle la fille entrant donc tout de suite dans le vif du sujet !
- Oui, pourquoi pas ?
- OK, alors allons-y ! Mais tu vas faire comme je vais dire, mets ta main sur sa braguette et caresse jusqu’à ce que tu sentes que ça devienne dur…
J’obtempère, je fais comme elle a dit, et effectivement après plusieurs passages, je sens une belle rigidité se former sous ma paume.
- Ça y est, il bande ?
- Je crois bien, oui !
- Vérifie, Thibault !
Thibault met la main à son tour, et confirme mes dires.
- Bon alors défait la fermeture et rentre ta main.
Je le fais, la fine épaisseur de coton est un bien pauvre obstacle et bientôt sans qu’on me le demande me voilà en train de tripoter la verge de ce charmant jeune homme.
- Bon sort lui sa queue maintenant et branle-la
Pas de problème, l’engin est sorti de son nid, j’avoue que je m’attendais à plus gros, mais sans être démesurée cette bite est de bonne taille… et puis je me rassure quelque part, s’il veut m’enculer autant que cela se fasse avec une pine à dimension humaine…
- Thibault, sors aussi ta bite, il va vous branler chacun avec une main !
C’est un vrai plaisir de se faire commander par cette coquine, j’espère que je la verrais un peu plus déshabillée dans quelques instants… Me voilà donc en train de branler deux queues à la fois.
- Prêts à sucer ? me demande Gwladys !
- Oui !
- Alors vas-y !
Et me voilà, (déjà devrais-je dire) avec la pine du black dans la bouche ! Quelle sensation ! Le problème c’est que je n’ai jamais subi de stage d’avaleur de sabre et que tout mettre dans ma bouche est impossible, alors je me contente de sucer le gland et de lécher la hampe…
- Bon, belle entrée en matière ! Maintenant mettez-vous à poil tous les trois, ce sera plus cool…
Pas de problème !
- Fais-moi voir ce petit cul d’enculé ! M’ordonne la belle antillaise ! Hum pas mal, jolies petites fesses, et tu as vu, il est tout lisse, Thibault ne nous avait pas menti … Allez remettez-vous comme vous étiez et continuez.
Je continue donc, osant même lécher ses gros testicules…
- On change un peu, Thibault à ton tour de lui lécher la bite, et toi Vincent, tu vas lui sucer le trou du cul ! Ordonna Gwladys décidément très à l’aise dans son rôle de maîtresse de cérémonie
- Euh, peut-être pas ! Protestais-je
- Pourquoi ? Si c’était le mien tu le ferais !
- Oui ! Répondis-je sans hésiter un instant !
- Bon ben, tu vois, ça a peu près le même goût ! Alors tu fais ce que tu veux, mais nous on est juste de passage, si tu veux me voir à poil et me caresser un peu, ben il faut lui lécher le cul !
Que voulez-vous faire devant de pareils arguments ? Je me positionnais et entrepris de sucer la rosette de Simon qui d’ailleurs sentait surtout la savonnette…
Dring !
Voilà que l’on sonne à l’entrée !
- Continuez, je vais voir, nous dit Thibault, qui s’enfile vite fait son caleçon avant d’aller ouvrir.
On ne continue pas, on attend la fin de cet intermède… mais je reste malgré tout agenouillé derrière le cul de l’antillais qui exhibe en même temps une bite super bandée… Et voilà qu’on rentre… C’est Carole qui vient rechercher son téléphone portable !
- Et ben, faut pas vous gêner, bonjour messieurs dames, moi c’est Carole, bonjour madame, bonjour monsieur, oh, vous avez une bien jolie queue, je peux toucher ?
- Mais avec grand plaisir ! répond l’intéressé.
Placé comme je suis j’enrage de ne pas pouvoir assister à la fellation improvisée que la belle blonde est en train de lui faire, mais elle doit y mettre tout son cœur car elle n’est guère silencieuse émettant de très curieux gloup-gloup
- Bon, dis donc Simon, mon truc c’est de te voir faire des choses avec des mecs, et là t’es en train de contourner mon fantasme on dirait…Intervient Gwladys
- Tu veux que j’arrête alors ? répond Carole s’interrompant un moment afin de ne pas répondre la bouche pleine !
- Non, non, j’allais venir ! Proteste Simon.
- Alors je fais quoi ? Insiste Carole
- Bon finis-le ! Mais tu n’avales pas ! Tu gardes tout dans ma bouche ! Allez suce, salope !
Carole un peu perturbée de ce contretemps et de cet écart de langage reprend son travail. La petite assistance comprend assez vite que l’homme lui éjacule dans la bouche. Gwladys se précipite alors vers elle, lèvres contre lèvres. La blonde un peu étonnée finit par se laisser faire et les deux femmes se mettent alors à s’échanger un long baiser au sperme frais.
- Ben, dis donc, tu suces vachement bien ! La complimente Simon.
- C’était un plaisir cher monsieur ! Répond notre pipeuse
- Ouais, tu n’as pas un petit peu honte de te faire sucer par une femme devant moi ? Intervient Gwladys
- Ben, non, et puis c’est toi qui lui a dit de me finir… euh les filles ça ne vous dérangerait pas de vous mettre un peu à poil !
- Tu ne le mérites pas ! Lui rétorque sa compagne.
Quand je pense que j’ai léché le cul de son mec pour pouvoir la voir à poil et maintenant elle est en train de se défiler...
- Tu sais que t’embrasses bien ! Intervient Carole en caressant avec tendresse la joue de la petite antillaise !
- Tu en revoudrais ?
- Humm bien sûr !
- Mais tu n’as plus de sperme.
- Je peux aller t’en rechercher si tu veux !
- Chacun le sien alors ?
- Bonne idée ! Allez, on se désape !
Les deux filles se déshabillent de conserve, et je peux enfin admirer le joli corps couleur de chocolat au lait de Gwladys, ses seins nerveux aux aréoles très sombres, et les poils tous crépus de sa petite chatte. Et voici que tandis que Carole se positionne entre les jambes de Thibault pour lui pomper le sexe, c’est Gwladys qui s’est emparé du mien et qui se met à me le gober avec avidité. Du coup, Simon s’assoit dans un fauteuil et regarde comme au spectacle, assez mal placé pour faire quelque reproche à sa compagne.
Thibault jouira assez rapidement, il faut dire que Carole paraît déchaînée, quand à ma partenaire du moment j’ai l’impression qu’elle fait traîner la chose afin d’agacer Simon, mais ne voulant pas être en reste, elle finit par accélérer la cadence et l’action combiné de sa langue et de ses lèvres finit par avoir raison de ma quéquette.
Les deux femmes alors s’élancent l’une vers l’autre, comme tout à l’heure elles cherchent à s’embrasser, mais ou bien elle se coordonnent mal ou bien le volume de sperme devient trop important, toujours est-il que ça bave, ça dégouline, elles s’en étalent partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, sur les fesses… et ça pelote, et ça lèche… Un moment Gwladys lèche les fesses de Carole, puis s’approche de son trou qu’elle lui chatouille de la langue se faisant pâmer sa partenaire de plaisir, qui du coup ramène ses jambes au-dessus d’elle offrant sa chatte à dévorer. Ce qui n’est pas un problème pour la blackette qui accepte la position ainsi offerte et suce le clito de la blonde jusqu’à la jouissance…
De son fauteuil, Simon est aux premières loges, il a une vision imprenable sur le cul de sa copine qui vient de se tortiller pendant cinq minutes au rythme de ses coups de langues. Pris d’un accès fou et subit de désir, il se précipite bite en avant et la sodomise sans préalable. Son sexe pénètre dans l’étroit passage apparemment bien habitué à ce genre d’assauts, il y coulisse en de larges mouvements en soufflant comme un bœuf tandis que sa dulcinée ronronne de plaisir. L’affaire dure peu de temps et nos deux tourtereaux finissent par s’écrouler l’un sur l’autre et complètement groggy… Quant à Carole elle est restée au sol devant l’autre fille lui caressant le visage pendant la saillie avec une infinie et surprenante tendresse.
- Je peux pisser ? demande Simon, se redressant. T’inquiètes pas je t’aiderais à passer la serpillière !
Devant l'acquiescement de Thibault, il se met alors à pisser sur sa femme qui loin de s’en émouvoir se badigeonne le corps de cette pluie dorée allant même jusqu’à en croiser le jet dru de sa bouche ouverte. Il n’avait sans doute pas prévu que Carole quémanderait sa part, la source du pauvre Simon étant alors tarie, nous nous sommes fait un devoir Thibault et moi d’aller le suppléer afin d’arroser à son tour la jolie blonde….
- Bon, faut qu’on y aille ! Dit Simon récupérant ses vêtements, on est attendu… Rien ne s’est passé comme prévu, mais c’était sympa
- Tiens, Vincent voici notre carte, ajoute Gwladys, si tu veux que Simon t’encules tu passes un coup de fil tu seras toujours le bienvenu…
Ben voyons !
à suivre
Enzo – avril 2005
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