Enzo Cagliari

Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:10

Surprise-partouze
2 - un couple antillais
par Enzo 

 

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Donc à mon réveil, souhaitant prendre une douche, Thibault m’informe que les filles sont parties et que la douche on pourrait sans doute la prendre ensemble… Je devais être dans une période particulièrement libidineuse car cette proposition me fit (légèrement) bander… Du coup je retardais mon envie de pisser et me dirigeais vers la salle de bain.

 

- Je vais d’abord me raser !

- Tu te raseras après, viens donc ! M’invite-t-il

 

Et nous voici face à face, et sans aucun préalable voici le Thibault qui me caresse le torse… Alors bon, essayons de faire le tri, à la limite je veux bien faire des trucs bisexuels avec un mec (ben oui) quand on est un peu parti et qu’il y a des filles, mais là en duo masculin, ça me gêne un peu. N’empêche que quand le zigoto me serre mes tétons, non seulement je ne dis rien, mais cette fois ci ma bandaison devient dure de dure.

 

- Tu peux me faire pareil ? Quémande-t-il

 

Ben voyons, mais j’obtempère, et je ne tarde pas à voir le résultat, sa jolie verge se redresse à présent avec fierté exhibant son petit bout violacé d’où jaillit une petite goutte brillante… hum… envie de lui sucer… C’est dingue quand même, je suis entré dans ce studio hétéro, hétéro avec les idées larges, mais hétéro quand même et si ça continue je vais ressortir pédé comme un phoque (comme un foc ?). Mais au diable l’introspection, j’ai envie de sucer cette bite et je ne vois pas pourquoi je me gênerais, je me baisse donc, la tripote un petit peu, la cajole, la caresse, fais joujou avec, la presse contre me lèvres, et finis par l’emboucher, ce n’est jamais que la troisième fellation que je lui fais à ce gars-là, mais bon, je ne m’en lasse pas ! J’avance et je recule avec ma bouche, je me régale et je m’excite.

 

- Tu veux que je t’encule ? Me propose alors Thibault.

- Pourquoi pas, tu aimes ça toi enculer les mecs ?

- J’aime bien enculer les beaux culs, les mecs, les filles… allez, tourne-toi. Et mets tes mains à plat contre le mur.

 

En me tournant je le vois prendre un préservatif, dans la niche à savon, l’animal avait bien prémédité son coup…

 

- Ce ne serait pas plus confortable sur le canapé, non ?

- Ça change, on va faire couler l’eau, tu vas voir c’est génial...

 

Puisqu’il le dit !

 

Mais pour l’instant, il me lèche le trou du cul et vu l’ardeur qu’il y met, il a l’air de trouver ça très jouissif.

 

- Hum, il sent bon ton cul ! Commente-t-il

 

Comme ma dernière douche remonte à la veille, je suis un peu étonnée, mais bon, c’est vrai qu’il y a des amateurs d’odeurs un peu fortes, chez les femmes cela ne me dérange pas, chez les hommes je suis incapable de dire…

 

- Bon allez, prêt ?

- Prêt !

 

Il pousse, il pousse un peu plus et ça rentre… et le voilà qui m’encule… et comme hier soir après une petite période d’adaptation, je me surprends de nouveau à aimer cet acte… j’ai vraiment découvert quelque chose…. Thibaut continue à me défoncer, je suis bien, mais curieusement ma bite débande. Bizarre ce phénomène. La sodomie dure une dizaine de minutes, je suis complètement ailleurs, puis je le sens s’arrêter, puis se retirer. Je me retourne, il vire la capote.

 

- Finis-moi à la bouche !

- C’est que…

- Allez fais-moi plaisir, si tu n’aimes pas ça, tu craches, ça ne me vexera pas.

 

Bon, je reprends donc ma fellation, sa bite à un vague goût de latex auquel je n’ai pas trop le temps de m’habituer, je sens sa verge qui se livre à de curieux soubresauts dans mon palais, tandis qu’une bonne giclée finit par l’envahir. J’en avale un peu, j’en recrache une autre partie, le sperme (même si pour l’instant, je ne connaissais que le goût du mien) ne m’a jamais passionné…

 

Je ne bande pas, et j’ai envie de pisser, mais Thibaut a encore plus envie de moi et le voilà qui sans prévenir se met à me pisser sur le torse. Ça m’amuse, c’est chaud, c’est rigolo, et du coup je fais pareil, nos jets dorés se croisent et sans échanger un mot nous finissons notre délire en une immense partie de rigolade.

 

Bizarrement, le fait que je n’ai pas joui à l’air de l’indifférer complètement… Pas bien grave, je me dirige vers le lavabo pour me raser. Et tandis que je finis d’enlever la mousse, revoici Thibault qui se ramène :

 

- Pourquoi tu ne te rases pas partout ?

- Je le ferais peut-être un jour…

- Tu veux que je te le fasse, pour certains endroits c’est plus facile de faire ça à deux.

 

J’ai fini par accepter, n’hésitant pas à user un nombre impressionnant de rasoirs, il entreprit de me débroussailler l’ensemble du corps. Je me sens un autre homme, je ne me reconnais qu’à peine dans le miroir, Thibault passe derrière moi et me pince les tétons, et voilà que je rebande… il me masturbe doucement… mais le téléphone sonne !

 

Cinq bonnes minutes après, il n’était toujours pas revenu. Il y a des mecs comme ça, ils sont incapables de faire bref, il faut qu’ils bavardent, quelles que soient les circonstances extérieures…

 

Du coup je sors de la salle de bain, recherche mes fringues et me rhabille. Par politesse j’attends quand même que monsieur ait terminé sa communication pour me tirer…

 

- Tu t’en vas ? Finit-il par dire au bout d’un quart d’heure.

- Ben oui j’ai des trucs à faire chez moi !

- C’est dommage, je t’aurais bien proposé un plan cul !

- Une autre fois !

- Comme tu veux ! Ah, n’oublie pas ton portable ! Dit-il en me tendant un petit téléphone tout bleu.

- C’est pas à moi celui-là !

- Ah, bon, ce doit être à l’une des deux nanas….

- C’est vraiment dommage que tu partes, j’aurais bien aimé te mater encore comme ça tout rasé de près…

 

C’est qu’il insiste l’animal !

 

- On se rappelle…

- Montre-moi une dernière fois tes tétons et je te laisse filer.

 

D’accord, je soulève mon tee-shirt. Il me les attrape, me les tortille, mon dieu que c’est bon ! Et voilà que je bande de nouveau.

 

- Allez, tu n’es pas à une heure près, j’ai une petite idée derrière la tête, laisse-moi faire, on va s’éclater.

- Mais…

- Mais tu n’as pas bientôt fini de rouspéter, tu sais ce qu’on va faire, on va jouer au maître et à l’esclave et je vais te mettre au coin une demi-heure le temps qu’on s’organise !

- N’importe quoi !

- Va donc me chercher deux pinces à linges dans la salle de bain.

 

Allez donc savoir pourquoi j’y suis allé ? Allez donc savoir pourquoi je l’ai laissé faire quand il me les a accroché sur le bout de mes seins et allez donc savoir pourquoi j’ai accepté de me mettre au coin, à genoux et culotte baissée.

 

Thibault téléphone, il passe un coup de fil, deux coups de fil, trois coups de fil, et ça dure et ça raconte des tas de trucs… Je me fixe une heure limite pour mettre fin à ce cirque.

 

- Ça te dirait de sucer une belle bite noire ! Me demande-t-il

- Si le mec est sympa et correct, ça peut se faire ! M’entendis-je répondre.

 

Et le voilà qui refait un numéro ! Je ne saisis pas tout de la conversation, mais j’ai l’impression que l’affaire est en train de s’arranger. Effectivement après avoir raccroché, Thibault jubile.

 

- C’est un couple d’antillais, ils allaient partir pour une fête de famille qui ne leur disait pas grand-chose, du coup ils vont passer, ils n’habitent pas très loin… Mets-toi donc complètement à poil pour les attendre… Ou plutôt non, rhabille toi, ça t’embête de me faire quelques courses… à tous les coups ils vont vouloir du punch.

 

Et me voilà avec mon caddie à la main dans la supérette du coin ! La situation est surréaliste, je viens de me faire raser tous les poils par un mec qui m’a enculé deux fois, que j’ai sucé trois fois, et qui vient d’inviter un black bisexuel avec sa copine ! Il me semble pourtant qu’hier j’étais hétéro…

 

Simon et Gwladys sont arrivés un peu avant midi ! On se présente, la fille est charmante, un beau visage, une belle peau café au lait, le mec n’est pas très grand, petite moustache, l’air malicieux, très souriant.

 

- Alors comme ça tu sucerais bien une bite de black ! M’interpelle la fille entrant donc tout de suite dans le vif du sujet !

- Oui, pourquoi pas ?

- OK, alors allons-y ! Mais tu vas faire comme je vais dire, mets ta main sur sa braguette et caresse jusqu’à ce que tu sentes que ça devienne dur…

 

J’obtempère, je fais comme elle a dit, et effectivement après plusieurs passages, je sens une belle rigidité se former sous ma paume.

 

- Ça y est, il bande ?

- Je crois bien, oui !

- Vérifie, Thibault !

 

Thibault met la main à son tour, et confirme mes dires.

 

- Bon alors défait la fermeture et rentre ta main.

 

Je le fais, la fine épaisseur de coton est un bien pauvre obstacle et bientôt sans qu’on me le demande me voilà en train de tripoter la verge de ce charmant jeune homme.

 

- Bon sort lui sa queue maintenant et branle-la

 

Pas de problème, l’engin est sorti de son nid, j’avoue que je m’attendais à plus gros, mais sans être démesurée cette bite est de bonne taille… et puis je me rassure quelque part, s’il veut m’enculer autant que cela se fasse avec une pine à dimension humaine…

 

- Thibault, sors aussi ta bite, il va vous branler chacun avec une main !

 

C’est un vrai plaisir de se faire commander par cette coquine, j’espère que je la verrais un peu plus déshabillée dans quelques instants… Me voilà donc en train de branler deux queues à la fois.

 

- Prêts à sucer ? me demande Gwladys !

- Oui !

- Alors vas-y !

 

Et me voilà, (déjà devrais-je dire) avec la pine du black dans la bouche ! Quelle sensation ! Le problème c’est que je n’ai jamais subi de stage d’avaleur de sabre et que tout mettre dans ma bouche est impossible, alors je me contente de sucer le gland et de lécher la hampe…

 

- Bon, belle entrée en matière ! Maintenant mettez-vous à poil tous les trois, ce sera plus cool…

 

Pas de problème !

 

- Fais-moi voir ce petit cul d’enculé ! M’ordonne la belle antillaise ! Hum pas mal, jolies petites fesses, et tu as vu, il est tout lisse, Thibault ne nous avait pas menti … Allez remettez-vous comme vous étiez et continuez.

 

Je continue donc, osant même lécher ses gros testicules…

 

- On change un peu, Thibault à ton tour de lui lécher la bite, et toi Vincent, tu vas lui sucer le trou du cul ! Ordonna Gwladys décidément très à l’aise dans son rôle de maîtresse de cérémonie

- Euh, peut-être pas ! Protestais-je

- Pourquoi ? Si c’était le mien tu le ferais !

- Oui ! Répondis-je sans hésiter un instant !

- Bon ben, tu vois, ça a peu près le même goût ! Alors tu fais ce que tu veux, mais nous on est juste de passage, si tu veux me voir à poil et me caresser un peu, ben il faut lui lécher le cul !

 

Que voulez-vous faire devant de pareils arguments ? Je me positionnais et entrepris de sucer la rosette de Simon qui d’ailleurs sentait surtout la savonnette…

 

Dring !

 

Voilà que l’on sonne à l’entrée !

 

- Continuez, je vais voir, nous dit Thibault, qui s’enfile vite fait son caleçon avant d’aller ouvrir.

 

On ne continue pas, on attend la fin de cet intermède… mais je reste malgré tout agenouillé derrière le cul de l’antillais qui exhibe en même temps une bite super bandée… Et voilà qu’on rentre… C’est Carole qui vient rechercher son téléphone portable !

 

- Et ben, faut pas vous gêner, bonjour messieurs dames, moi c’est Carole, bonjour madame, bonjour monsieur, oh, vous avez une bien jolie queue, je peux toucher ?

- Mais avec grand plaisir ! répond l’intéressé.

 

Placé comme je suis j’enrage de ne pas pouvoir assister à la fellation improvisée que la belle blonde est en train de lui faire, mais elle doit y mettre tout son cœur car elle n’est guère silencieuse émettant de très curieux gloup-gloup

 

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- Bon, dis donc Simon, mon truc c’est de te voir faire des choses avec des mecs, et là t’es en train de contourner mon fantasme on dirait…Intervient Gwladys

- Tu veux que j’arrête alors ? répond Carole s’interrompant un moment afin de ne pas répondre la bouche pleine !

- Non, non, j’allais venir ! Proteste Simon.

- Alors je fais quoi ? Insiste Carole

- Bon finis-le ! Mais tu n’avales pas ! Tu gardes tout dans ma bouche ! Allez suce, salope !

 

Carole un peu perturbée de ce contretemps et de cet écart de langage reprend son travail. La petite assistance comprend assez vite que l’homme lui éjacule dans la bouche. Gwladys se précipite alors vers elle, lèvres contre lèvres. La blonde un peu étonnée finit par se laisser faire et les deux femmes se mettent alors à s’échanger un long baiser au sperme frais.

 

- Ben, dis donc, tu suces vachement bien ! La complimente Simon.

- C’était un plaisir cher monsieur ! Répond notre pipeuse

- Ouais, tu n’as pas un petit peu honte de te faire sucer par une femme devant moi ? Intervient Gwladys

- Ben, non, et puis c’est toi qui lui a dit de me finir… euh les filles ça ne vous dérangerait pas de vous mettre un peu à poil !

- Tu ne le mérites pas ! Lui rétorque sa compagne.

 

Quand je pense que j’ai léché le cul de son mec pour pouvoir la voir à poil et maintenant elle est en train de se défiler...

 

- Tu sais que t’embrasses bien ! Intervient Carole en caressant avec tendresse la joue de la petite antillaise !

- Tu en revoudrais ?

- Humm bien sûr !

- Mais tu n’as plus de sperme.

- Je peux aller t’en rechercher si tu veux !

- Chacun le sien alors ?

- Bonne idée ! Allez, on se désape !

 

Les deux filles se déshabillent de conserve, et je peux enfin admirer le joli corps couleur de chocolat au lait de Gwladys, ses seins nerveux aux aréoles très sombres, et les poils tous crépus de sa petite chatte. Et voici que tandis que Carole se positionne entre les jambes de Thibault pour lui pomper le sexe, c’est Gwladys qui s’est emparé du mien et qui se met à me le gober avec avidité. Du coup, Simon s’assoit dans un fauteuil et regarde comme au spectacle, assez mal placé pour faire quelque reproche à sa compagne.

 

Thibault jouira assez rapidement, il faut dire que Carole paraît déchaînée, quand à ma partenaire du moment j’ai l’impression qu’elle fait traîner la chose afin d’agacer Simon, mais ne voulant pas être en reste, elle finit par accélérer la cadence et l’action combiné de sa langue et de ses lèvres finit par avoir raison de ma quéquette.

 

Les deux femmes alors s’élancent l’une vers l’autre, comme tout à l’heure elles cherchent à s’embrasser, mais ou bien elle se coordonnent mal ou bien le volume de sperme devient trop important, toujours est-il que ça bave, ça dégouline, elles s’en étalent partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, sur les fesses… et ça pelote, et ça lèche… Un moment Gwladys lèche les fesses de Carole, puis s’approche de son trou qu’elle lui chatouille de la langue se faisant pâmer sa partenaire de plaisir, qui du coup ramène ses jambes au-dessus d’elle offrant sa chatte à dévorer. Ce qui n’est pas un problème pour la blackette qui accepte la position ainsi offerte et suce le clito de la blonde jusqu’à la jouissance…

 

De son fauteuil, Simon est aux premières loges, il a une vision imprenable sur le cul de sa copine qui vient de se tortiller pendant cinq minutes au rythme de ses coups de langues. Pris d’un accès fou et subit de désir, il se précipite bite en avant et la sodomise sans préalable. Son sexe pénètre dans l’étroit passage apparemment bien habitué à ce genre d’assauts, il y coulisse en de larges mouvements en soufflant comme un bœuf tandis que sa dulcinée ronronne de plaisir. L’affaire dure peu de temps et nos deux tourtereaux finissent par s’écrouler l’un sur l’autre et complètement groggy… Quant à Carole elle est restée au sol devant l’autre fille lui caressant le visage pendant la saillie avec une infinie et surprenante tendresse.

 

- Je peux pisser ? demande Simon, se redressant. T’inquiètes pas je t’aiderais à passer la serpillière !

 

Devant l'acquiescement de Thibault, il se met alors à pisser sur sa femme qui loin de s’en émouvoir se badigeonne le corps de cette pluie dorée allant même jusqu’à en croiser le jet dru de sa bouche ouverte. Il n’avait sans doute pas prévu que Carole quémanderait sa part, la source du pauvre Simon étant alors tarie, nous nous sommes fait un devoir Thibault et moi d’aller le suppléer afin d’arroser à son tour la jolie blonde….

 

- Bon, faut qu’on y aille ! Dit Simon récupérant ses vêtements, on est attendu… Rien ne s’est passé comme prévu, mais c’était sympa

- Tiens, Vincent voici notre carte, ajoute Gwladys, si tu veux que Simon t’encules tu passes un coup de fil tu seras toujours le bienvenu…

 

Ben voyons !

 

à suivre

 

 

Enzo – avril 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:09

Surprise-Partouze
par Enzo Cagliari

 

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Bonjour tout le monde, moi c’est Vincent, j’ai 29 ans, célibataire, très friand et très curieux de sexe et je vais vous raconter une petite histoire comme j’aime en lire sur ce site, sauf que cette fois c’est moi qui suis au clavier (et je ne tape que d’une main…)

 

C’était la fête chez Paul. C’est un incorrigible fêtard, tous les prétextes sont bons, mais là c’était son anniversaire. On l’a tous gâté, on s’est empiffré de petits fours et d’alcools, certains plus que les autres, on a dragué comme des bêtes, et moi je me suis levé une petite rouquine toute menue qui a la drôle d’idée de se nommer Angèle. Tout baigne, elle est d’accord pour venir chez moi et me faire "des tas de choses coquines et des tas de choses cochonnes"

 

On s’apprête à filer à l’anglaise, mais la nana veut absolument dire au revoir à sa copine, je la laisse aller la saluer, mais voilà qu’elle revient avec elle, je devrais dire avec elle et il ! C’est quoi ce cirque ?

 

- Voilà c’est ma copine Carole ! Et lui c’est….

- Thibaut… répond le zigoto

 

Carole est une fausse blonde pas mal foutue et qui serait sans doute canon si elle se décidait à sourire, je crois comprendre qu’elle s’est faite draguer durant la soirée par le dénommé Thibaut, un blondinet aux cheveux plats, très pâle de peau. Je serre la main à tout ce petit monde.

 

- Vous allez où ? nous demande fort indiscrètement Carole.

- On va chez lui ! Répond Angèle, à moins que tu ais un meilleur plan…

 

Comment ça un meilleur plan ? Voilà que toutes les conditions étaient réunies pour faire un "ça va, ça vient" avec cette charmante demoiselle qui ne correspond absolument pas à mes canons de beauté mais qui est néanmoins mignonne et excitante, et voilà qu’elle demande à sa copine si elle a un "meilleur plan" ? Je rêve !

 

- Si on se faisait une petite partie à quatre ? Propose carrément Carole.

- Ça te dit ! Me demande Angèle !

- C'est-à-dire…

 

Je ne peux pas finir ma phrase, Carole m’a posé la main sur ma braguette !

 

- Bien sûr que ça lui dit… conclue-t-elle à ma place.

 

Je remarque qu'on n’a pas demandé l’avis du biquet qui suit comme un toutou… puis je comprends que c’est chez lui qu’on se dirige.

 

On a tous pris le métro, on est face à face, moi à côté d’Angèle et les deux autres devant, on n’arrête pas de se rouler des pelles sous les regards mi-intéressés, mi-courroucés des voyageurs du samedi soir. Carole est particulièrement en délire, n’hésitant pas à peloter l’entre jambe du blondinet qui se pâme de contentement.

 

- C’est qu’il bande ce gros cochon ! Déclare Carole ! Tu sais, dit-elle s’adressant à Angèle, il a une très belle bite, je l’ai un peu sucé tout à l’heure dans la salle de bain, mais on a vite été dérangé… Tu veux la voir ?

- Bien sûr que je veux la voir, on a plus longtemps à attendre maintenant !

- Attendre quoi ? Tu peux nous la monter tout de suite, il n’y a presque plus personne !

- D’accord, montre-nous ta bite ! demande Angèle

 

Des dingues, me voilà embarqué avec une bande de dingues, pas grave je peux toujours quitter leur compagnie quand je veux, personne ne me retient ! Et l’autre qui s’exécute, et qui nous sort de son pantalon une superbe verge bien bandée !

 

- Hum ! Joli, j’ai hâte de la sucer ! Déclare la petite rousse.

- Moi j’ai hâte de me la foutre dans le cul… ajoute Carole. Et toi Vincent, tu la trouves comment la bite à Thibault ?

- Elle est très jolie, j’avoue ! Répondis-je avec une objectivité calculée.

 

Voilà une réponse qui interpelle fortement Angèle !

 

- Ah, bon, t’aime bien les bites ?

- Vous m’avez demandé si je la trouvais jolie, c’est vrai qu’elle est jolie !

- Oui mais est-ce que tu irais jusqu’à la caresser ou la sucer… demande de nouveau Angèle, le regard de plus en plus lubrique.

 

Et histoire d’ajouter à ma confusion elle a placé ma main sur ma braguette, me provoquant une érection quasi instantanée. Je cherche une réplique intelligente mais le blondinet me devance :

 

- En ce qui me concerne, s'il veut me la sucer, ça ne me dérange pas !

 

Du coup me voici bouche bée.

 

- J’ai toujours dis que tous les hommes étaient pédés ! Affirme doctement Carole ! Mais je m’en fous moi, ça m’excite ! J’ai vu une fois deux mecs s’enculer, c’était génial ! Bon Vincent, tu nous as pas montré ta quéquette, toi !

- Trop tard on arrive ! La coupe Thibault, semblant sincèrement désolé de ce contre temps.

 

Bon alors, je fais quoi ? Me voici embarqué avec deux nymphomanes complètement allumées et un bisexuel lubrique ! La petite phrase est prête à sortir : "J’ai un coup de pompe, je crois que je vais vous laisser et rentrer"… Mais ma petite phrase j’aurais déjà dû la sortir en sortant du métro… Car maintenant on est en haut des marches, et on se dirige vers l’immeuble du blondinet !

 

- Heu… je crois que j’ai…

 

Angélique ne me laisse pas finir, elle me colle sa bouche contre la mienne, m’entraîne dans un long baiser baveux, me recolle la main sur la braguette !

 

- Allez vient ! Conclut-elle

 

Ce que j’ai fait !

 

Et nous voilà tous les quatre dans le studio de Thibault ! C’est très moderne, très design, il nous met une petite musique planante et s’en va chercher à boire… Comme si on n'avait pas assez bu jusque-là ?

 

- Et tu vas nous servir comment ? demande Angèle

- Vous auriez aimé que je mette un petit tablier de soubrette ! Mais je n’en ai pas !

- Ben sers nous à poil alors ! Réplique-t-elle.

- C’est vrai, vous voulez ?

- Puisqu’on te le dit ! Confirme Carole.

 

Et pendant que notre hôte se prépare, Angèle me trifouille de nouveau, mais cette fois elle dézipe la fermeture éclair, introduit sa petite main à l’intérieur, fait quelques mouvements pour s’assurer de la rigidité de la chose, puis finit par l’extraire. !

 

- Pas mal, mais je préfère celle de Thibault dit Carole !

- Tais-toi, je goûte !

 

Et voilà la petite rousse qui plonge vers ma verge, et qui sans hésiter se la fourre dans le palais et entame quelques mouvements de va et viens

 

- Pas mal, un peu avancée, ça sent le mâle et la vielle urine !

 

Quel romantisme !

 

Mais voici que Carole veut goûter à son tour, elle suce d’une façon très différente de sa copine, privilégiant les mouvements de langue à ceux des lèvres.

 

Raclement de gorge. Voilà Thibault qui revient, il est nu comme un ver, il a une bouteille de champagne dans une main, et deux coupes dans l’autre. Personnage équivoque, très peu musclé, pour ne pas dire pas du tout, sans aucune pilosité, ce qui lui fait un torse lisse très ambigu renforcé encore par la présence de deux gros tétons roses aux bouts arrogants.

 

- Je vais chercher deux autres coupes ! déclare-t-il en se retournant !

 

Et le voici qui se dirige vers la cuisine en tortillant du cul, un joli cul bien rebondi… mais qu’est-ce que je suis en train de dire moi ?

 

- Il est mignon, hein ? M’interpelle Carole

- C’est assez troublant, je dois dire…

- Mets-toi donc à poil, nous les filles on se déshabillera après.

 

Je m’exécute en vitesse ! Thibault a servi le champagne.

 

- Tu sais Thibault, dit alors Carole, devines ce que Vincent a dit quand tu étais parti chercher les verres ?

 

Que va raconter cette folle ?

 

- Dis-moi !

- Il a dit qu’il mourrait d’envie de te sucer la queue !

- Hé, Oh ! Je n’ai jamais dit ça !

- Si, si il l’a dit ! Intervient Angèle.

 

Bon je récupère mes fringues et je me casse ? Mais voilà le blondinet devant moi, son sexe à hauteur de ma bouche :

 

- Ne fais pas attention, elles sont un peu agitées, contente-toi de me la caresser, ça va leur faire plaisir !

 

Bien joué, je touche, je caresse, c’est doux, très doux même, je la branlote un petit peu, les deux filles sont au spectacle ! Et le problème, le big problème c’est que ça me fait bander de faire ça et que je ne peux pas le cacher…

 

- Embrasse-la, juste un petit bisou ! Demande Angèle

 

C’est rien du tout un petit bisou sur la bite d’un homme, mais pour moi c’est beaucoup.

 

- Allez montre-nous que tu n’as pas de préjugé ! Ajoute Carole.

 

Ah ! Si le problème devient philosophique… j’embrasse la verge du mec.

 

- Un petit coup de langue, juste un petit coup de langue !

 

Ben voyons ! Mais je le fais ! J’ai compris aussi que l’escalade n’aurait de cesse que lorsque j’aurais toute sa bite dans la bouche ! Alors je souffle un grand coup et me voilà en train de le sucer. Je pensais en le faisant, me débarrasser de ce qui après tout, n’est qu’un jeu, mais voilà que j’y prends goût, je suce et je suce encore, c’est bon et ça me plait !

 

- Bon, tu en laisses un peu pour les autres ! Finit par dire Angèle !

 

Je lâche l’affaire presque à regret, réalisant ce que je viens de faire, de vieux fantasmes remontent à la surface de ma conscience… L’image de mon anus pénétré par le sexe d’un homme m’apparaît soudain, je chasse cette évocation, tout en sachant qu’elle ne pourra que revenir ! Surtout ne pas culpabiliser, surtout ne rien regretter, sinon je vais perdre les pédales, il faut au contraire assumer et c’est d’une voix affirmée que je déclare au grand étonnement des deux filles !

 

- Elle est super bonne, ta bite !

- Tu suces bien pour un débutant… si tu veux un jour je t’emmènerais dans un endroit où il a plein de bites à sucer….

 

Faut pas charrier, non plus… Bon, il faudrait peut-être qu’on passe à autre chose…

 

- Je peux goûter la tienne ? Demande Thibault

- Ben, oui….

 

Et voilà l’autre qui me suce… et c’est qu’il s’y prend divinement, à ce point que je suis obligé de le freiner afin de ne pas éjaculer dans sa bouche…. Il faut que je me calme… Un coup d’œil vers les filles, elles ne s’occupent plus de nous et se roulent un patin d’enfer. J’adore ça voir deux filles s’embrasser à pleines bouches.

 

On boit enfin notre champagne, je me suis rapproché d’Angèle et je la pelote, après tout c’était le but initial de l’après soirée, non ? Je lui déboutonne son corsage, puis le retire, elle se laisse faire sans problème, idem quand je dégrafe le soutien-gorge… la voici torse nue et je peux lui embrasser ses petits seins dont je fais buter les pointes contre le bout de ma langue. En face c’est à peu près la même chose, Thibault est en train de débrailler sa partenaire, elle aussi se retrouve rapidement dépoitraillée. Splendide poitrine, je n’ai pas choisi la bonne nana ce soir, mais telle que la partie a démarrée je pense que j’aurais aussi ma "part".

 

Angèle se redresse pour enlever rapidement tous le "bas", j’ai sa petite chatte sous le nez, et déjà je pointe ma langue, elle me laisse faire mais pas longtemps, se tournant et me présentant son petit cul. Elle s’écarte ses fesses, dévoilant son anus. Elle veut que je le lui lèche, ce n’est pas un problème ! La seule chose c’est que son trou du cul sent décidemment très fort, mais ça ne me dérange pas plus que ça ! Je m’efforce de pénétrer ma langue le plus avant possible.

 

- Alors il est comment mon troufignon ?

- Euh…

- Quoi, euh, t’as l’air d’apprécier en tout cas ? Dis-moi s’il sent beaucoup ?

- Pas mal oui ?

- J’peux goûter ? demande alors Carole qui me vire à moitié et dont la langue vient remplacer la mienne dans l’intimité de la petite rousse.

 

Je vous dis, pas moyen d’être tranquille ce soir ! Du coup pendant que la blonde lèche sa copine j’en profite pour lui tripoter les seins. Quant à Thibault, il est venu rouler un patin à Angèle, nous voici donc tous les quatre complètement mélangés. On souffle un peu, notre hôte ressert le champagne. Mais il n’y en pas assez pour tout le monde et il n’y a plus de bouteilles en réserve !

 

- C’est pas grave, je vais vous offrir le mien ! Dit alors Carole qui se saisit alors de la première coupe et se met à uriner à l’intérieur.

- T’es vraiment une cochonne ! lui dit Angèle en rigolant.

 

Carole finit de remplir les quatre coupes !

 

- J’ai encore du pipi en réserve, ceux qui veulent boire à la source sont les bienvenus !

 

J’adore ce genre de jeux, je me précipite aux genoux de la blonde et j’ouvre la bouche signifiant par-là que je suis volontaire pour recueillir le reste de son urine !

 

- Non, mais regardez-moi ce petit pédé, non seulement, il suce des bites, mais il boit du pipi, quel gros vicelard ! Plaisante telle !

- Pourquoi gros ?

- Allez place-toi bien, tu ne vas pas être déçu !

- Tu m’en laisseras une goutte ? Quémande Angèle

- Pas de problème c’est toi qui va me nettoyer.

 

Mais pour l’instant la douche dorée de la blonde me coule dans le gosier et j’avale tout avec délectation, ça va d’ailleurs trop vite et j’ai tendance à en mettre un peu partout, je reçois une véritable douche de pisse. Puis elle me demande de laisser la place à la rouquine.

 

Angèle recueille ainsi les dernières gouttes de sa copine, puis elle lui lèche la chatte, prétextant la nettoyer, mais Carole n’est pas folle, elle se baisse progressivement finissant par s’asseoir puis s’allonger sur le carrelage tandis que l’autre continue à lui laper le sexe. Un moment elle cesse, son visage vient à la hauteur de sa bouche et les deux femmes s’échangent un long baiser parfumé au nectar dorée, puis nouvelle pirouette, les voici en position de 69, Angèle dessus, Carole dessous, se léchant la chatte avec frénésie jusqu'à ce que leurs jouissances éclatent.

 

 

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Elles se relèvent toutes les deux un peu groggy et s’assoient l’une à côté de l’autre dans le canapé. Elles réclament de la flotte, c’est dire comme elles sont repues et fatiguées.

 

- Bon les mecs, vous allez nous faire un petit entracte ! Propose Carole quelques minutes plus tard…

 

Je pensais qu’elle allait nous proposer de nous sucer de nouveau mutuellement, aussi quand elle nous demanda si nous étions d’accord je répondis oui tout comme Thibault.

 

- Vincent, mets-toi à quatre pattes, me demanda la blonde ! Thibault passe devant et fais toi sucer, jusqu’à ce que ta bite soit très dure !

 

Pour l’instant le programme me convient, je reprends pour la seconde fois le joli cylindre de chair nervuré de mon partenaire et m’en délecte en bouche, m’acharnant à force de coups de langue et de mouvements de lèvres à le faire bander de fort belle façon.

 

- Continue, je vais le préparer ! Me dit soudain Carole

 

Me préparer quoi ? Et la voici qui se lève, qui me contourne et qui très rapidement m’introduit un doigt dans l’anus. Je me laisse faire, j’ai compris ce qu’elle veut, je m’étonne de ne même pas tergiverser ! J’ai envie de laisser faire tout simplement comme si le fait de me faire enculer était ce soir inéluctable. Un second doigt est venu accompagner le premier dans mon cul, puis un troisième, elle les écarte, me fouille.

 

- Met une capote et tu peux y aller ! Ordonne-t-elle à Thibault

 

Il y va, je sens le gland quémander l’entrée, puis passer, je sens la verge s’enfoncer, je sens le sexe de Thibault aller et venir en moi et j’aime ça ! Des ondes de plaisir me parcourent le corps ! L’affaire sera brève, mon partenaire jouira facilement. Je suis crevé, crevé mais content. Je n’ai pas joui, je ne bande plus. Je m’assois à moitié sonné sur le carrelage, surpris que mon cul mette autant de temps à se refermer. Carole, bonne fille vient me pincer les tétons afin de tenter de réaffirmer mon érection, et ça finit par marcher !

 

- Allonge-toi, je m’occupe de tout !

 

Si elle le dit… Effectivement, après l’avoir protégée, elle vient s’empaler sur ma bite quelques instants, puis très rapidement change de trou et viens faire coulisser son anus sur ma verge. C’en est trop, je finis par décharger. J’étais déjà crevé, me voici anéanti.

 

Je me suis réveillé au petit matin, allongé sur le canapé et revêtu d’une couverture.

 

- Les filles sont parties ! Me dit Thibault, Tu prends quoi pour ton petit déjeuner ?

- Je ne sais pas trop ! Je vais commencer par prendre une douche si ça ne te dérange pas !

- Tu veux qu’on s’amuse à la prendre à deux ?

- Pourquoi pas ! Répondis-je tandis que mon sexe commençait à se redresser…

 

Fin de l’épisode (à suivre)

 

Enzo - avril 2005

 

 

<i>Cet épisode a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Bi pour l'année 2005</i>

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 20 octobre 2013 7 20 /10 /Oct /2013 18:09

Saucisse-party

 par Enzo Cagliari

 

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Bonjour ! Je vis depuis peu avec Carole, une jolie brune assez délurée, nous avons la trentaine tous les deux. J'ai récemment changé de service dans ma boite d'assurance et j'ai rapidement sympathisé avec un nouveau collègue, qui se prénomme Victor.

 

Nous étions ce samedi soir invités chez lui dans son pavillon pour un barbecue ou plus exactement une saucisse-party puisque c'est le terme qu'il avait employé. Il habite un coin tranquille et d'épaisses rangées de thuyas sont de nature à dissuader les regards indiscrets. Il nous présenta sa femme Bérénice, une belle blonde, très souriante. Elle avait mis un petit haut très décolleté et comme vous pouvez l'imaginer je n'arrêtais pas de reluquer la naissance de sa poitrine. Bien sûr, discret comme je suis, elle s'en aperçut mais n'en fut point contrarié, bien au contraire, car elle se contenta de me faire des petits sourires.

 

D'après les conversations que nous avions eu au bureau, le collègue n'avait pas l'air coincé, mais bon, ce n'est pas parce qu'on est libéré côté cul qu'on partouze tous les jours avec tout ce qui bouge.

 

Les fins de repas sont souvent propices aux ouvertures coquines, l'alcool ingurgité aidant à se désinhiber.

 

Je décidais de lancer un "ballon d'essai" et proposais à Bérénice cette petite plaisanterie assez connue :

 

- Je vous parie 5 euros que je peux vous toucher les seins sans que vous vous en aperceviez.

- Je veux bien parier mais pas 5 euros.

- 10 ?

- Non, 50 !

 

Je me demande si c'est du lard ou du cochon, mais vu le petit sourire qu'elle me faisait, je lui dis "d'accord !", conscient que je prenais le risque que l'affaire se stoppe au bout de trois secondes.

 

C'est alors que Victor intervint et me demande :

 

- Euh, vous faites ce que vous voulez tous les deux, mais est-ce que je peux faire le même pari avec ta copine ?

- Si elle est d'accord…

 

Carole opine du chef, elle était d'accord.

 

Je commençai le premier. Ma main à l'extérieur de son petit haut, je caressais et massais le dos de Bérénice. Constatant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, je glissai ma main en dessous en me concentrant toujours sur le dos. La chaleur de sa peau m'encourageait à aller plus loin dans mon exploration Doucement, je passai ma main vers son ventre en remontant lentement jusqu'à sa poitrine. Je senti alors la pointe ferme de ses seins se dresser sous mes doigts. La sensation était merveilleuse. Bérénice ne disait rien, se contentant d'apprécier la caresse. De l'autre côté de la table, mon collègue faisait la même chose avec Carole.

 

Je ne sais pas ce qui m'excitait le plus : voir ma copine se faire tripoter les seins par un autre homme ou moi-même caresser les seins d'une autre femme, toujours est-il que je commençais à sentir une certaine pression dans mon pantalon.

 

Berénice s'en aperçut et me plaqua sa main sur la braguette.

 

- Tu me montres ? Demanda-t-elle.

 

Il y a des moments où l'on raisonne davantage avec son sexe qu'avec son petit cerveau, aussi détachais-je donc mon pantalon et montrais à ces messieurs dames, l'effet que la situation produisait chez moi.

 

- Quelle jolie bite ! S'exclama Victor.

- T'aimerais bien la sucer, hein ? Ajoute Bérénice.

- Pourquoi pas ?

 

Je ne réponds pas. Me voilà embarqué dans une direction totalement imprévue. Si ça va trop loin, je vais invoquer une migraine diplomatique pour arrêter les frais.

 

Bérénice n'insiste pas et demande alors à sa vis-à-vis de vérifier si l'effet était le même chez son compagnon. Ce qui fut aussitôt fait. Et voici donc notre Victor à son tour la queue à l'air !

 

- Elles sont bien belles toutes les deux, difficile de dire qu'elle est la plus belle ! Commente Bérénice

- Faut tâter la marchandise ! Propose Carole.

- Alors tâtons !

 

Bérénice après s'être débarrassée prestement de son haut et exhibant une magnifique poitrine lourde et laiteuse prit ma queue dans sa main et commença à la caresser en lui imposant un doux mouvement de va-et-vient. Elle demanda alors à Victor de s'approcher à ses côtés et lui fit la même chose de son autre main. Quelle spectacle de la voir ainsi au milieu de deux hommes une queue entre chaque main ! Carole choisit de se déshabiller complétement avant de venir prendre la place de Bérénice et s'affaira de la même façon à nous prodiguer ses douces caresses pendant quelques minutes avant de passer de nouveau le relais à sa complice.

 

Il se passa alors quelque chose d'étrange, Bérénice nous fit nous rapprocher Victor et moi et nous placer face à face de telle façon qu'elle puisse faire rouler nos deux bites l'une sur l'autre. Ce contact me troubla profondément. Mais ce n'était pas fini, elle s'agenouilla et se mit à sucer nos deux bites d'abord alternativement puis en même temps.

 

Tout d'un coup, alors que Bérénice continue à me sucer, Victor se baisse, et sans que j'ai le temps de réaliser, il se joint à sa compagne pour me sucer.

 

Moment d'hésitation ! Je regarde à gauche, je regarde à droite. Carole s'approche !

 

- Laisse-toi faire, laisse toi faire ! Me dit-elle.

 

Ben oui je me suis laissé faire ! Et je vais vous dire : Qu'est-ce qu'il suçait bien, c'est la première fois qu'on me suçait d'aussi belle façon ! Je dû malgré tout le faire arrêter n'ayant pas l'intention de jouir de suite.

 

- A ton tour ! Me propose-t-il.

- A mon tour ?

- Ben, oui, c'est chacun son tour ! Intervint Bérénice.

- Peut-être pas aujourd'hui ! Balbutiais-je.

- Tu ne vas pas te dégonfler ! Intervient Carole

- C'est pas mon truc !

- T'en sais rien, t'as jamais essayé !

- Mais vous m'emmerdez un peu, là. Je ne suis pas pédé d'abord !

- Mais moi non plus ! Rigole Victor.

- Qu'est-ce que ça te coute d'essayer ! Insiste Carole. Regarde comme elle est belle cette bite ! Avec ce joli gland, cette petite veine toute bleue ! Gloups ! Un régal.

 

Les deux filles se remettent à sucer la bite de Victor. Puis je sens deux mains qui me tirent. Je me retrouve à genoux.

 

- Tu ne vas pas gâcher la soirée avec tes caprices de jeune fille ! Tu essaies, et si vraiment tu bloqué, alors on en parlera plus, mais au moins tu auras essayé ! S'énerve un peu Carole.

 

Evidemment vu comme ça !

 

Allez, je me lance ! Etonnant comme le pas a été rapide à franchir, j'ai la bite de Victor dans la bouche et je la suce, du moins je fais ce que je peux, je fais comme dans les films porno, je la fais coulisser entre mes lèvres.

 

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- C'est bien ! M'encourage Bérénice.

 

Bon ben voilà, si c'est bien je vais arrêter, et on va peut-être passer à autre chose… Mais non, Bérénice s'agenouille à mes côtés, me fait signe de rester en place.

 

- Je vais te montrer comme faire. Voilà, commence par donner des petits coups de langue sur le frein, comme ça pas trop vite, vas-y essaie.

 

Elle me fait craquer avec son sourire et ses gros nichons, je n'ai pas envie de la contrarier, je fais comme elle a dit

 

- Tu apprends vite, maintenant fais courir ta langue tout le long de la verge, voilà, comme ça…

 

Bref, elle me donne un cours, puis y met fin en me présentant sa chatte. Elle est trempée, une vrai soupe, je lèche le jus, je me délecte de ses chairs intimes, elle s'allonge, je continue à sucer et attaque son clito. Quelques minutes plus tard son cri de jouissance perçait le silence du crépuscule.

 

Je me relève pour apercevoir Carole et Victor en parfait 69.

 

Ces deux-là n'ont pas tardé à jouir. Et moi ?

 

- Je vais te faire un beau cadeau me dit Bérénice.

 

Elle enlève le bas et se met alors en levrette, le cul ouvert ! Quel spectacle !

 

- Prend une capote dans la coupelle sur le rebord de la fenêtre et encule-moi !

 

Carrément !

 

Et ils avaient même prévus les capotes.

 

Comment résister au spectacle de ce joli cul dont elle écarte l'orifice brun de ses mains parfaitement manucurées ? Une irrésistible envie de lécher, je m'enivre de l'odeur de son cul, puis n'y tenant plus je la pénètre hardiment. Et c'est parti, je m'efforce de faire durer le plaisir, mais ce n'est pas facile.

 

Victor passe derrière moi et me tripote les fesses. Il ne peut pas me foutre la paix celui-ci ? Carole le rejoint. Et tandis que j'encule toujours Bérénice je sens un doigt qui me pénètre le trou de mon cul ! Je ne suis pas insensible à cette caresse que Carole aime me prodiguer, mais ne me servant pas de rétroviseur quand j'encule, voilà que j'ignore si le doigt qui me doigte est masculin ou féminin. En tous cas j'aime bien.

 

Carole repasse devant moi et s'en va rouler une pelle à Bérénice. Le doigt est donc bien celui de Victor, je vous dis, c'est la soirée des nouveautés.

 

La belle blonde finit par crier sa jouissance (pas trop discrète la nana). Du coup je me lâche et la rejoins quelque part dans le ciel !

 

Bérénice s'est affalée sur la pelouse, et Carole vient la câliner. Très vite elles se retrouvent en 69 en train de se lécher le minou !

 

Je suis un peu H.S. je me sers un grand verre d'eau gazeuse. Avec Victor on mate.

 

- Quelles sont belles ! Commente ce dernier !

 

Sa main se fait baladeuse et il me tripote la bite ! Il est complétement obsédé ce mec-là ! Je ne dis rien, qu'est-ce que voulez que je dise ? Il se sent encouragé et se met à me branler nonchalamment.

 

- On va peut-être faire une pause ! Proposais-je

 

Les deux nanas n'en finissent plus se s'emmêler et de s'entremêler, elles ont la rage de jouir et finissent par se faire hurler mutuellement. Elles se relèvent dégoulinantes de sueur, de mouilles, et des brins d'herbes collés sur le corps. Mais Bérénice ne reste pas longtemps debout, elle s'accroupit et se met à pisser d'abondance. Quel spectacle que ce jet très dru qui rebondit en clapotant sur la terre. Du coup Carole en fait autant. J'aurais dû emporter mon appareil photo.

 

Victor s'approche de sa femme… il ne va pas… Si ! Il pisse carrément sur sa femme qui rigole comme une bossue…

 

- T'en veux aussi ? Demande-t-il à Carole !

- Oh, oui ! Pisse-moi dessus !

 

Et ma cochonne de Carole ouvre la bouche afin de pouvoir avaler quelques gouttes.

 

Moment de franche rigolade. Mais on est tous exténués, on ramasse nos vêtements, on rentre dans le pavillon.

 

- On va peut-être rentrer, il se fait tard ! Proposais-je !

- Ce n'est pas très prudent…

- Je n'ai pas tant bu que ça, je conduirais ! Intervient Carole.

 

Bisous, bisous, on se quitte.

 

- On pourrait les inviter chez nous dans quinze jours ? Me propose Carole une fois dans la voiture.

- Si tu veux !

- Victor faisait une telle fixation sur toi qu'il ne m'a même pas baisé ! C'est pas juste !

- Tu sais que finalement, ça ne m'a pas déplus de lui sucer la bite ?

- Oui, je m'en suis rendu compte ! Tu aimerais recommencer ?

- Oui ! J'aimerais même aller plus loin !

- Tu voudrais qu'il t'encule ?

- Oui, j'ai maintenant envie d'essayer ! Sentir sa belle bite dans mon cul, ça doit être quelque chose, non ?

- Arrête, tu m'excites

 

Octobre 2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 23 juin 2013 7 23 /06 /Juin /2013 11:19

Coiffeur pour dames

par Enzo

 

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A l'époque j'avais trouvé un petit boulot de coursier, non seulement c'était horriblement mal payé mais c'était à moi d'entretenir la bicyclette… Passons, j'avais 22 ans, pas de liaisons… Enzo, brun, presque imberbe, et plutôt allergique au sport sinon celui en chambre et la marche à pied.

 

J'apportais un paquet chez un coiffeur pour dame dans une rue bobo du 7ème arrondissement. Le mec, un quinquagénaire plutôt bien conservé me regarde comme si j'étais une apparition. La légende qui veut que tous les coiffeurs soient homos serait-elle fondée ?

 

Le type me file un pourboire de prince !

 

- Je vous trouve charmant ! Dommage que vous ne soyez probablement pas homo ? Me dit-il… Carrément.

- Je peux l'être si on me paie ! Répondis-je du tac au tac.

- Et bien passez me voir ci soir à 20 heures, vous aurez peut-être trois clients d'un coup.

- Sérieux ?

- Très sérieux.

 

Et à 20 heures, j'étais là ! La porte est fermée, je toque, une femme vient m'ouvrir. Une femme ?

 

- Bonjour, je suis Marie-Claire, la femme du patron, asseyez-vous, il est avec deux amis, je vais lui dire que vous êtes là ! Amusez-vous bien !

 

Ça alors !

 

Marie-Claire ferme le rideau de fer de la boutique, disparait dans une arrière salle et revient avec son mari et deux autres hommes, puis va tranquillement s'assoir sur un fauteuil d'attente.

 

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max me dit le patron

- Moi, c'est Enzo !

- Et voici mes amis Gérard et Edmond.

- Il est mignon ! Commente Gérard !

 

L'autre me touche le cul ! Faut surtout pas se gêner ! Je me dégage avec un sourire de politesse

 

Max doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et petite moustache il est en chemise ouverte, grise et bordeaux à rayures. Les deux autres ont plutôt la soixantaine.

 

- Voilà une enveloppe pour vous, on se donne une heure et demie, ça te va ?

 

Je regarde dans l'enveloppe sans toutefois recompter, ça a effectivement l'air d'aller.

 

- OK quel est le programme ? Demandais-je.

- D'abord je te baise, mes amis se contenterons de regarder, ensuite ce sera la seconde partie, ce sera à eux de jouer… Toutes les pénétrations seront avec capotes. Ça te va ? Des questions ?

- Non, ça va !

- Et bien, allons-y mets-toi à poil !

 

Gérard et Edmond vont s'assoir mais du côté opposé à Marie-Claire.

 

Me voilà face à face avec Max. Je me déshabille devant lui sous son œil concupiscent. Lui aussi se déshabille, il est plutôt bien conservé avec quand même un petit peu de bedaine.

 

- Hum pas mal du tout ! Me flatte-t-il en me caressant.

 

Il bande bien

 

- Vas-y suce moi la queue !

 

Ben, oui, je suis venu pour ça ! Elle me plait bien sa queue, bien droite, terminé par un joli gland violacé. Allez hop dans la bouche, la bite, je fais des longs mouvements de va-et-vient, Max est aux anges. Histoire de faire durer un peu le plaisir, je lui gobe les couilles, il apprécie.

 

- T'es une bonne salope de suceuse ! Me dit-il dans un moment de poésie. Suce moi aussi un peu derrière.

 

Pourquoi pas, je ne déteste pas lécher un joli cul. Je le contourne et lui écarte les fesses, puis ma langue vient lui taquiner l'œillet. Odeur légèrement forte. Normal, un cul c'est un cul. Je parviens à bien lui lubrifier l'œillet, je me demande si je peux me permettre un doigt, mais il ne me le demande pas, il doit être exclusivement actif. Ça arrive !

 

Je repasse de l'autre côté et reprend sa bite en bouche

 

Vous connaissez la chanson ? "La bite en bouche, la voilà la jolie bite, bitons, bitons, bitons…"

 

Je m'amuse à lui titiller le bout du gland avec la pointe de la langue, comme j'adore qu'on me le fasse, je suppose que ça lui plait bien.

 

- Oh, là là, oh, là là là commente-t-il.

 

Je me recule un peu, examine le résultat de mes talents : Sa bite est raide comme la justice, elle est vraiment très jolie. Je sens que l'avoir dans mon cul ne sera pas une corvée. Mais j'attends qu'il me le demande.

 

- Suce encore !

 

Au cas où je n'aurais pas compris…

 

Un petit coup d'œil sur les fauteuils d'attente, sur ma droite Gérard et Edmond ont sorti leur bite et se masturbent en profitant du spectacle comme des gros pervers. Mais les gros pervers, moi, ça m'excite. De l'autre côté Marie-Claire s'est dépoitraillée et a baissé son pantalon, elle se branle la foufoune d'une main pendant que de l'autre elle se tire sur les tétons.

 

Quelle ambiance !

 

Je continue à sucer, mais je commence à avoir mal à la mâchoire, je fais diversion en donnant de grands coups de lèche sur sa verge.

 

- Mets-toi à quatre pattes, je vais t'enculer. Non, pas comme ça, il faut que ma femme puisse bien voir !

 

O.K. Je rectifie la position, je me cambre et m'écarte les fesses. Max me tartine le troufignon avec du gel, puis je sens le gland qui quémande l'entrée. Une petite poussée et ça entre. Il pousse encore, ça y est, j'ai toute sa bite dans mon cul. J'adore cette sensation, et j'adore encore davantage quand il entreprend d'aller et venir d'un bon rythme. Je me sens vraiment salope de me faire enculer comme ça devant trois témoins excités comme des puces.

 

J'ai le cul plein de sensations électriques, je suis bien, je suis aux anges, je plane !

 

Il m'a bien limé comme ça pendant dix minutes, je ne sais pas trop, on perd la notion du temps quand on se fait enculer. Il se retire, il n'a pas jouit. On fait quoi maintenant ?

 

- Mets-toi sur le dos, les cuisses bien en l'air !

 

O.K. Il va m'enculer par devant. Ce vieux cochon veut jouir en me regardant. Il a raison, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! En revanche, pour ce qui me concerne, je n'aime pas trop cette position, d'abord elle devient rapidement fatigante, et puis le Max comme image érotique, on fait mieux quand même ! Mais que voulez-vous, business is business. Max a toutefois la très bonne idée de s'agripper plutôt après mes tétons, et ça c'est un truc qui m'excite super bien. Après dix minutes de "je rentre, je sors "en roue libre", il s'énerve brusquement, accélère et finit par jouir en poussant un cri de loup-garou sous la pleine lune.

 

Il m'a bien enculé, ce vieux cochon, j'ai joui du cul. Curieuse sensation post sodomique d'avoir le cul qui refuse de se fermer. Manifestement, il n'est pas rassasié, mon petit doigt me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir encore.

 

Max veut m'embraser, je me laisse faire, mais c'est un supplice, il pue le vieux tabac et pique comme un hérisson. C'est vraiment trop compliqué de se raser avant de recevoir un beau gosse comme moi et de s'asperger de spray buccal ?

 

- Va t'occuper de ces messieurs ! M'ordonne-t-il.

 

On y va, on y va…

 

Gérard est un homme complétement chauve habillé avec élégance, chemise bleue, cravate assortie d'un bleu plus soutenu. Edmond est en chemise blanche et cravate grise. Quel idée de porter cravate lorsqu'on est retraité !

 

Quelle queue entreprendre en premier ? Je choisis la plus belle (Tant qu'à faire !) C'est celle d'Edmond. Je la prends dans ma main, me baisse et l'engloutit aussi sec dans ma bouche. Et pour que Gérard ne soit pas jaloux, je tends la main gauche pour le branler.

 

Je me recule quelques instants pour permettre à ces messieurs le temps de se déshabiller, mais je ne les laisse pas se rassoir, je m'accroupis et joue avec les deux bites, tantôt dans la bouche, tantôt dans la main. Les deux retraités excités comme des puces se roulent des patins et se pince les tétons. Ça chauffe, mais, ça chauffe !

 

Edmond se dégage un peu, se met une capote sur la quéquette et passe derrière moi. Pas besoin de me faire un dessin, je me penche légèrement et écarte les fesses. Quelques instants plus tard, j'avais sa bite qui me pilonnait le trou du cul... Gérard lui, pendant ce temps s'agenouille devant moi et me suce la bite.

 

C'est à cet instant que j'ai eu un moment de panique, complétement occupé avec ces deux vieux mâles en rut, je ne pouvais observer le siège sur lequel j'avais laissé mes affaires et mon portefeuille. Max ou Marie-Claire pouvait s'en emparer sans problème… et dans ce cas-là, je ferais quoi ? J'étais en infériorité numérique et je ne me voyais pas aller porter plainte. Bon pensons à autre chose, on verra ça après !

 

Je dois avouer que ces deux retraités ne s'y prenaient pas trop mal, j'étais ma foi, bien enculé et bien sucé, mais ils ne souhaitent manifestement pas que l'affaire se termine trop vite. Edmond sort de mon cul, retire la capote et m'offre de nouveau sa bite à sucer pendant que Gérard se branle tout seul quelques instant avant de m'accompagner dans ma fellation. Heureux Edmond qui se fait sucer la bite par deux mecs !

 

Mais rapidement, Gérard a une autre idée en tête, il ne m'avait pas encore enculé celui-ci, alors il le fait pendant que je continue à sucer son ami.

 

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Petite pause, puis Edmond encule Gérard qui me suce. Ce dernier semble fatigué et se couche carrément par terre, il change encore une fois de capote (on en fait une de ses consommation) et je m'empale sur lui, il jouit facilement.

 

Au tour d'Edmond maintenant, mais il veut terminer autrement, on se met en soixante-neuf, je l'averti néanmoins de ne pas m'éjaculer dans la bouche.

 

Et tandis que je pompe la bite du retraité, je sens quelque chose de chaud qui m'arrose le cul ! C'est Gérard qui me pisse sur les fesses. Faut pas se gêner, mon vieux ! Je n'ai rien contre, mais les bons usages veulent que l'on demande avant ! Non mais des fois !

 

- Ça vient ! Me prévient Edmond.

 

Je dégage ma bouche et le laisse jouir.

 

Ben si je comprends bien, c'est fini, les trois mecs ont joui, j'étais venu pour ça, moi je n'ai pas joui, mais je n'étais pas venu pour ça !

 

Je me dirige vers le coin où j'ai laissé mes affaires, je prétexte le fait de prendre un kleenex pour m'essuyer le cul et je vérifie si l'enveloppe est toujours dans ma poche ! Oui ! Ouf !

 

- T'a été très bien, me dit Max, laisse-nous tes coordonnées, on pourra peut-être recommencer. Euh, je crois bien que Marie-Claire aimerait que tu la baises ! Mais tu n'es pas obligé, tu n'aimes peut-être pas les femmes ?

- Si, si ! Ce sera un plaisir !

 

Marie-Claire est affalée dans un fauteuil, dépoitraillée et la chatte à l'air.

 

- Baise-moi vite ! Supplie-t-elle

 

J'aurais aimé la caresser, la peloter un petit peu, non Madame veut de la bite, violente et directe, tant pis pour moi ! Je m'encapote, je m'approche, je m'enfonce et je la baise. Trois minutes après c'était fini. Pas très romantique et pas très érotique non plus ! Mais ça fait du bien de se vider les couilles.

 

Les deux cravatés finissent de se rhabiller, j'en fais autant de mon côté. On ne me demande pas si j'ai besoin de quelque chose, j'ai soif, mais on ne pense même pas à m'offrir un verre d'eau. Me voyant prêt, Max, va relever le rideau de fer de la boutique. Il me serre la main, les autres sont allés vers le fond et ne m'ont même pas dit au revoir.

 

Marie-Claire s'approche de moi et me roule une rapide gamelle.

 

- Tu sais, moi aussi j'ai été pute autrefois, me confie-t-elle, je ne regrette rien. Profites en bien.

 

Curieux comme ces quelques paroles m'ont fait un bien énorme.

 

C'est fini, je suis dans la rue ! Moment d'angoisse, pourvu qu'on n'ait pas profité de l'instant où je baisais Marie-Claire pour me faire les poches ! Non tout est là !

 

Allez, de quoi, je me plains, j'ai bien gagné ma journée !

 

Fin

 

23/6/2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 26 novembre 2011 6 26 /11 /Nov /2011 08:50

Zone industrielle

ou le string violet

par Enzo

 

Bombe.jpg Thémes abordés :bisex masculine, bizarre, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, feuille de rose, scato légère, uro

 

 

Laurent Pichu, 35 ans, chômeur… Et il faut que je me dépêche, je vais être en retard…

 

Il fallait vraiment que je sois dans la déche pour accepter cet entretien d'embauche où l'on ne demande que des célibataires (ce qui tombait bien, je le suis depuis plusieurs mois). La boite est une entreprise de recouvrement de créances. Comme métier de pourri on fait difficilement pire, mais que voulez-vous, il faut bien gagner sa croute !

 

J'ai mis mon vieux costume gris, une chemise blanche que j'ai repassée ce matin, une cravate discrète, j'ai bien ciré mes vieilles godasses, je me suis rasé de près, j'ai soigné ma coiffure, j'ai lavé les verres de mes lunettes, je me suis aspergé d'eau de toilette, je me sens ridicule.

 

En plus le truc est situé dans une zone industrielle difficile d'accès… C'est sinistre ! L'entrée est filtrée par un garde-chiourme qui me parait avoir un coefficient intellectuel d'encornet, je dois laisser mes papiers à l'entrée et on m'affuble d'un horrible badge vert fluo indiqué "visiteur".

 

On m'indique un numéro de porte, une salle d'attente, probablement improvisée puisque les sièges sont tous pliants.

 

J'avais rendez-vous à 9 h 30 ! Il est 9 h 20.

 

Je murmure un vague bonjour, quelques-uns me répondent du bout des lèvres, des gens de tous âges. J'ai du mal à en imaginer certains d'entre-eux aller intimider des pauvres gens pris à la gorge avec leurs dettes ! Je compte : en m'incluant, nous sommes 10, quatre autres personnes arriveront ensuite, deux femmes et deux hommes.

 

Il n'y a rien pour nous aider à patienter. Je rêvasse. On attend jusqu'à 9 h 45. A ce moment une créature de rêve pénètre dans la salle.

 

Brève description de cette personne qui va avoir un rôle important dans cette historiette :

 

Dans les 35 ans, grande, 1 m 75, un visage ovale très fin avec un nez un peu long, des lunettes en écaille, des cheveux blonds méchés mi-longs, des yeux bleu vif, une bouche sensuelle. Elle porte une petite robe noire, retenue par de fines bretelles, laissant découvrir de belles épaules dorées. Et s'il n'y avait que ça que la robe laissait découvrir : Non ! Car la robe est décolletée, très décolletée, et la poitrine est au moins un 95 D. Je vous dis : une apparition !

 

Aucun bonjour, un vague regard circulaire.

 

- Cette salle est sous contrôle vidéo. Nous avons donc pu constater que deux personnes sont arrivées en retard, je vais demander à ces personnes de quitter immédiatement l'établissement.

- Mais je… tente de protester l'une des intéressées

- Vous disparaissez ! Aucune explication n'est admissible, vous ne croyez tout de même pas qu'on va engager des gens qui arrivent en retard à un entretien d'embauche !

 

On n'est plus que 12. La mégère nous distribue des feuilles pré-imprimées, puis quitte la salle en nous indiquant qu'elle reviendra dans dix minutes ramasser les copies. Il s'agit d'un questionnaire succinct avec des questions étranges : "Ajoutez-vous du poivre dans vos spaghettis ?" "Gardez-vous les meilleurs gâteaux pour la fin ?" "Éteignez-vous l'électricité au disjoncteur quand vous changez une ampoule électrique ?" et puis celle-ci : "Avez-vous déjà joué à un jeu au cours duquel vous étiez attaché ?" Il y a ensuite quelques tests débiles de connaissance générale : genre situer Bordeaux et Lyon sur une carte de France. Un moment, ma voisine sèche sur la capitale de l'Espagne, elle me demande si c'est bien Barcelone. Je me souviens qu'on doit être filmée et je refuse de l'aider. Je m'en veux de mon attitude, ça ne me ressemble pas. Sur le dernier feuillet il y a des objets à identifier parmi plusieurs choix possibles : un éplucheur de légumes, une clarinette… et un paddle. J'avoue ne pas comprendre ce que fait ce dernier objet sur un test d'embauche ?

 

A 10 heures, Caroline Duchêne, puisque c'est son nom, revient : Elle désigne trois personnes du doigt, dont ma voisine.

 

- Vous, vous et vous, vous avez essayé de tricher, vous pouvez regagnez la sortie.

- Salope ! Lui lance l'une d'entre elles.

- Je le sais ! Mais si vous persistez dans vos insultes, c'est la sécurité qui va vous conduire à la sortie, et ce sont des gens un peu rustres qui ne connaissent pas bien les bonnes manières pour le faire...

 

L'autre n'insiste pas mais lui lance un regard de haine.

 

On est plus que 9. La Caroline s'en va avec nos copies.

 

10 h 15 : Madame foldingue revient :

 

- Mesdemoiselles Morin et Landy, le test est bon, mais vous allez devoir attendre un peu, c'est mon mari qui s'occupe des entretiens avec les postulantes féminines. Monsieur Pichu votre test est bon, vous allez me suivre, pour les autres la sortie c'est par là !

 

Je n'en reviens pas ! Car souvenez-vous : Monsieur Pichu, c'est moi !

 

Me voilà dans le bureau de la mère Duchêne !

 

Elle me pose des tas de questions, des sérieuses et des classiques. J'essaie de répondre en évitant de lorgner dans son décolleté, mais ce n'est pas facile, c'est qu'il est fantastique son décolleté ! Un moment, l'une de mes réponses semble la faire réfléchir, et la voilà qui se met à regarder en l'air en suçant son stylo, toute langue dehors, et en se caressant le téton de sa main gauche par-dessus sa robe. Je ne sais plus où me foutre.

 

Elle se lève, s'approche de moi, me toise !

 

- Est ce que je suis votre genre de femme ?

- Je n'ai pas de genre en particulier, mais je dois avouer que vous êtes une belle femme !

- Qu'est-ce que vous en savez ? Vous ne m'avez jamais vu à poil !

 

Tentative de déstabilisation ?

 

- Je parlais de votre allure et de votre visage ! Répondis-je gauchement.

- Ben voyons, vous ne fantasmez jamais sans doute, j'ai pourtant la tenue qu'il faut…

 

Je ne réponds pas, qu'est-ce que vous auriez voulu que je réponde ? De plus, je suis à présent quasiment persuadé que cette salope n'a nullement l'intention de m'embaucher, elle est en train de jouer. Alors d'accord, on joue, mais je ne sais pas si ça va m'amuser longtemps.

 

Elle se penche vers moi, me renifle !

 

- Vous sentez bon, la plupart des hommes ne savent pas se parfumer ! C'est quoi ?

- Un truc de supermarché, je suis au chômage…

- Chut ! Je ne vous ai pas demandé de me raconter votre vie !

 

Elle a la naissance de ses seins à 30 centimètres de mes yeux.

 

- Je vous excite, on dirait ! Reprend-elle.

 

Et soudain la voilà qui me pose sa main sur ma braguette.

 

- Vous bandez, on dirait bien !

 

Je rêve, c'est un entretien d'embauche, ça ?

 

- Vous êtes très perspicace ! Répondis-je.

- Ça ne vous gêne pas si je laisse ma main là ?

- Mais, pas du tout, faites comme chez vous !

- Alors dans ce cas, je vais même aller plus loin.

 

Elle me défait la fermeture éclair, introduit la main dans mon pantalon, me caresse la bite par-dessus mon caleçon, puis finit par déballer tout ça au grand air, me branlotte un petit peu puis s'éloigne.

 

Frustration.

 

- Jolie queue !

- Merci !

- Donc je résume, vous savez reconnaitre un paddle, vous avez déjà joué à un jeu au cours duquel vous étiez attaché ! Vous ne seriez pas un peu maso, par hasard ?

- Un tout petit peu !

- Vous aimez qu'on vous domine ?

- Ça ne me déplait pas !

- Je peux continuer à vous tester dans ce sens ?

- Est-ce que ça fait partie de l'examen d'embauche ?

- Bonne question, mais vous avez mis un certain temps à la poser ! Autant vous prévenir tout de suite, l'embauche que je vous propose n'a rien à voir avec une société de recouvrement.

- Ah ?

- Ben oui, je n'y connais rien en recouvrement, on m'a prêté ce bureau, mais je suppose qu'ils recherchent dans cette activité des éléments avec des tendances sadiques, plutôt que des éléments avec des tendances maso !

- Et donc vous embauchez dans quelle activité ?

- Vous n'avez pas une petite idée ?

- Rapport avec le sexe ?

- Patientez encore un peu, bientôt vous saurez tout, ce que je voudrais c'est continuer à vous tester !

- Alors testez-moi !

- Ça risque d'être un peu trash, vous être prévenu.

- On verra bien !

 

Je suis alors de plus en plus persuadé qu'elle n'a nullement l'intention de m'embaucher ni comme agent de recouvrement ni dans un autre emploi.

 

- A poil, chien !

- Pardon ?

- Oh ! Approche-toi !

 

Elle me gifle, j'encaisse sans rien dire, me voilà dans une séance SM imprévue et c'est comme ça que je prends la chose, c'est comme cela aussi que je la prends quand elle me demande d'ouvrir la bouche et qu'elle me crache dedans.

 

- A poil, chien ! Répète-t-elle.

 

Alors d'accord, me voilà presque tout nu !

 

- Les chaussettes aussi !

 

Pourquoi faire ? Mais bon, allons-y.

 

- Pas très musclé, et un peu de bidon, si vous voulez que je vous embauche, il faudra faire un petit régime et un peu de sport. Voyons voir les tétons.

 

Sans aucun ménagement elle me les serre avec force, je pousse un cri où se mélangent la douleur et le plaisir.

 

- Parfait ce côté-là, le cul maintenant… Oh, joli, très doux, pas trop poilu, bien cambré, pas mal du tout ! Commente-t-elle en me gratifiant d'une jolie claque sur la fesse gauche. Penchez-vous et écartez-vous un peu, je vais vous introduire un doigt dans le cul. Vous aimez ça j'espère ?

- Ce n'est pas désagréable !

 

Ça y est j'ai son doigt dans l'anus et il fait des allers et retours assez rapides. C'est très agréable, j'adore ça !

 

- On y prend goût on dirait ?

- Vous faites ça très bien !

- Vous vous faites-ça tout seul parfois ?

- Ça m'arrive !

 

Elle ressort son doigt, le regarde, constate qu'il est très légèrement sale.

 

- Pas très propre votre cul ! Vous m'avez sali le doigt, espèce de porc !

 

J'ai de nouveau droit à une paire de gifles et à quelques crachats, puis de façon totalement inattendue elle se met à se déshabiller complètement. Je suis subjugué, cette femme est trop belle ! La poitrine est parfaite, elle semble défier les lois de la pesanteur et les gros tétons bruns qui la terminent semblent me narguer. Je bande de nouveau comme un cerf.

 

- Tenez, je vous offre mon string, ça vous fera un souvenir.

 

Je la remercie et porte à mon nez ce minuscule string mauve parfumé de ses effluves intimes.

 Caroline.jpg

- Alors vous me trouvez comment ? Demande-t-elle.

- Magnifique !

- Merci pour le compliment, mais votre bite avait déjà parlé pour vous. Je vous propose un deal, vous allez avoir l'autorisation de me caresser pendant cinq minutes, ça vous intéresse ?

- Bien sûr !

- En contrepartie, vous allez me lécher et me nettoyer ce doigt qui n'est décidemment pas très propre !

 

Glups !

 

La scato n'est pas mon truc, mais tout n'est qu'une question de dosage et d'excitation, cette dernière permet souvent de se dépasser, et c'est vrai que quand je me doigte tout seul et qu'il me faut remettre un peu de salive, je ne fais pas trop de manières… Et puis là, il y a la contrepartie. Donc je lèche, ça n'a rien d'abominable... Puis j'attends l'autorisation de la caresser. Autorisation qui ne vient pas. Je lui demande ou pas ? Je lui demande.

 

- Je ne vous ai pas dit quand ! Répond-elle, simplement.

 

Elle s'en va farfouiller dans un sac en plastique et en ressort un gode et un martinet.

 

- Je commence par quoi ? Demande-t-elle.

- C'est comme vous voulez ?

- Non, j'attends votre réponse !

- Disons le martinet !

- Et pourquoi le martinet d'abord ?

- Je n'en sais rien à vrai dire !

- Il y a toujours une raison à un choix, même quand c'est inconscient…

 

Nous voilà en pleine psychanalyse de supermarché !

 

- Dans votre questionnaire, vous aviez répondu que vous gardiez les meilleurs gâteaux pour la fin ! Donc vous avez décidé de supporter l'épreuve du martinet pour ensuite vous consoler en jouissant du cul.

- Peut-être…

- Mettez-vous par terre en levrette, je vais vous rougir le cul !

- Pas trop fort, s'il vous plait !

 

Je n'aurais pas dû dire ça, ça va l'énerver, mais de toute façon, si c'est trop fort, je me sauve ! Et tout d'un coup je pense aux vigiles, et s'ils ne me laissaient pas sortir ? Et si j'étais vraiment tombé sur une dingue dangereuse ? Voilà le genre de réflexions qui me fait débander.

 

Mes craintes étaient infondées, elle ne tape pas trop fort, mais bon ça cingle quand même, c'est du martinet. Je reçois ainsi une dizaine de coups.

 

- Allez, écartez bien vos fesses, que j'introduise ce machin.

 

J'écarte !

 

- C'est serré, tout ça ! Il va falloir faire un petit entrainement pour faciliter l'introduction…

 

Qu'est-ce qu'elle me raconte ? Et la voici qui fait aller et venir le gode ! Ça me donne des frissons de truc là.

 

Elle le ressort, le regarde, soyons juste il n'est qu'à peine pollué.

 

- Nettoyez moi la merde que vous avez foutue là-dessus, espèce de dégelasse !

 

Je cherche un kleenex, un chiffon, quelque chose…

 

- Avec votre bouche connard !

 

J'hésite mais comme il n'y a pas grand-chose, ça ne sera pas pire que le doigts de tout à l'heure, je m'exécute.

 

- T'aimes ça lécher la merde, connard

- Si vous pouviez arrêter de me traiter de connard, ça m'arrangeait ! Me rebellais-je.

 

Elle ne réplique pas, j'ai la sensation d'avoir marqué un point.

 

- Tu vas me lécher le cul, j'oublie souvent de me torcher le cul quand je vais chier.

 

Je le fais, j'avoue y prendre du plaisir, l'endroit n'est pas sale, juste un goût un peu âcre, un cul c'est un cul, quoi !

 

- Bon allez debout, ce ne sont que des tests, mais je vois que vous auriez bien continué. Encore deux petites choses et ce sera fini ! On pourrait peut-être remplacer le gode par quelque chose de mieux, qu'est-ce que vous en dites ?

- Je ne sais pas !

- Vous ne savez pas ce qui est mieux qu'un gode ?

- Je donne ma langue au chat !

- Et bien on va remplacer le gode par une vraie bite, bien vivante, ça vous dit ?

- Pas trop non !

- Vous ne l'avez jamais fait ?

- Si, une fois j'ai sucé une bite dans un sauna, parce que la fille que je voulais sauter était avec son copain et elle en faisait une condition.

- Ça vous a plu ?

- Ça ne m'a pas dérangé, ça m'a même un peu troublé, j'avoue.

- Mais jamais de sodo ?

- Non

- Et cette femme vous l'aurait demandé ?

- J'y ai pensé, je l'aurais peut-être fait. Parfois dans le feu de l'excitation, on fait des trucs qu'on n'aurait pas forcément imaginés.

- Remettez-vous à genoux !

 

J'obtempère tandis qu'elle compose un numéro sur son portable.

 

- Alexis, tu peux venir ?

 

Le type se pointe très rapidement, pas mal, la trentaine, grand, les cheveux plats très blonds, une barbe de trois jours, des yeux très clairs, souriant. Il n'a pas l'air du tout surpris de voir Caroline à poil.

 

- Sors ta bite, il va te la sucer ! Lui-demande-t-elle.

 

Je fais quoi ? Ça ne me dit trop rien, mais je sais pouvoir le faire sans problème, mais, c'est la suite qui m'embête. La sodo, je vais y avoir droit, je ne fais pas vraiment de blocage mais je n'ai pas envie de faire ça aujourd'hui. Donc on stoppe le délire. Je me relève, me dirige vers mon tas de fringues. Du coup le dénommé Alexis ne sait plus très bien quoi faire et regarde Caroline d'un air dubitatif.

 

Je remets mon caleçon, Caroline m'observe d'un air amusé. Elle me laisse mettre mes chaussettes, puis intervient :

 

- Je vous avais promis que vous pourriez me caresser, cela tient toujours. Ne partez pas sans l'avoir fait.

 

J'en meure d'envie mais si je le fais, je me fais piéger, allez hop je remets ma chemise.

 

- Mais c'est vraiment dommage que vous nous quittiez à ce stade car après cette épreuve, faire l'amour avec vous n'aurait pas été une corvée. Ajoute-t-elle.

 

Gloups ! Cette proposition inattendue avait pour but de me déstabiliser, et c'est tout à fait ce qu'il se passe, me voici stoppé en plein boutonnage de chemise.

 

- Ne me dites-pas que ça ne vous intéresse pas, vous allez me vexer ! Ajoute-t-elle encore.

 

J'enlève ma chemise, j'enlève mon caleçon, j'oublie de retirer mes chaussettes, je reviens où j'étais, et je m'agenouille.

 

- O.K. je vais le sucer ! Annonçais-je.

 

L'autre a sorti son engin de sa braguette, je m'approche en ouvrant une large bouche et me met à lui sucer le machin. J'avoue que la chose est plutôt plaisante et troublante, excitante même, je coulisse tout ça entre mes lèvres, je mets ma langue partout, bref je le suce comme une vraie petite pute.

 

- Bon c'était très bien ! Me félicite la Caroline, maintenant tu vas te mettre en levrette et il va t'enculer.

 

Allez, quand faut y aller, faut y aller ! Je sens qu'on me tartine le fondement avec du gel intime, puis le monsieur veut entrer, je pousse comme je le fais quand je m'engode tout seul. Il entre plus facilement que je ne l'aurais pensé. Et voilà c'est parti, je me fais enculer par un mec, et la sensation est plutôt agréable. Psychologiquement c'est quand même un point de non-retour, mais est-ce si important ?

 

Le mec me lime pendant environ 10 minutes, puis arrêt brutal du service, je suppose que Monsieur a joui dans la capote. Il décule, me laisse le cul béant, se refroque et disparaît du bureau.

 

Moins convivial, tu meurs

 

- Ça va ? Me demande Caroline.

- Un peu mal au cul mais ça va !

- Il reste un test, tu as déjà joué à des jeux de pipi ?

- Une fois ou deux…

- Comment ça une fois ou deux, tu ne te rappelle plus si tu as fait ça une fois ou deux fois ? C'est embarrassant ça, parce que je ne vais quand même pas engager une personne qui ne sait pas compter ! Plaisante-elle.

- C'est une expression.

- Et tu aimes ? Non laisse-moi deviner, non ce n'est pas ton truc, tu l'aurais fait plus souvent, mais tu n'as rien contre, c'est ça ?

- En gros !

- Vas me chercher le verre qui est sur le meuble là-bas.

 

Je sens venir ce qui va arriver. Elle prend le verre, se le positionne sous la chatte en l'inclinant légèrement et elle se met à pisser dedans. Superbe spectacle qui me fait bander instantanément.

 

- Pour quelqu'un qui nous dit n'aimer ce genre de chose que modérément, le résultat est spectaculaire. Bois !

- Pardon ?

- Tu as parfaitement entendu, bois ma pisse !

- Juste un peu alors !

 

Je porte le verre à mes lèvres, son urine n'est pas trop forte, j'en avale une lampée.

 

- Tout le verre !

 

On y va ! Ce n'est pas si difficile que ça. Même que ça a un petit goût pas désagréable.

 

- Bon les tests sont terminés, on va discuter des modalités au restaurant, rhabille-toi. Et n'oublie pas mon string mauve, il te portera bonheur.

 

O.K, je le mets dans ma poche de veste. Sinon, elle a bien fait joujou avec moi, et ça m'a bien amusé, maintenant on va peut-être arrêter ce cirque, mais avant :

 

- Je me permets de vous rappeler que vous m'aviez fait une promesse.

- Je tiens toujours mes promesses, vous pourrez me baiser tout à l'heure en revenant du restaurant, mais pour l'instant, voyez-vous, j'ai une faim de loup !

- Je n'ai pas assez d'argent pour aller au restaurant ! Pensais-je intelligent de préciser.

- Et, bien ce n'est pas grave, vous me regarderez manger ! De toute façon un petit régime ne vous fera pas de mal.

 

On se rhabille, on sort du bureau, elle s'arrête à une porte voisine, frappe :

 

- C'est moi, tu as fini ?

- Pas tout à fait, mais entre.

 

Je pénètre avec elle dans ce bureau et là ! Spectacle !

 

Alexis est à poil, la queue dressée, en train de fouetter une jeune femme avec un martinet. Je reconnais l'une des deux candidates qui avait réussi les tests.

 

- On t'attend ou tu nous rejoins ! demande Caroline.

- Je te rejoindrais peut-être, j'ai pas tout à fait fini avec cette charmante demoiselle, elle est d'accord pour le contrat, mais je termine le dernier test, elle me semble pleine de potentiel.

- Et l'autre, tu en fais quoi ?

- Elle m'a bien sucé, mais elle s'est dégonflée pour le reste, dommage elle était bien foutue.

- Celle-là n'a pas l'air mal, non plus…

- Veux-tu que je te la garde pour tout à l'heure ?

- Volontiers !

- Vous avez entendue, mademoiselle, mon épouse aimerait passer un petit moment avec vous, j'espère que ça ne vous pose pas de problèmes ?

 

En disant ça un coup de martinet arrive sur les fesses de la jeune femme.

 

- Non, Aïe !

- Exprimez-vous mieux !

- Ça ne me pose pas de problèmes !

 

Un bruit de porte, je sursaute :

 

- Vous ! M'interpelle une grande bringue coiffée à la garçonne.

- Oui ?

- La sortie c'est par là, vous ne croyez tout de même pas qu'on va engager quelqu'un qui s'endort avant un examen d'embauche !

 

Glups !

 

Eh, bien quel rêve ! Je me lève, me dirige vers la sortie, encore à moitié dans mon songe.

 

Dans le couloir, je croise une belle blonde à lunettes :

 

- Caroline ?

- Euh, pardon ?

- Vous n'êtes pas Caroline ?

- N'importe quoi ! Répond-elle en haussant les épaules avec mépris.

- Vous lui ressemblez pourtant !

 

Elle me dévisage comme si j'étais la dernière des merdes et passe son chemin. Je la rattrape.

 

- Juste une question !

- Ne soyez pas pénible !

- Est-ce que vous avez un string violet ?

 

En guise de réponse, je reçois une belle gifle. Je n'insiste pas et me dirige vers la réception.

 

Je sors, cette conne m'a fait mal avec sa gifle, je me tâte la joue, il y a quelques gouttes de sang, elle a dû me griffer avec une bague. Quelque chose pour m'essuyer, je fouille dans mes poches. C'est quoi ce truc ?

 

Un string mauve !

 

Je rêve encore ou quoi ?

 

FIN

 

26/11/2011

©Enzo Cagliari

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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