Dimanche 23 juin 2013 7 23 /06 /Juin /2013 11:19

Coiffeur pour dames

par Enzo

 

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A l'époque j'avais trouvé un petit boulot de coursier, non seulement c'était horriblement mal payé mais c'était à moi d'entretenir la bicyclette… Passons, j'avais 22 ans, pas de liaisons… Enzo, brun, presque imberbe, et plutôt allergique au sport sinon celui en chambre et la marche à pied.

 

J'apportais un paquet chez un coiffeur pour dame dans une rue bobo du 7ème arrondissement. Le mec, un quinquagénaire plutôt bien conservé me regarde comme si j'étais une apparition. La légende qui veut que tous les coiffeurs soient homos serait-elle fondée ?

 

Le type me file un pourboire de prince !

 

- Je vous trouve charmant ! Dommage que vous ne soyez probablement pas homo ? Me dit-il… Carrément.

- Je peux l'être si on me paie ! Répondis-je du tac au tac.

- Et bien passez me voir ci soir à 20 heures, vous aurez peut-être trois clients d'un coup.

- Sérieux ?

- Très sérieux.

 

Et à 20 heures, j'étais là ! La porte est fermée, je toque, une femme vient m'ouvrir. Une femme ?

 

- Bonjour, je suis Marie-Claire, la femme du patron, asseyez-vous, il est avec deux amis, je vais lui dire que vous êtes là ! Amusez-vous bien !

 

Ça alors !

 

Marie-Claire ferme le rideau de fer de la boutique, disparait dans une arrière salle et revient avec son mari et deux autres hommes, puis va tranquillement s'assoir sur un fauteuil d'attente.

 

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max me dit le patron

- Moi, c'est Enzo !

- Et voici mes amis Gérard et Edmond.

- Il est mignon ! Commente Gérard !

 

L'autre me touche le cul ! Faut surtout pas se gêner ! Je me dégage avec un sourire de politesse

 

Max doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et petite moustache il est en chemise ouverte, grise et bordeaux à rayures. Les deux autres ont plutôt la soixantaine.

 

- Voilà une enveloppe pour vous, on se donne une heure et demie, ça te va ?

 

Je regarde dans l'enveloppe sans toutefois recompter, ça a effectivement l'air d'aller.

 

- OK quel est le programme ? Demandais-je.

- D'abord je te baise, mes amis se contenterons de regarder, ensuite ce sera la seconde partie, ce sera à eux de jouer… Toutes les pénétrations seront avec capotes. Ça te va ? Des questions ?

- Non, ça va !

- Et bien, allons-y mets-toi à poil !

 

Gérard et Edmond vont s'assoir mais du côté opposé à Marie-Claire.

 

Me voilà face à face avec Max. Je me déshabille devant lui sous son œil concupiscent. Lui aussi se déshabille, il est plutôt bien conservé avec quand même un petit peu de bedaine.

 

- Hum pas mal du tout ! Me flatte-t-il en me caressant.

 

Il bande bien

 

- Vas-y suce moi la queue !

 

Ben, oui, je suis venu pour ça ! Elle me plait bien sa queue, bien droite, terminé par un joli gland violacé. Allez hop dans la bouche, la bite, je fais des longs mouvements de va-et-vient, Max est aux anges. Histoire de faire durer un peu le plaisir, je lui gobe les couilles, il apprécie.

 

- T'es une bonne salope de suceuse ! Me dit-il dans un moment de poésie. Suce moi aussi un peu derrière.

 

Pourquoi pas, je ne déteste pas lécher un joli cul. Je le contourne et lui écarte les fesses, puis ma langue vient lui taquiner l'œillet. Odeur légèrement forte. Normal, un cul c'est un cul. Je parviens à bien lui lubrifier l'œillet, je me demande si je peux me permettre un doigt, mais il ne me le demande pas, il doit être exclusivement actif. Ça arrive !

 

Je repasse de l'autre côté et reprend sa bite en bouche

 

Vous connaissez la chanson ? "La bite en bouche, la voilà la jolie bite, bitons, bitons, bitons…"

 

Je m'amuse à lui titiller le bout du gland avec la pointe de la langue, comme j'adore qu'on me le fasse, je suppose que ça lui plait bien.

 

- Oh, là là, oh, là là là commente-t-il.

 

Je me recule un peu, examine le résultat de mes talents : Sa bite est raide comme la justice, elle est vraiment très jolie. Je sens que l'avoir dans mon cul ne sera pas une corvée. Mais j'attends qu'il me le demande.

 

- Suce encore !

 

Au cas où je n'aurais pas compris…

 

Un petit coup d'œil sur les fauteuils d'attente, sur ma droite Gérard et Edmond ont sorti leur bite et se masturbent en profitant du spectacle comme des gros pervers. Mais les gros pervers, moi, ça m'excite. De l'autre côté Marie-Claire s'est dépoitraillée et a baissé son pantalon, elle se branle la foufoune d'une main pendant que de l'autre elle se tire sur les tétons.

 

Quelle ambiance !

 

Je continue à sucer, mais je commence à avoir mal à la mâchoire, je fais diversion en donnant de grands coups de lèche sur sa verge.

 

- Mets-toi à quatre pattes, je vais t'enculer. Non, pas comme ça, il faut que ma femme puisse bien voir !

 

O.K. Je rectifie la position, je me cambre et m'écarte les fesses. Max me tartine le troufignon avec du gel, puis je sens le gland qui quémande l'entrée. Une petite poussée et ça entre. Il pousse encore, ça y est, j'ai toute sa bite dans mon cul. J'adore cette sensation, et j'adore encore davantage quand il entreprend d'aller et venir d'un bon rythme. Je me sens vraiment salope de me faire enculer comme ça devant trois témoins excités comme des puces.

 

J'ai le cul plein de sensations électriques, je suis bien, je suis aux anges, je plane !

 

Il m'a bien limé comme ça pendant dix minutes, je ne sais pas trop, on perd la notion du temps quand on se fait enculer. Il se retire, il n'a pas jouit. On fait quoi maintenant ?

 

- Mets-toi sur le dos, les cuisses bien en l'air !

 

O.K. Il va m'enculer par devant. Ce vieux cochon veut jouir en me regardant. Il a raison, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! En revanche, pour ce qui me concerne, je n'aime pas trop cette position, d'abord elle devient rapidement fatigante, et puis le Max comme image érotique, on fait mieux quand même ! Mais que voulez-vous, business is business. Max a toutefois la très bonne idée de s'agripper plutôt après mes tétons, et ça c'est un truc qui m'excite super bien. Après dix minutes de "je rentre, je sors "en roue libre", il s'énerve brusquement, accélère et finit par jouir en poussant un cri de loup-garou sous la pleine lune.

 

Il m'a bien enculé, ce vieux cochon, j'ai joui du cul. Curieuse sensation post sodomique d'avoir le cul qui refuse de se fermer. Manifestement, il n'est pas rassasié, mon petit doigt me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir encore.

 

Max veut m'embraser, je me laisse faire, mais c'est un supplice, il pue le vieux tabac et pique comme un hérisson. C'est vraiment trop compliqué de se raser avant de recevoir un beau gosse comme moi et de s'asperger de spray buccal ?

 

- Va t'occuper de ces messieurs ! M'ordonne-t-il.

 

On y va, on y va…

 

Gérard est un homme complétement chauve habillé avec élégance, chemise bleue, cravate assortie d'un bleu plus soutenu. Edmond est en chemise blanche et cravate grise. Quel idée de porter cravate lorsqu'on est retraité !

 

Quelle queue entreprendre en premier ? Je choisis la plus belle (Tant qu'à faire !) C'est celle d'Edmond. Je la prends dans ma main, me baisse et l'engloutit aussi sec dans ma bouche. Et pour que Gérard ne soit pas jaloux, je tends la main gauche pour le branler.

 

Je me recule quelques instants pour permettre à ces messieurs le temps de se déshabiller, mais je ne les laisse pas se rassoir, je m'accroupis et joue avec les deux bites, tantôt dans la bouche, tantôt dans la main. Les deux retraités excités comme des puces se roulent des patins et se pince les tétons. Ça chauffe, mais, ça chauffe !

 

Edmond se dégage un peu, se met une capote sur la quéquette et passe derrière moi. Pas besoin de me faire un dessin, je me penche légèrement et écarte les fesses. Quelques instants plus tard, j'avais sa bite qui me pilonnait le trou du cul... Gérard lui, pendant ce temps s'agenouille devant moi et me suce la bite.

 

C'est à cet instant que j'ai eu un moment de panique, complétement occupé avec ces deux vieux mâles en rut, je ne pouvais observer le siège sur lequel j'avais laissé mes affaires et mon portefeuille. Max ou Marie-Claire pouvait s'en emparer sans problème… et dans ce cas-là, je ferais quoi ? J'étais en infériorité numérique et je ne me voyais pas aller porter plainte. Bon pensons à autre chose, on verra ça après !

 

Je dois avouer que ces deux retraités ne s'y prenaient pas trop mal, j'étais ma foi, bien enculé et bien sucé, mais ils ne souhaitent manifestement pas que l'affaire se termine trop vite. Edmond sort de mon cul, retire la capote et m'offre de nouveau sa bite à sucer pendant que Gérard se branle tout seul quelques instant avant de m'accompagner dans ma fellation. Heureux Edmond qui se fait sucer la bite par deux mecs !

 

Mais rapidement, Gérard a une autre idée en tête, il ne m'avait pas encore enculé celui-ci, alors il le fait pendant que je continue à sucer son ami.

 

coiffeur.jpg

 

Petite pause, puis Edmond encule Gérard qui me suce. Ce dernier semble fatigué et se couche carrément par terre, il change encore une fois de capote (on en fait une de ses consommation) et je m'empale sur lui, il jouit facilement.

 

Au tour d'Edmond maintenant, mais il veut terminer autrement, on se met en soixante-neuf, je l'averti néanmoins de ne pas m'éjaculer dans la bouche.

 

Et tandis que je pompe la bite du retraité, je sens quelque chose de chaud qui m'arrose le cul ! C'est Gérard qui me pisse sur les fesses. Faut pas se gêner, mon vieux ! Je n'ai rien contre, mais les bons usages veulent que l'on demande avant ! Non mais des fois !

 

- Ça vient ! Me prévient Edmond.

 

Je dégage ma bouche et le laisse jouir.

 

Ben si je comprends bien, c'est fini, les trois mecs ont joui, j'étais venu pour ça, moi je n'ai pas joui, mais je n'étais pas venu pour ça !

 

Je me dirige vers le coin où j'ai laissé mes affaires, je prétexte le fait de prendre un kleenex pour m'essuyer le cul et je vérifie si l'enveloppe est toujours dans ma poche ! Oui ! Ouf !

 

- T'a été très bien, me dit Max, laisse-nous tes coordonnées, on pourra peut-être recommencer. Euh, je crois bien que Marie-Claire aimerait que tu la baises ! Mais tu n'es pas obligé, tu n'aimes peut-être pas les femmes ?

- Si, si ! Ce sera un plaisir !

 

Marie-Claire est affalée dans un fauteuil, dépoitraillée et la chatte à l'air.

 

- Baise-moi vite ! Supplie-t-elle

 

J'aurais aimé la caresser, la peloter un petit peu, non Madame veut de la bite, violente et directe, tant pis pour moi ! Je m'encapote, je m'approche, je m'enfonce et je la baise. Trois minutes après c'était fini. Pas très romantique et pas très érotique non plus ! Mais ça fait du bien de se vider les couilles.

 

Les deux cravatés finissent de se rhabiller, j'en fais autant de mon côté. On ne me demande pas si j'ai besoin de quelque chose, j'ai soif, mais on ne pense même pas à m'offrir un verre d'eau. Me voyant prêt, Max, va relever le rideau de fer de la boutique. Il me serre la main, les autres sont allés vers le fond et ne m'ont même pas dit au revoir.

 

Marie-Claire s'approche de moi et me roule une rapide gamelle.

 

- Tu sais, moi aussi j'ai été pute autrefois, me confie-t-elle, je ne regrette rien. Profites en bien.

 

Curieux comme ces quelques paroles m'ont fait un bien énorme.

 

C'est fini, je suis dans la rue ! Moment d'angoisse, pourvu qu'on n'ait pas profité de l'instant où je baisais Marie-Claire pour me faire les poches ! Non tout est là !

 

Allez, de quoi, je me plains, j'ai bien gagné ma journée !

 

Fin

 

23/6/2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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