Cosi-cosa

Mardi 11 juillet 2017 2 11 /07 /Juil /2017 19:37

Fin de dîner scato à trois par Cosi-cosa

 

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Ce soir-là, Carole, ma femme avait invité à dîner Josy, sa meilleure amie, une belle rousse, les cheveux coupés courts, et bien conservé malgré qu’elle ait dépassé la quarantaine. Josy habite aujourd’hui en province mais nous l’invitons chaque année lorsqu’elle monte à Paris

 

Nous nous connaissons depuis longtemps, et nous avons souvent passé des soirées et des week-ends ensemble. Il nous était arrivé de partouzer ensemble, mais la chose n’avait rien de systématique et nous ne n’avions plus fait depuis longtemps. Dommage d’ailleurs.

Nous avons beaucoup mangé et pas mal bu et bien sûr discuté en refaisant le monde.

Au bout d’un moment la discussion s’orienta sur le sexe. Comme nous sommes très libres et notre amie également, la discussion s’est éternisé et nous avons abordé le sujet des pratiques un peu spéciales.

Là, après avoir passé un moment à décrire nos vécus respectifs, Josy nous a avouée qu’elle avait eu des expériences uro et même scato avec un de ses mecs et que cela ne lui avait pas déplut.

Fort de cette confidence ma femme lui avoua à son tour que nous avions des « périodes » où elle aimait me pisser et même me chier dessus.

Notre amie nous raconta notamment comment elle adorait nettoyer une bite qui sortait de son cul

La discussion aurait pu en rester là, mais soudain, ma femme s’exclama :

- Eh bien, justement il va falloir que j’aille aux toilettes !
- Tu vas chier ? Lui demanda Josy
- Oui, tu veux regarder ?
- Bien sûr ma chérie.
- Viens !
- Je crois bien que moi aussi j’ai envie ! ! Ajouta Josy
- Hummm, super !

Mais à cet instant, au lieu de se lever, ma femme se pencha vers son amie, lui glissa quelques mots à l’oreille et j’entendis Josy répondre :

- S’il est d’accord, pourquoi pas ?

Et là, ma femme me dévisagea et le plus sérieusement me dit en me regardant bien en face :

- On aimerait bien toutes les deux te chier sur le visage, moi d’abord et Josy ensuite, tu veux bien ?
- Ma foi, pourquoi pas ?

On se déshabilla tous les trois et je pu admirer ainsi les courbes sensuelles de Josy et son bronzage intégrale

- Mais c’est qu’il bande joliment ! S’amusa Josy en voyant l’état de ma bite.

Ma femme m’entraina vers les toilettes, me fit m’allonger devant la cuvette en laissant la porte ouverte. Elle s’accroupit au-dessus de moi, me demanda d’ouvrir la bouche et commença par m’envoyer un flot d’urine, j’avalais ce que je pouvais, puis elle vint plaquer ses fesses contre mon visage.

Je n’eus pas à attendre longtemps. Elle lâcha d’abord un pet puis je sentis un long étron mou s’écraser sur mes lèvres. Un second ne tarda pas à suivre, elle se souleva légèrement et je vis l’énormité chancelante s’effondrer sur ma joue recouvrant partiellement mes narines.

Enfin, un troisième tomba sur mon front et s’échoua lentement me recouvrant un œil que j’avais déjà fermé.

Elle se leva, et céda sa place à Josy qui postée dans le couloir n’avait rien raté de ce spectacle insolite.

Les yeux toujours clos, je sentis Josy se placer au-dessus de moi tout en restant à bonne distance. Après avoir vidée sa vessie en long flot, je sentis soudain une chose lourde et molle s’échouer sur mon menton, puis ce fut le tour d’une joue et d’une autre et enfin une pâte molle s’écrasa sur on front, j’avais les yeux fermés heureusement car ils furent recouverts.

Josy me dégagea les yeux, je la vis ramasser deux des étrons.

- On te laisse enlever tout ça, on est à côté !

Je me débarrassais des étrons que je jetais dans la cuvette. Evidemment je m’en mettais plein la main et me les léchais avec gourmandise

Néanmoins, quelque chose m’échappait, il me semblait que la suite logique cette fantaisie aurait été que ces dames me donnassent leurs culs à nettoyer, ce que j’aurais volontiers fais de ma langue. Mais sans doute avait-elle d’autres projets.

Effectivement quand je rejoins le salon, je ne trouvais personne, mais je perçus des bruits dans la cuisine.

Les deux femmes après s’être léché le cul réciproquement s’étaient barbouillées le corps de merde et s’amusaient à se lécher le corps qui mieux mieux. Je me postais dans le chambranle de la porte, la bite à la main, me masturbant.
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Un moment, Josy prit ce qui restait d’un des étrons et se le fourra dans la bouche, elle approcha son visage de ma femme et elles s’amusèrent à se l’échanger. Puis Carole s’étendit sur le sol en écartant les cuisses afin que son amie vienne lui butiner la minette. Elle jouit assez rapidement et plutôt bruyamment

Et pendant que mon épouse récupérait ses esprits, Josy se positionna en levrette. Je pensais que ma femme finirait alors de lui nettoyer le cul. Non ce n’était pas ça !

- Viens m’enculer me dit l’amie de ma femme.

Vous devinez bien que je n’hésitais pas un seul instant, et pénétrait dans ce cul magnifique lubrifié à la merde, j’eu du mal à me contrôler afin que cela ne soit pas trop rapide. Quand Josy eut joui, je sorti une bite merdeuse et spermeuse que les deux femmes eurent tôt fait de me nettoyer.

Après une douche, nous sommes revenus au salon, enroulés dans nos serviettes.

- On va manger le dessert maintenant, j’ai fait de la mousse au chocolat, de la vraie ! Annonça Carole.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:25

Le jour se lève par Cosi-cosa

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attention, texte scato explicite

Le jour se lève. J’ouvre les yeux sur un jour qui restera gravé dans ma mémoire à tout jamais. Jamais je ne me serais douté qu’aujourd’hui marquerait une étape marquante dans ma vie sexuelle.

OK, la journée est triste. Dehors il fait froid, le temps est gris. Rien à faire d’autre que de me lever, manger et me divertir sur internet. Avant de déjeuner, j’ouvre mon ordi. Je me fais un café et deux rôties. Je m’installe ensuite devant mon écran. Après avoir fait le tour des nouvelles, j’ai soudainement envie de regarder de la porno. Je me rends à mon site web préféré et commence à naviguer d’une page à l’autre. Je regarde un vidéo de lesbiennes. Déjà, ma queue est bien dure. Les filles sont assez bien roulées, mais au bout de quelques minutes de ce manège et ça devient vite redondant. Je passe d’une catégorie à l’autre, femmes matures, éjaculations, pénétration anale etc. tout en me caressant, mais sans atteindre l’orgasme.

La catégorie anale me rappelle que j’ai un gode. Il est noir, mesure quatorze centimètres et possède une ventouse afin de le placer sur une surface lisse. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout du gland et aussi sur mon anus. Je le place sur une planche spécialement adaptée pour ça. Je le place sur mon siège et commence à me stimuler doucement. Lentement, mais sûrement, le gode pénètre dans mon rectum.

Dans l’intervalle, je tombe sur un vidéo ultra hard à caractère scatologique. On y voit deux très belles femmes, une blonde ainsi qu’une brune et un homme portant une cagoule en cuir. L’une des femmes, la brune se met à chier et pisser sur la queue du mec. Pendant que la merde s’accumule autour du pénis, la blonde étend la merde sur le corps du mec et le masturbe. Je suis très excité par leurs actions. Mon gode est presque entièrement enfoncé au fond de mon cul. Il vient de passer l’étape cruciale du sphincter. La sensation est incroyable. Le gode est maintenant entièrement entré. Pendant ce temps, sur la vidéo, la femme qui a déféqué sur le mec, lèche la peau souillée de merde et de pisse. Elle prend beaucoup de plaisir à le faire et dans ma tête, j’ai peine à croire qu’on puisse aimer ça.

Mais mes yeux ne peuvent quitter l’écran. La femme brune fait une fellation au mec. On y voit un gros plan sur ses lèvres recouvertes de jus organique. Ma queue est de plus en plus dure. Le gode, bien au fond de mon cul se sent tout à coup à l’étroit. J’aime ça, mais la pression est forte et la sensation est de plus en plus insoutenable. Je me relève afin de l’enlever de mon anus.jourseleve.jpg
A ma grande surprise, je défèque sur la planche. Un étron d’un peu plus de dix centimètres trône sur la planche. La vue de ma merde m’excite. Le bout de mon gode est également empli d’excréments. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à ce moment précis, mais je me suis mis à genoux devant le dildo et je l’ai introduit dans ma bouche. Sur le coup, j’ai pensé que ce que je venais de faire était de la pure folie, mais puisque j’y suis, je me suis dit qu’il fallait que j’y goûte, ce que je fais. Je passe ma langue sur la surface du gode et le lèche.

Contrairement à ce que je m’imaginais, ça goûte très bon. Alors, je continue. Je simule une fellation et m’imagine à la place de cette brune qui s’en donne à cœur joie elle aussi. Je suis de plus en plus excité, tellement, que je m’empare de la merde et l’étends sur mon corps. Je remets ensuite le dildo dans mon anus et exécute des mouvements de va-et-vient. Puis, je le retire pour le mettre à nouveau dans ma bouche et le lécher jusqu’à ce qu’il soit d’une propreté exemplaire. Ma queue est sur le point d’exploser, mais je me retiens et étire le plaisir. Mes fesses sont de plus en plus souillées. J’en profite pour m’essuyer avec une main et me lécher les doigts ensuite.

Pendant ce temps, sur la vidéo, les deux femmes se partagent la queue du mec. La blonde se lève ensuite et se met à uriner sur la brune. Cette dernière alterne s’emplit la bouche d’urine, pour ensuite reprendre sa fellation et recevoir la pisse de la blonde sur ses cheveux. Tout cela est très excitant. Je regarde mon pénis. Il est tout brun et mon gland est plein de préjus.

Je me lèche la main et recommence à me masturber. Je ne tiens plus en place. J’ai envie de venir. Sur la vidéo, le mec commence à cracher son jus. C’en est trop pour moi et j’explose à mon tour. Pendant que je viens, répandant ainsi ma semence sur le sol, je retire mon dildo de mon cul et le remets dans ma bouche. La sensation est indescriptible. C’est un pur bonheur.

Je viens de découvrir les joies du scato. Je comprends enfin ce que ressentent ces hommes et ces femmes qui en sont friands.

Cosi-cosa

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Lundi 1 septembre 2003 1 01 /09 /Sep /2003 19:05

Une bonne fessée pour Marie, texte proposé par Cosi-Cosa

 

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   RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Ce texte dont nous aimerions connaître l'auteur est paru primitivement sur le site de Sophiexxx.com (aujourd'hui fermé) sous le Titre Original : LA FESSEE ET LE CAVIAR, puis sous le même titre qu'ici sur Revebebe qui l'a ensuite archivé. Cosi-Cosa nous a proposé de l'éditer sur notre site sans rien en modifier

Ce texte décrit des pratiques un peu limites, ce sont mes fantasmes à moi et je n'en ai pas honte. Mais si vous craignez d'être choqué, n'allez pas plus loin ! Vous voici prévenus.

Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvais Marie dans la cuisine, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassais légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui disais en souriant :

- Cela mérite au moins une fessée !

Me prenant au mot, elle me répondit :

- Si tu penses que je le mérite, alors punis-moi !

Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe et commençais à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par le slip. Progressivement, j'appuyais mes coups en commençant à claquer la peau nue. A un moment, Marie poussa un cri et je lui demandais si je devais m'arrêter. Elle me répondit :

- Non, au contraire, vas-y plus fort !

Je baissais alors sa culotte et frappais alternativement et de plus ne plus fort ses fesses qui, sous les coups devenaient cramoisies. A chaque coup, Marie poussait un cri mais ne voulait toujours pas refuser la " correction ". M'arrêtant, je passais mes doigts dans sa fente et me rendais compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation.

spanking glassJe décidais d'aller plus loin dans la correction. Je redressais Marie et lui demandais de maintenir sa jupe soulevée. Puis j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtais, vérifiais que sa fente était toujours aussi " émoustillée ", puis enlevais sa culotte que j'enfonçais dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le quartier. Puis je dégrafais sa jupe et lui demandais d'écarter les jambes. Je recommençais alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. A chaque coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui demandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuais la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis avec bon cœur. A chaque coup, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.

Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je m'arrêtais et lui enlevais son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrais sa chatte toute humide, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchais en avant et, me positionnant devant son anus, la sodomisait brutalement et m'enfonçais jusqu'à la " garde " dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, allait branler son clitoris. Je la pistonnais de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçais toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeais dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant un long gémissement et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.

Une fois calmé, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre et de trace de merde à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirais sa culotte de sa chatte et nettoyais son anus largement ouvert qui laissait échapper quelques traces de foutre. Brutalement, je quittais sa bouche et, m'agenouillant derrière elle, je commençais à lécher son trou du cul, ma langue pénétrant aussi loin que possible son rectum. A un moment, Marie me demanda d'arrêter car la présence de mon sperme, de ma langue et certainement de selles, comme l'avais montré ma queue souillée, lui donnait envie de chier. Cette idée me fit bander à nouveau, et, voulant voir jusqu'où Marie était prête à aller, et, surtout, envisageant la réalisation d'un fantasme on ne peut plus dérangeant, à savoir, lécher et pénétrer avec sa langue le cul d'une fille qui vient de se soulager, je plongeais mon index profondément dans son rectum, rencontrant rapidement une masse souple, que je malaxais légèrement avant de retirer mon doigt. Ce dernier était effectivement couvert de merde, ce que je montrais à Marie qui, semblant lire dans mes pensées, me demanda avec un sourire espiègle de le lécher, ce que je fis sans hésitation, permettant ainsi de connaître le goût particulier, gras et musqué de la merde. Une fois nettoyé, je replongeais mon index dans ses entrailles à la recherche du " cadeau " qui nous attendais. Puis, je le retirais, à nouveau couvert de merde, et je le présentais à Marie qui, sans plus d'hésitation que moi, le lécha avidement. A l'évidence, la soirée s'annonçait chaude et odorante. Toutefois, par acquis de conscience, je lui demandais si la suite du programme, c'est à dire jouer avec sa propre merde, lui posait un problème. Devant sa réponse négative, nous nous déshabillâmes complètement puis j'allais chercher une grande serviette de toilette que j'étendais dans la salle de bain. Notre " salle de jeux " était prête.

fin de l'épisode 

 

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Vendredi 22 février 2002 5 22 /02 /Fév /2002 17:47

Fantaisie alpestre par Cosi-cosa
stamp rousse

 

J'aime faire des balades, dans nos montagnes du massif alpin

Ce jour-là, je m'étais arrêté au bord d'une route en lacet afin d'admirer le paysage en contrebas, quand une voiture se gara près de moi, une femme mature en descendit. Je ne vous dis pas le look : blonde platinée, lèvres pulpeuses, lunettes de star, pantalon léopard super moulant, petit haut rose en cache cœur laissant deviner une poitrine imposante;

- Bonjour jeune homme, souhaitez-vous un peu de compagnie ?

Une pute, me disais-je tout en m'étonnant que l'on puisse tapiner en ces lieux.

- Je n'ai pratiquement pas d'argent sur moi ! Lui répondis-je maldroitement.
- Qui vous parle d'argent ?
- Excusez-moi…
- Il n'y pas de mal, je sais que je fais un peu pute… mais je ne vais pas tourner autour du pot et vais vous annoncer la couleur
- La couleur ?
- Je suis en manque, mes amis sont rentrés à Paris et j'en ai marre de m'astiquer avec mon gode ! Alors si vous n'avez rien contre les femmes un peu mûres.
- Admettez que c'est inattendu !
- Je l'admets volontiers, alors c'est oui ou c'est non ! ?
- Je suis en moto !
- Ben oui, j'ai vu, vous me suivez on va dans mon chalet !

Je remonte sur ma moto et je roule derrière sa voiture qu'elle conduit tranquillement ce que j'apprécie car on admire encore le panorama, après avoir traversé le village, nous voici arrivés au chalet il est situé au milieu d'un immense terrain entouré d'arbres, à l'abri des regards indiscrets.

Elle m'installe sur la terrasse et va chercher des boissons, même sous le parasol il fait chaud ! La voilà de retour, quelle merveille ! Et des sodas bien frais en plus, nous discutons cinq minutes de cette nature environnante tout à fait exceptionnelle, et soudain elle me coupe et me regarde droit dans les yeux, sa chevelure rousse et ses yeux verts sont éclatants dans le soleil, elle me dit :

- Je vois que vous aimez la nature et que vous en parlez fort bien, nous pourrons reprendre cette conversation tout à l'heure, mais pour le moment je vous propose que nous mettions à poil

Alpestre

Je n 'ai même pas le temps de répondre, la voilà qu'elle se lève face à moi, s'approche et commence à déboutonner ma chemisette et la jette sur une chaise et me tortille les tétons. J'adore cette caresse ! Ensuite elle descend ses mains sur mon pantalon le dégrafe et le laisse glisser à terre, je porte rarement de sous vêtement en été me voici donc nu comme un ver avec une belle érection en prime, elle fait un pas en arrière et me dit

- Quel bel hommage vous me rendez ! M+ais vu votre état je crois que nous allons nous tutoyer !

Dans la foulée elle descend son pantalon et le laisse tomber à ses pieds, elle non plus ne porte rien dessous, puis elle retire son haut. Elle a de belles formes généreuses, des seins hauts perchés, ronds et ferme, terminés par d'arrogants tétons, une délicieuse toison rousse et je divine sa chatte quand elle marche et que ses cuisses s'entrouvrent et laissent apparaître ses lèvres.

Je m'allonge sur le matelas d'une chaise longue en bois, quel plaisir les rayons du soleil sur la peau ! Elle vient vers moi, prend de l'huile solaire et me caresse en m'enduisant le corps elle promène ses doigts avec plein de douceur ce qui me met dans un état que vous devinez, ma queue est dressée tel un pieux, elle s'allonge sur moi se frotte pour que son corps aussi s'imbibe d'huile et me demande de lui en passer sur le dos et les fesses. Allongée sur moi, sa poitrine ronde et ferme s'appuie sur la mienne. Ses cuisses ont emprisonné ma bite mais elle ne bouge pas, je la caresse et d'un doigt je frotte son anus, sa chatte et le long de son dos, puis reviens vers l'anus

- Tu peux m'enfoncer un doigt dans le cul, mais ensuite il faudra que tu le suces !
- Mais pourquoi ?
- Parce que ça m'excite de te demander ça !
- Ah !
- Allez vas-y enfonce !

Je le fais, et lui laboure l'anus pendant quelques instants lui provoquant d'étranges miaulements de plaisir. Je ressors mon doigt, à peine pollué, un peu quand même !

- Lèche !

Je l'ai fait, ça ne m'a pas tué !

Ma belle inconnue se lève et sa bouche embrasse ma queue tendue, elle joue quelques secondes de sa langue sur mon gland gonflé puis m'enjambe toujours debout. Je peux admirer sa chatte rousse et son clitoris bande comme une petite bite, elle descend lentement en pliant les genoux. Je sens sur la pointe de ma queue les lèvres de sa chatte qui s'ouvre et je glisse à l'intérieur de son ventre, elle est assise sur moi empalée sur ma bite jusqu'à la garde, là elle commence un mouvement de va-et-vient lent et elle me dit :

- Ne te presse pas, plus ça dure, plus c'est bon !

C'est vrai que c'est presque un supplice cette chatte ouverte qui coulisse sur mon dard, elle accélère progressivement le mouvement et j'imagine que sa jouissance n'est pas loin. Soudain elle me crie :

- Vas-y gicle pendant que je vais jouir

Je sens monter en moi le sperme, prêt à sortir. A ce moment elle se démène comme une bête elle monte et descend le long de ma tige avec une telle violence que je gicle encore de plus belle. Sa jouissance s'atténue un peu elle se lève légèrement, s'avance et me dit tout bas :

Ta queue est encore dure je veux me la mettre dans mon petit trou !

Elle s'assoie lentement, ma tige est tellement enduite de son jus et son anus dilaté que je suis prisonnier de son cul sans difficulté et elle recommence ses va-et-vient frénétiques ce qui fait qu'en quelques minutes elle obtient un nouvel orgasme. Ma bite ressort de son trou du cul visqueuse de sperme et de merde. Ça la fait rigoler, elle me la prend dans sa bouche, me nettoie entièrement, me dit qu'elle adore sucer les bites qui sortent de son cul.

- Et quand il y a un peu de merde, c'est encore meilleur !
- Ah ?
- Ça te choque ? Me demande-t-elle une fois sa bouche libre.
- Non !

Un peu quand même mais je ne vais pas lui dire !

- J'ai envie de pisser, je peux te faire dessus !

Oui ça je veux bien, et son urine était délicieuse.

- Demain je serais occupée, mais si tu venir me faire un petite visite après-demain en fin de matinée.
- Je ne sais pas trop, je vais essayer de me libérer…
- Parce qu'après je rentre à Paris.

 

Nous n'avions pas échangé nos numéros de téléphone et le surlendemain, je n'y suis pas retourné, non pas parce qu'elle ne me plaisait pas, mais j'avais peur qu'elle m'entraine trop loin dans ses délires, je l'ai regretté ensuite. Ainsi va la vie…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Lundi 18 décembre 2000 1 18 /12 /Déc /2000 12:48

Humide par Cosi-Cosa

 

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Humide

 

Nous sommes en voiture, tu me fais rire aux éclats, tu n'arrêtes pas de dire des bêtises. Je me mets à uriner sous moi. Plus je sens l'humidité qui me trempe les cuisses, plus cela m'excite et plus cela me donne envie de me pisser encore dessus...

 

Je me tiens le sexe, ma main est trempée, j'ai envie de la lécher, alors tu te rends compte de ce qui arrive, tu stoppes la voiture dans une allée qui mène dans un sous-bois.

 

- Descends !

 

Je sors, je reste debout les jambes écartées et je continue à pisser sans enlever ma culotte, tu t'approches et tu commences à me gronder, à m'insulter :

 

- Espèce de grande dégueulasse ! Tu es en train de te pisser dessus !

 

Et je me sens de plus en plus excitée, je m'aperçois que sous ton pantalon ton sexe commence à gonfler. Tu défais ta ceinture.

 

- Tourne-toi ! Tu vas voir, sale petite cochonne ! Pisser dans ma bagnole ! Je vais te faire lécher les sièges moi... Tu mérites une vraie punition !

 

Je me tourne et la ceinture s'abat sur mon cul, et surtout sur mon slip et ma jupe inondés de pisse. J'aime ça et à chaque coup de ceinture je sens encore plus l'humidité de mon urine, je suis au bord de jouir. Là-dessus, tu baisses mon slip, je t'aide pour l'ôter. Tu me le fourres dans la bouche, la pisse se répand sur mon menton, ça dégouline... L'odeur et le goût de l'urine sont très excitants. Tu baisse ma jupe l'urine coule, coule goutte à goutte dans la raie de mes fesses. Puis tu te baisses et commence à me lécher l'entrejambe, je vais jouir. Tu dois sentir l'odeur et le goût de ma bonne pisse, cela semble t'exciter autant que moi...

 

Tu te relèves, ouvre ta braguette, sort un sexe raide et turgescent et me le fourre dans ma chatte brûlante. Deux, trois petits coups et je jouis en hurlant... Tu sors et m'enfonces ta bonne bite dans mon cul, alors tu te mets à grogner, et je sens ton sperme m'inonder le cul. Tu ressors, ta bite est maculée de sperme et de merde, tu me l'as fait nettoyer avec ma bouche ! J'adore faire ça !

 

Tu te rhabilles, tu me claques les fesses avec malice avec ta ceinture.

 

- Remonte en voiture !

 

Je m'assieds sur le siège passager, je vois que tu as posé une serviette. Je sens l'humidité qui traverse ma jupe, la pisse, mon jus et le sperme se mêlant... Peut-être un peu de merde aussi. Je ne sais plus très bien ce qui me mouille le cul... Mes fesses sont en feu.. C'est bon !

 

Tu m'embrasses… tendrement !

 

- je t'aime, ma belle saloprs

 

Fin

 

Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000

 

 

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Texte extrait de mes archives, la version originale n'est pas ma plume, mais je l'ai corrigé et rewrité

Par inconnu - Publié dans : Cosi-cosa
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