Cosi-cosa

Samedi 1 août 2020 6 01 /08 /Août /2020 17:49

Naturisme scato par Cosi-cosa

scat

Nous sommes un couple d’âge mûr comme on dit, mais en forme et apprécions les plaisirs du sexe sous toute ses formes.

 

Par une belle journée d’été mon mari et moi nous avons décidés d’aller comme à chaque année au camp naturisme à quelques heures de la maison, nous étions légèrement habillés, moi vêtus d’un simple short moullant mes grosses fesses et un tee-shirt et lui d’un boxer et d’une chemise à manches courtes,

 

Parvenus à destination nous nous sommes mis tout nus sans se faire prier, la vue de tous ces nudistes nous excitaient terriblement, moi j’étais mouillée et mon mari semi-bandé, il y avait des bites, des seins et des fesses partout autour de nous, j’ai dit à mon mari :

 

– Viens, on va à la piscine pour se faire bronzer

 

Mais tout juste à côté de nous était allongée une très belle femme nue dans la cinquantaine avancée avec de gros nichons et deux ou trois piercings, moi je n’osais pas la regarder trop mais mon mari lui, lui parlait de tout et de rien. A un moment, elle a mis sa main sur la bite de mon mari, l’a caressé, l’a fait grossir et l’a branlé un peu, puis elle s’est penchée pour le sucer après m’en avoir sollicité « la permission ».

 

Mais la fellation fut interrompue par un vieux mâle avec qui la dame devait avoir rendez-vous, elle abandonna donc la bite de mon mari avec un air désolé.

 

Un peu plus tard, deux pédés se tenant par la main passèrent à notre proximité, mon mari semblait fasciné par leurs belles bites à moitié bandées, il fut si peu discret que l’un des gars l’apostropha :

 

– Alors Papy ? Tu mates nos bites ?

– Hé, c’est qu’elles sont bien jolies !

– Tu veux sucer ?

– Pourquoi pas

 

Et l’instant d’après Raoul avait une bite dans la bouche, le second passa derrière lui, lui flatta les fesses et lui introduit un doigt dans le cul avant de lui proposer de l’enculer.

 

Mon mari se plaça alors en levrette comme une vraie chienne et se fit enculer tout en continuant à sucer la première queue.

 

Cela dura quelques minutes, les deux mecs ne désirant pas jouir.

Il était environ 17 heures quand nous avons repris notre route et mon mari m’a dit qu’il se sentait très excité pas nos petites rencontres.

 

Je lui répondis que moi aussi j`étais excitée par le spectacle, uniquement par le spectacle puisque je n’avais pas eu le plaisir de consommer ! Je lui précisais néanmoins que j’avais envie de faire pipi et aussi caca et je savais qu’en lui disant cela, il serait bandé comme un cheval

 

Alors nous avons emprunté un chemin de terre et avons trouvé un champ abandonné où personne ne pouvait nous voir. Raoul a arrêté l’auto, ouvert les portières et en deux minutes à peine nous étions nus tous les deux à proximité de la voiture.

 

J’ai commencé à faire pipi sur lui et dans sa bouche à califourchon au-dessus de sa tête je le voyais boire tout mon pipi et se délecter de mon nectar doré. J’étais toute détrempée ensuite il se coucha sur le sol, moi à califourchon sur son visage écartant mes grosses fesses, je déféquai sans retenue partout sur lui et dans sa bouche plus je poussais plus il bandait, il prit ma merde de ses deux mains et me tartina partout de la tête aux pieds j’en avais sur les nichons, la chatte, les fesses, et le visage. J’étais tellement excitée que je n’arrivai plus à contenir mes paroles je lui disais les mots les plus pervers et crades que je pouvais dire alors que nous étions tous les deux couverts de merde et de pipi chaud.

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Trouvant la force de me lever je me suis mise à quatre pattes et lui la queue pleine de merde derrière moi, bandé au maximum regardant mon gros cul tout brun de matière enfonça d’un seul coup sa grosse bite et me défonça les deux trous sans pitié. Je jouissais comme une vraie truie et je suis venue trois fois de suite il a retiré sa bite toute merdeuse de mon cul et ma chatte dégoulinante et je suis ai sucé et avalé toute la merde qui entourait sa virilité jusqu’à ce qu’il vienne dans ma gorge de salope,

 

Épuisés de cette aventure nous nous sommes rincés dans le petit ru tout proche en rigolant comme des gosses qui viennent de faire une grosse bêtise. Arrivé à la maison nous avons pris une vraie douche et confié nos vêtements au lave-linge

 

Bien sûr nous avons recommencé, mais je voulais vous faire partager une de nos petites expérience uro scato, avec vous mes amours.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Samedi 18 août 2018 6 18 /08 /Août /2018 11:03

Nadine et la chambre 107 par Cosi-cosa

Stamp nurse

Attention, âmes sensibles, c’est scato !
(Thèmes abordés : médical, scato, uro)

Nadine est une jeune infirmière de 27 ans au joli visage joufflu. Brune aux cheveux courts.

Elle se dirige vers la chambre 107. Une jeune femme aux long cheveux châtain clair l’attendait, deux bras et une jambe plâtrés, reliés à un capharnaüm de câbles et de poulies. Ces premiers mots en là voyant furent :

– J’en ai ras le bol de ces merdes, soupira-telle, on me les retire quand ?
– Encore un peu de patience mademoiselle Carole. Deux ou trois jours m’a dit le médecin.
– J’espère car je commence à en avoir vraiment marre.

Nadine compatit et dit :

– Vous avez besoin de quelque chose tant que je suis là ?
– Oui, répondit-elle, j’ai envie de faire pipi.

Nadine prit le pistolet et écarta les draps. Elle le plaça devant le vagin de Carole.

– Vous pouvez y aller, dit la jeune infirmière.

Carole poussa sur sa vessie et se libéra. Un flot de pisse doré gicla de sa chatte.

– Humm ! Ça fait du bien. J’avais envie depuis plus d’une heure.
– Je vois ça.
– Dites… Nadine… C’est bien Nadine, n’est ce pas ?
– Oui.
– Dites Nadine, vous aimez voir pisser les filles ?

L’infirmière rougit.

– Pas spécialement. Pourquoi ?
– J’ai l’impression que vous prenez plaisir à me regarder faire pipi.
– Je fais juste attention à ce que tout rentre bien dans le pistolet c’est tout.

Carole sourit et poussa un soupir de satisfaction quand les derniers jets d’urine s’écrasèrent en résonnant au fond du pistolet.

– Vous pouvez m’essuyer les lèvres s’il vous plait ?
– Oui, bien sûr.

Elle déchira un morceau de papier d’un rouleau mural et essuya le sexe de la jeune femme.

– Ho oui ! Comme ça ! Humm !

Nadine vira à l’écarlate.

– Je vous en prie mademoiselle. Quelqu’un pourrait vous entendre.
– Ho ! Pardon. Je suis désolée. Mais votre main est si caressante que… Je crois que j’ai aussi envie de faire caca.

L’infirmière soupira.

– Allons-y !

Carole souleva un peu le bassin pour que Nadine puisse glisser la bassine. L’infirmière détourna ensuite le regard.

– Vous pouvez y aller, dit-elle en regardant la porte.
– Je voudrais que vous me regardiez faire Nadine.
– Mais… !!! Vous êtes folle ??
– Je suis sûr que ça vous plairait de me regarder chier.

Nadine faillit la gifler, mais c’était le renvoi assuré.

– Mais non, je veux pas voir ça.
– Pourtant, vous regardez bien chier les autres.
– Mais non voyons.

Carole soupira à son tour.

– Bon, laisses tomber. Je ferais caca tout à l’heure. Murielle ne fait pas autant de chichi pour me regarder chier.

Nadine regarda la jeune femme de surprise.

– Murielle ? Ma collègue ?
– Oui bien sûr.
– Elle vous regarde… Faire caca ?
– Ouais ! Elle adore m’essuyer après.
– Vous êtes une cochonne mademoiselle Carole.
– Et alors ! C’est mal ?
– Non. Mais… C’est sale.
– Vous voulez voir ou pas ?

Nadine repensa au goût de la grosse bite de son compagnon qui ressortait parfois un peu merdeuse quand il l’enculait. Sa chatte remouilla.

– Bon d’accord, mais je ferme la porte avant.
– Allez-y, répondit Carole souriante.

Nadine tourna le verrou et revint vers la jeune fille.

– Tu peux m’écarter les fesses pour bien me dégager l’anus.

Nadine ouvrit les fesses à deux mains et planta son regard sur l’anneau de muscle. Carole poussa un râle et péta.

– Haaaaaa ! Ouiiii ! Ça vient là ?

Une merde se frayait un chemin par l’étroit couloir.

– Oui, répondit l’infirmière.
– Elle est de quelle couleur ?
– Marron, je crois.
– Ça pue ?
– Oui, un peu.
– Hooooo !

« Blong ». L’excrément tomba dans la bassine métallique. Un autre creusait sa route, plus gros encore. Carole cria.
– HAAAAAAAA !

Nadine se retourna vers la porte en mettant un doigt devant sa bouche.

– Moins fort, chuchota-t-elle.
– Désolé. Mais ça fait mal.

La grosse crotte tomba à son tour dans la bassine. Trois petites billes suivirent.

– Je crois que j’ai fini, dit Carole soulagée. Vous pouvez me torcher maintenant ?

scato foldinueL’infirmière arracha quelques feuilles de papier et essuya les fesses de la jeune femme. Dans un geste fou, elle porta ensuite le papier merdeux à ses narines, s’enivra un instant de son odeur, avant d’oser y mettre la langue. Elle jeta ensuite tout ça à la poubelle et lava la bassine.

– Bon voilà ! Ce sera tout ?
– Pour l’instant oui, merci.

Nadine quitta la chambre. Sa culotte à tordre.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Jeudi 2 août 2018 4 02 /08 /Août /2018 18:40

Les culottes de tante Simone par Cosi-cosa

scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Thémes abordés :  bisex masculine, domination soft, famille, fétichismes divers, feuille de rose, scato, uro, voyeurisme.

Enfant, ma mère qui m'éleva seule m'envoyait souvent passer une grande partie des vacances d'été dans l'Isère, dans une petite maison à la sortie d'un petit village situé à une vingtaine de kilomètres de Grenoble chez ma tante Simone. Elle n'était d'ailleurs ma tante que par alliance, ayant rompu avec le frère de ma mère, mais les deux femmes avaient continué à entretenir de bonnes relations.

Ma tante qui exerce le métier d'infirmière indépendante est, comment dire, une forte personne, c'est une grande brune qui doit bien faire ses 1,75, mais elle bien proportionnée, enfin disons que ses rondeurs sont appétissantes...

C'est à l'adolescence que j'ai commencé à fantasmer sur elle et de cette époque que me vient ma passion immodérée aussi bien pour les femmes "fortes" que pour les femmes matures. Elle avait l'habitude de s'enfermer le matin dans une petite pièce que l'on ne peut même pouvait même pas qualifier de salle de bain mais qui était munie d'un petit lavabo, c'est là qu'elle faisait sa toilette. La porte de ce local était munie dans sa partie supérieure de deux vitres sur lesquelles avaient été apposées du papier adhésif afin d'en masquer l'intimité. Un jour que j'étais seul dans la maison, je me suis amusé alors à l'aide d'un petit canif à pratiquer une minuscule ouverture, elle devait faire environ 3 mm², je testais, ça suffisait...

Le lendemain dès que j'entendis la porte du local se refermer après que Tante Simone y eut pénétré, je me mis en position d'observation. Je pu observer ainsi pour la première fois de ma vie une femme entièrement nue, j'avais déjà vu des seins à la plage, mais là c'était de l'intégrale et c'était ma tante. Je pu la regarder se savonner ses gros seins ! Ah ! L'image de ses seins mouillés recouvert de mousse qu'elle faisait gigoter à coups de gants de toilettes, et puis il y avait tout le reste, ses cuisses, ses fesses, son ventre... Elle se pencha malheureusement du mauvais côté pour pratiquer sa toilette intime, mais qu'importe... j'avais ma ration d'excitation et sans en attendre davantage, je me précipitais dans ma chambre me masturber comme un malade.

Je n'eus malheureusement pas l'occasion de renouveler cette séance de voyeurisme, le lendemain son ami, qui était chauffeur routier revenait et je n'avais plus le champ libre.

Il est inutile de vous dire, je pense, combien cette image à hanté mes nuits et pas seulement mes nuits, je me suis repassé dans ma tête cette séance, et dans mes fantasmes j'allais plus loin, c'est moi qui lavais ma tante, passant le gant sur ses seins, faisant sa toilette intime, la caressant et l'embrassant avant de finir dans une folie sexuelle la plus complète ou après s'être mutuellement sucés, j'écartais ses majestueux globes fessiers pour la sodomiser.

J'avais bien sûr souhaité revenir l'année suivante ! Déception, ma tante avait fait installer une "vraie" salle de bain avec une porte pleine, j'en fus profondément dépité et contrarié...

Puis le temps passa. L'image de ma tante m'obsédait à ce point que les filles de ma génération ne m'intéressaient guère, j'eus une liaison de plusieurs mois avec une femme de dix ans mon aînée, mais qui ne dura pas. Ce fut ma seule expérience sexuelle. Je passais mes diplômes, devint ingénieur en informatique et cherchais du travail. En attendant mieux je m'inscrivis chez un prestataire de service qui me proposa une mission de plusieurs mois à Grenoble.

- Allo, tante Simone, c'est Thibault, figure-toi que je vais travailler à Grenoble pendant un petit bout de temps, ça te ferait plaisir que je vienne te dire bonjour ?
- Bien sûr, passe quand tu veux, tu n'as qu'à venir pour manger, un soir par exemple, je te ferais des bonnes choses... Mais dis-moi, tu loges où à Grenoble ?
- Pour l'instant nulle part, j'ai pris une chambre d'hôtel en attendant, je suis sur plusieurs pistes...
- Pourquoi tu ne viendrais pas loger à la maison, on a de la place...

Super !

J'avais une chambre assez spacieuse que je louais pour un prix symbolique. Nous prenions les repas ensemble soit à deux soit à trois lorsque Henri, son ami routier était là.

Je trouvais ma tante toujours aussi désirable, malheureusement aucune image nouvelle, hormis celle de son sourire ne venait alimenter mes fantasmes, je m'arrangeais pour me lever de bonne heure afin de la croiser dans ses activités matinales, mais en vain, elle devait posséder une collection de robes de chambre, de peignoirs et de pyjamas tous aussi anti érotiques les uns que les autres. Je me masturbais donc sur mes souvenirs, m'imaginant qu'elle m'entraînait dans les "pires" perversions.

J'étais loin d'imaginer que ces rêves éveillés allaient se concrétiser quelques semaines plus tard...

Cela a commencé un lundi matin, dans la salle de bain, je m'apprêtais à prendre ma douche, et en profitais pour mettre au sale mon caleçon et mes chaussettes de la veille que j'avais gardés dans ma chambre. Je ne sais alors quel démon m'a poussé à fureter dans le panier à linge, mais toujours est-il que j'en sortis rapidement une large culotte blanche, appartenant à ma tante, bien entendu, la défroissant je constatais qu'elle était copieusement tachée, une large auréole d'urine maculait le devant, je ne pus m'empêcher de porter à mes narines ce petit bout de tissus qui dégageait un fumet qui me troublait profondément. L'arrière de la culotte n'était pas moins net, une belle tache marron trônait à l'endroit où le sous-vêtement avait été en contact avec le trou du cul de ma tante.

2 3pee

J'humais alors aussi cette partie-là, m'imaginant en train de lécher l'entrefesse de ma tante. Je bandais maintenant comme pas possible, mais je ne pouvais trop m'attarder, il fallait que je me prépare pour aller au travail, j'avais donc le choix entre une masturbation rapide, ou l'autre solution consistant à subtiliser cette culotte pour fantasmer tranquillement le soir venu dans ma chambre. A bien y réfléchir je me dis que ces deux options n'étaient pas forcément contradictoires et me branlait, le nez dans ma trouvaille.

L'image de cette culotte me poursuivit toute la journée, à ce point que je regrettais de ne pas l'avoir emportée au travail.

J'avais donc prévu une longue séance de masturbation le soir après le repas, mais rentré chez ma tante en fin d'après-midi, je fus incapable d'attendre, je m'enfermais dans ma chambre, me déshabillait complètement, sortis la culotte de sa cachette, commençais à en humer les odeurs, celles de devant, puis celles de derrière. Mon érection fut immédiate. M'enhardissant, je me mis à lécher les taches d'urines, jurant mes grands dieux que je ne lécherais que ça, mais on ne devrait jamais jurer, quelques instants plus tard je posais ma langue sur les taches marrons tandis que ma verge était sur le point d'éclater. Je pris alors la culotte et éjaculais dedans !

Je ne savais plus quoi faire de cette culotte, tout cela n'était qu'une folie, il fallait redevenir raisonnable, il n'était pas question de la remettre au sale ni de la garder, je la jetais donc.

Le soir Tante Simone me trouva fatigué.

Le lendemain matin, je fouillais à nouveau dans le coffre à linge, mais n'y trouvais pas de culotte. Sans doute l'avait-elle mise directement en machine ? Le mercredi, pas de culotte non plus et j'en déduisis que ma tante ne les stockait pas toujours ici !

Par contre le jeudi matin, j'eu la surprise d'en trouver une ! Si l'avant était aussi imprégné d'urine séchée que la dernière fois, l'arrière était carrément maculé, il ne s'agissait plus cette fois de taches, mais de larges traînées, comme s'il elle avait oublié de s'essuyer le cul ! Je ne pus résister à l'envie de me masturber à nouveau, et cette fois n'attendit pas le soir pour jouir dans la culotte après l'avoir reniflé et léchouillé.

Je venais donc de gâcher sa deuxième culotte ! Ça posait un problème... perdre une culotte, elle se dirait sans doute qu'elle ne savait plus où elle posait ses affaires et ne chercherait pas indéfiniment, Par contre deux ? Bof, est-ce qu'une femme tient la comptabilité de ses culottes ?

Ce manège dura deux semaines, j'avais décidé de faire attention et de ne me pas jouir dans ses culottes, mais je ne pouvais m'en empêcher... Je sacrifiais encore deux ou trois culottes supplémentaires, je ne sais plus exactement, mais me disant à chaque fois que juré, craché ce serait la dernière ! Je me posais quand même des questions ? Pourquoi ne trouvais-je pas de culottes tous les jours, pourquoi étaient-elles si sales derrière. Est-ce que ma tante gardait sa culotte plusieurs jours ? Est qu'elle ne savait pas s'essuyer ? Tout cela était d'autant plus bizarre que Tante Simone ne me paraissait absolument pas comme une personne sale, bien au contraire.

C'est le samedi de la seconde semaine après ma première découverte que les choses se compliquèrent :

Toujours comme ça le week-end, alors que je pourrais dormir, et bien je suis réveillé... Je me rends donc à la salle de bain, pas de culotte ce jour-là, ce qui me parait normal, je n'en ai jamais trouvé deux jours de suite. Je prends donc ma douche, enfile un peignoir et descend à la cuisine pour me préparer mon petit déjeuner. Tante Simone est là, elle me fait un petit bisou amical. Elle est vêtue d'une sorte de haut de pyjama en coton, qui lui descend jusqu'en haut de ses cuisses nues, c'est complètement boutonné, mais ses seins bougent à l'intérieur à chaque mouvement ! Voilà une journée qui commence bien, moi qui me plaignais que ma tante ne m'offre rien d'érotique, voici que j'avais une superbe vue sur ses cuisses...

J'étais loin d'imaginer que je n'avais encore rien vu ce matin....

On cause de tout et de rien, je me suis attablé devant mon bol de café. Tante Simone est debout et soudain fait tomber une cuillère, elle se baisse pour la ramasser, elle me tourne alors le dos, Et au lieu de s'accroupir pour la ramasser, elle laisse ses jambes tendues, le pyjama se relève et j'ai soudain devant moi ses fesses nues. Je pense qu'elle ne se rend pas compte de ce qu'elle fait, mais voilà que je bande comme un bout de bois. En ramassant la cuillère, elle lui échappe des mains, elle se penche à nouveau, prolongeant la scène quelques secondes, puis elle se redresse, se retourne et me fait face.

- Ça va Thibault ?

Elle a dû voir mon trouble !

- Oui, ma tante !
- Tu veux voir autre chose maintenant ?

Qu'est-ce qu'elle raconte ?

- Pardon ?
- Parce que je viens de réaliser que tu viens de voir mes fesses !
- Oh ! Mais non, ma tante !
- Comment ça non ? Alors pourquoi tu bandes ?

Et en disant cela elle me met la main sur mon sexe. Je suis paralysée, je ne sais pas comment gérer la situation ! Fuir ? Assumer ? Mais elle ne me laisse pas choisir, en remettant une couche !

- Forcément que je suis les fesses à l'air ! Il y un zigoto qui me pique toutes mes culottes !

Cette fois je suis rouge pivoine.

- Pardon, ma tante, je suis désolé, je vais te laisser et chercher à me loger ailleurs, je ne dois pas être très normal et je ne voudrais pas....
- Mais qu'est-ce que tu me racontes ! M'interrompit ma tante. Tu es très bien ici. Je le sais depuis longtemps que tu fantasmes sur moi, rappelle-toi quand tu me regardais faire ma toilette à travers les vitres...

Mon Dieu, elle savait !

- Je pensais que ça c'était passé avec l'âge, mais faut croire que non, et pour moi c'est plutôt flatteur !

Elle s'approche de ma chaise, se tourne, relève son pyjama

- Vas-y caresse moi les fesses !
- Mais ma tante !
- Allez tu en meures d'envie
- Je .... je ne peux pas !
- Tu veux que je t'aide peut-être !

A ces mots, elle se retourne, me fait face et enlève son haut de pyjama, je peux enfin revoir ses seins. Ils sont là devant moi, ils sont gros, ils sont beaux, ils luisent dans la lumière du soleil du matin, elle les approche de ma bouche. J'y pose mes lèvres. Simone défait la ceinture de mon peignoir et me masturbe à présent ma verge tendue, je suis au paradis, je crois !

- Si tu m'expliquais ce que tu foutais avec mes culottes !
- Non, je n'ose pas !
- Alors moi je vais te le dire, tu te branlais en les reniflant, en sentant l'odeur ma chatte, l'odeur de mon cul ! C'est ça ?
- Oui !
- Ben l'odeur tu vas l'avoir en direct ce matin ! Tu sais quand j'ai rencontré Henri j'étais déjà coquine, mais il m'a fait découvrir plein de trucs, des trucs super cochons, par exemple, il ne voulait pas que je change de culotte tous les jours, il ne voulait pas que je m'essuie ni devant ni derrière. Au début ça m'a amusé je faisais ça en fin de semaine puis le week-end quand il était là, et puis après ça m'a amusé de le faire tout le temps !

Je continue à lui lécher les seins pendant qu'elle me parle, elle n'ose plus trop toucher à ma queue prête à éclater et s'amuse avec mes testicules.

- Parfois quand je viens de pisser... Continue-t-elle. C'est Henri qui me nettoie la chatte avec sa langue, il fait ça très bien, un vrai délice. Dis-moi Thibault, ça te plairait de me le faire !
- Je crois... oui ! Balbutiais-je !
- Et derrière ?
- Derrière ?
- Oui, me nettoyer le cul quand j'ai fini mon petit caca !
- Je sais pas, ça me dit trop rien, mais je veux bien essayer !
- Alors viens !

Venir où ? Ce n'est pas possible je suis en train de faire un rêve érotique, je vais me réveiller avec mes draps tous gluants.... Tante Simone se met contre le plan de travail, les jambes légèrement écartées

- Viens sentir ma chatte !

Je m'élance, je me précipite, j'ai le nez dans ses poils, ça sent l'urine, ça sent la femme ça m'enivre, je lui écarte les lèvres, je me mets à lécher, la cochonne est déjà toute mouillée, ce doit être la situation qui l'excite !

- Je ferais bien, un petit pipi ! Me prévient-elle ! Ça te dit ?
- Un petit peu alors !
- Ouvre ta bouche, cochon !

Quelques gouttes arrivent déjà au fond de mon gosier, ç'est pas mauvais, je fais signe qu'elle peut continuer. Alors elle se lâche, j'en reçois plein la bouche, mais ne peut avaler une telle quantité, l'urine dégouline sur mon corps, coule de partout et finit par provoquer une belle flaque dans la cuisine.

- Dommage que le sol ne soit pas propre, sinon je t'aurais fait lécher par terre !
- Hi ! Hi !
- Ça te fait rire ? Tu n'aimerais pas qu'on se fasse un petit scénario comme ça un de ces jours, et si tu ne lèche pas bien je te foutrais des coups de martinet !
- Pourquoi pas !
- Bon, maintenant tu vas me lécher le cul !

Elle se tourne, écarte ses globes fessiers, son petit anus brun est tout attendrissant, elle a aussi quelques poils au cul dont la présence me plait bien, sinon il y a quelques taches marrons autour de l'anus, pas de quoi s'affoler !

- Alors ? Demande-t-elle. Nettoie ce qu'il y a à nettoyer !

J'ai bien léché ses culottes, je peux bien lécher ses traces merdeuses, en plus avec le contact de la peau sur la langue est loin d'être désagréable.

- Maintenant, fourre-moi ta langue dans le trou !

J'y vais, ça ne sent pas la rose, mais l'odeur ne me déplait pas, son anus s'ouvre sous la poussée, et j'essaie d'y pénétrer autant que je peux.

Un raclement de gorge !

- Ben alors, vous ne vous emmerdez pas tous les deux !

Catastrophe !

Henri vient de pénétrer dans la cuisine, juste "habillé" d'une serviette de bain autour des hanches, je me recule, attrape mon peignoir pour cacher ma nudité, mais c'est tout ce que je sais faire, je suis paralysé de terreur. Je réalise quelques secondes après qu'Henri n'a pas vraiment l'air en colère et que Simone est plutôt amusée de la situation.

- Rassure-toi, Thibault, Henri ne te fera aucun mal, il n'est pas jaloux !

Il n'est peut-être pas jaloux, mais moi ça me gêne, et je débande instantanément. Par contre Henri, lui, a laissé tomber sa serviette et arbore un sexe tout à fait sympathique et en pleine érection.

- Tu as vu comme il a une belle bite, mon Henri ?

Je réponds par un sourire de politesse.

- Et puis, elle est douce, tiens caresse-la pour te rendre compte !
- Heu, c'est pas trop mon truc !
- Oui, mais c'est le nôtre ! Allez vas-y ça ne mord pas !

Je tripote un peu la queue d'Henri, effectivement, la peau en est très douce.

- Qu'est-ce qu'il est beau son zob ! Reprend Simone, on dirait un esquimau.

Comme réflexion téléphoné c'est pas mal, dans une seconde si j'ai bien compris, elle va me demander de lui sucer. Je suis vraiment tombé sur un couple de pervers !

- Suce !

Tiens, je vous l'avais dit ! Mais je suis tellement excité que je n'hésite même pas, et puis c'est vrai qu'elle est belle cette bite. Je commence par y déposer ma langue, puis je l'engloutis complètement essayant d'imiter les fellations que j'ai vu pratiquer dans les films spécialisés...

- Il suce bien ! Commente Henri.

Quel menteur, je n'ai aucune expérience !

- J'ai une idée ! Reprend ce dernier !

Il s'approche alors de Tante Simone, et lui fout un doigt dans le cul !

- On va voir comment c'est ce matin !

Il le ressort, le doigt est tout maculé, il se l'essuie sur les fesses de sa compagne ! Il approche alors sa bite de son anus et force un instant le passage, avant de la pénétrer relativement facilement.

- Hum, j'adore l'enculer quand elle a le cul plein de merde !

Ça m'embête de ne pas participer plus, alors je me mets sur le côté et caresse les gros seins de ma tata...

- Ne les caresse pas, pince-les !

J'obtempère, elle pousse des petits cris. Puis Henri quitte le cul de Simone, il n'a pas joui, il se réserve sans doute pour d'autres jeux. Sa bite est pleine de merde.

- Suce !

Il n'est pas bien, l'autre ! Je lui fais signe que "pas question !"

- Si tu lui suces, tu pourras m'enculer à ton tour ! Intervient la Tata.

Il y des arguments qui sont d'une efficacité redoutable. Et rangeant mes principes et mon refus dans ma poche je me mets à lécher le membre merdeux de l'amant de ma tante. Il n'y a d'ailleurs pas de quoi en faire un plat, c'est un peu âcre, mais ce n'est pas si désagréable et puis il y a l'odeur que j'adore, parce que c'est l'odeur du cul de ma tante.

- Un jour c'est toi que j'enculerais ! Me dit Henri.

Avec tout ce qu'ils me promettent, je vais devenir le roi des pervers, bof, pas grave, on ne vit qu'une fois...

J'ai ensuite enculé ma tante, elle m'a fait mettre un préservatif, on est prévenant dans la famille, le sachet était dans un tiroir de la cuisine, preuve supplémentaire s'il en fallait que tout cela était prémédité.

- Essaie tout de même de ne pas jouir, on va finir en apothéose ! Me demande-t-elle.

Je me retire me demandant de quelle apothéose il peut bien s'agir !

- Bon, les gars, faut que je me vide ! Thibault couche-toi par terre !

Elle ne va pas faire ça ! Pourtant je ne proteste pas ! Je m'allonge sur le sol. Simone s'accroupit au-dessus de mon sexe. Un bel étron commence à sortir de son anus, il atterrit juste sur mon sexe, un second le rejoint. L'odeur de merde envahit la cuisine. Henri demande à Simone de s'asseoir alors sur la table, elle y dépose son gros cul merdeux, il place ensuite son visage entre ses cuisses afin de la faire jouir et se masturbe en même temps, ils ne s'occupent plus de moi, et je me branle dans la merde de ma tante.

Cosi cosa alias le Professeur Scato 12/2003

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Jeudi 2 août 2018 4 02 /08 /Août /2018 05:26

Montagnes d’Helvetie ! Tiroula Tirouli ! par Cosi-cosa


scat
Thèmes abordées :  bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, engodage masculin, feuille des rose, scato, trio, uro

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS
EXPLICITES

 

Bonjour, je m'appelle David et j'habite en Suisse Romande. J'aime faire de grandes balades à pied dans nos belles montagnes.


L'aventure que je vais vous narrer commença donc ce jour de juillet, où m'étant arrêté au bord d'une route pour en admirer le paysage en contrebas, une voiture se gara près de moi et une femme en descendit.


Quarante, cinquante ans ? Allez savoir, mais bien conservée, un beau sourire, une belle prestance, et de beaux atours.


- Bonjour… je suis un peu perdue…


Elle m'explique qu'elle est française, qu'elle est en vacances et qu'elle loue un chalet… En fait elle n'est pas si perdue que ça, je lui explique comment rejoindre sa location, et puis on discute un peu, je lui commente le panorama, la rivière, les villages sur l'autre versant de la vallée…


Il fait très chaud, elle transpire, je la regarde mieux, des cheveux auburn coupés au carré, des lunettes à grosse monture, couvrant de beaux yeux verts bleus, elle est habillée d'un tee-shirt parme qui lui moule une fort belle poitrine dont les tétons pointent à travers le tissu. En bas c'est un short ou plutôt un jean coupé à mi-cuisse. Les jambes ont l'air très sympathiques et le spectacle que m'offre ainsi cette dame mature ne me laisse pas indifférent.


- Vous n'avez pas chaud, vous ? M'apostrophe-t-elle.

- Si !

- Vous redescendiez ?

- Oui !

- Montez si vous voulez ! Me dit-elle en me désignant la voiture.


J'allais répondre, "non", et que ça me faisait du bien de marcher, mais pressentant une possible occasion, j'acceptais…


- Vous connaissez bien le coin, les promenades à faire tout ça ?

- Oui !

- Ça vous embêterait de me raconter un peu tout ça, les gens ici ne veulent pas dire grand-chose !

- Non, non ça ne m'embête pas du tout !

- Je vous emmène chez moi, vous allez me dire tout ça autour d'un verre, vous devez avoir soif, non ? D'accord ?


Et me voilà proprement embarqué ! Nous traversons quelques villages et nous arrivons à son chalet ! Effectivement ce n'est pas mal et c'est très discret, le terrain est immense, il n'y a aucun vis-à-vis, les arbres protègent de tout regard indiscret ! Le super truc, quoi !


On s'installe dans le petit salon de jardin, dans des transats et sous les parasols.


Elle se présente, elle se prénomme Sylvia, elle est divorcée et elle a des sous. On boit quelque chose de bien frais et on discute de choses et d'autres et notamment de cette nature environnante tout à fait exceptionnelle, mais mes yeux ne peuvent s'empêcher de se river vers ses tétons qui m'ont l'air de s'ériger de plus en plus sous son tee-shirt.


- Dis donc ! Qu'est ce tu regardes, petit coquin ?

- Euh… rien…

- Pourquoi tu mens ?

- Je, je… excusez-moi…


Je ne sais plus ce que je dois dire ou faire, je suis là comme une andouille. Mon interlocutrice, elle, monte d'un degré supplémentaire dans la provocation en se passant le dessous des pouces à l'endroit où les bouts de seins poussent le tissu du tee-shirt.


- Touche-les si tu veux, mais juste une seconde !

- Je…

- Ça ne me fera pas de mal, et à toi non plus !


J'hésite, je me demande où je m'embarque, je suis assez lucide pour savoir que ce geste ne peut être que le prélude à d'autres choses, je ne sais si je le souhaite vraiment. Ma quéquette, elle, ne se pose pas toutes ces questions et bande bien joliment. Sylvia finit par attraper ma main, et l'entraîne sur son tee-shirt, je me laisse faire et mes doigts frôlent ses pointes, ma braguette va éclater….


- Ça t'excite hein petit salaud !


Et en disant cela elle m'y met justement la main (à la braguette).


- Humm, c'est tout dur dis donc ! Montre-moi tout ça !


Une dernière hésitation…


- Allez, montre et moi je te ferais voir mes gros nichons !


Ben oui, je défais ma braguette et exhibe ma bite toute raide !


- Joli !


Elle s'approche alors de mon engin et commence à le caresser. Je me laisse faire mais lui rappelle sa promesse de me montrer ses seins en lui tirant sur son tee-shirt. Elle capte le message et enlève son haut, elle reste quelques instants en soutien-gorge, puis l'enlève libérant deux belles et grosses mamelles intégralement bronzés que je caresse comme dans un rêve. J'aime bien aussi ses bras un peu dodus et puis je peux constater qu'elle ne se rase pas les aisselles qui sont restées velues à souhait et dégagent d'enivrantes odeurs. De mon côté je me débarrasse vite fait de mes vêtements. 


Sylvia m'attrape alors mes tétons et me les tortille. 


- T'aimes ça, on dirait ? Me nargue-t-elle

- J'adore !


Sylvia se penche alors et me lèche le gland de son petit bout de langue.


- Ne jouis pas trop vite, je voudrais bien en profiter ! Plaisante-t-elle.


Je la rassure, elle me fait me retourner !


- Ecarte tes fesses je vais te lécher ton petit cul de pédé !

- Je ne suis pas un pédé !

- Mais si tous les hommes le sont !

- Mais non !

- Tu changeras d'avis quand tu te seras fait enculer !


Elle doit être un peu timbrée mais il faut bien avouer qu'elle me suce la rondelle divinement, sa langue est d'une agilité incroyable et elle se faufile dans mon fondement comme une anguille dans un tuyau. Sa langue est bientôt remplacée par un doigt, puis ensuite par deux doigts. Ce qu'elle me fait est incroyablement bon !


Ses doigts ressortent pas tout à fait net. Elle me les donne à sucer et je m'acquitte de cette tâche avec bonne volonté.


- Alors tu ne veux toujours pas que je t'encule, j'ai apporté un joli gode-ceinture ! Je vais aller le chercher.

- Euh ! Une autre fois !

- A moins que tu ne préfères une vraie bite, tout à l'heure il y a l'épicier qui va venir me livrer, il adore faire des parties surtout quand il peut faire des choses avec d'autres mecs, ça t'intéresse ?

- Non, non, merci !

- On en reparlera, je suis sûre que tu aimerais sucer une bonne bite !


Je ne sais plus ce que j'allais répondre, mais elle a repris fort opportunément sa fellation, elle me suce divinement faisant coulisser mon membre dans la douceur satinée de sa bouche, variant la pression, modifiant le rythme, relâchant la verge quelques courts instants pour venir taquiner mes boules, puis revenant à son point de départ… Puis, elle me libère, me laisse un peu respirer, en profite pour enlever le bas, elle m'exhibe alors sa chatte poilue et odorante qui dégouline de mouille !


- Viens me lécher la moule, mon biquet !


Le biquet n'hésite pas, je fourrage ma langue dans tout ce fouillis rencontrant le goût mielleux de son abondante cyprine, je donne de grandes lapées et vais pour m'attaquer à son clitoris tout gonflé d'excitation quand elle me prie d'arrêter, elle se tourne et écarte ses grosses fesses, me présentant son trou du cul béant !

Jodelle

- Allez, mon petit trou va être jaloux !


Allons-y donc pour le petit trou ! Je m'approche ! Whaaa ! Je ne vous dis pas l'odeur ! Ça sent carrément le caca ! C'est assez incompréhensible car elle parait pourtant bien propre sur elle. Elle a peut-être eu des problèmes pour s'essuyer… Mais loin de me rebuter cette odeur m'excite, et je lui lèche le cul à qui mieux mieux.


- J'aurais peut-être dû me laver avant me dit-elle ! Parfois j'oublie de m'essuyer, j'espère que ça ne te gêne pas !


Elle est gentille de me dire ça après ! Mais elle a bien compris que ça ne me gênait pas, sinon je ne serais pas en train de la lécher comme je le fais.


- Tu es vraiment un petit cochon, je sais les repérer moi, les petits vicieux comme toi ! Allez, continue de me sucer mon cul plein de merde, petit enculé !

- Tu es vraiment une belle salope ! Lui répondis-je sur le ton de la plaisanterie !

- Oh ! Mais tu n'es pas très poli, je vais être obligé de te corriger !

- Chiche !

- Pour l'instant continue à lécher, tu fais ça très bien !


Puis au bout d'un moment elle me tint ce discours étrange :


- Humm… J'ai envie de péter, colle bien ton visage contre mon trou du cul, je vais te péter dans la bouche !


Ivre d'excitation, j'obéis sans broncher et reçois le pet qui m'envahit le palais de son odeur fétide.


- Bouge pas je reviens !


Je m'installe dans le transat en l'attendant, je présume qu'elle est partie chercher un préservatif pour la scène finale, je suis partagé entre l'envie de prolonger ce trip sexuel et la crainte qu'elle ne m'entraîne trop loin.


Un raclement de gorge !


- Heu, elle n'est pas là la petite dame ?


Qui c'est celui-là ? Je prends conscience que je suis à poil, je camoufle ma nudité avec les mains, j'ai l'air fin.


- Euh, je vais aller la chercher ! Proposais-je.


J'allais pour me lever. Mais voici Sylvia qui revient, Alors là j'hallucine, elle s'est harnachée d'un gode ceinture et tient à la main un superbe martinet. Et le pire c'est que l'autre zigoto n'a pas l'air plus surpris que ça !


- Ah ! Bonjour Olivier ! Dis donc, tu ne serais pas un peu en avance ?

- Je n'avais pas beaucoup de livraison… Mais dites donc, vous avez l'air de bien vous amuser, madame Sylvia !

- Super ! J'ai rencontré ce charmant jeune homme, tu verrais comment il m'a sucé le cul, c'était divin, et regarde sa bite comme elle est mignonne !


Non mais ça ne va pas ! Ma bite, je la cache !


- David ! Veux-tu être sage et montrer ta bite à mon ami, sinon je vais être obligé de sévir !

- C'est que je n'ai pas trop envie !

- Rappelle-toi, tu m'as manqué de respect tout à l'heure, je t'ai proposé de te punir, tu m'as dit "chiche", alors désormais tu es mon esclave et tu m'obéis, donc, tu enlèves tes mains !

- Bon je vais peut-être y aller !

- Aller où ? A pied tu en as pour deux heures… Je te raccompagnerais tout à l'heure… A moins que je te garde à coucher… Mais pour l'instant, dis-moi : Tu ne veux pas jouer, tu ne veux pas être mon esclave ?

- Bon alors d'accord, on joue !


J'enlève mes mains, mais je ne bande plus !


- Tourne-toi de l'autre côté, je vais te rougir les fesses.


J'obéis : Le premier coup claque, elle n'a aucunement l'intention de me faire très mal, mais bon ce n'est pas non plus une caresse de plume, ça pique, un deuxième coup tombe !


- Qu'est- ce qu'on dit ?

- Merci maîtresse !


Elle me balance comme ça une vingtaine de coups de martinet puis me fait mettre à quatre pattes. Je sens du gel s'appliquer contre mon anus, puis quelque chose de dur forcer l'entrée, je l'aide en poussant, et finalement ça entre ! Sylvia me sodomise avec son gode-ceinture et j'aime ça ! On peut même dire que j'adore ça ! Olivier ne perd rien du spectacle, il a sorti sa bite bandée et se branle en nous regardant !


- Olivier, donne-lui ta bite à sucer ! Ordonne alors la maîtresse des lieux.


L'épicier s'approche, la bite tendue, une bien belle bite, il faut le reconnaître, la peau légèrement halée, le gland luisant et bien dans le prolongement de la verge, une bite bien sympathique, quoi ! Elle est maintenant à cinq centimètres de mon visage, je n'ai plus qu'à ouvrir la bouche ou à tendre la langue c'est au choix, mais encore faudrait-il que je le veuille.


- Il me semble t'avoir demandé de le sucer ! Me dit Sylvia, tout en continuant à me pilonner.


Au point où j'en suis autant ne pas mourir idiot, j'ouvre la bouche, l'autre s'approche, je suis surpris par la douceur de la texture, finalement ce n'est pas désagréable du tout ce truc, je mets tout dans la bouche, c'est délicieux à sucer, je viens de découvrir quelque chose. Quand je pense que j'étais parti faire une randonnée pédestre et que me voici avec une fausse bite dans le cul et une vraie dans la bouche.


- Alors elle est comment la bite du livreur ?

- Délicieuse !

- Bon, allez assez rigolé, remet toi sur le dos !


Et voilà qu'en deux temps et trois mouvements Sylvia me recouvre ma quéquette d'une capote, et s'empale dessus. Elle fait de grands mouvements de haut en bas. Olivier lui s'est placé derrière elle et lui maintient les seins, sans oublier d'en astiquer les bouts. C'est assez fabuleux. Puis Sylvia se relève, se décale un peu et présente maintenant son anus à mon sexe, ça rentre avec une étonnante facilité. J'adore sodomiser une femme, la pression exercée par les sphincters sur la verge est quelque chose d'assez délicieux, Sylvia gigote en poussant de grand cris de plaisir. Mais soudain elle s'arrête, se relève ! Je n'y comprends rien, je n'ai pas joui, elle non plus ! Elle s'éloigne.


- Où tu vas ?

- Je vais pisser, je reviens !


Après tout ce qu'on vient de faire je me demande bien quels scrupules elle a à ne pas vouloir pisser sur moi, je le lui dis.


- C'est que je n'ai pas envie que de pipi !

- Mais qu'importe !

- Tu es bien sûr ?

- Certain !


Alors Sylvia revient et se met à califourchon sur moi au niveau du sexe et commence à pisser dessus, puis s'apercevant que ma bouche quémande son précieux nectar doré, elle avance et finit de libérer son jet dans mon gosier ! Sa pisse est délicieuse et je m'en pourlèche les babines


Try Sucking09- Et maintenant, attention les yeux !


Sylvia se retourne et j'ai maintenant pleine vue sur ses fesses écartées, elle pousse, l'anus s'ouvre, je vois un petit étron se frayer un chemin, puis il grossit de plus en plus en se tortillant et finit par dégringoler sue mon ventre, un second suit immédiatement encore plus long, puis un dernier plus petit ! Puis sans que je m'y attende, elle s'assoit sur mon visage ! Ça sent la bonne merde fraîche


- Nettoie tout !


Je ne me le fais pas dire deux fois, et ma langue lui sert à présent de papier à cul !


- Et quand tu auras fini, comme j'ai très envie de faire plaisir à mon ami l'épicier, il va t'enculer bien comme il faut !


Ben voyons !


Après cette petite plaisanterie j'ai repris ma sodomie sur Sylvia, mais cette fois-ci elle s'est positionnée en levrette de telle façon qu'Olivier puisse venir derrière moi me prendre à son tour… J'ai aimé sa bite dans mon cul !


… Et quelques minutes plus tard, l'écho dans la vallée reprenait à l'infini l'explosion de nos jouissances. Tirouli Tiroula !


Cosi-cosa alias le Professeur Scato 1/2004


 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Vendredi 18 août 2017 5 18 /08 /Août /2017 18:54

Le cadeau de Bettina par Cosi-cosa

scat

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Bettina et moi sommes ensembles depuis quelques mois et nous entendons plutôt bien surtout sur le plan sexuel puisque nous avons beaucoup de fantasme en commun. Bettina est une belle jeune femme, une vraie blonde de mère allemande avec et des beaux yeux bleus.

Je ne m’attendais pas qu’elle m’offre ce cadeau dont je vais vous parler.

Le 24 juin jour de la Saint Jean est également celui de mon anniversaire, ma copine avait invité à la maison l’une de ces collègues qui se prénomme Rachida. Rachida est grande beurette, elle m’en avait souvent parlé mais on ne me l’avait jamais présenté

- Quand Rachida arrivera, me dit Bettina, tu nous filmera toutes les deux avec la caméra !
- Mais mon ange je ne sais comment filmer ?
- C’est pas grave, fait de ton mieux : Me rassura-t-elle.

A 19 heures Rachida sonne, elle a apporté des fleurs pour Bettina et une bonne bouteille de Morgon pour le repas du soir que nous devions prendre ensemble

- On va faire ce qu’on avait dit, on mangera à 20 heures,

Je pris la caméra et les deux femmes commencèrent à s’embrasser. Les voir ainsi se bécoter profondément avec la salive qui leur dégoulinait du menton me donna envie de me branler.

Puis Rachida enleva son petit haut, puis son soutien-gorge rouge et demanda à Bettina de lui sucer ses seins. Sans hésiter cette dernière commença lentement, puis plus rapidement à lui lécher sa jolie poitrine. Elle finit ensuite de se déshabiller afin que ma copine puisse accéder à sa chatte poilue

- Ça vous dérange si je me branle en vous regardant !
- Non ! Mais ce serait dommage ! Retiens-toi, tu auras peut-être une surprise tout à l’heure !

Elle rentra le majeur dans la chatte de Rachida qui criait comme une damnée et suppliait Bettina de continuer.

Les filles décidèrent de continuer dans la chambre, elles étendirent une grande serviette de bain sur le lit, puis Bettina se déshabilla à son tour avant de sortir le godemichet de la table de nuit. Elle le fit pénétrer délicatement dans la chatte de Rachida.

Celle-ci se mit à jouir bruyamment en mouillant abondamment ses cuisses, elle se laissa ensuite aller complétement et se mit à pisser (heureusement qu’elles avaenit pensé à la serviette de bain).

Bettina en bonne gourmande ouvrit la bouche et avala plusieurs lampées de la bonne pisse de son amie. J’en aurai bien gouté un petit peu mais on ne me le proposa pas.

Rachida mouillait les seins de Bettina avec ses mains pleine de pisse et ensuite les léchait comme des friandises.

Bettina reprit le gode mais l’introduisit cette fois dans le trou du cul de Rachida et le fit aller et venir jusqu’à ce que la beurette hurle de plaisir.

Le gode ressortit maculé de merde et les deux femmes s’amusèrent à le lécher ensemble afin qu’il redevienne propre.

Bettina se coucha ensuite sur le dos et Rachida l’enjamba, le cul tourné vers le visage de sa complice de jeu, offrant à ma vue un fessier somptueux.

Je la vis pousser, puis un gros boudin sortit de son anus embaumant la chambre d’une odeur subtile. Le caca de Rachida tomba sur la poitrine de Bettina et les deux femmes s’amusèrent à s’en étaler partout sur le corps et même sur le visage. Bettina tartina ainsi les seins de Rachida avant d’en nettoyer le téton de sa langue.
Bettina.jpg
Ce petit jeu dura quelques minutes, puis Rachida se mit en levrette. C’est à ce moment que Bettina, me dit :

- Maintenant tu peux l’enculer !

Je me déshabillais très vite et approchait ma queue tendue de ce trou du cul que personne n’avait nettoyé et la pilonnait comme un sauvage.

- Vas-y encule la bien ! m’encourageait ma douce !

Quand j’eu pris mon plaisir les deux cochonnes se bousculèrent en rigolant, chacune voulant me nettoyer ma bite maculée de sperme et de merde.

On a mis la serviette au sale, on s’est douché, on s’est rhabillé et on a été boire l’apéro en attendant le traiteur.

Merci Bettina pour ce beau cadeau !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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