Lundi 1 septembre 2003 1 01 /09 /Sep /2003 19:05

Une bonne fessée pour Marie, texte proposé par Cosi-Cosa

 

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   RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Ce texte dont nous aimerions connaître l'auteur est paru primitivement sur le site de Sophiexxx.com (aujourd'hui fermé) sous le Titre Original : LA FESSEE ET LE CAVIAR, puis sous le même titre qu'ici sur Revebebe qui l'a ensuite archivé. Cosi-Cosa nous a proposé de l'éditer sur notre site sans rien en modifier

Ce texte décrit des pratiques un peu limites, ce sont mes fantasmes à moi et je n'en ai pas honte. Mais si vous craignez d'être choqué, n'allez pas plus loin ! Vous voici prévenus.

Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvais Marie dans la cuisine, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassais légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui disais en souriant :

- Cela mérite au moins une fessée !

Me prenant au mot, elle me répondit :

- Si tu penses que je le mérite, alors punis-moi !

Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe et commençais à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par le slip. Progressivement, j'appuyais mes coups en commençant à claquer la peau nue. A un moment, Marie poussa un cri et je lui demandais si je devais m'arrêter. Elle me répondit :

- Non, au contraire, vas-y plus fort !

Je baissais alors sa culotte et frappais alternativement et de plus ne plus fort ses fesses qui, sous les coups devenaient cramoisies. A chaque coup, Marie poussait un cri mais ne voulait toujours pas refuser la " correction ". M'arrêtant, je passais mes doigts dans sa fente et me rendais compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation.

spanking glassJe décidais d'aller plus loin dans la correction. Je redressais Marie et lui demandais de maintenir sa jupe soulevée. Puis j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtais, vérifiais que sa fente était toujours aussi " émoustillée ", puis enlevais sa culotte que j'enfonçais dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le quartier. Puis je dégrafais sa jupe et lui demandais d'écarter les jambes. Je recommençais alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. A chaque coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui demandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuais la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis avec bon cœur. A chaque coup, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.

Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je m'arrêtais et lui enlevais son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrais sa chatte toute humide, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchais en avant et, me positionnant devant son anus, la sodomisait brutalement et m'enfonçais jusqu'à la " garde " dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, allait branler son clitoris. Je la pistonnais de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçais toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeais dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant un long gémissement et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.

Une fois calmé, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre et de trace de merde à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirais sa culotte de sa chatte et nettoyais son anus largement ouvert qui laissait échapper quelques traces de foutre. Brutalement, je quittais sa bouche et, m'agenouillant derrière elle, je commençais à lécher son trou du cul, ma langue pénétrant aussi loin que possible son rectum. A un moment, Marie me demanda d'arrêter car la présence de mon sperme, de ma langue et certainement de selles, comme l'avais montré ma queue souillée, lui donnait envie de chier. Cette idée me fit bander à nouveau, et, voulant voir jusqu'où Marie était prête à aller, et, surtout, envisageant la réalisation d'un fantasme on ne peut plus dérangeant, à savoir, lécher et pénétrer avec sa langue le cul d'une fille qui vient de se soulager, je plongeais mon index profondément dans son rectum, rencontrant rapidement une masse souple, que je malaxais légèrement avant de retirer mon doigt. Ce dernier était effectivement couvert de merde, ce que je montrais à Marie qui, semblant lire dans mes pensées, me demanda avec un sourire espiègle de le lécher, ce que je fis sans hésitation, permettant ainsi de connaître le goût particulier, gras et musqué de la merde. Une fois nettoyé, je replongeais mon index dans ses entrailles à la recherche du " cadeau " qui nous attendais. Puis, je le retirais, à nouveau couvert de merde, et je le présentais à Marie qui, sans plus d'hésitation que moi, le lécha avidement. A l'évidence, la soirée s'annonçait chaude et odorante. Toutefois, par acquis de conscience, je lui demandais si la suite du programme, c'est à dire jouer avec sa propre merde, lui posait un problème. Devant sa réponse négative, nous nous déshabillâmes complètement puis j'allais chercher une grande serviette de toilette que j'étendais dans la salle de bain. Notre " salle de jeux " était prête.

fin de l'épisode 

 

Par ? - Publié dans : Cosi-cosa
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