Pr Martinov

Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:00

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 5 – Le coursier du traiteur par Maud-Anne Amaro

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Mais c’est qu’il y a une suite, le lendemain le coursier revenait récupérer les plats et les couverts… Camilla étant sortie faire des courses, c’est le baron qui ouvrit au livreur, et ce dernier y alla au culot.

– Vous savez je ne suis qu’un modeste coursier, mais je donnerais cher pour pouvoir participer à des petites sauteries comme celle que…
– Oui, ça va j’ai compris…
– Bon, désolé, je ne vous ai rien dit.
– Vous avez quel âge ?
– 20.
– Vous avez une petite amie ?
– Non, pas en ce moment.
– Et qu’est-ce qui vous intéresse dans le sexe ?
– Un peu tout : les femmes, les hommes, les petites misères.
– Vous finissez à quelle heure ?
– Tard, mais j’ai une longue pause entre 15 et 18 heures.
– Vous êtes raciste ?
– Non pas du tout, pourquoi cette question ?
– Donc vous pourrez apprécier les charmes de Camilla…
– Ah ! Oui très bien ! Mais je n’ai pas un gros budget…
– Mais qui vous parle d’argent ? Quoique si… les putes ils faut bien les rétribuer, vous lui donnerez 20 balles, c’est symbolique mais ça lui fera plaisir.

Monsieur Albert lui a donc demandé de repasser à 15 heures, et c’est tout émoustillé que le garçon qui se prénommait Patrice se présenta à l’heure dite et je fis entrer au salon.

– Te voilà donc, petite salope ! L’interpella de suite monsieur Albert.
– Oui je suis une petite salope ! Confirma Patrice. (pas contrariant le garçon !)
– Alors à poil !
– Là tout de suite ?
– Non, l’année prochaine, allez dépêche-toi !

Le jeune homme se déshabille, exhibant une bite demi molle.

– Camilla fait moi bander ce pédé !

Je me suis d’abord dépoitraillé afin qu’il puisse profiter de la vue de mes beaux nichons, (il a eu l’air d’apprécier) puis je lui ai tordu ses tétons, il nous a fait une vilaine grimace, mais n’empêche que sa bite est devenue toute raide.

– Oh ! Le bel organe ! S’écria le baron en s’en approchant pour le porter en bouche

Inutile de préciser que Monsieur Albert se régala, il adore sucer des bonnes bites bien raides ! Il se la serait volontiers logé dans son cul, mais cela pouvait attendre, il avait envie de s’amuser un peu auparavant.

Il m’a demandé de l’attacher sur une chaise, puis m’étant complètement déshabillée, je suis venue lui faire une lap dance, usant de toute la gamme du genre, frôlement de mes nichons contre son torse, tétons venant sur ses lèvres et bien sûr chatte contre bite, et c’est rien de le dire que le gars bandait comme un sapeur. J’avoue que j’étais moi aussi très excitée par ce petit jeu et que je commençais à mouiller comme un parapluie.

Monsieur Albert s’était déshabillé lui aussi et s’astiquait la nouille, mais sans précipitation, il adore faire durer le plaisir.

– Camilla, arrête de faire ta pute, et mets-lui des pinces.

On avait mis de côté des pinces à linges de toutes les couleurs, alors j’ai commencé par ses tétons.

– Ça fait mal hein ? Petit pédé ?
– Oui, mais ça fait rien, c’est bon.

Du coup j’ai repris deux autres pinces pour les superposer, il a grimacé, mais supporté. Je ne me suis pas arrêté en si bon chemin et lui en ai fixé un sur chaque couille.

– Ouille, ouille, ouille.
– Ta gueule, tu aimes ça !

Monsieur Albert s’est approché de lui, pine en avant.

– Suce ma bite, pédé !

Martinov2805Il ne se le fait pas fait dire deux fois et lui a engouffré le chibre avec un plaisir évident. C’est fou le nombre de mecs qui aiment sucer des bites, mais ils ne le crient pas sur les toits !

– Hum, mais c’est qu’elle suce bien, cette petite salope !
– Oh, oui traitez moi de salope, ça m’excite !

Au bout d’un moment, monsieur Albert demanda au jeune homme de se retourner et il me tendit la cravache, pas besoin de me faire un dessin, je pris un petit plaisir sadique à rougir ce petit cul.

– Maintenant couche toi par terre, et ouvre bien la bouche, Camilla va te donner à boire.
– Oh oui !

Il y en comme ça pour qui les jeux de pipi n’ont rien ni d’une punition, ni d’une humiliation, ce serait même plutôt une offrande. Et ma foi, je ne peux qu’approuver.

Je gratifiais donc ce gentil jeune homme de mon petit pipi qu’il avala avec gourmandise.

Et c’est là qu’il me demanda si je n’avais rien de plus consistant à lui proposer.

Le souci c’est que, si je n’ai rien contre les délires scatos, je ne chie pas à volonté, je lance un regard interrogateur vers monsieur Albert qui me demande d’essayer.

OK j’essaie, je me mets à califourchon au-dessus du gars et je pousse, je sens que je peux faire une petite crotte, je pousse, je pousse, je sens que ça va venir, ça vient, ça dégringole sur son torse, je pousse encore… plus rien.

Je ramasse l’étron, le lui tends. lui propose de lécher, il le fait, c’est un cochon, un gros cochon.

Monsieur Albert n’en pouvait plus d’excitation, il ordonna au jeune homme de se mettre en levrette, puis après lui avoir copieusement léché la rondelle il l’encula à la hussarde. C’est trop excitant de voir deux hommes s’enculer !

Fin du récit de Camilla.

– Eh ben dis donc quel cochon ce baron !
– C’est un brave homme, il est un peu obsédé par le sexe, ça ne me dérange pas j’y trouve mon compte, tout le monde peut y trouver son compte…

Je la vois arriver avec ses gros sabots ..

– T’as vu comment il te regarde ?
– J’ai vu, oui…
– Il n’aura jamais un geste déplacé, mais si tu faisais le premier pas…
– Ben continue ta phrase.
– Il est plutôt généreux…
– C’est lui qui t’a missionné pour me faire ce genre de proposition ?
– J’avoue !
– Je ne suis pas une pute.
– Tout de suite les grands mots, c’était juste une suggestion, si ça te choque considérons que cette conversation n’a jamais existé.
– Et en admettant que j’accepte, il faudrait que je fasse quoi ?
– Une pipe !
– Je ne dis pas oui, je ne dis pas non, je vais voir…

Au diable les préjugés, je ne vois pas pourquoi je ferais la fine bouche (c’est le cas de le dire !) devant de l’argent facile.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 10:57

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 4 – Les confidences de Julie et de Camilla par Maud-Anne Amaro

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Le lendemain

A 9 heures, la petite équipe ouvre le frigo, la comparaison avec la photo prise la veille est édifiante, il manque des yaourts, du fromage, des tomates…

Du coup, ils visualisent ce qu’a enregistré la caméra…

A 2 heures 12 du matin, on voit arriver deux personnages recouverts d’un drap blanc avec juste un trou pour les yeux, à la façon des fantômes de dessins animés, ils prennent dans le frigo ce qui les intéresse, ainsi que quelques paquets de biscuits dans le petit buffet, puis repartent.

– Ok, la prochaine fois on placera la caméra devant le mur.

Gérard proposa qu’à tour de rôle chaque membre de l’équipe se mette en planque non loin du frigo dans la cuisine.

Il ne se passa rien la nuit suivante, en revanche celle d’après…

Gérard est planqué sous la table de la cuisine, il commence à avoir les côtes en long et baille comme un merlan.

Un bruit le fait sortir de son engourdissement, c’est l’un des deux fantômes de la vidéo. Celui-ci ouvre le frigo et commence amasser des produits dans un cabas plastifié.

Gérard surgit…

– Plus un geste, et retirez-moi ce drap ridicule.
– Ne me tuez pas, monsieur ! Répond une voix féminine.
– Je ne vais tuer personne mais enlevez-moi cet accoutrement.
– Et sinon ?
– Sinon, c’est moi qui vais le faire.
– J’ai rien fait de mal
– Bon tu le retires ton truc, sinon je vais m’énerver !

La fille enlève son drap, le spectacle n’a rien de sexy, la fille, peut-être dans les 25 ans, n’a que des guenilles pour vêtements, elle pue la crasse, ses cheveux sont répugnants. Et pourtant derrière la saleté, se dessine un très beau visage, jolies lèvres, nez bien dessiné, yeux pétillants, qui ne laisse pas Gérard indifférent (ben oui les hormones ça existe, mesdemoiselles les « féministes » !)

Gérard pense tout d’abord qu’il s’agit d’une déséquilibrée, mais cela n’explique pas sa présence en ces lieux

– Tu m’expliques un peu ce que tu fais là ?
– On n’a pas tué le fils Rivoire, c’était un accident…
– C’est qui celui-ci ?
– Vous n’êtes pas de la police ?
– Non.
– Ne nous dénoncez pas…
– Je me répète : je veux savoir ce que tu fiches ici ?
– Faut demander à ma mère.
– Elle est où ta mère ?

La fille semble déstabilisée et balbutie des trucs incompréhensibles.

– Oh, je t’ai posé une question !
– Laissez-moi tranquille !

La mère s’inquiétait de ne pas voir revenir sa fille, elle sort de sa cachette et se dirige à pas de loup vers la cuisine. Devinant sa fille en mauvaise posture, elle se saisit d’un balai et à l’aide du manche en assène un grand coup sur le crâne de Gérard qui voit 36 chandelles et s’écroule au sol.

Les deux femmes s’enfuient. Gérard se relève (avec une belle bosse), il les rejoint discrètement dans la pièce mitoyenne de leur cachette. Elles actionnent l’ouverture secrète sans que Gérard n’ai pu avoir le temps de comprendre comment elles ont pratiqué, elles s’engouffrent, Gérard les suit d’un bond avant que le passage ne se referme.

– Bon, maintenant on se calme, je ne vous veux aucun mal et je ne suis pas de la police mais il faut que l’on s’explique !

Gérard dévisage la mère, aussi belle que sa fille, le charme mature en plus (toujours les hormones…)

Les deux femmes se regardent, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles n’ont pas vraiment l’air rassurées. Mettez-vous à leur place !

– On se cache, c’est tout, et si ça pose problème on ira se cacher ailleurs. Répond la mère.
– Et pourquoi vous jouez aux fantômes ?
– On ne joue pas aux fantômes !
– Ce n’est pas ce que nous a dit le propriétaire. Et le drap blanc c’est quoi ?
– Ah, oui ! Un jour il s’est mis à tripoter le mur, on a eu peur qu’il actionne le passage, alors on lui a foutu un peu la trouille. C’est grave ? Le drap c’est juste au cas où on rencontrerait quelqu’un…
– Mais pourquoi vous vous cachez ?
– Si on vous le dit, vous allez faire quoi ?
– Je peux vous aider à trouver une solution…
– Tu parles ! Comment être sûr que vous n’allez pas nous donner aux flics ?
– Je peux vous donner la parole.

Les deux femmes se regardent de nouveau, elles se chuchotent des trucs à l’oreille.

– Ecoutez, on en a marre. Notre situation ne peut plus durer. Je prends le risque de tout vous raconter, après on verra bien.

Le récit de Julie.

Je m’appelle Julie Robinard je suis mère célibataire, ma fille Solène a 20 ans. Je vis dans une grande ferme familiale habitée par mes parents et mes frères mais aussi par le frère et la sœur de mon père tous deux handicapés mentaux légers et assez pénibles à cohabiter.

Dans cette ambiance, impossible d’avoir un peu d’intimité. L’intimité il faut aller la chercher plus loin, dans les bois ou derrière les meules de foin.

J’avais un peu par hasard déniché un emploi de femme de ménage chez le baron Albert, le châtelain du coin, en fait il fallait que je seconde Camilla, la bonne à tout faire titulaire, qui se trouvait débordée.

Le travail n’avait rien de bien passionnant, le ménage, le repassage, les courses, la cuisine et puis le baron adorait que je lui fasse de la lecture.

Le baron me déshabillait des yeux avec un regard libidineux, ça ne me dérangeait pas outre mesure, se sentir désirée, je trouve ça plutôt flatteur, non ?

Avec Camilla le courant passait bien, le genre à rigoler de tout et de rien.

Un jour, elle s’était accoutrée d’une tenue très décolletée et quand je dis décolletée on ne pouvait faire mieux, on voyait même la partie supérieure de ses aréoles.

Elle a bien vu que je la matais.

– C’est trop décolleté ?
– Non, tu t’habilles comme tu veux.
– Monsieur Albert, il aime bien.
– Ah ?
– Il aime bien me peloter les seins…
– Oh le cochon !
– Ça ne me dérange pas, j’y trouve mon compte, Mais moi je trouve qu’ils sont un peu gros.
– Mais non !
– Monsieur Albert dit qu’ils sont doux.
– Ah ?
– Tu veux les toucher ?
– Attends, tu me proposes quoi, là ?
– Ben de les toucher.
– Je ne suis pas gouine.
– Moi non plus ! Répliqua-t-elle.

En fait je ne mentais qu’à moitié, le contact des femmes ne m’indifférait pas, bien au contraire.

Je touchais donc…

– Je peux tout dégager ?
– Bien sûr ma chérie !
– Hum, mais c’est très beau tout ça !

Sa poitrine est magnifique, bien galbée, de larges aréoles, de gros tétons…

– Suce moi les bouts !

Si elle me le propose, je ne vais surement pas me gêner. Ma langue lèche ces trésors comme de véritables friandises, ils durcissent sous ma langue.

– Tu lèches bien ! Me félicite la blackette.,. Pince-les, fais-moi un petit peu mal.
– Un peu maso ?
– Oui j’aime bien !
– La fessée aussi ?
– Bien sûr, je vais te montrer mon cul.

Cette fois Camilla est complétement nue et m’exhibe son joli popotin bien rebondi.

Je touche, je pelote, j’embrasse, je lèche, j’écarte tout ça et ma langue se retrouve en face de l’anus de la belle.

Ce petit trou m’attire de trop, j’y entre mon index préalablement imbibé de salive. Je ne lui ai pas demandé s’il elle aimait ça, mais à l’entendre frétiller, je ne m’inquiète pas trop.

– Oh là là ! Qu’est-ce que tu me fais ?
– Ben je t’encule avec mon doigt.
– Dans ma chambre j’ai un petit gode… on y va ?

Pour une chambre de bonne, l’endroit est plutôt spacieux, mais il est vrai que nous sommes dans un château !

Camilla ouvre un tiroir…

– Voilà, j’ai quelques petits joujoux intimes, un gros gode pour ma chatoune, un petit gode pour mon petit trou du cul, des boules de geisha, des pinces, je suis bien équipée, non ?
– Impressionnant !
– T’as déjà essayé tout ça ?
– Non, mais je me suis déjà enfilé des bananes, des concombres… et même une fois un gros jésus !
– Un crucifix ?
– Non, un jésus c’est un gros saucisson lyonnais.
– Tu veux essayer les boules ?
– Oui, je te laisse me les enfiler !
– D’accord, amène ton cul.

Elle me demande pousser afin de m’ouvrir elle introduit les boules une à une qui disparaissent comme happée dans mon fondement.

Drôle d’impression… mon corps veut se débarrasser des boules intruses.

– Attends un peu retiens toi !

Tu parles ! Facile à dire !

– Encore une minute !

Elle a été longue la minute… Puis tout d’un coup Camilla tire sur la ficelle.

– Aaaaah !

Quelle délivrance, mais quelle sensation !

– Tu veux recommencer ? Propose Camilla.
– C’était pas mal mais je préfère essayer les godes classiques

Qu’à cela ne tienne, on s’est saisi chacune d’un gode, l’introduisant dans le cul de l’autre avant de les faire bouger de façon frénétique. Et cela jusqu’à ce que nous jouissions de conserve dans un torrent de mouille.

On s’est embrassées tendrement…

C’est à peine remis de nos émois, qu’elle me parla du baron.

– C’est un cochon, mais il ne m’a jamais manqué de respect. Il organise parfois de ces partouzes, des trucs de dingues, tu veux que je te raconte ?
– Oui !
– Ça ne te gêne pas si c’est très cochon ?
– Mais non !

Le récit de Camilla.

Martinov2804Ce jour-là il avait invité deux escort-girls et aussi deux escort-boys pas mal efféminés. Nous étions donc six.

Les deux filles se présentent, Jenna une jolie blonde mature avec un grand nez, et Sonia une petite brunette toute frisée.

– On accepte tout, dans la limite du raisonnable, SM, uro, scato. Mais si on voit que ça dérape on se barre. Précise cette dernière.

Cela a commencé de façon classique, on se met à poil, on se caresse, on se lèche, on se doigte, Monsieur Albert suce les bites des mecs tout en pelotant ces dames. Moi à ce moment-là je faisais un peu banquette. L’un des mecs a ensuite enculé Monsieur Albert.

Jenna, l’une des deux nanas était d’accord pour se faire fouetter, c’est à moi que revint l’honneur de manier la cravache. J’y suis d’abord allé modérément, puis quand j’ai compris qu’elle aimait ça et qu’elle encaissait bien, j’ai tapé plus fort. Fallait voir ce qu’elle a pris, le dos, les fesses, mais aussi devant, le ventre, les seins.

Monsieur Albert m’a fait arrêter, il m’a tendu un gros gode et m’a demandé de lui pilonner le trou du cul, elle aimait ça, cette chienne, fallait voir comment elle se tortillait en jappant de plaisir.

Quand j’ai ressorti le gode de son cul, il n’était pas trop net, Monsieur Albert lui a demandé de le nettoyer, tâche dont elle s’est acquitté sans sourciller le moins du monde.

– T’es une vraie cochonne, toi! Lui dit Albert.
– Cochonne et fière de l’être !
– Alors on va faire un truc très cochon, Camilla tu te mets en levrette et tu ouvres bien ton cul, non mieux que ça, ce n’est pas assez ouvert. Quelqu’un peut la goder un peu pour arranger ça ?

Sonia se dévoue tant et si bien qu’au bout de quelques minutes le trou béait convenablement.

– Maintenant les garçons vous allez lui pisser dans l’anus, et toi Camilla tu gardes tout ça jusqu’à ce que te dise de relâcher.

Les deux garçons s’exécutèrent et pisèrent d’abondance dans mon anus de soubrette soumise

– Bon, maintenant Camilla monte sur une chaise, non pas comme ça tu t’accroupis de façon à ce que ces dames puissent voir ton croupion, voilà comme ça, maintenant les filles approchez-vous et ouvrez bien la bouche, cette jolie traînée va relâcher ce bon lavement à l’urine.

Les filles s’approchent sans protester, elles s’accroupissent.

– Vas-y Camilla, rejette-moi tout ça !

Ce fut spectaculaire, un jet brunâtre jaillît de mon trou de balle pour atterrir dans la bouche des deux putes… et c’est qu’elles avaient l’air d’apprécier, ces cochonnes.

– Quelles gourmandes ! Roulez-vous un patin maintenant !

Il demanda ensuite aux filles de se gamahucher mutuellement, tandis que les deux escort-boys me gratifiaient d’une double pénétration.

Evidemment avec toutes ses péripéties, personne ne fait attention à la sonnette d’autant que le baron Albert était un peu dur d’oreilles.

Le coursier du traiteur, car c’est de lui qu’il s’agit, sonne une seconde fois sans résultat. Alors il fait comme dans les films américains, il actionne la poignée de la grille… qui était resté ouverte.

Il n’en croit pas ses yeux devant le spectacle.

– Vous êtes qui vous ? Vous êtes rentré comment ?
– Je ne voulais pas déranger, c’est pour votre commande, tout est là.
– Eh bien merci, vous voyez nous faisons une petite fête entre amis.
– Ah, ça a l’air intéressant !
– Je ne vous le fais pas dire… mais bon vous pouvez nous laisser maintenant.
– J’ai besoin d’une signature !
– Bon je vais chercher un stylo, mais arrêtez de regarder ma bite !
– J’en ai un !

L’affaire s’est terminée autour de la table, c’est qu’il sait recevoir monsieur le baron, caviar, homard, chocolats et macarons de luxe, le tout accompagné de Pommard et de Côte Rôtie.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 10:54

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 3 – Le chien du château par Maud-Anne Amaro

zoo

Le lendemain

Côté frigo, tout paraissait normal, rien n’avait disparu et la caméra n’avait rien enregistrée.

– Maintenant le mur !

Gérard pose le stéthoscope contre le mur…

– On n’entend rien… ah si…
– C’est quoi ?
– Pas grand-chose, des soupirs, des raclements de gorge, y’a quelqu’un. Oh vous m’entendez ? On sait que vous êtes là !

Pas de réponse.

– Bon essayons le détecteur de métaux.

Mais l’appareil ne détecta rien

– Les gonds font peut-être en verre ? Suggéra le professeur Martinov.
– Mais enfin, professeur, si ce truc date du moyen âge, il n’y avait pas encore de détecteur de métaux, alors pourquoi du verre ? Objecte Grégoire Lemboley
– Parce que ça ne rouille pas… cela dit, rien ne dit que ça fonctionne avec des gonds, ce pourrait aussi bien être un système hydraulique.
– Nous voilà bien avancé.
– J’ai une idée, intervint Florentine, on monte à l’étage du dessus, on accroche la caméra au bout d’un câble et on essaie de la positionner devant leur meurtrière.

Suggestion retenue, tout le monde monte d’un étage, on fait comme l’a suggéré Florentine.

Et c’est un échec, la paroi à l’étage étant en retrait par rapport au reste de l’édifice, ils n’ont aucune visibilité pour manœuvrer.

– On est un peu coincé, on va attendre de voir s’il se passe quelque chose du côté du frigo, c’est pas gagné cette affaire… suggéra Gérard, sinon t’as des nouvelles des flics ?
– Je vais les appeler ! Répondit Martinov.

L’officier de police informa le professeur que la vidéo surveillance avait enregistré à 3 heures du matin, l’agression sur le véhicule de Beatrice…

– Deux hommes cagoulés, arrivés et repartis à pied.
– A pied ?
– Oui, c’est classique, c’est pour éviter le traçage à l’aide de leur véhicule. On les voit ensuite s’enfuir avec un grand sac, puis plus rien.

N’ayant rien de plus urgent à effectuer, Gérard eu l’idée de rendre visite à l’agent immobilier

– Je voudrais rencontrer Monsieur Harnoncourt.
– C’est moi !
– Il s’agit du château de Grandpré…
– Ah ? Vous voudriez l’acheter ?
– Non, je voudrais le proposer à mes clients…
– Ah ! Vous êtes agent immobilier ?
– Oui, à Paris ! J’ai essayé de parlementer avec l’actuel propriétaire mais cette personne est vraiment butée.
– C’est le moins que l’on puisse dire, mais qu’attendez-vous de moi ?
– Nous pourrions unir nos efforts pour l’inciter à vendre ?
– Certes, certes, j’avais bien une idée, une idée un peu folle, mais je ne peux pas la mettre en place, je suis grillé auprès du propriétaire, disons qu’on a eu des mots…

Gérard pense alors que Harnoncourt va lui dévoiler ses plans machiavéliques, mais il s’agissait de tout autre chose.

– Avec des faux documents on peut lui faire croire que son château va être inscrit au registre des monuments historiques et faire valoir le droit de préemption de l’état.
– Hum, s’il a un bon avocat il ne tombera pas dans le panneau.
– Bof, les avocats c’est comme les barquettes de fraises, ça s’achète !
– Je pensais à des méthodes, disons plus viriles, rétorque Gérard.
– Allons donc, mon bon monsieur, nous ne mangeons pas de ce pain-là, nous ne sommes pas à Chicago.
– On pourrait simplement lui faire peur…
– Non, monsieur, restons-en là si vous le voulez bien .

Inutile de préciser qu’après cette visite Gérard n’y comprend plus rien.

– Ou bien cet Harnoncourt est un excellent comédien ou alors il n’a rien à voir ni avec les bizarreries du château, ni avec l’agression de la voiture de Béatrice.

Pendant ce temps Grégoire Lemboley est sorti en ville faire des démarches. Martinov, Béatrice et Florentine papotent au salon. Camilla vient les rejoindre :

– Un café, un thé, autre chose ?

Tout le monde opte pour un café. Et tandis que Camilla s’en va le préparer. Le chien de la maison pénètre dans la pièce en remuant la queue.

– Oh le gentil toutou ! S’exclame Florentine ! C’est un chien ou une chienne ! Ah, c’est un mâle ! Constate-t-elle en portant la main, vous devinez où ?
– Ben, Flo ! T’es gonflée ! S’amuse Béatrice.
– Ben quoi, il m’excite ce clébard ! Depuis que Brigitte m’a initié, j’adore ça (voir Martinov 28, l’énigme du Hangar)

Florentine écarte les jambes et invite le chien à venir s’y frotter.

Mais voilà que Camilla revient avec les cafés fumants sur un plateau d’argent.

– Je vois que le chien vous a adopté. Il est très gentil mais un peu vicieux.
– Vicieux comment ?
– Ah, si vous saviez ?
– Non on ne sait pas mais on ne demande qu’à savoir.
– Une fois Monsieur Grégoire m’a demandé si ça me générait de faire des cochonneries avec.
– Et alors ?
– Disons que ça m’a amusé, et ça a bien excité Monsieur Grégoire, fallait voir comment il bandait.
– Et t’as fait quoi avec le chien ? Tu lui as tripoté la bite ?
– Pas seulement, je l’ai prise dans ma bouche.
– Et tu as été plus loin, encore !
– Pas la première fois, mais quand on a recommencé Monsieur Grégoire m’a demandé de me laisser couvrir !
– Tu sais que tu m’excites avec ces histoires !
– C’est vous qui m’avez demandé de raconter !
– N’empêche que je lui sucerais bien la bite à ce chien ! Reprend Florentine
– Faites donc ! Vous l’avez déjà fait ?
– Oui j’aime bien, et ma copine aussi !
– C’est parfait ça et Monsieur ?
– Monsieur, il va regarder ! Répond le professeur Martinov, mais surtout ne vous gênez pas pour moi.
– Est-ce qu’il lèche bien ? Demande Béatrice.
– Essaie, tu verras bien !

Béa ne se le fait pas dire deux fois, elle baisse son jeans et sa petite culotte et appelle le chien qui s’en fout royalement.

Changement de tactique Béatrice s’introduit quelques doigts dans la chatte, puis tend sa main en direction du chien. Il renifle, s’avance tandis que la coquine rapproche sa main de sa chatte, et cette fois ça y est, le toutou y va de sa bonne langue râpeuse.

– Alors qui c’est la plus salope ? Nargue-t-elle la petite assistance.
– Attends cinq minutes, tu n’as pas encore gagné ! Lui répond Florentine en descendant à son tour pantalon et string.

Camilla s’approche de Martinov.

– Dis donc toi, si tu nous sortais ta bite, tu serais plus à l’aise, non ?
– Eh bien vas-y sors la moi !

La soubrette ne se le fait pas dire deux fois ouvre la braguette vient fouiller à l’intérieur du caleçon et dégage une bite parfaitement bandée et le gland luisant avant de se la coller dans la bouche.

Florentine revient à la charge.

– Béa vient donc m’aider que je puisse sucer le chien !

Martinov2803Une suggestion que notre petite chimiste accepte de bonne grâce, on couche le chien sur le flanc Flo lui branlotte un peu la bite afin de la faire sortir de son fourreau puis se met à la sucer avec gourmandise.

– Laisse m’en un peu ! Proteste Béa.
– Y’en a pour deux, ma chérie.

Elle sucent et lèchent donc de conserve jusqu’au moment où Florentine ressente l’envie de se faire sauter par le quadrupède.

Pour se faire elle se met en levrette et attire le chien avec sa mouille. Le toutou n’hésite pas une seconde et vient couvrir la belle brune en un rythme effrénée. Elle se retire à temps afin d’éviter de se retrouver coincée (mais après avoir joui quand même)

Elle se jette dans les bras de Béa. Les deux femmes s’embrassent goulument et se pelotent avant de se retrouver en position de soixante-neuf à même le sol.

Et pendant ce temps, Camilla en position de lap dance s’est empalé l’anus sur la bite de Martinov, lequel ne tarde pas à éclater sa jouissance.

– Vous êtes un gros coquin, monsieur le professeur ! S’exclame-t-elle en remettant un peu d’ordre dans sa tenue
– Ben dis donc, Camilla, tu ne t’es pas regardée… Et avec tout ça le café a refroidi !
– Je vais vous en refaire ! Répond Camilla en partant en cuisine en gigotant du popotin.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 10:52

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 2 – Quatuor en rut majeur par Maud-Anne Amaro
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– Dzing, dzing.
– Ton portable sonne, mon petit professeur !
– Ah oui… c’est Gérard ! Allo Gérard !

Gérard Petit Couture et sa compagne Florentine ont accompagné le professeur Martinov dans plusieurs de ses aventures. Lui est un ancien agent secret et il en a conservé la carte, il a aussi été ministre, juste quelques semaines, avant de se faire éjecter suite à une immonde campagne de presse. Sa compagne, Florentine est une ancienne callgirl, embauchée pour piéger Gérard mais victime du syndrome de Stockholm, elle en est tombée amoureuse.(Voir Martinov 4- Le grimoire magique)

– Allô Martinov, c’est pour t’inviter à un vernissage…
– Ah ? Et c’est qui l’artiste ?
– C’est moi. C’est le 29, chez Mansard, place des Vosges .
– Super.
– Je t’envoie deux cartons, ou plutôt je vais te les apporter cet après-midi.
– Je ne suis pas chez moi, on est à Bourg-la-Nonne, c’est à côté d’Angers, une affaire à la con, on est bloqué, Béatrice s’est fait cambrioler sa bagnole…
– Raconte !

Et le professeur lui narra toute l’histoire…

– C’est con que tu es rompu le contrat, tu vas perdre du fric…
– J’en mourrai pas.
– Tu ne peux pas rattraper le coup ?
– Pourquoi faire ?
– Parce que ça m’aurait amusé de te donner un coup de main, tu sais bien qu’avec ma carte de la DGSE, je fais parfois des miracles.
– Pourquoi pas ? Dans ce cas on se partagera la prime.
– Mais non, mais non… le temps de faire une petite valise et on arrive, il n’y a que trois heures de route. Réserve-moi une chambre… dans ton hôtel, ce serait bien.
– Il faudrait acheter un peu de matériel, il nous faudrait un stéthoscope et une micro-caméra enregistreuse… On te remboursera…
– D’accord, j’achèterai ça à Angers en passant
– Béatrice, je te laisse téléphoner au châtelain, tu es davantage diplomate que moi.
– Je me demande si on ne fait pas une connerie ?
– Avec Gérard j’ai plutôt confiance !
– Si Lemboley nous envoie chier on aura l’air fin.
– Prends ta voix d’hôtesse de l’air, ça va le faire.

Béatrice fait plusieurs essais « à blanc » avant d’appeler le chatelain.

– Allô, monsieur Lemboley, c’est mademoiselle Clerc Fontaine…
– Et pourquoi cet appel ? Vous avez égaré quelque chose ?
– Non, mais je voulais vous présenter mes excuses, monsieur Martinov et moi-même étions très énervés, je pense que vous pouvez le comprendre.
– Admettons…
– Donc si vous n’y voyez pas d’objection nous allons reprendre nos investigations…
– Et quelle est la raison de ce revirement ?
– Disons qu’on a un peu réfléchi. Mais comme la situation n’est pas exempte de danger, nous avons demandé le concours de deux enquêteurs supplémentaires spécialisés dans les cas de figures difficiles…
– Donc le devis ne tient plus ?
– Il ne change pas, il y aura simplement davantage de faux frais.
– Alors d’accord, faites pour le mieux !

Gérard et Florentine rejoignirent Martinov et Béa à l’hôtel. Bisous, bisous tout le monde est content de se retrouver.

– T’es toujours aussi belle ! Indiqua Béatrice à Florentine avant de l’embrasser goulument tout en lui pelotant les seins.
– Toi, j’ai comme l’impression que tu me lécherais volontiers la moule.
– Hi hi !
– Bon les nanas, intervient Gérard, arrêtez de nous exciter, sinon je vais encore faire des bêtises avec l’ami Martinov.
– Si tu as envie de faire des bêtises avec moi, ne te gêne surtout pas ! Rétorqua l’intéressé.
– C’est vrai ? Tu as envie que je te foute ma bite dans le cul ?
– Ça ne me déplairait pas !

Comme vous le voyez, l’ambiance est électrique. Du coup Gérard se déshabille entièrement et s’en va poser ses fringues délicatement sur le dossier d’une chaise. Il bande un peu mou mais sait que le professeur va lui arranger ça.

Ce bon Martinov s’est déshabillé à son tour, les deux hommes sont nus face à face. Chacun attrape les tétons de l’autre et les serre fortement. Une pratique qui fait bander immédiatement 90 % des hommes. (si l’on en croit certaines statistiques confidentielles)

Voici donc nos deux coquins, la bite toute raide. Subjugué par le spectacle de ce bel organe au gland décalotté, le professeur effectue une flexion du genou… et hop… la bite de Gérard dans la bouche.

C’est qu’il aime ça, les bites, le professeur Martinov, il prend un énorme plaisir à sucer, il se régale de cette texture si douce, il lèche avec la langue, il pompe avec les lèvres, il s’égare sur les valseuses tandis que sa main passe derrière, lui caresse les fesses atteint le petit trou dans lequel un doigt fureteur vient s’immiscer…

Martinov2802Mais maintenant, c’est dans son cul qu’il la veut, cette jolie bite. Aussi se place-t-il en levrette sur le bord du lit, en écartant les fesses.

– Vas-y Gérard, viens m’enculer !

Le temps d’enfiler une capote, (ces messieurs en ont toujours sur eux !) et Gérard se retrouve devant l’anus du professeur. Il va pour ouvrir une dosette de gel intime, puis se ravise,

« Rien ne vaut le naturel ! »

Et alors qu’il allait lui lécher la rondelle, Florentine, elle aussi complétement nue intervient.

– Laisse-moi lui préparer le cul ! Dit-elle.

Et c’est qu’elle se régale la Florentine.

– Oh quel goût divin ! Commente-t-elle avant d’essayer de faire pénétrer l’extrémité de sa langue dans l’étroit orifice.

Voilà un exercice qui n’est pas si évident… avec le doigt c’est tout de même bien plus facile de pénétrer, non ? Alors, elle mouille son doigt et le lui rentre dans le cul, puis se met à effectuer quelques bons va-et-vient. Elle ressort, elle lèche, on vous le dit c’est une cochonne.

La place est maintenant libre pour Gérard… Mais me direz-vous que fait Béatrice pendant tout ce temps ?

Eh bien, figurez-vous que celle-ci après s’être déshabillée à son tour n’a rien trouvé de mieux que de venir voir derrière Gérard ce qu’elle pourrait bien faire comme coquinerie. Alors à l’instar de son amie, elle joue avec ce cul offert, le lèche, le doigte. On le vous le répète ce sont des cochonnes

Gerard est entré dans le cul de Martinov et le pilonne « à la sportive » Il en miaule de plaisir ce bon professeur. Mais l’enculeur ne tient pas la distance, il sent son plaisir monter et se laisse aller.

Il décule, retire sa capote laissant apparaître une bite gluante de sperme.

A cette vue les deux femmes accourent, se précipitent pour la lui nettoyer, avant de s’échanger un bon gros patin au sperme. Non, on ne va pas vous répéter que ce sont des cochonnes, vous l’aviez compris !

Et elles s’en vont de l’autre côté du lit, ou elles se pelotent, se caressent partout, s’embrassent, se mordillent et se broutent le gazon.

Et Martinov, il n’a pas joui, le pauvre. Mais Gérard en délicieux gentlemen sait rendre les plaisirs qu’on lui a donné et propose au professeur de l’enculer à son tour.

Après tout pourquoi pas ? C’est pas mal d’être switch, non ?

Nos quatre amis passèrent au château pour une première prise de contact. Une caméra fut placée discrètement devant le frigo dont l’intérieur fut d’abord pris en photo.

Le mur suspect fut ensuite passé au stéthoscope.

– Effectivement on entend comme une conversation ! Admit Gérard. Mais on ne comprend pas grand-chose… Bizarre ! il y aurait donc des squatters, mais ils seraient entrés comment ? Avez-vous un plan du château, monsieur Lemboley ?
– C’est en annexe au titre de propriété, je vais vous chercher ça.

Le plan est un peu fouillis, mais on s’y retrouve…

– Effectivement il y a une pièce ici mais où est l’entrée ?

Cela commençait à devenir très mystérieux. La pièce en question n’était apparemment mitoyenne d’aucune autre pièce que la chambre de Lemboley. L’examen du plafond et du plancher ne révéla aucune trappe.

– Il y a une fenêtre ! Fit remarquer quelqu’un.
– On va regarder à l’extérieur.

La fenêtre en question était en fait une meurtrière, dont l’espace insuffisant ne pouvait permettre le passage d’un homme.

– Il y a donc un passage secret. Beaucoup sont actionnés avec des gonds métalliques. On reviendra demain avec un détecteur de métaux

Malgré tout ils se mirent à tripoter le mur en tous sens dans le but de déclencher quelque chose, ce fut peine perdue

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 10:50

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 1 – Un quart d’heure de détente par Maud-Anne Amaro
Anna

Il pleut sur Louveciennes ce lundi d’automne ce qui rend le professeur Martinov fort morose.

Ah ! Tout le monde n’a pas lu les précédentes aventures de cet extravagant professeur. C’est un élégant sexagénaire barbichu et binoclard. Il est célibataire mais possède une maitresse en ville Marianne, la veuve du grainetier qu’il saute une fois par semaine. (mais elle n’interviendra pas dans cet épisode)

Martinov est une sorte d’inventeur qui répare un tas de choses, un touche-à-tout, on fait appel à lui pour résoudre des problèmes dont personne ne veut s’occuper et il a acquis ainsi une certaine réputation.

Son point faible, c’est la chimie, il n’y connaît rien et ça lui prend la tête, aussi refusait-il toute demande de travaux impliquant des mélanges de substances et des manipulations d’éprouvettes…

Sauf qu’un jour, et alors qu’il était débordé, on lui a proposé un contrat juteux où il était question d’optimiser la fertilité des lapins.

Il eût alors l’idée d’embaucher une chimiste, son choix se porta sur Béatrice Clerc-Fontaine, une belle blonde bien bustée au visage d’ange sortie tout droit de l’école de chimie.

Ensemble ils bossèrent sur le produit, l’expérimentant sur des pauvres lapins qui n’avaient rien demandé et qui se mirent à forniquer comme… des lapins.

Il y avait toutefois un effet secondaire assez singulier, les lapins étaient constamment assoiffés, et pissaient tout le temps. Sinon ils restaient en excellente santé.

– Avec ce machin on pourrait concurrencer le Viagra ! Commenta Béatrice.

Ce n’était pas qu’un boutade et la jeune chimiste suggéra alors de tenter l’expérience sur des humains Mais où trouver des volontaires ?.

Beatrice ne voulant pas prendre de risques avec des intervenants extérieurs, s’auto-désigna comme cobaye et comme il fallait un second volontaire, Martinov se « sacrifia ».

Tous les détails de cette aventure un peu folle sont narrés dans le premier épisode des aventures du professeur Martinov : professeur « Martinov et le lapin dur ».

L’expérience eût deux retombées :

La première consacra le début d’une grande complicité érotique entre Martinov et Bea. Ils ne se considèrent pas comme amant et maîtresse mais adorent baiser ensemble.

La seconde fut la commercialisation du produit baptisé le « lapin dur » en sex-shop, qui s’avéra presque aussi efficace que le Viagra et leur apporta une confortabilité financière non négligeable.

Et maintenant le récit peut commencer.

Pas de rendez-vous de prévu ce matin. Martinov répare un vieux coucou suisse. Béatrice répond au courrier.

Le carillon de la porte d’entrée retentit.

– On n’attend personne ? S’interroge le professeur.
– Non, ce doit être le facteur, je vais aller voir, répond Béatrice qui se lève pour aller ouvrir.

L’homme sur le pas de la porte n’a pas vraiment le look d’un gay luron et il est trempé de la tête aux pieds.

– C’est pourquoi ?
– Je désirerai m’entretenir avec monsieur Martinov.
– Vous avez rendez-vous ?
– Non, j’ignorais qu’il fallut prendre rendez-vous.
– Je vais voir si le professeur peut vous recevoir.

Martinov consent à recevoir le bonhomme.

– Je vous écoute.
– Grégoire Lemboley de la Sambre, j’ai acquis suite à un héritage un petit château prétendu médiéval, il est habitable et j’avais l’intention d’y prendre demeure. Mais il y a un gros problème, voyez-vous…
– Et quel est donc ce gros problème ?
– Le château est hanté…
– Allons donc, ça n’existe pas les maisons hantés…
– C’est aussi ce que je me disais, mais l’évidence est là !
– Et qu’est-ce qui vous rend si affirmatif ?
– Notamment deux éléments, des voix qui traversent le mur et puis il y a des choses qui disparaissent de mon réfrigérateur.
– C’est sans doute un mauvais plaisant, je crains de ne pas pouvoir faire grand-chose pour vous. Vous vivez seul dans ce château ?
– J’ai une domestique à mon service mais j’ai toute confiance avec elle…
– Vous en avez parlé avec elle ?
– Je devine ce que vous pensez… elle pourrait être la coupable idéale pour les produits qui disparaissent, mais comment expliquer les voix qui sortent du mur !
– Il y a toujours une réponse rationnelle aux faux mystères. Mais dites-moi ce que vous attendiez de moi ?
– Si j’en crois votre réputation sur Internet, vous êtes un excellent résolveur de mystère…
– N’exagérons rien…
– Aidez-moi à trouver ce qui se passe, vrais fantômes ou machination, je veux savoir.
– Hummm
– Tous frais payés, déplacements restaurant, et hôtel pendant huit jours, 5 000 euros !
– Ça demande réflexion, veuillez patienter dans la bibliothèque attenante pendant que je me concerte avec ma collaboratrice.

La mission semblait facile (et juteuse) d’autant que nos deux chercheurs avaient déjà travaillé sur un cas semblable (voir Professeur Martinov 5 – Professeur Martinov et le manoir hanté). Ils acceptèrent donc l’affaire.

– Et si on se faisait un quart d’heure de détente ? Propose Béatrice sur un ton faussement innocent.
– Tu ne vas pas me dire que c’est ce mec qui t’a excité ?
– Qui sait ? Tu n’as jamais rêvé de baiser avec un fantôme ?
– Ah, non !
– Et si je pose ma main là ?

« Là » étant vous l’avez deviné, la braguette du professeur.

– T’es pas sage !
– N’empêche que tu bandes, sors-moi ton attirail !
– Béatrice, on a du travail.
– On le fera d’autant mieux après une petite détente !
– Bon, je me rends à tes arguments.
– Le contraire m’aurait étonné.

Le professeur a maintenant son service trois pièces à l’air. Béatrice se baisse et vient mettre tout ça dans sa bouche. Elle se régale, c’est qu’elle adore ça, sucer des bites, notre coquine de chimiste

– Tes seins, montre-moi tes seins ! Lui demande Martinov.
– Tu ne les connais pas par cœur depuis le temps ?
– Si mais c’est comme le chocolat, on ne s’en lasse jamais.
– Ok, on monte dans ta chambre ?

Sur place, les deux amants entreprirent de se déshabiller. Béatrice s’affala sur le lit, jambes écartées,

– Viens me bouffer la chatte, mon petit professeur.

Voilà qui n’a rien d’une corvée pour notre vert Martinov qui se délecte des chairs humides de sa blonde assistante.Martinov2801

Celle-ci excitée comme une puce ne tarde pas à jouir en gueulant comme une baleine.

– Oh là là, ça fait du bien, j’en avais envie ! Commente Béa.
– J’ai bien vu, mais tu ne vas pas me laisser comme ça ? Répond Martinov en lui montrant sa bite bien bandée.
– Ne t’inquiète pas… je prends ce qu’il faut ! Répondit-elle en ouvrant le tiroir de la table de chevet dans lequel se trouvait le gode personnel du professeur et plusieurs étuis de gel intime.

Tout cela n’est pas une surprise pour notre joyeux sexagénaire qui est habitué aux fantaisies que sa collaboratrice lui fait subir.

– Qui c’est qui va se faire enculer ? Le nargue-t-elle.
– C’est moi !
– Et ça te plait de te faire enculer ? Tu n’as pas honte ?
– Je n’ai pas honte ! J’adore ça !
– Suce-le ! Suce-le un petit peu avant que je te le foute dans le cul.

Le professeur ne se fait pas prier et se met à sucer le sex-toy avec conviction..

– T’aime ça sucer des bites, hein mon cochon ?
– Humpf, humpf..
– Un jour je t’emmènerais au bois, je te tiendrais en laisse et je te ferais sucer toutes les bites qui trainent.
– Humpf, humpf..
– Bon assez sucé ! En levrette maintenant que je te prépare un peu.

Béatrice écarte les globes fessiers de Martinov et commence à lui lécher la rondelle.

– Dommage qu’il sente le gel douche, moi je préfère les odeurs naturelles.
– T’es une vraie cochonne !
– C’est bien possible, en effet. Répond-elle en introduisant un doigt dans l’anus de l’homme.

(nos lecteurs le savent, Béatrice n’hésite pas parfois à se lancer dans des délires scatos, alors que sur ce sujet le professeur Martinov reste très réservé)

Estimant que le cul du professeur est maintenant bien préparé, elle y enfonce le gode d’un seul coup d’un seul sans oublier d’en actionner le vibrateur incorporé.

– Aaah !
– C’est bon, hein ?
– Oui, oui…
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite, pas vrai ?
– Ah si, une bonne bite dans le cul, c’est tellement bon.
– Il y a longtemps que je ne t’ai vu en train de te faire enculer.
– Je ne cherche pas, si l’occasion se présente je la prends.

Béatrice besogna le cul du professeur pendant de longues minutes avant de fatiguer un peu, elle ressortit le gode.

– C’était bon, hein ? Maintenant branle-toi et arrose-moi les nichons

Ce qu’il fit en une série de giclées. Du coup Béatrice se massa les seins avec le sperme de son partenaire comme elle l’aurait fait avec une crème de beauté.

– Tu m’as épuisé, Indiqua le professeur en se relevant.
– Oui mais c’est de la bonne fatigue.
– Je vais pisser…
– Tu veux que je te la tienne ?
– Mais tu n’arrêtes pas !
– Il y a des jours comme ça !

Ils se dirigèrent tous les deux vers les toilettes.

– Tant qu’on y est pisse-moi dans la bouche ! Demanda Béatrice..

C’est qu’il avait une grosse envie, Martinov, à ce point que notre charmante chimiste ne peut tout avaler et que ça lui dégouline un peu partout sur le corps.

– Humm qu’est-ce qu’il est bon ton pipi !
– Encore une ‘tite goutte ?
– Volontiers.

Et après cette petite fantaisie, les deux amants s’étreignirent et échangèrent un long baiser baveux, un baiser au gout de pipi.

C’est à la lisière de Bourg-la-Nonne, petite commune du Maine et Loire que se situait l’édifice dénommé le Château de Grandpré. Béatrice gara son Audi juste devant.

Le château n’est pas classé au registre des monuments historiques et on comprend pourquoi. En fait, il s’agit d’une reconstruction effectuée au début du 18ème siècle. La façade sud du château féodal, seule vestige restant, a été conservée y compris son architecture intérieure.

Ils furent introduits par une soubrette blackette et potelée répondant au doux nom de Camilla, et tenant en laisse un chien genre épagneul, noir et blanc.

Grégoire leur fit le tour du propriétaire,

– Le château appartenait à mon grand-oncle, il est mort très vieux et n’avait plus toute sa tête. Il était sous curatelle, mais son curateur a veillé à ce que ses pièces de vie restent entretenues et habitables. C’est pour cela que j’ai décidé d’y vivre, être le seigneur d’un château du moyen-âge, n’est-ce pas un joli rêve ? Un rêve de gosse, je le conçois.
– Ok, montrez-nous le mur d’où sortent les voix !

Le mur en question ne présentait rien de particulier et aucune voix n’en sortait.

– Ils doivent dormir ! Commenta Grégoire.
– Ok, nous allons aller dîner et nous reposer, indiqua Martinov. Demain matin nous commencerons nos investigations… Nous reviendrons avec du matériel
– Voici l’adresse de l’hôtel où je vous ai réservé deux chambres c’est un bon hôtel. Pour le restaurant, je vous conseille le Trèfle Bleu, on y mange fort bien.

Nos deux chercheurs se rendent donc au restaurant indiqué avec la voiture de Béa.

– Ça m’a l’air guindé, là-dedans ! Remarque Béatrice.
– On s’en fout, c’est notre client qui paye.

Un loufiat vient s’enquérir si « ces messieurs dames souhaitent prendre un apéritif. »

– Soyons fou, un Martini-Gin pour moi…
– Deux Martini-Gin !

On les sert, ils trinquent… Tout va bien alors ?

Ben non parce que ça va se compliquer…

Car voici que vient vers eux un grand dadais costumé, chemise blanche et cravate bleu marine, arborant un sourire format commercial.

– Mathias Harnoncourt de l’agence Reinert ! S’annonce-t-il.
– Bonjour monsieur, répond le professeur Martinov, mais c’est à quel sujet ?
– Je m’en voudrais de faire une confusion. Vous êtes bien les négociateurs qui viennent de Paris au sujet du château de Grandpré ?
– Vous vous méprenez, nous ne sommes pas des négociateurs. Bonne journée monsieur.
– Allons, allons, trêve de cachotteries. On ne la fait pas à un vieux renard comme moi ! Mais laissez-moi vous mettre en garde, l’affaire est difficile, ce monsieur Lemboley est un individu psychorigide, une vraie tête de lard…
– Bon écoutez monsieur, soyez gentil de nous laisser prendre notre apéro tranquille.
– Vous n’arriverez pas à conclure avec Lemboley, c’est pour cela que j’aimerais que nous unissions nos efforts, le retour sur investissement devrait être conséquent…
– Bon, une dernière fois, est-ce que vous allez nous foutre la paix ! Intervient Béatrice.
– Je vous laisse ma carte, je suis persuadé que dans quelques jours vous reviendrez vers moi. Il faut mieux une transaction partagée que pas de transaction du tout…

Et il continue à jacter. Excédée Béatrice appelle le maître d’hôtel.

– Un problème ? Demande le chef loufiat avec une tronche d’enterrement .
– Ce monsieur ne cesse de nous importuner et…
– Monsieur Harnoncourt fait partie de nos fidèles clients et n’a jamais causé d’ennuis…
– Autrement dit vous défendez les emmerdeurs, apportez-nous la note des apéros et on va s’en aller bouffer ailleurs !
– Comme il vous plaira !
– Crétin !
– Restez correcte, madame !

Il y avait une pizzeria juste en face, ils s’y installèrent.

– Bien, on commence à comprendre, une agence immobilière veut récupérer le château et elle emploie tous les moyens, je suis sûr que ce sont eux qui jouent aux fantômes ! Indique le professeur.
– Reste à le prouver !
– Demain on va poser une caméra à côté du frigo et on sondera le mur au stéthoscope.

Le lendemain :

Après une nuit calme Martinov et Béatrice sortent de l’hôtel et se dirigent vers la voiture de cette dernière.

– Merde, c’est quoi ce bordel ? s’écrie-t-elle en découvrant le véhicule fracturé.
– Les salauds ! Ajoute le professeur.

Ils vérifient le coffre, tout a été dérobé.

– Bon on va aller voir les flics, ils ne feront rien mais on est obligé pour l’assurance.

Cela prend du temps et ce n’est qu’en fin de matinée qu’ils purent rejoindre le château.

– Ah, je m’inquiétais…
– Les choses se compliquent. Répondit Béatrice, on nous a cassé la bagnole et volé tout notre matériel et avant on s’est fait emmerder par un agent immobilier au restaurant. Par conséquent…
– Mais…
– Laissez-moi terminer, il me paraît évident que vos fantômes sont l’œuvre de cette agence, c’est donc à la police de démêler l’affaire, nous on se retire, on va vous rendre votre fric diminué des faux frais.
– Mais…
– Nous n’avons pas vocation à intervenir dans des affaires mafieuses, c’est vous la victime, nous compatissons, mais chacun son métier et il y a des risques que nous n’avons nul envie de prendre.
– En droit commercial cela s’appelle une rupture de contrat…
– Eh bien faites nous un procès.

Et sur ces bonnes paroles, Martinov et Béatrice se mirent à la recherche d’un garagiste.

– Le mec demande un délai de trois jours. Qu’est-ce qu’on va foutre pendant trois jours dans ce patelin paumé ? S’agace Beatrice ?
– On peut faire un tour à Angers, il y a beau château à visiter !
– Et on y va comment ?
– On va se renseigner, il doit y avoir des cars.

Oui il y en avait… mais à 17 heures.

– On ira demain ! Pour l’instant on va aller bouffer propose Béa .

Ils s’attablèrent dans la même pizzeria que la veille.

A suivre

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