Pr Martinov

Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:58

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 10 – L’abominable Moineau suivi de Partouze spéciale par Maud-Anne Amaro
zoo
Gérard raccompagne Servane et Béatrice jusqu’à leurs domiciles parisiens respectifs.

L’affaire serait donc terminée ?

En fait non pas tout à fait…

Au 1 bis rue du Capitaine Crochet, Moineau a rapidement repris connaissance. Il attend que les choses se calment, puis pénètre dans une chambre dont la fenêtre donne sur l’entrée du pavillon. Il surveille le départ des « intrus », puis après avoir récupéré ses affaires personnelles, il rejoint sa voiture au garage avant de quitter les lieux en père peinard, tandis qu’il entend la sirène de l’ambulance s’approcher.

– Je me vengerais, je me vengerais, et ma vengeance sera terrible ! Grrr !.

(c’est bien ce que rabâchent tous les méchants de pacotille, genre Olrik dans les aventures de Mortimer)

Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui, il s’en doute bien et ne regagne pas son domicile préférant se faire héberger chez Bobby, une vieille connaissance.

Il est conscient qu’il sera arrêté tôt ou tard, il apprend que la police est venu interroger son oncle et qu’elle s’est également rendue à la librairie ésotérique que Michelet s’est décidé à réouvrir après avoir été entendu par la police.

Ce qu’il ignore c’est que Michelet l’a désigné formellement comme étant l’un des assassins du professeur Coulmes :

– Ils n’avaient sans doute pas l’intention de le tuer, en fait ils voulaient l’enfermer à la cave, mais il y a eu une bagarre, Coulmes s’est débattu et a reçu plusieurs coups de barre de fer et il en est mort.
– Qui sont les coupables ?
– Paul Rivière et Jean-Bernard Moineau.
– Vous étiez présent ?
– Non, j’ai rencontré Rivière dans la foulée, il faisait une drôle de tête, il était en état de choc, il avait besoin de parler alors il m’a raconté.
– Et le corps ?
– Je n’en sais rien, et apparemment Rivière ne le sait pas non plus.
– Moineau aurait déplacé le corps seul ?
– Je vous répète que je n’en sais rien.

Des fouilles approfondies (c’est le cas de le dire) permirent de découvrir un cadavre dans une cave, on fond d’un fût rempli de charbon de bois. L’identification du Professeur Coulmes fut rendu possible par l’examen de son dossier dentaire. Des traces de chocs violents au niveau du crâne et de la cage thoracique corroborèrent la version de Michelet.

Obnubilé par sa soif de vengeance, Moineau achète un bidon d’essence avec le projet de le déverser devant la porte d’entrée de la maison du Professeur Martinov et d’y mettre le feu.

Arrivé sur place, il se dégonfle. Eh oui parfois des intentions aux actes, il y a un sacré pas à franchir.

« Je ne vais pas prendre le risque de tuer des innocents, déjà avec l’affaire Coulmes, je suis mal embringué… Et puis ils vont me retrouver avec la vidéosurveillance… »

Il rentre donc au bercail et réfléchit.

« Je vais faire comme l’autre fois, je vais attendre cette Béatrice, en fin de journée, je l’enlève et je l’enferme dans la cave de Bobby, elle sera mon esclave, je lui ferais faire toutes les tâches ménagères dans une tenue ridicule et si elle n’est pas sage je la punirais… Hi, hi, je vais bien m’amuser !  »

Il en a la bave aux lèvres, Moineau !

Premier problème : il sollicite le concours de Bobby qui refuse fermement de participer à un enlèvement. Il lui faudra donc agir seul.

Second problème : la vidéosurveillance. « Bof, il n’y a pas des caméras partout, je peux prendre le risque, mais je ferais une balade dans des endroits où il ne risque pas d’y en avoir et puis j’utiliserais des fausses plaques. »

Bref il est prêt !

Et ce jour-là, il gare sa Peugeot noire à 50 mètres du domicile du professeur Martinov et attend que Béatrice en sorte.

Moineau s’énerve parce qu’il ne la voit pas sortir… mais finalement la voilà…

« Il n’y a pas grand monde et la portière va masquer la scène, à moi de faire très vite ! »

Il ouvre sa portière, se saisit d’une bombe au poivre et attend le passage de sa victime

Mais il y a parfois des images qui restent gravées en mémoire, et Béatrice est stupéfaite de reconnaitre cette portière ouverte. Instinctivement, elle traverse la rue pour gagner le trottoir d’en face.

Moineau est décontenancé, bien sûr il pourrait la suivre, mais ce n’est guère évident, des gens arrivent de chaque côté.

« Je reviendrais demain, j’essaierai de me garer plus près ! »

Ce n’est qu’une fois dans le train de banlieue, que Béatrice téléphone à Gérard.

– J’espère que je n’ai pas rêvé, mais j’ai bien l’impression que Moineau a décidé de revenir m’emmerder. (elle lui explique, la portière, la Peugeot noire…)
– T’as fait quoi ?
– J’ai changé de trottoir…
– Bien ! On peut donc supposer qu’il va revenir. Il faut contrattaquer et le neutraliser. Mais comment faire ? S’il me voit, il va me reconnaitre et nous échapper… Il faut trouver un truc, on se rappelle.

« Le truc c’est de lui faire détourner l’attention, ne serait-ce que quelques minutes, afin que je puisse intervenir sans qu’il ne se sauve ! J’ai bien une idée, mais à qui demander ça ? A moins que… »

– Allo Brigitte ! (il s’agit de Brigitte Silverberg, détective privée fort délurée que nos lecteurs ont déjà eu l’occasion de rencontrer dans les épisodes précédents) Béatrice a quelques ennuis, (il raconte) Est-ce que je peux te demander un petit service ?
– Dis toujours !

Il lui expose son plan. Cela amuse Brigitte qui accepte le jeu de rôle proposé.

Et le lendemain…

A 17 h 45 Moineau se gare à 30 mètres du domicile du professeur Martinov. A 17 h 50 Brigitte se gare un peu plus loin, prévient Gérard par téléphone qu’elle est arrivée, puis descend en tenant en laisse le labrador de son gardien.

Elle est habillée d’une gabardine beige aussi classique que sage.

Arrivée à la hauteur de la Peugeot de Moineau elle toque à la vitre. Surpris, celui-ci l’abaisse,. Brigitte ouvre alors sa gabardine dévoilant une bustier hyper décolleté.

– Alors, mon mignon, ça te dirait une bonne petite pipe ? Je ne prends pas bien cher.
– Foutez-moi le camp !

Mais non seulement Brigitte ne détale pas, mais elle a le temps d’asperger l’individu de sa mini bombe lacrymogène. Il tousse, il pleurniche, il ne voit plus rien. Gérard arrive à la rescousse.

– Ouvre ta portière, on va te soigner.

Il n’en fait rien alors qu’un petit attroupement se forme. Gérard parvient en allongeant son bras à alpaguer Moineau par les cheveux.

– Appelez la police au lieu de mater ! Lance Gérard aux badauds qui s’agglutinent .

Gérard lui met la main sur les yeux, Moineau hurle.

– Alors tu l’ouvres cette portière !

Une voiture de police patrouillait non loin de là, ce qui fait qu’elle arriva rapidement.

– Qu’est-ce qui se passe ?
– Je vous présente Jean-Bernard Loiseau, recherché dans l’affaire des chimistes enlevés.
– Et vous, vous êtes qui ?
– Gérard Petit Couture, ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ah ! Vous pouvez nous suivre comme témoin ?
– Mais avec plaisir !

Brigitte est entrée chez Martinov.

– Ben, Brigitte, t’en as une tenue ?
– Elle ne te plait pas ?
– Si, mais c’est inattendu ! On se boit un apéro en attendant que Gérard revienne ?
– Volontiers !

Il n’est revenu qu’une heure plus tard. accompagnée de Béatrice

– L’affaire est terminée, Moineau est entre les mains de la police, il ne s’en sortira pas. Ça m’a donné soif tout ça, Martinov tu as toujours cet excellent whisky ?
– Bien sûr
– J’ai pensé qu’on pourrait faire une petite fête improvisée… on se commande des pizzas, c’est moi qui paye ! Ah ! Je me suis permis de prévenir Servane, elle devrait être là d’ici une demi-heure.
– Ah ? J’ai hâte de la rencontrer ! Indique Martinov.
– Tu ne seras pas déçu, c’est un sacré numéro ! Précise Florentine.

On ouvre le Champagne, on trinque, on rigole, on reprécise les détails de l’aventure pour Martinov qui n’a suivi tout cela que de loin… et qui pose plein de questions.

Et une demi-heure plus tard…

– Coucou, c’est moi ! S’annonce Servane. Ah bonjour Monsieur…
– Martinov, enchantée !
– Ah, on m’a beaucoup parlé de vous, enchantée de vous rencontrer ! Euh, bonjour Madame, je suis Servane !
– Appelez-moi Brigitte !
– Et c’est à vous ce gros toutou ?
– C’est le chien de mon gardien, mais je suis un peu sa deuxième maîtresse.
– Je peux le caresser !
– Bien sûr, mais soyez prévenue, il est assez vicieux.

Avant d’aller plus loin il faut peut-être faire un peu le point, Nous avons là deux hommes, le professeur Martinov et Gérard. Ces dames sont Béatrice, Florentine, Servane, et Brigitte…

…Et puis il y a le chien, il ne tient pas en place et vient renifler tout le monde.

Servane ne le repousse pas.

– Il est toujours comme ça ?
– Souvent oui ! Mais il est adorable… et puis il lèche bien !
– Ah bon ? Parce que…
– Et alors, ça ne fait de mal à personne !
– Ça fait même du bien ! Croit devoir ajouter Florentine.
– Je suis bien d’accord ! Renchérit Béatrice.
– Vous me faites marcher !
– Pas du tout ! On peut te montrer, si tu veux ! reprend Florentine.
– Chiche !

Inutile de répéter ça deux fois à Florentine, elle a pris goût à la chose depuis que Brigitte l’a initié.(voir Martinov 24 – L’énigme du hangar) Aussi retire-t-elle prestement pantalon et string, écarte ses jambes et appelle la bestiole qui se radine en remuant la queue et vient de suite pointer sa langue dans son intimité.

– Eh ben ! Se contente de dire Servane, les yeux écarquillés.
– Tu voudrais essayer ?
– Il n’y a aucun risque ?
– Aucun !
– Je ne suis pas contre mais je préfère attendre un peu.
– Comme tu veux ! Répond Florentine. Ah, les garçons j’ai fait comprendre à Servane que vous pourriez lui offrir un petit spectacle.
– Un spectacle ? S’étonne Martinov.
– Oui ! Un petit duo coquin !
– Hé ! On n’est pas au théâtre ! Fait semblant de protester Gérard !
– Ben justement au théâtre on ne fait pas ça !
– Et tu voudrais qu’on fasse quoi exactement.?
– Faut vraiment vous faire un dessin ?
– On ne va pas décevoir ces dames ! Intervient Martinov en se levant de son siège. Viens Gérard on va leur faire plaisir.

Gérard se lève à son tour et fait descendre sur ses chevilles pantalon et caleçon en exhibant une bite demi-molle.

Le professeur s’accroupit et engloutit dans sa bouche ce sexe qui le nargue.

Florentine vient aux cotés de Servane et plonge sa main dans son haut, passe sous le soutien-gorge et lui pince le téton.

– Plus bas la main ! implore-t-elle.
– Tu mouilles ?
– Un max !

La main de Florentine s’en va vérifier, effectivement ça fait floc-floc.

Martinov a eu beau avoir l’occasion de sucer maintes fois la bite de Gérard, il ne s’en lasse pas, il en redemande, c’est qu’il aime ça sucer des bites notre vert professeur !

Gérard, lui, bande comme un cochon sous les effets de langue de son partenaire.

– Tourne-toi que je t’encule ! Lui demande-t-il au bout d’un moment.

Le professeur se met en position de levrette sur le tapis, Gérard après lui avoir abondamment léché le fion et s’être recouvert d’une capote, le sodomise d’un coup sec avant d’entamer une série d’allers et retours..

Servane n’en perd pas une miette et continue de se laisser tripoter par Florentine. Tandis que Brigitte a dégagé la poitrine de Béatrice afin de lui sucer ses jolis tétons.

L’ambiance est chaude et Gérard décharge dans le cul du professeur en soufflant comme un bœuf. Martinov n’a pas joui et voudrait bien le faire mais toutes ces dames semblent fort occupées.

Gérard en bon camarade de jeu ne saurait le laisser en l’état et vient le sucer à fond.

Ils vont ensuite se poser, mais Martinov propose à son ami quelques pilules de son remède miracle « Le Lapin dur » qui les remettrons en forme en moins de vingt minutes.

Le chien s’approche maintenant de Brigitte et de Béatrice qui ont envoyé valser leur petites culottes et le reste. Il connait bien Brigitte mais allez savoir pourquoi en ce moment c’est la chatte de Béatrice qui l’attire.

N’ayant rien contre le fait se faire lécher, notre gentille chimiste écarte ses cuisses laissant œuvrer l’animal qui y va à grands coups de langue. Et puis tout d’un coup la bestiole se couche sur le dos réclamant qu’on lui caresse le ventre.

Mais ce n’est pas le ventre que caresse Béatrice, c’est sa bite déjà bien raide. Saisit d’une pulsion irrésistible elle se penche vers cet insolent organe et se met à le sucer.

– Oh !

Ça c’est Servane qui n’en revient pas de ce qu’elle voit.

– Choquée ? lui demande Florentine qui continue à le peloter.
– Non ! Mais je me demande si je serais capable de faire pareil !
– Eh bien essaie, tu verras bien !
– Et si je bloque ?
– Si tu bloques, tu ne le fais pas, c’est tout simple.
– J’ai envie de le faire mais c’est comme si quelque chose me retenait !.
– Tu veux qu’on y aille ensemble !
– Oui… murmure Servane.

Elles s’approchent du chien !

– Béa tu peux nous laisser la place quelques minutes !
– Et en quel honneur ?
– En l’honneur de Servane qui voudrait essayer !
– O.K.

Martinov2910Florentine demande à Servane de rapprocher son visage du pénis du chien, puis l’embouche quelques instants avant de le proposer à sa camarade de jeu.

Celle-ci souffle un grand coup, ferme les yeux et fait pénétrer le membre en bouche. Comme disait Neil Armstrong, c’est le premier pas qui compte, après ça va tout seul.

Elle s’arrête néanmoins au bout de quelques minutes, toute fière d’avoir accompli cet acte.

De son côté Brigitte s’est débrouillée pour lécher le cul de Béatrice, prélude à un broute minou qui l’envoie rapidement au ciel.

Martinov et Gérard ont repris de la vigueur. Le professeur s’approche de Servane.

– Nous n’avons rien fait ensemble, me semble-t-il ?
– Nous n’avons pas eu cette occasion !
– Puis-je vous caresser ?
– Nous sommes là pour ça, Non ?

Et puisqu’il en a l’autorisation, notre brave professeur jette ses mains sur les seins de la belle (Ben oui tous les hommes font la même chose, sauf dans les films américains, ce ne sera que la troisième fois que je vous le dit)

Ses doigts viennent titiller timidement les tétons érigés et comme Servane ne proteste pas, il y va carrément et se met à les sucer.

– T’aimerais que je te fasse une pipe ! lui propose-t-elle.
– Comment refuser ?

Servane se baisse et prend dans ses mains le service trois pièces de notre bon professeur. Et miracle du tripotage, la bite passe rapidement de l’état de demi-molle à celui de petit mât fièrement dressé.

Sa petite langue vient ensuite titiller le gland

– Oh là là ! Gémit-il.
– Un problème ?
– Non mais quelle langue tu as !
– Hi ! Hi !
– Tu me sucerais derrière ?
– Avec plaisir, tourne-toi, mon pépère !

Servane écarte les globes fessiers de Martinov et approche son visage de l’anus.

– Humm, ça sent un peu fort, par ici ! Constate-t-elle.
– Oh, je suis désolé, laisse tomber !
– Penses-tu ! C’en sera que meilleur !

Et la langue de Servane virevolte tant et si bien autour de l’œillet du professeur qu’il finit par béer

– J’adore sucer les trous du cul !
– Tu m’as l’air d’une sacrée cochonne !
– Non pas tant que ça… mais il y a des jours, je ne me contrôle plus. Répond-elle en introduisant son doigt dans l’anus offert !

– Allez retourne-toi que je m’occupe un peu de ta bite.

Et cette fois, elle se déchaîne, en faisant coulisser le membre de chair en de vifs mouvements de va-et-vient.

– Tu veux jouir comme ça ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
– Tu veux m’enculer ?
– Oui ! Décidemment c’est la fête !

Mais voilà Gérard, qui, la bite en étendard, s’approche d’eux.

– Une double péné, ça te dirait ? Propose-t-il à la journaliste.
– Allez, on essaye ! Répond-elle sans hésiter une seconde.

Distribution de capotes, puis Gérard se couche par terre sur le dos afin que Servane puisse s’empaler sur son membre, ce qu’elle fait, puis elle se courbe légèrement permettant au professeur d’accéder à son anus.

Et s’est parti pour un trio infernal, ça pistonne, ça va, ça vient, ça fait du bruit, Servane ne cesse de japper. Tout ce petit monde ne tarde pas à jouir, puis à s’affaler de fatigue.

Et voilà que Brigitte et Béatrice qui n’avaient rien manqué du spectacle applaudissent d’enthousiasme.

Et Florentine ? Me demandez-vous ?

Eh bien figurez-vous que cette dernière après s’être placé en levrette a invité le chien à venir la sauter et qu’elle est en ce moment sous les assauts du quadrupède.

Quelle ambiance, mes amis !

Et tout d’un coup c’est la bousculade, tout le monde a envie de pisser… Mais la salle de bain n’est pas extensible… C’est Brigitte qui entre la première et prend place sur la cuvette. Servane la suit.

– Vite j’ai trop envie ! Implore-t-elle
– Chacune son tour !
– Je ne peux plus me retenir !
– Ben pisse moi dessus !
– Faut pas me dire ça, je suis capable de le faire !
– J’espère bien que tu vas le faire, vise ma bouche

Il faut se contorsionner un peu pour rendre la chose possible, mais ça finit par le faire.

Brigitte se relève, de l’urine lui a dégouliné sur le corps et elle décide prendre une douche, tandis que Béatrice propose à Servane de l’arroser. Damme pendant qu’on y est !

Retour au salon, après ces instants de folie, on ne se rhabille pas, on remplit les verres, on trinque. Martinov lève son verre.

– Vive la baise ! S’écrie-t-il.

On ne saurait mieux dire. Et nous allons laisser là nos amis que nous retrouverons bientôt dans de nouvelles aventures qui je l’espère seront aussi passionnantes et coquines que la présente.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:55

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 9 – Erotisme automobile par Maud-Anne Amaro
Voy

Plusieurs jours plus tard…

Il est 18 heures passées et Béatrice quitte le laboratoire du professeur Martinov à Louveciennes, elle prend la direction de la gare, une Peugeot noire attend 50 mètres plus loin. Rivière, l’âme damné de la secte de l’Archipel, en sort juste au moment où Béatrice passe.

– On est un peu perdu. Le chemin de la gare, s’il vous plaît ?
– Tout droit, puis à gauche au carrefour.
– Vous y allez ?
– Oui, vous m’emmenez ?
– Avec plaisir, montez.

Et tout va alors très vite, Béatrice a le temps de reconnaître Moineau au volant avant qu’un tampon de chloroforme l’envoie dans les vapes.

Et c’est ainsi que Béatrice se fit kidnapper pour la seconde fois consécutive

Arrivée à Marly, Moineau attendit que Woland se soit éloigné pour lui expliquer ce qu’il attendait d’elle.

– Voilà, nos expériences ont été interrompus malencontreusement, nous allons les reprendre là où vous en étiez.
– Mais espèce de bougre d’âne, est-ce que vous êtes au moins capable de comprendre que je ne sais pas faire ! Hurle la jolie chimiste.
– Vous ne savez pas faire quoi ?
– Chercher un antidote à un poison dont on ne connait pas la composition, ça n’a aucun sens ! Achetez-vous un cerveau !
– Je le sais bien que ça n’a aucun sens, mais vous n’aurez qu’à faire semblant.
– Pardon ?
– Vous avez très bien entendu, faites semblant !
– J’aimerais comprendre ?
– Je ne vous dois aucune explication. Reposez-vous cinq minutes, puis au boulot.

Les gendarmes de Limoges poursuivent leur enquête, ils demandent la collaboration de la police parisienne afin d’enquêter sur le propriétaire de l’Archipel, celle-ci se rend donc à son domicile de Marly les Violettes puis rend son rapport :

« Il apparaît que monsieur Woland a acquis la propriété dite de l’Archipel afin de réaliser une opération immobilière, il ne l’a loué à personne et déclare ne pas avoir été mis au courant du fait qu’elle était squattée. Pendant la période que vous nous indiquez monsieur Woland a déclaré avoir été en croisière privée en Méditerranée à bord du yacht de ses parents, alibi confirmé par ces derniers. »

Bien oui, Woland qui n’est pas complétement idiot avait demandé à ses parents de le couvrir par ce beau mensonge.

Le lendemain de son enlèvement le professeur Martinov s’inquiéta de l’absence de sa jolie collaboratrice d’autant que ses appels téléphoniques n’aboutissaient pas .

Fou d’inquiétude et craignant le pire, il se rendit à son adresse parisienne où personne ne lui répondit.

Alors il fit de nouveau appel aux services de Gérard Petit Couture.

– Ou bien ce sont encore les cinglés de l’Archipel ou bien c’est autre chose, on va partir de la première hypothèse mais par où commencer ?

Il apprend par la gendarmerie de Limoges qu’un seul suspect est sous les verrous, mais il n’obtient pas d’autres renseignements .

Gérard passe quelques coups de fil afin d’obtenir à toutes fins utiles les coordonnées du propriétaire de l’Archipel.

Il se rend donc accompagné de Florentine à Marly les Violettes et demande à être reçu par le propriétaire des lieux

– Petit-Couture, défense du territoire, se présente-t-il en exhibant sa carte périmée.
– Oui et alors ?
– Connaissez-vous cette personne ? Lui demande-t-il en exhibant une photo de Béa stockée sur son téléphone portable.
– Non, pourquoi ?

Quelque chose dans l’expression de Woland persuade Gérard que celui-ci ment, alors il y va au culot, et du culot, Gérard en a à revendre !

– Bien, nous allons faire une petite visite…
– Vous avez un mandat ? Demande Woland.
– Nous ne sommes pas la police, nous sommes la sécurité du territoire et nous n’avons pas besoin de mandat…

Woland ne sait que répondre à ce bluff et laisse Gérard et Florentine cheminer parmi les pièces de cette coquette demeure.

La porte blindée et insonorisée derrière laquelle Béatrice est censé travailler se trouve dissimulée par un pan pivotant de la bibliothèque. Gérard ne s’aperçoit de rien.

– Bon, apparemment elle n’est pas ici ! Tu vas nous dire ce qui lui est arrivée, ou je vais devenir méchant !
– Oh ! Calmez-vous ? Et pourquoi d’après vous cette personne serait susceptible de m’intéresser ?
– Parce qu’à l’Archipel vos petits copains se livraient à des expériences bizarres, que ceux-ci ont été interrompues par la gendarmerie et que j’ai l’impression que vous souhaiteriez les reprendre.
– Je vous signale que les activités bizarres comme vous dites, qui se sont déroulées à l’Archipel l’ont été à l’insu de mon plein gré. Pendant cette période j’étais en croisière en Méditerranée, ce que s’est permis de vérifier la police qui m’a interrogé à ce sujet.

Du coup Gérard est déstabilisé et ne possède plus d’angles d’attaque..

Alors une seule solution faire croire à ses interlocuteurs qu’ils n’ont rien à se reprocher, s’en aller pour mieux revenir à la charge ensuite…

Le professeur Martinov déprime, la police ne peut rien faire avant le délai d’usage de 48 heures.

De son côté Moineau ne chôme pas, il a envoyé un message à tous les adeptes de la secte, y compris ceux qui l’ont quitté après l’esclandre de Michelet. Il y explique qu’après une enquête, les malversations constatées ne sont imputables qu’au seul Nalon, actuellement sous les verrous, que celui-ci été banni de la secte et qu’il est temps de classer cet épisode, de tourner la page et qu’un rassemblement est prévu à Marly Les Violettes; que des tentes seront prévues pour le confort des membres et que ceux-ci seront accueillis quand ils le souhaiterons. etc, etc…

Et bien sûr Servane fit partie des destinataires.

– Allo ! C’est Servane ! Euh monsieur Gérard… je n’ai pas noté votre nom de famille.
– Ah, vous êtes la personne qui nous a abordé à Limoges après la conférence de presse.
– Tout à fait, je voulais vous faire part d’un message que je viens de recevoir, et qui peut vous intéresser, je vous l’envoi en MMS.

« Si après ça je n’obtiens pas mon interview, c’est que je ne suis plus bonne à rien ! »

Gérard lit le message et manque de s’étrangler.

– Putain de bordel de merde !
– Ben qu’est-ce qui te prends ! S’étonne Florentine.
– Ce salonard de Woland qui nous raconte qu’il n’a rien à voir avec la secte ! Quel sale menteur ! Tiens lis ça !
– On fait quoi, on y retourne ? Propose Florentine.
– Allo, monsieur Gérard, je suis toujours là !
– Oui, vous téléphonez d’où ?
– De Paris, mais je vais me rendre à Marly, le temps de préparer quelques affaires.
– O.K, on se retrouve là-bas, mais on ne se connait pas. C’est moi qui vous approcherais si nécessaire.

Derrière la grille, un bonhomme au visage graisseux, sans doute l’un des adeptes, est chargé de filtrer les entrées.

– Je peux voir votre invitation ? Demande-t-il
– Mon invitation c’est ça ! Répond Gérard en exhibant sa carte de la DGSE.
– Je vais prévenir monsieur Woland !
– N’en faites rien, on va lui faire une surprise.
– Je ne sais pas .
– Tu nous laisses entrer, conard, ou je tire dans la serrure !

Qu’est-ce qu’on peut perdre comme temps en formalités !

Gérard et Florentine s’approchent du bâtiment, ils perçoivent une certaine agitation provenant de l’arrière, ils décident d’y aller voir.

Un quinzaine de tentes y sont montées, des gens discutent entre eux tandis que des ouvriers installent des tables de plein air. Une véritable ambiance de kermesse, il ne manque que les ballons !

Ils pénètrent à l’intérieur.

– Encore vous ? S’exclame Woland.
– Ben oui ! Plus menteur que vous, il y a qui ? Pinocchio ?
– Pardon ?
– C’est quoi derrière ? La fête du village ?
– Qu’est-ce que ça peut bien vous faire ? J’ai quand même bien le droit d’organiser un petite fête avec mes amis
– Et vous fêtez quoi ?
– Je n’ai pas à vous répondre.
– Alors moi je vais vous le dire, vous êtes en train de reconstituer la secte de l’Archipel de Vega.
– Vous vous égarez, monsieur !
– Et en voici la preuve ! Répond Gérard en exhibant le message envoyé par Servane qui l’a pris soin d’imprimer

Le visage de Woland se décompose avant qu’il ne murmure un vague :

– Ce n’est pas ce que vous croyez je peux tout vous expliquer…
– Et vous allez me sortir un de vos mensonges ! Alors écoutez-moi, je me fous de vos activités de charlatan comme de ma première branlette, mais ce qui m’intéresse pour le moment c’est de savoir ce qu’est devenue mademoiselle Béatrice Clerc Fontaine.
– Mais je n’en sais rien.
– A l’Archipel vous aviez des laboratoires derrière des portes blindées ?
– Je n’ai jamais mis les pieds à l’Archipel.
– Menteur, je suppose qu’ici c’est pareil ?.
– Si nous cessions cette conversation ?
– Certainement pas. Apportez-moi le plan de la baraque.
– Mais je n’ai pas ça !
– Si, en principe c’est annexé à l’acte de propriété, allez me le chercher
– Je n’ai aucun papier ici, j’ai un homme d’affaires qui s’occupe de tout ça.
– Ben voyons ! Répond Gérard en giflant son interlocuteur
– Vous n’avez pas le droit !
– Dis-moi où est Béatrice ou je t’en fous une autre.

C’est à ce moment-là que surgissent armes au poing, Moineau et Rivière qui se tenaient dans la pièce contiguë et qui ont tout entendu.

– Ça suffit maintenant, vous abusez de votre pouvoir, veuillez quitter les lieux immédiatement.
– Et sinon ?

Simple question, mais bonne question, puisque les deux abrutis sont incapables de répondre.

Profitant de ce moment d’hésitation Gérard qui avait son revolver en poche tire sur la jambe de Woland qui s’écroule de douleur.

Rivière, surpris et choqué lâche son arme et lève les mains au ciel.

– Ne me faites pas de mal.
– Où est Béatrice ?
– Je vous assure que je n’en sais rien.

Deux invités, adeptes de la secte, se pointent en courant.

– On a entendu des coups de feu.. Oh, mais qu’est ce qui se passe ?
– Un fou qui nous a tiré dessus, j’ai voulu le maîtriser, il s’est enfui dans la cave, nous l’avons enfermé, la police est prévenue, elle arrive. Répond Gérard sans se démonter.

Satisfait de cette explication, les deux andouilles repartent, tandis que Gérard n’en revient pas de cette capacité qu’il a eu à mentir ainsi de sang-froid.

Gérard demande à sa compagne de surveiller les trois zigotos puis après s’être emparé de quoi écrire, arpente les lieux en mesurant approximativement les pièces et en les dessinant sur le papier de façon à constituer une esquisse de plan

Au bout d’un quart d’heure, il constate un vide dans le plan, correspondant à l’arrière de la bibliothèque

Ça devient facile, il essaie de faire bouger tout ça, un pan pivote et révèle une porte blindée.

« Maintenant il faut ouvrir »

– Béatrice tu m’entends ?

Pas de réponse, il tambourine. Et miracle, ça tambourine de l’autre côté.

– Je reviens, dit-il, sans savoir s’il a été entendu.

Il redescend.

– Bon, j’ai trouvé la porte blindée, maintenant je veux la clé.
– Attends, lui dit Florentine, l’autre idiot perd du sang, je fais quoi ? J’appelle une ambulance ?
– Oui, mais où est la clé de ce bordel ?
– Je peux tout expliquer… répond Woland.
– Je ne veux pas d’explication, je veux la clé.
– Quelle clé ?

Et il reçoit une nouvelle baffe, à croire qu’il aime ça !

– Bon, bon, je vais vous dire où elle est, mais ce n’est pas ce que vous croyez.
– C’est ça, c’est ça.

La clé n’était pas cachée mais posée négligemment sur un guéridon de l’entrée.

– Je vous accompagne ! Décrète Moineau.
– Gérard ! Comment tu m’as retrouvé ? Demande Béatrice

Moineau profite de ce moment d’émotion pour se jeter sur Gérard en un geste désespéré. Mais il est loin de faire le poids, et Gérard d’une manchette bien placée l’envoie dans les vapes.

– Vite Béa, on se tire, je t’expliquerais tout ça après.
– Mes affaires ! Il faut que récupérer mes affaires
– On va demander au joufflu blond.

Ils redescendent, abandonnant le corps inconscient de Moineau.

– Bon c’est fini, on se casse, toi le blondinet tu vas venir avec nous.
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière.
– Ta gueule ! Lui répond Gérard en lui attachant les poignets avec un bas nylon qui trainait dans la boite à gants. Et dis-nous où sont les affaires de Béatrice.
– On s’en est débarrassé, c’est parti à la poubelle.
– Pauvre connard ! Ne peut s’empêcher de lui dire Béatrice.
– Mais ce n’est pas moi !

Gérard téléphone ensuite à Servane :

– On a fini, rejoins-nous dans la voiture, devant la grille, une Opel Corsa bleu métallisé… On va d’abord aller voir les flics ensuite on ira boire un coup, on l’a bien mérité.!

Au commissariat le plus proche, Gérard entre accompagné de Beatrice et de Rivière.

– C’est pour porter plainte pour enlèvement et séquestration.
– Ah ? Vous pouvez me préciser l’identité de la victime ?
– C’est moi ! Répond Béatrice
– Vous avez vos papiers d’identité ?
– Ben non, ils me les ont détruits.
– C’est qui « on » ?
– Notamment ce monsieur ! Répond Gérard en désignant Rivière !
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière qui se répète un peu.
– C’est vous qui lui avez attaché les poignets !
– Oui, je n’avais pas de menottes.
– Ce monsieur aurait agi seul ?
– Non, j’ai laissé deux de ses complices au 1 bis rue du Capitaine Crochet à Marly les Violettes… l’un est blessé à la jambe, l’autre était dans les pommes…
– Mais vous êtes qui, vous monsieur ?
– Gérard Petit-Couture ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ciel, venez avec moi dans le petit bureau, on va démêler tout ça…

Et pendant ces formalités, Florentine et Servane font connaissance..

– On vous doit une fière chandelle… commence Florentine.
– Pensez-vous, j’ai maintenant de quoi pondre un article passionnant, peut-être même que j’écrirais un bouquin…
– Ça n’a pas été trop dur de vous infiltrer là-dedans.
– Non, j’ai fréquenté des gens autrement plus dangereux, ceux-là ce sont des doux dingues inoffensifs. Et puis il régnait une ambiance décontractée, c’était parfois amusant.
– Comment ça ?
– Disons que ça s’envoyait en l’air allègrement ! Je ne vous choque pas j’espère ?
– Pas du tout, confidence pour confidence, mon mari et moi sommes assez libertins.
– Ah ? Vous faites de l’échangisme ?
– Ça nous arrive, oui ! Mais nous avons quelques amis très partageux.
– De l’échangisme avec plusieurs hommes ? Avec des femmes ?
– Tout ça !
– Moi j’ai parfois des pulsions nymphos, mais j’aime bien les femmes aussi.! Répond Servane en regardant Flo de façon canaille.
– Alors qu’est-ce que tu attends pour m’embrasser ?
– T’es directe, toi !
– Ben oui, pourquoi s’encombrer de protocole ?
– Alors ne nous encombrons pas !

Voilà ce qui s’appelle être rapide en besogne. Les deux femmes se roulent une pelle magistrale tandis que les mains se font baladeuses, un peu les seins, un peu l’entrejambe, et tout ça dans la bonne humeur malgré l’étroitesse du véhicule.

– T’as déjà baisé dans une bagnole ? Demande Servane.
– Baiser c’est un grand mot mais on fait plusieurs expériences d’exhibitionnisme en bagnole.
– Tu me racontes ?
– Si tu veux, mais regarde dans la boite à gants, il y a peut-être quelque chose qui pourrait t’intéresser.

Servane ouvre…

– Oh, un gode, des capotes, du gel ! Ben dis donc !
– Autant être prêt à toutes éventualités !
– Je vois, je peux me servir du gode !
– Mais bien sûr ma poule !

Elle se saisit du joujou, l’encapote, puis après avoir écarté sa petite culotte, se le plante direct dans la chatte.

– Maintenant raconte-moi !

Le récit de Florentine

Je ne me souviens plus pour quelle raison nous avions emprunté cette route forestière qui se terminait en cul de sac dans un mini parking.

On se gare et on aperçoit une bagnole entourée par trois mecs qui se branlent la bite peu discrètement.

– Il doit se passer de drôles de trucs à l’intérieur ! Me dit Gérard.

L’un des trois mecs se déplace et vient regarder par la vitre de notre voiture, mais comme il n’y a rien à voir, il repart aussi sec.

– S’ils veulent du spectacle, on peut leur en donner ! Me suggère Gérard.
– Pourquoi pas ?
– Déshabille-toi un petit peu..

Martinov2909Je libère mes seins et je me tripote la chatte, mais personne ne vient. Gérard donne un coup de klaxon. Du coup l’un des voyeurs se ramène, s’approche et se branle en matant mes nichons. Il a une jolie bite, je baisse la vitre, le branle un peu, puis je le prend en bouche, le gars ne s’attendait peut-être pas à ça, mais il se laisse faire !

Le gars a joui dans ma bouche, je crache, un second arrive, la bite est moins jolie mais qu’importe, je suis trop excitée et je le suce.

Un autre mec s’est pointé côté conducteur et regarde Gérard se branler.

Gérard baisse la vitre.

– Elle t’excite ma bite ?
– Oui, elle est belle.

Du coup mon copain ouvre la portière et se fait sucer par le mec, tout cela n’a pas duré longtemps et on est reparti. Une expérience amusante et excitante.

Fin du récit de Florentine.

– Whah, ça m’a excité ton histoire ! Commente Servane tout en faisant aller et venir le gode dans sa minette.
– Et si tu me montrais tes nichons !
– Vas-y dégage-les ! Personne ne peut nous voir, vas-y c’est bon ! Mais dis-moi, ton mari, si je comprends bien, il est à voile et à vapeur ?
– Oui il est un peu bisexuel, il y en a d’ailleurs beaucoup dans les bois. Mais ça n’a pas eu l’air de te choquer !
– Non, non, au contraire, j’aimerais bien voir ça te plus près !
– Ça peut s’arranger assez facilement
– C’est vrai ?
– Puisque je te le dis…

Et Servane continue à se goder la chatte en gémissant de plus belle tandis que Flo se régale de ses tétons. La jouissance est intense et bruyante.

– Chut !
– Tu crois que c’est facile de jouir en silence, toi ?
– Occupe-toi un peu de moi !
– Tu veux le gode ?
– Non, baisse-toi et lèche.

Servane est véritablement une experte es-langue et envoya rapidement Florentine au septième ciel.

– Maintenant que cette histoire est terminée, le moins que l’on puisse faire c’est de faire une petite fête, tu seras des nôtres ?
– Avec plaisir.
– O.K. je t’enverrais l’adresse et l’heure !

Gérard sort du poste de gendarmerie et rejoint son véhicule.

– Alors les nanas, vous avez été sages ?
– Non, non, pas vraiment !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:52

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 8 – L’adieu à Frederika par Maud-Anne Amaro
Romantic

De son côté, Frederika après avoir réussi assez difficilement à se faire dépanner d’un peu d’argent par sa banque entreprend Béatrice.

– Je vais rentrer ce soir, j’ai mon billet de train. Je ne sais pas si on se reverra, on peut toujours s’échanger nos coordonnées, je n’ai toujours pas de téléphone mais j’ai un stylo et une adresse.
– Bien sûr !
– On ne se reverra probablement jamais…à moins que…
– A moins que quoi ?
– T’es chimiste chez qui ?
– Chez un chercheur indépendant.
– Et ça gagne bien ?
– En fait je suis son associée
– Tu n’as pas envie de changer, je peux te proposer une bonne place
– C’est gentil, mais c’est non !
– Tant pis pour moi, je n’insisterais pas, mais on pourrait se quitter avec un gros bisou.
– Ça d’accord ! Répondit Béa qui n’attendait que ça.

Les deux femmes se roulent un patin.

Et vous comprendrez maintenant pourquoi Béatrice avait refusé la langue de Florentine sur sa chatte, étant certaine que Frederika la solliciterait, vous me direz, elle aurait très bien pu jouir deux fois de suite, mais bon… et puis elle voulait que cet adieu charnel soit le plus intense possible, alors que Florentine, elle la reverra…

– Putain, j’ai trop envie de toi !
– Moi aussi !

Les deux femmes se sont déjà aimés charnellement, N’empêche que lorsqu’elles se déshabillent, le plaisir de la vue se renouvelle. Alors bien sûr, elles se caressent en s’embrassant, les langues viennent titiller et darder les tétons.

C’est Frederika qui la première gagna le lit sur lequel elle se posa à quatre pattes, en levrette, les cuisses écartées, le croupion relevé, la rosette en évidence.

Attiré par ce spectacle obscène, Béatrice se précipite, langue en avant pour venir butiner ce délicieux anus brun et fripé au goût légèrement musqué.

Elle met tellement d’ardeur à faire feuille de rose à sa partenaire que l’anus finit par s’entrouvrir. Ce qui fait se pâmer d’aise la jolie brune.

– Oh ! Quelle langue !

Eh oui, « quelle langue », sauf que la langue elle fatigue un peu… Du coup Béatrice décide d’être un peu passive à son tour. Et c’est elle maintenant qui après avoir adoptée la position qui le fait bien, offre son intimité rectale aux assauts linguaux de la belle Frederika. Et ce jusqu’à ce que la langue s’épuise. Mais il reste les doigts, et en voici un qui rentre dans le cul de Béatrice et qui s’agite frénétiquement ! Et comme si cela ne suffisait pas, un second doigt rejoint le premier, et ça s’agite, et ça s’agite. Et Béatrice miaule de plaisir.

Martinov2908Petit moment calme (enfin tout est relatif car les deux femmes se pelotent. sur le lit) . Un moment leurs jambes se croisent de telle façon que leur chattes se touchent. Position singulière que les anciens Grecs qui furent experts en la matière qualifiaient de tribade.

Alors bien sûr il ne faut pas rester sans bouger, non il faut effectuer des mouvements de frottement afin que les deux sexes se stimulent réciproquement.

Et les deux femmes se stimulent tant et si bien, qu’au bout de cinq minutes, elles jouissent pratiquement de concert… Là encore la fulgurance était au rendez-vous, elles s’embrassent, se caressent, c’est fini…

Enfin presque parce que ces petites fantaisies ont un effet diurétique. Elles se précipitent pour gagner les toilettes, Béatrice y pénètre la première, mais au lieu de s’assoir sur la cuvette, elle se couche sur le sol implorant sa partenaire de vider sa vessie sur elle. Inutile de dire que Béa s’est régalée de cette bonne urine avant que ces deux coquines n’inversent le rôles.

Servane, la journaliste infiltrée qui n’était pas au courant des derniers évènements est prévenue par sa copine, qui lui raconte tout ce qu’elle sait.

– Ah ! Ça redevient intéressant.

Servane assite à la conférence de presse du procureur de la république, elle prend des notes et va pour s’en aller au moment où la petite assistance commence à poser des questions, souvent débiles, quand elle aperçoit un type à l’évidence journaliste, vu son équipement. Il est jeune et beau. Elle décide de l’aborder afin de tenter de lui soutirer des renseignements.

– Journaliste ? Lui demande-t-elle avec un sourire qui se voudrait irrésistible.
– Oui, au Populaire du Centre.
– Servane Lafleur, journaliste indépendante.

Le journaliste local pressentant une ouverture (comme disait Michel Blanc) l’emmène boire un coup au bistrot du coin.

– C’est dommage que vous n’ayez pas les coordonnées des chimistes, je me serais fait une joie de les interviewer. Minaude la femme.
– Ne me faites pas de concurrence déloyale. De toute façon je n’ai pas leurs coordonnées, mais j’ai leur photos, il y a une nana plutôt canon parmi eux et…. et….
– Qu’est-ce qui vous arrive ?
– La table près de la grande affiche…
– Oui ben qu’est-ce qu’elle a la table ?
– C’est l’une des chimistes, avec un type. je vais vous dire son nom… euh, c’est noté là… voilà Béatrice Clerc-Fontaine.
– OK, je fonce, je suis descendue à l’hôtel des Biches, si ça vous intéresse, on s’y retrouve devant l’entrée à 19 heures.
– Ah ? Avec plaisir !

Il n’en croit pas ses oreilles le journaleux !

Servane s’approche.

– Bonjour ! Vous êtes Béatrice Clerc-Fontaine ?
– Pourquoi ? on se connaît ?
– Non, mais je suis journaliste indépendante et sachant ce qui vous est arrivée, je sollicite votre témoignage.
– Ecoutez, vous êtes très mignonne, mais j’ai déjà refusé une interview et je n’ai aucune envie d’être médiatisée
– O.K. je comprends parfaitement votre point de vue et je le respecte. Sachez simplement que je me suis infiltrée dans la secte et que j’y ai toujours des contacts. S’il leur prenait l’envie de recommencer leurs conneries, j’en serais avisé….
– Bon, on en reste là ?
– Echangeons nos coordonnées, ça ne mange pas de pain, voici ma carte…
– Vous pouvez la garder ! Merci de nous laisser maintenant !
– Non, on ne sait jamais, je vais vous donner mon numéro. Intervient Gérard.
– Vous êtes l’un des chimistes ,
– Non un ami de Béatrice.
– D’accord je vous laisse.

« Une faille dans la carapace, je l’aurais mon interview ! »

Il est 19 h 15 quand Servane rejoint son hôtel pour se changer avant d’aller diner, elle aperçoit alors le journaliste du Populaire du Centre qui fait le pied de grue devant l’entrée.

« Merde, je l’avais oublié, celui-là ! »

– Ah dit le bonhomme, content de vous voir, je commençais à me demander si vous ne m’aviez pas posé un lapin.
– Non, il n’y a pas de lapin, par contre je vous dois des excuses !
– Des excuses pour quoi donc ?
– Je vais être très franche avec vous, parfois le journalisme d’investigation, c’est comme l’espionnage, il faut parfois coucher pour avoir des infos.
– Pardon ?
– Vous avez bien entendu ! J’aurais donc été jusqu’à coucher avec vous pour avoir quelques renseignements, mais il se trouve que j’ai trouvé ce qu’il me fallait. Donc voilà, désolée pour le dérangement !

Le type est complétement décontenancé.

– Euh.. accepteriez que vous offre le restaurant !
– Epargnez-vous cette peine !
– Je peux peut-être vous apprendre des choses que vous ignorez…
– Allez, adieu !
– Salope !

Elle ne répondit pas et se dirigea vers les ascenseurs.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:49

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 7 – La soumission de Gisèle par Maud-Anne Amaro
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Nalon n’a pas réussi à joindre ses comparses et il adopte une attitude tellement discrète qu’il finit par se faire repérer, la gendarmerie le cueille, il n’est pas bavard et refuse de donner les noms de ses complices. Il est rapidement mis en examen pour enlèvement et séquestration.

– Et le professeur Coulmes ? Il est où ?
– J’en sais rien, on m’a dit qu’il s’était sauvé.
– Il s’est sauvé sans rentrer chez lui, vous ne vous moquez pas du monde ?
– Mais j’en sais rien, moi !

Les deux interventions de la gendarmerie à l’Archipel ne sont pas passées inaperçues et les gens se sont mis à causer, en racontant un peu n’importe quoi. Quant aux réseaux sociaux, les intervenants rivalisent de bêtises (comme d’habitude, me direz-vous…)

Le procureur de la république en charge du dossier a voulu jouer sa star en organisant une conférence de presse dans un local municipal.

– L’affaire des chimistes enlevés est partiellement résolue, je dis partiellement parce que l’un d’entre eux manque à l’appel et semble avoir disparu. Des investigations supplémentaires sont actuellement en cours dans le domaine dit « L’Archipel de Véga » et ses dépendances. Un suspect est pour l’instant mis en examen pour complicité d’enlèvement et séquestration, mais refuse de parler…

La plupart des chimistes s’en sont reparties dans leurs familles, seule Béatrice est restée ainsi que Gérard et Florentine. Ils ont convenus qu’ils assisteraient à la conférence de presse avant de reprendre le chemin de la capitale. Et en ce moment Béatrice roupille comme un loir dans les bras de Frederika.

– Vous me raccompagnez à Paris ou je me débrouille toute seule ? Vous m’aviez promis de me payer ma place de train… Demande Gisèle.
– Je vous raccompagnerais, bien sûr, mais j’ai peut-être une proposition à vous faire.
– Une proposition honnête ? Répond-elle avec un sourire narquois.
– Tout à fait honnête ! Figurez-vous qu’en ce moment nous n’avons plus de femme de ménage…
– C’est une plaisanterie ?
– Non, c’est une proposition, nous faisons appel à une société de service, en fait deux, parce que j’ai un appartement à Paris et une résidence à St Valery sur Somme…
– Et comme ça vous pourrez me sauter à votre guise ? Vous et votre épouse !
– Ce sera bien payé et en tout cas bien mieux que votre boulot de nurse chez le père Chaudron.
– Qu’en savez-vous ? Et puis, il me donne des bons pourboires !
– Vous en aurez aussi, si vous êtes gentille !
– Je suis toujours gentille !
– Alors vous acceptez ?
– Je ne dis pas non !
– Alors dites « oui » !
– Oui !
– Vous êtes trop belle quand vous dites « oui » !
– Baratineur !
– Non, je suis sincère et voyez-vous, là maintenant je vous ferais bien un gros câlin.
– Pourquoi pas ? Mais comme dorénavant je suis votre employée, ce sera avec pourboire !
– Vous ne perdez pas le nord, vous !
– Il faut toujours voir le côté pratique des choses.
– Alors d’accord, mais dans ce cas je risque d’être un peu directif.
– Pas grave, ça ne me dérange pas d’être un peu soumise !
– Et vous allez jusqu’où dans la soumission ?
– Pas très loin en fait, mais je ne suis pas contre quelques petites humiliations ou quelques fessées à la main ou au martinet.
– OK, déshabille-toi et mets-toi à genoux que je voie comment tu es en soumise.

Gisèle se prête au jeu sans problème… Mais voilà Florentine qui entre dans la pièce sans comprendre trop ce qui passe.

– Vous faites quoi, tous les deux ?
– Je viens d’embaucher Gisèle.
– Oui, on en avait parlé, mais tu aurais pu m’inviter pour l’entretien d’embauche !
– J’ai pas eu besoin d’en faire !
– Tu lui as demandé si elle savait cuisiner ?
– J’ai même quelques spécialités. Intervient Gisèle. Des trucs italiens.
– Chic alors, et qu’est-ce que tu fous à genoux !
– J’ai dit à Monsieur Gérard que je n’avais rien contre la soumission, alors il m’a fait mettre à genoux et puis vous êtes rentrée…
– Hum ! C’est intéressant tout ça, Gérard passe-moi donc ta ceinture que je me défoule un peu.
– Pas trop fort quand même ! Préviens Gisèle
– Douillette !
– Non, si c’est trop fort, je ne marche plus !
– Ne t’inquiètes pas, ma cocotte.

Florentine se déshabille (pour le fun) puis arme le ceinturon et le fait claquer sur les jolies fesses de Gisèle.

– C’est bon comme ça ?
– Oui !

Martinov2907Deuxième coup, Gisèle encaisse toujours sans broncher, si ce n’est qu’un vague gémissement. Alors elle continue mais sans augmenter la force des impacts. Elle n’a pas compté, sans doute une bonne dizaine de marque de flagellation lui décore le joufflu.

– Putain, il y avait longtemps que je n’avais pas fait ça, je suis tout excitée maintenant ! Indique-t-elle en restituant la ceinture à son compagnon.

Gérard est excitée lui aussi et sort de sa braguette sa bite bien bandée.

– Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus. Lui dit-il.

Elle s’y rend et se repositionne en position de soumise.

– Ouvre la bouche ! Ordonne Gérard !
– Je ne préfère pas !
– T’as déjà essayé ?
– Non !
– Alors essaie, si ça ne te plait pas, je n’insisterais pas.

Autrement dit, l’art de mettre une personne au pied du mur.

– Juste un peu, alors !
– Mais oui, mais oui !

Le pipi de Gérard fuse, mais il le stoppe à temps, il atterrit dans le gosier de Gisèle qui se fend d’une vilaine grimace.

– Ça va ?
– Ça peut aller !
– Je continue !
– Oui mais pas trop quand même !

Gérard lui en envoie une nouvelle rasade en pleine bouche mais a le tact de ne viser ensuite que la poitrine.

– Alors ?
– Alors ça va !
– C’était comment ?
– Un peu particulier, mais ça va !
– Maintenant, suce-moi !
– A fond ?
– Je ne sais pas encore, on va voir.

C’est qu’elle suce terriblement bien la petite Gisèle, et on devine bien que ce n’est pas sa première pipe !

Sa langue diabolique use de tous les artifices de la pratique, coups de langues intempestifs sur le gland, léchage de la verge en mode langue caressante, longs allers et retours en bouche et même baisers sur les couilles, tandis que le doigt loin de rester inactif s’en va explorer l’œillet brun avant de s’y enfoncer gaillardement..

Il est aux anges, Gérard mais souhaiterait jouir autrement que dans cette bouche gourmande, pourtant experte.

– Et si je t’enculais ?
– Pourvu que tu le fasses doucement.
– Ne t’inquiètes donc pas !

Gisèle se retourne offrant son joufflu au regard du mâle. Gérard ne peut d’empêcher d’y aller de sa langue pour honorer ce trou divin, puis après s’être encapoté la pénètre d’un coup sec.

– Aïe !
– Je t’ai fait mal ?
– Non ça va aller !

Alors Gérard la pistonne en cadence faisant gémir de plaisir la jolie Gisèle.

Charmant tableau qui excite terriblement Florentine qui ne sait comment s’y intégrer.

Mais voilà que Béatrice saisie comme on dit d’un besoin urgent et naturel pénètre dans la salle de bain va et découvre ce spectacle torride.

– Je ne vous dérange pas, j’espère ?
– Mais non, mais non, Lui répond Florentine tout en se tripotant ses bouts de sein, mais ils m’excitent de trop ces deux-là avec leurs cochonneries.
– Ma pauvre bibiche ! Répondit Béatrice en se collant derrière sa copine et en lui empaumant les seins.
– Oh, mais elle me fait quoi cette grosse coquine ?
– Je ne suis pas grosse !

Florentine se laisse peloter quelques minutes pendant que Gérard continue de besogner Gisèle, qui se retourne brusquement.

– Viens le lécher la moule, je coule ! Supplie Florentine

Les deux femmes se déplacent jusqu’au lit le plus proche. Flo se pose allongée, en écartant ses cuisses. Beatrice n’a plus qu’à honorer cette invitation.

L’endroit est effectivement trempé de mouille, ce sont des choses qui arrivent. Voilà qui tombe bien, Béa adore lécher des chattes humides

– Fait moi jouir vite !.

Qu’à cela ne tienne, la langue de. Béa pointe le clitounet de sa partenaire qui jouit aussitôt de façon fulgurante, ce sont aussi des choses qui arrivent.

Bisous., bisous …

Petit temps calme au terme duquel Gérard jouit dans je cul de Gisèle en grognant de façon grotesque tandis que le fille qui n’a cessé de japper s’essuie son visage qui transpirait à grosses gouttes.

– Je te lèche à ton tour ? Demande Flo.
– Attends un peu ! Répond Béa
– Comme tu veux !

Mais pourquoi cette réaction surprenante de Béatrice ? Se demandera le lecteur. Patience, vous le saurez bientôt.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:46

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 6 – Gérard au milieu de quatre femmes par Maud-Anne Amaro
StampFFH

Les deux gendarmes pénètrent dans la chambré où Frederika et Béatrice se reposent et demandent à cette dernière de les écouter.

– Juste une question, Gérard Petit-Couture, ça vous cause ?
– Evidemment c’est un ami ! Pourquoi cette question ?.
– Vous l’avez vu quand pour la dernière fois ?
– Pourquoi ? Il lui est arrivé quelque chose ?
– Non rassurez-vous il va bien !
– Alors pourquoi cette question ? Ce sont des choses qui ne vous regardent pas ! Et je ne vois pas le rapport avec ma séquestration.
– Ne vous énervez-pas ma petite dame.

Lartigue prend le relais.

– Est-ce que ce monsieur était présent quand vous vous êtes fait enlever ?.
– Oui, mais il n’a rien pu faire (elle explique).
– O.K., on va sans doute revenir vers vous, pour le moment continuez à vous reposer.

Les deux gendarmes reviennent en salle d’interrogatoire.

– Comment avez-vous su que Mademoiselle Béatrice Machin-Truc était prisonnière à l’Archipel ?
– Avant d’être ministre, j’ai été agent de la DGSE, on y apprend certaines méthodes d’investigations.
– Et en clair !
– En clair, je suis allé trouver l’un de leurs donateurs et il a lâché le morceau.
– Et donc…
– Ben je venais la délivrer !
– Avec un flingue !
– J’ai un port d’arme !
– Et en effectuant une violation de domicile !
– Ben oui !
– Ce n’aurait pas été plus simple de faire appel à nos services ?
– Je l’aurais sans doute fait, mais je voulais faire une reconnaissance préalable des lieux.
– N’importe quoi !

Une nouvelle fois les deux gendarmes sortent.

– Bon manifestement ce type ne fait pas partie des ravisseurs, C’est un timbré qui se prend pour Zorro, on va lui expliquer que sa petite protégée est ici et lui demander de foutre le camp.

Grand moment d’émotion quand Béatrice et Gérard s’aperçoivent, ils s’enlacent tendrement devant le sourire narquois des gendarmes.

– Mais qu’est-ce que tu fous là ?
– J’étais à ta recherche, mais les gendarmes m’ont choppé, ils m’ont pris pour un bandit.
– Bon, monsieur, vous êtes libre, par conséquent je vais vous demander de quitter les lieux maïs de rester à notre disposition au cas où.
– Je vais venir avec lui ! Propose Béatrice.
– C’est que nous aurions besoin d’affiner votre déposition.
– Et bien affinez, vous voulez savoir quoi de plus ?
– Je t’attends dehors… euh il y a un café près d’ici ? Demande Gérard.
– A 50 mètres sur la gauche

Gérard sort et téléphone à Florentine.

– Ils m’ont relâché, attendez-moi au bistrot à côté de la gendarmerie, Béatrice est libre, elle va venir nous rejoindre.

Bea répéta une fois de plus aux gendarmes ce qu’elle savait puis avant de quitter les lieux tint à dire au revoir à Vermeer et à Frederika.

– Je viendrais bien avec toi ! Lui confie cette dernière.
– Eh bien, viens, je vais te présenter mes amis.
– Mais c’est quoi ce bordel ! S’énerve un gendarme, chacun fait ce qu’il veut, ça rentre, ça sort.
– Ben quoi, on est venu ici pour déposer plainte, vous n’avez pas à nous retenir ! S’exclame Frederika.

On fait les présentations, Gérard se retrouve donc au milieu de quatre belles femmes.

Partouze en perspective ! Se dira le lecteur.

Il a bien raison le lecteur

– Apparemment les gendarmes n’en ont pas fini avec nous. Il nous faut rester ici un jour ou deux. Que diriez-vous si je louais une suite ?

Et prévenant, avant de réserver, il achète à la pharmacie du coin, une boite de préservatifs

C’est un suite familiale, deux grands lits et un plus petit.

– C’est parfait un lit pour moi et Florentine, indique Gérard, pour le reste vous vous débrouillez…
– Béatrice, on dort ensemble ? propose Frederika.

Béa commence à la trouver légèrement envahissante, mais n’en soufflé mot.

Le lit monoplace se trouve en conséquence attribué par la force des choses à Gisèle.

– Je vais peut-être rentrer, je ne vous sers plus à rien. Indique cette dernière.
– C’est comme tu veux, lui dis Gérard, je vais te payer ton billet de train, mais je suppose que tu n’as rien contre le fait de faire la fête avec nous ?
– OK, je partirais après.

On fait monter du Champagne, on trinque

– Vous n’avez pas peur qu’on vous viole, monsieur Gérard ? Parce que quatre femmes autour de vous…. Intervient Frederika.
– Dans ce cas je me laisserais faire.
– Ce sera sans moi, je suis lesbienne exclusive
– Dommage !
– On fait quoi alors, on joue aux devinettes ? se gausse Gisèle.
– Tu voudrais un bisou ? Lui propose Frederika, qui voit là une belle opportunité de faire des choses coquines avec cette jeune personne qui lui a tapé dans l’œil.
– Je veux bien, j’adore les bisous !

En fait de bisou, ce serait plutôt le super french-kiss bien profond et bien baveux, avec mains baladeuses.

– Oh, les coquines ! S’exclame Béatrice en lançant un regard complice à Florentine.

Ces deux-là se connaissent par cœur mais ne se ne sont mais lassées l’une de l’autre.

Voici donc deux couples lesbiens qui n’en doutant pas, n’en sont qu’aux préliminaires. Et notre Gérard dans cette affaire se demande s’il ne va pas faire banquette. En fait il se serait volontiers approché de Gisèle, mais puisqu’elle est pour le moment accaparée par cette Frederika qui se dit lesbienne exclusive…

Les deux couples de filles en sont maintenant à se débrailler, et c’est moitié nues qu’elles se plotent à qui mieux-mieux.

Gérard prend alors la décision de se déshabiller et de se caresser la bite en attendant que celle-ci intéresse éventuellement une de ces dames.

S’immiscer dans le couple formé par son épouse et Béatrice ne l’intéresse pas pour le moment, ce genre de trio étant devenu un « classique », non ce qu’il lui faut c’est de la nouveauté… et étant donné que Frederika se déclare inaccessible à ce genre de choses, reste la belle Gisèle, mais comment procéder ?

En fait Gisèle n’aurait rien contre le fait d’aller taquiner la bite de Gérard, voire plus, mais pour l’instant elle se fait brouter la minette par la langue diabolique de Frederika..

Mais les choses ne se passent pas toujours exactement comme on le souhaiterait.

Florentine et Béatrice se sont fait jouir mutuellement, intensément et rapidement. Béa se relève après avoir repris ses esprits et se dirige vers Gérard, se glisse entre ses jambes et lui embouche la bite.

Ce n’est pas tout à fait la situation qu’il souhaitait mais quand une belle femme vient vous faire une pipe, on ne l’éconduit pas, ce serait une faute de goût !

En fait Béatrice a une envie folle de se faire sodomiser… Ce sont des choses qui ne s’expliquent pas

– Encule-moi, mon Gégé !
– Tu aimes ça, hein ?
– Tu le sais bien !
– Je me serais volontiers farci la Gisèle, mais elle occupée avec l’autre goudou.
– Espèce d’obsédé ! Encule-moi et je vais essayer de t’arranger ça.

Martinov2906
Gérard, le cul enfoncé dans son moelleux fauteuil ne bouge pas de sa place, mais se saisit d’une capote (la boite n’était pas loin) et se l’enfile.

– Ben tu vas rester assis ? S’étonne quelque peu Béatrice.
– Oui, il est très bien ce fauteuil, viens t’empaler sur ma bite !

Et c’est parti pour une chevauchée qui à défaut d’être fantastique n’en est pas moins infernale.

Dans ce genre de position, c’est la femme qui se tape tout le boulot, ça monte et ça descend, on se croirait dans un manège de chevaux de bois !

Du coup Florentine momentanément sans partenaire s’approche des deux autres goudous en faisant des effets de poitrine.

Une arrivée qui fait le bonheur de Frederika. Quand il y en a pour deux il y en a pour trois, n’est-ce pas ?

Le trio s’emmêle, se bécote, se caresse, se lèche et se positionne en tous sens. Tout cela réjouit les yeux de Gérard qui trouve le moyen de lancer une œillade d’invitation à l’attention de Gisèle.

Et comme elle n’attendait que ça, elle se détache du trio et s’approche de Gérard mais ne sait pas trop comment s’immiscer. Elle a quand même l’idée d’approcher subrepticement ses tétons de la bouche de l’homme afin qu’il puisse lui sucer.

Béatrice ne fait pas attention à elle d’autant qu’elle chevauche son partenaire, les yeux fermés. Son plaisir monte, elle adore jouir du cul et le fait de façon très démonstrative en gueulant comme une baleine.

Gérard lui s’est retenu de jouir, c’est qu’il veut absolument la baiser, la Gisèle !

Béatrice se dégage, Gérard enlace Gisèle, l’embrasse sur la bouche et lui plote les nénés (eh oui passage inévitable, sauf dans les films américains, je sais, je me répète).

La Gisèle très passive dans un premier temps se laisse faire avant de mettre toute la bite de Gérard dans sa bouche et de la sucer avec une certaine vigueur.

Une goutte de pré-jouissance ne tarde pas à apparaître sur le méat de la bite de Gérard, elle stoppe en conséquence sa fellation invitant l’homme à la baiser

Mais ce dernier craint que ça aille trop vite, il se livre donc à quelques fantaisies, un peu de léchage de chatte et pas mal de léchage d’anus où les fragrances locales l’enivrent.

– Hum, j’adore l’odeur de ton cul
– Cochon !
– Un peu, oui ! Mets-toi en levrette sur le tapis, je vais te baiser.
– Avec plaisir !
– Dans le petit trou, je peux ?
– Commence classique et après tu pourras.

Un programme qui sied parfaitement à notre Gérard qui pénètre la belle en cadence pendant de longues minutes la faisant japper de plaisir, puis il change d’orifice et y jouit.

– Vous m’avez bien baisé, cher monsieur !
– Tout le plaisir était pour moi !

Et pendant ce temps-là Frederika et Florentine emmêlées comme des nœuds marins n’en peuvent plus de miauler d’extase tant le plaisir qu’elles se donnent est intense.

Et quand ils commandèrent de nouveau du Champagne, le loufiat de service fit l’indifférent devant tous ces corps dénudés, dont il n’était pas bien difficile de deviner ce qu’ils venaient de faire, mais ressorti de la suite en bandant comme un mulet !

De son côté Moineau cherche à joindre Woland et Rivière, surtout Woland parce que Rivière, il n’en a plus grand-chose à faire.

– Voyons ! Dans quel hôtel ont-ils bien pu aller ? ils ne connaissent pas la ville… A moins que cet hôtel restaurant très chic où nous sommes allés diner avec un généreux donateur…

C’était bien celui-là !

Quant à Nalon, il se remet plutôt bien de ses blessures et le médecin chef accorde aux gendarmes le droit de l’interroger.

– De toute façon, on ne va pas le garder, si demain il ne nous fait pas de complication; il pourra sortir.
– Bien, dans ce cas nous viendrons le chercher demain matin vers 10 heures. Répond le maréchal des logis Fremiot. Surtout ne le laissez pas partir. De toute façon, je vais demander à un collègue de rester en faction devant la porte.de sa chambre.
– C’est quoi ce vacarme dans le couloir, j’ai cru comprendre qu’on parlait de moi ! Demande Nalon.
– Je crois que la gendarmerie souhaite vous poser quelques questions ! Répond l’infirmier.
– Qu’ils aillent se faire enculer !
– Restez correct, Monsieur Nalon !

En fait Nalon a pratiquement tout entendu et dès que l’infirmier fut parti, il récupéra ses vêtements et ses chaussures, qu’on avait eu l’extrême obligeance de ranger dans le petit vestiaire, les enfila et sortit comme une fleur dans le couloir, puis quitta l’hôpital sans que personne ne lui demande rien.

Quant au gendarme qui devait surveiller la porte, il arriva trop tard.

Une fois dehors, il se rendit à pied jusqu’à L’Archipel de Véga, où un joli cordon jaune devant la grille indiquait « Scène de crime – Défense d’entrer, gendarmerie Nationale ».

– Il faut que je retrouve les deux idiots, je ne vais pas rester les bras croisés devant cette situation.

Les deux idiots ce sont bien sûr Abranka Woland et Jean-Bernard Moineau, il leur téléphone mais l’appareil de Moineau est désactivé. (Pas envie d’être géolocalisé par la gendarmerie). Quant à Woland il n’a pas de portable, il est contre… il y a des gens comme ça !

Moineau a demandé à Rivière d’aller faire un tour à l’Archipel, persuadé qu’il a oublié de récupérer des documents compromettants et de l’argent liquide.

Quand il revient c’est pour expliquer qu’il y a des scellés partout ainsi qu’une bannière jaune de la gendarmerie…

Woland et Moineau ne s’estiment guère et ne se parlent qu’à peine… à l’archipel ils se supportaient chacun trouvant avantage à la situation pour des raisons bien différentes. Moineau ne pensait qu’aux bénéfices pécuniers que l’escroquerie pouvait lui rapporter tandis que Woland prisonnier de ses délires analysait la chose au premier degré persuadé dur comme fer de l’arrivée imminente des extraterrestres.

Le souci c’est que les récents événements avaient considérablement modifié la donne. Pour Moineau, la source financière s’était tarie d’abord avec le coup de gueule de Michelet et la fuite des adeptes, ensuite avec la mise sous scellés de l’Archipel.

Woland, lui, tombait dans la dépression, les chimistes n’étant plus là pour découvrir le vaccin, cela signifiait l’élimination de l’ensemble de la population terrienne ce dont il se fichait mais aussi de la sienne ce qui le préoccupait bien davantage

– Faut qu’on trouve une solution, je sais bien qu’on ne voit pas les choses pareilles, mais on est obligé de collaborer, par la force des choses. Lui dit Moineau.
– Ça ne va pas être facile, vous ne pensez qu’au fric.
– Il faut bien vivre
– Pas en escroquant les gens
– Tout de suite les grands mots !. Examinons plutôt froidement la situation, Il nous faut un chimiste et il nous faut de l’espace.

C’est qu’il est malin Moineau et qu’il sait comment éveiller l’intérêt de son interlocuteur !

– De l’espace ?
– Évidemment, il nous faut recréer une communauté d’adeptes. On ne va pas accueillir vos extraterrestres en comité restreint.
– Ce ne sont pas MES extraterrestres.
– Oui, bon, ça va, vous n’auriez pas un autre endroit qui conviendrait, par hasard ?
– Non.
– Vous habitez où ?
– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Ne soyez pas agressif, je cherche une solution.
– J’habite Marly les Violettes.
– Appartement ? Pavillon ?
– Non môssieur ! Grande propriété avec un beau terrain.
– Eh bien voilà !
– Ça n’ira pas, je ne peux pas y loger grand monde C’est une propriété bourgeoise, pas un dortoir !
– Ne soyez pas défaitiste, vous avez un terrain, on peut y installer des tentes, des caravanes, des mobil home….
– Hum, et pour le labo ?
– Une ou deux journées de travaux, non ?
– Et le chimiste ?
– J’ai une idée, Marly les Violettes ce n’est pas très loin de Louveciennes, non ?
– Pas trop, effectivement.
– Alors faites-moi confiance !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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