Belle-Cour

Samedi 10 février 2024 6 10 /02 /Fév /2024 07:59

La représentante en lingerie par Belle-Cour
Stamp secretaire

Bonjour je suis André j’ai 40 ans et aujourd’hui j’ai un jour de repos

9 heures !

Je me suis couché tard hier soir et il était encore trop tôt pour me lever, je décidai donc de me rendormir un peu. A peine le sommeil me revint que le timbre de la porte d’entrée retentit. Surpris, je me décidai quand même à me lever, et j’ouvris… en tenue du matin, c’est-à-dire robe de chambre et un bas de pyjama laissant deviner mon érection matinale..

– Bonjour Monsieur, je suis représentante en lingerie féminine, votre femme est-elle là?’
– Non, lui répondis-je, elle est en déplacement
– D’accord, mais mes produits pourraient vous intéresser… pour lui offrir un petit cadeau…
– Bon alors entrez cinq minutes !

Faut dire que la dame avait des arguments, dans les 35 ans, joli minois de brune à lunettes avec un sourire ravageur, joli décolleté, minijupe…

– Je n’ai pas pris mon café j’allais m’en faire, vous en voulez un ?.
– Volontiers !

Elle s’assit dans le fauteuil, et j’allais m’habiller.

Puis du coup, des souvenirs du jour précédent me revinrent et je me mis à craindre le pire tout en étant excité…

Ma femme étant en déplacement, je m’étais soulagé devant une vidéo porno sur Internet, une vidéo gay dans laquelle on voyait deux mecs matures se sucer la bite et s’enculer.. Je ne suis pas gay, mais j’ai quelques tendances bisexuelles et j’adore ce genre de film !

Le souci c’est que je n’avais pas éteint l’ordinateur en me couchant et le site internet non plus. Pas grave me direz-vous, sauf que la fonction veille déconne et un simple frémissement de ma souris suffit pour tout rallumer !

Je terminai donc de m’habiller, lorsque j’entendis un gémissement féminin provenant de la pièce où j’avais laissé la dame. Je vis alors la représentante, les mamelons à moitié à l’air, en train de s’enfoncer dans la chatte la souris de l’ordinateur, tout en matant le film oublié la veille qui tournait en boucle !

Merde! Qu’est-ce que je fais ?.’

Lingerie24Elle me vit la mater et continua son exhibition.

– Oh, excusez mon comportement, mais vous regardez de ces choses !
– Oh, je suis tombé dessus par hasard ! mentis-je
– On dit ça, on dit ça ! En tous les cas moi ça m’excite grave !
– Je vois ça !

Je suis tombé sur un nympho ou quoi ? Mais après tout pourquoi pas ?

Apparemment ça lui plaisait que je la mate, et loin de s’arrêter elle eut soudain envie de s’occuper de son fion, chose qu’elle fit, immédiatement en y insérant deux doigts illico. La souris toujours fichée dans son vagin, les doigts trifouillant son cul, elle pelota aussi ses seins lourds en se pinçant vigoureusement les bouts. Son regard vers moi me fit chavirer. C’était trop tard, je fondais dans son désir. Une femme qui ne devrait être là que pour vendre de la lingerie et voilà qu’elle allait m’offrir son corps et son cul à la place de dessous féminins !

– Vous voyez je n’ai pas de culotte ! Ça me permet d’être plus vite excitée, je peux sentir mon odeur même après avoir pissé, mais aussi me doigter l’importe quand, quand j’en ai envie.
On peut dire qu’elle aimait les détails ! De sa franchise à ma queue dans sa bouche, il ne fallut que quelques secondes. Je lui empalai la bouche, clouant ma queue au fond de sa gorge, n’hésitant même pas à insérer des doigts en plus pour qu’elle me les lèche ensuite. Entreprenante, elle décida de m’enlever mon caleçon et commença à me peloter les fesses avec énergie.

– C’est là que tu veux en venir ou quoi ? Pourquoi tu insistes comme ça, coquine ?
– Laisse-moi faire, je vais te faire quelque chose de succulent, mon cochon !

J’ai plutôt été brusqué. Elle retira ma bite de sa bouche pleine de la mouille qu’elle avait lapé de ma queue et plongea sa langue dans ma bouche, tout en commençant à entrer ses doigts dans mon cul… Je ne me fis pas prier et fit de même avec le sien, jouant à l’occasion avec son clito et sa fente. Le problème était que son cul n’était très propre mais je ne pus lui en faire part. Elle me dominait complètement, sa langue parcourait l’intérieur de ma bouche, passant sur mes oreilles, revenant à mes lèvres, pendant que mon cul commençait à s’ouvrir à ses doigts. Putain! J’avais jamais ressenti un tel plaisir !

Tout à coup, elle me fit mettre sur le canapé à quatre pattes, je pris un peu peur. Mais merde à la fin ! C’était moi le mec ! Mais je me laissais faire. Pendant que ses doigts fouillaient mon fion, elle branlait ma bite de l’autre main. Ainsi à quatre pattes, ma représentante se mit à me lécher le trou cette fois… Décidément elle avait l’air de n’en vouloir qu’à mon cul ! Et comment savait-elle que j’aimais ça d’ailleurs? Car en fait, je suis un véritable amateur de sexe anal, d’homme à femme et inversement !

Elle lapait donc le pourtour de mon fion, entrait, sortait, puis tout à coup, elle me dit

– Je vais te fister le cul, mon salaud, ça te tente hein ?
– Euh, je, en fait… je ne sais pas si…

Je n’ai jamais pu terminer ma phrase, j’ai dû enfouir ma tête dans un coussin et le mordre quand j’ai réalisé qu’elle entrait de plus en plus de doigts dans mon cul ! Il faut avouer que c’était infiniment le pied, car se sentir ouvert par une femme c’est une sensation unique. Elle me labourait donc le trou avec sa main, elle eut même le culot de tourner sa main plusieurs fois, alors que mon cul n’avait jamais servi qu’à des caresses beaucoup plus douces ! A un moment, elle sortit sa main merdeuse et se mit à la lécher. J’ai été un peu décontenancé sur le coup mais quand elle commença à se caresser tout le corps avec la jouissance anale qui était sur sa main, j’ai recommencé à bander comme lorsqu’elle m’avait sucé.

Elle se retourna, à quatre pattes à son tour, et tira sur ses fesses, je fus stupéfait: elle s’était personnellement fisté le cul à elle pendant qu’elle élargissait le mien ! Décidément ! Maintenant, je pouvais enfin un peu m’occuper d’elle. Je pris son clito entre mes dents et le suçotait en le faisant rouler entre mes lèvres, mes mains s’occupant de sa poitrine qui était restée libre pendant tout ce temps. Elle aimait que je lui triture ses bouts, que je les tire très forts, que je les pince et que les étire. Après les dilatations qu’elle s’était fait subir, ma queue s’enfonça très facilement d’un orifice à l’autre, alternant les plaisirs, mélangeant les jus et les sécrétions. Son trou du cul restait ouvert à chaque fois que je faisais sortir mon sexe en dehors, ma bite ressortait merdeuse, je l’essuyait sommairement contre ses jolies fesses. j’eus même l’audace de lécher un peu, par curiosité et de trouver ça bon. L’excitation nous fait faire de ces choses parfois ! J’enfilai ensuite sa chatte puis de nouveau son tunnel sombre. L’apothéose à tout cela finit par arriver, elle se dégagea de ma bite qui ramonait sa chatte toute trempée par tant de plaisirs, et me fit une étrange suggestion

– Tu vas me montrer comment un salaud de baiseur pisse dans le cul de sa chienne !
– Mais, tu n’es pas une chienne, tu…
– Fais-le, je te dis !

Disons-le clairement: pisser c’était pas trop mon truc, mais comme au moment où; elle lécha sa main tachée de la merde de mon cul, j’en fus inexplicablement excité. C’était bel et bien une femme qui me proposait de faire quelque chose de totalement nouveau pour moi et sur le champ ! Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, j’enfonçai donc ma queue dans son cul pour l’élargir un peu et elle me dit ensuite des mots dont je ne peux plus me souvenir, pris dans un tourbillon malsain sur le moment mais ce qu’elle me dit finit par me faire pisser à l’intérieur de son cul !

Quel pied ce fut ! Evidemment, physiquement, elle profitait plus que moi, d’ailleurs elle me proposa de passer la paume de ma main sur ses fesses, pour absorber l’urine qui y dégoulinait et lui donner à boire car elle m’appris qu’elle goûtait souvent sa pisse…

Cette baise sans tabou n’aurait pas pu prendre fin sans que, à mon tour, je décharge tout le sperme que j’avais emmagasiné durant ces exaltations. La jouissance fut classique mais intensément profonde. Elle fit regonfler ma bite en l’absorbant bien à fond et en jouant avec sa langue sur les bords de mon gland. Ses lèvres n’étaient pas pulpeuses comme dans nos rêves de mâles mais fines et sa bouche n’avait que peu de place pour contenir un sexe qui allait bientôt envoyer toute sa crème. Mes boules étaient malaxées, elles aussi, j’eus même droit à son index entier dans mon anus pour me rappeler comment elle m’avait enculé environ une heure plus tôt. Et là, accompagné de ses mots cochons, étant investi physiquement et mentalement, ma queue bougea un peu dans sa bouche pour jouir dans la seconde et tout mon foutre se déversa en elle, tellement puissant que même avec sa bouche fermée, du sperme coula vers le bas de son menton. Elle m’embrassa encore, me faisant goûter à mon propre sperme.

– Ta femme reviens quand ?
– Elle est au Danemark avec son chef elle rentre lundi.
– Ça t’intéresserait que je revienne avec mon directeur des ventes
– Pourquoi aire ?
– Parce qu’il est sympa, il a une belle bite et il pourra t’enculer !
– Alors d’accord !

9 h 30

Je me réveille… encore dans mon rêve ! Mais quel rêve ! Et voilà que l’on sonne ! Mon rêve va-t-il se réaliser ?

J’ouvre et découvre un couple de témoins de Jéhovah ! Le rêve s’est transformé en cauchemar !

– Vous venez pour la partouze ? Vous êtes en avance c’est à 22 heures ? leur dis-je

Ils sont partis sans demander leur reste. Et moi je suis allé me branler dans la salle de bain.

Au revoir !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Jeudi 2 décembre 2021 4 02 /12 /Déc /2021 16:31

La vieille, le livreur, la copine et le chien par Belle-Cour
zoo

Mireille à la soixantaine. Combien exactement ? Peu importe à cet âge on ne le dit point. Elle est bien conservée, possède de jolies formes et son visage est restée agréable et souriant.

Elle attend Fabienne une jolie brunette de 30 ans sa cadette, elles se sont connues il y a deux ans à Saint Malo dans un institut de thalassothérapie et sont devenues amantes. Fabienne habite Bordeaux mais monte parfois à Paris pour affaires et justement aujourd’hui Mireille l’attend. Elle s’est simplement vêtue d’une nuisette rose quasi transparente à ce point que l’on voit les tétons érigés frôler sous le tissus. Elle a commandé quelques gâteaux dans une pâtisserie de luxe…

Et justement voilà que le livreur arrive.

Mireille ouvre… Mais c’est qu’il beau ce livreur ! Mais on ne peut courir deux lièvres à la fois… quoi que…

Ce dernier n’en perd pas un miette, il a sa boite à gâteaux dans une main, son terminal dans l’autre et reste bouche bée.

– Eh bien jeune homme, ne soyez pas timide.
– Ça fait 310 euros… balbutie-t-il
– Non je sais bien que tout augmente, mais ce n’est surement pas ce prix-là.
– Je voulais dire 31 euros !
– Je préfère, c’est moi qui vous trouble à ce point ?.
– Je… je…
– Voyons ce n’est pas responsable, je pourrais être votre grand-mère !
– Vous êtes très belle.
– Merci, un compliment, ça fait toujours plaisir ! Dites-moi vous êtes pressé ? Lui demande Mireille en lui portant sa main sur la braguette
– Je peux m’arranger ! Répond le livreur, plein d’espoir.
– Je vais te dire une chose, à mon âge je suis blasée des amours classiques, alors je fais un peu dans la fantaisie, je suis un peu dominatrice, j’aime avoir les hommes à mes pieds.
– Je veux bien être à vos pieds !
– Alors d’accord on va jouer ! Déshabille-toi esclave !

Le livreur complétement parti dans un autre monde se déshabille sans sourciller offrant à la vue de Mireille une jolie bite magnifiquement bandée.

– Hum, pas mal du tout ça ! Tourne-toi que je vois ton cul. Hum, un vrai cul de pédé… tu t’es déjà fait enculer ?
– Voyons madame…
– Ce n’est pas une réponse, reste comme ça je vais chercher ma cravache.

Mireille revient et assène dix coups de cravache sur le postérieur du livreur qui encaisse en gémissant.

– Et maintenant tu me réponds correctement, Je t’ai posé une question !
– Oui ça m’est arrivé !
– Et t’as aimé ?
– Ce n’est pas désagréable.
– T’as sucé des bites aussi.
– Vous m’embarrassez…

Mireille le fait se relever et lui pince fortement les tétons

– C’est bon ça
– Oui maîtresse !
– Ah c’est gentil de m’appeler maitresse. Alors tu en as a sucé combien de bites ?
– Plusieurs !
– Et ça t’a plu !
– Ce n’est pas désagréable.

Mireille sort un joli gode réaliste de son fouillis et le met sous le nez du livreur.

– Voilà montre-moi comment tu suces.
– Non !
– Alors rhabille-toi et fous le camp. Dommage t’es en train de rater une super séance…
– Pardon je ne sais plus ce que je fais retendez-moi ce gode je vais le sucer.
– Non c’est trop tard.

Il est dépité et se dirige vers la chaise où il a laissé ses affaires. Cela amuse Mireille. (un peu sadique la Mireille)

– Allez je te laisse une chance…

Et cette fois il s’applique faisant une véritable démonstration de fellation à ce pauvre gode qui n’avait rien demandé.

– Et maintenant tourne toi je vais te l’enfoncer dans le cul.

Mais voilà que l’on sonne..

– Ne bouge pas c’est ma copine !

Effectivement c’est Fabienne tenant en laisse un labrador beige

Les deux femmes s’embrassent…on devrait dire se roulent un patin.

– Oh mais tu n’es pas toute seule !
– C’est un petit esclave j’étais en train de l’enculer je vais un peu continuer et ensuite on s’occupera de nous.

Mireille fait aller et venir le gode plusieurs fois de suite dans le fondement du livreur qui se pâme d’aise. En même temps elle lui serre fortement les couilles de sa main.

– Je le fais pas jouir, on en aura peut-être besoin tout à l’heure ! Commente-elle
– Je vais faire pipi, je reviens indique Fabienne.
– Pisse donc sur l’esclave les esclaves ça aime la pisse !
– Non proteste ce dernier.
– Dis donc malpoli tu sais que c’est très impoli de refuser un cadeau ! Lui dit Fabienne, allez à genoux esclave et bouche ouverte !

Il se met en position tandis que Fabienne dégage le bas. Le jet lui atterrit dans le gosier il avale ce qu’il peut…

– Tu l’avais déjà fait
– Peut-être !
– Ce n’est pas une réponse. Dis-nous que tu es un suceur de bites et un enculé et tu auras une récompense.
– Je suis un suceur de bite et un enculé

Les deux femmes l’attachent alors sur une chaise puis après s’être mises complétement nues s’assoient côte à côté sur le canapé.

– Viens Moustache viens ! Demande Fabienne au chien qui accourt et commence à lui lécher la chatte. Oh quelle langue mais garde-en pour ma copine !

Elle se dégage et fait en sorte que le chien change de cible.

Cette opération de lèche minou dure quelques minutes avant que les deux femmes fassent coucher le chien sur le côté, elles ont ainsi accès à sa bite qu’elles sucent à tour de rôle.

Le livreur n’en croit pas ses yeux.

– Tu veux qu’il te prennes ? Demande Fabienne
– Bien sûr ! Répond Mireille qui déjà se positionne en levrette offrant la vue de son joli cul et de tous ses trésors

dogsexFabienne aide le chien à pénétrer son amie et c’est parti pour une série de va-et-vient infernale au terme de laquelle le chien satisfait s’en va se vautrer dans un coin.

Les deux femmes s’enlacent et se pelotent, Fabienne n’hésitant pas à lécher la chatte de son amie gluante du sperme du chien.

– Il t’as fait jouir hein ma salope !
– Pas qu’un peu ! Et toi tu aimerais quoi ?
– Tu crois que l’autre là-bas il va pouvoir m’enculer !
– De la façon dont il bande ça devrait le faire.

Le livreur libéré de ses liens et excité comme un malade se libéra de son excitation en sodomisant à la hussarde la belle Fabienne qui criait sa jouissance comme une damnée.

Il reparti après en oubliant de réclamer ses 31 euros.

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

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Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

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J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 23 octobre 2021 6 23 /10 /Oct /2021 10:40

Plaisir à trois par Belle-cour

 

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Voici un récit sans prétention aucune que j’ai retrouvé au fond de mon disque dur. Les temps on bien changé et maintenant personne n’a besoin de formation pour aller sur internet…

 

Bonjour, moi, c’est Daniel, je ne sais pas si je vous ai raconté la fois où j’ai pu goûter le plaisir à trois.

 

C’était il y a quatre ou cinq ans Je suis informaticien, et comme tous ces gens, lors de réunion de famille, il y a toujours un cousin, un oncle, un copain du cousin … qui vous demande comment faire tout un tas de choses sur son ordi.

 

Un couple d’une cinquantaine d’années, Pierre et Annie, que je ne connaissais pas vraiment, me demanda de lui donner des cours d’informatique, ce que je fis avec plaisir.

 

Pierre est presque chauve et un peu bedonnant, mais il a comme on dit une bonne bouille et sourit tout le temps.. Annie est une belle brune peu marquée par les outrages du temps, le visage est agréable, jolie bouche, joli nez et les ridelles au coin de ses yeux noirs trahissent une certain plaisir de la vie.

 

Le premier soir, tout se passa normalement, lui était très attentif, elle peut-être un peu moins, à peine avait-elle tendance à se frotter contre moi, mais je n’y prêtais pas attention.

 

La semaine suivante, la leçon d’informatique se passa sans problème particulier, excepté le fait qu’elle ne portait pas de soutient gorge sous son tee-shirt, et j’ai pu avec plaisir constater que ses seins étaient encore bien fermes.

 

La troisième : mise en place d’Internet et explication sur la façon de s’en servir. Nous passâmes deux bonnes heures là-dessus (petit détail qui a son importance : toujours pas de soutient gorge, mais qui plus est, le tee-shirt était plus évasé et je pouvais apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se penchait)

 

De façon très décontractée, ils me questionnèrent sur les sites à caractère pornographique, nous visitons un, regardons les photos, je les observe discrètement afin d’épier leur réactions, cela a l’air de les émoustiller.

 

– Comment faire pour envoyer nous aussi des photos sur Internet ?! me demande-t-elle

– L’idéal est de prendre des photos numériques, de les transférer sur votre P.C, et de les envoyer !

– Chéri, demain tu achètes un appareil, on prendra des photos !.

 

La semaine suivante, je retourne chez eux

 

Annie me dit d’entrée de jeu que Pierre ne sait pas se servir de son appareil, il a bien pris des photos, mais ne sait pas transférer.

 

Petite formation sur son appareil, je peux apercevoir Madame dans certaines positions assez soft, lui par contre a posé nu et en érection.

 

– Bel engin ! lui dis-je

– Merci du compliment, vous appréciez ? ! me dit-il

– Disons que je sais reconnaître ! Vos photos sont pas mal, mais manque de piment !

– Bien sûr, l’idéal, ce serait d’avoir un photographe ! me dit Annie.

– Si vous le voulez bien, je peux être celui-ci ? !

 

Me rincer l’œil n’était pas pour me déplaire)

 

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pierre et Annie se déshabillent entièrement ! Quelle jolie poitrine elle a !

 

Je pris cinq photos d’Annie (peut-être pas très artistiques mais suffisamment subjectives pour nous titiller le bas du ventre, j’étais d’ailleurs très serré dans mon « Couilles croisées de chez… ».

 

Quand je pris Annie en train de sucer Pierre, j’ai été obligé de mettre la main dans le pantalon pour mettre mon sexe à la verticale, Pierre m’interpella :

 

– Ça t’ excite, Hein ? !

 

Annie rétorqua

 

– Enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise !

 

Ce que je fis, Annie me regarda et dit à son homme :

 

– J’en lécherais bien une autre, et même les deux en même temps !

– Approche ! me dit Pierre, ajoutant « si tu n’y vois pas d’inconvénients, moi non plus ! »

 

Tu parles Charles, je tendis ma bite à Annie qui se l’enfila d’abord délicatement, puis me branla plus vigoureusement, et passa d’une bite à l’autre.

 

Pierre s’assit sur le canapé, Annie s’enfourcha sur son pieu bien gonflé, mais face à moi.

 

Je me mis à quatre pattes et lui léchais le clito pendant que Pierre la fourrait.

 

Soudain, pendant que ma langue tournait autour de son bouton d’amour, la bite de Pierre sorti du fourreau et je la reçu involontairement dans ma bouche, mouvement de recul de ma part, j’attrape le sexe de Pierre prêt à le remettre dans le trou qu’il n’aurait pas dû quitter, et puis peut-être machinalement, l’ayant toujours dans la main, je passe ma langue dessus ;

 

– Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! lui dis-je

– Continue alors ! me lance Pierre, et me voilà en train de tailler une pipe à un mec pour la première fois de ma vie.

 

En fait ce n’était pas vraiment la première fois, j’avais déjà gouté à ce genre de choses pendant mes années collèges, je n’avais jamais cherché à recommencer, et n’en avait d’ailleurs jamais eu l’occasion, mais parfois dans mes fantasmes…

 

Elle était délicieuse cette bite tout imprégnée des humidités d’Annie.

 

– T’aimes ça, sucer des bites ! M’interpella Annie.

– Ma foi ! Elle est tellement bonne !

– Continuez, continuez, ça m’excite de trop ! Ajouta-t-elle tout en se frottant le bouton.

 

Je m’appliquais, copiant les gestes que j’avais visionné sur Internet, titillant le gland, léchant la hampe gobant les couilles.

 

– Lèche lui le trou ! Suggéra Annie.

 

Là j’hésitais un court instant, la chose ne me disait pas grand-chose, mais ces gens étaient tellement charmants que je m’en serais voulu de faire le rabat-joie.

 

Je passais derrière Pierre, lui écartait ses globes fessiers et avançait ma langue vers son anus tout brun. J’aurais bien sûr préféré mille fois gratifier cette privauté sur le joli derrière d’Annie, mais après tout la journée n’était pas terminée.

 

Finalement un trou du cul masculin n’a pas un gout bien différent de celui de ces dames, la texture en est aussi délicieuse, et je me surpris à m’exciter en accomplissant cet acte pervers.

 

– Continuez, continuez, que ça m’excite de vous voir jouer les pédés. Commenta Annie qui le visage congestionné continuait à se branler comme une malade. Aaaah, je viens, je jouiiiii !

 

Une jouissance spectaculaire avec geyser de mouille assorti.

 

– Oh, que c’était bon, j’ai envie de pisser maintenant, venez me boire !

 

Pierre qui manifestement était habitué à cette fantaisie vint placer sa bouche devant la chatte de sa compagne et en attendant l’émergence du jet m’invita à venir à ses côtés.

 

Je n’ai rien contre l’uro, mais c’est une pratique à laquelle je n’ai pas souvent l’occasion de m’adonner, j’ai dû y jouer quelques rares fois avec ma moitié, mais ce n’est pas son truc, faut dire que les fantaisies et elle… Quant aux filles de rencontres, ce n’est pas si évident d’évoquer ce fantasme sans prendre le risque de se faire taxer de « pervers ». Pourtant quelques-unes… mais ne nous égarons pas…

 

La source jaillit, Annie se débrouille pour nous distribuer son pipi de façon alternative, un bon pipi, ma foi ! Et alors que la chose était terminée, Pierre eut ce geste fou de m’enlacer et de coller sa bouche contre la mienne pour me rouler une galoche alors que l’urine de sa compagne imprégnait encore son palais. Cette acte insensé m’excita tellement que j’en attrapais mal à la bite.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises !

 

– Tu aimerais que Pierre t’encule ? Me proposa Annie.

– C’est-à-dire, c’est pas trop mon truc… tergiversais-je.

– T’aimes pas ça ?

 

Bizarrement, je n’osais lui avouer que je n’avais jamais fait et peinais à trouver la bonne réplique.

 

– Pierre est très doux, il va te faire ça comme un chef.

– Ben…

– Allez fais-moi plaisir, on ne vit qu’une fois !

– Bon on essaie, mais si j’aime pas on arrête !

– Ne t’inquiète pas.

 

Pierre s’enfila une capote, je me mis en levrette,

 

– Attend je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul ! Me confia Annie.

 

Sa langue se mit à virevolter autour de mon anus comme on ne me l’avait sans doute jamais fait à tel point que j’en jappais de plaisir, puis un doigt inquisiteur s’en vint violer mon intimité en une série d’aller-retour appliquée avec maîtrise.

 

Bellecour1021– A toi Pierre, encule-moi ce pédé !

– Je ne suis pas un pédé !

– En ce moment si ! Et puis ça m’excite de t’appeler comme ça !

 

Je sentis le gland de Pierre quémander l’entrée je m’ouvre.

 

– Ouvre toi mieux, t’es serré !

– Comme ça ?

– Attention…

 

C’est entré, encore une poussée, ça entre davantage, encore une, ça entre complètement, drôle d’impression d’avoir ce corps étranger dans le cul, Pierre commence à pilonner doucement, quelque chose me rend mal à l’aise.

 

– Bon, ça va aller, retire-toi ! lui demandais-je

– Encore une minute, juste une minute.

 

Il en a de bonnes, lui, je n’en veux pas de sa bite, il continue à gigoter, ça me fait des choses, finalement c’est pas si mal, c’est même pas mal du tout..

 

– Tu veux que j’arrête !

– Non, c’est bon, encule-moi bien !

 

Je transpire, je suis dans un état second, il continue, il accélére, et brusquement il se retire. Dommage ! Il enlève sa capote à toute vitesse et décharge sur les nichons d’Annie. Laquelle tout heureuse de ce présent se badigeonne et se lèche les doigts. Elle met tend l’un de ses doigts gluant de foutre, je le suce. Qui aurait pu imaginer que je fisse une chose pareille ?

 

– Tu bandes trop bien, viens me prendre !

 

Il y a des choses qu’il ne me faut pas dire deux fois. Hélas j’étais tellement excité que je n’ai pas tenu la distance, mais voulant satisfaire malgré tout mon hôtesse, je m’appliquais à lui lécher le clito, lui provoquant sa seconde jouissance de la soirée.

 

On a fait un break, bières et petits gâteaux

 

Un peu plus tard, nous avons repris nos galipettes, en changeant un peu les rôles : c’est Pierre qui me suça, puis nous avons décidé de prendre à deux la charmante Annie, comme j’étais l’invité, Pierre me dit :

 

– A toi le cul, moi je prends la chatte !

 

Moment grandiose, d’autant qu’Annie nous a suggéré de faire ça devant le miroir de la chambre.

 

Nous nous nous somme promis de nous revoir… Mais cela est une autre histoire

 

Rewriting d’une histoire intitulée « X à trois » par Daniel G. publiée sur le net il y a très très longtemps…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Mercredi 15 septembre 2021 3 15 /09 /Sep /2021 11:05

Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

BigsTits

A la fin de mes études, j'avais une prof d'anglais sur laquelle j'ai toujours fantasmé. 

 

C'est une de ces vieilles filles de 45 ans, du genre qui vit avec sa sœur ou sa mère. On la disait lesbienne, le gens disent toujours des choses. Elle n'est pas vraiment belle mais je lui trouvais quelque chose de très excitant. Petite, brune bien en chair avec de très gros seins et de grosses fesses. Elle portait souvent des jupes et pour son poids, elle avait des jambes superbes. Toute la graisse était dans les seins et dans les fesses. J'adore ça. 

 

Cela faisait deux ans maintenant que j'avais terminé mes études, mais je pensais toujours à elle lors de mes masturbations et autres branlettes. Je décidais donc de reprendre contact avec elle. Je lui ai alors envoyé une lettre de rendez-vous en spécifiant que j'étais un ancien élève qui l'avait toujours aimée et que je rêvais de la revoir et de lui parler. Je l'attendais donc au bar dudit rendez-vous et, accablé par la chaleur de ce brûlant été, je sirotais nerveusement un coca bien frais.

 

Et enfin, contre tout espoir elle arriva et observa chaque client quand son regard tomba sur moi. Elle portait une jupe bleue qui descendait au-dessus des genoux et un chemisier qui ne mettait pas assez ses seins en valeur à mon goût. J'étais très gêné et ne savais où me mettre. Elle s'assit à ma table et me demanda si c'était bien moi qui avait écrit : 

 

- Hum... Oui, c'est moi qui vous ai donné ce... rendez-vous.

- Je ne pensais pas du tout à vous... je dois dire que... c'est bien la première que l'on me fait ce genre de choses. 

- J'espère que ça ne vous pas choqué ou quelque chose du genre parce que, sachez que je regrette un peu... je me sens un peu ridicule. 

- Mais non, au contraire, c'est très flatteur, je suis heureuse. Je craignais que ce ne soit une blague. 

 

La discussion s'égara un peu, nous parlions de choses et d'autres de manière très décontractée, à ce point que nous décidions de nous tutoyer. Puis elle prononça enfin ces mots tant attendus : 

 

- Tu voudrais venir chez moi, nous serons plus à l'aise.

 

Quelques minutes plus tard, nous entrions chez elle. Je m'assit sur le canapé et après m'avoir servi une boisson, elle s'installa à côté de moi. Sa jupe remonte un peu et je ne peux m'empêcher de regarder . Elle me dit ;

 

000Chubby- C'est vrai alors, je te plais ?

 

Je mets alors ma main sur sa cuisse et l'embrasse fougueusement, nos langues se tournant autour. Je fais remonter ma main jusqu'à ses fesses si désirées et les caresse. Elle s'écarte alors et commence à déboutonner son chemisier. Oh mon dieu, quels beaux seins ! Le soutien-gorge trop petit les fait déborder. Je me relance alors dans un baiser et en profite pour lui enlever. Ses seins sont mieux que dans mes rêves, les mamelons foncés et larges avec les tétons courts. Ils sont si lourds qu'ils tombent au-dessus du nombril. Je commence à en sucer un, comme un bébé qui tète et je masse en même temps l'autre. Mon sexe est énorme. Elle le libère donc, d'abord le jean puis le slip et elle peut lors constater l'effet qu'elle me fait. Elle passe sa large langue sur mon membre dressé et je suis déjà au bord de l'explosion. Elle s'enlève alors sa jupe et sa culotte et frotte son gros derrière contre mon visage en disant 

 

- Tu l'aimes hein mon gros cul ?

- Oh ! Oui !

- Tu peux employer des mots vulgaires, ça m'excite !

 

Je réponds donc par l'affirmative en la traitant en prime de salope et de morue et l'agrippe par les fesses pour ramener sa chatte poilue contre ma bouche. Elle est debout, je suis à ses pieds en train de passer ma langue sur ses petites lèvres, les faisant rentrer légèrement de temps en temps. Elle, elle gémit, quelques " han ", quelques " oui.. ". 

 

Je sens le chaud liquide couler sur mes lèvres, il a un goût fort légèrement teinté de celui de l'urine. 

- C'est bon tu aimes ?

- Pisse-moi dans la bouche, ma salope.

- Mais bien sûr, son salaud !

 

Elle était délicieuse sa pisse, j'ignore ce qu'elle avait bu, mais j'étais au anges.

 

Je reprends mon travail de lèche qui m'excite au plus haut et je ralentis au maximum le moment de sa jouissance, titillant son clitoris bien bandé. Enfin, elle et secouée de spasmes, hurlant de plaisir, elle tombe à genoux faisant remuer ainsi ses deux énormes seins. Je suis plutôt fier du résultat et je m'assied sur le tapis, écartant les jambes pour l'inviter à me faire jouir à mon tour (à me tailler une pipe quoi). Reprenant enfin ses esprits, elle s'approche à quatre pattes, ses deux seins pendants touchant presque le sol et commence à enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle commence alors un va et vient, enroulant sa large langue autour de mon membre. Je ne mets pas longtemps à jouir, au moment où elle me titille le bout du gland du bout de sa langue, je lui explose au visage et me laisse tomber sur le sol.

 

- T'es pas déjà à bout de force ? 

- Non, non, je reviens à l'assaut !

 

Elle profite de ce cours répit pour avaler le sperme de son visage et lécher mon sexe. Quelle salope ! Ce geste me redonne du tonus et juste au moment où j'allais me relever pour remettre ça, elle enserre mon sexe de son énorme poitrine et commence à me masturber de la sorte. Je la laisse faire quelques instants puis, je lui agrippe les seins et les malaxe un moment avant de la mettre sur le dos. Je lui lèche et lui mordille longuement ses gros tétons et je commence à la pénétrer avec violence. Mes mouvements rapides font vibrer tout son corps, de ses jolis petits pieds à ses magnifiques seins en passant par ses grosses fesses. Approchant de l'orgasme et voulant faire durer le plaisir, je ralentis mes pénétrations jusqu'à stopper carrément laissant mon membre dans son vagin. Elle en profite pour se caresser l'anus d'un doigt. 

 

- T'aimes ça, petit pédé ?

- Je ne suis pas pédé !

- N'empêche que tu aimes bien mon doigt ! 

- Tu peux même en mette deux !

 

Après l'avoir traité de grosse dégueulasse, je reprends le pilonnage de sa chatte, puis à sa demande je l'encule jusqu'à ce que je déverse ma semence en elle. Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l'embrasse et je pars lui promettant de la rappeler... 

 

…ce que je fis, bien sûr.

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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