Belle-Cour

Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 18:53

Katarina 54 ans et son fougueux amant par Belle-cour

 

BigsTits

Sans qu’il ne se rende compte il sonnait à la porte de sa voisine, une belle femme la cinquantaine passée avec des seins énormes. Elle lui ouvrait la porte et le laissa entrer un grand sourire éclairant son visage. Katarina portait une chemisette bleu transparente déformée par deux énormes mamelles, ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas de même couleur ainsi que des escarpins à haut-talons. La culotte qu’elle portait était fendue à l’avant et dégageait impudiquement son aine ; la pilosité abondante de couleur blond cuivré de son pubis débordait de partout, de la grande ouverture de la culotte, courait jusqu’à ses cuisses, et montait même jusqu’au porte-jarretelles. Elle l’embrassa fougueusement lui dévorant presque la bouche, il se sentit fondre. Il la repoussa lentement et l’admira à nouveau. Sa chevelure blonde descendant sur ses épaules faisait ressortir le maquillage brillant de ses paupières, sa bouche était rouge et pulpeuse. Elle avait de grosses boucles d’oreilles dorées et un beau collier en or, ainsi que de nombreux bracelets de tailles différentes tous dorés. Avec ses parures d’or et son maquillage elle ressemblait à une pute de luxe pour milliardaire, ses chairs voluptueusement flasques en plus. Elle se serrait contre lui, écrasant sa lourde poitrine contre son torse

 

– Viens, dit-elle simplement en le prenant par la main.

 

Il la suivit dans son salon, regardant avec tendresse et envie le corps épaissi mais ayant toujours beaucoup de charme de Katarina. Il n’avait d’yeux que pour l’imposante et opulente croupe qu’il mourrait d’envie de perforer. A travers la transparence trouble de la chemisette il discerna la profonde vallée entre les deux fesses volumineuses et réalisa que la culotte était également fendue au dos.

 

L’atmosphère était douce et sensuelle dans le salon, on y entendait une musique lancinante et voluptueuse et la lumière était tamisée. Il s’y dégageait un parfum enivrant. Arrivée dans sa chambre Katarina le regarda.

 

– Je t’ai réservé une surprise mon chéri.

– Qu’est-ce que c’est? Mais tu sais que quand je suis avec toi, je n’ai besoin de rien d’autre, mon amour.

– Je suis sûr que tu vas adorer.

 

katarinaKatarina défit la ceinture, et d’un geste, fit tomber sur ses chevilles le pantalon. Pavel enleva fébrilement son pantalon et son tee-shirt noir. Il n’était plus qu’en sous vêtement, un slip vert tendu par son sexe. Elle commença à masser doucement l’entrejambe du slip. Utilisant aussi bien sa main que ses longs ongles qu’elle faisait monter et descendre sur la grosse bosse. Pavel n’y tint plus il oscillait nerveusement de gauche à droite. Elle le força à s’asseoir sur son grand lit. Katarina se laissa tomber lentement à genoux, juste en face de Pavel qui avait les deux jambes largement ouvertes. Sa tête pencha vers le bas ventre de son amant, et avec sa bouche elle prit l’élastique du slip. Elle fit descendre légèrement le slip, pour voir la toison pubienne brune de Pavel. Puis au prix de nombreux efforts et de l’aide de son amant qui se déhancha quelque peu elle réussit à lui enlever le slip rien qu’avec ses dents, le libérant entièrement jusqu’à mi-cuisses. Le sexe était tendu à peine à deux centimètres de son visage. Dans la même position elle retira le slip avec ses mains et l’envoya rejoindre le pantalon quelque part dans la chambre. Il était entièrement nu. Elle fit remonter sa main tout le long de la cuisse. Des doigts se refermèrent sur le sexe, instantanément tendu, et commencèrent à le masser avec une lenteur volontaire. Katarina faisait monter et descendre la peau de la grosse verge avec un air extatique. De temps en temps, elle passait sa langue sur toute la longueur du sexe, puis elle s’attardait sur les grosses testicules comme si elle les lapait comme un chien.

 

Finalement, Katarina goba les grosses testicules dans sa bouche, les suçant, les aspirant, les lécha. Le long et gros sexe de Pavel était collé sur son nez tout le long de son visage. Elle lui mordilla légèrement les testicules ce qui lui arracha un cri mêlant douleur et plaisir. Puis elle avala de nouveau les testicules et les aspira comme pour en avaler sa semence, c’était une caresse que les hommes appréciaient d’après son expérience. Pavel la regardait le masturber, il était dans un état tel d’excitation, avec son sexe il lui donnait de petits coups nerveux, plus pour lui faire plaisir que mal. Il sentait le sang battre à ses tempes. Elle se remit à le caresser lentement, effleurant de ses ongles la chair hyper sensible. Le membre dur comme une barre d’acier palpitait entre ses doigts. Pavel se sentait au bord de l’explosion. Le contact des ongles allant tout le long de sa verge provoquait sur lui des frissons. Il n’en pouvait plus. Il commençait à gigoter de gauche à droite. Katarina se releva et ils échangèrent un baiser passionné. En même temps, elle caressait le membre de Pavel à petites touches, légèrement.

 

– Je… Je veux qu’tu m’suces.

 

Elle s’accroupit à nouveau, faisant disparaitre sa tête entre les jambes de son amant. Il crut défaillir quand il sentit les lèvres pulpeuses se refermer sur son sexe et l’aspirer tout entier dans la caverne brûlante. Katarina fit aller et venir sa tête sur le sexe, lui faisait un fourreau brûlant de sa bouche.

 

– Ta queue est trop bonne.

 

Puis, elle prit les jambes musclées de Pavel et les fixa sur ses épaules pour mieux pratiquer sa fellation. Une langue aiguë l’agaça et virevoltait autour de son gland gorgé de sang. C’était infernal et il sentait la sève s’accumuler dans ses reins. Katarina l’excitait de la bouche assez habillement pour ne pas le faire jouir. Puis jugeant qu’il était dans un état fort acceptable elle arrêta sa fellation. Il démontra son mécontentement par un grognement. Katarina fit glisser ses doigts sur le sexe de Pavel, emprisonnant la base pour le gonfler encore plus de sang.

 

– Tu as un beau sexe ferme, dit-elle en regardant ébahie le lourd phallus.

 

Elle se tourna et commença à enlever la chemisette transparente. Il se leva et se colla au dos de Katarina. Pavel prit la chemisette et la fit passer par les bras de Katarina, puis il saisit les seins énormes dans ses mains et l’embrassa sur la nuque pour respirer son parfum. Il caressait doucement les deux mamelles, comme pour les soupeser. Puis il joua avec les deux grosses pointes de ses seins, les faisant rouler dans ses doigts. Katarina se dégagea doucement et se laissa tomber sur le ventre sur le lit. Pavel savait ce qu’elle souhaitait. Il la rejoignit, et s’allongea sur elle. Katarina était de même taille que Pavel, il pouvait sentir le doux parfum de ses cheveux. Il se releva un peu et se guida dans la profonde vallée. Son sexe long et gros pesa sur l’ouverture des reins. Il profita un peu de cet instant délicieux et s’enfonça lentement, arrachant à sa partenaire un grondement de plaisir. Il l’avait pénétré sans rencontrer de difficulté particulière, son sexe avait été absorbé comme un vulgaire suppositoire. Il était fiché en elle de toute sa longueur dans l’anneau de ses reins, profitant de la sensation de béatitude entre les fesses accueillantes de son amante. Il sentait une matière pâteuse au contact de son sexe, il comprit ce que c’était et cela irritait agréablement sa verge. Il sentait ses parois les plus secrètes palpiter autour de son membre. Il se releva un peu, toujours enfoncé jusqu’à la garde en elle, il ceintura les cuisses épaisses de ses mollets comme s’il voulait s’agenouiller sur elle. Les mains sur les hanches larges de Katarina il commença à s’activer, se retirant et s’enfonçant lentement du conduit anal. Katarina se tenant la tête dans ses mains se laissait faire avec ravissement, se contentant de répondre à son amant par des soupirs de bien-être.

 

– La surprise c’est que j’ai mis un onguent à base de piment, il parait que c’est meilleur, la sensation est plus forte, plus sauvage.

 

Pavel la besognait par des mouvements longs et forts. Effectivement le piment irritait et chauffait son membre, libérant en lui quelque vils instincts. IL s’était déjà un peu retiré mais Katarina comprenant mal ses intentions se releva un peu afin qu’il s’enfonce encore plus profondément en elle. Il pesa de tout son poids sur les hanches pour qu’elle s’allonge, et il changea de cadence. Pavel la sodomisait avec plus de force plus d’énergie lui arrachant de profonds cris de jouissance. Il la pourfendait littéralement, comme s’il voulait la punir. Il allait et venait dans l’anus avec une violence inouïe. Le piment le poussait à la prendre plus vite et plus fort pour le plus grand bonheur de Katarina qui ne cessait de l’encourager.

 

– AH… C’… C’est boon. Tu me faais maaal… Aah… Aah….

 

Il avançait et reculait à un rythme incroyable dans la gaine veloutée, écartelant chaque fois davantage les chairs intimes de sa maîtresse. Les mains solidement agrippées aux hanches il la culbutait le plus énergiquement possible. Son plaisir était retardé par le piment, il se déchaînait sans ménagement, trouvant là dans cet acte à la sauvagerie et au plaisir originel un exutoire à sa colère, au fait que sa femme le refusait un peu trop souvent ses temps-ci. Il n’était plus qu’un animal, seul le va-et-vient de son sexe dans le conduit distendu comptait pour lui. Katarina hurlait sans discontinuer sous les coups de boutoir. Son corps tremblait de toute part en un orgasme ravageur. Il la chevauchait sans ménagements, donnant de furieux et rapides coups de boutoir comme pour lui transpercer sa croupe imposante. Au bout d’une trentaine de minutes il n’y tient plus et il se laissa tomber lourdement sur elle comme pour la clouer sur le lit avec son sexe, il explosa violemment par longues giclées tout au fond des reins de Katarina. Au bout de quelques instants après s’être calmer il se dégagea des fesses offertes. Son sexe était encore tout tendu et couvert d’excréments. Katarina cuvait son orgasme en regardant le sexe toujours au garde à vous. Pavel avait l’impression que l’on avait ébouillanté ou même plongé son sexe dans de l’huile chaude.

 

– C’était absolument divin, tu as littéralement allumé un brasier au fond de mes reins. Ça brûle mais c’est trop bon.

 

Katarina prit le sexe de Pavel en bouche et le nettoya du sperme et de la merde qui le polluait.

 

– C’était bon aussi pour moi, malgré que j’ai le sexe qui brûle.

– Au fait tu m’as payé ?

– Oui, l’argent est sur la commode.

 

Texte issu des archives de Sophiexxx, corrigé et légèrement rewrité

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 18:46

Mon correspondant allemand… et sa mère par Belle-Cour

BigsTits

Bonjour, je m'appelle Vincent, j'ai aujourd'hui 21 ans et après avoir rompu avec ma copine je vis seul dans mon studio parisien. Ça n'allait d'ailleurs pas très fort, j'avais trouvé un boulot, mais inintéressant au possible, et je commençais presque à déprimer. C'est donc avec enthousiasme que je répondais à la proposition de Franz de venir passer une semaine en Allemagne.

 

Franz a le même âge que moi, c'était du temps de ma scolarité, mon correspondant en allemand. Nous nous recevions respectivement l'un chez l'autre environ deux fois par ans, et nos relations ont toujours été excellentes. Franz est un jeune homme, très agréable, plein d'humour, s'intéressant à un tas de choses, plutôt mignon de sa personne et doté d'une très jolie queue !

 

Eh, oui, quand il y a six mois, lors de sa venue à Lyon, Franz m'a avoué sa bisexualité, m'expliquant qu'il aimait surtout les hommes, j'avais cru intelligent (à moins que ce soit un tour de mon inconscient) de lui expliquer que tout le monde était plus ou moins bisexuel donc moi y compris, mais qu'en ce qui me concernait c'était le contraire de lui, et que j'étais prioritairement attiré par les femmes.

 

- Tu as donc une petite place quand même pour les mecs dans tes fantasmes ? Me demanda-t-il.

- Une toute petite ! Précisais-je me demandant comment conclure cette conversation glissante.

- Et moi tu me trouves comment ?

 

Si ce n'est pas une invitation directe, c'est quoi ?

 

- Euh tu es pas mal, mais je n'ai jamais fantasmé sur toi !

- Tu es un garçon ouvert, je suis sûr qu'une expérience ne te déplairait pas, et puis je n'ai jamais violé personne, si tu ne veux pas je n'insisterais pas !

 

Mon dieu ! Je fais quoi, Je dis quoi ?

 

Mais avant d'avoir trouvé la bonne répartie, j'avais sa main sur ma braguette. Muet de surprise, je ne savais comment réagir, par contre ma bite, elle devait savoir parce qu'elle se mit à bander. Et le problème c'est que quand on bande on ne voit plus les choses tout à fait de la même façon. Je le laissait me descendre ma fermeture éclair, aller tripoter mon pénis par-dessus l'étoffe de mon caleçon, puis sortir carrément ma verge qu'il se mit à branler pendant quelques instants avant de s'agenouiller devant moi et de me sucer pendant de longues minutes. Il m'a ensuite demandé de me déshabiller, il a fait de même. Quand il m'a proposé de le sucer à mon tour, je n'ai même pas hésité, sa bite était magnifique, d'une taille supérieure à la moyenne mais sans exagération, sa verge présentait une jolie peau soyeuse, quant au gland il brillait de plaisir. Je découvrais quelque chose de nouveau ce jour-là.

 

On a dû se sucer trois ou quatre fois, mais mise à part quelques tripotages de tétons nous n'avions rien fait d'autre, je n'étais pas prêt à l'embrasser sur la bouche, je n'étais pas prêt non plus pour la sodomie.

 

Lui, parti, je regrettais de ne pas avoir été plus loin, mais me promettais de le faire à notre nouvelle rencontre.

 

C'est vous dire si j'acceptais d'enthousiasme de me rendre à Hambourg !

 

Mais il y avait aussi une autre raison, et cette raison c'est Hanna, la mère de Franz. (Il habitait encore chez ses parents) Superbe femme divorcée entre quarante et cinquante ans, un peu grande, un peu forte, blonde aux cheveux coupés en carré, un très joli visage, et des formes qu'on devinaient rondes et accueillantes… Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à elle ! Je n'avais pourtant jamais vu en vrai, uniquement en photo mais à poil car ses braves gens sont des adeptes des joies du naturisme.

 

Franz est venu me chercher à la gare d'Hambourg, je lui tend la main mais il préfère m'étreindre et m'embrasser chaleureusement sur les joues ! Ça commence bien !

 

- J'ai hâte qu'on soit ensemble ! Me précise-il.

 

Effectivement, il devait être sacrément en manque, arrivé chez sa mère (qui n'était pas là pour l'instant) on se précipite dans sa chambre, et là il m'enlace et sans que j'aie pu réagir me roule un patin d'enfer, je laisse faire et participe par politesse, parce que j'avoue que ça me fait rien du tout. Par contre quand il me met la main sur ma braguette, je deviens réactif. Cinq minutes après nous étions à poil, et je me surpris à lui sucer la bite avant qu'il ne le fasse à son tour ! Je ne me lasse pas de ce superbe engin, c'est pour l'instant la seule que j'ai eu le loisir de sucer, peut-être après tout que je devrais draguer les mecs, rien que pour leur sucer la queue, pourquoi pas, mais j'ai toujours été un grand timide !

 

Franz était plus entreprenant que la dernière fois, après qu'on se soit un peu sucé en soixante-neuf, sa langue a dévié et s'est mise à me lécher le trou du cul. Je me laissais faire mais ne lui rendais pas la politesse, Puis après la langue ce fut un doigt, puis deux ! Quelle sensation ! Alors dans un souffle je lui ai demandé :

 

Franz- Encule-moi !

 

Il ne se l'est pas fait dire une deuxième fois, et après avoir effectué l'encapuchonnage d'usage, il s'est évertué à me forcer la rondelle ! Voilà qui fait bizarre au début, j'ai d'ailleurs failli lui dire que ça me faisait mal et qu'on ferait mieux d'arrêter, mais après qu'il m'eut pénétré à fond et qu'il se soit mis à faire de va-et-vient, mon corps fut secoué d'ondes de plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Franz s'est excité comme un fou, jouissant en me sodomisant et s'affalant sur moi, épuisé. Je n'avais pas joui.

 

- Si tu veux me faire pareil, ce n'est pas un problème !

- Non, pas maintenant, mais je veux bien que tu me suces, répondis-je !

- Pourquoi il te plait pas mon cul ?

 

Et alors, il se retourne, m'exhibe son cul de façon assez obscène, Bandé comme je suis, je réagis en lui pelotant ses jolies fesses roses et glabres. Déjà il m'a placé un préservatif, il écarte ses globes, son anus est déjà ouvert, c'est clair qu'il n'attendait pas après moi ! Et voilà que je l'encule ! L'affaire fut assez rapide, après on s'est embrassé dans un grand moment de tendresse, puis on s'est douché ensemble. Ce fut une bonne partie de rigolade, on s'amusait à se savonner respectivement, et vous vous doutez bien qu'il ne manquait pas une occasion de me tripoter, tantôt les tétons, tantôt la verge, tantôt les couilles, et tantôt le cul ! Tant et si bien qu'on s'est mis tous les deux à rebander, on s'est alors branlé respectivement et avons éjaculé pratiquement en même temps…

 

- J'ai envie de pisser, je vais te nettoyer, me dit-il soudain

 

Et sans que j'aie eu le temps de réaliser, le voici qui me pisse sur le sexe ! Amusant !

 

- J'ai un petit contretemps dans notre programme ! Me dit-il alors que nous séchions.

 

Il m'explique alors qu'il doit absolument se rendre aux funérailles d'un de ses anciens professeurs à Stuttgart, qu'il va partir dans l'heure et qu'il ne reviendra que le lendemain soir ! Bon, ce n'est pas une catastrophe on fera avec…

 

On m'avait préparé la chambre d'amis, je décidais de m'y reposer en lisant un bouquin et en attendant le retour de sa mère.

 

Hanna est arrivée quelques heures après toujours aussi souriante et désirable, elle avait eu l'idée d'enfiler une robe décolletée, ce qui fait que mes yeux restaient scotchés sur la naissance de ses seins. On bavarde un peu, puis je lui dis que je ne vais pas tarder à aller faire un tour en ville, histoire de me dégourdir les jambes.

 

Je remonte dans ma chambre, prendre quelques affaires et notamment mon appareil photo, puis je vais pour sortir. Je me ravise au dernier moment car il faut avant que j'accomplisse un petit besoin bien naturel.

 

Je fais mon pipi, et sort des toilettes, la salle de bain est juste à côté, la porte est entrouverte, je jette un coup d'œil par réflexe et devinez qui je vois ? Hanna les seins à l'air en train de faire je ne sais quoi devant son lavabo. J'en reçois plein les mirettes !

 

Instinctivement j'ai stoppé ma marche, je fais comme si je revenais aux toilettes et repasse devant la porte ! Quel spectacle ! Quelle poitrine ! Quelle belle femme ! Je tire la chasse une nouvelle fois pour donner le change et repasse une troisième fois devant la porte

 

- Vincent !

 

Merde, elle m'a vu, me voilà dans de beaux draps ! Pourtant sa voix n'exprime pas la colère !

 

- Euh, excusez-moi !

 

Elle a ouvert la porte, elle est là devant moi, torse nu, les bras croisés sur sa poitrine, la cachant (mal)

 

- Qu'est-ce que tu regardes comme ça dans la salle de bain ?

 

Il n'y a aucun ton de reproche dans sa phrase, Pire elle baisse ses bras, j'ai maintenant ses seins à cinquante centimètres de mes yeux, et avant que je n'arrive à bredouiller quoi que ce soit, j'ai sa main sur ma braguette ! Décidément ça doit être une spécialité familiale.

 

- Je sais bien que tu fantasmes sur moi, je ne suis pas folle ! Moi ça ne me dérange pas, après tout tu es majeur et tu n'es pas mal ! Et puis ça me fait plaisir qu'un jeune comme toi soit excitée par une vieille comme moi

- Vous n'étés pas vieille !

- Qu'est-ce que tu bandes, dis donc ! Allez baisse-moi tout ça !

- Mais c'est que….

- C'est que quoi ? Tu en meurs d'envie….

 

Comme dans un rêve, je baisse pantalon et caleçon, me voici le zizi à l'air fièrement bandé ! Et voilà Hanna à genoux devant moi ! Incroyable, elle était prête à me sucer ! Je ne vous dis pas dans l'état où j'étais. En fait sa fellation était bizarre : Elle commença à lécher mes poils avec beaucoup d'application puis mes couilles. Je bandais toujours et je mouillais bien. Elle passa sa langue le long de mon sexe et l'emboucha pour finir le nettoyage. Excité comme jamais, je déchargeai rapidement et elle avala le tout. Je pensais qu'elle souhaitait une suite, mais non :

 

- Allez je te laisse aller faire ton petit tour !

 

Je me rinçais le sexe, et me reculottais, j'étais à la fois ravi d'avoir réalisé un de mes fantasmes et frustré que la chose n'ait pas été plus loin…. Alors hardiment, je m'approchai d'elle, bien décidé à en profiter encore un peu, et je commençai à lui malaxer les seins. Elle me dit fermement de m'arrêter. Ce que je fis promptement, mais cela ajouta à mon désarroi.

 

Quand je revins de ma promenade en ville, Hanna était en peignoir, elle m'expliqua qu'elle allait prendre un bain, mais aussi que le chauffe-eau ayant une capacité limité, je n'aurais plus d'eau chaude si je voulais en prendre un aussi ! J'ai failli répondre la bêtise de ma vie, à savoir qu'ayant pris une douche en arrivant, je n'avais nul besoin de me baigner de nouveau…. mais me ravisais au dernier moment !

 

- Comment faire alors ? Demandais-je, faussement naïf

- Je peux toujours te laisser mon eau, mais bon… Tu vois une autre solution ? Me demanda-t-elle avec un large sourire.

- On pourrait peut-être se partager le bain, alors ? Proposais-je presque comme une boutade

 

A ma surprise elle accepta.

 

J'entrai dans la salle de bains et laissai la porte déverrouillée. Hanna me rejoint. Je ne m'étais pas encore déshabillé et elle me proposa de me le faire, ce que j'acceptai volontiers. Elle commença par le haut puis s'attaqua à mon pantalon. Comme elle se baissait pour l'enlever de mes chevilles, j'eus une vue très intéressante de sa poitrine par l'échancrure de son peignoir. Je commençais à bander lorsqu'elle leva la tête. Comme elle était accroupie elle avait les yeux à la bonne hauteur pour apprécier ma bonne forme. Elle retira mon slip rapidement laissant mon zob à l'air et bien tendu. Elle enleva rapidement son peignoir. C'est alors que je vis pour la première fois son sexe et sa blonde pilosité. Elle avait de très beaux seins, un peu lourds. Je ne pus résister à la tentation de toucher ses nichons qui me parurent plus fermes que ce que j'aurais cru. Elle s'approcha de moi et m'embrassa de manière très appuyée.

 

Elle me fouillait la bouche. Je répondis avec fougue à son invitation. Elle prit ma main et la descendit le long de son corps pour atteindre son pubis. Puis elle descendit ma propre main sur son sexe qui était tout humide et elle commença à se branler en me tenant la main sur son sexe. Elle mouillait de plus en plus et commençait à gémir. Elle prit ensuite deux de mes doigts qu'elle joignit pour se branler plus profondément et je sentais sa mouille me couler dans la main. Elle commença à jouir et lâcha un flot de liquide qui atterrit sur le sol. Elle était secouée de spasmes et mit quelques instants à se reprendre. Elle m'embrassa après avoir sucé mes doigts pour les nettoyer.

 

Elle me dit qu'elle voulait me remercier et s'agenouilla. Elle recommença la même chose qu'avant ma promenade et comme j'étais de nouveau très excité, sa langue et ses lèvres habiles me firent de nouveau décharger rapidement. Elle avala tout mon sperme avec gourmandise.

 

- Hum, il est délicieux, il est meilleur que celui de mon fils !

 

Hein ? J'ai du mal entendre !

 

Elle a dû s'apercevoir de mon trouble !

 

- Je ne t'ai pas choqué j'espère ?

- Non, non !

 

Je ne pouvais quand même pas lui dire "oui" ! D'ailleurs j'étais davantage stupéfait que choqué .

 

- C'est un cochon, Franz, tu te rends compte ! Baiser avec sa maman ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

 

Je n'ai pas répondu. On est entré dans le bain et elle me proposa de nous laver l'un, l'autre, tout en précisant qu'elle s'occuperait de moi en premier. Elle le fit avec la plus grande application en s'attardant sur mon sexe mais aussi sur mon anus qu'elle titillait et dans lequel elle finit par entrer un doigt. Cela me fit un tel effet que je bandais quasi instantanément.

 

- Hum, tu réagis bien du cul et tu as des belles fesses, tu ne te serais pas déjà fait enculer, toi ?

- Juste une fois !

- C'est Franz qui t'as enculé ?

- Euh !

- Tu peux me le dire ! Qu'est-ce que ça peut faire ?

- Ben oui !

- Quand il va rentrer on va se faire un petit trip tous les trois, tu veux bien dis ?

- Pourquoi pas ?

- En attendant, tu vas me laver… Partout…

 

Je commençai par le visage puis descendis sur ses seins ce qui me fit bander encore plus dur. Elle me demanda de finir par son sexe. Lorsque j'arrivais à la fin de sa toilette je m'enduis les mains de savon et commençai à m'occuper de sa chatte. Elle commença à bouger d'avant en arrière au fur et à mesure que j'opérais. Elle recommença bientôt à mouiller. Elle me demanda d'insister sur son clitoris, ce que je fis avec beaucoup de douceur et de précautions mais elle commença réagir comme une folle. Elle me demanda de la pincer. Lorsque je le fis elle gémit de jouissance.

 

Elle se retourna alors en présentant ses fesses. Elle me dit de lui " nettoyer " l'intérieur du vagin avec la main. J'approchai ma main de son sexe et avec l'aide du savon j'entrai une bonne partie de ma main dans cette chatte offerte. Je commençai un va-et-vient lent mais appuyé qui la fit gémir d'aise. Elle commença à jouir de plus belle et s'activait sur ma main pour profiter de cette activité singulière. En me penchant sur le côté je vis qu'elle avait une main entre les jambes et s'activait sur son clitoris comme une folle.

 

Elle finit par jouir dans le bain en poussant un cri surprenant et me demanda de lui donner ma main à lécher. Puis elle se leva dans la baignoire, me demanda de ne pas bouger et se mit à commencer à pisser en rigolant comme une bossue !

 

- Tu veux de mon champagne ? demandât-elle !

 

Elle n'attendit pas de réponse et m'arrosa de son urine, (encore une autre spécialité familiale sans doute ?) et quand elle me demanda d'ouvrir la bouche je le fis aussi, surpris de ne pas trouver ce goût trop désagréable.

 

- A toi, maintenant, pisses-moi dessus, je suis ta veille cochonne !

 

J'ai dû me forcer un peu mais j'ai finis par y arriver, apparemment elle était une habituée de cette pratique et reçu presque tout mon pipi dans sa jolie bouche.

 

On est sorti du bain et on s'est séché mutuellement. Ensuite elle me dit de la suivre dans sa chambre. Là elle s'est assise sur le lit et m'a demandé de la rejoindre. Elle m'a embrassé tendrement et a commencé à passer ses mains sur moi. Elle m'a malaxé les couilles et m'a branlé un peu, puis elle me dit qu'elle me voulait en elle. Je me suis allongé sur son corps et je l'ai pénétré. Magnifique sensation de savoir que j'étais enfin en train de baiser la mère de mon correspondant ! Si on m'avait dit ça un jour ! Je suçais ses seins et on s'embrassait. Elle commença à haleter et à gémir et ce signe était annonciateur d'une jouissance orgasmique de ma partenaire.

 

Le déluge arriva et les cris aussi. Cela me fit jouir à mon tour en plusieurs jets.

 

On est resté immobile pendant quelques instants puis mon sexe sortit de lui-même de son vagin lubrifié et poisseux. Elle entreprit de me nettoyer la verge avec sa langue ce qui lui redonna de la vigueur. Constatant mon état, elle me dit qu'elle allait parfaire mon éducation sexuelle et m'apprendre un truc que les cours de sciences naturelle n'enseignaient pas…

 

Hanna se mit alors en levrette et me demanda de la pénétrer de nouveau. Après deux ou trois va-et-vient elle souhaita que je me retire. Elle me fit mettre sur le dos, puis s'accroupit sur moi et s'emballa sur mon sexe, il me sembla que l'endroit était moins lubrifié et plus étroit que précédemment; ce qui m'intrigua (juste un moment, je ne suis pas idiot quand même). Elle commença à aller et venir tout en me demandant de lui sucer les seins, ce qui eut pour effet de l'exciter davantage. Elle se masturbait en cadence et j'eu la confirmation de ce qui se passait lorsque je la vis entrer un doigt dans son vagin. Elle s'enculait férocement sur moi. Elle jouit après plusieurs minutes et je déchargeai aussi.

 

Elle se retira, mais pas encore rassasié elle me proposa un nettoyage respectif avec la langue. Exténué je lui léchais donc le cul et la chatte, sans trop chercher à comprendre, je la fis jouir une dernière fois, puis nous nous endormîmes.

 

Le lendemain, je suis parti en promenade et ne suis revenu qu'en fin d'après-midi. Franz était rentré.

 

- On t'attendait me dit-il en me tendant un verre de jus de fruit que je m'empressais d'avaler.

 

HannahHanna entra dans la pièce uniquement vêtue d'un petit déshabillé noir et tellement transparent qu'il ne cachait rien de sa merveilleuse poitrine dont les pointes dardaient sous la soie.

 

Elle nous prit par la main et nous fit assoir à ses cotés sur le canapé.

 

- Maintenant les garçons, caressez-moi !

 

Pa la peine de nous le dire deux fois ! Franz et moi avons commencé par lui peloter ses seins après qu'elle se soit débarrassée de son déshabillé.  Après quelques minutes de pelotage et d'embrassades, Franz et moi nous nous sommes mis nus. 

 

Hanna a ensuite demandé à son fils de me sucer la bite devant elle. Il le fit avec tout son savoir faire et je ne tardai pas à bander comme un taureau. Elle nous fit signe d'approcher et se mit à sucer nos queues alternativement.

 

Quel spectacle de voir une mère sucer ainsi la bonne bite de son propre fils.

 

- Vous m'excitez de trop tous les deux, venez on va faire une double. 

 

Je fus invité à me coucher sur le tapis, Hanna vint s'empaler la chatte sur ma bite, puis se pencha en avant de façon à ce que son fils puisse avoir accès à son anus. Nous avons cordonné nos mouvements, Hanna était baisée et enculée. Fous d'excitation nous n'avons pas tenu la distance. J'ai joui le premier m'efforçant de continuer de bouger afin de ne pas frustrer Hanna. Cette dernière cria sa jouissance à son tour. Franz se retira et répandit son sperme sur les fesses de sa mère. Ce fut grandiose ! Nous fîmes une petite pause avant de repartir pour un tour, la soirée fut longue, épuisante mais tellement agréable. 

 

Après cette aventure, je suis resté encore cinq jours à Hambourg, on a partouzé plusieurs fois parfois tous les trois, mais aussi avec des amis d'Hanna, un couple très cochon dont le mari m'a enculé divinement. Toujours est-il que quand je suis rentré en France j'avais maigri de cinq kilos !

 

Merci Franz, Merci Hanna….

 

Belle-cour

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 17:09

C'était à Strasbourg, je crois… par Belle-cour et Prince67 

asian

 

Je n'ai jamais retrouvé ce numéro de téléphone, un truc automatique, au tarif fort qui vous oblige à rester décroché pendant près d'un quart d'heure ! Tous les moyens sont utilisés, répétition inutile, débit extrêmement lent, adjectifs et adverbes superfétatoires… et puis ce truc très énervant : " appuyer sur 1 si c'est ceci, appuyez sur 2 si c'est cela !  " Et il a 10 choix comme ça ! Le problème c'est qu'arrivé à 9, vous vous dites que vous auriez peut-être fait un autre choix, mais vous ne vous rappelez plus le numéro, on est donc bon pour recommencer. …

 

Donc ce jour-là j'étais au boulot, en déplacement et comme je n'avais pas de plan pour le soir et que j'étais très excité, je cherchais les coordonnées d'un salon de massage érotique, mais perdu dans les méandres de la " robote " téléphonique : des " faites le 0, faites le 1, faite le 3… " Je me goure et je tombe sur une voix suave, mais suave…!

 

" Vous voulez connaître quels sont les différents massages proposés… Pour confirmer, faites le 1, sinon faites le 0 ! " Mais, non ! Ce n'est pas cela que je cherche, et nerveusement je tape sur le 1 ! Erreur ! Et j'ai droit à un cours !

 

" Il existe différents types de massages, le massage californien est appliqué avec les mains, le body-body est un massage pratiqué par glissement sur votre corps de celui d'une charmante jeune femme préalablement enduite d'huile parfumée, la méthode espagnole sera un massage pratiqué par le contact des seins, la méthode grecque par celui des fesses, la méthode thaïlandaise par celles des pieds, toutes ces variétés de massages sauront vous combler de bonheur et faire jaillir votre plaisir. Si toutefois vous préférez la méthode anglaise, elle sera plus sévère, ne vous étonnez pas si vous la choisissez, de vous faire pincer le bout des tétons, ou même de recevoir une véritable fessée à l'ancienne sur votre mignon petit postérieur. La finition sera manuelle ou buccale selon votre désir, quant aux caresses que vous pourriez prodiguer à ces jeunes femmes pendant qu'elles exerceront leurs talents sur vous, n'en soyez pas avares, elles adoreront cela ! "

 

- Pour réécouter ce message faites le 2 !

 

Dix fois je l'ai réécouté le message ! J'avais la queue tendu comme ça ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps ! A la fin j'ai craqué, tant pis pour l'adresse ! Je raccrochais et me dirigeais vers les toilettes, sous les yeux étonnés de mes collègues de bureau !

 

- Tu n'es pas malade, au moins ?

 

Je devais avoir un drôle d'air.

 

Et puis la folie, au lieu de me branler rapidement comme j'en avais eu d'abord l'attention, je décide de me prendre une pause de 10 minutes, je me déshabille entièrement dans les chiottes ! Je me souviens m'être fait la réflexion que ce serait " marrant " (si je puis dire) que je fasse un malaise et qu'on me retrouve à poil ici ! Je m'installe sur la cuvette, j'écarte les jambes, mon sexe est droit comme un point d'exclamation ! Mais je n'y touche pas, je me caresse le corps, l'intérieur des cuisses, d'abord, j'adore c'est très doux, puis les épaules, les bras, le ventre, la poitrine, je m'attarde sur les tétons, et les serre progressivement, de plus en plus fort. Le résultat ne se fait pas attendre, mon sexe est atteint de petits soubresauts, une goutte de pré jouissance apparaît sur le méat, je la recueille sur mon doigt que je lèche ! Humm ! C'est délicieux ce truc-là ! J'applique ensuite une méthode lue sur Internet, ça s'appelle les " baguettes chinoises "

 

Explication : vous croisez les doigts de vos deux mains, vous serrez très fort, puis sans desserrer, vous en relâchez les deux index que vous laissez tendus ! Vous allez donc avoir une sorte de pince naturelle qui ne demande qu'à se refermer ! Amenez cette pince sur votre zizi ! Oui, mais pas n'importe où ! Si vous êtes décalotté, recalottez-vous, puis placez-vous juste à la base du gland, là où c'est un peu renflé ! Puis allez-y, choisissez votre cadence, vous verrez c'est divin !

 

Tellement divin que j'ai dû me retenir pour ne pas crier, je me kleenexe, je me rhabille et je ressors en sifflotant !

 

Si je garde un souvenir de cette péripétie somme toute banale, ce n'est après tout qu'une branlette, c'est parce que ce texte écouté dix fois, je me le suis gravé sur le disque dur de mon cerveau, je le connais par cœur, et il me fait presque encore autant d'effet.

 

C'est en y repensant que ce jour-là…

 

Etant plutôt fatigué, et après avoir accompli ma journée de travail, je décidai donc en fin d'après-midi d'un petit moment de détente. Je feuillète un journal d'annonces locales et je tombe sur une ribambelle de petits encarts publicitaires proposant massage et relaxation… tout ce dont j'ai besoin.

 

Après plusieurs essais téléphoniques pas vraiment encourageants je tombe sur une charmante voix douce et typée. Déjà un bon point.

 

" L'accueil téléphonique vous permettra de connaître les prestations offertes ainsi que les jeunes femmes qui vous prodigueront cet instant délicieux. On vous laissera le choix de la masseuse et vous pourrez trouver votre bonheur dans les bras d'une laotienne (Tia), d'une thaïlandaise ou d'une cambodgienne. "

 

Tia03Je confirme donc ma venue à cette charmante jeune femme et me rends à l'adresse indiquée.

 

Comme vous avez pu le comprendre j'ai choisi Tia. C'est une jeune laotienne de 24 ans, paraissant moins (comme toutes les asiatiques), pas très grande 1,55 m, de belles rondeurs et une forte poitrine (rare pour une asiatique).

 

Elle m'emmène dans une pièce, à la lumière tamisée et à la musique relaxante, afin de m'expliquer les différentes prestations qui me sont offertes. Cela va du massage express à 30 € jusqu'au massage maison, " l'Angel ", qui allie massage californien et body-body, en passant par l'hawaïen (celui que j'ai choisi) alliant massage californien et massage sous la douche (eh oui il fait chaud à Strasbourg en ce moment )

 

Après être passé une première fois sous la douche (superbe au demeurant) je m'allonge sur la table de massage et laisse Tia commencer son travail. Inutile de vous dire que ce fût un délice et que ses petites mains savent vous détendre tout en vous excitant. De plus vous avez la possibilité de voir le corps nue de la masseuse grâce à un miroir subtilement installé.

 

Après une vingtaine de minutes de massage recto verso, elle m'emmène sous la douche pour me masser avec son corps et me laissant tout loisir de la caresser. Caresser uniquement messieurs, car ce ne sont pas des " escorts ", donc elle n'embrasse pas, pas de fellation et évidemment pas de pénétration. Encore que je n'aie pas cherché à aller plus loin, qui sait ?

 

Comme vous l'avez sans doute compris, elle vous masse et lorsqu'elle sent que c'est le moment, vous masturbe en vous introduisant simultanément un doigt dans le trou du cul afin de terminer la séance en beauté !

 

Voilà, quarante-cinq minutes de pur bonheur que j'avais envie de partager…

 

Belle-cour et Prince67 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 16:38

La serveuse du Grand café par Belle-cour

zmaid2

 

En mission dans cette grande ville des Alpes avec deux vieilles badernes nous avions trouvé un petit hôtel près du centre-ville. Le déjeuner de la veille n'ayant pas eu l'heur de plaire à baderne numéro 1, celui-ci décida unilatéralement que nous irions le prendre ailleurs le deuxième jour. Ces deux tordus commençaient à m'énerver les nerfs, parlant sans cesse des cours de la Bourse et tout ce qui tourne autour. Je ne vous dis pas comme je m'en balance le cocotier !

 

On commande à une espèce de machin filiforme apparemment mal réveillé, et je plonge dans mes pensées essayant ainsi de m'isoler des balivernes et des absolues certitudes que baderne numéro 1 échangeait avec baderne numéro 2

 

Je ne me suis pas présenté, moi c'est Bertrand, je suis chimiste et je fais partie d'une mission gouvernementale chargée d'enquêter sur la qualité de l'eau ! J'ai 25 ans, célibataire, binoclard, malingre, je suis sous traitement pour l'acné. C'est ma hantise, on m'a fait tout essayer, des crèmes, des cachets, des onguents et même des suppositoires, pour des résultats que j'évaluerais de moyen à nuls. Mais miracle, le dernier traitement à l'air de réussir. Je touche du bois (on fait comment avec un clavier d'ordinateur ?)

 

Sexuellement je suis obsédé et puceau !

 

Et voici que la demoiselle qui devait s'occuper de notre table arrive avec les entrées sur son plateau. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais aucune expérience sexuelle mais je n'étais pas demeuré au point de ne pas savoir identifier une belle femme. Le sourire qu'elle avait laissé planer sur ses lèvres à mon attention m'avait tout de suite subjugué. Je n'en revenais pas et examinais les différentes hypothèses.

 

Hypothèse 1 : c'est un sourire commercial, mais il me semblait pourtant bien que baderne numéro 1 et baderne numéro 2 n'y avaient pas eu droit !

 

Hypothèse 2 : Elle est encore plus myope que moi !

 

Hypothèse 3 : Elle est exobiophile (fétichisme sexuel impliquant des rapports sexuels avec des extraterrestres )

 

Hypothèse 4 : Je n'ai bien pris conscience de la disparition de mon acné, et je suis maintenant le sosie de George Clooney ! Mais reste ma myopie et ma malingrité

 

Elle devait bien avoir 23 ou 24 ans. Elle avait les cheveux long bruns attachés, les yeux noirs et profonds, son chemisier blanc de soubrette trahissait une poitrine bien gonflée. Sa jupe noire et courte faisait courir la rumeur de jambes délicates mais fermes. Sa peau était bronzée et ses mains semblaient d'une douceur parfaite. Elle me regardait beaucoup, me jetant des regards furtifs et rapides. Je décide me pincer, parce que ce n'est pas possible, je rêve ! Mais non je suis toujours là !

 

L'apparition se penchant pour servir les plats à mes deux badernes qui discutaient entre eux, mon regard sans le vouloir se trouva plongé dans le décolleté de son chemisier. Je pus, l'instant d'un moment contempler la plus belle paire de seins que je n'ai jamais vue. Ils semblaient bien durs dans son soutien-gorge qui nous donnait l'impression d'un corset en remontant sa poitrine de façon exagérée.

 

Alors que je pouvais sentir mon organe grossir presque instantanément derrière ma braguette, son regard croisa le mien alors qu'elle se relevait doucement de son service. Je compris alors qu'elle avait bien remarqué ce que je regardais à son insu. Le sourire qu'elle me fit alors fut plus que suffisant pour me faire rougir de gêne. Ce n'est que par la suite que je compris qu'elle prenait un malin plaisir à se pencher devant moi alors qu'elle servait et desservait cette table. J'étais vraiment en érection. N'ayant eu aucune expérience sexuelle, je n'avais jamais été amené à admirer la poitrine d'une si belle femme. Et le fait de savoir qu'elle prenait plaisir à ce petit jeu me rendait fou d'excitation. Elle s'était amusée à me frôler le bras avec ses hanches alors qu'elle desservait ma place.

 

Au bout d'une heure de ce supplice, je me décidai à me lever pour aller calmer ce désir sexuel moi-même dans les toilettes du restaurant. Je n'en pouvais tout simplement plus et j'avais vraiment besoin de jouir en pensant à elle alors que son souvenir était comme neuf dans ma mémoire. Avec joie, je constatai rapidement que les toilettes de ce petit restaurant étaient propres et verrouillables.

 

Alors que j'allais refermer la porte derrière moi, qu'elle ne fut pas ma surprise de voir la soubrette retenir la porte et entrer rapidement, m'imposant sa présence. Je ne sais trop ce que j'ai pensé à ce moment. Je crois que j'ai ressenti de la gêne mais les événements se sont tellement bousculés par la suite que je ne garde qu'un bref souvenir de mes pensées lors de son entrée. Ce fut très simple. Il était évident pour elle que mon sexe bandait comme un arc de champion " olympique-queue " et elle n'avait pas besoin d'explication pour le comprendre. Elle s'approcha très rapidement de moi, et, pressant sa ferme poitrine contre la mienne, elle posa des lèvres tendres et chaudes sur les miennes. J'étais très embarrassé. Je pouvais sentir qu'elle poussait son bassin sur mon organe bien dur.

 

D'une main, elle me frottait maintenant le pantalon, épousant la forme de mon pénis pour le masturber avec une lenteur et une sensualité qui m'était inconnue jusqu'à présent. Je me surpris à poser mes mains sur ses gros seins. Même au travers son chemisier et son soutien-gorge, je pouvais sentir ses mamelons bien en érection. Elle sentait bien ma nervosité et approchant ses lèvres de mon oreille, elle me calma en me disant qu'elle allait s'occuper de ça. Je n'étais finalement pas sûr qu'elle m'ait calmé. Ma queue voulait exploser.

 

Elle se laissa glisser le long de mon corps pour s'accroupir devant mon membre bien bandé. D'une main, elle déboucla la ceinture de mon pantalon qui chuta au sol laissant place à un caleçon trempé par la pré-jouissance. Cela la fit sourire. Elle me demanda alors si c'était la première fois. Je ne savais que trop ce qu'elle allait faire et OUI, c'était la première fois. Je ne pus lui cacher ce qui sembla la remplir de satisfaction. Et quand je lui demandais pourquoi, elle eut ces mots intrigants que j'ai encore en mémoire :

 

- T'es puceau, ça porte-bonheur !

 

Elle posa ses lèvres sur mon caleçon et commença à me mordiller délicatement. La sensation de chaleur était indescriptible.

 

Je ne pensais qu'à une chose maintenant. Je voulais qu'elle prenne ma queue dans sa bouche. Mais elle me faisait languir, jouant de ses charmes buccaux par-dessus le tissu. Mon supplice ne dura pas. Je crois bien que son envie de m'engloutir était aussi grande que mon envie de voir ses lèvres se refermer autour de mon gland mauve et bien dur. Me léchant tendrement tout d'abord, elle ne mit que très peu de temps à s'enfoncer mon phallus jusqu'au fond de sa bouche. Je pouvais l'entendre gémir de plaisir alors que, d'un geste frénétique de va-et-vient, elle savourait le liquide annonciateur de jouissance que laissait s'échapper mon membre bien dur.

 

C'était la première fois pour moi. Je la suppliais d'arrêter parce-que je sentais la sève du plaisir monter en moi. J'ignorais si elle voulait me goûter à ce point, et ne souhaitait pas la gêner. Mais c'est ce qu'elle voulait. Sortant mon pénis en érection de sa bouche, elle continuait de me masturber de façon rapide devant sa bouche grande ouverte. Mon gland désormais violet et bien enflé appuyé sur sa langue, je sentis alors les pulsions que donna mon sperme chaud alors qu'il remonta jusqu`à sa bouche. Frottant mon gland sur ses lèvres, je me surpris à laisser s'échapper une énorme quantité de mon liquide. D'une main, continuant de me masturber et de l'autre s'étendant mon liquide chaud sur les lèvres et dans le visage, je pouvais sentir sa satisfaction qu'elle savourait les yeux fermés.

 

Remontant jusqu'à mon visage, elle baissa sa jupe ce qui me fit rester dur d'excitation. Me poussant de côté, elle s'appuya sur le lavabo les jambes bien écartées. Je pouvais maintenant voir sa chatte bien lubrifiée par le plaisir que la fellation venait de lui procurer. Je compris immédiatement. Je n'étais plus du tout gêné et je voulais vraiment l'entendre jouir. Appuyant ma queue contre ses fesses, je la descendit jusqu'à la hauteur de sa petite chatte trempée. Appuyant mon gland sur son clitoris la faisant gémir de plaisir, j'enfonçai ma verge dans les profondeurs de ses secrets cachés. Je ne saurais vous dire comment c'était bon.

 

Elle me voulait tellement qu'elle augmentait ma cadence en faisant le mouvement elle-même. Elle serrait les dents et ses mains étaient crispées sur les robinets du lavabo. On pouvait croire qu'elle voulait les arracher. Elle prenait le contrôle, ce que je me refusais à accepter. Alors d'une ferme poigne, je refermai mes mains autour de ses hanches. La tenant bien serré, je l'obligeai à adopter ma cadence. La forçant à suivre mes mouvements. Je lui pris une jambe et la mis sur le siège de toilette, me permettant ainsi de pouvoir la pénétrer plus profondément.

 

Toillet02Elle se mit à gémir vraiment très fort alors que je touchai les parois profondes de son ouverture bien trempée. Mes mains tenant bien ses seins bondissants, je la menai à l'extase avant de me retirer et d'éjaculer une dernière fois sur ses fesses bien rondes et une partie du bas de son dos. Elle se redressa enfin et me parla de me donner une prime. J'eus ainsi la stupeur de la voir relever une jambe, de se concentrer un moment les yeux clos, puis de s'échapper de son méat la pluie dorée et tintinnabulante de son petit pipi.

 

Je la regardais alors dans les yeux ! Et pris par une émotion irrésistible j'approchai mes lèvres des siennes. Inexplicablement elle se recula. Je ne comprenais pas, je balbutiai :

 

- Je crois que je t'aime !

 

Elle me regarda bizarrement à tel point que toute mon excitation eut bien vite disparu ! Puis en s'efforçant d'être calme, elle me dit :

 

- Je sens bien que quelque chose t'as échappé !

 

Voyant que je ne sortais pas de mon incompréhension elle parvint à articuler difficilement :

 

- Alors tu me le fais mon petit cadeau ?

 

Je suis peut-être puceau mais j'ai quelques lectures et sais ce que cache cette expression. Du coup, mes illusions descendirent brusquement à la cave ! Je crois que je lui ai crié " Salope ! " J'ai retiré quelques billets de mon portefeuille, lui ai jeté à terre ! Mes yeux se mouillaient de larmes tellement je tombais de haut !

 

Elle se baissa, ramassa les billets, me regarda encore, un rictus déformait son visage ! Elle se retenait de faire quelque chose ! Mais quoi ? Je suis vraiment le roi de couillons ! Son rictus se transforme, ses yeux papillonnent, des larmes coulent, elle pleure, me demande pardon, se propose de me rendre mon argent, je lui laisse, elle m'enlace, je pleure avec elle. Elle m'a embrassé, sur la bouche, pas longtemps mais elle l'a fait.

 

- Bonne chance tu t'en sortiras ! M'a dit-alors ma petite pute dont je n'ai jamais su le prénom et que je revis jamais.

 

FIN

 

Belle-cour (Amateur de 69 et de rosette)

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour août 2002 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 15:42

L'inconnue du Strasbourg-Lyon par Belle-cour

 

L'histoire remonte à quelques années alors que je travaillais comme employé administratif au Conseil de l'Europe à Strasbourg (ben quoi ?)

 

Etant originaire de Lyon je faisais régulièrement à la fin de chaque semaine le trajet Strasbourg-Lyon en train, et le plus souvent de nuit.

 

Ce soir-là, je monte dans le train et m'installe dans un compartiment vide près de la fenêtre. Quelqu'un a oublié une revue, une de ces revues soi-disant médicales qui raconte trop souvent n'importe quoi ! Un titre m'attire : " Mettez du piquant dans votre vie sexuelle ! " Je le parcours, il n'y a rien de nouveau, je me dis qu'en matière de piquant je pourrais sans doute leur envoyer quelques idées… Et justement en attendant le départ mes pensées vagabondent et je m'assoupis. Je m'imagine déjà entre les bras de Sonia, ma copine qui comme très souvent doit venir me chercher à la gare, et je prépare en rêves la nuit que nous allons passer. J'imagine nos baisers, nos caresses, et je dois avouer que l'évocation de ces pensées provoque en moi un flot d'émotions et même un début d'érection.

 

Le train s'ébranle, me tirant de mon demi-sommeil. Je constate alors que le compartiment s'est rempli, il est maintenant occupé par deux hommes voyageant seuls à ma gauche, un couple d'une cinquantaine d'années se faisant face près de la porte et, en face de moi, une femme ravissante d'une quarantaine d'années. Elle est vêtue d'un tailleur vert et d'un chemisier blanc au travers duquel on peut deviner la dentelle d'un soutien-gorge. Ses cheveux blonds descendent sur ses épaules et encadrent un visage doux soigneusement maquillé.

 

Seule la lumière de la veilleuse est allumée ce qui fait que lorsque le train quitte la gare le compartiment se retrouve plongé dans la pénombre.

 

J'observe ma voisine par son reflet dans la vitre, je détaille chaque parcelle de son corps en m'attardant un peu plus sur ses magnifiques jambes que gainent des bas si j'en juge par le liseré de dentelle noire qui déborde à peine du bas de sa jupe. La soie de son chemisier tendu par ses seins bouge au rythme lancinant des chaos de la voie ferrée et de sa respiration. Elle a les yeux fermés et je peux à loisir l'observer. Des pensées érotiques resurgissent à mon esprit mais cette fois ci ma partenaire n'est plus la même mais bel et bien ma charmante voyageuse.

 

D'un bref coup d'œil dans le compartiment je peux constater que tous les autres voyageurs sont assoupis. Je sens en moi monter une douce chaleur qui ne tarde pas à atteindre le bas de mon ventre. Pour calmer mes ardeurs je change de position et tente de m'installer un peu plus confortablement. Ce faisant ma jambe vient au contact d'une jambe de la femme assise en face de moi. Ce contact ne fait qu'aggraver mon état, j'observe sa réaction : rien, soit elle dort, soit elle feint de n'avoir rien senti. Ce contact fortuit me donne des idées et j'accentue ma pression en glissant ma jambe entre les siennes. Qu'elle ne fût pas ma surprise de les sentir s'écarter lentement dévoilant plus largement le haut de ses cuisses. Je ne m'étais pas trompé elle porte bien des bas, et elle ne dort pas, dans la pénombre il me semble qu'elle a ouvert les yeux. Je tente de croiser son regard mais n'y parviens pas. Mon genou caresse maintenant ses cuisses, elle glisse légèrement sur la banquette rapprochant son ventre de mon genou. D'un mouvement habile elle retire une de ses chaussures et pose son pied sur ma banquette entre mes cuisses. Elle fait courir ses orteils contre ma braguette en une délicate caresse. Je dois me retenir pour ne pas jouir de cette simple mais si merveilleuse caresse.

 

Le train ralentit et entre dans une gare, les deux hommes se lèvent, prennent leurs bagages et quittent le compartiment sans prêter attention à nos positions qui peuvent paraître incongrues. Quelques instants plus tard, le train redémarre, personne n'est entré dans notre compartiment. Le couple de quinquagénaires ne s'est pas réveillé. Ma compagne de voyage se lève et vient prendre la place d'un des hommes qui est parti, tout près de moi.

 

Toujours sans un mot, elle se tourne un peu vers moi, tournant le dos au couple endormi et pose une jambe sur ma cuisse. Sa jupe se relève d'elle-même. Elle prend ma main et la glisse sous sa jupe, je sens la douce moiteur de son entre-jambe au travers d'une fine culotte en dentelle. Mes doigts griffent doucement le tissu, je peux sentir ses lèvres gonflées par le désir. Je me penche un peu vers elle et dépose un baiser près de son oreille, mes doigts caressent sa fente au travers de sa culotte, ma queue est maintenant en pleine érection. Ma bouche toujours près de son oreille que je mordille, je glisse mes doigts sous sa culotte que j'écarte avec soin. Je caresse ses lèvres qui sont maintenant bien humides et qui semblent aspirer mes doigts. Nos langues se mêlent en un baiser torride, elle a fait glisser ma braguette, a glissé sa main dans mon caleçon et masse tendrement mais fermement ma queue prête à exploser. Nous restons là quelques instants à nous caresser puis dans un murmure elle me demande de la suivre. Nous nous retrouvons dans le couloir, elle s'est placée devant une fenêtre comme pour regarder dehors. Le couloir est désert, je me place derrière elle. L'étroitesse du lieu et les chaos du train nous plaquent par instants l'un à l'autre. Je l'embrasse dans le cou, mes mains se plaquent sur seins, elle a dégrafé son chemisier, je caresse sa peau douce et libère ses seins de leur prison de dentelle. Ils sont magnifiques, dressés fièrement, ils durcissent encore plus sous l'effet de mes caresses. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, malaxe la chair ferme de ses deux globes. Avec une habileté sans pareil elle sort mon sexe de mon pantalon. Je me retrouve ainsi le sexe à l'air et elle la poitrine dénudée dans le couloir de ce train où d'un moment à l'autre quelqu'un peut sortir et nous surprendre, cela décuple mon désir. Tout en me massant le sexe, elle relève sa jupe de son autre main et écarte sa culotte qu'elle fait glisser à ses chevilles. Elle guide mon membre jusqu'à ses fesses, se penche un peu et caresse sa fente avec avant de se l'introduire.

 

Quelle sensation !!

 

J'ai abandonné ses seins pour la maintenir fermement par la taille. Je la pénètre lentement mais profondément. Son bassin ondule, le chaos provoqué par quelque passe à niveau manque de nous déséquilibrer, mon sexe est presque sorti de son étui chaud et humide, je l'y replonge avec précipitation ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. J'accélère mes mouvements et la laboure maintenant avec régularité, les effets ne tardent pas à se faire sentir j'explose en elle en de longs jets puissants. Je poursuis mes efforts et, prenant de l'assurance au niveau équilibre, je glisse une main entre ses cuisses. Mes doigts s'activent sur son clito dur et gonflé. Elle ne tarde pas à jouir à son tour !

 

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Elle se redresse, réajuste sa jupe et son chemisier, se retourne et nous nous étreignons en un baiser fougueux. Puis, me prenant par la main me guide jusqu'aux toilettes situées au bout du couloir. Nous nous y engouffrons tous deux, l'endroit est minuscule, elle s'assied sur la cuvette, me fait signe d'attendre un instant, puis sans aucune pudeur, je la vois qui se prépare à satisfaire une subite envie d'uriner, elle me fait un sourire complice et au moment où son petit jet doré surgit de son sexe en folie, elle se dégage du mieux qu'elle le peut afin que je puisse profiter de ce charmant spectacle. Cette besogne terminée, elle me dégrafe ma ceinture, baisse mon pantalon puis mon caleçon. Là, elle pose ses lèvres sur mon gland et me prodigue la plus savante fellation qu'il m'ait été donné de connaître. Sa langue passe de mon gland à mes couilles, elle m'aspire comme pour en extraire tout le sperme, elle aspire mes bourses me provoquant une sensation entre bonheur et douleur. J'ai réouvert son chemisier et libéré ses seins qui ballottent doucement. Cette vue et la caresse buccale prodiguée ne tardent pas à faire effet et je jouis dans sa bouche, le sperme coule au coin de ses lèvres sur son cou et descend sur ses seins. Elle se redresse, me fait m'asseoir à sa place relève sa jupe et pose ses pieds de chaque côté de moi m'invitant à déguster son intimité. Je pose mes lèvres sur sa toison et m'enivre de cette odeur d'urine qui y persiste. Ma langue descend le long de ses lèvres épilées, les écarte et s'insinue au plus profond d'elle. Je la lèche longuement, mon pouce s'occupe de son bouton en le faisant rouler à un rythme de plus en plus soutenu. Mon index vient tremper entre ses lèvres puis descend vers son anus. Après l'avoir bien préparé, il s'introduit dans son petit trou pendant que ma langue et mon pouce continuent leur besogne, lui arrachant de petits gémissements qui se transforment bientôt en cris, heureusement couverts par le vacarme du train.

 

Elle est maintenant assise inconfortablement sur le petit lavabo, je me suis levé et la maintiens, ses jambes se posent sur mes épaules. Ma queue pénètre d'un seul coup dans sa chatte brûlante, et je commence quelques aller et retour. Quand je sens mon membre bien ruisselant, je me dégage et le présente devant son petit trou du cul. Elle est prête, je m'introduis lentement et régulièrement, ma queue remplit maintenant complètement son cul, elle pince son clitoris entre deux doigts et de l'autre main malaxe ses seins. Je vais et viens maintenant aisément entre ses fesses et cette fois ci c'est elle qui jouit la première lorsqu'elle prend son pied je sens tous ses muscles se contracter ce qui a pour effet immédiat de me faire jouir. Pour la troisième fois je décharge en elle, les dernières secousses passées elle entreprend de me nettoyer la bite avec sa langue, puis, avant de me donner un baiser elle s'humecte les lèvres se son propre jus, tous ces goûts mêlés à nos salives me donnent envie de prolonger nos ébats, mais hélas le train va entrer en gare de Lyon-Perrache pour la fin de mon voyage.

 

Nous nous rhabillons donc et regagnons notre compartiment. Avant de rentrer dans celui-ci nous échangeons un dernier baiser. Elle rentre dans le compartiment, je reste seul quelques instants me demandant si tout cela est bien réel, lorsque j'aperçois par terre la culotte de ma charmante complice, je la ramasse discrètement et la fourre dans ma poche en souvenir…

 

Lorsque je descends du train la femme a disparu dans la foule. Sonia, ma copine m'attend et me fait signe sur le bord du quai.

 

La suite aurait pu être dramatique…

 

En arrivant à la maison j'avais bien eu l'idée d'aller planquer cette satanée culotte. Mais la fatigue,(à moins que ce soit le délicieux petit repas que Sonia nous avait préparé et que j'avais sans doute un peu trop arrosé) m'a fait oublier cette précaution et je me suis affalé dans le lit me lovant contre le corps brûlant de Sonia et m'endormis rapidement, incapable de répondre aux sollicitations de ma dulcinée qui n'insista donc pas.

 

Le lendemain, je musardais dans le lit. Sonia était déjà debout et comme souvent c'est mon envie de pipi qui me força à me faire violence et à me décider enfin à me lever !

 

- Bonjour ! Tu as bien dormis ? Me demande Sonia !

 

Rien que de la voir comme ça, c'est sûr, elle a une idée derrière la tête !

 

- Ouais, j'ai un peu la tête dans le cul, mais ça va ! 

- Et tu as rencontré des gens intéressants cette semaine ?

 

Putain, le flash, je comprends tout, même sa main derrière son dos, qui cache la culotte ! Que faire, il n'est pas possible d'improviser une histoire abracadabrante ! La seule solution : la vérité !

 

- Je vais te raconter !

 

Alors je lui racontai, lui résumai plutôt !

 

- Salaud !

 

Elle disait cela d'un drôle d'air, elle n'avait l'air pas spécialement fâchée

 

- Et tu crois que tu va-t'en tirer comme ça ? Continua-t-elle. 

- Bon, te fâches pas, ce sont des choses qui arrivent, l'important c'est que je t'aime, maintenant si tu veux en faire un drame, j'en tirerais les conclusions, mais je trouve que ce serait dommage ! 

- A genoux !

 

Je crains d'avoir mal entendu, elle pète les plombs !

 

- J'ai dit à genoux et enlève ton pyjama ! 

- Sonia ! On se calme !

- Je suis très calme ! Ce que tu as fait réclame une punition ! Je vais te rougir le cul !

 

J'allais lui dire que décidément ça n'allait pas fort côté cérébral, mais bizarrement la situation commençait à m'exciter, alors, me prenant au jeu, j'enlevais mes habits de nuit, me mis à genoux !

 

- Les mains à plats par terre ! Et redresse ton croupion ! Salopard !

 

Le premier coup de ceinture me fit sursauter, le deuxième me fit mal, le troisième me fit très mal, je criais des aïes et des ouilles, il me sembla qu'elle essayait d'ajuster ses coups de les faire moins fort, la douleur se transformait peu à peu en un plaisir trouble et je me surprit à bander. Enfin elle stoppa !

 

- Bon c'est fini, on se relève et on implore mon pardon ! 

- Je te demande pardon, ma chérie ! 

- Mais c'est qu'il bande le salopard ! Ça t'as excité que je te fouette le cul, mais c'est pas possible je vis avec un véritable pervers ! 

- Je le crains en effet !

 

Et pour toute réponse, Sonia se baisse, se met à genoux, la bouche à la hauteur de ma bite et se met à me la sucer avec une avidité certaine, la langue lèche, les lèvres coulisse, je finis par sentir la jouissance monter, je la préviens. Alors, elle abandonne sa position, se couche carrément sur la moquette, écarte les jambes !

 

- Viens !

 

Je ne me fais pas prier, j'accours, je saute je me précipite, et la pénètre, et tandis que son corps tressaute comme pris de convulsion je jouis en elle quelques minutes plus tard, et m'affale sur son corps qui en veut encore, mon visage, remplace alors mon sexe et je lui suce frénétiquement le clitoris jusqu'à ce qu'elle éclate de jouissance dans un geyser de mouille.

 

Je me relève, un peu pantelant, elle aussi, je ne sais que penser de cette scène complètement démente !

 

- Bon ! Tu vois le principal c'est qu'on s'aime encore ! Lui dis-je, histoire de parler. 

- Je vais te dire ! Ça ne me dérange pas que tu ais des aventures ! Simplement je veux que tu me le dises à chaque fois, et je veux que tu me laisses te punir ! Si tu savais comme ça m'excite ! 

- Tu parles sérieusement ? 

- Vi ! 

- Alors d'accord ! 

- Mais il faut que tu fasses encore quelque chose pour te faire pardonner complètement !

 

Je m'attendais au pire

 

- Deux choses d'ailleurs Aïe ! 

- La première c'est qu'à midi tu vas me payer le restaurant ! 

 

Ouf ! 

 

- La deuxième, c'est que j'ai envie que tu viennes m'embrasser !

 

Gloups !

 

Belle-cour

Amateur de 69 et de rosette 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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