Katarina 54 ans et son fougueux amant par Belle-cour
Sans qu’il ne se rende compte il sonnait à la porte de sa voisine, une belle femme la cinquantaine passée avec des seins énormes. Elle lui ouvrait la porte et le laissa entrer un grand sourire éclairant son visage. Katarina portait une chemisette bleu transparente déformée par deux énormes mamelles, ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas de même couleur ainsi que des escarpins à haut-talons. La culotte qu’elle portait était fendue à l’avant et dégageait impudiquement son aine ; la pilosité abondante de couleur blond cuivré de son pubis débordait de partout, de la grande ouverture de la culotte, courait jusqu’à ses cuisses, et montait même jusqu’au porte-jarretelles. Elle l’embrassa fougueusement lui dévorant presque la bouche, il se sentit fondre. Il la repoussa lentement et l’admira à nouveau. Sa chevelure blonde descendant sur ses épaules faisait ressortir le maquillage brillant de ses paupières, sa bouche était rouge et pulpeuse. Elle avait de grosses boucles d’oreilles dorées et un beau collier en or, ainsi que de nombreux bracelets de tailles différentes tous dorés. Avec ses parures d’or et son maquillage elle ressemblait à une pute de luxe pour milliardaire, ses chairs voluptueusement flasques en plus. Elle se serrait contre lui, écrasant sa lourde poitrine contre son torse
– Viens, dit-elle simplement en le prenant par la main.
Il la suivit dans son salon, regardant avec tendresse et envie le corps épaissi mais ayant toujours beaucoup de charme de Katarina. Il n’avait d’yeux que pour l’imposante et opulente croupe qu’il mourrait d’envie de perforer. A travers la transparence trouble de la chemisette il discerna la profonde vallée entre les deux fesses volumineuses et réalisa que la culotte était également fendue au dos.
L’atmosphère était douce et sensuelle dans le salon, on y entendait une musique lancinante et voluptueuse et la lumière était tamisée. Il s’y dégageait un parfum enivrant. Arrivée dans sa chambre Katarina le regarda.
– Je t’ai réservé une surprise mon chéri.
– Qu’est-ce que c’est? Mais tu sais que quand je suis avec toi, je n’ai besoin de rien d’autre, mon amour.
– Je suis sûr que tu vas adorer.
Katarina défit la ceinture, et d’un geste, fit tomber sur ses chevilles le pantalon. Pavel enleva fébrilement son pantalon et son tee-shirt noir. Il n’était plus qu’en sous vêtement, un slip vert tendu par son sexe. Elle commença à masser doucement l’entrejambe du slip. Utilisant aussi bien sa main que ses longs ongles qu’elle faisait monter et descendre sur la grosse bosse. Pavel n’y tint plus il oscillait nerveusement de gauche à droite. Elle le força à s’asseoir sur son grand lit. Katarina se laissa tomber lentement à genoux, juste en face de Pavel qui avait les deux jambes largement ouvertes. Sa tête pencha vers le bas ventre de son amant, et avec sa bouche elle prit l’élastique du slip. Elle fit descendre légèrement le slip, pour voir la toison pubienne brune de Pavel. Puis au prix de nombreux efforts et de l’aide de son amant qui se déhancha quelque peu elle réussit à lui enlever le slip rien qu’avec ses dents, le libérant entièrement jusqu’à mi-cuisses. Le sexe était tendu à peine à deux centimètres de son visage. Dans la même position elle retira le slip avec ses mains et l’envoya rejoindre le pantalon quelque part dans la chambre. Il était entièrement nu. Elle fit remonter sa main tout le long de la cuisse. Des doigts se refermèrent sur le sexe, instantanément tendu, et commencèrent à le masser avec une lenteur volontaire. Katarina faisait monter et descendre la peau de la grosse verge avec un air extatique. De temps en temps, elle passait sa langue sur toute la longueur du sexe, puis elle s’attardait sur les grosses testicules comme si elle les lapait comme un chien.
Finalement, Katarina goba les grosses testicules dans sa bouche, les suçant, les aspirant, les lécha. Le long et gros sexe de Pavel était collé sur son nez tout le long de son visage. Elle lui mordilla légèrement les testicules ce qui lui arracha un cri mêlant douleur et plaisir. Puis elle avala de nouveau les testicules et les aspira comme pour en avaler sa semence, c’était une caresse que les hommes appréciaient d’après son expérience. Pavel la regardait le masturber, il était dans un état tel d’excitation, avec son sexe il lui donnait de petits coups nerveux, plus pour lui faire plaisir que mal. Il sentait le sang battre à ses tempes. Elle se remit à le caresser lentement, effleurant de ses ongles la chair hyper sensible. Le membre dur comme une barre d’acier palpitait entre ses doigts. Pavel se sentait au bord de l’explosion. Le contact des ongles allant tout le long de sa verge provoquait sur lui des frissons. Il n’en pouvait plus. Il commençait à gigoter de gauche à droite. Katarina se releva et ils échangèrent un baiser passionné. En même temps, elle caressait le membre de Pavel à petites touches, légèrement.
– Je… Je veux qu’tu m’suces.
Elle s’accroupit à nouveau, faisant disparaitre sa tête entre les jambes de son amant. Il crut défaillir quand il sentit les lèvres pulpeuses se refermer sur son sexe et l’aspirer tout entier dans la caverne brûlante. Katarina fit aller et venir sa tête sur le sexe, lui faisait un fourreau brûlant de sa bouche.
– Ta queue est trop bonne.
Puis, elle prit les jambes musclées de Pavel et les fixa sur ses épaules pour mieux pratiquer sa fellation. Une langue aiguë l’agaça et virevoltait autour de son gland gorgé de sang. C’était infernal et il sentait la sève s’accumuler dans ses reins. Katarina l’excitait de la bouche assez habillement pour ne pas le faire jouir. Puis jugeant qu’il était dans un état fort acceptable elle arrêta sa fellation. Il démontra son mécontentement par un grognement. Katarina fit glisser ses doigts sur le sexe de Pavel, emprisonnant la base pour le gonfler encore plus de sang.
– Tu as un beau sexe ferme, dit-elle en regardant ébahie le lourd phallus.
Elle se tourna et commença à enlever la chemisette transparente. Il se leva et se colla au dos de Katarina. Pavel prit la chemisette et la fit passer par les bras de Katarina, puis il saisit les seins énormes dans ses mains et l’embrassa sur la nuque pour respirer son parfum. Il caressait doucement les deux mamelles, comme pour les soupeser. Puis il joua avec les deux grosses pointes de ses seins, les faisant rouler dans ses doigts. Katarina se dégagea doucement et se laissa tomber sur le ventre sur le lit. Pavel savait ce qu’elle souhaitait. Il la rejoignit, et s’allongea sur elle. Katarina était de même taille que Pavel, il pouvait sentir le doux parfum de ses cheveux. Il se releva un peu et se guida dans la profonde vallée. Son sexe long et gros pesa sur l’ouverture des reins. Il profita un peu de cet instant délicieux et s’enfonça lentement, arrachant à sa partenaire un grondement de plaisir. Il l’avait pénétré sans rencontrer de difficulté particulière, son sexe avait été absorbé comme un vulgaire suppositoire. Il était fiché en elle de toute sa longueur dans l’anneau de ses reins, profitant de la sensation de béatitude entre les fesses accueillantes de son amante. Il sentait une matière pâteuse au contact de son sexe, il comprit ce que c’était et cela irritait agréablement sa verge. Il sentait ses parois les plus secrètes palpiter autour de son membre. Il se releva un peu, toujours enfoncé jusqu’à la garde en elle, il ceintura les cuisses épaisses de ses mollets comme s’il voulait s’agenouiller sur elle. Les mains sur les hanches larges de Katarina il commença à s’activer, se retirant et s’enfonçant lentement du conduit anal. Katarina se tenant la tête dans ses mains se laissait faire avec ravissement, se contentant de répondre à son amant par des soupirs de bien-être.
– La surprise c’est que j’ai mis un onguent à base de piment, il parait que c’est meilleur, la sensation est plus forte, plus sauvage.
Pavel la besognait par des mouvements longs et forts. Effectivement le piment irritait et chauffait son membre, libérant en lui quelque vils instincts. IL s’était déjà un peu retiré mais Katarina comprenant mal ses intentions se releva un peu afin qu’il s’enfonce encore plus profondément en elle. Il pesa de tout son poids sur les hanches pour qu’elle s’allonge, et il changea de cadence. Pavel la sodomisait avec plus de force plus d’énergie lui arrachant de profonds cris de jouissance. Il la pourfendait littéralement, comme s’il voulait la punir. Il allait et venait dans l’anus avec une violence inouïe. Le piment le poussait à la prendre plus vite et plus fort pour le plus grand bonheur de Katarina qui ne cessait de l’encourager.
– AH… C’… C’est boon. Tu me faais maaal… Aah… Aah….
Il avançait et reculait à un rythme incroyable dans la gaine veloutée, écartelant chaque fois davantage les chairs intimes de sa maîtresse. Les mains solidement agrippées aux hanches il la culbutait le plus énergiquement possible. Son plaisir était retardé par le piment, il se déchaînait sans ménagement, trouvant là dans cet acte à la sauvagerie et au plaisir originel un exutoire à sa colère, au fait que sa femme le refusait un peu trop souvent ses temps-ci. Il n’était plus qu’un animal, seul le va-et-vient de son sexe dans le conduit distendu comptait pour lui. Katarina hurlait sans discontinuer sous les coups de boutoir. Son corps tremblait de toute part en un orgasme ravageur. Il la chevauchait sans ménagements, donnant de furieux et rapides coups de boutoir comme pour lui transpercer sa croupe imposante. Au bout d’une trentaine de minutes il n’y tient plus et il se laissa tomber lourdement sur elle comme pour la clouer sur le lit avec son sexe, il explosa violemment par longues giclées tout au fond des reins de Katarina. Au bout de quelques instants après s’être calmer il se dégagea des fesses offertes. Son sexe était encore tout tendu et couvert d’excréments. Katarina cuvait son orgasme en regardant le sexe toujours au garde à vous. Pavel avait l’impression que l’on avait ébouillanté ou même plongé son sexe dans de l’huile chaude.
– C’était absolument divin, tu as littéralement allumé un brasier au fond de mes reins. Ça brûle mais c’est trop bon.
Katarina prit le sexe de Pavel en bouche et le nettoya du sperme et de la merde qui le polluait.
– C’était bon aussi pour moi, malgré que j’ai le sexe qui brûle.
– Au fait tu m’as payé ?
– Oui, l’argent est sur la commode.
Texte issu des archives de Sophiexxx, corrigé et légèrement rewrité
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