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Table réservée par Belle-cour
J’ai mes habitudes et n’aime pas trop y déroger, spécialement lorsque je me rends dans ma discothèque préférée.
C’est un endroit sympathique, fréquenté par des habitués et où le patron, Gérard, fait régner une ambiance calme et détendue
En tant que « membre fondateur », je bénéficie il est vrai d’un traitement de faveur puisque j’ai ma table réservée à l’année.
Table est un peu réducteur. Il s’agit en fait d’une sorte d’alcôve intime équipée de confortables banquettes et où je peux recevoir dans la plus parfaite intimité mes hôtes de passage pour y traiter dans un cadre agréable mes affaires. Si j’ai besoin de quelques filles faciles pour faciliter les choses, Gérard me les fournit.
Depuis cette alcôve, je ne peux être vu mais peux voir la piste de danse au travers d’une glace sans tain.
Ce soir-là quelle ne fut pas ma surprise de voir mon espace occupé par une femme blonde d’environ trente ans et que je n’avais jamais vue auparavant.
Surpris et je l’avoue un rien mécontent, je vais retrouver Gérard auquel je fais part de mes sentiments. D’un geste il tente de m’apaiser et me montrant la salle me fait comprendre que seule « ma » table était libre.
– Et puis, me dit-il, vu l’heure, je ne pensais plus que tu viendrais ! Mais puisque tu es là, je vais la virer gentiment.
– Attend, c’est qui ? Tu la connais ?
– Non, c’est la première fois que je la vois.
– Laisse-là, elle est plutôt mignonne, et comme je n’attends personne, ça me fera de la compagnie
– Bonjour ! Cette table m’est réservée en permanence, mais je n’ai pas l’intention de vous chasser. Par contre vous allez devoir supporter ma présence.
– Je m’appelle Isabelle, me dit-elle, et je suis désolée de vous importuner.
C’est vrai qu’elle était belle.
Sa peau bronzée n’était couverte que d’un chemisier blanc qui cachait des formes voluptueuses et d’une minijupe qui avait peine à cacher de longues cuisses fuselées. Elle avait le bon goût de ne pas porter de collants, ce qui à mes yeux était un avantage car cela faisait ressortir l’aspect satiné de sa peau.
Je pris donc place et lui demandait si elle souhaitait boire quelque chose.
Elle commanda un jus de fruit accompagné, allez savoir pourquoi d’un banana split « avec beaucoup de chantilly » ajouta-t-elle.
Pour ma part je commandais ma boisson habituelle.
Nous étions assis l’un en face l’autre et je ne savais comment aborder la conversation. Ce fut elle qui commença et m’expliqua que son mari étant parti en voyage à l’autre bout de la terre, qu’elle sentait un peu seule dans son appartement et avait décidé de venir écouter de la musique. Je me sentis un très vif besoin de la distraire et l’invitai donc à rejoindre les danseurs sur la piste.
La musique était douce, Nous dansions serrés l’un contre l’autre et je sentais sa cuisse entre mes jambes. Elle ne fut pas longue à deviner que je n’étais pas indifférent à sa pression.
La musique cessa et nous décidâmes de rejoindre ma place où durant notre absence, le serveur avait déposé notre commande. Elle vint s’asseoir auprès de moi et tout en dégustant la banane commandée, elle posa sa main sur ma cuisse et commença à me masser doucement.
Inutile de vous dire que je ne songeai pas à boire et que ma queue avait toutes les peines du monde à rester dans mon slip.
Elle finit de manger sa banane tout en prenant soin de laisser la chantilly.
– Vous n’aimez pas la crème ? Lui demandai-je.
– Si, si mais je la dégusterai plus tard, me répondit elle.
Sa main était toujours sur ma cuisse et remontait doucement vers ma ceinture qu’elle défit d’une main experte. Dans la même seconde mon pantalon fût ouvert et sa main entreprit de sortir mon engin gonflé de désir.
Vous pensez bien que je ne restai pas inactif de mon côté et qu’en peu de temps je défis les boutons de son corsage, qui me révéla un soutien-gorge rempli de deux superbes mamelles.
Je fis sauter l’agrafe qui se trouvait au-devant et commençai à lui masser les seins. Je ne pensai pas que des seins aussi gros puissent être aussi fermes. Ses aréoles brunes étaient surmontées de deux tétons durs et fièrement dressés.
Pendant ce temps elle continua à me masser la bite d’un mouvement doux.
Je me penchai sur elle et commençai à lui sucer les tétons, son corps se redressa en une offrande. Je passai ma langue alternativement sur l’un et sur l’autre pendant que ma main descendit sous sa jupe.
Qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle était entièrement rasée. Son mont de Vénus était bien rond et doux sous la paume de ma main.
Je le caressai doucement avant de glisser mon doigt entre ses lèvres. Elle était déjà très mouillée et je sentis son liquide se répandre sur ses cuisses. J’introduisis un doigt dans son minou et commençai avec le pouce un doux mouvement sur son clitoris que je sentis grossir sous son capuchon.
D’un mouvement elle fit glisser sa jupe sur le sol et se mit à genou en face de moi. Elle entrouvrit ses lèvres et commença une fellation comme personne auparavant ne m’en avait gratifié. Sa langue s’attarda sur mon gland dont elle fit le tour en s’arrêtant sur le frein. Puis petit à petit elle fit rentrer mon membre dans sa bouche et bientôt ses lèvres furent en contact avec mon pubis.
Je dois reconnaître qu’elle avait une gorge très profonde et très accueillante.
J’étais sur le point de lui lâcher mon sperme dans la gorge lorsqu’elle s’arrêta. Je fus un peu dépité sur l’instant, mais la voyant prendre l’assiette où restait la chantilly et l’approcher de mon sexe je devins intrigué.
Elle passa l’assiette sous mes testicules, qu’elle posa délicatement sur la chantilly. La glace et la banane était remplacées par un morceau de choix. Je vis passer un éclair de gourmandise dans ses yeux…
Elle entreprit alors de me lécher les couilles et la queue en même temps qu’elle lapait la crème. Elle prit même le soin de couvrir mon gland de cette précieuse mousse et recommença à me sucer. N’y tenant plus, je fermai les yeux et lui déchargeai de grosses giclées de mon liquide bien chaud dans la bouche.
Elle prit soin de me nettoyer le gland avec sa langue et se redressant, vint poser ses lèvres sur ma bouche. Nous nous embrassâmes goulûment. Le goût de mon sperme mélangé à la chantilly ne fut pas pour me déplaire.
Telle une chatte elle s’allongea sur la banquette et, me prenant la tête dans ses mains elle approcha mon visage de sa chatte
Elle n’était plus mouillée, c’était une fontaine qui coulait entre ses lèvres. Je décidai donc de me désaltérer et introduisis ma langue dans l’orifice de sa chatte. Elle bougea son bassin de façon spasmodique.
Mon pouce massa son clitoris alors que mon autre main s’aventura sous ses fesses rondes et fermes. Son jus s’étant répandu, il ne me fut pas difficile de lubrifier mon doigt et petit à petit de le rapprocher de son petit trou que je devinai vierge.
A mon grand étonnement, et alors que je m’attendai à la voir protester, elle poussa au contraire sa rondelle au-devant de mon doigt, de façon à ce que puisse la pénétrer tout en murmurant :
– Je te réserve mon cul pour la fin.
Mon sexe un instant flasque avait repris de la vigueur. Je me plaçai face à elle. Elle plaça ses jambes sur mes épaules et agrippant mes fesses, elle me tira en avant dans son sexe que je n’eus aucun mal à pénétrer.
Je commençai à la limer doucement puis de plus en plus vite, son bassin bougeant au rythme de mes allées et venues. Tout à coup, son corps se raidit et elle partit dans un gémissement profond, qui en dit long sur sa jouissance.
Elle retira mon sexe et m’intima l’ordre de m’asseoir sur la banquette, ce pour quoi je ne me fis pas prier, puis me tournant le dos, elle s’assit sur mon sexe et commença des mouvements de bas en haut au rythme de la musique qui nous parvenait assourdie.
Mon gland frappa le fond de son vagin et ses fesses s’écrasèrent sur mes couilles. De temps à autre elle ralentissait la cadence de façon à prolonger le plaisir le plus longtemps possible. N’y tenant plus je me crispai à ses hanches et lui déchargeai une seconde fois ma semence à l’intérieur du vagin.
Epuisé par ces deux éjaculations puissantes, je pensai notre séance terminée et son désir assouvi. Il n’en fut rien.
Elle m’allongea sur la banquette et entrepris de me nettoyer la queue, ne voulant rien perdre de ce que je lui donnai si généreusement. Le mouvement de ses lèvres sur mon gland, associé à celui de son index qui forçait l’entrée de mon anus, me redonna la pleine possession de mes moyens. Ce fut son tour de s’allonger et me tenant littéralement par la queue, elle approcha mon sexe de ses seins. Elle voulut me gratifier d’une branlette espagnole ce que je ne refusai pas. Ceux qui n’ont jamais essayé cet exercice n’ont pas connu le bonheur et je pensai bien réserver à son beau visage le reste de ma lotion.
Elle en avait décidé autrement et alors que j’allai décharger, elle se redressa, manquant de me faire tomber et prit la position de la levrette.
Je me mis donc derrière elle, sur le point de lui pénétrer le vagin lorsqu’elle se retourna et me dit qu’elle avait déjà assez de liqueur à cet endroit et qu’elle souhaitait expérimenter quelque chose de nouveau.
Je compris vite. Prenant avec mes doigts le liquide qui sortait de sa chatte, mélange de sperme et de cyprine, j’entrepris de lui lubrifier son petit trou avant d’y engager mon gland tout doucement. Je le vis disparaître dans son anus et décidai de pousser plus avant mon avantage.
Bientôt tout mon sexe fut en elle. Elle gémit de plaisir, me disant que c’était bon. Ses fesses commencèrent à bouger d’avant en arrière le long de ma queue. Je décidai de la laisser faire et lui écartant bien les fesses, contemplai mon sexe écartant son anus.
De sa main, elle se caressa le clitoris et bientôt son corps fut pris de soubresauts. Elle atteignit un nouvel orgasme dont je ne sus s’il était dû à ses propres caresses ou à ma queue en elle. De mon côté je sentis le plaisir monter dans mes couilles et ma verge et ne tardai pas à lui décharger le reste de mon foutre dans l’anus. Sentant le chaud liquide se répandre en elle, elle contracta sa petite rondelle, me retenant prisonnier. Elle s’écroula sur la banquette et je ne pus que suivre le mouvement. Nous nous sommes retrouvés l’un sur l’autre durant de longues minutes, à savourer l’instant présent.
Mon sexe étant redevenu flasque, je pus enfin me retirer d’elle. N’attendant probablement que cela, elle se redressa et décida de procéder elle-même à ma toilette avec sa langue.
Nous nous sommes rhabillés. Je voulus que nous échangions nos coordonnées, mais elle refusa en me disant simplement
– Si nous devons nous revoir nous nous reverrons.
Et elle disparut de l’alcôve.
Alors que je me dirigeai vers les toilettes, je croisai Gérard qui m’emboita le pas. Il choisit l’urinoir jouxtant le mien et nous sortîmes nos queues de concert afin de nous soulager. Quand j’eus pratiquement terminé, sa main s’égara sur ma queue. Cela le prenait de temps en temps et je me laissais faire volontiers, d’autant qu’il branlait et qu’il suçait fort correctement. Mais cette fois je protestai :
– Non, là je ne peux plus ! Je suis vidé.
– Elle baise comment, Isabelle ?
– Comment tu peux savoir…
– Avant que tu n’arrives, un videur l’a surprise en train de demander de l’argent à un client. On me l’a amenée dans mon bureau, elle était au bord des larmes. Je lui ai expliqué la politique de l’établissement : si une fille veut travailler ici, elle ne le fait qu’avec mon assentiment, en me versant une commission et en utilisant les codes de la maison. Je lui ai donc proposé de travailler pour moi, à condition de faire un essai concluant avec un client.
– Ça alors ! M’exclamai-je en mettant à mon tour ma main sur sa bite et en commençant à la branler
– Tu ne m’as pas répondu, c’était comment ?
– Divin !
FIN
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