Sylvain Zerberg

Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 18:49

Service à domicile

par Sylvain Zerberg

 

Bombe

Thémes abordés :  bisex masculine, bizarre, domination soft, donjon, engodage masculin, exhibition, feuille de rose, party, prostitution, scato, shaving, travestis, uro.

 

Je m’appelle Sylvain, j’ai 35 ans, châtain clair, divorcé et remarié. Hétéro, mais aimant bien les petites perversités et ne refusant pas de nouvelles expériences. Je bosse dans une société de services à domicile, je fais donc des dizaines de rencontres par jour et je vois donc toutes sortes de gens. Hier, j’avais rendez-vous toute la journée avec une femme, Madame Morgane S…qui avait des problèmes avec sa piscine en banlieue ouest. Il s’agit d’une superbe maison bourgeoise avec des domestiques.

La journée était chaude, une jeune asiatique en tenue de soubrette (qui, je le saurais plus tard, se prénommait Suzy) me fit entrer dans les lieux, je vis une superbe bombe d’une trentaine d’année en monokini sur le bord du bassin. Elle vient vers moi, sans se cacher ses seins, se présente, c’est elle Morgane. Je ne vous dis pas dans quel état je suis de voir cette merveille à 50 centimètres de moi ! Elle est toute désolée de ne pouvoir faire trempette, elle me demanda si je pouvais me dépêcher pour qu’elle puisse jouir des plaisirs de la baignade rapidement. Je lui répondis que je ferais mon possible pour la satisfaire. Ma réponse dû l’amuser car elle me sourit puis me dévisagea lourdement de la tête au pied, fit demi-tour puis et disparut dans la maison.

J’avais prévu la journée entière pour cette intervention, mais l’affaire fut plus rapide que prévue. Il était inutile de faire trainer puisqu’elle avait accepté par courrier un devis qui ne dépendait pas du temps de travail. Alors que la réparation était presque terminée, elle vint me voir, me proposa de prendre un verre, je lui répondis que je préférais finir et boire un coup ensuite, curieusement, cela parut la contrarier mais me laissa finir.

Une fois tout remis en état et les outils rangés dans la camionnette, je retourne la voir, elle me demande alors si je ne peux pas en profiter pour vérifier le robinet d’arrivée d’eau de la maison qui est, me dit-elle, difficile à manier.

– Oui bien sûr !
– O.K. Suivez-moi, et ne vous étonnez pas si vous voyez des choses bizarres.

Je vais chercher une pince multiprise dans la camionnette et suis la dame qui se dandine en tortillant ses fesses, je m’en fous plein la vue et ne me fais pas de soucis pour les « choses bizarres ». Des choses bizarres, j’en ai vu pas mal dans mon métier et je crois bien que pour me surprendre il faudrait y mettre le paquet. On descend au sous-sol.

Et pourtant là le choc : on entre dans une salle complètement surréaliste, avec des chaines, des instruments pour sado maso… et une croix de Saint André sur laquelle est attaché un beau jeune homme, complètement nu, imberbe, plutôt bien monté et qui donne l’air de se trouver très bien dans cette situation.

– Ah, ben ça alors ? Ne puis-je m’empêcher de m’exclamer.
– Je vous avais dit de ne pas vous étonner !
– Je vois qu’on s’amuse bien ici ?
– Je ne vous le fais pas dire… nous sommes un petit club, mais parfois on joue avec des invités… Si ça vous intéresse, il suffit de me le dire.
– Non, ce n’est pas mon truc… enfin je ne crois pas…
– Humm… vous n’avez pas l’air très sûr de vous…On dirait bien que ça vous intéresse un petit peu quand même… petit cochon… on va en parler après si vous voulez, mais pour l’instant si vous pouviez vous occuper de cette arrivée d’eau.

Je suis troublé de chez troublé. L’arrivée d’eau se trouve dans un petit placard bas dans cette pièce. Je desserre très légèrement l’écrou du robinet. C’est tout ce qu’il y a à faire.

– Et voilà !
– Quelle efficacité ! Quelle rapidité ! Je vous remercie. Mais dites-moi maintenant : votre trouble quand on est arrivé ici, c’était pourquoi ? Vous voudriez être à la place de ce charmant jeune homme ? Ou vous voudriez faire des choses avec lui ?
– Ben…
– Ben vous ne savez pas, ou vous n’osez pas le dire… Dites-moi : Vous aimez qu’on vous domine ?
– Non, enfin, très légèrement.
– Je vois… Vous voudriez que je vous domine, là tout de suite !

J’hésite, je regarde ma montre…

– Ne me dites pas que vous n’avez pas le temps ?
– J’hésite ! Je ne m’attendais pas à ce genre de proposition…
– Alors je compte jusqu’à 10. Si à 10 vous n’êtes pas décidé, on n’en parle plus et vous pourrez regretter d’être passé à côté de quelque chose… 1, 2…
– D’accord !
– On dit « Oui maîtresse ! »
– Oui maîtresse !
– Mets-toi à poil !
– Là tout de suite ?

Je reçois une gifle !

– Bien sûr que c’est là tout de suite, tu en as d’autres des questions idiotes ?

Je me déshabille et range mes vêtements sur une chaise qui à la bonne idée de se trouver là.

– Tu vas te pencher sur le chevalet, je reviens m’occuper de ton cul de salope.

Comment qu’elle cause, la bourgeoise ?

Me voilà semi couché sur le machin tandis qu’elle quitte la pièce. Elle revient plusieurs minutes après. Elle s’est changée, un blouson de cuir noir fermé devant avec une fermeture éclair, des grandes bottes, mais la chatte (rasée) et le cul à l’air. Elle s’empare d’un martinet et commence à me chauffer les fesses. Je pousse des petits cris de douleur.

– Je ne veux pas t’entendre, si tu veux tout arrêter tu dois prononcer deux fois le mot « alouette », et à ce moment-là je te vire, sinon le reste, tu peux gueuler, je n’en tiens pas compte.

Les coups continuent à dégringoler, mais je m’habitue, j’ai vite le cul en feu. Elle me détache.

– A genoux et ouvre ta bouche, je vais te cracher dans la gueule !
– C’est peut-être pas indispensable !
– Je crache toujours sur mes esclaves, ils adorent ça. Ouvre ta bouche !

Je n’aime pas trop ça, mais que voulez-vous, il faut bien qu’elle s’amuse aussi.

– Dis-moi, que préférerais-tu ? Sucer la bite de cet esclave ou me lécher mon trou du cul !
– Euh, votre trou du cul, maîtresse.
– Mauvaise pioche ! Tu vas d’abord sucer l’esclave.

Et bé ! Il y a bien longtemps que je n’ai pas sucé une bite, moi ! Mais ça ne me dérange pas, je la prends en bouche et la suçote pour lui donner une vigueur qu’elle ne tarde pas à acquérir, puis je commence une fellation en règle, en fait je me régale, l’occasion de faire ce genre de chose ne se renouvellera peut-être pas de sitôt, à moins de revenir ici.

– C’est bon la bite, hein ?
– Humm ! Répondis-je la bouche pleine.
– Je crois qu’on va bien s’entendre, j’adore les hommes qui sucent des bites… Bon assez ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir.
– Bien maîtresse !
– Tu te rends compte de ce que tu viens de faire, tu viens de sucer la bite d’un mec, tu es pédé ? Rigole-t-elle.
– Non maîtresse, mais j’aime bien essayer des trucs.
– Et bien, on ne va pas se gêner, lèche-moi le cul, maintenant.

Je lui écarte les fesses, et approche mon visage. J’ai un léger mouvement de recul : Son cul ne sent pas vraiment la rose ! Mal essuyé ? Mal lavé ? Ou alors elle vient de péter ? Après un instant d’hésitation et d’accoutumance, je lèche son anus, le goût est âcre, mais pas désagréable du tout, on s’habitue à tout.

– Il est comment mon cul ?
– Il est bon maîtresse !
– Ça je le sais bien, mais il a quel goût ?
– Eu un peu fort ?
– Un peu fort ? Je ne comprends pas, il a une odeur alors ?
– Oui, mais ça ne me dérange pas.
– Je vois bien que ça ne te dérange pas, mais dis-moi l’odeur c’est quoi ?
– Ben disons que ça sent un tout petit peu le caca…
– Ah, oui, j’aurais donc oublié de m’essuyer ce matin… je suis tellement distraite… mais en fait ça m’arrive souvent, j’adore que mes esclaves sentent l’odeur de mon cul et me servent de papier-toilette… Bon c’est bien nettoyé, où il faut que tu continues ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien vous lécher encore…
– Mais c’est qu’il y prend goût ce petit salopard… Non, pour le moment on va faire autre chose, j’ai une idée, tu n’es pas pressé au moins ?
– Non, non.
– Je vais faire une surprise à mon mari, il ne devrait pas tarder à entrer, je vais te préparer et il va t’enculer…
– C’est que…
– C’est que quoi ? Il a une très belle bite, et toi tu es un suceur de bite, quand on suce des bites, on ne doit pas avoir peur de se faire enculer…
– C’est que je ne l’ai jamais fait…
– Et bien justement il va te dépuceler, ce sera encore plus excitant.

Elle appelle alors deux domestiques, Suzy, l’asiatique qui m’a fait entrer tout à l’heure et Melissa, une blackette et leur demande d’apporter le matériel nécessaire afin de me raser intégralement…

– Ce n’est peut-être pas nécessaire… Balbutiai-je, et puis que va dire ma femme…

Je reçois une gifle !

– UN ! C’est nécessaire, mon mari n’encule que des mecs complètements rasés, il a horreur des poils ! Quant à ta femme, ne t’inquiètes pas, je t’expliquerais ce qu’il faut dire, tout se passera bien, je ne suis pas là pour briser ton ménage…

Les deux nanas reviennent avec le matériel, cuvette, gel de rasage, après rasage, serviette… puis se déshabillent intégralement. Elles commencent par le torse, les jambes puis ma queue et mon anus. Je ne vous explique pas dans l’état où se trouve mon sexe, je suis bandé à fond. Morgane contemple le résultat…

– Humm… pas mal du tout… les filles, allez lui chercher des collants, un porte-jarretelles, une perruque blonde, et de quoi le maquiller… allez plus vite que ça… Si Monsieur arrive dites-lui de ne monter que dans une demi-heure, vous lui expliquerez que je lui prépare une surprise.

Manquait plus que ça, mais je ne réagis même pas…

– Tu les trouves comment mes soubrettes ?
– Mignonnes !
– N’est-ce pas ! Si nous devenons amis, tu pourras faire des trucs avec, elles sont très obéissantes et pas farouches du tout… mais faut le mériter…

On me fait enfiler les bas, on me maquille, on me perruque… Mon image dans le miroir renvoie celle d’un inconnu, je ne me trouve décidément pas mal en travelo…

– Je te fais grâce des escarpins, c’est la première fois, tu risques d’être plus ridicule qu’autre chose et ce n’est pas le but recherché… Par contre je vais te rougir un peu les fesses, je n’ai pas assez tapé tout à l’heure, elles sont vraiment trop pâles. Allez, cambre-toi.

Je ne proteste même pas, j’espère simplement qu’elle ne va pas frapper trop fort… Non ça va… ça va, mais c’est juste. Au bout d’une vingtaine de coups de martinet, elle s’arrête, me fais me retourner, et me fixe deux pinces sur le bout des tétons, curieuse sensation qui me fait rebander comme jamais.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, maîtresse…
– Tu fais ce que tu veux, alors, si je comprends bien ?
– C’est ce que vous me faites qui me fait bander, maîtresse !
– Bon, alors ça va !
– Monsieur est arrivé, il attend dans le salon ! Viens dire Suzy, la petite asiatique.
– OK, tu lui as dit que je lui préparais une surprise ?
– Oui, madame !
– Demande-lui qu’il se déshabille avant de descendre, et suce-lui la bite avec Melissa, je veux qu’il arrive ici bandé et excité.
– Comptez sur nous, madame !

dom612.jpgQuelle maison de dingues !

Morgane m’attache les mains au plafond à l’aide de poulies, puis Norbert (le mari) fait son apparition.

– Bonsoir chérie ! J’ai vu que la piscine était réparée, et la surprise, je suppose que c’est cette tantouse, dit-il en me désignant !
– Il te plait j’espère ? Sinon, c’est pas grave, on le vire…

C’est humiliant tout de même cette façon de parler de moi…

– Il a l’air mignon ! Juge le Norbert qui me contourne et me pelote les fesses… Joli cul en tout cas… il a dû en voir passer des bites par-là !
– Ben, non justement, il m’a dit qu’il était puceau du cul !
– Il est puceau de la bouche aussi ?
– Non, il a sucé mon client tout à l’heure, il avait l’air de se régaler…

Hein ? Quoi ? Elle a parlé de client ! Ce serait donc une professionnelle ? Une fois le trip fini, elle va me demander de l’argent ou alors une réduction sur la facture de la réparation… Ça me paraissait bizarre aussi cette affaire de « club » ! Je décide d’en avoir le cœur net.

– Vous avez parlé de client vous êtes une pro ?

Elle a l’air étonné de ma question, mais ne se défile pas.

– Nous en parlerons tout à l’heure, je suis une semi pro, je fais des choses avec des clients et avec des non-clients… comme toi par exemple… si ça te pose un problème de savoir que je fais la pute, tu es libre de partir, je ne te demande rien.
– Non, je veux bien rester !
– Ok, tu ne le regretteras pas !

Du coup, Norbert prend alors conscience de la présence du mec attaché à la croix dans le coin obscur de la pièce.

– Heu, et celui-là, tu le laisses attaché ?
– Pour l’instant oui, mais si tu ne veux pas qu’il te voit faire des choses avec ce jeune homme, je peux lui bander les yeux.
– Non, non, plus on est de fous, plus on rit.

Morgane me détache et me fait mettre à genoux devant Norbert.

– Suce, salope !

Je l’aurais parié. Cette queue était plus grosse que celle de l’esclave, mais tout aussi agréable à prendre dans la bouche, je m’efforçais de sucer de mon mieux, me disant que plus il serait excité moins la sodomie serait longue.

– T’aime ça sucer des bites ?
– Oui, maîtresse ! Répondis-je interrompant un instant ma fellation.
– Ne répond pas à ses questions idiotes, on voit bien que tu aimes sucer des bites, pas la peine de demander, suce-moi encore !

Je suce encore, je vais finir par me faire mal à la mâchoire… puis l’ordre tant redouté intervint :

– A quatre pattes…

Le mec se capote, me fout du gel sur l’anus, puis m’enfonce un doigt qu’il fait aller et venir.

– Il est étroit, tu aurais dû le préparer avec un gode ! Dit Norbert.
– Je n’y ai pas pensé, et puis je n’ai pas eu tellement le temps.
– Fallait te débrouiller… ça mérite une punition…
– Ben voyons !
– Tu ne veux pas jouer ? S’inquiète le mari.
– Si, si punis-moi !
– OK, vous les deux boniches, vous allez m’attacher Madame sur la seconde croix et vous lui donnerez chacune dix coups de martinet sur le cul…

Ça devient du délire, bien sûr Morgane se laisse faire, même qu’elle a l’air de prendre son pied en se faisant fouetter son joli petit cul.

– Laissez-la attachée, Suzy, tu prends un gode, le plus petit modèle et tu encules ce travelo avec, Melissa tu en prends un plus gros et tu passeras après, moi je passerai en troisième…

J’ai donc droit à un premier gode qui me trifouille le fondement, j’avoue que la sensation n’est pas désagréable sauf cette impression de gêne que le plaisir n’arrive pas à faire disparaître complètement, question d’habitude probablement, avec le deuxième je me sens déjà mieux rempli… ce n’est pas vrai que l’accoutumance se fait déjà ? Puis sans transition la bite de Norbert m’encula…

– Alors c’est bon ?
– Ça va !
– Je ne t’ai pas demandé si ça allait, je t’ai demandé si c’était bon !
– Oui, c’est bon !
– Ah, je savais bien !

Au bout de dix minutes, il ressort de mon cul sans avoir joui, j’ai l’anus en marmelade et j’ai surtout envie de me reposer, mais voilà qu’il me tend sa bite toujours encapotée et pas très nette. Pourvu qu’il ne me demande pas de la nettoyer. Pas tout le même jour quand même… Effectivement le mec est intelligent, il a dû voir ma tronche, et se tourne vers Melissa qui lui nettoie tout ça sans aucun problème.

– Détachez Madame ! Toi, me dit-il, tu mérites une récompense, tu vas enculer ma femme, et moi je vais regarder le spectacle pendant que ces deux petites putes vont me sucer la queue. Mais avant, je vais gouter ta bite…

Il me suça donc quelques instants, très bien d’ailleurs et sans doute mieux qu’aucune femme… La suite était pour moi complètement inespérée, je me demande si ça ne cache pas un piège… En fait non, Morgane se met gentiment à quatre pattes, on me passe une capote, et je m’enfonce en elle avec une facilité déconcertante. Je suis tellement excité que je jouis en elle en moins de cinq minutes, tandis que Norbert décharge dans la bouche de la petite asiatique.

Bon je suppose que c’est fini, je vais pouvoir me rhabiller et repartir avec plein de souvenirs inénarrables dans la tête.

– Ça donne un peu soif tout ça ! Dis-je espérant qu’on m’apporte à boire.
– C’est vrai, je t’avais proposé un verre tout à l’heure, ça m’est sorti de l’idée. M’indique Morgane.
– Ce serait bien volontiers, maîtresse !
– Alors, couche-toi sur le dos, ouvre ta gueule de porc, je vais te pisser dedans.

Pour avoir déjà fait ce genre de choses, ce ne fut pas une corvée, je m’efforçais de boire tout ce joyeux liquide, Melissa et Suzy furent invitées à la rejoindre, j’étais littéralement trempé dans une marre de pisse et me surprenait à rebander…. mais je fus un peu plus inquiet quand je la vis s’accroupir différemment de façon à ce que son anus soit à quelques centimètres de mon visage.

- Et maintenant un bon gâteau au chocolat !

Je vois avec stupeur son trou du cul qui se dilate.! Je suis fasciné par ce spectacle et me dis que vu l'état d'excitation dans lequel j'étais de nouveau, je n'aurais aucun recul devant cette pratique extrême ! 

Un long boudin brun s'éjecte de son anus et vient s'écraser sur mon menton. Morgane se saisit de l'étron le porte près de son visage et y donne quelques coups de langue, puis l'approche de mes lèvres.

- Non !
- Si je l'ai fait, tu peux le faire aussi ! Rétorque-t-elle

Alors j'ai léché sa merde et me suis surpris à rebander.

- Maintenant tu me nettoies, devant et derrière !

Bien sûr que je lui nettoie la chatte dont les plis sont encore imbibés de son urine. Mais j'ai fermé les yeux pour lui nettoyer l'anus il avait bon goût 

- Melissa et Suzy, finissez-le !

Les deux femmes se badigeonnèrent les mains avec l'étron de Morgane, puis Suzy me masturba pendant que Melissa me pinçait les seins avec ses doigts merdeux.

Pour la deuxième fois je jouissais comme un dingue, Suzy récupéra tout mon sperme dans sa jolie bouche avant de le partager avec sa collègue. Je me relevais, me demandant comment j'avais pu faire de pareilles choses.


- Bon je vais te laisser partir… il faut que je finisse cet esclave. Douche-toi un peu, tu en as besoin.

On se quitte, à mon grand regret elle ne me propose pas de revenir, elle redevient distante, elle me donne congé avec une poignée de main accompagnée d’un merveilleux sourire, j’aurais aimé un petit bisou, tant pis !

A 19 heures j’étais chez moi, j’embrasse ma femme

– Alors Sylvain, cette journée ?
– Bof un gros problème avec une piscine, j’y ai passé un temps fou…
– La routine quoi ?
– Ben oui, la routine

Putain, comment vais-je faire pour lui cacher mes fesses ? Quelle explication vais-je trouver pour expliquer le rasage de mon corps ? Morgane m’avait dit qu’elle m’en reparlerait, elle a oublié… Et voilà mon téléphone qui sonne.

– Allo !
– Je suis le docteur Martin ! Entendis-je

Mais c’est la voix de Morgane.

– J’ai oublié de vous donner le nom du produit pour vous badigeonner le corps, vous notez ?

Je note et elle raccroche. Ma femme m’interroge, je lui explique alors que j’ai dû aller au dermatologue suite à une allergie inconnu et qu’on a été obligée de me raser les poils… L’explication passe comme une lettre à la poste.

Et voilà que ça sonne de nouveau

– Il me semble que vous ayez oublié votre pince multiprise ! Me dit Morgane
– Pas bien grave, j’en ai d’autres, gardez là en souvenir.
– Non, tu vas venir la rechercher mercredi prochain à 14 heures très précise. Je recevrais un couple d’amis et nous aurons besoin de toi pour nous amuser.
– D’accord !
– Et si tu veux je te ferais un bon gâteau au chocolat…
– D’accord !
– Ce n’est pas comme ça qu’on dit !
– D’accord Maîtresse !

– A qui tu parlais, me demande ma femme ?
– Oh, à une maîtresse d’école…

Sylvain Zerberg – 2010

D’après une nouvelle signée James 007 et publié sur le site de Sophiexx en 1999

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Vendredi 22 juin 2007 5 22 /06 /Juin /2007 13:51

Courte paille

par Sylvain Zerberg

 

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 Courte paille

par Sylvain Zerberg


Bonjour je m'appelle Patrick et j'ai 35 ans, je travaille dans la presse. Nous nous sommes rencontrés Yvette et moi il y a dix ans environ. Elle venait juste de divorcer d'un premier mariage malheureux et m'avait été présentée par une de mes amies qui connaissait bien mes goûts en matière de femme. Grande, bien en formes, fausse blonde aux yeux clairs, cultivée, de dix ans mon aînée : elle avait vraiment tout pour me plaire. Et étant donné moi je lui plaisais également, on ne tarda pas à se retrouver dans le même lit. Dans ce domaine également nous nous entendions parfaitement et à cette époque c'était souvent matin midi et soir. Elle ne tarda pas à se retrouver enceinte et je me décidai à l'épouser pour parfaire notre union. 


Les années qui suivirent furent parfaites, nous nous entendions à merveille et nagions dans le bonheur en toute complicité. Yvette commença à se poser des questions à l'approche de ses 45 ans, elle se sentait sans doute vieillir, avait peur de ne plus être aussi désirable, ni même intéressante au lit. J'essayais évidemment de la rassurer du mieux que je pouvais mais c'était plus fort qu'elle. Sans doute aussi la différence d'âge qui ne l'avait pas gênée jusque-là commençait-elle à l'inquiéter. Elle devenait jalouse et agressive. J'avais entendu dire par des amis que les femmes de cet âge soit commençaient à s'empâter dans la vieillesse en s'éloignant peu à peu des choses de l'amour, soit au contraire devenaient plus salopes et plus vicieuses et avaient besoin de plus de piment dans leurs relations. En ce qui me concerne, je n'avais nulle envie que ma femme opte pour la première solution. 


Aussi, je lui proposai de partir en vacances, rien que tous les deux pour un peu faire le point. 


Pendant le voyage, je lui fis part d'une idée. 


- J'ai lu un truc sur Internet, un jeu érotique, on tire au sort et le perdant doit obéir au gagnant pendant une période qu'on détermine, une heure, une journée, une semaine... Ça te dirait ?

- Je veux bien essayer ! 


Elle avait effectivement l'air intéressée... Et nous voici partis tous les deux en amoureux faire un peu de randonnée en montagne ce dont nous avions aussi perdu l'habitude depuis pas mal de temps. Et cette année-là le mois de septembre est radieux. Le premier jour, alors que nous faisons une halte près d'un petit étang, je dis à Yvette :


- Si on jouait au petit jeu dont on parlait hier !

- Ok on y jouera ce soir !

- Pourquoi pas tout de suite ?

- Pas dehors quand même ?

- Rassure toi je ne vais pas te demander des choses impossibles ! Et puis on n'a pas tiré au sort, c'est peut-être toi qui vas gagner !


Je me préparai à la faire tirer à la courte paille, mais une question restait en suspens :


- Pour la durée...

- La durée, ce sera nos huit jours de vacances, me proposa Yvette, le jeu ne s'arrêtera qua quand on repartira !


Bon pourquoi pas, je me demandais quand même ce qu'elle pourrait bien exiger de moi si je perdais, mais le sort me fut favorable...


- Ce n'est qu'un jeu, si tu veux qu'on arrête, on arrête !

- J'ai bien compris mais pour l'instant on n'a même pas commencé !

- Alors je vais commencer : J'aimerais que tu baisses ton pantalon et que tu me montres tes belles fesses, chérie, j'ai très envie de te faire l'amour.


Elle a l'air estomaquée. Elle se retourne et son regard me dit que je suis devenu fou, que ça ne se fait pas, pas ici... qu'on pourrait nous surprendre... Mais je réitère ma demande, cette fois de façon plus grossière :


- Oui tu as bien entendu, cela fait dix kilomètres que je vois ton cul balancer devant mes yeux et ça me donne la trique, tu comprends ? Alors défais-toi vite que je te baise et viens tâter ma bite pour voir si je mens.

- Non, arrête, pas ici, c'est tout dégagé, on pourrait nous apercevoir, on fera ça tout à l'heure à l'hôtel.


Mais je m'approche et fermement commence à dégrafer son pantalon


- Tu ne veux déjà plus jouer ?

- Si, mais fais attention...

- Pas de chichi Madame, vous n'aviez qu'à pas m'allumer en vous déhanchant, maintenant c'est trop tard.


Je baisse son pantalon et la culotte avec. C'est vrai qu'elle pourrait faire des efforts et s'habiller un peu plus sexy. Je m'agenouille derrière elle et commence par lui lécher les fesses et l'anus, j'adore lui lécher le trou du cul, en plus il n'est pas très net, et sent un petit peu la merde, mais ça ne me dérange pas du tout, au contraire, ça aurait tendance à m'exciter. Puis je la retourne et entreprends un savant cunnilingus qui ne peut que la troubler. Debout, les jambes écartées, sans rien pour se tenir, elle commence à fondre dans ma bouche. Je redouble d'effort et avale sa cyprine. Quoiqu'elle en dise cela fait longtemps qu'elle n'a pas été aussi trempée. Je me relève, on verra pour une petite pipe plus tard, pour le moment j'ai surtout envie qu'elle reste debout, penchée en avant, le cul bien tendu et que je la prenne debout face au lac. Et me voici en train de baiser cette cochonne près d'un lac en attendant de lui asperger copieusement son intimité. 


Ce qui devait arriver arriva, tandis que nous nous rhabillons, nous voyons arriver un couple dans la cinquantaine ainsi qu'un type entre 20 et 30 ans genre étudiant sérieux, peut-être leur fils. En dévalant le plateau, ils ont bien eu le temps d'observer toute la scène, il suffit de voir les regards lubriques des deux hommes pour en être assuré. Quant à la femme elle est pour le moins ulcérée quand son mari s'adressant à ma femme : 


- C'est un très beau panorama que l'on a ici et cela fait toujours plaisir de rencontrer une femme charmante !


Ça il aurait pu s'en passer, il ne va pas tarder à se faire remonter les bretelles. Quant à l'étudiant, il a les yeux rivés sur les fesses de mon épouse et ne sait pas comment camoufler la bosse qu'il a sur son pantalon. En définitive ils poursuivent leur chemin en se faisant incendier par leur mégère et nous leur emboîtons doucement le pas pour être sûr de ne pas les rattraper. Finalement, tout ceci me donne une idée. Au lieu de redescendre vers le village pour rejoindre notre hôtel, nous continuons de loin à suivre cette petite famille. Ma femme est un peu inquiète mais je lui dis qu'il y a un chalet en haut, un refuge pour les alpinistes, sans doute pas autant de confort qu'à notre hôtel mais ce sera plus sympa. Et j'ai fait mouche, c'est bien par-là que nos voyeurs se dirigent. Nous nous y retrouvons, le vieux est apparemment content de retrouver ma femme, il lui fait tout de suite la causette et elle a du mal à s'en dépatouiller. Pendant ce temps, je m'arrange pour que nous ne soyons pas trop loin d'eux dans le dortoir. Il n'y a que des petits lits superposés et je décide que je dormirai en haut et que ma femme prendra celui du bas. Le soir venu, après le repas, je propose à mon épouse d'aller faire un tour dehors et une fois à l'écart je lui dis.


- Quand on va retourner là-bas, je veux que tu te déshabilles entièrement près de ton lit et sans précipitation pour que ce type te regarde bien entièrement.

- Ça ne va pas, tu es complètement fou, c'est hors de question.

- Si tu vas le faire et ça va t'exciter de jouer l'allumeuse, je suis sûr que tu vas le faire bander ce cochon.

- Oh non, on arrête le jeu ! Je ne peux pas faire ça !

- Mais si tu veux, tu n'es pas obligée de faire un strip-tease non plus, tu n'as qu'à faire ça comme si tu étais habituée.

- Bon je te promets pas, on va voir !


Et le pire d'en tout ça c'est qu'elle a eu le cran de le faire. Elle retirait ses habits les uns après les autres, mimant calme et décontraction. Et il y avait au moins cinq personnes qui la regardaient, moi bien sûr, les trois membres de l'autre famille et un homme célibataire qui dormait de l'autre côté. Elle est d'abord restée très longtemps torse nu, seins à l'air à faire semblant de trier des papiers. Puis elle a ôté le reste et s'est carrément allongée nue sur le lit en train de feuilleter un dépliant. Au bout d'un moment elle a même posé sa main sur sa chatte, en faisant mine de se gratter, plusieurs fois de suite en écartant les cuisses à chaque fois un peu plus. Puis elle a fini par se glisser dans son duvet. 


Durant la nuit, je suis descendu de mon couchage et ai dégrafé lentement le duvet avant de m'allonger nu près d'elle et je l'ai caressée dans son sommeil. Evidemment, elle s'est réveillée en sursaut et j'ai dû lui mettre la mettre devant la bouche. Puis, sans plus hésiter, je l'ai pénétrée et ai commencé à la raboter. Et tandis que je la défonçais, l'étudiant s'est réveillé et nous a regardés en s'astiquant dans son duvet. Et lorsque j'ai sorti ma queue pour cracher ma semence sur ses fesses et dans son dos, je suis certain que le voyeur lui aussi a tout craché. 


Le lendemain, nous sommes repartis vers le village. Nous sommes redescendus vers la rivière. Il y avait de ce côté beaucoup plus de monde : Des pêcheurs et même des gens qui se baignaient. Je l'entraîne sous un arbre, un peu à l'écart des autres.


- Tourne toi chérie et montre-moi ton cul, j'ai envie de te donner une fessée.


Elle proteste à nouveau, menace de s'en aller. Mais je lui explique que vu la distance qui nous sépare des gens qui sont près de la rivière, ils pourront mater, mais pas la reconnaître ensuite. Je ne la convins qu'à moitié mais elle accepte de se tourner, elle m'exhibe ses fesses, du coup je c'est moi qui la retourne et qui la fesse. Ça m'existe terriblement, rapidement elle a le cul tout rouge, je lui dis de ne pas bouger d'un pouce, et fait quelques mètres pour approcher d'un arbuste dont je détache une toute petite branche assez souple que je débarrasse de ses feuilles. Je m'aperçois alors que plusieurs personnes plus loin regardent dans notre direction, plus près je perçois une sorte de mouvement derrière des fourrés. Un ou plusieurs zigotos ont donc décidé de s'approcher pour voir mieux ! Ça m'embête un peu pour la suite, mais je décide de faire comme si de rien n'était. Muni de ma mini branche, je vise le fessier de ma moitié et la cingle joliment. Le traitement à l'air de lui plaire, les rares fois où je lui ai donnée des fessées comme ça pour rire, cela lui avait plu, mais je n'avais jamais tapé si fort et je ne m'étais jamais servi d'autre chose que de mes mains.


- Bon ça va aller tu peux te reculotter, ma chérie !

- Ok, mais avant je voudrais bien faire pipi, je vais aller dans les fourrés là-bas !

- Sûrement pas, tu ne changes pas de place et tu pisses ici !

- Tu exagères !

- Je sais !


Yvette baisse son pantalon et sa culotte et s'accroupit, elle devait avoir une grosse envie car de suite son urine jaillit de sa chatte et dégringole en formant une petite flaque sur la terre grasse qui finit par l'absorber.


- Je vais aller plus loin, je crois qu'il faut que je fasse caca.

- Non, non, fais ici, tu sais bien que j'aime te regarder quand tu chie.

- Gros cochon !


Elle pousse, me fait un gros boudin et s'essuie avec des feuilles d'arbres


- Ne te rhabilles pas, du coup, j'ai moi aussi envie de pisser !

- Qu'est-ce que tu vas encore inventer ?

Yvette.jpg

Sans lui dire je m'approche d'elle, sort ma bite et avant qu'elle ne réalise, je l'arrose, elle se détourne alors que je visais son sexe mais en reçoit plein les cuisses.


- Tu es fou, tu m'en mets partout !


Mais elle rigole comme une bossue et moi aussi d'ailleurs, on attrape un vrai fou rire, on se rapproche on s'embrasse tendrement. Une folle envie de faire l'amour m'envahit, mais on ne fera le fera pas ici


- On va faire un tour par là-bas ! Proposais-je à Yvette !

- Mais non, on descend vers la rivière, ils vont pas nous tuer !


Nous tuer, non mais ils font des drôles de têtes quand on s'approche. Pas un mot, des regards étranges ! L'un deux très courageux attendra qu'on les ait dépassés de 20 mètres avant de lâcher :


- Faut pas vous gêner surtout !


Du coup les autres se déchaînent, on se fait traiter de tous les noms ! On accélère le pas ! 


- La prochaine fois on vous jette des pierres ! Nous prévient un autre abruti !


Quelles bandes d'hypocrites, ils se sont rincés l'œil et maintenant ils nous menacent d'un Intifada ! On emprunte un petit pont et on se sauve...


On a été trop loin, pas question de rester dans ce coin. Revenu dans la vallée on décide de quitter l'hôtel le lendemain. Entre temps nous apprenons qu'il y a un bal dans un bourg voisin, du coup j'emmène Yvette choisir une robe très décolletée et très provocante, le genre de truc à porter sans presque rien en dessous. Le hasard a voulu qu'il y ait dans le public l'un des types qui étaient au bord de la rivière l'après-midi ! Mais ici pas question de lui jeter des pierres, ils sont tous à essayer de l'inviter à danser en bavant comme des crapauds. On les laisse faire un peu mais ils commencent vraiment à la coller de très près, l'un d'entre eux lui a peloté les nichons, l'autre a essayé de l'embrasser. Je me rapproche, il ne faudrait pas que ça tourne en bagarre non plus... Alors je leur dis.


- Ma femme a très envie de vous montrer sa petite chatoune. Seulement montrer, alors pas touche, c'est chasse gardée. Chérie si tu remontais ta robe, je crois que nos amis sont intéressés.


Elle devient écarlate, Ils sont au moins six ou sept à nous entourer. Son regard semble m'implorer, elle espère encore que je vais la sortir de ce mauvais pas. On sort de la salle de bal.


- Vas-y chérie montre-nous tes belles fesses bien pleines et ta petite moule poilue.


Elle finit par y consentir et relève timidement sa robe laissant apparaître le haut de ses cuisses. Les autres sont très excités, ils l'incitent à aller plus loin, à montrer son cul et pourquoi pas le reste. Ils lui demandent de se mettre à poil. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais cette cochonne le fait. Elle se retrouve entièrement nue au milieu de tous ces mecs et ça n'a pas l'air de la gêner. Des mecs sortent leurs queues et commencent à se branler. J'ai bien peur de ne plus trop contrôler la situation car Yvette est au milieu en train de se caresser devant eux. L'un d'eux essaie de la toucher.


- On ne touche pas ! Répétais-je !


Je vais avoir du mal à contrôler la situation. D'autant qu'Yvette complètement à l'ouest se masturbe en plein milieu du groupe d'homme. Je ronge mon frein. Pourvu que ce ne soit pas elle qui leur disent de la toucher ! Ma femme se branle sans retenue, je ne l'ai jamais vue ainsi, d'ailleurs je ne l'ai jamais vue se branler. Deux des mecs se mettent à décharger, le jus de l'un d'eux gicle sur les fesses de ma femme, puis c'est au tour d'un deuxième et enfin deux autres mecs dont l'un encore lui projettent son foutre sur les cuisses. Les autres ont abandonné, nous ramassons vite fait nos affaires et rentrons à l'hôtel après les avoir salués.


C'est alors qu'elle m'a dit :


- Pour l'instant c'est toi qui me commande, quand j'en aurais marre on échangera les rôles ! Mais tu as joué avec le feu, j'ai réellement pris goût à ces petits jeux, j'ai encore des trucs à essayer, la prochaine fois que je me trouverais au milieu d'un groupe d'hommes, je leur sucerai la bite devant toi...

- Euh !

- Ben oui !


Sylvain Zerberg


Adaptation d'un récit intitulé " Je montre ma femme " signé " Jean-Paul " et publié en septembre 1999 sans mail d'auteur puis supprimé sur le site de revebebe


Juin 2007

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 22 juillet 2006 6 22 /07 /Juil /2006 16:43

Me faire prendre par ma maîtresse

par Grenouille et Sylvain Zerberg

 

Gode stamp

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Est-ce possible que je puisse raconter une histoire excitante ? J'en lis à l'occasion mais jamais je n'aurais cru que je vivrais quelque chose digne d'être raconté… et pourtant…. Lisez donc ce qui suit ; j'espère que cela vous excitera bien

 

Depuis plus d'un an, j'entretiens une liaison virtuelle avec une femme magnifique, grande, bien bâtie, des seins magnifiques, des fesses joufflues et une chatte ravissante. J'en ai fait la rencontre sur un site de chat internet. Elle m'a fait accomplir des actes très osés et provoquer des érections et des éjaculations inoubliables devant mon écran. Je me demandais si un jour nous pourrions passer du virtuel au réel.

 

C'est elle qui me l'a proposé, elle devait monter à Paris le jour de la St Valentin, et elle me promettait l'extase. Je l'ai donc retrouvé à la gare où nous nous sommes enlacés comme de vieux amants en pleines retrouvailles et avec une telle passion que nous aurions fait l'amour sur place sans se soucier des milliers de voyageurs autour de nous.

 

N'y tenant plus, nous nous sommes dirigés vers l'hôtel qu'elle m'avait demandé de réserver. Aussitôt la porte de chambre refermée et verrouillée, elle se transforma en vraie tigresse. Elle me déshabilla en un temps record et elle me projeta sur le lit. Elle se plaça entre mes jambes. À son regard, je n'arrivais pas à deviner quels supplices elle me réservait. Cependant, elle avait déjà saisi mon sexe entre ses deux mains et commençait à me branler, déterminé à m'amener au septième ciel.

 

Sa bouche ne tarda pas, me regardant prendre mon plaisir elle engouffrait ma queue au fond de sa gorge. Elle débutait un va-et-vient rythmé des mains et de sa bouche alternant rythme, pression et succion. À chaque instant où j'étais sur le point de jouir, elle créait une diversion qui m'empêchait d'exploser. Je n'en pouvais plus. Reprenant son manège, elle glissa une main sous mes cuisses et je sentais ses doigts me caresser les couilles. La petite coquine poussa plus loin ses caresses, ses doigts commencèrent à caresser mon anus et se faisant de plus en plus pressés. Elle appuyait de plus en plus précisément de façon à me pénétrer. Je soulevais une jambe afin de lui donner un accès plus facile.

 

Elle enduit copieusement ses doigts de lubrifiant et recommença ses caresses et introduit un doigt en moi, puis un deuxième. À ma grande surprise, je bandais comme jamais et plus elle me prenait avec vigueur plus la jouissance montait en moi.

 

- Tu aimes ça un doigt dans le cul ? Hein ?

- Oui, c'est bon !

- Je t'en mets deux maintenant, tu aimes !

- Oui !

 

Mon cul est en feu, ma bite au bord de l'explosion. Elle retire ses doigts et me les approche de ma bouche.

 

- Nettoie !

- C'est que, heu, ils sont sales

- Et alors ? Quand je te faisais mettre un doigt dans le cul devant ton écran, et que je te demandais de le lécher, ils étaient toujours propres ? Ou alors tu me jouais la comédie, tu ne léchais rien du tout. Si c'est ça, je serais très déçue, mais tant pis on s'arrêtera là !

 

Lui avouer que j'avais (un peu) triché devant l'écran m'est impossible, car la perspective qu'elle me plaque là et sans doute définitivement m'est insupportable. La seule solution est de me faire violence et d'entrer à fond dans son délire en espérant que l'amour que je lui porte et l'excitation de la rencontre m'y aidera. Je lèche donc ses doigts, longuement et complètement.

 

- C'est bien tu es un bon esclave ! On va pouvoir passer à la suite !

 

Elle va ouvrir son sac de voyage et en extrait un dildo en forme de pénis de taille comparable à mon sexe soit près de 18 cm avec un diamètre de 3 cm de diamètre. Elle lubrifie le dildo et m'ordonne de me placer sur le ventre les fesses en l'air. C'est alors que j'ai eu la surprise de sentir ses lèvres et sa langue sur mes fesses. Sa langue caressait mon anus et je la sentais me pénétrer. Quelle merveille ! Malheureusement ça ne dure pas, et la voilà qui se met à me frapper les fesses, je me laisse faire, ce n'est pas désagréable, mais au bout d'une vingtaine de fessées je sens des picotements sur mon cul devenue rouge comme une tomate.

 

Elle prit le gode, bien lubrifié, et me l'enfonça. Il glissa dans mon cul sans résistance et elle le fit aller et venir dans un va-et-vient effréné.

 

- T'aimes ça que je te gode, le cul !

- Oui, c'est trop bon !

- Je sais que c'est bon, mais ça ne vaut pas une vraie bite !

 

Je sais que c'est l'un de ses fantasmes récurent, mais, je pense ne rien risquer en entrant dans ce jeu.

 

- Oui, maîtresse, il faudra que j'essaie un jour avec une vraie bite !

- Bien sûr, une bonne bite que tu aurais bien sucé avant !

- Oui, maîtresse !

 

sucegode.jpg

 

Elle me retire le dildo, la capote qui le recouvre est polluée de quelques taches aux couleurs douteuses, mais je me surprends à nettoyer tout ça quand elle me l'ordonne.

 

- Tu es un bon esclave, maintenant vient dans la salle de bain, il faut que me soulage.

 

Elle me fit me mettre sur le dos sur le carrelage froid, et elle se plaça au-dessus de moi en s'accroupissant au-dessus de mon visage et commença à pisser, elle me demanda d'ouvrir grand la bouche pour je puise la boire, et je recueillis plusieurs lampées au fond de mon gosier. Je me demandais quand et dans quelle condition je pourrais enfin jouir. Quand sa miction fut terminée, je la sentis pousser et ouvrir son anus.

 

- Non, pas ça !

- Arrête, tu en meurs d'envie, te faire chier dessus par ta belle maîtresse, tu ne m'a pas dit un jour que tu serais capable d'accepter ça pour moi.

- Si, mais…

- Tais-toi quand je pousse.

 

Un étron assez long descendit de son anus, se décrocha, je levais le menton, pour ne pas le recevoir sur mon visage et le reçut sur mon cou.

 

- Tu vas maintenant me servir de papier à cul, tu me nettoies bien la chatte et le trou du cul, après tu vas te débrouiller pour me faire jouir et après seulement tu auras l'autorisation de jouir à ton tour.

 

Après m'être sommairement nettoyé, je lui nettoyais donc sa chatte pleine de pisse, puis son trou du cul merdeux, j'entrepris de lui exciter le clitoris, celui-ci dardé comme une petite bite ne demandait qu'à exploser, et je la fis jouir en moins de cinq minutes.

 

- A ton tour ! Dit-elle

 

Elle se plaça à quelques centimètres de ma queue et à quelques instants de ma jouissance m'avala jusqu'au fond de sa gorge où j'y déversai un torrent de sperme qui déborda tant que la quantité et la puissance étaient grandes. C'est à ce moment que je connu ce qu'était l'extase, la jouissance comme jamais je n'avais ressenti. Que demander de plus…

 

Elle sort son téléphone, compose un numéro t se met à parler :

 

- Allo, René, oui, je suis à Paris, à l'hôtel B… Je suis avec un petit soumis très mignon qui aimerait bien sucer une bonne bite et se faire enculer… Tu peux venir, c'est la chambre 43…

 

Elle raccroche

 

- Il sera là dans une demi-heure, tu verras, sa bite est superbe, on va commander du champagne en attendant, me propose-t-elle.

 

J'aurais pu partir, non je suis là, trinquant avec une superbe femme et attendant sans aucune appréhension, ma première bite à sucer…

 

Fin

 

D'après un texte du même titre publié en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé Grenouille

 

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Vendredi 22 avril 2005 5 22 /04 /Avr /2005 13:29

Aude au Sauna

Révisé et complété par Sylvain Zerberg

 

pluralite

 

Ma copine et moi nous rendons assez régulièrement dans un sauna échangiste, car de tous les établissements échangistes que nous avons fréquenté, c’est le sauna qui nous a le plus séduit. Aude a 30 ans, moi 37. Nous nous fixons souvent des défis, pour pimenter nos sorties, et ce samedi soir, comme d’habitude, je posais sur le lit, la tenue dans laquelle je voulais que ma copine se rende au sauna. Je ne sais pas pourquoi, mais très excité ce soir-là, je décidais de l’habiller vraiment comme une pute. Je lui mis un petit short qui dévoile les trois quarts des fesses, des cuissardes, un haut noir transparent, et un petit blouson en cuir noir. Je rigole tout seul, sachant qu’elle refusera de s’y rendre comme cela. Je redescends dans le salon et lui dis qu’elle peut aller se préparer, elle monte, j’attends la réaction, il se passe bien dix minutes avant qu’elle ne redescende, j’entends ses pas dans l’escalier, et attends de découvrir sa tenue.

 

Surprise, elle s’est habillée juste avec ce que je lui ai mis. J’en ai presque peur, sa tenue risque de provoquer une émeute. Mais toujours et encore plus sous le coup de l’excitation, je ne dis rien si ce n’est :

 

- Tu es très sexy, une vraie salope. On y va ?

- Allez ! me dit-elle. Seulement on va changer un peu ce soir, on va y aller ensemble, mais vers le sauna on se sépare afin que les mecs ne sachent pas qu’on est ensemble.

 

Cette idée me paraît géniale, et arrivés à proximité du sauna, on se concerte, qui y va en premier ?

 

- Moi me dit-elle, toi tu viens dans un quart d’heure.

- O.K., et tu vas faire quoi ce soir ? Lui demandais-je

- On verra selon l’ambiance et les personnes ! me répondit-elle.

 

Ca y est, elle est partie, je la vois franchir la porte de l’immeuble où se trouve le sauna, et disparaître, je prie pour qu’elle ne croise personne, sinon elle va droit au viol. Le quart d’heure passé, je me dirige à mon tour vers le sauna, j’entre et on me demande si je viens seul, je réponds oui, et le patron rechigne, me dit que ça fait beaucoup, que ce soir il n’y a que des mecs, une quarantaine et une seule fille... Aude est donc la seule femme ! Voilà qui commence à m’inquiéter, du coup je lui décris ma copine, le met dans la confidence et ouf, il me laisser entrer, et me remet une serviette comme à l’accoutumé.

 

J’entre aux vestiaires, me fous à poil, et m’entoure de la serviette. Il me tarde de savoir où Aude se trouve et ce qu’elle fait. Je connais pas mal les lieux alors je me rends au bar en cheminant par les couloirs qui donnent sur de nombreuses petites pièces, dont chacune comporte des particularités. Un attroupement s’est formé vers le « glory-hole » autrement dit « la cabine à trous », il s’agit d’une petite pièce meublée d’un lit, et dont la particularité est qu’elle comporte tout autour une vingtaine de trous dans les murs à la hauteur d’une bite et à peu près assez gros pour le passage d’une verge et des couilles. Mais trop étroits pour passer une main.

 

J’en fais le tour et constate que curieusement tous les trous sont occupés, et à moins d’avoir un groupe d’homos à l’intérieur, je suppose qu’il s’agit de ma Aude. De toute façon les commentaires vont vite confirmer ma pensée lorsque j’entends. « Comme elle suce bien cette salope ! » Pas de doute c’est bien elle. Malheureusement, je ne peux rien voir de ce qui se passe, et donc je m’approche de celui qui semble être l’élu du moment. Aude adore sucer, et tout autant avaler le sperme, ce qui n’est pas toujours le cas lorsque des filles sucent des inconnus. Le mec qu’elle suce va bon train de commentaires, et sans rien pouvoir voir, je devine assez bien selon ses dires ce qu’elle lui fait.

 

- Putain elle me lèche les couilles, elle tire me décalotte à fond, elle va m’arracher le frein, maintenant elle me lèche le gland…

 

Il est plaqué contre le mur sans même bouger, apparemment ce qui se passe de l’autre côté lui suffit, il annonce qu’il va jouir,

 

- Une vraie pute, elle m’a gardé dans sa bouche, pourtant qu’est ce que je lui ai mis !

 

Aude.jpg

 

Cela ne m’étonne pas, elle n’a jamais aimé qu’il en soit autrement. Après un bref instant, il dégage le trou qui est aussitôt pris d’assaut. Je suis très excité de savoir que ma salope de copine est là-dedans, mais un peu frustré de ne rien pouvoir voir. C’est vers le dixième mec, que j’arrive enfin à avoir un trou libre, mais je n’introduis pas ma bite, mais mon œil afin de pouvoir voir ce qui se passe. Aude est bien là, le visage collé au mur, elle sur l’autre cloison ce qui me permet de la voir très bien de profil, j’adore la voir sucer, et les propos tenus par le mec qui se fait astiquer reflètent bien la réalité de ce qui se passe dans la cabine. Elle passe de bite en bite, et c’est vers la vingtième, qu’elle change de stratégie, je la vois se tourner et plaquer ses fesses contre le mur à l’emplacement d’un trou, en fait elle vient de choisir une bite recouverte d’un préservatif. La longue bite qui en sortait disparaît dans son ventre, là je suis fou ! Du coup tous les mecs qui ont une capote sur eux la revêtent, et attendent leur éventuel tour et se plaquent encore un peu plus contre le mur des fois qu’on viendrait à leur piquer leur trou. La situation est des plus perverses, ma copine se fait mettre par des inconnus à travers un trou...

 

Elle se donne comme jamais, à fond et sans limite. Si elle voyait la gueule de certains, elle ferait des bonds, mais elle ne voit que leur bite, et heureusement. Elle passe de bite en bite, tantôt se faisant prendre quand l’engin est protégé, tantôt suçant tout en branlant les deux bites voisines. A un moment, sûrement trop excité, de la bite qu’elle avait en main, coule un liquide épais et blanc, n’hésitant pas une seconde, elle délaisse la bite qu’elle avait en bouche, pour engloutir celle qui se vide. Le spectacle est des plus érotique, j’en jouis presque rien qu’au contact de ma serviette. Après avoir vidé la moitié des mecs présents, il semble qu’elle se dirige vers la porte.

 

Par mon trou je l’aperçois qui va sortir, je ne sais que faire, aller la voir ou la suivre de loin. Je m’arrange pour qu’elle me voie sur son passage, mais fais comme si de rien n’était. Elle se dirige vers les douches, entièrement nue, tenant sa serviette à la main. Au passage pleuvent les réclamations :

 

- C’est fini ?

-  Et moi ?

 

Elle leur répond qu’elle a quand même le droit de souffler cinq minutes, que de toute façon elle ne doit rien à personne, que c’est une femme libre et j’en passe, faut pas trop l’asticoter ma Aude !

 

Mais les mecs ont décidé de ne pas la perdre, ils la suivent aux douches communes, prétextant eux aussi une chaleur subite. Moi je me tiens vers l’entrée d’où j’assume mon rôle de cocu voyeur.

 

Aude prend une douche, des mains se baladent sur elle sans qu’elle donne l’impression d’y faire attention. Puis une chose curieuse se produit, le mec à côté d’elle se met à uriner devant lui, puis observe la réaction de Aude, elle l’a vu, mais ne dit rien, engaillardi par son attitude, le mec se tourne vers elle et lui pisse carrément dessus maintenant. En souriant, elle lui dit

 

- Hummm c’est chaud.

 

Jamais je n’aurais cru ma nana aussi salope, je la reconnais pas, elle qui voulait toujours que je sois près d’elle, et qui était contre certaines pratiques…Je faillis m’étaler par terre, lorsque je la vis se baisser et prendre dans sa bouche la queue de ce mec qui pissait encore. Curieusement rien ne sortit de sa bouche, je la voyais déglutir rapidement, elle le buvait comme elle ne m’avait jamais fait à moi. La scène avait déclenché diverses réactions, certains mecs disaient que c’était dégueulasse, et s’étaient retirés, d’autres au contraire s’étaient rapprochés et se mirent en devoir de lui pisser dessus.

 

Aude toujours à genoux, recevait sur tout le corps l’urine de 7 ou 8 gars. Elle les léchait à tour de rôle, les suçait, jouait avec ces bites molles, avalant des lampées d’urine par-ci par-là. Je n’osais pas me joindre à eux de peur de tout gâcher. Et Aude ne me fit aucun signe en ce sens. Après qu’ils se soient bien vidés la vessie sur et dans ma copine, ils commencèrent un joyeux gang bang, l’enfilant d’abord les uns après les autres, puis par deux et enfin par trois, un dans chaque orifice. Ma serviette tenait seule pendue à mon sexe comme à un portemanteau. La vue de ma copine dans cette copulation sauvage était presque insoutenable d’excitation. Chacun se vidèrent les burnes dans l’orifice qu’il occupait, puis tous prirent une vraie douche cette fois. Je pensais que c’était terminé et qu’on allait enfin se concerter discrétos. Aude avait les jambes un peu écartées, ils n’avaient pas fait semblant.

 

Aude croisa mon regard certainement pour jauger où en était ma pensée, je ne sais pas ce qu’elle lut sur ma tête, mais tout en se frottant le corps, elle prit dans sa main la verge de son voisin, fit comme si elle le lavait, puis elle le fit tourner et glissa sa main entre ses jambes par derrière pour lui saisir les testicules, elle aimait triturer les couilles. A l’expression du visage de l’homme, elle semblait le broyer dans ses doigts, et quelques sursauts me le confirmèrent. Puis elle s’agenouilla derrière le gars, et approcha son visage de ses fesses. A ce moment elle me toisa du regard, sortit sa langue, et la promena entre les fesses du gars. Celui-ci semblant apprécier la caresse, écarta les jambes pour permettre à Aude une caresse plus appuyée, ce qu’elle fit, je voyais sa langue s’attarder sur l’anus, et y entrer sur quelques centimètres. J’aurais donné n’importe quoi pour être à la place du mec. Elle lui léchait le cul tout en lui broyant les couilles, puis elle commença à le branler. Sans lâcher son trou du cul, elle le fit jouir dans sa main, avec le contact de l’eau, le sperme se transforma vite en gelée épaisse. Elle étala cette gelée entre les fesses du mec, et continua de le lécher, si bien qu’elle avala cette purée. Après cet épisode mémorable sous la douche, elle me rejoignit, et me demanda pour la première fois.

 

- Tu viens avec moi ?

- Où çà répondis-je ?

- Suis-moi. !

 

Je la suivis et elle m’entraîna dans la première cabine de ses exploits. Les mecs pensèrent que j’étais l’heureux élu avec qui elle avait décidé de s’isoler. Mais à peine avions nous fermé la porte à clef, que comme des chenilles, les bites traversèrent à nouveaux les trous de la pièce. Mais cette fois j’allais pouvoir contrôler la situation, enfin c’est ce que je croyais. Elle m’entraîna avec elle vers une cloison et elle se mit à sucer un sexe comme j’aimais en voir, épais, un gros gland, très volumineux par rapport à la tige, très long, et de toute évidence circoncis. Après une pipe assez rapide, je vis qu’elle se retirait de sa proie, et fit jouir le mec sur ses seins. Elle avait des coulures abondantes sur les joues, les seins, le ventre.

 

- Maintenant nettoie !

- Quoi !

- Tu as voulu que je sois salope, je l’ai été, alors à moi de réaliser mes fantasmes ! Nettoie-moi !

 

Comme dans un rêve, je nettoyais de la langue les traînées de sperme rependues sur le corps de ma copine. J’avais un peu peur qu’elle ne m’impose de faire la même chose avec la quinzaine de bites qui en demandait encore... mais ce n’était pas tout à fait son plan. Elle me prit par la main, se dirigea vers une des bites qui émergeait d’un trou, elle choisit une belle queue noire, épaisse, longue et luisante, et commença à la sucer avec application, puis par gestes me fit signe de prendre le relais. Je n’hésitais même pas, et commençais à la sucer avec application. La queue du mec était particulièrement raide et après quelque mouvements de va-et-vient je reçu tout dans la bouche, Aude me choisit après une autre bite, une belle blanche au gland violacé, et tandis que je la suçais, elle s’en choisit une autre.

 

Les mecs à l’extérieur comprirent ce qui se passaient et plusieurs d'entre aux quittèrent l’endroit. Tandis que je suçais cette nouvelle bonne bite, je vis sortir Aude qui me chuchota qu’elle revenait de suite. Effectivement, trois minutes après alors que je finissais ma fellation, je l’aperçu, elle avait un type à ses côtés, le genre de mecs comme on en voit partout !

 

- Tends ton cul ! Il va t’enculer ! Me dit simplement Aude

 

Alors je me mis à quatre pattes et attendis, je savais qu’après cette ultime expérience, nous quitterions Aude et moi le sauna en amoureux, plus amoureux que jamais sans doute.

 

Fin

 

Reprise des pages 1 et 2 d’un récit de SophieXXX intitulé "Au sauna", modification des prénoms et réecriture de la page 3 introuvable. Si l’auteur initial veut nous contacter ce sera avec plaisir

 

 

Sylvain

4/2005

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mardi 22 juin 2004 2 22 /06 /Juin /2004 11:32

Le cul de Stéphanie

par: Sylvain Zerberg

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

 

6 heures du matin ! Enfin le programme se mit de nouveau à fonctionner !


- Je n'y croyais pas ! Me dit Stéphanie

- Moi non plus !

- Ça mérite une bise !


Elle me la fit, mais chastement, Stéphanie n'est qu'une collègue, elle n'a pas l'air farouche mais je n'ai jamais tenté quoique ce soit, sans doute parce que l'occasion ne s'était jamais présentée. Cette panne informatique nous réunissait tous les deux pour la première fois...


Stéphanie était une fille de 25 ans, environ 1 m 70, châtain, les yeux verts, elle avait une poitrine magnifique en forme de pomme (95 C), mais ce qui me plaisait le plus chez elle c'était son gros cul, elle avait deux fesses bien rondes et fermes, Elle était habillée aujourd'hui d'une jupe assez courte et d'un chemisier avec un beau décolleté.


Ça faisait 15 heures qu'on essayait de réparer ce fichu machin, un plantage définitif aurait été catastrophique pour la société qui m'employait, mais sans doute aussi pour moi.


Rien dans le ventre, juste un peu de liquide, complètement crevés ! Il nous fallait malgré tout attendre l'arrivée de la première équipe pour leur passer quelques consignes qui nous paraissaient hasardeux de ne le laisser que par écrit... Encore deux heures à tirer et après dodo...


- J'ai mal partout ! Me confia Stéphanie.

- Tu veux un massage ?

- Tu sais faire ça ?

- J'ai des mains de fées, tu sais !


Je commençais par lui frotter le dos, elle en position assise, après quelques minutes de ce massage, elle se décontractait tout en fermant les yeux. De ma place, j'avais une vue plongeante dans son décolleté


- Je te masse devant ?

- T'as pas peur de prendre une baffe ?

- Si un peu ! Alors je le fais ou pas, ça te ferait du bien !

- Obsédé ! Se contenta-t-elle de répondre avec un curieux sourire.


Elle n'avait pas dit "non", alors mes mains descendirent vers son décolleté et je commençais à lui peloter les seins à travers le soutien-gorge, elle se laissa faire, et ne dit rien quand je fis sauter les bonnets pour attraper plus facilement ses gros tétons. Elle poussa un râle, ouvrit les yeux, leva son visage et me fixa avec un grand sourire, puis elle se leva et m'embrassa langoureusement. Je lui massai alors les fesses, passa une main sous sa jupe et je lui caressai sa chatte, la trouvant si mouillé que sa culotte était d'ores et déjà bien trempée. 


Elle mit sa main sur ma bite qui était tendue à l'extrême, dégrafa mon jeans qui chuta sur mes chevilles, sortit ma queue de mon caleçon, et me masturba avec tendresse, elle se mit à genoux puis me suça. Elle joua avec mon gland et mes couilles pendant cinq bonnes minutes, elle me lécha, m'aspira les testicules. Je lui dis que j'allais jouir, pensant qu'elle allait se retirer, elle accéléra le mouvement et j'éjaculai de longs jets de sperme dans sa bouche, elle continua de me sucer pour me nettoyer. Je la pris par la taille, la posa sur le bureau, relevai sa jupe, enlevai son string et lui mangea la chatte, elle dégageait une odeur forte qui m'enivrait. Je lui titillai le clitoris, le mordit, le suçota, je lui mis deux doigts dans son vagin bien lubrifié, faisant des va-et-vient tout en lui jouant avec son clito, elle ne put se retenir de jouir comme une folle, me dégoulinant le visage de son miel. 


Je l'ai pénétré d'un coup, elle gémissait à chaque coup de rein que je donnais, elle ne put empêcher son corps d'onduler sous la jouissance qu'elle ressentait, en même temps, je lui malaxais les seins dont les tétons se dressaient fièrement. 


Je décidai de la retourner et de satisfaire son petit trou du cul.


- Arrête, ça ne doit pas être très propre par-là ! Me dit-elle.

- Il n'y a rien de sale en amour ! Répondis-je, agitant ma langue à l'entrée de son anus et découvrant effectivement un goût légèrement acre.


Je la pénétrais d'un doigt, elle poussa des petits cris appréciant manifestement la chose. 


- Mets-moi un deuxième doigt, mais mouille-le bien !


Je ressortis alors celui qui s'activait, le trouvant bien pollué !


- Il est comment ton doigt ?

- Il est un peu marron !

- Ça va ? Ça ne te dégoûte pas ? Demanda-t-elle.

- Pas du tout, ça aurait plutôt tendance à m'exciter.

- Gros cochon ! Lèche, alors !


Je le fis sans problème, le goût n'était pas si désagréable que ça !


- Tu aimes ça lécher ma merde, hein salaud ?

- C'est vrai que c'est excitant !

- Humm, fallait me le dire que tu avais des goûts comme ça, on aurait pu s'amuser...

- C'est que ce n'est pas facile à placer dans la conversation...

- Bon alors il vient ce deuxième doigt ?


Je lui enfonçais ainsi un second, puis un troisième doigt dans l'anus, puis n'y tenant plus je me saisis d'une capote, je mis mon gland à l'entrée et poussa d'un coup sec, elle se crispa sous la conjugaison de douleur et du plaisir. Après plusieurs minutes de ce travail, je sentis la jouissance monter en moi, elle savait que j'allais éjaculer, je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeais dans son cul, puis me dégageais, retirant la capote maculée de merde !


- Tu m'as bien enculé mon salaud, mais maintenant, je crois que j'ai envie de faire un beau caca, ça t'intéresse ?

- Hummm, bien sûr que ça m'intéresse !

- Bon alors viens on va s'enfermer dans les toilettes, ça nous évitera d'en foutre partout, et puis on sait jamais si quelqu'un avait l'idée de venir en avance...


Aux toilettes, elle me fit me déshabiller.


Stephanisca.jpg- Voilà je vais m'accroupir au-dessus de ton visage et je vais commencer par pisser, on fera le reste après ! Allez, ouvre bien la bouche, tu vas voir comme elle est bonne ma bonne pisse bien chaude, ma bonne petite pisse de salope !


Cette ambiance dingue me faisait déjà rebander, je me retrouvais avec son sexe odorant à quelques centimètres de ma bouche, je l'ouvris, avala les premières gouttes, mais le reste déborda, Stéphanie éclata de rire.


- C'était bon !

- Délicieux !

- Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses ! Lèche-moi un peu le trou du cul, j'adore !


Je le fis, c'était de plus en plus âcre, mais aussi de plus en plus excitant... Un moment elle péta, ce qui la fit éclater de rire.


- Allez je pousse, n'enlève pas ta langue !


Je n'avais jamais été jusque-là, j'appréhendais un peu, mais j'étais pris à mon propre piège. Après tout c'est moi qui avait commencé, l'anus s'élargit, une masse brune apparut en son centre, je continuais à lécher, puis l'étron se faufila à l'extérieur à toute vitesse pour finir par dégringoler sur mon visage, j'en avais sur les lèvres, je léchais un peu. Je croyais l'affaire terminée quand un second étron rejoignit le premier.


- Tu apprécies, j'espère ! Demanda-t-elle !

- Regarde comme je bande !

- C'est vrai qu'elle a l'air en forme ta bite... Tu en verras beaucoup des nanas qui te font des beaux cacas comme ça ? Mais maintenant tu me nettoies avec ta langue, c'est quand même plus agréable qu'un papier à cul non ?


J'étais tellement excité que je ne réfléchissais plus, je lui nettoyais le pourtour de l'anus comme si j'avais fait ça toute ma vie. Je finis par me relever après m'être débarrassé difficilement des matières accumulées sur mon visage qui s'acharnaient à laisser des traces !


- Il nous faudrait une douche !

- On ira la prendre chez moi me lança Stéphanie... Quel trip, allez viens m'embrasser !


Drôle de baiser puisque je ne m'étais même pas rincé la bouche de l'urine avalée et de la merde léchée, mais quelle excitation et en ce qui la concernait l'affaire avait l'air de l'émoustiller un maximum. Elle se mit à me contourner et à me peloter les fesses, quelques trop brefs instants, elle m'introduit à son tour un doigt dans l'anus !


- Tu sais que tu as des petites miches de pédé ! J'ai bien envie de te présenter à mon copain pour qu'il t'encule... ça te dirais ?


J'ai dû lui répondre que pour l'instant j'avais plus envie d'aller faire un gros dodo qu'autre chose, mais une petite voix intérieure, sans doute un petit diable, me soufflait coquinement "pourquoi pas ?"



© Sylvain Zerberg

Texte réintroduit en 2004 dans sa version non censurée.

 

 


Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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