Sylvain Zerberg

Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 18:39

Muriel et Sylvain, couple coquin.

9 - L'atelier du peintre

par Sylvain

 

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- Il va falloir que je rentre. Précisais-je, ma femme m'attend.

- Téléphone-lui, invente-toi une excuse, une réunion, un embouteillage, un pot entre copains…

- Non, je lui ai dit que je devais te voir.

- C'est malin. Fais le numéro de ta femme et passe-moi ton téléphone.

- Mais tu vas lui, dire quoi ?

- Laisse-moi faire…

 

Comment ais-je pu la laisser faire ?

 

- Allô, bonjour Madame, je suis Isabelle, la personne avec qui votre mari avait rendez-vous. L'entretien durera un peu plus longtemps que prévu ! Surtout ne vous inquiétez pas chère madame.

- Pardon, qu'est-ce que vous dites ? Passez-moi mon mari.

- Ne vous inquiétez pas, répète Isabelle.

 

Puis elle raccrocha et me demanda de couper le téléphone.

 

Bon, je reviens sur Terre quelques instants, je vais me farcir une engueulade monstre en entrant. Alors le mal est fait, je vais accompagner Isabelle je ne sais où, mais ensuite, je ne la reverrais pas, et j'en ferais la promesse à ma femme.

 

On sort, je pensais qu'on prendrait le métro, mais voilà que nous dirigeons vers une très belle voiture noire. Le chauffeur nous ouvre la porte arrière et nous installons. Bigre, madame a un chauffeur ! Après avoir passé un coup de fil, elle se colle contre moi, on s'embrasse comme des jeunes amants et je ne tarde pas à bander de nouveau.

 

On arrive vers Montparnasse, on entre dans un immeuble et nous montons deux étages. Un type en robe de chambre avec un look à la Cyrano de Bergerac vient nous ouvrir et nous fais entrer après avoir embrassée goulûment Isabelle. Dans le salon il nous précise :

 

- Voilà, déshabillez-vous ici !

 

Le type reste planté pendant qu'on se déshabille. Je n'en peux plus d'admirer la plastique d'Isabelle. Mais Gino (puisque c'est son nom) s'intéresse plutôt à la mienne de plastique.

 

- Jolies petites fesses ! Me dit-il en me les pelotant. Et des jolis tétons qui pointent… Hum, ça m'excite bien… mais ne restons pas là, venez dans l'atelier.

 

Nous entrons dans une grande salle transformée en atelier de peintre. C'est un fouillis organisé de toiles terminés, inachevés, vierges disposées en vrac ou accrochées au mur. Mais le plus insolite dans ce lieu, c'est la présence sur un fauteuil en cuir d'un travesti absolument troublant. Il est nu, le torse, les bras et les jambes sont rasés. Le visage aux longs cheveux bruns est savamment maquillé. La poitrine est très peu formée, une poitrine d'ange ! Une merveille !

 

- C'est Katia, je suis en train de la peindre.

- Superbe ! commente Isabelle.

- Je me suis imposé de ne pas la baiser avant d'avoir terminé ce tableau, mais c'est dur, je ne tiens plus en place. Je vous attendais avec impatience. Et lui ? Demanda-t-il c'est ton nouvel esclave.

- Tout à fait, il est très docile ! Sylvain tu vas devoir obéir à Gino.

 

Esclave ? Est-ce que j'ai une tronche d'esclave ?

 

Gino sans rien dire me saisit mes tétons et commence à me les pincer. C'est magique, voilà que je bande. Mais lui aussi.

 

- Elle te plaît ma queue ?

- Oui ! M'entendis-je répondre et sachant ce que serait la suite.

- Tu vas me la sucer, ma bonne queue ?

- Bien sûr avec grand plaisir, j'adore sucer des bites, répondis-je me disait que cette réponse plairait à Isabelle.

 

Le travesti nous interrompt.

 

- Pendant que vous vous amusez, je vais faire une pause pipi ! Déclare-t-il.

- Pisse sur l'esclave ! Ordonne Gino. Toi mets-toi à genoux et ouvre ta bouche !

 

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Je ne réfléchis plus, la situation m'échappe, je fais ce qu'on me dit de faire, j'ouvre la bouche et tente d'avaler tout ce que je peux de la pisse de Katia. Mais j'ai l'immense surprise de voir Isabelle s'agenouiller à mes côtés, la bouche ouverte pour recevoir, elle aussi sa part de douche dorée.

 

J'en ai partout, je suis dégoulinant de pisse. Katia se recule et Gino prend sa place. Sans hésiter je mets sa bite dans ma bouche.

 

Hum ! Qu'elle est bonne cette bite ! Je m'en régale, perfectionnant ma méthode, lèvres enserrant la couronne et langue titillant le gland, les testicules m'intéressent moins, mais je les lèche néanmoins quand il me le demande. Quant au trou du cul dans lequel il souhaite également la présence de ma langue, j'accepte de le lécher plus par perversité que par goût.

 

Pendant ce temps, Isabelle a entrepris de caresser Katia qui complètement passive, se laisse embrasser sur la bouche, téter les tétons, et mettre un doigt dans le cul. Elle ne proteste pour la forme que quand elle le masturbe.

 

- Monsieur Gino ne veut pas que je jouisse !

- Il est méchant !

 

Gino m'a fait me retourner. Je suis prêt à le recevoir. Il me tartine le trou de balle d'un peu de gel intime, puis ose un doigt.

 

- C'est serré ! Constate-t-il

- C'est que je ne fais ça que depuis peu de temps.

 

Et hop ! Sa bite entre, et du premier coup, il s'enfonce rapidement, me fait mal et se met à coulisser. J'ai failli lui dire d'arrêter, mais la douleur s'estompe aux profits de frissons de plaisir. Tout va mieux, je perds la notion du temps, il se retire, il a joui, me laissant le cul béant. J'en n'aurais bien repris quelques minutes. Quel plaisir de se faire enculer ainsi !

 

Isabelle s'est couchée par terre et se masturbe compulsivement.

 

- Donne-lui un capote et qu'il vienne me prendre ! Dit-elle à Gino.

 

C'est donc de moi qu'elle parlait ! Je ne vais pas passer une telle occasion, d'autant que je suis excitée comme une puce. Isabelle se met en levrette et j'approche ma bite de sa chatte.

 

- Non dans le cul ! Indique-t-elle ! Encule-moi comme une salope !

 

Ce n'est pas un souci, elle se passe de la mouille sur le trou du cul, ma pine entre toute seule, et je commence des allers retours en cadence. J'essaie de me modérer mais l'excitation est vraiment à son maximum. J'accélère tandis que Madame pousse de petits jappements de plaisirs. Elle jouit du cul comme une malade tandis que mon sperme sort de ma bite. On s'écroule, crevés, je réalise que j'en ai même pas profité pour lui tripoter les nichons. Faut-il que je sois con ?

 

Isabelle et moi, nous rhabillons, les deux autres zigotos restant à poil. Gino propose que nous buvions une coupe de champagne.

 

- Euh, je vais peut-être vous laisser, je me suis attardé, il va falloir que je rentre.

- Juste cinq minutes ! Insiste Gino

- Mon chauffeur va te raccompagner en voiture, me propose Isabelle.

 

Alors allons-y pour cinq minutes. Gino débouche la bouteille et remplis les coupes à moitié, puis il se met à pisser dedans. N'importe quoi ! On trinque, on boit, on discute cinq minutes.

 

- Vous comprenez, explique Gino, je veux finir de peindre Katia quand elle est folle de désir, afin que son visage et tout son être rayonne de concupiscence. Si elle jouit, ça ne le fera pas ! N'est-ce pas ma bibiche ?

- Oui, monsieur Gino !

- Et qu'est-ce que tu sens-là ? Katia ?

- Je sens votre doigt dans mon petit cul !

- Et ça te plaît !

- Mais bien sûr, monsieur Gino.

 

On part enfin.

 

- Au plaisir, tu peux venir te faire enculer quand tu veux, me précise Gino (en oubliant toutefois de me communiquer son numéro de téléphone).

 

Isabelle et son chauffeur m'ont raccompagné jusqu'à ma porte. Je monte l'escalier, anxieux, j'ai mal au cul et je sais que je vais me prendre une engueulade. Ça ne rate pas :

 

- C'est quoi ce cirque ? Tu ne sais plus téléphoner tout seul ?

- Je vais t'expliquer…

- Je n'ai pas envie d'écouter tes mensonges.

- Je n'ai pas l'intention de mentir…

 

Je n'ai pas vu venir la gifle, mais je l'ai encaissé sans rien dire ! Après tout, si ça la défoule !

 

- C'est tout l'effet que ça te fait ? Demande-t-elle.

- Qu'est-ce que tu veux que je dise ?

- Rien, tu ne me dis, rien, tu m'énerves, tu m'énerves, tu m'énerves, mais tu m'énerves.

 

Et paf, deuxième gifle !

 

- Assis-toi, je vais te dire quelque chose !

 

Je m'assois

 

- Bon ! Récapitulons ! Je ne suis pas jalouse ! On a toujours dis qu'on tolérerait nos écarts réciproques à condition que personne ne se foute de la gueule de l'autre. Et ce soir tu t'es foutu de ma gueule !

- Muriel !

- Ferme là où je t'en fous une autre ! On a fait une erreur en allant dans ce club.

- Et bien, on y retournera plus !

 

Et paf encore une gifle ! Je décide de me taire.

 

- Si on y retournera, j'y ai pris goût, j'ai aimé sucer plein de bites, j'ai aimé me faire défoncer et je vais te dire : j'ai adoré te voir sucer des bites et de faire enculer ! La seule erreur qu'on a fait c'est de prendre des contacts, la prochaine fois, une fois partis on ne connaîtra plus personne ! Ben alors tu ne dis rien ?

- Je croyais qu'il ne fallait pas que je cause ?

- T'es d'accord ou pas ?

- Mais bien sûr que je suis d'accord !

- Et ça veut dire que toutes les personnes qu'on a rencontrés là-bas, on les oublie. Et on les oublie tous, y compris et surtout ta pétasse. Sinon notre couple va partir en sucette !

 

Bon finalement le discours est conciliant, on va faire comme elle a dit, ça devrait aller.

 

- Bon, c'est fini, on est d'accord, tu me fais un bisou ! Proposais-je.

- Tu crois pas que c'est un peu facile, non. Et si je te flanquais une bonne série de coups de martinet ? Oui c'est une bonne idée, ça ! Déshabille-toi et va chercher le martinet.

 

Super ! La punition expiatoire ! En plus ce ne sera pas une corvée ! Je fais comme elle a dit.

 

- Mets-toi à quatre pattes par terre.

 

Sans crier gare, la voilà qui m'adresse plusieurs coups à la volée, c'est qu'elle frappe fort, cette salope ! Après une vingtaine de coups, elle s'arrête :

 

- Ne bouge pas ! Reste comme tu es ! Et maintenant tu vas me raconter ce que tu as fait avec ta poufiasse.

 

à suivre

 

 

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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 13:45

Muriel et Sylvain, couple coquin

8 - Les caprices d'Isabelle

par Sylvain Zerberg

 

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J'achetais donc le gode-ceinture demandé et lui offrais en rentrant du boulot le lundi soir.

 

Je m'étais auparavant mis à fantasmer. Peut-être m'attendrait-elle en nuisette sexy et qu'elle me sauterait dessus pour inaugurer son nouveau jouet.

 

En fait, non, elle devait être en petite forme, elle remisa l'objet dans un coin, et s'en alla finir de préparer le repas du soir.

 

Nous dinions donc tranquillement quand mon téléphone portable sonna, le numéro ne me disait rien.

 

- Bonjour c'est Isabelle, vous vous souvenez de moi ?

- Isabelle, Isabelle, non je ne vois pas ce doit être une erreur.

- Nous nous étions parlé dans les vestiaires d'une boite échangiste, vendredi soir.

- Ah, oui !

- Vous êtes toujours d'accord, bien sûr ?

- Ben, je ne sais pas trop ?

- Pour 300 euros vous me baisez, et vous baisez avec mon mari. Vous pouvez même avoir 200 euros de plus si vous ne me touchez pas.

- Je peux vous rappeler, je suis en train de manger, là.

 

Muriel me fait de grands yeux étonnés !

 

- C'était qui ?

- Une erreur !

- Une erreur et tu vas rappeler ?

- J'ai dit ça comme ça !

- Bon c'est qui cette Isabelle ?

 

Je finis par lui raconter et lui dire qu'il s'agissait de la femme qui lui à léché brièvement le téton avant qu'elle ne sorte de l'établissement !

 

- Et pourquoi tu ne m'en as pas parlé ?

- J'avais oublié…

- Rappelles-la et dis-lui que tu es d'accord ?

- Mais Muriel ?

- Tu ne vas pas cracher devant 500 euros, non ? Seulement ce sera moitié-moitié, 250 pour moi, 250 pour toi.

 

Glups !

 

- Cela dit, ça m'embête un peu que tu ailles faire des trucs sans moi !

- Faudrait savoir !

- Quand tu vas la rappeler, l'air de rien tu lui expliqueras que j'existe… et que ça ne me déplairait pas d'assister au spectacle.

 

Je l'ai fait.

 

Mardi

 

Le lendemain après ma journée de travail, je rencontrais Isabelle qui souhaitait m'avait-elle précisé "une sorte d'entretien préalable". On avait rendez-vous près d'une sortie de métro, non loin du quartier du Marais, à quelques minutes d'un café dans lequel nous sommes rentrés.

 

Curieux ce bistrot, où j'aperçois à une table deux hommes assez jeunes en train de se rouler une pelle.

 

Elle s'assit sur la banquette, j'allais pour m'assoir en face d'elle, mais elle me demanda de m'installer à ses côtés. Je n'allais pas refuser.

 

- T'as apporté la photo de ta femme ?

 

Je lui montre

 

- Ah ! C'est elle ! Un canon en effet, je l'avais remarquée. Le genre de nana que j'aimerai bien dominer

- Je ne sais pas si elle sera d'accord !

- On verra bien, je la rencontrerais, ce doit être une belle salope, elle a dû en sucer des bites… Et toi mon pauvre tu dois être cocu comme le loup blanc… mais chaque chose en son temps.

- En fait, il n'y a pas si longtemps… commençais-je.

- Tu me raconteras ça après… voyons voir si tu es en forme, me coupa-t-elle en me mettant la main à la braguette.

 

Je bandais déjà, elle me demanda d'ouvrir tout ça et de libérer mon sexe. Elle commença alors à me masturber doucement.

 

- Bonjour Madame Isabelle ! Ces messieurs dame désirent. Demanda le serveur.

 

Le serveur est assez peu viril, il fait même assez efféminé, en insistant, il pourrait être troublant.

 

- Venez donc par-là, je vais vous montrer quelque chose ! Répond Isabelle.

 

Ce n'est pas possible, il va me voir avec la bite à l'air, je tente de me dégager, mais elle s'y oppose.

 

- Oh ! Monsieur a une bien belle bite ! Félicitations.

 

Je dois être aussi rouge qu'une tomate.

 

- Touchez-là ! Proposa-t-elle au serveur.

 

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Et moi, on ne me demande pas mon avis ? Avant que j'aie eu le temps de réagir, le garçon après s'être assuré que personne ne le voyait, me met la main à la queue. Faut surtout pas se gêner. Il se baisse et m'engloutit ma bite sans sa bouche en faisant remuer la langue. L'affaire n'a duré que quelques secondes.

 

Je suis excité, mais cette femme est complétement folle et me fais prendre des risques insensés, il n'est pas question que je reste une seconde de plus avec cette cinglée.

 

- Qu'est-ce que je vous sers ?

- Un thé au citron.

- Et monsieur !

- Rien, je viens de me rappeler qu'il faut que je donne à manger à mon poisson rouge.

 

Je me lève. Isabelle ne me retient pas.

 

- Monsieur devrait fermer sa braguette ! Me conseille le serveur.

 

OK, je rectifie la position.

 

- Vous avez grand tort de quitter Madame Isabelle, c'est une personne charmante et surprenante, on ne se lasse pas de s'amuser avec elle.

 

Je ne réponds pas et sors de l'établissement. Je fais quoi ? Le métro n'est pas trop loin, mais je suis énervé, boire un coup dans un bar me ferait peut-être du bien. Je marche cinq minutes. Quelqu'un me rattrape. C'est le barman ! Il commence à devenir collant, le suceur de bites !

 

- Madame Isabelle m'a donné ça pour vous !

 

J'aurais pu refuser, je prends le papelard par réflexe et le lit :

 

"Ce n'est pas très gentil de vous être sauvé sans m'embrasser, venez donc réparer cet affront, petit garnement. Et après je vous laisserais, si vous le désirez."

 

Au lieu de l'envoyer paître, j'hésite (pourquoi ?). La beauté de cette femme me fascine, mais il n'est pas question qu'elle me traite comme un jouet. Je prends donc la décision de revenir, mais aussi de définir clairement quels seront nos futurs rapports.

 

Elle sourit en me revoyant revenir :

 

- Assied-toi, non pas là, tu viens à côté de moi, tu ouvres ta braguette et tu sors ta bite.

- Ecoutez chère madame...

- Tss,  tss, je ne demande pas mieux de t'écouter, mais tu commences par faire ce que je t'ai demandé et après tu m'embrasses. !

 

Je n'aurais pas dû revenir, ses griffes sont trop fortes pour moi. Cette femme est trop belle, j'en suis sans doute amoureux. Je ne suis plus qu'un pantin qui se laisse branler la bite, mais quand nos lèvres se rencontrent pour un long baiser baveux, quel mémorable délice !

 

Le serveur revient interrompant notre baiser. Il chuchote quelque chose à l'oreille d'Isabelle.

 

- Mais pas de soucis, Pierre. Il va vous rejoindre.

 

Je n'avais pas compris qu'elle parlait de moi. Mais elle m'explique.

 

- Tu vas descendre aux toilettes, il y a une porte marqué "privé" ce sont les anciennes toilettes, tu rentres dans la cabine et tu te mets à poil, Quand Pierre tapera à la porte, tu le laisseras rentrer, et tu feras ce qu'il te dira de faire. Vous avez un quart d'heure pas plus. Allez, dépêche-toi !

- Mais…

- Il n'y a pas de mais, si tu veux me baiser, il faut accepter tous mes caprices.

 

Comme un zombi, je me dirige vers les toilettes, en passant je vois trois jeunes hommes assis sur la même banquette, la position de leur mains ne laisse aucun doute sur ce qu'ils sont en train de faire.

 

Je descends, il y a deux urinoirs mitoyens. Je n'en crois pas mes yeux, deux hommes sont là, le pantalon baissé, les fesses à l'air et ils se branlent mutuellement. Un troisième les regarde en se masturbant. La gorge sèche, je tente d'ouvrir la porte de la cabine. Elle ne s'ouvre pas.

 

- Y' du monde ! Me dit une voix.

 

Je fais quoi ? Je vais pour remonter, mais voilà Pierre le serveur qui déboule. Il comprend que la cabine est occupée.

 

- On va attendre ! Me dit-il.

 

Ben voyons.

 

Il me demande de sortir ma bite, et entreprend de me sucer. Il suce d'ailleurs très bien. Au fond, aux urinoirs, la situation a changé, l'un des hommes s'est mis à genoux, et il suce alternativement les bites des deux autres. C'est quoi cet endroit ?

 

Ma bite devient toute raide sous la langue experte de Pierre, s'il continue à ce rythme, je vais éclater. Mais il stoppe sa fellation, défait son pantalon, se tourne et me présente une jolie paire de fesses. Il me tend un préservatif :

 

- Encule-moi !

 

J'obéis, et enfonce sans aucune difficulté ma bite dans le trou du cul du serveur efféminé. Sous mes coups de boutoir, il pousse des hi et des han, et je ne tarde pas à jouir en me demandant quand même ce que je fais dans ce lieu !

 

- Merci ! Me dit le zigoto.

- Y'a pas de quoi !

 

Il n'a pas joui et n'a pas envie de le faire… l'affaire est donc terminée, je me réajuste et remonte.

 

- Alors raconte ! Me demande Isabelle.

- Ben il m'a sucé et après je l'ai enculé.

- Tu aimes ça : enculer les mecs ?

- En fait, je préfère le contraire !

- Je m'en doutais, mais je connais le moyen d'arranger ça. Viens dit-elle en se levant.

- On va où ?

- Te faire enculer !

 

Alors, je la suivis

 

 

(À suivre)

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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 13:03

Muriel et Sylvain, couple coquin

7 - Louisette

par Sylvain

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Ça y est on est arrivé à la maison. Je m'attendais à trouver ma femme Muriel en compagnie de Chantal dans la chambre en train de s'envoyer en l'air. Mais non, petite déception, elles sont bien là, mais dans la cuisine en nuisettes plutôt transparentes, (Muriel lui a donc prêté l'une des siennes) en train de boire un verre d'eau gazeuse. Elles ont manifestement pris une douche.

 

- Ça va les filles ?

- Alors tu nous ramène un invité. On est un peu fatigué, là !

- Dommage, on vous aurait volontiers regardé, avant de passer à autres choses.

- Ouais, ben peut-être pas ce soir ! Par contre nous on va peut-être vous regarder cinq minutes avant d'aller se coucher. Je vous sers un verre de Badoit, ou vous commencez de suite ? Intervint Muriel.

 

On a tout de même accepté le verre d'eau, puis nous sommes allés tous les quatre dans la chambre. Je me suis déshabillé et Ludovic au lieu de m'imiter demande où se trouve la salle de bains et y disparaît en nous informant qu'il n'en a pour cinq minutes.

 

Toujours est-il qu'au bout de dix minutes, il n'était toujours pas revenu. J'espère qu'il ne nous a pas fait un malaise ou qu'il ne soit pas en train de se camer. Je vais voir, il s'est enfermé. :

 

- Ludovic ?

- J'arrive tout de suite !

- Ça va ?

- Oui, oui…

 

Il nous a encore fait poireauter cinq minutes et le voilà qui apparaît !

 

Le choc

 

Ludovic s'est maquillé, perruqué, il s'est attifé d'un ensemble de sous-vêtements bleu clair composé d'un soutien-gorge à ballonnets, qui tente de faire illusion, d'un minuscule string épousant la forme de son sexe, et d'un porte-jarretelles supportant une paire de bas couleur chair.

 

- Alors, ça vous plaît ? Je ne suis plus Ludovic, je suis Louisette.

 

C'est vrai que c'est troublant, j'apprécie beaucoup et ces dames semblent elles aussi intéressées.

 

- Vas-y suce lui sa bite ! Me propose Chantal.

 

Ça tombe bien, c'était justement dans mes intentions.

 

Ça y est j'ai sa bite dans la bouche, et déjà je la sens grossir sous l'effet de ma langue et de mes lèvres. Je crois que je vais devenir un spécialiste en pipe.

 

- C'est fou ça ! explique ma femme à Chantal. On est allé dans ce club parce qu'il avait envie de me voir faire la salope. Ça pour faire la salope, j'ai fait la salope, mais je ne pensais pas que lui, il reviendrait à moitié pédé.

- Et ça te pose un problème ? Demande innocemment Chantal.

- Pas du tout ! Et puis ça m'excite ! Regarde comme il lui suce bien sa queue, non mais regarde-moi ces deux salopes, et l'autre travelo qui se pâme de plaisir… Hummmm…

 

Je continue à me régaler de cette fellation, j'en profite parce que je sais qu'après il me faudra attendre un certain temps avant de connaître de nouveau ce plaisir.

 

- Arrête-toi, c'est moi qui vais te sucer maintenant ! Propose Ludovic (Louisette, pardon)

 

Bizarrement, ça m'intéresse beaucoup moins, n'empêche qu'il (qu'elle) suce divinement bien, la Louisette. Mais ça ne dure pas trop longtemps. "Elle" se redresse, se tourne, me montre ses jolies petites fesses qu'elle écarte de façon obscène, dévoilant son mignon petit trou du cul.

 

- Lèche moi un peu, et après tu pourras m'enculer.

- Et on inversera les rôles après ? Demandais-je.

- Tu la voudrais dans le cul, ma bite ? Hein ? Salope !

- Ben oui !

- Et ces dames seront d'accord pour que je te prenne comme un pédé ?

- Bien sûr qu'on est d'accord ! Intervient Muriel.

- Hummm… deux mecs qui s'enculent c'est génial ! Ajoute Chantal.

- OK, on fait comme on a dit. Suce-moi le trou de balle, la bonne rondelle à Louisette.

 

Je lui lèche donc consciencieusement le trouffignon, puis y introduit ma bite. La vigueur est pas mal revenue et je parviens à l'enculer correctement.

 

- Et si on lui léchait la bite pendant qu'il se fait mettre ? Propose Chantal.

- Oui, mais on le fait pas jouir, je veux qu'il jouisse dans le cul de mon mari.

 

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Au bout d'un quart d'heure de ce traitement qui a fait pâmer d'aise "Louisette", je décule sans avoir joui. Chantal me suce un peu la bite, on souffle un peu, on se reboit un verre. J'irais bien ronfler mais tout le monde insiste pour que je me fasse sodomiser à mon tour.

 

Qu'a ne cela tienne, je me positionne, et offre mes fesses à Louisette qui m'encule comme un chef, tandis que les deux femmes excitées par le spectacle s'embrassent, se caressent, et se pelotent.

 

- Qu'est-ce c'est bon de se faire enculer ! Commentais-je.

 

Après que Louisette ait joui dans mon fondement, je ne me souvins plus de rien. Je ne sais pas trop comment je me suis retrouvée pour la nuit dans la chambre d'amis, toujours est-il que je m'y suis réveillé avec Ludovic à mes côtés.

 

Je me lève et vais à la salle de bain pour pisser. Chantal me rejoint, retire sa nuisette. Elle est bien jolie cette Chantal, je me la ferais bien.

 

- Bien dormi ? Demandais-je.

- Ça va, et toi ?

- Ben, je bande alors, ça doit aller !

- Je vois, tu aimerais bien un petit câlin, c'est ça ?

- Ben ma fois…

- Je ne sais pas si Muriel serait d'accord, on va l'attendre.

 

Curieuse cette réaction, mais bon.

 

- Par contre si tu as envie de pisser, tu peux m'arroser, j'adore ça ! Dit-elle en s'asseyant sur la cuvette.

 

Mais c'est que ce n'est pas si facile de pisser quand on bande. Et ce n'est pas la vue des splendides nichons de Chantal qui va m'aider à débander !

 

Je ferme les yeux, je pense au boulot, à ma déclaration d'impôt et à ma belle-mère et miracle je débande !

 

J'entreprends alors de diriger mon jet doré vers le torse de la belle Chantal qui s'en répand partout à l'aide de ses mains, puis qui désire en boire. Je vise sa bouche et elle en avale de longues gorgées.

 

Une fois l'opération terminée, elle fait un petit mouvement de lèvres signifiant par là qu'elle désire m'embrasser… sur la bouche bien entendu. Je ne me dérobe pas et me voilà avec ma propre urine dans ma bouche. Evidemment je rebande.

 

- Je prends ma douche d'abord, parce qu'après, il faut que j'y aille.

 

Bon, ça veut dire que je m'enverrais Chantal une autre fois… ou jamais…

 

Le reste du week-end fut très calme, nous étions invités chez des amis ce Dimanche midi, et ces gens-là, par ailleurs fort sympathiques semblaient bien loin de nos folies libertines.

 

Aussi n'avions-nous pas commenté avec Murielle cette folle soirée avant le dimanche soir. Ce fut elle qui aborda le sujet :

 

- Pour toi, ce qu'on a fait samedi soir, c'était juste une expérience, ou ça t'a donné envie de recommencer ?

- Et toi ?

- Réponds-moi d'abord !

- J'avoue m'être bien amusé.

- Ça t'a excité de me voir faire des trucs avec d'autres hommes ?

- Oui, j'aurais bien aimé aussi, te voir faire des trucs avec Chantal, mais je n'ai pas vu grand-chose.

- On pourra arranger ça, elle m'a invité au restau cette semaine, je lui en parlerai. Ça te ferait plaisir ?

- Oui bien sûr ! Répondis-je

- Mais je ne sais pas si elle acceptera d'aller plus loin, je veux dire sans doute que tu regarderas, mais ce sera tout.

- Je regarderai en me masturbant !

- Ça t'excite de penser à ça, hein mon salaud ?

- Ben, oui ! Répondis-je franchement

- Montre-moi !

- Montre-moi quoi ?

- Ben ta bite !

- Attends on va peut-être finir de manger !

- Non, je veux voir tout de suite, baisse ton pantalon et montre-moi tout ça, j'ai envie.

 

Je me levais de table et m'exécutais. Elle me tripota la bite avant de passer derrière et de m'introduire un doigt dans le cul.

 

- Ça t'a fait quoi, de te faire enculer ?

- Ce n'est pas désagréable !

- Tu te rends compte qu'on a été en boite pour que tu me regardes me faire baiser et que tu es revenu en ayant sucé je ne sais combien de bites, sans compter celles que tu as pris dans le cul.

- C'est un reproche ?

- Mais pas du tout, ça m'a excité. J'ai très envie de revoir ça ! Tu es prêt à recommencer.

- Pourquoi pas ?

- Tu sais, demain, je veux que tu m'achètes un gode ceinture et je te prendrais avec.

- Pas de soucis !

- J'ai encore une chose à te dire :

- Oui ?

- Je t'aime !

- Mais moi aussi, je t'aime, Muriel

 

(à suivre)

 

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 12:57

Muriel et Sylvain, couple coquin

6 - Vestiaires

par Sylvain

 

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Ce gros plein de soupe de Robert m'introduit deux doigts dans le fondement, c'est vrai que ça fait du bien et que ça donne un coup de fouet à ma vigueur. Sa compagne Danielle se croit obligé de faire dans le commentaire à défaut de faire dans la poésie.

 

- C'est ça que t'attendais, hein mon salaud ! Qu'on te trifouille ton cul de pédé. Tu aurais dû demander à Robert qu'il t'encule avec sa grosse bite ! Hein tu aurais aimé ça qu'il t'encule ?

 

Je ne sais pas pourquoi mais ces paroles m'excitent terriblement aussi je réponds dans le même registre :

 

- Oh, oui, j'aurais bien aimé qu'il m'encule !

 

Je sens enfin la jouissance monter, Danielle, elle, commence à pousser des petits cris. La voilà qui jouit du cul, ça la fout un peu dans les vapes. Je décule sans avoir joui, je veux me réserver pour la suite, mais Madame a un autre plan.

 

- Vas-y décharge moi sur le visage, arrose-moi, petit pédé !

 

Je suis au pied du mur, bien sûr que je pourrais refuser, mais bon… Je me branle, je, me branle mais ça ne vient pas.

 

- Qu'est-ce que tu aimerais qu'on te fasse pour que tu y arrive ? Demande Danièle.

 

En profiter pour laisser tomber, mais non je leur explique :

 

- Pincez-moi les tétons !

 

Robert à compris et se callant derrière moi, m'attrape mes bouts de seins, il s'y prend comme un manche.

 

- Non, pas comme ça, plus fort, mais sans les ongles.

 

Bon, c'est pas l'extase, mais c'est mieux, je me remet à me branler frénétiquement, je ferme les yeux, et cherche une image érotique dans mon cerveau pour m'aider. Bizarrement c'est l'image de la bite de Patrick qui s'imprime. Me voilà en train de me masturber en pensant à une bite… et ça marche, j'éjacule sur le visage de Danielle.

 

- Tu veux lécher ?

- Non, merci

- Tu ne veux pas m'embrasser pour me dire au-revoir ?

 

Ben voyons et comme ça je vais encore me retrouver avec plein de sperme dans la bouche. Bon, ben quand faut y aller, faut y aller, je roule une galoche à la dame, je m'arrange néanmoins pour que ça ne s'éternise pas et je prends congé. Robert me serre la main, il bien poli cet homme.

 

Je file au vestiaire, avec l'intention, une fois rhabillé d'informer le barman que je ne donne pas suite à sa proposition… trop crevé…

 

Au vestiaire sur un tabouret, il y a une très belle femme, très classe, bronzée, chignon sur la tête et port altier. Je ne l'ai pas reconnu se suite, mais c'était celle qui a sucé brièvement le téton de Muriel avant qu'elle s'en aille avec Chantal. Elle est à poil mais elle a des bijoux partout, madame est une bourgeoise et doit tenir à ce que cela se sache. Elle termine une conversation téléphonique, elle se lève et se dirige vers son casier, elle s'aperçoit de ma présence et me fait un sourire, que je lui rends bien évidemment. Elle se met soudain à humer l'air ambiant

 

- Humm ! Je ne crois pas me tromper, vous sentez le sperme, cher monsieur. Je me trompe ?

- C'est bien possible !

- Vous avez fait quoi, vous avez sucé des bites ?

 

A un autre moment, j'aurais répondu quelque chose qui aurait pu favoriser le rapprochement, mais en ce moment j'ai surtout besoin d'un bon oreiller, alors supposant qu'elle ne voit pas les rapports homos d'un très bon œil, je lui réponds avec un doigt de provocation :

 

- Ouais, une bonne bite bien juteuse !

- Je pourrais gouter ?

- Pardon ?

- Ne faites pas l'innocent, vous n'êtes pas gay, vous ne seriez pas ici, vous êtes bisexuel et donc vous n'avez rien contre les femmes à moins que je ne sois pas votre genre ?

- Si ! Vous êtes une très belle femme, mais voyez-vous, je suis épuisé !

- Mais vous vous méprenez, mon ami, je ne vous ai pas demandé de me baiser, mais de m'embrasser sur la bouche.

 

Bon je ne vais pas refuser ! La dame à l'air de se régaler du goût de ma bouche ! Son baiser est agréable, mais je n'arrive plus à bander.

 

- Tournez-vous, j'aimerais goûter votre cul !

 

Je le fais par réflexe.

 

- Allez écartez-moi bien tout ça !

 

J'attendais sa bouche mais c'est son doigt qui vient me titiller. Quelques allers-retours, quelques pivotements, puis elle ressort, constate l'état de son doigt (ben, oui il n'y a que dans les films porno où les doigts et les bites sortent des culs avec une propreté immaculée) et le porte à la bouche.

 

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- Oh ! J'adore lécher mon doigt quand il ressort d'un cul. Que voulez vous quand on est dépravée autant l'être complétement !

- Vous ne seriez pas un petit peu cochonne ?.

- Très cochonne ! Mais tout cela est délicieusement pervers. 500 euros ça vous dit ? Me dit-elle.

 

- Ce n'est pas dans mes moyens et en plus comme je vous ai dit, je suis épuisé !

- Vous vous méprenez, c'est moi qui vous propose cette somme… et ce que je vais vous demander ce n'est pas pour tout de suite, on fera ça la semaine prochaine.

- Et vous voudriez que je fasse quoi ? Demandais-je par pure curiosité.

- Sucer et vous faire sucer par mon mari, puis vous enculer !

- Mais pourquoi de l'argent, on peut faire ça ici, un autre jour, gratuitement ?

- Mon mari fantasme là-dessus, mais il ne le fera jamais ici, c'est quelqu'un d'assez connu qui tient à sa réputation, donc nous ferons ça à la maison.

- Et est-ce que je pourrais vous… je veux dire…

- Vous voulez savoir si vous pourrez me baiser ? C'est ça ?

- Je n'avais pas l'intention d'employer des mots aussi cru…

- Bof ! Quand on est salope, on assume ! Alors oui, vous pourrez, je serais votre pute, mais à ce moment-là je ne vous verserais que 300 euros. Donnez-moi votre numéro de portable, je vous appelle demain. Je m'appelle Isabelle !

 

Un truc de ouf ! On verra bien si je donne suite. Trois personnes sont entrées dans le vestiaire

 

On se rhabille chacun de notre côté sans rien dire. Je suis (évidemment) prêt avant Julia.

 

- Au revoir madame !

- A bientôt, cher monsieur, j'espère que vous ne vous défilerez pas !

 

Le bar est indiqué comme étant fermé mais le barman somnole sur une chaise. Je l'informe qu'il ne m'attende pas.

 

- Dommage, je vais te faire boire un truc, en principe ça requinque bien ! Tiens bois ça !

- Je bois son truc, un vague goût de quinquina, ni bon, ni mauvais.

- Dans un quart d'heure tu vas péter à nouveau des flammes !

 

Ça m'étonnerais, je n'ai plus envie de rien, ma libido est tombée à la cave, et je ne veux qu'une seule chose : dormir.

 

- Tu rentres comment ? Me demande-t-il

- Je vais essayer de chopper un taxi, sinon c'est pas si loin, une petite demi-heure à pied. J'habite le XIIème

- Ça tombe bien moi aussi.

 

Il ment, il veut m'accompagner en espérant que son breuvage de merde me redonne envie de faire des galipettes. Mais d'un autre côté ça me fera une compagnie…

 

La nuit est un peu fraîche, c'est agréable. Ludovic, puisque c'est le nom du barman est très bavard et il nourrit la conversation quasiment à lui tout seul en me racontant quelques anecdotes croustillantes sur cette boite échangiste. On traverse le pont d'Austerlitz, je me sens mieux, je me sens vraiment mieux. Son remède miracle serait-il à ce point efficace ?

 

- On dirait que ton truc commence à me faire du bien !

- Je te l'avais dit !

- Par contre, j'ai une de ces envies des pisser !

- Et bien vas-y, pisse il n'y a personne !

 

Personne, c'est vite dit, il y a quand même quelques voitures qui passent. On se camoufle derrière un abri bus. Je sors ma queue et me mets à pisser d'abondance. Ludovic me matte, sa main s'avance, il va me la tenir, ma parole ! Ça y est, il me la tient

 

- Laisse-moi la dernière goutte !

 

Quel cochon, je lui offre donc ma queue molle alors que j'ai presque fini. Trois minutes après elle ressortait bien bandée et bien rincée.

 

- A ton tour ! dit-il en sortant sa queue et en commençant à uriner.

 

Encore une première, j'ai peut-être hésité un tout petit peu avant de mettre son paquet dans la bouche, avant qu'il ait fini de se soulager. Son pipi n'est pas trop fort, mais cette sensation d'avoir un morceau de chair dans la bouche et qui gonfle de volume, quelle émerveillement. J'en suis tout émoustillé. Vivement qu'on soit arrivé à la maison !

 

Il m'attrape la main, je ne la refuse pas, nous voici en train de déambuler la main dans la main. Ça m'amuse.

 

- Sales pédés ! Crie un automobiliste en nous doublant.

 

On éclate de rire. On s'arrête un moment on s'embrasse fougueusement sur la bouche et on repart en se tenant par la taille.

 

(à suivre)

 

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 12:53

Muriel et Sylvain, couple coquin

5 - Bar à bites

par Sylvain

 

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En fait ça m'amuse, je passe donc comme indiqué derrière le comptoir. Le barman me demande de me coller derrière lui, puis de faire glisser son pantalon et son caleçon. J'ai donc accès à sa bite que je branle quelques instants sans pouvoir la voir. Puis je me recule, lui pelote un peu les fesses. C'est vrai qu'il a un joli cul bien rebondi, mais ça ne m'émeut pas plus que ça, si je fantasme un peu sur les bites des mecs, leur culs me laissent plutôt indifférent.

 

- Baisse-toi et lèche, juste une seconde, il n'y a personne !

 

Et puis quoi encore ? Je lui lèche le troufignon d'abord sans grande conviction, puis je me prends au jeu, après tout un cul est un cul et lécher ce charmant anus n'est pas si différent que de lécher celui d'une femme. Quant au petit goût légèrement âcre, il n'est pas pour me déplaire. Je lui demande s'il est seulement passif ou si ça lui arrive d'être actif. Il me dit qu'il peut être aussi actif. Voilà qui me convient mieux.

 

Il se retourne, et sans prévenir me pince les tétons. J'adore, je me pâme et je ne tarde pas à rebander de fort belle façon. Tout en continuant à me serrer les bouts de seins il s'accroupit et engloutit ma bite. Mon Dieu qu'il suce bien, sa langue est magique !

 

- Il n'y a personne pour servir au bar ? Demande un inconnu.

- Une seconde j'ai la bouche pleine, répond le barman.

 

Mais les obligations du service sont ce qu'elles sont, il interrompt donc cette magnifique fellation pour servir l'intrus.

 

- On reprendra tout ça tout à l'heure ! Me précise-t-il

 

J'ai quand même la bite tendue et douloureuse. J'ai à peine le temps de me poser sur mon tabouret qu'une belle asiatique vient à mes côtés.

 

- C'est à vous tout ça ? Questionne-t-elle en me posant son index sur ma bite.

- On dirait bien !

- Et qu'est-ce qui vous a mis dans cet état ?

- L'ambiance.

- Je peux la sucer ?

- Avec plaisir ! Mais j'aimerais bien vous caresser avant.

 

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Pas de problèmes, on se colle l'un contre l'autre, je lui pelote, puis lui embrasse ses jolis seins couleur de miel, je lui mets les mains aux fesses, curieusement très fermes. On se roule un patin, bref de la drague expresse et poussée. Puis elle me gobe le zizi. Joli pipe, même si celle du barman était mieux, elle procède par larges mouvements mettant tout ce qu'elle peut dans la bouche, me gobant les couilles, et attardant parfois son doigt à l'entrée de mon trou du cul. Puis elle exerce des petites poussées de la langue en comprimant mon gland entre ses lèvres. Ça c'est de la technique. Je jouis dans un râle. C'est ma troisième éjac depuis que je suis dans ce club. Je suis à plat.

 

- A votre tour, cher Monsieur ! M'invite-t-elle en s'asseyant, jambes écartées sur un tabouret.

 

Je ne suis pas un mufle ! Je m'accroupis entre les cuisses de cette charmante asiatique et commence à lui prodiguer un cunnilingus bien appliqué. L'affaire ne durera que deux minutes, elle jouit brillamment en m'aspergeant de ses sécrétions intimes.

 

- Merci et bonne fin de soirée ! Me dit-elle en disparaissant je ne sais où.

 

Muriel et Chantal reviennent un peu plus tard, pas vraiment ravies.

 

- Ils étaient bien montés mais c'est tout, rien dans la tête ! Déplore Chantal.

- Si on rentrait, Chantal va dormir chez nous, elle est venue ici avec un mec qui n'a rien trouvé de mieux que de la larguer.

- J'attends la fermeture, le barman veut faire des trucs avec moi !

- Ah ! Et bien dis donc, tu y prends goût, toi !

- C'est une soirée de folie, alors j'en profite.

- Et tu vas faire ça où ?

- Je ne sais pas.

- Tiens moi au courant que je m'inquiète pas, nous on file, on va prendre un taxi.

 

Une superbe femme mûre s'approche de Chantal. Elle a beau être à poil cette fausse blonde respire le fric et le fait remarquer brinquebalant bracelet, collier et chaine de taille

 

- Félicitations, votre copine est superbe. Je lui aurais bien fait quelques propositions, mais puisque la place est prise.

- Vous m'avez l'air d'une belle coquine, c'est dommage… une autre fois peut-être, là on rentre. Répond Muriel.

- Juste un bisou sur le téton ? Propose l'inconnue.

- Ça commence par le téton et on ne sait pas où ça s'arrête...

- Dites-moi juste oui ou non ?

- Juste dix secondes !

 

Les dix secondes sont vite devenues trente. Puis la femme a pris congé en leur lançant :

 

- Amusez-vous bien.

 

Je m'emmerde un peu, il ne se passe plus rien, les couples se sont formés, les trios aussi et même les groupes, l'établissement commence à se vider.

 

Un malabar barbu s'approche du bar en compagnie d'une femme au physique fatigué. La femme me fait un sourire auquel je réponds.

 

- Je me ferais bien baiser une dernière fois avant de rentrer ! me dit-elle

 

En fait ça ne me dit trop rien.

 

- Je suis un peu fatigué, j'ai peur de ne pouvoir assumer… commençais-je.

- On peut toujours essayer ! Insiste-t-elle. J'ai vu que tu étais un petit cochon je t'ai vu faire des trucs avec un homme tout à l'heure. T'aimes ça te faire sucer par des mecs, hein ?

- Oui, mais en fait, je préfère le contraire !

- Sucer des bites ?

- Oui !

- Tu veux goûter celle de Robert ?

 

Robert c'est donc son compagnon, il se branle mollement, la bite est assez jolie. J'acquiesce donc et me baisse pour mettre en bouche le pénis du malabar. Mais sa femme Danièle, nous arrête après deux ou trois coups de langues, et propose qu'on aille en cabine.

 

- Il y a deux trois mecs un peu glauques, je n'ai pas envie qu'ils s'approchent de moi, Explique-t-elle pour se justifier.

 

En cabine, Robert s'allonge sur le matelas, et je me mets à le sucer, Danielle me demande de le faire en me tenant accroupi.

 

- Je vais m'occuper de ton cul, me prévient-elle.

 

Pourquoi pas ? Ce doit être une spécialiste, elle a une façon de me tripoter le trou du cul qui rapidement me fait pâmer d'aise.

 

- Alors, il te suce bien ? Demande-t-elle à son compagnon.

- Super, c'est une bonne petite salope, elle a dû en sucer des bites !

 

Ça me fait drôle d'entendre parler de moi au féminin… Mais j'apprécie néanmoins le compliment… s'ils savaient qu'en fait cette bite n'est que la troisième de ma vie d'adulte.

 

La queue de Robert devenue très dure dans ma bouche est à présent atteinte de soubresauts.

 

- Je vais jouir ! Dit-il au cas où on n'aurait pas compris !

 

Je vais pour me dégager mais Danielle intervient :

 

- Laisse-le jouir dans ta bouche.

 

Cela n'est pas dans mes intentions, mais cette salope m'appuie sur la tête. J'aurais bien sûr pu me dégager et elle le savait très bien, mais je décide de me laisser faire. Me voici avec plein de sperme dans le gosier. Danielle se précipite alors contre moi, son visage se rapproche en un éclair, sa bouche trouve la mienne et nous voilà en train de s'échanger le sperme de Robert en un long baiser baveux. Drôle d'impression mais popaul réagit bien, me voilà de nouveau bandé comme un sapeur.

 

Danielle se met en levrette, me tend ses fesses et me demande :

 

- Allez, encule-moi bien comme il faut ! Tu as ce qu'il faut au distributeur.

 

Effectivement, je prends une dosette de gel intime avec laquelle je lui tartine l'anus, puis la capote protectrice. Je rentre là-dedans avec une facilité étonnante et commence à la limer. Derrière moi, Robert me pelote les fesses et me félicite, me disant que j'ai un "vrai cul de gonzesse". Décidément c'est la nuit des révélations. J'ai quand même du mal à assumer, certes, je suis excité, mais un peu crevé. Je me concentre, essaie de penser à des choses très cochonnes, mais rien n'y fait, je marque une pause, Danièle qui a compris interpelle Robert.

 

- Doigte-le ! Ça va le stimuler !

 

 

(à suivre)

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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