Sylvain Zerberg

Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 18:25

Chalet de fantasme 3 – Baptême du cul pour Ludo par Sylvain Zerberg

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Thémes abordés : Gay, trio, feuille de rose, doigtage masculin, scato légère

 

Finalement, l'autre jour Ludo n'est pas venu, victime d'un contretemps familial. Le rendez-vous a donc été reporté quinze jours plus tard. Et cette fois, il n'y aura pas William, je ne vais pas m'en plaindre, je le ne sentais pas trop ce mec.

 

Je me pointe chez Tommy en fin de matinée, il me roule une pelle et me met la main au paquet, ça commence bien, il est excité comme un pou. Mais il se calme et nous buvons une bière.

 

Un quart d'heure plus tard Ludo nous annonçais son arrivée imminente.

 

Il n'est pas mal le Ludo, assez fin, une bonne bouille, des petites lunettes. Il embrasse Tommy, il me serre la main.

 

Tommy lui propose une bière et on s'installe devant la cheminée. La conversation commence par des banalités usuelles, puis Tommy lui lance :

 

- Alors toujours décidé ?

- Oh, oui !

- Et depuis que tu m'as dit ça tu n'as jamais eu d'occasion ?

- Non, mais je ne les cherche pas non plus, mais je fantasme à fond.

- Tu as une idée de la façon dont on va s'y prendre.

- Pas du tout, je vous laisse improviser.

- Alors, mets-toi à poil, Ludo !

- Là maintenant tout de suite ?

- Oui.

 

Il s'exécute sans discuter, ce mec est super mignon, il a un visage d'ange avec des cheveux blonds et bouclés, le corps est fin, épilé, il a de jolis tétons qui pointent un peu, sa belle bite semi bandée semble si prometteuse que j'en ai l'eau à la bouche. 

 

- Tourne-toi ! Oh quelles jolies petites fesses ! Ecarte-nous tout ça, je veux voir ton trou du cul !

 

Il prend la pose demandée, et ouvre son anus de façon obscène. Je me retiens de m'y précipiter pour le lui lécher, laissant l'initiative à Tommy

 

- Tu t'es déjà introduit des trucs dans le cul ? Lui demande ce dernier

- Oui j'adore ça, je me suis acheté un gode vibrant, j'aime bien m'amuser avec.

- Mais tout à l'heure, c'est ma bite que tu vas avoir dans le cul, tu le sais ?

- Je l'espère bien, je suis venu pour ça !

- Mais avant tu vas bien sucer nos bites, ça t'excite de savoir que tu vas sucer des bites ?

- Oui : Je ne l'ai pas fait souvent !

- Pas souvent ? Je croyais que tu ne l'avais jamais fait.

- Ben si ! Je ne suis puceau que du cul, pas de la bouche.

- Tu vas nous raconter tout ça, mais avant tu vas nous déshabiller, d'accord ?

 

Ludo commence à enlever le tee-shirt de Tommy, ce dernier lui demande au passage de lui pincer les tétons. J'attends mon tour avec impatience, le voilà qui arrive et qui me déboutonne ma chemisette, l'enlève puis s'occupe de mes bouts de seins. Il enlève ensuite mes chaussures, puis se baisse et retire mon pantalon. Il retourne vers Tommy pour recommencer le même cérémonial. Puis il fait descendre le caleçon.

 

Il semble ému à la vision de la bite de son cousin, il semble attendre une instruction qui ne vient pas, alors, il vient vers moi et me retire mon boxer. Nous voilà tous les trois à poil devant le feu crépitant de la cheminée.

 

- Allez raconte-nous les bites que tu as sucées, et après tu pourras jouer avec les nôtres.

 

Ludo raconte :

 

C'était un soir, je flirtais avec une copine dans le parc. On cherchait un coin tranquille pour se bécoter et pour se tripoter et on s'est enfoncé dans les petites allées. Et on arrive à un endroit où il y avait sept ou huit mecs, je ne sais plus, qui se branlaient et se suçaient. Ma copine m'a entraîné un peu plus loin. On s'est trouvé un banc pour s'amuser un peu mais je n'avais à l'esprit que la vision de toutes ces bites.

 

Du coup le lendemain, je suis revenu tout seul, mais l'endroit était désert, j'étais terriblement déçu, et je me suis assis sur un banc qui était là, faute d'avoir mieux à faire. Un quart d'heure après, un type se pointe, il pile devant moi, ne dit rien mais se tripote ostensiblement le paquet. Je réponds d'un vague sourire qu'il a dû prendre pour de l'approbation, parce que le voilà qui sort son engin de sa braguette et se met à se branler. Sa bite est devenue rapidement toute raide, alors il s'est approché et j'ai touché ma première bite, je l'ai trouvé très douce et quand il m'a demandé de sucer, je n'ai même pas hésité, j'ai bien aimé le goût, la texture, je l'ai sucé pendant cinq minutes, puis il s'est retiré de ma bouche, s'est éloigné de quelques pas et s'est terminé en se branlant et en répandant son sperme sur le sol. Puis il est parti sans dire un mot.

 

J'étais à la fois heureux d'avoir sucé ma première bite, en me disant que j'espérais bien que ce serait la première d'une longue série, et d'un autre côté j'étais profondément déçu par le côté complètement impersonnel de cette relation. Je ne demande pas forcément du sentiment, mais au moins de la complicité, de la chaleur humaine.

 

J'y retournais quelques jours plus tard, au coin d'une allée, un type en enculait un autre. Quatre ou cinq mecs les regardaient et beaucoup se branlaient. Je m'approchais, sortait ma bite et commençais à m'astiquer comme les autres. C'est alors que mon voisin m'a exhibé sa queue. Elle était grosse, le gars m'a mis sa main sur ma tête et a effectué une poussée afin que je me baisse pour le sucer. Je me suis dégagé, il m'aurait demandé autrement j'aurais sans doute accepté, mais là, ça m'a refroidi, je me suis éloigné de quelques pas tout en continuant à regarder, là un gars m'a mis la main sur la bite et a commencé à me branler, je me suis laisse faire, après il s'est baissé pour me sucer, il suçait bien mais ce n'est pas ce qui m'intéressait en premier, je l'ai laissé faire et au bout d'un moment, je lui ai dit que j'aimera bien le sucer à mon tour. Il a accepté et j'ai sucé sa bonne bite ! Oh que c'était bon ! Un autre gars s'est mis à côté du premier, j'avais donc deux bites à sucer, j'étais aux anges. Puis le Cro-Magnon du début s'est de nouveau pointé, ça a cassé l'ambiance et j'ai quitté les lieux.

 

Et puis la fois d'après, le temps était couvert, il n'y avait pas grand monde, je me suis assis sur un banc et j'ai attendu. Un type passe devant moi, il me dévisage et se tripote la braguette, je lui fais un petit signe de connivence, il vient vers moi et extrait sa bite de son pantalon. Une belle queue bien dessinée avec un joli gland, je la branle un peu puis je la suce. Humm, elle était bonne sa bite ! J'étais super excité, j'avais alors envie de franchir le pas et de me faire sodomiser. Je lui ai demandé s'il voulait me prendre. Il m'a alors demandé si j'avais le cul propre. Comme je n'en savais rien, j'ai laissé tomber et j'ai planté le mec là. 

 

J'ai donc décidé de changer de tactique, mais que faire ? Les petites annonces, ça me paraissait bien hasardeux. Les clubs, je n'osais pas. Alors j'ai arrêté de chercher. Et puis il y a eu le mariage de Claire. J'étais invité, toi aussi, on ne s'était pas vu depuis notre enfance. C'était comme si on ne se connaissait plus. C'est en allant vers le buffet que j'ai surpris une conversation entre deux beaufs, il parlait de toi : "Tiens, il est invité aussi l'autre pédé ?" "Ben, oui, faut de tout pour faire un monde…". Tu connais la suite.

 

- Oui, mais raconte là, tout de même, pour Sylvain.

 

Eh bien j'ai été te voir, je ne me souviens plus trop comment je t'ai abordé, mais très vite j'ai lâché la petite phrase que j'avais préparé : "C'est dégueulasse la façon dont certaines personnes parlent de toi !". Bien sûr tu as voulu savoir, alors je t'ai dit. On a parlé d'homosexualité, je t'ai confié mes fantasmes et mes atermoiements, et c'est là que tu m'as invité à venir chez toi…

 

Fin du récit de Ludo

 

- Bien reprend Tommy, je te propose de faire comme ça : On te laisse faire comme tu veux, s'il est possible que par moment je sois un peu directif ce sera uniquement pour t'aider, d'accord ?

- Pourquoi pas ? Mais j'aurais préféré que vous me dominiez carrément.

- Ce n'est pas un souci, tu veux être notre petit esclave ?

- Oui, ça me plairait bien !

- Mais un esclave, ça se punit…

- Ce n'est pas un souci non plus.

- Alors O.K., on va y aller ! Tu aimerais bien sucer nos bites, hein ma salope ?

- Bien sûr !

- J'ai envie de pisser ! Déclare Tommy, ça doit être la bière, ouvre ta bouche je vais te pisser dessus.

- Je… je… je ne sais pas si je vais aimer. Balbutie Ludo.

- Mais bien sûr que tu vas aimer. Les petits esclaves ça boit la pisse de leur maître !

 

Bien que Ludo ait ouvert la bouche comme on le lui a ordonné, Tommy a l'intelligence de commencer à pisser d'abondance sur son ventre et son torse avant de remonter vers le visage. Le jeune homme en avale une goulée. Tommy stoppe sa miction.

 

- Alors ?

- C'est bizarre, c'est spécial, pas franchement mauvais.

- Alors tu vas en boire encore un petit coup !

 

Il ne répond pas, il ouvre la bouche, en redemande. Je lui pisse dessus à mon tour. Il est drôle comme ça le Ludo, tout mouillé de nos urines sur son corps glabre. Je suis soudain saisi d'une pulsion et je l'enlace avant de lui rouler un patin. Ce mec m'excite de trop. En fait je m'aperçois que je ne suis partant ni pour une séance de domination ni pour un trip à trois. Ce dont j'ai envie c'est de m'envoyer en l'air avec Ludo, juste avec Ludo ! Oui mais voilà, je suis chez Tommy et ce n'est pas possible, il me faudra improviser.

 

J'ai lâché ses lèvres, me suis reculé un peu, nos regards s'échangent ! Putain comment il me regarde ! Mon coup de foudre serait donc partagé. "Trop la chance !" comme dirait mon beau-frère. 

 

Et hop, le Ludo qui se recolle à mes lèvres ! Il en veut encore de la fricassée de museau. Ce n'est pas du tout un problème. On se bécote avec un mélange de fougue et de tendresse. Je bande, mais je bande, vous ne pouvez pas savoir !

 

- T'es trop, toi ! 

- Trop quoi ?

- Trop craquant !

 

Tommy qui a oublié d'être con, s'est aperçu qu'il se passait quelque chose et s'est mis très légèrement en retrait. 

 

C'est fair-play comme attitude, mais s'il se trouve de fait sorti du trio, ce n'est pas terrible non plus ! A mon tour donc d'être gentleman :

 

- Suce-nous !

 

J'ai bien dit : "suce-nous" et non pas "suce-moi". Ludo se baisse et me gobe la pine. Ce sera donc sa cinquième queue de l'année si toutefois, j'ai bien compté.

 

J'ai toujours été fasciné par la qualité de fellations prodiguées par les hommes. Ils sucent très souvent mieux que les femmes. Et Ludo malgré sa maigre expérience ne fait pas exception à la règle. En fait les hommes sucent comme ils voudraient être sucés, et tout y est le rythme, la position des lèvres, les mouvements de la langue. C'est si bien que s'il continue je vais lui décharger sur les amygdales !

 

- Allez, suce Tommy, il va être jaloux.

 

Il le fait, j'aurais bien sucé Ludo pendant qu'il turlutte son cousin, mais la position accroupie, qu'a adopté ce dernier m'y fait renoncer. Pas pratique ! Et puis ça me permet de souffler.

 

- Arrête et tourne-toi, je vais t'enculer ! Lui dit Tommy.

 

Ce n'est donc pas moi qui aurais l'honneur et le plaisir de le dépuceler ! Tant pis, je m'en remettrais !

 

Tommy lui prépare le cul, et après l'avoir abondamment léché (le veinard !) il y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Une bonne séance de va-et-vient, puis une tartine de gel. La capote, quelques mouvements de branlette pour bien assurer la fermeté bitale, puis premier essai. Raté ! Au quatrième, la pine entre enfin dans le trou du cul du cousin qui rouspète un peu !

 

- Ça fait un peu mal !

- C'est normal au début, je vais y aller doucement.

 

C'est ce qu'il fait, mais le cousin fait toujours la gueule.

 

- Ça va mieux ?

- Un peu !

- Je continue ?

- Oui !

- Tu me diras quand je pourrais accélérer !

- Accélère un peu.

- Comme ça ?

- Oui ! Oh, ça devient bon, continue comme ça, vas-y, encule-moi bien !

- Tu la sens ma bite ? Hein petite tapette ?

- Oui, je la sens bien !

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Cette fois, c'est de la vraie sodo, Je bande comme un dingue, c'est fou comme ça m'excite de voir deux mecs fins et glabres qui s'enculent. Tommy s'excite aussi, il me roule une pelle en même temps et Ludo m'a attrapé ma queue qu'il suce goulument. Nous formons un trio d'enfer. Tommy a du mal à maintenir la distance, il sent qu'il va jouir, il décule, retire la capote, fait se retourner son cousin et lui projette son sperme en plein visage. Ludo ne semble apprécier cette fantaisie que fort modérément.

 

- A ton tour, me propose-t-il en se remettant en position.

 

Cette perspective et le spectacle offert m'ont déjà fait bander comme un âne. Je n'ai aucune difficulté à entrer, le chemin est fait ! En revanche ma bite paraît super serrée dans ce jeune cul. Je pilonne mon amant en cadence, il n'a plus mal, il jappe, je lui donne du plaisir et je suis heureux de lui en donner. Je me contrôle pour ne pas jouir, je n'ai pas envie que tout ça se termine trop vite.

 

Je me dégage, jette la capote et me retrouve entre ses cuisses, j'ai maintenant sa bonne bite en pleine bouche. J'adore sucer des bites, je ne m'en lasse plus depuis que Tommy m'a fait redécouvrir ce plaisir. Et celle-ci est particulièrement bonne, la texture est incroyablement douce, le goût relevé de perles de pré-jouissance est envoutant. Je suce et je lèche partout, amusant le gland et tétant le méat des lèvres et de la langue, faisant coulisser la verge à la manière des putes les plus expertes.

 

Et puis, cette bite, cette magnifique bite, je la veux dans mon cul.

 

- Encule-moi, Ludo, fous la-moi bien profond !

 

Je joins le geste à la parole et je me tourne, j'écarte mes fesses de salope et lui dévoile mon petit trou qu'il lèche un petit peu (Oh ! sa langue), puis il me prend. Je suis sa chienne, il me lime avec une bonne cadence. Des frétillements de plaisir me remplissent le corps. Je sens qu'il va jouir.

 

- Essaie de te retenir !

 

Il a compris, il décule, veut enlever la capote, je lui fais signe de ne pas le faire et la nettoie de ma langue, faisant disparaître les traces de merde qui la polluait. Je suis fou d'excitation.

 

Maintenant je lui retire sa capote, simultanément nous nous couchons sur le sol, nous sommes tête-bêche, en 69, chacun suce la bite de l'autre. Lui jouit très vite, il n'en pouvait plus, moi une minute après.

 

Je n'ai pas avalé le sperme de Ludo, je l'ai gardé en bouche. Il est surpris de le trouver quand nous nous embrassons d'un très long baiser romantique.

 

- Je suis un enculé maintenant, ça me plait bien de me dire ça ! Dit-il en guise de commentaire.

- Alors bienvenu au club !

- T'u es super comme mec ! Ajoute-t-il, me faisant ainsi le plus beau des compliments.

 

Je cherche Tommy qui a disparu de la pièce.

 

- Je vais boire un coup, tu viens avec moi, proposais-je à Ludo.

 

Arrivé dans la cuisine, dans laquelle Tommy prépare le déjeuner, il nous accueille d'un provocateur (quoi que sympathique) :

 

- Alors les amoureux, ça s'est bien passé ?

 

Ludo rougit un peu, je croise son regard, nos visages se rapprochent, on s'embrasse.

 

C'est une façon comme une autre de répondre à sa question, non ?

 

Fin

 

 

Par Sylvai - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 18:20

Chalet de fantasme
2 - En attendant Ludo....
Par Syvain Zerberg  

 

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Thèmes abordés :  domination soft, exhibition, gay, party, prostitution, scato légère, uro. 

J'étais resté en contact avec Tommy, il ne s'agissait pas d'une liaison à proprement parler mais on était content de se retrouver deux ou trois fois par mois... Il avait toujours le projet de dépuceler son cousin et l'affaire put se concrétiser à la fin du printemps. Je me rendis donc chez mon ami, excité à l'avance par cette expérience qui promettait d'être curieuse.

 

Il m'accueille vêtu d'un simple bermuda avec le sourire, il n'est pas seul. Un autre homme assez brun de peau est déjà dans les lieux. Je suis assez surpris car il ne m'avait pas du tout décrit son cousin comme ça :

 

- Je te présente William, un ami, je me suis dit que pour le dépucelage de mon cousin, plus on serait de fous, mieux ce serait ! Mon cousin a eu un petit empêchement, il ne sera là qu'en fin d'après-midi...

- O.K. Enchanté !

 

Le mec me regarde de la tête au pied, c'en est gênant !

 

- Tu sais que William a les plus belles fesses de la région ! Me précise Tommy d'un ton égrillard.

- Ah ! Ah ! C'est vrai ça ? Répondis-je, histoire de dire quelque chose...

- Tu veux juger par toi-même ?

- Pourquoi pas ?

 

Le gars ne fait ni une ni deux, il se débarrasse à la vitesse grand V de son bermuda et de ce qu'il y a en dessous, et le voilà avec ses fesses à l'air. Jolies, même s'il n'y a pas de quoi hurler au miracle !

 

- On peut caresser, embrasser, lécher... surtout ne te gêne pas !

 

Une invitation donc ! Alors, je ne me gêne pas, je caresse, elles sont effectivement très douces. 

 

- Embrasse-les !

 

C'est presque un ordre ! Mais ce n'est pas une corvée !

 

- Voilà c'est bien ! Tommy m'avait bien dit que tu étais une petite salope...

 

Et tout en parlant, il s'écarte les hémisphères de ses fesses, me dévoilant son anus !

 

- Et maintenant tu me lèches le trou, et tu as intérêt à faire ça bien, je veux sentir ta langue ! Hein petite salope !

 

Non mais, il se prend pour qui celui-ci ? Du coup je me redresse...

 

- On verra peut-être ça plus tard... m'excusais-je !

- C'est comme tu veux ! Mais c'est peut-être dommage, parce que ça, tu n'y auras pas droit....

 

"Ça" c'est son sexe, à demi bandé qui me nargue, bel organe, que je ne peux m'empêcher de regarder avec une certaine convoitise.

 

- Ne me dis pas que tu n'aimerais pas la sucer ?

- C'est vrai qu'elle est belle !

- Oui, mais faut la mériter !

 

Je ne sais pas quoi répondre et cherche du "secours" en direction de Tommy. Mais le beau blond se contenta d'ôter à son tour son bermuda et de se branler lentement son joli sexe.

 

- Déshabille-toi ! Finit par me dire ce dernier !

 

Dans sa bouche, cela n'avait rien d'un ordre, plutôt une suggestion. Je n'avais cependant pour ainsi dire pas d'alternative ! Ça démarrait sexe. Ou bien je plantais ces deux-là ou bien je me pliais à leurs jeux.

 

- Déshabille-toi, Sylvain ! Tu ne vas pas me dire que tu ne veux pas jouer avec nous ! Regarde, deux belles bites pour ta bouche et pour ton cul... et tout à l'heure tu en auras peut-être une troisième...

 

C'est un argument comme un autre, je me débarrasse donc de mes vêtements à mon tour... j'ai à peine fini que le William vient m'inspecter les fesses...

 

- Un joli petit cul d'enculé ! T'aimes ça qu'on t'encule ? Hein !

- Ce n'est pas désagréable !

- Et tu te fais enculer souvent ?

- Non, juste quand je viens voir Tommy... mais tu en poses des questions toi...

- Et moi, tu aimerais que je t'encule ?

- Pourquoi pas ?

- Je t'ai dit faut le mériter ! Si tu ne me lèches pas le trou du cul, tu ne me suces pas et je ne t'encule pas...

- C'est du chantage ?

- Pas du tout, c'est un jeu !

- Alors si c'est un jeu...

- Et on va le reprendre le jeu... mais comme tout à l'heure tu n'as pas été sage, tu vas avoir un gage. 

 

Ça devient n'importe quoi, ce mec m'énerve ! Au moins avec Tommy les rapports sont simples, mais d'un autre côté je suis quand même assez excité... et surtout j'ai envie de sa bite, à l'autre...

 

- Tommy va te donner dix coups de martinets, et après tu t'occupes de mon trou !

 

Ce n'est que cela, je suis un tout petit peu maso, j'espère simplement qu'il ne va pas me taper trop fort.

 

- Bon d'accord !

 

Et pendant que Tommy est parti chercher l'instrument contondant, William me confie :

 

- J'adore ça dominer des mecs, tout à l'heure on dominera Tommy tous les deux, il aimera ça...

 

Je ne réponds pas, ce mec m'excite sans doute physiquement mais pour le reste il aurait tendance à m'énerver.... N'empêche que quand le blondinet revient avec le martinet, je me mets en positon, les fesses tendues, légèrement relevées, et j'encaisse la flagellation au martinet promise... Mais comme je le pressentais Tommy ne frappe pas trop fort... Reste à savoir si je vais continuer le jeu : du côté des inconvénients : être le jouet de ce type m'agace, du côté des avantages, profiter de son sexe m'excite... Alors, que croyez-vous que je fisse ?

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Le cul tout rouge et tout chaud, je me suis avancé vers le fondement de William que j'ai entrepris de sucer avec application, jusqu'à ce qu'un quart d'heure après, lassé sans doute de ma volonté de bien faire, il se retourna la bite dressée comme un étendard, devant ma bouche qui n'attendait que ça...

 

Alors je l'ai prise entre mes lèvres, sans faire de dentelles, l'engloutissant carrément, la coulissant en de longs va-et-vient. Tommy vint se placer aux côtés de son ami, mais je refusais l'offrande de sa bite, voulant montrer à l'autre de quoi j'étais capable, jusqu'où je pouvais aller... La queue de William était très dure dans ma bouche, il bandait vraiment à fond, et la sucer dans cet état était un plaisir redoublé. Un moment, je la sentis tressaillir, je savais pertinemment ce qui allait se passer, il hésita un bref instant puis se retira, pris quelques secondes de répit, avant de revêtir une capote, de me demander de me tourner puis de me fourrer son dard dans l'anus. Pas très douce, cette introduction, j'ai failli lui dire de se retirer mais après quelques instants pas trop agréable, cette curieuse sensation de "rempli" quand on se fait sodomiser m'envahit et me provoqua des frissons de plaisir. J'avais une bonne bite dans le cul et j'aimais ça ! Tommy se positionna devant moi, la pine dressée. Bien sûr je m'en emparais et m'en délectais de ma bouche gourmande ! Quel plaisir d'avoir une queue dans la bouche et une autre dans le cul !

 

William finit par décharger, et laissa la place à Tommy !

 

- Je n'ai pas pu me retenir de jouir... Allez, à ton tour d'enculer cette salope ! Dis-le-nous toi que tu es une salope !

- Oui, je suis une salope, j'aime les bites, j'aime qu'on m'encule, je suis un enculé....

 

Après tout si ce genre de propos leur fait plaisir...

 

C'est Tommy qui me besogne à présent, délicatement comme il sait si bien le faire mais, il est vrai que nous sommes maintenant habitués l'un à l'autre. Après une petite séance de va-et-vient, il se retira sans avoir joui, et sans enlever la capote, positionna sa queue devant ma bouche. Une queue qui sort d'un cul n'est pas toujours très propre...

 

- Nettoie et suce !

 

Cela aurait été William, j'aurais sans doute refusé, mais c'était Tommy, je respirais un bon coup et fis ce qu'il me demandait jusqu'à ce qu'il jouisse dans le condom d'une abondante giclée.

 

Je suis donc le seul à ne pas avoir joui, et comme personne ne semble vouloir s'occuper de moi, je me décide donc à me branler...

 

... et voilà que le portable de Tommy se met à sonner...

 

- Marcel ! Oui tu peux passer Marcel, je suis avec des amis, mais ce n'est pas un problème...

- Qui c'est Marcel ? Demande-t-on.

- Marcel, mais je ne vous ai pas raconté ?

 

L'histoire de Marcel par Tommy

 

C'était un après-midi, l'été dernier, on sonne à la porte, c'est Marcel un voisin d'une quarantaine années, il a des problèmes avec sa tronçonneuse, il a travaillé toute la journée et elle est tombée en panne, il me demande de me prêter la mienne pour finir le travail.

 

- Je vais vous la chercher, entrez cinq minutes, installez-vous dans le salon, vous prendrez bien une bière ?

- Avec cette chaleur, ce n'est pas de refus !

 

Je vais dans la cuisine, à ce moment-là on m'appelle sur le portable, rien d'important mais ça prend un peu de temps. Du coup quand je reviens le voisin a tué le temps en piochant dans mon porte-revues, et devinez ce qu'il a dans les mains : une revue porno gay !

 

- Vous avez des ouvrages passionnants ! Me dit-il avec un petit sourire entendu.

- Vous aimez ce genre-là ?

- Ça change... c'est pas trop mon truc, mais là c'est pas mal... Ils choisissent bien leurs modèles, ils ont des belles bites...

 

Je me rapproche du lui tandis qu'il continue à feuilleter et à commenter le magazine. Il n'est pas difficile de constater qu'il bande comme un cerf.

 

- Ça m'excite votre truc !

 

J'avais remarqué...

 

- C'est fait pour ça ! Répondis-je.

- Comme il lui suce bien sa belle queue, celui-ci... bon faut que je me calme...

- Vous aimez ça, sucer des belles queues ? Demandais-je

- Je suis hétéro, mais ça ne me déplairait pas, il y a des années que je n'ai pas eu l'occasion...

- T'aimerais peut-être me sucer la mienne ! Proposais-je tandis que je lui foutais la main sur son attirail.

- Parce que toi aussi...

- Ben, oui... dis-je ne me débraguettant et en exhibant mon sexe déjà tendu !

- Oh ! Que c'est beau !

- Oui, mais il y a juste un petit problème !

- Un problème !

 

Il devient anxieux le mec !

 

- Je me fais payer !

- Quoi, tu fais la pute ?

- Ça m'arrive, oui ! 

- Bon on laisse tomber... si vous pouviez aller me chercher votre tronçonneuse, il va falloir que j'y aille.

- On y va... et pour le reste si ça vous tente un jour, et que je suis libre, vous ne le regretterez pas... Je suis très doux et très discret.

- Ça m'embête de faire ça pour de l'argent... Heu, sinon tu prends combien ?

 

Je lui indique le prix.

 

- Et pour ce prix-là, je peux te sucer, on se suce tous les deux et... plus...

- Les plus c'est avec préservatif, mais tu m'encules ou je t'encule c'est comme tu veux.

- Bon alors d'accord...

 

Alors il m'a donné l'argent, et il m'a caressé la queue, puis il me l'a sucé... après il a voulu que je l'encule... je l'ai enculé et je le revois de temps en temps, ça me fait de l'argent de poche... c'est plus pour le principe que pour l'argent, je ne baise pas avec n'importe qui, mais s'il y a une compensation...

 

Retour au récit principal

 

- Ne jouis pas ! Me demande Tommy, comme ça tu pourras enculer Marcel.

- Hein ! S'il me plait pas, je n'y touche pas.

- Mais c'est toi qui vas gagner xxx euros.

- M'en fous ! Je ne te promets rien.

 

Et voilà Marcel ! Il n'a rien d'horrible cet homme, il n'est pas de notre génération, c'est tout. On ne s'est pas rhabillé et il reluque nos queues avec concupiscence.

 

- On vient de faire une petite partie, là, on est plus tout à fait au top... sauf Sylvain qui est resté en pleine forme... ça te dit de faire ça avec Sylvain !

 

Et tout en disant ça Tommy me tripote la queue pour la faire rebander.

 

- Oui, mais on fait ça où ?

- Ben ici !

- Vous allez regarder, alors ?

- Sauf si ça te gêne...

- Non, non !

 

Reste que je ne sais pas si je vais suivre... Me voilà un peu devant le fait accompli... Certes il n'a rien de repoussant mais il ne m'attire pas du tout... Et le voilà déjà en train de se déshabiller... Puis il m'attrape la queue, la branlotte quelques instants avant de la mettre en bouche. Je suis bien obligé de constater qu'il suce bien l'animal et que ma queue est redevenue parfaitement dure en très peu de temps. Bon dieu quelle langue de démon il a, le voisin, du coup, je lui dis :

 

- Tu suces bien dis donc !

- Tu me diras quand tu seras prêt à m'enculer...

- T'inquiète !

 

Il s'enhardit, me suce les couilles, me fait tourner, veut me sucer l'anus.

 

- Il n'est peut-être pas très propre, je viens de me faire enculer deux fois et je ne me suis pas lavé.

- C'est encore plus excitant.

 

Puisqu'il le dit...

 

Il fait ça très bien, une bonne surprise, ce type...

 

- Allez tourne-toi !

- Oui, dis-moi des choses cochonnes quand tu vas m'enculer, j'aime bien.

 

S'il aime bien…

 

- Ok, grosse pédale, tu vas bien la prendre ma bite dans ton cul de salope !

- Oui....

 

Je m'encapote, puis le pénètre assez facilement.

 

- Vas-y c'est bon !

- Tu la sens ma grosse bite, hein pédale ? Tu veux que je le dise à ta femme que tu fais enculer par des putes ?

- Ne jouit pas dans son cul ! Me demande Tommy. On va faire comme avec toi tout à l'heure.

 

Je décule, la capote est parsemée de taches de merde. Mais Marcel n'en a cure et fourre tout ça dans sa bouche.

 

- Nettoie bien, nettoie toute la merde, salope !

 

Je finis par jouir sous les coups de sa langue agile....

 

- Tu veux jouir comment ? demande Tommy

- Je vais me branler en lui léchant le cul.

 

L'affaire se conclut en trois minutes. Le gars se rhabille, me tend un billet et disparaît en prenant congé très rapidement...

 

- Et bien voilà une journée qui commence bien ! Dit Tommy, On va peut-être prendre une douche...

- Ok on y va ensemble, propose William.

 

Nous voilà dans le carré à douche, un peu à l'étroit...

 

- Qui veut mon pipi ? demande Tommy 

- Moi, moi ! Répondis-je

 

Je m'assis alors sur le sol du carré, tandis que le jet doré de mon ami m'atterrissait sur le torse, sur le sexe et bientôt dans la bouche. William ne voulant pas être en reste me gratifia également de sa douche spéciale...

 

Quel après-midi ! J'ai été dominé, enculé, j'ai sucé des bites, me suis fait sucer, on m'a pissé dessus, j'ai même fait la pute... et maintenant on fait quoi ?

 

Ah ! Oui on attend le cousin....

 

(À suivre)

 

Sylvain - Juin 2006

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 17:19

Chalet de fantasme 1- Tommy par Sylvain Zerberg

 

Gaystamp
Thémes abordés : doigtage masculin, feuille de rose, gay, massages, scato légère, spermophilie, uro

Bonjour ! Au moment où commence ce récit, j'avais 23 ans, célibataire. J'ai les yeux bleus "royal", les cheveux bruns, je mesure 1 m 75


Un jour je me promenais dans la forêt en V.T.T.,quand .soudain j'aperçus un mec avec son engin pris dans la boue. Je descendis, ôtais mon casque et lui proposais mon aide, il hésita et me répondit "oui". C'était un beau mec assez fin, cheveux blonds et yeux bleus, un peu plus grand que moi


Il me donna une corde pour que je puisse tirer avec mon véhicule, je l'attachai et il alla pousser à l'arrière, on le sortit de la boue tout de suite. Il était content et il me remercia :


- Je m'appelle Tommy, je me rends au chalet de mon père ! Je devais y passer le week-end avec un ami, mais il m'a fait faux bond au dernier moment, je risque de m'ennuyer un peu tout seul ! Ça te dirait d'y passer prendre un verre ? Pour te remercier du service !


- Heu, j'ai quelques bricoles à faire en rentrant, mais si ça te convient je peux passer vers 18 heures


Ce jeune homme me paraissait assez ambigu, il avait parlé de passer le week-end avec "un" ami, peut-être était-il homo ? Moi je ne le suis pas mais parfois dans mes fantasmes, il m'arrive de m'imaginer être avec un homme, et puis j'ai eu quelques rares occasions que je n'ai absolument pas regrettées. "On verra bien", me dis-je.


En fin d'après-midi je me rendis donc à ce chalet dont il m'avait donné l'adresse. Chalet, façon de parler. Celui-ci devait être environ deux fois plus gros que notre maison. Je sonnais, et comme personne ne répondait, je tournai la poignée, elle n'était pas fermée à clé, j'entrais donc, c'était vide... mais très vite un cri me rassura :


- J'arrive !


Je vis Tommy descendre les escaliers avec une serviette autour de la taille, il dit :


- Désolé ! J'étais sous la douche !


Je ne fantasme pas sur les mecs torses nus mais il faut bien avouer que son corps entièrement rasé et ses gros tétons bruns ne me laissaient pas complètement indifférent.


- Un jacuzzi ça te dirait ?

- Jacuzzi ?

- Oui on a un jacuzzi.

- Je n'ai pas de maillot !

- Tu n'as qu'à te mettre à poil !

- Heu... Hésitais-je

- Mais soit rassuré, je vais me mettre tout nu aussi, comme ça tu seras plus à l'aise, alors d'accord ?

- O.K. !

- Bon, tu peux te déshabiller, je vais préparer tout ça...


Je me mis nu près du radiateur car ce chalet n'était pas très bien chauffé et il commençait à cette heure-là à faire froid à l'extérieur (nous étions en automne). Tommy était toujours en serviette et il n'avait l'air nullement gêné de ma nudité. Par contre moi je me sentais un peu confus, car jamais un autre gars ne m'avait vu nu. Il dit :


- Ne soit pas gêné, on est tous fait pareil !


Mouais, admettons.... Son corps était parcouru de frissons et le mien aussi alors il m'invita à m'installer. Je trempai un pied dans le jacuzzi, c'était bouillant, alors j'allais m'asseoir dans le fond. Tommy enleva enfin sa serviette et je fus impressionné par la beauté de son engin et de ses testicules. De façon complètement inattendue et incontrôlée je développais une belle érection que je m'empressai de cacher entre les bulles du jacuzzi.


Tommy entra à son tour et on se mit à discuter de tout et de rien, il m'expliqua que son père était chirurgien (voilà qui expliquait la taille et le luxe du lieu) Je me rendis compte aussi que nous avions beaucoup de points en commun. Il avait un de sens de l'humour assez développé ce qui rendait la discussion véritablement très agréable.


Une heure plus tard, nous étions encore là, et bien sûr mon érection n'était plus qu'un souvenir. Tommy sortit et me proposa de rester pour le dîner ! J'acceptais ! Le chauffage fonctionnait mieux à présent et on ne revêtit que nos pantalons.


Il me prépara un grand plat de spaghettis arrosé de vin rosé. On traîna pas mal à table. Il ne parlait pratiquement pas de lui, mais je cru comprendre qu'il n'avait pas de copines et qu'il sortait souvent avec des garçons, mais il ne faisait aucune allusion sexuelle. Puis il me proposa de finir la bouteille dans le salon devant la télé. Je ne suis pas trop télé mais je me dis qu'il avait peut-être l'intention de nous passer une vidéo ? C'est à ce moment-là que je commençais à me dire que si le programme de la soirée ne me convenait pas je prétexterais une fatigue subite pour prendre congé...


Nous n'étions pas installés depuis dix minutes qu'un orage électrique éclata et le chalet se retrouva sans lumière. Que faire, il y avait tout ce qu'on peut imaginer dans ce chalet mais pourtant il n'y avait pas de groupe électrogène. Tommy enfila alors un blouson et alla chercher du bois pour mettre dans la cheminée. Je sortis avec lui pour l'éclairer avec une torche électrique. Je ne sais alors comment il s'y prit, sans doute voulut-il transporter trop de bois, toujours est-il qu'il se plaignit soudain d'une fulgurante douleur dans le dos et qu'il lâcha son bois. Je le lui ramassais et le rentrais, puis sous ses instructions je procédai à l'allumage.


Tout cela pour rien ! L'électricité revint aussi subitement qu'elle avait disparu ! Tommy se plaignait toujours de son dos. Alors je lui proposai un massage. Il accepta et m'indiqua qu'il possédait des huiles qu'il m'expliqua où prendre. J'ouvrais donc le placard indiqué, et là, la première chose que je vis fut un joli godemiché ! Il était posé sur un petit tas de revues, j'en extrayais une, il s'agissait de magazines gays avec des photos très explicites, une bosse se forma dans mon pantalon, je ne pouvais pas m'attarder, mais d'un autre côté je me dis que Tommy savait pertinemment ce qu'il faisait en m'envoyant ici. Je sus alors que la suite risquait d'être chaude... à condition que je le veuille...


Quand je revins avec l'huile, Tommy s'était débarrassé de ses vêtements et s'était couché sur le ventre sur le tapis du salon. Je me mis alors à genoux par-dessus son joli petit cul bombé et j'entrepris de le masser aussi bien que je n'avais jamais fait. Je recommençais à bander comme jamais. Au bout de dix minutes, il me dit :


- Bon, tu peux arrêter, tu m'as fait ça super bien, mon dos va un peu mieux !


C'est à ce moment qu'il remarqua mon érection à travers mon jean. Maladroitement je me tournais pour essayer de la cacher !


- Dis donc, c'est mon cul qui te fait bander comme ça ?


Que répondre ! J'étais rouge de confusion !


- C'est pas grave, au contraire ! Ajouta-t-il.


J'étais toujours incapable d'aligner un mot.


- On est à 8 km dans les bois, personne ne peut nous surprendre ! Alors si tu es d'accord pour qu'on se laisse un peu aller, moi je suis partant ! Reprit-il encore. Allez viens, on va s'installer sur le canapé !


Comme un automate j'allais m'asseoir, il me rejoint. Mon regard était scotché sur sa bite. Il rapprocha son visage du mien et commença à me lécher l'oreille. Je mis alors mes mains sur son torse et caressais ses tétons, il avait l'air d'apprécier, et sans que je sache comment on en arriva là, on s'échangea un long baiser avec la langue. Puis il se leva et me proposa !


- Allez, on s'amuse, mets-toi à poil et viens me pomper le dard, tu en meurs d'envie !


Je me jetais à l'eau ! Toutes mes inhibitions avaient disparu et je retirai donc mon jean et me mit à genoux devant lui. Sa queue n'était pas encore en érection. Je lui ai passé ma main entre ses jambes afin de lui toucher l'anus et je lui léchais ses testicules. Evidement l'érection vint très vite ! Je lui décalottais son gland et me mis à le lécher, tandis que de l'autre main je lui caressai son ventre. J'essayais d'enfoncer tout ce que je pouvais dans ma bouche, mais c'est qu'elle était longue sa queue ! Après mes lèvres et ma langue firent le reste, je commençai un va-et-vient lent qu'il appréciait en poussant des lamentations de plaisir. Sa queue avait un goût salé, pourtant il s'était douché juste avant mon arrivé, mais sans doute, cela venait il du fait qu'il venait d'uriner. Loin de me déplaire cela doubla mon excitation !


J'accélérai la cadence tandis que de la main j'alternais les caresses sur l'anus et sur les testicules. Ça allait de plus en plus vite et soudain il jouit en criant, puis une bonne éjaculation emplit ma bouche. Il mit plusieurs minutes à reprendre ses esprits, puis, tout sourire, se releva, et me demanda de me coucher à terre, il m'embrassa partout du front aux tétons en passant par le bout des orteils, puis il remonta et enveloppa de ses lèvres sensuelles mon beau gros gland rosé. Mais lui il commença tout de suite un mouvement rapide de suçage, ça n'a pas pris cinq minutes que j'éjaculai en partie dans sa bouche, le reste sur son visage et sur son cou.


- Lèche le sperme ! Me proposa-t-il


C'est ce que je fis, c'était bon de sentir sur ma langue sa peau douce et imberbe ! Ensuite, il s'empara des huiles de massage et en enduit mon anus, il me dit d'en mettre aussi sur sa belle queue. J'en profitais pour lécher le sperme restant et j'enduis sa bite en faisant un mouvement de branlette. 


- Tu veux que je t'encule ? me demanda-t-il

- Bien sûr !


Il me demanda de me positionner à quatre pattes et je sentis un beau gros gland pénétrer mon anus. Il y allait délicatement et après qu'elle fut entièrement entrée, il me demanda :


- Quand tu seras prêt, pour que je puisse aller plus vite, tu me le diras !


Il fit quelques va-et-vient délicats et après que je lui ai dit "O.K." il me prit par les hanches et commença une série d'aller-retour très rapides. Je me demandais comment il pouvait faire de si grands mouvements de bassin et je me demandais aussi comment mon cul pouvait en prendre autant ! Je criais de plaisir. Tommy finit par jouir en imitant le cri d'un cow-boy en pleine épreuve de rodéo. Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer. ! :

Zerberg1.jpg

"hiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!"


Puis après m'avoir rempli le cul de sperme, il ressorti sa bite, et me demanda si je voulais la nettoyer. Elle était maculée de sperme mais aussi d'un peu de merde, mais elle était tellement belle que je n'hésitais pas une seconde ! Puis il me dit :


- C'est à ton tour de me mettre ta bite dans le cul !


Préalablement il me lécha un peu, puis on se mit en position de 69, ce qui me permit de lui lubrifier sa rosette, en enfonçant le plus profondément possible ma langue dans son mignon petit trou dont l'odeur si particulière me rendait fou ! J'enfonçais ensuite un doigt, puis un deuxième et les fit aller et venir plusieurs fois de suite, rencontrant un peu de matière. Je crois que ce moment a été son préféré car il ferma les yeux, envoya sa tête en arrière et poussa des gémissements, ce qui le faisait abandonner la fellation qu'il prodiguait à ma queue.


Ivre d'excitation, et comme dans un état second, je léchais mes doigts maculés de traces brunes.


Me redressant, je lui demandais de rester sur le dos mais les jambes relevées au maximum, j'approchais ma queue et elle entra très facilement. Il poussa un cri de plaisir puis au fur et à mesure de mes va-et-vient il lança une série de "ha ha ha ha ! " de jouissance.


Au bout de vingt minutes, il était exténué et tout en sueur, et je lui éjaculai dans le cul. Moi aussi j'étais fatigué mais je lui dis :


- Oh non ! On ne va pas s'arrêter là !


On se remit en 69. Et on se remit à se sucer, on poussait souvent de petites lamentations étouffées par nos queues. Soudain il m'éjacula une nouvelle fois dans la bouche, .je sortis sa queue de ma bouche, puis je continuai à le branler pour que le sperme coule de nouveau sur mon corps. Je le léchais ensuite un peu partout mais surtout sur le mamelon et il me fit de même.


- Faut que j'aille pisser, tu viens ?


Je le suivais aux toilettes sans comprendre de suite, puis au lieu de diriger son pipi vers la cuvette, il se mit à m'arroser. Je me laissais faire et quand il visa ma bouche je ne refusais pas de l'ouvrir avalant quelques goulées de ce liquide acre et salé.


Après on se coucha dans le même lit ! Le pauvre ! Il trouva le sommeil tout de suite. Cela ne m'empêcha pas de le caresser.


Après cette aventure, on est devenu amoureux, et on se revit tous les week-ends et on multiplia positions et plaisirs...


Un jour il invita son cousin, celui-ci fantasmant un petit peu sur les rapports entre hommes avait demandé à être initié ces plaisirs ! On s'est régalé, mais cela fera l'objet d'un autre récit...


Ce texte provient des archives anonymes de Sophiexxx, je l'ai corrigé et partiellement réécrit sans en changer l'excellent esprit qui y règne.

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 30 juin 2016 4 30 /06 /Juin /2016 06:46

Muriel et Sylvain, couple coquin

16 - Salon de massage par Sylvain

Massage2-copie-1.jpg

 

 

Sylvain


A 18 heures, j'avais rendez-vous dans un bistrot près d'une station de métro avec Isabelle.


Elle me tend une enveloppe !


- Ce sera pour toi si tout se passe bien !


Je regarde sans compter, je suppose qu'il s'agit des 500 euros. Mais comme je sais maintenant qu'elle n'a pas de mari, je me demande ce qu'elle va bien encore m'inventer.


On prend un taxi jusqu'à Belleville, et là nous nous sommes dirigés à pied vers un salon de massage asiatique.


Un salon de massage ? Qu'est-ce qu'on va foutre dans un salon de massage. Pour y avoir été quelque fois, j'en connais le principe, un long massage du dos, quelques mouvements de mains qui s'égarent, on se retourne et la dame de proposer de vous masser "partout" contre un petit supplément. 


Isabelle salue la patronne qui lui donne un paquet et on se dirige dans une petite pièce qui doit servir de salle de repos aux filles. Il y a aussi des miroirs, des produits de maquillage et une garde-robe.


- Mets-toi à poil, je vais te maquiller ! Me dit-elle.

- Me maquiller !

- Dépêche-toi !


Cette fille est complétement folle ! Et une fois maquillé, je suppose qu'elle va me travestir, et après je vais faire quoi ?


- Tu m'expliques ?

- Je te maquille, je t'habille et je t'explique.

- On ne peut pas faire le contraire ?

- Non !


Et c'est parti : Ça commence par un rasage de très près…


- Je vais aussi te raser la poitrine, le reste on n'a pas le temps.


Viennent ensuite : fond de teint, poudre, blush, rouge à lèvres, fard à paupières, mascara, boucle d'oreilles clip, puis une perruque blond cendrée. Je me regarde dans le miroir. C'est "moins pire" que ce que je pensais, et puis la poitrine glabre, je trouve ça pas mal.


Vient l'habillement : Un soutif avec de faux seins, une robe noire à large motifs fleuris couvrant les bras mais s'arrêtant à mi cuisses, des bas autofixants en voile noir, une petite culotte en dentelle qui ne cache pas grand-chose…


- Mais qui t'as donné mes mesures ?

- Ta femme !


Bien sûr, j'aurais dû y penser !


- Je ne t'ai pas pris des escarpins, poursuit Isabelle, tu ne sauras pas marcher avec, je t'ai pris des petites sandalettes très chic.


Tu parles !


Isabelle dit quelque chose que je ne comprends pas à l'une des masseuses, celle-ci s'éloigne et revient cinq minutes plus tard indiquant la direction d'une cabine.


Nous nous dirigeons vers l'endroit, il y là un jeune asiatique complétement nu qui est allongé sur le ventre.


- C'est Cheng ! Me dit Isabelle, ce n'est pas avec lui qu'on a rendez-vous mais il faut bien que je te montre deux ou trois truc…

- Mais tu veux que je fasse quoi ? Que je masse un mec ?

- Disons un massage amélioré.

- C'est-à-dire ?

- Je t'explique : la procédure c'est un massage soft sur le dos, on chauffe le client et quand il se retourne on lui propose une finition.


Elle n'a pas besoin de savoir que je connais.


- En fait les clients habitués se passent très bien du massage, pour eux, on le fait juste un peu pour le fun et après on passe aux choses sérieuses. Commence par masser les fesses de Cheng, je vais t'expliquer mieux.


Ce n'est pas vraiment une corvée, le type a le cul très doux.


- Voilà, tu masses et de temps en temps tu lui écarte les fesses, juste un peu… tu continues de masser, tu recommences, maintenant tu passes très légèrement ta main en dessous et tu frôles, j'ai bien dit "tu frôles" le bord des couilles, tu masses, tu reviens, tu refais la même chose mais tu avances ta main un peu plus.


Ça commence à m'exciter cette affaire !


- Maintenant, tu approches un doigt du trou du cul, tu restes à la périphérie, tu attends ses réactions, s'il proteste tu n'insistes surtout pas, et tu reviens vers ses couilles. Mais s'il ne proteste pas, tu peux continuer et même introduire un doigt, mais juste quelques instants, si le client kiffe il te le dira ou te le fera comprendre. Quand le type est retourné, normalement tu masses un peu le torse, tu teste les tétons pour voir s'il aime qu'on les pinces et tu demandes un supplément pour le massage complet. Dans notre cas ce ne sera pas la peine, tout est déjà négocié, tu seras à sa disposition.


- Plus besoin de moi ? Demande Cheng en se levant et en m'exhibant sa bite demi-molle.

- Non, à moins que tu veuilles qu'on te la suce ?

- J'aurais bien aimé, mais je me réserve pour tout à l'heure ! Vous venez boire un jus de fruit…


Mais la patronne vient nous chercher.


- Monsieur Henri vient d'arriver, venez, je vais vous présenter.


La présentation se fait dans le couloir.


- Voilà Chantal, un vieille salope bourgeoise très vicieuse comme vous me l'aviez demandé, dit-elle en désignant Isabelle, et Caroline, un mignon petit travesti qui adore la bite.


Voilà que je m'appelle Caroline à présent ! 


Le client n'a vraiment rien de sexy, c'est un gros lard dégarni, chevalière et gourmette en or, Rolex, monsieur a du fric et tient à ce que ça se sache. Je ne me sens pas trop à l'aise.


- On rentre tous les quatre dans la cabine "royale", Gros lard enlève son costume et le confie à la patronne qui l'emporte sur un porte-manteau avant de revenir nous donner les dernières instructions.


Ça y est le mec est couché sur le ventre. Isabelle me fait signe d'attaquer immédiatement ses fesses pendant qu'elle lui prodigue quelques caresses dorsales.


Je fais comme elle m'a indiqué, ma main se balade, devient audacieuse, frôle la peau des testicules, je tente une diversion vers son trou du cul.


- Tu fois quoi, salope ? Rouspète-t-il, sans grande conviction.

- Je testais… mais si vous n'aimez pas, je n'insisterais pas… Balbutiais-je

- C'est pas parce que t'es un enculé que tout le monde est pareil !.

- Heuh !


Je manque un peu de répartie, là. Mais Isabelle viens à mon secours.


- Qu'est-ce tu as mon biquet, cette vilaine Caroline a touché à tout petit cul, elle est vraiment très vilaine !

- Il faudra la punir !

- Je m'en chargerais tout à l'heure ! Je pense que cinquante coups de martinets seront une bonne punition.

- Je le crois aussi. Reprenons, si vous voulez bien.


Bon, je reprends mon massage et me concentre sur les fesses de Gros lard, ce contretemps m'a un peu perturbé. Après une minute ou deux je lui palpe l'arrière des couilles.


- Mon cul ne vous intéresse plus ?


Pourquoi cette question, il cherche l'incident ou quoi ?


- Je m'en voudrais de faire des choses qui ne vous plaisent pas !

- Qui vous a dit que ça ne me plaisait pas ?


Je ne sais plus quoi dire, j'ai envie de foutre le camp, je cherche du secours du côté d'Isabelle. Elle a tout compris, elle est moins con que moi.


- Fous-lui ton doigt dans le cul et s'il gueule, on arrête tout !


L'idée est amusante a défaut d'être plaisante, je m'humecte l'index et j'y vais.


- Salaud ! Proteste-il.

- Continue ! M'encourage Isabelle.

- C'est bon ce que tu me fais mon salaud ! Eructe maintenant Gros lard.


Je comprends maintenant (comment ça, je suis dur à la détente ? Je voudrais vous y voir vous ?) que tout cela est un jeu. Je pilonne, je pilonne, je n'arrête pas.


- Cheng ! Crie-t-il


Comment ça "Cheng" ?


Et voilà Cheng qui se radine, il ne devait vraiment pas être loin.


- Cheng, je suis un enculé !

- Mais parfaitement monsieur !

- Cheng je veux votre grosse bite dans mon cul de salope !

- Mais avec grand plaisir, Monsieur.


Gros lard se retourne, soulève ses jambes, et Cheng après s'être encapoté le pénètre hardiment en faisant de grand han-han. Il a demandé à Isabelle de mettre ses seins à portée de langue pour qu'il puisse s'en régaler, quant à sa main, elle est dans ma culotte en train de me tripoter la bite de façon assez peu délicate.


Après plusieurs minutes orgiaques, Cheng pousse un cri de jouissance, décule et quitte la cabine. Gros lard repose ses jambes sur le sol et murmure quelque chose de peu compréhensible en montrant sa bite du doigt. Isabelle s'en empare et commence à le masturber, puis me passe la main (c'est le cas de le dire). Me voilà donc en train de branler cet énergumène tandis que ma partenaire lui a redonné ses seins à lécher.


Il a du mal à venir, le pépère, mais au bout de cinq longues minutes, il finit par jouir en en foutant partout.


Distribution de lingettes, Gros lard récupère ses sous-vêtements et quitte la cabine. Pas merci, pas de sourire, pas de pourboire… Le gros lard, bien con, quoi…


Isabelle fait à moitié la gueule en commençant à se rhabiller, je suis sûr que dans son petit cinéma intérieur, elle voyait les choses de façon bien plus excitantes.


Mais voilà que Cheng revient, il est toujours à poil.


- Vous savez, je n'ai pas joui, j'ai fait semblant…Comme j'ai cru comprendre que je pourrais vous intéresser…

- Viens me dit Isabelle, on va le sucer à deux.


Cheng s'est couché sur le matelas, je le trouve assez excitant avec sa peau dorée, glabre et douce, ses tétons marrons foncés et sa bonne bite. Je m'en régale, je lèche, je suce, je bave, Isabelle fait pareil. C'est vraiment génial de sucer une bite à deux, de temps en temps nos lèvres se rencontrent. Génial je vous dis ! 


- Tu veux que je t'encule ? Me propose Cheng.

Isabellle16.jpg

Je lui fais signe qu'oui avec un enthousiasme qui me surprend moi-même. Je me mets en levrette afin d'accueillir comme il se doit cette jolie bite qui va me donner du plaisir. J'ouvre mon cul, il rentre et me pilonne, je suis aux anges.


Isabelle, bonne fille, s'est débrouillée pour m'attraper les tétons et me les pincer afin de décupler mon plaisir.


Les sensations dans mon cul sont de plus en plus intenses, je miaule de plaisir, je jouis du cul, je suis un enculé, j'aime ça et j'en suis fier.


Cheng se retire, il n'a pas jouit, il est endurant le mec ! Il change de capote et se met à besogner le cul d'Isabelle.


- On fait une belle paire d'enculés tous les deux ! Me dit-elle.


Ils ne tardent pas à jouir tous les deux, ils s'embrassent et Isabelle ayant retrouvé son sourire se baisse pour s'occuper de ma bite. Elle me suce à fond pendant que ce coquin de Cheng me roule un patin.


Voilà une affaire qui se termine bien mieux que comme elle avait commencée.


Cheng nous indique qu'il faut qu'il aille faire pipi. A ces mots Isabelle ouvre une large bouche et le bel asiatique comprend qu'elle souhaite qu'il lui pisse dans la bouche. Il s'efforce de contrôler son jet afin de ne pas en mettre partout. 


Et moi alors ?


Je m'approche d'eux afin d'avoir à mon tour ma part de nectar doré. J'en avale quelques rasades avec gourmandise. Sa pisse est délicieuse.


On s'amuse ensuite à se rouler des pelles au gout d'urine fraiche. On est une bande de cochons, mais on assume.


Et puis, il faut bien revenir à la réalité, Isabelle me démaquille, puis on se rhabille, on prend congé de Cheng, puis de la patronne.


Un dernier bisou, on prend chacun un taxi.


Je préviens Muriel que j'arrive.


- Ben quand même ! Dépêche-toi d'arriver je meurs de faim. 


Muriel


- Ça a été avec ta pétasse ? Lui demandais-je par pure provocation quand il fut rentré.

- Merde, j'ai oublié l'enveloppe !

- Tu lui réclameras la prochaine fois. Moi j'ai la mienne.

- Elle t'a fait faire quoi ?

- La pute ! Mais je te raconterai une autre fois, pas ce soir, faut que je prenne un peu de recul, mais toi si tu veux me raconter, tu peux.

- Je te raconterais quand tu me raconteras.

- Ah ! Au fait elle m'a donné un truc pour toi ?

- Pour moi ?


Sylvain


J'ouvre le paquet : Une Rolex, une vraie qui doit couter bonbon ! Elle est belle, mais ce n'est pas mon style et puis je ne vais pas porter ça, les collègues ne vont rien comprendre et puis j'aurais peur de la perdre. Je la revendrais…


Et puis, on a mangé en parlant d'autre chose.


Le lendemain matin Victor, le chauffeur d'isabelle est venu apporter l'enveloppe qui m'était destinée, il ne s'est pas attardé et nous ne l'avons pas retenu.


Muriel


Isabelle ne nous a pas appelé, ni la semaine suivante, ni celle d'après, il faut croire que nous avions cessé de l'amuser.


J'en aurais fait des choses en une semaine… un fantasme m'obsède celui de retourner voir Kathy, de retrouver les deux clients qui m'ont bien plu… Peut-être le ferais-je un jour ?


Sylvain s'est trouvé une nouvelle passion, il se travesti, ça ne lui va pas mal, je lui ai demandé s'il oserait sortir comme ça. Pour le moment il n'ose pas.


Ce serait marrant s'il se décidait, on pourrait tapiner ensemble.


FIN

 

Terminé en juin 2016


Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 30 juin 2016 4 30 /06 /Juin /2016 06:41

Muriel et Sylvain, couple coquin

15 - Encore le tapin

par Sylvain

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15 - Encore le tapin

 

Midi sonne au clocher d'une église proche.

 

- C'est l'heure des apéritifs ! Me précise Isabelle. Des mecs qui travaillent dans les bureaux et qui profitent de l'heure du repas pour aller aux putes.

 

Ça ne loupe pas, un type en costume "La Défense", costume trop sombre, chemise trop banale, cravate sans goût, nous accoste, ou plutôt m'accoste.

 

- Vous faites la sodomie ?

 

Il demande ça de but en blanc, même pas bonjour, rien !

 

- On ne travaille qu'en duo précise Isabelle.

- Pourquoi pas, mais pour la sodo ?

- C'est un peu plus cher…

- Je vous suis.

 

Une fois dans la camionnette, le type nous paie, et se déshabille en silence, on fait de même.

 

- Je pourrais vous prendre l'une après l'autre ?

- Pas de soucis !

 

Comment ça "pas de soucis" ? Ce mec ne m'inspire pas du tout, je ne vais quand même pas me faire enculer par n'importe qui ! D'autant qu'il a vraiment une très grosse bite.

 

- Tu veux qu'on te suce d'abord ? Propose Isabelle.

- Non, non, je mets la capote moi-même ?

- Vas-y !

- Bon montrez-moi vos fesses !

 

Je le vois à travers le miroir nous mater le cul avec concupiscence.

 

- Je vais commencer par Mademoiselle.

 

Mademoiselle c'est moi ! Isabelle a la grande bonté de me tartiner préalablement le trou du cul d'une noix de gel intime.

 

Et c'est parti… Je devrais dire c'est très mal parti !

 

- Doucement, vous me faites mal !

- Ta gueule !

- Arrêtez bon sang !

 

Isabelle intervient, elle a une mini bombe lacrymo dans les mains.

 

- On t'a dit d'arrêter.

 

Le mec ne comprend plus !

 

- On t'a jamais dit que t'étais trop gros ?

- Ben si justement, c'est ça mon problème !

- Et la douceur, t'as jamais entendu parler. Et le respect tu connais ?

- Ecoutez, je vous ai demandé si vous faisiez la sodomie, je pensais que vous étiez habituées.

- Et quand elle te dit que tu lui fais mal, tu l'insulte.

- C'est la première fois…

- Bon, casse-toi !

- C'est un malentendu !

- Va sortir ta bite ailleurs !

- Ecoutez, j'ai payé…

- Reprend ton fric, je garde juste cinquante euros pour le dérangement, maintenant dehors !

 

Le type s'avoue vaincu, se rhabille prestement et disparait.

 

On reste là comme deux connes, encore à poil. Isabelle a l'air désolée.

 

- Je m'amusais bien. Ce connard à tout foutu en l'air. On va s'en aller… Rouspète-t-elle

- Le jeu est fini alors ?

- Ben, ouais ! Je vais appeler Victor ! On va aller manger…

- J'ai pas trop faim, lui avouais-je.

- Moi non plus mais l'appétit vient en mangeant.

- J'ai envie de te caresser, tu as quelque chose contre ? Proposais-je.

- Non vas-y, ça va me faire du bien !

 

Ma bouche salive en avançant vers le téton qu'elle m'offre… Et voilà qu'on frappe à la portière.

 

- Occupée ! Hurle Isabelle !

- C'est Kathy, tu passes me voir après ?

- C'est bon, entre !

 

Et voilà, mon plan câlin tombe à l'eau.

 

- Tout va bien ?, S'inquiète la nouvelle venue. J'ai entendu des éclats de voix et j'ai vu "Bitenbois" sortir.

- Bitenbois ?

- C'est comme ça qu'on l'appelle, il rode parfois dans le coin, mais plus aucune fille ne veut aller avec lui.

- On l'a viré, tout va bien, nous on va rentrer, tu veux un café ?

- Je suis avec un client, on va y aller… Remarque je peux lui demander de patienter cinq minutes.

- Faudrait pas que tu le perdes !

- Penses-tu c'est un fidèle, il est sympa, s'ils étaient tous comme lui…

- Et bien fais le entrer, on va lui faire un café !

 

Elle le fait entrer alors qu'on est encore à poil. N'importe quoi !

 

Le type entre, quelconque mais jovial. Evidemment il ne peut s'empêcher de nous mater avec des yeux plein de concupiscence, mais il reste sage.

 

- C'est Pierrot !

 

Isabelle se tourne pour faire le café, le client de Kathy scotche son regard vers ses fesses.

 

- Elles te font bander, mes copines ?

- J'avoue !

 

Faute avouée est à moitié pardonnée…

 

Isabelle sert le café et c'est maintenant vers mes nichons que le regard de Pierrot fait une fixette. C'est assez amusant la façon dont il fait ça, on dirait qu'il ne voudrait pas le faire mais qu'il ne peut pas s'en empêcher. C'est un homme après tout !

 

Kathy voyant son manège lui lance.

 

- Tu sais Pierrot, si tu veux faire un extra avec… avec… c'est comment ton nom, déjà ?

- Muriel !

- Je ne t'en voudrais pas, on n'est pas marié et tu as le droit de varier les plaisirs…reprend-elle.

- Alors je crois que je vais me laisser tenter ! Répond le Pierrot.

- O.K., on finit notre café et on vous laisse tous les deux. Conclut Kathy.

 

Et personne ne me demande mon avis dans cette affaire !

 

- C'est qu'on allait partir… Balbutiais-je

 

La situation a l'air d'amuser Isabelle qui nous regarde sans rien dire. Pierrot à l'air contrarié.

 

- Bon, ben tant pis, alors !

 

La tête qu'il nous fait, on dirait Droopy !

 

Alors je ne sais pas ce qui m'a pris, je me reprends.

 

- On allait partir, mais comme tu as l'air sympa, je vais m'occuper de toi !

 

Elle n'en revient pas, l'Isabelle, mais se rattrape bien vite.

 

- Ça ne vous dérange pas si je mate ? Demande-t-elle.

 

C'est à Pierrot qu'elle demande, pas à moi. Ça ne le dérange pas.

 

- T'es vraiment une vicelarde ! Se moque Kathy.

- Reste aussi, lui répond Isabelle

- Je te vois venir !

- Je te paierais si tu veux !

- Tu rigoles !

 

Pierrot me tend un billet, me demande s'il y a assez et se met à poil. Il a la bite fièrement dressée. Je ne sais pas trop quel comportement adopter, je ne sais s'il faut mettre la capote tout de suite, je ne sais si je dois le laisser faire, en fait je ne sais rien du tout.

 

- Tu veux quelque chose de spécial ? Bredouillais-je

- Je peux t'embraser les seins !

- Oui vas-y !

 

C'est qu'il est content le garçon ! Il lèche, il suce, il aspire, il bave, il n'arrête pas.

 

Si, il finit par s'arrêter,

 

- Je peux te lécher derrière ?

 

Je me tourne, il m'embrasse les fesses, m'écarte les globes.

 

- Je peux lécher le trou !

 

Le type a la correction de demander. Je le laisse faire avant de me rappeler que s'il veut me lécher la chatte ensuite, ce n'est pas trop hygiénique. Et le voilà qui me trifouille le trou du cul de sa langue, ça ne dure pas trop longtemps. Il se relève, je me retourne, on est debout l'un en face de l'autre. On fait quoi ?

 

- Pince moi les tétons ! Me demande-t-il.

 

Je le fais, et c''est qu'il aime ça le garçon ! Il pousse des petits gémissements et sa bite devient dure comme pas possible.

 

- Tu me suces ?

  Muriel15.jpg

Une flexion des genoux et me voilà accroupie avec sa bite dans la bouche, je m'aperçois au bout d'un moment que j'ai oublié de mettre une capote. Pourquoi Isabelle ne me dit rien ?

 

Je me relève, Evidemment qu'Isabelle n'a rien vu, elle est en train de lécher les nichons de Kathy, laquelle a l'air de trouver la situation parfaitement à sa convenance. Ils sont mignons les nénés de Kathy, j'y gouterais bien !

 

Je prends un préservatif ! L'angoisse ! Je le pose sur son gland, le déroule ! Victoire ! Ce n'était pas si difficile.

 

- Je vais m'allonger, tu vas venir sur moi ! M'indique-t-il.

 

O.K, ça va me faire faire un peu de sport, je vais pour m'enfourcher sur sa queue en lui tournant le dos.

 

- De l'autre côté, je préfère !

 

Ah, bon ! Je fais comme demandé. Et allons-y pour la chevauché fantastique, je monte et je descends, je coulisse, je pistonne. Lui en dessous il est peinard et se laisse faire.

 

- Les tétons !

 

J'ai compris et je m'agrippe après ses bouts de seins. Et voilà qu'il se met à gigoter, on bouge donc tous les deux, le sang afflue sur le haut de son torse et sur son visage, il ouvre une large bouche et jouit dans un râle. Je me retire et vais lui chercher une lingette.

 

Pendant ce temps-là Kathy trifouille à pleine main la chatte d'Isabelle. Elles ont l'air de s'amuser comme des petites folles.

 

- C'était très sympa, on recommencera à l'occasion, mais j'ai mes habitudes avec Kathy m'indique Pierrot.

- Ne me pique pas mes clients ! Intervient cette dernière qui avait une oreille qui traînait, mais elle dit cela sans aucune animosité.

 

Je me nettoie la chatte avec une lingette, je bois un coup de flotte.

 

- Attend moi Pierrot ! On va aller à la pizzeria.

 

Et voilà qu'Isabelle se met à gueuler !

 

- Et bien, toi quand tu jouis, tu ne fais pas semblant ! Passe-moi une lingette, Muriel, non deux.

 

Qu'est-ce qu'on use comme lingettes dans cette camionnette !

 

Kathy réajuste sa tenue ! Moi qui voulais m'immiscer dans ce joli duo, c'est râpé ! Et je suppose qu'Isabelle ne doit plus être partante pour le câlin que je projetais avant l'arrivée des deux intrus.

 

Me revoilà seule avec Isabelle.

 

- Toujours pas faim ?

- Non, pas du tout !

- Je te dépose quelque part, Victor ne devrait pas tarder…

- Non, j'ai envie de marcher un peu.

- Comme tu veux !

 

On se rhabille.

 

- Tiens, ton enveloppe !

 

Elle ne me l'aurait pas donné, je lui aurais réclamé ! Non, mais dès fois…

 

- J'ajoute la moitié des trois premières passes et la totalité de la dernière…

- Ah ? Oui, bien sûr !

- Et ça c'est un cadeau pour Sylvain, tu lui donneras ! Ajoute-t-elle.

- Ah bon, tu ne le vois pas ce soir ?

- Si, mais je préfère que ce soit toi qui lui donne.

 

On se fait un gros bisou, mais sans la langue.

 

Je déambule dans les rues de Paris. J'ai gagné un peu plus de 600 euros. Mon regard sur le monde la prostitution a changé, je n'imaginais pas qu'un client pouvait être sympa… le souci, c'est qu'ils ne le sont pas tous.

A suivre

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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