Sylvain Zerberg

Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:15

Marisa à l’hôtel – 3 – Mission spéciale par Sylvain_Zerberg

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On fait un break, on va tous se doucher, Brigitte passe une serpillère sur le sol, puis on boit quelques rafraichissements et j’aperçois les trois femmes se faire des messes basses et rigoler entre-elles…

Brigitte finit par prendre son téléphone.

 

– Allo, Walter, tu peux passer vingt minutes, on a un petit délire à te proposer.

– …

– Ah ! Tu es avec Sammy ! Eh bien passez tous les deux !

 

Puisqu’on va avoir de la visite, j’ai le réflexe de remettre mon slip, je me souviens alors qu’en fait de slip, je n’ai qu’une culotte féminine, j’ai peur de paraître ridicule et je cache tout ça derrière une serviette

 

J’ai comme l’impression alors que nos trois coquines vont se remettre à partouzer avec des partenaires « frais ».

 

Les deux jeunes hommes finissent par arriver, Sammy est un grand black assez fin et jovial, Walter, un blondinet en chemise rose.

 

Présentations, bisous, on boit un coup. Non, non plus d’alcool pour moi, je me mets au jus de fruits.

 

– Alors les filles vous vous être bien amusées ! Lance Walter !

– Plutôt oui ! Répond

– Donc on va assurer le bonus !

 

Les deux types font un petit geste de connivence et sans plus de cérémonie se mettent à poil.

 

Les voilà tous les deux devant moi à moins d’un mètre, ils se branlent, leurs queues deviennent dures. Je suis tétanisé par ces deux bites qui me narguent.

 

Je me dis qu’il faut que je réagisse, mais je fais comment ? Récupérer mes vêtements, m’enfuir, rentrer à pied à l’hôtel.

 

– Allez suce !

 

Qui m’a donné cet ordre ? Je n’en sais rien mais bientôt c’est les trois nanas qui m’intime de sucer.

 

Ma tête me tourne ! Les deux mecs se rapprochent, la bite de Walter est maintenant à trente centimètres de mon visage. J’ouvre la bouche, mes lèvres se referment sur la bonne bite du blondinet.

 

Les filles applaudissent ! C’est moi l’attraction de la soirée. On me demande de me mettre à quatre pattes. Je ne comprends pas pourquoi mais si ça peut faire plaisir… Et puis je comprends pendant que je suce la queue de Walter, Sammy passe derrière moi, me flatte les fesses, m’écarte les globes, me suce le fion, me mets un doigt. C’est la totale. Est-ce que je peux encore maîtriser les évènements ?

 

Un prétexte, il me faut un prétexte…

 

– Pouce, j’ai soif !

 

Je me relève, sans rencontrer d’objections. Brigitte me verse un grand verre de jus d’orange que je siffle comme un mort de soif. Ça fait du bien ! Je me tourne : Sammy est devant moi, sa grosse queue en point de mire !

 

– Tu me suces la mienne ?

 

C’est demandé si gentiment que je ne saurais refuser.

 

– Juste un peu alors ! Répondis-je

 

Et me voici avec cet énorme morceau devant mon visage, impossible de mettre tout ça dans ma bouche, je n’ai pas pris de cours d’avaleur de sabres, moi ! Alors je triche, envoyant la bite se cogner à l’intérieur de mes joues. Puis je me dis qu’au lieu de faire des fausses gorges profondes, il est aussi agréable de se concentrer sur le gland, c’est encore plus doux que le reste et ce petit gout légèrement salé m’excite, mais m’excite. Voilà que je m’excite en suçant une bite, maintenant ! Et alors ? C’est mon problème, je fais ce que je veux de ma bouche, non ? Et j’en reprend encore.

 

Comme tout à l’heure on me demande de continuer ma pipe à quatre pattes, cette fois je ne me fais plus aucune illusion, je me mets dans la position demandée et tandis que Walter me tripote le cul je me tourne vers lui, abandonnant un instant la bite que je suce, et lui demande :

 

– Tu vas m’enculer ?

– Si tu veux !

– Oui, je veux bien, mais je suis puceau du cul, alors vas-y doucement.

– C’est vrai, t’es puceau ?

– Ben oui !

 

On me tartine, on écarte le passage avec un, deux, puis trois doigts. Le gland de Walter tente de passer, il ripe, recommence, ripe à nouveau…

 

– Ouvre-toi ! pousse !

 

Je fais comme ça, et ça y est le gland est rentré.

 

– Attention !

– Humpf !

 

Je sens que ça rentre, une nouvelle poussée, j’ai maintenant toute la bite de Walter dans mon cul. Je suis un enculé ! Psychologiquement ça fait un peu drôle, mais j’assume en me disant que tout le monde n’a pas la chance de connaitre cette expérience.

 

Walter commence ses va-et-vient. Mais c’est que ça ne va plus du tout.

 

– Non, non arrête ça fait mal !

– Ça va passer, respire par le nez,

– Non, non !

– Juste une minute ou deux…

 

Il en a de bonnes lui, ce n’est pas lui qui se fait enculer… la douleur s’atténue, et au bout d’un moment ce n’est même plus de la douleur mais de la gêne, mon cul n’est pas habitué à ce genre de choses. Des frissons, ça devient bon, ça devient même très bon. On m’encule et j’aime ça. Les mouvements de Walter deviennent réguliers et du coup je peux reprendre en bouche la bite de Sammy que j’avais un moment lâché. Il a débandé un peu mais retrouve vite sa vigueur. Je sens soudain des soubresauts dans ma bouche. Le type se retire à toute vitesse et je reçois tout son sperme sur le visage.

 

Je m’essuierai plus tard à moins que ça intéresse quelqu’un en particulier, pour l’instant j’ai envie de prolonger encore un peu ce qui se passe dans mon cul.

 

Walter fatigue ! Ce sont des choses qui arrivent, je pense alors l’affaire terminée mais pas du tout, il se retire, s’assoit, fesses par terre et me demande de venir m’empaler sur sa bite. Je me demande si je vais le faire, moi aussi je fatigue, mais voici Lucie et Brigitte qui se radinent, elles m’aident à me positionner et à bouger. Braves filles ! Je monte et je descends en coulissant sur la bite de Walter pendant cinq bonnes minutes, Puis voilà que mon « sodomisateur » qui me laissait faire tout le boulot se met à s’agiter frénétiquement et cela jusqu’à sa jouissance. Il se retire et curieusement il m’a encore donné du plaisir en se retirant comme si mon corps se délivrait.

 

Ces dames applaudissent de nouveau, je les ai pas saluées, on n’est pas au théâtre ! Mais quand Walter a voulu m’embrasser, je n’ai pas trouvé comment lui refuser, et voilà que pour la première fois de ma vie un homme m’a roulé une gamelle. Je vous dis c’est la soirée des grandes découvertes.

 

Peu en état de repartir en voiture nous avons Marisa et moi couché sur place après avoir dévorés des pizzas.

 

Jeudi

 

En rentrant à l’hôtel, le lendemain matin, le réceptionniste donne une enveloppe à Marisa. Elle ouvre et me montre.

 

« C’est quand vous voulez, je suis au 368, vous pouvez m’appeler, ma femme est au courant. »

 

– C’est le petit vieux de l’ascenseur ! Me précise-t-elle.

– Tu vas vraiment le faire ?

– Il faudrait que je le fasse ce matin ! Cet après-midi, je ne suis pas libre.

– Ah bon ?

– Je t’expliquerais !

– Ce matin il y a la conférence du directeur de…

– Et bien je la sécherai !

 

Nous montons dans la chambre et Marisa demande au petit vieux de le rejoindre au bar dans une demi-heure.

 

– Viens avec-moi, mais ne t’éloigne pas trop et ne m’approche que si je te fais signe. Me dit-elle.

– Mais la conférence ?

– Elle n’est pas commencée, arrête de paniquer !

 

Le petit vieux arrive :

 

– Je m’appelle Robert, ici ce n’est pas très discret, prenons une table.

 

Je me mets juste derrière eux et j’entend tout.

 

– Voilà les sous, mais je peux donner plus, tout dépend de…

– De ce que vous voulez ! J’ai compris ! Vous voudriez quoi ?

– Que vous me sodomisiez avec un gode et me faire boire votre urine.

– On ne fera pas l’amour ?

– Non, je me branlerais pour finir.

– OK, disons 100 euros de plus

– Et si ma femme veut regarder ?

– Pour mater 50 euros en plus !

– On fait ça quand alors ?

– Tout de suite si vous voulez, vous me rejoignez dans ma chambre au 215 dans un quart d’heure !

 

Il est d’accord et se lève pour rejoindre l’ascenseur quand Marisa lui demande.

 

– Vous êtes sûre que votre femme ne souhaite que regarder parce que pour 50 euros de plus, je peux lui présenter un collègue jeune, vigoureux et bien monté.

– On pourrait lui faire la surprise, mais je voudrais le voir ce monsieur.

 

Et là Marisa me fait signe de la rejoindre. Elle est complétement folle, je veux bien délirer avec elle mais il y a des limites, je me lève mais me réserve de lui dire ma façon de penser, je n’ai aucune envie de jouer les apprentis gigolos.

 

– C’est ce jeune homme ? Demande Robert.

– Oui !

– Pas de problème ! On vous rejoint dans votre chambre dans un quart d’heure ?

– O.K.

 

J’attends que pépère se soit éloigné et me levant comme au théâtre en faisant face à Marisa, je lâche un :

 

– Il n’en est pas question ?

– Pas question de quoi ?

– Je ne fais pas ça !

– T’as pas envie de gagner 100 euro ?

– Non !

– T’as pas envie de me rendre service ?

– Quel service, je croyais que tu n’avais pas besoin d’argent.

– Mais c’est MON délire, tu ne veux pas rentrer dans mon délire ?

– Pas celui-là ?

– Et qu’est ce qui te gène, on en a fait bien d’autres, je t’ai fait sucer des bites, je t’ai fait prendre le cul, je t’ai pissé dessus, je t’ai fait nettoyer mon trou de balle et là tu refuses quoi, la vieille elle va juste de demander de lui lécher les seins et se lui astiquer la chatte, ça ne va pas te tuer ?

– Question de principe !

– Quel principe ! Tu ne fais de mal à personne dans cette affaire, tout le monde y trouve son compte, alors c’est quoi le principe ?

– C’est de la prostitution !

– Je ne dis pas le contraire ! Et alors ? Tu te décides ?

– La conférence…

– On arrivera un peu en retard, quelle affaire !

– Bon ! Je vais le faire, mais ça ne me plait pas de faire ça, je veux que tu le saches.

– Oui bon, allez appelle l’ascenseur.

 

Robert arrive avec mémère, il nous la présente, elle s’appelle Hélène, elle a dû être pas mal, le visage reste agréable, pas trop de ride (elle a sans doute été liftée) maquillée sans exagération, cheveux mi court blanc argenté. Elle s’est habillée d’une simple robe en imprimé rouge et bleu.

 

Elle est surprise de ma présence.

 

– Ce jeune homme va nous laisser ! Lui explique Marisa, mais si vous le désirez il peut aussi s’assoir à côté de vous et regarder…

 

La mémère me dévisage.

 

– Oui, pourquoi pas ?

 

Elle semble partie dans le vague !

 

– Oui, c’est une très bonne idée… mais il va juste regarder ?

– Ce sera comme vous le souhaitez !

– Alors d’accord.

 

Pépère se dé débarrasse de ses vêtements, on ne peut pas dire qu’il soit sexy, Marisa se déshabille de son côté mais conserve ses sous-vêtements.

 

Helene qui est assise à ma droite me pose sa main sur la cuisse, attend un instant, puis la remonte jusqu’à mon entre jambe. Elle me tripote le paquet et voilà que je me mets à bander.

 

Pendant ce temps Marisa propose à Pépère de lui retirer son soutien-gorge. Elle croyait sans doute lui faire plaisir, mais le pauvre Robert s’emberlificote avec les agrafes et est obligé de s’y reprendre à trois fois pour y parvenir.

 

– Il sera toujours aussi doué ! Commente Mémère à mes côtés.

 

Pépère se jette sur les seins de Marisa comme la pauvreté sur le monde, il tripote, il malaxe, il lèche, il suce, il aspire… A ce point que la belle brune est obligée de le recadrer sur le ton de la plaisanterie.

 

– Ben dit donc, ça te fait de l’effet, tu bandes joliment ! Retire-moi ma culotte, mais pour l’instant tu ne touches pas à ma chatte, on verra ça après.

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Marisa s’harnache avec le gode ceinture, elle est impressionnante. Pendant ce temps Mémère me tripote toujours la braguette d’une main en se passant l’autre sur son sein gauche avec un air vicieux.

 

J’ai compris le message, je lui pose d’abord une main sur son bras et suis surpris par sa douceur, puis je fais glisser la bretelle de sa robe. Je découvre un soutien gorge vert turquoise enfermant une poitrine de bon volume. Je tripote à l’intérieur, atteint le téton que je m’amuse à titiller, puis fait sauter les seins par-dessus les bonnets. Je suis agréablement surpris je m’attendais à un désastre, genre gants de toilettes, non ça tient plutôt bien, c’est peut-être refait mais je m’en fous, ses seins me plaisent bien et je me mets à les sucer avec avidité.

 

– Oh, qu’est ce que vous me faites là jeune homme ? Dit-elle comme au théâtre.

– Je, je…

– Je vous trouble à ce point ? A mon âge !

– Vos… vos seins sont très beaux !

– Je ne me plains pas, mais je crois que je vais retirer ma culotte, elle est trempée.

 

Elle retire sa robe et sa culotte, et reste en porte-jarretelles (qui monte assez haut) et bas couleur chair.

 

Je porte sa main à sa chatte, effectivement c’est trempé, elle écarte les cuisses, j’entre trois doigts et commence à la doigter, c’est impressionnant, ça fait floc-floc là-dedans.

 

Devant nous Pépère est à genoux devant Marisa qui lui fait lécher le gode.

 

– T’aime ça lécher ma bite en plastique ?

– Humm hummm

– Et une vraie bite t’as déjà essayé ?

– Oui !

– Et ta femme le sait ?

– Oui !

 

Déclic !

 

Je viens de comprendre ce qui se prépare, le Robert m’a choisi non seulement pour sa femme mais pour lui. A tous les coups, il va me demander de me sucer. Mais sans doute à cause de l’excitation et de l’ambiance, j’acceptais cette perspective avec fatalité, espérant simplement qu’il n’allait pas me mordre la bite !

 

Mémère se met à jouir comme une damnée. Je la laisse souffler. Pas longtemps elle en veut encore et se met à lever les cuisses.

 

– Doigte moi les deux trous en même temps !

 

Je n’ai rien contre mais ça m’embête un tout petit peu parce que je n’aurais pas accès à ses seins, mais bon, la séance n’est pas terminée, j’obtempère et j’ai la surprise de découvrir que son anus n’est pas serré du tout, à ce point que je suis obligé de lui enfiler trois doigts pour qu’elle sente quelque chose.

 

Pépère, lui est à genoux sur le lit en train de faire défoncer le cul par Marisa. Il pousse des « hi » et des « han ».

 

– T’aimes ça te faire enculer, hein ?

– Ouiiii !

– Et si je demandais au petit jeune là-bas de te foutre sa bite dans le cul.

– C’est plus cher ?

– Oui, mais pas trop !

– Je veux bien !

 

Et voilà Marisa qui m’appelle !

 

– Non ! je ne suis pas assez en forme ! Répondis-je histoire de dire quelque chose.

– Mais si t’es en forme, t’as vu comment tu bandes, va l’enculer mais pas à fond, réserve-toi pour moi !

 

Allez, c’est parti, évidemment Pépère veut d’abord me sucer. Surprise ! Alors que je pensais que ce serait une corvée, je m’aperçois que ce type suce merveilleusement bien, il me travaille la bite des lèvres et de la langue, un vrai plaisir, à ce point que je suis obligé de lui dire de freiner ses ardeurs s’il veut que la suite s’accomplisse. Une capote, pas besoin de gel, le chemin est fait et me voilà en train d’enculer Pépère. Marisa vient alors rejoindre Mémère et lui roule une pelle, tandis que leurs mains se font baladeuses et pelotent tout ce qui leur tombent sous… la main.

 

Au bout de cinq minutes, Marisa revient vers nous et me fais signe de lui libérer les fesses. Elle accompagne ensuite Pépère dans la salle de bain pour l’arrosage final… j’aurais bien regardé, mais Mémère me fait signe de revenir près d’elle. Et pendant que j’entends Marisa commenter avec force détails la douche dorée qu’elle prodigue à son client, Hélène se tourne et à genoux sur fauteuil m’offre son gros cul. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, j’entre, je pilonne, madame commence à miauler, je pilonne encore, elle ne miaule plus elle hurle, et moi je jouis. Temps de l’introduction :45 secondes chrono.

 

Le couple se rhabille en silence. Mémère ouvre son sac à main et demande à Marisa.

 

– Je suppose que je vous dois quelque chose ?

– Rien du tout, votre mari a tout payé.

– Il est adorable, tu viens mon chouchou ! Au revoir messieurs dames, merci pour tout et bonne fin de séjour.

 

Une fois ces messieurs dames partis, je tiens à mettre les choses au point :

 

– C’est la première et la dernière fois que tu me fais faire un truc pareil…

 

Marisa éclate de rire :

 

– Mais qu’est-ce que t’es en train de me dire ! On est là pour trois jours, après on va reprendre chacun notre vie, tu te figurais qu’on avait commencé une liaison ? Faut revenir sur terre mon bonhomme !

 

Et oui ! j’avais perdu le sens des réalités. Je me retrouvais con sans savoir quoi dire.

 

C’est alors qu’elle ajouta cette curieuse phrase que je pris sur le moment pour un lapsus.

 

– Et puis, je vais te dire des clients comme ça qui font participer Mémère et où ça se termine à quatre, on n’en trouve pas tous les matins.

– J’ai pas bien compris, là !

– Mais si t’as compris, mais tu refuses de l’admettre. Je ne connais rien à l’informatique et je me fous de ce qui se passe dans cette conférence de « premier de la classe » comme de ma première culotte.

– Mais…

 

Je suis sur le cul !

 

– Laisse-moi finir ! On m’a infiltré dans ce petit monde afin d’y accomplir une petite mission, je suis une call-girl, ou une escort ou même une pute si tu préfères ! Ça va ? Tu vas t’en remettre ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, abasourdi par cette révélation, abasourdi, mais pas choqué.

 

– Donc je gagne très bien ma vie, je n’ai pas besoin de tapiner, si j’ai accepté de « faire » le couple de vieux, ce n’est pas pour avoir quelques billets de plus, ni pour m’amuser, bien que ça n’avait rien de triste, mais parce que je voulais que tu comprennes tout seul ce que j’étais vraiment, mais il faut croire que tu es un peu dur de la comprenette…

– Mais…

– J’ai pas fini ! Quand tu t’es pointé dans ma chambre le premier jour, tu m’as bien plu, je veux dire physiquement et ensuite j’ai bien aimé ton personnage, j’ai voulu m’amuser avec toi, te déniaiser ! Tu ne vas pas me dire que tu le regrette ?

– Non !

– Tu te rends compte ce que cela t’aurait couté si je t’avais fait payer ! Mais moi non plus je ne regrette pas de t’avoir connu, je me suis bien amusé. Je fais monter du champagne ?

– D’accord, c’est moi qui paye !

– Laisse, se sera sur ma note de frais !

 

On reste là sans parler, j’ai un peu de mal à assimiler tout ça, Marisa elle, est tout sourire. Le champagne arrive, on trinque, on boit.

 

– Maintenant je voudrais que tu me donnes juste un petit coup de main pour accomplir ma mission, juste un petit coup de main, pas grand-chose.

– C’est du sexe ?

– Pour moi, oui ! Mais pas pour toi.

 

Elle m’explique et me demande de lui laisser le champ libre jusqu’à ce qu’elle m’appelle. Ce qu’elle fit vers midi.

 

– L’opération est prévue pour 13 heures, tu peux monter te préparer.

 

L’après-midi devait marquer la fin de la conférence, avec l’exposé très attendue de Barry Stotvoyner, il y aurait ensuite un diner de gala.

 

A 13 heures précises, Barry Stotvoyner toque à la porte de Marisa, je vais me cacher dans le dressing. On en a retiré la clé donc je vois tout par le trou de la serrure.

 

Marisa pour l’occasion s’était revêtue d’un body noir en cuir.

 

– Déshabille-toi et vite !

– Oui maitresse !

– Ouvre ta bouche, sale porc.

 

Elle lui crache dedans plusieurs fois !

 

– Qu’est-ce qu’on dit ?

– Merci maîtresse.

 

Marisa lui accroche des pinces aux seins et s’amuse à jouer avec, elle les tire en tous sens, les tortille. L’homme se met à bander, il a une bien belle bite, elle lui serre un lacet autour des testicules puis de sa main s’amuse à lui faire des pichenettes sur la verge.

 

– Maintenant tu vas me lécher le cul, je te préviens il sale, tu vas tout nettoyer.

– Oui maîtresse.

 

Je ne vois pas bien ce qui se passe mais l’homme à l’air de se régaler.

 

– Ça va, il avait bon goût mon trou du cul ?

– Délicieux maîtresse !

– Et arrête de me regarder comme ça, ça ne se fait pas.

– Pardon maîtresse, punissez-moi !

– Je vais te bander les yeux, comme ça tu ne pourras plus te rincer l’œil, mais si tu es sage, si tu es un bon esclave en fin de séance je te montrerais mes seins et tu pourras me les arroser avec ton sperme.

– Oh, merci maîtresse, mais vous m’aviez promis quelque chose.

– Rassure toi je teins toujours mes promesses, tu veux que je te chie dans la gueule, c’est ça ?

– Oui maîtresse ! J’ai tellement envie de gouter votre merde !

– Alors tu vas te régaler !

 

Ça y est Stotvoyner a les yeux bandés. Marisa se racle la gorge, c’est le signal, je sors du placard en chaussettes, me dirige subrepticement vers sa veste, et en extrait la clé magnétique de sa chambre. Je sors dans le couloir, enfile mes chaussures et me précipite au 812. Je frappe, parce qu’on ne sait jamais, personne ne répond, j’ouvre la porte, très décontracté, j’entre, je repère sa mallette, elle est fermée à clé mais Marisa m’a confié un petit passe-partout qui ouvre toutes les mallettes, il y a deux chemises de papier, dont l’une assez épiasse et trois clés USB, j’entasse le tout dans une enveloppe matelassé que j’avais coincée dans ma ceinture, et je referme en force la mallette puis je descends à la réception.

 

– C’est un paquet à remettre à Monsieur Longberger.

 

Ce con le passe au scanner ! Dès fois qu’il y ait une bombe à l’intérieur…

 

– Ce sera fait, Monsieur !

 

Je remonte à notre étage et frappe à la porte de notre chambre.

 

– Vous ne voyez pas que c’est marqué « occupée » ! Hurle Marisa jouant comme prévu, les courroucées.

– Nous sommes désolés, nous avons un dégât des eaux, ça peut être urgent.

– Bon attendez une minute !

 

Le temps qu’elle enfile une robe de chambre et qu’elle cache Stotvoyner dans le dressing.

 

J’entre en me débrouillant pour ne pas que l’homme puisse voir mon visage, on se sait jamais. J’accompagne Marisa dans la salle de bain et lui rend la clé du 812. On joue ensuite le dialogue préparé à l’avance.

 

– Bien ! Plus de peur que de mal, l’eau n’a pas pénétré jusqu’ici ! Désolé pour le dérangement.

– Je m’en souviendrait de cet hôtel !

– Lors de votre départ nous prévoirons un petit dédommagement.

– J’espère qu’il ne sera pas symbolique ?

– Encore une fois nous sommes désolés !

– C’est ça, c’est ça !

 

Marisa n’aura plus qu’à replacer la clé dans la poche de Stotvoyner quand celui-ci aura le dos tourné. Duré de l’opération : même pas 15 minutes.

 

Une heure après Marisa m’appelait :

 

– Reviens en vitesse ! On se casse !

 

Je fonce.

 

– Je m’en vais ! Me dit-elle alors qu’elle finit de boucler sa valise.

– Mais pourquoi ? Il ne peut pas nous soupçonner.

– Je ne veux prendre aucun risque et de toute façon je n’ai plus rien à faire ici.

– Mais moi, faut bien que je reste !

– C’est comme tu veux ! Je vais me débarrasser du téléphone portable que j’ai utilisé ici tu n’auras donc plus aucun moyen me joindre sauf si tu me retrouves à Genève-Cointrain, j’ai un vol à 19 h 15 pour Bruxelles, tu as toute l’après-midi pour réfléchir. Tu signaleras à la réception que je suis partie, en principe il n’y a rien à payer, les suppléments seront débités sur le compte de… ça ne te regarde pas de toute façon… Bisous !

 

Ah ce baiser !

 

L’après-midi on nous a annoncé que suite à un sérieux malaise, le professeur Stotvoyner ne pourrait donner sa conférence, qu’on lui souhaitait un bon rétablissement et qu’en remplacement on nous passerait un film… il n’a pas intéressé grand monde.

 

Je n’ai pas rejoint Marisa.

 

J’ai appris par la suite que Stotvoyner avait porté plainte pour vol, mais les autorités ne donnèrent pas suite face aux incohérences de son récit, la porte de sa chambre n’avait pas été fracturée, le plaignant déclarait avoir passé le début de l’après-midi au bar de l’hôtel, mais les serveurs ne conservaient aucune trace de sa consommation. Bref le roi de l’informatique qui jouissait déjà d’une réputation d’hurluberlu n’arrangeait pas son cas. La société concurrente pu en revanche développer à une vitesse stupéfiante des correctifs de sécurité dans ses programmes.

 

Quelques jours après ces événements j’ai reçu une lettre chez moi.

 

« Et oui, c’est moi Marisa j’ai récupéré ton adresse, je ne t’ai pas tout dit et te dois la vérité, ma crise quand tu t’es présenté dans ma chambre était une comédie, je savais très bien ce que je faisais, j’avais besoin d’une petite main afin que ce que tu sais réussisse, tu avais le profil idéal, mais c’est vrai aussi que je me suis prise au jeu et que cela m’a follement amusé de te déniaiser. Je suis entrée dans ton souvenir et tu es entré dans les miens, nous sommes donc quittes. Je t’embrasse ! Adieu !  »

 

J’aurais rejoint Marisa le jour où elle a quitté l’hôtel, nous nous serions sans doute encore amusés plusieurs semaines avant qu’elle ne se lasse. J’aurai probablement fini gigolo, au lieu de ça je suis devenu ingénieur informatique de haut niveau, au lieu de louer mon cul, je loue mon cerveau. Mais ça n’a duré qu’un temps, le métier a changé, à 45 ans je passe pour un ringard, ce sont maintenant de jeunes loups aux dents longues qui font la pluie et le beau temps.

 

Cette rencontre avec Marisa a complétement réveillé ma sexualité, j’ai rencontré par petite annonce une femme très libertine qui partage ma vie et ma sexualité devenue débridée. J’adore les femmes et les partouzes, j’aime les jeux un peu ‘sales », je suce des bites, je me fais enculer mais je suis très bien dans ma peau.

 

Et Marisa qu’est-elle devenue ? Elle doit avoir la cinquantaine bien tassée aujourd’hui, je l’imagine : une belle femme mature… et je bande !

 

FIN

 

Les premières versions de cette histoire sont parues sur le site de Sophiexxx en 2000 sous le titre « extase avec une nympho » (version courte), « Vive les québécoises » (version longue sans mise en forme) et « Chaudes québécoises » (version non expurgée) On peut trouver les deux premières versions de ces récits (avec leurs invraisemblances) sur certains sites d’histoires érotiques qui ne se sont pas donnés la peine de faire la moindre correction. J’ai donc remanié tout ça à la sauce Vassilia et tient à remercier l’auteur anonyme des premières versions.

 

Sylvain Zerberg

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:09

Marisa à l’hôtel – 2 – Dévergondages par Sylvain_Zerberg

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Mercredi

Le lendemain on se réveille donc en forme après une bonne nuit de sommeil.

 

– J’ai envie de faire un gros caca ! Tu viens ?

 

Non, elle ne va pas recommencer comme hier !

 

– Non, non !

– Veut tu venir ici ! Garnement !

– Je n’aime pas trop ce jeu.

– Regarde-moi d’abord pisser !

– Ça je veux bien.

 

Quel spectacle elle est là devant moi accroupie, les pieds sur la lunette, et elle pisse.

 

– Si tu en veux, ne te gêne pas, c’est libre-service.

 

Je mets le creux de mes mains dans la trajectoire du jet et j’en avale une lampée avec un air de défi.

 

– Gros gourmand !

– C’est pas mauvais !

– Si tu aimes ma pisse, tu aimeras ma merde !

– Non !

– Ne parle pas avant de savoir ! Reste là, je pousse.

– Non !

– Tu m’a regardé hier, alors pourquoi pas aujourd’hui ?

– Parce que ça ne me plait pas !

– Reste juste un peu…

 

Je ne bouge pas et je ne sais pas pourquoi, un gros boudin commence à sortir, comme la veille je ne sais pas dire si ça me fascine ou si ça me révulse.

 

– Alors ? me demande-t-elle.

– Alors je ne sais pas !

– Sauf que ta bite répond à ta place, tu bandes, donc ça te plait.

– Je vais te laisser.

– Ecoute moi, une seconde, si vraiment ça te dégoutait tu te serais déjà sauvé en courant, donc tu te mens à toi-même.

 

Ça y est, elle a fini de chier. J’appréhende ce qu’elle va me demander maintenant.

 

– Tu me fais un petit nettoyage ?

– Non !

– Hier tu m’avais promis !

– Je ne t’ai rien promis du tout.

– Il me semblait pourtant, alors tu vas m’embrasser sur la bouche !

 

Où est le piège ? Elle se lève, m’offre ses lèvres, on s’embrasse goulument quelques instants, elle se recule, porte son doigt à son cul, le ramène pollué et se barbouille le bord des lèvres avec de la matière brunâtre. Je me fais la réflexion que cette merde incongrue n’arrive pas à l’enlaidir.

 

Elle se rapproche de moi ! Elle ne va pas… je suis tétanisé… ses lèvres fondent sur les miennes, j’ai le gout de sa merde dans ma bouche, et ça ne me gêne même pas. Elle se recule un peu, me regarde avec un air de défi, se rapproche de nouveau et cette fois le baiser est intense… un petit peu âcre toutefois, mais quelle affaire.

 

– Alors tu me le nettoies mon cul ?

– Mais bien sûr !

 

Cette femme est une sorcière.

 

Je lui lèche l’anus, faisant disparaître toutes les traces suspectes.

 

– On va où ce matin ?

– On va d’abord à la conférence sur les réseaux de neurone, appliqués à l’intelligence artificielle, alors prépare-toi, au lieu de regarder mes nichons. M’annonce-t-elle doctement après avoir parcouru le programme.

 

Une fois parfaitement habillés, sauf que Marisa n’a encore pas mis de culotte sous la jupe de son tailleur, on se décide à sortir pour aller assister à la conférence, et on tombe nez à nez avec Sophie, qui apporte des draps propres dans les chambres, ils ne se disent rien car il y a beaucoup de clients dans le couloir, mais notre regard en dit long sur leurs envies réciproques.

 

Dans l’ascenseur on est seuls avec un couple de retraités, et elle s’amuse à soulever sa jupe dès que les deux petits vieux sont retournés. Mais avant de sortir le retraité se retourna et il vit Marisa la jupe en l’air, laissant ainsi voir sa jolie toison brune, il avait vraiment l’air ravi, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas vu un tel spectacle, si sa femme l’avait vu mater Marisa comme ça, il est sûr qu’il se serait pris un coup de sac à main. Mais voilà que l’homme laissant sa femme sortir la première de l’ascenseur; revient sur ses pas et fait semblant d’avoir perdu quelque chose.

 

– J’ai cru comprendre que… commence-t-il sans terminer sa phrase.

– Que j’étais une professionnelle ? Semi seulement : c’est 150 euros la demi-heure, mais il faut me prévenir la veille.

– Je fais comment ?

– Chambre 215, vous laissez un mot dans une enveloppe fermée à la réception, mais soyez discret.

 

Le vieux disparait. Et alors que j’allais sortir de l’ascenseur Marisa me retint par le bras et une fois les portes fermées le bloqua à l’étage.

 

– Vas-y ! Assis toi de l’autre côté de la cabine.

– Mais attends, explique-moi ce qui vient de se passer avec le vieux !

– Mais Bertrand, je ne te dois aucune explication, je fais ce que je veux de mon corps…

– Bien sûr mais tu m’avais dit que tu n’avais pas besoin d’argent.

– Je n’en ai pas besoin mais si j’ai envie de jouer à la pute, ça ne regarde que moi !

– D’accord !

– Maintenant on parle d’autre chose ! J’ai envie de te regarder en train de te branler, alors on se met chacun de son côté et on se masturbe tout en regardant l’autre le faire.

 

On s’assoit donc chacun de son coté, je baisse mon pantalon et je commence à me masturber, pendant que Marisa se fourre les doigts dans le vagin. Cette idée de se toucher chacun dans son coin me paraissait bizarre au début, mais m’excite vraiment beaucoup maintenant, et c’est d’autant plus agréable que les quatre parois de l’ascenseur sont recouvertes de miroirs. On se masturbe sans se toucher, sans se parler. On se donne du plaisir en regardant l’autre s’exciter, et on continue comme ça jusqu’à ce que je sente monter la semence en moi. A ce moment-là Marisa, se rapproche de moi, et me nettoie la bite de mon sperme, puis on se rhabille afin de remettre l’ascenseur en marche pour repartir.

 

L’emploi du temps de la journée nous laisse libre à 16 heures : Je propose à Marisa de nous rendre dans un magasin de vêtements, car les cabines d’essayage et surtout ce qui peut s’y passer me fait fantasmer.

 

– D’accord mais d’abord on va aller dans une sex-boutique pour s’acheter un gode.

 

On entre dans la sex-boutique, il n’y a que des hommes.

 

– Nous avons plein de modèles, précise le gérant, c’est pour une introduction vaginale ou anale ?

– Anale ! En fait c’est pour enculer ce jeune homme, il n’a pas trop l’habitude, il n’a pas l’habitude du tout même !

– Dans ce cas, je vous conseille de prendre un peu de gel intime.

– Vous avez raison, ça glissera mieux dans son petit cul.

 

Je rougis de honte, mais le gérant n’y fait pas attention.

 

– Prenez donc ce modèle, c’est un gode ceinture, je vais vous expliquer le principe…

– Je connais ! Je vais le prendre.

– On peut l’essayer ?

– Les articles ne sont ni repris ni échangés, mais si vous souhaitez l’utiliser de suite, vous avez des cabines de projection, un jeton noir les ordinaires ou un jeton rouge pour les cabines bleues avec glory-hole. Ça dure 10 minutes, et vous pouvez renouveler.

– Alors donnez-moi deux jetons noirs et deux jetons rouges.

 

En nous dirigeant vers les cabines, je demande à Marisa ce qu’est un glory-hole, elle me répond que ce sera une surprise.

 

Dans la cabine passe un film pas vraiment excitant, avec une fille moche et un mec ridicule. Marisa me dit qu’on n’est pas là pour ça et me demande de me déshabiller. Elle fait de même et nous nous retrouvons bientôt face à face, Je ne me lasse pas d’admirer ses grosses mamelles qui semble me narguer. Sans préambule, elle me tord le bout des seins, l’effet est immédiat et je ne tarde pas à bander comme un âne en rut.

 

– Décidemment ta bite me plait bien, je la sucerais volontiers, mais nous ne sommes pas là pour ça. Tu vas te tourner et me présenter ton petit cul, je vais bien le préparer et ensuite je vais t’introduire le gode que je viens d’acheter.

– On va juste essayer, je ne suis pas certain d’apprécier.

– Laisse-moi faire ! Tu vas aimer ! Et puis mesure la chance que tu as, je suis pour toi un véritable professeur de vice et pour l’instant tu es plutôt bon élève, non ?

 

Elle se plaça derrière moi, m’humecta l’anus pendant quelques instants au moyen de sa langue, puis m’introduisit un doigt, puis un deuxième, ces doigts qui allaient et venaient dans mon conduit anal me procurait un plaisir particulier que je n’avais jamais éprouvé jusqu’à présent. Elle revint face à moi, puis sortit le gode de son emballage, c’était un pénis en latex assez réaliste avec le gland décalotté et les testicules. Elle le porta vicieusement à sa bouche et en pourlécha le bout de sa jolie langue. Un geste très excitant.

 

– A toi ?

 

J’avoue ne pas avoir compris de suite ce qu’elle attendait de moi et la regardais en attendant ses explications.

 

– Et bien suce !

– Sucer le gode ?

– Et bien oui qu’est-ce que tu attends ?

– Mais je croyais que c’était pour mon cul !

– C’est pour ton cul, mais avant tu vas le sucer !

– Mais quel intérêt ?

– Je t’expliquerais après, c’est moi la prof ou pas ?

 

Renonçant à comprendre, j’approchais l’objet de mon visage, mais au moment de le mettre en bouche, je fus saisi d’une terrible appréhension, j’étais en train de me mettre une bite dans la bouche, une bite factice mais tellement réaliste.

 

– Je ne peux pas faire ça, je suis désolé !

– Tu ne me fais plus confiance ?

– Je ne veux pas faire ça !

– Comme tu veux !

 

Sans un mot elle entreprit de se rhabiller. Quand je lui demandais si elle était fâchée, elle ne daigna pas me répondre. Je me rhabillais donc à mon tour.

 

– Tu te débrouilleras pour libérer la chambre, on ne se connait plus. Me lança-t-elle avant de reprendre son sac à main.

 

Tout mon univers s’écroulait d’un seul coup ! Son corps de déesse, sa peau de soie, ses seins magnifiques tout cela ne serait plus bientôt qu’un souvenir. Je pouvais essayer d’empêcher ça.

 

– Donne-moi le gode, je vais le faire !

 

Elle me le tendit avec un petit sourire énigmatique. Je mis l’extrémité dans la bouche et le suçais n’importe comment, n’ayant aucune intention de faire durer de genre de chose

 

– Tu t’y prends très mal, regarde comment je fais !

 

Elle me reprend le gode et commence un étrange ballet à l’aide de sa langue, virevoltant autour de la base du gland, titillant le méat, aspirant en serrant les lèvres, puis enfonçant toute la verge dans sa gorge.

 

– Essaie de faire comme moi, à présent !

 

Un flash me traversa l’esprit ! Pourquoi m’apprendre à sucer une bite en plastique, sinon pour me préparer à en sucer une vraie ? Que ferais-je si elle m’entrainait jusque-là. Mais partant du principe qu’il faut mieux régler les problèmes quand ils se présentent et que pour le moment on en n’est pas là, je tentais d’imiter au mieux les mouvements qu’elle m’avait montrés.

 

– Ben, voilà, il y a encore du progrès à faire, mais ça vient. Bientôt tu seras un bon suceur de bites.

 

Ainsi mes craintes se confirmaient, mais je me dis qu’elle me faisait sans doute marcher, qu’elle fantasmait.

 

Passant derrière moi, elle m’étala sur l’anus une noisette de gel intime. J’allais donc me faire dépuceler le cul avec une bite en latex, une bite que j’avais sucé avant. Je ne me reconnaissais plus. Elle s’harnacha avec le gode-ceinture, le recouvrit d’un préservatif, entra légèrement, puis Marisa le fit pénétrer plus profondément d’une seule poussée, ce qui me provoqua un cri de douleur.

 

– Non, stop !

– Laisse-toi faire, c’est normal que ça fasse un peu mal au début, mais après tu vas voir, ça va être génial.

 

Marisa semble cependant une experte en la matière, elle calcule ses va-et-vient afin que je m’habitue à cette présence insolite que je fini par trouver plutôt agréable et au bout d’un moment, même très agréable.

 

– Alors tu as aimé te faire enculer ? Me demande-t-elle

– Ben…

– Ben oui ou ben non ?

– C’était pas mal !

– C’est bien les godes, mais ça ne vaudra jamais une bonne bite bien vivante !

 

Elle est folle !

 

On sort de la cabine et on se dirige vers l’une des cabines bleues. Elle me montre les parois, il y a deux trous dans celle de gauche et deux trous dans celle de droite.

 

– Et maintenant, tu vas voir !

 

Elle toque sur la paroi de droite, et voilà que devant mes yeux ébahis, une bite se faufile dans l’un des trous.

 

Marisa2

Sans l’ombre d’une hésitation, Marisa approche sa bouche de cette queue et se met à la sucer avec gourmandise.

 

Je ne suis pas idiot et j’ai compris que dans un instant elle va me demander de prendre le relais. Je ne pourrais pas, c’est bien simple, je ne pourrais pas.

 

Et ça ne rate pas !

 

– Maintenant, à toi de sucer !

 

Je tente de temporiser

 

– Non pas aujourd’hui, je ne me sens pas prêt !

– O.K. je vais t’aider !

 

Elle passe derrière moi, soulève ma chemise et m’attrape mes tétons qu’elle se met à me tortiller avec énergie. L’érection est immédiate.

 

– Alors, maintenant que tu es bien excité, tu vas sucer !

– J’ai dit : pas aujourd’hui !

– Il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même.

– Peut-être mais je ne suis pas pédé !

– Et comme tu ne le seras sans doute jamais, si tu raisonnes comme ça, tu n’es pas près de te lancer. Alors mon petit bonhomme, tu vas me faire plaisir et tu vas au moins essayer, si tu bloques, je n’insisterais pas.

 

L’argument n’est point sot et va me permettre de tricher, je vais toucher cette bite avec ma bouche pendant cinq secondes et lui dire que je ne peux décidemment pas, après elle me foutra la paix.

 

– Bon alors j’essaie, mais j’essaie juste ! Hein ?

– Je vais commencer et je te la passerais !

 

Mais le dieu des hétéros a dû venir à mon secours, la bite à disparue de la cloison ! Ouf !

 

Marisa toque sur la paroi, sans résultat, elle s’en va donc de l’autre côté ! Toc. Toc ! Une bite apparaît ! Oh Non !

 

Elle embouche la queue bien bandée, me fait signe de venir à ses côtés et – moment fatidique – la sort de sa bouche pour me la refiler.

 

Me voilà avec une bite dans la bouche. Combien de temps vais-je la garder pour faire bonne figure ? Je donne un coup de langue, le contact me paraît agréable mais il faut que j’arrête. Marisa a posé sa main sur mon crane et m’empêche de me dégager. Certes cette contrainte est symbolique, mais du coup je continue, la texture est douce et puis ce que je fais est tellement pervers. Je suis dans une cabine de sex-shop avec une nymphomane et je suce une bite. !

 

Marisa me reprend la queue et suce à son tour, j’aurais donc dû en suivant ma logique d’il y a cinq minutes me relever et abandonner l’affaire, non je reste à ses côtés attendant qu’elle me la repasse, et je suce encore.

 

La lumière s’éteint, le temps imparti est écoulé, je suis presque déçu.

 

On repasse devant la caisse ! Marisa va-t-elle acheter de nouveaux jetons ?

 

– Vous êtes satisfaite de votre achat, Demande le caissier.

– Super, le gode est entré bien comme il faut dans le cul de ce jeune homme.

 

Je devais être rouge comme une tomate !

 

– On fait quoi ? Maintenant me demande Marisa.

– Je t’avais suggéré d’aller dans un magasin où il y a des cabines d’essayage…

– Ah, oui ! Ça tombe bien j’ai envie me m’acheter de nouveaux dessous très sexy tu vas pouvoir me conseiller, et m’aider à choisir…

 

On décide donc d’aller dans un grand magasin où il y a beaucoup de cabines. On se dirige vers le rayon des dessous féminins. Arrivée devant tous ces affriolants bouts de tissu, Marisa les trouve tous trop petits jusqu’à ce qu’elle aperçoive les soutien-gorge de taille 100 D. Je suis le seul homme dans ce rayon, ça me gêne un peu.

 

– Je vais voir si je trouve quelque chose dans le rayon pour homme.

– A non ! J’ai besoin de toi, aide-moi à choisir, dis-moi ce qui t’excite le plus parmi tout ça !

 

Je prends alors le plus sexy, c’est un soutien-gorge en dentelle, avec des mailles assez espacées, en plus il est ouvert sur le dessus. Je propose à Marisa de prendre la culotte assortie.

 

– Mais non, tu sais très bien que moi j’en porte presque jamais. Vas-y touche tu verras !

 

Je passe alors ma main sous sa jupe pour vérifier, et en effet elle est complètement nue dessous, ma main peut caresser ses belles fesses lisses. C’est à ce moment-là que deux autres clientes me surprennent la main sous la jupe. Je la retire aussitôt, mais elles m’ont vu. Avant avoir rencontré Marisa, il y à peine un jour et demi, j’aurais été très gêné et j’aurais sans doute rougi, mais avec tout ce que j’ai vécu durant ces dernières heures, m’être fait surprendre la main sous la jupe d’une femme, par d’autres m’excite beaucoup. Marisa s’en étant aperçue me dit de la suivre aux cabines tout en me mettant elle aussi la main au cul. Je choisis d’abord un slip moi aussi, et on rentre chacun de notre côté dans deux cabines mitoyennes.

 

Avant de fermer le rideau je vois juste rentrer dans les deux cabines d’en face, les deux femmes qui m’avaient vu passer la main sur les fesses de Marisa. Comme je suis un peu voyeur je me baisse pour regarder sous les rideaux des cabines d’essayage. Je peux ainsi voir la femme d’en face quitter ses chaussures, et laisser son pantalon tomber à terre suivi de sa culotte. De la savoir juste en face complètement nue m’excite tout d’un coup. J’ai très envie de me toucher, alors je quitte moi aussi mes chaussures, mon pantalon et mon slip. Je me baisse de nouveau pour voir les jambes dévêtues de ma voisine d’en face. Mais quel choc quand une fois baissé je me retrouve presque nez à nez avec elle, elle avait eu la même idée que moi, c’est sans doute le fait de m’avoir vu caresser Marisa qui lui a donné des idées cochonnes. Dès que je la vois qui me regarde, je me relève vite en rougissant, puis me rebaisse, et là elle ne me regarde plus mais au contraire elle est assise par terre les jambes bien écartées afin de me laisser admirer sa chatte entièrement rasée.

 

Mes fantasmes des cabines d’essayage sont en train de se réaliser, et apparemment elle aussi doit réaliser un de ses fantasmes, celui de s’exhiber en nu intégral, à moins que ce ne soit une habituée de ce genre de plaisir. Je suis donc là baissé, regardant cette femme m’exhibant son intimité, elle doit y prendre un grand plaisir car à peine elle commence à se toucher le clitoris que sa chatte commence à suinter la mouille. Quand ses parois vaginales sont assez tapissées de mouille à son goût elle s’y introduit un doigt puis deux, elle les remua à l’intérieur comme si elle cherchait quelque chose. Cette situation me produit une vive érection, ma bite atteint un durcissement ultime lorsqu’elle se cambre un peu sur le côté afin de me faire voir qu’en plus de se doigter la chatte elle aime aussi se pénétrer les doigts dans l’anus.

 

Après s’être bien remplie par tous les trous. Elle se rebaisse et me regarde pour me faire comprendre que c’est à mon tour de lui faire voir ce que j’aime me faire tout seul. Je m’assois alors comme elle, les jambes écartées, et je commence à me branler le sexe, je commence par la serrer dans ma main gauche, pour de petits va-et-vient, puis je me caresse les couilles. Elles sont pleines et ne demandent qu’à se vider. Je me lèche la main droite, j’y crache aussi dans la paume, et recommence à me masturber. Ça me procure une sensation plus intense qu’à l’habitude car je sais qu’une femme en chaleur me regarde en train de me toucher le sexe. La queue bien serrée dans la main, et bien lubrifiée par ma salive, je lui imprime un mouvement de piston de plus en plus rapide. Je prenais mon pied à me m’exhiber devant cette femme, jusqu’au moment où j’entendis Marisa taper contre la paroi.

 

– Ton slip te va ? J’arrive.

 

Elle quitte sa cabine, et rentre dans la mienne. Je lui explique en deux mots la situation, qui semble lui donner des idées.

 

– Si ça l’excite de te voir à poil en train de te toucher, ça va encore plus l’exciter de nous voir baiser tous les deux.

 

Marisa requitte ses vêtements qu’elle avait enfilés pour sortir de la cabine.

 

– Une pipe, ça te va ?

– Oh oui bien sûr, ça va exciter la belle salope d’en face.

 

Je lui mets ma bite dans la bouche, qu’elle s’applique à sucer sur toute sa longueur. Elle titille le bout de mon gland avec sa langue, et je sens l’orgasme arriver, mais avant que le jus arrive, la femme d’en face sans même avoir pris la précaution de se rhabiller, viens nous rejoindre dans la cabine. On est maintenant trois personnes à poil excités comme des bêtes dans une toute petite cabine. Notre invité nous dit qu’elle s’appelle Brigitte.

 

– Salut, je m’appelle Brigitte, j’en peux plus toute seule dans ma cabine, j’ai envie de vous, quand je t’ai vu toucher le cul de ton amie tu m’as tout de suite excitée ma copine et moi. Elle est timide, mais pas moi, j’ai envie de toi, je te veux en moi, tu m’as excité comme une bête depuis tout à l’heure.

 

Et sans ne plus rien dire elle prend ma bite toujours dure comme du bois et se l’enfonce dans son vagin tout lubrifié. Ça rentre très bien, et je m’y sens bien, elle est chaude. Elle est allongée sur le dos les jambes en l’air contre la paroi de la cabine. Moi je monte et je descends dans son trou baveux, en frottant mon dos contre la paroi. Marisa, qui s’est vue obligée d’interrompre la pipe, décide de compenser.

 

– Brigitte, tu m’as interrompu en train de sucer Bertrand, alors pour te faire pardonner lèche-moi la chatte, Au fait je m’appelle Marisa.

– Avec plaisir, mais j’ai jamais vu une chatte aussi mouillée que la tienne.

– Je ne te demande pas de commenter ma chatte, mais de la lécher, Bertrand l’aime comme elle l’est, et toi aussi tu vas l’aimer.

 

Pendant qu’elle pénètre sa langue entre les poils pour lécher la chatte de Marisa, je lui défonce son orifice qui ne demande que ça. Elle est d’ailleurs forcée de s’arrêter de lécher, je l’ai tellement bourrée qu’elle est prise d’un intense orgasme. Son frisson prouve qu’elle jouit à fond.

 

– Je vais bientôt plus pouvoir tenir, je vais exploser moi aussi.

 

Marisa met alors son visage près de celui de Brigitte.

 

– Vas-y ! Décharge-nous en pleine figure.

 

Ça n’a pas tardé à sortir, j’ai empoigné ma bite pour les arroser de toute ma crème blanche et épaisse. Je me suis vidé sur leurs visages de salopes en chaleur. Elles ont eu chacune leur part mais en voulaient encore, elles se sont alors léchées le visage pour recueillir mon sperme et l’avaler. Une fois cela fini, elles en avaient plus une trace sur leurs beaux visages et ne devait plus avoir faim avec tout ce qu’elles venaient d’avaler. Nos esprits repris, on s’est rhabillé et on est sorti. On a retrouvé l’amie de Brigitte dehors.

 

– Je vous présente Lucie.

– Bonjour, enchantée, vous avez du bien vous amuser, vous êtes en nage.

– Oui, c’est vrai qu’on s’est bien amusé, tu as raté quelque chose.

– Mais tu ne l’auras pas raté longtemps. Ce serait bien qu’on se voit tous les quatre ce soir, on vous invite à manger et sûrement bien d’autres choses.

– Oh oui venez ! Rajoute Lucie.

– Oui pourquoi pas ! Répond Marisa.

– Mais attention on est parfois très cochonnes, un peu limite.

– Limite, Ça veut dire pipi caca ? Demande Marisa d’un air innocent.

– Hé, hé ! Peut-être !

 

Marisa me demande ce que j’ai choisi comme slip, je lui montre. Manifestement il ne lui plait pas.

 

– Il est moche ton truc ! Pourquoi tu n’achètes pas une culotte de femme, c’est bien plus doux et ta bite sera contente, viens je vais t’en choisir deux ou trois…

 

Ça me fait drôle de porter ces trucs-là d’autant qu’il n’y a pas beaucoup de place, je me fais la réflexion que quand je vais bander, ma bite va s’échapper.

 

Marisa nous conduisit en voiture chez Brigitte et Lucie. Ce sont à l’évidence deux bisexuelles. Je ne sais pas si Lucie est aussi chaude que Brigitte, mais si c’est le cas ça promet ! Après cette petite balade en voiture on arrive à l’appartement qui se situe dans la banlieue de Genève. Elles habitent au cinquième étage. Pendant que Brigitte ouvre la porte Lucie se retourne et nous fait un petit sourire à moi et à Marisa. Je me dis alors que Lucie n’est pas aussi timide que Brigitte nous l’a dit.

 

– Voilà on y est, rentrez donc.

 

Leur appartement est joli et bien décoré. Lucie met une petite musique d’ambiance, et Brigitte nous demande si on veut boire quelque chose. Marisa accepte bien un petit verre tout comme Lucie.

 

– Bon, tout le monde sait qu’on est là pour baiser, alors on ne va pas faire de manières, on se fout tous à poil ! Propose Brigitte.

 

C’est direct mais c’est ce que tout le monde veut, alors on s’est tous déshabillés. Pour l’ambiance Brigitte a mis une cassette porno déjà commencée à la télévision, comme ça l’ambiance a tout de suite été très chaude et on a commencé nos ébats. Je m’avance au centre de la pièce sur le tapis, je m’allonge et je dis :

 

– Allez-y je suis entièrement à vous, faites de mon corps ce que vous voulez.

 

Je n’avais jamais eu trois femmes rien que pour moi. J’allais m’éclater. Lucie commence la première, elle a envie d’avoir mon sexe en elle, alors elle vient au-dessus de moi et s’empale sur ma bite toute dure. Marisa a envie de partager mon plaisir en m’embrassant à pleine bouche. Brigitte s’approche du cul de Marisa comme une chienne, lui renifle et commence à le lui lécher. Tout en continuant à m’embrasser je sens Marisa se tortiller. C’est Brigitte qui lui enfonce sa langue dans le cul.

 

– Oh oui, Ah, remue la bien ta langue de chienne. T’aimes ça me lécher mon trou du cul plein de merde ?

– J’aimerais bien qu’il soit plein de merde ! Répond Brigitte !

– Désolé j’ai pas envie.

– Tu ne veux pas essayer ! Juste une petite crotte ?

– Mets moi un doigt dans le cul, tu verras bien s’il y a quelque chose !

 

Du coup elles se sont écartées de moi. Pas bien grave Lucie continue à me chevaucher

 

Brigitte introduit ses doigts dans le cul de Marisa et se met à touiller. Elle les ressort tout merdeux.

 

– Je savais bien qu’il y avait quelque chose.

 

Les deux filles commencent à se lécher les doigts et à se barbouiller le visage avec la merde. Ça me gêne un peu, si j’avais su que ce serait une soirée scato, je ne serais pas venue.

 

Lucie vient de jouir, elle est super rapide, cette fille, du coup elle se relève et aperçoit ce que font les deux autres filles.

 

– Tu as vu ces cochonnes ? Toi aussi tu aimes ces trucs-là.

 

Je cherche quelque chose d’intelligent à répondre.

 

– Ben…

– Tu veux que j’essaie de te chier dessus.

– Non, peut-être pas !

– Mais si on rigole, on s’amuse, tu vas voir c’est génial !

 

Je ferme les yeux et j’essaie de réfléchir ! Invoquer un mal de tête et rentrer. Mais comment ? C’est Marisa qui conduisait et je sais à peine où nous sommes.

 

Je rouvre les yeux.

 

Bertrand et Lucie, puisque vous avez les mains propres, si vous pouviez roulez le tapis et le mettre sur le balcon.

 

Ah ! Sauvé par le gong ? Peut-être pas. En dessous c’est du carrelage. Ça sent les jeux humides cette petite préparation !

 

– Alors tu t’allonges ? Me demande Lucie, magnifique dans sa nudité.

– Je ne veux pas que tu me fasses dessus !

– Juste pipi alors ?

– Pipi, je veux bien !

– Alors on y va ! En position jeune homme !

 

Je m’allonge sur le sol, Lucie s’accroupit, la chatte à une dizaine de centimètres de ma bouche et ouvre toute de suite les vannes, j’en avale un peu, j’avoue trouver son pipi délicieux. Comme quoi le gout évolue vite.

 

– Et maintenant caca !

– Non !

– Mais c’est que j’ai envie, moi !

– Tu ne fais pas sur moi !

– Hé, les filles, Bertrand ne veut pas que je lui chie dessus.

– Ben enfin ça ne se fait pas de refuser un cadeau ! Rigole Brigitte.

– Moi je le veux bien ton cadeau, viens faire sur moi. ! Ajoute Marisa.

– Mais c’est sur lui que je veux faire ! Répond Lucie.

 

Elles sont là toutes les trois à me narguer. Je fini par me dire que je n’en mourrai pas et qu’ensuite on pourra jouer à des jeux plus soft.

 

– Bon vas-y ! Je ne dis plus rien !

 

Lucie me chevauche et commence à pousser. Un bout s’étron se présente à la sortie de son cul. Curieusement alors que jusqu’ici j’étais partagé entre fascination et répulsion devant ce genre de spectacle, en ce moment c’est nettement la fascination qui domine.

 

Cette merde qui s’allonge et qui s’apprête à me tomber dessus, je la trouve très belle. Le boudin m’atterrit sur ma poitrine en s’entortillant.

 

– Et maintenant, tu me nettoies le cul !

 

Je suis complétement parti je ne sais où et je me mets à l’écher la merde qui lui restée collée au bord de l’anus.

 

Lucie ramasse l’étron et se badigeonne les seins et le visage avec puis revient se faire défoncer la chatte sur ma bite. Elle remonte son corps le long de ma queue et une fois en haut elle se relâche pour de nouveau s’empaler dessus. J’aime voir ses seins lourds recouvert de merde qui se balancent dans tous les sens. Elle n’a pas des gros nichons comme des pamplemousses comme Marisa, les siens sont longs. Alors quand elle s’agite sur ma bite, ses deux grosses masses se balancent et viennent lui taper sur le ventre. Moi je reste allongé.

 

Lucie retire ma queue de son trou élargi, elle en peut plus, elle est exténuée. Brigitte me fait signe qu’elle veut bien jouer avec moi.

 

Elle m’offre ses nichons maculés de merde à sucer. Je n’aurais jamais cru prendre autant de plaisir pervers à sucer un téton merdeux.

 

-. Mets-toi à quatre pattes et lève bien les fesses.

 

Je m’avance et lui enfonce ma bite dans l’anus. Elle s’y enfonce comme dans du beurre alors Brigitte pousse un râle de plaisir.

 

– Vas-y à fond, encule-moi bien profond !

 

Je lui défonce ainsi le postérieur comme un damné. Brigitte n’a plus l’orifice étroit ce qui me permet de bien aller la ramoner jusqu’au fond. Elle s’écroule sur le sol prise de décharges électriques tellement elle jouit. Je me propose d’éjaculer sur elle et je me branle jusqu’au bout afin de faire sortir le maximum de crème sur les nichons de Brigitte. Je lui explose dessus, elle en a de partout, ça coule le long de sa grosse mamelle en se mélangeant à la merde. Elle se prend un sein dans la main pour l’amener à la bouche et lécher ce curieux mélange Lucie et Marisa lui lèchent le second. Elles en ont plein sur le bord des lèvres, comme quand on mange un mélange de yaourt et de crème au chocolat. Elles lèchent et avalent. C’est vraiment trois petites salopes !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:05

Marisa à l’hôtel – 1 – chambre 215 par Sylvain_Zerberg

 

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Bonjour, je m’appelle Bertrand mon histoire s’est déroulée il y a 20 ans au début de l’automne, j’étais invité à une conférence sur le futur à Genève. J’ai été convié à cette manifestation car je travaille en particulier sur les projets d’applications qui changeront notre vie dans le futur. C’est une chance pour moi de rencontrer les meilleurs spécialistes alors que je n’ai que 25 ans. Tous les invités logeaient dans des chambres d’un grand hôtel très luxueux de Genève.

 

Sauf qu’à la suite d’un cafouillage dans les réservations, il n’avait pas assez de chambres pour tout le monde et qu’on me prévint donc que je devrais partager la mienne. Je ferais avec.

 

Lundi soir

 

Lorsque j’arrivai le soir à l’hôtel je passai à la réception prendre ma carte magnétique, puis montais par l’ascenseur jusqu’au 15e étage. Arrivé devant la porte de la chambre 215, j’introduis la carte dans la serrure, et à peine l’ai-je enfoncée que la porte s’ouvre, c’est donc la personne qui s’est vu attribuer la même chambre que je découvre en face de moi. J’ai l’heureuse surprise de constater qu’il s’agit d’une magnifique femme brune d’environ 35 ans.

 

– Monsieur, j’ai l’impression que vous vous trompez de chambre !

– Euh, on m’a donné la 215 !

– Mais ils sont complétement fous dans cet hôtel, ils m’avaient assuré que j’y serais seule. Je n’ai rien contre vous, mais je n’ai pas envie de partager ma chambre avec un homme que je ne connais pas, je vais descendre réclamer, ils vont m’entendre.

 

Je vais pour descendre avec elle mais elle m’en dissuade. Un quart d’heure après elle n’est pas revenue et je suis là à attendre avec ma valise à mes pieds.

 

Madame finit par remonter :

 

– Pas moyen de trouver un responsable, ça m’énerve.

 

Elle prend le téléphone, elle crie, elle hurle, je me demande si elle ne va pas casser quelque chose.

 

– Vous n’êtes pas responsable, je commence à le savoir ! Vocifère-t-elle dans l’appareil. Ça fait dix fois que vous me le dites, qu’est-ce que vous attendez pour aller me le chercher le responsable… je m’en fous qu’il soit en réunion… c’est ça on va me rappeler, je connais la chanson… Vous êtes un incapable, monsieur, un incapable et un connard !

 

Elle raccroche, furibarde, s’affale dans un fauteur, me regarde bizarrement.

 

– Ben vous faites quoi, vous ? Vous n’allez pas rester là !

– Je vous fais juste remarquer que je ne suis pas responsable de ce problème, on m’a donné la 215, la 215 c’est ici et je vais donc m’y installer ! Répondis-je fermement (mais calmement).

– Vous êtes célibataire ?

 

Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui réponds qu’oui. Elle semble réfléchir puis au bout d’un moment m’annonce comme de guerre lasse :

 

– Bon, je crois qu’on va être obligé de cohabiter dans la même chambre durant ces quelques jours, je m’appelle Marisa. Et vous ?

– Moi c’est Bertrand.

 

Je me dis à cet instant que j’avais énormément de chance de me retrouver dans la même chambre que cette très belle femme. On discute un moment pour faire un peu connaissance, j’essaie de la brancher sur l’informatique mais…

 

– Ecoutez, soyez gentil, évitons de parler boulot ici, déjà ils vont nous gaver avec ça pendant trois jours, alors… Bon, je vais prendre une douche…

 

Elle va dans la salle de bain et pendant ce temps je range mes affaires puis elle me demande si je veux bien lui apporter une serviette car elle l’a oubliée.

 

« Ils ne fournissent pas des serviettes, dans cet hôtel ? »

 

Il y a deux serviettes de bain en haut de sa pile d’affaires non rangées. J’en prends une et pénètre donc dans la salle de bain la serviette à la main, l’ambiance est très chaude et humide, tous les miroirs sont recouverts de buée. Et là qu’elle n’est pas ma surprise de la voir toute nue par transparence, à travers le rideau de douche accroché en haut de la baignoire, elle se passe le pommeau de douche sur les seins. C’est alors que je me rends compte qu’elle à été vraiment très gâtée par dame nature, qui lui a donné une poitrine très avantageuse. Elle a en effet des seins comme des melons, et elle a l’air de prendre vraiment plaisir à sentir le jet d’eau caresser ses mamelons, puis couler jusqu’à son entrejambe. J’entrebâille à peine le rideau de douche pour lui donner la serviette, et elle pousse un petit cri car elle ne m’avait pas entendu arriver. Elle prend donc la serviette un peu gênée, car elle doit se douter que je l’ai vu se donner du plaisir sous la douche. Heureusement qu’il y a le rideau de douche entre elle et moi car sinon je serais moi-même très gêné, vu la grosse bosse qui se dessine au niveau de ma braguette. Après s’être séchée, elle sort de la salle de bains, et je dois dire qu’habillée juste de sa serviette elle est vraiment très belle, et très attirante.

 

– C’est à votre tour d’y aller mon cher, profitez bien de cette douche elle est vraiment très agréable.

 

Je lui demande pourquoi, et elle me dit que je verrais bien. Cette réponse plein de mystère m’excite vraiment surtout que je ne me suis jamais retrouvé dans la même chambre qu’une femme de cet âge, presque nue, qui doit vraisemblablement avoir une grande expérience du sexe. Je rentre dans la salle de bain, je me déshabille, et je vois qu’elle a laissé ses affaires sur le petit placard, je suis tout de suite attiré par l’odeur très forte mais très agréable de sa culotte. Je la repose aussitôt de peur qu’elle rentre à ce moment là et qu’elle ne me voie à moitié nu, sa culotte à la main, je rentre donc immédiatement dans la douche. Toutes ces histoires m’ont tellement excité que je bande sous la douche, une véritable érection de jour de fête ! Sous l’effet de l’excitation je commence à me masturber, mais je m’interromps subrepticement car j’entends la porte s’ouvrir, et cette belle brune source de mon excitation rentre dans la salle de bain, c’est alors à mon tour de me sentir terriblement gêné, car je sais qu’elle me voit à travers le rideau translucide de la baignoire, tout nu avec la queue raide.

 

– Je vous apporte une serviette, vous avez oublié la vôtre. Vous êtes aussi étourdi que moi !

 

Je réponds « merci » d’une toute petite voix compte tenu de ma gêne.

 

– Ne soyez pas gêné parce que je vous vois tout nu, vous savez j’ai 36 ans, alors même si vous êtes jeune vous devez vous douter que j’ai déjà vu pas mal de mecs à poil

 

Je me suis mis carrément à rougir lorsqu’elle me dit :

 

– Et ne soyez pas non plus gêné parce que vous étiez en train de vous masturber, car quand vous êtes entré tout à l’heure je me touchais moi aussi, c’est normal de se donner du plaisir, et puis je vous l’avais bien dit que cette douche était très agréable.

– Oui, madame c’est vrai !

– Allons ne me dis pas « madame », je n’ai qu’une quinzaine d’années de plus que toi, je suis pas assez vieille pour que tu me dises madame et puis tu as pu te rendre compte que j’étais un joli petit lot, hein, je suis sûr que même les jeunes filles avec qui tu couches d’habitude ne sont pas aussi bien foutues que moi n’est-ce pas ?

 

La modestie ne l’étouffe donc pas… Mais j’ai à peine eu le temps de lui répondre que oui, qu’elle a vraiment un corps très excitant, qu’elle ouvre d’un coup le rideau de la douche, laisse tomber à terre sa serviette, et qu’elle rentre dans le carré de douche.

 

– Alors, tu vois t’as plus aucune raison d’être gêné nous sommes tous les deux complètement nus ! Tu as déjà eu des expériences avec des femmes de plus de 30 ans ?

 

Ce n’est pas possible, elle va me sauter ! Je suis tombé sur la nymphomane de l’étage !

 

– Non heu, c’est vrai vous êtes la première femme de plus de 30 ans que je vois comme ça toute nue en face de moi.

– En tous cas je vois que je te plais, t’as jamais dû avoir la bite aussi dure et bien dressée, comme ça ! Alors qu’est-ce que t’attends profites-en, touche-moi. Je dois te dire qu’en ce qui me concerne, ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas couché avec un jeune homme de ton âge. Je suis comme toi très excitée.

 

Je peux me rendre compte que c’est vrai qu’elle est très excitée en regardant plus bas vers son entrejambe, car elle mouille déjà. Je n’en revenais pas, il y a à peine une heure je ne connaissais même pas cette femme, et maintenant je me retrouve tout nu en train de bander devant elle dans un carré de douche. L’atmosphère de cette pièce en ajoute à l’excitation car elle est très chaude et humide, nos deux corps se retrouvent ainsi vite en sueur alors qu’on n’a encore rien fait. Mais ça va changer car je n’en puis plus, j’approche alors ma main de son gros sein gauche, et je l’ai à peine touchée qu’il se met à pointer et que j’ai l’impression de le voir encore plus gros. Ça m’excite de penser à toutes les choses que cette femme frétillante allait pouvoir m’apprendre sur le sexe. Après lui avoir bien malaxé les seins, j’approche mes lèvres de sa nuque et je l’entends glousser de plaisir lorsque je l’embrasse puis la lèche dans le cou. Pendant que je lui donne du plaisir avec ma bouche, elle ne perd pas son temps, et j’apprécie assez qu’elle parcoure mon corps avec ses mains avant de s’en prendre à ma bite. Elle vient se positionner derrière moi.

 

– Tu vois, moi aussi je peux te branler, mais n’éjacule pas trop vite, on commence à peine, tu vas voir ce que tu vas voir. Les jeunes filles que t’a baisées jusqu’à présent ne connaissaient rien au sexe, je vais te faire découvrir la vraie jouissance au cours de ces trois jours.

 

« Prétentieuse ! »

 

J’aurais volontiers aimé qu’elle me suce, mais je n’ose pas prendre d’initiative. Elle me demande de m’allonger dans la douche, me met un préservatif qu’elle extrait de sa trousse de toilette et s’empale sur ma bite qui n’attendait que ça, pendant qu’elle va et qu’elle vient, s’enfonçant mon sexe de plus en plus profondément, je lui tripote les seins, les tire, les tord, ça les fait durcir et grossir, et c’est assez obscène de les voir se balancer comme ça, de haut en bas comme des élastiques.

 

– Allez, arrête de t’occuper de mes seins, laisse les se balancer, c’est bon, occupe-toi donc de mon petit trou du cul il est vide et j’aime pas ça.

 

Incroyable d’entendre des choses pareilles !

 

J’approche donc ma main droite de ses fesses, et après les avoir caressées, je réalise son souhait en lui fourrant un doigt dans son anus, puis deux, ce qui me permet de me rendre compte qu’elle n’a pas le trou du cul aussi petit qu’elle le dit. Je ne m’attendais pas à ce que le mouvement de mes doigts dans son cul lui donne autant de plaisir, à chaque fois que j’essaye de l’enfoncer encore plus profondément elle pousse des petits cris de jouissance.

 

Je sors mon doigt, pas très net.

 

– Qu’est-ce qu’il a ton doigt ? Il est un tout petit peu sale ! Quelle affaire ! T’as qu’à le lécher.

– Non…

– Et alors, ça va pas te tuer ! Il a un bon gout, mon cul !

 

Elle n’insiste cependant pas !

 

Elle reprend ses va-et-vient sur mon sexe et lorsqu’elle n’en peut plus, tellement elle crie sa jouissance, elle se retire, me finit à la main tout en me glissant un doigt dans le trou de mon cul, un geste auquel je ne m’attendais pas du tout, et elle m’implore de lui asperger la poitrine. Je lui éjacule donc sur ses seins et je dois dire que je n’avais jamais fait sortir autant de sperme d’un seul coup, surtout que je ne débande pas car ça m’excite de la voir prendre plaisir à se toucher les seins maintenant recouverts de tout mon foutre.

 

– On dirait que ça t’a surpris quand je t’ai mis un doigt dans le cul ? Me dit-elle.

– On ne me l’avait jamais fait ! Avouais-je !

– Le trou du cul d’un homme est une zone érogène mais la plupart des hommes ne le savent pas ou ne veulent pas le reconnaitre.

 

Elle me montre ostensiblement son doigt, j’ai peur qu’elle me demande de le lécher. Ça ne rate pas ! Je refuse.

 

– Ferme les yeux et fais-moi plaisir !

 

Son doigt est sur mes lèvres, j’ouvre la bouche, je lèche. Effectivement il n’y a vraiment pas de quoi s’enfuir en courant. Quelle surprise ! J’ai peut-être découvert quelque-chose ! Et histoire de lui montrer mes bonnes dispositions, je lui dis en m’étonnant moi-même :

 

– C’est spécial, je recommencerai !

– Ah, ben, tu vois !

 

Viens en face de moi, je vais te montrer quelque chose.

 

Je viens devant elle, ébloui par son corps splendide et ses seins volumineux enduits du jus de ma jouissance. C’est alors qu’elle m’attrape les tétons et se met à me les tordre, pas trop fort, mais un peu quand même.

 

– Ça te fais quoi ?

– C’est bon, ça m’excite !

– On dirait bien, ta bite est en train de pointer vers le ciel ! Il faut me faire confiance, je t’apprendrais plein de choses, mais il faut te débarrasser de tes tabous. De tous tes tabous ! Moins tu en auras plus tu prendras du plaisir. Tu as confiance ?

– Oui, j’ai confiance !

– Alors ça va ! Je vais pisser, tu veux regarder ?

– Oui bien sûr !

 

Voir pisser une femme fait partie de mes fantasmes secrets et aujourd’hui, elle est là belle et nue, sans aucune pudeur ! C’est mon jour de chance.

 

Le jet est dru et abondant, avec un sourire malicieux elle se mouille les mains avec son urine et s’en badigeonne les seins encore pollués par mon foutre.

 

– Viens me lécher les nénés !

– Comme ça ?

– Ben oui, comme ça !

 

Je suppose que si elle me le demande c’est que la chose se fait, j’ai dû déjà goûté à mon pipi un jour par curiosité, j’ai trouvé ça ni bon, ni mauvais, sauf que là c’est le sien et qu’il est sur ses seins, alors je lèche come un malade, le pipi mais aussi le sperme.

 

– Tu me lèches trop bien, mes tétons sont tout durs, mais maintenant, je tombe de fatigue.

 

On se prend vite une douche pour se débarrasser du sperme et se rafraîchir, et on se couche chacun dans notre lit, j’ai eu du mal à trouver le sommeil.

 

Mardi

 

Je sors lentement de mon sommeil, je bande comme un taureau. Marisa se glisse dans mon lit, rejette les draps vers le pied du lit, s’empare de ma bite et se met à me sucer.

 

Evidemment je me laisse faire. Marisa est déchainée, sa langue va partout, me fait le tour du gland comme s’il s’agissait d’un eskimo à la vanille, me lèche la hampe, remonte, recommence. Elle s’en va ensuite voir du côté de mes testicules qu’elle fait rouler dans sa bouche.

 

– Attends !

– Un problème !

– Ce serait mieux si je faisais pipi avant.

 

Elle se lève, me demande de la suivre dans la salle de bain.

 

Elle me prend la main et m’entraine dans la salle de bain et s’assoit dans la baignoire vide, puis m’invite à la rejoindre.

 

– Arrose-moi d’abord les seins !

– Tu veux que je te pisse dessus ?

– T’as tout compris !

– Mais je n’ai jamais fait ça !

– Il y a toujours une première fois ! Allez j’attends !

Marisa1

 

Ça ne vient pas tout de suite, la situation est inhabituelle et m’excite, j’ai donc tendance à bander, et pisser quand on bande n’est pas évident. Quand ça vient je lui arrose son opulente poitrine. Elle se la caresse avec l’urine et son aspect mouillé la rend encore plus désirable.

 

– Dans ma bouche ! Maintenant !

– Dans la bouche ?

– Je veux boire ta pisse, Bertrand !

 

Puisqu’elle me le demande… Je vise sa bouche et la voilà qui se met à avaler des grosses lampées d’urine.

 

– Ça va me mettre en forme, c’est meilleur que du thé !

 

Elle s’en régale !

 

– La pisse du matin, c’est la meilleure…

 

Elle se relève, s’empare à nouveau de ma bite, la masturbe un peu, lui redonne quelques coups de langue, puis me demande de m’allonger sur le carrelage.

 

Là, après m’avoir encapoté, elle s’empale le cul sur ma bite et se met à effectuer une série de montée-descente à un rythme hallucinant. Elle ne tarde pas à brailler. La voir ainsi excitée renforce ma vigueur, je me mets à travailler du bassin et je jouis à mon tour.

 

– Je vais faire caca, tu veux me regarder ?

– Non, non, ce n ‘est pas mon truc !

– Tu as tort, je crois que je vais faire un gros boudin, j’aime bien faire des gros boudins.

– Non, non !

– Fais pas ta chochotte, tu commences à regarder et si vraiment ça te dégoute, tu repars à côté.

 

La salope ! Au lieu de s’assoir sur la cuvette comme tout un chacun, elle s’accroupit en se tournant les fesses vers moi, les pieds sur la lunette.

 

Pour l’instant, il n’y a rien à voir sinon son cul magnifique, j’en profite car je me dis que dans un instant je vais me sauver.

 

– Ah ! Je sens que ça vient !

 

Un petit étron sort timidement de son cul ! Quelle idée de vouloir me montrer ça ? L’étron grandit et je reste là fasciné, tétanisé, ça me révulse, mais ça me fascine, Un long boudin sort maintenant de son cul, se détache, se tortille et atterrit dans la cuvette dans un grand floc. Et moi, je suis toujours là ! Un deuxième étron suit le même chemin que le premier. Et moi je suis encore là !

 

– Oh, Ça fait du bien de chier une bonne merde ! Tu veux m’essuyer.

– Y’a du papier à côté ! Répondis-je me plantant complétement sur ses intentions.

– Non, tu ne comprends pas ! Regarde et dis-moi si j’ai le cul sale ?

 

Elle écarte ses globes fessiers, effectivement il y a quelques traces brunâtres autour de l’anus, je le lui dis.

 

– Tu veux me nettoyer avec ta langue !

– Non !

– T’as bien léché mon doigt, hier ! Quelle différence ?

– J’ai pas envie de faire ça !

– Tu ne sais pas ce que tu perds ! La prochaine fois alors ?

– On verra !

 

On se prend une douche vite fait afin de ne pas arriver en retard à la réunion d’ouverture du colloque. Après s’être séchée elle me passe la main sur les fesses.

 

– J’ai hâte que cette réunion soit finie, j’ai envie de te faire voir plein d’autres choses, on ne va pas s’ennuyer ce soir, surtout que pour un débutant tu m’as vraiment fait jouir, j’en pouvais plus. Tu verras je vais bien m’occuper de ton petit cul. C’est dommage que je n’aie pas apporté de gode. Oh, mais j’y pense on ira en acheter un tous les deux…

 

Après s’être habillés, nous descendons donc assister à la réunion, qui est d’ailleurs très intéressante, mais à la pause elle me prend par la main et m’entraine précipitamment aux toilettes. A peine ai-je fermé la porte qu’elle enlève sa culotte, afin que je lui lèche la chatte. J’approche ma bouche de cette belle moule vraiment très odorante qui sent la pisse, et j’introduis ma langue dans sa fente, je la remue, je la lèche vigoureusement, et sans qu’elle n’ait besoin de me dire que je le fais très bien, je peux m’en apercevoir en sentant son chaud liquide vaginal arriver. Après à peine quelques instants j’ai déjà le visage recouvert de son liquide tellement elle mouille abondamment. Je ne connaissais pas cette sensation mais je dois bien avouer que c’est vraiment très agréable de lui lécher la chatte, et de remuer ma langue dans ces chairs chaudes et gluantes. Je sens de nouveau un liquide sur mon visage, mais cette fois c’est de l’urine, elle me pisse dessus, et je suis tellement excité que j’avale sans réfléchir. Mais c’est vrai que ce goût particulier n’est pas désagréable et que je commence vraiment à l’apprécier !

 

Après l’avoir fait encore bien jouir je me relève afin de me nettoyer le visage, je ne peux plus ressortir des toilettes comme ça, j’ai vraiment de sa mouille et de sa pisse sur tout le visage et ça commence à me couler sous le menton. Pendant que je me lave le visage au lavabo, je peux la voir dans la glace assise sur le WC, la jupe remontée, et deux doigts dans la chatte, je n’en reviens pas de son incroyable appétit sexuel, mais elle commence à me le transmettre. Une fois bien nettoyé, et elle épuisée, on ressort des toilettes pour retourner à la salle de conférence, mais au lieu de remettre sa culotte, elle l’enfouit dans son sac. Sans aucune gêne elle se promène donc au milieu de la foule complètement nue en dessous de la jupe de son tailleur. Cette femme commence à me plaire de plus en plus, pas juste parce qu’elle me fait découvrir les plaisirs du sexe, mais surtout parce que j’aime l’audace dont elle fait preuve, et que je n’avais connu chez aucune autre femme auparavant, du moins dans la vie réelle. Une fois de retour dans la salle j’espère quand même qu’elle ne va pas trop écarter les jambes, j’ai pas envie de ne plus savoir où me mettre devant tout le monde. Mais en fait je l’avais mal jugée car elle se comporte durant toute la cérémonie d’ouverture comme une vraie femme distinguée.

 

– Viens suis-moi, je vais te présenter du monde.

 

Elle regarde autour d’elle, semble chercher quelqu’un, mais n’insiste pas trop.

 

– Je ne le vois pas, je te le présenterais plus tard.

 

Bizarre cette attitude.

 

– Tu sais j’ai couché avec aucun de tous ces gens, si je connais du monde c’est tout simplement parce que je suis cadre dans l’une des meilleures entreprises, et que mon père est bien placé. Oh, certains n’auraient pas dit non, on m’a même proposé de me payer. Je n’ai rien contre le principe mais il se trouve que je n’ai pas besoin d’argent. Avant j’étais très timide, mais depuis mon divorce, j’ai décidé de me lâcher, et de faire plein de choses qui peuvent paraître anticonformistes, car après avoir été une femme bien rangée, j’en ai vraiment eu marre de cette monotonie. Je suis devenue addict au sexe, ça ne me pose aucun problème et j’ai l’impression que tu vas bientôt devenir comme moi, non ?

– C’est bien parti pour. Tu as envie de faire quoi maintenant ?

– Viens j’ai une idée.

 

Je la suis, elle m’entraîne au sous-sol, à la blanchisserie de l’hôtel, c’est une pièce assez grande avec du linge blanc partout, plein de draps et de serviettes. On va se cacher derrière une pile de draps, au cas où quelqu’un entrerait. Marisa me baisse le pantalon et mon boxer d’un seul coup.

 

– Tout à l’heure tu m’as bien léché, maintenant je vais te lécher aussi, tu me diras ce que tu en pense.

 

A ma grande surprise, elle me demande de me tourner, puis de me pencher un peu et d’écarter les fesses. Je pensais qu’elle allait me mettre un doigt comme précédemment mais ce n’est pas cela, c’est sa langue humide qui remue sur mon anus. La sensation est étrange et agréable et quand elle remplace sa langue par son doigt je m’abandonne à cette nouvelle et agréable caresse.

 

– Il faut absolument qu’on achète un gode, maintenant, tourne toi !

 

Et elle embouche immédiatement mon sexe presque bandé. Le mouvement rapide de sa langue enrobant mon gland me déclenche immédiatement une érection très dure. Elle me suce et me lèche jusqu’aux testicules, elle me pompe la bite tellement fortement que j’ai l’impression qu’elle va me faire sortir le sperme comme quand on aspire un liquide avec une paille. Je suis tout d’un coup très déçu, car elle se décide à arrêter la pipe avant que j’aie pu lui éjaculer en pleine face. Mais à mon plus grand bonheur, elle m’annonce qu’elle souhaite se faire enculer.

 

Après m’avoir enfilé un préservatif rose elle me fait lécher un peu son cul afin que je la pénètre plus facilement.

 

– Il a bon goût mon cul ?

– Oui j’aime bien.

– Ça ne te dérange pas qu’il sente un peu la merde ?

 

Elle m’énerve un peu avec ses tendances scatos.

 

Marisa quitte carrément son tailleur, et se met à quatre pattes le cul bien dressé. Je trouve un peu obscène mais tout de même très excitant de la voir dans cette position avec ses gros seins pendant qui touchent presque le sol, et son anus écarté pour que j’y pénètre.

 

Et je l’encule d’un seul coup, ça l’a fait pousser un cri, mais malgré ça elle en redemande.

 

– Vas-y bourre-moi bien comme une bête, pendant que tu le peux encore, car je t’ai tellement pompé la bite que tu ne vas pas tarder à décharger.

 

Je vais donc en avant et en arrière, je la bourre violemment, elle a les seins qui pendent, et ce mouvement les lui fait balancer comme de grosses masses molles. Je continue à la défoncer tant que je peux jusqu’à ce que je sente le jus arriver, je me retire alors vite, arrache la capote, et la retourne en la couchant au sol, cette fois c’est elle qui va en avoir plein la face. Je lui éjacule donc sur son mignon petit visage, et elle lèche pour ne pas en perdre une goutte. C’est à ce moment là, alors que je suis sur elle, la bite lui dégoulinant sur le menton qu’une jeune femme entre dans la blanchisserie et nous aperçoit dans cette position plus que gênante, sur le coup elle a un peu peur, mais surtout elle devient rouge comme une tomate. Marisa me dit que ce n’est pas à moi d’être gêné, qu’on avait décidé de repousser les lois de la morale puritaine, alors elle s’assoit les jambes écartées et se lèche le visage recouvert de mon sperme. Elle interpelle la jeune fille.

 

– Salut, toi comment tu t’appelle ?

– Sophie madame, mais excusez moi je pars tout de suite, euh, je suis désolée.

– Mais non, ne pars pas, ne soit pas effrayée, t’as quel âge, tu dois plus être vierge quand même ?

– Non, je suis loin d’être vierge, j’ai 25 ans, mais vous m’excitez tous les deux !

– Allons, si tu veux t’amuser un peu avec nous, ce sera avec plaisir.

– C’est vrai ?

– Ben oui, viens !

 

Je suis éberlué car cette fille qui a l’air d’une sainte nitouche vient vers nous, s’assoit à coté, et prend le sein de Marisa dans une main en lui disant.

 

– Et bien vous en avez de la chance, j’aimerais bien avoir des seins comme les vôtres.

– Mais ne soit pas timide, montre-les nous, tes petits seins.

 

Et Marisa lui enlève délicatement sa blouse de femme de ménage, puis lui retire le soutien-gorge, elle se laisse faire. Marisa lui dit qu’en effet ses seins n’étaient pas très gros mais qu’elle allait l’aider et d’un coup elle lui tire sur les tétons comme pour les arracher, la femme de ménage proteste.

 

– Aie, vous faites quoi ? Vous êtes folle !

– Mais non regarde tes pointes de seins, j’ai à peine tiré dessus, et ils sont déjà tout excités, ils pointent.

– C’est vrai ils ont l’air un peu plus gros, tirez-les encore.

 

Marisa ne se fit pas prier pour lui tripoter les seins, et les lui tirer. Sophie a l’air contente, elle n’a jamais été aussi excitée nous confit-elle. Après que Marisa l’ait encore plus chauffée en lui caressant les fesses, elle l’a fait s’allonger, et lui dit de se laisser faire.

 

– D’accord, allez-y ! Je me laisse faire, faites-moi tout ce que vous voulez !

 

Je tente de refaire avec Sophie ce que j’ai déjà fait avec Marisa, en lui léchant la chatte, mais à peine ai-je approché ma langue que je me rends compte qu’elle n’a pas la chatte aussi humide qu’elle, elle ne mouille pas assez pour que ce soit suffisamment agréable. Je commence alors par la pénétrer avec mes doigts, et je remue à l’intérieur tant que je peux, j’enfonce jusqu’à la faire crier, mais elle me dit de ne surtout pas arrêter.

 

– Encore, encore plus profond dans ma chatte. Je veux jouir.

 

Mais dès que j’aperçois son doux liquide commencer à couler du bord des lèvres, je me précipite pour pénétrer ma langue au plus profond de son chaud vagin. Pendant que je la lèche Marisa me caresse les fesses, et me lèche un peu de partout jusqu’à ce que je sois presque entièrement recouvert de salive. Quand Sophie atteint l’orgasme tant attendue, Marisa, sans la laisser souffler lui demande de me tailler une pipe du mieux qu’elle le pouvait, et pendant ce temps, on s’est livré avec Marisa à la plus mouillée des séances de baiser. On se mélangeait nos deux langues avec une telle passion qu’on avait de la salive qui coulait partout le long de notre cou. Une fois nos péripéties terminées, on se rhabille tous, puis on repart en laissant Sophie seule, mais en lui promettant de la revoir si elle souhaitait renouveler ces bons moments.

 

Avec Marisa on retourne donc à notre chambre, car on a bien besoin de prendre une nouvelle douche, cette fois on a en assez, on se douche juste, et on va se coucher, en se disant qu’on essayera de faire aussi bien le lendemain.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 21:58

Florence et César par Sylvain Zerberg

zoo

 

C’était un beau samedi de printemps. Je décide donc d’emmener mon chien, un setter, pour une promenade digestive. Il y a un parc magnifique pas loin de chez moi dans lequel nos amis à quatre pattes sont admis. Mon chien est très obéissant et je peux me passer de le tenir en laisse. Il va ainsi à droite et à gauche pendant que je continue de marcher.

 

Je croise d’autres promeneurs jusqu’à ce que … :

 

– Tiens, Florence ! comment vas-tu ?

– Et bien comme tu vois, je fais du jogging.

 

Mon chien, me voyant arrêté, revient sur ses pas et s’approche de Florence par derrière et, comme n’importe quel chien, lui flaire les fesses. Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri. Je la rassure aussitôt, m’excuse et fais asseoir César. Nous ne discutons pas longtemps car elle doit finir son jogging, mais elle me propose de passer boire un verre d’ici une heure et demie, le temps de rentrer chez elle et de prendre une douche. N’ayant rien à faire de mon après-midi, et Nicole, ma femme, ne devant rentrer que tard ce soir, j’accepte l’invitation.

 

Je dois vous dire que Florence n’est qu’une copine de notre couple. Nous la voyons de temps à autre sans jamais avoir essayé d’approfondir nos relations. Elle est sympa, sans plus. C’est une jeune femme d’une trentaine d’années, charmante blonde aux cheveux bouclés, avec des yeux d’un bleu profond et très souriants et une poitrine avantageuse.

 

Ayant fini la promenade, nous nous dirigeons, César et moi, là où habite Florence, un petit immeuble de deux étages ou elle occupe un appartement charmant. Je sonne et presque aussitôt la porte s’ouvre. Notre hôtesse a échangé sa tenue sportive contre une petite robe légère s’arrêtant juste au-dessus du genou. Une colonne de boutons la tient fermée. Je m’assois dans le canapé alors qu’elle choisit le fauteuil situé juste en face. Les rafraîchissements sont déjà sur la table et nous commençons à boire en discutant sur le fait que cela faisait un bon bout de temps que nous ne nous étions pas vus. Je lui expliquais que Nicole en moi avions une vie très dense, et que ce n’était pas facile de garder contact avec tout le monde. Pendant ce temps, César visitait l’appartement et flairait le moindre recoin.

 

– Si cela te gêne, je peux l’attacher sur le balcon ?

– Mais non, ne t’inquiètes pas, j’ai l’habitude des animaux.

 

Et, laissant faire toutou, nous continuons de parler de choses et d’autres. Les lieux ayant été inspectés, le chien vient maintenant quémander quelques caresses. Vers moi tout d’abord. Puis il se dirige vers elle, s’assoit, la regarde et attend la caresse. Florence lui pose la main sur la tête, et le chien, satisfait, pose sa tête sur les genoux de la propriétaire de la main. Pour mieux profiter des caresses, César s’avance un peu plus et vient se placer tout contre le canapé, entre les jambes de la jeune femme.

 

– Il a vraiment un poil soyeux, dit-elle en continuant de donner des caresses.

 

Elle a vraiment l’air d’aimer les animaux, et le chien le sent bien et se love de plus en plus entre ses jambes.

 

Mais c’est un mâle, avec tous ses instincts de mâle. Je vois son museau plonger devant lui et sa truffe aller flairer le pubis de Florence. Surprise par ce mouvement, elle tente de retenir César, mais n’osant lui faire mal, elle le laisse faire en continuant de le caresser. Je me lève, me préparant à le tirer par le collier.

 

– Non, laisse-le ! il ne fait pas de mal ! me dit-elle d’une voix légère.

– Tu es sure?

– Oui, il finira bien par s’arrêter…

 

Je me rassois donc, prêt à intervenir à nouveau, et je suis abasourdi par ce que je vois se dérouler devant moi. Florence, tout en lissant les poils de l’animal, se laisse aller en arrière et ne semble pas gênée du tout par ce qu’entreprend César. Son museau est planté dans le haut des cuisses de la jeune femme, et je l’entends flairer sa découverte.

 

Florence me sourit en remarquant que mon chien est un coquin, mais elle ne fait rien pour échapper à la truffe inquisitrice. Je vois ses mains se déplacer sur l’ouverture de sa robe et défaire le bouton situé au niveau de sa petite culotte. Le museau s’engouffre alors dans la brèche et commence à donner de petits coups de langue, comme pour déguster. Elle laisse aller sa tête en arrière et, un sourire béat sur les lèvres, s’abandonne totalement. Je n’en reviens pas, je n’ai jamais assisté à une scène pareille. Les mains posées sur le crâne du chien, elle émet de petits gémissements de plaisir.

0011 2

Le spectacle est vraiment étrange, mais il me trouble un peu. Je rêve, ce n’est pas vrai, je vais me réveiller. Mais non, les images continuent de défiler sous mes yeux. Une érection naissante se fait ressentir et je pose ma main sur mon pantalon pour tenter de la contenir. Le chien, lui, continue son exploration et je vois sa langue fureter sur la petite culotte. Puis, soudain, une main se fraye un passage et vient tirer sur le côté cet obstacle de tissu. Le chien se met à trembler et son museau s’agite. Sa truffe poursuit l’exploration et se met à frotter la toison blonde de la demoiselle qui, le regard dans le vague, écarte le plus possible son slip en coton. Je vois ses cuisses continuer de s’ouvrir lentement, laissant ainsi plus de place au fouineur.

 

Je m’imagine à la place de mon compagnon, et l’érection se fait plus violente. Ma main pénètre par ma braguette ouverte et masse mon sexe qui durcit de plus en plus. La truffe de César a maintenant trouvé l’ouverture secrète et commence à s’insinuer entre les grandes lèvres du magnifique sexe féminin qui s’offre à lui. Sa langue continuant de laper à petits coups. Florence est aux anges, elle ferme les yeux et passe sa langue sur ses lèvres d’un air réjoui.

 

Moi, je suis dans un état second, et sans m’en rendre trop compte, je me lève et sors ma queue que je commence à branler. Puis, je vais me placer à côté du fauteuil où se trouve Florence. Ma main libre se pose sur sa poitrine. Aucune réaction de sa part, comme si elle s’attendait logiquement à cette suite. Juste son sourire qui se fait plus radieux. Je commence à masser sa belle poitrine à travers la robe, puis mes doigts se glissent entre deux boutons et vont au contact direct de la peau soyeuse de ses seins. Le bout de mon index entre en contact avec un mamelon qui se tend encore plus. Il se met à jouer avec, le fait rouler sur lui-même, ce qui a pour effet de tirer des gémissements plus forts de la gorge de notre partenaire. Florence, écartant toujours sa culotte de la main gauche, vient saisir mon sexe de la main droite et le presse doucement comme pour en tester la consistance. Je vois César s’exciter de plus en plus, son museau fait des mouvements de plus en plus désordonnés et sa tête donne l’impression de vouloir entrer de force dans cette grotte humide et odorante. La tête de Florence balance de droite à gauche et elle gémit de plus en plus.

 

Puis, soudain, elle repousse le chien, se met à genoux devant le canapé, relève sa robe, dévoilant ainsi une magnifique paire de fesses, et s’accoude sur le canapé. Aussitôt, César revient à l’assaut, et pointe sa truffe sur la zone sensible de Florence qui sursaute de plaisir au contact. Le chien, totalement excité, jette ses pattes avant sur le dos de la jeune femme, et enserre sa taille, son sexe venant se placer entre ses cuisses. En appui sur un coude, Florence le guide en elle avec un soupir de plaisir. César entame aussitôt « la danse du mâle sur la femelle ». Florence gémit de plus en plus et, de sa main libre, saisit mon sexe et le porte à ses lèvres. Sa langue se lance alors dans une farandole endiablée autour de mon pieu qui, me semble-t-il, va éclater. César s’active vivement dans le sexe de la jeune femme, ses yeux sont exorbités. Pendant ce temps, ma main s’est glissée dans ses cheveux et je la plaque contre mon bas-ventre avec l’envie d’être aspiré totalement par cette bouche pulpeuse. Le chien, lui, se crispe et se répand dans la chatte de Florence. Il se retire, et se met à la lécher, puis va se coucher dans un coin.

 

La jouissance n’est pas loin de nous gagner et c’est à longues saccades que j’éjacule au fond de la gorge de ma partenaire, pendant qu’elle se crispe et se met à pousser un long feulement et s’écroule sur le canapé.

 

– Je suis vraiment une salope ! Dit-elle en riant aux éclats

 

fin

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 21:50

Blonde et soumise

par Sylvain Zerberg

scat

Attention : scato explicite inside

 

e voudrais raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a quelques temps. Ayant toujours été fasciné par tout ce qui touche aux rapports de domination, j’ai posté sans trop y croire une petite annonce sur un site spécialisé demandant si une jeune femme serait intéressée par une expérience dans ce domaine avec un parfait inconnu. Recevant rapidement une réponse, nous échangeâmes nos numéros de portable (pour davantage de discrétion). Elle refusa de préciser ce qui l’intéressait au téléphone m’expliquant qu’elle en avait assez de perdre son temps avec des mecs qui fantasmaient et qui ne donnaient jamais suite. Je peux comprendre. Elle exigea simplement que l’on échange des tests récents. Et un rendez-vous fût pris à la terrasse d’un bistrot bruxellois.

Elle arriva pile à l’heure, j’étais déjà installé devant une bonne bière. Pour nous reconnaitre, il avait été convenu que je serais habillé d’une chemise vert clair, et le journal « Le Soir » serait déposé sur la table. Elle m’avait simplement dit qu’elle était blonde et porterait un petit sac rouge. Quand je la vis arriver, déjà mon excitation commença. Une belle femme, pas un canon, mais une belle femme, la quarantaine arrogante, le genre fausse blonde revendiquée puisque les sourcils sont restés bruns. Lunettes à grosses montures, joli sourire, nez mutin; tailleur bon marché et une bouche maquillée en rouge cerise et si sensuelle que je l’imaginais déjà en train de me sucer la bite. Elle s’installa à mes côtés et nous nous saluèrent.

– Bonjour ! me dit-elle. Vous existez réellement, c’est déjà ça !
– Bonjour ! Lui répondis-je, commençons par les formalités, j’ai apporté mon test…

Elle a aussi apporté le sien, tout va bien de ce côté-là !

– Donc on va préciser ce qu’on ne s’est pas dit au téléphone afin de ne pas faire d’impair : vous aimez être dominée de quelle façon ?
– Des souffrances physiques, dans la limite du raisonnable, pas de sang, et je ne veux pas qu’on m’attache…
– Ça ira ! Et les humiliations !
– J’allais y venir ! Vous pouvez me traiter de tous les noms, me faire faire des choses dégoutantes…
– Des choses un peu crades ?
– Ça ne me dérange pas !
– Toutes ?
– Crachat, pipi : tant que vous voulez, la scato on va dire qu’il faut faire ça modérément, enfin c’est surtout une question d’ambiance… de feeling… Parfois je peux me lâcher à fond…
– Bon, nous allons tester immédiatement votre aptitude à l’obéissance
– Allons-y ! Mais d’abord, puisque nous allons passer quelques moments ensembles, nous pourrions peut-être nous tutoyer ?
– D’accord ! Répondis-je, je m’appelle André et toi ?
– Moi c’est Sonia !

Je la trouve un peu effrontée pour une personne qui va se faire dominer, mais je ne dis rien, quelque part, elle me plait bien.

Le garçon lui apporta le Coca qu’elle avait commandé.

– Tu vas te rendre aux toilettes, y enlever ta culotte et ton soutien-gorge, tu les mettras dans ton sac et me les montreras quand tu remonteras.
– Fastoche !

Elle se leva et descendit vers les toilettes pour en revenir à peine 5 minutes plus tard. Elle ouvrit son sac discrètement et me montra le contenu : une petite culotte rose pâle et un soutien-gorge assorti.

– Quel effet cela te fait-il d’avoir la chatte à l’air ?
– C’est bizarre, on me l’avait jamais fait, celle-là !
– Tu est connu dans ce bistrot ?
– Jamais foutue les pieds !
– Alors d’accord, si t’aimes les humiliations, je vais te gâter ! Tiens, voilà un billet, c’est toi qui le donneras au serveur.

J’appelle le serveur qui revient avec l’addition !

– C’est la salope qui paye ! Lui dis-je tandis que Sonia tend son billet.

A la limite, le garçon est plus gêné qu’elle.

– Elle fait des pipes pas chères ! C’est une bonne pute, vous savez ? Ça vous intéresse ?

Il ne répond pas et disparaît ! Sonia est morte de rire. Ce n’était pas le résultat escompté. Pas grave.

– Je possède un petit studio pas loin d’ici, nous allons nous y rendre.
– Et je vais marcher comme cela ? La chatte à l’air ?
– Mais bien sûr ma chérie, comme ça tu sentiras le vent te rafraîchir la moule !

Nous arrivâmes chez moi très rapidement car il était situé à peine deux rues plus loin. Nous sommes entrés dans mon studio composé d’une assez grande pièce, d’une petite salle de bain et d’une kitchenette. Je lui déclarai tout de go :

– Tu es ici pour me montrer ton obéissance, tu as déjà réussi la première épreuve en venant ici sans culotte. Maintenant tu vas faire tout ce que je te dis et pour commencer tu vas te mettre à poil et à genoux.

Elle obéit. Je la trouvais déjà ravissante. Mais à poil elle n’est vraiment pas mal, de beaux seins laiteux exactement comme je les aime, elle se place face à moi dans une attitude de soumission parfaite. Je la contournais et lui saisit les seins par l’arrière et les pétris des deux mains. Elle ne disait mot.

J’au alors l’idée d’ouvrir son sac pour en extraire la culotte qu’elle avait retirée à ma demande au restaurant. La culotte est toute polluée, des traces d’urine devant, des traces brunes derrière.

– Dis donc trainée ! Ça t’arrive te t’essuyer ?
– Parfois, je suis un peu distraite !

Je lui pince fortement les seins pour la punir de cette impertinence.

– Et c’est quoi cette tache marron ?
– Mon caca, je suppose !
– Tu supposes donc tu n’es pas sûre, lèche pour être sûre !

Elle le fait avec une facilité déconcertante !

– T’es vraiment une morue ! Maintenant c’est le moment de la première fessée ! Lui précisais-je, redresse-toi et mets-toi contre la table, les mains bien à plat sur la table, bien loin.

Les jambes bien écartées. Je lui remontai la jupe et découvris une paire de fesses magnifiques. Je les caressais légèrement puis lui appliquai une première tape assez légère. Une seconde suivit, plus forte qui lui fit pousser un petit cri et je continuais de plus en plus fort. Une dizaine de tapes suffisaient pour une première fois. Quelques larmes couvraient son visage lorsqu’elle se retourna, je les essuyais et en profitais pour l’embrasser. J’ai ensuite caressé ses fesses pour faire disparaitre la douleur, mes mains passaient et repassaient pour arriver sur sa petite fente. Elle était toute mouillée. Je me suis déshabillé à la hâte et lui ai ordonné de me sucer la bite.

– Hum, tu suces trop bien !a

C’est alors qu’elle me dit :

– Si tu veux que je jouisse très fort, il faut que tu m’humilie, c’est ce qu’on avait convenu.

Bon, là tout de suite, je ne suis plus très motivé pour ce genre de chose, je me suis bien excité en la fessant, maintenant j’ai plutôt envie d’être romantique, alors j’hésite…

– Bon st tu ne veux plus jouer, c’est dommage, mais l’amour vanille ce n’est pas mon truc ! Minaude-t-elle

Je me dis alors que la motivation va venir toute seule, il me suffit de me forcer un peu. Et je lui fous une paire de claques, pas trop fort, je ne suis pas une brute.

– Tiens chiennasse !
– Oui, insulte-moi !
– Ouvre la bouche, grosse salope, morue, vipère lubrique, pute à dix balles.

Je lui crache dessus, elle en est béate de ravissement, elle doit être un peu zinzin.

Il me vient une idée farfelue que j’ai déjà vu sur Internet : je prends un gros feutre rouge et lui inscrit le mot « salope » sur le front, puis comme ça m’amuse je rajoute « pétasse » au-dessus des seins et « garage à bites » au-dessus du pubis avec une petite flèche.

Sonia– Allez suce moi encore ! Suce moi comme une pute !
– Humpf !
– Bon, ça va, je ne vaux pas jouir maintenant. Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dans la bouche !
– Oh , oui ! Oh, oui !

Elle est à genoux devant moi, j’essaie de pisser mais vous croyez que c’est facile, vous, de pisser quand on bande, j’aimerais bien vous y voir ! Elle est là à genoux, la bouche ouverte, tellement belle et désirable. Je ferme les yeux, j’essaie d’épeler Shakespeare, à l’endroit et à l’envers, ça marche, ma bite est désormais demi-molle, je libère les sphincters du pipi et j’arrose la belle Sonia qui nous avale ça comme si c’était du champagne Ruinart, et comme elle ne peut pas tout avaler, ça dégouline sur ses seins, l’urine lui sculpte le corps de ma pluie dorée. Jolie spectacle !

– Tu peux me chier dessus si tu veux !

Ben voyons ! Je voudrais bien lui faire plaisir mais je ne sais pas si j’ai envie, enfin on peut toujours essayer ! Et puis je ne sais pas comment me mettre !

– Tourne-toi, je vais t’aider ! Me propose-t-elle.

Comment ça, « elle va m’aider » ? Je me retourne, et la voilà qui me lèche le fion, ça tombe bien d’adore cette caresse, cette langue dans mon cul, hum c’est bon !

Et voila qu’elle m’enfonce un doigt, à moins qu’il y en ait deux, quand on aime on ne compte pas ! Et elle y va, elle me pilonne en d’énergiques va-et-vient, c’est bon !

– T’aimes ça un doigt dans le cul ! Hein mon salaud !
– T’inverse pas un peu les rôles, là ?
– Non, je suis toujours ta soumise, mais j’ai aussi le droit de jouer. T’aimes ça qu’on te travaille le cul ?
– Mais tu vas te taire !
– Je suis sûre que tu te fous des godes dans le cul !
– Qu’est ce que ça peut te foutre !
– Et quand tu sors la gode du cul, s’il est plein de merde, tu lèches ?

Bon elle est partie dans ses délires, on ne va pas la contrarier d’autant que tout ça m’excite un maximum.

– T’en a un ici ?
– Un gode ? Oui mais je ne sais pas où je l’ai mis ! Mentis-je
– A mon avis il est dans le tiroir de ton chevet, c’est toujours là que les mecs les rangent ! Je peux regarder ?

Elle est infernale !

Evidemment elle découvre le gode et ne trouve rien de mieux à me proposer que de me le mettre dans le cul. Bof, soyons beau joueur, de toute façon j’adore ça.

Je me mets en levrette, je dandine du cul, je fais ma femelle, Sonia viens à nouveau me lécher le cul. Et je vous assure qu’elle ne fait pas semblant, sa langue est une véritable éponge.

– J’adore le goût de ton cul ! Me déclare-t-elle.

Puisqu’elle le dit.

Elle s’arrête un petit peu, me demande si j’ai du gel, et prépare le gode, avec capote et lubrifiant… Et hop ça entre, elle fait bouger le machin, actionne le vibrateur, je sens des ondes de plaisir me parcourir le corps.

– T’aimes ça, un gode dans le cul, hein ? Tu t’es déjà fait enculer par un mec ?
– Si on te demande, tu diras que tu n’en sais rien !

Elle me demande de « pousser » en même temps, j’ai compris ce qu’elle veut et fais comme elle a dit. Et puis tout d’un coup, elle ressort le gode.

Il n’est pas net, net, mais ce n’est pas non plus une catastrophe, et elle se met à le lécher comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat avec l’air de se régaler bien comme il faut.

– Maintenant je me laisse faire, chie moi dessus !

Quelle poésie !

Sonia s’est allongée sur le sol, je ne sais pas trop comment me positionner, mais elle me fait signe de venir au niveau de son visage.

Bon quand faut il aller, faut y aller, je pousse, et je sens que ça sort, puis plus rien !

– Nettoie mon cul salope !

Elle n’y va pas, elle se précipite, je savais que ça lui ferait plaisir

Je sens sa petite langue qui me trifouille l’anus, c’est rigolo, c’est rafraichissant. Puis elle s’arrête, je me retourne, je regarde ce qu’elle fabrique. Elle joue avec ce que je viens d’expulser, elle en a plein les mains et elle s’étale tout ça un peu partout, les seins, le cou, et même le visage et tout cela avec un sourire quasi extatique !

C’est dégoutant ou c’est fascinant, je n’arrive pas à me décider ! Ma bite le fait pour moi puisque je bande comme un sapeur.

Cela ne pouvait pas durer plus longtemps, nous n’en pouvions plus ni l’un ni l’autre et nous avons fait l’amour. Sauvagement !

Je lui ai proposé d’aller au restau, elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas, On s’est quitté avec un gros bisou, gros mais sans passion. On devait se revoir, on ne s’est jamais revu, c’est la vie…

Sylvain

Rewriting d’un teste anonyme paru en 1999 sur le site canadien de Sophiexxx sous le titre « elle était blonde ».

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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