Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:15

Marisa à l’hôtel – 3 – Mission spéciale par Sylvain_Zerberg

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On fait un break, on va tous se doucher, Brigitte passe une serpillère sur le sol, puis on boit quelques rafraichissements et j’aperçois les trois femmes se faire des messes basses et rigoler entre-elles…

Brigitte finit par prendre son téléphone.

 

– Allo, Walter, tu peux passer vingt minutes, on a un petit délire à te proposer.

– …

– Ah ! Tu es avec Sammy ! Eh bien passez tous les deux !

 

Puisqu’on va avoir de la visite, j’ai le réflexe de remettre mon slip, je me souviens alors qu’en fait de slip, je n’ai qu’une culotte féminine, j’ai peur de paraître ridicule et je cache tout ça derrière une serviette

 

J’ai comme l’impression alors que nos trois coquines vont se remettre à partouzer avec des partenaires « frais ».

 

Les deux jeunes hommes finissent par arriver, Sammy est un grand black assez fin et jovial, Walter, un blondinet en chemise rose.

 

Présentations, bisous, on boit un coup. Non, non plus d’alcool pour moi, je me mets au jus de fruits.

 

– Alors les filles vous vous être bien amusées ! Lance Walter !

– Plutôt oui ! Répond

– Donc on va assurer le bonus !

 

Les deux types font un petit geste de connivence et sans plus de cérémonie se mettent à poil.

 

Les voilà tous les deux devant moi à moins d’un mètre, ils se branlent, leurs queues deviennent dures. Je suis tétanisé par ces deux bites qui me narguent.

 

Je me dis qu’il faut que je réagisse, mais je fais comment ? Récupérer mes vêtements, m’enfuir, rentrer à pied à l’hôtel.

 

– Allez suce !

 

Qui m’a donné cet ordre ? Je n’en sais rien mais bientôt c’est les trois nanas qui m’intime de sucer.

 

Ma tête me tourne ! Les deux mecs se rapprochent, la bite de Walter est maintenant à trente centimètres de mon visage. J’ouvre la bouche, mes lèvres se referment sur la bonne bite du blondinet.

 

Les filles applaudissent ! C’est moi l’attraction de la soirée. On me demande de me mettre à quatre pattes. Je ne comprends pas pourquoi mais si ça peut faire plaisir… Et puis je comprends pendant que je suce la queue de Walter, Sammy passe derrière moi, me flatte les fesses, m’écarte les globes, me suce le fion, me mets un doigt. C’est la totale. Est-ce que je peux encore maîtriser les évènements ?

 

Un prétexte, il me faut un prétexte…

 

– Pouce, j’ai soif !

 

Je me relève, sans rencontrer d’objections. Brigitte me verse un grand verre de jus d’orange que je siffle comme un mort de soif. Ça fait du bien ! Je me tourne : Sammy est devant moi, sa grosse queue en point de mire !

 

– Tu me suces la mienne ?

 

C’est demandé si gentiment que je ne saurais refuser.

 

– Juste un peu alors ! Répondis-je

 

Et me voici avec cet énorme morceau devant mon visage, impossible de mettre tout ça dans ma bouche, je n’ai pas pris de cours d’avaleur de sabres, moi ! Alors je triche, envoyant la bite se cogner à l’intérieur de mes joues. Puis je me dis qu’au lieu de faire des fausses gorges profondes, il est aussi agréable de se concentrer sur le gland, c’est encore plus doux que le reste et ce petit gout légèrement salé m’excite, mais m’excite. Voilà que je m’excite en suçant une bite, maintenant ! Et alors ? C’est mon problème, je fais ce que je veux de ma bouche, non ? Et j’en reprend encore.

 

Comme tout à l’heure on me demande de continuer ma pipe à quatre pattes, cette fois je ne me fais plus aucune illusion, je me mets dans la position demandée et tandis que Walter me tripote le cul je me tourne vers lui, abandonnant un instant la bite que je suce, et lui demande :

 

– Tu vas m’enculer ?

– Si tu veux !

– Oui, je veux bien, mais je suis puceau du cul, alors vas-y doucement.

– C’est vrai, t’es puceau ?

– Ben oui !

 

On me tartine, on écarte le passage avec un, deux, puis trois doigts. Le gland de Walter tente de passer, il ripe, recommence, ripe à nouveau…

 

– Ouvre-toi ! pousse !

 

Je fais comme ça, et ça y est le gland est rentré.

 

– Attention !

– Humpf !

 

Je sens que ça rentre, une nouvelle poussée, j’ai maintenant toute la bite de Walter dans mon cul. Je suis un enculé ! Psychologiquement ça fait un peu drôle, mais j’assume en me disant que tout le monde n’a pas la chance de connaitre cette expérience.

 

Walter commence ses va-et-vient. Mais c’est que ça ne va plus du tout.

 

– Non, non arrête ça fait mal !

– Ça va passer, respire par le nez,

– Non, non !

– Juste une minute ou deux…

 

Il en a de bonnes lui, ce n’est pas lui qui se fait enculer… la douleur s’atténue, et au bout d’un moment ce n’est même plus de la douleur mais de la gêne, mon cul n’est pas habitué à ce genre de choses. Des frissons, ça devient bon, ça devient même très bon. On m’encule et j’aime ça. Les mouvements de Walter deviennent réguliers et du coup je peux reprendre en bouche la bite de Sammy que j’avais un moment lâché. Il a débandé un peu mais retrouve vite sa vigueur. Je sens soudain des soubresauts dans ma bouche. Le type se retire à toute vitesse et je reçois tout son sperme sur le visage.

 

Je m’essuierai plus tard à moins que ça intéresse quelqu’un en particulier, pour l’instant j’ai envie de prolonger encore un peu ce qui se passe dans mon cul.

 

Walter fatigue ! Ce sont des choses qui arrivent, je pense alors l’affaire terminée mais pas du tout, il se retire, s’assoit, fesses par terre et me demande de venir m’empaler sur sa bite. Je me demande si je vais le faire, moi aussi je fatigue, mais voici Lucie et Brigitte qui se radinent, elles m’aident à me positionner et à bouger. Braves filles ! Je monte et je descends en coulissant sur la bite de Walter pendant cinq bonnes minutes, Puis voilà que mon « sodomisateur » qui me laissait faire tout le boulot se met à s’agiter frénétiquement et cela jusqu’à sa jouissance. Il se retire et curieusement il m’a encore donné du plaisir en se retirant comme si mon corps se délivrait.

 

Ces dames applaudissent de nouveau, je les ai pas saluées, on n’est pas au théâtre ! Mais quand Walter a voulu m’embrasser, je n’ai pas trouvé comment lui refuser, et voilà que pour la première fois de ma vie un homme m’a roulé une gamelle. Je vous dis c’est la soirée des grandes découvertes.

 

Peu en état de repartir en voiture nous avons Marisa et moi couché sur place après avoir dévorés des pizzas.

 

Jeudi

 

En rentrant à l’hôtel, le lendemain matin, le réceptionniste donne une enveloppe à Marisa. Elle ouvre et me montre.

 

« C’est quand vous voulez, je suis au 368, vous pouvez m’appeler, ma femme est au courant. »

 

– C’est le petit vieux de l’ascenseur ! Me précise-t-elle.

– Tu vas vraiment le faire ?

– Il faudrait que je le fasse ce matin ! Cet après-midi, je ne suis pas libre.

– Ah bon ?

– Je t’expliquerais !

– Ce matin il y a la conférence du directeur de…

– Et bien je la sécherai !

 

Nous montons dans la chambre et Marisa demande au petit vieux de le rejoindre au bar dans une demi-heure.

 

– Viens avec-moi, mais ne t’éloigne pas trop et ne m’approche que si je te fais signe. Me dit-elle.

– Mais la conférence ?

– Elle n’est pas commencée, arrête de paniquer !

 

Le petit vieux arrive :

 

– Je m’appelle Robert, ici ce n’est pas très discret, prenons une table.

 

Je me mets juste derrière eux et j’entend tout.

 

– Voilà les sous, mais je peux donner plus, tout dépend de…

– De ce que vous voulez ! J’ai compris ! Vous voudriez quoi ?

– Que vous me sodomisiez avec un gode et me faire boire votre urine.

– On ne fera pas l’amour ?

– Non, je me branlerais pour finir.

– OK, disons 100 euros de plus

– Et si ma femme veut regarder ?

– Pour mater 50 euros en plus !

– On fait ça quand alors ?

– Tout de suite si vous voulez, vous me rejoignez dans ma chambre au 215 dans un quart d’heure !

 

Il est d’accord et se lève pour rejoindre l’ascenseur quand Marisa lui demande.

 

– Vous êtes sûre que votre femme ne souhaite que regarder parce que pour 50 euros de plus, je peux lui présenter un collègue jeune, vigoureux et bien monté.

– On pourrait lui faire la surprise, mais je voudrais le voir ce monsieur.

 

Et là Marisa me fait signe de la rejoindre. Elle est complétement folle, je veux bien délirer avec elle mais il y a des limites, je me lève mais me réserve de lui dire ma façon de penser, je n’ai aucune envie de jouer les apprentis gigolos.

 

– C’est ce jeune homme ? Demande Robert.

– Oui !

– Pas de problème ! On vous rejoint dans votre chambre dans un quart d’heure ?

– O.K.

 

J’attends que pépère se soit éloigné et me levant comme au théâtre en faisant face à Marisa, je lâche un :

 

– Il n’en est pas question ?

– Pas question de quoi ?

– Je ne fais pas ça !

– T’as pas envie de gagner 100 euro ?

– Non !

– T’as pas envie de me rendre service ?

– Quel service, je croyais que tu n’avais pas besoin d’argent.

– Mais c’est MON délire, tu ne veux pas rentrer dans mon délire ?

– Pas celui-là ?

– Et qu’est ce qui te gène, on en a fait bien d’autres, je t’ai fait sucer des bites, je t’ai fait prendre le cul, je t’ai pissé dessus, je t’ai fait nettoyer mon trou de balle et là tu refuses quoi, la vieille elle va juste de demander de lui lécher les seins et se lui astiquer la chatte, ça ne va pas te tuer ?

– Question de principe !

– Quel principe ! Tu ne fais de mal à personne dans cette affaire, tout le monde y trouve son compte, alors c’est quoi le principe ?

– C’est de la prostitution !

– Je ne dis pas le contraire ! Et alors ? Tu te décides ?

– La conférence…

– On arrivera un peu en retard, quelle affaire !

– Bon ! Je vais le faire, mais ça ne me plait pas de faire ça, je veux que tu le saches.

– Oui bon, allez appelle l’ascenseur.

 

Robert arrive avec mémère, il nous la présente, elle s’appelle Hélène, elle a dû être pas mal, le visage reste agréable, pas trop de ride (elle a sans doute été liftée) maquillée sans exagération, cheveux mi court blanc argenté. Elle s’est habillée d’une simple robe en imprimé rouge et bleu.

 

Elle est surprise de ma présence.

 

– Ce jeune homme va nous laisser ! Lui explique Marisa, mais si vous le désirez il peut aussi s’assoir à côté de vous et regarder…

 

La mémère me dévisage.

 

– Oui, pourquoi pas ?

 

Elle semble partie dans le vague !

 

– Oui, c’est une très bonne idée… mais il va juste regarder ?

– Ce sera comme vous le souhaitez !

– Alors d’accord.

 

Pépère se dé débarrasse de ses vêtements, on ne peut pas dire qu’il soit sexy, Marisa se déshabille de son côté mais conserve ses sous-vêtements.

 

Helene qui est assise à ma droite me pose sa main sur la cuisse, attend un instant, puis la remonte jusqu’à mon entre jambe. Elle me tripote le paquet et voilà que je me mets à bander.

 

Pendant ce temps Marisa propose à Pépère de lui retirer son soutien-gorge. Elle croyait sans doute lui faire plaisir, mais le pauvre Robert s’emberlificote avec les agrafes et est obligé de s’y reprendre à trois fois pour y parvenir.

 

– Il sera toujours aussi doué ! Commente Mémère à mes côtés.

 

Pépère se jette sur les seins de Marisa comme la pauvreté sur le monde, il tripote, il malaxe, il lèche, il suce, il aspire… A ce point que la belle brune est obligée de le recadrer sur le ton de la plaisanterie.

 

– Ben dit donc, ça te fait de l’effet, tu bandes joliment ! Retire-moi ma culotte, mais pour l’instant tu ne touches pas à ma chatte, on verra ça après.

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Marisa s’harnache avec le gode ceinture, elle est impressionnante. Pendant ce temps Mémère me tripote toujours la braguette d’une main en se passant l’autre sur son sein gauche avec un air vicieux.

 

J’ai compris le message, je lui pose d’abord une main sur son bras et suis surpris par sa douceur, puis je fais glisser la bretelle de sa robe. Je découvre un soutien gorge vert turquoise enfermant une poitrine de bon volume. Je tripote à l’intérieur, atteint le téton que je m’amuse à titiller, puis fait sauter les seins par-dessus les bonnets. Je suis agréablement surpris je m’attendais à un désastre, genre gants de toilettes, non ça tient plutôt bien, c’est peut-être refait mais je m’en fous, ses seins me plaisent bien et je me mets à les sucer avec avidité.

 

– Oh, qu’est ce que vous me faites là jeune homme ? Dit-elle comme au théâtre.

– Je, je…

– Je vous trouble à ce point ? A mon âge !

– Vos… vos seins sont très beaux !

– Je ne me plains pas, mais je crois que je vais retirer ma culotte, elle est trempée.

 

Elle retire sa robe et sa culotte, et reste en porte-jarretelles (qui monte assez haut) et bas couleur chair.

 

Je porte sa main à sa chatte, effectivement c’est trempé, elle écarte les cuisses, j’entre trois doigts et commence à la doigter, c’est impressionnant, ça fait floc-floc là-dedans.

 

Devant nous Pépère est à genoux devant Marisa qui lui fait lécher le gode.

 

– T’aime ça lécher ma bite en plastique ?

– Humm hummm

– Et une vraie bite t’as déjà essayé ?

– Oui !

– Et ta femme le sait ?

– Oui !

 

Déclic !

 

Je viens de comprendre ce qui se prépare, le Robert m’a choisi non seulement pour sa femme mais pour lui. A tous les coups, il va me demander de me sucer. Mais sans doute à cause de l’excitation et de l’ambiance, j’acceptais cette perspective avec fatalité, espérant simplement qu’il n’allait pas me mordre la bite !

 

Mémère se met à jouir comme une damnée. Je la laisse souffler. Pas longtemps elle en veut encore et se met à lever les cuisses.

 

– Doigte moi les deux trous en même temps !

 

Je n’ai rien contre mais ça m’embête un tout petit peu parce que je n’aurais pas accès à ses seins, mais bon, la séance n’est pas terminée, j’obtempère et j’ai la surprise de découvrir que son anus n’est pas serré du tout, à ce point que je suis obligé de lui enfiler trois doigts pour qu’elle sente quelque chose.

 

Pépère, lui est à genoux sur le lit en train de faire défoncer le cul par Marisa. Il pousse des « hi » et des « han ».

 

– T’aimes ça te faire enculer, hein ?

– Ouiiii !

– Et si je demandais au petit jeune là-bas de te foutre sa bite dans le cul.

– C’est plus cher ?

– Oui, mais pas trop !

– Je veux bien !

 

Et voilà Marisa qui m’appelle !

 

– Non ! je ne suis pas assez en forme ! Répondis-je histoire de dire quelque chose.

– Mais si t’es en forme, t’as vu comment tu bandes, va l’enculer mais pas à fond, réserve-toi pour moi !

 

Allez, c’est parti, évidemment Pépère veut d’abord me sucer. Surprise ! Alors que je pensais que ce serait une corvée, je m’aperçois que ce type suce merveilleusement bien, il me travaille la bite des lèvres et de la langue, un vrai plaisir, à ce point que je suis obligé de lui dire de freiner ses ardeurs s’il veut que la suite s’accomplisse. Une capote, pas besoin de gel, le chemin est fait et me voilà en train d’enculer Pépère. Marisa vient alors rejoindre Mémère et lui roule une pelle, tandis que leurs mains se font baladeuses et pelotent tout ce qui leur tombent sous… la main.

 

Au bout de cinq minutes, Marisa revient vers nous et me fais signe de lui libérer les fesses. Elle accompagne ensuite Pépère dans la salle de bain pour l’arrosage final… j’aurais bien regardé, mais Mémère me fait signe de revenir près d’elle. Et pendant que j’entends Marisa commenter avec force détails la douche dorée qu’elle prodigue à son client, Hélène se tourne et à genoux sur fauteuil m’offre son gros cul. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, j’entre, je pilonne, madame commence à miauler, je pilonne encore, elle ne miaule plus elle hurle, et moi je jouis. Temps de l’introduction :45 secondes chrono.

 

Le couple se rhabille en silence. Mémère ouvre son sac à main et demande à Marisa.

 

– Je suppose que je vous dois quelque chose ?

– Rien du tout, votre mari a tout payé.

– Il est adorable, tu viens mon chouchou ! Au revoir messieurs dames, merci pour tout et bonne fin de séjour.

 

Une fois ces messieurs dames partis, je tiens à mettre les choses au point :

 

– C’est la première et la dernière fois que tu me fais faire un truc pareil…

 

Marisa éclate de rire :

 

– Mais qu’est-ce que t’es en train de me dire ! On est là pour trois jours, après on va reprendre chacun notre vie, tu te figurais qu’on avait commencé une liaison ? Faut revenir sur terre mon bonhomme !

 

Et oui ! j’avais perdu le sens des réalités. Je me retrouvais con sans savoir quoi dire.

 

C’est alors qu’elle ajouta cette curieuse phrase que je pris sur le moment pour un lapsus.

 

– Et puis, je vais te dire des clients comme ça qui font participer Mémère et où ça se termine à quatre, on n’en trouve pas tous les matins.

– J’ai pas bien compris, là !

– Mais si t’as compris, mais tu refuses de l’admettre. Je ne connais rien à l’informatique et je me fous de ce qui se passe dans cette conférence de « premier de la classe » comme de ma première culotte.

– Mais…

 

Je suis sur le cul !

 

– Laisse-moi finir ! On m’a infiltré dans ce petit monde afin d’y accomplir une petite mission, je suis une call-girl, ou une escort ou même une pute si tu préfères ! Ça va ? Tu vas t’en remettre ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, abasourdi par cette révélation, abasourdi, mais pas choqué.

 

– Donc je gagne très bien ma vie, je n’ai pas besoin de tapiner, si j’ai accepté de « faire » le couple de vieux, ce n’est pas pour avoir quelques billets de plus, ni pour m’amuser, bien que ça n’avait rien de triste, mais parce que je voulais que tu comprennes tout seul ce que j’étais vraiment, mais il faut croire que tu es un peu dur de la comprenette…

– Mais…

– J’ai pas fini ! Quand tu t’es pointé dans ma chambre le premier jour, tu m’as bien plu, je veux dire physiquement et ensuite j’ai bien aimé ton personnage, j’ai voulu m’amuser avec toi, te déniaiser ! Tu ne vas pas me dire que tu le regrette ?

– Non !

– Tu te rends compte ce que cela t’aurait couté si je t’avais fait payer ! Mais moi non plus je ne regrette pas de t’avoir connu, je me suis bien amusé. Je fais monter du champagne ?

– D’accord, c’est moi qui paye !

– Laisse, se sera sur ma note de frais !

 

On reste là sans parler, j’ai un peu de mal à assimiler tout ça, Marisa elle, est tout sourire. Le champagne arrive, on trinque, on boit.

 

– Maintenant je voudrais que tu me donnes juste un petit coup de main pour accomplir ma mission, juste un petit coup de main, pas grand-chose.

– C’est du sexe ?

– Pour moi, oui ! Mais pas pour toi.

 

Elle m’explique et me demande de lui laisser le champ libre jusqu’à ce qu’elle m’appelle. Ce qu’elle fit vers midi.

 

– L’opération est prévue pour 13 heures, tu peux monter te préparer.

 

L’après-midi devait marquer la fin de la conférence, avec l’exposé très attendue de Barry Stotvoyner, il y aurait ensuite un diner de gala.

 

A 13 heures précises, Barry Stotvoyner toque à la porte de Marisa, je vais me cacher dans le dressing. On en a retiré la clé donc je vois tout par le trou de la serrure.

 

Marisa pour l’occasion s’était revêtue d’un body noir en cuir.

 

– Déshabille-toi et vite !

– Oui maitresse !

– Ouvre ta bouche, sale porc.

 

Elle lui crache dedans plusieurs fois !

 

– Qu’est-ce qu’on dit ?

– Merci maîtresse.

 

Marisa lui accroche des pinces aux seins et s’amuse à jouer avec, elle les tire en tous sens, les tortille. L’homme se met à bander, il a une bien belle bite, elle lui serre un lacet autour des testicules puis de sa main s’amuse à lui faire des pichenettes sur la verge.

 

– Maintenant tu vas me lécher le cul, je te préviens il sale, tu vas tout nettoyer.

– Oui maîtresse.

 

Je ne vois pas bien ce qui se passe mais l’homme à l’air de se régaler.

 

– Ça va, il avait bon goût mon trou du cul ?

– Délicieux maîtresse !

– Et arrête de me regarder comme ça, ça ne se fait pas.

– Pardon maîtresse, punissez-moi !

– Je vais te bander les yeux, comme ça tu ne pourras plus te rincer l’œil, mais si tu es sage, si tu es un bon esclave en fin de séance je te montrerais mes seins et tu pourras me les arroser avec ton sperme.

– Oh, merci maîtresse, mais vous m’aviez promis quelque chose.

– Rassure toi je teins toujours mes promesses, tu veux que je te chie dans la gueule, c’est ça ?

– Oui maîtresse ! J’ai tellement envie de gouter votre merde !

– Alors tu vas te régaler !

 

Ça y est Stotvoyner a les yeux bandés. Marisa se racle la gorge, c’est le signal, je sors du placard en chaussettes, me dirige subrepticement vers sa veste, et en extrait la clé magnétique de sa chambre. Je sors dans le couloir, enfile mes chaussures et me précipite au 812. Je frappe, parce qu’on ne sait jamais, personne ne répond, j’ouvre la porte, très décontracté, j’entre, je repère sa mallette, elle est fermée à clé mais Marisa m’a confié un petit passe-partout qui ouvre toutes les mallettes, il y a deux chemises de papier, dont l’une assez épiasse et trois clés USB, j’entasse le tout dans une enveloppe matelassé que j’avais coincée dans ma ceinture, et je referme en force la mallette puis je descends à la réception.

 

– C’est un paquet à remettre à Monsieur Longberger.

 

Ce con le passe au scanner ! Dès fois qu’il y ait une bombe à l’intérieur…

 

– Ce sera fait, Monsieur !

 

Je remonte à notre étage et frappe à la porte de notre chambre.

 

– Vous ne voyez pas que c’est marqué « occupée » ! Hurle Marisa jouant comme prévu, les courroucées.

– Nous sommes désolés, nous avons un dégât des eaux, ça peut être urgent.

– Bon attendez une minute !

 

Le temps qu’elle enfile une robe de chambre et qu’elle cache Stotvoyner dans le dressing.

 

J’entre en me débrouillant pour ne pas que l’homme puisse voir mon visage, on se sait jamais. J’accompagne Marisa dans la salle de bain et lui rend la clé du 812. On joue ensuite le dialogue préparé à l’avance.

 

– Bien ! Plus de peur que de mal, l’eau n’a pas pénétré jusqu’ici ! Désolé pour le dérangement.

– Je m’en souviendrait de cet hôtel !

– Lors de votre départ nous prévoirons un petit dédommagement.

– J’espère qu’il ne sera pas symbolique ?

– Encore une fois nous sommes désolés !

– C’est ça, c’est ça !

 

Marisa n’aura plus qu’à replacer la clé dans la poche de Stotvoyner quand celui-ci aura le dos tourné. Duré de l’opération : même pas 15 minutes.

 

Une heure après Marisa m’appelait :

 

– Reviens en vitesse ! On se casse !

 

Je fonce.

 

– Je m’en vais ! Me dit-elle alors qu’elle finit de boucler sa valise.

– Mais pourquoi ? Il ne peut pas nous soupçonner.

– Je ne veux prendre aucun risque et de toute façon je n’ai plus rien à faire ici.

– Mais moi, faut bien que je reste !

– C’est comme tu veux ! Je vais me débarrasser du téléphone portable que j’ai utilisé ici tu n’auras donc plus aucun moyen me joindre sauf si tu me retrouves à Genève-Cointrain, j’ai un vol à 19 h 15 pour Bruxelles, tu as toute l’après-midi pour réfléchir. Tu signaleras à la réception que je suis partie, en principe il n’y a rien à payer, les suppléments seront débités sur le compte de… ça ne te regarde pas de toute façon… Bisous !

 

Ah ce baiser !

 

L’après-midi on nous a annoncé que suite à un sérieux malaise, le professeur Stotvoyner ne pourrait donner sa conférence, qu’on lui souhaitait un bon rétablissement et qu’en remplacement on nous passerait un film… il n’a pas intéressé grand monde.

 

Je n’ai pas rejoint Marisa.

 

J’ai appris par la suite que Stotvoyner avait porté plainte pour vol, mais les autorités ne donnèrent pas suite face aux incohérences de son récit, la porte de sa chambre n’avait pas été fracturée, le plaignant déclarait avoir passé le début de l’après-midi au bar de l’hôtel, mais les serveurs ne conservaient aucune trace de sa consommation. Bref le roi de l’informatique qui jouissait déjà d’une réputation d’hurluberlu n’arrangeait pas son cas. La société concurrente pu en revanche développer à une vitesse stupéfiante des correctifs de sécurité dans ses programmes.

 

Quelques jours après ces événements j’ai reçu une lettre chez moi.

 

« Et oui, c’est moi Marisa j’ai récupéré ton adresse, je ne t’ai pas tout dit et te dois la vérité, ma crise quand tu t’es présenté dans ma chambre était une comédie, je savais très bien ce que je faisais, j’avais besoin d’une petite main afin que ce que tu sais réussisse, tu avais le profil idéal, mais c’est vrai aussi que je me suis prise au jeu et que cela m’a follement amusé de te déniaiser. Je suis entrée dans ton souvenir et tu es entré dans les miens, nous sommes donc quittes. Je t’embrasse ! Adieu !  »

 

J’aurais rejoint Marisa le jour où elle a quitté l’hôtel, nous nous serions sans doute encore amusés plusieurs semaines avant qu’elle ne se lasse. J’aurai probablement fini gigolo, au lieu de ça je suis devenu ingénieur informatique de haut niveau, au lieu de louer mon cul, je loue mon cerveau. Mais ça n’a duré qu’un temps, le métier a changé, à 45 ans je passe pour un ringard, ce sont maintenant de jeunes loups aux dents longues qui font la pluie et le beau temps.

 

Cette rencontre avec Marisa a complétement réveillé ma sexualité, j’ai rencontré par petite annonce une femme très libertine qui partage ma vie et ma sexualité devenue débridée. J’adore les femmes et les partouzes, j’aime les jeux un peu ‘sales », je suce des bites, je me fais enculer mais je suis très bien dans ma peau.

 

Et Marisa qu’est-elle devenue ? Elle doit avoir la cinquantaine bien tassée aujourd’hui, je l’imagine : une belle femme mature… et je bande !

 

FIN

 

Les premières versions de cette histoire sont parues sur le site de Sophiexxx en 2000 sous le titre « extase avec une nympho » (version courte), « Vive les québécoises » (version longue sans mise en forme) et « Chaudes québécoises » (version non expurgée) On peut trouver les deux premières versions de ces récits (avec leurs invraisemblances) sur certains sites d’histoires érotiques qui ne se sont pas donnés la peine de faire la moindre correction. J’ai donc remanié tout ça à la sauce Vassilia et tient à remercier l’auteur anonyme des premières versions.

 

Sylvain Zerberg

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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