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Agnès au Glory Hole par Boris Vasslan
Attention, ce texte contient un passage scato explicite, âmes sensibles, vous voilà prévenus.
Le « Glory Hole » ? Connaissez-vous cette pratique assez particulière ? Non ? Patientez ! Vous le saurez bientôt !
Je cherchais un endroit où la chose se pratiquait et qui ne soit pas trop glauque ! On trouve tout sur Internet, mais là j’ai vraiment eu du mal à avoir cette adresse. Comme nombre de soirées spéciales, c’est gratuit pour les femmes, assez cher pour les couples et exorbitant pour les hommes seuls. Mais tant pis, on ne vit qu’une fois. Et je voulais absolument concrétiser ce curieux fantasme. J’ai bien tenté de convaincre une copine de m’y accompagner, mais l’idée lui déplaisait, et je n’insistais pas. Quelques relations pas trop anciennes traînaient dans mon carnet d’adresses, j’essayais, mais décidément personne n’était chaud. Je résolus donc d’y aller seul et de payer le prix fort, on ne vit qu’une fois ! (bis repetita)
Il s’agissait d’une ancienne auberge rurale au fin fond de l’Essonne, la construction d’une voie rapide un peu plus à l’ouest en avait fait baisser le taux de fréquentation dans des proportions alarmantes, provoquant la faillite de l’établissement. Le lieu avait été racheté pour une bouchée de pain par un riche inconnu qui y organisait des soirées fort spéciales.
A l’entrée un panneau illustré rappelle la philosophie du lieu. :
« Dans cet établissement la bisexualité y est la bienvenue. Ne venez pas vous plaindre si on vous fait des propositions en ce sens ! Certaines pratiques ne s’exercent ici que dans des lieux dédiés, vous n’êtes pas obligé de vous y rendre si elles vous rebutent ! Amusez-vous bien, mais pourquoi mourir idiot ? »
On rentre directement dans ce qui devait être le bar de l’ancien établissement. Il y a deux couples au bar, l’une des deux femmes est en robe du soir, un truc assez incroyable avec un décolleté dorsal en lacets qui lui descend en dessous de la naissance des fesses. C’est la femme qui sert au bar qui fait fonction d’hôtesse, une géante avec des cheveux partout, un peu sur le retour, mais qui a dû être magnifique. Par contre, elle est aussi aimable qu’une feuille d’impôt. Je paie, elle me donne en échange, une clé de vestiaire, une feuille A4 censée renseigner des usages du lieu ainsi qu’un certain nombre de tickets de couleurs différentes. Je lui demande des précisions, et elle ne me répondra que d’un laconique :
– Faut lire la feuille !
Je lis donc la feuille, où tout n’est d’ailleurs pas expliqué, il est conseillé de laisser ses « valeurs » et une partie de ses vêtements au vestiaire », ce que je fais donc, ne conservant que mon boxer. Il y a plusieurs salles au rez-de-chaussée et au premier, des salles thématiques. L’une porte l’étonnante appellation de « salle des conjoints punis ». Le sous-sol est entièrement consacré aux cabines de Glory-Hole. Je bois donc plutôt rapidement mon verre de cocktail « offert par la maison » (pas bon !) Et entreprend de descendre découvrir enfin ce dont pourquoi je suis venu ! (Ah ! Mais !)
A ce stade du récit, il est sans doute temps d’expliquer ce qu’est un Glory Hole ! A l’origine c’était une pratique de chiotte. Un trou d’une dizaine de centimètres de diamètre dans la cloison mitoyenne de deux cabines de toilettes. Imaginez tout ce qu’on peut faire avec ça ? L’utilisation habituelle étant d’y introduire son zizi que l’occupant d’à côté, suçait s’il en avait convenance !
OK ? On reprend le récit ! Il me faut un certain temps pour comprendre le mode d’emploi de ce sous-sol et de ses cabines. En fait un panneau explicatif est apposé au mur, mais je ne l’avais pas remarqué. J’ai le temps d’apercevoir l’intérieur d’une cabine avant que son dernier occupant ne la referme. Elles paraissent assez spacieuses et peuvent contenir jusqu’à quatre personnes, sans qu’elles ne se gênent. Si les quatre places ne sont pas prises, il est d’usage de déverrouiller le loquet. Il y en a ailleurs qui font 6 places. Mais ce soir tout semble complet.
Je traîne un peu. Et voilà que devant moi déboule un couple. Mais laissez-moi vous le décrire : Si l’homme n’a rien de particulier sinon d’être d’une taille inférieure à la moyenne, la femme qui l’accompagne me subjugue complètement. D’abord elle ne l’accompagne pas vraiment, il la tient en laisse, une petite laisse relié à un collier d’esclave ! Elle est entièrement nue hormis ses chaussures à haut talons ! Superbe, brune aux longs cheveux, la peau légèrement matte, un beau visage ovale, avec des grands yeux noirs, un nez un petit peu long, et une bouche bien ourlée qui se dessine en un charmant sourire. Les seins en forme de poires sont superbes et terminés par des pointes que l’humidité du lieu fait ressortir (à moins que ce soit l’excitation de la situation). Sa chatte est rasée. Un puriste jugerait sans doute qu’elle a un tout petit peu de ventre. Personne n’est parfait. Elle a une petite panthère tatouée à gauche du nombril et porte une ravissante chaîne de taille. Elle n’a vraiment pas l’air malheureuse et paraît s’amuser comme une folle de la condition qui est la sienne ce soir !
Je ne peux évidemment m’empêcher de regarder ! Et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. Quand on est exhibitionniste à ce point on ne craint pas les regards des voyeurs !
– Elle est pas mal, hein ? m’apostrophe le type.
– Magnifique !
– Elle t’intéresse ?
Si je m’attendais à ça ! Quand même, il est gonflé le type, il pourrait lui demander son avis, au moins, à la fille ?
– Pourquoi pas ? Répondis-je un peu par réflexe.
– Elle t’excite ?
– Oui !
– Fais voir !
J’ai peur de ne pas avoir bien compris.
– Pardon ?
– Fais nous voir ta queue !
Un instant, je crains de me faire dépasser par des comportements imprévisibles. Mais après tout j’ai payé assez cher pour venir jusqu’ici. S’il faut jouer, faisons au moins preuve de bonne volonté à défaut d’en comprendre toutes le règles. Je fais donc le geste de commencer à baisser mon boxer, mais je demande :
– Et qu’est-ce que je gagne ?
– Elle !
Et la voilà qui m’adresse un large sourire, mais un de ces sourires, à faire fondre un iceberg ! Manifestement le jeu l’amuse.
– Intéressant !
– Bon alors cette queue ?
J’allais lui demander s’il est permis de faire ça dans le couloir, sans entrer une cabine, mais ils ont l’air de connaître les habitudes de la maison. Je sors ma bite déjà à moitié bandée, mais sans baisser mon boxer ! Si le type s’attend à découvrir une bite de compétition, il va être déçu, mon engin étant fort moyen !
– Branle-toi un petit peu !
Euh ! C’est tout ce qu’il va me demander ? J’obtempère malgré tout, la récompense promise valant bien ces quelques mouvements masturbatoires. A ce moment-là quelqu’un sort d’une cabine. Je fais signe à mes interlocuteurs qu’on pourrait peut-être y aller.
– Non il en reste trois ! Six dans cette cabine-là ça fait trop serré ! Et puis ça me plait bien de faire ça ici !
Le gars qui est sorti de la cabine, intéressé par le spectacle se plante à un mètre de nous.
– L’affaire est déjà conclue, enfin presque, mais rien ne t’empêche de te branler aussi ! Lui dit mon interlocuteur.
Le mec semble hésiter, mais finalement disparaît, ayant semble-t-il eu déjà son compte en cabine, le pauvre, il voulait juste regarder.
– Si tu baissais un peu tout ça ! Me propose l’inconnu en me désignant mon boxer, ce serait bien plus pratique ! Et puis on verrait tes couilles !
Ben voyons ! O.K ! Je fais descendre le boxer, et je continue ma branlette avec le machin sur les chevilles.
– J’aime bien sa bite, elle est mignonne !
Tiens la dame n’est pas muette, j’apprécie le compliment.
– Tourne-toi un petit peu qu’on voie comment tu es fait derrière !
Voilà autre chose ! Mais si ça leur fait plaisir ! Je me tourne.
– Wha ! Le joli petit cul ! Un vrai petit cul de nana ! Regarde ça Agnès !
Ah bon ! Elle s’appelle Agnès, la sculpture ! Et elle approuve, Agnès. Elle trouve mon cul superbe. Ce n’est pas la première fois qu’on me sort ce genre de choses, je vais finir par croire que c’est vrai ! Et voilà que le type me tripote les fesses ! Quel sans gêne, il aurait pu me demander. Ce serait une petite caresse encore, mais non, il tripote, il malaxe, il pétrit, il fait une tentative incertaine vers mon trou du cul, mais je fais un petit mouvement tournant pour le décourager.
– T’as vraiment un cul à faire bander les bites !
Entre temps un homme qui recherchait une cabine s’est planté devant nous, suivi bientôt d’un second, puis d’un troisième. Deux d’entre-eux se branlent. Ça commence à faire beaucoup de monde
– On va se mettre dans le coin là-bas, ce sera plus peinard
On se dirige donc vers le « coin là-bas », je remonte plus ou moins mon pantalon. Les types renoncent à nous suivre.
– C’est embêtant, la tendance ici c’est de laisser mater, mais je ne sais pas où sont les types de la sécurité, je ne veux pas non plus que ça se transforme en viol collectif !
L’art l’air de rien de me lancer des messages : le premier étant « Je suis un habitué tu peux me faire confiance » et l’autre « je ne suis pas un sauvage ! »
– Je peux lui, toucher moi, son petit cul ? Demande Agnès à son compagnon.
– Non, t’as pas été sage ! N’oublie pas que tu es punie, sale pute.
Et le gars lui balance une gifle et lui crache à la gueule, mais tout cela n’a vraiment pas l’air de traumatiser la dame.
Finalement le type se ravise !
– O.K. T’as le droit de le tripoter, avec tes mains de fées, on va le faire craquer !
Tu m’étonnes que je vais craquer ! Je me tourne, la donzelle s’occupe de mon cul ! Les mains douces qu’elle a ! Il est inutile que je continue à me masturber pour entretenir mon érection, elle s’entretient toute seule. Elle me pelote les fesses quelques instants puis décidant que les préliminaires ont assez duré, m’écarte carrément mes globes fessiers pour venir positionner un doigt à l’entrée de mon anus.
– Oh ! C’est tout serré dis donc ! Comment-ça se fait ?
Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Je ne réponds pas, alors elle devient plus directe :
– Tu ne vas pas me dire qu’un joli petit cul comme ça ne s’est jamais fait enculer ?
– Pas très souvent, en fait !
– Ah ! Je comprends ! Et c’est pour ça que tu es venu ici ? Pour retrouver ces bonnes sensations ?
– Euh !
– Euh ! Quoi ?
Elle est revenue face à moi, j’ai ses seins sous le nez, elle me porte la main à la bite, et approche ses lèvres des miennes pour y coller un petit baiser. Un tout petit, mais je ne sais plus où me foutre !
– Je serais à toi tout à l’heure, mais seulement si Etienne t’encule !
Comme quoi on arrive toujours à savoir le prénom des gens ! Je suis en pleine confusion, balancé entre l’envie de profiter de cette femme à la sensualité enivrante et la réticence devant un acte que je ne suis vraiment pas venu chercher.
– Alors ?
– Je ne sais pas !
– On ne dit pas je ne sais pas, on dit : « Oui j’aimerais beaucoup que le monsieur m’encule ! » ou alors « Non-merci, je suis coincé de la braguette ! »
Un peu facile le procédé ! Je choisis de continuer à me taire. Agnès se caresse les seins, se lèche les bouts et se les tortille bizarrement entre l’index et le majeur, bizarre d’habitude c’est entre le pouce et l’index que ça se passe ces choses-là. Etienne, lui a baissé à son tour son caleçon et exhibe un fort bel engin. Je me surprends à le trouver beau. Une belle bite bien droite, la peau légèrement mate laissant voir le cheminement d’une grosse veine bleue, un gland propre et brillant. Je vais tomber dans le piège, je le sens. Mais après tout je n’avais qu’à pas venir dans cet établissement. Il a aussi de belles couilles bien remplies. Je sais qu’il va me demander de le toucher, de le branler, de le sucer sans doute. Je sais déjà que j’accepterais de le faire !
– Elle est belle ! Hein ?
– Superbe !
Hein ? C’est moi qui ai dit ça ? Il faut que j’arrête de jouer les faux-culs ! Il faut que j’assume ce que je suis venu chercher ici !
– Suce-la ! M’ordonne Agnès !
– Avec grand plaisir ! M’entendis-je répondre !
D’une part mes scrupules étaient en train de tomber, mais aussi je me disais qu’une belle fellation m’éviterait sans doute cette sodomie promise qui ne me disait trop rien ! Si j’arrivais à le faire jouir, rien qu’en le suçant ? Voilà c’était ça la solution !
Je pris la pine dans ma main et la masturbait quelques instants, sa peau en était infiniment douce, puis j’avançais mes lèvres et commençais par lui embrasser la verge, je continuais par des petits coups de langue, puis n’en pouvant plus et saisi d’un élan irrésistible j’engobais le gland dans ma bouche et le léchait à peine langue, je fis ensuite avancer la verge à l’intérieur de mon palais attrapant avec mes lèvres la peau située en-dessous du prépuce pour lui imprimer des mouvements d’aller et retour. Pendant ce temps Agnès s’était à moitié couchée par terre sous moi et s’occupait de lubrifier mon anus avec sa langue. Cette caresse trouble, cette » feuille de rose » comme on disait autrefois me procurait un plaisir inédit et trouble. Cette langue experte ne se contentait pas de rester à l’entrée de mon œillet mais celui-ci s’ouvrant à sa caresse buccale, elle pénétrait de quelques millimètres à l’intérieur, intensifiant ainsi mon plaisir. Si l’autre zouave se servait de sa bite comme Agnès se servait de sa langue, ça devrait… Mais ça y était, me voilà en train d’envisager froidement de passer à la casserole. Etienne, soudain se libéra de ma fellation, et sans rien demander à personne se capuchonna la biroute d’un préservatif. Je décidais de l’étonner, je me mis à quatre pattes comme une chienne, je cambrais le cul et lançais le cœur battant :
– Vas-y encule-moi !
Si le type paraît agréablement surpris de mon initiative, que dire de la dame qui manifestement rayonne de bonheur. Bizarre les fantasmes tout de même ! Etienne s’acharne à me faire pénétrer son engin. Ça a vraiment du mal à vouloir rentrer. Je fais pourtant ce que je peux, j’écarte mes fesses au maximum, je pousse sur les muscles du rectum. De plus Etienne n’est pas d’une douceur exemplaire. Ce n’est pas une brute, ce n’est pas ce que je veux dire, mais ça m’a l’air d’être un grand nerveux, et il manque un peu de patience.
– Pousse encore un peu, ça va être bon !
Je fais ce qu’il me dit, pas évident ! Et ça y est ! Je sens que ça rentre ! Comme le dit le proverbe, c’est le premier pas qui compte ! Le reste sera plus facile ! Je le sens pénétrer petit à petit. C’est curieux cette impression. Et la miss qui se croit obligée de faire des commentaires :
– Tu te rends compte, Etienne, c’est dingue ! Tu es en train de le dépuceler du cul ! Il paraît que les puceaux ça porte bonheur ! Tu devrais nous acheter un « millionnaire ».
Elle éclate de rire ! Bonjour l’humour à deux balles ! Il a dû maintenant rentrer l’objet jusqu’à la garde. Ça comment dire… Ça m’encombre ! Voilà le terme « ça m’encombre ! » Je le sens l se dégager un petit peu, drôle de sensation, puis il se ré-enfonce de nouveau. Vraiment pas désagréable, et il recommence le mouvement. C’est fou l’effet que ça procure, tous mes nerfs rectaux sont réveillés. J’ai l’impression de ne plus n’être qu’un trou du cul. Des ondes de plaisir viennent jusque dans ma bite sans toutefois la faire bander correctement. Je la prends à pleine main et me branle pendant que l’autre me pistonne l’anus !
– C’est bon, hein ! De se faire enculer ?
C’est bien sûr le commentaire de Miss grain de sel.
– C’est super !
Un nouvel attroupement s’est formé autour de nous ! J’en ai rien à foutre, c’est trop bon, si ça les amuse, tant mieux pour eux ! Deux fois de suite des types veulent s’approcher pour participer, mais Agnès leur demande fermement de ne pas insister. Ça fait combien de temps qu’il m’encule l’Etienne ? Je n’en peux plus, j’ai le sang à la tête, mon anus devient trop sensible, je suis ballotté entre cette sensation de plaisir indéfinissable et une sorte de fatigue latente. Mais voilà que mon sodomisateur (je sais, ce n’est pas français) se retire pour de bon. J’ai un peu mal et surtout mon anus n’arrive pas à reprendre sa taille d’origine. J’aurais dû feuilleter un bouquin spécialisé avant de venir ! Il retire sa capote très vite :
– Venez sucer !
On se met, Agnès et moi à genoux devant lui. Agnès engloutit sa queue, il ne me reste pas beaucoup de place pour faire quoique ce soit, alors je lui lèche les couilles. Mais la fellation sera ultra rapide. Etienne jouit dans la bouche d’Agnès qui se relève les lèvres et la langue gluantes pour embrasser son compagnon. J’espère que je ne vais pas avoir droit à ce genre de choses. Je me recule un peu.
– Tu n’en veux pas un peu, vraiment ? Juste un peu ?
Elle a l’air sincèrement désolée !
– Non, merci, j’ai déjà donné pas mal ce soir !
– Tu ne sais pas que tu perds ! Insiste Agnès.
– Allez ouste, il n’y a plus rien à voir ! lance Etienne en direction des quelques voyeurs attardés, puis il me tend la laisse qui pend au collier d’Agnès :
– Tiens ! Tu l’as gagnée pour la soirée ! Moi je vais passer à d’autres réjouissances !
Certes le cadeau est appréciable, mais pour l’instant je ne sais pas trop quoi faire, j’aimerais bien me reposer un peu, j’ai quand même très mal au cul, mais Etienne intervient à nouveau.
– Remarque ! Tu ne vas pas te la farcir toute la soirée ! Au bout d’un moment elle va te gêner plus qu’autre chose. Non ce que je te propose c’est la coller dans la « salle des conjoints punis », et tu viendras la chercher quand tu voudras !
– C’est quoi ce truc-là ?
– Viens ! On y va ! Je vais te montrer !
Je remontais accompagné d’Etienne vers la salle d’accueil qui sert un peu de dispatching… Je tenais donc Agnès en laisse, et cette situation n’avait pas l’air de la déranger le moins du monde. Au contraire elle s’exhibait crânement dans une nudité souriante. Puis nous nous dirigeons vers un escalier qui mène au premier étage et débouchant sur un couloir assez large. Toutes les portes ne sont pas accessibles mais certaines sont affublées de panneaux aux noms plus ou moins évocateurs :
– La salle des conjoints punis
– le cabinet des caresses obscures
– la salle marron
– la salle jaune
On m’expliqua que cette dernière était consacrée aux amateurs de douches dorées… Quant à la marron, j’avais compris… mais c’est dans la première que nous nous rendions. Un type à l’entrée nous demande l’un de nos tickets (le ticket rouge)
– Vous venez attacher madame ?
– Oui !
– Je vous laisse faire, il reste trois attaches de libre ou alors la petite cage ! Tenez, je vous remets trois tickets rouges
Etienne m’explique, un ticket rouge correspond à une entrée dans la salle, celui qui apporte une prisonnière ou un prisonnier gagne 5 entrées. A chaque entrée, on peut s’occuper des punis suivant les instructions indiquées par la personne qui l’a emmené.
Je jette un coup d’œil dans la salle, une femme assez jeune est attachée à une croix de Saint-André. Elle est complètement nue. Une ardoise est posée à ses pieds, ce sont les fameuses instructions.
« 2 coups de martinets sur les seins, pas trop fort, crachats comme vous voulez »
Etienne se saisit d’un martinet et lui balance deux fouettées provoquant des rauquements ambigus de la suppliciée, il me tend l’engin, mais je n’ai guère l’instinct sadique, je balance deux coups bien mollement. Je trouve quand même ce lieu assez sordide…
On change de salle et on entre dans la jaune. Une femme est couchée par terre sur le côté. Elle est nue, les bras immobilisés par des boucles en cuir placées de part et d’autre d’une ceinture noire, les chevilles sont maintenues par une petite barre d’écartement. Je remarque qu’à cet endroit le sol est carrelé et légèrement en dénivellation par rapport au reste. En fait l’endroit ressemble à une pataugeoire, il n’y a pas d’eau, mais un égout d’écoulement est prévu. Je cherche le panneau, c’est écrit assez petit :
« Aucun coup SVP ! Mais vous pouvez lui pisser dessus autant que vous voulez. Elle ne retrouvera sa liberté que quand quelqu’un l’aura emmené en salle marron… »
Je quitte cette salle que je trouve bien glauque.
– Dès que j’ai quatre clients je reviens vous chercher, me dit Etienne.
– Pardon ?
– Ne vous inquiétez pas, tout se passera bien !
C’est possible, mais je n’ai rien compris
Je déambule et une femme brune attire mon regard : elle est grande, forte, mais bien agréable à regarder, elle n’est vêtue que d’un ciré noir ouvert sur une poitrine gigantesque. Elle a l’air d’avoir du mal à se débarrasser de deux types qui lui collent aux fesses.
– Excusez-moi, je vous laisse, j’aperçois un ami ! S’exclame-t-elle en me voyant.
Je ne la connais évidemment pas, mais cela m’amuse d’entrer dans son jeu.
– Bonjour, vous ! Répondis-je simplement
Du coup, les deux importuns rebroussent chemin.
– Vous me plaisez bien, me dit-elle. Si c’est réciproque on pourrait peut-être se faire une cabine ?
– Pourquoi pas ?
– Je peux être super gentille, aller très loin, mais je suis une super cochonne, vous assumerez ?
J’aime bien l’expression se faire une cabine, je la rassure, on cherche une cabine de libre, elle ferme la porte derrière elle. Personne ne l’y oblige, mais je suppose qu’elle ne souhaite pas être entouré de dix mecs. Elle me tourne le dos, enlève son ciré et s’écarte son globe fessier. C’est assez fantastique ! Fantastique oui, mais il y autre chose, manifestement, mademoiselle a oublié de se torcher le cul ! Bizarrement la situation me provoque une érection.
– Il te plait, mon cul plein de merde ?
– Plutôt oui !
– Alors tu vas me le lécher ! je m’appelle Dolorès.
J’hésite un peu, je n’ai rien à priori contre la scato, quand elle est pratiquée avec modération, mais la réserve plutôt à mes fantasmes.
– Bon, c’est oui ou c’est non ? Je peux aussi être ta maîtresse et te demander de le faire dans le cadre d’une domination.
– Oui…
– Sur ?
– Oui, oui !
– Je reviens, je vais chercher ma copine. Ce sera plus marrant.
Ah, bon ? Je réalise alors que les cabines à cet endroit son carrelées, muni d’un système d’évacuation et d’une chasse d’eau. En fait ce sont des chiottes aménagées. J’attends cinq minutes, me demandant quand même où je suis tombé.
Elle revient, me présente sa copine, une grande blonde qui me dit se prénommer Carole, elle aussi en ciré noir ouvert, une très belle femme. J’ai de la chance ce soir.
– Tu commences ? Demande Dolorès à Carole.
– Je ne sais pas si je vais y arriver, mais je vais déjà pisser !
– Si tu n’y arrives pas, je vais encore être obligé de te punir, lui répond l’autre.
– Allez, toi l’esclave, mets-toi par terre, elle va te pisser dessus et tu as intérêt à en avaler sinon ce n’est pas drôle.
Voilà qui ne me dérange pas du tout, bien au contraire, recevoir l’urine tiède d’une aussi jolie femme est pour moi un privilège que je ne saurais refuser, je m’installe donc comme demandé, ouvre une bouche aussi grande que la grenouille de la fable et avale ce que je peux de sa cascade dorée.
– Maintenant ? lui demande Dolorès quand elle eut terminé sa miction.
– Je préfère attendre cinq minutes.
J’ai du mal à suivre.
– Viens me nettoyer le cul ! M’ordonne Dolorès.
Je me précipite ! Et commence à lui embrasser les fesses ! Elle me laisse faire quelques minutes.
– Le trou, maintenant !
– Un instant ! Tentais-je de temporiser.
Deux gifles m’atterrissent sur le visage.
– Quand Dolores te demande de lui lécher le cul, tu lui lèches le cul ! Compris esclave !
– Oui.
– On dit « oui Maîtresse » !
– Oui Maîtresse !
– Et maintenant c’est un ordre, tu vas lui lécher son cul plein de merde !
– Oui maîtresse
Je lèche avec parcimonie, le goût un peu acre n’est pas si désagréable, on s’y habitue et puis c’est tellement excitant de faire des trucs hors du commun. Je me prends au jeu !
– Qu’est-ce que c’est bon !
– Bien sûr qu’elle est bonne, la merde de ma copine, tu vois, ce n’était pas la peine de faire ta jeune fille.
Dolores se recule et me demande de me coucher à nouveau sur le carrelage, il est tout mouillée de la pisse de Carole, mais on ne va pas s’arrêter à ce genre de détail trivial.
Carole se positionne au-dessus de moi, légèrement accroupie, et s’écarte les fesses, puis se baisse en se rapprochant de mon visage.
– Je vais chier, reste en position, tu as le droit de me lécher le trou du cul en attendant que ça vienne.
Je tente d’avancer la langue, mais tout va très vite, un gros boudin se fraye un chemin, je m’écarte afin qu’il ne me tombe pas sur le visage.
– Pourquoi t’as bougé, connard ? Rouspète Dolorès.
– Je sais pas, moi, un réflexe.
Elle ne me répond pas, les deux femmes tripotent la merde tombée au sol et s’en badigeonnent mutuellement le corps avec. Elles se lèchent partout comme de vraies furies. Un moment Dolores ramasse un large étron, se le met dans la bouche en en laissant dépasser un morceau. Carole vient lécher ce qui dépasse. Elles se roulent un patin merdeux, c’est dégueulasse mais ça m’excite et je bande comme un cochon.
Carole s’empare de ma bite et me la branle.
– Ça te plait que te branle avec mes mains pleines de merde.
Ne voulant pas être en reste Dolores me pince les seins. Je pensais qu’elles allaient me faire jouir, mais non :
– On te libère, je veux rester seule avec ma copine pendant qu’elle va me lécher l’abricot ! m’informe Carole.
Je vais me doucher puis retourne dans la salle où Agnès est restée attachée
– T’étais passé où ? Tu fais attendre tout le monde ! Me reproche-t-elle.
Je ne comprends rien. Elle me demande de la détacher, on quitte la salle et on descend à la réception, là Agnès demande au préposé de diffuser un message.
« Les numéros 27, 36, 11, 14 et 16 sont attendus en cabine 18?. Monsieur Etienne est attendu devant la cabine 18. »
– Passe à ton vestiaire et prend un billet de 50 me demande Agnès !
– Mais pourquoi faire ?
– Parce que ça fait partie du jeu !
– Quel jeu ?
– Tu verras bien, tu veux me baiser ou pas ?
– Oui, bien sûr !
– Bon alors ?
– Je n’ai pas de liquide !
– T’as une carte bleue,
– Oui mais…
– Tu vas à l’accueil avec ta carte et ils vont te donner 50 balles.
Devant la cabine Etienne nous attend et me demande l’argent. J’avoue avoir hésité, je n’ai rien contre la prostitution, mais là c’est carrément du proxénétisme. On entre à six dans la cabine, Agnès nous désigne :
– Toi tu passes en premier, toi en deuxième…
Je serais donc l’avant dernier.
– C’est parti ! T’as droit à 10 minutes, en levrette ou je viens sur toi ? Dit-elle au premier.
– Je peux t’enculer ?
– Oui, mais dans ce cas, ce sera juste cinq minutes.
Au secours, c’est carrément de l’abattage, et moi au lieu de m’enfuir je suis là comme un con à attendre mon tour, je l’ai prise en levrette, j’ai joui dans son cul (avec capote). Après, j’ai fait comme tous les autres, je suis sorti la laissant avec le dernier. Etienne a disparu.
J’ai alors eu l’idée d’attendre Agnès, afin de ne pas partir avec cette image glauque dans la tête.
Je remarque sans y faire trop attention deux grands blacks qui semble attendre eux aussi qu’Agnès sorte.
Le dernier participant sort et s’en va on ne sait où, Agnès sort à son tour, l’un des deux blacks s’avance vers elle.
– Mademoiselle, je vous rappelle que la prostitution est interdite dans l’établissement, je vais donc vous demandez de nous suivre.
– Je ne me prostitue pas ! Où serait l’argent ? Se défend-elle.
– C’est votre maquereau qui l’a, nous lui avons infligé la punition d’usage, veuillez nous suivre sans faire de scandale, vous allez recevoir 50 coup de martinets et nous allons vous enculer !
– Oh, lala, qu’est-ce qu’on perd comme temps en formalités, je vous suis, mais il est parti où mon copain ?
– Il est au bar, il vous attend !
Il se passe décidemment ici des choses étranges. Je réalise à ce moment que je viens d’en vivre de toutes les couleurs mais que je n’ai pas encore expérimenté la spécificité du lieu, parce que à l’origine, c’est bien un Glory Hole, non ? Et je venais là pour sucer des bites qui sortent des parois.
Mon excitation étant tombée, j’ai trainé un peu pour voir s’il y avait d’autres choses à découvrir, puis je suis allé prendre un verre au bar, décidé à m’en aller ensuite.
– Alors Boris, on s’en va ? M’interpelle Etienne.
– Oui, je suis un peu crevé !
– Je te paye un verre ?
– Vite fait !
– J’attends Agnès, elle ne devrait plus tarder. Me précise-t-il
Et justement la voilà qui arrive toute pimpante, et qui nous fait voir son cul strié de marques de flagellation
– C’était génial, tu aurais vu les deux blacks qui se sont occupés de moi, ils m’ont fait un cul tout rouge…
– Je sais bien, c’est moi qui les ai choisis !
De mieux en mieux !
Boris ©
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000 et complétée… 18 ans plus tard !
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