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Partie spéciale chez Monsieur Charles par Boris Vasslan
Le thème du type (ou de la fille) qui suite à un gage, doit se rendre dans un lieu inconnu où on lui fera subir milles outrages est un grand classique. La plupart du temps tout se passe à merveille pour le héros, ça baigne même dans l’huile… la réalité est parfois légèrement différente !
Elisa m’a demandé de coucher tout ça sur papier. Pourquoi pas ?
Je suis Arnaud, j’ai la trentaine bien entamée. Quatre mois que je suis avec Elisa, une belle brune aux cheveux bouclés. Au lit c’est une bombe, une imagination débordante. On joue souvent à des petits jeux de soumission/domination. On tire au sort lequel sera le soumis, et on y va. Je devais avoir quelques penchants pour ce genre de choses mais je ne pratiquais pas, maintenant je suis en plein dedans.
Le tirage, ce soir-là, a voulu que je perde. Mais je suis content de perdre. Je m’attends à être la victime consentante d’un des scénarios préférés de ma dominatrice de charme. Et bien non, elle passe un coup de téléphone et m’annonce simplement :
– Tiens, je t’ai écrit l’adresse : Demain tu te rendras à cet endroit, à 18 h 30. Surtout ne sois pas en retard, tu y seras attendu et tu feras ce qu’on te dira de faire. Après je veux un compte rendu bien détaillé et bien rédigé, je suis sûre que ça va me faire mouiller. Bon, on mange ?
Déception ! Interrogation ! Mais je ne me défilerai pas.
L’adresse est en proche banlieue ouest. Je m’y rends par les transports en commun. L’immeuble sent le fric comme ce ne devrait pas être permis. Je monte au premier, une soubrette en tenue d’opérette plutôt mignonne, blonde, frisée comme un mouton et trop maquillée m’ouvre. Elle sent bon, mais ne semble pas savoir sourire :
– Bonjour, je suis Arnaud !
– Suivez-moi !
On ne lui a jamais appris à dire bonjour, à la bonniche ? Je la suis dans une sorte de vestibule contigu…
– Voilà, confiez-moi vos vêtements, vous aurez le vestiaire numéro 3.
Elle ouvre un petit dressing, y colle mon blouson, puis reste plantée devant moi quelques secondes avant de me préciser :
– Il faut me confier tous vos vêtements.
– Vous voulez dire que je dois me déshabiller ?
– Oui, entièrement ! Même les chaussettes, la montre… et les lunettes aussi, sauf si vous êtes trop binoclard…
Bon ! Par un réflexe de pudeur incongru je me tourne et j’enlève tout. Je lui tends les trucs en me cachant le sexe. Elle pend le pantalon et le polo après un cintre, puis enferme le slip, les chaussettes, les lunettes et la montre-bracelet dans un petit sac avec une étiquette portant le n°3. Elle étiquette également les pompes ! Quelle organisation !
– Suivez-moi !
OK, je la suis dans un grand couloir et nous voici dans une immense salle de bain.
– Voilà du gel de rasage et des rasoirs, vous rasez tout ce que vous pouvez, je vous aiderai pour les endroits difficiles !
Glups !
– Ecoutez, je vais vous confiez un truc, je suis ici suite à un gage que j’ai perdu, et j’ignore quel genre de choses se déroulent ici…
– Je ne suis pas autorisée à répondre à vos questions. Si vous pouviez commencer à vous raser, on n’a pas toute la soirée.
– Je suis vraiment obligé ? Demandais-je stupidement.
– Oui ! Si vous avez vraiment peur de vous couper, je peux – éventuellement – le faire à votre place ! Me propose-t-elle.
Le ton employé montre bien qu’elle espère que je ne ferais appel que le moins possible à ses services.
– Non, je vais me débrouiller, c’est comment votre prénom ?
– Je n’ai pas à vous le dire !
Charmante !
Je ne suis pas très poilu, mais ça en fait quand même de la surface à raser, je commence par les jambes, puis le torse, puis les bras (pas évident le bras droit avec la main gauche), puis le zizi. Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs que j’ai usé !
– Je vous laisse le verso ?
Elle ne répond pas, pousse un grand soupir, puis prend un rasoir neuf, me badigeonne de gel et entreprend de finir tout ça.
– Maintenez vos fesses écartées que je vous rase le trou du cul !
Quel langage !
Elle me passe ensuite une serviette chaude, puis un gel apaisant. J’aurais bien pris une douche, mais ce ne doit pas être dans ses intentions.
– Donnez-vous un coup de peigne, vous avez l’air d’un pétard. M’ordonne-elle en me tendant l’instrument idoine.
Elle m’énerve, heureusement que je suis très joueur ! Elle me tend une cuvette.
– Pissez là-dedans !
Et puis quoi encore ?
– Vous allez me faire une analyse d’urine ? Tentais-je de plaisanter.
– Vous n’êtes pas ici pour poser des questions, mais pour obéir !
Et toc !
Je pisse donc comme demandé, elle trempe ensuite un gant de toilette propre dans la cuvette. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique ? Elle me le tend !
– Voilà, badigeonnez-vous le sexe avec ça, les couilles et les fesses aussi. Monsieur Charles n’aime pas les bites qui sentent la savonnette.
De mieux en mieux, elle m’a envoyé où, Elisa ? Et qui c’est, ce monsieur Charles ?
– Suivez-moi !
Ah ! Je vais peut-être découvrir d’autres personnes ! Ben, non, nous voilà dans un petit vestibule (il y a combien de pièces dans cette baraque ?) Elle regarde mes jambes, et me choisit une paire de bas noirs auto-fixant qu’elle m’invite à enfiler, puis elle me passe un collier de chien autour du cou, il est tout rose et muni d’une laisse. C’est donc une séance de domination, je m’en doutais un peu, mais cette fois ça se précise !
Elle sort ensuite de la poche de son tablier deux pinces qu’elle m’accroche au bout des tétons avant d’y ajouter des poids. Ça tire pas mal, mais cette sensation ne me déplaît pas. Elle me passe ensuite une ficelle, enserrant mes couilles et la base de ma verge… et elle serre bien fort !
– Je suppose que vous ne savez pas marcher avec des escarpins ? Me demande la soubrette.
– Pas vraiment, non !
– Pff ! Alors mettez-vous à quatre pattes !
J’obéis, elle prend son portable !
– La salope n°3 est prête, madame !
Ah, bon, je suis la salope n°3 ! Je vous dis, on est en pleine poésie !
Je n’entends pas ce que la madame lui répond, mais la soubrette me tire par la laisse et me fait avancer dans le couloir. C’est assez pénible avec les poids qui se balancent et qui tirent sur mes chairs, mais bon, on est maso où on ne l’est pas ! Devant une porte se tiennent deux hommes agenouillés dans le même accoutrement que moi, je suppose donc qu’il s’agit des « salopes » n°1 et 2. J’ignore s’il faut dire bonjour, alors j’esquisse un sourire niais auquel personne ne me répond. Ça manque terriblement d’humour et de convivialité chez ces gens-là !
– Vous mettez vos avant-bras sur le sol et vous ne bougez pas !
Super la position ! Mais qu’est-ce que je fous là ? Comme ça s’éternise je mijote un plan de fuite (au cas où…) et me rends compte avec horreur que j’ignore à quel endroit se trouve le vestibule où sont restées mes affaires. Je suppose néanmoins que si je décide de quitter ce cirque, on ne va pas m’en empêcher. Bon pour l’instant j’attends.
Au bout d’un quart d’heure la porte s’ouvre, mais il y a une tenture qui me cache l’intérieur. Une femme arrive. J’appris plus tard qu’elle se prénommait Vony. Comment la décrire, pas toute jeune mais bien conservée, rousse, la chevelure abondante et frisée, elle est habillée de noir, une guêpière à fines bretelles, des bottes, des bas résilles tenus par un porte-jarretelles, elle a également de très longs gants de velours noirs. Ses jolis seins (un bon 95 D) et sa chatte poilue sont à l’air. Joli spectacle. Vraiment !
Vony embarque le premier esclave et le fait avancer à coups de cravache. Ça me fout un peu les boules, mais c’est une séance de domination, pas une soirée chez les bisounours.
Le second est embarqué quelques minutes après, puis c’est mon tour.
– Avance, salope !
La salope, elle avance, et même que je me fais rougir les fesses. C’est supportable mais limite, Elisa ne m’a jamais flagellé aussi fort.
J’arrive au milieu d’une très grande pièce où on me demande de me mettre debout et où je découvre la petite assemblée :
Sur le canapé (très classe, le canapé) trône un gros bonhomme complètement à poil et assez adipeux. Je suis persuadé de l’avoir déjà vu quelque part, peut-être à la télévision. A sa droite un grand blond moustachu de type nordique, il ne s’est pas déshabillé mais a tout de même son pantalon et son caleçon sur les genoux, et il se caresse sa queue, une belle queue ma fois. Sur sa gauche un travesti ou un transsexuel à la peau bronzée et au visage très fin, il a gardé le haut, retiré le bas mais conservé son slip en faisant ressortir sa jolie bite sur le côté.
Une autre femme dans la même tranche d’âge que Vony se tient debout sur le côté, la cravache à la main, Elle est accoutrée de la même façon que l’autre femme (à ce détail près que sa guêpière n’a pas de bretelles). Elle a un joli visage très ovale et des cheveux bruns assez courts. Elle se prénomme Mika. Belle et forte poitrine, elle aussi.
La soubrette est restée, elle s’est mise, elle aussi, sa chatte et ses petits seins à l’air. De l’autre côté sur deux fauteuils contigus se tient un couple assez BCBG, la femme sans doute proche de la cinquantaine, mais possédant un charme nature évident est une brunette frisée à lunettes au minois intéressant, vêtue d’une petite robe bleue sans manche, assez moulante et bien décolletée. L’homme est très commun, la vingtaine, visage standard, lunettes rondes, barbe de trois jours et costume de ville. Ils sont pour le moment très sages et pas du tout débraillés.
– Joli lot ! Commente le gros patapouf.
– Tournez-vous, que Monsieur Charles voie vos fesses de pédés.
Le Monsieur Charles (Patapouf) semble donc bien être l’ordonnateur de cette étrange soirée. Et c’est donc lui l’amateur de bites parfumées à l’urine !
– Celui-ci me convient très bien ! Déclare-t-il en me désignant.
La perspective de faire des choses avec cette grosse limace libidineuse me refroidit, mais je n’arrive pas à me décider à partir.
– Faites-vous lécher le cul, Mesdames ! Demande Patapouf. J’espère qu’ils sont bien merdeux !
– Nous ne nous sommes pas essuyées de la journée, Monsieur Charles, répond Vony. Mais je suppose que vous souhaitez vérifier ?
– Je vous croie sur parole, mais faites-moi tout de même sentir. Je ne vais quand même pas me priver de ce plaisir !
Vony offre ses fesses à Charles, se les écarte. Il y porte le nez, hume !
– Quelle odeur ! J’adore !
Il donne quelques coups de langue, puis la congédie d’une tape sur les fesses.
– Mika, à ton tour.
Patapouf réitère son bref léchage de cul. Puis c’est le tour de la bonne qui après avoir exposé son cul se reçoit une gifle en pleine poire.
– Mais pourquoi, Monsieur Charles ? Je n’ai rien fait ! Proteste-telle mollement
– Je n’ai pas dit que tu avais fait quelque chose !
Puis, chaque esclave se retrouve le visage devant le cul d’une des femmes, j’hérite de celui de Vony. Ça ne sent pas trop la rose, mais c’est « moins pire » que ce que je pensais et faire ce genre de chose ne me rebute pas trop, bien au contraire. Je prends donc plaisir à bien nettoyer ce joli cul de toutes éventuelles traces suspectes. Je suis quand même surpris quand elle me lâche un pet en pleine poire.
– Ce sont les haricots de ce midi ! Se croit-elle obligé de me préciser.
La réplique fait hurler de rire Patapouf qui bande comme un malade.
– Viens me sucer ! M’ordonne-t-il.
Berck !
– Non je m’en vais ! Au revoir m’sieu-dames ! Répondis-je du tac au tac, devant l’assistance incrédule.
Je franchis la porte du salon, je me demande si on va me courir après ? Non ! Qu’est-ce que je vais raconter à Elisa ? Après tout je m’en fous, ce n’est pas parce que j’ai des tendances masos que je suis prêt à faire n’importe quoi ! Où est donc ce putain de vestibule ? Près de la porte d’entrée, bien sûr, cette porte, non ! Celle-ci ? C’est celle-ci ! J’entre, je me débarrasse de mes pinces et des ficelles qui me serrent les couilles. Puis tente de faire jouer la glissière du dressing et constate que c’est fermé à clé ! Malédiction !
Il me reste quoi comme solution ? Piquer des fringues quelque part (où ?) et partir, puis revenir chercher mes affaires le lendemain ? Non ! Attendre dans le vestibule que la partie se termine ? Pas terrible ! Retourner là-bas et exiger qu’on me rende mes affaires ? Peut-être ? M’avouer vaincu, revenir et accepter la punition qu’on ne manquera pas de m’infliger ? N’importe quoi ? Quoiqu’après tout cette humiliation peut-être très excitante, et puis quand j’y pense, qu’est-ce que j’en ai à foutre, finalement de sucer ce gros porc, je fermerais les yeux, et ça réglera le problème.
Je reviens donc et mon retour s’exécute dans l’indifférence quasi générale ! La bonniche stoïque me remet des pinces et des poids au bout des seins, et une cordelette autour des couilles, puis me toise avec un mépris, mais avec un mépris du genre faut le voir pour le croire. Elle m’énerve, celle-ci, elle m’énerve ! J’attends la punition : ben non pas de punition pour le moment ! La salle offre un joli spectacle : Vony se fait flageller par Mika (j’apprendrais par la suite que Patapouf a exigé d’elle qu’elle soit punie pour avoir recruté un esclave – moi, en l’occurrence – qui ne s’est pas montré à la hauteur.) Les esclaves n°1 et 2 sucent respectivement le travelo et le blondinet. Personne ne s’occupe de Monsieur Charles, alors j’y vais (si ce n’est pas du masochisme ça, qu’est-ce donc alors ?), s’il me jette on verra bien, il ne me jette pas et j’ai déjà sa grosse bite dans la bouche.
– Mika, tu peux arrêter de fouetter cette salope ! Ordonne-t-il.
Patapouf a beau être laid comme un pou, il faut bien avouer que sa bite est bonne, douce, onctueuse, en bref : bien agréable à sucer.
– Humm ! Tu me suces trop bien, petite pédale, Je vais t’enculer, tu m’excites de trop ! Me dit-il.
Ben voyons ! Et bien qu’il m’encule et par derrière, comme ça je sentirais bien sa bite sans voir sa tronche de gros porc !
Il se dégage, se lève, puis se penche pour me sucer un peu la bite et le trou du cul. Il ne fait aucun commentaire mais à sa mine réjouie, je devine qu’il apprécie tout ça. Il m’invite ensuite à me positionner en levrette près du couple discret. Il me crache sur le trou du cul, puis introduit un doigt qu’il fait aller et venir.
– Ça vous plaît, le spectacle ? Leur demande-t-il ? Vous ne voulez pas participer ?
– Non, non, nous on regarde ! Répond le jeune homme.
Et hop, ça y est j’ai la bite de Patapouf dans le cul ! C’est entré tout seul, et ça fait du bien quoique le mec manque quand même de délicatesse.
– T’aimes ça, te faire enculer, hein pédale ?
– J’adore ! Allez-y défoncez-moi ! Répondis-je, entrant dans son jeu.
Je ne vais pas le contrarier, d’autant qu’il faut bien avouer que sa prestation a tendance à s’améliorer.
Regard circulaire dans la salle, Vony est en train de sodomiser le grand blondinet à l’aide d’un gode ceinture. L’esclave n°1 et le travesti semblent ne plus pouvoir se décoller et paraissent partis pour un soixante-neuf interminable au pied du canapé. Mika se fait lécher la chatte par l’esclave n°2, quant à la bonne, elle semble attendre, stoïque, que quelqu’un veuille bien faire appel à ses services.
L’autre me laboure de plus en plus vite, me provoquant d’étranges frissons d’extase et finit par décharger en poussant un cri étouffé.
– Je ne pensais pas jouir si vite, mais tant pis, il était trop bon ce cul de pédé, maintenant il faut que je recharge les batteries. Commente-t-il à haute voix et d’un air pleinement satisfait.
Puis il s’adresse de nouveau au jeune voyeur :
– Alors, ça vous a excité ?
– Bien sûr !
– Pourquoi vous ne vous branlez pas alors ?
– Non, non, nous on regarde ! Répète-t-il.
– Vous devriez quand même sortir votre bite, elle serait plus à l’aise.
– Tout à l’heure peut-être !
C’est alors que sa compagne intervient :
– Moi, ça ne me déplairait pas que tu le fasses !
– Que je fasse quoi ?
– Que tu fasses ce que te conseille monsieur.
– Ah, bon ? Mais tes désirs sont des ordres, ma chère maman.
Ah ? Parce que c’est donc sa mère ?
Et le voilà qu’il extrait de sa braguette une bien jolie biroute superbement bien bandée.
– Oh ! Mais ce que vous avez une très jolie bite ! Félicitations ! Vous n’aimeriez pas que cet esclave vous la suce ? Reprend Patapouf.
– Non, non, nous on regarde !
– Monsieur l’esclave, intervient Claudine, ne vous occupez pas de ce qu’il raconte et sucez-le s’il vous plaît, mais ne le faites pas jouir.
J’aime bien le « Monsieur l’esclave », mais je ne sais que faire ! Monsieur Charles m’encourage !
– Allez, suce, pédale, suce cette bonne bite !
Allons-y pour la deuxième bite de la soirée. Je m’en fous, j’aime bien sucer. Je ne l’ai pourtant pas fait si souvent, mais je kiffe.
Monsieur Charles qui a compris comment le type fonctionnait s’adresse à sa femme :
– Vous devriez conseiller à monsieur de se foutre à poil, ce serait plus esthétique.
– Voilà une excellente suggestion, qu’attends-tu Henri ?
– Ça me gêne un peu !
– Ce n’est pas un argument valable, déshabille-toi !
Henri obéît après avoir regardé sa mère avec un air de chien battu. Il se rassoit et je reprends ma fellation.
– Et s’ils inversaient les rôles ? Suggère Monsieur Charles.
– Justement, j’y réfléchissais ! Répond Claudine avec une moue malicieuse.
– Mais enfin maman, tu n’es pas sérieuse ?
– Si, si, et arrête de faire l’innocent, tu savais bien ce qui risquait de se passer en m’accompagnant ici !
– On avait dit qu’on venait juste pour regarder !
– Pfff ! Tu parles !
Personne ne me dit d’arrêter de sucer, donc je continue. Monsieur Charles parle à Claudine.
– L’odeur du trou du cul de Vony, tout à l’heure, c’était quelque chose, les autres aussi d’ailleurs. J’adore les culs qui sentent un peu, ce doit être aphrodisiaque.
Claudine ne sait pas trop quoi lui répondre et se contente d’un sourire poli.
– Et vous ? reprend-il.
– Pardon ?
– Et vous ?
– Mais c’est quoi la question ?
– Vous devez avoir aussi le cul qui sent un peu, à cette heure-là ?
– A vrai dire je n’en sais rien, mais si voulez vérifier, je veux bien vous le faire sentir.
Henri n’en croit ni ses oreilles ni ses yeux. Il se dégage de ma bouche et assiste incrédule au spectacle de sa mère qui se lève et se déshabille, ne gardant que ses bas auto-fixant en résilles rouges. Elle n’est pas mal dans le genre MILF, petite blonde frisée au corps harmonieux avec de jolis seins un peu lourds aux larges aréoles roses.
– Voilà mon cul, il est à votre disposition, monsieur Charles.
Il renifle, il lèche, il met un doigt. Elle se laisse faire. Puis je suppose qu’il a une crampe, il se relève.
– Félicitations, vous avez un vrai cul de princesse.
Et miracle, il rebande !
– Bon on avait dit qu’on invertirait les rôles de ces deux-là ! Reprend-il
– Ben alors Henri ! Le presse Claudine.
Et devant son fils ébahi, elle entreprend d’abord de sucer la bite de Monsieur Charles avant d’attaquer la mienne avec ardeur. Tous les participants sont à présent en cercle autour de nous à profiter du spectacle.
– Elle a petit goût salé votre bite ! Remarque-t-elle.
– J’espère que cela ne vous dérange pas ? Répondis-je par politesse
– Hon, hon ! Fit-elle en gardant la bouche pleine.
Henri profite du spectacle en bandant toujours autant mais reste dans son coin.
– Bon alors, Henri, tu te décides à venir me rejoindre ou tu préfères que je demande à l’une de ses dames de te fouetter pour t’aider un peu ?
– Ça va trop loin, maman !
– Je ne suis pas de cet avis ! Répond-elle. Si tu te sens gêné, tu n’es pas obligé de rester, mais moi je me sens très bien ici !
Il regarde autour de lui, puis se jette à l’eau.
– C’est bien pour te faire plaisir !
– Suce et tais-toi, sale gosse !
Ils me sucent tous les deux, je suis aux anges. Un moment Claudine, complètement excitée me laisse seul avec Henri, et jette son dévolu sur la queue du blondinet qui bien sûr se laisse faire. Il ne tarde pas à jouir et elle se retrouve avec la bouche pleine de sperme.
– Vous avez la permission de m’embrasser à pleine bouche ! Me dit-elle alors.
Cela n’a rien d’un baiser fougueux, je suppose que n’ayant ni envie d’avaler, ni de cracher, elle m’a simplement choisi pour que je l’en débarrasse. Ah ! Les femmes !
Henri me fait bander comme un âne avec sa sucette. Le travelo passe derrière lui, se baisse et lui fout un, puis deux doigts dans le cul, ça le fait se trémousser. Cet Henri me parait jouer les faux puceaux de la fesse et sa mère n’est pas dupe.
– Un peu à mon tour sollicite le trans ! Donne-moi ta bouche !
Henri se tourne donc pour le sucer, me voilà largué. Sur le fauteuil, Claudine les jambes en l’air est en train de se faire pénétrer l’anus par Blondinet, (il a déjà retrouvé la forme, celui-ci !) lequel se fait à nouveau défoncer le cul par Vony et son gode-ceinture diabolique. Tout ce petit monde finit par s’écrouler au bout d’une dizaine de minutes avec un synchronisme étonnant.
Le travesti a trouvé le moyen de sodomiser Henri, encouragé par Claudine qui s’est déjà remise de ses émotions. Ça ne dure pas très longtemps, l’autre lui jouit dans le fondement, Henri n’en peut plus, il esquisse quelques mouvements de masturbation et son sperme fuse en de longs jets. La soubrette s’en va de suite chercher une lingette nettoyante en poussant un soupir d’exaspération.
On se calme un peu, Henri aurait bien quitté la fête, mais Claudine lui fait de nouveau savoir que pour l’instant elle s’amuse très bien et qu’elle souhaite rester là. Patapouf revient à sa place sur le canapé ainsi que les deux zigotos qui l’entoure, il interpelle Vony :
– Cet esclave est très bien, mais tout à l’heure, il a fait une grosse bêtise, je pense donc qu’il convient de le punir, ne serait-ce que par principe.
– J’allais justement vous le proposer ! Avez-vous une suggestion ?
– Un petit doublé comme l’autre fois ! Cela va nous permettre de punir en même temps que celui-ci, un esclave qui n’a commis aucune faute. Voilà une injustice que je trouve absolument excitante !
J’ignore ce qu’est ce « doublé », je verrais bien.
Vony commence par appeler l’esclave n°1, lui retourne une double paire de gifles, lui crache au visage, et lui tire douloureusement sur les tétons, puis sur les testicules. Il pousse des petits cris de douleurs ponctués de « merci maîtresse » assez pathétiques.
– Qu’est-ce que tu as fait comme bêtise ? Lui demande Vony.
– Je ne sais pas ! Bredouille l’autre.
– Alors tu vas être puni pour ne même pas savoir ce que tu as fait comme bêtise.
– Oui, maîtresse !
Et c’est mon tour, allons-y : baffes dans la gueule, crachats et tout le reste. Ce qui est remarquable c’est que manifestement Vony prend son pied en faisant ce genre de choses, ses cuisses dégoulinent. Quelle belle salope !
On nous attache ensuite ensemble, torse contre torse (je devrais dire bite contre bite). Vony et Mika nous tournent autour et nous cravachent, je commence à avoir les fesses toutes rouges, moi.
Elles finissent par nous détacher, j’ai le cul en feu, je crois l’affaire terminée, pas du tout, elles nous rattachent mais cette fois dos contre dos. Je n’aime pas qu’on me fouette par devant, mais bon… On commence par nous poser une accumulation de pinces, un peu partout sur le torse, une bonne dizaine, puis sur les testicules. Ça commence à faire mal ces trucs là, mais je n’étais pas au bout de mes souffrances, les deux nanas reprennent leur ballet sadique et nous fouettent le torse, je comprends que le jeu consiste à faire tomber les pinces, à chaque fois que l’une saute, nous hurlons, parfois elles ne tombent pas, se contentant de se déplacer légèrement, c’est encore pire !
Ça y est tout est dégringolé, mais il reste les testicules, je commence à me demander si je ne vais pas employer le mot de sécurité pour faire cesser ce cirque, je m’aperçois alors qu’on ne m’en a pas fourni, mais je suppose que si je demande qu’on arrête on ne va pas continuer.
On nous détache mais c’est pour cette fois ci, nous attacher les mains dans le dos. On nous fait mettre à genoux, l’un devant l’autre. Chacun doit alternativement enlever l’une des pinces aux testicules de son vis-à-vis à l’aide de ses dents.
Ça parait facile comme ça, mais ce n’est pas évident, et si j’arrive, je pense, à me débrouiller, l’autre esclave s’y prend comme un pied. Chaque retrait qu’il exécute me fait hurler de douleur.
– Bravo, ça m’a bien fait rebander, s’exclame Patapouf. Reviens me sucer, petit pédé !
C’est bien sûr à moi qu’il s’adresse. J’ai en ce moment plus envie de me reposer que de sucer des bites, mais bon… on y va !
Vony et Mika très excitées par la petite séance que nous avons subie se font sucer la chatte par les deux autres esclaves. Claudine se fait lécher par la bonne. Henri qui décidément a jeté au panier toutes ces prétendues inhibitions se fait sodomiser par le blondinet (quelle santé, celui-ci) et lèche la bite du trans.
Quelle orgie, mes amis, quelle orgie !
– Monsieur Henri, l’interpelle Patapouf, il me plairait de vous voir enculer votre mère.
– Avec plaisir, tu veux bien maman ?
-,Bien sûr !
Sur ce coup-là, Henri n’a pas hésité une seconde, il devait avoir l’habitude…
Et pendant que la Claudine se fait défoncer la rondelle par son propre fils, me revoilà en train de sucer de nouveau la bite de ce gros vicelard. Il imprime lui-même la cadence en m’appuyant sur la tête. J’ai l’impression qu’il veut en finir vite. Effectivement je finis par recevoir son sperme en plein bouche.
Tout le monde est un peu crevé, la bonne s’en va et revient avec des rafraichissements. On ne m’en propose pas, (ls exclaves n’auraient donc pas le droit de se désaltérer, je ne trouve pas ça très cool !)
– Ah Claudine, venez donc à mes côtés, vous méritez bien d’être à la place d’honneur pour assister à ce qui va suivre !
– Je viens, Monsieur ! Dit-elle en s’installant.
– Caressez-moi la bite, Claudine.
– Avec plaisir, monsieur !
– Dites-moi Claudine, Je suis un gros dégueulasse, n’est-ce pas ?
– Euh !
– Mais nous sommes faits pour nous entendre, puisque vous êtes une poufiasse !
– Euh !
– Ne protestez pas, vous vous vous êtes fait enculer comme une chienne y compris par votre fis, vous m’avez léché le cul et j’en passe…
– Mon fils ne demandait que ça, mais il est un peu hypocrite…
– Il vous encule souvent ?
– De temps en temps… et puis j’adore lui sucer la bite !
– Je comprends mieux, vous êtes un peu salope alors ?
– Si vous voulez !
– Dites-moi que vous êtes une poufiasse, ça va m’exciter !
– Je suis une poufiasse, Monsieur Charles.
– Une morue.
– Une poufiasse, une morue… tout ce que vous voulez
– Très bien allons-y pour le spectacle, j’espère que cela vous plaira ! Vony, Mika on vous attends !
Les deux belles matures sortent de la salle… Suspense… Et les voilà qui reviennent, chacune avec un gros chien tenu en laisse. Elles s’arrêtent devant Patapouf, caressent gentiment les bestioles, passent leurs mains sous le poitrail afin d’exciter le membre et le font ressortir par l’arrière. Puis dans un ensemble parfait les deux nanas se mettent à sucer avec passion et avidité.
– Dis donc toi la boniche ! Qu’est-ce que tu attends pour rejoindre ces belles salopes. L’invective Monsieur Charles
– J’y vais monsieur ! Répond-elle en allant rejoindre Vony.
– Alors Claudine, ça vous tente ? Reprend le maître des lieux.
– Je n’ai jamais fait ça !
– Oh ! Quelle fâcheuse lacune ! Eh bien allez-y, il y a toujours une première fois !
– Je ne me sens pas prête.
– Quelques coups de cravache pourrait vous aider à vous décider ?
– Qui sait ?
Patapouf fait se tourner Claudine, et demande au Blondinet moustachu de lui administrer quinze coups de cravache sur son joli postérieur. La pauvrette hurle de douleur mais ne demande pas que l’on arrête.
– Maintenant, allez sucer le chien avec Mika !
– Je ne sais pas !
– C’est un ordre, Claudine, ou vous le faites, ou je vais demander que l’on vous cravache davantage.
Et c’est qu’il ne rigole pas, Monsieur Charles.
– O.K. j’y vais consent Claudine.
J’ai surtout l’impression qu’elle voulait se faire prier. La voici donc à côté de Mika, elle hésite un peu.
– Vas-y carrément lui conseille la mature, de toutes façons tu finiras par le faire.
Claudine ferme les yeux, avance sa langue, effectue une léchouille sur la verge du chien, puis s’enhardit et se met à sucer sans vergogne le membre dégoulinant.
Un moment Mika lui offre ses lèvres et les deux femmes s’échangent un profond baiser au gout de bite de chien.
– Place-toi en levrette, lui dit Mika, il va te prendre.
– Peut-être pas !
– Regarde donc Vony comme elle se fait baiser, ça n’a pas l’aire de la traumatiser ! Allez en piste ma jolie.
Claudine s’exécute et le spectacle devient grandiose, deux femmes se font monter par des chiens sous les encouragements de la petite assistance.
Je bande.
– Si on se faisait une séance d’arrosage ? Propose Patapouf après que les chiens fussent partis roupiller
– Bonne idée, allez tout le monde dans la salle de bain ! Répond Vony.
La salle de bain a beau être immense, onze personnes là-dedans, ça fait du monde !
– Les esclaves, vous vous allongez par terre, et vous gardez la bouche ouverte, toi aussi ! Ajoute-t-elle à l’attention de la bonne !
– Hummm, je peux m’allonger aussi ? Demande Claudine !
– C’est comme tu veux !
Et le déluge commence, l’urine me pique les yeux et je ne sais plus bien qui me pisse dessus, j’en avale un petit peu, de toute façon la pratique ne me déplait pas.
Ça finit par se calmer, je surprends les deux femmes à comploter quelque chose en rigolant comme des bossues.
– Toi, tu restes par terre, me dit Vony, les autres, relevez-vous !
C’est Mika qui s’accroupit au-dessus de mon visage.
– Tu vas avoir droit à un beau cadeau, l’esclave, j’espère que ça te fait plaisir ? Tu as même le droit de te branler en même temps.
Il faut vraiment que je sois excité pour accepter ce genre de chose, mais quand c’est le cas, je n’ai rien contre le spectacle d’un bel étron joliment moulé sortant du trou du cul d’une charmante dame.
J’ai donc reçu son caca sur la tronche, et comme je le pressentais, Mika m’a ensuite donné son anus à nettoyer. Sa merde était délicieuse ! (si, si je vous assure !)
En me relevant j’aperçois Patapouf allongé à son tour, Vony est presque assise sur son visage et lui chie dessus… Je détourne mon regard. Trop c’est trop, et trop c’est pas bien.
Epilogue
– Pas mal ton petit rapport ! Me dit Elisa, et après ?
– Ben après rien, j’ai pu prendre une douche, je me suis rhabillé. La partie était terminée. J’ai demandé à boire à cette conasse de boniche qui a refusé, alors je l’ai engueulé, je lui ai dit
que son attitude était ridicule, elle m’a alors répondu que je pouvais l’insulter, lui cracher dessus et même la gifler, que ça ne la dérangerait pas et que cela faisait aussi partie des
inconvénients de son service…
– Non ?
– Si ! J’ai laissé tomber. Claudine m’a gentiment offert une partie de son propre verre, puis j’ai pu récupérer mes affaires et je suis parti. Seul le travesti avec lequel je n’avais rien fait,
m’a dit aurevoir en me faisant un bisou. Il m’a dit qu’on se reverrait sans doute, mais il ne m’a pas donné son numéro de portable et ne m’a pas demandé le mien. Je suis rentré en taxi, tu
n’étais pas là, j’ai bouffé une cuisse de poulet froid, et un bout de camembert, j’ai bu un verre de vin rouge et je me suis couché.
– Et ton impression ?
– Mitigée, il y avait un peu de tout dans cette assemblée…
– Qu’est-ce que tu as préféré ?
– Sucer des bites !
– Cochon !
– Non, c’est vrai j’adore ça !
– Ben justement j’ai une surprise pour toi ! Linette tu peux venir !
Ça pour une surprise c’est une surprise, la transsexuelle de l’autre soir est là, en tenue de ville, jeans, et pullover mais coiffée et maquillée à merveille. On s’embrasse (sur la bouche) bien sûr.
– Voilà, tu vas pouvoir sucer et te faire enculer devant moi !
– Mais avec grand plaisir.
Et je commence à me déshabiller…
– Mais qu’est-ce que tu fais, rien ne presse, on va manger d’abord !
C’est dommage ! Mais ne dit-on pas qu’il n’y a pas meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !
Et le narrateur décida de stopper là estimant qu’on s’était assez sucé et enculé dans cette histoire, et surtout voulant laisser au lecteur le loisir d’imaginer la suite.
FIN
©Avril 2010 – Révisé en janvier 2021 et juin 2022- Boris Vasslan sur un scénario d’Arnaud L..
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