Sylvain Zerberg

Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 12:51

Muriel et Sylvain, couple coquin

4 – Exhibitions au bar

par Sylvain

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Elles disparaissent, me voilà seul en compagnie de Patrick qui sirote un jus de fruit. Sa main se pose sur ma bite, je décide de me laisser faire. Il me masturbe quelques instants et je ne tarde pas à rebander fort correctement. Je crois alors conforme aux bonnes manières de lui rendre la politesse et je lui tripote à mon tour sa propre bite. Il me dit :

 

- Il n'y a pas si souvent d'hommes bisexuels ici, mais il y en a, quand ils en voient deux comme nous, ça réveille parfois leurs fantasmes, quand ce n'est pas les fantasmes de leurs copines.

 

Un jeune black assez fin et complètement nu, passe et repasse plusieurs fois devant nous, apparemment nos attouchements le troublent, puis on le perd de vue. Pas longtemps, le voici qui revient avec une copine, une jolie blackette d'une trentaine d'années au cul magnifiquement cambré. La femme, Betty, nous regarde en souriant, alors que lui semble hésiter. La femme le prend par la main et l'entraîne vers nous. Elle nous aborde :

 

- Salut les gars, c'est très excitant ce que vous faites, mon copain Laurent aimerait bien se lancer, mais il est un peu timide.

 

Patrick répond :

 

- C'est vrai, tu aimerais bien toucher nos bites ?

- Oui, comme ça pour voir !

- Et bien vas-y !

 

Avec Patrick, on se lâche nos pines de façon à lui faciliter la tâche, il attrape celle de Patrick, la branle un moment, la femme, elle s'occupe de la mienne. Je ne vais quand même pas refuser ça ! Très vite elle se penche et commence à me sucer divinement, puis se relève et s'adresse à son copain :

 

- Fait pareil, Laurent !

- Je sais pas.

- C'est bien un de tes fantasmes, non ?

- Oui, mais…

- Mais quoi ? On va être obligé employer des arguments frappants.

 

La femme, demande alors au garçon du bar s'il n'aurait pas un martinet sous la main. Ce dernier lui en prête un, puis Betty ordonne à Laurent de s'arcbouter contre le comptoir, en tendant les fesses, et commence à lui rougir le cul à grands coups de martinet. Laurent encaisse bien et est probablement un habitué de ce genre de sévices. Elle rend le martinet au barman et dit à son copain :

 

- Met toi à genoux devant moi !

- Oui, maîtresse !

 

Elle lui crache au visage plusieurs fois et lui balance deux paires de gifles.

 

- Maintenant, suce, pédale !

 

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Laurent a rangé ses hésitations et gobe superbement la bite de Patrick tandis que Betty a repris la mienne en bouche. Il se forme un petit attroupement devant nous, quelques mecs bandent joliment, mais ils ne font que regarder. Betty me lâche, j'ai la bite raide mais un peu douloureuse. En fait la fille souhaite que l'on échange les rôles, Elle s'en va donc sucer Patrick tandis que Laurent me prodigue sa seconde fellation de la soirée. Il a du progrès à faire, Laurent, sa pipe n'est pas très agréable. Heureusement Betty met assez rapidement fin au jeu et nous demande :

 

- L'un de vous deux veut l'enculer ?

 

C'est Patrick qui se porte volontaire, quelle santé celui-ci ! Il descend de son tabouret et propose qu'on aille tous en cabine, mais Betty objecte.

 

- Non, faisons ça ici, devant tout le monde !

 

Laurent se met en levrette à même le sol, Patrick lui prépare le cul des doigts et de la langue puis s'enfonce dans son trou du balle en entamant une série d'allers et retours qui font pâmer d'aise le sodomisé. Betty est près de moi et je la caresse un peu partout, profitant de la douceur érotique de sa peau, elle me branle un petit peu, sans trop de précipitation. Mais je reste quand même bien dur. Au bout de dix minutes, Patrick décule sans avoir joui et en donnant de signes de fatigue. Je suppose que Betty va me demander de le remplacer. Mais je me trompais, elle fait relever son mari l'embrasse tendrement et l'entraîne vers une cabine. Il y a des comportements un peu bizarres dans ce milieu.

 

Me voilà avec la bite toute raide stoppée sur le chemin de la jouissance. Patrick me fait un clin d'œil et me dit :

 

- Vas-y encule moi !

 

Là aussi, ça va être une première, j'espère être à la hauteur, et j'entreprends de le "préparer", mais il en a décidé autrement et me tend une dosette de gel intime. Je lui tartine son joli petit cul et je rentre là-dedans comme si j'avais fait cela toute ma vie…

 

Bandé comme je suis, je ne risque pas de battre le record d'endurance, j'espère quand même tenir assez pour lui donner autant de plaisir qu'il m'en a donné tout à l'heure. Patrick se branle pendant que je le lime. Je finis par jouir dans la capote, je décule, je suis crevé. Patrick finit de se branler et m'éjacule sur le torse. Le barman a la bonté de m'offrir quelques feuilles d'essuie-tout pour nettoyer tout ça.

 

Muriel et Chantal reviennent, elles sont rigolardes. Muriel me dit :

 

- Cette salope m'a fait boire sa pisse ! Que c'était bon !

 

Je réponds malicieusement que tout ce temps pour un gros pipi même suivi d'une douche, ça me paraît bien long.

 

- Ben, oui, après on a discuté tricot, n'est-ce pas Chantal ? Plaisante-t-elle

- Oui et même que ta femme elle m'a tricoté la chatte.

- Et vous, vous avez fait quoi ? demande Muriel

- On s'est fait sucer par un couple…

- Vous voulez dire que vous êtes fait sucer la bite par un homme ! Feint de s'étonner Chantal.

- Ben, oui, et après j'ai enculé Patrick ! Répondis-je.

- Oh, mais c'est que vous êtes des petits vicieux, vous devez aimer plein de choses, j'adore les petits vicieux.

- Pourquoi petits ?

 

Nous rions à cette plaisanterie stupide. Je demande à Patrick, de façon machinale ce qu'il compte faire à présent, il me répond qu'il va sans doute rentrer. Dommage. Il nous quitte, il ne nous réclame pas nos coordonnées, nous non plus, cela aura été l'occasion qui aura fait le larron. Je demande à Muriel si elle veut encore rester. Oui, elle se plait bien ici, on va donc rester un moment. Chantal à l'air de lui coller aux basques, il est dommage qu'elles aient fait leurs ébats en cachette, j'aurais volontiers joué le voyeur devant elles.

 

Deux jeunes mecs, genre macho, mais bien montés s'approchent des femmes, quelques minutes après ils s'en vont tous les quatre vers une cabine. Pour la première fois, je ressens un petit sentiment de jalousie. En fait je ne suis jaloux quand je ne suis pas présent. Bizarre…

 

Je commande un verre. Le garçon me fait la causette :

 

- Il est sympa, Monsieur Patrick, dommage qu'il soit parti. J'avais envie de me faire enculer, c'est lui qui m'a initié un jour, depuis j'adore ça. Euh…. Ça vous tenterait ?

- Je suis un peu fatigué, mais on peut toujours essayer. On fait ça où ?

- Faut attendre la fin du service, dans une heure. Vous ne le regretterez pas, j'ai un joli petit cul, vous voulez le voir ?

- Je le verrais tout à l'heure !

- Mais non, passez donc derrière le comptoir, je vais vous le montrer. J'aime bien montrer mon cul !

 

 

(à suivre)

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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 12:46

Muriel et Sylvain, couple coquin

3 - Déchaînement

par Sylvain

 

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La partie 3 a sans doute existé sur le site de SophieXXX, mais est restée introuvable, les chapitres qui suivent sont donc tous de ma main.

 

La question me paraît incongrue, et je m'apprêtais à refuser d'un sourire poli quand mon regard croisant celui de Muriel, je la vois opiner du chef, comme si elle approuvait à ma place cette proposition inattendue. Elle doit malgré tout deviner mes hésitations bien compréhensibles.

 

- Essaie, mon amour ! Essaie, fais le pour moi !

 

Mais soudain, son attention est détournée. On a frappé le long de la cloison et de l'un des trous aménagés pour ce faire, émerge une très jolie bite bien bandée, bien droite, bien nervurée, bien décalottée.

 

Attirée par ce sexe comme par un aimant, Muriel va à sa rencontre et se met à le masturber quelques instants avant de le prendre dans sa bouche. C'est sa seconde fellation extra conjugale de la soirée, j'ai l'impression que ce ne sera pas sa dernière. Ma femme est belle quand elle suce et je suis terriblement excité de la voir sucer une autre queue que la mienne.

 

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D'ailleurs une deuxième bite ne tarde pas à surgir inopinément d'un autre trou. Elle est encore plus belle que la précédente, plus longue, et le gland plus rose. Mon épouse abandonne la queue qu'elle suçait pour venir s'occuper de la nouvelle. La situation m'excite de plus en plus.

 

Patrick se précipite alors vers la bite "abandonnée" et entreprend de la sucer à son tour, puis il m'appelle :

 

- Viens, on va la sucer à deux !

 

Je n'hésite même pas, et me voilà en train de sucer une nouvelle bite et de m'en régaler. Nous sommes là tous les deux, langue contre langue. Un moment sa langue frôle la mienne, je crois à un dérapage, et ne réagit pas, mais il recommence de façon plus appuyé, je comprends alors qu'il désire m'embrasser sur la bouche, je me laisse faire, telle une marionnette.

 

- Continue à le sucer, moi, je vais te préparer le cul.

 

J'avais pensé un moment, mais sans trop y croire, que l'apparition de ces verges tendues à travers la cloison constitueraient une diversion, mais non. Pendant que je me pourlèche de cette bonne bite, Patrick passe derrière moi et me demande de m'installer en levrette, puis de bien écarter les fesses. Il m'introduit un doigt qu'il fait aller et venir, puis remplace le doigt par sa langue. Je dois avouer que je ressens beaucoup de plaisir à cette caresse particulièrement osée.

 

Je pensais que Muriel m'aurait accordé ne serait-ce qu'un coup d'œil complice, mais déchaînée comme elle est, elle ne pense qu'à pomper cette bite anonyme.

 

Patrick s'est reculé et s'équipe de façon à me pénétrer l'anus sans risque et sans douleur, il commence pour ce faire à m'appliquer une noisette de gel intime. (fourni par l'établissement, c'est gentil, merci !) C'est à ce moment-là que Muriel quitte son poste de fellation pour venir nous rejoindre. Elle m'offre sa bouche toute gluante du sexe de l'inconnu. J'ai un geste instinctif de recul, elle n'insiste pas et vient embrasser Patrick à pleine bouche. Du coup je me sens moins motivé pour la suite des événements et je m'apprête à me relever et à inventer une excuse quelconque. Muriel vient près de moi, devine mes atermoiements et me dit :

 

- N'ai pas peur, tout va bien se passer !

 

Résigné, je plonge la tête par terre et attend la suite des événements, mon cul est relevé, mon anus est prêt. Je sens la bite de Patrick qui cherche à me pénétrer, m'obligeant à m'ouvrir davantage. Le passage est douloureux, je m'apprête à le lui dire, mais le laisse néanmoins coulisser dans mon conduit anal quelques instants. La sensation devient différente, des sensations de plaisirs rayonnent de mon corps. La douleur disparaît assez rapidement ne laissant subsister qu'une sorte de gêne devant cet élément étranger dont mon corps cherche à se débarrasser. Je cherche du regard la bite que je suçais, celle qui sortait du mur, elle a disparu. Muriel me regarde, m'encourage, me sourit, elle me dit :

 

- C'est bon hein, une bite dans le cul ?

 

Je réponds "oui" dans un râle.

 

- Dis-le ! Dis-le-moi que c'est bon, je veux t'entendre.

- Oui, c'est bon, une bite dans le cul.

- Ben, oui, pourquoi cette pratique serait-elle réservée aux femmes ?

 

Patrick décharge, puis décule. J'ai le trou du cul, béant, un peu douloureux. Muriel me confie alors qu'elle se ferait bien sodomiser, elle aussi. Devant notre manque de réplique, elle nous informe qu'elle va revenir de suite et nous propose de l'attendre si nous le désirons.

 

Effectivement, alors que Patrick et moi étions allongés afin de récupérer un peu, elle revient deux ou trois minutes après avec un jeune type qui nous ignore superbement. Il est tout nu et il a une bite assez épaisse, pas trop dans mes goûts. L'homme commence à peloter ma femme avec frénésie, mais Muriel le recadre, lui dit de se calmer et s'agenouille afin de lui durcir la bite avec sa bouche. Je tiens les comptes, cela fait sa quatrième bite, quelle belle salope de s'envoyer des bites comme ça ! N'empêche que le mari de la belle salope, c'est moi et qu'elle m'aime, quelle chance que j'ai ! Tout en continuant sa fellation, elle me fait un clin d'œil complice. Puis elle se place en levrette et offre ses fesses à cet inconnu. Il lui met un doigt dans le fondement afin d'examiner le passage, récupère un peu de sa mouille en guise de lubrifiant, se protège et l'encule. Elle lui dit :

 

- Vas-y c'est bon, fais-moi jouir du cul !

 

La moiteur du lieu et les mouvements de son corps la font transpirer, quelle spectacle magnifique de voir ma femme se faire enculer, le corps recouvert de fines gouttelettes de sueur. Me voilà en train de rebander. Le partenaire de Muriel est endurant et il la lime pendant un bon quart d'heure sous nos regards. Ma femme pousse des han-han de plus en plus stridents, elle jouit du cul, l'inconnu accélère alors ses va-et-vient, puis décule brusquement, retire sa capote avant de jouir sur les fesses de ma femme. Elle a un mouvement d'humeur :

 

- C'est malin, je ne t'avais pas autorisé à faire ça !

 

Le mec se confond en excuses, puis nous quitte avec un très vague sourire en guise d'adieu.

 

Je vais pour me rhabiller, Muriel également. Patrick demande :

 

- Vous partez ?

- Non, on va aller boire un coup, on t'invite ?

- Volontiers, mais ne vous rhabillez pas, mettez vos affaires au vestiaire, à cette heure-là presque tout le monde est à poil.

 

Au bar, le barman interpelle Patrick :

 

- Alors, ça se passe bien ?

- Très bien, je viens de baiser Madame et d'enculer Monsieur.

- Ah, dans ce cas votre consommation est gratuite, c'est toujours gratuit pour les enculés.

 

Je ne sais plus où me foutre, Muriel pour sa part s'amuse de mon embarras.

 

Une jolie blonde plus très jeune mais fort bien conservée s'approche de ma femme.

 

- Bonjour ! T'es pas mal toi, je te lécherais bien la chatte.

- Vas-y ! Je te l'offre ! Répond Muriel en écartant ses cuisses.

 

Chantal (puisque c'est son nom) approche son visage des cuisses de Muriel perchée sur son tabouret de bar et commence à lui sucer la foufoune avec délectation. Ma femme commence à se pâmer, mais dit :

 

- Attends, il faut que je fasse pipi !

- Hummm, je peux t'accompagner ?

- Bien sûr !

 

 

(à suivre)

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 12:42

Muriel et Sylvain, couple coquin.

2 – Triolisme

par Sylvain

 

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Je n'en peux plus, je sens mon sexe prêt à exploser, et lorsque la danse est finie, les prenants tous les deux par la main, je les conduis vers le couloir aux ouvertures. Nous franchissons une des portes, une lumière tamisée éclaire une petite pièce aux murs tendue de velours, meublée d'un grand canapé, d'une table, un lit, un lavabo et un bidet. Dans les murs, des trous un peu partout doivent permettre à d'autres de mater ou de passer leurs queues. Cela fait un peu chambre de passe, nous entendons des gémissements de plaisir venant de la pièce mitoyenne, cela nous excite encore plus. Je ferme le rideau de l'entrée, je dis à Patrick en chuchotant :

 

- Elle va te montrer sa culotte.

- Montre-toi, dis-je à ma femme.

 

D'un coup, excitée, le feu aux joues, sans réfléchir, elle relève sa jupe qu'elle accroche à sa taille, elle est en string noir à dentelles avec des bas coutures couleur chair et porte-jarretelles rouge en dentelle. Sa culotte ne cache rien de sa vulve humide.

 

Ma femme tournée vers nous, nous expose son sexe à travers le mince tissu du string, elle reste un moment dans cette position, jambes écartées. Nous devinons les poils de sa chatte qui dessinent une bande étroite. Ma femme se tourne, se cambre légèrement, elle nous expose son superbe cul, découvert par le string, jambes écartées. Ses fesses bien rondes, blanches et profondément fendues sont encadrées par des jarretelles de dentelle rouge.

 

N'en pouvant plus à la vue du cul de ma femme, Patrick lui ôte sa jupe et son corsage. Elle est en string et en soutien-gorge, elle se laisse couvrir de baiser par nous deux. Puis Patrick se place derrière Muriel et dégrafe son soutien-gorge, libérant la lourde poitrine, et par derrière, son bas ventre collé aux fesses de ma femme, saisit ses seins à pleines mains.

 

Patrick est terriblement excité et rapidement se déshabille, pour ne rester qu'avec un mini-slip, une énorme bosse témoigne de son désir. Je fais de même libérant ma bite gonflée comme jamais.

 

Ma femme écarte sa culotte et se tourne vers Patrick pour lui montrer son entrecuisse. Elle expose ainsi sa chatte aux poils d'un brun velouté et lui dit en souriant :

 

- Tu vois, je mouille comme une salope !

 

Patrick fait glisser sa petite culotte et aussitôt la renifle entre les cuisses. Elle se laisse faire, puis allongé sur le lit, je lui écarte les cuisses et la travaille à la main, en lui fourrant mes doigts dans la chatte humide. Je dis à Patrick :

 

- Regarde comme elle aime ça, cette coquine !

 

Patrick quitte son slip et dans la pénombre, je vois une très belle verge émerger, son gland décalotté est violacé et brillant. Il bande très dur et cette vision m'excite...

 

Muriel descend sa main vers sa chatte et se touche discrètement. Je l'encourage, je lui dis qu'elle peut se branler. Elle se caresse de plus en plus fort et alors Patrick écarte sa main pour glisser un doigt dans la vulve ouverte de ma femme, puis s'empare des doigts de Muriel et les plaques sur sa queue.

 

Alors, ma femme approche et plaque sa jolie bouche maquillée de rouge vif sur la queue du mec et la prend dans la bouche. Elle se met à le sucer comme une dingue. Elle aspire son sexe et le prend bien à fond pour le faire durcir dans sa gorge, elle lui lèche aussi les couilles.

 

Il se met à genoux sur elle, puis après avoir glissé sa belle bite entre ses deux gros seins, il l'offre à sa bouche. Il lui relève la nuque et lui pénètre le gosier :

 

- Allez ma jolie, suce encore, tu as l'air d'aimer ça !

 

Ma femme prend son sexe au fond de sa gorge, sa verge est si grosse qu'elle étouffe. Entre ses cuisses, je m'installe, je fais gonfler son clito en la caressant, elle est dans tous ses états.

 

J'enfonce ma bite dans la chatte de ma femme, la transperce. Nos deux verges la font crier, mais celle de Patrick étouffe ses gémissements. Elle se tord sous nous, et dans sa chatte se met à couler un liquide épais et chaud, je jouis comme jamais.

 

Je me retire laissant Patrick la posséder, ce dernier relève ses cuisses et la maintient clouée au lit par les épaules. Il donne des coups de reins brutaux entre ses cuisses ouvertes. Là où je suis placé, j'ai une vue parfaite sur les fesses écartées de l'homme et en dessous, sur le gros paquet ballottant de ses testicules. Plus bas, la tige brune et humide s'enfonce dans une vulve béante, dégoulinante de mouille et de sperme.

 

Patrick la possède à grands coups de pine, ça va et vient très vite et très fort dans son sexe. Ma femme se tient le dessous des jambes, pour maintenir son sexe le plus ouvert possible, elle crie de plaisir.

 

Tout à coup, les fesses de Patrick se contractent. Il donne deux ou trois coups de bite, ma femme se met à haleter à chacun des coups de boutoir et crie de plaisir, l'homme s'effondre sur ma femme. Elle laisse retomber les genoux des deux côtés. Quand l'homme se laisse tomber à ses côtés, ma femme garde cette position et je vois sa fente grande ouverte dégorger un sperme clair.

 

Au bout de quelques minutes, ma femme se tourne vers Patrick, le sexe encore luisant de mouille et de sperme, et commence à lui caresser le torse, prenant alors ma main elle la guide dans des caresses sur le corps de Patrick. Surpris, je lui obéis, je découvre un plaisir nouveau, inattendu. Je me retrouve en train de malaxer ses tétons, je les sens glisser sous ma paume rouler, vibrer.

 

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Muriel fait glisser ma main vers le ventre de Patrick et discrètement retire sa main de la mienne, je plonge mes doigts dans le fouillis de sa toison pubienne, l’homme ne reste pas insensible, son sexe commence à se dresser. Patrick prend ma main et la pose sur son membre. Comme malgré moi je vois mes doigts, après un instant d’hésitation, se refermer sur l’objet de plaisir et commencer à le branler, d’abord doucement puis de plus en plus vite, lui massant les couilles velues, remontant sur la hampe gonflée, excitant le gland de mes ongles, pour redescendre et recommencer son manège. A ce moment Patrick pèse sur ma tête, et, comme dans un rêve, je prendre dans ma bouche le sexe d’un autre homme. J’arrondi les lèvres et les fait coulisser sur la queue de cet homme, tout en continuant à lui masser les bourses d’une main. Je le suce, m’appliquant à ne pas négliger un seul centimètre de la bite, devenue énorme maintenant. La queue de l’homme est longue, Le gland décalotté est épais, violacé, humide et chaud.

 

Muriel s'écarte et, agenouillée, nous regarde tout en se masturbant. Je taille une pipe à un homme comme si j'avais toujours fait cela, devant ma femme. Il gémit et murmure que c'est bon, il me demande de continuer, car jamais personne ne l'avait aussi complètement bien léché, pompé, aspiré. Sa queue est énorme maintenant et son gland laisse couler un liquide légèrement salé, lui, me branle la queue, enfonçant un doigt dans mon cul, de l'autre main. Il est vraiment très raide et ma langue tournoie sur le gland écarlate. Il me tient la tête et pousse des gémissements, je le suce alors à fond m'attendant à recevoir sa semence au fond de la gorge. Patrick me demande alors :

 

- Veux-tu que je te baise ?

 

à suivre

 

 

Ce chapitre et le précédent ne sont pas de ma main, il s'agit d'une publication anonyme paru sur le site aujourd'hui disparu de Sophiexxx en 1999.

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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 09:35

Muriel et Sylvain, couple coquin.

1 – Franchir le pas

par Sylvain

 

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Marié depuis une vingtaine d'années, la quarantaine, ma femme et moi, nous sommes très unis et avons une vie sexuelle très active. Ma femme, Muriel, plaît beaucoup. Elle a de courts cheveux bruns, une poitrine imposante, en poire et de larges aréoles entourant des tétons très très sensibles, des fesses fermes et bien rebondies. Notre union n'est pas basée sur l'exclusivité sexuelle, aussi tolérons nous nos écarts respectifs à partir du moment où ils ne mettent pas en danger notre couple. Nous avons expérimenté pas mal de fantaisies, la domination soft, les godes aussi bien pour elle que pour moi, et également les jeux uro. L'un de nos fantasmes qui revient souvent, c'est celui où ma femme fait l'amour devant moi avec un autre homme.

 

Ce soir, nous avons décidé de franchir le pas et de nous rendre dans un club échangiste. Pour l'occasion, elle s'était acheté des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex-shops. Bon nombre d'hommes aimeraient la voir dans cette tenue. Sa courte jupe moulante, recouvrait juste son intimité. Je veux dire par là qu'elle était vraiment au ras du sexe à peine couvert par un string minuscule. Un porte-jarretelles et des bas complétaient sa parure, un petit corsage blanc retenait difficilement ses deux globes qui pointaient, supportés par un minuscule soutien-gorge. Ses mamelons étaient durs et visibles.

 

Tous, les hommes j'en étais certain, n'auraient plus qu'une idée en tête : la bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, elle se dandina un peu devant moi, ce qui me fit bander très dur.

 

Nous sommes accueillis dans le club par une superbe blonde habillée d'une jupe ultra courte, cachant à peine ses fesses, et un corsage boutonné jusqu'au cou, mais presque transparent qui laisse deviner la pointe de ses seins généreux. Elle passe devant nous et nous dirige vers une petite salle. A chacun de ses pas nous voyons sa petite culotte de dentelle. Ma femme m'adresse un sourire complice.

 

Un bar occupe tout un côté de la pièce, une piste de danse au milieu entourée de canapés avec de petites tables. Dans le fond de la salle, il y a un couloir avec de chaque côté des ouvertures sans porte, seulement fermées par un rideau. Sur un des murs un écran où est projeté un film X, une femme suce le sexe d'un noir, aux dimensions impressionnantes.

 

Les couples et surtout les mâles présents dans cette pièce, nous ont tout de suite rassurés, ils sont tous soignés et l'ambiance y est feutrée, la musique agréable.

 

Nous nous dirigeons vers le bar et nous asseyons au comptoir. Je regarde ma femme, assise sur un tabouret de bar, sa robe découvre ses cuisses jusqu'à la limite de ses bas, elle est terriblement provocante.

 

Des hommes la matent sans complexe et finalement l'un d'eux, la quarantaine, sportif, un sourire craquant, une bouche sensuelle, très baraqué, se met à nous parler. Cela commence par des banalités, les présentations faites, il s'appelle Patrick, le courant passant, très rapidement, la conversation se fait de plus en plus ouverte. Habitué des lieux il nous explique l'utilité des ouvertures dans le couloir, ce sont des "chambres" pour qui veut y faire l'amour. Je sens à sa façon qu'il a de regarder ma femme, de lui parler qu'il la trouve très jolie, qu'il a envie d'elle.

 

Sur l'écran, la femme se fait maintenant sodomiser par le noir, ses fesses semblent avaler le sexe démesuré de l'homme.

 

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Devant nous, un danseur dénude les seins de sa partenaire et se met à lui sucer les tétons. Cela semble être comme un signal et je m'aperçois que des couples semblent se déchaîner. Dans un coin de la salle un homme débraguetté, le sexe à l'air magnifiquement bandé, se fait caresser par une superbe blonde. Un peu plus loin, assise au bar, jupe relevée jusqu'à la taille, cuisses ouvertes une femme se fait caresser par deux hommes.

 

Ne perdant pas une miette du spectacle de la salle, ma femme, excitée, écarte ses jambes imperceptiblement faisant remonter sa robe sur ses cuisses bien au-dessus des bas, et là où est placé Patrick il peut distinguer la culotte de mon épouse.

 

Je vois Patrick porter sa main à sa braguette, elle forme une bosse bien visible. Pour ma part, je commence à ressentir une vive chaleur du côté de mon ventre et je sens ma bite commencer à se gonfler. Hésitant, Patrick frôle de la poitrine de ma femme. Je lui dis alors :

 

- Tu peux les toucher, elle adore ça !

 

Sans plus hésiter il pose ses deux mains sur la poitrine de ma femme, et soupèse à travers le mince tissu de la robe les lourds nichons. Ma femme frissonne, il commence à lui malaxer les seins, Il a glissé une main dans son corsage et lui masse ses mamelons en érection. Devant le spectacle, je sens ma bite se raidir et gonfler mon pantalon.

 

Patrick invite alors Muriel à danser. Ma femme m’embrasse sur la bouche et s’empresse de rejoindre l’homme sur la piste où les couples s’enlacent au rythme de la musique. Je vois l’homme passer ses mains sur les fesses de ma femme, il y va franchement, et dans le même mouvement il plaque sa bouche sur ses lèvres et l’embrasse goulûment. Muriel lui rend son baiser, et je sais à ce moment-là que quelque chose de nouveau va nous arriver.

 

Elle, si timide et réservée d’habitude, se laisse embrasser en dansant par un homme que nous ne connaissions même pas quelques minutes auparavant. Je suis très excité par ce spectacle, je n’arrive pas à détacher mes yeux du couple qu’ils forment à quelques mètres de moi. Ils continuent à s’embrasser, une main de l’homme est sur les seins de Muriel, il la serre toujours très fort contre lui de son autre main, et ils semblent rivés l’un à l’autre. Maintenant il a carrément passé ses doigts dans l’ouverture du chemisier et il doit être en train de lui exciter le bout du sein. Muriel place sa tête dans le cou de son tourmenteur et se laisse caresser, collée à lui, les yeux fermés, sans un geste de recul ou de refus. L'homme se frotte contre ma femme, il est plus grand qu'elle et Muriel doit sentir son sexe gonflé contre son ventre.

 

Sans aucune retenue, Patrick lui pelote les seins et les fesses, Ses mains quittent alors sa poitrine, s'affairent maintenant sur sa robe, tentant de la retrousser tout en caressant la courbe des fesses et des hanches puis le renflement du ventre. Il s'en donne à cœur joie retroussant presque sa robe jusqu'à sa culotte. Ma femme est si excitée qu'elle est prête à tout, elle a perdu toute pudeur. De mon côté, je suis dans un état d’excitation terrible, et j’ai du mal à empêcher ma main de se poser sur mon sexe tendu à me faire mal.

 

Muriel a posé sa tête sur l'épaule de l'homme. Il prend la main de ma femme, et le guide entre ses cuisses. Muriel ouvre la braguette et plonge sa main dans le slip de l'homme. Patrick, la main dans la culotte de ma femme, a carrément glissé ses doigts entre les fesses de ma femme.

 

Ce chapitre et le suivant ne sont pas de ma main, il s'agit d'une publication anonyme paru sur le site aujourd'hui disparu de Sophiexxx en 1999.

 

à suivre

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 19:22

Une soirée au château

par Sylvain

 

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Je viens par cette belle soirée de septembre où le temps était de la partie, d'organiser une soirée dans mon modeste "château" en Sologne afin de fêter comme il se doit ma nomination comme DRH au sein de la société XXX (merci Papa). J'ai voulu fêter ça décontracté avec pas mal de copains et de prétendus amis de la jeunesse. En fait c'était une idée de Sophie, ma compagne, on avait déjà fait la fête "officielle", non pas la fête, la corvée, et cette présente soirée permettait de décompresser.

 

Nous avions pris la précaution de préciser sur les cartons : "ambiance libertine et décontractée". Ben non, il faut croire qu'il y en a qui ne savent pas lire, un couple a cru intelligent de venir avec ses gosses. Résultat, pas de partouze avant qu'ils ne se décident de partir, un peu après minuit. Et après personne n'osait faire le premier pas, jusqu'à ce que Christelle, une jolie blonde délurée entraîne deux convives derrière un bosquet et en revienne complètement débraillée et le maquillage destroy.

 

Sophie, ma compagne, ne voulant pas être en reste, s'approcha d'un type et quelques minutes plus tard se retrouvait avec sa bite dans la bouche. Cette fois la partie était lancée.

 

Le problème, c'est qu'il ne restait plus grand monde, beaucoup étaient partis, et dans ceux qui restaient pas mal n'étaient plus en état de faire quoique ce soit.

 

Sophie vint à ma rencontre, sa bouche sentait le sperme.

 

- Pfff… un éjaculateur précoce, il n'a pas tenu la distance, dommage il avait une belle bite, je l'aurais bien prise dans mon cul. Et toi ? Tu fais banquette ?

- Je ne sais pas, Christelle ne me branche pas trop, et les autres sont H.S.

- Quelle horreur, tu vas être obligée de t'envoyer ta femme ! Un comble pour une partouze. Plaisantât-elle.

- Mais ce ne sera pas une corvée, ma chérie !

- Heureusement encore ! Pourquoi tu ne te branches pas Nicolas, il est en train de bailler tout seul devant la piscine.

- Et qu'est ce que tu veux que j'en fasse ?

- Je sais pas, moi, vous vous sucez, tu l'encules, ou tu te fais enculer, et après tu me racontes.

- Pas devant tout le monde !

- Qui t'as dit de le faire devant tout le monde ?

 

Je décidais de tenter le coup, pour voir et me retrouvais seul avec Nicolas au bord de la piscine à discuter de tout et de rien, l'alcool n'aidant pas à cacher nos préoccupations réelles... Nicolas me parla de Sophie et m'avoua qu'il était jaloux... Voilà un aveu qui ne manqua pas de me surprendre !

 

Je pensais donc qu'il m'en voulait d'être avec en couple avec Sophie… mais ce n'était pas ça du tout, il m'avoua qu'il était jaloux que Sophie soit avec moi car je le faisais craquer depuis des années... Je fus surpris de sa révélation mais me trouvais flatté tout de même, il me dit que si je voulais je pouvais encore tenter l'aventure avec lui... Je ne savais plus que penser... Faire des galipettes avec un mec ne me dérange pas, mais si le type s'amuse à devenir amoureux, ça ne va plus du tout.

 

Gêné par ses paroles, il me demanda si je pouvais le déposer chez lui car il voulait aller se coucher, je lui proposais de rester ici mais ça ne le tentait pas... alors il insista pour que je le ramène.

 

- J'ai pas mal bu !

- Il n'y a personne sur la route à cette heure-là !

- Si, il y a des platanes !

- Tu rouleras doucement.

 

On est monté en voiture malgré une atmosphère assez pesante entre nous deux, au bout de quelques kilomètres je mis de la musique pour nous détendre un peu. Mais soudain, il arrêta la radio et me demanda de me garer. J'obtempérais sans trop comprendre. Alors, il sortit de la voiture et se mit soudain à courir à travers champs. Je l'appelais pour qu'il remonte en voiture mais il continuait à courir, je me mis à sa poursuite, il venait de rentrer dans un petit bois, fatigué de la soirée je continuais ma poursuite en marchant. La nuit était claire mais arrivé à l'orée du bois je ne voyais plus rien. Cet andouille avait grimpé sur la première branche d'un arbre et sauta de l'arbre juste quand je passais dessous. il se rattrapa à moi dans sa chute, ce qui me fit rouler à terre avec lui... nous étions allongés dans la boue enlacés dans les bras l'un et de l'autre, il me serra fort dans ses bras et commença à m'embrasser dans le cou, j'essayais d'abord de me débattre puis je me suis dit que je pouvais me laisser embrasser.

 

Des baisers dans le cou, on alla vite vers des baisers plus appuyés avec la langue, je me mis à bander car cela m'excitait, Nicolas dû s'en apercevoir car ses baisers furent plus vigoureux. Je sentais son sexe grossir contre moi à l'intérieur de son jean. Ses mains se baladèrent sur mes fesses puis sur mon entre-jambe, je me laissais faire telle une marionnette, il déboutonna mon jean, ses mains glissèrent sur mon caleçon. Il me renversa sur le dos et me dit de me détendre et de me laisser faire, la fatigue et l'alcool aidant, je me suis laisser aller.

 

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Quelques secondes plus tard mon sexe se trouvait en dehors de mon caleçon, je bandais à fond il commença à me branler par de longs va-et-vient puis plus rapidement, me sentant venir il reposa mon sexe sur mon ventre, se mit debout et se déshabilla entièrement (on se trouvait dans un bois en pleine campagne, on ne risquait pas d'être vu). Lui aussi bandait à fond et son sexe me parut énorme, il s'approcha et me dit de le prendre en main comme si c'était le mien et de lui faire ce que je me ferais si j'étais seul. Je le branlais tranquillement pendant qu'il continuait de me déshabiller, après quelques aller-retour sur sa hampe je me retrouvais nu comme lui. Il se coucha sur moi et m'embrassa à pleine bouche puis glissa vers mon sexe en m'embrassant partout sur le corps, il le prit en bouche et me suça aussi bien qu'une femme (même mieux sans doute)... j'étais aux anges je vins rapidement lui envoyant de bonnes giclées de sperme au fond de la gorge, et lui tenant la tête enfoncée sur mon sexe pour qu'il me vide jusque la dernière goutte.

 

Il se mit sur le dos et me regarda avec le sexe tendu vers moi, je compris qu'il attendait que je le suce à mon tour. Pas de problème, les belles queues m'ont toujours attirées, mais néanmoins, je ne voulais pas paraître "céder" trop facilement. Je prétextais ne pas vouloir pendant quelques instants puis me jetais sur son sexe goulument. Je le suçais comme il me l'avait fait et comme j'aurais aimé être sucé... me régalant de sa douce texture et de son léger goût d'urine salée. Il vint rapidement lui aussi et je me suis retrouver englué à mon tour.

 

Profitant de mon sperme comme lubrifiant il me proposa (sans trop y croire) de me sodomiser, j'acquiesçais, lui mentais en disant que la chose était nouvelle pour moi, mais qu'excité comme je l'étais je voulais bien essayer, et me présentais à quatre pattes devant lui avec le cul bien relevé. Il commença par me lécher le fion, puis il fit entrer un doigt dans mon œillet, puis deux, puis trois mais je ne me dilatais pas assez pour qu'il rentre son sexe sans me faire mal, il me dit de faire comme si j'allais chier, il me cracha sur l'anus pour le lubrifier une fois de plus et se cracha dans la main pour se lubrifier le sexe. Ensuite il s'approcha, je sentais son gros gland tendre et chaud se positionner sur ma rondelle puis je le sentis glisser sans problème à l'intérieur puis vinrent des allers-retours rapides puis lents puis de nouveau rapides. Des frissons de plaisirs m'envahirent, puis je sentis une déflagration à l'intérieur de moi, c'était chaud et j'étais super bien.

 

Il se retira laissant mon cul néanmoins quelque peu douloureux et me proposa d'essayer de le sodomiser à mon tour, il me dit que je pouvais y aller comme ça car il avait l'habitude. Il se mit sur le dos avec les jambes repliées sur les épaules, son anus me faisait face, je m'approchais et le pénétrais sur toute la longueur sans ménagement, il eut un cri de douleur car il ne s'attendait pas à ce que je sois si bien remis de ma sucette. Il eut rapidement ensuite des râles de joie, je lui envoyais la purée après quelques va-et-vient, je me suis écroulé sur lui de fatigue avec le sexe encore en lui, on resta encore quelques minutes ainsi puis ce fut la sonnerie de mon portable qui me ramena sur terre, c'était Sophie qui voulais savoir où j'étais. Je la rassurais et raccompagnait Nicolas jusque chez lui.

 

- Merci pour le délire ! Pour toi, c'était purement physique ou il y a avait un petit quelque chose en plus ? Me demanda-t-il.

- Je t'aime bien mais c'était purement physique ! Lui répondis-je, préférant le décevoir plutôt que de lui laisser entretenir de vaines illusions.

 

- Alors Adieu ! Répondit-il, d'une voix triste.

 

De retour au château, je constatais qu'il n'y avait plus personne à l'extérieur. Au salon Sophie discutait avait un bellâtre, ils ne draguaient pas mais donnait l'impression de bien s'être amusés ensemble. Mais sans doute me trompais-je.

 

- Alors, t'as fait quoi ? Me demanda-t-elle.

- Comme tu l'avais prévu ! Répondis-je ne souhaitant pas me dévoiler devant le biquet.

- Hummm… tu me raconteras tout à l'heure ! Elle était bonne sa bite ?

 

Je compris alors que Sophie avait mis au courant Biquet de mes tendances bisexuelles.

 

- Délicieuse ! Je l'ai bien sucé et il me l'a bien enfoncé dans le cul.

- Hummm, tu sais que Henri (le biquet, donc) il aime bien enculer les hommes, ça te dis ?

- Non, j'ai un peu mal au cul, mais en revanche je veux bien lui sucer sa bite.

- On va le faire à deux alors ? Propose Sophie.

- Bien sûr !

 

Henri baisse alors pantalon et caleçon et nous nous précipitons sur son sexe afin de la faire durcir.

 

Un raclement de gorge, l'une des soubrettes embauchées pour faire le service de la soirée est devant nous, un plateau à la main avec un verre et une carafe d'eau dessus.

 

- Voici le cachet que Madame m'a commandé !

- Ah, très bien, j'espère que vous n'êtes pas choquée par ce que vous voyez !

- Oh, non Madame j'en ai vue d'autres !

- Et bien sucez donc ce jeune homme en compagnie de mon mari pendant que j'avale ce cachet. Vous aurez un petit pourboire spécial pour la peine.

- Avec plaisir, Madame.

 

Rideau

 

 

30/10/2010 Sylvain Zerberg ©

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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