Muriel et Sylvain, couple coquin
4 – Exhibitions au bar
par Sylvain
Elles disparaissent, me voilà seul en compagnie de Patrick qui sirote un jus de fruit. Sa main se pose sur ma bite, je décide de me laisser faire. Il me masturbe quelques instants et je ne tarde pas à rebander fort correctement. Je crois alors conforme aux bonnes manières de lui rendre la politesse et je lui tripote à mon tour sa propre bite. Il me dit :
- Il n'y a pas si souvent d'hommes bisexuels ici, mais il y en a, quand ils en voient deux comme nous, ça réveille parfois leurs fantasmes, quand ce n'est pas les fantasmes de leurs copines.
Un jeune black assez fin et complètement nu, passe et repasse plusieurs fois devant nous, apparemment nos attouchements le troublent, puis on le perd de vue. Pas longtemps, le voici qui revient avec une copine, une jolie blackette d'une trentaine d'années au cul magnifiquement cambré. La femme, Betty, nous regarde en souriant, alors que lui semble hésiter. La femme le prend par la main et l'entraîne vers nous. Elle nous aborde :
- Salut les gars, c'est très excitant ce que vous faites, mon copain Laurent aimerait bien se lancer, mais il est un peu timide.
Patrick répond :
- C'est vrai, tu aimerais bien toucher nos bites ?
- Oui, comme ça pour voir !
- Et bien vas-y !
Avec Patrick, on se lâche nos pines de façon à lui faciliter la tâche, il attrape celle de Patrick, la branle un moment, la femme, elle s'occupe de la mienne. Je ne vais quand même pas refuser ça ! Très vite elle se penche et commence à me sucer divinement, puis se relève et s'adresse à son copain :
- Fait pareil, Laurent !
- Je sais pas.
- C'est bien un de tes fantasmes, non ?
- Oui, mais…
- Mais quoi ? On va être obligé employer des arguments frappants.
La femme, demande alors au garçon du bar s'il n'aurait pas un martinet sous la main. Ce dernier lui en prête un, puis Betty ordonne à Laurent de s'arcbouter contre le comptoir, en tendant les fesses, et commence à lui rougir le cul à grands coups de martinet. Laurent encaisse bien et est probablement un habitué de ce genre de sévices. Elle rend le martinet au barman et dit à son copain :
- Met toi à genoux devant moi !
- Oui, maîtresse !
Elle lui crache au visage plusieurs fois et lui balance deux paires de gifles.
- Maintenant, suce, pédale !
Laurent a rangé ses hésitations et gobe superbement la bite de Patrick tandis que Betty a repris la mienne en bouche. Il se forme un petit attroupement devant nous, quelques mecs bandent joliment, mais ils ne font que regarder. Betty me lâche, j'ai la bite raide mais un peu douloureuse. En fait la fille souhaite que l'on échange les rôles, Elle s'en va donc sucer Patrick tandis que Laurent me prodigue sa seconde fellation de la soirée. Il a du progrès à faire, Laurent, sa pipe n'est pas très agréable. Heureusement Betty met assez rapidement fin au jeu et nous demande :
- L'un de vous deux veut l'enculer ?
C'est Patrick qui se porte volontaire, quelle santé celui-ci ! Il descend de son tabouret et propose qu'on aille tous en cabine, mais Betty objecte.
- Non, faisons ça ici, devant tout le monde !
Laurent se met en levrette à même le sol, Patrick lui prépare le cul des doigts et de la langue puis s'enfonce dans son trou du balle en entamant une série d'allers et retours qui font pâmer d'aise le sodomisé. Betty est près de moi et je la caresse un peu partout, profitant de la douceur érotique de sa peau, elle me branle un petit peu, sans trop de précipitation. Mais je reste quand même bien dur. Au bout de dix minutes, Patrick décule sans avoir joui et en donnant de signes de fatigue. Je suppose que Betty va me demander de le remplacer. Mais je me trompais, elle fait relever son mari l'embrasse tendrement et l'entraîne vers une cabine. Il y a des comportements un peu bizarres dans ce milieu.
Me voilà avec la bite toute raide stoppée sur le chemin de la jouissance. Patrick me fait un clin d'œil et me dit :
- Vas-y encule moi !
Là aussi, ça va être une première, j'espère être à la hauteur, et j'entreprends de le "préparer", mais il en a décidé autrement et me tend une dosette de gel intime. Je lui tartine son joli petit cul et je rentre là-dedans comme si j'avais fait cela toute ma vie…
Bandé comme je suis, je ne risque pas de battre le record d'endurance, j'espère quand même tenir assez pour lui donner autant de plaisir qu'il m'en a donné tout à l'heure. Patrick se branle pendant que je le lime. Je finis par jouir dans la capote, je décule, je suis crevé. Patrick finit de se branler et m'éjacule sur le torse. Le barman a la bonté de m'offrir quelques feuilles d'essuie-tout pour nettoyer tout ça.
Muriel et Chantal reviennent, elles sont rigolardes. Muriel me dit :
- Cette salope m'a fait boire sa pisse ! Que c'était bon !
Je réponds malicieusement que tout ce temps pour un gros pipi même suivi d'une douche, ça me paraît bien long.
- Ben, oui, après on a discuté tricot, n'est-ce pas Chantal ? Plaisante-t-elle
- Oui et même que ta femme elle m'a tricoté la chatte.
- Et vous, vous avez fait quoi ? demande Muriel
- On s'est fait sucer par un couple…
- Vous voulez dire que vous êtes fait sucer la bite par un homme ! Feint de s'étonner Chantal.
- Ben, oui, et après j'ai enculé Patrick ! Répondis-je.
- Oh, mais c'est que vous êtes des petits vicieux, vous devez aimer plein de choses, j'adore les petits vicieux.
- Pourquoi petits ?
Nous rions à cette plaisanterie stupide. Je demande à Patrick, de façon machinale ce qu'il compte faire à présent, il me répond qu'il va sans doute rentrer. Dommage. Il nous quitte, il ne nous réclame pas nos coordonnées, nous non plus, cela aura été l'occasion qui aura fait le larron. Je demande à Muriel si elle veut encore rester. Oui, elle se plait bien ici, on va donc rester un moment. Chantal à l'air de lui coller aux basques, il est dommage qu'elles aient fait leurs ébats en cachette, j'aurais volontiers joué le voyeur devant elles.
Deux jeunes mecs, genre macho, mais bien montés s'approchent des femmes, quelques minutes après ils s'en vont tous les quatre vers une cabine. Pour la première fois, je ressens un petit sentiment de jalousie. En fait je ne suis jaloux quand je ne suis pas présent. Bizarre…
Je commande un verre. Le garçon me fait la causette :
- Il est sympa, Monsieur Patrick, dommage qu'il soit parti. J'avais envie de me faire enculer, c'est lui qui m'a initié un jour, depuis j'adore ça. Euh…. Ça vous tenterait ?
- Je suis un peu fatigué, mais on peut toujours essayer. On fait ça où ?
- Faut attendre la fin du service, dans une heure. Vous ne le regretterez pas, j'ai un joli petit cul, vous voulez le voir ?
- Je le verrais tout à l'heure !
- Mais non, passez donc derrière le comptoir, je vais vous le montrer. J'aime bien montrer mon cul !
(à suivre)
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