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Muriel et Sylvain, couple coquin
6 - Vestiaires
par Sylvain
Ce gros plein de soupe de Robert m'introduit deux doigts dans le fondement, c'est vrai que ça fait du bien et que ça donne un coup de fouet à ma vigueur. Sa compagne Danielle se croit obligé de faire dans le commentaire à défaut de faire dans la poésie.
- C'est ça que t'attendais, hein mon salaud ! Qu'on te trifouille ton cul de pédé. Tu aurais dû demander à Robert qu'il t'encule avec sa grosse bite ! Hein tu aurais aimé ça qu'il t'encule ?
Je ne sais pas pourquoi mais ces paroles m'excitent terriblement aussi je réponds dans le même registre :
- Oh, oui, j'aurais bien aimé qu'il m'encule !
Je sens enfin la jouissance monter, Danielle, elle, commence à pousser des petits cris. La voilà qui jouit du cul, ça la fout un peu dans les vapes. Je décule sans avoir joui, je veux me réserver pour la suite, mais Madame a un autre plan.
- Vas-y décharge moi sur le visage, arrose-moi, petit pédé !
Je suis au pied du mur, bien sûr que je pourrais refuser, mais bon… Je me branle, je, me branle mais ça ne vient pas.
- Qu'est-ce que tu aimerais qu'on te fasse pour que tu y arrive ? Demande Danièle.
En profiter pour laisser tomber, mais non je leur explique :
- Pincez-moi les tétons !
Robert à compris et se callant derrière moi, m'attrape mes bouts de seins, il s'y prend comme un manche.
- Non, pas comme ça, plus fort, mais sans les ongles.
Bon, c'est pas l'extase, mais c'est mieux, je me remet à me branler frénétiquement, je ferme les yeux, et cherche une image érotique dans mon cerveau pour m'aider. Bizarrement c'est l'image de la bite de Patrick qui s'imprime. Me voilà en train de me masturber en pensant à une bite… et ça marche, j'éjacule sur le visage de Danielle.
- Tu veux lécher ?
- Non, merci
- Tu ne veux pas m'embrasser pour me dire au-revoir ?
Ben voyons et comme ça je vais encore me retrouver avec plein de sperme dans la bouche. Bon, ben quand faut y aller, faut y aller, je roule une galoche à la dame, je m'arrange néanmoins pour que ça ne s'éternise pas et je prends congé. Robert me serre la main, il bien poli cet homme.
Je file au vestiaire, avec l'intention, une fois rhabillé d'informer le barman que je ne donne pas suite à sa proposition… trop crevé…
Au vestiaire sur un tabouret, il y a une très belle femme, très classe, bronzée, chignon sur la tête et port altier. Je ne l'ai pas reconnu se suite, mais c'était celle qui a sucé brièvement le téton de Muriel avant qu'elle s'en aille avec Chantal. Elle est à poil mais elle a des bijoux partout, madame est une bourgeoise et doit tenir à ce que cela se sache. Elle termine une conversation téléphonique, elle se lève et se dirige vers son casier, elle s'aperçoit de ma présence et me fait un sourire, que je lui rends bien évidemment. Elle se met soudain à humer l'air ambiant
- Humm ! Je ne crois pas me tromper, vous sentez le sperme, cher monsieur. Je me trompe ?
- C'est bien possible !
- Vous avez fait quoi, vous avez sucé des bites ?
A un autre moment, j'aurais répondu quelque chose qui aurait pu favoriser le rapprochement, mais en ce moment j'ai surtout besoin d'un bon oreiller, alors supposant qu'elle ne voit pas les rapports homos d'un très bon œil, je lui réponds avec un doigt de provocation :
- Ouais, une bonne bite bien juteuse !
- Je pourrais gouter ?
- Pardon ?
- Ne faites pas l'innocent, vous n'êtes pas gay, vous ne seriez pas ici, vous êtes bisexuel et donc vous n'avez rien contre les femmes à moins que je ne sois pas votre genre ?
- Si ! Vous êtes une très belle femme, mais voyez-vous, je suis épuisé !
- Mais vous vous méprenez, mon ami, je ne vous ai pas demandé de me baiser, mais de m'embrasser sur la bouche.
Bon je ne vais pas refuser ! La dame à l'air de se régaler du goût de ma bouche ! Son baiser est agréable, mais je n'arrive plus à bander.
- Tournez-vous, j'aimerais goûter votre cul !
Je le fais par réflexe.
- Allez écartez-moi bien tout ça !
J'attendais sa bouche mais c'est son doigt qui vient me titiller. Quelques allers-retours, quelques pivotements, puis elle ressort, constate l'état de son doigt (ben, oui il n'y a que dans les films porno où les doigts et les bites sortent des culs avec une propreté immaculée) et le porte à la bouche.
- Oh ! J'adore lécher mon doigt quand il ressort d'un cul. Que voulez vous quand on est dépravée autant l'être complétement !
- Vous ne seriez pas un petit peu cochonne ?.
- Très cochonne ! Mais tout cela est délicieusement pervers. 500 euros ça vous dit ? Me dit-elle.
- Ce n'est pas dans mes moyens et en plus comme je vous ai dit, je suis épuisé !
- Vous vous méprenez, c'est moi qui vous propose cette somme… et ce que je vais vous demander ce n'est pas pour tout de suite, on fera ça la semaine prochaine.
- Et vous voudriez que je fasse quoi ? Demandais-je par pure curiosité.
- Sucer et vous faire sucer par mon mari, puis vous enculer !
- Mais pourquoi de l'argent, on peut faire ça ici, un autre jour, gratuitement ?
- Mon mari fantasme là-dessus, mais il ne le fera jamais ici, c'est quelqu'un d'assez connu qui tient à sa réputation, donc nous ferons ça à la maison.
- Et est-ce que je pourrais vous… je veux dire…
- Vous voulez savoir si vous pourrez me baiser ? C'est ça ?
- Je n'avais pas l'intention d'employer des mots aussi cru…
- Bof ! Quand on est salope, on assume ! Alors oui, vous pourrez, je serais votre pute, mais à ce moment-là je ne vous verserais que 300 euros. Donnez-moi votre numéro de portable, je vous appelle demain. Je m'appelle Isabelle !
Un truc de ouf ! On verra bien si je donne suite. Trois personnes sont entrées dans le vestiaire
On se rhabille chacun de notre côté sans rien dire. Je suis (évidemment) prêt avant Julia.
- Au revoir madame !
- A bientôt, cher monsieur, j'espère que vous ne vous défilerez pas !
Le bar est indiqué comme étant fermé mais le barman somnole sur une chaise. Je l'informe qu'il ne m'attende pas.
- Dommage, je vais te faire boire un truc, en principe ça requinque bien ! Tiens bois ça !
- Je bois son truc, un vague goût de quinquina, ni bon, ni mauvais.
- Dans un quart d'heure tu vas péter à nouveau des flammes !
Ça m'étonnerais, je n'ai plus envie de rien, ma libido est tombée à la cave, et je ne veux qu'une seule chose : dormir.
- Tu rentres comment ? Me demande-t-il
- Je vais essayer de chopper un taxi, sinon c'est pas si loin, une petite demi-heure à pied. J'habite le XIIème
- Ça tombe bien moi aussi.
Il ment, il veut m'accompagner en espérant que son breuvage de merde me redonne envie de faire des galipettes. Mais d'un autre côté ça me fera une compagnie…
La nuit est un peu fraîche, c'est agréable. Ludovic, puisque c'est le nom du barman est très bavard et il nourrit la conversation quasiment à lui tout seul en me racontant quelques anecdotes croustillantes sur cette boite échangiste. On traverse le pont d'Austerlitz, je me sens mieux, je me sens vraiment mieux. Son remède miracle serait-il à ce point efficace ?
- On dirait que ton truc commence à me faire du bien !
- Je te l'avais dit !
- Par contre, j'ai une de ces envies des pisser !
- Et bien vas-y, pisse il n'y a personne !
Personne, c'est vite dit, il y a quand même quelques voitures qui passent. On se camoufle derrière un abri bus. Je sors ma queue et me mets à pisser d'abondance. Ludovic me matte, sa main s'avance, il va me la tenir, ma parole ! Ça y est, il me la tient
- Laisse-moi la dernière goutte !
Quel cochon, je lui offre donc ma queue molle alors que j'ai presque fini. Trois minutes après elle ressortait bien bandée et bien rincée.
- A ton tour ! dit-il en sortant sa queue et en commençant à uriner.
Encore une première, j'ai peut-être hésité un tout petit peu avant de mettre son paquet dans la bouche, avant qu'il ait fini de se soulager. Son pipi n'est pas trop fort, mais cette sensation d'avoir un morceau de chair dans la bouche et qui gonfle de volume, quelle émerveillement. J'en suis tout émoustillé. Vivement qu'on soit arrivé à la maison !
Il m'attrape la main, je ne la refuse pas, nous voici en train de déambuler la main dans la main. Ça m'amuse.
- Sales pédés ! Crie un automobiliste en nous doublant.
On éclate de rire. On s'arrête un moment on s'embrasse fougueusement sur la bouche et on repart en se tenant par la taille.
(à suivre)
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