Mardi 28 novembre 2023 2 28 /11 /Nov /2023 14:45

Pizzas magiques par Lazenby
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Je me nomme Lucas, j’ai 30 ans et suis célibataire mais j’ai une copine en ville, elle s’appelle Carole et ce soir-là j’étais partie chez elle, une jolie petite blonde avec des seins comme des obus. Elle me reçoit chaleureusement, on s’embrasse, on se pelote.

– On va dans ta chambre ? demandais-je tout excité.
– Y’a pas le feu, j’ai envie que tu me racontes une belle histoire bien cochonne, et si tu réussi à m’exciter bien comme il faut on s’enverra en l’air.
– Pas de soucis

Alors voilà !

C’était un repas de famille, on prenait l’apéro en attendant le livreur de pizzas

Autour de la table nous étions six. il y avait mon père Charles, 57 ans, ma mère Solange 55 ans, encore très bien conservée avec des fesses rebondies et des seins gros et biens ronds. Elle aime s’habiller encore sexy avec de beaux décolletés. Ma sœur Florence 37 ans aussi jolie que ma mère ainsi que son mari Richard 38 ans et leur fille Delphine 19 ans qui elle tenait autant de la mère que de la grand-mère.

On a sonné, c’était le livreur de pizzas.

– On n’avait plus de pizzas quatre saisons, alors la maison vous offre des pizzas magiques, on vous a fait 50 %…
– Il y a quoi dans la pizza magique ?
– Une surprise ! Je vous laisse, j’ai plein de livraisons à faire.

On a commencé à manger nos pizzas et soudain j’ai senti la jambe de ma mère se coller contre la mienne, j’ai aussitôt ressenti une chaleur me monter à la tête. Mon père se mit à raconter des anecdotes de sexe particulièrement osées, et plus il racontait plus ma mère appuyait sa jambe contre la mienne. à un point même que je croyais qu’elle faisait exprès pour la faire monter descendre contre ma jambe. Elle commença aussi à coller son bras contre le mien tout en mangeant sa pizza. Je n’en pouvait plus, je glissais discrètement ma main comme si j’allais me frotter la cuisse et je la posais sur le côté de la cuisse de ma mère. J’ai senti immédiatement sa réaction. Elle avait l’air d’aimer ce traitement car elle se collait davantage. Soudainement la main de ma mère se retrouva sur ma braguette. J’étais bandé au maximum et ma mère s’en aperçut car elle me fit un clin d’œil complice. Plus ma mère mettait de la pression plus ma main s’aventurait sur son entre-cuisse, jusqu’à toucher sa petite culotte..

Puis mon père se leva prétextant vouloir aller aux toilettes. Delphine s’écria alors :

– OHHH!!!! WOW !

Son père Richard lui a demandé qu’elle était l’objet de son émoi. Delphine répondit qu’une bosse déformait le pantalon de son grand-père. Richard répliqua :

– C’est normal avec ces histoires que racontent Charles, moi aussi ça m’a excité. Dis Delphine tu veux voir ma bosse de plus près en réel ?

Mon père éberlué n’osa pas répondre mais Richard revenait à la charge :

– Allez beau-père fais-lui ce plaisir, ça lui permettra de voir une bonne bite d’homme bien bandée !

Alors mon père s’exécuta, baissa sa fermeture éclair devant les yeux éberlués de Delphine et extirpa son sexe gros et dur. Une bien belle bite qui me fit saliver d’envie ! Richard demanda à Delphine si elle voulait lui toucher. Delphine timidement tendit la main vers le sexe dur à souhait. Delphine commença à caresser le membre de son grand-père. Mon père ferma les yeux pour sentir la sensation de la caresse de Delphine. Puis Richard se leva d’un trait et alla se placer à coté de Delphine, baissa son pantalon et dis à Delphine :

– Regarde la queue de ton père, elle aussi elle est belle !

Delphine regarda son père et lui sourit tout en prenant dans l’autre main sa queue hyper excitée

Pendant ce temps-là ma mère n’était pas restée inactive à la vue du spectacle offert, elle baissa ma fermeture éclair et sorti mon membre bien raide et le caressa avec ardeur, alors que moi j’avais déjà mes mains dans son décolleté pour lui caresser ses gros seins. Ma sœur était en face de nous avait baissé sa culotte et se caressait la chatte. Elle me dit alors :

– Lucas lève-toi, je veux voir ta queue se faire sucer par maman. Vas-y maman, sois cochonne suce bien la bite de ton fils.!

Je me levais d’un trait et présentais ma queue à la bouche de ma mère qui la goba aussitôt.

A l’autre bout de la table; Delphine était étendue au milieu des assiettes, elle suçait la queue de son père qui lui avait baissé sa culotte. Ma mère invita ma sœur à l’accompagner, elle se leva et au lieu de s’occuper de moi elle vint caresser le cul de ma mère. Florence dit à ma mère qu’elle avait envie de lui manger la chatte. Ma sœur appuyait sa langue sur le clito de ma mère. Pendant ce temps-là Delphine râlait; elle dit à ses deux partenaires :

– Je suis chaude come la braise, j’ai envie de sentir vos deux queues.
– Allons dans le salon nous serons beaucoup mieux. Proposa mon père

Ce que nous fîmes !

Mon père, Richard et Delphine avaient pris place sur le canapé tandis que moi je m’asseyais dans le fauteuil, ma mère se plaça à mes pieds voulant encore avoir ma queue dans sa bouche. Mon père coucha Delphine sur le côté et pénétra sa petite-fille tandis que Richard, son père lui présenta sa queue à sucer. Ma mère se leva et me dis qu’elle avait envie de se faire pénétrer par ma queue. Elle s’empala sur mon membre bien raide et demanda à sa fille de venir lui lécher le clito. Florence à quatre pattes vint sucer sa mère. Mon père avait une vue imprenable sur son cul. Il se leva et demanda à Richard de prendre sa place et se dirigea vers Florence en lui disant :

Lazenby

– J’ai envie de ton cul.
– Oui vas-y papa encule-moi, je la veux ta queue dans mon cul. Répondit Florence

Et mon père lubrifia bien l’anus de Florence et l’encula d’un coup sec. Pendant ce temps-là je pistonnais ma mère et je ne pouvais plus me retenir bien longtemps et lui dis que j’allais jouir. Elle me répondis :

– Fiston je veux gouter à ton jus.

Elle s’excusa auprès de Florence de la déranger, elle se leva et commença à me pomper avec vigueur. C’est à cet instant que je giclais toute ma semence dans la bouche de maman, qui la garda dans sa bouche puis alla embrasser Florence pour qu’elle puisse y gouter.

Mon père continuait de pistonner le cul de ma sœur et lui dis :

– Je veux te la mettre partout et finir dans ta bouche.

Ma mère insatiable alla rejoindre son gendre et sa petite-fille; elle a sorti la queue de Richard de la chatte de Delphine et la présenta à l’anus de celle-ci qui s’exclama :

– Oui papa encule-moi je la veux.

Richard ne put résister longtemps à ce traitement, ma mère le sentit jouir et sorti la queue gluante de sperme et de merde pour la mettre dans sa bouche pendant que Richard était pris de violents spasmes et envoyait sa purée. Ma mère se délectait. Mon père toujours occupé avec sa fille demanda à sa petite-fille de venir aider sa mère à gouter à sa semence. Et envoya trois ou quatre jets de sperme.

Après un petit break à coup de bon vin d’Italie, mon père a voulu m’enculer. Devant une si belle bite je ne pouvais refuser, j’ai commencé par bien la sucer avant qu’il me la foute dans le trou du cul. Et pendant qu’il me sodomisait Richard est venu devant moi pour m’offrir son sexe à sucer.

Après tout ça, nous sommes tous effondré de fatigue sur le plancher.

– Mais que nous est-il arrivé ? Demanda mon père quand il reprit ses esprits.
– Ce doit être les pizzas magiques ! Suggéra ma mère !
– Il faudra qu’on en recommande, alors !

Et voilà mon histoire.

– Ben dis donc tu en as des drôles de fantasmes ! Me dit Carole.
– Ça t’as excité au moins ?
– Ça on peut le dire !
– Alors on va dans ta chambre !.
– Mais bien sûr mon gros biquet !

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 25 novembre 2023 6 25 /11 /Nov /2023 08:43

L’éducation de Pascaline par Mathilda Stenberg
bisou1719

Bonjour, je suis Pascaline. Il y a quelques années, jamais je n’aurais imaginé pouvoir raconter mes histoires de cul.

Je n’étais pas la dernière des gourdes mais tout ce qui touchait au sexe me faisait peur. J’avais la terrible angoisse de baiser et de me retrouver nue avec un homme et couchée dans le même lit. Mes angoisses, c’était de mal faire les choses, de ne pas être à la hauteur, de paraître ridicule et d’être incapable de m’occuper du sexe de mon partenaire. J’étais pleine de doutes et remplie d’hésitations même si je savais que je plaisais beaucoup aux garçons.

Et plutôt que d’être confrontée à leur désir (et à leur queue toute dure devant moi, si j’ose dire ), je préférais me masturber et vivre des relations imaginaires. C’est en arrivant à la faculté de Bordeaux que je me suis complètement dévergondée, au grand dam de mes parents qui espéraient, pour moi, des études brillantes et une carrière réussie dans la magistrature.

A Bordeaux, j’ai fait la connaissance d’Aurore. Comme moi, elle était étudiante. Nous avons sympathisé sur les bancs de l’amphi et elle m’a proposé de partager avec elle son grand appartement tout en payant la moitié du loyer. Aurore était le contraire de moi. Elle parlait de garçons et de cul sans arrêt et vivait quasiment nue toute la journée. Elle me racontait ses expériences dans les moindres détails. Elles préféraient les hommes murs et mariés. La situation de maîtresse et les relations troubles des rencontres adultères l’excitaient beaucoup. Cela se passait le plus souvent dans des hôtels ou dans des garçonnières discrètes. Je savais tout de ses rendez-vous clandestins et j’étais souvent jalouse d’elle quand elle rentrait à la maison et me disait, sans aucune gêne :

– Il m’a bien baisée, le salaud ! Je n’ai pas arrêté de jouir. Je n’en peux plus ! A la fin je lui ai demandé un petit billet ! Il a joué les offusqués en me reprochant de faire la pute ! Je lui ai répondu qu’effectivement ça m’amusait beaucoup ! Fallait voir sa tronche !

Aurore n’amenait jamais ses amants de rencontre à la maison pour rester totalement libre. Elle leur faisait croire qu’elle vivait encore chez ses parents.

Quant à moi, je n’avais rien à lui raconter. Parfois, je mentais mais Aurore semblait s’en apercevoir tout de suite et je rougissais. Un jour, elle m’a lancé :

– Ne me dis pas que jolie comme tu es, tu es encore pucelle !

C’était pourtant vrai. A dix-huit ans, mon sexe n’avait connu que mes doigts. Et c’est Aurore qui s’est chargé de me pervertir et de me faire découvrir tous les plaisirs du libertinage. Non pas en me présentant à l’un de ses nombreux partenaires mais en s’en chargeant elle-même. Un soir, elle est venue se glisser dans mon lit. C’était juste pour bavarder un peu? Elle ne portait qu’une petite culotte en dentelle et, après m’avoir raconté ses dernières aventures avec un toubib de la ville, elle m’a questionné sur les miennes avant de me demander, sur le ton de la plaisanterie :

– Tu n’es pas gouine, au moins ? Remarque, j’ai rien contre les filles qui font ça entre elles.

Deux minutes plus tard, elle m’embrassait en ajoutant :

C’est même très bon, entre filles !

PascalineJe n’avais jamais eu de fantasmes bisex pourtant, je ne refusais ni sa bouche ni ses mains qui caressaient déjà mes seins et dont je sentais les pointes s’ériger sous ses doigts. En riant, Aurore m’a dit :

– Je vais t’apprendre à être une bonne petite salope.

Ses lèvres se sont de nouveau posées sur les miennes et sa main est descendue lentement sur mon ventre avant d’atteindre ma chatte. J’étais déjà toute mouillée. Entraînée par un délicieux tourbillon de sensations, je me laissais faire et j’écartais bien mes cuisses pour m’offrir aux attouchements de ma copine. Aurore a quitté ma bouche pour pencher sa tête vers mes seins. Elle a sucé et léché mes tétons l’un après l’autre. Plusieurs fois, elle m’a demandé :

– Tu aimes ce que je te fais ?

J’éprouvais trop de plaisir pour lui répondre d’autant plus que ses doigts excitaient toujours ma chatte. Pourtant, je ne me sentais pas du tout gouine mais j’adorais ce qu’elle me faisait et je n’avais qu’une envie : qu’elle continue ! Ce fut encore plus fort quand Aurore s’est mise à embrasser ma chatte et à la titiller avec la pointe de sa langue. Elle l’insérait entre mes lèvres que je sentais gonflées de désir et s’attardait sur mon clitoris, me faisant gémir de plaisir.

– Qu’est-ce que tu mouilles ! M’a-t-elle dit, il était temps de te faire dépuceler, je crois !

Ses caresses me rendaient folle. J’étais prête à jouir mais Aurore a retardé mon orgasme en revenant m’embrasser sur la bouche. Sa langue avait gardé le goût de ma chatte et elle a pris mes mains pour que je lui caresse ses seins avant de me demander de la toucher en bas, entre ses cuisses. Elle aussi était trempée. Je l’ai masturbée de la même manière que si je me masturbais moi-même, pressant mes doigts sur son clitoris et frottant sa fente. Je savais très bien comment fonctionnait le corps d’une femme et c’était facile, pour moi, de rendre à Aurore tout le plaisir qu’elle venait de me donner. Au bout d’un moment, elle s’est mise tête-bêche sur moi. J’avais son joli minou blond juste au-dessus de mes yeux et je pouvais également découvrir le petit orifice sombre caché entre ses fesses.

Je n’ai eu qu’à approcher ma bouche pour la lécher, pour goûter ce sexe de femme et le fouiller avec ma langue. Je me souviens d’un véritable feu d’artifice dans ma tête quand j’ai joui. Tous les muscles de mon corps se sont raidis et je n’ai pas pu retenir mes cris. Aurore a passé la nuit dans mon lit et avant de s’endormir, elle m’a murmuré, le regard animé d’une lueur espiègle :

– Je t’apprendrais tout. Tout ce que doit savoir une fille pour s’éclater avec les mecs.

Cette relation, exclusivement homosexuelle de mon côté, a duré plusieurs semaines. Ca me plaisait qu’Aurore veuille tout m’apprendre. Je me comportais comme une élève docile et appliquée et elle, comme un professeur attentionné. J’avais fini par lui révéler que j’étais totalement vierge et Aurore m’avait promis de me trouver quelqu’un de très bien pour mon premier passage à l’acte. Mais en attendant, elle continuait de m’initier chaque jour. Elle est allée jusqu’à entrer dans un sex-shop de Bordeaux pour acheter un godemiché. Elle me l’a présenté en me disant :

– Voilà ! C’est la même chose, un homme qui bande.

Nous rions beaucoup pendant les petites leçons particulières de sexologie qu’elle me donnait. Aurore me montrait comment caresser une queue, comment la lécher, la sucer? Elle me répétait :

– Les mecs, c’est pas compliqué. Dès que tu leur touches la queue, ils sont contents. Chez eux, tout se passe au-dessous de la ceinture. La bite, les couilles et certains aiment bien qu’on s’occupe un peu de leur petit trou.

Et justement? Aurore me débarrassait peu à peu de tous mes tabous ou de tous mes blocages. Aujourd’hui, je ne peux que l’en remercier. Elle m’a fait découvrir les délices d’une langue coquine entre les fesses ou ceux d’un doigt délicat en fureteur dans l’anus. Elle s’est occupée progressivement de mon dépucelage anal tandis que par-devant, elle me pénétrait souvent avec le godemiché. Le premier objet qu’elle a introduit entre mes fesses fut une bougie. Je trouvais ça très excitant d’être pénétrée de cette manière ce qui faisait dire à Aurore que j’étais aussi salope qu’elle. C’était vrai. Je jouissais autant avec la bougie dans le cul qu’avec le gode dans ma chatte. En quelques semaines, elle avait réussi à faire de moi une vraie petite garce, vicieuse et complètement pervertie. Je ne lui refusais rien et c’était même moi qui lui réclamais mes leçons de sexe, comme elle disait. J’étais étonnée par toutes les capacités à jouir de mon corps. Je pouvais éprouver du plaisir avec mes tous mes orifices et chaque fois que nous faisions l’amour, j’avais envie de repousser encore plus loin mes tabous. Tout me plaisait et il me fallait, maintenant, découvrir la jouissance avec un homme.

C’est encore Aurore qui s’est chargé de le trouver. Elle avait rencontré un architecte, très mignon et très séduisant d’après elle. Un type d’une quarantaine d’années et très bon baiseur :

– On pourrait se faire un truc à trois. Je suis sûre qu’il ne serait pas contre. Il n’a pas une grosse queue mais il peut bander pendant des heures.

C’est ainsi qu’un soir, j’ai fait la connaissance de Frédéric. Nous nous sommes retrouvé tous les trois dans un restaurant espagnol. Il me plaisait beaucoup mais j’étais très intimidée. Je m’étais habillée de manière très sexy avec des jolis dessous. Heureusement, Frédéric remplissait sans cesse mon verre de vin et l’alcool m’aidait à me détendre et à me sentir moins nerveuse. Quand Frédéric s’est levé de table pour régler l’addition, Aurore s’est penché vers moi et m’a murmuré :

– Alors ? Il te plaît ? On va aller prendre un verre chez lui.

J’étais un peu saoule et à présent, je n’avais plus du tout peur. En plus, faire ça à trois avec Aurore me sécurisait un peu. Moins d’une heure plus tard, je suçais mon premier sexe d’homme, ma première queue, tandis qu’Aurore lui doigtait l’anus. Et c’était mille fois meilleur et plus excitant que le godemiché d’Aurore. Nous avons passé une nuit complètement folle. J’ai tout donné de moi à Frédéric, il a pu me prendre par tous les orifices mais aussi, me voir en 69 avec Aurore.

Cette soirée fut un véritable déclic dans ma vie. Par la suite, j’ai rencontré beaucoup d’hommes. Tout comme Aurore, je faisais croire que j’habitais encore chez mes parents et j’allais faire l’amour dans des hôtels, dans des voitures, dans la nature. Et quand je sentais que le mec avait du fric je faisais ma pute. Et lorsque je retrouvais ma copine, cette fois, j’avais beaucoup de choses à raconter. J’ai continué à avoir des relations avec elle mais aussi, à partager certains de nos amants. Je suis devenue plus allumeuse dans la rue et c’est comme ça que, petit à petit, j’ai découvert une autre facette de moi : la provocation et l’exhibitionnisme. Certains de mes partenaires m’ont permis d’évoluer dans mes fantasmes. Quelques années plus tard, je prends un plaisir inouï à m’exhiber sans pudeur devant des hommes, que ce soit sur les plages naturistes, les boîtes échangistes les saunas… C’est dans un sauna que j’ai vu pour la première fois de ma vie deux hommes s’enculer. Une vision qui m’a profondément excité

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 14 novembre 2023 2 14 /11 /Nov /2023 09:56

Folle semaine par Filou01

 

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Me voilà seul pour la semaine, ma petite famille étant partie chez ma belle-famille et moi devant rester au boulot. J’attendais ce moment avec impatience pour m’adonner à quelques plaisirs solitaires voir plus.

Le lundi soir, je m’étais programmé un petit surf coquin et pour m’éviter des séances de nettoyage fastidieuses (et oui je pensais bien être amené à me masturber devant mon écran), j’avais fixé sous mon bureau un récipient pour accueillir ma semence. Je me suis mis à mon aise, c’est à dire nu, puis j’ai lancé mes recherches de vidéos X. Pas facile de trouver du gratuit mais je finis par en trouver des biens excitantes et d’ailleurs je sens une chaleur au niveau du sexe, ma bite est déjà bien raide. Je la saisis de la main gauche et débute une branlette lente et maladroite (je suis droitier). Les images de fellation, pénétration défilent alors que des cris de plaisir arrivent dans mes écouteurs. Les mouvements de ma main gauche ne me satisfaisant pas, je change de main après avoir mis en boucle les meilleures vidéos. Une fille aux seins superbes est à califourchon sur un mâle en rut assis sur une chaise. Elle monte et descend pour s’empaler sur cette bite bien raide, il lui titille le clitoris. Un gros plan est fait sur cette chatte juteuse pénétrée par la queue bien droite, elle rentre, elle sort. Le gars pousse un gémissement grave, la femme cri son plaisir, des coulées blanchâtres descendent le long de la verge et moi je sens monter la jouissance, je ralentis le mouvement de va et vient. Les jets de sperme se succèdent dans un plaisir délicieux pour ma 1ère éjaculation de la semaine. Je continue mon surf tout en me caressant le sexe avec ma main gauche. Une heure passe et la moisson de vidéo est intéressante, ma queue reprend de la vigueur et l’envie d’une 2ème explosion se fait sentir.

Mais j’ai envie d’une excitation différente, plus proche de la pénétration d’une chatte, je me lance dans ma petite fabrication maison. Pour se faire, je prends un tube carton d’essuie-tout, j’utilise les dernières feuilles, les superpose les unes aux autres et les habille sur une face d’un sac plastique fin fixé avec du ruban adhésif. Je roule ces feuilles dans le tube carton avec la face plastique côté intérieur, les fixe à celui-ci puis je vérifie que mon sexe légèrement tendu pourra s’y glisser. J’enduis l’intérieur avec de l’huile de cuisine pour permettre un bon glissement et je coince ce tube entre le matelas et le sommier. Il ne me reste plus qu’à mettre l’ordinateur portable sur le lit, à m’agenouiller et je me retrouve avec la bite en face de mon « tube vagin ». Depuis peu j’utilise un préservatif qui évite à fermer l’extrémité du tube mais surtout les sensations de frottement sont plus agréables. Je me branle pour raidir encore mon sexe afin d’enfiler le préservatif puis pénètre mon tube alors que les vidéos commencent à défiler sur mon écran. Je suis accroupis au bord du lit, le haut de mon corps est incliné sur le matelas et ma queue va et vient dans mon « tube vagin » au rythme de mes hanches. La sensation est vraiment proche d’une chatte mouillée et quand mon sexe gonfle encore, les parois du tube le serre de plus belle. Alors que sur la vidéo une belle brunette inconfortablement installée sur une banquette, les jambes en l’air maintenues par un homme accroupis devant elle, lui assène des coups de butoir violent. J’entends ses gémissements ainsi qu’un doux son de succion à chaque enfoncement de la bite dans sa chatte trempée, il y va à fond, je la vois secouée, ses seins ballottés, se mordant les lèvres de plaisir. Le gros plan sur cette bite qui s’enfonce puis sort et ainsi de suite de ce vagin tout ouvert me fait accélérer mes mouvements. Le gars s’arrête, se retire, viens à la hauteur du visage de cette belle jeune fille et se branle pour se vider les couilles sur sa jolie frimousse. Et c’est à ce moment exaltant où il l’éclabousse de son sperme que j’explose massivement dans mon tube. Pour quelques instants, je viens de la sauter par écran interposé et le plaisir était tout aussi intense.

Ce fut un bon début de semaine et comme elle s’annonce longue j’arrêterais là pour ce soir.

Le lendemain matin, je me réveille avec une bite bien raide, je la prends en main et me dirige à la douche pour une bonne petite branlette comme je les aime. Du savon, de l’eau et la queue qui glisse toute seule dans ma main qui va et vient. La vue, dans le miroir qui recouvre tout le mur du fond, de ma queue raide et mes couilles se balançant dans le rythme de ma masturbation est un plus à l’excitation. Dans la main gauche, je tiens la « pomme » de douche pour la diriger sous mes bourses. Le jet d’eau qui en jaillit ajoute du plaisir, ma queue se raidit pour se mettre au garde à vous, le gland devient violet foncé. Je ralentis mon mouvement pour profiter au mieux de cette montée lente de mon orgasme, la verge vibre, gonfle encore et mon sperme gicle sur le miroir et entre mes doigts. La journée commence bien. Le soir après une journée de labeur, je repasse par la douche et puis continue mon surf à la traque de vidéo de fellation. Le visionnage est terriblement excitant, je bande dur et une immense envie de me faire sucer me submerge. Je ne vois qu’une solution, aller voir une des belles blacks qui en échange d’un billet prendra ma bite en bouche.

Je me rhabille, mon excitation est telle que mon sexe reste raide et qu’en sortant de chez moi, il est impossible que la voisine que je croise dans l’escalier ne s’en soit pas aperçu. Les belles filles noires sont là, près de la gare, je fais un 1er passage de repérage et une d’elles me fait bander de plus belle, elle est magnifique. Je m’arrête à sa hauteur, ouvre la glace. Elle m’indique son tarif, un hochement de tête et elle est assise à côté de moi. Elle me guide vers un parking sombre, je m’arrête, lui donne son billet, incline mon siège, elle défait les boutons de mon jean et sort ma bite toujours raide. Elle l’enfourne tout entière dans sa bouche et l’enserre avec ses lèvres pulpeuses, je jouis. Ma position me permet de caresser ses fesses bien fermes et d’une infinie douceur. Alors qu’elle poursuit à bon rythme ses va et vient sur ma queue tendue, je lui saisis un de ses seins, il est divin sous ma main, il m’excite davantage, je le pelote énergiquement. Elle est passé aux petits coups de langue sur mon gland et lèche les petites gouttes qui perlent de ma fente, je n’en peux plus. Elle s’en aperçoit, reprend ma queue tout entière dans sa bouche pour des va et vient plus lent cette fois et je m’y vide les couilles avec délectation. Elle m’aspire tout et je sens mon sperme continuer à jaillir par petites giclées, ma jouissance est immense. Je la remercie, elle me sourit, j’en bande encore.

Après une bonne nuit, je prends tranquillement mon petit dej’ quand à la télé apparaît une de mes présentatrices préférées, Sophie L, il n’y a pas à dire, elle est bandante. D’ailleurs, aidé de pensées coquines et du mouvement de mes cuisses qui viennent me serrer puis desserrer les testicules, je me retrouve rapidement avec une belle érection. En continuant dans mes pensées et en la fixant droit dans ses yeux superbes, je passe ma main droite dans mon pyjama pour me masturber. Tout en la regardant, je m’enfuis dans mes songes très sexes :

 » T’aimes ça, tu la veux ma grosse bite qui te bourre la chatte, tiens prends ça. Oh oui t’es bonne, tiens, tiens, oui !! T’en veux encore. Baisse-toi que je te prenne par derrière, je te la mets bien profonde, tu jouis; Oui ! Viens, prend la dans ta bouche. Oh oui suce moi, c’est bon. Vas-y oui je fais te lâcher la dose, oui ça vient, oui tiens ! Avale-moi tout. Oui tu l’aimes mon sperme, aspire encore, oui c’est bon! ».

Quand je sors de mes pensées, je m’aperçois que je viens de m’éjaculer dessus, j’ai plein de sperme sur le pyjama, les cuisses, les couilles et les doigts, ce fut un régal. Il est temps de partir au boulot et dehors je croise la voisine d’hier, une femme mûre, élégante et avec de belles formes excitantes. Elle s’arrête à ma hauteur pour me saluer et me dit :

« Ce soir, chez moi à 20 heures »

…puis elle poursuit son chemin. Je vais y penser toute la journée car cela m’étonnerait qu’elle m’ait invité pour prendre le thé et j’imagine tous les scénarios possibles. En arrivant le soir chez moi je n’en peux plus. Une petite douche s’impose, elle restera sage malgré un début d’érection, il faut que je garde de la réserve. L’heure est arrivée, je monte chez ma voisine et sonne à sa porte qui s’ouvre de suite. Là, je me retrouve nez à nez avec son mari, je ne m’attendais pas à çà et ne sais quoi dire. Il m’invite à entrer et à le suivre. Je m’exécute de bonne grâce tout en me demandant ce que je fais là et que va t’il se passer maintenant.

J’ai rapidement ma réponse quand il me fait rentrer dans la chambre, ma voisine Danielle est allongée avec une simple nuisette qui moule ses formes encore plus voluptueuses que celles que j’imaginais. En la contemplant, s’offrant à moi, mon excitation remonte d’un coup et j’en oublie la présence de son mari. Après avoir enlevé mes vêtements, je m’approche d’elle en glissant une main le long de sa jambe puis je passe sur l’intérieur de sa cuisse. La nuisette remonte jusqu’à me dévoiler sa belle chatte brune, je me baisse et commence délicatement à la lécher. Elle me prend la tête pour la diriger sur ses parties les plus intimes, elle écarte les cuisses et je rentre ma langue dans son vagin d’où coule abondamment sa mouille. Pendant que je me délecte de son jus de jouissance, mes mains montent le long de son corps pour s’arrêter sur sa poitrine douce et moelleuse. Je me mets en position de levrette entre ses cuisses pour mieux poursuivre l’exploration de sa chatte. A ce moment, je sens la bite de son mari se frotter contre mes fesses. En indiquant que je ne veux pas de pénétration, je l’aperçois dans le miroir du placard. Il se frotte le sexe sur le bas de mon dos en le maintenant avec la paume de sa main gauche alors que sa main droite me caresse la bite. Ce contact avec cette queue m’excite de plus belle, je lèche avec encore plus de frénésie l’orifice vaginal de Danielle qui gémit de plaisir. Son mari accélère ses mouvements, ses bourses rentrent en contact avec mes fesses quand je sens sur mon dos des giclées humides, il m’éjacule dessus. A peine à t-il fini de jouir qu’elle me tire vers elle, lève encore ses jambes et m’invite à la pénétrer. Les parois de son vagin sont si douces et si humides, le plaisir est intense, la sensation délicieuse et j’entends ce bruit stimulant de succion que fais mon sexe à chaque mouvement dans sa chatte détrempée. Elle m’enduit le dos avec le sperme de son homme, appuie ses mains sur mes fesses pour m’indiquer d’augmenter mes coups de butoir. Je sens mes bourses virevolter à chacun de mes va et vient, je jouis avec délice et ma queue se tend encore. Alors que je suis au bord de l’explosion, son mari me pose sur les bourses un sac de glace et mon éjaculation arrive massivement. Cette sensation de froid sur mes couilles amplifie mon orgasme et Danielle lâche des cris qui ne laissent aucun doute sur le sien.

Ma voisine est décidément une gourmande, à peine ai-je fini de me décharger dans elle que je me retrouve sur le dos avec mon sexe dans sa bouche, elle commence à me faire la toilette avec sa langue. Elle est sur mon côté droit en position de levrette et c’est maintenant son homme qui la lime avec entrain. Je vois ces couilles ballottées tout autant que les seins de Danielle et ma main droite passe du pelotage des bourses de Jean à la poitrine de Danielle. Elle poursuit avec assiduité ma fellation, et je viens lui titiller le clitoris pendant que Jean continue ses va et vient. Sa chatte laisse échapper mon sperme et sa mouille quand je m’aperçois que son homme est au bord de l’explosion. Je saisis le sac de glace laissé à ma portée, je lui colle sur les bourses, il gémit de plaisir et une bonne quantité de son sperme coule de la chatte de Danielle sur mon bras. Elle s’est arrêter de me sucer, lâche

« Vas-y Jean, oui !!! »

…et je peux lire sur son visage l’expression de sa jouissance. Il lui agrippe les hanches pour terminer de se vider. Puis elle se remet à l’ouvrage sur ma queue tendue, il l’a rejoint et je m’abandonne à mon plaisir. Ma main droite s’occupe de ses seins ou de son clitoris et ma main gauche lui caresse la bite encore toute pleine de sperme. Elle se relève pour se mettre à califourchon de dos sur moi et s’empale sur mon sexe. De cette position je profite d’une belle vue sur ses fesses qui accompagnent un mouvement ample de ses hanches pour bien me dorloter ma verge avec son vagin. Toutefois elle n’oublie pas son mari, elle lui lèche le sexe alors qu’il pose sa main sur mes attributions pour les peloter. Je sens monter en moins un nouvel orgasme, elle ralentit ses va et vient, lui m’en sert la queue avec deux doigts et suit les mouvements de Danielle. L’arrivée de mon sperme est proche mais ces mouvements très lents font que cette montée dure et c’est exaltant. Au moment du jaillissement de ma semence, je ne peux retenir un cri violent tellement mon orgasme est fort. Elle continue ses montées et descentes au même rythme et mes giclées de sperme se poursuivent dans un plaisir intense. Elle descend, j’éjacule, elle remonte, je sens son orifice me caresser le gland, elle redescend, nouvelle giclée et ainsi de suite, un délice. Cela me laisse l’impression d’avoir les couilles complètement vidées, je suis bien. A la reprise de mes esprits, je m’aperçois que la séance est terminée, Jean vient d’éjaculer sur le joli visage de Danielle et moi, je rejoins mon appartement.

biblonf45La nuit fut bonne et avant de me rendre au boulot ce jeudi, je fais un petit surf rapide pour dénicher un bar échangiste, la soirée d’hier m’a donné envie. Dans ma messagerie, j’ai un lien vers une vidéo, je télécharge et visionne. Ce sont des extraits de nos ébats d’hier, rapidement je me retrouve avec une sacrée érection et machinalement je me mets à me masturber. Le moment où Jean se décharge sur mon dos me stimule de plus belle mais l’excitation est à son comble quand les images où Danielle est sur moi défilent et au moment de mon cri violent, j’éjacule devant mon écran et lors de mes dernières giclées, je vois Danielle branler Jean qui se vide sur elle. Je reprends mon surf pour trouver un lieu où des massages et plus sont proposés. Un formulaire permet de réserver directement et je m’inscris pour un massage par deux divines créatures le soir même, sa durée est d’une demi-heure ou 2 éjaculations, cela s’annonce bien. Au moment du règlement en ligne, je m’aperçois que l’on a la possibilité d’avoir cette séance gratuite si on accepte d’être pendant 1 heure un « objet sexuel », je clique « oui » et valide.

Le soir, je me rends directement à l’adresse où est juste indiqué sur une plaque  » Salon de massage « . Je sonne, la porte s’ouvre sur un petit hall tout blanc et une voix m’indique de rentrer dans la pièce de droite. Là, une belle blonde avec une blouse très échancrée et courte me demande de me déshabiller. Je me retrouve complètement nu devant cette magnifique inconnue avec une érection que je ne peux dissimuler, mais à quoi bon, elle sait pourquoi je suis là. Je dois me laver, c’est elle qui me savonne partout, c’est une bonne entrée en matière. Puis, elle m’emmène dans une nouvelle pièce où se trouve une grande table de massage. Je m’y allonge sur le dos, elle se met à ma droite et prend un liquide visqueux dans ses mains. Elle me l’étale sur le torse puis débute des caresses sur tout le haut de mon corps. Dans ma position, j’aperçois le bas de ses fesses, je glisse ma main droite sous sa blouse et lui pelote ses divines fesses bien fermes. Puis, j’ôte ses boutons et d’un petit geste, elle fait glisser sa blouse au sol. Elle est maintenant nue devant mes yeux émerveillés, mon excitation monte encore d’un cran. D’autant plus que ses mains s’approchent de plus en plus prêt de mon sexe, je sens ses doigts passer dans mes poils, c’est délicieux. Ma main vient lui toucher ses parties les plus intimes, elles sont sèches ce qui me paraît normal, elle n’est pas forcément là par plaisir. Pourtant, après quelques minutes de tripotage de son clitoris, je sens que sa chatte commence à se lubrifier. Son visage ne saurait mentir, elle se mord la lèvre inférieure et j’ai maintenant les doigts trempés par sa mouille. C’est à ce moment qu’elle saisit à pleines mains mon sexe pour le branler, l’excitation monte encore et j’enfourne deux doigts dans son vagin. Alors qu’elle me branle tout en douceur, que mon index et mon majeur vont et viennent dans sa chatte, une femme aux cheveux noirs entre dans la pièce. La table étant plus large à la hauteur de ma tête, elle se met à califourchon au-dessus de ma tête et il ne me reste plus qu’à lui lécher le sexe. Ma main gauche étant libre, je luis caresse sa poitrine abondante et douce. Ma langue lui titille le clitoris alors que sa mouille me coule dans la bouche, un délice. Les sensations provenant de ma bite m’annoncent une éjaculation prochaine, cela monte doucement en moi. En plus de me branler, elle me tripote l’arrière des testicules qui est une partie très érogène chez moi et je fini par exploser abondamment. Contrairement à une éjaculation où c’est moi qui contrôle les mouvements, lors d’une masturbation ou d’une pénétration, et que mes gestes du fait de mon excitation deviennent maladroits. Là, c’est elle qui mène la chose et ses mouvements ainsi que son rythme restent réguliers ce qui apporte une jouissance bien meilleure. Je me concentre uniquement sur sa main qui glisse tranquillement sur ma bite et accompagne chacun de mes spasmes qui entraînent une giclé de sperme. La fille aux cheveux noirs se lève, me demande de me mettre sur le ventre et je m’aperçois qu’un trou dans la table me permet d’y passer ma queue et mes testicules.

Mon érection est un peu retombée mais pas pour longtemps, la blonde recommence ses massages alors que l’autre femme s’est allongée sous la table et commence à me sucer. Elle est positionnée assez haute pour voir sa chatte toute humide et si je n’ai pas possibilité dans cette position de la lécher à nouveau, je peux lui tripoter son orifice vaginal avec mes doigts. Je fini par lui mettre mon index, mon majeur et mon annulaire qui vont et viennent dans elle alors qu’elle me gobe entièrement ma verge. La blonde continue ses caresses et me tripote à nouveau l’arrière de mes couilles, je savoure pendant plusieurs minutes. Puis elle se met sur moi et me dévore les fesses. Elle se frotte la chatte sur mon cul et je sens sa mouille s’y déposer. Pendant ce temps, mon sexe est caressé par la langue de l’autre à laquelle j’introduis un gode qui était sous la table. Mon exaltation est à son comble quand la blonde me lèche les testicules alors que ma suceuse se remet à m’aspirer la bite de plus belle. Mon orgasme monte et je lui remplis la bouche de mon sperme, elle avale chacune de mes giclées, je jouis.

La séance massage est terminée, j’ai eu mes 2 éjaculations et je suis emmené dans une autre pièce pour la séance « objet sexuel ». L’endroit est de couleur rouge, il y a un plateau avec des trous, cela pour le haut du corps, et deux supports pour les jambes. Tout cela est réglable et peut se basculer de l’horizontalité à la verticalité. Je suis allongé dessus, mes mains sont attachées un peu plus bas que mes épaules mais pas le long de mon corps alors que mes chevilles sont fixées aux extrémités des supports. Je suis maintenu sous les aisselles et mes pieds sont calés de façon qu’en position verticale, je puisse me tenir debout. Je suis complètement nu, les jambes écartées, on me passe une cagoule qui me permet juste de voir et le plateau est mis en position verticale. La porte devant moi s’ouvre et je me retrouve dans une pièce circulaire où d’autres personnes sont attachées comme moi, il y a 5 hommes et 2 femmes. Et il y a des gens (hommes et femmes) qui sont libres et assouvissent tous leurs désirs sur ceux qui sont, comme moi, leurs objets sexuels. Je le comprends bien vite quand je vois 7 hommes obèses en train de s’occuper d’une des filles dont le plateau est couché. Les deux supports pour ses jambes les lui maintiennent bien écartées, un homme la pénètre pendant que 4 se branlent au-dessus d’elle et qu’elle suce les deux derniers. Et dans un tempo régulier, ils changent de place, je fixe ce manège quelques minutes avant que chacun se vide les couilles sur le corps de cette fille. En regardant autour de moi, je m’aperçois que, à part ceux attachés, toutes les personnes qui sont là sont soit âgés, soit gros, soit les deux à la fois, ils ont tous un physique repoussant au premier abord. Une première femme âgée vient vers moi, elle n’a rien d’excitant, elle est maigre, la peau toute flétrie, ses seins tombent. Et pourtant de savoir que je suis à sa complète merci, je me remets à bander. Elle s’accroupit devant moi, me branle avec sa main toute ridée puis me suce. Une autre personne derrière moi passe sa main entre mes jambes et attrape mes couilles. Je suis à leur complète merci ce qui m’occasionne un plaisir insoupçonné.

Puis mon plateau est basculé à l’horizontal, elle m’aspire toujours la bite pendant qu’une autre femme, très grosse, caresse mon corps avec le sien. Deux hommes s’approchent de moi, ils ont la bite raide et la présente à chacune de mes mains. Ils me font comprendre qu’il faut que je les saisisse, mes mains attachées serrent leurs queues et ils commencent des mouvements de hanches afin de se branler. Je n’aperçois plus très bien qui me suce mais j’ai la forte impression qu’il y a une tournante sur ma queue car la façon de faire n’est pas constante. En fournissant un petit effort, j’aperçois des femmes mais aussi des hommes qui se succèdent pour me sucer. Les deux types accélèrent leur va et vient pour se vider les couilles sur moi, leur sperme me gicle sur le corps et c’est à ce moment que mon sexe se raidit pour exploser au visage de la vieille dame qui paraît ravie quand elle se relève avec ma semence sur elle. Mon érection retombe, il faut dire qu’après 3 éjaculations en si peu de temps j’ai les couilles un peu vides et elles commencent à tirer. Mais voilà les autres n’ont pas eu leur dose et continue de me branler et me sucer. On m’a remis à la verticale et comme ce traitement de force commence à être légèrement douloureux, j’essaye de me concentrer sur mes partenaires attachés. La femme de tout à l’heure est toujours là, et des hommes et des femmes à la queue leu leu passent au-dessus d’elle pour uriner. A côté d’elle, un homme qui a dû accepter la sodomie est en train de se faire enculer par un type énorme, celui-ci met du cœur à l’ouvrage à voir ses bourrelets de graisse qui flottent à chaque coup de butoir et aux gémissements du gars en train de se faire remplir. Encore un homme à sa droite qui a deux vieilles dames sur lui, il en lèche une, l’autre est empalé sur sa bite. Sur ma gauche, une femme au corps magnifique subit les assauts de 8 hommes et vu tout le sperme sur son corps, sa cagoule et les poils de sa chatte, ce ne sont pas les premiers. Et elle va encore en recevoir une sacrée dose quand chacun va lui éjaculer dessus, c’est un feu d’artifice de sperme jaillissant de ces 8 queues bien branlées. Je suis à nouveau remis en position couchée et des femmes âgées ou très grosses viennent s’empaler à tour de rôle sur ma queue suffisamment raide pour cette pratique. J’ai mal dans les bourses et tout le long de verge pourtant je bande toujours. Elles continuent leur manège et une d’elle qui est très forte se laisse retomber de tout sa masse à chaque descente sur ma bite qui ne peut pas rentrer plus profond dans sa chatte. Cette femme imposante poursuit ce manège jusqu’à mon éjaculation qui sera plus souffrance que plaisir, la dose sera minime et je sens mon sexe s’effondrer complètement dès la dernière giclée.

Pourtant mon heure n’est pas terminée et comme la fille de tout à l’heure, je me retrouve avec 8 mecs en train de se branler au-dessus de moi dont 2 qui me la mettent dans la bouche. Je leur lèche le gland, des perles de sperme sortent de leur fente alors que deux autres me posent leurs bites dans mes mains. L’un deux, en plus de se masturber, me branle le sexe qui n’est plus que douleur et pourtant cette relation forcée me fait jouir. Au bout de quelques minutes, tout ce beau monde va m’exploser dessus et je prends un grand plaisir à sentir chaque giclé de leur sperme me recouvrir le corps. J’en ai partout, du bas ventre jusqu’à la tête et bien sûr les deux que je suçais m’ont déchargé dans la bouche. Des femmes reviennent me caresser en étalant tout ce sperme, une d’elles, très âgée, masturbe ma queue qui ne bande plus vraiment. Ma bite me fait de plus en plus mal mais elle continue encore et encore, la douleur monte encore d’un cran quand un semblant d’éjaculation arrive. Quelques petites giclées achèveront ma souffrance, elles arrêtent ses mouvements, lâchent ma queue qui s’effondre. Une des femmes me caressant lance vers les autres que c’est le moment de ma douche et des femmes et des hommes arrivent vers moi. La première se présente debout au-dessus de moi et urine, la sensation du liquide chaud et la vision de cette coulée me surprennent mais m’excitent fortement. J’en oublie les douleurs de mon sexe alors qu’ils et elles se succèdent pour se vider la vessie sur moi. Les hommes dirigent leurs queues pour me piser sur mon sexe alors que les femmes se vident en se frottant la chatte sur mon torse. Mon heure d’objet sexuel se termine sur cet acte et je suis ramené dans la pièce rouge où je suis lavé par mes deux masseuses.

Je rentre chez moi épuisé et quand je me réveille le lendemain, j’ai encore quelques douleurs dans le sexe. Je devais rejoindre ma famille ce jour mais je repousse au samedi pour me remettre de cette folle soirée.

Samedi matin, ma journée d’abstinence m’a fait le plus grand bien pour retrouver un peu de vigueur, les douleurs ont disparues malgré mon érection du matin. Je prends la route. A la radio, Gainsbourg chante « Love on the beat » et je ne sais pas si c’est de repenser aux branlettes que j’ai pratiqué étant jeune sur cette chanson mais je me retrouve avec un début d’érection au volant. Il m’est déjà arrivé de me masturber en roulant mais c’était de nuit et donc plus discret qu’en pleine matinée. Pourtant je commence à me tripoter à travers le pantalon puis à défaire mes boutons, sortir ma bite et commencer à me branler en saisissant mon sexe avec le bout des doigts. L’autoroute est quasi déserte, je me cale à bonne distance du véhicule qui me précède, prépare 5 épaisseurs de mouchoirs en papier. Je les pose sur mon gland, les referme sur ma bite avec mes doigts et reprend des mouvements de haut en bas. Des voitures apparaissent dans mon rétro, elles me dépassent et je suis tout excité à penser que leurs conducteurs ou passagers ont pu s’apercevoir que je me branlais. Il ne me faudra pas longtemps pour éjaculer dans mes mouchoirs qui malgré les 5 épaisseurs sont vite détrempés par mon sperme. Cette bonne petite branlette marquera la fin d’une sacrée semaine.

Filou

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 11 novembre 2023 6 11 /11 /Nov /2023 11:59

Les zoophiles célèbres : Catherine II de Russie (1719-1796)

Selon une rumeur, Catherine II de Russie serait morte le 17 novembre 1796 à Saint-Pétersbourg après avoir eu des relations sexuelles avec un cheval, la machine qu’elle utilisait pour mener cette idylle s’effondrant sous le poids de l’animal… Elle avait 67 ans.

Cathy2Si rien ne permet d’étayer cette légende, aussi tenace que celle voulant qu’elle ait passé en revue sa garde prétorienne en érection, le tempérament de feu de l’impératrice de toutes les Russies ne fait aucun doute. Selon les historiens, elle aurait eu une bonne vingtaine d’amants recensés, dont Gregori Orlov et le fameux Grigori Potemkine, un officier de sa garde, qu’elle couvrit de présents. Lorsqu’il s’éloigna de son lit, Potemkine resta son conseiller politique et lui fournit des amants. L’un d’eux, Zimski Kosakov, serait mort à 24 ans en sa compagnie après un abus d’aphrodisiaque.

La construction d’une Chambre des Plaisirs
Pour recevoir ses amants la grande Catherine se serait fait construire une Chambre des Plaisirs. Selon certains ce « cabinet secret » disposait de machines lui permettant d’assouvir tous ses fantasmes. Il contenait aussi du mobilier comme une table au piétement phallique, un fauteuil décoré avec d’explicites sculptures en ronde-bosse, etc… Les murs auraient aussi été couverts de peintures polissonnes, de lustres évocateurs et même de cloisons sculptées. Le réalisateur germano-belge Peter Woditsch a réalisé un documentaire sur ce sujet porté à l’écran en 2002 sous le titre The Lost secret of Catherine the Great. Est-ce l’impératrice qui fit réaliser ce cabinet ou le fut-il par l’un de ses successeurs ? Aucun élément ne permet de trancher.

Toutes ces frasques, qui amuseraient chez un homme et qui ont fait scandale parce qu’elles étaient l’œuvre d’une femme, ne doivent pas faire oublier que Catherine II fut l’une des plus grandes monarques du 18ème siècle. Amie de la raison et des philosophes français des Lumières, elle racheta notamment la bibliothèque de Diderot afin de lui venir en aide et entretint une correspondance fournie avec Voltaire.

article original source : De quoi sont-ils morts ? Le cheval coquin de Catherine II… (planet.fr)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Biographies
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Samedi 4 novembre 2023 6 04 /11 /Nov /2023 14:00

Confessions de travestis - 1 
Fetish

 

Première sortie par Marguerite

zz131027 travBonjour je suis un jeune homme de 19 ans un peu efféminé, mon prénom n’a aucune importance, puisque dans cette histoire je serais Marguerite. Et oui vous le devinez mon fantasme est de m’habiller en fille.
En chattant sur le net, j’ai fait connaissance d’un type qui m’a suggéré des sortes de gages que je devais exécuter. L’un d’eux consistait à m’habiller d’un soutien-gorge et d’une petite culotte de fille sous mes vêtements de garçon et de sortir en ville faire les boutiques. Vola qui tombait très bien puisque cela rejoignait mes fantasmes. Si l’envie de me branler me prenais, je devais me retenir le plus longtemps possible et enfin en désespoir de cause je pouvais me finir dans les toilettes d’un bistrot.
Décidant de réaliser ce gages, je me préparais donc à sortir, j’étais vêtue d’un jean, d’un T-shirt d’un blouson de jeans qui venaient par-dessus un soutien-gorge rose en dentelle blanche avec un petit laçage devant et un string assorti. Dans l’ascenseur je me mirais dans la glace et me trouvais satisfaite de l’image qu’il me renvoyait

Je quittais le quartier puis me jugeant à bonne distance, j’enlevais mon blouson et pris un bus. Il était bondé et je m’avançais au milieu de cette foule en ayant l’impression que l’on voyait au travers de mon jean que tout le monde devinait ce que je portais. Je me demandais si l’un des passagers n’allait pas crier : « Oh le travelo ! » !

Soudain je vois un mec se diriger vers moi, il me fixe je sens son regard sur mes fesses je suis sûr qu’il va me mettre la main au cul, il s’engage vers la porte, il passe derrière moi, le revers de sa main effleure mes fesses, je sursaute littéralement secoué d’une décharge électrique, le mec est déjà dehors

A l’arrêt suivant je me dirige vers le premier bar venu, je rentre, commande un Orangina, et me dirige sans attendre vers les toilettes. Elle sont spacieuses, deux mecs pissent côte à côte, je m’avance poussée par je ne sais quel démon et là je constate qu’ils ne pissent pas, ils se branlent l’un l’autre. Je bande. L’un des types se retourne et me demande si ça m’intéresse, je me suis dégonflé.

Je l’ai regretté, maintenant J’ai besoin de jouir, ça m’obsède je ne vois plus rien, ma tête tourne je suis comme fou, il faut que je rentre chez moi me soulager, puis je reprends mes esprits. Je dois trouver mieux, je prends machinalement la route du bord de mer là où passe les touristes. J’entreprends de faire du stop, mais auparavant j’enlève mon t-shirt et met mon blouson de jean suffisamment entrouvert pour qu’on puisse voir mon soutif. J’arpentais ainsi la route espérant une rencontre, je n’avais pas fait 300 mètres, qu’un grosse Volkswagen break se gare sur le côté. Le conducteur m’interpelle avec un accent allemand à couper au couteau, je me dirige vers la voiture et remarque du même coup qu’il n’est pas seul dans la voiture, il y a sa femme, grassouillet mais le visage agréable.

– C’est Helga, elle ne nous dérangera pas, elle dore me regarder quand je suce un travelo !

Il me fait monter devant demandant à sa femme de passer derrière. Je m’assied ferme la portière, la voiture démarre. L’allemand me demande mon âge, ce que j’aime où je vais. Je me sens en confiance et du coup, j’écarte le pan de mon blouson dévoilant davantage un bout du soutif. La réaction du conducteur est immédiate il commence à lorgner sur le côté, sa main frôle mon genoux lorsqu’il passe les vitesses et pour finir il appuie sur la bosse qui déforme son entre jambe et remonte comme s’il dézippait une fermeture éclair. Malheureusement c’est là qu’on arrive en ville il me dit qu’il doit me déposer; mais prend bien soin de me dire qu’il va séjourner 15 jours au camping au club rose (est-ce une invitation ?) toujours est-il, que je reste là planté au milieux de la rue quelques secondes perplexe, puis je reprends mes esprit j’ai littéralement le feu au cul . Du coup je fonce chez moi, m’enferme à double tour dans la salle de bain et là devant la glace je m’enfourne un gros gode dans le cul…. Quelle joie et quel plaisir d’assouvir enfin mes pulsions : Le gode entre comme dans du beurre dans mon petit trou de salope et je le fait aller et venir pesant lentement sur chaque mouvement. Le miroir me renvoie mon image avec cette petite poitrine dessiné par le soutif rose, ma bite super tendue qui sort de ce petit slip dentelé et enfin ce pieu planter en moi… Je ne tarde pas à jouir dans un râle sonore et prolongé, je me laisse terrasser par la jouissance, de long jets de sperme éclaboussent le miroir et je m’effondre comme un sac sur le tapis de bain. Je reste bien quelque minutes le corps poisseux de sperme le gode toujours dans le cul puis je reprends mes esprits me dégage du gode, tout est fini je suis repu.

Demain j’irais faire un tour au club rose, j’espère que je rencontrerais l’allemand et que je pourrai lui sucer la bite avant qu’il ne m’encule.

Jany par William

En rencontrant Jany, Maggy et moi ne nous attendions pas à une soirée aussi surprenante.

Mon amie Maggy et moi sommes liée par une complicité quelque peu perverse qui nous permet de jouir de tous les plaisirs sexuels). Si nous ne courons pas les partouzes, notre excitation et notre jouissance sont chaque fois majorées par la rencontre d’un troisième partenaire.

Maggy tous en me faisant une pipe, aime se faire sauter par un gars qui lui plait, mais la plupart du temps c’est une demoiselle a qui ont fait appel pour se joindre à nos ébats amoureux.

Quel plaisir pour moi d’enculer l’une ou l’autre pendant qu’elles se mange !!!!!!…..

En rentrant un soir du travail, Maggy m’a dit avoir fait la connaissance dans une boutique de lingerie sexy, d’une jeune femme brune avec un charme exceptionnel : les yeux verts et des taches de rousseur se mariant très bien à une chevelure auburn assez court, petits seins dont on devinait les aréoles roses et les pointes érigées sous sa chemise, fesses rondes et musclées sous une mini-jupe moulante .

Elle a accepté une invitation à diner pour le lendemain et j’ai partagé l’excitation de Maggy dans l’attente de cette rencontre .

Jany étais en effet une rousse au charme indéfinissable (que j’adore). De plus elle était grande, avec des épaules larges et des hanches étroites. Sa voix un peu rauque étais prenante et j’ai vite été persuadé que cette femme androgyne étais dotée d’une sensualité propre à nous ravir, mon amie et moi .

Après une conversation qui devint osée à la fin du diner, Maggy assise à côté de notre invitée sur le divan, entreprit de lui caresser les seins tous en l’embrassant.

Sans se dérober, Jany garda son regard rivé au mien, ce qui m’incita à les rejoindre.

Une main de notre amie s’est alors portée sur mon sexe qui durcissait .

Abaissant mon pantalon, elle délaissa la bouche de Maggy pour me sucer. En commençant par son haut, mon amie déshabilla Jany et, sous une ravissante petite culotte de dentelle noire, elle découvrit à notre étonnement un sexe d’homme qui bien que modeste, bandait fièrement, c’est un travesti qu’avait dragué Maggy sans le savoir (du moins c’est ce qu’elle m’a laissé entendre)

Son excitation redoubla et elle saisit cette petite queue entre ses lèvres charnues .

Le va-et-vient qu’elle entreprit mit du temps à déclencher l’orgasme de notre invitée, alors que depuis un moment déjà, j’avais joui dans sa bouche .

Après une période calme, Jany me demanda si je serais d’accord pour le sucer. J’hésitais un peu mais Maggy m’encouragea, je me retrouvais donc avec ce délicieux pénis dans la bouche, puis au bout d’un moment, saisi d’une pulsion folle, je me retournais et lui offrais mes fesses tandis que Maggy se branlait compulsivement.

Première fois en travestie par Maria50TV

Cette histoire se passe dans les années 80, à l’époque je venais d’avoie 18 ans

Avec un ami cela faisait plusieurs temps que l’on avait une relation. Un jour en discutant il me dit qu’il aimerait bien me voir porter des vêtements féminins. Tout en me disant ça il m’explique qu’il a trouvé des sous-vêtements affriolant dans les affaires de sa mère.

Je lui dis que cela serait très intéressant donc on prit rendez-vous un jour où nous serions sûr d’être seul, un après-midi complet. Le jour convenu j’arrive chez lui là nous allons directement dans la chambre de sa mère où il a déjà sorti tous les habits qu’il voulait que je porte.

Je me déshabille pour mettre la tenue qu’il a choisie pour moi, je commence par enfiler une guêpière puis les bas qui vont avec, pour les chaussures nous regardons dans le placard par chance sa mère fait la même pointure que moi, je prends une paire d’escarpins avec des talon de 7 cm, une fois vêtu il me fait défiler devant lui pour voir le résultat.

Après on se dirige vers sa chambre, il se déshabille on s’assied sur le lit, je le rejoins et m’agenouille devant lui. On commence à se caresser tous en s’embrassant, je sens ses mains sur mon corps, son sexe qui grossit contre mon torse. Il s’allonge sur le lit, je viens prendre son sexe en bouche, je le fais aller et venir en variant l’allure, lui pendant ce temps me prépare l’anus en le lubrifiant et en me pénétrant avec ses doigts.

Quand je sens que je suis prêt je viens m’empaler sur son sexe qui rentre en moi sans effort, je le sens bien au fond de moi; là je commence à monter et descendre sur sa queue puis au bout de quelques minutes il me fait mettre à quatre pattes et me pénètre, ses mouvement sont plus puissants, il me défonce le cul.

Tous en me prenant il me traite de pute, de chienne, moi je lui dis que j’aime être pris comme ça, que je suis sa chienne. Il se retire de moi me tend sa queue pour que je le suce et pour recevoir son sperme au fond de ma gorge.

Le temps de prendre un petit café pour nous remettre, je me glisse sous la table pour aller prendre son sexe en bouche. Grâce à mes aller-retour sa queue reprend de la vigueur et devient bien raide.

Il me demande de me relever, je place mes mains sur la table et lui présente mes fesses qu’il commence à malaxer puis il sort de la pièce pour aller chercher des objets.

Quand il revient il a plusieurs objets différents il prend le premier qui est une brosse à cheveux il commence à me taper sur les fesses avec, je sens les coups qui au début sont désagréables puis au fur et à mesure cela devient très agréable puis il m’enfonce le manche de la brosse avant de le faire entrer et sortir en le tournant dans mon anus.

Puis il prend un morceau de manche à balai qu’il m’introduit à la place de la brosse il l’enfonce de plus en plus profondément en moi et recommence les allers retours. Avec la brosse il me tape sur les fesses, je sens le plaisir monter, je lui demande de me prendre. Il retire le manche et me pénètre d’un seul coup je sens son sexe qui rentre en moi jusqu’à la garde il commence à me pilonner de plus en plus vite, puis il me demande de m’allonger par terre les jambes bien relevées.

Là il me défonce comme si j’étais une femme je sens son sexe qui grossit en moi, son sperme qui gicle dans mon cul en plusieurs jets, pour finir il me donne sa queue à sucer.

Voilà comment ce termine ma première journée en travestie !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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