Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:53

Rendez-vous au bar
3. UN CONCOURS TRÈS SPÉCIAL
par Vivien

 

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Résumé de l’épisode 2 : Sandra a été mise « à l’essai » par la patronne du bar. Elle s’est fait fesser, uriner dessus, sodomiser.
L’essai a été concluant…

Quelques jours plus tard, vous recevez un mail vous indiquant :
« Viens faire la pute et participer au concours d’arrosage de foutre à mon club, ce soir à 20 h. Habille-toi et maquille-toi en pute : rouge à lèvre vif, robe noire légère, courte et très décolletée, nue dessous, porte-jarretelles et bas noir et les chaussures de l’autre jour. Il vaut mieux que tu sois pile à l’heure… »

A 19 h 57, vous êtes en tenue demandée devant la porte du bar. Les rideaux métalliques des vitrines sont fermés. Vous poussez la porte, il est 20 h pile. Votre regard fait le tour de la salle. Rien à voir avec l’autre jour. Aujourd’hui, plein de monde, une douzaine d’hommes et six femmes de tous âges qui sont en train de boire. Vous voyez plusieurs affiches collées sur les murs :  » Aujourd’hui à 20 h, concours d’arrosage de foutre et de douche dorée.
Ouvert à toutes et à tous. Inscription : **** €  »

La patronne vous aperçoit. Elle est au bar avec une autre femme. Elle va descendre le rideau de la porte d’entrée.

 » Mesdames, messieurs, je vous présente la salope qui va vous servir ce soir à concourir. Afin que vous puissiez juger que je ne me moque pas de vous, elle va vous montrer ce qu’elle cache pour l’instant et que vous aurez tout loisir de voir et de toucher et plus, toute la soirée.
Allez, monte sur le billard, mets toi à poil et montre à tous mes clients que tu es une véritable salope  »

Vous montez d’abord sur une chaise, puis vous montez sur le billard. Avec votre petite robe, vous avez déjà presque l’impression d’être nue. Les clients vous regardent tous envieux et envieuses.

Vous faites glisser les brides de votre robe et la laissez tomber sur le billard. Vous voilà en porte-jarretelles, bas et chaussures, surplombant la salle et montrant votre anatomie à une vingtaine de personnes. Vous mettez les mains sous vos seins pour les rapprocher et les faire un peu gonfler, vous écartez les jambes et mettez en valeur votre cul en appuyant un bras sur votre cuisse et en le pointant en arrière.Les commentaires fusent, tous admiratifs de votre corps, les femmes vous envient, les hommes se régalent d’avance.

 » Voyez, je ne vous avais pas menti, dit la patronne. C’est un beau morceau. Je vous l’ai choisi avec tout ce qu’il faut. Pour l’avoir essayée, je peux vous dire qu’elle saura vous satisfaire, aussi bien vous messieurs, que vous mesdames.  »

S’adressant à vous, elle vous lance :

 » Pour mettre le jus à la bouche de mes clientes et mes clients, fais leur voir comme tu te branles bien et comme tu jouis en véritable salope  »

Toujours debout, vous écartez un peu plus les jambes et commencez de vous branler en fermant les yeux. De voir tous ces regards sur vous, vous excite. Vous sentez déjà votre con tout mouillé sous vos doigts qui vont et viennent du clito au trou, maintenant de plus en plus vite. Vous sentez que la montée ne sera pas longue, tellement cette situation vous excite. En effet, votre orgasme éclate rapidement, vos jambes vous lâchent et vous vous retrouvez à genoux, les cuisses largement ouvertes et la main dans votre con.

Vous sentez quelques mains qui tentent de frôler vos cuisses et vos nichons. Une plus hardie, se faufile dans votre raie du cul et vous sentez un doigt qui tente de s’introduire dans votre petit trou. Vous ouvrez les yeux. Vous voyez quelques hommes autour de vous qui vous pelotent et le doigt dans le cul appartient à une belle blonde aux cheveux mi-longs, assez jeune qui vous sourie et vous dépose un baiser sur les lèvres.

« Ça à l’air d’être bon et je pense qu’on va bien s’amuser avec toi  » vous dit-elle dans un grand sourire.

Vous n’avez pas le temps de déguster ces moments de plaisirs intenses et la patronne vous fait descendre du billard.

 » La suite se passe dans l’arrière salle. Ceux et celles qui veulent participer doivent payer leur cotisation en entrant. Toi ma petite garce, vas rejoindre ma collègue qui va te préparer  »

Vous arrivez dans l’arrière salle. L’éclairage est différent, moins cru, en indirect au plafond et sur les murs.

La femme qui était au bar tout à l’heure vous fait signe d’entrer.
 » Bien ta branlette tout à l’heure, tu m’as fait mouiller, salope. Je m’appelle Judith et j’aide Irène dans ses concours  »

Judith est assez grande, bien proportionnée, environ votre âge. Elle se trouve à peu près dans la même tenue que vous, sauf qu’elle porte en plus un string bordeaux qui lui monte très haut sur les hanches et lui dessine un joli triangle au dessus de la raie des fesses. Une particularité de ce string est que la ficelle qui lui passe entre les fesses remonte également entre les lèvres de la chatte et ce n’est qu’après le con que le triangle de dentelle s’élargie. Elle a les nichons libres, mais un peu moins gros que les vôtres.

 » Pour la première épreuve, je vais te bander les yeux. Tu vas faire ça « à l’aveugle »

Elle vous attache un bandeau large et noir sur les yeux. Les hommes et les femmes commencent à rentrer. Certains vous touchent, vous pelotent. Vous sentez déjà des mains un peu partout.

Soudain la voix de la patronne retentit :

 » La première étape du concours est ouverte à six hommes. Cette petite salope au gros cul (elle vous envie votre cul) va vous sucer tous les six. Vous allez rester debout. Elle passera à genoux devant chacun d’entre vous. Elle doit en quinze minutes maximum vous faire décharger tous les six et tout avaler. Vous n’avez pas le droit de vous branler. Si elle dépasse le temps, elle recevra autant de coup de fouet que de minutes dépassées, multipliées par quatre. Messieurs, si vous avez envie de voir ce gros cul se trémousser sous les coups de fouet que nous lui donnerons avec ma copine, retenez-vous et balancez lui votre foutre dans sa bouche de pute quand vous ne pourrez plus tenir. Les six autres hommes et les six femmes doivent rester spectateurs et ne pas gêner le bon déroulement du premier arrosage »

Les hommes se mettent en ligne face aux spectateurs et commencent de sortir leurs bites des pantalons. Il y a pas mal de modèles différents. Ça va de la bite assez petite et large en passant par la bite très longue et plus fine. Certaines sont décalottées, d’autres pas.Vous pensez dans votre tête : pourvu qu’ils soit longs à gicler, ça me fera quelques coups de fouet en plus.

Judith vous attrape par un téton et vous tire pour vous amener vers le premier homme.

 » Mets toi à genoux et attrape la queue qui est devant toi, tu peux bien sur y mettre les mains. Mais le doigt au cul des mecs t’est interdit. Le concours est ouvert et les quinze minutes commencent  »

Vous vous jetez sur la première bite bien raide et l’avalez en entier. Simultanément vous la branlez et attrapez les couilles du mec. Vous décidez de faire un premier passage sur les six bites pour les mettre toutes en forme et en état d’attente. Quand vous arrivez à la troisième vous la prenez en bouche, lui faites quelques va-et-vient et vous sentez le liquide annonciateur du foutre sur votre langue. Le mec ne tarde pas à tout vous envoyer. Il n’aura pas été long celui-là. Un précoce ! Vous le laissez bien se vider, avalez tout son foutre en le nettoyant bien, comme vous faites d’habitude. Vous n’aimez pas en perdre.

Vous finissez votre premier passage et commencez un deuxième dans l’espoir de vider quelques paires de couilles.

Les spectateurs ne perdent pas une miette de ce que vous faites. On voit les pantalons des autres hommes gonfler sous l’excitation. Les bites sont de plus en plus raides ! Les femmes croisent les jambes et se branlent le con sans y mettre les mains pour l’instant. Simplement en bougeant leurs cuisses. Les culottes doivent être bien trempées. Judith met carrément les doigts de chaque cotés de sa ficelle, y tire un peu dessus. On voit bien sa chatte toute brillante.

La quatrième bite vous éclate en bouche après trente secondes de pompage. Vous passez à la cinquième et à la sixième qui tardent à gicler. Vous revenez à la première et reprenez vos pipes, en essayant de les finir. Ça y est, le premier commence à râler et vous éclate au fond de la gorge. Il y a peu de volume mais vous vous attardez quand même. Vous passez au deuxième, toujours les yeux bandés et à genoux. Vous écartez inconsciemment les cuisses, car cette situation vous excite énormément. Vous le branlez avec les mains énergiquement et recevez son foutre sur les lèvres avant de le prendre en bouche. Vous lapez le maximum afin de ne pas en perdre une goutte. Vous vous déplacez à quatre pattes jusqu’au cinquième. Le salaud a débandé. Vous êtes obligés de le reprendre presque du début. II va vous faire perdre du temps celui-là, mais vous aurez quelques coups en plus. Vous le branlez, le sucer énergiquement, il rebande, vous continuez de le pomper, vous l’astiquez et le faites enfin gicler. Vous avez eu le temps d’enfourner sa bite dans la bouche, ce qui fait que vous avalez tout et rapidement.

Vous passez au sixième. Il a encore une bonne trique, bien dure, bien raide. Vous n’avez pas trop à en faire, mais il vous décharge son foutre trop rapidement. Vous l’attrapez sur le nez, le menton et le cou. Vous êtes obligée de vous nettoyer avec les doigts et de les lécher pour bien vous nettoyer.

 » La première étape est terminée, dit la patronne, quel est le temps Judith ?  »
 » Notre petite pute a mis exactement 29 minutes pour recevoir le foutre de ces six messieurs. Suivant le règlement, elle a dépassé de 14 minutes le temps réglementaire. Elle recevra donc 56 coups de fouet sur son gros cul de petite salope. Mais avant de se faire fouetter, elle va permettre à nos six spectatrices de se soulager sur elle. Mesdames, vous allez chacune à votre tour venir vous branler au-dessus de cette garce qui sera couchée par terre. Vous pouvez pisser sur elle où vous voulez. Je vais demander à quatre messieurs de tenir cette salope les bras écartés et les jambes écartées. N’hésitez pas à la remplir dans tous les trous »

La patronne vous enlève le bandeau des yeux et vous oblige à vous coucher par terre. Quatre hommes vous attrape les bras et les jambes et vous écartèlent. Votre con juteux s’ouvre en grand.

Une première femme s’avance. La trentaine, brune, un peu pulpeuse. Elle est entièrement nue, juste avec ses chaussures. Elle vous enjambe et se place au-dessus de vos seins, commence à se branler en bougeant les fesses de gauche à droite et d’avant en arrière. Elle ferme les yeux, se jette la tête en arrière. En écartant les lèvres de sa chatte et en avançant le bassin, elle vous envoie un jet d’urine d’abord sur vos nichons et votre ventre et continue sur le cou. En même temps qu’elle pisse, elle jouit fort et longtemps.

Elle est aussitôt remplacée par deux autres femmes. L’une a gardé sa robe et la soulève jusqu’à la taille, l’autre a enlevé son pantalon et se trouve cul nu. Elles se font face au-dessus de vous et tout en se roulant une pelle commencent à se peloter le con l’une de l’autre. Elles s’accroupissent sur votre ventre et se frottent la chatte, l’une sur votre pubis, l’autre sur vos nichons.

Elles ne sont pas longues à vous pisser dessus, tout en restant accroupies et continuant de se frotter sur vous. Ces deux femmes n’ont pas fini d’uriner qu’une autre vient prendre place juste au-dessus de votre figure. Vous ne voyez pour l’instant que son cul et ses mains qui écartent sa chatte.

 » Ouvre la bouche et bois tout petite pute  »

Vous reconnaissez la voix de la blonde qui vous a embrassé tout à l’heure sur le billard. A peine vous a-t-elle ordonné d’ouvrir la bouche qu’elle vous envoie son jet entre les lèvres. Vous avalez au fur et à mesure mais le jet est puissant. Ça déborde de votre bouche et vous manquez de vous étouffer, mais la fille continue de vous pisser sur la figure.

En même temps, vous sentez qu’on vous écarte encore un peu plus les cuisses. Vous sentez presque instantanément un liquide chaud vous remplir le con. Très vite la pisse de cette femme qui est en train de vous inonder la chatte vous dégouline dans la raie des fesses. La petite blonde a fini de vous inonder le visage, elle en profite pour se frotter la chatte contre votre bouche et votre nez. L’air vous manque, vous lui aspirez le clito et le sucez frénétiquement. En quelques secondes elle part dans un orgasme très bruyant et se retrouve vite à quatre pattes au-dessus de vous.

La sixième femme, que vous ne voyez pas parce que vous fermez les yeux de bonheur et de plaisir, vous arrose par petits jets de la tête au pieds, elle s’arrête et reprend pendant de longues secondes.

La patronne vous sort de votre rêve;

 

Sandra789

 » Maintenant que cette pute s’est bien faite arrosée de pisse de femelles, le spectacle de son cul rougissant va commencer. Messieurs, retournez-la et maintenez-la à genoux, les bras écartés. Je souhaite même qu’elle ait la bouche pleine pendant qu’avec Judith nous allons exercer nos talents de fouetteuses. N’hésitez donc pas à lui fourrer une ou deux bites dans la bouche et si vous avez encore envie de décharger, allez-y ! Elle ne demande que ça cette salope. Mesdames, je vous demande de ponctuer la séance en comptant à chaque coup jusqu’à 56  »

 

Judith a pris en main le fouet à 12 lanières, tandis que la patronne attrape une cravache en cuir. Le premier coup de fouet retentit dans la pièce. C’est votre cul qui l’a reçu. Vos fesses ont été ébranlées sous le coup. Sans attendre, c’est la cravache qui prend le relais, toujours sur le cul. Vous sentez que la peau commence de vous cuire. Le fouet se déplace un peu plus haut sur le dos, la cravache descend un peu plus sur les cuisses. La bouche pleine de bites bandée à mort ne vous empêche pas de crier sous les coups qui sont de plus en plus forts.

La cravache et le fouet s’abattent en alternance du dos à vos cuisses et vous mordent la peau cruellement. Des marques rouges commencent à apparaître.Deux hommes en ont déjà profité pour vous décharger dans la bouche pendant ces 22 premiers coups de fouet. Vous ne tenez
plus à genoux que par les bras vigoureux des deux hommes qui vous maintiennent par les bras. Ils en profitent pour vous peloter les nichons.

 » Retournez-la qu’on s’occupe un peu des mamelles de cette salope et écartez lui comme il faut les cuisses  »

Le premier coup de fouet sur votre nichon droit vous fait tressauter. Pourtant vous aviez vu Judith lever le bras. La violence vous a surprise. La cravache s’abat alors sur le devant de vos cuisses. Le fouet vient cingler votre sein gauche. Les hommes ont du mal à vous tenir tellement vous bougez, mais vous résistez quand même pas mal. Chaque coup vous fait crier.Maintenant il n’y a plus d’alternance, le fouet et la cravache vous frappent en même temps le ventre, les cuisses, les nichons. Les trois derniers coups sont pour votre con. Deux coups de fouet bien placés entre les cuisses viennent cingler votre chatte et l’intérieur des cuisses. Le dernier coup de cravache est donné bien dans l’axe de votre entrecuisse et s’abat sur votre clito. Vous criez de douleur, mais vous vous effondrez en même temps prise d’un violent orgasme.

 » Elle est résistante la garce. On l’a même fait jouir comme une chienne. Quelle salope ! On passe à la dernière étape du concours. Je vais demander à tous les mecs qui veulent gicler de venir se positionner au-dessus de cette femelle. Mesdames et mesdemoiselles, vous aurez le grand avantage de venir branler les bites de ces messieurs jusqu’à ce qu’ils arrosent de leur foutre cette pute  »

Judith vous a aidé à vous coucher sur le dos par terre. Le contact du sol contre votre peau meurtrie vous surprend, mais vous fait presque du bien. Elle vous écarte les cuisses en grand et pendant que la patronne continue d’expliquer le déroulement, elle vient s’accroupir contre votre bouche et, tout en écartant son string bordeaux, vous plaque sa chatte contre votre bouche. Vous introduisez votre langue le plus loin possible dans son con, vous lui aspirez le clito et l’étirez le plus possible. En quelques secondes, vous la faites monter et éclater. Elle vous inonde le visage de son jus.

Sept hommes se mettent autours de vous et sortent leurs bites. Certaines sont bien molles, d’autres encore sont déjà toutes raides. Les femmes se mettent à genoux à côté d’eux et commencent leurs branlettes. Certaines y vont tout de suite à la pipe, d’autres préfèrent l’action manuelle. Leurs mains de libres s’insinuent entre leurs cuisses écartées ou au contraire bien serrées. Les gémissements de plaisir sortent des gorges autant masculines que féminines. C’est troublant et très excitant de vous voir par terre en train de vous branler d’une main et de vous pincer un nichon de l’autre alors que treize personnes sont en train de prendre leur pied au-dessus de vous.

La première giclette de foutre vient de côté et vous arrive sur le ventre et sur votre bras. Les femmes gémissent de plaisir. On sent les orgasmes à fleur de doigts. L’ambiance dans cette arrière salle de ce bar est électrique et très chaude. Vous fermez les yeux pour ne plus sentir que cette impression du foutre qui vous éclabousse. Vous le sentez partout. Vos nichons sont souvent la destination de ces bites en pleine jouissance, votre con en reçoit aussi pas mal. Vous sentez des mains de femmes qui vous caressent le ventre, les seins et vous étalent tout ce jus reçu. Une main se glisse dans votre chatte, la pénètre tout de suite avec ses cinq doigts, tandis que le foutre continue de vous tomber dessus et que les mains vous l’étalent. Ce n’est plus que râles de plaisir, de jouissance, de cris d’orgasmes mélangés des hommes et des femmes et du votre qui n’en pouvez plus.

Petit à petit, les hommes s’éloignent. Heureusement que quelques femmes vous maintiennent dans cet état d’excitation qui vous fait oublier vos douleurs du fouet et de la cravache.Pendant que vous sentez des bouches, des langues et des mains sur vos seins, votre chatte, votre bouche et même votre cul, vous vous dites intérieurement « vivement le prochain concours !  »

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:49

Rendez-vous au bar
2 – Soumise à tous leurs désirs
par Vivien

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Résumé de l’épisode 1 : Sandra a été contactée par la patronne d’un bar qui veut la « présenter » à un de ses amis.

La femme vous emmène vers une porte à côté du comptoir. Ce sont les toilettes du bar.

– » Monte debout sur la cuvette, les mains sur la tête. Montre-nous ton cul de salope et pisse bien droit pour ne rien mettre à côté. Chaque goutte sur la cuvette sera « récompensée » par trois fessées que tu recevras de chacun de nous deux.  »

Vous montez sur la cuvette, les jambes un peu flageolantes, face au mur et vous mettez les mains sur la tête. Vous savez déjà que vous serez « récompensée ». Peut-être même choisirez-vous volontairement de diriger votre jet un peu à côté… Ça ne vous déplairait pas de vous faire chauffer le cul…

Vous écartez un peu les cuisses pour mieux viser et commencez de pisser, doucement au début et puis vous ne pouvez plus vous retenir. Vous lâchez tout. Un jet d’urine tombe dans la cuvette dans un bruit de douche. Les dernières gouttes n’ont pas encore fini de tomber qu’Irène vous met la main au con et vous badigeonne de votre pisse toute votre raie. L’homme ne perd rien du spectacle et en profite pour s’occuper de vos nichons et vous caresse les fesses. Vous remarquez qu’il a quitté son pantalon et sa chemise. Il est entièrement nu, sa queue a déjà repris une certaine vigueur ce qui vous laisse présager d’autres utilisations et peut-être d’autres arrosages. On peut rêver tout de même ! Vous avez encore le goût de son foutre sur la langue…

Vous vous retrouvez dans cette position inconfortable (toujours avec vos chaussures ! ) avec plusieurs doigts dans la chatte qui vous fouillent. Les doigts sont remplacés momentanément par un objet qui vous parait de bonne dimension. On est en train de bien le mouiller avec votre jus et Irène le présente devant votre rosette.

– » Pointe bien ton cul en arrière petite chienne, que je puisse t’enculer comme il faut, bien à fond. Ton cul n’a encore rien eu, là tu ne vas pas être déçue ma salope »

Vous faites au mieux pour pointer votre cul mais ce n’est pas très facile en équilibre sur une cuvette de wc. L’homme vous écarte les fesses et vous sentez l’objet rentrer dans votre cul. Vous reconnaissez immédiatement qu’Irène est en train de vous enculer avec un plug d’un bon diamètre. Il équivaut à une bonne bite bien bandée. Vous poussez même un peu le cul en arrière pour qu’il rentre plus.

– » On va lui laisser le cul s’écarter un moment, dit Irène. Ce sera plus facile pour toi après. Regarde-moi ce cul, elle me fait mouiller cette petite pute et je vois que pour toi la trique est revenue. Tu en auras besoin tout à l’heure. Pour l’instant, vérifions comment a pissé cette petite salope.  »

Irène vous fait descendre du wc. Intérieurement vous la remerciez car vous commenciez d’avoir sérieusement mal au cuisses. Ils se penchent tous les deux vers la cuvette et commencent à compter les gouttes de pisse qui ne sont pas arrivées jusqu’au fond.

– » 1, 2, 3, ……. 9  »

S’adressant à vous, Irène vous dit :

– » 9 gouttes ma salope, qu’on va multiplier par 3 pour moi et par 2 pour mon ami, ça nous fait un total de 54. Tu vas recevoir 54 fessées sur ton adorable cul rond. Nous allons avoir le plaisir de le faire rougir  »

Joignant le geste à la parole, elle vous file une bonne claque sur la fesse droite.

-« Allez, en position, tu vas en recevoir la moitié ici »
-« Mets-toi devant la cuvette, vous dit l’homme, les bras contre le mur, écarte les jambes.  »

Vous vous exécutez et vous vous mettez en position debout, les jambes écartées, tournant le dos aux autres et vous mettez les mains contre le mur ce qui vous oblige bien sûr à mettre votre cul en arrière.

– » Ecarte encore plus les jambes et pointe plus ton gros cul, je veux que tu sois encore plus salope  »

Il passe son pied entre vos jambes et vous écarte les pieds beaucoup plus que ce que vous aviez fait. Cette position vraiment écartelée vous ouvre encore plus les fesses et vous écarte le con encore plus luisant et brillant.

– » On va lui enlever le plug pendant qu’on lui claque le cul, lance Irène. On verra mieux comment réagit son trou de balle sous les coups.  »

Elle retire le plug de votre cul d’un coup rapide. Heureusement qu’il était encore bien lubrifié de votre mouille de chatte. L’homme vous annonce :

– » Dans un premier temps, tu vas recevoir 27 fessées à la main, ici, dans cette position.  »

Sans plus attendre, il commence une claque sur la fesse gauche, une claque sur la fesse droite, pas très fortes. Il continue gauche, droite, gauche, droite.

– » Ce sont des demi-fessées que tu lui donnes à cette pute. Elle a droit à des vraies. Vas-y, il faut que son cul rougisse.  »

En même temps qu’elle dit ça à l’homme, elle vous enfile sans aucune précaution trois doigts dans la chatte et les fait aller et venir, les fait tourner, les enfonce un peu plus, en met quatre, puis les cinq. Elle écartèle votre con à outrance pour y introduire sa main entière. Vous balancez votre cul latéralement pour bien faire rentrer cette main au fond de votre chatte. Vous sentez que la jouissance n’est pas loin. Vous faire fister le trou n’est pas pour vous déplaire. Au contraire.

L’homme continue ses claques sur votre cul. Mais cette fois, elles sont deux fois plus fortes. Des vraies fessées bien cuisantes et bien sonores. Le bruit que fait une main en train de vous fesser vous excite autant que la douleur. Vous commencez à crier, car votre cul vous cuit de plus en plus et vous n’en n’êtes qu’à 12. Qu’est ce que ce sera tout à l’heure !

– » Arrête, lui dit Irène, on va la faire taire. »

Elle retourne dans la salle et rapporte votre string noir coupé. Elle le secoue un peu, le roule en boule et vous le fourre dans la bouche. Elle défait un de ses bas, le met à double et en fait un bâillon.

– » Ecarte tes lèvres de femelle que je te bâillonne. Comme ça tes cris seront étouffés et on pourra s’occuper de ton cul sans être dérangés »

L’homme recommence son va-et-vient gauche – droite sur vos fesses rondes et bien tendues en arrière. La douleur est de plus en plus forte. Irène a recommencé de vous fister le con. Son poing tourne dans votre chatte, va d’avant en arrière, ses doigts bougent contre vos parois. Vous vous déhanchez de plus en plus, les claques continuent à tomber, 22, 23, le poing d’Irène fait des ravages, vous êtes à deux doigts de jouir, vous vous sentez flageoler, vous sentez votre jus couler à l’extérieur de votre con. A la 25ème fessée, vous partez dans un orgasme éblouissant, vous ne savez plus où vous êtes, vous ne sentez plus les deux dernières fessées sur votre cul et le poing d’Irène qui continue de vous transporter. Elle retire soudain sa main de votre trou.

– » Tu as vu comme elle a joui cette garce. Elle m’a complètement inondé le bras. Regarde, je suis mouillée jusqu’au coude. Quelle salope ! En plus, elle n’a même pas demandé l’autorisation de jouir cette chienne. Emmène la dans la salle »

Toujours bâillonnée, vous suivez l’homme dans la salle du bar. Il s’arrête au milieu, à côté du billard.

– » A genoux, salope »

Il vous agrippe par les cheveux et vous tire la tête en arrière. Il vous enlève le bâillon et votre culotte de la bouche.

– » Allez suce petite pute, redonne une bonne taille à ma bite »

En même temps que vous prenez, toujours à quatre pattes et les cuisses écartées, la bite du mec dans la bouche, vous sentez qu’Irène vous pénètre le con. Elle s’est équipée d’un gode ceinture et vous ramone le conduit à genoux derrière vous, son pubis venant claquer contre vos fesses à chaque fois qu’elle s’enfonce au fond de votre trou.

– » Fais-lui bien bander sa bite parce que c’est ton cul qui va l’utiliser. Tu vas te faire enculer comme une bonne pute que tu es ma salope »

Vous continuez d’enfourner jusqu’aux couilles cette queue qui devient de plus en plus grosse. Vous la léchez, l’aspirez. Irène vous prépare le trou du cul en y mettant une noix de beurre qu’elle passe tout autour, y entre un doigt puis deux.

– » Le cul de ta chienne est prêt si tu veux. Tu vas te régaler mon salaud »

L’homme se retire de votre bouche en même temps qu’Irène se retire de votre con. Il passe derrière vous et présente son gland à l’entrée de votre rondelle.

– » Pas d’hésitation, lance Irène, encule-la d’un coup et pistonne-la à fond. Elle l’a bien mérité  »

Il presse sa bite et vous la fait avaler dans le cul d’un coup. Il commence un ramonage en règle en prenant soin de toujours aller le plus profond possible. Irène se couche sur le dos face à vous et vous présente sa chatte entourée de poils bruns, heureusement pas trop longs. Elle a quitté son gode-ceinture pour que sa chatte soit plus accessible.

– » Bouffe-moi le con salope, bouffe-le moi pendant que tu te fais ramoner le cul. Espèce de pute, fais moi jouir, donne-moi du plaisir, mords-moi le clito. Mets-moi un doigt dans le cul petite garce, fais-moi gicler »

Vous avez le cul bien ouvert et accueillant. L’homme y prend plaisir. En même temps qu’il vous encule, il en profite pour vous filer quelques claques sur les fesses. Celles-la ne sont pas comptées. Elles vous rappellent simplement que vous avez encore le cul rouge et cuisant.

Vous sentez que contre votre bouche et sous votre langue, Irène est en train de monter, et l’homme derrière vous est en train de vous astiquer de plus en plus rapidement. Vous sentez à l’intérieur de votre cul les premiers soubresauts annonciateurs de la jouissance de l’homme. Vous avez l’impression qu’il s’enfonce de plus en plus loin et soudain vous sentez une certaine chaleur vous envahir le cul. L’homme jouit assez fort, dispense son foutre au fond de votre trou, en plusieurs saccades et il vous semble qu’il ne débande pas.

Irène ne tarde pas à se cambrer en vous attrapant la tête. Son orgasme remplit votre bouche de son jus, jus beaucoup plus liquide que la mouille habituelle. Vous avez le visage inondé du jus d’Irène et le cul remplit du foutre de l’homme. Vous voilà comblée. L’homme vous décule et Irène se relève doucement

– » Et bien ma salope, je vais te garder comme pute de service, toi. Tu te débrouilles vraiment pas mal. Remets-lui sa culotte dans la bouche et le bâillon car, si je me rappelle bien, il lui reste 27 fessées à recevoir. Et il est hors de question que cette garce qui a pissée à côté ne reçoive pas toute sa récompense »

Elle vous indique d’aller derrière le comptoir et vous amène vers l’évier en inox.

– » Prends la position que tu dois connaître maintenant »

Vous vous mettez debout, écartez largement les jambes et les cuisses, pointez bien votre cul en arrière, ce qui vous ouvre bien les fesses et dégage votre con rendu bien visible. Votre trou du cul se retrouve lui aussi encore tout ouvert de l’enculade de tout à l’heure.

– » Appuie tes nichons sur l’évier et mets les mains derrière le dos. Je vais te faire voir comment je traite une sale petite pute qui a joui tout à l’heure sans autorisation »

Irène défait son deuxième bas de son porte-jarretelles, le double et vous attache les poignets derrière le dos, assez haut au-dessus des fesses. Elle attrape dans un tiroir un grand concombre bien luisant, d’un diamètre bien équivalent à la bite de tout à l’heure, vous le fourre dans la chatte pour le mouiller, (et y a de quoi le mouiller), le ressort presqu’aussitôt et vous l’enfile sans précautions dans le cul. Des 30 cm du concombre, on n’en voit plus que 10.

Traîne à côté de l’évier une petite planchette de bois rectangulaire avec une sorte de poignée. Elle l’attrape et sans vous laisser le temps de réfléchir, commence à vous fouetter le cul avec une cadence rapide, ne vous laissant pas le temps de reprendre votre souffle. Cette fois, rien dans votre chatte qui pourrait vous faire jouir. Vous êtes là pour être récompensée. L’homme vous regarde en train de vous faire fouetter par cette femme. Il se branle et le spectacle que vous donnez doit lui plaire car il bande joli.

Tout en vous fouettant avec sa planchette et un peu essoufflée par ses gestes, Irène vous lance :

– » Tu as un cul fait pour être fouetté, salope, tu as le cul parfait, qui réagit vraiment bien ma petite garce. Un cul de pute comme ça, je ne vais pas le laisser trop longtemps au repos, il faut qu’il serve un maximum »

Elle ne compte même plus les claques et a du largement dépasser les 27 prévues. Votre cul bien rouge maintenant vous cuit, mais des réactions descendent jusqu’à votre chatte. Votre cul bien rempli par le concombre, les claques de la planchette, le contact de l’inox sous vos nichons et vos tétons font que vous sentez monter un plaisir de l’intérieur.

Irène doit s’en apercevoir car elle arrête d’un coup les claques et demande à l’homme :

– » Est-ce que tu as envie de pisser ? »
– » Si je débande, certainement  »
– » Tu vas pisser sur la pute, l’arroser sur tout le corps de façon qu’elle soit pleine de pisse. Après je lui réserve une petite surprise »

Elle vous fait relever et vous emmène dans la salle.

– » Etends-toi sur cette table et écarte les cuisses »

Toujours bâillonnée et les poignets attachés derrière le dos, vous vous couchez sur la table, bien inconfortablement.

– » Ça y est, j’ai débandé, ça pourra sortir »
– » Monte debout sur la table et arrose la partout et remplit lui le con, je lui tiendrais les cuisses ouvertes »

L’homme monte au-dessus de vous, attend quelques secondes et commence à lâcher un jet de pisse, d’abord sur vos nichons, puis sur le ventre et descend vers votre chatte. Irène vous écarte les cuisses au maximum ce qui a pour effet de vous ouvrir largement le con. L’homme dirige son jet à l’intérieur de votre trou et le rempli, il déborde. Irène y enfouit sa main entière sous les dernières gouttes de pisse qui tombent de la bite de l’homme.

– » Enlève-lui le bâillon et sa culotte de la bouche »

L’homme défait le bas, enlève votre string. Irène monte sur la table et pataugeant dans la pisse qui vous entoure, vient se positionner accroupie juste au-dessus de votre visage.

 

Agneta Helle31

– » Ouvre la bouche salle pute que je te pisse dedans, bois mon jus doré, avale salope, avale chienne »

 

L’homme n’est pas en reste et se positionne entre vos cuisses et vous broute la chatte en vous enculant de trois doigts. Vous recevez la pisse d’Irène sur le visage. Ça vous oblige à fermer les yeux, vous ouvrez la bouche et avalez de grandes gorgées d’urine. Les dernières gouttes tombées, Irène plaque son con contre votre bouche et se frotte sur vous. Elle vous attrape les tétons en se penchant légèrement en arrière et vous les pince sans retenue, les étire au maximum.

Le contact de sa chatte sur votre bouche et l’étirement de vos nichons la font partir dans une jouissance longue et bruyante. De vous faire brouter le con et enculer une autre fois vous porte cette fois vers un orgasme difficilement contenable. Irène redescend et vous fait asseoir au bord de la table.

– » Détache-lui les poignets et rends-lui ses habits. Aujourd’hui, c’était pour vous tester. Le test est concluant. Je vous rappellerai dans les jours prochains, car j’organise un concours d’arrosage de foutre pour une soirée privée. Aujourd’hui nous étions en petit comité. La prochaine fois, nous serons plus nombreux et je vous demande de venir faire la pute, comme vous savez si bien faire. C’est vous qui serez la cible du concours et à la merci de toutes les personnes participantes. Vous recevrez des instructions la veille. »

Irène vous fait mettre debout et écarter les jambes. Elle attrape votre string noir et vous l’enfile dans le con. Vous remettez votre jupe et votre corsage. Vous sentez la pisse et le foutre et vous sortez du bar.

(à suivre…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:44

Rendez-vous au bar 1 – par Vivien01

Récit « fiction » écrit pour une femme dont le fantasme est d’être soumise
à une autre femme et « offerte »…

coin102

 

Imaginez-vous Sandra, assise à une table dans un café lyonnais, désert à
cette heure de la journée. Vos fesses sont en contact avec la banquette en
cuir. Visiblement, vous attendez quelqu’un.

Votre jupe noire un peu trop courte et serrée, a du mal à cacher vos cuisses
qui sont gainées dans des bas noirs dont on commence à distinguer la
dentelle du haut. En se penchant un peu, on pourrait voir ce petit
intervalle de peau entre le bas et la jupe. Vous ne portez pas de
soutien-gorge et vos seins sont visibles sous un corsage en tissus noir,
léger et transparent. On devine vos tétons durcis sous le tissu. Ils
seraient prêts à le transpercer.

Vous croisez vos jambes, ce qui découvre encore un peu plus le haut de vos
cuisses et met en valeur ces superbes chaussures noires à talons de six
centimètres, très « décolletées » qui ne tiennent à vos pieds que par un
savant contour de brides fines. Vous les avez chaussées pour l’occasion, car
vous savez qu’elles vous font des jambes encore plus belles.

Dans cette tenue, vous êtes exquise, appétissante, alléchante et désirable.

La patronne du bar, une femme dans la quarantaine, avec de belles formes,
brune aux cheveux mi-longs vous jette régulièrement des regards un peu en
coin, interrogateurs et envieux. C’est elle qui vous a contacté vous
demandant si une expérience vous intéressait. Votre présence laisse entendre
que oui.

Voilà vingt minutes que vous êtes sur cette banquette. Un homme rentre dans
le bar et se dirige vers la patronne.

–  » bonjour Irène, pourquoi m’as-tu appelé ? »
–  » regarde cette belle fille que je t’ai trouvé »
–  » en effet, tu connais bien mes goûts.  » Dit-il en vous regardant.
–  » je l’ai vu en photo sur son site. Crois-moi, elle a ce qu’il faut où il
faut »
–  » de partout ?  »
–  » ah oui, les seins, un bon 90 et un cul ! Tu m’en diras des nouvelles.

Il se dirige vers votre table, la patronne ferme la porte à clé et tire les
rideaux des grandes vitres donnant sur la rue.

L’homme s’assied face à vous et commence à vous tâter les seins à travers le
tissu. Il les malaxe, prend vos tétons entre deux doigts de chaque main et
les fait rouler, les pince doucement, les étire sur les côtés et sur l’avant
avant de reprendre son massage sur vos deux globes.

La patronne allume une cigarette, s’accoude au bar et vous mate sans
discrétion. L’homme se lève et repousse deux tables afin de libérer un
espace plus important de la banquette.

– » montrez-les »

Vous ouvrez votre corsage, le quittez et le posez plus loin sur la
banquette.

–  » les mains sur la tête »

Vous passez vos mains sur la tête. Vos seins se relèvent un peu. Ils sont
encore plus arrogants comme ça. Il se met à genoux devant vous et attrape un
téton dans sa bouche, le suce, le tète. Il passe à l’autre pendant que sa
main attrape l’autre téton et le fait rouler entre ses doigts. Il l’étire,
le pince à nouveau, reprend les deux tétons dans les mains, pétrit vos
nichons entiers, les malaxe. Votre souffle devient plus court.

L’homme plaque ses mains sur vos cuisses, les remonte sous votre jupe
découvrant ainsi le haut de vos cuisses et le triangle de votre slip noir.

–  » mettez-vous debout, face au mur »

Vous voyez dans le miroir qui est sur le mur votre visage déjà marqué par le
plaisir. Votre regard croise celui de la patronne qui vous mate toujours,
son corsage blanc ouvert. Elle a sortit ses seins du soutien-gorge et les
caresse délicieusement.

– « mettez les mains contre le mur » vous ordonne l’homme.

Il défait la fermeture éclair de votre jupe, la fait glisser à vos pieds et
dévoile votre cul dont les fesses sont séparées par la ficelle noire de
votre string. Vous voilà le cul rebondi, légèrement tendu en arrière. Il
vous fait écarter vos jambes et commence à tirer sur votre string en
l’obligeant à s’introduire de plus en plus entre vos fesses rondes. Dieu que
vous avez un beau cul !

La ficelle n’a pas de difficulté à pénétrer entre les lèvres de votre
chatte. Le string tiré d’avant en arrière glisse à l’intérieur et sur votre
clitoris.

Vous avez fermé les yeux quelques secondes sous la morsure de la ficelle et
en les rouvrant vous voyez la patronne qui est juste derrière vous.

– » tiens, j’ai des ciseaux pour le string » et elle coupe les deux côtés du
string qui tombe à terre.

Vous voilà plus nue que nue du cul. Vos bas noirs délimitent encore plus vos
jambes de vos fesses, vos cuisses sont tendues par votre position écartée et
par vos talons hauts.

– » mettez-vous debout sur la banquette, les pieds au bord. Plaquez vos seins
contre la glace et écartez plus les cuisses. Encore. Tendez votre cul en
arrière »

Sa main vient s’insinuer entre vos cuisses et vient fouiller votre con.
C’est à ce moment qu’il s’aperçoit que votre chatte est entièrement nue,
lisse et luisante de mouille.

-« elle mouille comme une salope, dit la patronne. Regarde comme sa chatte
dégouline »

En effet, on peut voir un filet humide qui descend à l’intérieur de vos
cuisses jusqu’à vos bas. L’homme introduit déjà deux doigts dans votre trou
déjà béant.

-« mets lui trois doigts, elle a l’air d’être large du con »

Vous remuez le cul de gauche à droite, vous gémissez, les nichons écrasés
contre la vitre, les mains agrippées à l’applique juste au-dessus de vous.

Quatre doigts vous pénètrent maintenant et vous fouillent. Votre jus
s’entend. La patronne s’est assise à une table juste à côté de vous. Elle a
quitté son corsage et son soutien-gorge et se trouve les mamelles à l’air.
Sa jupe est relevée jusqu’à la taille. La main dans la culotte, elle se
branle en vous regardant vous faire doigter le con.

– » retourne toi, vous commande-t-elle, écarte bien les jambes et ouvre les
cuisses.  »

Vous faites face à l’homme et à la femme. Ils s’aperçoivent que votre pubis
est délicatement délimité par une petite bande de poils coupés très ras de
un centimètre sur quatre. Quelle beauté !

– » mets ton pied sur le dossier, qu’on voit bien ta chatte, petite garce. »

En écartant encore plus les cuisses dans cette position, vous dévoilez les
lèvres de votre con, votre clitoris tout gonflé, luisant, brillant,
ruisselant.

L’homme l’attrape dans la bouche, le lape, le suce, vous lèche la chatte.
Vous haletez, vous n’en pouvez plus, vous vous déhanchez, votre cul frotte
le mur. La patronne se lève et vous attrape les nichons, joue avec vos
tétons, vous les suce. Vous présentez vos seins et votre con, indécents,
offerts à cet homme et à cette femme qui sont prêts à vous faire jouir. Ils
le sentent et décident d’attendre un peu.

– » mets toi à quatre pattes sur la banquette, vous demande l’homme »

Il vous a tutoyé. L’excitation sans doute.

– » viens me sucer et applique-toi bien »
– » oui, fait lui une belle pipe, petite pute. Et si tu t’appliques, tu auras
un bel arrosage sur ton joli minou de petite salope »

L’homme a quitté son pantalon. Il ne porte pas de slip. Sa bite raide se
dresse devant vous, et sans attendre, vous vous jetez sur elle et
l’engouffrez dans la bouche. Vous entamez rapidement des va et viens sur
cette longue queue décalottée. Votre main lui attrape les couilles et les
malaxe délicatement. Vous enfoncez le plus profondément possible cette bite
dans votre bouche.

La patronne a quitté sa jupe et son slip et se retrouve en
porte-jarretelles, bas noirs et chaussures. Le cul, le con et les seins nus.
Elle s’est assise sur la banquette à côté de vous et se branle, les cuisses
largement ouvertes.

 

sandra6
L’homme n’en peut plus de votre pipe. C’est trop, il sent qu’il va jouir. Il
vous arrête car il veut vous défoncer le trou avant de gicler. Vous lui
présentez votre cul bien tourné vers lui, vous vous écartez les fesses, mais
le passage est déjà fait. Vous avez une chatte béante, dégoulinante de
plaisir.
La bite raide n’a aucune difficulté à vous pénétrer. On entend cette queue
plonger dans votre jus et vous pilonner le fond du trou. Son pubis bute vos
fesses avec force, elles bougent sous les coups de boutoir que vous recevez.

 

La patronne en profite pour plaquer ses lèvres aux vôtres et vous embrasse à
pleine bouche.
Brusquement l’homme se retire de votre chatte, vous retourne. Vous vous
trouvez assise sur la banquette. Il vous attrape par les cheveux et vous
fait engloutir sa bite toujours raide et énorme dans votre bouche. Vous avez
juste le temps de lui prodiguer deux ou trois pompages qu’il éclate et gicle
au fond de votre bouche. Les cinq ou six soubresauts de cette queue vous
envoient à chaque fois une décharge supplémentaire de foutre au fond de la
gorge. Vous avez même du mal à tout garder. Un peu de sperme dégouline au
bord de vos lèvres. La femme se relève et prend la bite de l’homme dans ses
mains.

– » et bien mon salaud, tu lui en a balancé une bonne dose. Et elle a tout
avalé la garce »

Affalée sur la banquette, vous essayez de récupérer avec votre langue le
moindre reste de foutre pour ne rien perdre.

(À suivre…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 6 décembre 2023 3 06 /12 /Déc /2023 19:53

Léonard de Vinci, génie gay  (1452-1519)

Fils bâtard qu’un notaire respecté de Florence a eu avec une servante d’auberge, il a été élevé à la campagne par ses grands-parents paternels. Veillent sur lui sa grand-mère, sa belle-mère et sa mère.

Convaincu des qualités de son fils, son père l’emmène à Florence pour le former dans l’atelier du maître Verrocchio. Là, l’élève ne marque pas seulement ses contemporains par ses qualités intellectuelles et artistiques : il tranche aussi par son physique éblouissant. Haut de plus d’1,90. Le jeune Léonard de Vinci était un éphèbe au corps élancé, à la chevelure blond vénitien et aux yeux clairs. Bien plus qu’un physique, il apparaissait charmant, drôle, séducteur –sans parler de ses talents. Irrésistible donc, mais aussi scandaleux : il attirait bien des médisances et des jalousies.

Notons l’absence de femmes dans son entourage : le maître passe toute sa vie entouré d’hommes. Au cours de ses multiples pérégrinations, il est accompagné par une petite troupe de garçons, les élèves qui composent sa bottega, son atelier

.
JeanBaptisteSes dessins témoignent du plaisir évident qu’il prend à tracer les membres du corps masculin, un plaisir qu’on ne retrouve pas pour ceux de la femme. Les hommes qu’il représente sont souvent parés d’une ambiguïté androgyne. Son Saint Jean-Baptiste, dont le sourire et le doigt tendu n’évoque guère la dévotion, a de quoi déconcerter.

Ces jeunes hommes prennent, en fin de journée, des parties de plaisir avec un modèle qui leur a plu, et cela n’a rien d’extraordinaire : les pratiques de ces ateliers d’artistes font école.

La discrétion de Léonard sur sa sexualité remonte précisément à un scandale qui a failli ruiner sa vie. Il a 24 ans et débute sa carrière d’artiste à Florence. Une nuit, quelqu’un glisse une dénonciation anonyme dans le tamburo, cette boîte qui recueille délations et calomnies du tout-venant. Le matin, l’accusation est lue par des officiers : quatre garçons sont accusés de sodomie en réunion. Parmi eux figure «Lionardo di ser Piero da Vinci». Un neveu de Laurent le Magnifique, alors à la tête de Florence, est également mis en cause.

La dénonciation est jugée suffisamment sérieuse pour qu’une enquête soit diligentée. Il existait un tribunal des « Officiers des sodomites » à Florence pour condamner l’homosexualité. L’accusation était gravissime car elle pouvait conduire au bûcher. Tout Florence se passionne pour ce fait divers qui impliquait un homme apparenté aux Médicis. Léonard comparaît le 8 avril 1476 après avoir passé quatre mois en prison. Un non-lieu est rendu. Mais sa sexualité reste étalée sur la place publique… On imagine la risée et la colère de son père, célèbre notaire, qui l’envoie hors de Florence.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Biographies
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Samedi 2 décembre 2023 6 02 /12 /Déc /2023 07:27

Brigitte et son fils par Kriss Baxter
Mat Stamp

Je suis Brigitte, une femme de 40 ans, mariée à un homme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Gauthier, qui a maintenant 18 ans. Il a beaucoup changé depuis les deux dernières années. Il a beaucoup grandi et il est devenu un homme, un bel homme comme je les aime, ni trop musclé, ni trop frêle un petit côté ambigu même.

Il faut donc que je vous avoue que mon fils m’attire sexuellement. Depuis quelques mois, je l’observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m’empêcher de fantasmer en pensant à lui. L’autre jour, en passant devant sa chambre, j’ai aperçu Gauthier nu sur son lit et j’ai remarqué que son membre était en érection. Je n’ai pu m’empêcher de l’espionner un peu et je suis devenue mouillée. Il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que ça ne se fait pas de désirer de telles choses mais l’envie est plus forte que tout. L’autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m’aperçu que mon fils Gauthier me regardait lui aussi du coin de l’œil alors que j’étais habillée légèrement par cette chaude journée d’été. Pour être certaine de ce que je pensais, j’ai tenté de provoquer les choses en m’asseyant doucement et en soulevant ma jupe un peu pour lui dévoiler ma cuisse. Ah, je ne vous ai pas dit, je suis bronzée, mes fesses et mes gros seins fermes me rendent sexuellement attirante et je parais plus jeune que les 40 ans que j’affiche.

Bref, mon fils ne pouvait s’empêcher de me regarder et soudain il s’est levé et il est monté dans sa chambre à toute vitesse. J’ai remarqué quand il s’est levé qu’il était bandé très dur dans son pantalon. Je suis monté doucement et j’ai espionné mon fils. Sa porte de chambre était fermé mais j’ai tendu l’oreille et j’ai pu entendre qu’il se masturbait. Probablement qu’il pensait à moi. Je n’avais que l’envie d’entrer dans sa chambre et de le baiser. Je n’ai pas pu le faire, c’était un trop gros tabou et je ne savais pas s’il aurait voulu. J’ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma chambre.

Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décidé à en parler à ma grande copine Elsa, qui demeure pas très loin de chez nous. Je voulais savoir si j’étais normal et j’avais vraiment besoin de me confier à quelqu’un. Elsa m’a écouté. Elle était surprise de la situation farfelue mais elle me comprenait car elle aussi trouvait mon fils Gauthier très séduisant. Et elle m’a même dit franchement qu’elle le baiserait volontiers elle aussi.

Le samedi suivant, ma copine Elsa a invité toute notre famille pour diner, mais mon mari ne pouvait y aller ce qu’elle savait très bien d’ailleurs. Gauthier et moi sommes arrivés chez Elsa vers 18 h 30 et nous avons diné. Elsa portait un robe très sexy et j’ai remarqué qu’elle regardait Gauthier d’une drôle de façon. Après avoir pris deux ou trois digestifs elle mit de la musique et pris Gauthier par le bras pour l’emmener danser. En se dirigeant vers le salon, elle mit une main sur la fesse de Gauthier en se retournant vers moi et fit un clin d’œil. J’ai alors compris son plan tout de suite. Je l’ai suivi au salon et Elsa dansait de façon très sexy devant Gauthier qui avait l’air un peu embarrassé. Je me suis assise sur le canapé et j’ai observé Elsa se dandiner devant mon fils.

Elle caressait maintenant Gauthier le long de son corps et soudain elle allongea ses bras derrière lui, l’agrippa par les fesses pour l’entraîner sur elle. Gauthier sans faire ni un ni deux lui agrippa les fesses à son tour. La danse devenait très cochonne et j’enviais Elsa. Elle vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J’ai un peu hésité, j’étais embarrassé mais le vin et les digestifs m’encouragèrent à me lancer. Elsa se remit à danser langoureusement dos à Gauthier en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils. Je dansais en regardant les fesses de mon fils et je me surpris à mettre mes mains sur son cul. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toutefois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter à son maximum dans ma main. Il branla ses fesses doucement contre ma chatte humide tout en mettant ses mains sur les seins d’Elsa. Nous dansions tous les trois dans une chorégraphie très cochonne et mes fantasmes des derniers mois se réalisaient.

Soudain Elsa se retourna, descendit sur ses genoux face à Gauthier et détacha son pantalon. Elle sortit la queue de mon fils en lui demandant :

– Ça te plait cette soirée en compagnie de deux belles femmes ?
– Oh oui, je suis excité comme tu peux le voir ! Répondit-il nerveusement.

Kriss BrigitteSa belle queue dure pointait vers le visage d’Elsa et elle s’en empara, me fit un clin d’œil puis prit le sexe de mon fils dans sa bouche. Elle le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Gauthier jusqu’en bas et j’ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment. Je me suis alors assise sur le canapé et les regardant. Elsa arrêta et dit à Gauthier de venir me rejoindre.

Il avait l’air très surpris, il hésita et me regarda l’air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s’approcha doucement. Sa bite était là, pour moi maintenant, pointée vers moi et n’attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commençai à la branler et je voyais l’excitation dans son visage. Je sentis ma chatte devenir toute mouillée et j’ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche pour le sucer avec intensité. Au bout d’une dizaine de minutes, Elsa qui était nue sur le tapis du salon m’interrompit et me demanda:

– Dis-moi, est-ce que je peux me faire baiser par ton fils ?

Je lui fis signe que oui en disant à Gauthier de la baiser mais d’en garder pour moi. Pendent que Gauthier entrait sa jolie queue dans le sexe de ma copine Elsa, je me déshabillais et m’allongeai sur la canapé et me caressai en les regardant baiser. Après quelques minutes Elsa me regarda et repoussa Gauthier afin qu’il me voie sur le canapé. Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n’hésita pas. Ma chevelure blonde qui cachait à peine mes seins qui pointaient vers le ciel, les cuisses écartées légèrement. Il se dirigea vers moi et me lécha mes gros seins fermes en les massant doucement. Je sentis son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma chatte, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et il me pénétra d’un seul coup. C’était bon de me faire baiser par mon fils que je désirais, ce joli corps ambigu avec une si belle queue que je voyais déambuler chez moi sans pouvoir rien faire. Mon fils me sautait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il pompait très fort et mes seins bougeaient devant son visage. Il agrippa un de mes seins avec sa main, le lécha et jouit en moi, je sentis son sperme chaud couler dans mon intimité et j’ai joui en même temps que lui. Elsa s’était reculé dans l’ombre et nous regardait du coin du salon, à la fois excitée et abasourdie par le spectacle insolite que mon fils et moi lui donnions.

J’ai remercié mon amie Elsa. Et depuis ce temps, quand mon fils et moi avons des envies du genre, nous ne nous masturbons plus mais on se permet de baiser en douce chez nous ou chez Elsa avec sa participation

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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