Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 15:29

Séance de bronzage par Julien03

Catland

Salut tout le monde, au fait, je ne me suis pas présentée la dernière fois,
je m’appelle Catherine, j’ai 18 ans, j’ai des cheveux châtains bouclés qui
descendent un peu plus bas que mes épaules. Je mesure 1m 65, je ne me trouve
pas trop moche, je ne suis ni obèse ni mannequin, mais je me plais et c’est
ça qui compte !

Depuis une semaine, je suis toute seule chez moi, ma mère et mon frère sont
partis en vacances chacun de leurs cotés quant à moi, je pars demain pour la
Grèce. Je me réjoui vraiment car je pars dans l’appartement de mon oncle, il
me le prête, sympa non ?

Toujours est-il, qu’il fait aussi chaud qu’en Grèce aujourd’hui, du moins,
j’en ai l’impression ! Après avoir déjeuner, je décide d’aller me relaxer
sur ma terrasse pour peaufiner un peu mon bronzage en espérant ne pas
débarquer en vacances blanche comme une russe ! Je monte dans ma chambre, me
déshabille, ouvre ma garde-robe, et je me rappelle que trois de mes maillots
sont déjà dans ma valise, quant au 4e, je l’ai prêté à une amie, et je ne
pense pas le revoir de sitôt ! Tant pis, on bronzera en petite culotte !

Je descends donc avec sur moi, une culotte bleue ciel et un t-shirt blanc
sur ma terrasse. De là où je suis, seule ma voisine peut me voir et encore,
il faut qu’elle sorte dans son jardin et il y a peu de chance, à mon avis
elle fait sa sieste vu la chaleur ou bien elle m’espiègle encore mais ça je
m’en fou, j’ai l’habitude ! Je dépose mon magazine et ma crème solaire et
décide tout d’abord de faire un petit plongeon dans ma piscine pour me
rafraîchir. Je garde quand même mon t-shirt, car là, tout le pâté de maisons
peut me voir (ce n’est pas que ça me gêne, mais je n’ai pas envie que tout
le monde regarde ma mère bizarrement chez le boulanger) ! Plouf…… Je remonte
à la surface, regarde ma poitrine et me dit qu’avec ou sans t-shirt, c’est
pareil. Je l’enlève donc (désolé maman !!!), fait 2 ou 3 longueurs et puis
je sors. Je m’allonge sur mon transat et en 5 minutes, je suis sèche, le
soleil tape vraiment fort ! Je prend ma crème solaire (je n’ai pas non plus
envie d’arriver comme un homard en Grèce !), je commence à m’en mettre dans
le dos comme je peux, j’en dépose 2 petits trais sur mes seins, et je m’en
étale sur ma poitrine, le ventre, mes cuisses, mes jambes mes pieds, bref
partout… ça me rappelle la crème au chocolat, l’autre fois dans ma cuisine
(voir : tâches ménagères). Toutes ces pensées m’excitent un peu quand même,
et cette excitation me donne envie de pisser.
Après tout, je suis dehors tout de même, je ne vais pas rentrer pour aller
aux toilettes, ce serait absurde ! Je commence alors à me laisser aller dans
ma culotte à peine sèche, c’est un long pipi, il faut dire, avec toute l’eau
qu’on boit par ce temps ! L’urine toute chaude reste dans le transat
légèrement renforcé à certains endroits… quel plaisir de rester couchée
comme ça, le cul dans sa pisse…

amy871Tout cela m’excite encore plus, et je repense à cette histoire de crème au
chocolat l’autre fois, je retire ma culotte et vais dans la cuisine, je
regarde dans le frigo et je vois des yaourts nature, j’en prend 2, et
retourne me coucher sur la terrasse. Je commence à me caresser les tétons,
je joue avec, je les pince légèrement, puis plus fort, ensuite, je prend mes
seins en main, j’ouvre un yaourt, et le vide sur mes seins, je me l’étale
comme la crème solaire tout a l’heure, de mon autre main je joue dans mon
entrecuisses en effleurant mes lèvres, mon petit bouton, ainsi que mon petit
trou. Je prend le 2eme yaourt, et me le verse sur mon bas-ventre, je m’en
mets partout entre mes cuisses, je m’enfonce 2 doigts dans ma chatte bien
trempée d’excitation, avec, je fait des va et vient, tantôt rapide, tantôt
plus lent, je remonte mes doigts jusque ma bouche et je me lèche les doigts,
d’autres doigts titillent et jouent avec mon anus, je me retourne et me mets
à quatre pattes, en me retournant, j’aperçois le sèche-linge, je me lève, je
prends 2 pinces à linge que je fixe au bout de mes tétons, je me remets en
position et continue de me masturber mon anus et ma chatte en me pénétrant
d’abord un et puis deux doigts dans chaque trous. Tout à coups, je sens
quelque chose de doux qui m’effleure les orteils ! Je m’arrête, me retourne
sur le dos et voila que j’aperçois le petit chaton tout blanc de la voisine.
Je le regarde un instant, je l’effraye un peu et il s’en va. 30 secondes
plus tard, je n’y prête plus attention, je reprends mes occupations
!J’écarte bien mes jambes que je mets en l’air et rejoue un peu avec mes
seins, je n’en peu plus, je mouille comme un fontaine, je reprends mes
caresses dans mon entrejambes, je me caresse mon clitoris et m’introduit 2
doigts dans le cul, les mouvements s’accélèrent de plus en plus, je sens que
je vais venir, je retire les pinces à linge et là je jouis, je sens le
liquide qui coule le long de mes doigts je les lèches et reste couchée sur
mon transat quelques minutes, je ferme les yeux et je m’endors en ne pensant
plus à rien.

Dix minutes plus tard, mes yeux s’ouvrent et là, je pense à quelque chose !
Je pense au chaton, celui la même qui est venu m’interrompre tout a l’heure,
celui la même qui a été attiré par je ne sais quel odeur (mouille, pisse ou
yaourt ?) toujours est il, qu’il est en train de me nettoyer la chatte ce
vicieux et moi, petite cochonne que je suis, je me laisse faire ! Il faut
dire que cette sensation est fort bizarre mais très agréable, cette petite
langue rugueuse qui donne l’impression de s’appliquer, me procure un bien
fou, et je ne mets pas longtemps à avoir un second orgasme ! Je referme les
yeux tandis que le chat termine son nettoyage, lorsque je me réveille, ce
n’est pas à cause du chat cette fois ci, mais de sa vieille propriétaire qui
le rappelle, si elle savait…. !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 08:45

Janice, ma femme par ArthurX
sperm stamp

Commençons ce petit récit en vous décrivant un peu, Janice, celle qui partage ma vie.. Cette jeune brunette de 25 ans, très mignonne, possède des mensurations communes mais qui lui vont à ravir. Du haut de son 1m55, et sous ses 45 kg, c’est une féline aux seins de 85b qui se cache. Longtemps bloquée par son éducation puritaine, elle s’est rapidement découverte pour jouir des plaisirs du sexe.

Il faut dire qu’il s’agit de quelqu’un d’impudique, pas trop conformiste, qui, lorsqu’elle sort en boite de nuit, même seule, adore allumer les mecs, être regardée et se faire caresser. Janice, prend un malin plaisir sur la piste de danse à coller son cul bien moulé sur ceux qui la collent de près. Il est vrai qu’elle s’en sert à merveille, tantôt découvrant sa culotte lorsqu’elle est en jupe ou en robe courte ou en balançant de façon très provocante son arrière-train. Elle prend un malin plaisir à me raconter la façon dont un mec lui a peloté le cul ou touché des parties plus intimes afin de m’exciter et la sauter virilement.

Un soir, alors que nous étions depuis peu résidants parisiens, nous avons découvert dans une revue, l’existence d’endroits insolites sur la capitale. Nous avons donc décidé de nous rendre Porte de la Muette pour qu’elle reluque les queues de toutes sortes qui décorent les trottoirs. C’était une première et il faut dire que Janice est une cochonne qui n’aime pas les situations programmées et qui aurait refusé si je lui avais proposé cette sortie et ce qui l’y attendait.

Dans un premier temps, elle a été déçue de voir que les personnes qui se trouvent à cet endroit n’avaient pas un physique à sa convenance, elle regrettait qu’il n’y ait pas de jeunes mignons. Après plusieurs passages, la chatte à l’air et quelque refus de notre part aux vues de la personnalité de certain personnage, nous nous sommes retrouvés suivi par un véhicule dans lequel se trouvait un jeune homme qui lui a plus tout de suite. Arrivés à un feu, il s’est adressé poliment à Janice en lui demandant s’il était possible d’aller plus loin. Elle a accepté et nous nous sommes retrouvés dans un bois au milieu duquel nous ne nous sentions pas tout à fait rassurés. Janice a alors tout de suite pris la situation en main, gesticulant devant moi comme une chienne et voyant que je bandais, elle m’a descendu le pantalon pour me sucer magistralement. Pendant ce temps, ce jeune inconnu qui se trouvait face à son cul lui relevé la jupe, puis lui a descendu sa petite culotte qui pour l’occasion n’était pas très large. Voyant ce joli cul devant lui, il a sorti son chibre énorme de son caleçon et s’est branlé devant elle. Je la sentais transformée, poussant des gémissements comme jamais, se dandinant dans tous les sens.

JanicePensant que le spectacle ne suffisait pas à notre partenaire, j’ai retourné Janice qui a basculé sa tête sur mon épaule en tenant des deux mains sa jupe. J’ai alors vu les yeux du jeune homme se fixer sur sa petite chatte toute mouillée de plaisir. Le jeune homme lui a ensuite déboutonné son haut et lui a relevé son soutien-gorge pour se mettre à lui malaxer les seins.

Elle n’en pouvait plus, et nous non plus. Ce jeune homme n’avait vraisemblablement pas l’intention d’aller plus loin, il voulait toucher et la peloter, ce qui convenait parfaitement pour nous, novices dans cette pratique. Je l’ai ensuite enculé debout, en levrette jusqu’à ce qu’elle jouisse et je lui ai craché toute ma semence sur le cul. Les yeux exorbités par le plaisir elle s’et mise alors à pisser d’abondance en éclatant de rire.

Elle m’a avoué avoir pris son pied grâce à ce jeune homme qui était très poli et respectueux. Nous n’avons jamais eu d’autres expériences car comme je l’ai dit plus haut, elle se refuse des expériences programmées. Elle serait prête à tout si l’occasion se prêtait et malgré tout, continu à se faire régulièrement peloter, et mater en boite de nuit ou dans les magasins dans lesquels elle n’hésite pas à entraîner des voyeurs dans des rayons de petites lingeries pour les exciter et ne saurait protester quand on lui met gentiment la main aux fesses !

Quelle coquine ! Et quelle chance j’ai de vivre avec une telle coquine !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 10 février 2024 6 10 /02 /Fév /2024 07:59

La représentante en lingerie par Belle-Cour
Stamp secretaire

Bonjour je suis André j’ai 40 ans et aujourd’hui j’ai un jour de repos

9 heures !

Je me suis couché tard hier soir et il était encore trop tôt pour me lever, je décidai donc de me rendormir un peu. A peine le sommeil me revint que le timbre de la porte d’entrée retentit. Surpris, je me décidai quand même à me lever, et j’ouvris… en tenue du matin, c’est-à-dire robe de chambre et un bas de pyjama laissant deviner mon érection matinale..

– Bonjour Monsieur, je suis représentante en lingerie féminine, votre femme est-elle là?’
– Non, lui répondis-je, elle est en déplacement
– D’accord, mais mes produits pourraient vous intéresser… pour lui offrir un petit cadeau…
– Bon alors entrez cinq minutes !

Faut dire que la dame avait des arguments, dans les 35 ans, joli minois de brune à lunettes avec un sourire ravageur, joli décolleté, minijupe…

– Je n’ai pas pris mon café j’allais m’en faire, vous en voulez un ?.
– Volontiers !

Elle s’assit dans le fauteuil, et j’allais m’habiller.

Puis du coup, des souvenirs du jour précédent me revinrent et je me mis à craindre le pire tout en étant excité…

Ma femme étant en déplacement, je m’étais soulagé devant une vidéo porno sur Internet, une vidéo gay dans laquelle on voyait deux mecs matures se sucer la bite et s’enculer.. Je ne suis pas gay, mais j’ai quelques tendances bisexuelles et j’adore ce genre de film !

Le souci c’est que je n’avais pas éteint l’ordinateur en me couchant et le site internet non plus. Pas grave me direz-vous, sauf que la fonction veille déconne et un simple frémissement de ma souris suffit pour tout rallumer !

Je terminai donc de m’habiller, lorsque j’entendis un gémissement féminin provenant de la pièce où j’avais laissé la dame. Je vis alors la représentante, les mamelons à moitié à l’air, en train de s’enfoncer dans la chatte la souris de l’ordinateur, tout en matant le film oublié la veille qui tournait en boucle !

Merde! Qu’est-ce que je fais ?.’

Lingerie24Elle me vit la mater et continua son exhibition.

– Oh, excusez mon comportement, mais vous regardez de ces choses !
– Oh, je suis tombé dessus par hasard ! mentis-je
– On dit ça, on dit ça ! En tous les cas moi ça m’excite grave !
– Je vois ça !

Je suis tombé sur un nympho ou quoi ? Mais après tout pourquoi pas ?

Apparemment ça lui plaisait que je la mate, et loin de s’arrêter elle eut soudain envie de s’occuper de son fion, chose qu’elle fit, immédiatement en y insérant deux doigts illico. La souris toujours fichée dans son vagin, les doigts trifouillant son cul, elle pelota aussi ses seins lourds en se pinçant vigoureusement les bouts. Son regard vers moi me fit chavirer. C’était trop tard, je fondais dans son désir. Une femme qui ne devrait être là que pour vendre de la lingerie et voilà qu’elle allait m’offrir son corps et son cul à la place de dessous féminins !

– Vous voyez je n’ai pas de culotte ! Ça me permet d’être plus vite excitée, je peux sentir mon odeur même après avoir pissé, mais aussi me doigter l’importe quand, quand j’en ai envie.
On peut dire qu’elle aimait les détails ! De sa franchise à ma queue dans sa bouche, il ne fallut que quelques secondes. Je lui empalai la bouche, clouant ma queue au fond de sa gorge, n’hésitant même pas à insérer des doigts en plus pour qu’elle me les lèche ensuite. Entreprenante, elle décida de m’enlever mon caleçon et commença à me peloter les fesses avec énergie.

– C’est là que tu veux en venir ou quoi ? Pourquoi tu insistes comme ça, coquine ?
– Laisse-moi faire, je vais te faire quelque chose de succulent, mon cochon !

J’ai plutôt été brusqué. Elle retira ma bite de sa bouche pleine de la mouille qu’elle avait lapé de ma queue et plongea sa langue dans ma bouche, tout en commençant à entrer ses doigts dans mon cul… Je ne me fis pas prier et fit de même avec le sien, jouant à l’occasion avec son clito et sa fente. Le problème était que son cul n’était très propre mais je ne pus lui en faire part. Elle me dominait complètement, sa langue parcourait l’intérieur de ma bouche, passant sur mes oreilles, revenant à mes lèvres, pendant que mon cul commençait à s’ouvrir à ses doigts. Putain! J’avais jamais ressenti un tel plaisir !

Tout à coup, elle me fit mettre sur le canapé à quatre pattes, je pris un peu peur. Mais merde à la fin ! C’était moi le mec ! Mais je me laissais faire. Pendant que ses doigts fouillaient mon fion, elle branlait ma bite de l’autre main. Ainsi à quatre pattes, ma représentante se mit à me lécher le trou cette fois… Décidément elle avait l’air de n’en vouloir qu’à mon cul ! Et comment savait-elle que j’aimais ça d’ailleurs? Car en fait, je suis un véritable amateur de sexe anal, d’homme à femme et inversement !

Elle lapait donc le pourtour de mon fion, entrait, sortait, puis tout à coup, elle me dit

– Je vais te fister le cul, mon salaud, ça te tente hein ?
– Euh, je, en fait… je ne sais pas si…

Je n’ai jamais pu terminer ma phrase, j’ai dû enfouir ma tête dans un coussin et le mordre quand j’ai réalisé qu’elle entrait de plus en plus de doigts dans mon cul ! Il faut avouer que c’était infiniment le pied, car se sentir ouvert par une femme c’est une sensation unique. Elle me labourait donc le trou avec sa main, elle eut même le culot de tourner sa main plusieurs fois, alors que mon cul n’avait jamais servi qu’à des caresses beaucoup plus douces ! A un moment, elle sortit sa main merdeuse et se mit à la lécher. J’ai été un peu décontenancé sur le coup mais quand elle commença à se caresser tout le corps avec la jouissance anale qui était sur sa main, j’ai recommencé à bander comme lorsqu’elle m’avait sucé.

Elle se retourna, à quatre pattes à son tour, et tira sur ses fesses, je fus stupéfait: elle s’était personnellement fisté le cul à elle pendant qu’elle élargissait le mien ! Décidément ! Maintenant, je pouvais enfin un peu m’occuper d’elle. Je pris son clito entre mes dents et le suçotait en le faisant rouler entre mes lèvres, mes mains s’occupant de sa poitrine qui était restée libre pendant tout ce temps. Elle aimait que je lui triture ses bouts, que je les tire très forts, que je les pince et que les étire. Après les dilatations qu’elle s’était fait subir, ma queue s’enfonça très facilement d’un orifice à l’autre, alternant les plaisirs, mélangeant les jus et les sécrétions. Son trou du cul restait ouvert à chaque fois que je faisais sortir mon sexe en dehors, ma bite ressortait merdeuse, je l’essuyait sommairement contre ses jolies fesses. j’eus même l’audace de lécher un peu, par curiosité et de trouver ça bon. L’excitation nous fait faire de ces choses parfois ! J’enfilai ensuite sa chatte puis de nouveau son tunnel sombre. L’apothéose à tout cela finit par arriver, elle se dégagea de ma bite qui ramonait sa chatte toute trempée par tant de plaisirs, et me fit une étrange suggestion

– Tu vas me montrer comment un salaud de baiseur pisse dans le cul de sa chienne !
– Mais, tu n’es pas une chienne, tu…
– Fais-le, je te dis !

Disons-le clairement: pisser c’était pas trop mon truc, mais comme au moment où; elle lécha sa main tachée de la merde de mon cul, j’en fus inexplicablement excité. C’était bel et bien une femme qui me proposait de faire quelque chose de totalement nouveau pour moi et sur le champ ! Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, j’enfonçai donc ma queue dans son cul pour l’élargir un peu et elle me dit ensuite des mots dont je ne peux plus me souvenir, pris dans un tourbillon malsain sur le moment mais ce qu’elle me dit finit par me faire pisser à l’intérieur de son cul !

Quel pied ce fut ! Evidemment, physiquement, elle profitait plus que moi, d’ailleurs elle me proposa de passer la paume de ma main sur ses fesses, pour absorber l’urine qui y dégoulinait et lui donner à boire car elle m’appris qu’elle goûtait souvent sa pisse…

Cette baise sans tabou n’aurait pas pu prendre fin sans que, à mon tour, je décharge tout le sperme que j’avais emmagasiné durant ces exaltations. La jouissance fut classique mais intensément profonde. Elle fit regonfler ma bite en l’absorbant bien à fond et en jouant avec sa langue sur les bords de mon gland. Ses lèvres n’étaient pas pulpeuses comme dans nos rêves de mâles mais fines et sa bouche n’avait que peu de place pour contenir un sexe qui allait bientôt envoyer toute sa crème. Mes boules étaient malaxées, elles aussi, j’eus même droit à son index entier dans mon anus pour me rappeler comment elle m’avait enculé environ une heure plus tôt. Et là, accompagné de ses mots cochons, étant investi physiquement et mentalement, ma queue bougea un peu dans sa bouche pour jouir dans la seconde et tout mon foutre se déversa en elle, tellement puissant que même avec sa bouche fermée, du sperme coula vers le bas de son menton. Elle m’embrassa encore, me faisant goûter à mon propre sperme.

– Ta femme reviens quand ?
– Elle est au Danemark avec son chef elle rentre lundi.
– Ça t’intéresserait que je revienne avec mon directeur des ventes
– Pourquoi aire ?
– Parce qu’il est sympa, il a une belle bite et il pourra t’enculer !
– Alors d’accord !

9 h 30

Je me réveille… encore dans mon rêve ! Mais quel rêve ! Et voilà que l’on sonne ! Mon rêve va-t-il se réaliser ?

J’ouvre et découvre un couple de témoins de Jéhovah ! Le rêve s’est transformé en cauchemar !

– Vous venez pour la partouze ? Vous êtes en avance c’est à 22 heures ? leur dis-je

Ils sont partis sans demander leur reste. Et moi je suis allé me branler dans la salle de bain.

Au revoir !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:49

Martinov 26 – Les sculptures incas – 13 – Partouze parisienne par Maud-Anne Amaro

stamp partouz

L’affaire ne traîna pas, à peine une heure plus tard la maréchaussée, munie d’un mandat de perquisition faisait irruption dans le pavillon des Laurensot, confirmait l’objet du délit et menottait Camille en lui énonçant ses droits.

– Tu vis seul ici ?
– Euh…
– C’est pas une réponse !
– Y’a mes frères, mais ils n’ont rien à voir avec tout ça.
– Sont où ?
– En courses à Alençon
– Reviennent quand ?
– Devraient pas tarder, mais je vous dis, ils n’ont rien à voir avec tout ça !
– Ta gueule !
– Pourriez être polis.

Les gendarmes attendirent patiemment le retour de Raoul et de Louis Laurensot, puis embarquèrent le trio après avoir posé les scellés d’usage sur le pavillon

Gérard est garé sur le bas-côté de la départementale, quand il voit les gendarmes repartir pour Alençon avec les trois prévenus il téléphone à son ami Suchet à la brigade des stups :

– La gendarmerie d’Alençon vient d’arrêter trois abrutis à Vertgland dans l’Orne, si tu pouvais t’arranger pour que l’affaire fuite bien comme il faut dans la presse.
– T’inquiètes, on sait faire !

Il téléphone ensuite à Martinov :

– Mission accomplie, leur cave était pleine de statuettes fourrées à la cocaïne ! Les poulets les ont embarqués !
– Quelle efficacité, je n’en reviens pas !
– Un peu de chance, un peu de métier !
– Je ne sais comment te remercier !
– Laisse tomber, on passera très bientôt vous faire un gros bisou.
– Avec plaisir !

Devant les enquêteurs Camille Laurensot adopta une attitude curieuse, déjà il tenta contre toute évidence de dédouaner ses frères, il reconnut les faits, mais usa de son droit au silence quand on lui demanda le nom de son fournisseur et ceux de ses clients.

– J’ai fait ça pour la bonne cause, il me fallait de l’argent pour servir mes amis extraterrestres.
– Tu arrêtes de te foutre de notre gueule !
– C’est pour cela que j’invoque mon droit au silence puisque vous me paraissez incapables de comprendre mes motivations.

Louis ne nia rien mais expliqua qu’il était sous l’emprise de son frère. Quant à Raoul, il se mit à grogner et à insulter les enquêteurs.

L’AFP ne tarda pas à publier un communiqué repris en chœur par les médias dès le lendemain.

Au clos des Merisiers l’ambiance est électrique parce qu’Arsène Chamoulet vient juste de rentrer de son escapade québécoise. Son arrivée en taxi n’étant pas passée inaperçue, c’est toute la petite famille qui lui tombe dessus à bras raccourcis.

– Ah te voilà, toi ! C’est super sympa de nous avoir laissé dans la merde pendant huit jours ! Lui balance Hélène.
– Ben quoi ? Vous devriez être content, je vous ai soulagé de ma présence puisque vous vous êtes mis en tête de soutenir les deux escrocs.
– Moi j’appelle ça de la lâcheté ! Intervient Fanny.
– Toi, la pute on ne t’a pas sonné.
– La pute, tu as été bien content de la trouver quand tu lui pelotais les fesses.
– Tu fantasmes de trop, ma grande !
– Quand même tu aurais pu nous passer un coup de fil. Reprend Hélène, ton téléphone était toujours sur répondeur…
– J’avais pas envie d’être dérangé.
– Bon en attendant, je refuse de rester dans ce patelin, ça devient invivable, tout le monde nous fait la gueule.
– Faut peut-être pas exagérer…
– Je n’exagère pas, si tu veux rester ici ce sera sans moi !
– Et sans nous ! Ajouta Fanny,
– Toi je t’ai dit de te taire. Vous me faites tous chier, je vais faire un somme. Le décalage horaire ça tue.

Gino parvint malgré tout à le convaincre d’écouter le récit des évènements de la semaine.

Arsène ne fit aucun commentaire et s’en alla ronfler.

Quand il réapparut, la nouvelle de l’arrestation des frères Laurensot qui faisait la une des commérages n’était pas encore parvenu à la famille… dame puisque personne ne leur adressait la parole !

Toutes les tentatives pour lui mettre sous le nez la gravité de la situation se heurtèrent à une fin de non-recevoir.

– On attend des nouvelles de Monsieur Martinov et ensuite on se barre ! Déclara Hélène à l’intention de Fanny et de Gino.
– On se barre où ? Demande ce dernier.
– J’ai une copine qui a un grand studio, elle n’est jamais chez elle, toujours en vadrouille, elle acceptera de nous le prêter en attendant qu’on se trouve une location, intervint Fanny,

Les journalistes attirés par l’événement comme des mouches sur du miel ne tardèrent pas à envahir la paisible bourgade de Vertgland. Les habitants du coin n’y comprenaient rien avant que la rumeur prenne forme et enfle : les Laurensot seraient des trafiquants de drogue.

Personne n’y croit

– C’est un coup monté !

Les journalistes interrogent le maire ;

– Et la présomption d’innocence, Vous en faites quoi ?
– Ils ont avoué, monsieur le maire !
– Pfff, on peut faire avouer n’importe quoi à n’importe qui !

Mais deux heures plus tard le discours changeait du tout au tout,

– On est tous choqué, jamais nous n’avons rien soupçonné, les frères Laurensot nous ont bluffé, nous ont trompé, je suis écœuré, je n’ai rien d’autre à ajouter

Quant au brigadier Michel, il étala sa mauvaise foi sans aucune vergogne.

– On se doutait bien qu’il faisait des trucs bizarres, ces gars-là étaient trop lisses pour être honnêtes, mais on n’a jamais rien pu déceler de suspect dans leurs comportements. Ils cachaient bien leur jeu, mais on aurait fini par les coincer.

Lundi 8 mars

Le professeur Martinov et Béatrice se rendent à Vertgland dans ma matinée, c’est Arsène qui les accueille de mauvaise grâce :

– Vous êtes encore là vous ? Se gausse-t-il.
– On dirait bien ! Répond Béa.
– Eh bien tant pis !

Et il s’en va on ne sait où tandis que la petite famille rapplique.

Après les bisous de bienvenue d’usage, Béatrice prend la parole :

– Je suppose que vous êtes au courant ?
– Au courant de quoi ? Y’a du nouveau ? Demande Hélène.
– Les frères Laurensot ont été coffrés, ils trafiquaient de la drogue
– Non ?
– Si ! Et c’est donc la fin de vos ennuis !
– C’est déjà ça, mais on ne va pas rester, tout le monde nous fait la gueule, tout à l’heure je suis allé faire des courses à la supérette, je dis bonjour, on ne me répond pas, la patronne me regardait comme si j’avais assassiné tous les gosses de la région, ça cancanait à voix basse pendant que je choisissais mes produits, et après ni merci, ni aurevoir ! Tu crois vraiment que je vais supporter ça longtemps ? C’est quoi la solution ? Faire toutes mes courses à Alençon y compris le pain.

Du coup ni Martinov ni Béatrice qui n’avaient pas envisager que les choses aillent jusque-là ne savent répliquer.

– Vous savez où aller ? Demande Béa.
– On a une solution provisoire, répond Fanny
– Et monsieur Chamoulet, il est d’accord ?
– Qu’il soit d’accord ou pas, on se barre !

Tout le monde rentra ensuite afin de boire un café, l’ambiance était morose comme vous pouvez le penser

– Je vais essayer un truc. Dit soudain Béatrice en sortant son téléphone portable.

Elle cherche le numéro du maire et le compose.

– Bonjour monsieur le maire, serait-il possible de vous rencontrer brièvement ?
– Hum, si vous êtes journaliste, ce n’est même pas la peine, ça fait dix fois que je raconte la même chose, maintenant c’est fini, ce sera silence radio !
– Mais je ne suis pas journaliste !
– Vous êtes quoi alors ?
– Conseillère juridique.
– Et l’objet de votre demande d’entretien ?
– C’est un peu délicat par téléphone, je préférerais vous rencontrer je n’abuserai pas de votre temps…

– Fanny, prête-moi un truc un peu sexy, ça va m’aider !
– Très sexy ou un peu sexy ?
– Un peu sexy, genre, moulant…

Évidemment quand le maire découvrit sa visiteuse, Il l’a reconnu :

– Vous !
– Ben oui, moi, mais ressaisissez-vous, je ne vais pas vous manger !
– Vous voulez quoi ?
– Je peux m’asseoir ?
– Je vous demanderais d’être brève.

Béatrice n’étant pas invité à s’assoir, le fit d’autorité.

– Ma requête est simple, monsieur le maire, la famille Chamoulet a été harcelé par les frères Laurensot. On sait aujourd’hui à quelles activités illicites ils se livraient…
– Oui bon, et si vous en arriviez aux faits ! S’énerve l’édile.
– La population a pris fait et cause pour les Laurensot considérant les Chamoulet comme des pestiférés…
– Faut peut-être pas exagérer non plus.
– Je n’exagère rien, ces gens ont subi un grave traumatisme…
– Tu parles !
– Bon, est-ce qu’on pourrait se parler cinq minutes entre gens intelligents ?
– Vous allez vous décider à me dire ce que vous êtes venu faire dans mon bureau.
– Monsieur le maire, je suis prête à pardonner votre agressivité, en tant que premier édile de la ville, je pense que vous avez le souci que vos concitoyens vivent en bonne harmonie.
– Pfff…
– Un simple communiqué de votre part rétablissant la vérité serait, sans doute de nature faire taire les animosités…
– Autrement dit vous êtes en train de me dire ce que je dois faire !
– Non…
– Sortez de mon bureau, cet entretien est terminé !
– On ne peut vraiment pas discuter ?
– Sortez, et ce n’est pas la peine de me faire des effets de buste. J’ai horreur des putes et des gros nichons
– Connard !

Voilà ce qui s’appelle un entretien foiré.

Après tout entretien conflictuel vient souvent l’esprit d’escalier. Et s’il est présent chez Béatrice, il devient obsessionnel pour le maire sur l’air de « j’aurais dû dire ceci, j’aurais dû répondre cela… »

« On ne sait jamais à qui on a affaire… cette famille Chamoulet me semble avoir des appuis, il ne faudrait pas qu’une campagne de presse me tombe sur la gueule ! »

Béatrice est de retour au Clos des Merisiers :

– Je reviens de chez le maire, j’ai essayé de discuter, mais ça n’a même pas été possible, ce type est vraiment un gros connard.
– On partira demain, annonce Fanny. On va prendre juste quelques affaires, pour le reste on verra plus tard.
– Et votre beau-père ?
– Il se trouve bien là !
– La situation va être un peu délicate.
– Nous le savons, reprend Hélène mais comment faire autrement ?
– En restant digne, en ignorant les imbéciles, en montrant que vous êtes plus intelligent qu’eux ! Reprit doctement Martinov
– Belle théorie, professeur, je ne voudrais pas vous vexer, mais je me sens incapable de faire ça ! Répondit Hélène

La discussion s’éternisa un bon moment puis la cloche de la grille retentit.

Une femme que personne ici ne connaissait était devant le portail suivie à quelques mètres de distance d’une petite compagnie poussée par la curiosité. Hélène s’approcha.

– Annie Bouriffet, première adjoint au maire, nous faisons le tour des habitants pour vous convier à une réunion publique avec Monsieur le maire, ce soir à 19 heures dans l’arrière-salle de la superette. Il y aura aussi un apéritif. Nous comptons sur votre présence.
– Vous comptez sur ma présence ? Je rêve ! Répondit Hélène en rebroussant chemin.

Petite concertation après le départ de la dame, Les Chamoulet n’ont aucune intention de se rendre à cette réunion. Béatrice et Martinov se propose d’y aller… pour voir.

La réunion fut brève…

– Mes chers concitoyens, commença le Maire, notre paisible bourgade est encore aujourd’hui sous le choc. Sous le masque d’honnêtes citoyens, et donateurs de surplus, se cachaient donc d’ignoble crapules…
– Ouh, ouh ! Hurlent quelques excités
– Ces évènements ont créé parmi nous un véritable traumatisme. Nous devons tous nous ressaisir, c’est pour cela que je vous propose de participer à une fête qui sera celle de la fraternité et de la réconciliation, Nous devons nous montrer unis et solidaires, nous sommes une grande famille.
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Nous pourrions faire ça dimanche, il faudra venir avec les enfants, que ces dames nous fassent des petits gâteaux, et nous allons commander des tas de ballons gonflables, ce sera une belle fête !
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Des questions ?
– J’ai une idée, on pourrait faire un jeu de chamboule-tout avec les noms des frères Laurensot sur les boites de conserves. Intervient un quidam.
– Oui, oui ! Crie la foule.

Béatrice et Martinov ne surent jamais si cette proposition farfelue reçu l’agrément du maire, puisqu’ils quittèrent la salle à ce moment-là.

– Alors ? Demanda Hélène à leur retour.
– C’est n’importe quoi, le maire prévoit une fête avec des petits gâteaux et des ballons gonflables…
– Il pense que ça va arranger quoi ?
– Je n’en sais rien !
– Il fait ça quand ?
– Dimanche !
– On sera barré, mais tenez, voilà notre adresse provisoire à Paris, seriez-vous libre dimanche ou un autre jour, nous ferons la fête entre nous !
– Avec plaisir ! Dimanche se serait bien ! Répondit Béatrice, et toi Martinov.
– Excellente idée !
– Et si Maitre Canaval est libre, elle sera également la bienvenue
– Je lui fais passer le message. Répondit Béa.

Dimanche 14 mars

C’est dans un grand studio du 18ème décoré de façon très « design et tape à l’œil » que la famille Chamoulet accueille Béatrice et le professeur Martinov. Famille Chamoulet sans Arsène évidemment mais Hélène, Fanny et Gino sont bien là… le clébard aussi… ça promet…

Hélène est très élégante avec sa petite robe noire, très décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. Fanny est vêtue d’une jupe en jeans « à ras du cul » et d’un tee-shirt blanc très fin, tellement fin que l’on voit ses tétons pointer en dessous, car elle n’a pas mis de soutien-gorge.

Béatrice a fait simple, pantalon blanc cassé et chemisier vert olive, mais elle prend soin en retirant son imperméable de déboutonner « un peu trop » ce ravissant chemisier.

Ces braves gens prennent l’apéritif en attendant Maître Sophia Canaval qui arrive avec un peu de retard mais avec un gros gâteau ! Evidemment son tailleur « pied de poule » jure un peu avec l’accoutrement de ces dames…

Elle en retire la veste, et imitant Béatrice, elle déboutonne légèrement son chemisier blanc…

Autrement dit « la couleur est annoncée » ! On attend plus que le déclic… Mais ça ne vient pas tout de suite, ces dames sont bavardes… et gourmandes… On papote un bon moment jusqu’à ce que Fanny qui vient de finir sa part de gâteau, se lève en se dirigeant tout de go vers l’avocate.

– J’adore ton chemisier ! C’est de la soie ? Demande-t-elle candidement en plongeant sa main dans le décolleté.
– Mais tu me pelotes les seins, là ! Fait semblant de s’offusquer Sophia.
-Tu n’aimes pas ?
– Je n’ai rien contre mais que vont dire ces messieurs dames ?
– Ces messieurs dames vont se rincer l’œil où même peut-être faire des choses cochonnes. D’ailleurs regarde :

Effectivement, à l’autre bout de la pièce, Gino a dépoitraillé Hélène et lui agace les tétons.

– C’est sa mère qu’il pelote ? Demande naïvement Sophia, puisqu’elle connait déjà la réponse.
– On dirait bien ! Mon mari est un cochon, il baise sa maman, il baise les hommes… mais je l’adore. Embrasse-moi !

Et les langues se mélangent tandis que les tétons sont devenus durs sous l’action des doigts.

Quant à Béatrice et Martinov, ils se contentent de mater. Vont-ils faire banquette ? Vous vous doutez bien que non, chez lecteurs…

De par un synchronisme involontaire, Sophia et Hélène se font maintenant sucer les pointes des seins par leur partenaire respectifs, cela dure un petit moment…. Puis Gino roule un patin à sa mère tandis que celle-ci fouille dans la braguette de son fils pour en extraire une bite superbement bandée qu’elle branlotte quelques instants avant de la porter en bouche avec gourmandise.

Le professeur Martinov n’en pouvant plus de regarder cette scène est invité par Hélène à la rejoindre, ce qu’il s’empresse de faire. Et voici donc un insolite trio incestueux et bisexuel ou Maman Hélène et le professeur se repassent la bite de Gino… Un Gino aux anges, vous l’aurez deviné.

Béatrice restée seule pour le moment décide se donner du bon temps en solo, Aussi se débarrasse-t-elle de son pantalon et de sa petite culotte et entreprend de se tripatouiller sa chatoune humide.

Voilà une odeur qui interpelle Muzo, le chien des Chamoulet, et le voilà qui arrive sans y être invité et qui tout de go se place entre les cuisses de notre jolie chimiste et se met à lui lécher l’abricot.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait ce vilain toutou ? Tu aimes ça, lécher le minou de Tata Béatrice, hein mon gros !

Voici des paroles qui apostrophe Sophia qui n’a jamais assisté à pareille spectacle.

– Oh, mais que fait Béatrice ?
– Ben tu vois, elle se fait lécher par le chien ! Lui répond Fanny comme si la chose allait de soi !
– Ben ça alors ! Mais ce n’est pas dangereux ?
– Meuh non !
– Je n’oserais jamais faire une chose pareille ! Comment peut-on faire ça ?
– C’est tout simple tu écartes les cuisses et tu te laisses faire ?
– Evidemment, dit comme ça ! Tu le fais toi.
– Oui et ma belle-mère aussi !
– Mais vous êtes une vraie famille de dépravés ! Répond Sophia en rigolant.
– Béatrice viens nous rejoindre avec le chien, Sophia a envie d’essayer ! S’écrie Fanny.
– Hé, j’ai jamais dit ça !

Béa s’est relevée, le chien la suit.

Martinov2613
– Allez Sophia, retire ton futal, tu vas voir c’est magique !
– Vous êtes des salopes.
– On sait, on sait, Répond Fanny.
– Allez, retire tout ça, le chien il ne va pas te manger !
– Juste pour essayer, alors !

Et quelques instants plus tard, Muzo léchait la chatte de Sophia à grand coups de langue…

– Oh, là là c’est bon ce qu’il me fait… Aaaah… oui mais bon maintenant ça suffit.

Elle repousse le chien, personne n’insiste, personne ne va plus loin pour le moment, on ne franchit pas tous les pas le même jour.

Martinov après s’être bien régalé de la bite de Gino dans sa bouche, lui a offert son cul. Sophia s’est rapprochée pour mieux voir laissant Béatrice et Fanny en tête à tête, ou plutôt devrait-on dire en tête à chatte puisque les deux coquines se sont installées sur le tapis en position de soixante-neuf, se léchant la minouche avec frénésie et se livrant à quelques variations coquines, comme s’introduire un doigt ans le cul ou bien le lécher…

Hélène ne pouvait laisser Sophia regarder seule les deux messieurs se sodomiser, aussi vient-elle lui flatter le popotin qu’elle a dodu et doux.

La main de derrière, finit par passer devant et s’intéresser à la chatoune humide, du coup les deux femmes se font face, s’embrassent et se tripotent et le voilà qui à l’instar des deux autres femmes s’affalent sur le tapis pour venir y chercher leur jouissance.

Ambiance de folie, le chien chemine parmi les couples fornicateurs, mais ne trouvant personne pour s’intéresser à lui s’en va roupiller devant la porte.

Et vous vous doutez bien comment cette orgie s’est terminé, c’est grande bousculade dans la salle de bain dans laquelle tout le monde se presse pour aller pisser. Seulement il n’y a pas assez de place, alors ça se passe à tour de rôle.

C’est Fanny qui est entrée la première et s’assoit sur la cuvette, Hélène vient devant elle et lui pisse dessus en restant debout, Du coup Fanny ouvre la bouche, elle adore le pipi de sa belle-mère. Béatrice est entrée dans le carré à douche et reçoit l’urine de Gino en pleine face.

Mais la vraie surprise vient de Martinov qui n’avait pas encore joui et qui après s’être masturbé énergiquement fait jaillir son sperme sur la généreuse poitrine de Sophia.

Allez venez tous, nous avons un autre gâteau au frigo ! Nous dit Hélène, recueillant l’approbation enthousiasme de la joyeuse bande.

Et si vous le voulez bien, nous retrouverons bientôt Béatrice et Martinov dans une nouvelle aventure

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:46

Martinov 26 – Les sculptures incas – 12 – Gérard et Florentine mènent l’enquête par Maud-Anne Amaro
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Samedi 6 mars

Gérard s’est débrouillé pour obtenir un rendez-vous avec José Gourmet en se faisant passer pour un journaliste (en bon agent secret, il avait conservé toute une collection de fausses cartes…)

Auparavant, il s’était quelque peu renseigné sur le personnage. Sa bibliographie officielle le présentait comme un élève brillant sorti major de sa promotion à l’Université catholique de Lyon. Il avait publié un premier ouvrage conspirationniste dénonçant les « mensonges de la NASA » avant de se spécialiser dans la rétro-ufologie (la recherche de traces de visites d’extraterrestres dans les textes et peintures anciennes).

La réalité était bien différente, élève intelligent mais paresseux, il fut incapable de décrocher un quelconque diplôme, à la fin de sa scolarité, il travailla comme coursier pour un boite de publicité. Fréquentant les forums d’astronautique, il se fit remarquer par ses prises de position provocatrices dans lesquelles il expliquait qua la conquête de la Lune s’était déroulée… en studio ! Tout le monde lui tomba dessus à bras raccourcis, mais le buzz était créé, à tel point qu’un éditeur de seconde zone sentant la bonne affaire lui proposa de reprendre ses thèses dans un ouvrage qui obtient un certain succès et fut même traduit en espagnol. Depuis il fait effectivement dans la rétro-ufologie avec une mauvaise foi évidente, allant jusqu’à confondre les chapeaux de cardinaux avec des soucoupes volantes.

José Gourmet reçoit Gérard dans son appartement de la rue d’Avron dans le 20ème arrondissement.

Col roulé beige, lunettes de myopes, visage de chien battu, l’homme n’a rien de charismatique.

– En fait, commence Gérard, je prépare un article sur les auteurs qui s’intéressent à ce que vous appelez la rétro-ufologie. J’ai découvert qu’il y a toute une littérature là-dessus, je ne peux pas rencontrer tout le monde j’ai donc dressé une petite liste. Vous voulez la voir ?
– Avec plaisir !

Gourmet examine la liste avec une expression entendue.

– Laurensot ! Vous devriez l’enlever, ce n’est pas très sérieux.
– Je l’ai choisi car vous êtes dédicataire de son dernier bouquin…
– Je sais, il a eu la courtoisie de me demander si ça me posait problème, j’ai répondu un peu rapidement que ça ne me dérangeait pas, un peu de pub, c’est toujours bon à prendre. Mais je le regrette, ce mec-là est un faussaire.
– Ah !
– Oui, il venu me trouver avant qu’il écrive ce bouquin, il m’a parlé évasivement de statuettes antiques, mais nous avons surtout échangé sur mon propre travail. J’ai compris qu’il cherchait une sorte de caution d’autorité, c’est de bonne guerre…
– Mais excusez-moi de vous couper, mais vous dites qu’il s’agit d’un faussaire !
– Je me reprends, n’écrivez pas cela dans votre journal, cependant vous pouvez dire deux choses : Moi quand je parle tout le long d’un chapitre de la Madone de Mainardi et de sa soucoupe volante, je n’invente rien du tout, il suffit de se rendre à Florence pour l’admirer et tout est comme ça dans mes bouquins, je ne parle que d’œuvres que l’on peut contempler dans des musées ou des églises. Vous comprenez ?
– Vous voulez dire qu’en ce qui concerne Laurensot, on ne peut pas retrouver les originaux dont il parle ?
– C’est tout à fait ça, j’ai fait l’expérience avec l’une de ses statuettes, j’ai fait un scan de la photo et j’ai effectué une recherche sur Google… Des occurrences il y en a ! Que des sites de charlatans qui ne vérifient rien du tout et qui se copient les uns les autres. Mais aucune occurrence sur les sites archéologiques ou historiques ! Bizarre non ?
– En effet !
– Donc ignorez ce mec, finalement il fait du tort à nos idées. A vouloir trop prouver on ne prouve rien. Je le soupçonne donc, n’écrivez pas cela de cette façon, de fabriquer des fausses preuves.

« Putain ! se dit Gérard, ce mec m’ouvre un boulevard ! »

– Vous savez que vous venez de me donner une idée ! Lui dit Gérard. Je vais orienter mon article autrement, genre, ceux qui posent les bonnes questions et ceux qui racontent n’importe quoi.
– Ne soyez pas si affirmatif !
– Vous avez raison, je n’affirmerai que ce que je verrais de mes propres yeux, et pour cela il faut que je le rencontre, Mais je crains un peu qu’il ne me fasse faux bon, ma secrétaire l’a appelé pour obtenir un rendez-vous, il joue les débordés ! Inventa-t-il.
– C’est une posture classique, il se fait désirer !
– Probablement, ce qui serait bien c’est qu’il ne soit pas sur ses gardes, qu’il se crée un climat de confiance…
– Je peux vous faire un petit mot d’introduction, en vous recommandant de moi, il ne se méfiera pas.

« Putain ! je ne suis pas venu pour rien »

Et Gourmet rédigea un petit mot.

« J’ai reçu monsieur Radiguet (c’est le nom indiqué sur la fausse carte de presse) et nous avons eu en entretien fort cordial au sujet mes publications, il souhaite maintenant vous posez quelques questions au sujet de vos propres ouvrages. Recevez-le cordialement, il est tout à fait acquit à notre cause. Bien cordialement… »

Et pour la vraisemblance, Gérard resta encore une petite heure en compagnie de Gourmet, lequel tout content d’avoir un auditoire lui débita quelques-unes de ses certitudes d’un ton suffisant.

– Allo ! Monsieur Camille Laurensot, je suis Didier Radiguet, journaliste indépendant…
– Désolé, je ne reçois personne…
– J’ai une lettre de recommandation de votre ami José Gourmet…
– Ah, ça change tout ! Vous voudriez me rencontrer quand ?
– Tout dépend de vos disponibilités. Cet après-midi ?
– Oui cet après-midi, je suis libre.
– Alors le temps d’arriver, disons 15 heures, je viendrais avec ma secrétaire.

Comme l’avait fait Sophia avant eux, le couple Petit-Couture constate l’état peu engageant de la demeure des Laurensot. Le ménage vient d’être fait mais il a manifestement été bâclé, il reste de la poussière… et puis cette odeur de renfermée persistante…

« Ils n’ouvrent jamais leur fenêtre, ces mecs ? »

– Monsieur Gourmet vous transmet ses amitiés ! Commence Gérard.
– Ah ! José ! Il faudra absolument que je lui téléphone ! Répond Camille Laurensot. C’est quelqu’un de vraiment passionnant.
– Je suis bien d’accord, il m’a longuement parlé de la Thébaïde d’Uccello …
– Ah oui ! Quand je pense qu’une cohorte d’imbéciles a prétendu que la soucoupe serait un chapeau de cardinal ! Non mais, quand même, vous imaginez un grand peintre qui a ses entrées chez les gens d’église, dessiner un chapeau de cardinal laissé par terre, on prend les gens pour des imbéciles !
– Que voulez-vous tous ces sceptiques sont incurables ! Répondit Gérard fort hypocritement. Mais donc vous votre centre d’intérêt ce serait plutôt les statuettes ?
– Tout à fait !
– Il y a un truc qui m’a tout de même intrigué, vous parlez longuement de la statuette de Cotacachi, je n’ai pas trouvé trace de l’original sur Google, mais j’ai peut-être mal cherché…
– L’original est en ma possession, vous désirez le voir !
– Ça me plairait bien, oui,

Laurensot les précède jusqu’à une petite pièce aveugle et poussiéreuse, sur une table, enfermé dans un parallélépipède de verre trône la statuette du présumé cosmonaute. Une autre à côté renferme une autre statuette.

– Voilà c’est ma collection personnelle, juste deux statuettes.
– Intéressant !
– J’en ai d’autres mais leur authenticité est douteuse.

Un des trucs récurant utilisés spontanément par les mythomanes est de mélanger des choses exactes (ici le fait de dire que l’authenticité des statuettes est douteuse) avec des affabulations.

– Et vous les avez acquis en quelles circonstances ? Dans votre livre vous parlez d’un vieux dignitaire incas…
– Oui…
– Ce n’est pas très clair, cette personne vous a fait confiance… comme ça spontanément ?
– Vous savez dans les bouquins on ne peut pas tout écrire, je veux bien vous raconter mais il ne faudra pas l’écrire non plus.
– Faites-moi confiance !
– Disons qu’au départ, j’ai eu de la chance, j’étais à Quito et je regardais les statuettes, des trucs pour touristes et bêtement j’ai demandé si on pouvait en trouver d’authentiques, le gars m’a répondu que ça pouvait se trouver mais que c’était très cher… Bref il m’a conduit chez un collègue qui lui-même m’a présenté à un troisième. Finalement je me suis retrouvé en face d’un vieillard. Il m’a dit : « je peux vous donner l’une de mes statuettes gratuitement en échange d’un service ». Et là il m’a fait boire un truc qui m’a envoyé dans les vapes !
– Une drogue ?
– Il ne m’a pas dit ! Mais j’ai eu ce que j’ai pris pour des hallucinations avant de comprendre qu’il s’agissait de révélations. Je vous avouerais n’avoir pas tout compris, Mais en gros, les Nosrog, des extraterrestres translucides sont présents sur la Terre, ils ne sont pas hostiles mais ne souhaitent pas se dévoiler publiquement. Ils ont besoin de « centre de communications ». J’ignore combien il y en a, ni à quoi ça sert, mais ils en ont besoin régulièrement. Pour cela il leur faut un accès libre dans un espace où ils ne risquent pas d’être repérés. Il m’a demandé si je connaissais un tel endroit en Europe, parce que le site où ils œuvraient n’était plus utilisable… J’ai tout de suite pensé au Clos des Merisiers, une fermette tenue par un vieux gâteux solitaire. Le vieil Incas m’a simplement indiqué qu’il faudrait présenter brièvement la statuette au propriétaire du clos afin de le conditionner. Je l’ai donc eu gratuitement. Une bonne affaire non ?
– En effet ! Et il est toujours en activité ce vieux monsieur,
– Non, il est parti en maison de retraite et il a vendu, je ne sais plus trop où ça en est…

« Oh le menteur ! »

– Et il s’est bien vendu votre bouquin ?
– J’en ai écrit trois ! Je ne me plains pas avec les droits d’auteurs, l’argent rentre et je peux faire vivre mes deux frères sans soucis.

Là encore Laurensot mentait. Gérard s’était renseigné. Ce genre de bouquins se vendait dans les boutiques ésotériques et par correspondance, l’effet de nouveauté fonctionnait les premiers mois, puis le bouquin tombait dans l’oubli fautes de nouveaux acheteurs en nombre. En conséquence les droits d’auteurs n’avaient rien de mirobolants.

Or les Laurensot vivaient bien, Camille dépensait une partie de l’argent au bordel clandestin du coin une fois par semaine. Et puis les trois frères n’hésitaient pas à faire profiter la municipalité de leur générosité, ils avaient ainsi financé une partie de la rénovation de l’école. Avec quel argent ?

– Vous vendez aussi des reproductions de statuettes ?
– Oui, ça nous fait un appoint, on vend par correspondance et aussi sur les vide-greniers du coin…

« Ce n’est pas avec des moulures en plâtre qu’on finance la rénovation d’une école ! » Se dit Gérard, de plus en plus perplexe…

– Vos reproductions, c’est du moulage classique ?
– Oui, du plâtre à modeler, en deux parties que l’on rassemble, suite on peint et on vernit
– Vous avez donc un atelier pour faire ça ?
– Evidemment ! Répond Camille, surpris de la question.
– Et on pourrait le voir ? Ça m’intéresserait.
– Non, non, je suis désolé pas de visite d’atelier !
– Pas grave, je demandais juste ça comme ça !

En fait Gérard est embarrassé, les règles de la courtoisie lui interdisent d’insister ou de demander la raison de ce refus inattendu. Et puis il ne faudrait pas que Laurensot devienne méfiant…

Il continue donc son pseudo interview en posant des questions anodines.

Le téléphone de Camille sonne,

– Excusez-moi, oui allô bonjour monsieur le maire, oui… je peux passer dans une demi-heure. Oui c’est ça, à tout de suite, monsieur le maire !
– C’était monsieur le maire ! Se croit-il obligé de commenter en raccrochant… des fois qu’on n’aurait pas compris.

Le couple Petit-Couture profite de l’occasion pour prendre congé.

– Je fais un saut à la mairie, le maire souhaite me rencontrer ! Indique-t-il à l’intention de ses frères.
– Faut qu’on saute faire un tour à Alençon acheter deux ou trois bricoles ! Lui répond Petit Louis

Une fois l’extérieur, Florentine fait part à son compagnon de son incompréhension.

– Il y a quelque chose de pas clair dans leur atelier, pourquoi tu n’as pas sorti ta carte de la DGSE à ce moment-là…
– Il y a peut-être quelque chose qu’il ne veut pas montrer mais ce n’est pas forcément en rapport avec leurs activités occultes. Imagine que j’y sois allé en force et que je sois tombé sur collection de poupées gonflables ou sur un donjon pour sadomasochiste ! On ferait comment après ?
– Hum… et maintenant, on va faire quoi ?
– On va attendre qu’ils soient tous barrés et on va visiter l’atelier !
– Eh ben oui bien sûr !

Le maire fait assoir Camille Laurensot et se compose un air grave.

– J’ai eu le brigadier de la gendarmerie au téléphone. Il m’a raconté une drôle d’histoire…
– Ah bon ?
– Il y a une cinglée qu’est venue signaler une prétendue agression.
– Une agression ?
– Oui, et ce qui est embêtant, c’est que cette personne a raconté que les agresseurs seraient les frères Laurensot.

Camille ne peut s’empêcher de piquer son fard, le maire s’en aperçoit.

– C’est quoi ce délire ? Bredouille-t-il.
– Je n’en sais rien, les gendarmes l’ont envoyé promener, cette personne est en accointance avec les nouveaux propriétaires du Clos de Merisiers qui se sont déjà fait remarquer par leurs conduites irresponsables.
– Ah !
– Je ne veux pas savoir ce qui s’est passé réellement et peut-être qu’il ne s’est rien passé, mais j’aimerais que tu rappelles à tes frères que la loi et l’ordre sont assurés ici par la gendarmerie et que je ne saurais admettre des actes privés de vendetta.
– C’est une accusation ?
– Mais pas du tout, mais j’aimerais que tu fasses un petit rappel à tes frères. Je ne veux pas d’embrouilles dans ma commune ! Voilà on n’en parle plus, ne fais pas la gueule ! Allez viens, je t’invite à boire un coup…

Florentine et Gérard après avoir garé leur voiture dans un endroit discret, revinrent à pied près du pavillon des Laurensot et se dissimulèrent derrière les arbres en attendant que tout le monde ait quitté les lieux.

Lorsque ce fut fait, ils entrèrent. Vous pensez bien que pour un ancien agent secret crocheter une serrure n’est qu’un jeu d’enfant.

Ils trouvent facilement l’atelier au sous-sol. Gérard jette un premier coup d’œil après avoir allumé la lumière.

– A priori pas de trucs sexuels, pas de cadavres non plus, je sens qu’on va trouver… Se réjouit-il.

Il y a deux containers en plastique de moyenne capacités, mais ce sont les statuettes qui attirent l’intention du couple. Sur une table des moulures de plâtre à l’état brut, sur une autre, les statuettes sont recomposées et vernies.

Florentine en prend une, la soupèse…

– Ça me parait bien lourd !
– Casse-là !

Boum !

La statuette se brise en plusieurs morceaux laissant découvrir en son sein un sachet de plastique blanc. Florentine le perce et le renifle.

– De la cocaïne !
– On dirait bien ! Confirme Gérard en reniflant à son tour. Allez, on se tire d’ici, on a trouvé ce qu’on cherchait… attends on va ramasser la casse…
– Et le sachet ?
– On se le garde !

Ils repartent en prenant bien soin de reverrouiller les portes.

Leur voiture redémarre, c’est Florentine qui conduit, Gérard passe un coup de fil à la brigade des stups :

– …Des petites statuettes creuses en plâtre vernis… à l’intérieur il y a des sachets de cocaïne… je vous donne les coordonnées …
– Mais vous êtes qui ?
– Gérard !
– Gérard comment ?
– Peu importe mais je connais très bien l’inspecteur Suchet…
– OK, on va demander à la gendarmerie locale d’aller y faire un tour…
– Je soupçonne les gendarmes du coin de ne pas être tout blancs dans cette affaire, diligentez plutôt la gendarmerie d’Alençon.

Et d’une manière tout à fait inattendue, Gérard stoppa son automobile sur le bas-côté de la route.

– Tu nous fait quoi, là ? Demande Florentine
– Je ne sais ce qui m’arrive j’ai une de ces triques.
– Et ça t’empêche de conduire ?
– Non mais je ne peux pas rester comme ça ! Ce doit être la cocaïne que j’ai respirée
– Ah bon ? Je vais en profiter pou aire un petit pipi, ça t’intéresse ?

Gérard ne répondit pas mais se posta devant Florentine quand elle baissa son pantalon et dégagea sa culotte afin de libérer sa vessie. Il porta se main sur le jet avant de la lécher.

– Cochon ! Lui dit-elle
– On ne se refait pas… Touche moi la braguette, tu vas voir comme c’est dur !

Florentine se crut donc obligé de vérifier les dires de son compagnon en lui tâtant l’entre-jambe

– Oh, là là !
– Ben quoi tu ne me croyais pas ?
– Si, si, attends je vais la dégager

Florentine sortit la bite de son compagnon, bandée comme un bout de bois, le gland violacé.

– Viens t’assoir dans la voiture, je vais te faire un pipe d’enfer

Puis sans hésiter une seconde Flo porta cette belle chose en bouche et commença à la sucer dans les règles de l’art.

– Oh, c’est trop bon ! Mais j’ai envie de t’enculer !
– C’est pas pratique… avec le volant…
– On va se mettre à l’arrière.

Gérard range sa bite sans refermer sa braguette, sort de la voiture puis entre à l’arrière, Florentine la suit.

Martinov2612Gérard sort à nouveau son chibre droit comme un « I ». Florentine n’a plus qu’à s’y empaler dessus et à jouer la chevauchée des Walkyries.

– Y’a quelqu’un qui nous mate ! Dit soudain Gérard.

Effectivement un voyeur à quelques mètres de la voiture s’en fout plein la vue en s’astiquant le poireau.

– Ouvre la vitre ! Dit Gérard à sa compagne, puis s’adressant à l’importun : »Tu veux que ma femme te suce ou tu préfères que je t’encule ? »

Le type ne demanda pas son reste et s’enfuit dans les fourrés.

– Quel con ? Tu l’aurais sucé ?
– S’il avait la bite propre… Je referme la vitre.

Et la chevauchée continua jusqu’à leur jouissance. Et plutôt que de pendre un kleenex pour s’essuyer la bite, ce fut la bouche gourmande de Florentine qui la débarrassa du sperme (et d’autre chose aussi)

Eh oui chers lecteurs, un petit peu d’amour conjugal, ça change.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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