Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:17

Chanette 31 – La clairière secrète – 10 – Juste un petit pipi

Stamp uro

Jacques, échaudé par son escapade parisienne a pour le moment remisé son projet d’article choc et s’est remis à écrire des poèmes bucoliques.

Evidemment il n’est pas insensible au joli minois de Noémie, aussi l’a-t-il abordé. Quand on a la drague dans les veines, c’est pour longtemps.

– Alors mademoiselle, on passe ses vacances en solitaire ?
– Bravo pour votre sens de l’observation, répondit-elle sèchement.
– Hi, hi !
– En fait j’attends quelqu’un, voyez-vous !
– Un petit ami ?
– Si on vous demande…
– Je ne voulais pas être indiscret.
– Ben c’est raté.
– Je suis confus, que pourrais -je faire afin de me faire pardonner ?

Noémie dévisagea l’homme, elle le trouva plutôt bel homme et son visage souriant n’était pas pour lui déplaire.

– Je ne connais pas le coin, cet après-midi j’ai envie de faire une grosse balade, Ça vous dirait de m’accompagner. Lui proposa-t-elle
– Mais avec grand plaisir ! répondit Jacques, heureux comme un pinson que les choses se concrétisent si vite

Pas de messager à l’horizon, Noémie déjeuna d’une salade et d’un fromage blanc, attendit patiemment que Jacques termine son cassoulet en solitaire puis l’entreprit.

– On y va ?

Jacques renonça au dessert et au café et se leva de son siège

– Je vous emmène à l’étang ?
– Allons-y pour l’étang !

Après quelques minutes de marche ponctuées des banalités d’usage, Noémie attaqua.

– Vous connaissez bien la région, alors ?
– J’y suis né et j’y habite.
– On m’a dit qu’il y avait des gens bizarres ici ? c’est vrai ?
– Des gens bizarres, il y en a partout, pourquoi cette question ?
– Je suis une faible femme, je ne voudrais pas tomber sur un détraqué.
– Non, il y a bien Simon, le prophète, il est complètement allumé mais il n’est pas dangereux, sinon un peu plus loin, il y a une secte un peu bizarre, le gîte leur fournit tous les jours des paniers repas, ils n’aiment pas qu’on les dérange, il y a trois nanas qui ont eu des petits ennuis en s’approchant de trop…
– Ah ! Et je suppose que ces. nanas ne sont plus là ?
– Si, il reste Frédérique… la belle rousse

Noémie engrangea l’information et le couple chemina jusqu’à l’étang.

– Il faut que je fasse pipi.
– Faites, je vais me tourner
– A moins que…
– A moins que quoi ?
– Rien, je ne voudrais pas passer pour un pervers
– Vous auriez aimé me voir pisser, c’est ça ?
– Ça ne m’aurait pas déplu, mais n’en parlons plus.
– Donnez-moi un petit billet et je vous laisse regarder.
– Seriez-vous vénale ?
– En certaines circonstances.

Jacques sortit son portefeuille et en dégagea un billet qu’il tendit à la fille.

– Alors, attention les yeux !

Chanette2110
Noémie baisse son pantalon et son string, se concentre quelques secondes puis fait jaillir un pipi abondant.

– Que c’est beau ! Commente Jacques en se tripotant la braguette

– Alors ça t’a excité, si tu veux, contre un billet un peu plus gros je peux être encore plus coquine !
– Tu exagères ?
– Si tu ne veux pas, tant pis…
– Je n’ai pas l’habitude de payer pour faire l’amour…
– Oui je sais, je connais ce discours, on n’en parle plus, d’accord ? Mais tu ne sais pas ce que tu rates !
– Je peux faire une petite entorse à mes règles…
– Ben oui, on ne vit qu’une fois, allonge la monnaie.
– Euh, tu me proposes quoi ?
– On peut faire plein de trucs, ça dépend combien tu vas me donner
– Plein de trucs ?
– Je peux te faire une pipe, te doigter le cul et si t’as une capote on peut même baiser… mais je suppose que tu n’en as pas sur toi ?
– Ah si, j’en ai toujours une dans mon portefeuille.
– Quelle organisation ! Alors tu me le donnes ce billet !
– Tu te mettras à poil ?
– Tu me donnes combien ?
– 50 ça va ? Mais tu ne m’as répondu, tu vas te mettre à poil ?
– Mais bien sûr, mon biquet. Mets-toi à l’aise, je vais te sucer un peu pour commencer.

Jacques est un peu déçu par la turlutte, certes agréable mais sans grande imagination. Au bout de cinq minutes il la stoppe.

– Je m’allonge et tu viens sur moi, c’est toi qui fais le boulot.

Ça lui prend un peu la tête à Noémie, elle aurait préféré se faire baiser passivement en attendant que ça se passe, mais elle ne voit pas bien comment refuser ce que propose l’homme.

« Allons-y, ça me fera faire du sport. »

Jacques revêt sa capote, Noémie s’empale sur le mandrin et se met à coulisser en cadence.

« J’espère que ce n’est pas un peine à jouir, parce qu’à ce rythme-là je vais bientôt manquer de souffle ! »

Elle monte, elle descend, elle n’arrête pas…

– On peut peut-être changer de position ? Suggère-t-elle.
– Non, continue, je sens que ça vient !

Elle est à bout de souffle mais trouve de la ressource pour accélérer. Jacques devient congestionné et jouit dans un râle. Noémie n’a pas joui, elle avait l’esprit ailleurs et d’ailleurs ne dit-on pas que les putes (même occasionnelles) ne jouissent pratiquement jamais avec leurs clients. Donc même pas la peine de simuler !

Jacques était un peu dépité, le trip avait été très agréable, mais il recherchait une relation différente des rapports tarifés. On ne peut pas tout avoir.

– Tu fais ça souvent ?
– T’es bien curieux !

En fait Noémie n’avait pratiqué ce genre de chose que de façon tout à fait occasionnelle, moins d’une dizaine de fois, mais cela ne regardait pas Jacques.

Revenue dans la salle commune du gîte, Noémie attendit patiemment que Frédérique et son compagnon rentrent de leur propre balade.

– Je m’excuse de vous déranger, mais je voulais faire un tour vers le chemin de la fouine, mais je le suis laissée dire que vous l’aviez emprunté et que vous aviez eu quelques ennuis.
– Faut toujours qu’il y en ait qui bavent ! C’est l’autre abruti qui vous a raconté ça ?
– Je m’inquiétais juste pour ma sécurité.
– Dans ce cas évitez cette direction.
– C’est indiscret de vous demander ce qu’il vous est arrivé ?
– On est tombé sur des fous furieux, vous vous rendez compte : on nous a ligoté comme des saucissons pendant plusieurs heures, j’ai chopé la trouille de la vie. J’en ai pas dormi de la nuit… et l’autre con là-bas qui n’a pas bougé son gros cul…
– Vous étiez plusieurs ?
– J’étais avec une nana qui est repartie à Paris, elle vous ressemblait un peu, une belle femme… l’autre c’était une espèce de fliquette, je n’ai rien compris à son rôle…

Noémie n’écoute plus…

« Une nana qui me ressemble ! A tous les coups c’est à elle qu’on a refilé le message ! Je fais comment maintenant ? »

Le lendemain à 11 heures, Noémie n’ayant toujours pas vu la couleur d’un éventuel messager décida de prendre la route du chemin de la fouine, aucune certitude mais son intuition lui disait que c’est chez les gens de cette mystérieuse secte qu’elle trouverait la réponse à ses questions… et puis elle n’allait tout de même pas s’assoir sur les 45 000 euros qu’on lui avait fait miroiter !

Alors, évidement elle tomba sur le prophète qui lui barra la route en proférant un incompréhensible discours .

– Pousse-toi de là, gros lard !
– On ne passe pas !
– Bouh !

Surpris par cette réaction puérile, le prophète s’écarta laissant passer Noémie toute contente de son stratagème

Et puis ce fut le panneau indiquant la présence de vipères.

– C’est du bluff, les vipères sont craintives, il suffit de faire du bruit.

Elle se confectionna un bâton rudimentaire avec un branche d’arbre et continua à cheminer en le tapant sur le sol

Et parvenue devant la clairière, elle fut de suite repérée et maîtrisée sans grand ménagement.

– On se calme, je veux parler à votre chef.
– Parler de quoi ?
– Je lui dirais quand je le verrais. Et cessez de me bousculer, je sais marcher toute seule.

Une fois arrivé dans la base, on attacha les mains de Noémie qui ne cessait de protester.

– Mais vous me faites quoi, là ? Je vous dis que je veux parler à votre chef !
– Oui, bon, et bien tu attendras, le mage n’est pas à ta disposition.

« Mage, mon cul ! »

Noémie resta enfermée plus d’une heure dans une sorte de réduit sans lumière.

– Quelle conne j’ai été de me jeter dans la gueule du loup… et tout ça peut être pour des prunes !

On l’a conduit enfin devant le mage Graziello, grand, doté d’un certain charisme mais affublé d’une aube blanche lui allant aussi bien qu’un tablier à une vache laitière.

– Vous vouliez me voir ?
– Oui, enfin, j’espère que je frappe à la bonne porte…
– Pardon ?
– Je devais récupérer un message au gite rural avec une adresse, mais j’ai eu un contretemps…
– De quoi ?
– Ben oui.
– Allez me chercher Bontempi ! Hurle Graziello. Vous, plus un mot pendant que je démêle cette affaire.

Le dénommé Bontempi se pointe, peu rassuré.

– A qui tu as refilé le message ?
– Ben à la personne qui correspondait à la description.
– Tu ne te serais pas un peu trompé, par hasard ?
– Je ne crois pas, non, répondit l’homme, rouge comme une tomate.
– La bonne personne, elle est là devant nous, donc le message tu l’as refilé à n’importe qui ?
– Je ne pouvais pas savoir…
– Tu l’a déjà vu cette fille ?
– Oui, dans la salle du gîte.
– Et ça ne t’as pas mis la puce à l’oreille ?
– J’ai cru à une coïncidence…
– Fous moi le camp, je vais prendre une sanction, je ne sais pas encore laquelle, je vais réfléchir.

Bontempi sorti, le mage rédigea le message sur une feuille de bloc.

– Voilà, transmettez-le de toute urgence, ne tardez pas, on va vous raccompagner jusqu’à l’entrée de chemin.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:14

Chanette 31 – La clairière secrète – 9 – Partouze insolite
zoo

Après toute cette agitation on a soufflé un peu en sirotant un jus de fruit.

– Il s’est dit beaucoup de conneries à propos de notre rôle dans cette affaire, je vous dois la vérité… Commença Anne Marie.

Qu’est-ce que j’en ai foutre, mais restons courtois.

– Des gens qui se croient plus intelligents que d’autres ont colportés des fables incohérentes, je pense à Jacques Petit, notamment. En fait nous luttons contre les trafics d’armes. Nous avons donc tendu un piège aux gens de la secte, nous voulions savoir jusqu’où ils allaient aller. Le fameux message devait indiquer l’emplacement d’un dock de stockage avant embarquement et la date de livraison. Sachant cela il nous restait à attendre cette date et pratiquer un grand coup de filet. Les choses sont parfois plus simples que ce qu’on imagine..

C’est ça ma grande, je te crois !

Maintenant continuons à parler de cette affaire sous un autre angle :

Jean Bardon de Treyeux est un jeune fils à papa, il a hérité de l’immense fortune des Ciments Bardon. Il ne s’en occupe pas, laissant la gestion à ses directeurs et autres fondés de pouvoir qui au passage s’en foutent plein les poches.

Admirateur de Mussolini, il a fondé un groupuscule assez violent se donnant pour mission d’assainir le pays. Coupable d’agression contre des SDF, des restaurants exotiques et des salons de massage, ses relations lui ont permis de ne jamais être vraiment inquiété.

Jusqu’au jour où le gérant du restaurant chinois « Le Dragon de Feu » visualisa sur sa vidéo surveillance la plaque d’immatriculation de ses agresseurs.

Remonter jusqu’à Bardon fut d’autant plus facile que le gérant en question était un indic et que la police n’avait aucune raison de lui refuser ce service .

L’expédition punitive fut brève laissant Bardon avec les deux jambes brisées.

Parallèlement un journal satirique se fit fort de dévoiler au grand jour les activités du fils à papa.

La société des Ciments Bardon se fendit d’un communiqué se désolidarisant des agissements du fils à Papa et en profita pour changer d’appellation, SCBC étant plus discret que Ciments Bardon. Le jeune homme restait néanmoins et de loin le principal actionnaire privé de la boîte .

Le leader hospitalisé, le groupuscule se dilata.

Bardon profita de son hospitalisation pour bouquiner une multitude d’ouvrages ésotériques. Assez naïf et doté d’un esprit critique proche du néant, il gobait tout y compris les pires énormités. Mais ce qui l’intéressait le plus, c’était les ouvrages sur les grands anciens il se prit à fantasmer sur ces personnages pleins de sagesse, blonds aux yeux bleus de surcroît. Ceux-ci dégoûtés de la permissivité et du laxisme des terriens, s’en étaient partis voir ailleurs se promettant de revenir quand une organisation digne de ce nom serait capable de les accueillir et de servir de base à la reconquête de la planète.

Programme farfelu, mais Bardon avait pris sa décision, il serait le gourou de la secte qui accueillerait les grands anciens. Et au moins dans cette posture il ne risquait pas de se faire passer à tabac.

Restait à trouver des adeptes, et une base

Grâce à quelques complicités médiatiques Bardon put populariser son utopie. Il sélectionna une quinzaine de personnes, l’une d’elles suggéra une grande baraque abandonnée en pleine forêt du côté de Rodez.

Bardon changea de nom et se fit désormais appeler Graziello. Il fallait ensuite passer à l’action, beaucoup d’entraînement physique et de lectures collectives mais cela ne suffisait pas.

Bardon alias Graziello avait conservé le contact avec son oncle Robert, capitaine dans l’armée de Terre et aussi facho que son neveu.

Celui-ci fut missionné par son supérieur hiérarchique pour une opération spéciale.

– Un convoi militaire va se balader entre Rodez et Aurillac. Je veux que vous vous débrouilliez pour l’intercepter et planquer les armes. Il faudra ensuite gommer toute indication de leur provenance.
– J’ai mon neveu dans la région avec un petit groupe de gens entraînés…
– Il saura faire ?
– Comptez sur moi mon général.

Quinze jours plus tard le capitaine Robert présentait un plan complet au général Tauvron.

– Ça me paraît parfait, vous avez mon feu vert

Mais le général est un homme méfiant. Il se dit que si l’affaire s’éventait les gens de la secte pourraient préférer un client plus généreux que celui qui a les faveurs officieuses de l’armée… il prend donc contact la DGSE et demande qu’on lui fournisse deux agents à disposition.

– Votre mission est simple, un agent de liaison sera dépositaire d’instructions pour une livraison d’armes, vous devrez m’indiquer ces instructions, si elles s’avèrent conformes à ce que nous souhaitons nous laisserons courir, dans le cas contraire vous devrez agir
– De quelle façon ?
– De la façon que nous vous indiquerons si le cas se présente.

Peu de temps après l’attaque du convoi, le général Tauvron sollicita de nouveau Robert afin de savoir si tout se déroulait comme prévu..

Ce dernier téléphona à son neveu.

– On peut se voir à Rodez, mardi au Lapin bleu, c’est devant la gare…

Bardon fut surpris de cette invitation mais ne trouva pas le moyen de la refuser.

– Je tenais à venir te féliciter, l’opération « camion » s’est déroulée de façon parfaite…
– Eh ! C’est que mes hommes ne sont pas des manchots…
– Je vois. Et pour la suite ?
– On gère !
– Surtout, ne laissez aucune trace.
– Pas de souci, on fera comme prévu, c’est un messager qui contactera le client .
– Je t’en ai trouvé un…
– Ouai, des nègres, ça ne me dit pas grand-chose
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses, les rebelles de Tsumila se disent amis de la France, on pourra donc les manipuler et profiter des richesses du pays..
– Humm.
– J’espère que tu ne vas pas faire d’appel d’offre !

Bardon ne répondit que par un sourire énigmatique….

– En plus ce ne serait pas très prudent, reprit Robert
– Hum
– Et ton agent de liaison, ça va le faire ?
– Oui.
– Quelqu’un de confiance ?
– Ce n’est pas moi qui m’en occupe.
– Ne le dis pas que tu n’es pas au courant…
– On a rien finalisé, on hésite entre un habitué du coin ou une nana sortie de nulle part.

Robert rendit compte à son supérieur

– Impossible de savoir qui est cet agent de liaison !
– Pas bien grave, nos agents sur le terrain sauront faire.

Noémie Galibert est restée huit jours à l’hôpital. Sa moto est bonne pour la casse. Elle loue donc une voiture et prend le chemin du gîte de Mombillac.

– Pourvu qu’il ne soit pas trop tard !

Comme prévu, elle s’installe en salle commune et attend…

A 10 heures, Bontempi vient prendre possession des paniers repas. Il tombe en arrêt devant Noémie.

– Qui c’est celle-là ? Elle correspond à la description, mais alors l’autre ? Putain, à tous les coups je me suis trompé de nana, j’aurais dû réfléchir un peu mieux, elle devait m’attendre dans la salle, qu’est-ce qu’elle foutait donc dans la forêt ? Mais pourquoi la « vraie » n’était pas présente ? un retard ? Autre chose ? N’empêche que j’ai fait une connerie, je ne vais le dire à personne, pas envie de le faire engueuler !

Noémie rongeait son frein au gîte rural et passait ses matinées à attendre un messager qui se faisait désirer

– Il se passe quelque chose ! On n’envoie pas quelqu’un en pleine cambrousse pour rien !

– Bon ce sera peut-être pour demain, je vais manger vite fait et aller faire une ballade.

Elle déjeuna d’une quiche à la croute trop cuite. En essayant de la couper un morceau tomba par terre., elle s’apprêta à le ramasser quand Spirou, le labrador du gite se précipita pour l’avaler.

Et il resta a ses pieds pendant tous le repas ! Cela amusa Clotilde, la fille de la patronne

– Il est très affectueux, il n’est pas méchant.

Pas méchant, mais collant. Et quand Noémie décida d’entamer sa promenade, le chien la suivit.

– Veut tu me foutre la paix, toutou !
– Il a envie de venir avec vous ! Lui indiqua Clotilde. Je le retiens ou vous l’emmenez.
– Je vais l’emmener !

Et arrivé au bord de l’étang Noème tomba sur Rachel et Bertrand qui se faisait bronzer au soleil, complétement nus.

Clotilde voulu les dépasser discrètement, mais voilà que Spirou saisi d’une pulsion incontrôlable se précipite entre les cuisses de Rachel et commence à la lécher.

– Oh ! Mais c’est quoi ! En voilà des manières ! Vilain toutou !
– Spirou laisse les gens tranquille ! S’égosille Noémie. Je suis désolée…
– Laissez-le ce n’est pas désagréable
– Mais enfin c’est un chien !
– Ah, oui, vous avez remarqué. Oh lala c’est trop bon ce qu’il me fait, vous devriez essayer.
– Non mais… vous faites ça souvent ?
– Souvent non, mais je l’ai déjà fait ! Ça vous choque ?
– Un peu !
– Non tu n’es pas choquée tu es fascinée, ça se voit à ton visage.. Alors voilà ce que je te propose : allonge-toi à poil à coté de nous. Et si tu veux profiter de la bite de mon fis, ne te gêne surtout pas.
– Bon je vais vous laisser :
– Et le chien ?
– Ben je vais attendre un peu plus loin !
– Tu sais pas ce que tu perds !

En fait Noémie est en train de planer, la situation est tellement ubuesque. Rendez vous compte un couple à poil qui est en fait une mère et son fils complétement à poil.. et ce chien qui lape la chatte comme s’il s’agissait d’une écuelle de lait.

– T’as peur de te mettre à poil ? Pourtant tu devrais avec ce beau soleil !
– Non mais il y a le chien !
– Mais il ne va pas te faire de mal, le chien et d’abord il est occupé avec moi !

Noémie se décide à se de débarrasser de ses vêtements mais garde son string.

– Enlève-tout ! Lui dit Rachel !
– Pourquoi ?
– Pour le fun !

Elle l’enlève sans trop savoir pourquoi. Et Bertrand que l’on avait pas entendu jusqu’à maintenant intervient .

– Elle te plait ma bite ?
– Une bite c’est une bite !
– Tu ne veux pas me la sucer ?
– Ben non !

Rachel a pris dans ses doigts un peu de sa mouille et l’air de rien porte tout ça dans l’entrejambe de Noème.

– Non mais dis donc !
– Ben quoi t’aimes pas qu’on te tripote ?
– Je ne suis pas lesbienne !
– Moi non plus, juste par intermittence !

Rachel retire sa main, mais voilà que Spirou change de cible et viens pointer sa langue entre les cuisses de Noémie.

– Non mais dis donc…
– Laisse toi faire, ferme les yeux !
– Oh tu me fait faire des choses dégoutantes… Oh quelle langue il a ce clébard !

Et pendant que Noème se fait lécher, la mère et le fils ne reste pas inactifs, Rachel se met à lécher son sein droit, Bertrand s’occupe du gauche.!

Devant tant de sollicitations sexuelles, Noémie se met à jouir en poussant un cri propre à réveiller toute la volaille du voisinage..

Elle se relève, pantelante.

– Vous êtes vraiment des pervers ! Lance-t-elle à ses interlocuteurs, mais sans aucune animosité.
– Non on aime le cul, c’est tout.
– Je voudrais dormir un peu. Vous me laissez tranquille..
– Mais tu n’as même pas goûté à la bite de mon fils.
– Ben non !
– Tu as tort regarde comme elle est bonne…

Et joignant le geste à la parole, Rachel embouche la bite de Bertrand en invitant Noémie à partager ce moment de fantaisie. Ce dernier sollicité par deux langues ne tient pas la distance et son foutre vient gicler sur le visage des deux femmes. Noémie s’essuie sommairement

– Bon, je peux peut-être roupiller cinq minute, maintenant ?
– Fais-moi un gros bisous et je te fous la paix !

Chanette3109
Les deux femmes s’échangèrent un long baiser baveux, puis Noémie tenta de s’endormir, mais en vain, alors elle fit semblant, et ouvrant discrètement un œil elle put voir Rachel à quatre pattes se faire grimper par Spirou après lui avoir sucé le sexe

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:12

Chanette 31 – La clairière secrète – 8 – La barbouze nympho
StampFFH

18 h 30. Adrien Roquevert fait le pied de grue à la sortie piéton de mon immeuble, Anne-Marie Ledoux qui est revenue, en fait de même à la sortie véhicule. Elle appelle son collègue.

– Elle ne bougera plus ! On monte ?
– OK je te rejoins dans l’escalier.

On sonne à ma porte ! Ce n’est quand même pas Jacques qui aurait le toupet de revenir ? Je regarde par l’œilleton… Putain, les deux barbouzes !

– Une seconde, je passe une robe de chambre !

Je préviens Max en quelques mots…

– On va improviser ! Me dit-il, se voulant rassurant.

J’ouvre. Les deux zouaves semblent surpris de la présence de Max.

– Bonjour Monsieur ! Nous sommes Roquevert et Ledoux, sécurité du territoire, nous désirons poser quelques questions à Madame D’Esde, vous serait-il possible de nous laisser pendant une demi-heure ?
– Vous voulez que j’aille me planquer dans la cuisine ?
– Non, nous souhaiterions que vous quittiez cet appartement pendant une heure.
– Et si je refuse ?
– On embarque madame et l’entretien aura lieu ailleurs
– Vous avez un mandat pour tout ça ?
– Vous n’avez pas compris, nous sommes la sécurité du territoire, nous n’avons pas besoin de mandat pour opérer.

Bluff ou pas ?

– Hum ! Reprend Max. Je suppose que vous intervenez au sujet de cette sombre histoire de barbouzes dans la forêt de Mombillac. J’ai peut-être des choses à vous raconter et vous m’envoyez promener ! Ce n’est pas très professionnel.
– Si on a envie de vous retrouver, on vous retrouvera, maintenant si vous pouviez nous laisser.
– O.K., je descends au bistrot en bas, Chanette appelle-moi quand ce sera fini.

Ben oui, comment faire autrement ?

– Bon commence Adrien Rocquevert, soyons clair. Dans un premier temps, vous vous rendez au gite de la Gloriette, ce qui prouve que vous étiez prête à accepter la mission que l’on vous a proposé…
– Mais…
– Laissez-moi terminer. Et quand on vous livre les instructions, vous vous dégonflez. Alors on peut analysez ça simplement, vous auriez simplement abandonné la mission en invoquant des risques imaginaires, je suppose que vous seriez partie avant. Non vous êtes restée ? Et pourquoi ? Parce que quelqu’un vous a soudoyé pour ne pas accomplir la mission ! C’est qui ?
– Le pape !
– Bon, si vous ne collaborez pas gentiment, nous allons nous aussi, cesser d’être gentils.
– Des menaces ?
– Parfaitement.
– On m’a tout simplement prise pour une autre ! Vous êtes capable de comprendre ça où il faut que je vous l’écrive ?
– Je ne crois pas à cette version !
– Dans ce cas je ne peux rien pour vous, si vous pouviez me laissez, je voudrais diner tranquillement avec mon ami.
– Nous avons les moyens de vous faire parler.
– Oh ! Faut peut-être pas vous prendre pour la Gestapo, d’ailleurs sous la torture les gens avouent n’importe quoi. Vous n’êtes pas au courant ?
– Qui vous parle de torture ? Mais on peut faire en sorte de vous empêcher de continuer votre « beau métier ».

Je ne vais pas m’en sortir… Ah l’idée !

– D’ailleurs je me demande bien pourquoi vous vous excitez comme ça, je suppose que vous avez recopié ce fameux papelard… alors qu’est-ce qui vous empêche de faire la commission vous-même ?
– Merci, on n’y a déjà pensé, mais ça n’explique pas le double jeu !

Et là j’ai comme une idée (ça m’arrive parfois !)

– Il y a un truc que je ne saisis pas, admettons que je sois effectivement cet agent de liaison, et qu’on me propose de faire double jeu, de quel double jeu pourrait-il s’agir puisque de toute façon les instructions, vous les avez récupérées et que vous pouvez les transmettre vous-même.

J’ai l’impression que j’ai fait mouche, le type cherche une réponse en trouve une…

– On aurait pu vous demander d’ignorer les instructions…
– Ah, oui ? Donc j’ignore, mais comme vous n’arrêtez pas de me coller aux basques, vous récupérez ce qui vous intéresse. Il serait où le double jeu ?

Les deux cornichons s’échangent un regard, puis me demandent de m’assoir.

– C’est gentil de me demander de m’assoir chez moi, mais justement je suis chez moi et je ne m’assois que si j’ai envie !
– Bon ne bougez pas alors !
– Je ne bouge pas, je ne vais pas m’évaporer !

Les deux barbouzes se concertent à voix basse… puis…

– Si vous pouviez rappeler votre ami et lui demander de monter ? Me demande Anne-Marie Ledoux.
– Mais bien sûr princesse !

Ils ont vraiment l’air déboussolés, les deux « Dupont ».

– On peut fumer ? Me demande-t-elle.
– Oui si vous m’en offrez une !

Max revient

– Ça y est l’affaire est démêlée ?
– Vous paraissiez avoir une opinion sur l’affaire dans laquelle est impliquée votre amie… Commence Adrien.
– Ce n’est pas une opinion, c’est une certitude… Chanette a été prise pour quelqu’un d’autre.
– C’est qui Chanette ?
– C’est moi !
– C’est tout ?
– Ben oui, c’est tout ! Mais dites-moi, c’était quoi exactement votre rôle dans cette affaire ? J’ai l’impression que vous faisiez double emploi avec ce fameux agent de liaison qui a disparu dans la nature. Reprend Max.
– Ne nous prenez pas pour des imbéciles ! Rétorque Adrien. Il y a une réponse très simple mais elle est couverte par le secret défense.
– Ben oui, mais ce n’est pas trop difficile à deviner si le destinataire s’avérait être un autre que le gus de chez « Afrique 3000 » vous interveniez, c’est ça ?
– Je ne vous répondrais pas… Je peux m’isoler quelque part, je dois régler un détail avec mon responsable.
– Le salle de bain est là-bas sur la droite !

Ils y vont…

– Mon général après avoir interrogé Madame D’Esde, la destinataire du message, j’ai acquis la conviction que cette personne a été victime d’une méprise, la véritable agent de liaison a mystérieusement disparue de la circulation.
– Vous êtes sûr de vous, Roquevert ?
– Affirmatif, mon général (et là il explique plus en détail…)
– O.K. c’est donc Anne-Marie qui va se charger de contacter les gens du groupe « Afrique 3000 ». Passez-la-moi .

– Agent Ledoux, je vous confire deux missions, la première c’est de contacter « Afrique 3000 » avec la copie du papelard, c’est prioritaire et ça urge ! La seconde est de briefer cette dame… comment déjà ?
– D’Esde.
– Oui, le mieux serait qu’elle oublie toute cette histoire et n’en parle à personne…
– Elle semble déjà avoir mis au courant une de ses relations.
– Alors il y a du boulot à faire, je compte sur vous, vous avez carte blanche et serez couverte quoique vous fassiez.
– A vos ordres, mon général.

Les deux personnages se chuchotent quelques mots, puis Adrien quitte les lieux sans un mot. Je m’étonne qu’Anne-Marie ne le suive pas, mais celle-ci m’explique.

– Maintenant que l’affaire est décantée, je voudrais te dire quelques mots, mais cette fois ce n’est plus l’agent de la DGSE qui parle, c’est la femme.

Au secours ! On se croirait dans un mauvais thriller.

– Mais là, j’ai pas trop le temps, je vais revenir.

Qu’est-ce qu’elle va pouvoir me raconter, cette greluche ?

– J’en ai pour une heure, à tout de suite. Il y a une station de taxi dans le coin ?
– Juste en bas vers la gauche.

La permanence du groupe « Afrique 3000 » est situé boulevard de l’amiral Hautfleur, dans un hangar désaffecté. A l’autre bout de Paris donc.

-,Je suis porteuse d’un message, je voudrais le confier à un responsable
– Venez.

Moussa est un géant baraqué, il prend connaissance du message. Le contenu lui convient mais l’homme est pas mal parano, et cherche à gagner du temps.

– Vous désirez boire quelque chose ?
– Non merci.
– Ne bougez pas, je vais vous chercher la prime promise.

En fait, il cherche un homme, il trouve Kiko.

– Les instructions sont arrivées, mais restons sur nos gardes, il ne faudrait pas qu’on se fasse doubler. Tu vas prendre ta moto et essayer de localiser la bonne femme qui vient de se pointer.
– O’K.

Moussa remet une enveloppe à Anne-Marie. Elle quitte les lieux, attend un taxi qui ne tarde pas à arriver et se dirige vers mon domicile, Kiko la suit facilement.

Arrivé dans mon immeuble, l’homme de main la suit dans l’escalier, repère l’étage et la porte, il n’a plus qu’à consulter les boîtes aux lettres.

– Christine D’Esde, c’est noté !

Anne-Marie revient donc chez moi, je lui ouvre.

– Je ne vais pas être longue, mais certaines choses doivent être mises au point.
– Ah ? Soupirais-je ! Je ne peux pas avoir un peu la paix !

Bon, je vais être obligée d’écouter la dame, je m’attends à un impossible délire.

– Tu dois me prendre pour une salope. On a vécu toutes les deux un sale moment quand on a été capturé par la secte. Cet évènement aurait dû nous rapprocher, mais j’ai ensuite gardé mes distances, je n’en avais pas après toi, je faisais mon métier, c’est tout !

Qu’est-ce que je disais ?

– Bon O.K, maintenant excuse-moi mais j’ai envie d’être tranquille.

Et à ce moment-là, Max à l’idée farfelue de me dire qu’il va aller faire quelques courses.

– Des courses ? Mais pourquoi faire ?
– Tu m’as bien dit qu’on dinait en tête à tête !
– Ben oui mais je voulais te payer le restaurant.
– Je préférerais qu’on fasse une petite dinette ici, je vais acheter des bons trucs.
– Ah ! C’est comme tu veux !

Et le voilà parti… Alors qu’Anne-Marie est toujours là plantée comme un piquet de hutte en bois.

– Euh, t’attends quelque chose ?
– Un bisou d’adieu !.

N’importe quoi ! Mais s’il n’y a que cela pour la faire déguerpir…

Allons-y pour le bisou… mais je ne sais pas comment la nana s’est débrouillée, mais là voilà qui cherche ma bouche. Est-ce la surprise ? Est-ce son envoutant parfum ? Est-ce mon inconscient qui déconne ? Toujours est-il que nous voilà en train de nous rouler un patin d’enfer.

– Ça te prend souvent ! Lui demandais-je en m’écartant.
– J’avais envie !
– Ou, ben ça j’avais compris.
– Je vais être très directe, j’ai cru comprendre que tu n’avais rien contre l’amour entre femmes…
– Non, mais de quoi je me mêle ?
– Je ne dois pas être ton genre, ce sont des choses qui arrivent.
– Je n’ai pas dit ça …
– Il y a quand même quelque chose qu’il te faut savoir ..
– Vas-y raconte !
– Tu es sortie d’affaire, mais il peut rester des gens qui te prennent pour ce que tu n’es pas, des gens dangereux. On est quand même bien placés pour t’éviter des ennuis éventuels.
– Autrement dit tu monnayes ma protection contre le fait de coucher avec toi ?
– J’ai pas dit ça.
– Si.
– Bon, j’aurai essayé, on ne peut pas gagner à tous les coups. ? Le monsieur qui est avec toi, c’est ton petit ami ?Ton protecteur ?
– Qu’est-ce que ça peut te foutre ?
– Restons aimable.
– On va essayer !
– Alors un bisou d’adieu
– On l’a déjà fait.
– Oui mais ça ne compte pas.

Et sans que j’y prenne gare, la voilà qui me saute au cou, je ne sais pas pourquoi, je ne l’ai pas repoussée, elle a une espèce de magnétisme dans la peau, cette salope…

Et voilà Max qui revient avec ses courses et qui nous surprend en plein roulage de galoche.

– C’est mignon ce vous faites, vous voulez que je ressorte faire un tour où on se fait un plan à trois ? Dit-il sur le ton de la plaisanterie.
– Un plan a trois, j’aime bien ! Répond Anne-Marie.

Non mais, ils sont fadas, ce deux-là ! Je ne suis pas d’accord, moi !

– On va dans la chambre ? Demande Max qui sans attendre de réponse, s’y dirige allègrement.

Anne Marie lui emboîte le pas.

– Viens !

Il est gonflé, Max, il n’est pas chez lui, à ce que je sache… et il dispose de ma chambre comme ça…. Là où il y a de la gêne…

Je décide de ne pas m’en mêler et reste à ma place et décide de lire quelques pages de mon bouquin en attendant qu’ils fassent leurs petites affaires.

Une résolution qui n’a pas tenue trois minutes, il m’est vite venue l’envie folle d’aller voir ce qu’ils fabriquaient.

Max et Anne-Marie sont vautrés sur le lit, s’embrassant goulument, cette dernière tenant fermement en main la bite de l’homme.

J’ignore comment je vais m’insérer dans leurs ébats, dans ces situations on improvise souvent… Je commence par me déshabiller puis je me rapproche de ces messieurs dames.

Je n’avais jamais eu l’occasion de voir Anne-Marie à poil. Pas mal avec une jolie poitrine laiteuse un peu lourde.Chanette3108

Je m’allonge derrière elle et lui pelote les fesses, du coup elle se retourne et vient m’embrasser et me caresser. Max se retrouve donc sans partenaire. Mais il s’en fout, il patiente et puis voir deux femmes s’aimer a toujours été un fantasme de mecs, alors il en profite..

Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé avec le téton d’Anne-Marie dans la bouche, j’ai pris plaisir à le suçoter.

Et puis à force de gigoter en tous sens on a fini par se positionner en soixante-neuf. Je suis en dessous, elle est au-dessus (forcément). Je lui lèche la minette, pas elle, préférant le trou de mon cul. Peu importe j’apprécie.

Max sentant qu’il a une opportunité s’approche des fesses de la fliquette, les palpe, les triture les écarte… puis se recule.

Il abandonne ou quoi ?

C’est mal connaitre Max qui sait exactement ce qu’il y a dans le tiroir de mon chevet, il trouve un préservatif, se l’enfile et revient derrière Anne-Marie.

Sa chatte est occupée par ma langue, il n’est donc pas compliqué de comprendre ce que compte faire Max… Il pourrait demander quand même… ben non, il ne demande pas… et il l’encule provoquant chez la fliquette juste un petit cri de surprise (elle s’attendait à quoi ?)

– Mais vous m’enculez, monsieur !
– Tout à fait, madame !

Elle se laisse faire, chanceuse Anne-Marie stimulée à la fois par ma langue dans sa chatte et par la bite de Max dans son cul. A ce régime elle a joui assez vite, Max également… Et moi ?

Pas vache, la fliquette est venu s’occuper de mon berlingot et c’était très bien.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:10

Chanette 31 – La clairière secrète – 7 – Jacques en galère, Max en rut

Mat Stamp

Samedi

Il est très matinal, monsieur Max, à 9 heures du matin, il sonnait à ma porte.

Anne-Marie et Roquevert sont en faction en bas de chez moi, la première devant l’entrée piéton, le second à l’entrée véhicules. Anne-Marie ne prête aucune attention à Max qui est entré peinard en composant le digicode.

– Alors, Chanette, tu t’es encore foutue dans un truc impossible !
– En fait je crois surtout qu’on me prend pour une autre.

Je lui explique, je lui raconte.

– Bon, il y a donc deux choses à faire, la première c’est de savoir ce qu’il y a à cette adresse, ce sera facile, la seconde c’est de savoir ce que manigance ce Jacques Machin, il ne t’a laissé aucune coordonnée ?
– Non.
– T’aurais dû lui demander.
– On ne peut pas penser à tout.
– Je sais.

Pour le premier problème, Max s’évite le déplacement et téléphone à son patron qui lui répond dans la demi-heure.

– C’est une assos. Ça s’appelle Afrique 3000 et ça soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Et en clair ?
– En clair je ne sais pas trop..

A la DGSE on ne s’est pas déplacé non plus, l’adresse et ses responsables étant connus et fichés

Cependant le général Tauvron se demande s’il n’a pas zappé un épisode.

– Quelque chose ne cloche pas. Les voleurs d’armes refilent une adresse et d’autres coordonnées à leur contact. Or le contact ignore le contenu. Ce qui veut dire que la transaction est en stand bye. Mais pourquoi ? Soit la fille attend quelque-chose, mais quoi ? Soit elle fait double jeu ? Attendons !

Max a pris des notes quand je lui ai raconté ce que je savais, il n’arrête pas de les relire, il les apprend par cœur ou quoi ?

– T’as rien oublié ?
– Je ne crois pas, non.
– Et la patronne du gite, tu crois qu’elle est complice de cette bande ?
– Je ne pense pas, non, mais bon, elle est bien contente de trouver ces mecs… 30 paniers repas par jour, ce n’est pas rien.
– Et ses rapports avec les agents secrets ?
– Des rapports purement commerciaux, un peu tendus parfois.
– Et avec Jacques ?
– Ce doit être une vieille connaissance de la maison, des rapports cordiaux mais je n’ai décelé aucune complicité, ils gardaient leurs distances.
– Et avec toi ?
– Super sympa, aussi bien elle que sa fille
– Jacques a dû renseigner son numéro de téléphone sur sa fiche de réservation. Tu peux peut-être lui demander.

Mais c’est bien sûr !

– Allô, Marjorie.
– Christine, quelle joie d’entendre ta voix, tout va bien ?
– Super ! J’ai embarqué par erreur un bouquin qui appartient à Jacques, il avait l’air d’y tenir, je voudrais lui rendre, tu n’aurais pas son numéro ?
– Mais bien sûr ma chérie…

Et voilà le travail !

Max m’explique son plan. Il a le mérite d’être simple.

Je téléphone à Jacques, pas plus étonné que ça de savoir que je possède son numéro…

– J’ai réfléchi, je vais peut-être accepter ce que vous me proposez mais faut que l’on discute un peu.
– Ok, je peux passer chez vous vers quelle heure ?
– En milieu d’après-midi si vous voulez. Je vous donne l’adresse.

Il est venu à pied, évidemment Anne Marie le reconnait mais ce n’est pas réciproque, le visage de l’espionne étant camouflé dans son capuchon de jogging

– Allô, mon général, coup de théâtre, le suspect numéro deux vient de monter chez la pute. On fait quoi ?
– Je vous envoie du renfort, dans un premier temps on va le localiser…
– Et s’il redescend avant ?
– Improvisez !

Donc vers 16 heures Jacques sonnait à ma porte, je lui ouvre, tout sourire, referme la porte et la verrouille, puis tout alla très vite…

Max surgit, pistolet au poing.

– Les mains en l’air, monsieur.
– Mais qu’elle est cette plaisanterie ?
– Justement on est là pour en parler, alors tu les lèves tes mains ou il faut que j’aille chercher une grue ?
– Et si je refuse ?
– Si tu refuses, je vais devenir méchant.

Jacques fini par obtempérer.

– Chanette, fouille-le ! Vide-lui ses poches.
– Je vais porter plainte ! Proteste l’individu..
– T’as raison, ça nous fera l’occasion de rigoler.

Pas d’armes, un porte carte, un portemonnaie, des clés et un téléphone portable.

– Pique lui sa montre aussi.

On fait assoir Jacques et on le menotte. Il est blanc comme un linge, le garçon.

– Et maintenant tu vas nous raconter ce que tu es en train de fabriquer…
– Je ne fabrique rien, je fais de l’investigation indépendante.
– Investigation, mon cul ! Pourquoi tiens-tu à ce que Chanette se rende à cette adresse ?
– C’est qui, Chanette ?
– C’est moi. Crus-je devoir préciser .
– Alors la réponse ? Insiste Max.
– Je veux bien vous expliquer mais ça risque d’être un peu long et pas facile à comprendre…
– Pourquoi, on est trop con ?
– J’ai pas dit ça.
– Alors tu racontes ?
– Je suis journaliste d’investigation…
– Oui bon, on commence à le savoir, ce qu’on veut c’est la suite ! s’énerve Max
– La grande clairière est occupée par des voleurs d’armes. Il est tout de même étrange que l’armée n’intervienne pas pour récupérer ce qui lui appartient. J’en déduis donc qu’il y a une activité mafieuse là-dessous. Je soupçonne même un scandale d’état. Cela dit je ne suis pas un kamikaze, Si ça remue trop la merde, je laisse tomber.
– Sauf que tu n’as pas répondu à la question. Que viens foutre Chanette dans cette salade ?
– Ben elle est censé être l’agent de liaison, non ?
– Je ne suis l’agent de rien du tout !
– Soit la personne qui vous a refilé le papelard s’est trompé de personne ce qui me semble ahurissant, soit vous êtes en train de vous dégonfler pour des raisons qui m’échappent…
– Bon, on t’a posé une question, on attend toujours la réponse… et je ne suis pas du genre à attendre trois semaines. S’énerve Max.
– Je ne peux pas tout vous dire.

Max, hors de lui envoie deux baffes dans la tronche de Jacques.

– Fasciste ! Hurle ce dernier.
– Chanette, tu n’aurais pas un sécateur, on va lui couper les doigts…

Je comprends qu’il bluffe, et entre dans son jeu.

– Non mais j’ai de très beaux couteaux de cuisine ils coupent très bien.
– Vous êtes leurs complices, c’est ça ? Bafouille Jacques.
– Hein ?
– Vous ne voulez pas que la vérité éclate… mais même si vous me tuez la vérité finira un jour par éclater…

Mais qu’est-ce qu’il nous raconte ?

– Je vais compter jusqu’à 10, si à 10 tu n’as pas répondu à ma question, je te coupe un premier doigt. 1, 2…

Jacques est livide, mais ne bronche pas, il est persuadé que Max bluffe.

– 8, 9 , 10.

Max appuie la lame du couteau sur l’index de Jacques au niveau de la phalangine. Une légère pression… du sang coule.

– Arrêtez, assassins, fascistes !
– On t’écoute connard !
– J’ai complétement par hasard mis à jour une opération mafieuse au sommet de l’état….
– Mais ce n’est pas ça qu’on te demande ! Que viens foutre Chanette là-dedans ?
– Si elle ne remplit pas sa mission, je ne peux pas écrire mon article !
– Hein ? Demande Max.
– Mais quelle mission, je n’ai pas de mission !
– Vous n’auriez pas un sparadrap, je suis en train de foutre du sang partout.
– On s’en fout ! Et on comprend rien à ton histoire.

Oui mais moi je ne m’en fous pas et m’en vais chercher un sparadrap et une serpillère..

– Laissez-moi m’expliquer cinq minutes sans m’interrompre et vous allez tout comprendre !
– T’as intérêt à être convainquant
– La France soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Hein ?
– Actuellement le Fagonda Occidental est gouverné par des fantoches servant les intérêts de Oil Miller Company, un trust américain. Les rapports avec la France sont calamiteux et ne se sont pas arrangés depuis que la France soutient la rébellion intérieure.
– Hum…
– Seulement la rébellion pour pouvoir prétendre renverser le gouvernement en place à besoin d’armes. Alors comme officiellement on ne peut pas leur en livrer en raison de complications diplomatiques, on va leur en livrer de façon détournée.
– Mais…
– Laissez-moi terminer, c’est déjà assez compliqué comme ça… Donc premier acte : un convoi. militaire est attaqué par des barbouzes, la presse parle d’explosion accidentelle. En réalité les armes sont transbordées vers des camions banalisés puis acheminés on ne sait trop comment dans une clairière près du village de Mombillac accessible par le lieu-dit, le chemin de la fouine.. Sur place une communauté mal défini mais encadré par les barbouzes s’attelle à gommer sur ces armes tout ce qui pourrait identifier leur provenance. Acte deux, les armes étant prêtes, un agent de liaison est chargé de se rendre à une adresse parisienne et de leur communiquer les conditions de livraison (date et emplacement). Je n’ai pas tout déchiffré mais LH ça veut dire Le Havre et on a un numéro de dock, je suppose que J245 signifie « 1er septembre ». C’est dans trois semaines, mais je suppose que pour faire sortir tout ça de la clairière il va falloir du temps… Donc je comptais dénoncer toute cette magouille sur Internet. Or si l’agent de liaison ne se rend pas à l’adresse indiquée, l’opération ne pourra pas se faire, puisque le destinataire ignorera la date et le lieu de livraison… Et en plus je ne pourrais pas écrire mon article !
– Autrement dit, tu envoies Chanette au casse-pipe, juste pour que tu puisses écrire ton article à la con !
– Ce n’est pas un article à la con, je dénonce des pratiques scandaleuses.
– Bon on va te relâcher, récupère tes affaires, mais attention, si je te revois de nouveau tourner autour de Chanette, je te casse les deux jambes.
– Fasciste !
– Tu te répètes un peu là.

On le détache.

– Je peux avoir un verre d’eau ?
– Non ! Fous le camp !

Et Jacques s’en va s’en demander son reste.

Anne-Marie le voit sortir.

– Merde, je fais quoi.

Elle décide de le suivre et en avise Roquevert.

– Remplace moi à l’entrée piéton… un collègue va venir en renfort …

Anne Marie suit Jacques en métro, puis à pied jusqu’à l’hôtel des Grives, rue de Charenton.

– Suspect numéro deux localisé, quelles sont les instructions ?
– Interrogatoire puis neutralisation si nécessaire.

C’est un hôtel bas de gamme.

– Je voudrais voir le monsieur qui vient de rentrer, on s’est raté de près.
– Chambre 12.

Anne Marie frappe pistolet en main, Jacques ouvre, stupéfait.

– Tu me laisses entrer et tu fermes ta gueule, je ne suis pas ici pour rigoler.
– Je me disais aussi… Tente d’ironiser l’homme.
– Bon alors maintenant tu me racontes tout.
– Mais je n’ai rien à raconter.
– Qu’est-ce que tu es allé foutre chez la pute ?
– J’ai le droit d’avoir une vie privée, non ?
– Je ne pense pas qu’il s’agissait d’affaires privées.
– Puisque vous savez tout, pourquoi vous me demandez ?
– Parce que je veux l’entendre de ta bouche.
– Bon on va jouer carte sur table, j’ai appris par hasard ce qui se passait avec les gens de la clairière… Commence Jacques.
– C’est qui « par hasard » ?
– Un mec dans un bistrot du village, il avait déserté le campement et comme il était complètement torché, il m’a tout raconté. J’ai ensuite recoupé avec que nous ont dit Christine et Frédérique, je le suis dit alors que je pourrais écrire là-dessus… mais si ça pose des problèmes je laisse tomber, je veux pas d’emmerdes.
– Et ta visite à la pute ?
– Quelque chose clochait, je voulais savoir pourquoi elle ne portait pas le message à ses destinataires.
– Et elle t’a dit quoi ?
– Des conneries… à mon avis elle s’est dégonflée.
– Bon

Anne Marie réfléchit, le stade suivant c’est l’élimination. Elle peut le faire, elle a déjà tué, mais dans le cas présent elle hésite, allez savoir pourquoi ?

Alors elle temporise.

– Quand les gens en savent de trop, il y a deux façons de les faire taire, la première c’est le fric, mais ce n’est jamais fiable à cent pour cent, la seconde est plus efficace, on élimine la personne…
– Bon, bon, je ne dirais rien, et je n‘ai pas besoin de fric… rétorque Jacques, blême comme un cachet d’aspirine.
– Comment être sûr ?
– J’en sais rien, ma mère va mourir de chagrin si vous me tuez.
– Arrête ton baratin, on sait tout de toi, ta mère est décédée il y a dix ans. Ecoute conard, je vais te faire une fleur, je dirais que tu as réussi à me semer, mais disparais, t’as compris ça, tu disparais de la circulation. Et attention, il n’y aura pas de deuxième chance, si je te recroise, je te flingue.
– Mais pourquoi ?
– Pose pas de questions, adieu pauvre connard.

Jacques flaire le piège mais ne parvient pas à comprendre ce qu’il pourrait être.

– Elle préfère peut-être me tuer dehors que dans cette chambre ? Mais pourquoi ?

Il rassemble ses affaires, descend règle sa note et sort dans la rue, la peur au ventre. Peur qui ne le quittera pas jusqu’à la gare de Lyon où il prend un aller simple pour Rodez.

– Cible perdue, mon général.
– Ce sont des choses qui arrivent y compris aux meilleurs, ne vous mettez pas la rate au court-bouillon, il réapparaîtra.

Max a le regard libidineux je sens que je ne vais pas tarder à passer à la casserole, mais avec lui ce n’est jamais une corvée.

– Chanette, je vais être direct, j’ai envie de t’enculer !
– Ça pour être direct, c’est direct ! On va dans ma chambre ?
– Attends, il faut que j’aère ma bite, elle étouffe !

Et le voilà qu’il ouvre sa braguette et m’exhibe son chibre quasiment bandé.

Je l’aime bien la bite de Max, je la trouve attendrissante.

– A toi de jouer ! Croit-il devoir préciser.

Il a raison, c’est un jeu et je suis très joueuse, je m’accroupis, prend en main ce charmant organe, le caresse, le branlotte, avant d’en embrasser le gland, puis d’un seul coup d’un seul je mets tout ça dans ma bouche et commence une fellation en règle.

– Attends, me dit-il !
– Un problème ?
– Non, mais il faut que je pisse, je ne peux plus tenir.
– D’accord !
– Tu la veux ma pisse ?
– Bien sûr, mais je me déshabille avant, j’ai pas envie de mouiller mes fringues.

J’enlève mes vêtements à l’arrache…

– Qu’est-ce qu’ils sont beau tes nichons ! Me complimente-t-il.

Et il se met à les peloter, je le laisse faire ça m’amuse à défaut de m’exciter.

– Je croyais que tu avais envie de pisser ?
– Oui, ouvre la bouche !

Elle est délicieuse sa pisse, mais son débit va trop vite, je ne peux pas suivre, ça me coule sur les nichons.

On fait quoi maintenant ? Allez chercher une serviette ? Gagner la chambre ? Reprendre ma pipe ? Ce ne sont pas les possibilités qui manquent !

Je crois comprendre néanmoins qu’il souhaite encore de la turlutte. Alors allons-y turluttons ! Et j’y vais de la langue et des lèvres tandis que mes mains lui flattent ses couilles, avant de passer derrière et de lui peloter les fesses.

– Oui, oui !

Je sais ce qu’il souhaite maintenant, depuis le temps que je le connais, le Max !

Mon doigt préalablement humecté lui est entré dans le rectum.

– C’est bon tout ça…

Je ne réponds pas, il est inconvenant d’interrompre une fellation avec des paroles futiles.

– On va dans la chambre ? Me propose-t-il enfin.

C’était inéluctable… je m’essuie les seins encore mouillés de pisse et on y va…

Je m’affale sur le lit et fait ma passive, me laissant tripoter par les grosses paluches de Max. Ça dure quelques minutes avant qu’il me propose de me placer dans une position plus adaptée à la sodomie.

Il me lèche le fion peu avare de sa salive, et quand je crois que je vais être bonne pour l’enculade, le voilà qui change d’avis.

– Et si tu t’occupais un peu de mon cul à moi ?

C’est dans mes cordes, il se met à son tour en levrette et je viens lui faire une belle feuille de rose, mais je sais ce qu’il souhaite, J’ouvre le tiroir de ma table de chevet. Il y a là-dedans un joli gode très réaliste avec vibreur incorporé.

J’encapote le machin et le lui enfonce dans le trou du cul.

– T’aimes ça, hein mon cochon !
– J’adore !
– Je sais que tu préférerais une vraie bite, mais je n’ai pas ça dans mes tiroirs.
– Dommage.

Max à découvert (on devrait dire à pris conscience) de sa bisexualité assez tard suite à sa rencontre avec Valentin (voir Chanette 16 – La Partouze de Mr le Ministre) et depuis il essaie de rattraper le temps perdu.

J’ai joué avec son trou de balle pendant plusieurs minutes, puis il m’a fait cesser, l’excitation devant être trop forte..

Chanette3107Je me replace en levrette, je cambre mon petit cul, Max s’encapote… et hop le voilà qu’il me sodomise. Un peu bourrin aujourd’hui mais il m’a fait tout de même jouir du cul. J’adore me faire enculer par mes amis !

Il est 18 heures, j’offre un apéritif à Max, il l’a bien mérité, j’ose espérer que maintenant je vais avoir la paix…

Ben non…

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:08

Chanette 31 – La clairière secrète – 6 – Massage à quatre mains
Massage3

Il devait être minuit lorsqu’on frappa à la porte de ma chambre, je me réveille en sursaut me souvenant que j’avais commandé un massage à quatre mains Je ne suis plus très motivée mais j’aurais mauvaise grâce à me défiler.

– C’est pour le massage ! Croit devoir préciser Marjorie.

Ben oui ce n’est pas pour changer l’eau du poisson rouge.

J’enlève mon pyjama et m’allonge sur le ventre. Les deux masseuses se déshabillent en silence, se reventent d’une blouse blanche qu’elle oublie (volontairement) de boutonner, puis Clotilde vient devant moi me masser les épaules tandis que Marjorie s’occupe de mes fesses.

Je ferme les yeux, me laisse aller, pour l’instant ce qu’elles me font est fort agréable, quand ces dames se décideront à être coquines, j’aviserai.

Je n’ai pas accès à la pendule mais je trouve que ça commence à être long. le massage traditionnel ça va bien cinq minutes. Je me dis alors que la fille et la mère n’osent peut-être pas faire des coquineries l’une devant l’autre…

Je me décide à précipiter les choses, on verra bien.

– Bon les filles si on passait à la suite ?
– On allait y venir, tu aimes les claques sur les fesses ? Me demande Marjorie.
– Pas trop fort !

Elle me tapote le cul, j’ai demandé pas trop fort, mais là c’est pas fort du tout.

– Un peu plus fort quand même !
– Pourquoi ? Tu as été vilaine ?
– Oui, très vilaine ! Répondis-je entrant dans le jeu.

Et cette fois elle tape correctement, ce n’est pas désagréable.

– Clotilde, donne-lui ta chatte à lécher pendant que je le lui donne la fessée. Suggère Marjorie

Voilà un programme qui me plait bien. Ce ne sera jamais que la deuxième fois que je lui broute son minou, mais que voulez-vous on ne se lasse jamais de bonnes choses.

C’est tout mouillé là-dedans, je lèche à qui mieux mieux, je la sens déjà prête à partir. Je redouble d’efforts et la voilà qui braille sa jouissance pendant que la mère continue de me rougir le cul.

– Oh, qu’est-ce qu’elle lèche bien ! Tient à indiquer Clotilde à sa maman.
– Mieux que moi ? Répond cette dernière.
– Disons que c’est différent.

Et voilà que ces dames permutent, non sans s’être échangé un baiser torride au passage.

Chanette3106
Je me retrouve donc cette fois avec la chatte de Marjorie devant mon visage, son goût est différent de celui de sa fille, plus musqué mais tout aussi agréable. Pendant ce temps Clotilde a entrepris de me balayer mon trou de balle avec sa petite langue agile. J’adore que l’on s’occupe de mon cul.

Je suppose qu’après la langue ce sera le doigt. Bingo et allons-y pour les « ça va, ça vient » intempestifs… Et ensuite ? Le gode sans doute. Non pas de gode ! Ce n’est pas gentil d’oublier ses outils !.

Je ne parviens pas à faire jouir Marjorie. Un blocage ? Ce sont des choses qui arrivent. Elle me demande de me retourner et se met en retrait.

J’offre ainsi mon intimité aux caresses linguales de Clotilde qui réussit à me faire jouir an moins de trois minutes.

Affaire terminée ? Non pas tout à fait.

– Vous allez vous occupez de moi, toutes les deux ! Propose Marjorie, je vais prendre ta place.

Elle s’affale sur le lit, cuisses écartées, j’ignore comment elle souhaite que nous pratiquions, mais j’ai comme une envie de lui lécher ses bouts de seins, c’est donc ce que je fais tandis que sa fille lui broute la chatte. De sacrés coquines ces deux-là !

Vendredi

Le taxi que j’ai commandé ne sera là qu’à midi, je descends dans la salle vers 9 h 30. Frédérique et William n’y sont pas, tant mieux, cela aurait été embarrassant après ce qui s’est passé hier. Sinon il y a l’inamovible Jacques et le couple de pieds nickelés.

Un type arrive, son visage me dit quelque chose, il s’adresse à Marjorie, je comprends alors qu’il s’agît d’un commissionnaire du camp des fadas, ce n’est pas le même que d’habitude… aucune importance. Mais pourquoi il me regarde comme ça ?

Bontempi (c’est son nom) ne comprend pas, il a en tête le descriptif de l’agent de liaison. « Fausse blonde, jolie, entre 30 et 40… »

– Ça ne peut être qu’elle… mais c’est la fille qu’on avait kidnappée, quelque chose m’échappe…

Le type prend possession de sa livraison puis revient, il se dirige vers ma table et me tend un papelard plié en quatre

– Ne le dépliez pas ici !

Il s’en va prestement. C’est quoi ce cirque ?

Je déplie le papelard.

Bélanger 145 bd de l’amiral Hautfleur. Paris.
J 245 LH D 21

C’est quoi, ça ? A tous les coups ce type s’est trompé de personne. Je m’apprête à me lever pour le montrer à Marjorie, mais voilà que les deux fins limiers m’entourent .

– Montre nous ça ! Me dit Adrien sur un ton qui a oublié d’être aimable.
– De quoi ?
– Il se passe des choses très graves, on veut voir ce papier !
– Mais vous m’emmerdez… et je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer.
– Alors s’il vous plait, madame, montrez-nous ce papier, on ne vous demande pas la lune !
– Pff.

J’ai fini par leur montrer. Après tout qu’est-ce que j’en ai à cirer ? Adrien Roquevert le met dans sa poche après l’avoir consulté..

– Ne bougez pas, je reviens !
– J’attends un taxi, lui précisais-je.

Moment de flottement, il échange un regard avec sa collègue.

– A quelle heure ? Me demande-t-il
– A quelle heure quoi ?
– Le taxi
– Midi !
– Alors tout va bien…

Les deux agents secrets sortent à l’extérieur, Adrien s’empare de son portable et compose le numéro d’urgence du général Tauvron.

– Agent Roquevert au rapport. L’adresse de livraison vient d’être récupérée, je vous la communique… l’agent de liaison est démasqué, c’était l’une des deux suspectes…
– Ok, laissez la libre mais ne la quittez pas d’une semelle..
– C’est qu’elle rentre à Paris ce midi.
– En train ?
– Oui elle attend un taxi pour l’emmener à la gare.
– Je gère. Rentrez à Paris immédiatement et attendez mes instructions.

Voici des nouvelles qui ont rendu le général Tauvron d’excellente humeur. Il compose le numéro de son aide de camp.

– Romer, contactez le responsable de la sécurité de la SNCF. Débrouillez-vous pour obtenir le numéro de place et l’horaire de la fille pour un Rodez-Paris aujourd’hui. Je veux qu’on la suive dès sa descente de train, je vous envoie sa photo…

Adrien prend le papelard en photo et revient vers moi.

– Je vous rends votre truc, c’est un malentendu.
– Ce n’était pas pour moi…
– Eh bien, jetez-le. Donc vous rentrez à Paris, c’est ça ?
– Ouai.
– Vous avez fait un bon séjour ?
– Un peu mouvementé, dirais-je, bonne journée, monsieur
– De même et bon retour.

Faux cul !

J’ai jeté le papelard sans m’apercevoir que Jacques l’avait aussitôt récupéré dans la corbeille.

Et le soir après un voyage ennuyeux (j’avais pris un polar dont la lecture s’est avéré décevante), je rentrais à la maison et récupérais mon matou chez ma voisine.

Evidemment j’ignorais qu’un fin limier m’avait filoché.

– La cible est rentrée chez elle, je fais quoi ?
– Vous nous attendez, on va prendre le relais. Répond Adrien Roquevert.

Je me préparais un petit en-cas quand la sonnette de l’entrée retentit

Qui cela peut bien être à cette heure ?

Un coup d’œil dans l’œilleton… Je n’en crois pas mes yeux… c’est Jacques ! Par quel prodige est-il arrivé jusqu’ici ?

– Qu’est ce vous foutez là ? Criais-je à travers la porte.
– C’est un peu compliqué, mais ouvrez-moi, je vais vous expliquer.

(Evidemment l’agent secret parisien ne le connaissant pas n’y a pas fait attention, je suppose que si Adrien et Anne-Marie étaient arrivés, l’histoire aurait pu prendre une tournure différente.)

Alors je fais quoi, si je n’ouvre pas, il est capable de rester scotché derrière la porte, il faut absolument que je me débarrasse de ce boulet, mais pour cela je dois d’abord le faire entrer.

J’ai un flingue à maison, acheté aux puces un jour, mais non chargé

Je le prends ainsi qu’une bombe au poivre et enfouis tout ça dans la poche de mon peignoir. Et j’ouvre.

– Comment vous m’avez retrouvé ?
– Il y avait votre adresse sur votre fiche de réservation.
– Je vois. Je vous préviens je suis ceinture noire de karaté (oh la menteuse !) et j’ai un flingue dans ma poche.
– Mais je n’ai aucune intention de vous nuire, bien au contraire, je suis là pour vous sauver la vie…
– Pauvre mytho !
– Ecoutez moi, je vous ai dit qu’il se passait des choses étranges avec cette secte dans les bois…
– Vous n’allez pas recommencer…
– Mais laissez-moi parler cinq minutes, dans cette affaire vous êtes un pion, et si le pion n’agit pas comme prévu, il se met en grand danger.
– Bon, j’en ai assez entendu, foutez-moi le camp.
– Je vous en conjure, il faut absolument vous rendre à cette adresse.
– Quelle adresse ?
– Celle écrite sur le papier…
– Le papier je l’ai jeté.
– Je sais mais j’ai recopié l’adresse, la voici.
– Rien à cirer. Maintenant dehors !
– Réfléchissez quand même, je ne voudrais pas avoir fait tout ce voyage pour rien.

Et il s’en va.

(Roquevert et Anne Marie, coincés dans les embouteillages ne sont toujours pas arrivés.)

Complétement cinglé ce type, il faut que je trouve le moyen de l’écarter de ma route. Je laisse un message à Max le dur, l’homme de main de Gauthier-Normand, qui m’a déjà sorti de maintes situations fâcheuses. (voir mes aventures antérieures)

Il me répond qu’il passera me voir demain matin

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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