Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:47

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 2 – Les brigands lubriques
Stamp Mature Sodo

Evidemment les bandits nous dépouillèrent de nos bagues, bracelets et colliers, faisant pleurer de rage ma pauvre maman.

– Vous avez remarqué comment mes compagnons vous regardent ? Nous nargua le moustachu.
– Oui bon, on a compris… répondit ma mère.
– Ces gens ont des besoins, il faut les comprendre.
– Et nous sommes là pour assouvir leurs besoins ?
– La destinée vous a en effet placée là ! Qu’elle en soit remerciée ! Alors soit vous vous laissez faire gentiment soit vous ne vous laissez pas faire et dans ce cas nous passerions outre votre volonté. C’est vous qui voyez…
– Je peux vous demandez une faveur ? Intervient Pauline à la surprise générale.
– Et vous vous croyez en position de négocier ?
– Je peux essayer ?
– Exprimez-vous, on va voir.
– Je peux vous sucer, vous pouvez me prendre par le petit trou mais laissez le reste tranquille, je n’ai nulle envie d’avoir un enfant de brigand

Voilà qui fait rire la vilaine bande à gorge déployée

– Tu entends Roger, cette salope veut qu’on l’encule !

Et encore une fois ça les fait rigoler, il n’y a vraiment pas de quoi !

– Eh bien, voici une proposition originale ! Elles veulent être enculées, alors enculons ces salopes !

L’un des bandits s’approche de moi :

– Toi tu as vraiment une frimousse à faire des pipes, tu vas me sucer, mais attention ne mords pas sinon je t’embroche comme un poulet.

Je dois bien reconnaitre que l’individu à une jolie bite, bien raide, avec le gland décalotté et brillant. En revanche il sent un peu fort.

Je ferme les yeux, m’imaginant que j’ai affaire à un brave soldat revenant de la guerre et m’efforce de sucer le mieux possible.

Je me dis que si j’arrivais à le faire jouir, cela m’épargnerait une pénétration malaisante. Mais je dois être tombé sur un « peine à jouir », ça ne vient pas… et pourtant je ne ménage pas mes efforts.

Je finis par ouvrir les yeux et je peux voir ma mère se faire culbuter par le chef de bande tandis qu’un autre encule Pauline à la façon d’un bourrin.

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Le quatrième brigand nous regarde en se paluchant la bite et en tenant en respect Thomas qui se demande à quelle sauce il va être mangé.

Mon brigand finit par jouir dans ma bouche, j’en avale un peu, laisse le reste dégouliner sur mon menton.

Les deux autres semblent également avoir terminé. Ils se regroupent autour de Thomas, blanc comme un linge.

– Ben alors qu’est-ce que tu attends pour l’enculer ? Lui demande le chef
– C’est que j’aurais préféré l’une de ces dames…
– Tu ne vas pas faire le difficile, un cul c’est un cul !
– Oui mais celui-ci n’est point féminin !
– Ce n’est pas pour cela qu’il ne serait point accueillant.
– Non, non, mon cul n’est pas accueillant du tout ! Croit devoir ajouter Thomas à qui on n’avait rien demandé.
– Toi, on ne te demande pas ton avis.

Et pendant ces tergiversations, nous nous sommes regroupées, ma mère et ma sœur et moi, en s’octroyant d’innocentes caresses en guise de consolation.

– Non mais regardez-moi ces trois gouines ! Dit alors le chef. Ne vous gênez pas pour nous, si vous voulez vous caressez, allez-y carrément. Toi la brune, qu’est-ce que tu attends pour lécher ta mère. Vicieuse comme elle est, elle doit adorer ça.

Echange de regards avec ma mère qui sans le dire semble me faire comprendre que si ça pouvait le calmer…

Et me revoici entre les douces cuisses de ma génitrice. J’adore lécher ma mère et ne me demandez pas pourquoi, c’est comme ça, c’est tout !

Pendant ce temps, l’un des brigands s’en est allé couper une fine branche de noisetier et la tend à Pauline.

– Toi, tu vas cingler les fesses de ce pourceau, jusqu’à ce qu’elles deviennent rouge, cela lui apprendra à rouspéter quand on veut l’enculer.

Vous pensez bien que Pauline ne se le fait pas dire une seconde fois. Tandis que deux marauds empêchent Thomas de gesticuler, ma sœur s’en donne à cœur joie en fouettant le popotin du palefrenier. Il crie, il hurle, il vitupère, mais Pauline continue tant qu’on ne lui dit pas d’arrêter.

– Bon, il en eu assez, maintenant on va lui ramoner le trou du cul.

Le brigand qui n’avait pas joui lui pénètre le fion faisant râler l’homme sous les encouragements de ses complices..

– Vas-y défonce lui la rondelle à ce pourceau. Faire croire à des gentes dames qu’on les emmène au couvent alors que le couvent est de l’autre côté, tu devrais avoir honte !
– Mais puisque je vous dis que je me suis trompé.

Le brigand a joui dans le fondement de Thomas, ce dernier croyant son supplice s’écroule de honte dans l’herbe.

– Bien, dit le moustachu, être brigand n’empêche en rien d’être gentilhomme, nous n’allons pas vous laisser ici, vous risqueriez d’attraper une mauvaise fièvre, vous vouliez joindre le couvent de Sainte Agathe, rhabillez-vous nous allons vous y mener..

Nous récupérons nos vêtements laissés entassés à même le sol, Thomas s’approche également.

– Oh, toi le drôle, je ne t’ai pas, semble-t-il autorisé à te rhabiller, c’est à ces dames et uniquement à ces dames que je m’adressais.
– Mais…
– Mais quoi ? Ne te plains pas, nous aurions pu t’embrocher comme un vulgaire poulet.

Et tandis que nous prenions place dans la carriole conduite maintenant par le moustachu, Thomas fou de rage se confectionnait une sorte de pagne à l’aide de branchages et de fougères afin de dissimuler sa nudité.

– Je me vengerai, je me vengerai ! grommelait-il avant d’entamer une longue route à pied jusque chez lui…

Et justement parlons-en de ses pieds, puisqu’ils commençaient à le faire souffrir.

– Ils auraient pu au moins me laisser mes chaussures !

A l’aide de feuilles agglomérées dans la boue il put se constituer quelque chose qui ressemblait d’assez loin à des souliers mais qui au moins lui protégerait sommairement les pieds

– Je me vengerai, je me vengerai… répétait-il en boucle.

C’est que pour l’homme la situation était désastreuse. Certes l’humiliation de cette attaque surprise et le sort qu’on lui avait réservé le rendait en rage. Mais il n’y avait pas que ça…

Il avait promis à madame Galoubet la livraison de deux jeunes filles et de leur mère. Et madame Galoubet payait bien, rubis sur l’ongle.

Ce manque à gagner mettait en péril sa situation financière, son commerce de chevaux battait de l’aile depuis qu’un conçurent avait eu le toupet de vendre moins cher et plus performant.

L’unique solution qui lui venait à l’esprit était de récupérer les trois femmes, mais comment procéder ?

Il tenta d’échafauder mille plans, après tout cela agrémentait sa longue marche, mais ne trouvait rien de très pertinent.

– La nuit porte conseil, demain j’aviserai

Quand nous arrivâmes à environ une centaine de toises du couvent, le moustachu nous intima l’ordre de descendre.

– Voilà, c’est là-bas, bonne chance, peut-être nous croiserons nous de nouveau un jour.
– Pour nous prendre quoi ?
– Allez savoir, le destin est tellement facétieux. Je m’appelle Philibert, ce n’est pas mon vrai nom mais je m’en voudrais de n’être qu’anonyme dans vos souvenirs !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:44

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck.
1 – Thomas le palefrenier
stamp pipe

Je me prénomme Margot et serais la narratrice de ce récit libertin qui je l’espère vous mettra les sens en émoi.

Mais déjà, plantons le décor.

Nous sommes en l’an de grâce 1708, sous la régence de Duc d’Orléans.

Rendons-nous pour l’instant à Gouvion le Château quelque part en Ille de France, le baron Philippe Savourey de la Treille y réside (ou plutôt y résidait, mais n’anticipons pas trop) avec son épouse Catherine, ses trois enfants et sa domesticité.

Catherine est une très jolie femme, brune et souriante elle porte fièrement ses 44 printemps, il y a longtemps qu’elle ne partage plus la couche de son époux et elle se console avec ses amants et ses amantes et s’amuse même parfois avec sa progéniture.

Parlons-en justement, passons rapidement sur François le fils ainé qui n’interviendra pas dans ce récit. Mais parlons de ces demoiselles.

Moi je suis Margot, 24 ans, brune aux yeux verts comme ma mère, amoureuse d’un roturier, le paternel a tout fait pour rendre ce mariage impossible et depuis je me console comme je peux, le jardinier, ma mère, ma sœur, mes godemichets, je ne suis pas bien compliquée.

Pauline a 22 ans, elle est aussi délurée que moi, elle est blonde ce qui pourrait laisser supposer que le père n’est pas Philippe, mais ce sont des choses qui ne vous regardent pas.

Mon père, Philippe est un joueur invétéré, il a eu en son temps de la chance au jeu avant que le vent tourne, il a donc fait attention jusqu’au jour où perdant une grosse somme, il s’est mis à miser de plus en plus gros… Bref au moment où commence le récit, notre baron est endetté jusqu’au trognon.

Les débiteurs lassés d’attendre le remboursement de leur dette finirent par porter plainte et Philippe fut sommé de rembourser dans un délai d’un mois

Mais comment faire ? C’est bien connu, les problèmes d’argent éloignent irrémédiablement amis et famille, donc il ne rembourse pas. On lui octroya généreusement une semaine supplémentaire de délai. Au cours de laquelle il put vendre quelques bricoles mais on restait loin du compte, très loin même.

La décision du tribunal fut inéluctable, tous les biens mobiliers et immobiliers du Baron seraient vendus aux enchères.

Les choses allèrent très vite, les meubles furent emportés, les domestiques furent congédiés, le fils trouva refuge dans la marine royale, quant à Philippe, on le conduisit sans ménagement en prison, à cette époque on ne rigolait pas avec les débiteurs.

Ma mère Catherine, ma sœur et moi-même se trouvèrent donc désemparées, et comme nous l’avons dit en pareille situation les amis et la famille sont aux abonnés absents, sauf que parfois l’assistance vient de là où on ne l’attend guère

Thomas n’est pas précisément un ami de la famille, c’est un palefrenier qui a à plusieurs reprises vendu des chevaux à mon père. Et le voilà qui se pointe et tient discours à ma mère :

– J’ai appris le grand malheur qui vous frappe, j’en suis profondément navré d’autant que je tenais Monsieur le baron en grande sympathie…
– Merci de cette sollicitude mais nous ignorons ce que nous allons devenir. Certes les filles pourraient trouver des emplois de dames de compagnies dans de grandes maisons, mais moi, à mon âge…
– Puis-je vous suggérer une solution ?
– Suggérez mon ami, suggérez.
– Pourquoi ne pas vous faire héberger chez les sœurs de Sainte Agathe ?
– Il n’entre pas dans nos intentions de prendre le voile.
– Bien sûr que non, mais elles pourraient se contenter de vous héberger le temps que je trouve une solution plus adaptée
– Ne me faites pas croire que vous feriez ça sans contrepartie.
– Hélas, le monde est ce qu’il est et tout peine mérite salaire…
– Arrêtez, vous n’ignorez pas que nous sommes ruinées ! Répondit ma mère.
– Vous n’avez plus d’argent mais vous avez vos charmes…
– Pourceau !
– Tout de suite les grands mots, je vous rends un réel service et en ce qui concerne la contrepartie, vous n’en mourrez pas.
– Et vous souhaiteriez baiser qui ? Moi ?
– Non toutes les trois.
– Vous êtes gonflé, vous !
– Ce n’est qu’une proposition.
– Eh bien, je vais me concerter avec mes filles, repassez dans une heure.

Pauline et moi nous gaussèrent d’abord de ce marché déplaisant.

– Nous n’avons pas besoin de lui, on se débrouillera ! Indique Pauline
– C’est vrai, Pauline et moi on pourra toujours se débrouiller, mais pour toi et maman, ça risque d’être un petit peu plus difficile… Ce type est palefrenier, c’est un métier qui lui fait rencontrer beaucoup de monde, il aura probablement une solution par l’intermédiaire de ses relations.
– Oui évidemment !
– Alors soyons solidaire, on ne va pas laisser tomber notre mère
– Bof au pire ce sera un mauvais moment à passer, mais il présume de ses forces, il ne tiendra jamais la distance. Ajouta Pauline.

Bref nous acceptâmes, la mort dans l’âme.

L’huissier n’avait pas encore fait embarquer les lits, nous avons donc gagné la chambre conjugale.

– A poil les trainées ! Eructe Thomas
– Holà ! Nous t’avons autorisé à nous prendre, mais pas à nous couvrir de mots orduriers ! Proteste ma mère.
– Alors je reformule, si madame la baronne et sa progéniture pouvait se débarrasser de leur fanfreluches…

Alors nous nous somme déshabillées de conserve, et dans un réflexe de pudeur incongru nous nous retournâmes.

– Oh que voilà des joufflus bien sympathiques ! Je me demande lequel est le plus beau, celui-ci sans doute ! Indiqua-t-il en me gratifiant d’une claque sur mes fesses. Tournez-vous que je profite du spectacle.

La pudeur doit être un réflexe car sans nous concerter, nous nous sommes posé nos mains sur nos seins en nous retournant ce qui eut le don d’énerver le palefrenier.

– Enlevez vos mains, vous croyez que vous allez rester comme ça, à cacher vos trésors ! Enlevez vos mains, j’ai dit ! Hum, c’est fort joli tout ça ! Par quoi commencer quand la coupe de fruits déborde à ce point ? Margot, avance un petit peu !

C’était fatal, il a fallu qu’il me tripote les nichons, et quand je dis tripotage, il faudrait plutôt parler de malaxage, le genre à confondre une poitrine avec une pâte à pain. Il me pince les bouts.

– Si vous pouviez éviter de me faire mal ! Protestais-je.
– Chochotte !

Mais il se recule… pour se débarrasser de sa culotte et nous exhiber une bite monstrueuse au gland en forme de vilain champignon.

Margot01– Viens me sucer, ribaude ! M’ordonne-t-il

Si ça bite se contentait d’être laide, j’aurais pu m’en accommoder, mais en plus elle puire.

– Si tu veux que je te suce, va te la passer à l’eau.
– Mijaurée ! Et vous autres vous allez être moins difficile, j’espère ! Dit-il à l’adresse de ma mère et de ma sœur.
– Si tu ne fais pas toilette, nous rompons notre marché ! Lui répond ma mère.
– Ces aristos sont vraiment compliquées commente-t-il

Il restait un peu d’eau dans un broc, qu’il verse dans une cuvette, il se lave ensuite la bite ne se servant de ses mains en guise de gant de toilette. Il en profite aussi pour se rincer le troufignon. A tous les coups il doit avoir l’intention de nous le faire gouter !

– Bon voilà, on peut reprendre ? Allez Margot au boulot et ne me fait pas jouir, je veux profiter de tout le monde.

Quand faut y aller, faut y aller. Je m’accroupis avec toute l’élégance des jeunes filles de mon rang en embouchant sa clarinette baveuse.

– Toi la vielle pute, tu vas passer derrière moi et me lécher la rondelle ! Ordonne-t-il à ma mère.
– Mais bien sûr mon prince ! Se gausse-t-elle.
– Et toi Pauline tu vas aider ta sœur à me gober le nœud, sans oublier mes valseuses.

Nous formons alors un quatuor original. Heureusement que ma sœur m’accompagnait dans cet acte déplaisant (déplaisant parce qu’il nous était imposé, sinon n’allez pas croire, j’aime sucer…) parce que je commençais à fatiguer de la mâchoire.

– Ah ! Ces mises en bouche m’ont fait grand bien, maintenant tout le monde sur le plumard !
– Monsieur, je voudrais vous faire requête… Commençais-je.
– Est-ce bien le moment ?
– Oui, je voudrais que vous laissiez mon con tranquille, je n’ai nulle envie d’être enceinte d’un palefrenier.
– Qu’as-tu contre les palefreniers ?
– Rien quand ils se contentent de faire commerce de chevaux !
– Fi ! Mais peu importe, cela ne me déplait pas de te pédiquer, petite traînée.
– Mais allez-y mollo ! J’ai la rondelle fragile.
– Je ne suis pas une brute !

L’individu m’a fait me mettre en levrette, et après s’être extasié sur la beauté de ma rondelle, il me la lécha quelques instants avant de tenter d’y enfoncer son dard. La première tentative ripa lamentablement.

– Ouvre-toi mieux, catin !

Je fais ce que je peux, ça finit par passer. Aïe, ouille, ouille, j’ai connu des enculades plus romantiques.

– Tu me fais mal, faquin !
– Mais non !
– Mais si, sors immédiatement de mon cul ou je hurle.

Je pensais qu’il s’acharnerait, mais non, il se retire, jette un moment son dévolu sur ma sœur Pauline.

– Non, non, je suis encore plus serré que ma sœur… je vous en prie…

Du coup il se rabat sur Maman !

– Ah, voici un cul qui va savoir m’accueillir ! Tu aimes ça te faire enculer, n’est-ce pas, vieille salope.
– Que faudrait-il que je vous réponde ?
– Rien ! Attention… et voilà c’est rentré tout seul.

Et Thomas commence une série de va-et-vient en transpirant comme un malade. Maman prend son mal en patience,… Que faire d’autre ? Je sais pourtant que ma mère ne déteste pas la sodomie, l’ayant plusieurs fois vu à l’œuvre avec ses amants.

Afin de la consoler, je me place devant elle et lui offre ma bouche, on se roule une pelle baveuse tout en se pelotant les nénés.

Ma sœur Pauline ne voulant pas rester inactive vient derrière moi et se sa petite langue agile entreprend de me lécher le fion.

Un cri de cochon ! C’est Thomas qui vient de jouir ! Il décule, s’éponge le front (mais pas la bite) ramasse ses affaires et nous laisse sans un mot.

– Quel soudard ! Commente ma mère, j’ai le cul en compote, venez mes chéries, venez donc vous occupez de moi que je reste pas sur cette impression malaisante.

Voilà une chose qu’il ‘est point nécessaire de me répéter deux fois, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, me voilà entre les cuisses de Maman.. Sa vulve est douce et délicieuse, je m’en lèche les babines. Pauline quémande son tour. Pourquoi faire des tours, on peut bien la lécher à deux, non ?

– Oh, c’est trop bon ce que vous me faites, petites trainées ! Aaaaah !

Elle a joui, elle mouille…

– Faut que je pisse….
– Donne-moi ta pisse, maman ! Lui répondis-je en ouvrant une large bouche.
– Petite vicieuse, tu ne vas pas être déçue…

Le jet d’urine fuse, j’avale ce que je peux, Pauline quémande sa part, on rigole, ça fait du bien… Mais maintenant je veux jouir à mon tour. Je me couche sur le dos jambes écartées.

– Viens Maman, viens lécher ta fille.

Hum, sa langue est diabolique, et après un petit balayage qui lui permit de se délecter de ma mouille, elle vint attaquer mon petit berlingot, m’envoyant au ciel en quelques courtes minutes.

Bien sûr Pauline ne voulut pas être en reste, avec Maman on l’a léché à deux.

Et le lendemain Thomas nous emmenait toutes les trois sur sa calèche.

Une heure après, l’incident eut lieu.

Quatre solides gaillards surgirent des buissons environnants, l’épée à la main et nous barrant la route.

– La bourse ou la vie ? Hurle un grand moustachu.

Thomas est bien obligé de stopper son attelage

– Mais nous n’avons rien… balbutie -il
– C’est ce que nous allons voir, prend le petit chemin sur la droite, nous allons faire ça discrètement.

La carriole avance d’une cinquantaine de toises dans un chemin broussailleux précédée de deux bandits et suivi des deux restants.

– Et maintenant tout le monde descend, et dépêchez-vous nous n’avons pas que ça à faire.

Tout le monde obtempère, la peur au ventre.

– Hum, en voici de belles pouliches, et où allez-vous comme-ça de si bon matin ?
– Ces dames ont été ruinées, je les conduisais là où elles seront en sécurité. Précise Thomas.
– Ah oui et où ça ?
– Au couvent de Sainte Agathe, croit devoir préciser Pauline à qui on avait rien demandé.

Le moustachu se tourne vers l’un de ses acolytes :

– Le couvent de Sainte-Agathe, ce n’est pas de l’autre côté ?
– Ben si, c’est complétement de l’autre côté.
– Dit donc, cocher de mes deux, pourquoi nous racontes-tu des sornettes ?
– J’ai dû me tromper… balbutie -il

Et il se reçoit une baffe qui le laisse stupéfait, c’est qu’ils ne rigolent pas ces bandits de grands chemins !

La voiture et nos pauvres bagages sont fouillés sans que les gredins trouvent grand-chose pouvant les intéresser.

– Bon, c’est la dèche à ce que je vois, reprend le moustachu, mais le canasson à l’air vaillant, on en tirera bon prix, quant à vous, vous avez des bijoux sur vous, on va vérifier tout ça, déshabillez-vous.
– Jamais ! Répond la mère de toute sa hauteur.
– Vous préférez peut-être qu’on vous arrache vos vêtements, c’est comme vous voulez, mes compagnons s’amuseront beaucoup à vous dépouiller de vos atours

Nous nous concertons du regard, il semble bien que nous n’ayons guère le choix.

C’est Pauline qui s’exécute en premier, elle enlève tout puis dans un geste dérisoire, tente de dissimuler sa nudité de ses mains. Pas si facile en fait, nous n’avons que deux mains !

Ma mère et moi, nous nous sommes retrouvées en tenue d’Eve. Quant à Thomas il est resté en caleçon. Faut voir l’état du caleçon, il est dégueulasse, ce bonhomme.

– J’ai dit à poil ! Retire-moi cette serpillière, espèce de crétin.

Et comme il n’obéissait pas assez vite deux des malfrats le lui retirèrent de force en le déchirant.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Vendredi 21 juin 2024 5 21 /06 /Juin /2024 19:58

Dimanche matin par Ramal45

scat

Dimanche matin. La lumière blafarde d’hiver filtre à travers les rideaux de la chambre. Brigitte ouvre un œil. Il fait bon, on est bien. On va bouger mais pas tout de suite. On savoure ce réveil langoureux. Emmanuel à ses côtés dort encore. Puis Brigitte se décide, se lève doucement, s’étire, puis se dirige vers la salle de bain en se grattant une fesse. Elle s’assoit machinalement sur la cuvette des toilettes pour le pipi du matin. Elle repense à la soirée ratée de la veille, avec un couple échangiste débutant. La dame était plutôt partante mais lui était complétement coincé, sans doute là pour faire plaisir à sa belle. En tous cas, impossible d’aborder les  » sexualités alternatives  » comme on dit chez Vassilia. Et Brigitte n’avait pu rien obtenir d’intéressant du monsieur.

Dimanche matin, ce pourrait être un matin coquin, quand on n’a que ça à faire, pour compenser. Elle décide donc de garder son envie, on ne sait jamais, en attendant le réveil de son chéri. Entamant, en attendant, une masturbation discrète, elle constate une fois de plus que c’est encore plus jouissif avec une envie retenue… C’est alors qu’apparait Emmanuel dans l’encadrement de la porte :

– B’jour… T’en as pour longtemps ?

(On ne saura pas s’il parlait du pipi ou du titillement de clito !). Contrairement à Brigitte qui dort nue, Emmanuel a toujours un pantalon de pyjama, vieille habitude de garçon, et qui, dans le cas présent, fait apparaitre une érection matinale plutôt voyante… Brigitte s’en apercevant lui dit :

– Mon pauvre chéri, je ne vais pas te laisser dans cet état, allez amène-toi !

Il ne fait pas prier, Brigitte alors saisit la culotte de chaque côté et l’abaisse lentement, au passage de l’élastique le pénis bondit au dehors comme un ressort en faisant quelques oscillations. Qu’elle arrête en le gobant de sa belle bouche. Elle entame alors une fellation d’enfer dont elle a le secret. Ses douces lèvres en anneau glissent jusqu’à la base de la hampe puis reviennent, elle le décalotte en s’aidant de ses dents, celles-ci prenant le relais des lèvres pour un léger labour puis revient. Répété plusieurs fois ce traitement fait rapidement effet et la rigidité matinale s’affirme en belle raideur qu’elle saisit ensuite d’une de ses mains pour entamer une branlette progressive, l’autre empoignant vigoureusement les testicules pour les malaxer, les faire rouler l’une avec l’autre. Brigitte a des mains magnifiques, longues et blanches, équipées d’ongles longs et pointus. Tout en continuant de taquiner le gland et le méat avec sa langue et ses lèvres, elle commence alors un jeu diabolique en caressant puis griffant légèrement en alternance la peau de ce membre en attente de jouissance. Elle peaufine, Brijou, elle s’active, elle prend son temps, du grand art, Montant en excitation, elle terminera ce manège en accentuant les griffes et en plantant la pointe de ses ongles à la base des couilles : la douleur occasionnée est absolument délicieuse et fait gémir Manu au bord de l’explosion !

– Alors mon chéri es-tu à même de me donner un acompte sur mon petit déjeuner ?

A son air hébété et dans un état second, elle comprend qu’il faut qu’elle achève le travail. Alors elle accélère le rythme de ses va-et-vient et ouvre ses lèvres carmin devant le méat de la bite tendue vers elle. L’instant d’attente qui précède l’éjaculation provoque une grande excitation, de même que dans les jeux d’uro l’arrivée de l’urine…

Malheureusement (si l’on peut dire !) Manu est tellement excité qu’au moment de la jouissance, empêtré avec sa culotte aux pieds, il perd l’équilibre… Et les jets puissants qui concluent cette séance torride bien que matinale ratent leur destination et arrosent copieusement le visage de Brigitte, trois belles trainées blanches dont une atteint jusqu’à sa blonde chevelure.

– Ah bravo ! s’écrit Brigitte qui n’aimait pas trop l’  » éjac faciale  » qui fait la une des sites pornos. Mais bon, elle n’en veut pas à Manu surtout que c’est la preuve qu’elle avait bien travaillé…
– Bon bah il va falloir me nettoyer tout ça, allez biquet, sors-moi ton karcher !

Manu savait qu’elle saurait tirer parti de l’incident pour continuer sur des jeux érotiques raffinés. Il rectifie donc la position, quitte définitivement le pyjama, et à présent parfaitement réveillé se tient prêt aux caprices de l’épouse…

Son sexe encore tendu il se concentre pour passer le relais à sa vessie. Toujours assise sur la cuvette des WC, elle fixe le méat devant elle déjà excitée dans l’attente de l’arrosage. L’excitation grandit le temps d’attendre un peu de débandage pour que le jet s’annonce, puissant de son envie du matin. Et c’est la fête humide ! Après en avoir bu un peu elle prend ce sexe arroseur, ferme les yeux et le fait balayer sur son visage. C’est chaud et délicieux, l’urine nettoyeuse coule entrainant les giclées de sperme et le mélange dont elle lape quelques gouttes en passant retombe sur ses seins, puis ruisselle entre ses cuisses qu’elle écarte pour s’en mouiller la vulve…

Dimanche

Manu ce coup-ci complétement réveillé voit bien qu’il reste du sperme dans ses cheveux.

– Attend ma chérie, je vais te faire un champoing !

Alors il se retient et monte derrière elle les deux pieds sur la cuvette. Ainsi il peut poser son pénis, un peu ramolli, sur la tête de Brigitte.

– Oui mon chéri, inonde-moi encore, c’est bon et c’est chaud !

Alors il se concentre pour reprendre son arrosage…  » Ah ! Ça revient… ouiii…mmmh…. « . Un jet moins puissant répand la pisse sur la chevelure de la belle et s’écoule le long de ses joues puis sur ses épaules. Mais les traces de sperme sont bien accrochées aux cheveux et elle s’en aperçoit dans le miroir en face, alors que l’envie se tarit de plus en plus !

– Bon si je comprends bien, il faut que je termine le travail moi-même !

Sur ces paroles de reproche ironique, elle se lève, lui roule un patin d’enfer, puis vient se mettre en position de poirier le long du mur de la salle de bain à l’italienne, bien pratique pour les jeux humides ! Elle bascule le bassin en s’aidant de ses jambes écartées, offrant sa chatte à son visage. Manu comprend de suite et vient se placer au-dessus de sa chérie pour ne rien perdre du spectacle. Il se penche, le nez presque sur les lèvres de la fente aux délices, fasciné dans l’attente de la sortie dorée. Brigitte peut enfin se libérer de son envie retenue depuis son réveil, celle-ci arrive, se fait désirer puis c’est une cascade champagnisée qui déferle sur le visage de la belle qui en prend quelques lampée. L’expulsion est tellement forte qu’elle n’a pas besoin d’une longue masturbation simultanée pour exploser en même d’un orgasme fulgurant ! Quant à lui, après avoir mis sa langue pour quelques rasades, il se redresse et place sa bite dans le jet, ce qui a eu pour effet de lui redonner petit à petit de la vigueur. Le spectacle l’a excité et il commence à se masturber, Brigitte s’amuse à regarder juste au-dessus d’elle la valse de ses testicules…

Et puis son visage prend une expression concentré, et elle s’écrit :

– Oh mon chéri, je crois que j’ai une surprise pour toi !

Alors elle rectifie sa position en agrippant les chevilles de Manu placées de chaque côté de ses épaules, bascule d’avantage ses jambes et son bassin de façon à cette fois-ci présenter son anus puis se met à pousser. Lui comprend et ne veut rien perdre de cette nouvelle séquence tout en continuant sa branlette. C’est alors qu’un joli étron pointe son nez, monte progressivement, puis commence à se courber, se brise et roule sur le ventre pour atterrir entre les beaux seins. Puis la suite de la défécation se poursuit, plus mole et se répand jusque dans son cou en laissant les traces de son passage, maculant ce beau corps blanc. Manu les yeux exorbités sent monter son excitation, accélère sa masturbation et envoie une bonne giclée de sperme sur les matières brunâtres qui continuent de glisser et que Brigitte commence à étaler sur son buste et ses seins. Ah les amis cette matinée, c’est vraiment la totale !

Pourtant, Brigitte souhaite en rajouter un peu et demande à son cher et tendre :

– Et moi chéri, tu n’as pas une surprise pour moi ?

Manu comprend qu’il doit s’exécuter à son tour, s’accroupit ce qui permet à Brigitte de lui lécher la zone anale. L’attente du cadeau marital fait monter son excitation alors que lui commence à pousser pour rendre la pareille à sa belle, il lui devait bien ça après ce dimanche matin d’enfer. Le temps passe, et toujours rien ne se pointe, Brigitte ose un doigt, puis deux pour inspecter les lieux et voir si quelque chose s’annonce… Enfin, avec un long râle d’effort, il sent qu’il va délivrer… ça y est !… mais ne sort finalement qu’une petite crotte, que Brigitte reçoit…

…sur le nez !

Un beau dimanche matin, quand même…

– Ramal45 –

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Jeudi 13 juin 2024 4 13 /06 /Juin /2024 18:28

Un jouet pour Cécile par Bougetoi

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Je vous parle d’un temps où les cinémas pornos étaient des lieux de rencontres coquins. J’y allais souvent et cherchait l’occasion de sucer des bonnes bites. Je n’avais pas de mal à trouver.

Ce jour-là je m’installe, j’attends que mes yeux s’habitent à l’obscurité, puis ouvre ma braguette et libéré ma queue, en même temps je soulève mon tee-shirt de façon à pouvoir me pincer les tétons… Et j’attends….

Ah, ça y est je commence à distinguer des choses ! Sur ma gauche un mec est entre les cuisses d’un vieux et lui pompe la queue, dans un peut renfoncement plus loin, un type compétemment nu se fait sucer alternativement par deux mecs, tandis que deux ou trois autres se branlent en regardant… La routine quoi !

Et voilà qu’une femme vient s’installer près de moi. Elle était habillée très chic. Elle a retiré son imper.

La présence de femmes en ces lieux de débauche est rare, mais ça arrive, souvent la femme est en couple, mais celle-ci est seule, a moins que son mec soit planqué un peu plus loin….

Elle m’a mis une main sur le genou et m’a caressé la cuisse. J’ai posé moi aussi une main sur son genou et je l’ai remontée sous sa jupe mais m’arrêtais à mi-cuisse. Puis, elle m’a touché le sexe. Elle m’a chuchoté à l’oreille :

– Profites-en, je n’ai pas de culotte !

La voix rocailleuse aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais voulant en avoir le cœur net je remontais ma main et trouvais une bite bien bandée.

– Je te suces ou tu me suce, on peut faire les deux.! Me dit-elle en écartant les jambes
– Je vais te sucer ! Répondis-je !
– Alors donne-moi un petit billet, et on va faire ça gentiment !

Elle est malade, me demander de l’argent, alors qu’ici on peut sucer gratuitement.

– Laisse tomber ! Lui dis-je
– C’est dommage, on aurait pu faire des tas de choses…
– Quoi donc ?
– Tu pourrais m’enculer, j’ai le trou du cul très accueillant, à moins que tu préfères que ce soit moi qui t’encules… Je peux aussi être très cochonne, je peut te faire gouter à mon pipi ou te fouetter ton petit cul.

Il m’excite avec son programme, le travelo.

– C’est combien ?
– Juste la pipe, c’est 20 balles, sinon on va dans ma voiture ou chez moi, pour 50 balles de plus.

Il y avait un parking derrière le cinoche, je l’ai suivie jusqu’à sa voiture. Je suis monté. J’ai pu la regarder mieux, elle était très bien maquillée, parfaitement efféminé, très bandante. Je l’ai payé, elle m’a roulé une pelle.

– On serait mieux chez moi, non ? C’est à cinq minutes.

Chez elle (chez lui, comment faut-il dire ?) elle m’a fait mettre nu, elle m’a posé des pinces sur mes tétons, m’a ligaturé les couilles et m’a fouetté mon cul avec une cravache.

798 1000 1Puis elle m’a fait mettre sur le lit, m’a fais sucer sa bonne bite, puis m’a demandé de projeter mes jambes en l’air afin qu’elle m’enculasse !

Elle m’a pilonné l’anus pendant de longues minutes, puis m’a demandé de me rendre aux toilettes. Là elle m’a fait mettre mon visage en arrière et elle m’a pissé dans la bouche.

– Branle-toi, maintenant, branle-toi en me regardant !

Je l’ai fait.

– C’était très bien, je m’appelle Cécile !

Je me fis alors la réflexion que j’avais été l’espace d’un moment un jouet pour Cécile.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Années 1990
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Mercredi 12 juin 2024 3 12 /06 /Juin /2024 12:51

Les débauchés du diable par Belle-cour
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Chaque été, nous séjournions à la ferme de mon oncle Marc. C’était une de ces très vieilles chaumières de campagne avec une grange à moitié dévorée par l’âge et les intempéries. Eustache et sa femme n’élevaient guère plus que des poules et des chèvres et la partie toujours en état de cette grange leur suffisait amplement. Tante Sylvie passait ses journées à la confection de tourtes et de confitures qu’elle vendait ensuite au marché du village. Quant à son mari, il veillait au bien-être de ses bêtes et à sa culture de blé.

Nous arrivions autour de la fin juin pour les vacances et ne repartions qu’à la mi-août. Pendant cette période, j’aidais mon oncle dans son travail au champ et ma femme écoulait son congé dans la maison principale avec ma tante. Le soir arrivait et Tante Sylvie se hâtait de se mettre à table afin de nous raconter tous les potins du village. Parmi ces histoires plus ou moins intéressantes, il en fût une qui retint expressément mon attention: c’était l’histoire des débauchés du diable.

Quoiqu’il s’agisse d’une histoire bien connue au village, Sylvie n’avait jamais abordé ce sujet devant nous auparavant. C’était une opprobre dont les villageois s’efforçaient de cacher la nature autant que possible. J’étais heureux que l’on me confie enfin quelque chose qui sortait de l’ordinaire.

Il y avait donc, non loin du village, une ancestrale seigneurie qu’un célèbre artiste du cinéma avait acquis quelques années plus tôt. Depuis, à chaque week-end du mois de juillet s’y déroulait ce que l’on soupçonnait être de fabuleuses orgies. Intrigué au plus haut point, je me promis de m’y rendre dès le samedi suivant.

Le jour tant attendu arriva enfin et je partis très tôt après le dîner, prétextant vouloir profiter d’un magnifique coucher de soleil pour faire une promenade. Je piquai d’abord droit vers le village et me mêlai à des jeunes gens du petit café afin d’en apprendre davantage sur cette légende Malheureusement tout ce que j’appris ne concernait que la façon de m’y rendre. Je pris donc d’après leurs indications la route du manoir. Je marchai pendant une vingtaine de minutes dans un chemin serpentant et bordé de hauts peupliers lorsque j’aperçus les pignons de ce qui avait dû être une chapelle. Une musique aux rythmes ensorcelants s’échappait d’un volet entrouvert. Je voyais maintenant la totalité de cette immense maison au flanc de laquelle s’harnachait effectivement une modeste chapelle. La musique ainsi que des éclats disparates de voix provenaient justement du volet de ce petit sanctuaire. Je m’y dirigeai le plus discrètement possible et me rendis compte qu’il n’y avait nulle surveillance autour de la demeure. Aucune muraille, aucune grille, pas de traces de chiens méchants ou de gardiens férocement armés. Rien d’autre que cette grandiose résidence, dressée au beau milieu d’un pré broussailleux, entourée de rocailles colorées et bien entretenues ainsi que de pots de fleurs suspendus aux nombreuses fenêtres.

Je me glissai sans gêne vers les volets bleus de l’ancien lieu de prières, me laissant guider par l’appel continu des tam-tams et la voix feutrée d’une femme d’un autre monde. Je cherchai à voir à travers un rideau de dentelle blanche, chahuté par une douce brise mais ne saisis que des mouvements furtifs sans pouvoir en identifier les protagonistes. Des rires suaves me vinrent aux oreilles et je cru que l’on s’adressait à moi.

– Viens ami… Me susurrait une voix, et je pris la direction de l’entrée. Je poussai une lourde porte de fer ornée d’une croix mauve, portant un Christ en dessous féminin qui me sembla plus en extase qu’en souffrance. Le spectacle qui s’offrit alors à moi me mit tout de suite en humeur: trois splendides jeunes déesses se caressaient dans une baignoire de mousse sous laquelle j’entrevoyais aisément les boutons roses de leur poitrine. J’en fus immédiatement troublé et mon pantalon me trahit sur le champ.

J’entendis un « Oh » coquin à mon endroit et une main se ferma sur mon épaule avant de me pousser à l’extrémité de la pièce. J’entrai alors dans ce qui avait sans doute été la sacristie. Un mur entier se couvrait de petites niches en bois, travaillées à l’origine de motifs religieux et maintenant de scènes orgiaques. Elles avaient dû faire office de reliquaires à une autre époque. Le caractère sacré de cette pièce que l’on profanait outrageusement m’excitait de façon singulière. Au milieu de la pièce se dressait une sorte de trône représentant un homme à quatre pattes, l’arrière-train largement offert, sur lequel prenait place une femme assez belle pour être sans fard. Elle me fit mettre à genoux et se leva afin de m’inspecter. Elle me sentit d’abord ses cheveux puis elle me scruta les ongles. Ensuite, elle me fit me relever et je croisai le lustre de ses yeux noirs. Elle était splendide. Elle m’ôta ma chemise puis défit mon ceinturon. Mon sexe ayant déjà échappé à mon contrôle semblait vouloir sortir de lui-même de sa cage de tissu tant j’éprouvais le désir de sa main sur ma queue frémissante. Plus ses doigts s’aventuraient sur ma peau, plus ma tringle se raidissait. Elle fit tomber mon pantalon et m’ordonna d’enlever mes chaussures. Il ne me restait plus qu’un caleçon ainsi que ma dignité de jeune homme robuste. Je bandais fièrement, assez pour que mon caleçon en soit considérablement déformé. Elle saisit mon gland entre le pouce et l’index à travers le tissu et un charge violente me brûla l’échine. L’envie de la bousculer, de la culbuter juste là me gicla dans l’esprit mais je repris mon sang-froid. Je m’imaginais déjà sur elle, luttant pour lui écarter les cuisses afin de la perforer de mon dard enfiévré, prêt à lancer ma liqueur dont je me sentais justement débordant.

Mais il y avait cette géante derrière moi, celle qui me guidait depuis l’entrée et qui m’entravait les bras. Je continuai mon fantasme en souriant pendant que la reine soupesait ma marchandise quand sa main plongea dans l’arrière de ma culotte pour se frayer un chemin et me forcer l’anus. Je sursautai, choqué mais indiciblement émoustillé. Je faillis éjaculer tant l’onde électrique me parcourant était forte. Je desserrai tranquillement les fesses afin que ce doigt effronté puisse me fouiller davantage. Les lèvres chaudes de la géantes suçaient la peau de mon cou de plus en plus sauvagement lorsqu’elles attrapèrent ma bouche pour en forcer l’entrée. Je me laissai facilement entraîner dans ce tourbillon de langues et de salive, je la dévorais avec une fougue incroyable. Je combattais pour libérer mes mains de l’emprise de la géante lorsque je me sentis projeté sur le sol et que son corps massif me couvrit. Je me rendis compte alors qu’il s’agissait d’une magnifique transsexuelle. Elle ondoyait sur moi quand j’éprouvai soudain la dureté de son gourdin dans mon anus. La confusion qui m’envahit alors était inexprimable.DebauchesLes sensations s’entremêlaient, j’ignorais parfaitement ce qui allait m’arriver et j’étais terriblement excité. Je fermai les yeux un instant et lorsque je les rouvris, deux superbes étalons blonds se penchaient sur moi: l’un posa ma main sur son sexe énorme tandis que l’autre profita de ma surprise pour me glisser son membre luisant d’excitation dans la bouche. La géante avait pour sa part glissé jusqu’à mon caleçon, qu’elle m’arracha brusquement avant de m’engloutir la bite. Le plaisir m’envahissait, il venait de partout, de ces veines gonflées de sang que la paume de ma main dégustait au contact de la queue démesurée du premier blond, du goût acre que ma langue savourait au prépuce du second blond, de cette bouche vorace qui m’aspirait le chibre avec une habileté que je n’avais encore jamais connu. Quand le garçon dans ma bouche me fit signe qu’il allait jouir, j’eus un recul d’une seconde mais dès que je sentis sa liqueur se répandre partout sur ma langue jusqu’au fond de ma gorge, je déchargeai aussi, violemment, tandis que la bite gigantesque du blondinet numéro un n’en finissait plus de me cracher au visage.

Nous avons passé plusieurs heures après à nous caresser et c’est ainsi que j’appris que la géante était l’artiste qui avait acheté la seigneurie et que je sus qu’elle était la véritable nature de la légende des débauchés du diable.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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