Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:23

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –11 – Massages au château par Maud-Anne Amaro
Massage3

Et le surlendemain, nos deux joyeux drilles étaient sur les lieux avec le matériel adéquat. Ils pensaient boucler l’affaire rapidement, mais durent déchanter.

– Quelque chose m’échappe, je me demande si ces pièces ne sont pas carrément murées ? Fait remarque le professeur Martinov à Lamboley
– Dans ce cas il faudra ouvrir à la pioche, mais ça m’embête un peu, je ne voudrais pas que l’on casse quelque chose !
– Nous allons continuer à chercher ! Le rassure Béatrice.

– Camilla, venez donc me voir. Ordonne Lamboley dans l’interphone.

La jolie soubrette à la peau d’ébène accourt.

– A votre service, monsieur !
– Figurez-vous, Camilla que je suis tombé sur le journal intime de mon grand-oncle. Il raconte de ses choses… si je comprends bien, vous êtes une sacrée coquine !
– Oh, ne me jugez pas mal, monsieur, j’apportais juste un peu de réconfort à monsieur Albert, il était si gentil !
– Mais je vous juge pas, Camilla, je n’ai rien contre les coquineries, mais que diriez-vous si je faisais appel à vos disponibilités ?
– Monsieur désire-t-il une petite turlutte ? Monsieur Albert me disait toujours que je suçais comme une déesse !
– Je n’en doute pas un instant mais ce n’est pas pour moi…
– Je crains de ne pas comprendre, monsieur.?
– Ce monsieur Martinov qui est dans nos murs cherche comment entrer dans ces pièces secrètes que j’ai découvert sur plan. Je ne voudrais pas qu’il se décourage. Alors autant qu’il se sente bien ici et qu’il ait envie de rester, c’est là que j’aimerais que vous interveniez.
– Ah oui, mais il y a une dame avec lui…
– Improvisez, faites pour le mieux.
– Je me permets de dire à monsieur que Monsieur Albert me gratifiait d’un petit billet pour ce genre de choses et…
– Cela va sans dire et rassurez-vous ce ne sera pas un petit billet mais un gros billet !

Alors elle y va…

– Oh, monsieur Martinov, toutes ces manipulations ! Ce doit être pénible à votre âge !
– J’ai encore la forme, voyez-vous !.
– Je suis pourtant persuadée qu’un petit massage relaxant vous ferait le plus grand bien. Reprit Camilla avec un œil égrillard.
– C’est gentil, mais on a du travail. Répond le professeur sans trop de conviction.
– Laisse-toi faire, ça te fera du bien ! Intervient Béatrice.
– Bon alors je vais me laisser tenter.
– Suivez-moi cher monsieur, vous ne le regretterez pas vous m’avez déjà vu à l’œuvre, non ?
– Dites-moi, Camilla, vous ne me massez que les hommes ? Demande Béa.
– Pourquoi ? Vous seriez intéressée ?
– Eventuellement
– Alors je m’occupe de monsieur et ensuite je reviens vous chercher !

Martinov suit la blackette dans les couloirs du château.

– On va où ?
– Dans une petite pièce, elle ne servait à rien, c’est Monsieur Albert qui y avait fait installer une table de massage.

La pièce n’est pas bien grande, mais propre, sur une étagère s’amoncelle divers bibelots remisés là, sans doute parce qu’ils ne plaisait pas à Lamboley… Mais en y regardant de plus près l’on peut apercevoir ente boule à neige et statuette d’hippopotame d’Egypte, quelques insolite godemichet ainsi qu’un coupelle remplie de préservatifs et de gel intime.

Sur place, Camilla proposa au professeur de se déshabiller.

– On va jouer cartes sur table, j’adore masser, mais je ne vais pas faire semblant de vous faire un massage traditionnel, je ne suis pas kiné, ce que je vous propose c’est un massage un peu coquin, je pense que vous l’aviez compris.
– Et je suppose que la prestation est payante.
– Non, c’est gratuit, mais j’accepte les pourboires ! Répond-elle en rigolant.
– Les gros pourboires, je suppose ?
– Tant qu’à faire ! Mais vous n’êtes pas obligée.
– Vous êtes fort sympathique, mais j’avoue ne pas bien comprendre votre motivation.
– Vous ne devinez pas ?
– Pas trop, non !
– Monsieur Lamboley a cru discerner des signes de découragement dans vos recherches, il m’a alors dit « Camilla débrouille-toi pour qu’ils aient envies de rester ! » et il m’a rétribué pour ça ! Alors jouons le jeu !
– OK, je me met sur le dos ou de l’autre côté ?
– Un peu sur le ventre, il faut respecter la tradition et ça me permet de m’occuper de vos fesses.

Et effectivement, pas de simili-massage des épaules ou du dos, non Camilla attaque directement le cul qu’elle malaxe comme une pâte sablée pendant plusieurs minutes avant d’introduire un doigt humide dans le rectum.

– Ben faut pas vous gêner !
– La où il y a de la gêne… Souhaitez-vous que je le retire ?
– Non, j’aime bien.
– Je peux remplacer mon doigt par un gode si vous voulez !
– Tant qu’on y est !
– Un gros ? Un petit ? Un moyen ?
– Disons un moyen.

Camilla se servit sur l’étagère, enduisit l’objet d’un peu de gel et l’enfonça dans le troufignard du professeur.

– C’est bon ! Commenta-celui-ci.
– C’est bon et sa marche à piles.
– Dites-moi Camilla, je peux vous demander quelque chose ?
– Demandez toujours !
– J’aimerais bien voir vos seins !
– Ah ! Mais je suis une méchante fille, c’est moi qui aurais dû vous le proposer !

Et la soubrette d’enlever tout son haut.

– Les voilà !
– Jolis !
– Vous pouvez toucher, caresser, embrasser. Ils sont en libre-service. ! Ajouta-t-elle en se positionnant de façon à ce que le professeur puisse accéder. Maintenez le gode dans votre cul, je ne voudrais pas qu’il s’échappe. Ces gadgets sont parfois imprévisibles.

– Hum, ils sont doux, vos seins !.

Mais Camilla revient à sa place initiale, sa main passe sous les fesses et atteint les testicules qu’elle malaxe quelques instants avant de prendre en main la bite déjà bien bandée.

– On dirait que vous êtes en forme, tournez-vous maintenant… Hum, vous avez les tétons bien développés, je parie que vous adorez qu’on vous les tripote !
– Bien vu !

Alors Camilla les prend entre ses doigts et les serre fortement

– Oh, oui, c’est bon !
– C’est qu’il aime ça, ce petit cochon !
– Encore !

Elle tire, elle tortille… il n’en peut plus ce bon Martinov.

– Tu veux me baiser maintenant ?
– Euh…
– Ne bouges pas, je m’occupe de tout.

Retour à l’étagère, pour cette fois prendre un préservatif et reprendre du gel.

Pourquoi du gel ?

Parce que c’est dans le cul que Camilla va s’empaler sur la bite du professeur.

Le spectacle offert à Martinov est d’un érotisme torride, voir cette belle blackette à la peau luisante monter et descendre sur sa bite à la manière des chevaux de bois à quelque chose de magique, à ce pont que l’homme ne peut retenir sa jouissance.

– Alors c’était bien !
– Très bien !
– Est-ce que ça mérite un pourboire ?
– T’auras un pourboire si tu me fais un bisou !
– Smack !

Pendant ce temps Béatrice n’ayant pas trop envie de travailler seule jouait avec son téléphone portable…

– Ah, te revoilà mon petit professeur, elle t’a fait des bonnes choses, la soubrette ?.
– Oui, mais en fait, elle est était en service commandé (il lui explique)

Mais voilà que Camilla revient.

– Mademoiselle Béatrice je vous avais promis de revenir vous chercher, je suis à votre disposition.
– Le professeur n’a pas eu le temps de me raconter ce que vous lui avait fait…
– Ce n’est pas racontable ! Il a l’air ravi, c’est le principal, venez donc.

Et les voilà donc dans la petite pièce.

– Monsieur Martinov ne vous a rien dit du tout ?
– Il m’a juste dit que vous étiez en service commandé.
– Comme ça au moins les choses sont claires, on va dire que je suis la pute de Monsieur Lamboley.
– J’ai l’impression que vous prenez ça avec beaucoup de décontraction.
– C’est parce que vous êtes sympas, je n’aurais pas accepté de le faire avec n’importe qui. Je vous suggère de vous mettre à l’aise, c’est plus pratique pour masser.
– Tutoyons-nous, tu te déshabilles aussi ?
– Bien sûr ma chérie.

C’est Camilla qui est nue la première.

– Dis donc t’es drôlement bien foutue ! Lui dit Béatrice admirative.
– T’aimes les femmes ?
– Je suis un peu bi, pas mal même !
– Ça tombe bien, moi aussi. Répond Camilla allonge-toi sur le truc je vais m’occuper de toi.
– On est vraiment obligé de passer par la case « massage »
– En fait non !
– Parce que tu vois, en ce moment j’ai davantage envie de te caresser que de me faire masser.
– OK caresse-moi.

Béa se colle carrément contre Camilla en lui mettant la main sur les seins.
.
– Hum, tu sens bon, c’est quoi ?
– La petite Robe noire de chez Guerlain

(publicité gratuite mais si Monsieur Guerlain veut me rétribuer, je n’ai rien contre)

– Tu peux me bouffer les bouts si tu veux lui ! Précise la blackette.

Béatrice ne s’en prive pas et se complait à lécher ses gros tétons bruns, tandis que sa main s’en va plus bas découvrant l’humidité de sa grotte.

– Ben dit donc, c’est moi qui te fais mouiller comme ça ?
– On dirait bien ! Viens dans ma chambre ce sera plus confortable pour s’envoyer en l’air… n’oublie pas tes fringues.

En chambre, Camilla proposa :

– Les godes tu aimes ?
– J’aime beaucoup de choses, mais les godes pourquoi pas ?

Camilla en prend deux dans un tiroir, (elle n’en a pas quarante non plus !)

– Tu me le mets dans le cul, et toi ?
– Dans le cul aussi !

Chacune se met à goder l’autre avec un bel enthousiasme… et même que Béatrice parvint à jouir de la sorte.

Martinov2811
Au bout d’un moment, les deux coquines abandonnèrent les godes et c’est en soixante-neuf, langue sur le clito qu’elle terminent cette petite séance saphique.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:16

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –10 – Magouilles notariales par Maud-Anne Amaro
Stamp secretaire

Amaury Rivoire est dégoûté d’apprendre que les femmes qui ont assassiné son frère se sont réfugiées en Colombie.

Sa première réaction est d’envisager de se rendre sur place avant de se rendre à l’évidence.

« La Colombie c’est un pays deux fois plus grand que la France, elles peuvent être n’importe où. Mener une enquête ? Mais avec quoi comme piste ? C’est vraiment l’aiguille dans la botte de foin, en plus ce pays est super dangereux… alors soyons raisonnable. »

« Que faire alors ? Martinov et son copain semblent naviguer dans des eaux troubles… le châtelain ? Il aurait dû se charger lui-même de remettre ces bonnes femmes aux autorités, il ne l’a pas fait par pure lâcheté, et cette lâcheté j’ai bien envie de la lui faire payer. »

Charles Rivoire est donc le notaire local. 50 ans, coureur de jupon et doté d’un certain charme, il vit séparé de son épouse depuis des années, elle est partie en Australie avec un marchand de pianos et ne s’est plus jamais occupé des gosses

Ces derniers n’ont jamais manqué de rien sauf de l’affection du papa qui ne possédait pas vraiment de fibre paternelle. Aussi accueillit-il la mort de son fils Régis avec une certaine indifférence, et presque avec soulagement.

Ce jour-là, Charles Rivoire eut envie de faire un petit break. En fait ça le prenait régulièrement.

– Estelle, venez donc me voir, s’il vous plaît.

Estelle, première clerc de notaire, est une grande bringue brune à lunettes avec des cheveux partout .

– Fermez la porte Estelle et montrez-moi vos gros nichons !
– Ah ? Oui bien sûr. Vous ne vous en lassez pas alors ?
– On ne se lasse jamais des belles choses.
– Oh, voilà qui me fait plaisir, répondit-elle en exhibant deux magnifiques mamelles aux tétons érigés.

Maître Rivoire ne peut d’empêcher peloter. (Ben oui, vous feriez quoi à sa place ?)

– Passez sous le bureau, Estelle.
– Mais bien sûr, cher Maître, je vais prendre votre bite entière dans la bouche.
– Ne vous décrochez pas la mâchoire quand même.
– Non je vais faire attention, elle est où, cette bonne bite ?
– Elle arrive, elle arrive, oh zut et flûte j’ai coincé ma braguette.
– Je vous la décoincerais tout à l’heure, descendez votre pantalon.

Et Estelle put donc accéder au sexe de son patron, pour elle cette petite fantaisie n’avait rien d’une corvée, elle adorait sucer des bites et puis il y avait toujours un petit billet à la clé.

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– C’est bon, sortez de votre cachette et montez sur le bureau, je vais vous enculer, Estelle.
– Mais bien sûr mon cher Maître, je grimpe, je retire ma culotte et je suis à vous.
– Vous avez un cul de compétition, Estelle.
– Hi, hi !
– Il est au courant votre mari, de ce que nous faisons tous les deux ?
– Bien sûr que non ! Mais peut-être qu’il s’en doute… Mais comme il me fait cocu de son côté je ne vais pas avoir de scrupules

Et maître Rivoire après avoir lubrifié l’endroit de sa salive, lui força le trou du cul…

Mais voilà que l’on frappe à la porte du bureau.

– Occupé !
– C’est Rita.
– Entre.
– Oh !

Pourquoi ce « Oh » ? Parce que Rivoire pas gêné pour un rond continue d’enculer allégrement Estelle. Il n’a aucune raison de se gêner devant Rita qu’il tringle aussi de façon régulière.

– Ben quoi, tu veux te joindre à nous ?
– Ce ne serait pas de refus, mais votre fils demande à vous voir.
– Eh bien fais le patienter, on a une salle d’attente, c’est fait pour ça, non ?
– C’est qu’il a l’air énervé…
– Bon, je le reçois dans cinq minutes. Pour l’instant j’encule Estelle !
– Je le vois bien !
– Ça t’excite le spectacle ?
– Ma foi…
– Ah ! Je viens !

Le notaire décule est sort sa bite et se débarrasse de la capote.

– Nettoyez moi la bite, elle est pleine de sperme, comme ça vous ne serez pas venues pour rien Rita !
– Avec plaisir, Maître !

Le notaire n’aime pas qu’on vienne le bousculer, les cinq minutes prévues durèrent un quart d’heure au terme duquel il reçut le fiston.

– Faut que je te raconte un truc…
– Un truc de quoi ?
– J’ai enquêté sur les circonstances de la mort de Régis…
– Tu te prends pour Sherlock Holmes maintenant ?
– Je t’en prie écoute moi, je ne serais pas trop long.
– Soit !

Et Amaury déballa toute l’histoire.

– Et tu attends quoi de moi ? Demanda le notaire.
– Si tu pouvais pourrir la vie de cet abruti de Lamboley…
– Allons donc ?
– Pourquoi occupe-t-il le château ? La succession n’est pas finalisée à ce que je sache ?
– Lamboley m’a remis une lettre par laquelle il est désigné pour s’occuper des obsèques
– Un testament ?
– Non pas du tout il n’y a pas de testament mais il se croit être le seul héritier, donc il a pris ses aises
– Mais il y a peut-être d’autres héritiers ?
– Va savoir ? On n’a pas commencé à bosser sur le dossier…
– On ne peut pas accélérer les choses, l’opération peut être juteuse, avec un château comme ça, je ne te dis pas les frais de notaire…
– Évidemment vu comme ça…

Le notaire demanda donc que l’on traite ce dossier de succession en priorité.

Et quelques jours plus tard Estelle pu annoncer fièrement :

– Le baron Albert avait un autre frère aujourd’hui décédé, il reste sa fille qui n’est pas toute jeune et le petit fils Jean-Yves Lamboley
– Vous avez les adresses.
– C’est en cours.
– Dès que vous les aurez, envoyez les courriers d’usage.

Il nous faut donc parler un peu de ce Jean-Yves Lamboley.

35 ans, beau garçon célibataire et homosexuel, il dirige à Blois une petite boîte de prêt à porter.

Ses parents ne lui ont jamais parlé ni du baron Albert, ni de Lamboley, sauf peut-être quelques allusions sans importance.

Aussi lorsqu’il reçoit la lettre du notaire, il croit rêver.

« Un château, j’hallucine, mais comment payer les frais de succession ? »

Il téléphone au notaire, tombe sur Estelle qui lui fournit des précisions.

Il ne sait que faire mais sait qu’on n’est jamais obligé d’accepter un héritage.

Amaury satisfait de la tournure des évènements et muni du renseignement s’empresse de prendre la route jusqu’à Blois afin de rencontrer ce fameux Jean-Yves.

– Je suis Amaury Rivoire, le fils du notaire chargé de la succession du baron Albert.
– Ah ! Vous tombez bien parce que je suis un peu dans l’expectative…
– Il vous faut savoir qu’actuellement le château est occupé par un usurpateur.
– Les usurpateurs, ça se dégage, mais ce n’est pas trop mon souci, je ne crois pas être en mesure d’honorer les droits de succession.
– On peut vous proposer un prêt notarial à des conditions très avantageuses, je vous ai apporté une petite simulation.

Jean-Yves regarde le papier que lui tend son interlocuteur…

– Évidemment c’est tentant. Mais pourquoi tant de bienveillance ?
– Ce n’est pas vraiment de la bienveillance, je vais être très franc avec vous, nous ne souhaitons pas que ce monsieur Lamboley, un cousin éloigné je crois…
– Je ne l’ai jamais vu ni de loin ni de loin.
– Donc pour des raisons que je ne tiens pas à préciser, nous ne souhaitons pas que ce monsieur prenne demeure au château.
– OK. Admettons que j’accepte, il va se passer quoi ?
– La succession va prendre environ un an. A ce terme il faudra prendre une décision pour le château, soit on le vend, soit l’un des héritiers rachète la part de l’autre. Si Lamboley est toujours dans la place, ça va être compliqué pour le déloger, constat d’huissier et tout le bazar, ça dure des mois et des mois ces affaires-là.
– Et moi, je fais quoi en attendant ?
– L’idéal serait que vous vous impliquiez afin d’accélérer les choses…
– M’impliquer ? Mais comment ça ?
– Allez le voir, tentez de négocier, l’Idéal serait que vous lui flanquiez la trouille…
– Vous croyez que j’ai le physique pour faire peur aux gens ?
– Essayez, il n’a rien de redoutable et puis il sera déjà sur la défensive, l’étude de mon père lui a d’ores et déjà adressé un courrier lui expliquant qu’il n’est pas l’unique héritier.
– Bon, je vais voir.
– Notez mes coordonnées au cas où.

Grégoire Lamboley a reçu la lettre du notaire avec philosophie :

« S’ils se figurent qu’ils vont me déloger facilement, ils se foutent le doigt dans l’œil, ils ne me connaissent pas, j’ai de la ressource et je sais m’en servir ! »

Il jeta la lettre au panier et reprit son activité…

Quelle activité ?

Eh bien depuis la veille Lamboley étudie méticuleusement le plan du château partant du principe un peu fou que s’il y a une chambre secrète, il y peut y en avoir d’autres et qui sait, celles-ci renferment peut-être un trésor.

Et il en trouve trois !

Trois petites pièces aveugles mesurant entre 4 et 6 m².

Évidemment il tenta d’y pénétrer mimant la procédure utilisée pour la pièce où s’étaient cachées les filles.

En vain, ça ne fonctionnait pas. Alors que faire ?

– Allô, professeur Martinov, vous allez bien ?
– Ça peut aller, sauf que le fils du notaire est venu nous emmerder mais je crois qu’on s’en est tiré.
– Il faudra me raconter ça, mais figurez-vous que j’ai découvert trois autres petites pièces secrètes. Évidemment pas moyen d’y entrer. Ça vous dirait de venir y jeter un coup d’œil ?
– Pourquoi pas ? J’en parle à Béatrice et je vous rappelle.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:15

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 9 – Enquête relancée ? par Maud-Anne Amaro
StampFFH

– Bon on arrose ça ! Propose Florentine
– Je serais bien rentrée à la maison ! Indique Béatrice.
– Tu ne vas pas laisser Martinov tout seul entre nos mains, on risque de le violer ! Plaisante Florentine.
– C’est un grand garçon, il sait se débrouiller.
– Et si je te mets ma main au cul, qu’est-ce que tu diras ? Intervient Gérard.
– Tu m’as l’air bien excité… mais il le fait ! Veux-tu retirer tes sales pattes, voyou !
– Dis donc, j’ai peut-être droit à une petite récompense, non ?
– Coquin !

Mais Gérard a d’ores et déjà sorti sa bite de son pantalon, une bite bien bandée.

A cette vue, le professeur ne peut résister et se précipite pour emboucher ce joli cylindre de chair.

Béatrice, désolée d’avoir été prise de vitesse par le professeur Martinov, passe derrière Gérard et lui baisse brutalement son pantalon et son caleçon, elle a donc maintenant ses fesses à disposition, elle les écarte et vient lui lécher la rosette.

– Hum, ça fleure bon à cet endroit !
– Cochonne !
– Je sais !

Florentine est en stand-by, elle en profite pour se déshabiller et exhiber son joli corps de femme mature.

Le professeur après avoir copieusement sucé la bite de Gérard souhaite passer à la phase suivante, il lâche sa proie et vient se positionner en levrette sur la moquette.

– Hum, toujours aussi accueillant ce joufflu ! Quelqu’un a des capotes ? Demande Gérard à la cantonade

Béatrice va en chercher, Gérard s’en couvre d’une, passe derrière Martinov et l’encule sans hésitation.

– T’aimes ça, hein, Martinov, te faire enculer ?
– Ben oui, je suis un vieux cochon !

Et pendant que Gérard pilonne le professeur à qui mieux, Béatrice s’est approchée de Florentine pour l’embrasser goulûment tout en lui tripotant les nénés.

Gérard devait être extrêmement excité puisqu’incapable de tenir la distance, il prit son pied dans le fondement du professeur.

Il décule, se débarrasse de sa capote et propose à Béatrice de venir lui nettoyer la bite du sperme gluant dont elle est imbibée,

– Je ne peux pas tout faire, je reste avec Flo.

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C’est donc le professeur qui s’y est collé, ce ne sont pas trop ses habitudes, mais vu son état d’excitation c’est passé crème.

Il ne sait pas trop comment se finir, n’osant pas déranger les deux femmes maintenant parties dans un soixante-neuf d’enfer, il se met en stand-by affalé sur un fauteuil moelleux.

Et quand ces dames eurent pris leur plaisir, c’est tout naturellement qu’elles vinrent gratifier le professeur Martinov d’une turlutte à deux bouches

– Qu’est-ce qu’il te voulait ? Demande Amaury à Carl. En prenant la direction de Paris
– Des conneries !
– Raconte !
– Pas envie, je sais pas dans quoi tu m’as entraîné, mais je ne veux plus entendre parler de cette affaire.
– T’as pas compris que ce mec racontait n’importe quoi, il prêche le faux pour savoir le vrai.
– Tu sais ce qu’il m’a dit ? Tu veux vraiment le savoir ?
– Accouche !
– Les filles se sont trompées de victime, c’est toi qu’elles devaient assassiner.
– N’importe quoi !
– Bon on fait quoi, on rentre ?
– Je suis un peu fatigué, je pensais aller bouffer et prendre une chambre d’hôtel.
– J’ai pas faim et je veux rentrer.
– On se calme !
– Non, je ne me calme pas, j’en ai marre des affaires louches, la moindre chose, ça aurait été de me prévenir que tu étais sur un truc dangereux.
– Ecoute, si tu n’es pas content, tu sors de la bagnole, tu te débrouilles pour trouver la gare qui mène à Angers et tu me lâches la grappe.

Et figurez-vous que c’est exactement ce que fit Carl.

De retour à Bourg-la-Nonne, Amaury retourna à la gendarmerie et demande à voir Poitevin.

– Ah, monsieur Rivoire, vous venez aux nouvelles, je n’ai malheureusement rien de neuf à vous raconter.
– Eh bien moi, j’en ai du neuf, je suppose que vous avez enquêté du côté du château de Grandpré…
– Ecoutez, monsieur Rivoire, je comprends votre désarroi et respecte votre douleur, mais ne prétendez pas nous apprendre à faire notre métier.
– Les tueuses étaient cachées au château dans une pièce secrète…
– Mais que racontez-vous ? Une minute, je consulte le dossier.

Le fonctionnaire tapote sur son ordinateur.

– Voilà… le brigadier Shulz a interrogé le baron Albert et sa bonne qui lui ont tous les deux affirmés ne pas avoir aperçu les deux présumés coupables… etc…
– Seulement, depuis le baron Albert est décédé, et le nouveau propriétaire m’a confié avoir abrité contre son gré les deux personnes en question. Je voulais continuer l’enquête moi-même, mais j’ai comme l’impression que des gens très dangereux gravitent autour de cette affaire.
– Mais…
– Je vous ai refilé un tuyau, faites-en ce que vous voulez.
– Mais…

Amaury ayant quitté les lieux, Poitevin appelle Shulz.

– Je viens de parler au fils Rivoire, à mon avis il est à moitié mytho mais il m’a raconté des trucs bizarres… ça ne coute rien d’aller vérifier… tu vas aller au château… je t’explique…
– Faut y aller maintenant ?
– Ben oui, ce sera fait !

Lemboley n’aime pas qu’on vienne le déranger, mais il est bien obligé de recevoir le gendarme.

– Le fils Rivoire serait venu vous rencontrer ?
– Exact.
– Et il voulait ?
– Il a dû vous raconter, j’avais deux clochardes de planquées dans une pièce secrète, j’ai fait appel à des spécialistes parisiens qui les ont délogées et pris en charge. D’après Rivoire ces femmes auraient assassiné son frère. Chose que je ne pouvais savoir n’étant pas friand de faits divers…
– Et donc ces femmes ont été confiées aux services sociaux! Mais nous aurions dû être prévenus.
– Que voulez-vous que je vous dise ? Je n’ai pas les coordonnées de la personne qui les a pris en charge, mais je peux vous fournir celles du spécialiste que j’ai sollicité. Quoi que… j’ai pris un film avec mon téléphone, je voulais savoir comment fonctionnait le passage secret, on y voit ce monsieur, voulez-vous que je vous l’envoie ?
– Volontiers.

Shulz rend compte de sa mission auprès du brigadier-chef Poitevin.

– Donc on peut peut-être relancer l’affaire, Shulz tu vas aller à Paris et dans un premier temps tu vas rencontrer ce Martinov…

Et le lendemain Béatrice ouvrait la porte du laboratoire à deux gendarmes. L’entretien fut bref.

– En fait nous voudrions savoir ce que sont devenues les deux personnes cachées au château de Grandpré et que vous avez pris en charge…
– Je n’ai pris personne en charge… C’est mon ami Gérard Petit Couture qui s’est chargé de ça, Il a deux adresses, j’ignore où il est en ce moment mais je peux vous communiquer son numéro de portable.

Martinov laisse passer quelques minutes après le départ des hommes en uniformes puis prévient Gérard.

– Je viens d’avoir la visite de la gendarmerie… tu risques d’avoir du mal à les embobiner…
– Ok je vais me débrouiller.

Et moins d’une heure plus tard, les gendarmes sonnaient chez Gérard. Avec eux il lui était impossible de refaire le coup de la carte de la DGSE, ils vérifieraient forcément et découvrait qu’elle était périmée.

– Gendarmerie nationale, brigadier Shulz.
– Enchanté, Gérard Petit Couture, ancien ministre !
– Ah !

Ben oui, ça impressionne toujours !

– Vous auriez pris en charge deux vagabondes cachées au château de Grandpré…
– Oui, tout à fait, je les ai accompagnée à Bruxelles où elles ont acheté un vol pour Bogota.
– C’est où, ça ?
– Aux dernières nouvelles c’est en Colombie.
– Des clochardes qui achètent un vol pour l’Amérique du Sud ?
– C’est moi qui ai payé ce vol ! C’est interdit ?
– Avec quelle contrepartie ?
– Ce sont, de très belles femmes et j’ai eu un coup de foudre… je n’en dirait pas davantage.
– Saviez-vous que ces femmes sont des criminelles ?
– Des criminelles ? Elles n’en donnaient pas l’impression en tous les cas.
– On les soupçonne d’avoir assassiné le fils d’un notable avec un pelle de jardin.
– Vous pensez bien que si cela est vrai, elles ne sont pas allées me le raconter. Mais sur quoi se basent vos soupçons ?
– Les analyses ADN ne mentent pas, monsieur.
– Certes, j’entends bien, mais qui prouve que ces deux vagabondes sont bien les femmes que vous recherchez ?
– Le châtelain a reconnu formellement ces deux personnes lorsqu’on lui a montré une coupure de presse.
– Je comprends…
– Mais dites-moi, quelles raisons ont-elles invoquées pour quitter la France ?
– Elles m’ont simplement dit avoir un casier judiciaire qui les empêchait de trouver du travail.
– Et précisément ?
– Je n’en sais pas plus, je ne les pas questionnés, je ne suis pas quelqu’un de curieux.
– Hum, et pourquoi aller chercher un avion à Bruxelles ?
– C’est moins cher.
– Vous avez réponse à tout !
– Ben oui, j’ai été ministre.
– Sous quel président ?
– Chirac, mais c’était pendant la cohabitation avec Jospin, ils voulaient des gens de la société civile comme on dit. Il se trouve que j’avais à l’époque une petite popularité suite à mes interventions à la télé.
– Et vous étiez ministre de quoi ?
– Secrétaire d’état au tourisme, un truc peinard, mais j’ai été très vite éjecté suite à une cabale.
– Une cabale ?
– On m’a reproché mes activités sexuelles assez débridées, et on m’a envoyé une call girl pour me piéger. Le piège a fonctionné mais la callgirl est devenue ma femme, je vous présente Florentine !

(Pour davantage de détails, lire l’épisode 4, Martinov et le grimoire magique)

– Bien, nous allons en rester là, je vais vous demander de rester à notre disposition, mais c’est purement formel, je pense que vous êtes de bonne foi.
– Un petit café, brigadier ?
– Avec plaisir !

Shulz rendit compte à son supérieur.

– Apparemment, ce monsieur Petit Couture est de bonne foi. Il s’est fait embobiner par les nanas et leur a payé le voyage jusqu’en Colombie
– OK, la police de l’air belge nous a confirmé qu’elles avaient bien embarqué. On ne va pas aller les chercher là-bas. On met le dossier en veilleuse, on va appeler le frangin pour qu’iI arrête de nous emmerder.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:09

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 8 – Le frangin justicier par Maud-Anne Amaro
StampFFH

– On fait comment ? On s’apoilise ? Proposa Solène.
– Bonne idée ! Tout le monde à poil !

Julie et sa mère semble très amusées de la situation, elles ne cessent de rigoler et une fois nues elle se pelotent les seins devant Gérard et sa compagne.

– Je vais m’occuper de madame ! Propose Julie, je te laisse monsieur.

Et donc Solène se retrouve dans les bras de Gérard, tandis que Julie vient rouler un patin à Florentine.

On se caresse, on s’embrasse, on se tripote… et au bout d’un moment Gérard propose de gagner la chambre.Martinov2808

Ben oui, autant baiser dans le confort !

Les caresses reprennent, Florentine est surprise de la fougue de Julie qui s’est jetée sur ses seins comme la vérole sur le bas clergé normand.

– Montre-moi tes fesses, j’aime bien les culs.

Florentine se retourne offrant sa rosette à la langue agile de Julie.

– Hum, c’est délicieux par-là !

Pendant ce temps Solène suce avec force conviction la bite de Gérard tout en lui introduisant un doigt dans le trou du cul.

Elle s’arrête pour lui demander si parfois il n’aurait pas un gode quelque part.

– Si, si dans le tiroir de la table de nuit !
– Tu veux que je t’encule avec ?
– Bien sûr.

Elle introduit l’objet qui entre avec une facilité déconcertante dans le cul de Gérard, puis le remue comme il se doit.

– T’aimes ça, hein ?
– Oui ! Remue-le encore ! Il y a un petit vibrateur incorporé, il faut tourner la bague…
– Comme ça ?
– Oui !
– T’aimes bien jouir du cul ?
– J’adore !
– Tu t’es déjà fait enculer !
– T’es bien curieuse !
– C’était juste pour faire la conversation…
– En fait oui, je me suis déjà fait enculer et j’adore ça, vois-tu ?
– Je n’ai jamais eu l’occasion de voir ça en vrai !
– Je pourrais peut-être arranger ça ! Mais pour l’instant j’aimerais bien te prendre ton petit cul.
– Mais ce sera avec plaisir.

Et tandis que Gérard sodomise la jeune dévergondée, sa maman se fait brouter le gazon par Florentine en jappant comme un chat mort de soif..

Trop excité par la situation, Gérard a du mal à se contrôler, il accélère la cadence provoquant un spasme orgasmique chez sa partenaire. Du coup, cela l’excite encore plus, et il lui décharge dans le cul avec un cri rauque.

Solène se déplace un peu et vient rouler un patin à sa maman, laquelle est un peu dans le vague sous les assauts répétés et ciblés de Florentine.

Julie jouit de façon frénétique lorsque sa partenaire vient lui titiller le clitounet avec le bout de sa langue.

Florentine est la seule à n’avoir point joui. Alors elle s’offre jambes écartées.

– Venez les filles, venez vous occupez de moi.

Solène lui prend les seins, Julie s’occupe du minou… et cinq minutes plus tard son cri de jouissance resonnait dans la chambre.

Ensuite, Florentine prêta des vêtements aux deux femmes et elles partirent faire du shopping afin qu’elles puissent s’habiller à leur goût et à leur taille.

– Vous n’êtes pas tirées d’affaire, il n’est pas impossible que l’enquête rebondisse. Je pensais vous lâcher dans la nature avec une fausse identité, mais ce n’est pas sans risque. Si vous en êtes d’accord, je vais vous emmenez jusqu’à Bruxelles, et là vous prendrez un vol pour l’Amérique du Sud. Vous parlez espagnol ?
– Pas trop, non !
– Ce n’est pas trop difficile à apprendre et là-bas ils aiment bien les Françaises, vous n’avez pas besoin de visa, vous avez vos passeports ?
– Oui.

Et c’est ainsi que Julie et sa fille se retrouvèrent à Bogota, en Colombie, où elles dénichèrent facilement des places de serveuses, horriblement mal payées mais permettant de bons pourboires pour peu que l’on soit très gentilles avec les clients…

On sonne au domicile du professeur Martinov qui n’attend personne aujourd’hui. Béatrice s’en va ouvrir et découvre un blondinet tintinoïde accompagné d’un costaud genre trois quart de rugby.

– C’est à quel sujet ?
– C’est au sujet qu’on voudrait parler à un monsieur Martinov.
– J’entends bien mais ça ne répond pas à la question, le professeur ne reçoit que sur rendez-vous et vous n’avez pas rendez-vous.
– C’est au sujet du meurtre de mon frère.
– Pardon ?
– Je suis Amaury Rivoire le frère de Régis Rivoire qui a été assassiné par deux criminelles en fuite.
– Et qu’est-ce qu’on vient faire là-dedans ?
– On peut entrer et s’expliquer avec ce monsieur ?
– J’ignore de quoi vous parlez, aurevoir monsieur.
– Ne nous obligez pas à employer des méthodes déplaisantes.
– Des menaces à présent ! Foutez-moi le camp ou j’appelle la police.
– Chiche !.

Mais voilà que le rugbyman bouscule Béatrice qui tombe sur les fesses, et entre en force suivi du blondinet.

Martinov alerté par les éclats de voix se tient en embuscade, une bombe au poivre améliorée en main, et en asperge abondamment les deux malotrus qui se mettent à chialer comme s’ils avaient perdu père et mère.

– Et maintenant dehors !
– Ils reviendront, souligne Béatrice.
– On va prévenir Gérard.

Mais que ce passe-t-il donc ?

Un petit flash-back pour comprendre.

Amaury Rivoire se rend à la gendarmerie

– Je voulais savoir où en est l’enquête…
– Ça avance, ça avance doucement, c’est un travail de fourmis vous savez. Lui répond le brigadier-chef Poitevin.
– Mais concrètement vous en êtes où ?
– Nous ne sommes pas autorisé à divulguer…
– Autrement dit l’enquête est au point mort c’est ça ?
– Ecoutez, je peux vous assurer que nous faisons le maximum…
– C’est ça, c’est ça…

Persuadé que la gendarmerie ne s’activait plus vraiment sur l’affaire, Amaury décida de mener son enquête tout seul.

Il commença par interroger le voisinage. Soit les gens n’avaient pas vu les deux femmes, soit ils racontaient n’importe quoi, mélangeant allègrement lieux et dates.

Son enquête ne semblait aller nulle part, il se souvint néanmoins que Julie Robinard avait travaillé au château du temps du baron Albert…

« On ne sait jamais, ne négligeons aucune piste ! »

– Désolé de vous déranger, je suis le frère de Régis Rivoire…
– Je n’ai pas l’honneur de connaître cette personne.
– Il a été assassiné, monsieur !
– Ciel ! Vous m’en voyez désolé, mais qu’attendez-vous donc de moi ?
– Je frappe à toutes les portes, je sais que Julie Robinard était au service du château du temps du baron Albert…
– Votre récit me paraît fort confus, que viens donc y faire cette personne ?
– C’est l’une des deux femmes qui a assassiné mon frère
– Allons donc, et je suppose que vous aimeriez recueillir de ma bouche des renseignements sur cette personne…
– Vous m’obligeriez !
– Je vais vous décevoir, je ne l’ai jamais rencontré, Camilla ma gouvernante que j’ai réembauché à mon service m’a effectivement parlé d’une personne qui venait donner un coup de main quand mon grand-oncle habitait le château, mais c’est tout ce que je peux vous dire…
– Je vous remercie, puis-je me permettre de vous laisser mon numéro au cas où…
– Laissez toujours.
– J’ai aussi une photo de la personne.

Et Amaury exhibe devant le baron une photo extraite d’un article du journal local, ce qui le fait immédiatement changer de couleur

– Juste ciel ! Saperlipopette !
– Plaît-il ?
– Elles étaient chez moi dans une chambre secrète…
– Hein ?
– Lorsque j’ai pris mes quartiers ici, j’ai constaté un certain nombre de bizarreries à ce point que je me suis demandé si ce château n’était pas hanté… j’ai donc fait appel à une équipe de spécialistes parisiens. Ils ont été très efficaces, et ont délogé deux personnes d’une chambre secrète, c’est l’une de ces deux femmes qui est sur votre photo.
– Et que sont-elles devenues ?
– L’équipe les a conduit auprès des services sociaux. Il ne m’apparait pas que ces personnes fussent au courant du crime que vous me rapportez. Quelle affaire ! mais quelle affaire !

Une enquête en mairie ainsi que dans les communes avoisinantes révéla que personne n’avait sollicité quoi que ce soit au sujet des deux femmes.

Amaury sollicita par téléphone le châtelain afin qu’il lui fournisse les coordonnées des enquêteurs.

Lemboley lui indiqua donc l’adresse du professeur Martinov.

Amaury envisagea l’hypothèse selon laquelle les enquêteurs pourraient être complices d’une façon ou d’une autre des deux femmes et sollicita le concours de Carl, un camarade d’université costaud, bagarreur et bas du front.

On peut donc reprendre le récit au moment où le professeur mit en fuite les deux énergumènes.

Ceux-ci regagnèrent leur véhicule et attendirent un certain temps que le produit lacrymogène cesse de faire effet.

Pendant ce temps, Martinov de sa fenêtre relevait le numéro minéralogique de la voiture. Ça peut toujours servir !

– On fait quoi ? On va aux flics ? Propose Carl, le gros costaud.
– Non, ils sont nuls, il nous faut un plan sérieux, là on s’y est mal pris.
– Putain, ça pique encore, quel salaud ce mec.
– T’inquiètes, t’auras l’occasion de te venger. On va attendre, il faudra bien que ce type ou sa secrétaire sorte.
– Et alors ?
– Alors on kidnappe et on fait parler.

Plan idiot puisque le professeur a repéré la bagnole .

– Ils nous attendent ! Constate Martinov
– Je fais comment pour rentrer à Paris ? S’inquiète Béatrice
– Tu vas rester coucher ici et je préviens Gérard.

Il est 23 heures, les deux « justiciers » en planque se sont endormis.

Muni du signalement de la voiture, Gérard et Florentine la repère facilement. Gérard sort, s’approche du véhicule et frappe à la vitre en exhibant sa carte de la DGSE

– Sécurité du territoire, veuillez sortir du véhicule sans opposer de résistance.
– Mais on n’a rien fait ! Proteste Amaury.
– Sortez calmement avant que nous fassions usage de la force !

Les deux individus sortent de la voiture et se laisse fouiller par Florentine qui les menotte à l’aide de colliers de serrage après leur avoir confisqué papiers et téléphones portables.

– Mais vous vous trompez de personne, on n’a rien fait ! hurle Amaury qui se répète un peu.

Gérard pousse les deux étudiants jusque dans le salon de Martinov puis y va de son bluff :

– Pour quelle raison avez-vous tenté de pénétrer en force dans un laboratoire classé secret défense ?

La tronche des deux types !

– Il y a confusion, laissez-moi vous expliquer…
– Pour qui travaillez-vous ?
– Mais pour personne, écoutez-moi donc, bon dieu…
– On ne fait que ça !
– On cherche les assassins de mon frère
– Ah votre frère a été assassiné, ce sont des choses qui arrivent, l’espionnage est une activité dangereuse.

Amaury est sur le point de péter les plombs, c’est le but recherché.

– Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Mon frère était handicapé mental léger, il ne pouvait pas être un espion.
– Il jouait bien son jeu alors !
– Mais vous êtes un vrai salaud ! Hurle Amaury avant de craquer pour de bon et de nous faire une crise nerveuse.

Carl, le gros costaud n’a pas pipé mot pendant ce dialogue surréaliste. Gérard s’adresse à lui.

– Et toi, qu’est-ce que tu viens foutre là-dedans, tu savais que ton copain faisait de l’espionnage ?

Il ne répond pas, on ne sait trop ce qu’exprime son visage, quelque chose entre l’ahurissement et la stupéfaction.

– Eh, on te parle !
– Je ne comprends rien de ce que vous racontez, Amaury m’a juste demandé de l’accompagner pour impressionner.
– Je peux vous demander quelque chose ? Intervient Amaury en reniflant.
– Mais bien sûr, Béatrice si tu pouvais aller chercher un verre d’eau…
– Mais ce n’est pas ça… Ecoutez moi, bordel de merde !

Béa revient avec le verre d’eau.

– Tu dois avoir soif ?

Il ne répond pas et se reçoit le contenu du verre sur la tronche, cette fois il est complétement groggy moralement.

– Va rejoindre ta bagnole, on ne veut plus te voir ici. Indique Gérard à Amaury en coupant ses liens.
– Y’a pas moyen de dialoguer, alors ?
– Non !

Il se lève ! Etonné de ne pas voir se lever son copain toujours ligoté.

– Euh, Carl ne vient pas ?
– On le garde cinq minutes, attend-le dans ta bagnole.

C’est Florentine dans le rôle de « la gentille flic » qui se charge de la dernière phase du bluff.

– Bon, deux choses, tu devrais arrêter de trainer avec ce type, le monde de l’espionnage est dangereux et sans pitié. Sinon, j’ai bien vu que tu ne comprenais pas grand-chose à ce que disait mon collègue donc je vais t’affranchir juste ce qu’il faut. Tu sais ce que c’est qu’un agent dormant ?
– Non…
– Il y a deux sortes d’espions, les agents actifs qui sont toujours sur le terrain, l’agent dormant lui, n’existe que pour des rôles très ponctuels, par exemple acheminement d’un message écrit ou d’un colis, réservation d’hôtel, de train, d’avion et toutes ces sortes de choses. Dans cette affaire, je ne suis pas autorisé à tout te raconter, mais disons que des gens ont confondu les deux frères et n’ont pas supprimé le bon Rivoire. Maintenant tu sais où tu mets les pieds, à toi de voir si veux vivre dangereusement.

Et sur ce Florentine libéra Carl qui rejoignit Amaury dans la voiture..

A la fenêtre du laboratoire, le professeur Martinov s’assure que la voiture d’Amaury Rivoire ait bien quitté les lieux.

– Bravo Gérard t’aurais dû faire du cinéma, tu as été parfait ! Lui i dit-il ensuite.
– J’avoue que je me suis bien amusé.
– Tu y es allé fort quand même, ce mec à quand même perdu son frère.
– Je le conçois, mais d’une part si j’en crois ces demoiselles, il s’agit d’un accident et ensuite avec le cirque qu’on a fait on est pas près de les revoir !

Grave erreur… mais n’anticipons pas.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:06

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 7 – Le baron libertin par Maud-Anne Amaro
Stamp MD

Je n’ai pas eu besoin de faire l’article à Solène qui avait rapidement compris la situation.

– Monsieur Albert, au cas où cela vous intéresserait, sachez que je suis aussi salope que ma putain de mère.
– Mais voyons, ma fille, cela ne se fait pas de traiter sa maman de putain.
– Mais c’est une gentille putain, elle m’a appris plein de choses cochonnes.
– Elle vous a appris la théorie ou bien vous avez effectué des travaux pratiques ?
– Rien ne vaut la pratique…
– Donc vous avez pratiquer avec votre mère ?
– Nous pratiquâmes !
– Vous parlez bien.
– J’ai un BAC + 3, monsieur le baron
– Alors ça va, j’aimerais bien te voir à poil.
– Vos désirs sont des ordres.

Et pendant qu’elle se déshabillait, le baron retira son pantalon puis le reste.

– Savez-vous, Solène comment on reconnait les vraies salopes ?
– C’est une colle ?
– Non pas vraiment mais acceptez-vous toutes les caresses.
– Je ne suis pas compliquée, monsieur le baron.
– Alors vous allez me léchez le trou du cul.
– Mais avec grand plaisir !
– Vous avez déjà fait ce genre de chose ?
– Ou, j’ai déjà léché celui de ma maman.
– Ciel ! Et il était comment ce trou du cul maternel.
– Pas très net, mais cela ne m’a pas dérangé.
– Pas très net, voulez-vous dire qu’il était un peu merdeux.
– Oui ma mère venait de chier devant moi, elle avait fait un gros boudin et n’avait rien pour s’essuyer.
– Je ne sais si vous dites vrai ou si vous inventez mais entendre ces choses dégoutantes dans votre gentille bouche est très excitant, regardez l’état de ma bite.
– J’en ai l’eau à la bouche, monsieur le baron.
– Bien, assez parler, je vais m’installer sur le fauteuil et vous allez me lécher le cul !

Il serait faux de dire que ce genre de chose enthousiasme Solène, mais par contre ça l’amuse.

Martinov2807
Elle écarte donc les globes fessiers du châtelain afin de dégager son petit trou dans lequel elle immisce sa petite langue.

– Hum, j’adore cette sensation , votre langue est magique.

L’interphone est tout près du fauteuil du baron, et le voilà qui m’appelle. Ma fille fait celle qui n’a rien entendue et continue sa besogne.

– Ah, Julie, regardez un peu ce que fait votre fille ? Ce sont là des choses qui ne se font guère ! Indiqua-t-il sur un ton de mauvais comédien !

Je suis donc rentrée dans le jeu du baron.

– En effet cela mérite une bonne correction !
– Certes, mais pour l’instant laissez-là continuer à me sucer le troufignon, pendant ce temps-là, Julie sucez moi la bite.
– Mais monsieur Albert, de la façon dont vous êtes disposé, je ne peux pas accéder à votre biroute !

Alors on a changé de position de façon à pouvoir coordonner tout ça !

Quand j’ai senti son plaisir monter, je lui ai demandé de quelle façon il souhaitait jouir.

Et si vous vous gouiniez devant moi ? Pendant ce temps je vais me branler… ou plutôt je vais appeler Camilla pour qu’elle me suce.

Quelques instants après, ma fille et moi nous nous broutions le minou mutuellement tandis que Camilla, la petite bonne mettait toute son ardeur à pomper le dard du baron. L’affaire dura bien un quart d’heure au terme duquel Albert jouit en poussant un cri bizarre. Camilla aval le sperme, elle aimait bien !

– Camilla vous flanquerez 10 coup de badines à Solène pour conduite inconvenante. Et tant qu’on y est vous infligerez également 10 coup à sa mère, ça lui fera les pieds.
– Je fais ça maintenant !
– Non, je crois que je vais faire une petite sieste, nous ferons ça quand je me réveillerais. Ah, Camilla, j’ai envie de pisser, prêtez-moi votre bouche !
– C’est-à-dire que nous risquons de salir la moquette…
– Alors allons dans la salle bain !

Et une fois dans les lieux, Camilla qui est un personne méticuleuse, pris soin de se déshabiller avant de s’agenouiller devant son employeur avant de recevoir son jet doré… et ça aussi elle appréciait !

– Ah ! je me demande si je n’ai pas envie de faire une grosse commission. ? Repris le baron
– Si monsieur le baron a besoin de mon assistance pour cela, je suis à votre disposition.
– Je ne suis plus trop excité après cette petite séance de tout à l’heure mais reste donc tu me servira de papier à cul !

L’envie du baron n’était pas très conséquente, mais lui lassa néanmoins le cul merdeux. Aussi Camilla se fit un devoir de lécher tout ça comme il convient.

Fin du récit de Julia

Le brigadier-chef de gendarmerie Poitevin est chargé de l’enquête. La disparition de la mère et de la fille Robinard en font des coupables toutes trouvées d’autant qu’il s’est confirmé que l’ADN retrouvé sur le pantalon de la victime appartenait à Solène Robinard.

– Ou en est-on ? Demanda Poitevin devant son équipe. Je viens d’avoir le sous-préfet au téléphone, il souhaite des résultats rapidement.
– La battue n’a rien donné…
– Je sais mais le reste ?
– Aucun achat ou retrait par carte bancaire, pour les téléphones, ils ont borné pour la dernière fois, le jour du crime à l’angle de la départementale.
– Les deux téléphones ?
– Oui.
– Et le voisinage ? Julie faisait des ménages chez le baron m’a-t-on dit
– Le baron ne l’a pas vu depuis le jour du crime, sa bonne non plus ‘
– Autrement dit, on n’a rien !
– On peut toujours diffuser un appel à témoins avec leur bobine.
– Et après on va être obligé de se farcir des appels de tous les mythos du coin, mais si on ne fait pas on nous le reprochera, alors allons-y pour la galère.

Quinze jours après avoir recueilli les deux fuyardes, le baron Albert s’assoupit dans son fauteuil et ne se réveilla jamais. Une belle mort comme on dit…

Camilla, la bonne, ouvrit l’enveloppe qui trainait depuis un certain temps au-dessus de la cheminée et sur laquelle était indiqué : « A n’ouvrir qu’après mon décès »

L’enveloppe contenait deux lettres, la première indiquait la présence d’une cachette dissimulant un joli paquet d’argent liquide. « Tout cela est pour vous, Camilla, en remerciement de vos bons services »

Le deuxième mot indiquait qu’il lui faudrait prévenir un certain Grégoire Lemboley de la Sambre, petit-fils de son demi-frère, sa seule famille restante selon ses dires.

Elle le contacta donc et le lendemain il était là tout heureux de se retrouver châtelain (bien que la succession ne soit pas encore actée) et annonça qu’il allait au plus vite prendre possession des lieux. En fait juste après les obsèques

– Je vous garde pour le moment, je vous expliquerai ce que j’attends de vous ! Indiqua-t-il à Camilla du haut de sa suffisance

Parallèlement celle-ci avait pris soin de planquer les deux femmes en cavale dans la pièce secrète.

– Vous n’allez pas pouvoir rester éternellement ici, il vous faut réfléchir à une autre solution. En attendant je vais vous aider. En faisant les courses, j’achèterai plus que nécessaire, la nuit vous pourrez venir vous servir dans le frigo et le petit buffet, j’espère que le nouveau châtelain ne sera pas trop curieux.

Curieux, Grégoire ? Non pas trop, et s’il est vrai que s’il se fichait pas mal du nombre de yaourts dans le frigo et de celui des gaufrettes dans le buffet, il avait du mal à comprendre que sur six canettes de bière, il n’en restait que quatre. Il ne chercha pas trop à comprendre sauf que le même cas de figure se reproduit quelques jours plus tard. Il regarda dans la poubelle sans rien remarquer de spécial

– Camilla, je veux bien admettre que vous aimez la bière mais j’aimerais autant que vous ne vous serviez pas dans celles que je garde au frais.
– Monsieur, je ne bois jamais de bière, j’ai horreur de ça..
– Ben voyons, les canettes disparaissent toute seules, si vous continuez à mentir je ne vais pas pouvoir vous garder !

C’est quelque temps après que muni d’un plan du château il découvrit qu’il existait une pièce cachée

« C’était la mode au moyen âge…  »

Et il se mit à palper en tous sens le mur mitoyen de façon peu discrète, si peu discrète que les deux femmes l’entendirent et prirent peur. Elles eurent alors l’idée d’emmètre des « ouh ouh » lugubres à la façon des films de fantômes

Et Grégoire, d’un naturel peu courageux pris vraiment peur…

« Le château est hanté, il y a des fantômes dans le mur et en plus ils me piquent mes bières dans le frigo… »

Revenons au présent

Gérard tente difficilement d’y voir clair dans toute cette affaire.

– Je vais vous faire une proposition, Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’ai envie de vous aider… Dit-il aux deux femmes.

Encore un coup des hormones !

– J’espère que vous m’avez dit la vérité… Reprit-il
– Bien sûr que nous disons la vérité
– Je vais vous sortir de là.
– Comment ça ?
– Vous allez être obligées de me faire confiance…
– On prend un risque alors ?
– Oui. Je vais vous héberger chez moi de façon provisoire, ensuite il faudra vous trouver un job et un endroit où loger…
– Mais c’est impossible…
– Mais non. Mais d’abord on va raconter une salade au baron, vous croyez qu’il est au courant pour le crime…
– Il n’est pas d’ici, et d’après Camilla l’affaire n’a pas été trop médiatisée.
– Donc on va prendre le risque, demain matin soyez dans la cuisine..
– Et si c’est un piège ?
– Je vous ai demandé de me faire confiance, vous n’êtes pas obligées, mais si vous ne marchez pas avec moi un autre prendra ma place, on finira par vous débusquer, c’est inéluctable..

Les deux femmes se livrent alors à un très long échange en mode chuchotements au terme duquel elles marquèrent leur accord.

Le lendemain vers 9 heures

– Monsieur Lemboley, vos fantômes sont maintenant repérés, il s’agit de deux clochardes qui vivaient dans la forêt et dont la cabane a brûlé..
– Elles sont parties ?
– Non, je vais les diriger vers les services sociaux…
– Je peux les voir ?
– Oui, elles sont dans la cuisine.

Gérard craint alors qu’un grain de sable fasse tout capoter.

– Je suis le propriétaire de ce château, autant vous prévenir que je compte déposer plainte pour violation de domicile.

Julie ne répond que d’un rictus.

– Mais dites-moi, comment avez-vous su pour le passage secret ? Demande Lamboley
– On vous le dira si vous nous promettez de ne pas porter plainte. Répond Solène.

Lemboley hésite mais la curiosité est la plus forte.

– D’accord, d’autant qu’on sait comment sont traitées ce genre de plaintes.
– Ma grand-mère connaissait le château du temps de monsieur Albert répond Solène avec aplomb
– D’accord, je vais vous demander d’actionner le passage secret afin de voir comment ça fonctionne.

Julie lui fait une démonstration, en fait il faut toucher deux moulures en même temps d’une certaine façon tandis que le pied bloque simultanément une plinthe.

Lemboley ne comprend pas bien mais filme tout ça avec son téléphone portable

– Et de l’autre côté ?
– De l’autre côté, c’est tout simple, il suffit de pousser.
– Ok, vous pouvez maintenant aller au diable, monsieur Petit-Couture il nous reste à régler la paperasse…
– Voyez ça avec monsieur Martinov.
– Ah, oui mais il est où ? Il n’est pas arrivé ?
– Je l’ai eu au téléphone il a été convoqué à la gendarmerie au sujet de la dégradation de la voiture de Béatrice, il passera vous faire ses adieux après…

Le brigadier-chef Poitevin montre deux photos à Béatrice et au professeur.

– Vous connaissez ces individus ?
– Pas du tout !
– Ce sont eux qui ont fracturé et cambriolé votre véhicule. Nous les avons identifié grâce à leur ADN, ce sont des petites frappes, récidivistes…
– Donc rien à voir avec l’affaire ! Crois devoir préciser le professeur…

Béatrice lui envoie un coup de pied dans le mollet.

– Quelle affaire ? Demande le gendarme.
– Monsieur Lemboley nous a demandé qu’enquêter au sujet d’agissements indélicats d’une agence immobilière. Répond Martinov qui se raccroche aux branches.
– Vous êtes détective privé ?
– Non chercheur indépendant.
– Ah, répond le brigadier, renonçant à comprendre.

Gérard fit monter les deux femmes dans sa voiture.

– On file direct à Paris dans mon logement de fonction, là on va vous retaper un peu et vous pourrez prendre une douche. Rester dans le coin, c’est trop risqué.
– Vous n’avez rien à manger ? Demande Solène.
– On s’arrêtera en route acheter une bricole.
– On achètera aussi du désodorisant, ça shlingue un peu… Intervient Florentine
– Je sais, on va laisser les vitres ouvertes.

A Paris les deux femmes purent prendre une douche.

– Utilisez nos peignoirs, on verra pour les fringues ensuite.

Lorsqu’elles sortirent de la salle de bain, décrassées et coiffées, leurs beautés devinrent éclatantes à ce point que Gérard se mit à bander comme un collégien.

– Vous êtes resplendissantes. ! Ne put s’empêcher de s’écrier Florentine.
– N’exagérons rien.
– Alors comme ça, vous étiez très proches,
– Oui, mais on ne faisait de mal à personne.
– Je le comprends parfaitement, mon mari et moi sommes un peu libertins.
– Souhaitez-vous que nous vous remerciions de votre gentillesse de façon libertine. Suggéra Solène.
– C’est notre unique monnaie d’échange ! Intervint Julie avec un large sourire.
– Nous n’aurions jamais osé vous demander ça, mais puisque vous nous le proposez… intervient Gérard.

Un peu hypocrite sur ce coup-là, le Gérard

A suivre

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