Samedi 14 décembre 2024 6 14 /12 /Déc /2024 07:51

Une soirée à gages par Emeline
(Rewrité par Marie-France Vivier)

zyzybande

J’ai joué hier soir avec une amie et deux de ses copains à un jeu qui n’était pas du tout prévu au programme initial de notre soirée… L’idée en est venue quasi spontanément après que nous ayons pas mal trinqué ensemble ! Je ne sais pas exactement pourquoi, mais l’idée d’un « jeu érotique » a recueilli l’enthousiasme général, question d’atmosphère, bien sûr, ou parce que nous avions tous assez envie de mieux nous connaître… D’emblée, il fut décidé que le (ou la) première entièrement dénudée aurait pour gage ultime d’écrire en détail son expérience… M’y voici donc ! D’abord, je me présente : Emeline, 35 ans, divorcée. aucune expérience antérieure de l’exhibition ni de la soumission, mais assez attirée par le jeu et l’insolite… j’ai été abondamment servie, de ce côté-là, hier soir, comme vous allez le lire…

D’un commun accord, nous nous sommes tous attribués chacun un chiffre entre 1 et 6. jetant le dé chacun notre tour, celui ou celle qui tirait son numéro devenait la « victime ». il fallait alors relancer le dé qui devait décider du « bourreau » (désigné par le numéro tiré) ou de la relaxe, si aucun des trois autres n’était tiré, si le bourreau était désigné, la victime s’en remettait alors à ses exigences pour 10 minutes, violence exclue, et yeux bandés par un foulard. (si vous trouvez que les règles sont mal expliquées, cela n’a aucune conséquence pour la suite, rassurez-vous !)

D’entrée, j’ai tire mon numéro (le 3). ça commençait mal pour moi, d’autant qu’en rejouant, Laurent s’est vu aussitôt offrir mon obéissance pour 10 minutes. je n’en menais franchement pas large en enfilant le bandeau… Il m’a fait agenouiller entre ses jambes. J’étais en jupe (sage, aux genoux), et en sweat, avec des dessous très classiques; rien de sexy ni de provocant à priori ! Il m’a demandé de retirer les bras des manches de mon sweat, et de retourner les bonnets de mon soutien-gorge sous mon sweat, de façon à en faire ressortir mes seins. Ça m’a a fait tout drôle de me toucher la poitrine comme ça, sous mon sweat, les yeux fermés ! Mais ils ne pouvaient encore rien voir… sauf que Laurent m’a ensuite demandé de poser mes mains au-dessus de ma tête… vous imaginez ma honte ! En levant mes bras, j’ai moi-même relevé complètement le devant de mon sweat et exhibé mes seins présentés de façon ostentatoire par mon soutien-gorge réduit au rôle de petits balconnets. Il m’a alors caressé les pointes, et les a pincé doucement jusqu’à ce qu’ils deviennent tout durs. Je tremblais, j’avais la chair de poule et je les ai senti durcir très vite, alors que je rougissais, le souffle presque coupé. je me sentais complètement exhibée et docile, et ça me troublait énormément… Au bout de 5 minutes, il m’a fait remettre mes bras sous mon sweat et demandé de les retirer des bretelles de mon soutien-gorge avant de les remettre à nouveau à la verticale. Cette fois-ci, je ne sentais même plus le support des « balconnets », ceux-ci s’étant laissé glisser sur mon ventre, ma poitrine était entièrement offerte ! Il me l’a alors définitivement dégrafé lui-même avant de les caresser vigoureusement. je croyais manquer d’air en pensant aux autres qui regardaient ce spectacle de mon offrande silencieuse. Finalement, il m’a fait retirer mon sweat complètement avant de me retirer le bandeau pour reprendre la partie..

J’étais donc la seule à être partiellement déshabillée, les yeux rougis et le fard aux joues. L’ambiance était électrique ! Je passe sur les nombreux tours pendant lesquels aucun n’a tiré son propre numéro ou alors sans designer de « bourreau »… J’ai encore été la « victime » suivante, livrée aux caprices de Simon, cette fois-ci… il m’a fait agenouiller à côté de lui, qui était assis sur une chaise. il m’a demandé de me pencher jusqu’à ce que mon ventre repose en travers de ses genoux. J’étais ainsi livrée comme une gamine qui va recevoir la fessée, avec le « raffinement » supplémentaire de Simon qui me palpait librement la poitrine tout en me donnant ses ordres :

– Relève complètement ta jupe sur ton dos !

J’étais un peu effrayée, là ! Mais je l’ai fait…

– Fais lentement rouler ta culotte sur elle-même jusqu’à tes cuisses !

C’était fou, parce que j’entendais les autres se rapprocher pour mieux m’inspecter. Simon m’a alors caressé les fesses pendant toute la durée de mon gage, laissant parfois un de ses doigts se glisser entre mes fesses, jusqu’à l’entrée de mon anus, et deux fois même vers mes lèvres. Ce salaud a alors lâché à la cantonade :

– Mais ça lui fait de l’effet, de perdre, à Emeline ! Regardez comme elle mouille ! Ça promet pour la suite !

J’en étais rouge de honte !

Après le gage que m’avait fait subir Simon, j’étais donc, de plus en plus rouge, dépoitraillée complètement avec, de surcroît, ma culotte roulée sur elle-même sous mes fesses, heureusement cachée sous ma jupe. car il avait été précisé qu’aucun déplacement de vêtement subi lors d’un gage ne pouvait être modifie par la suite ! Seule, ma jupe était retombée naturellement sur mes jambes en me relevant. J’étais cependant très émue de sentir ce bourrelet de tissu sous le gras de mes cuisses en me rasseyant, au lieu du contact rassurant de ma culotte sur la surface de mes fesses ! Après ce gage, Laurent a été la victime expiatoire de Simon pendant dix minutes, à devoir se masturber doucement devant nous. spectacle intéressant, en vérité, car Simon n’a pu résister dix minutes à ses pulsions érectiles. Cela aussi m’a troublée je l’avoue, ce fut ensuite au tour de Nadège d’être la victime de Simon… N’ayant pas été touché lui-même précédemment par les autres joueurs, il rassura aussitôt Nadège en lui disant que personne ne la toucherait. une fois ses yeux bandés, il lui demanda simplement de dégrafer son soutien-gorge sous le large tee-shirt qu’elle portait ce soir-là. Elle obtempéra sans aucune difficulté ! En revanche, elle hésita et rougit énormément avant de réaliser la seconde requête :

– Rentre bien nettement ta culotte dans ta raie et dans ta fente !

Obligée par notre stupide règlement, elle s’y résolut finalement, mais en le faisant de façon « relativement » pudique, sa jupe toujours baissée .elle se rassit alors en demandant d’un air mi-rassuré, mi-inquiet à Simon :

– Et maintenant ?

Et lui, bref et goguenard de répliquer sèchement :

– Le poirier au milieu du tapis pendant 8 minutes, ma belle !

Imaginez alors Nadège, avec ses dessous à présent inutiles devoir redresser ses jambes à la verticale, entièrement dégager sa jupe ainsi de l’exhibition de sa culotte réduite à l’état de string impudique, et dégager en même temps son tee-shirt de la vision de sa poitrine dénudée par la chute sur ses yeux de son soutien- gorge ! Après deux minutes d’un silence glacial, Simon insista lourdement :

– Jambes à l’équerre !

L’exhibition de son sexe et de ses fesses était alors à son paroxysme, et elle dut le supporter pendant 5 redoutables minutes après lesquelles elle se releva enfin, cramoisie et suffocante…

– On continue ? demanda Laurent.
– Comme prévu ! répliqua Simon.

La victime suivante fut encore moi… et c’est Nadège, fausse-amie qui s’amusa à me martyriser devant les deux voyeurs attentifs ! Elle me demanda simplement de m’allonger à mon tour sur le tapis (je n’avais plus sur moi que ma jupe, mon slip roulé au ras des fesses, et mes sandales !) et de retirer ma culotte sans user de mes mains, en ne me servant que du frottement offert par le tapis. il m’a donc fallu tout d’abord faire glisser totalement ma jupe pour que mon slip puisse adhérer au tapis, et commencer une série de contorsions obscènes qui m’ont paru interminables, avant de me débarrasser enfin de mon gage… et de me sentir encore plus nue que nue… Brave fille malgré tout, Nadège considéra alors que mon gage était terminé, bien qu’il n’ait duré que 5 minutes ! Mais la partie n’était pas terminée.

Je restais donc vêtue de mes seules sandales et de ma jupe… Pour le reste, mes seins s’affichaient de façon arrogante aux yeux de mes partenaires qui en outre, avaient pu juste auparavant bien profiter de mes trémoussements visant à me débarrasser de ma culotte. Heureusement, ma jupe était retombée sur mes genoux. je n’en menais pas large cependant, étant la plus déshabillée de nous quatre, et devant un sort contraire d’être plus souvent victime que bourreau dans ce jeu idiot que nous venions d’inventer et que nous étions en train de vivre a 100 a l’heure jusqu’à… ?

Dieu soit louée, ma bonne étoile s’est remise à briller l’espace du gage suivant, quand Laurent, victime auto-désignée, m’a choisie malgré lui comme ordonnatrice de mes caprices sur sa personne. une joyeuse occasion de me venger de mes tourmenteurs… N’hésitant pas, j’ai exigé qu’il se déshabille sur le champ, après avoir bandé ses yeux, et qu’il ne garde que son slip pour toute parure. Laurent étant assez mignon, le spectacle n’était pas désagréable du tout, d’autant que j’en étais la scénariste ! Une fois ainsi mis de sa personne, je lui ai demandé de me prendre dans ses bras et de m’allonger sur le tapis, lui pesant de tout son corps nu sur mon buste, nu également. J’adore la chaleur d’un tel contact. je lui ai alors intimé l’ordre de se trémousser sur moi, de façon à caresser mon corps de toute la douceur de sa peau. passive et alanguie, j’ai pris un immense plaisir à me faire caresser ainsi, sur commande. Laurent n’a pas été non plus indiffèrent non plus, puisque son slip était ridiculement tendu (et même légèrement humidifié) lorsqu’il fut libéré à l’issue de son gage. Rouge à son tour, il paraissait très gêné en se débâillonnant. La pauvre Nadège dut ensuite retirer son tee-shirt, à la demande de Simon, ainsi que sa jupe.(je rappelle aux lecteurs que son soutien-gorge avait été déjà dégrafé précédemment, et que sa culotte était réduite au filet d’un string après avoir été roulée entre ses fesses. pour savourer davantage le spectacle). Il la fit alors marcher à quatre pattes autour de nous dans cette tenue, les yeux bandés. A chaque fois que Nadège se cognait, Simon la remettait sur sa trajectoire en la guidant par la seule pression de ses mains sur ses seins, celles-ci étant alors glissées (et agrippées) sous le pauvre tissu qui ne lui servait même plus de soutien-gorge !

EmelinePuis ce fut à nouveau mon tour. et Nadège de se venger de cette dernière humiliation dans laquelle je n’avais été pour rien ! Elle exigea aussitôt que je retire ma jupe. c’en fut fait, donc, de mon dernier rempart, mes seules sandales ne protégeant guère ma pudeur ! Je dus en outre m’allonger sur la table rectangulaire du salon, recouverte d’une couverture, (merci Nadège ! ) et agripper mes mains à deux des pieds de table. les yeux bandés, évidemment, comme pour tous les gages, très difficile d’imaginer ce qui vous attend alors. Mon cœur battait la chamade pour toutes sortes de raison. Nadège avait dû distribuer aux deux autres quelques-unes des plumes de paon qui ornaient un vase du salon, car je fus alors parcourue de frissons sur tout mon corps, sous l’effet d’un nombre incroyable de caresses légères et simultanées. c’était terriblement excitant. mes seins, mon cou, mes pieds, mes cuisses, mon ventre, étaient l’objet de mille frôlements… Nadège, perverse en diable, et sans doute un peu excitée par le spectacle, m’a demandé, sous le feu de mes mouvements incontrôlés de plier mes genoux, ramener mes pieds à plat sur la table, puis d’écarter mes jambes au maximum… Je me suis senti la dernière des salopes à accepter de prendre cette position quasi-gynécologique, les yeux fermés, devant des mecs qui ne m’avaient jamais vu nue une heure auparavant. De surcroît, mon excitation était telle que j’étais morte de honte en pensant que je devais leur présenter un coquillage béant et sûrement dégoulinant de miel ! Toutes les plumes de paon ont alors convergé sur mon sexe, le frôlant, glissant entre mes lèvres, appuyant sur mon clitoris hypertendu. Mes cuisses me faisaient mal à être autant écartées, et je sentais la jouissance commencer à venir…

Après cela, ce fut Simon qui dut subir les caprices de Laurent. intégralement nu, il lui fit évidemment se bander les yeux avant de le faire allonger à son tour sur le tapis.

– Ouvre la bouche, tu vas me sucer la bite !

Je n’en croyais pas mes yeux car c’est sans aucune réticence que Simon se mit à effectuer une fellation en règle sur le sexe tendu de son camarade de jeu. Profitant d’une pause dans cette action, Nadège n’hésita pas à lui caresser délibérément le gland qui dominait telle une vigie le sommet de son sexe érigé. elle y mit tant de cœur à l’ouvrage que Simon fut persuadé que seul Laurent pouvait lui prodiguer une telle caresse ! Et ce qui devait arriver arriva… il s’aspergea abondamment le ventre sous nos regards hilares mais excités par le spectacle ! Je passe sur ses tentatives d’arrêter son gage qui lui furent naturellement refusées. Evidemment, Simon fut ensuite moins chaud pour continuer la partie, n’acceptant de continuer que pour la durée d’un seul gage. et cet ultime gage me fut réservée par le sort contraire et acharné de mon lancer de dés ! Simon fut aussi désigné pour se transformer de victime en bourreau…

* Ah s’exclama-t-il… On m’a fait jouir en public ! Eh bien, Emeline, ça va être à ton tour, à présent !

J’étais à la fois extrêmement angoissée, mais aussi terriblement excitée par tout ce que nous venions de vivre, et quitte à monter au paroxysme de l’exhibitionnisme et de la honte en jouissant devant des spectateurs, j’étais aussi soulagée de penser qu’enfin ce plaisir qui ne demandait qu’à monter de mon ventre allait bientôt pouvoir s’exprimer…

– Je dois aussi m’allonger sur le tapis, je présume ? Dis-je en me nouant le bandeau sur les yeux.
– Mais non, ce serait bien trop facile ! Répliqua ce salaud de Simon ! Tu peux d’ailleurs retirer ce bandeau, tu n’en auras pas besoin !

Simon m’enjamba, sa bite à présent demi-molle était à quelques centimètres de mon visage…

– Ouvre la bouche, je vais te pisser dedans !
– Non, non ! Protestais-je.
– Et pourquoi « non » ? Tu voulais de l’humiliation, tu vas être servie ! Et cesse de geindre c’est une fantaisie très apprécié.

Je me résignais donc à accepter cette offrande insolite, je savais que ce genre de chose se pratiquait mais ne l’avait pour ma part jamais expérimenté. J’avalais les première gouttes trouvant le breuvage « particulier », mais en aucune façon repoussant. Je ne pouvais tout avaler et de l’urine coulait sur mes joues, mon cou, mes seins. Je me sentais humiliée mais proche de l’extase. Quand Simon eut terminé sa miction, j’allais pour me relever, mais Il m’ordonna de conserver ma position. Et c’est cette salope de Nadège qui prenant la place de Simon vint à son tour déverser sa pisse dans ma bouche. Le goût en était légèrement diffèrent, plus subtil.

– Et maintenant lèche, nettoie-moi la chatte !

Rien ne m’aura été épargné et j’acceptais de me livrer à cet acte saphique avec résignation, je devrais dire dans le plaisir de la résignation). Je me pris au jeu et ma langue caressant le clitoris érigé de Nadège, je la fis jouir dans un geyser de mouille.

Je me relevais, pantelante et c’est là que j’aperçu Laurent en train d’enculer Simon. Acte sans doute gratuit car à ce stade aucun gage n’avait été décidé.

Le jeu semblait terminé, je m’assis sur une chaise en regardant les garçons s’enfiler et entrepris de me soulager de la main. Bonne fille, Nadège vint entre mes cuisses m’aider à faire venir mon plaisir.

Et voilà, je viens de rédiger tout ça, je suis nue et seule dans ma chambre, j’ai un gode dans le tiroir de mon chevet, il va m’aider à conclure cette séance d’écriture.

Fin

Rewriting d’un texte truffé de fautes diverses et trouvable sur Internet (il s’agissait probablement d’un texte en langue étrangère traduit par un robot)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:19

Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.
StampFFH

– Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ! Précisais-je à ma copine Anna. J’ai donné rendez-vous à Gigi et aux nanas de Remiremont chez toi à 20 heures…
– Rendez-vous pourquoi ? Pour faire la fête ?
– On va au restau d’abord…
– Et moi pendant ce temps-là ?
– Ben tu viens avec nous.

Le soir tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). On fait les présentations, le courant passe tout de suite entre Gigi et Anna, ce n’est même pas du courant c’est du coup de foudre à ce point que les deux nanas s’embrassent sur la bouche comme de vrais cochonnes. Karine et Tanya ont fait venir Remiremont, leur boss (il n’y a pas de raison, plus on est de fous, plus on rigole). Cinq femmes et deux hommes ! Drôle de conception de la parité.

Comme il a deux invités imprévus, je propose à Gigi que nous nous partagions l’addition, puis retour chez Anna pour le fameux « dernier verre ».

– Alors on partouze ? S’exclame Max, égrillard,
– Ben, non pas forcément, répond Anna.

Un peu hypocrite, Anna je trouve, sur ce coup-là !.

– Alors on fait quoi ? Un scrabble ? Reprend Max.
– Un scrabble érotique ? Se gausse Gigi.
– Pourquoi pas ? Ça se joue comment ?
– Ça se joue à poil.
– Avec des gages ? Demande Karine.
– Tant qu’à faire !
– Ben, Max, si tu te mets à poil, je fais pareil.

Vous pensez bien que Max n’hésite pas un seconde et se déshabille en vitesse. Prise à son propre piège, Karine se sent obligée d’en faire autant, mais à mon humble avis, elle est plus amusée qu’autre chose par ce chalenge idiot .

– Et maintenant ? Demande-t-elle.
– Je te pose une question, si tu réponds mal t’as un gage, si tu réponds bien, c’est moi qui me tape le gage
– N’importe quoi, mais allons-y gaiement.
– Alors question . Qui est-ce qui croque Odile ?
– La ligue !
– Hein ?
– Oui parce que la ligue a tort.

C’est débile mais tout le monde se marre

– Un gage pour Max ! S’écrie Tanya,

Et c’est repris par toute l’assistance .

– Bon d’accord, je serais beau joueur, c’est quoi le gage ?
– Le gage c’est d’aller sucer mon boss !
– Mais enfin, Tanya ! proteste Didier Remiremont puisque c’est évidemment de lui qu’il s’agit.
– Ben quoi, c’est pas une bonne idée ? Fait mine de s’étonner Tanya.
– Mais que va penser Madame Gigi ? Demande Didier.
– Oh, j’en ai vu d’autres ! Répond cette dernière.
– Racontez-nous on veut savoir ! Intervient Karine.
– J’ai plusieurs clients amateurs de godes dans le cul. Fatalement je finis par leur demander si au lieu du gode il ne préférerais pas une bonne queue bien vivante… certains sont intéressés, « pour essaye » qu’ils disent, ils disent tous ça ! Je n’ai plus qu’à organiser le rendez-vous. Bien sûr il y en a qui se défilent, mais pas tant que ça. Alors je leur demande de se sucer, et même parfois de s’enculer, moi je suis à poil et je me fais du bien avec un gode en les regardant, je trouve ça très érotique. En fait il y a plein de variantes, une fois il y avait trois mecs en même temps…
– Hum, intéressant ! Répond Didier, du coup je crois que je vais accepter d’être l’objet du gage… Viens me sucer la bite, Max !

Ces deux-là ont déjà eu l’occasion de pratiquer ce genre de choses (voir plus avant), ce ne sera donc pas une nouveauté !

Didier se débraguette, suscitant la protestation d’Anna.

– Non, monsieur Didier, pas comme ça, Mettez-vous à poil comme Monsieur Max, ce sera plus cool !.

Pas contrariant, Didier se déshabille, Max vient vers lui, lui tripote un peu la quéquette avant de la mettre en bouche.

– Faut que je fasse ça combien de temps ? demande-t-il.
– Comme tu veux, mais ne le fait pas jouir, on voudrait bien profiter de sa bite nous aussi ! Répond Anna.

Didier s’est rassit, Max s’agenouille devant lui et lui reprend la bite en bouche… et il prend son temps Max, le Didier apprécie et se pâme d’aise. Tanya passe derrière son patron et lui pinsouille les tétons afin de l’exciter davantage.

Anna excitée comme une puce propose qu’on se mettent toutes à poil et donne l’exemple,

L’effet d’entrainement fonctionne à fond et nous voici toutes dans le plus simple appareil.

Je n’irais pas jusqu’à dire que la position de nos deux males m’excite, Gigi et moi, nous en avons tellement vus, alors on se caresse, on se bécote. Les baisers devient vite brulants et les caresses osées. On s’amuse à se lécher les bouts de seins à tour de rôle, j’adore ça !

La main de Gigi vient me tripoter ma chatte humide, ça fait floc-floc là-dedans, une sonorité pas vraiment érotique. Je lui rends bien évidemment la pareille, c’est la moindre des choses, non ?

Quand à Anna elle sympathise avec Karine, une sympathie très poussée puisque les deux coquines ont roulé sous la table, je ne vois pas bien ce qu’elles fabriquent mais elles ne sont sûrement pas en train de jouer à cache-cache.

Max a tenu sa promesse de ne pas faire jouir prématurément Didier, il se relève donc.

– C’est à moi de jouer ! Dit-il, mais tout le monde est occupé, personne ne l’écoute.

Du coup, il se rassoit en maugréant, mais Tanya vient le rejoindre.

– Tu veux que je te suce, mon gros biquet ?
– Je te trouve bien coquine, toi ?
– Eh oui, je suis coquine ! C’est pas bien ?
– Moi les coquines je leur flanque la fessée !
– Eh bien vas-y, flanque-moi une fessée, il paraît que c’est bon pour la circulation.
– Alors couche-toi sur mes genoux, je vais t’en flanquer une bonne.
– Oh là là, j’ai peur ! S’amuse-t-elle en accédant à la position demandée.
– Tais-toi, vilaine bavarde ! Oh quel joli cul ! On en mangerais !

Et il se met à taper !

Je ne sais pas si les voisins entendent, mais entre les chattes qui font floc-floc, les coups sur les fesses de Tanya, et les gloussements d’Anna et Karine sous la table, ça finit par faire une drôle de cacophonie !

Didier bien chauffé par la turlute de Max se retrouve tout seul.

– On s’occupe un peu de lui ? Me propose Gigi.

On s’approche lui, Gigi lui grimpe dessus en position de lap dance et lui colle carrément ses seins sur le visage. Didier accueille l’offrande comme il se doit en suçant cet importun téton tandis que je me place derrière lui afin de lui tortiller ses bouts de seins.

Après quelques minutes de ce traitement, Gigi redescend et lui gobe la bite. Je la rejoins. Didier est en extase. Se faire sucer la bite par deux jolies femmes, n’est-ce pas le rêve de beaucoup d’hommes ?

De temps à autre, nous interrompons notre fellation pour s’embrasser à pleine bouche. Ces baisers au goût de bite m’excitent considérablement.

Je mouille, j’ai envie de baiser.

– Encule-moi, Didier !
– T’as des capotes ?
– Je vais en chercher.

J’espère qu’il m’en reste, je n’en ai pas si souvent besoin à la maison, mais je réalise que justement je ne suis pas chez moi. Mais je sais où Anna les range.

Je file dans sa chambre, ouvre le tiroir de son chevet… pas de capotes.

Il va donc falloir sortir, trouver une pharmacie de garde… la galère d’autant que pour faire tomber l’excitation, il n’y a rien de mieux

– Quelqu’un aurait des capotes ? Lançais-je à la cantonade.
– Dans mon blouson, poche intérieure. Répond Max de sa chaise, toujours occupé avec les fesses de Tanya.

Mon sauveur !

Chanette3210Je me mets à la retourne sur une chaise et offre mon fessier aux assauts lubriques de Didier

Sa bite bien raide me pénètre le cul sans problème d’autant que Gigi le stimule en lui doigtant le trou du cul

Ce fut assez bref, Damme, monsieur avait les couilles au bord de l’explosion, mais il m’a tout de même fait jouir

Ça fait du bien, Gigi elle aussi bien excitée me demande de lui faire minette. Alors je lui ai fait minette avec un doigt dans son cul en supplément.

Karine et Anna sortent de dessous la table, épuisées mais repues et se dirigent ensemble vers les toilettes, tandis que Max sodomise Tanya en soufflant comme un bœuf.

Et alors que la blackette gueule son plaisir de façon fort peu discrète, Max sort de son cul, retourne sa partenaire, enlève sa capote et lui asperge son visage de son sperme.

J’irais bien pisser mais impossible d’entrer, les nanas occupent trop de place.

Pas grave, je pisse dans une coupe à Champagne, deux coupes même, parce que j’avais une grosse envie.

– Je vais faire comme toi, me dit Gigi qui elle non plus, n’a pu pénétrer dans les toilettes.

Elle aussi avait une grosse envie.

– Tu veux goûter ? Me propose-t-elle avec un œil coquin.
– Pourquoi pas ?

Alors on a trinqué, chacune dégustant l’urine de l’autre… Et c’est qu’il est gouteux son pipi à Gigi !

Anna, enfin revenue des toilettes a rapporté de derrière les fagots une autre bouteille de champagne et on a trinqué au sexe, à la joie de vivre et à l’amitié.

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:16

Chanette 32 – Drogue en stock – 9 – Le retour d’Anna-Gaëlle
StampFFH

Max a dormi et ronflé sur le canapé d’Anna-Gaëlle, on a pris notre petit déjeuner ensemble.

– Reste le flic… Me dit-il.
– On peut peut-être le laisser tranquille, s’il n’a plus de fournisseurs, il va rester peinard… et si jamais il me demandait un nouveau service, je pourrais toujours refuser… commençais-je.
– Oui, bien sûr, mais si on pouvait lui foutre la trouille. J’ai une petite idée…
– Tu me raconteras, moi je vais aller bosser !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison ! Nous informe Gigi, mais j’aimerais vous remercier et vous payer le restau. On peut faire ça ce soir ?
– Avec plaisir ! Répondis-je. On se retrouve où ?
– Ben ici à 20 heures ?

Max chemine dans la rue, il a toujours considéré que la marche à pied facilitait la réflexion ! Quand il estime son petit scénario au point il s’installe à la terrasse d’un café et après avoir commandé une bonne bière, il sort son téléphone.

– Allo, je voudrais parler au capitaine de police Julien Bernardin.
– Ah je crois qu’il n’est pas arrivé, je peux vous aider ?
– Non, je rappellerais.!

Il rappelle à 10 heures, toujours pas de Bernardin… à 11 heures non plus.

– Il est en vacances, il est malade ?
– Je ne peux pas vous répondre, monsieur désolé.

Max remet donc ce qu’il voulait faire au lendemain.

N’empêche qu’au commissariat on s’inquiète de l’absence de Julien, d’autant que son téléphone ne répond pas et que son épouse a indiqué qu’il était ressorti à 20 h 30 mais ne l’avait pas vu rentrer de la nuit.

Que se passe-t-il donc ?

Un petit flash-back pour comprendre :

L’un des indics de Bernardin l’a mis en contact avec un dealer, ce qui lui a permis de fourguer le tiers de la came contenue dans la valise.

Il n’est pas trop pressé d’écouler le reste, il sait qu’il y a de la demande, il lui suffit d’attendre….

Un message téléphonique d’un dénommé Moussa avec un simple mot « allo ». C’est son indic.

Bernardin sort dans la rue afin de lui téléphoner.

– J’ai un acheteur, au café « La rivière » rue de Charenton à 21 heures. Tu demandes Kamel.
– Il en veut combien ?
– Tout ce qui te reste !
– OK !

Bernardin a entassé la camelote dans un sac à dos il se dirige vers le comptoir et demande au patron.

– J’ai rendez-vous avec Kamel.
– Le mec avec l’échappe verte et blanche au fond là-bas !

Les deux hommes se serrent la main

– T’es en voiture ? lui demande Kamel.
– Non à pied !
– On va prendre la mienne, je ne suis qu’un intermédiaire, l’acheteur nous attends à Bastille.

Le fait que la transaction va se passer à Bastille, endroit très fréquenté est de nature à rassurer le policier, qui monte dans le véhicule de Kamel en toute confiance. Une fois la voiture démarrée, il se rend compte qu’il y a un type à l’arrière… et qu’il est armé.

– Tu sais ce que c’est la concurrence déloyale ? Lui dit le type.
– Pardon ?
– T’as très bien compris, t’es en train de casser les prix !
– Bon les gars on se calme on va en discuter entre gens raisonnables.
– D’accord on va en discuter un peu plus loin.

L’automobile ne se dirige pas vers Bastille mais dans une rue sombre et déserte. Elle s’arrête au niveau d’un terrain vague mal clôturé.

– Tout le monde descend ! Averti Kamel.
– Ecoutez les gars je vous propose un arrangement… Tente d’improviser Bernardin.

Il n’a pas le temps d’en dire plus, le couteau de Kamel le transperce plusieurs fois. Bernardin s’écroule raide mort, (non pas encore raide, mais bien mort)

Les deux assassins ne font rien pour masquer l’identité de la victime, ils prélèvent le peu d’argent contenu dans le portefeuille et s’empare du sac à dos (évidemment)

Avant de traîner le corps au bord du terrain vague, ils écrivent au feutre sur son front « la concuransse des loyales » (orthographe d’origine) et lui glisse un sachet de drogue (juste un !) dans sa poche.

Voilà donc pourquoi Bernardin n’était pas présent au commissariat ce matin-là !

Et ce n’est que le surlendemain Samedi que le journal « Le Parisien » résumait l’affaire :

« Le corps de Julien Bernardin, capitaine de police, bien noté, intègre et estimé de sa hiérarchie et de ses collègues, a été retrouvé, poignardé de plusieurs coups de couteau. La mort remonterait à mardi. Que faisait ce policier à cet endroit loin de chez lui à une heure avancé de la nuit alors qu’il n’était pas en service ? Le procureur de la république s’est refusé à tout commentaire… »

L’article ne mentionnait ni le marquage au feutre, ni le sachet de drogue. Ces éléments n’ont fuité que plus tard (tout finit par fuiter, c’est étrange, non ?)

– Voilà, cette fois c’est vraiment terminé. Me dit Max en me commentant l’article.
– T’as été génial !
– Tu sais bien que ça m’amuse !
– Quand même, ce pauvre flic, je n’aurais jamais cru…
– Il y a des engrenages dans lesquels il faut mieux pas foutre sa bite, personne n’est à l’abris…
– Comme j’ai pas de bite, je ne risque rien.
– Non mais j’ai peut-être droit à un petit câlin ?

Il est insatiable ce mec !

– Bien sûr, viens sur le canapé !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Si tu préfères, pas de problème !

Mais voilà que l’on entend un bruit de serrure.

Serait-ce Anna ? c’est Anna !

Bisous, bisous.

– T’es encore dans les embrouilles ? Demande-t-elle.
– Max m’a arrangé ça, comme d’habitude..
– Super !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison.
– Tu me racontes.
– C’est-à-dire qu’on allait…
– Mais si, on va lui raconter intervient Max, on n’est pas à cinq minutes

Alors on lui a raconté, Max a toujours été un excellent narrateur.

– Et bien quelle histoire ! Je suppose que vous alliez faire une pause plumard avant que Max reparte ?
– Très perspicace !
– Mais quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! intervient Max.

Je l’aurais parié !

– Allez dans la chambre, commencez sans moi, je vais me faire un petit café et je vous rejoins ! Déclare Anna.

Avec Max, je sais pertinemment comment ça va se passer. Son truc c’est la sodo et il fait ça très bien, (encore heureux !).

Mais avant, préalable obligatoire, une bonne petite pipe

Je n’en fait pas si souvent, pourtant j’aime bien. Faut dire que la bite de Max est, comment dire ? Attrayante, attrayante voilà le bon mot.

On se déshabille, son machin et déjà en érection, je le penche afin de commencer à sucer, mais voilà Anna qui entre, déjà à poil

Chanette3209Alors on s’est partagé cette bite arrogante, la léchant, l’engloutissant, lui imprimant des mouvements de va-et-vient, toute la gamme, quoi

Tout d’un coup Anna décide d’aller voir derrière, elle écarte les fesses de l’homme et lui lèche la rosette.

– Hum, j’adore lécher un bon petit cul.
– Enfonce un doigt. Suggère le Max..
– J’allais le faire !

Et elle le fait

– T’aimes ça, hein ?
– J’adore !
– T’es vraiment un enculé.
– Oui, et j’ai même pas honte .

On s’amuse ainsi quelques minutes avant que Max excité à bloc, déclare.

– Bon, j’encule qui ?
– Les deux, mon capitaine. Répond fièrement Anna.

Ben oui, pourquoi pas ?
On se met en position toutes les deux côte à côte, troufion relevé.

C’est Anna qui a le privilège de subir le premier assaut et pendant que Max la sodomise, je lui paluche la minouche comme une grosse cochonne.

Au bout de quelques minutes, Anna commence à réagir en miaulant comme une chatte en chaleur puis finit par jouir en gueulant son plaisir.

Changement de capote et changement de partenaire, ça va être ma fête !

J’aime cet étrange sensation de remplissage dans mon conduit anal. J’aime jouir du cul, je me laisse aller, je le sens chienne, c’est bon. J’ai joui, Max aussi. C’était bien !

Mas retire sa capote dévoilant sa bite gluante de sperme. Anna ne peut résister au plaisir de lui nettoyer tout ça de sa petite langue agile.

– Vas-y mollo, j’ai envie de pisser ! Proteste mollement Max.
– Eh bien pisse, mon grand, je t’offre ma bouche !
– Salope !
– Non, mais dis donc…
– Ne le prend pas mal !
– Alors tu pisses ou pas ?

Et le gosier d’Anna s’emplit de l’urine de Max. Elle en avala une bonne gorgée mais en laissa un pue dans sa bouche.

Pourquoi faire ? Demanderez-vous ! Eh bien pour pouvoir m’embrasser avec !

La belle coquine !

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:14

Chanette 32 – Drogue en stock – 8 – Après l’effort, les saucisses de Frankfort
Trio2

Il est 19 heures et des brouettes. Max fait connaissance avec Tanya Carnot et Karine Levillain, (Tanya est une jolie blackette, Karine une grande brune, voir Chanette 27 l’affaire Manet Carrier). Max sonne au domicile de Louis Lesec alias Bosse-dur

– C’est à quel sujet ? Demande ce dernier en entrouvrant sa porte
– Police, répond Max en exhibant une très jolie fausse carte.
– Z’avez un mandat ?
– Non mais j’ai un flingue et si tu ne me laisses pas entrer je te tire dans les couilles !

Livide, le malfrat le laisse rentrer, réfléchissant à une improbable riposte.

– Mais qu’est-ce qui se passe ? Hurle une voix féminine
– Calmez-vous Madame, tout va bien se passer asseyez-vous tous les deux, les mains sur la tête. On veut juste l’adresse de Poivrevert.
– 14 boulevard Voltaire ! Répond spontanément la petite dame

« Trop facile ! »

– Ton téléphone, il est où ?
– Je l’ai laissé dans la cuisine.
– Et celui de madame ?
– Pareil !

Tanya va les récupérer tandis que Karine menotte le bandit et sa compagne

Max analyse les téléphones, a priori peu de choses intéressantes sauf que dans l’historique des derniers numéros appelés par Bosse-dur, il tombe sur le mien !

– Tiens, tiens, c’est donc toi qui a téléphoné à Chanette ?
– Chanette ?
– Je veux dire Madame d’Esde.
– C’est mon patron qui m’a demandé….
– Poivrevert ?
– Ben oui.

Et pendant ce temps-là, sa bourgeoise ne cesse de geindre et de pleurnicher

– Tu vas la fermer, toi ou on te bâillonne !
– On a rien fait, laissez-nous, c’est une erreur…

Karine la gifle puis avisant une boîte de kleenex, elle prend plusieurs feuilles, en fait une boule et l’introduit dans la bouche de la malheureuse.

Puis Max fait signe aux filles de le rejoindre en cuisine.

– Je vais vous faire faire des heures sup. Mais il faut absolument qu’on se pointe chez Poivrevert avant qu’il ne soit prévenu.
– Pas grave, on récupérera, on a l’habitude…, répond Tanya.
– On fait comment pour les empêcher de le prévenir ? Demande Karine.
– On les laisse ici, bien ligotés.
– Ils vont crier.
– Pas si on les bâillonne.
– Non, c’est dangereux intervient Max, on va les trimbaler avec nous en bagnole… Karine tu montes avec moi et tu vas surveiller ces deux abrutis, Tanya tu nous suis avec ta bagnole. Bon on descend, ne tentez rien dans l’escalier, ça vaudrait mieux !

Arrivé au 14 du boulevard Voltaire, Max fait signe à Tanya de venir avec lui, Karine restant pour surveiller le couple.

La boîte aux lettres indique « Poivrevert, 3eme droite ». Ils y vont., Derrière la porte on entend des voix d’enfants…

– Manquait plus que ça ! Mais ce n’est pas cela qui va nous arrêter.

Max écoute attentivement, il perçoit une conversation entre deux adultes, un homme et une femme.

Il sonne.

– Qu’est-ce que c’est ? Demande une voix féminine.
– Police ouvrez, on a un mandat.
– Une seconde…

Madame met un temps fou à ouvrir…

– Alors, ça vient ou on force la porte.
– Voilà, voilà ! Annonce la dame.

Ces braves gens étaient en train de dîner, trois couverts, deux gosses, un garçon et une fille.

– On voudrait parler à Monsieur Poivrevert.
– Il est en déplacement en province.
– Comme c’est dommage ! On a des trucs à vous raconter, mais ce n’est pas pour les enfants, si vous pouviez les éloigner ?
– Venez les enfants…
– J’ai pas fini mon dessert, proteste le garçon.
– Emporte le.
– Mais pourquoi ?
– Parce que c’est comme ça.

Elle finit par se débarrasser des gamins et revient en faisant une drôle de tronche. Faut la comprendre…

Et de façon complètement inattendu, Max gifle la femme

– Vous n’avez pas le droit.
– T’en veux une autre ?
– Eh bien allez-y puisque battre une femme doit être l’expression de votre courage !
– Ton mec n’est pas en province, il est ici, on l’a entendu derrière la porte…
– N’importe quoi !
– Poivrevert, sort de ta cachette ! On n’est pas des flics et si tu ne te radines pas, madame va passer un sale quart d’heure .

Pas de réponse

– Super, ce monsieur vous adore à ce que je vois. Déshabillez-vous !
– Ça ne va pas non ?
– Et plus vite que ça sinon on va devenir méchant !
– Raphaël, au secours !

Pas de réponse.

– Il est où ?
– Dans les chiottes, mais ne lui faites pas de mal.
– Et c’est où ?
– Deuxième porte dans le couloir.

Max et Tanya y vont.

– Bon tu ouvres, si tu es armé, nous aussi, alors maintenant tu sors de là-dedans sinon on défonce la porte !

Pas de réponse. Max donne un grand coup de pied dans la porte qui craque mais ne rompt pas

– C’est bon je sors, je ne suis pas armé.

Max fait signe à Tanya de se mettre hors de portée

On entend l’homme déverrouiller la porte, il ouvre, flingue en main et avant qu’il ait le temps de réagir reçoit une manchette qui lui fait lâcher son arme, suivi d’une mandale qui l’envoie au sol. Tanya le menotte.

– Putain la trouille que je me suis tapée ! Confesse-t-elle en tremblant.

Max téléphone à Karine .

– Opération réussie, éloigne-toi sur 500 mètres, relâche les deux abrutis puis reviens vite..’
– Je les relâche ?
– Oui ce qu’on voulait, c’est le gros poisson, si les flics veulent traquer les complices ils sauront faire. On ne peut pas surveiller trois personnes à la fois dans la bagnole…

Poivrevert est embarqué sous la surveillance de Tanya.

Max connaît du monde à la brigade des stups, son contact n’est pas présent, mais qu’importe.

– On est tombé par hasard sur un baron de la drogue, on l’a neutralisé et on a l’adresse de l’endroit où il entrepose ses merdes, je fais quoi ?
– Ben venez ! Je vais vous faire signer une déposition.
– Obligé ?
– C’est la procédure.
– Alors procédons.

Passons sur les formalités administratives surréalistes… ces gens-là veulent savoir dans quelles circonstances et pourquoi et comment… Mais Max a suffisamment de bagout pour assaisonner à sa sauce tous ces événements

– Z’êtes pressées les filles ?
– Pas tant que ça, répond Tanya, pourquoi ?
– On pourrait aller chez Chanette trinquer à nos exploits, du moins chez sa copine; mais avant on va se chercher un épicier d’ouvert, je vais acheter un peu de Champagne.
– C’est que, Intervient Karine, j’aurais bien mangé un petit truc.
– OK, on va se prendre des pizzas et des saucisses de Frankfort… ah et s’il y a une pharmacie d’ouverte en va prendre des capotes.
– Auriez-vous des intentions salaces, Monsieur Max, l’interpelle Tanya avec une grand sourire complice.
– Pas du tout, mais on ne sait jamais…

J’étais en train de papoter avec Gigi quand la joyeuse bande se manifesta à la porte d’entrée.

– On ne vous dérange pas, les filles ?
– Mais non, mais non !
– On a apporté le Champagne pour fêter nos exploits…
– Raconte, raconte…
– On va vous raconter mais avant, comme on a petit creux on va se bouffer une pizza, vous avez mangé les filles ?.
– Ben oui

Pas trop gêné le père Max, mais vu les circonstances, je serais mal placée pour lui reprocher quoi que ce soit.

On fait les présentations

– Karine, détective et collaboratrice de Monsieur Remiremont que vous connaissez je crois, et voici Tanya, détective également…
– Gigi, travailleuse du sexe, mais vous pouvez dire « pute », j’assume ce que je fais !

On s’est attablé, Max nous a raconté ses exploits tout en se baffrant avec sa pizza. C’est qu’ils avaient faim, ces trois-là… l’émotion sans doute.

Et maintenant : Champagne !

Je vais sortir des coupes, on les remplit, on trinque, on boit, on rigole, l’ambiance est bonne.

– Les saucisses c’est pourquoi faire ? Demande Tanya
– Pour manger, je suppose… Mais on peut aussi s’amuser avec !

– Ça m’a excité tout ça, c’est bizarre comme phénomène, non ?
– Ah vous croyez, Monsieur Max ? lui répond innocemment Tanya.
– Imaginez ! Je suis comme qui dirait « en rut » et j’ai quatre ravissantes femmes autour de moi, C’est une situation embarrassante, mais rassurez-vous je sais me tenir.
– Laissez-vous aller, Monsieur Max, si ça peut vous détendre, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Reprend Tanya qui m’a l’air, elle aussi bien excitée. J’ai comme une envie de m’assoir sur vos genoux, ça ne vous dérange pas ?

Mais il n’a même pas le temps de répondre, Tanya est déjà sur ses cuisses.

– Oh, monsieur Max, vous devez avoir trop chaud avec cette chemise, je vais vous la déboutonnez !

Et elle le fait, lui caresse la poitrine et lui pince les tétons.

– Mais tu fais quoi là ?
– Je t’excite, tu n’aimes pas ?
– Si, si mais la situation va devenir incontrôlable !
– Mais non ! Voyons voir l’état des lieux !

La main de Tanya est sur la braguette de Max, elle peut ainsi constater que l’homme bande comme un cerf !

– Hum, c’est tout raide, là-dedans ! J’espère ne choquer personne si je la sors de sa cachette

Moi je m’en fous et connaissant Karine, elle n’est pas du genre à se choquer non plus. Reste la réaction de Gigi.

– Monsieur Max, vous nous avez sorti d’une situation compliquée, cela mérite récompense, je réclame donc le privilège de vous faire un bonne pipe !
– Mais je vous l’accorde, chère madame !

Et on ne perd pas une minute, Tanya sort la bite de Max et la propose à Gigi qui lui met la main dessus et la branlotte quelques instants

– Euh, intervient Max, si vous vous mettiez à l’aise ce serait cool, non ?
– Ah, vous voulez voir mes nichons ? C’est ça ?
– Tant qu’à faire…
– Alors allons-y ! Mademoiselle Tanya ne me laissez pas me déshabillez seule, ça me gêne un peu… Ensuite nous le sucerons à deux.

Tanya n’est pas une fille compliquée et se débarrasse de ses vêtements, tandis que Max enlève carrément son pantalon.

Et nos deux coquines agenouillées devant l’homme le suce à tour de rôle se repassant sa bite alternativement.

Et moi, pendant ce temps-là ?

– Regarde-moi ces deux cochonnes ! Me dit Karine. Moi aussi j’aurais bien sucé Max !
– Sois patiente, la soirée est à peine commencée.
– Hum; il y a longtemps que je ne t’ai pas brouté le minou,
– Depuis la Suisse, je crois (voir Chanette 24, tribulations helvétiques)
– Et maintenant tu voudrais ?
– Pourquoi pas ?
– Alors on se dessape !
– Dessapons-nous !

Un fois nue comme une grenouille, je me rassois sur ma chaise en écartant bien les cuisses, je me tortille le bout des seins et j’attends la langue de ma partenaire.

– Ne te tripote pas les nichons, je vais m’en occuper ! M’indique-t-elle.! Oh, personne n’a touché aux saucisses, c’est dommage ! T’en veux une ?
– Ça dépend ce que tu veux faire avec ?
– T’as pas envie de t’en foutre une dans la chatte ?
– T’as de ces idées, toi !
– C’était juste une suggestion.
– Tu m’en crois incapable ? lui répondis-je avec un air de défi.Chanette3208

Et saisi d’une pulsion soudaine, je m’empare de l’une des saucisses et me la fourre dans la minette, la faisant aller et venir. Elle n’en revient pas la Karine qui pour faire bonne mesure se met à faire la même chose.

Et contre toute attente cette introduction insolite me conduisit à la jouissance, Je sors la saucisse, trempée de ma mouille, et la fait lécher par Karine qui ne la refuse pas. Complétement partie, je prends une autre saucisse et me l’introduit dans le cul, je fais deux trois mouvements de va-et-vient et la ressors dans trop regarder son état. Karine l’a toute sucé.

Mais elle en veut plus, sa langue me lèche mes lèvres vaginales encore bien humides tandis que ses mains projetées vers l’avant agace mes tétons

De l’autre côté de la pièce, les choses ont évolué, Max a carrément renversé Gigi qui est maintenant le buste couché sur la table, les jambes pendantes et qui se fait peloter virilement le joufflu.

Max est derrière elle, à tous les coups, il va l’enculer… Je sais pour l’avoir pratiqué plusieurs fois qu’il fait ça très bien avec tact, rien à voir avec son physique de macho.

Et ça y est, il la sodomise en cadence, la faisant gémir de plaisir. Joli spectacle bien excitant dont je me régale pendant que Karine me gratifie d’une langue diabolique.

Je vais bientôt exploser, je mouille, je coule, je dégouline, je suis une éponge, Elle attaque mon clitoris, je n’en puis plus, je joui en braillant comme une damnée de l’enfer.

Elle est contente d’elle, la Karine, elle me nargue :

– Alors ? Je ne suis pas une bonne brouteuse !
– Tu m’as tué !
– Ben alors tu vas me ressusciter, on va invertir les rôles !

Je suis bien obligée d’accepter et de toutes façons ce ne sera pas une corvée.

Gigi gueule comme une baleine tellement la bite de Max lui donne du plaisir. Tout en continuant à limer il fait signe à Tanya de se positionner à côté de Gigi, ce qu’elle fait donc.

Il se dégage du cul de Gigi, change de capote et s’en va limer la jolie blackette qui n’attendais que ça.

Bon c’est bien beau tout ça mais j’ai promis à Karine de la faire jouir et je tiens à respecter cette promesse.

Je me positionne donc entre ses cuisses, mais avant un dernier regard vers le trio, c’est très beau, pendant que Max encule Tanya, celle-ci s’échange un baiser profond avec Gigi !

La chatte de Karine comme vous vous en doutez bien est dégoulinante de mouille, mais ce n’est pas pour me déplaire, au contraire, j’adore lécher ce jus et je fais durer le plaisir.

Karine halète, geint de plaisir, je porte l’estocade, la fait crier dans un geyser de mouille. On s’étreint, on s’embrasse, on est bien.

Max a un nouvelle fois changé de partenaire et c’est dans l’anus de Gigi qu’il conclut ses assauts. Il enlève sa capote et offre sa bite poisseuse de sperme aux bons soins de la bouche de Karine qui n’attendais que ça

Restée en plan, Tanya s’est retournée, jambes écartées, chatte humide… et c’est Gigi qui vient calmer ses désirs

Une belle orgie qui nous a donné soif mais pas que…

– J’ai une de ces envies de pisser, ça intéresse quelqu’un ? Demande Max à la cantonade.

Karine lui attrape la main et l’emmène aux toilettes… mais c’est que moi aussi je ferais bien un petit pipi.

Les toilettes chez Anna sont plutôt exiguës et Max et Karine prennent toute la place. Alors je ne me gêne pas et pisse allègrement sur Karine qui m’offre sa bouche grande ouverte.

Ah, ça fait du bien !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:12

Chanette 32 – Drogue en stock – 7 – Chanette et Gigi suivi de la bande à Poivrevert
Massage3

Le lendemain Bosse-dur se rendait à son tour chez Odette.

– Ils ne vous ont pas précisé l’endroit où ça s’est passé ? Demande-t-il
– Non.
– Vous n’avez pas d’autres précisions ?
– Non, mais ça serait une histoire de drogue.
– C’est-à-dire ?
– C’est-à-dire, c’est tout ce qu’on m’a dit
– Bon merci
– Y’a pas de quoi ?

Bosse-dur rend compte à Poivrevert par téléphone :

– Je n’ai pas appris grand-chose, apparemment sa pute tombait du placard.
– Alors pourquoi elle m’a dit qu’elle raconterai tout aux flics ?
– Je ne sais pas. Elle devait bluffer ?
– On va pas prendre de risque, il faut l’éliminer. Et la vieille ?
– Elle est à moitié gâteuse, les flics ne lui ont pas dit grand-chose.
– Bon on va la laisser tranquille, laisse-moi réfléchir pour Gigi, il ne s’agit pas de commettre d’impair.

Il est 20 heures et des brouettes, je fais donc la connaissance de cette Gigi.

– Autant jouer cartes sur table, vous faites toutes les deux le même boulot… Annonce Didier

Quelle discrétion !

Du coup la Gigi se croit obligée de me faire un gros bisou, et c’est qu’elle a la peau douce la pupute !

– Et sinon ?

Il me raconte…

– Le jour des obsèques il y aura une équipe sur place, on filera tous les suspects.
– Super !

Elle est très jolie cette Gigi, je tenterais bien ma chance, mais je sais aussi qu’il n’y a que dans les récits et les films érotiques que les femmes sont toutes bisexuelles. Mais bon, j’ai le droit d’essayer .

– Vous travaillez sur Internet ? Lui demandais-je.
– Non, dans un bar. Et vous ?
– J’ai un studio, je fais de la domination.
– Ah oui, ça m’est arrivé d’en faire, mais ce n’est pas trop mon truc.
– Je comprends, je fais également des messages…
– Vous massez les femmes aussi ?
– Oui, c’est assez rare, dans le cadre du boulot, je veux dire, mais sinon, j’aime bien.
– Éventuellement vous me masseriez ?
– Mais avec grand plaisir !
– On fait ça maintenant ?
– Allons-y. Je n’ai pas de table de massage, mais mon canapé est très bien !

Chanette3207
La Gigi se déshabille sans pudeur et s’affale sur le canapé. Elle est bien jolie, je trouve.

-Voilà un petit cul bien rebondi comme je les aime !
– Hé ! C’est mon gagne-pain !

Je le lui malaxe avec une certaine vigueur, ce n’est pas vraiment du massage, mais elle a l’air d’apprécier… et puis fatalement, je lui écarte les globes laissant apparaitre à ma vue un magnifique anus brun et étoilé.

– Oh, que c’est beau !
– Tu parles de quoi, là ? De mon trou du cul ?
– Ben oui !
– Il a été très visité… Pas autant que le musée du Louvre, mais quand même ! Plaisante-t-elle.
– Je peux le visiter aussi ?
– Vas-y ! Pour toi c’est entrée gratuite.

J’y porte d’abord la langue, me régalant de ce petit goût particulier avant d’y introduire un doigt et le faire aller et venir.

– Oh, c’est bon ce que tu me fais !
– Faudra me faire pareil, après !
– Pas de problème !
– Si tu as un gode…
– Ah ! Le souci, c’est qu’ici ce n’est pas chez moi…

(Rappelons aux lecteurs distraits que je suis pour le; moment en planque chez ma copine Anna, par mesure de sécurité.)

– Je vais aller voir dans la chambre ! Ajoutais-je.

Et miracle, dans le tiroir de sa table de chevet, je dégottais un gode vibrant, des boules de geisha, du gel intime aux côtés de biscuits chocolatés et de gaufrettes à la fraise..

Je reviens toute fière portant le gode tel un trophée et le lui fourre dans le trou du cul ! C’est quel aime ça, la filoute !

Je fais aller et venir l’engin en cadence,. La Gigi miaule comme un chatte en chaleur avant de jouir du cul, fort peu discrètement.

Un petit temps mort…

– Je te masse pour de vrai, maintenant ? lui proposais-je.
– Je ne sais pas trop, j’ai plutôt envie de te caresser un peu. Mais ça ne te gêne pas de rester habillée alors que je suis à poil.
– T’as raison ! Vive le naturisme !

On s’est donc échangé nos places, à ceci près que je ne me suis pas mise sur le ventre mais sur le dos.

– Voici une petite chatte qui me paraît bien sympathique ! Me complimente-t-elle.
– Viens lui faire un bisou !

Mais elle ne fais pas ! Du moins pas encore.

– Tu sais que t’es craquante, me dit-elle avant d’approcher ses lèvres des miennes, et c’est parti pour un french-kiss aussi baveux que torride.

Elle s’en prend ensuite après mes nichons en titillant les tétons de sa bouche. Oh là la ! Puis elle descend (enfin) sur mon minou qu’elle doigte avec une énergie folle avant de le laper.et de m’envoyer au septième ciel en enroulant mon clito de sa langue experte… Brave fille !

Le jour des obsèques.

C’est au cimetière de Montparnasse que ça se passe.. et il a du monde.

Bosse-dur est présent comme convenu, sans que Poivrevert (qui ne s’est pas déplacé) ne lui ai confié de mission particulière. Mais il y a là Sudereau, un tueur particulièrement efficace à ce point que malgré un tableau de chasse plutôt conséquent, il n’a jamais été inquiété par la police.

Poivrevert lui a commandé un double contrat…

– D’abord cette Gigi, on a son adresse, il est possible qu’elle se planque mais elle sera présente à l’enterrement. L’autre c’est la porteuse de valise, On ignore son nom et son adresse, mais j’ai une photo.
– Et je fais comment ? La photo, ça suffit pas ! Je te signale que je suis un tueur à gages, pas un magicien, il y a deux millions d’habitants à Paris, ce qui nous fait un million de femmes et si on ne compte que sa tranche d’âge ça nous fait quand même une bonne centaine de milliers de greluches. Comment veut-tu que je la trouve ? Alors je te prends le premier contrat, je vais te faire ça aux petits oignons, et pour le second on verra ça quand tu auras davantage de renseignements.

Je suis également présente au cimetière pour accompagner et soutenir Gigi. Didier Remiremont est là pour filer Bosse-dur, et Max pour protéger Gigi… Que de monde !

La cérémonie laïque est courte. Ensuite des petits groupes de discussion informels se forment. Bosse-dur se propose de raccompagner Gigi, elle refuse bien sûr, il n’insiste pas et quitte les lieux suivi discrètement par Didier.

Avec Gigi, on s’en va boire un chocolat au bistrot du coin, le but de l’opération est de permettre à Max de repérer un éventuel individu malveillant.

Ça ne rate pas, l’œil exercé de Max le dur a tôt fait de repérer ce type qui fait les cent pas d’un air faussement décontracté sur le trottoir d’en face.

Max vient devant notre table…

– J’ai repéré un type, j’espère qu’il est seul, je vais le distraire, vous en profiterez pour vous engouffrez dans le métro, on applique le plan A. descendez à Opéra comme prévu, rentrez dans un bistrot et appelez-moi..

Max traverse la rue et se pointe devant Sudereau.

– Vous n’auriez pas une cigarette ?
– Je ne fume pas.
– Vous avez bien raison ! Lui répond Max en écartant les bras, empêchant l’autre d’avancer.
– Vous faites quoi ? Laissez-moi passer !
– Eh bien passez !

Mais il ne peut pas, Sudereau pourrait passer en force mais la corpulence de Max l’en dissuade

Du coup, on en profite pour se carapater dans le métro. Et suivant le plan préétabli, on descend à Etienne Marcel, station peu fréquentée, on pose nos culs sur les banquettes, on laisse passer deux rames sans remarquer quoi que ce soit de suspect. Tout va bien, on remonte dans le métro jusqu’à l’Opéra.

Opération terminée, Max nous a rejoint et on s’est payé un bon resto.

Remiremont nous a appelé pour nous informer qu’il avait récupéré l’adresse du dénommé Bosse-dur. Tout va pour le mieux pour l’instant !

– Super !

Max me demande de lui passer le téléphone :

– Aujourd’hui il faut que je me repose un peu, mais je pensais y aller demain vers 19 heures, est-ce que je pourrais compter sur votre présence ?
– J’ai un déplacement important de prévu en Alsace que je ne peux pas reporter, mais je vais vous envoyer deux de mes fidèles collaboratrices, je vous envoie leur photo, elles vous attendrons demain à 19 heures devant l’entrée de l’immeuble de ce Bosse-dur.
– Ça marche !
– Confidence pour confidence, elles sont assez délurées… mais je ne vous ai rien dit…
– Et je n’ai rien entendu, hi, hi !

Poivrevert est furieux

– Comment ça tu l’as raté ?
– Ce sont des choses qui arrivent. Se désole Sudereau.
– Et qu’est-ce qui s’est passé ?
– La cible était protégée, il aurait fallu me le dire, j’aurais agi en conséquence.
– Tu passes à côté d’une belle prime.
– J’en mourrais pas.

Poivrevert appelle Bosse-dur.

– C’est le bordel, on a deux nanas dans la nature qui peuvent nous faire tomber, il faut absolument les retrouver c’est toi qui va-t’en charger
– Eh, je ne suis pas un tueur…
– Je te demande simplement de les localiser.
– Et je fais comment ?
– Tu te démerdes. Et si tu ne veux pas tomber avec moi pour trafic de drogues, t’as plutôt intérêt à te bouger le cul ! J’ai une photo de la porteuse de valise, je te l’envoie sur ton téléphone.

Bosse-dur est perplexe, il se pose dans un troquet pour tenter de réfléchir.

« Il me fait chier Poivrevert, comment est-ce que je peux retrouver ces nanas ? C’est carrément mission impossible. J’ai bien envie d’aller voir ailleurs… A force de jouer au con, le patron va finir par perdre tous ses complices, Jo est mort, Marco s’est volatilisé… »

Et puis soudain le déclic…

Marco ! Et si c’était une piste ?

Il a son numéro, il l’appelle ça ne répond pas.

Marco est à la rue (au sens propre du terme) Plus d’argent pour se payer l’hôtel le voilà obligé de côtoyer la faune des SDF, des pauvres gens bien sûr, mais aussi des alcolos violents et peu sociables. Il en a marre mais il essaie de prendre son mal en patience.

« Encore une semaine et je rentre à la maison… Poivrevert ne va pas faire surveiller mon appart pendant trois mois ? Mais les soucis ne seront pas terminés pour autant, il faut que je trouve du fric ! »

Il a toujours son téléphone, plus pour longtemps, le prochain prélèvement sera impayé.

Et justement voilà qu’on l’appelle. C’est Bosse-dur, il n’a pas trop d’atomes crochus avec ce type imbu de sa personne et qui se prend pour le chouchou de Poivrevert. Alors il ne répond pas.

Il ne répond pas non plus quand un quart d’heures plus tard, le même Bosse-dur l’appelle de nouveau.

Mais il réfléchit…

« Il veut me piéger, je ne vois pas pour quelle autre raison il chercherait à me joindre… Mais je peux essayer d’être plus malin que lui et ça m’aidera peut-être à sortir de cette merde. »

Alors c’est lui qui rappelle :

– Qu’est-ce que tu me veux ?
– Le boss me fait chier, j’aimerais bien qu’on en parle ensemble…
– Qu’est-ce que j’y peux ?
– Il m’a confié une mission pas possible, en s’y mettant à deux…
– Y’a une prime ?
– Bien sûr et c’est partageable.
– Attends…

Marco réfléchît rapidement, la probabilité du piège est énorme, il faut donc que la rencontre ait lieu dans un endroit où les risques soient limités, un lieu où il y a du monde et où une filature sera compliquée.

– Dans le hall de la gare du Nord, devant le Paris-Bruxelles…
– Quand ?
– Dans une demi-heure.

Bosse-dur découvre Marco et son état lamentable…

– Ben dis donc, ça n’a pas l’air d’être la grande forme !
– Peu importe, c’est quoi ta mission compliquée ?
– Une nana qui travaille pour un poulet.
– Et c’est tout, t’as pas d’autres précisions ?
– Si j’ai sa photo, tiens regarde !

Marco ne peut cacher sa stupéfaction.

– On dirait que tu connais ?
– J’ai même son adresse.
– Ben donne !
– Ce ne sera pas gratuit.
– Tu veux combien ?
– On va dire 1000 euros
– Viens avec moi au distributeur
– Non, non, je reste là et je t’attends.
– La confiance règne !
– Tu l’as dit.

Quand Bosse-dur revient avec l’argent, il a quand même quelques doutes..

– Aboule les sous et je te file l’adresse .
– Tss, tss, c’est pas comme ça que ça va se passer. On va y aller ensemble.
– Pas question ! Répond fermement Marco.
– Et comment je peux savoir si tu n‘es pas en train de me bluffer ?
– A toi de prendre le risque.
– Tu l’as connu comment cette nana ?
– Je l’ai pris en stop en revenant d’Espagne, je croyais que c’était une pute, mais en fait je me suis demandé si elle ne cachait pas son jeu, une fliquette ou la nana d’une autre bande ?
– Et elle t’aurais filé son adresse, comme ça par gentillesse ? Se gausse Bosse-dur.
– Bien sûr que non, je l’ai récupéré dans son sac pendant qu’elle ronflait.
– Et pourquoi ?
– Je voulais savoir ce qu’elle avait dans le ventre, quand je suis allé chez elle, elle était avec un flic, manifestement ils venaient de baiser. Le flic a voulu me coincer mais je m’en suis sorti.

Bosse-dur se dit alors que Marco n’est pas assez intelligent pour pondre une histoire aussi farfelue en si peu de temps et se persuade donc que le tuyau est bon. Il récupère mon adresse et paye son informateur.

Marco voulant éviter tout risque monte dans un train de banlieue au hasard et acquiert la conviction que personne ne le suit, il descend à Saint Denis puis rentre à Paris en bus

Bosse-dur se pointe dans mon immeuble, mon nom sur ma boîte aux lettres le rassure, il monte.

« Pourvu qu’elle soit là ! »

Ben non, déjà à cette heure-ci, je travaille à mon studio et une fois la journée terminée je file directo me planquer chez Anne-Gaëlle.

Bosse-dur tambourine tant et si bien que la voisine finit par ouvrir sa porte.

– C’est quoi ce barouf ? Vous voyez bien qu’il n’y a personne !
– Désolé, elle revient vers quelle heure, la petite dame ?
– Elle est en voyage, elle m’a donné son matou à garder
– Vous ne savez pas comment je peux la joindre ?
– Non désolée, monsieur, au revoir monsieur.

Elle va pour refermer la porte, mais Bosse-dur la bloque avec son pied…

– Donnez-moi son numéro de téléphone ?
– Mais je ne l’ai pas ..
– A d’autres ! Donnez-le-moi ou je vais devenir méchant.
– Au secours ! Crie la vieille

Du coup Bosse-dur se carapate…

Mais l’homme ne s’avoue pas vaincu pour autant, il a de la ressource

« Je vais attendre qu’elle sorte faire ses courses et je lui pique son sac »

C’est donc ce qu’il fit. Dans le sac il y avait son téléphone mal protégé par son code PIN d’origine (0000) avec mon numéro dans ses contacts.

« Maintenant je fais comment ? »

Et il a une idée toute bête… il me téléphone.

Je suis en plein taf…. Un numéro masqué, je ne réponds pas aux numéros masqués. Mais c’est qu’il insiste, deux fois, trois fois, je finis par décrocher :

– Bonjour Madame, je suis le fils de votre voisine, elle est tombée, on l’a emmené à l’hôpital… Et comme vous lui aviez confié votre chat…

Mais c’est qui ce mec ? Ma voisine ne m’a jamais parlé d’un fils, elle a bien une fille, mais bon…

– C’est curieux, ma voisine ne m’a jamais parlé de vous…
– Normal on est fâché…
– Et donc vous êtes…
– Son fils
– Oui, mais votre prénom ?.
– Gilbert.
– Donc Gilbert Santerre, c’est ça ?
– Exactement.
– Et pourquoi masquez-vous votre numéro ?
– Ah ? Une vieille habitude…
– Ben voyons ! Ma voisine ne s’est jamais appelé Santerre, gros connard !

Et je raccroche

– Qu’est-ce que je peux être con ! Se lamente Bosse-dur

Il téléphone à Poivrevert.

– J’ai bien travaillé, j’ai l‘identité et l’adresse de la nana, mais elle est en déplacement je ne sais où. On n’a plus qu’à attendre son retour.
– Non, t’attends pas ! Tu la trouves, ça urge !
– Bien chef !

« C’est tellement facile de donner des ordres ! »

En rentrant j’ai raconté tout cela à Max.

– T’aurais dû jouer son jeu, on l’aurait coincé.
– On ne peut pas penser à tout !
– Quand je te disais que t’étais en danger… bon il faut aller plus vite qu’eux, on a l’adresse du type qui est venu faire chier Gigi, je vais y aller de ce pas, j’ai rendez-vous avec deux collaboratrices du détective…
– Sois prudent
– Ne t’inquiètes pas, on va faire ça en douceur.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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