Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:15

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 15 – Intermède scato
scat

Attention, épisode contenant de la scato explicite

J’interviens demandant à mes patrons la permission de me concerter quelques instants avec ma mère afin de discuter de cette proposition insolite.

– J’ai bien envie d’accepter. Dis-je à ma mère
– Tu ne vas pas faire la putain ?
– Pourquoi pas ?
– Si ça t’amuse… mais très peu pour moi.
– T’en as fait d’autres…
– On ne me payait pas !
– Ben justement, maintenant je vais me faire payer, il n’y a pas de raison.
– Hum…
– Et puis ça peut être attractif, une fille et sa mère, ils ne voient pas ça tous les jours.
– T’es vraiment une dépravée.
– Tu en es un peu responsable, non ?
– Je le conçois .
– Alors, tu essaies, et si vraiment ça t’insupporte tu pourras toujours retourner chez sœur Sainte Lucie, je suis sûre qu’elle aura une idée de rechange…
– Bon je veux bien essayer mais tu crois que l’on voudra encore de moi, à mon âge ?
– Mais bien sûr, amman tu es toujours autant désirable

Madame Galoubet nous a reçu comme des princesses, nous offrant des fruits confits et du chocolat des colonies.

– La mère et la fille, voilà qui va agrémenter mon petit commerce, cette chère madame de Préhardi nous a indiqué que vous n’hésitez pas à vous gamahucher ensemble, je peux voir ?

– Là, maintenant, tout de suite ?
– Si vous le voulez bien !.

Elle ne perd pas de temps la mère maquerelle !

Échange de regards avec ma mère qui commence à se déshabiller. J’en fait donc de même, et nous voici face à face nues comme des grenouilles.

Elle me tripote les nichons, je lui pelote les siens, m’enhardissant à lui pincer ses gros tétés. On se roule une pelle, on se caresse, mais évidemment Madame Galoubet ne saurait se contenter de ses mises en bouche…

Alors qui va butiner l’autre ? Je prends l’initiative et me baisse de façon à ce que ma bouche soit à la hauteur de son pubis. Ma langue vient au contact des chairs délicates, je lèche absorbant la mouille qui l’imbibe.

Ma mère apprécie la chose, se cambre en arrière et se pince les tétons. Je cible son clitoris de la langue et la fait hurler de plaisir.

– Vous m’avez l’air de sacrées salopes ! S’exclame madame Galoubet.

Un compliment, ça fait toujours plaisir.

– J’espère que vous avez les idées larges, je veux dire j’espère que vous acceptez toutes les pratiques y compris les moins avouables.
– Du moment que l’on ne porte pas atteinte à notre intégrité et à notre santé… Répondis-je
– Nous n’avons pas l’habitude d’abimer la marchandise.

Merci pour la marchandise !

– J’aimerais faire un petit test, je pensais aller chercher une de mes filles pour ce faire, mais ce ne sera pas nécessaire, j’ai-je crois comme une envie de chier, je vais faire devant vous.

Voilà une perspective qui fait sourire ma mère, elle m’avouera plus tard avoir déjà joué à ces petits jeux chez cette mystérieuse baronne de Beaucolombin. Moi, le chose m’indiffère.

– Nous avons quelques clients friands de ce genre de chose, autant que vous le sachiez.

Madame Galoubet avise une assiette en porcelaine de Limoges qu’elle pose par terre, puis elle se défroque, nous exhibant son gros fessier, s’accroupit et pousse.

Son anus s’ouvre et très vite un petit étron apparaît, il s’allonge vite en un long boudin marron qui atterrit dans l’assiette, elle pousse encore et un autre étron vint alors rejoindre le premier.

– Ah, ça fait du bien ! Je ne m’essuie pas le trou du cul, vous allez avoir l’honneur de le faire… Allez, au boulot !

Je cherche un linge pour ce faire mais n’en aperçoit guère. Ma mère, pour sa part a compris ce que voulais la mère maquerelle et vient lui lécher son anus merdeux. Je l’ai donc rejoint dans cette tâche insolite.Margot15

– Vous avez aimé !
– Humm c’est da bonne merde ! Répond ma mère.
– Pas mauvais ! Ajoutais-je

Madame Galoubet ramasse l’assiette et nous la met sous le nez.

– Alors n’est-ce point là un joli boudin !
– C’est attendrissant ! Répond ma mère
– Léchez-le !

Au point où on en est…

On a donc léché, et j’avoue y avoir trouvé un plaisir pervers.

– C’est bien vous allez faire une bonne paire de salopes, j’aurais ces jours-ci la visite d’un client important, qui se fait appeler le comte de Montebello, il est friand de jeux merdeux, j’espère que vous lui donnerez satisfaction.
– Comptez sur nous, Madame Galoubet, lui répond ma mère.

Un messager est venu au couvent porteur d’une lettre pour sœur sainte Lucie.

« Ma chérie cousine, la fille et la mère Savourey de la Treille nous ont donné satisfaction et maints plaisirs. Hélas, elles semblent bien provoquer la convoitise de personnages peu recommandables dont les activités ont fini par perturber la sérénité de notre maison, aussi les avons-nous renvoyées. Avec leur accord nous les avons orienté vers la maison de madame Galoubet, je suis persuadée qu’elles deviendront de bonnes putains. Je t’embrasse sur tes douces lèvres »

Et c’est signé : Suzanne de Préhardi ».

Evidemment la sœur supérieure ne put faire autrement que de montrer la lettre à ma sœur Pauline.

– De Margot, cela ne m’étonne pas tant que ça, mais de ma mère, je n’aurais jamais cru.
– Tu voudrais les rejoindre ?
– Pourquoi ? Je suis bien ici avec toi ! A moins que tu ne veuilles plus de moi ?.
– Ne dis donc pas de bêtises !

A suivre

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:12

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 14 – Les privautés de Monsieur de Préhardi
marquise stamp

Madame Préhardi s’empare d’une fine cravache et se met à fouetter en cadence le joufflu de Thomas lequel ne tarde pas à virer d’une couleur cramoisie. L’homme hurle de douleur tandis que monsieur Préhardi ravi du spectacle se masturbe sans vergogne.

Il me fait signe d’approcher, j’ai compris ce que je dois faire, je ne vais pas me dérober, après tout je lui dois bien ça.

– Oh, la jolie biroute ! M’exclamais-je fort hypocritement car elle n’avait rien de vraiment particulier.
– Elle attend ta bouche.
– Alors ne la faisons pas attendre davantage ! Répondis-je en la prenant entre mes douces lèvres.

Et pendant que je le turlutte, il en profite pour me dégager les seins et me les peloter à qui mieux mieux. Je le laisse faire, après tout c’est de bonne guerre.

Je sens une goutte de pré-jouissance perler au sommet de son gland, je redouble d’efforts faisant travailler ma langue et mes lèvres en un ballet infernal.

J’hésite à lui introduire un doigt dans l’anus, ne sachant pas s’il est friand ce genre de choses, et de toute façon il est mal placé, affalé sur son gros cul.

Mais ma tentative n’a pas échappé aux yeux de Madame de Préhardi.

– Tu voulais lui tourbichonner le cul, ne te gênes pas il adore ça !

S’il adore ça je ne vais pas me gratter, l’homme se soulève très légèrement mais assez pour que ma main puisse passer, je peux ainsi lui astiquer le troufignon, et c’est qu’il aime ça l’aristo !

– Il y a longtemps que je ne vous ai pas vu en train de vous faire enculer ! Lui lance son épouse.
– Ça vous plairait de me regarder !
– Beaucoup, oui !
– Vous n’êtes qu’une catin, Suzanne !
– Chacun ses vices ! Annette, allez donc quérir Joachim et indiquez-lui que Monsieur souhaite avoir sa bonne bite dans le cul !
– Mais bien sûr, madame.

Sans qu’on ne lui demande Guillaume de Préhardi s’est placé à genoux et le dos tourné sur son fauteuil, le cul cambré.

– Attendez Joachim, Margot va d’abord me lécher l’entrée, puis elle vous laissera la place afin que vous m’enculassiez comme il se doit.

Je lèche donc le cul de mon patron, il sent un peu fort mais je fais avec (bien obligé) et quand j’estime que l’endroit est suffisamment humecté, je fais signe au valet de venir y planter sa grosse biroute.

Margot14L’affaire fut assez brève…

– Ces messieurs dames ont-ils encore besoin de mes services.

Suzanne de Préhardi attendit pour répondre qu’Annette ait terminé de lui lécher la chatte.

-A ce qu’elle suce bien, cette catin, j’en suis toute retourné, Vous disiez quoi Joaquin ? A oui, vous pouvez disposer, Mais prenez donc ces quelques pièces qui raient sur la cheminée.
– Merci madame !
– – Fais moi joui, maintenant, me dit Guillaume.

Je reprends donc ma turlutte…

Un soubresaut dans la bouche, Monsieur de Préhardi jouit. Je crache ou j’avale ? Rien pour m’aider à cracher proprement, donc j’avale. Pas mauvais !

On conduisit ensuite Thomas au cachot sans que l’on lui permette de se rhabiller.

– Au cachot ? Vous avez ça ici ?
– Oui mais il ne sert jamais, une journée là-dedans lui remettra les idées en place. Ensuite nous le libérerons. Nous ne sommes pas si méchants, nous pourrions inventer une fable qui le ferait pendre, on nous croirait, pas lui !

Le lendemain, j’accompagnais madame de Préhardo jusqu’au cachot, celle-ci m’avait fait prendre un grand seau d’eau et une serpillière.

Elle ouvre, la chandelle dévoile Thomas prostré dans un coin.

– Gros porc ! Qui t’as autorisé à chier et à pisser ? Nous ne te libérerons que quand tu auras tout nettoyé.

Thomas s’exécuta, jamais au grand jamais il n’avait été humilié de la sorte.

On finit par le libérer et c’est la haine et la rage au cœur qu’il regagna sa charrette après avoir récupérer ses frusques.

Revenons un peu maintenant vers Philibert. Blessé et choqué il met un temps infini à gagner la masure d’Irma.

C’est qui Irma ?

Irma est un peu sorcière, un peu guérisseuse, pas mal charlatane, mais habile à soigner les blessures.

Elle a une fille, Hortense, une belle brune, un peu putain, elle ne se déplace guère, on vient la voir, on repart content et Irma engrange la monnaie .

– Qu’est-ce qu’il t’est arrivé, mon beau ?
– Accident de travail ! Répond Philibert
– Je vois, je vais soigner ça, mais tu es à pied ?
– Une vraie catastrophe, mes compagnons ont tous été tués, les chevaux ont disparu.
– Je t’avais pourtant dit de faire attention. Tu vas faire quoi maintenant ?
– Je vais essayer de reconstituer une équipe, ça ne va pas être de la tarte.

Effectivement… Philibert avait déserté les armées du Roy et après quelques péripéties avait trouvé une cabane abandonnée dont il se contentait, habile voleur, il opérait en ville, les jours de marché et revenait toujours avec quelques bourses remplis d’écus sonnants et trébuchants. Mais il savait qu’il pouvait faire mieux… mais ne pouvait le faire qu’à l’aide de complices chevronnés.

Il avait commencé en duo, avec Geoffroy, celui-ci rencontré dans un bouge avait fui sa Charente natale. la maréchaussée le recherchait suite au meurtre d’un paisible bourgeois qu’il était venu cambrioler. Philibert lui proposa de partager sa cabane en échange de sa complicité. Il rencontra ensuite Pierre, celui-ci n’était point bandit mais ne supportait plus sa femme et ses gosses. Une motivation comme une autre…

Il lui faudrait maintenant écumer les estaminets à la recherche d’un homme en galère. Pas si évident que ça !

Rétabli au bout de deux jours grâce aux bons soins d’Irma et aux turluttes d’Hortense, il retrouva sa cabane, puis s’en alla à Rambouillet.

Il était déjà venu dans ce rade, mais il ne se remettait aucun des hommes présents. Ça buvait, ça jouait aux cartes ou aux dés, deux accortes bougresses proposaient quelques prestations d’arrière-salle. La routine, quoi !

Philibert proposa à un homme solitaire de faire une partie de dés. Le but était de le faire parler au cas où… aussi le laissa-t-il gagner. La conversation avec ce type qui paraissait avoir des facultés limitées ne lui apprit rien, mais ses oreilles traînaient et il ne perdait rien de ce qu’il se disait aux alentours.

Et il faut croire que pour Philibert ce fut un jour de chance, parce que à une table voisine :

– Tu ne sais pas où je pourrais me loger ?
– Pourquoi tu n’es pas bien à l’auberge ?
– Si, mais j’aimerais davantage d’intimité.
– Chochotte !

Voilà qui ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd. Philibert attendit un certain temps que le bonhomme soit libre puis l’aborda.

– J’ai une cabane dans la forêt, je peux la partager mais c’est donnant-donnant.
– Et il faut que je te donne quoi ?
– Viens dehors, je ne veux pas qu’on nous entende.

Le type suivit docilement Philibert à l’extérieur de l’établissement .

– Je cherche des hommes pour attaquer des voyageurs, ça t’intéresse ?
– Pourquoi pas, mais je trouve ça bizarre…
– Je vais t’expliquer.

Philibert lui raconta donc sa dernière attaque et le bilan désastreux qui s’en suivit.

– D’accord je suis ton homme, je m’appelle René. Mais on ne ça pas faire ça à deux…
– Sur des cibles faciles, ça le fera, sinon, il nous faudra recruter.

On trouve toujours plus brute que soi. Et René se dévoila fort rapidement comme un compagnon compliqué, toujours à la ramener à propos de tout et de n’importe quoi à ce point que Philibert en arrivait à regretter de l’avoir enquillé.

Cependant leur première attaque fut un succès d’une facilité déconcertante.

– Te voilà déjà riche, toi. Tu t’es bien débrouillé, bravo !
– C’était facile !
– Je voudrais te confier une mission…
– Ah oui ?
– Tu vas aller à Paris, chez les Préhardi, c’est dans le Marais, tu trouveras bien, je veux savoir si une certaine Margot travaille toujours chez eux.
– Désolé c’est pas mon job !
– Ton job, c’est faire ce que je t’ordonne, si ça ne te plaît pas je te vire !
– Et si tu me vire, j’irais raconter à tout le monde quelles sont tes activités
– Et moi je raconterais les tiennes ! Tu veux vraiment jouer à ce jeu-là avec moi ?
– Bon, bon, je vais y aller.

René n’a vraiment pas envie de faire ce genre de chose, il se demande qu’elle réponse plairait le mieux à Philibert.

– Si je lui dis qu’elle est là il va me demander autre chose, autant lui dire qu’elle n’y est pas.

Bien sûr Philibert fut dépité quand René revint.

– Elle est passée où cette greluche ?

Philibert n’est jamais à court d’idées .

– Sa mère travaille aussi chez les Préhardi, débrouille-toi pour l’approcher et la faire parler, elle sait sans doute quelque chose.

Cette fois encore René n’avait aucune intention de mener à bien cette mission, il irait à Paris, s’empiffrait dans une auberge puis il reviendrait en indiquant à Philibert qu’il n’avait rien appris.

Mais après deux pintes de bière son point de vue se modifia légèrement. Il se demandait ce que pouvait avoir de particulier cette Margot pour qu’elle préoccupe Philibert à ce point.

Il se décida donc à aller voir sur place de quoi il en retournait.

Et c’est passablement torché qu’il se présente à l’entrée de l’hôtel particulier des Préhardi.

– Elle est là, Margot ? Eructe-t-il devant le garde.
– Passe ton chemin, sac à vin .
– Attention à qui tu parles, je veux voir Margot, on dit qu’elle est baisable.
– Fout le camp sinon il va-t’en cuire. Répond le garde en dégainant son épée

René se jette sur lui, mais le garde, ancien soldat du Roy, esquive, les badauds accourent. René est maitrisé et se retrouve à demi inconscient, quelques minutes plus tard la Maréchaussée vint le cueillir.

Madame de Préhardi alertée par tout ce vacarme vint aux renseignements.. Quand elle remonta, elle était de fort méchante humeur.

– Margot et Catherine confinez-vous dans vos chambres, nous prendrons une décision au retour de Monsieur
– Mais on n’a rien fait ! Protestais-je.
– Obéissez !

Le ton est sans appel. Je n’y comprends rien du tout et ma mère non plus

. Il ne peut s’agir que d’un quiproquo, ça va s’arranger.

Et quelques heures plus tard, on venait nous chercher.

Nous voilà devant les époux Préhardi qui abordent une impossible mine.

– On vous aimait bien et on vous regrettera, mais on ne peut plus vous garder, ce qui s’est passé tout à l’heure ce fut la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Commença la maîtresse des lieux.
– Vous parlez de cet ivrogne que nous avons aperçu à la fenêtre, mais nous ne savons rien de ce type…
– N’empêche qu’il demandait après toi, alors il y a eu Philibert, ensuite Thomas et maintenant cet olibrius, ça commence bien faire, c’est une maison tranquille ici !
– Nous sommes désolées.
– Nous aussi, allez faire votre bagage, notre cocher va vous reconduire au couvent de Sainte Agathe, j’ai préparé une lettre pour cette chère sœur Sainte Lucie, vous la saluerez de notre part.
– A moins que, à moins que… intervint monsieur de Préhardi qu’on avait pas encore entendu. A moins que vous acceptiez un emploi un peu particulier mais dans vos cordes…
– Et ce serait quoi ?
– Une maison de plaisir !
– Nous ne sommes pas des putains, proteste ma mère.
– Les mots ne sont que des mots, la maison que nous vous proposons est une bonne maison, la clientèle est de bonne tenue. En quelques mois vous pourriez vous faire bonne cagnotte.
– Je ne pensais pas tomber si bas !
– Mais ce n’est point tomber en déshonneur que d’offrir du plaisir aux hommes.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:10

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 13 – Une punition c’est une punition !
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– Ce comportement mérite assurément une bonne punition ! M’indique Madame de Préhardi
– Je le conçois aisément. Mes jolies fesses vicieuses sont à votre disposition. Répondis-je

Et voilà, ça va encore être ma fête !

– Allez, on se déshabille ! Me presse Suzanne de Préhardi. Et toi aussi, Catherine !
– Mais je n’ai rien fait, moi ! Proteste ma mère.
– Si tu es la mère d’une putain !
– Ah bon !
– Annette, va chercher monsieur afin qu’il assiste à ce spectacle, cela lui réveillera sans doute sa pauvre quéquette.
– Mais Monsieur est sorti… Objecte la soubrette
– Alors tant pis, on fera sans lui !
– Je prends la badine ? Demande Annette.
– Non, la cravache, faut bien changer un peu.
– Hi hi !

Comme la fois précédente, Annette alterne ses coups, un pour moi, un pour la mère.

La douleur provoquée par la cravache est plus douloureuse que celle de la badine, l’impact étant plus large. Je m’efforce de ne pas crier mais ce n’est pas évident., ça fait quand même très mal.

Ma mère, elle, ne se retient pas et braille à tue-tête tandis que son joli cul devient cramoisi.

– De l’autre côté, maintenant ! Ordonne Suzanne de Préhardi

Cette garce d’Annette prend un malin plaisir à nous fouetter le ventre, les cuisses, les seins. Je supporte, mais j’ai hâte que ça s’arrête !

La flagellation terminée, (ouf !) Suzanne de Préhardi sort d’on ne sait où un godemichet accroché dans un harnais.

– Enfile ça comme une culotte et encule ta mère ! M’ordonne Suzanne.
– Mais enfin, ça ne se fait pas ! Protestais-je mollement.
– Une punition c’est une punition !
– On ne m’a jamais encore fait ce genre de chose ! Commente ma mère pas plus gênée que ça.

Puisqu’elle le prend comme ça…

Margot13
J’ai par conséquent sodomisé ma génitrice, laquelle eût l’air de trouver ce traitement bien à son goût.

– Ça te plait de te faire enculer par ta putain de fille ?
– Oh, oui ! C’est trop bon ! Continue Margot, encore, encore !

Suzanne de Préhardi se régalait du spectacle tout en se faisant bouffer sa chatte dégoulinante par l’inévitable Annette. Mais manifestement il lui manquait quelque chose.

– Annette, qui est de faction à la grille ?
– Joaquim, il me semble; madame.!
– Va le quérir, je veux qu’il m’encule comme une chienne.
– J’y vais de ce pas !

Vous pensez bien que Joaquim n’allait pas refuser une telle invite. Sans se déshabiller, il sortit un chibre de bonne taille de ses braies

– Annette, prépare moi cette queue.
– Oui madame !

Annette eut alors tôt fait d’emboucher cette bite afin de la rendre convenablement bandée. Alors que dans le même temps, ma mère se mettait à jouir du cul en braillant comme une baleine.

– A-t-on idée de gueuler pareillement ! Approche toi Catherine, et viens me lubrifier le trou du cul afin que ce jeune homme puisse m’enculer comme il convient.
– Avec plaisir Madame !

Ma mère se mit à l’ouvrage de bon gré tentant bien que mal de faire pénétrer sa langue dans le troufignon de notre patronne.

– A quel plaisir divin de se faire lécher on trou du cul merdeux par la mère d’une putain !
– Mais certainement madame !
– Tu le trouves comment mon cul aujourd’hui ?
– Il a, ma foi, un bon goût de cul !
– Fais moi gouter !
– Mais comment faire, madame ?
– En m’embrassant, espèce de gourde. Et toi Joaquim, tu peux m’embrocher, je suis prête !

Joli spectacle que celui de Madame de Préhardi se faisant sodomiser tout en embrassant ma mère à pleine bouche.

Annette s’apprête à quitter la salle.

– Ou tu va ? Lui demande la patronne.
– Madame a encore besoin de moi ?
– Je t’ai demandé où tu allais ?
– Je vais pisser madame !
– Pisse donc sur Margot, ça va la rafraichir, elle doit être fatiguée d’avoir enculé sa mère.

Je me suis donc couchée à même le sol, et tandis qu’Annette me gratifiait de son joli pipi dans ma bouche gourmande, je me tripotait le bouton jusqu’à la jouissance.

Il y a plein de pisse par terre ! Qui c’est qui va nettoyer ? D’après vous ?

Sœur Philomène est une vieille peau, méchante et acariâtre. Quand elle se mit à perturbe le trantran du couvent en vociférant n’importe quoi, on l’affubla d’un statut spécial en la confinant dans sa cellule et en la dispensant de toute participation aux activités collectives. Elle avait toutefois la permission de se rendre dans le jardin où elle pouvait brailler à sa guise. Mais comme beaucoup de personnes dérangées du cerveau, elle avait parfois des moments de lucidité.

Donc ce jour-là Sœur Philomène se rend au jardin et aperçoit Thomas en train d’y travailler mollement.

– Vous êtes nouveau, vous ?
– Eh oui…
– C’est un drôle d’endroit ici, vous savez ?
– Et pourquoi donc ?
– Parce que c’est Babylone, ici !
– Babylone ?
– Oui, ici tout le couvent s’adonne à la luxure.
– Ah ?
– Oui des orgies, elles sont toutes nues, elle se gamahuchent, s’introduisent les doigts et plein d’autres choses dans tous les orifices, elles se flagellent, se compissent et commettent toutes sortes d’actes dégoûtants et impies.
– Eh bien en voilà une description !
– Je ne cesse de le signaler à notre père confesseur, mais il tarde à agir, cet homme me semble posséder peu de volonté. Ou alors il me croit folle, tout le monde me croit folle mais moi je sais bien que je ne suis point folle. Le pire c’est que nous recueillons des filles perdues et qu’au lieu de tenter de les sauver, les sœurs du couvent leur ouvrent les portes du vice.
– Justement je suis à la recherche de trois femmes, deux jeunes femmes et leur mère…
– Je les ai vu…
– Comment les récupérer ?
– Il y en a une qui est restée ici, les deux autres sont parties.
– Parties où ça ?
– J’en sais rien, sans doute en un lieu de débauche… mais le cocher le sait sans doute…

Bref, Sœur Philomène lui expliqua comment rencontrer ce fameux cocher.

Gédéon travaille au presbytère, il est parfois sollicité par Sœur Sainte Lucie lorsqu’elle doit se rendre dans la capitale.

Lorsque Thomas parvient à rencontrer le cocher, celui-ci est à moitié ivre .

– Je suis le vieil oncle de deux jeunes femmes qui ont trouvé refuge au couvent et qui ont été conduites dans un endroit inconnu. Je souhaiterais leur porter secours ..
– Je ne pense pas que ces personnes courent un quelconque danger. Je les ai conduit dans une bonne maison.
– Voilà qui me rassure, mais comment faire ne serait-ce que pour les embrasser ?
– Autrement dit vous voudriez l’adresse ?
– Ma reconnaissance en serait infini.
– N’exagérons rien. Elles sont au service de monsieur Préhardi, c’est à Paris dans le Marais, vous trouverez bien.

C’est bien joli d’avoir une information, encore faut-il savoir de quoi en faire. Il n’a aucune idée sur la façon de faire sortir Pauline du couvent. Les deux autres ne sont pas cloîtrées mais comment les piéger ?

Alors, il improvise, se rendant à Paris, il repère le valet gardant l’entrée de l’hôtel particulier des Préhardi, le suit quand il a terminé son temps et le retrouve dans un estaminet où l’alcool aidant, il le fait parler

– Oui deux pimbêches, bien roulées, surtout la plus jeune, engagées. comme servantes… Ça y va les orgies…
– Ah oui ? Qu’est-ce que tu en sais ?
– On me fait parfois participer !.
– Et comment je peux les rencontrer ces nanas ?
– Je ne peux pas te faire entrer, mais souvent le matin elles s’en vont en courses…

Alors faisant le pied de grue devant l’hôtel particulier des Préhardi il attend patiemment que ma mère ou moi en sortent.

Et c’est évidemment sur moi que ça tombe :

– Tu me reconnais ?
– Oui et alors ?
– Je peux te sortir de là.
– Me sortir de quoi ? Je ne te demande rien.
– Ne me dis pas que tu es heureuse chez ces bourgeois ridicules ?
– Ils sont moins ridicules que toi !
– Allons, allons, quand on est née avec une cuillère en argent dans la bouche, se retrouver boniche, tu ne vas pas me faire croire que c’est un sort enviable.
– Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Et tu as quelque chose à me proposer ?
– Oui.
– Et avec ce que tu vas me proposer, je vais retrouver mes belles garde robes, mes bijoux et tout le reste ?
– Non mais tu ne seras plus obligée de frotter le parquet.
– Bon tu me lâches maintenant, j’ai des courses à faire.
– Je vais t’accompagner.
– Certainement pas.

Il faut absolument que je me débarrasse de ce pot de colle. Une ébauche de plan germa dans mon cerveau.

– Reviens demain à la même heure, tu m’expliqueras mieux.

Je plantais là ce triste sire et en revenant des courses je mis ma mère au courant qui s’empressa de se confier auprès de Madame de Préhardi.

– Vous voudriez que l’on donne une bonne leçon à ce chenapan ?
– Ce serait une bonne chose en effet.
– Hi, hi et il va s’en souvenir, le drôle.

La maîtresse des lieux ordonna au garde de laisser entrer le dénommé Thomas quand il se présenterait le lendemain matin.

– Entrez, ces dames vont vous recevoir.
– Ah bon ?

Et sitôt Thomas dans les lieux, deux valets le maitrisent et l’emmènent dans le donjon où il est prestement déshabillé, et attaché contre un poteau .

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:07

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 12 – Un client particulier
coin102

– Si tu veux rester parmi nous, mes clients sont toujours friands de nouvelles filles… M’indique la tôlière.
– Je vous remercie mais j’ai déjà un emploi à Paris.
– Un emploi de quoi ?
– Je suis au service d’une grande maison…
– Je vois, mais ici tu gagnerais davantage.
– Ecoutez, je n’ai rien contre les catins, mais il se trouve que je n’en suis pas une.
– Pourtant ne dit-on pas, « catin un jour, catin toujours ! »
– On dit tellement de choses …
– La diligence ne sera là que demain midi, si l’envie te prend de faire une ou deux passes…

J’ai répondu d’un sourire, mais je n’ai pas dit non.

J’ai pu manger un ragoût de lapin, ma foi, plutôt appétissant et dormir dans un lit qui ressemblait à un lit.

Je me suis réveillé de bonne heure, me suis fait servir du jambon et du pain. Un type m’a abordé, j’ai décliné son invitation, il n’a pas insisté et est allé s’asseoir un peu plus loin, a refusé les avances de l’une des ribaudes de l’établissement et a commandé une chope de bière.

C’est à ce moment-là qu’un petit diablotin facétieux est venu troubler mon esprit. Après tout j’ai fait la catin une fois, pourquoi ne pas le faire une nouvelle fois ? Je fais un signe au bonhomme qui se trouve fort surpris, en lui demandant de s’approcher.

– Fallait que je souffle un peu, maintenant on peut y aller.

– Qu’est-ce qui te ferait plaisir, beau brun ? Demandais-je au bonhomme.
– J’aime bien les fessées !
– Juste une fessée, pas de baise ?
– La fessée d’abord, pour le reste on verra.

D’accord, on monte !

– Je me déshabille ? Demandais-je
– Pas la peine, on va jouer une petite saynète, je suis un vilain garçon qui a fait une grosse bêtise, toi tu es ma maman et tu me punis en me flanquant une bonne fessée… n’ai pas peur de frapper fort… Et quand mes fesses seront bien rouges, tu vérifies que je bande bien, tu me compliment pour ma bite et tu me finis en branlette.

Margot12Au moins c’est rigolo ! Alors allons-y pour le délire. J’entre tout de suite dans le rôle, ça me plait bien,, j’ai toujours voulu faire du théâtre.

– Alors qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui ?
– Maman, j’ai fait une grosse bêtise, j’ai trop honte.
– Et c’était quoi cette bêtise ?
– J’ai enculé le voisin !
– Oh ! Petit chenapan ! Voilà qui mérite une bonne punition !
– Ne me fais pas mal, maman !
– Tais-toi sale môme, une punition c’est une punition, ça ne se fait pas d’enculer le voisin.
– Oui, mais il a aimé ça !
– Je ne veux pas le savoir, on encule pas le voisin, c’est un péché, un péché très grave. Enlève-moi ton pantalon et viens te coucher sur mes cuisses, je vais te corriger bien comme il faut.

Complétement dans son délire, le client fait ce que je lui demande, et je commence à taper… il m’a dit que je pouvais taper fort, alors je ne vais pas me gêner.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’à force de taper comme une malade, je commence à avoir mal aux mains. Je cherche un objet contendant… la brosse à cheveux posée négligemment sur la table de chevet fera assurément l’affaire.

Je reprends donc mon travail sur ses fesses. Il est rigolo le client, il fait semblant de geindre et de pleurer.

– Tiens, vilain garçon ! Tiens chenapan !
– Ouin !

Le cul est devenu cramoisi, il est donc temps d’arrêter, ma main passe en-dessous entre ses jambes, je palpe sa bite, dure comme un bout de bois et la branlotte un petit peu.

– Alors, ça t’a fait bander, petit cochon !
– Ce n’est pas de ma faute, Maman !
– Non, C’est de la faute à qui alors ?
– Je ne sais pas.
– Bien, je ne vais pas te laisser comme ça, Maman va te branler la bite. Hum, qu’est ce qu’elle est jolie ta bite ! Et pourtant j’en ai vu des bites tu peux me croire !

Qu’est-ce qu’il ne fait pas raconter comme conneries !

Et joignant le geste à la parole, je me mets à lui masturber la tige…

– Je sens que ça vient, maman…
– Tu ne veut pas que Maman te suces ,
– Non je préfère tes mains !

Je pose ma main gauche en couvercle sur son gland tandis que la droite termine son travail de branle… J’ai reçu tout son sperme dans la main, mais rien sur mes fringues, je suis fière de moi.

– Merci, Maman.
– De rien, mais je ne suis plus ta mère, le jeu est fini.
– C’est dommage !

Ça n’a pas duré bien longtemps, c’est ce qui s’appelle de l’argent gagné facilement… Mais quand je pense qu’il ne m’a même pas demandé à me voir nue, c’est vexant quand même !

Quand je vais raconter ça à ma mère, elle ne va pas en revenir. Mais faut-il que je lui raconte ?

J’ai refusé un troisième client, après tout trop n’en faut. Cependant mon petit diablotin m’a soufflé que ce genre d’activité n’était pas pour me déplaire.

Et me voilà revenue chez les Préhardi. Tout le monde paraît surpris de ma réapparition, ma mère la première qui me confie avoir été morte d’inquiétude.

– Mais je t’ai fait parvenir un message… Lui indiquais-je
– Quel message ?

Je compris alors que ce gredin de Geoffrey avait saboté sa mission. Cela ne lui a pas porté chance, son cadavre gisant désormais en forêt de Rambouillet.

– Mais alors que t’est-il arrivé ?
– J’ai été enlevé par des bandits de grands chemins…
– Philibert ? Demande ma mère.
– Oui, Philibert. Sa bande a été décimé lors d’une attaque qui a mal tourné. Les gens de sa bande ont été tués.
– Philibert aussi ?
– Je ne sais pas. J’ai réussi à échapper au massacre, j’ai marché jusqu’à une auberge et là un gentil monsieur m’a donné de l’argent pour prendre la diligence.
– En échange de quoi ? Me demande madame de Préhardi.
– De mon sourire.
– Aurais-tu fais la catin pour cela ?
– Bin, non.
– C’est sûr, ça ? J’ai l’impression que tu mens un tout petit peu .
– Disons que je me suis sentie obligée d’être gentille avec lui.
– Très gentille ?
– Oui.
– Comme une catin ?
– Un peu, oui !
– Et tu n’as point honte ?
– Si, si !

Je mentais car en fait je ne ressentais aucune honte

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:04

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 11 Pute occasionnelle
coin102

La tactique de la bande à Philibert est parfaitement rodée, ils n’interviennent pas toujours sur les mêmes routes rendant leur présence insoupçonnable..

J’ai pu ainsi assister à deux guet-apens assez basiques, faible butin et aucune résistance de la part des victimes.

Mais le troisième…

– Un carrosse, ce devrait être intéressant. Dit Robert
– Pas d’escorte ? Demande Philibert.
– Je n’en vois pas.
– Cela veut dire qu’il n’y a peut-être rien à voler
– Tentons le coup, on verra bien .

Les quatre hommes surgissent sur la route tel des diables et stoppent l’attelage en vociférant.

– On descend ! Ordonne Philibert

Une dame vêtue de beaux atours descend suivie de ce qui doit être une dame de compagnie.

Philibert commence à se lécher les babines car ces personnes ont belles allures, quand surgit brusquement une arrière-garde que personne n’avait vu venir…

Une fusillade éclate, heureusement je me tenais en retrait et j’ai eu réflexe de me dissimuler dans les fourrés. Je recule encore, et me retrouve devant une sorte de ravin, sans trop réfléchir je m’y précipite et m’y cache..

Je laisse passer plusieurs minutes avant de ressortir de ce merdier. Je suis dans un drôle d’état, piquée par les ronces et la cheville gauche douloureuse.

Je m’approche à pas de loup de la route. Le carrosse n’est plus là, les gens d’armes non plus mais j’aperçois les corps allongées dans leur sang de Robert, de Pierre et de Geoffrey. Je m’approche, les trois gaillards sont morts et bien morts ! J’ignore où est Philibert, soit il a pu s’enfuir soit il a été capturé..

Qu’importe après tout, je lui ai donné sa chance, j’ai eu quoi en retour ? Pas grand-chose, je devrais même dire rien de tout .

Il me faut donc à présent rejoindre la capitale et ne sais comment m’orienter .

Alors, je marche tout droit sans savoir si la direction est bonne

Au bout d’une demi-heure j’aperçois une auberge sur ma droite. J’y entre .

– Je viens d’être attaqué par des brigands de grands chemins, ils ont massacré mes compagnons, je n’ai plus un sou ! Annonçais-je.
– Et dans ce cas que puis-je faire pour toi ? Me répond la plantureuse patronne du lieu
– Il faut que je gagne Paris…
– Tout droit sur la droite.
– J’aurais aimé me reposer…
– Sans argent ça risque d’être compliqué.
– Je peux faire la vaisselle, le ménage…
– On a déjà ce qu’il faut pour ça
– Alors tant pis ! Quelle est la bonne route ?
– Je viens de te le dire ! Tout droit sur la droite. Mais il y a une journée de marche.

Un type vient alors chuchoter je ne sais quoi à l’oreille de la patronne.

– Je te fais une proposition. Me dit la patronne. Tu baises avec ce beau jeune homme, tu me files la moitié du prix de la passe et avec le reste tu pourras manger et dormir.

Je regarde le bonhomme, ce n’est pas Appolon, mais il y a pire. Je lui adresse un sourire idiot.

– Alors, on y va ? Je rêve de vous prendre dans mes bras.
– Profitez ainsi d’une jeune femme en détresse ! N’avez-vous point honte ? Minaudais-je sans grande conviction.
– Ma foi non puisque tout le monde y trouve son compte.
– Bon, vous y allez ou pas ? S’impatiente la patronne.
– On y va, on y va ! Répondis-je
– Venez, je vais vous ouvrir une chambre, mais d’abord les sous, jeune homme !.

– Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? Demandais-je au bonhomme.
– Que je vous baise !
– J’entends bien mais souhaitez-vous quelques spécialités ?
– Les pieds !
– Quoi les pieds ? Vous voulez me donner des coups de pieds ?
– Mais non, les lécher.
– C’est bon, on y va ! Je me déshabille ?
– C’est la moindre des choses !

S’il le dit…

Margot11
Une fois nue, (et lui aussi) je m’assois sur le bord du lit et lance mes petites gambettes à l’horizontale afin qu’il puisse les contempler.

Ça lui fait un de ses effets, sa bite est déjà en érection. Il se penche m’attrape le pied droit et le couvre de baisers…

– Ne me chatouille pas, tu seras gentil !

Et le voilà qui se met à me gober les orteils… Il n’est pas difficile le gars, mes pieds ont transpiré et ne sentent pas vraiment l’eau de Cologne.

C’est au gros orteil qu’il donne sa préférence, il le suce, l’enduit de salive et l’entortille avec sa langue, comme s’il pratiquait une fellation… Et ça le fait bander le garçon, il en a le gland tout violacé !

– Je n’en peux plus ! Ecarte tes roseaux que je pêche au large !

Ce doit être un poète !

– Mon petit minou est indisponible, mais je t’offre mon trou du cul ! L’informais-je. (je suis une menteuse, il n’a rien d’indisponible, mais je n’ai nulle envie de me faire engrosser.)
– C’est vrai ! Je peux t’enculer ? Me demande-t-il tout en joie.
– Puisque je te le dis !

Et tout en parlant je me pose en levrette, le cul tendu, les cuisses ouvertes. Le gars passe derrière moi, me crache sur le trou de balle (quelle classe !) et m’enfonce son machin à l’intérieur. Par vraiment doux, le client !

Il faut croire que ses couilles étaient prêtes à déborder, parce que l’enculage n’a même pas duré trois minutes. Il a joui en hurlant comme un cochon qu’on égorge et s’est retiré avec un air idiot. Moi je n’ai pas joui, mais ne dit-on pas que les putes ne jouissent jamais avec leurs clients ?

– Alors comme ça, t’es en galère ? Me dit le type en se rhabillant.
– Une longue histoire que je n’ai pas trop envie de raconter. Il me faut à présent regagner Paris, mais c’est loin.
– Une diligence passe demain midi, tu pourras l’emprunter…

On redescend, la patronne interpelle le client.

– Ça s’est bien passé ?
– Fort bien, cette jeune femme a de bonnes dispositions…. Et un joli cul ! Et des jolis pieds.

Whah, mon égo !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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