Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:28

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 2 – Béatrice kidnappée par Maud-Anne Amaro

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Gérard et Florentine sont arrivés vers 18 heures. Ils ont apporté une bonne bouteille et des fleurs.

Bisous, bisous, l’ambiance est bon enfant.

– Faites gaffe, leur dit Béatrice sur le ton de la plaisanterie, notre cher professeur est en rut.
– Non c’est vrai ? Répond Gérard !
– Elle est gentille mais elle raconte n’importe quoi.
– On va vérifier ! Reprend Gérard en lui touchant la braguette. Non ça me parait calme là-dessous !
– Remarque, si tu continues à me tripoter, ça ne va plus être calme ! Précise Martinov.
– Je dois prendre ça comment ?
– Comme tu veux !

Du coup Gérard retouche la braguette du professeur mais cette fois la main s’active, ce qui évidemment fait bander notre vert professeur.

– Hé, les garçons vous n’allez pas commencer à faire des cochonneries ? Intervient fort hypocritement Florentine.

Fort hypocritement, disons-nous, car voir deux hommes se faire des choses est une situation qui l’a toujours excité. Et comme Béatrice est dans le même état d’esprit, on sent que l’ambiance commence à chauffer.

Florentine pose sa main sur le sein gauche de Béatrice par-dessus son tee-shirt, le pelote un tout petit peu, cherche le téton, le trouve et le pince.

Les visages des deux femmes se rapprochent, les lèvres se touchent, les bouches s’ouvrent et c’est maintenant le french-kiss bien baveux.

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Béatrice entraine Flo sur le divan où elles continuent à se bécoter en mode débraillé

Et pendant ce temps-là, Gérard a sorti la bite du professeur et l’a englouti dans sa bouche. Et il se régale, ce grand coquin ! Au bout d’un moment Martinov lui fait comprendre qu’il aimerait qu’on invertisse les rôles..

Pas de soucis, Gérard se redresse.

– On va monter dans ma chambre, on sera plus à l’aise ! Propose le professeur.
– D’accord on y va, vous venez aussi les filles ?
– On arrive, on arrive !

On se met à l’aise, on se débarrasse des vêtements superflus (y compris les soutifs contrairement à ce qui se passe dans les films américains !)

Certes le lit du professeur est un lit de taille standard pour deux personnes, soit 140 de large. N’empêche que quatre personnes là-dessus, ça fait trop de monde, alors, on se serre, on se gêne, on se bouscule, mais finalement on rigole et on s’adapte.

Béatrice et Florentine sont parties pour un soixante-neuf infernal (et ça en occupe de la place sur un lit de 140 !) Pendant que Martinov se régale de la bonne bite bien bandée de Gérard.

Quelques minutes plus tard alors que les deux femmes commencent à gémir de plaisir, le professeur cesse sa fellation et après avoir indiqué à son partenaire que les préservatifs sont toujours dans le tiroir du chevet, se place en levrette, offrent généreusement son cul..

Pensez-vous que Gérard va baiser le professeur come un sauvage ? Non, il sait faire preuve de délicatesse et commence à faire feuille de rose à cet anus accueillant. Martinov n’a rien contre, il adore qu’on lui lèche la rondelle. Puis sentant que le moment est venu et après s’être recouvert, il encule son ami d’une poussée énergique avant de coulisser comme il se doit..

Action ponctuée par les cris de diablesses en furie de Béa et de Flo qui jouissent comme des malades, avant de s’enlacer tendrement.

Une ambiance qui semble stimuler Gérard qui accélère sa cadence, qui transpire, qui souffle comme un bœuf et qui éjacule avant de se retirer et de se débarrasser de sa capote.

Béatrice ne peut alors s’empêcher d’aller nettoyer cette bite pleine de sperme, de sa petite bouche gourmande.

– Et moi, tu m’encules pas ? Minaude-t-elle.
– Faut que je récupère un peu, je boirais bien un verre de flotte !
– Descends te servir dans le frigo lui ! Répond Martinov.

Florentine s’est approchée du professeur.

– Alors mon Dédé (ben oui, le professeur Martinov se prénomme André) tu ne vas pas rester comme ça, avec ta bite à la peine ! Tu voudrais que je te fasse quoi, une branlette, une sucette ?
– Fais pour le mieux !

Alors Florentine s’empare du sexe du professeur et se met à le branler frénétiquement.

– Suce-moi, suce-moi ! Implore-t-il.
– Mais oui, mon Dédé !

Elle ne se contente pas de sucer, sa main droite est passé derrière et un doigt inquisiteur vient lui titiller le trou de balle.

A ce régime, Martinov ne peut plus retenir son plaisir et éjacule d’abondance dans la bouche de le belle Florentine qui aval tout d’un air satisfait.

Ce petit spectacle a émoustillé Gérard qui se masturbe nonchalamment. Et le voilà bientôt prêt à repartir pour un tour.

– Allez Béa, donne-moi ton dargeot que je mette ma bite au chaud !
– C’est de la poésie ?
– Je ne sais pas mais que tes fesses sont bien jolies !
– Tu peux entrer, c’est libre-service !
– Un bisou d’abord, un gros bisou sur l’anus !
– Mais bien sur mon Gégé, régale-toi !

La feuille de rose est rapide, Damme, il est excité comme un poux le Gégé ! Une capote, et hop ça rentre et ça bouge.

Et bientôt Béatrice se met à couiner de plaisir et à débiter des insanités.

– Oh que c’est bon de se faire enculer ! Continue, défonce-moi la pastille !

Bien sûr qu’il continue, et comme tout à l’heure, il transpire à grosses gouttes, se demandant s’il va finir par jouir. Il s’arrête quelques instants pour reprendre son souffle…

– Ne t’arrête pas !
– Je ne m’arrête pas, je fais une pause.
– Si tu n’y arrive pas, c’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent !

Il ne faut pas lui dire ça à Gérard, il a beau dire un peu partout qu’il n’est pas macho, mais là il est vexé dans son honneur de mâle dominant et du coup repart de plus belle en allant chercher des ressources on ne sait où.

Florentine s’inquiète de voir son compagnon le sang à fleur de peau, la respiration saccadée.

– Laisse tomber, Gérard, Béatrice ne t’en voudra pas !
– Je viens, je viens !

Effectivement il est tout proche de prendre son pied, et il termine en hurlant comme un cerf pendant sa nuit de noces, mêlant sa voix à celle de Béatrice qui vient de jouir du cul.

– J’ai soif ! Dit Gérard provoquant le rire de toute la petite assemblée
– Tu veux ma pisse ? Lui propose Béatrice le plus sérieusement du monde.
– Non, je vais descendre boire un verre d’eau gazeuse !
– Moi, je la veux bien ! Intervient Florentine !*
– Oh, toi, t’es une grosse coquine !
– Coquine, mais pas grosse !
– Viens ma belle !

Les deux femmes gagnent la salle de bain, Florentine s’assoit par terre et ouvre la bouche. Béatrice avait une grosse envie, ça dégouline un peu partout sur les seins, sur le ventre, enfin partout quoi, mais surtout dans la bouche… et la Florentine, elle se régale.

Un gros bisou après ça et tout le monde redevient sage !

Béatrice avait craint que le chèque de banque soit trafiqué, mais il fut encaissé normalement.

Et le jour suivant Béatrice et Gérard prenaient la route de Chartres. Moineau les attendait comme convenu devant la gare.

– Gérard Petit-Couture, mon compagnon qui a tenu à m’accompagner. le présente-t-elle.
– Enchanté, on m’avait parlé d’un expert ! Répond Moineau qui manifestement est loin d’être si enchanté que ça par cette présence.
– Je suis un expert en alliages métalliques ! Répond Gérard se raccrochant aux branches.
– Super ! Répond Moineau qui n’en croit pas un mot. Vous êtes venus comment ? En voiture ou par le train ?
– En voiture, on est garé un peu plus loin, là-bas.
– Ah, c’est parfait, j’habite un peu en dehors de la ville, je vous propose de me suivre, mais auparavant, j’ai quelques détails, disons contractuels à finaliser avec Mademoiselle Béatrice, les papiers sont dans ma voiture, c’est l’affaire de dix minutes, vous nous attendez…

Ni Béatrice, ni Gérard ne voient malice dans cette proposition. Ce dernier regagne sa voiture tandis que Béa suit docilement Moineau jusque à son véhicule.

– Voilà, je vous propose deux petites modifications mineures au contrat… ça ne devrait pas pose problème…
– Mais monsieur Moineau, pour l’instant il n’y a pas de contrat, nous sommes juste venus jeter un coup d’œil comme vous nous l’aviez suggéré.
– Oui, mais comme je n’ai aucun doute sur le fait que nous allons faire affaire, autant régler les petits détails sans attendre… si vous pouviez fermer la portière, on va gêner…

Béatrice ne voit pas trop en quoi la portière gênerait, mais la referme néanmoins.

– Je vais me garer un tout petit peu plus loin, on sera mieux ! Déclare Moineau qui démarre le véhicule et sort du parking.
– Oh vous faites quoi ? Gérard ne nous suit pas.!

Moineau sort alors d’on ne sait où une matraque en caoutchouc et assomme carrément la pauvre Béatrice.

Gérard ne réalise pas la situation de suite.

– Mais qu’est-ce qu’ils foutent ?

Quand il voit la voiture sortir du parking il ne comprend pas.

– Mais quoi, ils ne m’attendent pas ?

Il sort à son tour du parking, mais il n’a pas été assez rapide, la voiture de Moineau est déjà loin.

Désemparé, il téléphone à Bea, qui bien sûr ne répond pas. Moineau en profite pour lui subtiliser son portable et le jeter hors du véhicule.

« Un coup fourré, c’était un coup fourré… » S’exclame Gérard qui dans la foulée prévient Martinov.

– …Je te rejoins à Louveciennes, on va voir ce qu’on peut faire, annule tous tes rendez-vous et rassemble tout ce qui peut permettre de localiser ce Moineau.

Moineau s’est arrêté sur le bord de la route, juste le temps de passer la ceinture de sécurité autour de Béatrice qui est toujours sans connaissance, il en profite pour lui ligoter les poignets à l’aide d’un lien de serrage. Il lui administre ensuite une piqure pour l’endormir davantage.

Ce n’est que trois heures plus tard que Béa émerge.

– Putain, j’ai un de ces maux de tête… on est où ? Et pourquoi je suis attachée ?
– Calmez-vous dans une heure on sera arrivé…
– Mais répondez à mes questions, bordel ?
– T’auras toutes les réponses dans une heure !
– Non je les veux maintenant. Et arrêtez de me tutoyer ! Je ne suis pas votre copine !
– Si tu fermes pas ta gueule, je vais être obligé de te bâillonner.

Béa aperçoit alors le panneau sur la route : Limoges 70 km.

– Limoges ? Qu’est-ce qu’on va foutre à Limoges ?
– Acheter de la porcelaine ! Répond Moineau se croyant très drôle.
– J’ai envie de pisser.
– Retiens-toi !
– Je peux pas, je vais faire sur moi.
– Si tu me salis ma banquette, je te fous trois baffes.
– Abruti !

Béatrice parvient à prendre sur elle pour se retenir, mais c’est dur.

Moineau sort de l’autoroute 19 km avant Limoges et s’engage dans des routes tortueuses et peu fréquentées.

– Bon, je vais peut-être pouvoir pisser maintenant ?
– Mais bien sûr princesse, je vais me garer ici.

Moineau sort de la voiture et s’en va pisser contre un arbre, puis ouvre le coffre, en extrait une serviette qu’il parvient à glisser sous les cuisses de Béa

– Allez ma jolie, soulage-toi !
– Mais je vais inonder mon pantalon !
– On s’en tape !
– Vous êtes cinglé !

Elle ne peut plus se retenir et ouvre les vannes, moullant culotte et pantalon en plus de la serviette.

La voiture arrive au niveau d’un lieu-dit « le Jonc d’or » et pénètre dans une vaste propriété dont on ignore la destination première mais qui servait ces derniers temps de dortoirs pour colonies de vacances.

Deux individus libèrent Béatrice de ses entraves et la font sortir de la voiture. On la conduit ensuite à l’intérieur.

Dans une pièce décorée de motifs abscons trône une espèce d’emplumé sexagénaire chauve uniquement vêtu d’un pagne en cordes et paré de bijoux en toc.

Celui-ci regarde Béa d’un signe approbateur et fait un signe de connivence à son voisin de droite.

Bizarre, celui-ci, pas très grand, très brun avec une peau très pâle, le visage respirant la suffisance.

– Je suis Philippe Nalon, l’ambassadeur plénipotentiaire des Oulmars et voici le seigneur Abranka Woland, poursuit-il en désignant l’emplumé.

Béatrice ne répond pas, que voudriez-vous qu’elle réponde d’ailleurs, mais se demande chez quels genre de cinglés elle a atterri.

– Je vous explique la situation ! Reprend Nalon, vous n’allez pas croire un mot de ce que je vais vous dire mais qu’importe, il faut bien contextualiser le travail que vous allez devoir effectuer.
– Le travail ? Quel travail ? vous vous figurez quand même pas que je vais travailler pour des gens qui m’ont kidnappé ? Je ne suis pas votre esclave !
– Taisez-vous donc ! Ridicule créature !
– Vous savez ce qu’elle vous dit, la ridicule créature ?
– Bâillonnez-moi cette salope, sinon on ne va jamais y arriver.

Les gardes obéissent sur le champ et la pauvre Béa est bien obligée de se taire.

– La planète des Oulmars vit ses derniers moments, Véga, l’étoile autour de laquelle elle gravite ne va pas tarder à la bruler. Il faut donc qu’ils émigrent vers une planète de substitution. Cette planète sera donc la Terre. Seulement il n’y a pas la place pour 8 milliards de terriens et 3 milliards d’Oulmars. Les terriens seront donc éradiqués à l’aide d’un virus mortel à propagation rapide. Néanmoins une petite partie devra être épargnée pour des raisons diverses, ça ne devait pas excéder les 100 000 unités. Pour ce faire il nous faut donc un vaccin. Et c’est sur l’élaboration de ce vaccin que vous allez travailler.. Je suppose que vous avez des tas de questions ! Gardez les pour vous, nous ne répondrons pas. Nous allons vous retirer le bâillon, mais attention si vous n’êtes pas sage on le remettra.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 16:25

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 1- Envie pressante et client intrigant par Maud-Anne Amaro
Martinov

– J’ai envie de pisser, tu viens me la tenir ?
– Ben mon petit professeur ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Lui répond Béatrice.

Mais qui sont ces étranges personnages ? se demandera le lecteur peu averti…

Le lecteur averti, lui comprend que nous allons retrouver ici le professeur Martinov, sexagénaire original, inventeur génial et obsédé sexuel. On lui demanda un jour un fertilisant pour lapins, débordé de travail il embaucha Béatrice, une jolie blonde sortie de l’école de chimie et assez délurée avec laquelle il découvrit le « lapin dur ». Voulant expérimenter le produit chez l’homme il se « sacrifia » avec Béatrice, ce fut un ouragan érotique. Depuis ces deux-là ont fait fortune grâce à cette découverte et prennent plaisir à baiser ensemble sans qu’ils ne considèrent comme amant et maîtresse…

Et c’est parti… on reprend.

– Je suis envahi par des pensées libidineuses, et je n’ai pas envie de me soigner.
– Tu devrais prendre de la camomille !
– Berck ! Bon, tu ne veux pas me faire plaisir ? Se désole le professeur Martinov.
– J’ai du travail…

Effectivement Béatrice était en train de tripoter des éprouvettes, revêtue d’une simple blouse blanche par-dessus ses sous-vêtements

– Le travail ça se rattrape, et puis c’est l’affaire d’une minute ou deux !
– Ben voyons, on ne me la fait pas, ça commence en branlette et ça finit en levrette
– Bon, n’en parlons plus !
– Allez, je vais me dévouer, sinon tu vas être de mauvais poil toute la journée !

Ils entrent dans les toilettes, et Martinov se débraguette et sort sa bite flasque.

– Non, non pas comme ça ! Proteste Béatrice.
– Comment veux-tu que je fasse ?
– Tu baisses ton pantalon et ton bénouze
– Pourquoi ?
– D’abord parce que c’est plus esthétique et en plus ça me permet de te foutre un doigt dans le cul !

L’argument est imparable, et Martinov s’exécute..

– Ecarte bien ton cul que je te le doigte !
– Mais mon envie de pisser ?
– Retiens toi !

Béa se mouille l’index et pénètre l’anus du professeur avant de le faire aller et venir comme il se doit.

– C’est bon, hein ?
– Ouiii !
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite, n’est-ce pas ?
– Oh oui, une bonne bite que j’aurais bien sucé avant !
– Cochon !
– C’est malin ce que tu me fait, maintenant je bande, ça va pas être pratique pour pisser.
– Mon pauvre kiki ! Allez je ne te touche plus pendant une minute !

Et ça fonctionne, notre vert professeur débande quelque peu.

– Tu peux y aller maintenant !
– On y va, on y va !

Mais alors que Martinov pensait que Béatrice allait rester collée derrière lui, elle le contourne, s’accroupit devant lui et lui attrape la bite.Martino2901

– Tu fais quoi ?
– Moi aussi, j’ai le droit d’avoir des envies salaces ! Offre-moi ta pisse, mon petit professeur !
– Dans la bouche ?
– Ben oui, dans la bouche, pas dans les cheveux.

Petit moment de concentration au terme duquel le pipi de Martinov jaillit en un impertinent filet jaunâtre qui vient achever son parcours dans la bouche de notre charmante Béatrice.

– Hum, c’était bon, mais j’en ai foutu un peu partout, il va falloir que je me change, je vais chercher une blouse propre.
– Elle sont dans ma chambre ! Répond le professeur.
– Pourquoi dans ta chambre ?
– Je ne sais plus !
– Oh, toi tu es bizarre…

Et après que Béatrice eut enlevé sa blouse souillée, ils montèrent ensemble à l’étage… Et là sans autre préambule, la jeune femme se débarrassa de sa culotte et de son soutif et s’étala sur le lit.

– Tu fais quoi ?
– Tu crois que je n’ai pas compris ton petit manège, tu as envie de me sauter; alors allons-y ! A poil, mon petit professeur !
– Hi ! Hi !

Martinov se déshabille à la vitesse grand V. gardant uniquement ses horribles chaussettes.

Il vient sur lit se demandant par quoi commencer.

– Fait moi jouir, mon petit professeur, on verra le reste ensuite ! J’ai envie de ta bonne langue sur mon petit clito !
– On se met en 69 ,
– Si tu veux !

Et c’est parti ! La bite de Martinov est dans la bouche de Béatrice, laquelle se fait laper la chatte avec frénésie.

Et notre Béa de plus en plus coquine, après quelques énergiques mouvements de fellation change de cible et se met à butiner le trou du cul de son partenaire.

– T’aimes ça, hein vieux cochon ?
– Humpf, humpf.

Bien sûr qu’il aime ça, et cela l’encourage à s’appliquer davantage d’autant que la jolie blonde commence à emmètre des gémissements caractéristiques..

– Continue, continue !

Bien sûr qu’il continue, malgré le fait que Béatrice ait abandonnée toute action se laissant aller à la montée de sa jouissance.

Une jouissance fulgurante, elle crie, elle est en nage, elle est bien…

Et après quelques instants de récupération elle reprend sa fellation faisant juter la bite du professeur Martinov dans sa bouche gourmande, puis avalant tout ça avec un air canaille.

Et retour au boulot…

– C’est quoi le rendez-vous de 10 heures ? demande le professeur ?
– Un mec qui veut la composition d’un sceptre !
– Un spectre ?
– Non un sceptre, c’est un petit bâton que les monarques tenaient à la main, un symbole du pouvoir et d’autorité. Freud disait que c’était un substitut phallique…
– Ah ! Comme dans le sceptre d’Ottokar !
– Oui !
– Comme c’est de la chimie je te laisse conduire l’entretien…
– Mais bien sûr, mon petit professeur.

Le type arrive, un grand maigre avec une tête toute ronde, crâne dégarni, lunettes « sécurité sociale », costume éliminé, cravate ringarde

– Moineau, Jean-Bernard Moineau ! Se présente-il.
– Béatrice Clerc-Fontaine, enchantée, asseyez-vous, j’ai lu votre requête, vous m’avez apporté l’objet ?
– L’objet ?
– Ben, oui, le sceptre, c’est bien de cela qu’il s’agit ?
– Il n’est pas transportable.!
– Allons bon, et qu’attendez-vous de nous, alors ?
– Que vous vous déplaciez !
– Ce sera plus cher !
– Peu importe.
– Mais j’ai un peu de mal à suivre, pourquoi cet objet serait intransportable.
– Monsieur Woland ne me laissera pas l’en dessaisir.
– Et qui est donc ce monsieur ?
– Le propriétaire du sceptre.
– Autrement dit, vous voulez que nous analysions un objet qui ne vous appartient pas ?
– C’est plus compliqué que ça, j’ai acquis la certitude que ce sceptre est constitué d’un métal inconnu.

A ce stade, Béatrice en est à chercher la réplique qui mettra fin à cet entretien qui ne mène nulle part… mais elle n’est pas non plus à 5 minutes près et elle est curieuse de savoir jusqu’où le bonhomme ira dans ses délires.

– Monsieur Moineau, est-ce que je peux vous demander si vous avez des connaissances en physique-chimie et plus particulièrement en physique nucléaire ?
– Juste quelques souvenirs scolaires. Mais pourquoi cette question ?
– La table de Mendeleïev ça vous dit quelque chose ?
– Non. Mais quel rapport…
– Le rapport, c’est qu’un métal inconnu, ça n’existe pas et ça ne saurait exister. Je vais vous écrire « Mendeleïev » sur ce papier et vous vous renseignerez, je n’ai pas le temps de vous faire un cours…
– Mais si ça vient d’un autre planète ou d’une autre dimension ?
– La table de Mendeleïev est universelle, monsieur, elle s’applique à tout ce qu’il y a dans l’univers, les planètes, les étoiles.
– Alors là, pardon, je ne suis pas d’accord ! S’écria le bonhomme.
– Vous n’êtes pas d’accord alors que vous n’y connaissez rien ! Vous vous êtes trompé d’adresse, L’entretien est terminé, mon bon monsieur.

Mais Moineau reste collé sur sa chaise.

– Pourquoi prenez-vous plaisir à me rabaisser ?
– Je ne vous rabaisse pas, je vous dis ce que je pense.!
– 20 000 euros ce serait assez ?
– Pourquoi faire ?
– Pour vous déplacer et analyser ce sceptre.
– Paiement par chèque de banque ?
– Si vous voulez !
– Je vais me concerter avec le professeur Martinov, laissez-moi votre numéro de téléphone et allez prendre un café dans le coin, je vous rappellerais .

L’homme parti, Martinov, resté muet pendant l’entretien apostrophe Béatrice.

– Ça sent le coup fourré cette affaire, envoie le promener.
– 20 000 euros quand même !
– Justement ! Ou bien il est complètement fou ou alors il y a une grosse arnaque derrière. Dans les deux cas pas la peine de se bouger.
– J’aimerais bien savoir quand même ?
– Si tu as envie de prendre des risques inconsidérés…
– On va limiter les risques, je n’irais qu’après que le chèque de banque soit encaissé…
– Et s’il y a des risques physiques ?
– Je vais demander à Gérard de m’accompagner.

Nos lecteurs connaissent probablement Gérard Petit-Couture, ancien agent de la DGSE et très brièvement ministre, lui et sa charmante épouse Florentine sont des amis (très) intimes de Martinov et de Béatrice.

Vous voudriez qu’on vous décrive un peu Florentine (pour ceux qui n’ont pas lu leurs précédentes aventures) ? 1 m 75, un visage ravissant, la quarantaine, brune aux cheveux longs, des formes, du sourire, de la grâce et même des lunettes !

On fait donc revenir Moineau.

– On va peut-être prendre l’affaire, ça se passe où ?
– A Chartres, enfin, à côté. Vous viendriez quand ?
– Dès que le chèque de banque sera encaissé
– Euh je vais vous laisser un acompte de 1 000 euros en liquide, le solde quand j’aurais vos conclusions.
– Non, non si vous voulez me donner un acompte, c’est la moitié
– Un acompte de 5 000, ça le ferait ?
– On se croirait au marché aux tapis, mais bon, d’accord.
– Je file à ma banque et je reviens cet après-midi, donc je vous attends pour quand ?
– Après demain.
– Je vous attendrais devant la gare de Chartres.
– Ce ne serait pas plus simple de me donner l’adresse ?
– Non, vous risqueriez de vous perdre.
– Je ne serais pas seule, je viendrais avec un expert.
– Pas de souci.

Béatrice n’eut aucun mal à convaincre Gérard.

– On va passer vous faire un petit bisou avant de mettre tout ça au point, on pourrait faire ça autour d’une petite bouffe, vous êtes d’accord ?
– Mais bien sûr mon Gégé.
– Et Martinov aussi ?
– Cette bonne blague ! Bien sûr qu’il est d’accord !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 12 juillet 2025 6 12 /07 /Juil /2025 06:45

Les chasses du Comte Absalon par Firmin Dumigron
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Laissez-moi vous raconter cette délicieuse journée de débauche !.

Ah ! il convient que je me présente ! Je me prénomme Romuald, quarante ans, rentier, vivant en ménage avec Stéphanie.

Disons-le carrément, Stéphanie est une salope. Elle a de gros nichons et suce avec un savoir faire à couper le souffle, et ne manque pas d’en faire profiter mes amis. Son trou du cul est aussi accueillant qu’un syndicat d’initiative et elle se prête à tous mes jeux. Quand j’estime qu’elle n’a pas été sage, je la fouette, je la bondage, de toute façon elle adore ça !

Nous fréquentons les milieux libertins dans lesquelles se déroulent des partouzes souvent savoureuses, rarement décevantes.

Ce jour-là le Comte Boussemart de Voltran (ne cherchez pas, le nom a été changé) avait organisé une rencontre géante dans sa grande propriété du Val-Noisette. Pensez donc 18 couples ! Rien que ça !

Après que tous les invités soient arrivés, on ferma les grilles et le comte nous proposa un jeu divertissant qu’il intitula avec toute la poésie qui le caractérise « un lâcher de salope »

Le jeu se joue nu, mais nous gardons nos chaussures. On distribue à chaque homme un collier auquel est suspendu un feutre marqueur. (nous verrons pourquoi…) Ces dames sont invités à aller se cacher dans le sous-bois de la propriété. Les hommes seront « lâchés » un quart d’heure plus tard et devront s’efforcer de les rattraper..

Chaque femme rattrapé par un homme devra se laisser faire et accepter une pénétration ou une fellation puis sera marqué au bras avec le feutre. L’homme se marquera à son tour

Le femme la plus marquée sera fouettée devant tout le monde et se doit de préciser le comte « ne craigniez rien, mesdames, la punition sera dure, mais il n’entre pas dans nos intentions de vous abimer, cela doit rester un jeu.

L’homme qui sera le moins marqué aura pour gage d’être sodomisé devant tout le monde par un vit qu’il aura préalablement pris en bouche.

On demande à l’assistance si elle est d’accord. Deux couples se dégonflent. J’ignore où ils sont partis.

Le jeu peut commencer, ces dames courent vers le sous-bois, certaines était venues en escarpin, les pauvres, cela ne va surement pas les aider.

Un quart d’heure plus tard, le comte donne le signal de la poursuite. Imaginez seize gaillards, nus et la bite à l’air s’élançant comme des faunes en rut.

Le sous-bois ne permet pas énormément de cache, j’aperçois ma femme qui se fait alpaguer par un bellâtre. Elle se met en levrette par reflexe offrant son cul de déesse aux assaut du mâle. Joli spectacle qui me fait bander. L’homme excité comme un pou multipliait les coups de butoir faisant à chaque mouvement balloter les nichons de ma compagne et lui faisant pousser des miaulements de plaisir..

AbsalonJe serais bien resté à regarder, mais il me fallait aussi jouer le jeu, j’avais ne jolie rousse finissant de gober la bite de son partenaire, ses lèvres dégoulinant de sperme. Elle se redresse m’aperçoit et tente de s’enfuir, mais gênée par ses hauts-talons, elle ne peut aller bien loin. Je la rattrape facilement et l’immobilise, elle se laisse faire et je la caresse, la plote et la doigte avant de la baiser.
.
Je lui marque le bras avec mon feutre et j’oublie (volontairement) de me marquer moi-même.

J’aurais du me retenir de jouir, je n’ai plus 20 ans et j’ai besoin d’un temps de récupération pour recommencer. Alors je chemine dans le sous-bois dans lequel le gazouillement des petits oiseaux est remplacé par les râles de plaisir de la meute des partouzeurs.

Je crois de nouveau mon épouse qui se fait baiser tout en suçant une autre larron. Je regarde son bras, elle a déjà trois marque de feutre, avec ces deux là on va arriver à cinq… et peut-être davantage…

Mais un coup de sifflet strident annonce la fin du jeu. Nous sortons tous du sous-bois pour rejoindre le perron de la propriété.

Le comte nous fait lever les bras et compte les marques. Notre couple s’est distingué, Cinq marques pour Stéphanie, et aucune marque pour moi (puisque j’ai triché)

On demande à deux hommes de servir d’officiant afin d’attacher Stéphanie contre une sorte de portique, puis l’un des deux se saisit d’un fouet à lanières multiples et nous offre le charmant spectacle du fessier de mon épouse qui rougit sous les coups..

Puis le comte prend la parole et m’indique que je suis dispensé de gage, la tricherie paraissant manifeste.

M’en voilà contrit, mais alors qu’on nous propose de nous diriger vers le buffet, un des participan s’approche discrètement de moi et m’indique qu’il peut me donner mon gage.

Sa bite était délicieuse, et il m’a enculé avec fougue

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Samedi 7 juin 2025 6 07 /06 /Juin /2025 08:05

Partouze savoyarde par Sylvain Zerberg
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Bonjour, je suis Vincent, 34 ans. Sorti d’une procédure de divorce pénible, je voulais profiter de mes vacances d’été pour me reconstruire.

J’avais choisi de louer dans un gite rural de Haute Savoie. Le site internet précisait que de très nombreuses randonnées s’y offraient pourvu que l’on soit amoureux de la nature.

Je suis arrivé le soir et après une bonne nuit réparatrice et un copieux petit déjeuner, je choisissais complétement au hasard l’un des chemins de randonnées. Je m’étais habillé léger, short et polo, mais bonnes chaussures de marche. Mon sac à dos renfermait un en-cas pour le midi et un sérum anti venimeux (j’ai toujours eu la trouille des serpents)

On m’avait indiqué que je croiserais problèmes des chamois. Tant mieux, j’adore les bêtes ! Après une heure de marche dans les pentes escarpées, je parvins à un petit faux-plat.

Mais ce faux-plat était occupé, non pas par des chamois mais par une étrange petite compagnie à l’arrêt. Quatre hommes et une femme, tous entre trente et quarante ans, et plutôt décontractée puisque la dame avait les seins à l’air et que l’un des types était complétement nu. Il y a aussi un gros chien de race interminée.

Bon je ne voudrais pas déranger, je vais pour croiser le groupe, on se salue comme c’est la tradition en montagne.

– Je m’appelle Sonia ! Me dit la fille.

Elle est vraiment très belle, brune, frisée, yeux bleus, sourire ravageur et des seins qu’on dirait des obus.

– Moi c’est Vincent ! Bonne journée.
– Me regarde pas comme ça, tu vas avoir une attaque !
– Que voulez-vous, je ne suis pas de bois.
– On s’apprêtait à faire une petite sauterie, si tu veux regarder ou participer tu es le bienvenu.
– Une sauterie ? Demandais-je n’étant pas certain d’avoir compris.
– Une partouze, quoi !
– Ben…

Je ne sais ni quoi dire, ni quoi faire ! Sonia, elle le sait, et me fout carrément sa main sur la braguette de mon short.

– Mais ça bande, ça !

Ce qui n’était pas tout à fait exact, disons que ma bite était demi-molle avant qu’elle ne me tripote et qu’elle s’est mise à bander quand elle m’a touché.

N’empêche que j’hésite toujours ! On est un peu con parfois…

– Allez, reste avec nous, j’aime bien quand il y a des nouvelles queues !

Je fais un petit signe de tête marquant mon acquiescement

Sonia retire sa petite culotte et invite la petite compagnie à se dénuder, puis en véritable maitresse de cérémonie se met à distribuer les rôles.

– Roland, tu étends une serviette et tu t’allonges dessus, Cédric tu passeras derrière, et Serge tu passeras devant. Les autres vous attendez votre tour.

Et c’est la mise en place.

Roland s’allonge, Sonia après s’être assurée de la rigidité de sa bite par quelques mouvements de branle s’empale dessus et remue doucement en position penchée. Cédric se pointe, bite en avant et l’encule tandis que Serge offre son sexe aux lèvres gourmandes de la belle brunette.

Evidemment je ne suis pas insensible au spectacle de cette fantaisie érotique et je bande comme un cerf. Gilles qui n’a pas eu l’honneur de faire partie de ce savant quatuor est à mes côtés et se branle nonchalamment.

Il a une très belle bite, ce citoyen, et du coup me reviennent en mémoire quelques séances de touche-bites de ma période étudiante. Un jour, Michael, un de mes camarades de fac m’avait montré en coup de vent des photos pornos vintage très explicites.

– Hé, je n’ai pas bien vu, pourquoi tu les ranges ?
– On peut les regarder dans un endroit tranquille si tu veux, t’as une idée ?
– Il n’y a personne à la maison cet après-midi, on peut y aller.

C’est ce que nous avons fait, sur place on a regardé les photos et on s’est mis la bite à l’air. Quand Michael m’a suggéré que je le suce, je n’ai même pas hésité, je l’ai sucé, et des années plus tard je me souviens encore de cette impression dans ma bouche, je faisais quelque chose de pervers et je me régalais. il m’a sucé à son tour, et quand il m’a proposé de m’enculer, j’étais tellement excité que j’ai accepté spontanément. L’introduction a été un peu déplaisante au point que j’ai voulu arrêter la chose, mais rapidement la douleur a fait place à un étrange trouble et finalement j’étais ravi de cette première sodomie.

Cette petite fantaisie fut ma seule expérience gay pendant des années, jusqu’au jour où trainant dans le quartier des sex-shop à Paris, j’entrais et par curiosité descendais au sous-sol de l’établissement qui était équipé de cabines vidéo projetant des films qui n’avaient rien à voir avec les journées mondiales de la jeunesse catholique. Il y avait aussi une petite salle « collective » d’une douzaine de places. Certaines cabines étaient entrouvertes. Je passais devant l’une d’elle où un senior se régalait de la bite d’un jeune homme. Bien sûr je bandais très fort, Dans une autre cabine un monsieur en costard cravate se branlait ostenssiblement en se plaçant de façon à ce qu’on voit bien sa bite. Je restais en arrêt devant l’entrée de sa cabine. Il me fit signe d’entrer, tel un zombie je rentrai et lui touchai le sexe, il me demanda si je suçai. Je répondis « oui » d’un signe de tête et j’embouchai ce membre magnifique.

– Tu veux que je t’encule ? Me demande le type.
– Si t’as une capote, je veux bien !
– D’accord, on va faire ça devant tout le monde.

On est allé dans la petite salle et il m’a pris comme une chienne devant les quelques spectateurs présents qui bien sûr s’astiquaient le manche…

Je me suis branlé jusqu’à la jouissance pendant qu’il m’enculait et j’ai quitté l’établissement en proie à des pensées contradictoires. D’un côté je suis toujours amoureux fou des jolies femmes et de l’autre je me demandais si je n’étais pas en train de vire ma cuti (quelle expression débile !)

J’ai donc décidé de rester tranquille et de ne plus tenter le diable. Et comme toutes les bonnes résolutions, j’ai tenu… trois semaines. Avant de retourner sucer des bites et de me faire prendre dans le même établissement.

J’ai ensuite bénéficié d’une belle promotion malheureusement assortie d’une mutation dans une ville moyenne de province. Là-bas peu d’endroits de drague et puis dans ces patelins où tout le monde se connait je ne désirais pas me faire remarquer. Je suis donc resté bien sage.

Et après ces petites réminiscences, revenons à la montagne.

– Elle te plait ma bite ? Me demande Gilles
– Elle est belle !
– Ça t’intéresse ?
– Pourquoi pas ?
– Tu veux me sucer ?

Vous pensez bien que je n’ai pas hésité, et l’instant d’après j’avais sa bite dans ma bouche ! Quelle sensation de sentir de joli cylindre de chair coulisser entre mes lèvres, de le taquiner de ma langue.

Et tandis que je le suce, on entend les jappements de plaisir de Sonia. Elle vient de faire juter la bite de Serge dans sa bouche et d’avaler son sperme. Elle s’apprêtait probablement à faire appel à Gille ou à moi pour le remplacer, mais se rendant compte que nous étions fort occupés l’un et l’autre, y renonça et accentua la cadence des ses mouvements.

Du coup Cédric pris son pied à son tour et décula, il passa devant Sonia afin que celle-ci lui nettoie sa bite gluante de sperme. Puis ce fut le tour de Roland tandis que la belle brune gueulait son orgasme si fort que l’écho de la montagne lui répondit..

– Non mais regardez-moi ces deux pédés ! Indiqua-t-elle après quelques minutes de récupération. Encule-le, je suis sûre qu’il aime ça !

J’abandonnais ma fellation et voulant montrer ma disponibilité, je me plaçais en levrette, cuisses écartées. Gilles habilla sa bite d’une capote, puis vint me lubrifier le trou de balle de sa langue avant de me pénétrer à la hussarde. Il a joui un peu vite… Dommage…

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.

Sonia se mis à genoux et fit venir les garçons autour d’elle. Je vins aussi.

– Et maintenant pause pipi !

Je ne sais plus qui a commencé le premier mais un jet de pisse suivit d’autres fusa sur le visage de Sonia qui en avala maintes rasades

– A mon tour de pisser ! Annonça la belle en se relevant. Un volontaire ?
– Moi ! Se proposa Serge.
– Je ne ferais peut-être pas que pipi ! Ajouta-t-elle.
– Je prends le risque !

Serge s’allongea sur la serviette. Sonia s’accroupit au-dessus de sa bouche et ouvrit les vannes libérant un joli filet doré que le coquin ingurgita comme il se doit.

– Bouge pas, je sens que je vais faire un beau boudin !
– Je ne bouge pas.

Sonia pousse, son anus s’ouvre, un petit étron demande à sortir, elle pousse encore et cette fois c’est un long boudin marron qui dégringole sur le visage de l’homme. La femme plonge son doigt dans le caca puis le lèche avec un air de défi.

– Hum ! pas mauvais ! Maintenant tu vas me servir de papier à cul, lèche mon cul !

Ce qu’il fit sans problème, je supposais alors qu’ils n’en étaient pas à leur coup d’essai.

Après ces joyeuses turpitudes, la petite assemblée me proposa de partager leur casse-croute du midi. J’acceptais et j’appris alors qu’à l’exception de l’un d’entre eux, ils se connaissaient tous, étant internes, infirmiers ou aides-soignants à l’hôpital de Clermont-Ferrand.

Certains s’étaient plus ou moins rhabillés, pas Sonia qui après avoir dévoré son sandwich manifesta le désir de se faire bronzer. Elle s’étendit sur la serviette, cuisses écartées, sa chatte charnue en évidence.

EstelleC’est alors que le chien que l’on n’avait pas entendu jusqu’alors vint renifler sa maîtresse et par l’odeur alléchée entreprit de lui lécher le minou.

– Qu’est ce que veux mon chien ? Oh quelle langue !

Au bout d’un moment le chien se mit à trépigner sans raison. Sonia lui attrapa la bite entre ses pattes arrière et l’introduisit dans sa bouche afin de la sucer..

Puis au bout d’un moment, excitée comme une puce, elle se mit en levrette offrant sa chatte aux assauts du chien qui tel un métronome la couvrit en cadence.

Apprès tout cela je suis redescendu. Je n’ai pas croisé les chamois, mais me suis dit que mes vacances commençaient bien.

fin du délire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 31 mai 2025 6 31 /05 /Mai /2025 09:30

Prise par deux chasseurs par Claire N
Voy

Bonjour je m’appelle Iris. Je suis brune et j’ai 25 ans. On dit que je suis plutôt bien foutue, et je suis de nature plutôt soumise.

Comme tous les lundis je me rend dans une petite salle de gym pour maintenir ma forme. Arrivée dans les lieux, j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires des femmes pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements afin de savoir ce qui se passe. Les bruits viennent du vestiaire d’à côté (évidemment). Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes y batifolent allégrement. Curieuse de nature (et un peu voyeuse, on va dire) je m’assois par terre et sort de mon sac mon téléphone portable que je branche en position photos. Je peux ainsi constater que cette femme est en très bonne compagnie. Un homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents. Et une des mains de son partenaire est sur la bouche de la femme pour étouffer ses gémissements. Le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit la bite et la dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre.

Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas. De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus masquer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence finit sur le visage la femme. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et fini par enfouir le sexe entier entre ses lèvres afin de le nettoyer.

Ils s’épongent et sortent. Je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduit ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied.

Remise de mes émotions je termine de me changer et me rend dans la salle. Je passe devant les deux amants. Je ne peux m’empêcher de les regarder. Ils s’en rendent compte. Ils ne me quittent plus des yeux. Ils ont dû deviner que je les ai regardé. Je rougi d’abord. Je leur tourne le dos et me livre à quelques exercices mais mes pensées deviennent très vite érotiques voir porno.

Au bout d’un quart d’heure, n’ayant vraiment pas la tête à la gym, je décide de partir. Je repasse donc devant le couple en ne les quittant pas des yeux. Je me change et sort de la salle. Comme je le pensais les deux tourtereaux sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portes et monte derrière. Ils sont près de moi ! J’ai mis les clefs sur le contact. L’homme a compris et s’installe au volant, la femme à ses côtés.

– Tu veux jouer les salopes ! Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme.

On est encore en plein centre-ville et il y a beaucoup de monde dans les rues, mais j’obéis et me dénude. Le type fait le tour de la ville et à tous les feux rouges je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur déréglé je sens le regard de l’homme se poser sur moi. La femme est restée silencieuse et je pense pensive. Il gare la voiture au bord d’un petit bois.

– Descends ! Me dit le type !
– A poil ?
– Ben oui !

Je sors du véhicule et il me fais signe de m’installer sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de Klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux chasseur arriver. Petit conciliabule entre le couple et les nouveaux arrivants. Puis le quatuor se dirige vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux chasseurs tombent leurs pantalons exhibant des bites déjà bien bandées.

IrisToujours sur le capot; l’un des chasseurs rectifie ma position. Je suis sur le ventre, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les lèche l’une après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux chasseurs se bousculent légèrement pour profiter ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait pivoter sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il n’est pas très doux et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bucheron. Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours sans délicatesse m’encule. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, commence par poser son gland devant mon clitos et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêver d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses mouvements et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Le deuxième chasseur éjacule sur mon ventre.

Est-ce terminé ? Non les deux chasseurs ont envie de pisser.

– Ouvre ta bouche, salope !

La salope fait de qu’ils demandent et je reçois tout leur pipi dans ma mignonne petite bouche. Puis les chasseurs repartent comme ils sont venus, sans ajouter un mot.

La femme se dirige vers moi et me roule une pelle tout en me caressant partout, elle m’entraine sur la banquette arrière de la voiture où elle me demande de lui brouter la chatte et de lui enfoncer un doigt dans le cul.

Pas de problème ! Cinq minutes plus tard, madame hurlait son plaisir.

– On te ramène en ville ! Me propose l’homme.
– Oui !
– T’aimerais qu’on te paye le restau ?
– Pourquoi pas ?

Fin

Rewriting d’un brouillon intitulé « Le vestiaire » trouvé sur le Net

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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