Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:49

Chanette 30 – La disparition de Carole – 7 – Carole et Sauvignon par Chanette
Stamp sodo

Sauvignon est propriétaire du Cabaret 27, un rade dans le 17eme qui à partir de 23 heures se mute en club échangiste. Didier Remiremont s’y rend vers 18 heures et demande à voir le patron.

Auparavant Remiremont s’est renseigné auprès de ses contacts discrets à la police. Il apprend que Sauvignon possède un casier judiciaire vierge et qu’il n’a jamais fait l’objet d’une quelconque enquête.

Le maître des lieux accueille le détective avec jovialité.

– Que puis-je pour votre service ?
– Je suis détective privé et j’enquête sur la disparition d’une jeune femme au cours d’une petite partie fine à Lacanau.
– Ciel ! Et qui puis-je ?
– Je voulais simplement savoir si vous aviez remarqué quelque chose d’anormal pendant cette soirée..
– Impossible !
– Pardon ?
– Je n’ai pas pu remarquer quoi que ce soit, j’ai fait mon petit speech et je suis parti, j’avais un rendez-vous à l’extérieur.
– Ah ?
– Ben oui.
– Mais la partie restait encadrée par quelqu’un ?
– Bien sûr ! Monsieur Lisieux est resté en permanence… il fallait bien quelqu’un pour fermer les portes après le départ des gens… et puis nous avions embauché un vigile sur place…
– Peut-être pourrais-je avoir leurs coordonnées afin de leur demander…
– A quoi bon ? Je veux bien vous les fournir, mais qu’est-ce qu’ils vont vous dire de plus ? S’il s’était passé quelque chose de bizarre, j’en aurait été informé. Votre disparue est probablement partie conter fleurette avec son amoureux du moment…
– Et comme par hasard, son téléphone a cessé de fonctionner ?
– Ecoutez cher monsieur, on ne répond pas au téléphone quand on baise, voyons !
– Sauf qu’elle ne baise probablement pas en continue depuis sa disparition… et sauf qu’elle ne répond pas aux messages qu’on lui adresse…
– Oui évidemment, vu comme ça, c’est préoccupant… Elle est peut-être dans une zone où il n’y a pas de réseau.
– Depuis tout ce temps ?
– Ou alors elle l’a perdu ou cassé…
– Dans ce cas, elle se serait manifestée autrement d’une façon ou d’une autre…
– Oui, évidemment. Cela peut être grave en effet, et je ne demanderais pas mieux de vous aider, mais je ne vois vraiment pas comment ? Nous ne pouvons pas poster un vigile derrière chaque personne, ce sont des adultes.
– Certes.

On s’est retrouvé au studio en fin d’après-midi. Karine, Tanya et Didier ainsi qu’Anna et Valentin.

– J’ai demandé à deux de mes enquêteurs d’interroger le responsable de la soirée et le vigile. Ça n’a rien donné. L’hypothèse d’un acte malveillant commis par un voyou me semble devoir être privilégiée, ce qui ne va pas faciliter l’enquête… indique Didier Remiremont.
– Donc les organisateurs n’y seraient pour rien ? Intervins-je.
– On ne peut jurer de rien, mais à priori, on a aucun élément pour les incriminer. Ce que je propose c’est que chaque enquêteur nous fasse un compte-rendu détaillé de ce qu’on lui a raconté et on verra si ça correspond à votre vécu.

C’est Tanya qui commence. Elle n’omet aucun détail et raconte sa rencontre avec Jérémy d’une voix tellement monocorde que je failli m’endormir.

– …Quand je lui ai demandé comment il avait eu vent de cet événement, il m’a répondu qu’il avait trouvé un flyer dans sa boîte aux lettres…
– C’est un mensonge ! M’écriais-je.
– Pardon ?
– Il y avait bien un flyer, mais en fait il en avait toute une pile au moins cinquante sur un coin de table.
– Donc ce type nous ment. Commente Remiremont.

Trop fort le mec !

– Et s’il nous ment sur ce point, il peut aussi bien nous mentir sur le reste. Reprend-il. Un mec qui possède un stock de flyers doit jouer un rôle clé dans cette organisation. On nous cache quelque chose, il faut revoir ce type et revoir aussi Sauvignon.

– Ah, au fait ajoute Karine à l’adresse d’Anna, cette Jackie m’a fait passer un message, elle ne serait apparemment pas fâchée de vous rencontrer de nouveau.
– Ah, oui ? Et pour quel motif ?
– A mon avis, elle est complétement nympho, mais qui sait, peut-être apprendrez-vous quelque chose…

Tout le monde a terminé son rapport. Il faut donc tout reprendre à zéro.

Sauvignon étant absent, Didier Remiremont décide de rendre visite à Jérémy en compagnie de Tanya.

– Encore vous ! Je n’ai plus rien à vous dire, je voudrais bien être tranquille !

Il va pour claquer la porte, mais le détective la bloque avec son pied. (classique !)

– Vous ne nous auriez pas raconté des mensonges, nous n’aurions pas été obligé de revenir.
– Je ne vous ai pas dit de mensonges…

Didier et Tanya sont entrés en force.

– Premier mensonge, ton flyer ne venait pas de ta boîte aux lettres. D’accord ?
– D’abord, je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer, ensuite on me l’a refilé dans la rue, qu’est-ce que ça change ? S’agace le type.
– Et le mec dans la rue, il t’en a distribué cinquante ?
– Ah ! Et c’est ça que vous considérez comme un mensonge ?

Bizarrement, le gars paraît rassuré.

– C’en est un, non ?
– Si vous voulez, mais quelle importance ? Un gars distribuait des flyers, il avait l’air perdu et manifestement il ne connaissait pas la ville, il m’a demandé si je serais d’accord pour assurer une partie de la distribution.
– Comme ça, gratuitement ?
– Bien sûr que non, il m’a filé la pièce…

Remiremont est sur le point de voir sa piste partir en sucette, mais il aime bien enfoncer des clous.

– Ce mec vous pouvez me le décrire ?

Et là son visage change soudain d’expression.

– Me rappelle plus.
– Grand, gros, jeune, vieux ?
– Je vous dis que je ne me rappelle plus.
– Allons, allons, il n’était pas transparent ce type ?
– Bon, foutez-moi la paix je ne veux pas d’ennuis, laissez-moi maintenant.
– Vous vous figurez que vous allez avoir des ennuis si vous me décrivez ce bonhomme ?
– Parfaitement ces gens-là sont dangereux, c’est un milieu de tueurs.

Imaginez la stupeur des deux détectives devant ces propos complètement inattendus !

– Il faut nous expliquer mieux, là !
– Vous voulez vraiment mettre ma vie en danger ?
– Mais pas du tout, nous sommes aussi là pour protéger les gens. Bluffe Didier
– Ah oui, et de quelle façon ?
– Ça va dépendre de ce que vous allez nous raconter.

Jérémy prend une profonde inspiration :

– Quand la partie a commencé, j’ai vu de la drogue circuler, c’est pour cela que je suis parti.
– Mais comme personne ne peut savoir pourquoi vous avez quitté les lieux, je ne vois pas bien ce que vous risquez ? Rétorque le détective.
– Bon, le mec des flyers c’est un grand maigre, c’est lui qui filtrait les entrées à la partie.
– O.k. rien d’autre ?
– Non.
– Et la fille qui a disparu, t’as rien à nous dire ?
– Pas grand-chose, balbutie le type.
– Pas grand-chose c’est mieux que rien du tout. Raconte-nous.
– Vous m’embarrassez.
– On est jamais venu, on ne se connait pas et notre source ce ne sera pas vous.
– J’ai simplement vu le grand maigre présenter cette jeune fille à l’orateur, ensuite ils sont allés ensemble je ne sais où, puis je vous dis je suis parti quand j’ai vu la drogue circuler.
– Eh ben, voilà.

La piste était donc Sauvignon qui mentait comme un arracheur de dents en prétendant ne rien savoir de Carole.

Une petite enquête auprès de quelques fonctionnaires bien placés permit à Remiremont de connaître son patrimoine immobilier, le type possédait outre son cabaret échangiste, deux appartements à Paris et trois maisons de campagne à Deauville, Megève et en Sologne. Et comme en ce moment il était absent de son cabaret, on imagine le pain sur la planche.

Mais six adresses, ça ne fait jamais que six enquêteurs ! Il suffit d’être patient.

Flashback

– Monsieur Sauvignon aimerait faire votre connaissance.
– Qui c’est celui-ci ?
– L’orateur.
– Ah ! Et que me veut-il donc ? Demande Carole.
– Vous saluer. Ça ne vous engage à rien.
– Alors allons-y.

C’est vrai qu’il est beau, Sauvignon, la quarantaine, cheveux bruns mi longs, regard de braise, sourire permanent, il émane de son personnage une sorte de douceur rassurante.

– Me ferez-vous l’honneur d’être ma partenaire ce soir ?
– Pourquoi pas ?
– Je ne vous fais pas peur ?
– Pas du tout.
– Je rêve déjà de vous déshabiller.
– Coquin !
– Un coquin qui aime bien les coquines. On va monter, je n’ai rien contre les exhibitions, mais l’intimité ce n’est pas mal non plus.
– C’est comme vous voulez.
– Au moins vous n’êtes pas compliquée, vous.
– Pas trop non.

La chambre est spartiate, sans doute celle-ci devait être occupée par un moniteur de colonie de vacances, un lit, une petite table, une unique chaise « bas de gamme », un petit placard avec un verre à moutarde, un cendrier et des cachets non identifiés et dans un coin un lavabo minuscule. Quant à la literie, il ne fallait pas être trop difficile, pourtant tout se passa fort bien :

– Vous possédez un corps de rêve.
– N’exagérons rien.
– Si, si vous auriez pu faire du cinéma.
– Du cinéma porno ?
– Ou du normal.
– Parce que le porno ce n’est pas normal ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Alors ça va, je suppose que vous voulez voir mes nénés ?
– Vous supposez fort bien !

Carole enlève son haut, exhibant sa poitrine de rêve aux yeux concupiscents de Sauvignon.

– Pas mal, hein ! Il n’y a rien à jeter.
– Une merveille.

Et sans demander une quelconque permission, il se met à tripoter ses jolis globes.

– Vous allez me rendre fou…
– Allons, allons, ce ne sont que des nichons .

Il prend les bouts entre ses doigts et serre progressivement attendant la réaction de la fille.

Carole, loin de protester, se pâme de plaisir.

– Plus fort ! Gémit-elle
– Tu ne serais pas un peu maso, toi ?
– Un petit peu, un petit peu…
– Alors nous sommes faits pour nous rencontrer, je suis maître à mes heures.
– Et tu me ferais quoi ?
– Tout ce que tu aimes.
– Et ce que je n’aime pas ?
– Je ne te le ferais pas
– Voilà qui m’intéresse ! Donne-moi donc une petite fessée pour voir si tu es un bon maître.
– No problème, mets-toi en position que je te fasse rougir le cul

Carole s’exécute provoquant une nouvelle fois l’enthousiasme de son partenaire.

– T’as vraiment un cul à te faire de l’or !
– On me l’a déjà dit.
– Et ça ne te tente pas ?
– Ne pose donc pas de questions indiscrètes et occupe-toi de mes fesses.

Alors Sauvignon se mit à taper, Doucement d’abord puis de plus en plus fort, ne s’arrêtant que lorsque le joufflu vite au cramoisi.

– Hum, ça fait du bien, je suis trop excitée, tu ne peux pas savoir.
– Alors tu vas me sucer ma grosse bite.
– Oui, oui !

Il sort son engin déjà bandé se braguette.

Grosse ? Non ! Disons normale, peut-être légèrement supérieure à la moyenne mais sans exagération, Carole préférait, elle appréhende toujours les. bites trop grosses.-

– Tu aimes ça, sucer des bites ?
– J’adore …
– Non, dis-moi que tu es une suceuse de bites !
– Je suis une suceuse de bites.
– D’accord, on va voir comment tu te débrouilles.

Et elle se débrouille très bien, une fellation ce n’est pas juste sucer une bite comme on sucerait un eskimo glacé, et elle le sait très bien, faisant virevolter sa langue du gland jusqu’au couilles, puis pompant avec application. Elle lui mettrait bien un doigt dans le cul mais ne le fait pas pour deux raisons, la première c’est qu’elle n’est pas assez intime avec lui, la seconde c’est qu’elle ne souhaite pas que l’homme jouisse prématurément. C’est qu’elle a envie d’en profiter de son Appolon du Sud-ouest..

Chanette2607– Tu suces bien, t’est une bonne pute !
– Si j’étais une bonne pute, je te demanderais bien 100 balles.
– C’est vrai, tu les veux ?
– Non je ne te demande rien, mais si veux me payer, je ne vais pas aller refuser.
– Si t’es sage, je te donnerais la pièce, mais pour le moment je vais t’enculer.
– Avec capote ?
– Bien sûr !
– D’accord, mais vas-y doucement !
– Pourquoi ? Tu as la trouille que je te fasse mal ?
– Parfois ça fait mal !
– Je croyais que tu aimais la douleur ?
– Il y a douleur et douleur !
– Ah, bon ? Allez en levrette, ma salope ! Je vais t’éclater la rondelle.
– T’es vraiment un poète, toi !

Sauvignon s’encapote, il a devant lui le cul de déesse de Carole, il est admiratif et lui pelote les fesses avec déchainement, il les embrasse aussi et vient humer le petit trou brun avant d’y porter sa langue fouineuse.

Ivre de désir il approche sa bite de la cible et entre d’un coup de rein violent.

– Doucement, doucement.

Il entre à fond et commence ses va-et-vient en tentant de se maîtriser. Ses coulissements dans le conduit anal ne tardent pas à faire monter le plaisir de Carole qui accélère sa respiration et qui pousse des petits cris.

Sauvignon ne peut plus tenir, il sait sa jouissance imminente, alors il accélère, faisant crier la fille. Il se retire et se débarrasse de la capote.

– Nettoie moi la bite !
– Non !
– Comment ça « non » ?
– Non, c’est non !
– Tu n’aimes pas ça ?
– Je n’ai pas à me justifier… Et puis tu m’as bien baisé, tu devrais être content, qu’est-ce que ça va t’apporter de plus le fait que je te nettoie la bite ?

A ce moment -là Sauvignon parait contrarié, mais vraiment contrarié. Carole ne comprend pas

« Il n’y a vraiment pas de quoi en faire un plat ! »

Elle récupère ses vêtements.

– Ça donne soif tout ça, j’aurais dû prévoir du Champagne. Je vais boire un coup de flotte. Indique Sauvignon.

L’homme ouvre le petit placard, sort le verre, le remplis d’eau au lavabo, le bois…

– Il n’y a qu’un verre, j’aurais dû te servir en premier, je suis désolé.
– Pas grave !

Et Carole but à son tour son verre d’eau sans s’apercevoir que l’homme y avait glissé quelques gouttes d’une substance contenue dans sa chevalière.

« Et voilà le travail, dans une demi-heure, elle roupillera comme une marmotte. »

– Ça vous dirait une coupe de Champagne chez moi, je n’habite pas très loin ?
– Ah, bon ? Vous voulez remettre le couvert ?
– Vous êtes contre ?
– Ni pour ni contre en fait je ne sais pas trop !
– Chez moi, non seulement nous serons plus à l’aise, mais nous pourrons faire quelques fantaisies, puisque vous êtes un peu maso, je vous montrerais ma collection de joujoux, ils devraient vous plaire…
– Je ne suis pas si maso que ça.
– Ça tombe bien, moi je n’ai rien d’un tortionnaire.
– Alors tout va bien. Wāh j’ai un peu sommeil.
– Le Champagne va arranger ça, on y va ?

Les deux amants finissent de se rhabiller.

– Je vais téléphoner aux copines, je ne voudrais pas qu’elles s’inquiètent… putain qu’est-ce que j’ai foutu de mon téléphone, il était dans mon sac…

Elle le renverse, évidemment il n’y est pas, regarde sous le lit, fait et refait tous les gestes que l’on fait quand on a perdu quelque chose. Tout cela en vain naturellement.

– On me l’a piqué, putain j’avais tout mon carnet d’adresses… et puis je fais comment pour prévenir les copines ?
– Mon téléphone est dans ma bagnole, je vais te le prêter.

Mais une fois installée dans la voiture, Carole s’endormait déjà.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:46

Chanette 30 – La disparition de Carole – 6 – Karine avec Jackie… et sa fille par Chanette
bisou1719

Karine

Karine Levillain s’est habillée très classe, tailleur gris perle et chemisier blanc, elle à la main un grand sac qui ne contient pas grand-chose mais qui fait style. Elle sonne au domicile de Jackie Montgeron, celle-ci ouvre et jauge sa visiteuse.

– Vous n’avez pas lu le panneau ?
– Pardon ?
– Interdit aux démarcheurs, colporteurs et autres emmerdeuses.
– Je ne suis rien de tout ça, je suis détective privée. Répond Karine en exhibant sa carte professionnelle.
– Et alors ?
– Je voulais juste vous poser quelques questions…
– Je ne réponds à aucune question…
– Même lorsque la vie de quelqu’un est en danger ?
– C’est qui le quelqu’un ?
– Cette personne. Répond Karine en lui mettant sous le nez une photo stockée sur son smartphone.
– Connais pas !
– Vous ne connaissez pas mais vous l’avez peut-être aperçu.
– Je ne vois rien, je n’entends rien, je suis une tombe.
– Ok. Vous participiez à Lacanau à une partie fine…
– Oh ! Un, qu’est-ce que ça peut vous foutre et deux qui vous a raconté ça ?
– Si vous me laissiez entrer je pourrais vous répondre.

Alors là, Jackie est tiraillée, d’une part elle claquerait volontiers la porte au nez de cette pétasse, mais la curiosité est la plus forte, elle a envie de savoir et laisse entrer Karine.

– En fait, commence cette dernière, une femme a disparu pendant cette partouse, nous avons pu récupérer les identités de quelques participants…
– Comment ça ?
– Secret professionnel.
– J’aimerais quand même bien savoir comment ?
– Si vous répondez à mes questions je vous le dirais.
– D’accord, entrez cinq minutes… mais juste cinq minute, hein ?

Eh oui, la curiosité féminine…

Karine dévisage son hôtesse., Elle est en tenue très décontractée, jeans et pullover saumon très trop ample.

– Donc ce qui m’intéresse c’est de savoir si au cours de cette partie vous avez remarqué quelque chose de particulier, je veux dire quelque chose de pas ordinaire….
– Non, les gens étaient juste là pour tirer un coup.
– Et cette femme, ça vous dit quelque chose ?
– Oui, je l’ai remarqué.
– Vous l’avez vu longtemps ?
– Disons que je me suis très vite trouvée assez occupée.
– Donc vous l’avez perdu de vue ?
– On va dire ça comme ça.
– Comment vous est venue l’idée de vous rendre à cette partie ?
– Qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?
– Je demandais ça comme ça…
– Attendez, vous cherchez une nana qui a disparu et vous espérez la retrouver en me demandant pourquoi j’ai participé à ce truc ! J’avoue ne pas bien comprendre.
– C’était juste pour contextualiser.
– Et mon cul, il est contextuel ? On va s’arrêter là.

Karine est un moment décontenancée par ce brusque changement d’attitude. Elle se lève :

– Je vous laisse, mais vous ne saurez jamais comment nous vous avons identifié.
– Je m’en fous… euh non je ne m’en fous pas, rasseyez-vous une seconde… c’était quoi la question ? Comment j’ai su pour la partie ? Ah vous allez être surprise.
– J’adore les surprises.
– Eh bien c’est tout simple ! Figurez-vous que je connais très bien l’organisateur.
– Ah ?
– Ben quoi ? Et vous croyez que ça va vous aider ?
– Allez savoir ? Et ce monsieur Sauvignon il organise comme ça des petites séances dans toute la France ?
– Ah, vous connaissez son nom ?
– Eh oui !
– Je ne sais pas trop ce que vous cherchez en interrogeant tout le monde comme vous le faites, mais vous allez droit dans le mur.
– Et pourquoi donc ?
– Vous imaginez quoi ? Que Bertrand organise des soirées pour se livrer à la traite des blanches ?
– Bertrand ?
– Oui Bertrand Sauvignon.
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut raisonner, on réunit le maximum d’informations, ensuite on essaie de trier.
– Pff, Sauvignon est un doux rêveur, il en est resté à « peace and love », au départ il voulait créer une espèce d’organisation pour défendre ses idées. Mais ça ne marche pas. Les libertins n’ont pas besoin d’organisation, le libertinage est un choix individuel, pas collectif, mais vous ne pouvez pas comprendre ça, vous n’êtes pas libertine.
– Qu’est-ce que vous en savez ?
– Vous l’êtes ?
– A mes heures.
– Les hommes, les femmes ?
– Les deux.
– Les jeunes, les vieilles ?
– Qu’importe l’âge !
– Eventuellement je vous brancherais ?
– Ma foi pourquoi pas ! Vous êtes une belle femme. Répondit fort imprudemment Karine.
– Alors faisons-le !

Oups !

– Vous êtes directe, vous !
– La vie est courte, inutile de perdre son temps.
– Evidemment, c’est un point de vue, mais bon…
– Vous n’êtes pas motivée ?
– Disons que je suis un peu prise par le temps…
– OK mais avant de partir vous me devez une explication.
– Ma cliente est tombée sur votre carte d’identité…
– De quoi ?

Jackie se précipite sur son sac à main, en extrait son portefeuille et vérifie si sa carte d’identité est bien à sa place.

– Et en quelles circonstances votre cliente serait comme vous dites tombée sur ma carte d’identité ?
– En vous rendant visite dans votre logement de vacances
– La salope !
– Pardon ?
– Je ne vois pas bien comment ma carte d’identité aurait pu sortir de mon portefeuille ni comment le portefeuille aurait pu sortir de mon sac. Donc cette salope, je maintiens mes mots, a fouillé dans mon sac pendant que j’allais pisser.
– Écoutez, je vous ai donné la version de ma cliente, il ne m’appartient pas de la contester.
– N’empêche que c’est une salope ! Bon vous n’y êtes pour rien, je vais me faire un café, vous en voulez un ?

Et sans attendre de réponse, Jackie fila en cuisine pour revenir quelques minutes plus tard avec deux tasses bouillantes.

Les deux femmes sont face à face, Jackie trouve le moyen de caresser la main de Karine.

– Vous avez les mains douces !
– N’est-ce pas ? Et vous, vous avez de la suite dans les idées !
– En effet. Laissez-vous donc tenter.

« Elle ne va pas me les lâcher, mémère ! Mais je vais la dégoûter pour de bon…  »

– Ecoutez, je veux bien mais je me fais payer.
– Ce n’est pas un problème. Tu veux combien ?

Le lecteur ne sera pas sans remarquer ce passage au tutoiement fort circonstancié.

Et voilà notre Karine prise à son propre piège.

– 100 balles !
– Tu mérites mieux que ça, je t’en donne 200. Ça t’arrive souvent de faire la pute ?
– C’est très occasionnel.
– Je te demande ça mais peu importe, pose donc ton blouson et le reste sur le dossier de la chaise…

C’est ce que fit Karine avant de se poster devant Jackie…

« Ne pas me laisser dominer, c’est moi qui dois mener la barque ! »

Jackie lui déboutonne son chemisier, le fait glisser laissant apparaître un joli soutien-gorge en dentelle bleu-gris.

– Ça m’a l’air bien rempli tout ça !
– Je ne me plains pas !

Les mains de Jackie passent dans le dos de Karine, cherchent l’agrafe, la fait sauter, puis fait glisser le soutif.

– Quelles merveilles ! S’exclame la bourgeoise.
– N’exagérons rien.

Les mains se font caressantes, sa bouche s’approche, un petit coup de langue furtif sur le téton… Se sentant encouragée Jackie se met alors à téter carrément les jolis fruits offerts.

– Si vous enleviez tout ça ? Suggère Karine en désignant le pullover de sa partenaire.
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Pas de problème, elle retire le pull, le soutif suit.

– Ils sont moins beaux que les tiens…
– Mais non, mais non.

Et les deux femmes se pelotent mutuellement. Après le haut, c’est le bas qui se libère, les deux femmes sont désormais toutes deux à poil quand tout d’un coup Karine est effrayée par un bruit de clés dans la serrure. Quelqu’un est en train d’entrer dans l’appartement et va les surprendre en train de se caresser les nichons !

Karine se précipite pour récupérer ses vêtements afin de cacher sa nudité.

– Ne t’inquiètes pas, c’est ma fille ! Lui dit Jackie.
– Ta fille ?
– Bonjour tout le monde ! Ben alors Maman, t’as une nouvelle copine ? Tu me la présentes ?

Ça devient surréaliste, admettez-le !

– Candice, ma fille, euh c’est quoi ton prénom déjà ! Bafouille Jackie en regardant Karine
– Tu ne connais pas le prénom de tes copines ? Qu’est-ce que tu nous fais, maman ?
– Je m’appelle Karine, j’allais partir…
– Mais non, tu n’allais pas partir, je vous ai dérangé, mais je vais vous laisser, je vais aller en cuisine préparer la bouffe.

Et Candice disparaît dans la pièce contiguë.

– Je vais te rendre tes sous, on aura peut-être l’occasion de remettre ça un autre jour… Commence Karine en récupérant son pantalon.

Mais Jackie passe derrière elle et lui pelote les fesses.

– Tu ne vas pas me dire que tu es pressée….
– La question n’est pas là, on n’est plus toutes seules !
– Mais ma fille s’en fiche de ce que je fais, nous sommes très proches l’une de l’autre, si tu vois ce que je veux dire…
– Pas vraiment, non !
– Ce n’est plus une gamine, elle va avoir 30 ans, on est donc majeures toutes les deux…
– Et vous êtes très proches comment ?
– Je crois que tu as deviné, mais je ne voudrais pas que ça te choque.
– Ça ne me choque pas, ça me surprend…
– Ça te dirait un plan à trois ?
– De quoi ?
– Ce n’était qu’une suggestion. T’as déjà vu une fille et sa mère se donner du plaisir, ça te ferait une expérience.

Karine ne sait plus quoi dire, ni faire, trop d’imprévus qui s’enchaînent. Et pendant ce temps-là Jackie appelle sa fille.

– Candice ça te dirait de jouer avec nous ?
– Ah, oui, pourquoi pas ! Je vais me mettre à l’aise alors.

Pendant que Candice se déshabille, Jackie a pris la main de Karine et l’entraine sur le canapé.

– Alors elle n’est pas mal, non ?
– Jolie fille en effet !

Candice s’approche du canapé, se baisse et se place entre les jambes de sa mère.

– Mais t’es toute mouillée, maman !

Et tandis qu’elle lèche de minou de sa génitrice, Candice tend sa main gauche vers le sexe de Karine qui se laisse doigter docilement.

– Oh ta langue ! Qu’est-ce que c’est bon ! Psalmodie Jackie. Tu te rends compte Karine, quelle salope je suis ! Je me fais brouter le gazon par ma fille !
– Non, c’est moi la salope, je lèche ma mère et je me régale. Tiens, regarde ce que je lui fais !

Candice mouille son doigt et l’enfonce profondément dans l’anus de Jackie qui se tortile de plaisir, elle ressort le doigt et le lèche avec une gourmandise non feinte.

– Hum, c’est trop bon le jus de son cul !

Ambiance !

Jackie a rapproché son visage de celui de Karine et les deux femmes s’échangent un gros patin baveux.

Jackie ne tarde pas à jouir sois les coups de langues diaboliques de sa fille. Celle-ci se redresse et vient embrasser Karine.

– Hum, je t’ai roulé une pelle avec le goût de la mouille de ma mère dans la bouche, c’était bon ?
– T’es drôlement coquine, toi !
– Maintenant détends-toi, je vais de faire grimper aux rideaux.
– Carrément !
– Hi, hi.

Candice descend entre les cuisses de Karine et entame son travail de lèche tandis que ses mains projetées en avant viennent lui agacer les tétons.

Karine ferme les yeux et se laisse aller à son plaisir. C’est tellement bon de se faire ainsi gougnotter.

Il n’entre pas dans les intentions de Candice de s’éterniser, non son truc serait plutôt le « vite et bien fait » aussi cinq minutes après avoir commencé, elle finalisait l’opération de fort belle façon, langue contre clito faisait hurler sa partenaire de bonheur.

– Bon. Maintenant les filles vous allez me laisser la place et vous occuper de moi, allez ouste !

Candice se relève et s’étale de tout son long sur le canapé.Chanette3006

– Faut peut-être mettre une serviette ? Suggère la maman.
– T’as raison va en chercher une. Toi, Karine vient t’occuper de mes nichons, ma mère va me lécher l’abricot.

Et c’est parti, Karine se régale des jolis tétons de la jeune femme tandis que sa mère lui broute le minou avec frénésie.

A ce petit jeu pervers, Candice ne résiste pas bien longtemps, elle jouit dans un geyser de mouille.

– Heureusement qu’on a posé une serviette. Commente Jackie très terre à terre !

Effectivement la serviette s’avère bien utile d’autant que Candice ne peut se prévenir de libérer quelques gouttes d’urine que Karine ne peut s’empêcher de laper goulument.

Candice se dégage au grand dam de Karine qui lui aurait volontiers prodigué encore maintes caresses

– Bon c’est pas tout ça, mais faut que je m’occupe de la cuisine. Conclue Candice avant de disparaitre et de laisser Karine et Jackie en tête à tête.

Elles se rhabillent sans un mot avant que la bourgeoise décoche une flèche :

– Au fait je repense à la salope qui a fouillé dans mes affaires, non seulement c’est une salope mais en plus elle est con !
– Et pourquoi donc ?
– Parce qu’elle m’aurait demandé de lui donner mon adresse parisienne, je lui aurais probablement communiqué.
– Ah ?
– D’ailleurs vous pourrez dire à cette personne que si elle désire me rencontrer, ma porte lui sera grande ouverte. Il ne me déplairait pas de faire un peu d’amour vache avec elle, histoire de lui apprendre les bonnes manières.
– Je n’y manquerais pas.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:44

Chanette 30 – La disparition de Carole – 5 – Tanya et Jeremy par Chanette
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Tanya, la jolie blackette, enquêtrice auprès de Didier Remiremont, détective privé, entre au 17 boulevard Richard Lenoir, pas de prénom sur les boîtes aux lettres, pas grave, elle frappe à la première porte venue.

– Bonjour, je dois me tromper… je cherche Jérémy…
– Connais pas. Répond un épouvantail en bigoudis.
– J’ai sa photo, attendez…
– C’est l’abruti du quatrième.

« Parfois les gens sont charmants… »

Bref, elle le trouve. Le gars ouvre la porte, ses yeux se transforment tels ceux du loup de Tex Avery.

– Tanya Carnot, détective privée s’annonce cette dernière. Soyez sans crainte, on ne vous reproche rien, je souhaite juste vous poser deux ou trois questions en qualité de témoin.
– Témoin de quoi ?
– Justement, on va en parler, je peux entrer cinq minutes ?
– Oui, mais juste cinq minutes, après il faut que m’absente…
– Pas de souci !

Et voilà, Tanya est dans la place. Elle s’assoit sans qu’on ne l’ait invité et sort un carnet de notes vierge de sa sacoche.

– Voyons voir… Le 3 septembre dernier, vous avez participé à une petite sauterie…

Le visage de Jeremy devient violet…

– Mais de quel droit… je n’ai enfreint aucune loi, à ce je sache les partouzes ne sont pas encore interdites en France, on n’est pas en Iran ! S’étouffe le bonhomme. Foutez-moi le camp de chez moi !

Tanya qui s’attendait plus ou moins à une réaction de ce genre se fait chatte pour redresser le tir.

– Mais cher monsieur, je ne vous reproche rien du tout et confidences pour confidences, en ce qui me concerne, je ne crache pas sur ce genre d’activité. Mon souci est ailleurs. Une personne présente à cette petite sauterie a carrément disparue de la circulation et nous interrogeons les participants afin de savoir s’ils ont remarqué quelque chose qui pourrait nous aider à la retrouver.
– Mais j’en sais rien, moi… Elle est comment cette nana, d’abord ?

Tanya sort son smartphone.

– Elle est comme ça ! Pas mal, hein ?
– Oui, je l’ai aperçu, mais je n’ai rien remarqué de particulier. Vous me laissez maintenant ?
– Oui, oui je vais partir… Vous l’avez vu au début ou plus tard ?
– Au début.
– Elle était seule ?
– Me rappelle plus. Mais attendez, comment avez-vous fait pour remonter jusqu’à moi ?
– Ah ! Ce sont les petites ficelles du métier, cher monsieur. Je peux vous poser encore une ou deux questions ?
– Non, ça me fatigue et je ne vous apprendrais plus rien. On va en rester là !
– Ne soyez pas ronchon, je ne fais que mon métier.
– Je ne suis pas ronchon, mais je n’aime pas qu’on vienne fouiner dans ma vie privée.
– Je m’en voudrais de vous voir fâché. C’est dommage de se quitter comme ça, vous m’avez l’air d’une personne intéressante et je suis persuadée que vous avez encore plein de choses à me raconter. Répond Tanya en portant sa main ostensiblement à l’endroit de son téton.

L’air de rien, Jérémy est flatté dans son égo et n’est pas insensible au geste de la blackette, mais reste sur ses gardes.

Stratégiquement, Tanya remet son carnet de notes dans sa sacoche.

– Bon je vais vous laisser… mais vous auriez pu m’offrir à boire. J’ai un peu soif…Tente Tanya
– Bière, eau gazeuse ?
– De l’eau. Mais dites-moi, entre nous, qu’est-ce qui vous a attiré dans cette sauterie ?
– Je voulais surtout me rincer l’œil. Je ne baise plus beaucoup, j’ai des problèmes cardiaques.
– Ce sont des choses qui arrivent. Et vous avez pu vous rincer l’œil ?
– Oui un peu, mais les nanas les plus jolies sont montées dans les chambres, alors je suis parti.
– Et Carole ?
– Carole ?
– La fille qui a disparu.
– Elle n’était plus là, j’ai pas fait attention…
– Bon on va en rester là …

Tanya s’aperçoit alors que l’homme la regarde autrement, qu’il veut dire quelque chose mais n’y parvient pas.

– Vous avez l’air très gentille. Balbutie-t-il.
– Bien sûr que je suis gentille !
– Vous savez, je vis tout seul, pas de famille, pas d’amis et en plus je ne bande presque plus sauf quand je prends du Viagra.

Tanya éprouva une sorte de compassion pour ce pauvre type.

– Est-ce ce que je peux faire quelque chose pour vous. ? Lui demanda-t-elle
– Je vous demanderais bien de rester un quart d’heure de plus, mais à quoi bon, nous allons parler de quoi ?
– Vos goûts, vos passions…
– Bof, je ne suis qu’un vieux cochon.
– Et qu’est-ce qui lui ferait plaisir à ce petit cochon.
– Vous savez, je sais me tenir et les bonnes manières m’interdisent de vous dire ce qui me ferait plaisir. Restons-en la, chère madame.
– Je ne serais pas choquée si vous étiez plus explicite. Je ne suis pas farouche, mais je ne fais pas ça gratuitement.

Tanya joue un coup de poker. S’il réagit mal ce sera tant pis, par contre s’il entre dans ce jeu, elle a la certitude d’en apprendre davantage sur les activités du bonhomme

– Pour 100 balles, on ferait quoi ? Parvient-il à demander en rougissant.
– Tout ce que vous voulez, dans la limite du raisonnable.
– Une pipe ?
– Oui, par exemple !
– On le fait ?
– Donnez-moi un peu de sous et on le fait !
– D’accord et je vais le mettre à l’aise.

Après avoir sorti la somme proposée de son portefeuille, le type se déshabille, conservant uniquement ses horribles chaussettes de flanelle noire.

– Vous ne vous déshabillez pas ? Demande-t-il.
– Si, si bien sûr.

Tanya se débarrasse lentement de ses vêtements faisant durer le plaisir. Elle garde le retrait du soutien-gorge pour la fin, un vieux truc de stripteaseuse.

– Vous avez une très belle poitrine.
– C’est gentil ! Tu peux la toucher, mais doucement.

Il ne se le fait pas dire deux fois et se met à malaxer les nénés de Tanya avec frénésie.

– On se calme, on se calme !
– Je peux les embrasser ?
– Juste un peu, je suis fragile.
– Les bouts aussi ?
– Ne soit pas trop gourmand, tu embrasses sans sucer.

Apparemment cela suffit à son bonheur, d’ailleurs il bande comme un cerf.

– Ben dis donc t’as l’air en forme ?
– Hélas, ça ne va pas durer
– Je vais mettre toute ta bite dans ma bouche, je vais t’étonner.

Tanya embouche le sexe de Jérémy et utilise tout son savoir-faire, cela fonctionne bien pendant plusieurs minutes avant que la quéquette se mette à débander.

C’est parfois capricieux, les biroutes !

Tanya connait le remède ou plutôt les remèdes car il y en a deux, le premier ce sont les tétons de l’homme qu’elle pince avec fermeté, ça rebande un peu, mais pas suffisamment. Reste le geste ultime, le geste magique : le doigt dans l’anus.

– Mais tu fais quoi ? Proteste-t-il mollement.
– Tss, tss laisse faire l’artiste !

Chanette3005Le doigt va et vient, la bite est de nouveau raide, Tanya pompe telle une forcenée. Jérémy n’en peut plus et décharge quelques gouttes de sperme en meuglant. La blackette recrache le sperme dans un kleenex.

– Ah ben toi alors ! S’exprime l’homme.
– Eh oui, j’ai pris des cours par correspondance. mais dis-moi, comment as-tu su que cette sauterie était organisée ?
– Bof, il y avait un flyer dans ma boîte aux lettres.

« Une boîte aux lettres à son nom dans une location de vacances ? Etonnant quand même ce qu’il me raconte ! »

– Et t’as fait quoi pendant la sauterie, à part te rincer l’œil.
– Je pensais trouver un partenaire. Mais personne ne voulait de moi.
– Un partenaire ?
– Ben oui, avec les femmes, je ne tente plus rien, j’ai tellement eu de râteaux que je pourrais ouvrir une jardinerie. Avec les hommes c’est plus facile, pourtant je ne suis pas pédé.

Tanya ne sait plus trop quoi lui demander.

« Je n’ai pas appris grand-chose de plus, il y a bien cette histoire de boîte aux lettres qui n’est pas claire mais je doute que ce soit important. J’ai donc fait la pute pour rien, enfin pas tout à fait pour rien, j’ai gagné 100 balles, je vais pouvoir m’acheter ce joli petit haut que j’ai vu en passant. »

A suivre

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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:41

Chanette 30 – La disparition de Carole – 4 – Jackie, mature et perverse par Chanette
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Par un pur hasard, le lendemain Anna croisait sur la place du marché, Jackie, la personne avec laquelle elle avait commis quelques folies le soir de la fameuse partouze,.

Dans pareilles circonstances on fait souvent semblant de ne pas se connaître. Mais Anna ne l’entend pas de cette oreille et se pointe juste devant elle à deux doigts de la tamponner.

– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de mal. Répond la mature.
– Ce doit être le destin qui nous fait nous rencontrer.
– Vous êtes une coquine vous !
– Disons que j’aime bien les bonnes choses.
– Vous avez raison, la vie est si courte. Ah si vous voulez du bon poisson, je vous conseille le poissonnier là-bas, ils ont un de ces turbos !
– Si j’osais…
– Osez !
– Me feriez-vous une petite léchouille comme l’autre fois ?
– Je veux bien, mais ce sera cent balles
– Pas grave, au diable l’avarice !
– Non, je plaisantais, c’était pour voir si vous étiez vraiment accro, 4 rue du large, appartement 32. 18 heures, ça vous va ? J’ai plein de gadgets, ça devrait vous plaire.

Le récit d’Anna

– Mets-toi à poil ma chérie, je fais un petit pipi et j’arrive.
– Tu ne veux pas que je regarde ? Lui demandais-je en prenant un air canaille.
– Ah ! Tu aimes ça aussi ! Pas de problème ! Je peux même te pisser dessus si tu veux !
– Hum ! Je veux bien, j’adore ça !
– T’es vraiment une petite salope !
– Oui mais j’assume !

Je me déshabille en vitesse, Jackie en fait de même, je m’allonge, elle m’enjambe au niveau du ventre.

– Tu peux viser ma bouche, si tu veux !
– Tu ne vas pas être déçu ! C’est du grand cru !

J’ai ouvert mes lèvres attendant son urine telle une offrande. Le jet m’a arrosé le visage. Cette andouille ne savait donc pas pisser droit. Je me suis arrangé afin de le recevoir en bouche. Un délicieux nectar dont je raffole.

– C’était bon ?
– Un délice.
– Si tu veux, je peux t’offrir quelque chose de plus consistant.
– Je ne sais pas…

Elle me gratifie d’un sourire complice et provocateur, je suis extrêmement troublée. Suis-je réellement prête à faire ça ?

– Tu ne l’as jamais fait ?
– Non.

Je mentais (voir Chanette 7 – Pho la cambodgienne), ne m’estimant pas assez intime avec elle pour lui faire part de mes frasques passées.

– Ça te tente ?
– Je ne sais pas…
– Donc tu ne dis pas non !

Ben non, je n’ai pas dit non… je suis tenaillée.

– On va essayer. M’entendis-je murmurer.
– Tu vas voir, tu vas aimer !

Je n’en suis pas si sûre que ça et je ne saurais dire pourquoi.

Elle se retourne, offrant à ma vue son ravissant fessier. Elle se baisse un peu, elle est maintenant au-dessus de mon ventre, à quelques centimètres.

Puis tout alla très vite, un gros boudin impertinent sortit de son anus et s’en alla recouvrir mon petit nombril.

Curieuse impression, ça ne me dégoûte pas, sinon je n’aurais pas accepté, mais ça ne me fascine pas non plus, non je prends l’acte comme une humiliation extrême mais librement consentie.

Jackie me débarrasse de l’étron, toujours le sourire aux lèvres.

– Je m’essuie où tu veux lécher ?

Je ne m’attendais pas à cette proposition, là encore j’aurai pu décliner, au lieu de ça je tergiversais.

Je me suis donc retrouvé avec le cul de Jackie sur ma bouche, la pollution ambiante n’avait rien de catastrophique, juste quelques légères taches brunes. j’ai approché ma langue étonnée de ne rien rencontrer d’abominable.

– T’aimes bien jouer les soumises ? Me demande Jackie…

Ce n’était pas trop difficile à deviner.

– Oui !
– Tu veux une fessée ?
– Oui.

Je me mets en position et lui offre mon joufflu. Sans aucune transition, elle le frappe d’abord à la main avant de s’emparer d’une brosse à cheveux.

Ça pique, ça chauffe mais j’aime bien.

Elle m’a ainsi fessée cinq minutes avant de se déplacer. Elle revient avec un gode blanc décoré d’arabesques

– C’est un cadeau d’un ami, un artiste méconnu, il est joli, non ?
– Original !
– Suce-le.

Pas vraiment passionnant de sucer un gode, je préfèrerai l’avoir ailleurs, mais je suppose que la chose est prévue.

Effectivement, Jackie me le reprend, je la sens me tartiner le trou de balle avec du gel, puis elle fait entrer l’objet, en actionne le vibreur intégré et le fait aller et venir.

– Alors il est bon mon gode ?
– Oui continue.
– T’aimes ça, te faire enculer ?
– J’adore.
– Dis le moi que t’es une enculée.
– Je suis une enculée !

Cette salope m’a fait jouir du cul avec ce traitement, elle me retire le gode dont les arabesques sont maintenant cachées d’insolentes taches brunes.

– Espèce de dégueulasse, tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode ! Me dit Jackie simulant la colère.
– Ben oui quand on est cochonne, on est cochonne.
– Oui mais la cochonne elle va le nettoyer tout ça avec sa petite langue de pute.

Je m’y attendais. J’ai donc léché tout cela bien consciencieusement dans difficulté aucune.

Elle se met à me tripoter les seins avec frénésie. En ce moment, je suis vraiment sa chose et cela ne me déplaît aucunement.

Elle me tortille mes tétons, tant mieux, j’adore ça.

– Je t’accrocherais bien des pinces. Me propose-t-elle.
– Si tu veux .

Elle revient avec des pinces à linge toutes roses. Elle m’en fixe une sur chaque téton…

– On va en mettre en bas aussi.

Je ne proteste pas, mais ça commence à pincer fort, tout cet attirail.

– Pousse-toi que je m’installe .

Elle se pose sur le canapé, cuisses écartées et chatte offerte.

– Et maintenant fais-moi jouir.

Chanette3004On y va, on y va, c’est tout mouillé là-dedans, j’ai l’impression de lécher un marécage. L’affaire fut vite empaquetée. Madame gémit de plus en plus fort, ma petite langue vient titiller son gros clito qui n’attendait que ça. Son corps se tétanise, elle gueule comme une damnée, souffle un moment puis cherche ma bouche. Je ne saurais lui refuser ce doux baiser .

– J’aurais bien joui encore. Lui confiais-je.

Pas de problème, madame s’est bien occupée de moi

Fin du récit d’Anna

– C’était amusant la petite sauterie de l’autre jour, il y en aura d’autres ? Demande innocemment Anna.
– Oui mais pas ici, Bertrand il fait un peu dans l’itinérance.
– Bertrand ?
– Oui Bertrand Sauvignon, le roi de la nuit.
– Ah oui bien sûr, répondit Anna qui n’avait jamais entendu parler de ce citoyen.

Anna profita d’une courte absence de Jackie pour jeter un coup d’œil dans son sac à main ouvert, juste le temps de mémoriser son identité, ça peut toujours servir. Puis les deux femmes se séparèrent non sans avoir échangé une long et baveux baiser profond.

Jeremy

Jérémy constituait-il une piste ? Comment savoir ? Mais si on voulait creuser, il me fallait son adresse de ville, l’adresse de vacances je la connaissais déjà et pour cause.

Je me pointais donc devant chez lui et attendait qu’il sorte (ou qu’il entre). Quand il fut devant moi, je le saoulai de paroles (je sais très bien faire).

– Oh quelle surprise ! Justement je pensais à vous… je me disais qu’on pourrait peut-être recommencer cette expérience, en fait j’ai un tas de choses à raconter et je me suis aperçu après coup que ça m’avait fait un bien fou de parler…
– Mais j’habite Paris…
– Ça tombe bien moi aussi, vous êtes dans quel quartier ?
– Richard Lenoir. Sur le boulevard.
– Ah, je connais bien, j’y ai habité jadis (oh la menteuse !) vous êtes à quel numéro ?
– Au 17.
– Super, on s’échange nos coordonnées, je vais vous appeler pour que vous puissiez récupérer mon numéro.

Le mec doit déjà s’imaginer m’avoir en face de lui, sa perception est brouillée.

– Je mets quel nom ?
– Ben Jérémy.

Je n’insiste pas pour lui demander son nom de famille, avec l’adresse et le prénom, on le retrouvera. Mais je profite d’avoir le téléphone en mains pour prendre sa bobine en photo sans qu’il ne se rende compte de rien.

Trois jours plus tard, la situation n’avait pas évolué. Nous sommes rentrés à Paris. Valentin a de nouveau approché la police qui a accepté sa déposition mais qui manifestement a plus urgent à s’occuper

– Qu’elle se soit envolé avec un mec, je veux bien. Nous dit Valentin mais qu’elle ne réponde ni au téléphone ni aux messages, ce n’est pas normal.
– J’ai un copain détective privé… Proposais-je.

Mes lecteurs connaissent Didier Remiremont, le détective qui m’a accompagné dans plusieurs de mes aventures (les autres se référerons aux épisodes 20, 24, 26, 27 et 29)

Il nous a écouté, dubitatif.

– Traite des blanches, trafic d’organes…
– Vous êtes rassurant, vous !
– Il vaut mieux partir des pires hypothèses…

Son cabinet s’est mis immédiatement sur l’affaire.

– Nous avons trois pistes, résume le détective, deux me semblent assez faibles, Jérémy et Jackie, mais on ne sait jamais, quant à ce Sauvignon, je vais m’en occuper personnellement.

Chacun sa mission, chacun sa cible. Les collaboratrices de Didier Remiremont sont mises à contribution, Karine, la grande brune pulpeuse s’occupera de Jackie. Tanya la jolie blackette tentera de sonder Jérémy, (en espérant qu’il ne soit pas raciste) Didier se réservant Sauvignon.

A suivre

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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:38

Chanette 30 – La disparition de Carole – 3 – Réunion orgiaque par Chanette
StampBea

La réunion n’a pas lieu dans une salle publique ni dans l’arrière-salle d’un bistrot mais carrément chez l’habitant. Et il doit avoir du fric, l’habitant, faut voir la baraque et le terrain !

Un type est à l’entrée avec un chien peu aimable en laisse.

– On vient pour la réunion. Croit devoir indiquer Anna vêtue très décontractée, short en jeans et débardeur bleu ciel sans soutif.

Ben oui, on ne vient pas pour repeindre le plafond !

– Vous montez les marches et c’est la grande salle sur la gauche. Nous indique le cerbère.

Pas grand monde dans la salle, environ une vingtaine de personnes. Ces gens-là semblent surpris de voir arriver quatre personnes supplémentaires, mais nous ne serons pas les derniers

J’aperçois Jérémy, il me fait un sourire niais, j’en fais autant.

– Soyez les bienvenus ! Nous accueille un grand échalas. Prenez place, je vous en prie.

On attend un quart d’heure. Un couple entre deux âges rejoint l’assistance, et ça commence.

Un playboy sur le retour aux dents écarlates mais qui est autant orateur que moi nonne carmélite commence un speech d’une voix monocorde. Il explique que le sexe c’est bien, que l’hypocrisie c’est mal… Je ne peux être que d’accord mais pourquoi organiser une réunion pour nous raconter ça d’autant que la salle semble d’ores et déjà acquise à ce discours.

Je laisse mon esprit vagabonder, je ne l’écoute même plus.

Il conclut je ne sais plus comment mais recueille les applaudissements du public y compris ceux d’Anna et de Carole.

Le bonhomme reprend la parole :

– Merci mes amis pour ces applaudissements qui me vont droit au cœur, mais je vais vous dire un truc : la théorie c’est super, mais rien ne vaut la pratique…
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques de l’assistance)
– Alors pour la pratique, on a disposé quelques matelas confortables sur les côtés, mais si vous préférez vous isoler, des chambres sont à votre disposition au premier étage. Et maintenant faisons comme au bal des pompiers : choisissez votre partenaire.. Et youppie, ce soir c’est la fête !

Ça applaudit, puis ça gesticule en tous sens, chacun cherche sa chacune…

Dingue, un type m’aborde, il ne me dit rien du tout, je l’éconduis poliment, se pointe un second, même punition, me voilà tranquille, du moins je l’espère.

Je décide de me barrer, mais où sont les autres ?

Valentin me fait signe qu’il doit se rendre aux toilettes, je ne l’ai pas revu de suite… mais il m’a raconté… Il va donc falloir que je prenne mon mal en patience…

Anna s’est branchée avec une dame mature assez imposante quant à Carole, j’ignore où elle est passée.

La femme qui drague Anna se prénomme Jackie, ce que nous n’apprendrons que plus tard. Très élégante vêtue d’une robe jaune citron décolletée jusqu’au nombril.

D’où je suis, je peux tout voir et presque tout entendre.

– Tu me plais, toi ! Lui dis la dame.
– Alors je te laisse faire.
– Ouvre moi ce short que je passe ma main.

Anna déboutonne le vêtement.

– Mais t’es une petite cochonne, tu n’as pas mis de culotte.
– Tu ne vas pas t’en plaindre.

Jackie ne répond pas, ses doigts le faisant à sa place pénétrant dans les chairs humides de l’intimité de ma copine.

– Mais t’es toute mouillée, ma cocotte,
– Je mouille souvent.
– On se prend un matelas ?

Le matelas en question n’est pas très loin de ma place, Je vais pouvoir mater, ça m’occupera (et comme ça, je peux vous raconter…)

Anna dégage la poitrine de sa partenaire, (elle est superbe la dame dans le genre grand cheval) et se jette sur ses gros tétons qu’elle tète avec avidité.

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Les deux femmes se retrouvent rapidement à poil, d’ailleurs tout le monde ou presque est à poil sur les matelas. C’est vraiment l’orgie romaine ici.

Au milieu de la salle il n’y a pratiquement plus personne. Un mec s’approche de moi, bite en étendard. Il sort d’où celui-là ?

– Vous restez seule ? Me demande-t-il.
– Oui et oubliez moi, vous serez gentil.
– C’est dommage, j’en ai une grosse.
– Je n’aime pas les grosses.

Il s’en va, dépité et je peux continuer à mater. Anna est en train de lécher le cul de Jackie, et quand je dis « lécher le cul », c’est vraiment lécher le cul. Je peux voir l’extrémité de la langue de la copine entrer dans le trou du cul de sa partenaire.

– Ben dis-donc, on voit que tu aimes bien lécher les culs, toi, tu ne fais pas semblant
– J’adore ça !
– Il y a pas comme une petite odeur ?
– C’est très léger, mais ça ne me gêne pas, au contraire.
– T’aimes bien les trucs un peu crades ?
– Non, ce n’est pas ça, mais disons que je n’ai pas de tabous.
– Fous-moi un doigt dans le cul !

Anna ne se fait pas prier et entreprend de doigter vigoureusement l’anus de sa complice du moment., laquelle semble apprécier si l’on en croit les petits cris qu’elle ne peut s’empêcher d’emmètre.

Elle finit par sortir son doigt en regarde l’état et s’en amuse.

– Dis donc, t’as pas vraiment le cul très propre, t’as vu comment tu m’as sali mon doigt !
– Oh, désolée, je vais te le nettoyer… répond Jackie en balayant le doigt d’Anna d’un coup de langue.
– Ça va, c’est bon ?
– J’aime bien ! Je suis un peu spéciale.
– Ne t’inquiètes pas, moi aussi il m’arrive de faire des trucs un peu trash.
– Des trucs un peu extrêmes ?
– Eh, oui ! Mais c’est quand je suis super excitée.
– Tourne toi, j’ai envie de te lécher le cul à mon tour.

Et la Jackie, non plus ne fait pas semblant. Faut voir les grands coups de langue qu’elle prodigue à ma copine !

Les deux femmes s’agitent de plus en plus, ça se caresse, ça se pelote, ça s’embrasse, ça se lèche et ça se termine dans un soixante-neuf complétement débridé au terme duquel les deux femmes jouissent comme des malades.

Et pendant ce temps-là Valentin…

Le récit de Valentin.

Je me rends aux toilettes afin de satisfaire une petite envie de pipi… Elles sont assez grandes, plusieurs urinoirs, plusieurs cabines, plusieurs lavabos…normal puisque le site avait été réaménagé pour recevoir des colonies de vacances !

Il y a un monsieur, genre très distingué, cheveux et barbe blanche. Il est à poil et occupe l’un des urinoirs.

A mon arrivé, il se recule, bite à la main et se masturbe. J’hésite un peu et me dirige vers l’urinoir contiguë tout en étant troublé par l’attitude de ce type.

Il m’adresse un sourire qui se voudrait complice, je le lui rends volontiers.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je
– Si vous voulez la toucher, ne vous gênez surtout pas.

Alors je la prends en main, la caresse et la branle un petit peu.

– Tu suces ? Me demande le vieux.
– Oui !

Et je me baisse afin de mettre en bouche ce joli sexe bien bandé. Inutile de dire que je me régale et que ma propre bite devient à l’étroit dans mon pantalon.

Un mec entre et s’approche de nous, il sort sa queue et nous regarde faire.

– Joli spectacle ! Commente-t-il.
– Il me suce trop bien ! Répond le vieux.
– Vous allez l’enculer ?
– Pourquoi pas ? Qu’est-ce que tu en penses ? Me demande-t-il.
– Moi je veux bien !

Je baisse mon pantalon et offre mes petites fesses au vieux qui vient alors me lécher le troufignon. J’adore cette caresse !

Il s’encapote et me pénètre d’un grand coup de rein. Il m’a fait un peu mal et je pense même à stopper l’affaire, mais la suite est agréable, il m’encule comme un chef ! Je sens ses grosses couilles qui me claquent derrière. Le troisième larron vient au-devant de moi et me propose sa bite à sucer ! Pourquoi pas, une bite dans la bouche, une bite dans le cul, c’est la fête !

Le mec de devant est parti, sans avoir joui, sans doute réserve-t-il sa jouissance à d’autres plaisirs.

Le vieux derrière n’en peut plus, il souffle comme un bœuf et s’agite de plus en plus. Je le sens décharger, il se retire.

– Ça fait du bien ! Commente-t-il sans me regarder.

Et il s’en va sans un mot de plus, moi je n’ai pas joui. J’ai failli me branler et puis je me suis dit que la soirée n’était pas finie… J’ai quand même pissé, c’était pour ça que j’étais venu.

Fin du récit de Valentin

Anna et Valentin ont fini par me rejoindre.

– Alors, on fait banquette ?
– Ben oui, pas trop motivée…
– Je suis tombée sur une de ces brouteuses, elle avait une de ces langues ! Elle m’a emmené au plafond. Croit devoir me préciser Anna.
– Je sais, j’ai vu et entendu, bon, où est Carole ? J’aimerai bien ne pas m’éterniser ici.

Personne ne sait où est Carole, alors on attend.

La frénésie sexuelle semble se calmer, des gens quittent les lieux.

Bientôt il ne reste plus que nous.

– Mais enfin, qu’est-ce ce qu’elle fout ?

Je lui téléphone, mademoiselle est en répondeur. Elle se fout de notre gueule.

Le grand échalas de tout à l’heure s’approche de nous :

– Nous allons fermer, messieurs dames, j’espère que vous vous êtes bien amusés.
– On attend notre copine, elle doit être en haut.
– Il n’y a plus personne en haut, je viens de faire le tour.
– Ah ?
– Votre amie a dû aller ailleurs avec son partenaire pour finir la soirée…

Gonflée quand même, elle aurait pu nous prévenir.

On est rentré manger un morceau et on est allé se coucher.

Le lendemain nous étions toujours sans nouvelles de Carole.

Nous avons attendu toute la journée, l’angoisse à la gorge.

Vingt-quatre heures ont passé, on est allé voir les flics. Ils s’en foutent nous expliquent que la personne est majeure, qu’on n’est pas de la famille et que les plaintes pour disparition ne sont recevables qu’au bout de 48 heures. Bref ils ne vont pas se bouger.

A suivre

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