Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:40

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 7 – Le curé en crise suivi de la soumission d’Igor
Domina

Valentine Ponchielli a pas mal cogité, l’histoire que lui a raconté Jodie Keller l’a intrigué bien davantage que ce qu’elle aurait imaginé.

« Je peux peut-être dénicher des choses intéressantes, et comme je n’ai rien de mieux à faire en ce moment, je vais y aller y faire un tour. Ça me fournira peut-être un sujet pour un prochain bouquin. »

Sur place, après avoir constaté que l’église était temporairement fermée, elle prend une chambre à l’hôtel du Cerf, le seul hôtel de la ville un peu potable.

Mardi 22 avril

Béatrice et Jodie s’étaient donné rendez-vous devant l’église. Cette dernière ouvre la porte et enlève le panneau préfectoral.

Les deux femmes s’embrassent chastement puis Béa va récupérer le détecteur de métaux et les casques à lampes qu’elle a emporté dans sa voiture..

Elles pénètrent dans l’église et se dirigent vers la fameuse trappe qu’elles ouvrent, puis elles descendent.

– Voilà, c’est cette cloison !

Béatrice tripote le mur à la recherche d’un indice, d’une rainure, d’une structure insolite, mais elle ne détecte rien.

– Les mécanismes cachés des passages secrets sont souvent en métal. Mon détecteur va nous le dire. Si le mécanisme est en bois nous le sauront aussi.

Mais le détecteur reste silencieux.

– Donc deux hypothèses : La première c’est un mécanisme sans métal ni bois, je n’y crois pas trop, à moins que le mécanisme soit au-delà des 12 centimètres, c’est la limite de mon appareil.
– Il existe des appareils plus puissants ?
– Oui, j’ai vu sur internet un appareil qui détecte jusqu’à 10 mètres, le problème c’est que ça coute 800 balles. Si votre contrôleur de gestion est d’accord pour réaliser cette dépense, je file à Dijon vous acheter ça.
– Pourquoi pas ? Et la seconde hypothèse ?
– La seconde hypothèse, c’est qu’il n’y a pas de passage secret.
– Bon on file à Dijon acheter votre truc !

Et en remontant ils tombent sur le curé.

– Je dois vous dire que mes paroissiens sont furieux, le maire a refusé de nous prêter la salle des fêtes pour la messe dominicale…
– Oui, bon, il a des morts, des blessés ? Se gausse Jodie.
– Bien sûr que non mais…
– Donc tout va bien. On va faire une petite course et on revient… Ah, je dois vous avertir que les deux individus qui se sont prétendus être mes collaborateurs sont en fait des petits délinquants avec des casiers judiciaires à rallonge. Je compte sur vous pour les virer s’ils s’avisaient de revenir fouiner dans l’église.

Quand Valentine Ponchielli repassa devant l’église, elle constata que le panneau de fermeture provisoire n’y était plus, et y entra avant de cheminer à la recherche du fameux vitrail.

– Vous cherchez quelque chose, ma fille, vint lui demander le curé Bombillac.
– Je ne suis pas votre fille ! Répondit Valentine avec agacement.
– C’est simplement un usage, mais comme je suppose que vous n’êtes pas croyante…
– Et alors ?
– Ici, c’est la maison de Dieu, ce n’est pas un lieu touristique !
– Et donc…
– Je vais vous prier de bien vouloir sortir.
– Et de quel droit ? Cet église ne vous appartient pas, elle appartient à la commune et vous n’avez aucun droit de m’en chasser !
– Créature du diable !
– Bon c’est un peu fini, oui ? Je vous propose de cesser les hostilités. Je ne suis pas là par hasard, je m’appelle Valentine Ponchielli et je suis professeur d’histoire à l’université. Je suis également historienne et auteur de plusieurs ouvrages.
– Et vous cherchez quoi ?
– Deux bruits me sont parvenus concernant cette église, d’abord la présence d’un local en sous-sol accessible par une trappe…
– J’avais pourtant préconisé une certaine discrétion.
– La discrétion est une valeur qui se perd, l’autre bruit c’est ce vitrail avec une inscription en latin…
– Je ne lis pas le latin… Mais qui vous a fourni ce renseignement ?
– Peu importe. Mais ces deux choses sont peut-être liées et comme je vous l’ai dit, je suis historienne et ce genre de mystère me passionne…
– Oui, bon ! Vous attendez quelque chose de particulier de ma part ?
– J’aimerais avoir accès aux archives de l’église…
– Mais pourquoi faire, le registre des mariages et des obsèques ça, vous intéresse vraiment ?
– Tout dépend de leur ancienneté.

Le curé est excédé par le toupet de cette femme qu’il commence à détester.

– Vous ne croyez pas que je vais déballez tout ça rien que pour vous faire plaisir.
– Je vous aiderai… et puis j’aimerais voir cette trappe !
– C’est tout oui ?

Le curé est au bord de la crise de nerf, son visage est congestionné, il est sur le point de péter un câble.

Il ouvre la trappe,

– Il n’y a pas de lumière ? Demande Valentine.
– Descendez, faites attention où vous posez vos pieds, je vous rejoins avec une lampe de poche.

Et saisi d’un accès subit de déraison, le curé remonte l’échelle et remet la trappe en place.

– Hé, oh ? Vous faites quoi ? Hurle Valentine qui se retrouve donc prisonnière dans cette pièce sans lumière.

Elle appelle plusieurs fois le curé, en vain…

Le curé est sortie de l’église et décide d’aller faire une virée en voiture jusqu’à Dijon où il connait une douce personne très ambigüe qui fera ce qu’elle peut pour le calmer.

« Je libèrerai cette emmerdeuse en revenant. Quelques heures dans le noir, ça va lui faire du bien ! »

Sur la route, un motard veut le doubler, le curé se déporte sur la droite un peu trop brusquement et se paie un platane.

Voiture foutue, curé à l’hôpital !

Les heures passent, Valentine appelle au secours, mais personne ne l’entend. Elle essaie de passer le temps en éclairant les cloisons à l’aide de son téléphone portable.

« Cette cloison n’est pas d’origine, elle est de construction récente, c’est sans doute là qu’il y un passage secret ! »

– Au secours, il y a quelqu’un ?

Vous allez me dire, les gens qui entrent dans l’église auraient dû entendre ses appels au secours. Parce que même si elle n’est pas conséquente la fréquentation existe. Il y a toujours quelques dévotes qui viennent prier le seigneur ou bruler un cierge à l’attention de leur saint préféré… Oui mais pendant que Valentine appelait au secours, elles n’étaient pas là… et quand elles étaient là Valentine n’appelait pas au secours.

Alors Valentine se demande quand on l’entendra, parce que, que faire d’autre ? Bouger la trappe est impossible, la pièce mesurant 2,50 m de haut ! et il n’y a rien pour grimper.

Et puis, détail trivial, c’est toujours dans ce genre de circonstances que nait une irrépressible envie de pisser. Elle commet l’erreur d’essayer de se retenir. Mais un quart d’heure plus tard l’envie devint trop forte et alors qu’elle commençait à baisser son pantalon elle le mouilla fort et bien, le reste alla constituer une insolite petite flaque.

Le heures ont passé, elle finit par s’endormir à même le sol.

Béatrice et Jodie ont eu du mal à trouver le modèle de détecteur qu’elle cherchaient. Et ce n’est à 19 heures qu’elles regagnent la bonne ville de. Grimpeau-Ridot

– On attend demain ou on y va maintenant ? Demande Béa.
– Allons-y de suite, j’ai hâte de voir le résultat.
– En espérant que le curé n’ait pas fermé l’église.
– Ne vous inquiétez pas, je me suis fait faire une copie !

De toute façon, le curé n’avait pas fermé…

– Bizarre, l’échelle est remonté ! Constate Jodie.

Les bruits du déplacement de la trappe réveille Valentine de sa torpeur

– Au secours, il y a quelqu’un ?

Inutile de vous décrire la stupéfaction des deux femmes. Stupéfaction encore accentuée chez Jodie quand elle reconnait Valentine.

– Vous ! Mais que faires vous ici ? Et qui a remonté l’échelle ?
– J’ai soif, j’ai horriblement soif !
– Mais vous êtes là-dedans depuis combien de temps ?
– Depuis ce matin ! Euh on peut sortir j’ai vraiment besoin d’un verre d’eau et en plus je me suis pissé dessus.
– Bon ok, on remonte, mais qui vous a enfermé ?
– Le curé ! Cet abruti de curé.

Les trois femmes cheminent jusqu’au bistrot du coin et s’installe en terrasse.

Valentine est à demi-choquée par son enfermement.

– Vous être sûre que c’est le curé de l’église qui vous a enfermé ?.
– Je ne sais pas si c’est le curé de l’église mais c’est un curé !
– Mais pourquoi ?
– C’est un fou ! On ne peut pas expliquer les gestes d’un fou !

Le garçon de café vient s’enquérir des commandes de ses dames :

– Un grand verre d’eau gazeuse et un Johny Walker… dans un autre verre bien sûr.

Un silence s’installe, Valentine semble partie ailleurs…

– Mais sinon, je ne m’attendais pas à vous voir dans ce patelin ! Reprend Jodie.
– Ben vous savez, je suis historienne, alors je suis toujours à l’affut d’anecdotes surprenantes… et comme vous aviez éveillé ma curiosité…

Le garçon apporte les commandes, c’est un rapide…

– Et vous espériez trouver quoi ?
– Attendez !

Elle engloutit coup sur coup son grand verre d’eau pétillante, puis la moitié de son verre de whisky.

– Je suis Béatrice Clerc-Fontaine, chercheuse indépendante, intervient cette dernière, je n’ai pas l’honneur de vous connaitre…
– Mais si souvenez-vous, vous m’aviez réparé l’an dernier un automate du 18ème siècle…
– Ah ! Je vous prie de bien vouloir m’excuser mais je ne peux pas me souvenir de tout le monde.
– Pas de souci, je suis Valentine Ponchielli, ancienne professeur d’histoire à la Sorbonne. J’ai rencontré par hasard Madame Keller, nous avons sympathisé et c’est moi qui lui ai fourni vos coordonnées.
– D’accord mais vous espériez trouver quoi en venant ici ? Reformule Béatrice.
– On ne sait jamais ce qu’on va trouver ! C’est un des charmes de la recherche historique, on démarre avec des indices, là j’en avais deux, le vitrail et la pièce du sous-sol. Quand je pense que l’autre enfoiré m’a enfermé là-dedans, si je lui remets la main dessus, je le massacre ! Je lui arrache les couilles.
– On se calme !
– Vous croyez que c’est facile, vous ?
– On va retourner à l’église, on a acheté un détecteur qui va nous dire ce qu’il y a derrière la cloison… Vous venez avec nous ?
– Ben oui, si je reste seule, je vais baliser !

Dans la nef, elles sont abordées par une dame patronnesse.

– Ah ! Bonjour mesdames, je cherche après monsieur le curé, il est nulle part, vous ne savez pas où il pourrait se trouver ?
– Ah, non !
– Je vous dit, il est devenu fou ! Commente Valentine après que la dame se soit éloignée.

Revenues dans la pièce sous la trappe, Béatrice brancha son détecteur. La réponse ne se fit pas attendre, il y avait du bois et de l’acier, mais non pas dans la cloison mais au-delà.

– Il ne semble pas y avoir de mécanisme secret, mais maintenant on est sûr que de l’autre côté, ce n’est pas vide !

Valentine examine l’état de la cloison.

– Ce ne sont pas des matériaux très anciens, je dirais que ça a été construit il y a environ 200 ans.
– C’est ce qui me semble aussi ! Approuve Jodie.

Celle-ci explique alors que si l’accès est impossible de ce côté…

– Il doit l’être de l’autre côté, sauf que cet autre côté ne fait pas partie l’église mais d’un local privatif…
– On devrait pouvoir pourrait s’arranger avec le propriétaire ? Suggère Valentine.
– J’ai essayé, ça été un refus catégorique.
– Bof, on peut toujours soudoyer les gens…
– J’ai essayé ! Répond Jodie.
– Vous lui avez proposé combien ?
– Peu importe, cette personne est intraitable !
– Alors il faut percer !
– En prenant le risque qu’un retable du 14ème siècle ou une tapisserie soit apposé sur la paroi ?
– Oui, évidemment. Donc on laisse tomber ?
– Non on laisse pas tomber, on réfléchit !

Et les trois femmes remontèrent.

– Je voudrais examiner tous les vitraux, on ne sait jamais… vous restez avec moi ?

Sara et Igor ont sillonné plusieurs fois le centre-ville sans trouver trace de Mattéo…

– Il est peut-être parti ? Suggère Sara.
– Oui peut-être ! On va aller regarder les bagnoles, on ne sait jamais.

Et quelques instants plus tard….

– Tiens une bagnole immatriculée « Ille de France » !

Ils s’approchent, regardent par la vitre, découvre un sac marqué « Galeries Lafayette » posé sur la place passagers.

– C’est forcément lui ! Conclue Igor.

Igor possède la technique pour ouvrir les portières de voiture. Il regarde négligemment le contenu du paquet des « Galeries Lafayette ».

– Bof, un gilet !

Dans la boite à gants, il trouve un bloc note, il en arrache une page vierge et griffonne un mot.

« On ne veut plus voir ta sale gueule ici ! Si tu ne fous pas le camp, on crame ta bagnole. »

Et il envoie un message à la baronne.

« Mission accomplie ! »

Et celle-ci répond !

« Bravo, tu peux venir chercher ta récompense ! »:

La baronne a envie de s’amuser mais ne souhaite pas se fatiguer à endosser sa tenue de dominatrice. Non elle est en jeans et pull-over et restera ainsi.

Elle conduit Igor dans une petite pièce dédiée à ses petits plaisirs particuliers, un mini donjon en quelque sorte, avec sa croix de Saint-André, son chevalet, ses chaines et toute la quincaillerie qui va avec.

– Alors, tu vas être mon petit esclave ? Le toise-t-elle.
– Oui, maitresse !
– Alors, à poil et à genoux.

Une entrée en matière toute simple mais qui a le pouvoir de faire bander Igor.

– Hum ! Monsieur est en forme on dirait ! Commente La baronne.
– Forcément ! Vous êtes si belle !
– Je ne te le fais pas dire !

Elle se retourne et se débarrasse de son pantalon.

– Lèche-moi les pieds !
– Oui, maîtresse.
– Mieux que ça, suce le gros orteils comme si c’était une petite bite

Les pieds de la baronne sentent un peu la sueur, mais Igor en a cure, que ne ferait-il pas pour adorer sa maîtresse ?

Martinov3007– Maintenant, tu vas baisser ma culotte et me lécher le trou du cul
– Oui maîtresse.
– Mieux que ça, connard ! Fais bien pénétrer ta langue. Voilà comme ça… Tu vois quand tu veux, bon arrête maintenant. Tu l’as trouvé comment aujourd’hui mon trou de balle ?
– Délicieux, maîtresse.
– Il avait quel goût ?
– Un petit goût indéfinissable, maîtresse.
– Je t’en foutrais des indéfinissables, allez debout.

Et elle lui accroche une pince sur chaque téton. L’homme grimace mais supporte. La baronne ne s’arrête pas en si bon chemin, deux autres pinces viennent lui mordre les couilles.

Igor grimace de plus en plus ! Eh oui, mettez-vous à sa place ! Mais ce n’est pas terminé, la baronne ajoute des poids à chaque pinces, puis lui ligature les testicules.

– C’est trop, maîtresse !
– De quoi ? Si tu veux que j’arrête il faut me dire le mot de sécurité, autrement je continue.

Il ne dit plus rien, il attend la suite.

– Bien, je suis un peu fatiguée, je vais un peu faire la spectatrice… reste comme ça je reviens tout de suite.

La baronne revient avec Sara.

– Voilà tu vas l’attacher à la croix et tu vas lui donner trente coups de cravache.

Sarah sait être aussi sadique que sa maîtresse et se met à taper copieusement le joufflu du « pauvre » Igor qui devient vite rouge comme une tomate.

La baronne affalée dans un fauteuil profite du spectacle en se tripotant la minette.

– Ok, c’est bon détache-le retire lui ses pinces et s’il a soif pisse lui dans la gueule.

Savez-vous que le retrait des pinces est autrement plus douloureux que la pose, d’autant que Sara opère sans aucun ménagement. Et cette fois Igor crie.

La soubrette demande ensuite au soumis de se coucher sur la dos, à même le sol, bouche ouverte. Mais l’urine qui lui tombe dans la bouche n’est pas pour une épreuve, ce serait davantage une récompense.

– C’est fini, tu peux aller te rhabiller…quand à toi Sara vient donc me lécher l’abricot !
– Avec grand plaisir, Madame !

Et Sara en soubrette dévouée vint lécher la chatte dégoulinante de sa patronne tout en lui doigtant le trou du cul d’un index énergique.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:37

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 6 -Le faux jardinier
Stamp Mature Sodo

Quand Matéo revient, il est de nouveau accueilli par Sara.

– Madame la baronne souhaite que vous fassiez une demi-heure de tondeuse, ensuite je vous conduirais vers elle. Pour la tondeuse, elle est électrique, la batterie est chargée.

Mattéo trouve qu’il ne se débrouille pas si mal que ça, et va jusqu’à passer la tondeuse en sifflotant comme un pinson.

Au bout d’une demi-heure Sara le fait s’arrêter et le conduit auprès de la baronne.

– Bien, voyons voir ! On voit bien que vous n’êtes pas un pro…
– Je ne suis pas habitué à ce genre de tondeuse.
– Arrêtez, une tondeuse c’est une tondeuse, je ne sais pas si je vais vous garder. C’est dommage parce que vous êtes un joli garçon ! J’adore les jolis garçons ! Et vous, comment me trouvez-vous ?
– Vous êtes une belle femme !

L’art de ne pas se mouiller !

Martinov3006– Ne me faites pas une réponse diplomatique, j’ai horreur de ça.
– Non, non, je suis sincère !
– Donc je suis une belle femme, mais est-ce que je suis une femme désirable ?
– Assurément !
– Tu baiserais avec moi ?
– Vous m’embarrassez.
– Bon on ne va pas jouer au chat et à la souris ! J’ai envie que tu me baises ! On le fait ?

Mattéo se demande si la proposition est sérieuse ou s’il s’agit d’une sorte de piège.

– Je suis à votre disposition ! Répond-il après quelques instants de silence.
– Alors mettez-vous à poil, jeune homme !
– Oui… bien sûr !

La baronne le regarde se déshabiller sans rien faire.

– Vous avec une belle gueule, mais on ne peut pas dire que vous êtres très athlétique.
– Je suis désolé…
– Et le caleçon, vous allez le retirer ou pas ?
– Oui… bien sûr !
– Ouais, on ne peut pas dire que vous avez une bite de compétition. Vous croyez que vous allez pouvoir me satisfaire avec votre nouille. D’ailleurs vous ne bandez même pas !

Mattéo est profondément humilié. En d’autres circonstances il aurait sans doute giflé cette bonne femme avant de prendre ses cliques et ses claques, mais là il ne peut pas, il est en « mission » avec la possibilité d’un trésor à la clé. Il ravale donc sa honte.

– Tournez-vous que je vois comment vous êtes fait derrière ? Ah, c’est mieux, les fesses sont belles ! Vous ne seriez pas un peu pédé ?
– Je suis légèrement bisexuel, madame !
– Ah, c’est une nouvelle catégorie, ça, les bisexuels légers ? Qu’importe après tout… Je suppose que si je me mets à poil cela va booster vos dispositions ?

La baronne retire son pantalon de flanelle et son haut et la voici en soutif et petite culotte vert amande. Puis elle libère ses seins

– T’as le droit de te branler en me regardant .

Matéo se sent un peu mieux depuis que la baronne s’est déshabillée, après tout elle aurait pu le jeter et elle ne l’a pas fait ! Alors il se branle…

– Ah, je préfère la voir comme ça, cette bite, approche-toi que je te suce.

El la baronne prend le sexe du jeune homme en bouche tandis que sa main gauche s’aventure sur son fessier, index en avant, index qui ne tarde pas à lui pénétrer l’anus.

– Si tu es à moitié pédé, tu dois aimer ça, un doigt dans le cul ?
– Oui… bien sûr !
– On dit : « Oui madame la baronne »
– Oui madame la baronne.
– Allez viens dans ma chambre, on sera plus à l’aise pour baiser
– C’est que je n’ai pas de capotes…
– Mais moi j’en ai, je suis une femme moderne, moi !

La baronne s’affale sur le lit. Mattéo ne sait pas trop quoi faire.

– Ben, t’attends quoi, viens me caresser, après on passera aux choses sérieuses.

Alors Mattéo fait comme tout le monde (enfin presque tout le monde) il commence par caresser les seins, s’enhardit à les embrasser et en tiller les bouts.

Puis il descend jusqu’à la chatte dont il écarte les lèvres, il a du mal à s’y retrouver devant ce fouillis. C’est que ses expériences féminines se comptent sur les doigts d’une seule main et qu’il n’y a pas eu de cuni à chaque fois.

En fait il s’y prend comme un pied.

– Plus haut, ta langue ! Crétin !

Il fait ce qu’il peut, Mattéo, mais rien n’y fait il n’arrive pas à faire jouir la baronne

– Bon laisse tomber, tu vas m’enculer ! Il y a des capotes dans le tiroir à côté. Lui dit-elle en se mettant en position, croupion relevé et cuisses écartées.

Un position obscène qui excite Mattéo.

– Tu sais poser la capote où il faut que je t’assiste ?
– Non, ça va !

Il est étonné que ça rentre si facilement et pistonne la belle mature à un bon rythme.

Contre toute attente la sodo se déroule correctement et la baronne commence à miauler de plaisir. Miaulement qui se transforme vite en grognement de plaisir. L’égo de Mattéo s’en trouve flatté ! Rendez-vous compte, il a fait jouir la baronne… et il jouit dans la foulée.

– Oh ! tu m’as bien enculé, c’était trop bon ! J’adore me faire prendre par le cul ! Je suis une enculée et fière de l’être ! Dis-le-moi que je suis une enculée !
– Vous êtes une enculée, madame la baronne !

Les agents secrets et autres espions en tout genre savent que la période qui suit les débats amoureux est souvent propice aux confidences (les fameuses confidences sur l’oreiller)

Alors Mattéo après avoir demandé l’autorisation de griller une cigarette se lance.

– Je voudrais vous parler d’un sujet en rapport avec l’église de Sainte Pétassouille.
– Eh bien nous en reparlerons une autre fois, là maintenant je n’ai pas le temps, j’ai un coup de fil urgent à passer.

Mais que se passe-t-il donc ?

Pendant l’acte, la baronne s’était dit qu’elle avait déjà vu le visage de ce beau jeune homme quelque part. Mais où ? Et l’allusion qu’il vient de faire à l’église de Sainte Pétassouille vient de lui fournir la réponse.

« Tout s’explique, ce con qui ne sait même pas se servir correctement d’une tondeuse, en a après ma porte blindée derrière l’église. Il croit pouvoir me manipuler, mais c’est moi qui vais le manipuler ! On va rigoler !  »

La baronne laissa passer une heure avant de convoquer de nouveau Matteo.

– Laissez tomber le gazon pour le moment, vous allez vous occuper des rosiers, vous enlevez ce qui est fané, vous aérez un peu tout ça et vous nettoyez toutes les saloperies.
– Bien madame !
– Allez, au boulot mon vieux.
– Euh, si vous avez cinq minutes…
– Quoi ?
– Vous allez me trouver curieux mais…
– Mais quoi ? Arrêtez de tourner autour du pot !
– J’aime bien les vieilles pierres, aussi j’ai voulu visiter l’église mais elle est fermée…
– Comment ça, elle est fermée ?
– Ben oui, il y a un panneau sur la porte.
– Première nouvelle ! Et alors ?
– Ben alors j’ai fait le tour, et là je suis tombé sur une porte blindée. Une porte blindée dans une église, je ne comprenais pas. Une passante s’est rendu compte de mon embarras et m’a indiqué qu’il s’agissait d’une dépendance « géré par la baronne ». Je me demandais si cette baronne, c’était vous ?
– Et qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– Simple curiosité.
– Y’a une éternité que je n’ai pas foutu les pieds dans ce machin, c’était l’arsenal de mon grand-père.
– Ah ?
– Mon grand-père faisait de la résistance, il était chef de réseau. A la libération il a refusé de rendre les armes et il les a planqué là-dedans, et il y en a un paquet, des fusils mitrailleuses, des grenades, des mines, des bombes, des caisses de munitions…
– Ah ! Ça m’aurait intéressé de voir ça.
– N’y pensez même pas ! Et d’ailleurs je ne sais même plus où j’ai foutu la clé. Bon maintenant que votre curiosité est satisfaite, il serait peut-être temps de vous occuper de mes rosiers. Allez, au boulot jeune homme !

Matteo est dépité, il se demande si sa présence ici peut lui apprendre encore quelque chose.

La baronne briefe rapidement Sara et l’envoie auprès de Matteo au prétexte de vérifier si les rosiers sont en bonne main.

Matteo voit Sara s’approcher, il prend ça pour une aubaine, car pour lui, c’est bien connu, les domestiques, ça cause !

– Ça va ? c’est pas trop dur ?
– Ça va mais je suis en train de me niquer les mains.
– Si vous enfiliez des gants, ce serait mieux, non ?
– Bien sûr, je n’y avais pas pensé.
– C’est la patronne qui vous fait perdre la tête ?
– Ça doit être ça, oui ! Au fait vous êtes au courant pour ce local derrière l’église ?
– Au courant de quoi ?
– De ce qu’il y a dedans !
– Bien sûr, Madame Agathe ne me cache rien !
– Et il y a quoi ?
– Ah ! Ça, j’ai promis de ne pas le dire !
– C’est si secret que ça ?
– N’insistez pas !
– Même contre un petit billet ?
– Contre un petit billet, je peux vous faire une bonne pipe, mais pour le reste je suis une vraie tombe.
– Vous y allez souvent ?
– Vous devenez lourd, monsieur Mattéo ! Occupez-vous donc des rosiers… et mettez des gants !

Et Sara repartit en gigotant du popotin.

Mattéo se dit alors qu’il n’apprendrait rien de plus en restant ici, il abandonne les rosiers, s’en va vers la cabane de jardin récupérer son sac à dos, puis quitte les lieux et se dirige vers le centre-ville.

Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que Sara se rend compte de la disparition de ce curieux jardinier. Elle en informe sa patronne.

– Merde ! Je le pensais plus pugnace ! Ce type a besoin d’une leçon, j’ai horreur des fouineurs. Je vais demander à Igor de s’en occuper.

Igor est comme on dit « agent de sécurité »; il travaille par intermittence dans les deux supermarchés des localités avoisinantes et il est en relation avec la baronne pour des raisons que nous découvrirons plus tard. C’est un costaud, assez bel homme pour qui aime le genre.

– Igor ! Il y a un abruti qui mène une enquête sur notre local derrière l’église…
– Et alors, on n’y fait rien de mal ?
– Je sais bien mais ce qui est discret doit rester discret, je n’ai pas envie qu’il aille raconter ça à tout le monde s’il découvre ce que c’est.
– Et vous voudriez que je fasse quoi ?
– Lui foutre la trouille de façon à ce qu’il dégage de la ville. Attention juste de la trouille, pas de violence physique, Il ne faudrait pas qu’il porte plainte non plus !
– Et je le reconnais comment ?
– Tu vas sillonner le centre-ville, Sara va t’accompagner.

Mattéo a rejoint Augusto.

– J’ai fait choux blanc. Pas moyen de tirer quoique ce soit de cette salope de baronne de mes couilles. Et sa boniche est aussi conne qu’elle.
– On se calme !
– Non, je suis trop véner !
– On fait quoi, on laisse tomber ? Demande Augusto. On s’est mis en arrêt maladie pour des prunes !
– On peut rester deux trois jours, quand l’église va rouvrir on verra si on peut faire quelque chose !
– Et en attendant ?
– En attendant, on va glander, il y un billard au bistrot, on y va ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:34

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 5 – Béatrice en chaleur

prelude2

Lundi 21 avril

En fait de coordonnées Jodie avait maintenant en poche celles de notre bon professeur Martinov que nos lecteurs connaissent bien.

Et les voilà donc face à face à Louveciennes…

Martinov et Béatrice ne sont pas insensibles à l’étrange beauté de Jodie Keller, qui pour sa part déshabille Béa du regard. (ben oui, quand on a des tendances lesbiennes, ça ne disparaît pas comme ça…)

– Les passages secrets, ce n’est pas trop notre truc ! Intervient Martinov.

Béatrice lui envoie un coup de pied dans la jambe et reprend la parole.

– Le professeur veut dire que nous n’avons pas eu souvent l’occasion de résoudre des problèmes de passages secrets, mais une affaire récente nous a obligé à nous pencher sur le sujet (voir Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne). Aussi je me fais fort de résoudre votre cas.
– Il faudra vous déplacer…
– J’entends bien. Nous allons vous faire un devis et vous l’adresser par mail.
– C’est que je suis assez pressée, l’affaire a fuité et deux aigrefins sont sur l’affaire, j’ai dû faire intervenir la préfecture pour fermer provisoirement l’église, mais on ne va pas la laisser fermer éternellement.
– Alors, allez boire un petit café, il y a un bistrot à 200 mètres sur votre gauche et revenez dans une heure, le devis sera prêt.
– D’accord, le devis sera accepté de toute façon, c’est le ministère qui paie.

Martinov attend que Jodie soit partie pour faire part de son incompréhension à Béatrice.

– Mais qu’est-ce qui t’a pris ? On ne sait pas faire ça ! Je te rappelle qu’à Bourg-la-Nonne, (voir l’épisode n°28) on n’a rien trouvé du tout…
– Tu veux vraiment savoir, mon petit professeur ? Cette Jodie, j’ai envie de me l’envoyer et je vais me mettre à bouquiner tout ce qu’on peut trouver à propos des passages secrets. Et je trouverais, c’est un défi que je me lance à moi-même !
– Tout ça pour la sauter ? Je rêve !
– Eh oui !
– Ben fais comme tu le sens, moi, je ne m’en mêle pas.
– Alors je vais lui facturer deux jours d’intervention à partir d’après-demain…
– Pourquoi après-demain ?
– Parce qu’il me faut bien une journée entière pour essayer de potasser un maximum de trucs au sujet des passages secrets.
– Humm
– Dis donc mon petit professeur tu ne vas pas me faire la gueule, si t’es stressé je peux t’arranger ça ! lui dit-elle en lui portant la main sur la braguette
– Mais veut tu laisser ma bite tranquille ! Fait-il mine de protester.
– Je ne touche pas à ta bite, je touche à ta braguette
– Oui mais il se trouve que ma bite est juste derrière !
– Sans blague ?
– T’as qu’à pas me croire !
– Je vais vérifier ça !

Béatrice dézippe la fermeture éclair, s’en va farfouiller et fait prendre l’air à la bite demi-molle du professeur.

– C’est malin !
– Je ne sais pas si c’est malin, mais ça me donne envie de sucer !

Et joignant le geste à la parole, Béatrice opère une flexion des genoux et embouche la bite du professeur Martinov.

– Hum, c’est trop bon la bite.
– C’est l’autre pétasse qui t’a excitée comme ça ?
– C’est bien possible, et dis-moi franchement, tu te la serais bien envoyé la pétasse, non ?
– S’il fallait que je m’envoie toutes les femmes qui m’excite…
– Ben voyons ! Alors tu sais ce qu’on va faire, tu vas me prendre par derrière en pensant que c’est cette Jodie que tu encules !
– Et on ferait ça où ?
– Ben comme d’hab’, à l’étage !

Et les voilà qu’ils grimpent jusque dans la chambre à coucher du professeur. Nos deux libertins se déshabillent.

– Tu crois qu’on a le temps ? Demande le professeur qui a conservé son bracelet-montre.
– Mais oui, mais oui !

Le professeur a beau connaître par cœur les seins de Béatrice quand il les voit, il ne peut s’empêcher de les tripoter, de les lécher…

– Tu les aimes, mes nichons, hein mon petit professeur ?
– Ils sont si beaux !
– Alors régale toi, gros cochon ! Mais ma petit chatte, elle ne t’intéresse pas ?
– Si, si !
– Alors lèche là, je suis toute mouillée !

Et Béatrice était tellement excitée que quelques coups de langue bien placés de la part du notre vert professeur suffirent à la faire jouir intensément.

Martinov3005
Martinov après avoir déposé un chaste bisou sur le nez de sa collaboratrice ouvre le tiroir de son chevet en extrait un joli gode très réaliste.

– Tu me le mets ? Propose-t-il à Béa !
– Je me disais aussi que ça manquait. Allez mets-toi en levrette, que je m’occupe de ton cul.

Béa commence par lui prodiguer une savante feuille de rose, elle adore ça, Béatrice, lécher des trous du cul, puis elle s’autorise à y enfoncer un doigt et le faire aller et venir.

Puis elle tend le gode au professeur

– Allez lèche le ! Lèche-le comme si c’était une vraie bite.

Martinov adore ce jeu, et pratique une véritable fellation à cette bite en plastique.

– T’aimes ça sucer des bites, hein, mon petit professeur ?
– J’avoue !
– Et tu n’as pas honte ?
– Ah non !
– Alors je vais te le foutre dans le cul, ce bon gode !
– Oh oui ! Oh oui !

Et c’est exactement ce que fait Béatrice, le gode est entré tout seul, il faut dire que depuis pas mal de temps notre sympathique professeur à rendu le passage facile, adepte de la pénétration anale il n’hésite pas à se goder lui-même les soirs de grande solitude.

– C’est bon, hein, de se faire enculer !
– Ouuiii !
– Evidemment ça ne vaut pas une vraie bite !
– Je n’ai pas si souvent l’occasion…
– Humm, tu sais que j’adore te regarder quand tu te fais enculer !
– Oui continue. Non te branles pas, je veux ta bite en forme pour après.

Et c’est maintenant au tour de Béatrice de se mettre en levrette. Le professeur ne peut résister à la tentation de lui faire feuille de rose, puis après s’être encapoté, il sodomise la belle tandis que la radio diffuse fort à propos, la marche militaire de Franz Schubert.

Le professeur y met une telle frénésie qu’il fait jouir Béatrice en deux temps et trois mouvements.

Il décule, retire sa capote dévoilant une bite gluante de sperme que Béatrice s’empresse de nettoyer de sa jolie bouche gourmande.

– Merde on sonne !
– Déjà !

Eh oui, le temps passe bien plus vite quand on baise que quand on attend l’autobus !

Le professeur revêt prestement une robe de chambre et c’est dans cette tenue qu’il ouvre à Jodie qui n’en croit pas ses yeux

– Excusez-nous on a eu un petit problème, un dégât des eaux, c’est arrangé, je vais vous demander de patienter 10 minutes dans le petit salon, votre devis sera bientôt prêt

Et quand Jodie voit Béatrice redescendre l’escalier, rhabillée mais totalement ébouriffée, et avec le Rimmel qui a coulé, elle se demande qui sont vraiment ces deux étranges bricoleurs !

– Je suis descendue à l’hôtel du Cerf Je vous réserve un chambre… ou deux ? Demande-t-elle
– Une seule mais avec des lits jumeaux, dans un premier temps je vais me déplacer seule ! Lui répond Béatrice.

Mattéo et Augusto se sont débrouillés pour obtenir chacun 15 jours d’arrêt maladie… et les voilà revenus à Grimpeau-Ridot.

Et quand ils se pointent devant l’église, ils découvrent un panneau indiquant sa fermeture temporaire
– Merde ! On va faire quoi ! Demande Mattéo.
– Ils ont indiqué « quelques jours ». On va attendre. Répond Augusto.
– Quelle perte de temps !
– On fait quoi en attendant ?
– Et si on allait chez la bonne femme qui a la clé ? Propose Mattéo
– D’accord et sur place on fait quoi ? On ne va tout de même pas la menacer, ça va nous retomber sur la gueule.
– On improvisera… je peux par exemple jouer les gigolos, ça peut marcher !
– Et moi, là-dedans ?
– Je te dis, on improvisera.

Et les voici qui sonnent au large portail de la villa des Anges, au 133 de la route de Dijon…

Sara, la soubrette antillaise vient leur ouvrir

– C’est pour l’annonce ? Demande-t-elle.
– Oui ! Répond Mattéo sans réfléchir.

Sara les accompagne jusqu’à la somptueuse villa, sous le regard peu amène d’un grand doberman.

Et après avoir franchi la grande allée menant à la villa les voici devant la baronne.

– Bien, je vais vous recevoir l’un après l’autre ! Vous, attendez sur le banc dans le couloir pendant que je m’entretiens avec monsieur.

C’est donc Augusto qui fait banquette. Normal Mattéo lui a tapé dans l’œil.

– Je suppose que vous avez des références ?
– Non pas vraiment ! Répond Mattéo complétement largué.
– Et vous vous figurez vraiment que je vais embaucher une personne sans référence ?
– Je tentais ma chance !
– Vous faisiez quoi avant ?
– J’étais éclairagiste dans un théâtre.
– Eclairagiste dans un théâtre ! Et maintenant vous postulez un poste de jardinier ! En voilà un profil de carrière qu’il est surprenant.

Mattéo vient de comprendre le quiproquo. Il peut maintenant baratiner à l’aise.

– Pour être très franc, je m’ennuyais à mourir dans mon ancien boulot et puis l’ambiance était détestable. Moi ce que j’aime c’est la nature. Je voulais partir depuis un moment et un jour j’ai eu des mots avec le directeur du théâtre. Je suis parti sur un coup de tête, vous comprendrez que je n’ai pas demandé de certificat.
– Hum ! Vous savez vous servir d’une tondeuse à gazon au moins ?
– Bien sûr madame.
– Et vous occuper des rosiers ?
– Aussi !
– Bon, je veux bien vous prendre à l’essai, vous pourriez commencez quand ?
– A votre convenance. Et même de suite si vous le souhaitez.
– OK, on va passer aux choses pratiques, mais avant je vais libérer l’idiot qui attend dans le couloir, je ne le sens pas celui-ci !

La baronne interpelle Augusto.

– La personne que je viens de recevoir fait parfaitement l’affaire. En conséquence, je vous libère et Sara va vous accompagner jusqu’à la grille. Bonne chance monsieur.

Comme un zombi il se laisse raccompagner. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il recevra un message de Mattéo :

« Elle vient de m’embaucher comme jardinier, je te tiens au courant… »

– Il y a une petite baraque sur la gauche, c’était le studio du régisseur, mais je n’ai plus de régisseur. Vous pourrez y coucher. Sara va vous installer. Pour les repas vous verrez avec elle. Le matériel est dans la cabane de jardin, Sara va vous montrer tout ça, je vais vous laisser avec elle.
– Euh, je vais chercher mon sac à dos, je reviens dans une petite heure…

Ben oui, il fallait qu’il récupère au moins son chargeur de téléphone…

Il ne voit pas Augusto (c’est vrai qu’il n’a pas le double des clés de la bagnole) et lui envoie un message (voir plus haut)

Dans la voiture, il fait une rapide recherche sur Internet. Comment faire démarrer une tondeuse ? Comment l’arrêter ? Parce que des tondeuses à gazon, il n’en a jamais touché une de sa vie.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:31

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 4 – Les amours de Valentine et de Jodie

Stamp lez mat

– Et donc, son épouse ne vous a pas accompagné au restau ? Demande Jodie afin de réorienter la conversation.
– Ce n’est pas son épouse, mais son assistante, elle est bien plus jeune que lui, c’est une très jolie femme, j’aurais volontiers couché avec elle. Oh ! Qu’est-ce que je raconte… j’espère ne pas vous avoir choqué ?
– Pas du tout. Je suis moi-même assez sensible aux charmes féminins ! Répond Jodie en adoptant un air canaille
– Excusez ma curiosité, mais cette sensibilité s’étend jusqu’où ?
– Elle s’étend jusque dans le plumard ! Répond Jodie dans un grand éclat de rire.

Le rire est communicatif et les deux femmes rigolent comme des bossues. Façon comme une autre de briser définitivement la glace.

– Dommage que je suis sans doute trop vieille pour vous… Reprend Valentine.
– Mais pas du tout, j’adore votre visage.
– Alors que diriez-vous d’un moment de folie ?
– Que je suis partante.
– Je ne vous invite pas chez moi, je suis en travaux… Mais il y a un hôtel Ibis à 200 mètres, C’est moi qui paierai la chambre.
– Mais non, nous partagerons, bien sûr.

Dans la chambre d’hôtel, Jodie pensait que cette Valentine allait lui sauter dessus. Eh bien, non, après avoir indiqué qu’elle allait se déshabiller (ce qui est quand même la moindre des choses lorsqu’on veut s’envoyer en l’air) Elle se déshabille en silence dans son coin. Jodie ne cherche pas trop à comprendre et enlève, à son tour ses vêtements et sous-vêtements.

Valentine s’est déshabillé très vite, alors que Jodie n’a pas encore terminé

– Alors qu’est-ce que tu en dis ? Demande Valentine exposant sa nudité. Je n’ai plus 20 ans, on ne peut pas être et avoir été.
– Ne te plains pas, répond Jodie, tu es encore pas mal pour ton âge, tu pourrais en remontrer à des nanas plus jeunes que toi.

Valentine s’approche de Jodie qui est, elle aussi, maintenant nue.

– Caresse moi les seins j’aime bien.

C’est justement ce que se proposait de faire Jodie, elle les caresse doucement avant de pincer très légèrement les tétons.

– Pinces les plus fort !
– Comme ça ?
– Plus fort encore, n’ai pas peur de me faire mal.
– Comme ça ?
– Oui ! Aïe,.. non continue, Aïe… oh que c’est bon, embrasse-moi.

Les deux femmes s’embrassent sans que Jodie ne relâche la pression sur les bouts de seins de sa partenaire.

Martinov3004Celle-ci jette à son tour son dévolu sur les seins de sa vis-à-vis, mais en mode soft.

– Et toi, tu aimes qu’on te les pinces ?
– Juste un peu ! Mais toi tu ne serais un peu maso ?
– Maso et soumise, je peux être ta chienne, tu peux me faire tout ce que tu veux, j’accepte tout, enfin presque tout !

Jodie n’est pas vraiment habituée à ce genre de rapport. Avec le couple qu’elle forme avec son amie, les relations s’efforcent d’être égalitaire. Personne ne domine l’autre et s’il y a une réflexion qui l’agace au plus haut point, c’est ces crétins qui ne peuvent s’empêcher de demander d’un air entendu « c’est laquelle des deux qui fait l’homme ? »

Pourtant aujourd’hui la situation commence à l’exciter.

– Tourne-toi que je vois tes fesses !

Valentine fait ce qu’on lui demande et les mains de Jodie viennent lui malaxer le joufflu..

– Et si je te lui donnais la fessée à ce gros cul ?
– Oh, oui vas-y ! Et tu peux m’insulter, ça m’excite !

Et voilà que Jodie se met à taper comme une dingue, fessant et fessant encore jusqu’à ce que le cul de Valentine devienne rouge comme un coquelicot.

– T’as aimé ça, hein ma salope ?
– Oui, oui, J’aimerais bien te lécher le cul
– Je préférerais que tu me lèches la chatte, tu m’as fait mouiller avec tes conneries.

Et Jodie se couche sur le lit, jambes bien écartées. Valentine se précipite et lui lèche son bon jus.

– C’est bon, ma mouille, hein ? Tout à l’heure je te ferais boire ma pisse !
– Chic alors ! Répond Valentine entre deux coups de langue.

Jodie commence à haleter, sa partenaire lui donne le coup de grâce en enroulant le bout de sa langue sur son clitoris. Jodie jouit comme une malade. Les deux femmes s’étreignent.

– Maintenant je peux te lécher le trou du cul ?
– Ma parole, c’est une obsession ! Vas-y, lèche, mais s’il n’est pas bien propre ce sera tant pis pour toi !

Ben oui, un anus en pleine après-midi a perdu la fraicheur de la douche matinale, c’est la nature, non ? Toujours est-il que Valentine lui pratique cette feuille de rose avec passion et gourmandise, n’ayons pas peur des mots)

– Ah ! Ton anus a un goût exquis !
– J’en suis fort aise !
– Tu dois me trouver un peu givrée ?
– Pas du tout ! J’admets beaucoup de choses, du moment que ça ne fait de mal à personne !
– Je peux te mettre un doigt dans le trou ?
– Vas-y, j’aime bien !
– Moi aussi… On peut se mettre en soixante-neuf comme ça on va se doigter en même temps.

Proposition adoptée, bien sûr d’autant que cette position permet le léchage réciproque. Et du coup c’est le déchainement, Jodie ne tarde pas à gueuler sa jouissance, rejointe une minute plus tard par Valentine.

Les deux femmes s’embrassent et se pelotent.

– Quand tu fais la soumise, tu fais quoi exactement ! Demande Jodie soudain curieuse.
– Oh, la la, on m’en a fait faire des trucs… si tu savais…
– Tu ne veux pas me raconter !
– Une fois une copine m’a emmené dans un club, elle m’a passé un collier de chien autour du cou et m’a promené en laisse, puis elle a sélectionné sept bonhommes, on a été en cabine, une grande cabine. ils m’ont tous baisé par tous les trous et à la fin il y en a qui m’ont pissé dessus !
– Et comment t’a vécu ça ?
– Arrête, j’étais excitée comme une puce. Sinon, j’ai aussi fait la soumise dans de soirées sado-maso, on m’a attaché, fouetté, tout ça, je supporte bien, ça fait mal mais j’aime bien. Et puis des trucs pire encore que je ne te raconte pas .
– Ben si raconte.
– Je ne voudrais pas te choquer.
– Promis, je ne me choquerai pas !
– C’est à tes risques et périls, c’est des trucs un peu extrêmes.
– De la scato ?
– Bien sûr, ça ne me gêne pas tant que ça, mais aussi de la zoo.
– Raconte !
– Ben on m’a fait lécher la bite d’un chien, et après il m’a grimpé dessus.
– Wāh, ça doit être dingue ?
– Pourquoi, ça te tente ?
– Je sais pas trop pour moi, mais j’ai vu des photo sur Internet, ça m’a fait mouiller grave !
– Et si l’occasion se présentait ?
– On ne peut pas dire d’avance.

La conversation n’a pas laissé la chatte de Jodie intacte, elle moulle comme une éponge.

– Viens entre mes cuisses, viens me lécher l’abricot, ma salope !

En bonne soumise, Valentine ne se le fait pas dire deux fois et vient laper le jus d’amour de sa partenaire laquelle ne tarde pas à jouir de nouveau.

– Reste là ! Lui dit Jodie et ouvre bien ta bouche
– Oh, oui donne-moi ta pisse !

Gloup !

– Ah, au fait, ça t’embêterais de m’envoyer la photo de ce vitrail ?
– Mais non, avec plaisir

C’est ainsi que les coordonnées des deux femmes furent échangées, mais aucune des deux ne manifesta le désir de se rencontrer de nouveau.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:28

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 3 – Martinov et Valentine
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– Et maintenant que je t’ai offert mon corps, est-ce que tu vas consentir à me montrer ce fameux local. Demande Jodie avec un grand sourire.
– Tu ne vas pas me dire que tu as couché avec moi juste pour ça ? Lui répond sèchement la baronne.
– Répond-moi donc !
– Je ne suis pas une girouette, et je ne suis pas du genre à changer d’avis parce qu’on on s’est envoyé en l’air.
– Mais enfin, je ne te demande pas la lune !
– Et si je te disais que j’ai une bonne raison pour te refuser ce service, et que cette raison je ne peux pas te la dévoiler !
– Y’a vraiment pas moyen ?
– Non mais je peux néanmoins t’affirmer une chose, il n’y a pas de trésor caché cans l’église. Pourquoi voudrais-tu que l’on emmure un trésor ? Ça n’a aucun sens.
– Pas si sûre ! Bon salut !
– Tu vas laisser tomber, alors ?
– Tu le verras bien !

Jodie est dépitée, on le serait à moins ! Effectivement pourquoi emmurer un trésor ? On peut toujours trouver un scénario farfelu. Par exemple un chevalier possédant justement un trésor mais sommé de partir aux croisades… donc rien d’impossible à priori.

Elle revient à l’église, les deux abrutis sont toujours là en train de fumer une clope près de leur voiture.

– Vous n’êtes pas encore partis, vous ?
– On est très bien là !
– Vous perdez votre temps, il n’y a pas plus de trésor que de beurre en broche.
– Ben si justement ! Le curé nous a montré quelque chose.
– Il vous a montré quoi ?
– On va vous faire voir, mais si on trouve le trésor ce sera fifty-fifty
– D’accord ! Répond Jodie qui se dit qu’elle trouvera bien le moyen de ne pas tenir une telle promesse.

Et les deux compères accompagnent Jodie dans la nef et s’arrête devant un vitrail assez moche. Mais c’est ce qu’il représente qui a de quoi intriguer. On y voit une femme avec un voile bleu (donc très probablement la Vierge Marie) offrir une cassette débordant de pièces d’or à un moine agenouillé comme une andouille.

– Une coïncidence ! Lance Jodie qui aperçoit alors un texte en petits caractères collé dans un coin. Du latin.

« Sancta virgo Maria thesaurum nefandi Anceloti commendat sanctis Burgundionibus sacerdotibus »

– Vous savez déchiffrer ça ? Demande Mattéo.
– Non pas du tout ! Ment Jodie qui vient de le traduire mentalement.

« La vierge Marie confie le trésor de l’infame Ancelot aux prêtres bourguignons »

La probabilité de l’existence d’un trésor se trouve donc renforcée. Jodie a quelques idées mais n’en souffle mots.

– Vous allez faire quoi ? Demande Mattéo.
– Ça ne vous regarde pas !

Mattéo et Augusto sont circonspects et se concertent.

– Faudrait qu’on rentre…
– Si près du but, c’est un peu con, non ?
– On file vite fait à Paris, on se fait mettre en arrêt maladie et on revient dans la foulée.

Jodie a ouvert son ordinateur portable et recherche un article sur ce mystérieux Ancelot. Son nom est cité dans deux articles mais sans aucune précision intéressante. Eh oui, on ne trouve pas tout sur Internet.

Il lui faudra donc essayer du côté de la bibliothèque nationale. Mais pour cela il lui faut aller à Paris et donc quitter l’église de Sainte Pétassouille. Or elle n’a aucune confiance ni dans le curé ni encore moins dans les deux idiots .

Elle les a vu partir mais ne doute pas un seul instant qu’ils risquent de revenir et qui sait peut-être avec des outils propres à défoncer la cloison du sous-sol.

Alors arguant de sa qualité de haut fonctionnaire, elle téléphone au cabinet du préfet et expose sa requête. Quelques heures après, elle recevait par e-mail un arrêté préfectoral en bonne et due forme. Il ne lui restait plus qu’à en informer le curé.

– Je vais m’absenter quelques jours, pendant ce temps l’église restera fermée sous votre responsabilité
– Mais vous n’avez pas le droit !
– Si !
– Mais pourquoi ?
– Deux individus louches tentent de doubler ma mission…
– Mais ces jeunes gens sont gentils comme tout !
– Ils vous ont embobinés, oui !
– Mais si l’église ferme, où est-ce que je vais célébrer la messe ?
– J’en sais rien ! En plein air ? Ça se fait, non, les messes en plein air ?
– Et s’il pleut ?
– Vous prendrez un parapluie ! Bon on va fermer l’église, afficher l’arrêté préfectoral sur la porte et vous allez me confier les clés… et arrêtez de baliser, c’est juste l’affaire de deux ou trois jours.

« Pour des raisons de sécurité, l’église de Sainte Pétassouille sera fermée quelques jours. »

Avant de repartir pour Paris, Jodie a l’idée de se renseigner auprès de la bibliothèque municipale de la ville. Peine perdue, poussez-vous il n’y a rien à voir.

Vendredi 19 avril

C’est donc à Paris, à la bibliothèque nationale François Mitterrand qu’elle poursuit ses recherches. Le nombre d’ouvrages consacrés à l’histoire de la Bourgogne est hallucinant. Elle tente de cibler les ouvrages relatant des relations conflictuelles entre seigneurs et vassaux, mais ne trouve aucune mention de ce fameux Ancelot.

Elle s’apprête à laisser tomber quand une dame d’une soixantaine d’années mais de fort belle allure l’aborde.

– Excusez-moi de vous déranger, mais je suppose que vous êtes historienne ?
– Non pas vraiment, et je n’arrive pas à m’y retrouver dans tout ce fouillis…
– Il se trouve que je suis moi-même historienne et que je suis l’autrice du gros pavé qui est là ! Répondit la dame en désignant le plus volumineux des ouvrages posés sur sa table de lecture.
– Je l’ai survolé, mais je n’ai pas trouvé ce que je cherche…
– Et si vous me disiez ce que vous cherchez, je pourrais peut-être vous aider ?

Jodie sort son téléphone sur lequel elle a photographié l’objet de ses recherches.

– Voilà, c’est un vitrail de l’église de Sainte Pétassouille, à Grimpeau-Ridot; près de Dijon, je voudrais l’interpréter.
– Ah, je suis passée plusieurs fois dans cette localité, j’avoue ne pas avoir porté une attention particulière à ce vitrail…
– Il y a une inscription…
– Oui je vois… c’est simplement une histoire de maquereau récalcitrant !
– Pardon ?
– La pratique était courante depuis le Moyen Age et même bien après. L’église taxait les bordels. Il y avait forcément des mauvais payeurs. Dans ce cas on leur envoyait la soldatesque et on leur confisquait leurs biens. Si vous n’êtes pas trop pressée, je peux entamer des recherches précises, ça m’amusera, je suis en retraite.
– Je vous en remercie, mais ce que vous m’avez expliqué me suffit ! Je vous remercie je n’aurais sans doute pas trouvé sans vous.
– Je vous en prie.
– Je ne sais comment vous remercier. Le moins que je puisse faire c’est vous payer un pot. D’accord ?
– Mais avec grand plaisir.

Elles se rendent donc dans un café proche et s’installent en terrasse.

– Nous ne nous sommes pas présentées, Valentine Ponchielli, ancienne professeur d’histoire à la Sorbonne.
– Enchantée. Jodie Keller, chargée de recherche au ministère de la culture.
– Ah ! Et vous recherchez quoi ?
– Oh, un peu de tout, on me confie des missions, des enquêtes; essentiellement des investigations au sujet d’éléments non répertoriés de notre patrimoine.
– Ce doit être passionnant ?
– Parfois…

Il émane de cette Valentine, un visage d’une infinie douceur associé à un sourire qui respire la bienveillance, la sympathie, la confiance.

Et Jodie se met à raconter l’épisode du château tourangeau qui lui a valu quelques heures de gloire médiatique.

– Vous n’étiez pas au courant ,
– Je ne regarde pas la télé ! C’est un choix… et donc maintenant vous vous intéressez aux vitraux de cette vieille église.
– Ce n’est qu’un intérêt collatéral. En fait on y a détecté une pièce secrète, elle est vide mais possède des pièces adjacentes. Mais disons que nous rencontrons des difficultés d’accès.
– Ah oui ? Ponctue Valentine soudain fort intéressée.
– D’un côté nous ne voulons pas prendre le risque en démolissant une cloison d’aller abimer ce qu’il y pourrait y avoir derrière. Et de l’autre côté nous avons affaire à une dépendance privée dont la propriétaire nous refuse l’accès.
– Donc vous êtes coincée ?
– Peut-être pas, je ne vois pas pourquoi on irait enfermer un trésor entre quatre murs. L’accès existe d’une façon ou d’une autre, j’ai pensé à un passage secret.
– Effectivement les châteaux du moyen-âge étaient souvent équipés de passages secrets, cela s’avérait fort utile en cas de siège ou d’invasion. Dans les églises c’est plus rare, mais ça existe aussi !
– Donc comme je n’y connais rien, je vais rechercher un spécialiste des passages secrets, je n’ai pas encore commencé à chercher.
– Je connais quelqu’un, un couple de chercheurs multifonctions, ils m’ont réparé à la perfection un automate du 18ème siècle. Lui c’est un vieux barbu assez sympathique.
– De la sympathie professionnelle ?
– Non, pas que… un bonhomme intéressant, il m’a même invité au restaurant…
– A quel titre ?
– J’en sais trop rien, il a dû trouver ma compagnie agréable !

Flashback (réminiscence)

Alors que le professeur Martinov expliquait à sa cliente avec force détails comment il avait réparé son automate et faisait durer la conversation. Béatrice les laissa plantés là, devant se rendre à la poste..

Valentine en fut quelque peu contrariée, fascinée qu’elle était par le joli minois de la belle chimiste..

Aussi quand le professeur proposa « en tout bien tout honneur » de poursuivre cette intéressante conversation au restaurant, Valentine accepta se disant qu’une fois cette formalité accomplie, elle trouverait bien un prétexte pour se retrouver en face de Béatrice.

« Et puis déjeuner avec ce bonbonne qui a plein de choses à raconter ne devrait pas être une corvée… »

Le repas se passe dans une bonne entente et au moment du dessert le téléphone de Martinov sonne.

– Allo mon petit professeur, explique la voix de Béatrice, je suis allé à la poste et en même temps j’ai reçu sur mon téléphone les résultats du labo pour le dossier Michaud, ils n’ont rien compris de ce que je leur demandais, je vais me déplacer chez eux pour leur expliquer ce que je veux…
– Tu ne reviens pas, alors ?
– Non, j’arriverais de bonne heure demain matin, bonne fin de journée mon petit professeur.
– Bisous Béatrice.

Valentine qui a entendu la conversation a du mal à dissimuler une certaine contrariété.

Après le dessert ce sera le café, il est donc plus que temps pour Martinov de passer à l’attaque.

– Pardonnez mon audace, mais je voulais vous dire que je vous trouve très séduisante…
– Allons donc…
– Ne vous inquiétez pas, j’ai passé l’âge de jouer les séducteurs. Je ne voudrais pas être lourd mais autant que les choses soient claires. Je vais vous posez une question toute bête, si vous me répondez « non », je n’aurais pas l’outrecuidance d’insister.
– Que de mystère ! Mais rassurez-vous la réponse est oui !
– Mais je n’ai pas formulé la question.
– C’est tout comme. On fait ça où ?
– Ben chez moi ! Répondit le professeur qui n’en revenait toujours pas.

Revenu dans sa maison de ville, le professeur gai comme un pinson propose à Valentine de boire un verre.

– Non, non, battons le fer quand il est chaud…. on fait ça sur le canapé ?
– J’ai un lit douillet à l’étage !
– Eh bien, allons-y

Et sitôt dans la chambre la jolie mature attire le professeur contre elle afin qu’ils s’échangent un baiser fougueux pendant lequel les mains se restent pas inactives, celles de Martinov sur la poitrine de la femme, et celles de cette derrière sur la braguette de l’homme (ben oui ça devient chaud)

Et les voilà qui se déshabillent. Martinov ne tient plus en place et bande comme un cerf, doublement excité, d’une part par la situation, mais aussi par le corps de la belle qui a peu souffert des outrages de l’âge.

Les corps maintenant nus se rapprochent et on se tripote, les jolis seins de Valentine pour le professeur, et la bite de ce dernier dans la main de la dame.

Martinov lui prend la main et l’entraîne sur le lit. Valentine fait sa passive et se laisse faire. Le professeur vient vers elle, visage contre chatte et tout en lui pinçant les tétons, entreprend de lui lécher ses nymphes humides. C’est qu’il adore ça, ce libertin de Martinov… Et bien sûr il bande comme un cochon.

– J’ai un petit gadget dans ma table de nuit, ça vous dit ? lui propose-il après quelques minutes de léchage.
– Un gadget ? Oh là là ! Montrez-moi ce que c’est !

Il s’agit, les lecteurs l’auront deviné de son godemichet favori qu’il utilise d’ordinaire soit seul soit avec Béatrice..

– Vous allez me prendre pour une oie blanche, mais je n’ai jamais eu besoin d’utiliser ce genre de choses.
– Soit ! C’était juste une idée, je vais le ranger… Bredouille le professeur légèrement gêné.
– Non, non, pas du tout ! On en apprend à tout âge, alors pourquoi pas essayer ?
– Ben c’est tout bête, ça s’introduit devant ou derrière….
– Jusque-là j’avais compris !
– Et c’est muni d’un petit vibrateur réglable !
– On arrête pas le progrès !
– Je ne vous le fais pas dire !
– Je vous l’introduis ?
– Introduisez, mon cher, introduisez !

Le professeur fait pénétrer le gode dans le sexe de Valentine, puis active progressivement le vibrateur jusqu’à atteindre la puissance maximale.

– Oh là là, c’est diabolique cet engin ! Arrêtez… non continuez… Oh ! Oh ! Wahwah.

Le corps de Valentine se crispe, ses mains agrippent dessus de lit, elle crie sa jouissance, puis souffle comme un bœuf !

– Hé bin ! Dit-elle simplement.

Le professeur fut à ce moment assailli d’un doute bizarre :

 » Elle me raconte des conneries en me faisant croire qu’elle n’a jamais utilisé de gode ! Mais pourquoi ce mensonge ? Bref quelle importance ? »

– Je m’encapote et je suis à vous, mais je crains que mon vieux sexe ne supporte pas la comparaison..
– Allons, allons, et pourquoi ne me prendriez-vous pas par le petit trou ?.

Il y a des suggestions qu’on ne sauraient refuser….

La mature se place en levrette, s’écartant elle-même ses globes permettant à Martinov de s’en mettre plein la vue.

Son visage s’approche de cet insolent anus étoilé et sa langue vient le caresser.

– Tu me chatouilles avec ta barbiche ! (enfin le tutoiement.)

Martinov3003Le professeur se recule et se place en position d’assaut et encule sa partenaire assurément..

– Oh là là ! Quelle forme ! Oh que c’est bon, encore, encore ! Bourre-moi le cul, salaud ! Tape-moi sur les fesses en même temps !

Pan ! Pan ! Pan !

Martinov aurait bien fait durer la chose mais il y a un moment où le désir devient incontrôlable et tandis que la belle gémit en prononçant des choses incompréhensibles, il accélère la cadence jusqu’à l’inévitable ‘explosion. Fourbu par l’effort, il lui dégringole littéralement dessus.

– Oh, pardon !
– Non, tout va bien !

Le professeur ne souhaita pas prolonger ce bel instant d’intimité et en se rhabillant il s’inventa un rendez-vous. Les deux amants se quittèrent en s’embrassant mais sans promesse de se revoir.

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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