Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:55

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 11 – Madame Hortense
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Un jour une grande brune quadragénaire plutôt jolie, était venue choisir un soutien-gorge, elle s’entêtait à choisir des modèles trop petits pour sa poitrine plutôt conséquente, à ce point que dans la cabine, je devais me servir de mes mains pour l’aider.

– Vous avez les mains douces !
– Ah oui ?
– Continuez à me peloter, ça me fait un bien fou !
– Mais enfin madame !.
– Continue, je te donnerais un petit billet.

Après tout pourquoi pas ? Voilà qui rompra la monotonie et puis ça me changera des gros lourdingues du lieu.

Du coup je lui malaxe sa jolie poitrine, ça me plaît bien de faire ça.

– Les tétons, tripote-moi les tétons !

Ce n’est pas un problème, je les asticote et ils deviennent rapidement tout durs.

– Ta bouche ! Sers-toi de ta bouche !

Ce n’est pas un problème non plus et je me régale de ces jolis fruits gentiment offerts.

– On pourrait continuer, mais on va finir par se faire repérer. Je vais acheter ce soutif.
– Mais il est trop petit !
– Mais non ! Retrouve-moi à 20 heures au café de l’Opéra, je te ferais une proposition qui pourra t’intéresser. Je m’appelle Hortense.
– Je ne sais pas…
– Moi je sais ! Et ne me fais pas faux bon, je déteste être contrariée ! Ajoute-t-elle avec un sourire désarmant.

Alors j’y suis allée, parce que d’une part ça ne m’engageait à rien et que quelque part cette femme exerçait sur moi une sorte de fascination que je n’osais m’avouer.

Je la retrouve à terrasse du café où elle sirotait un Picon Bière.

– Merci d’être venue ! Me dit-elle. Je vais être très directe, je sais comment les choses se passe dans ce magasin. Droit de cuissage à l’embauche, ensuite on croit que c’est fini, mais ça ne l’est jamais et il faut se farcir tous les mecs en rut. C’est bien ça ?
– Absolument !
– Et ça te rapporte quoi ?
– Pas grand-chose, l’autre fois un mec m’a offert du parfum, ça n’a pas dû lui couter grand-chose, il a dû le piquer au rayon du rez-de-chaussée.
– Quitte à te faire baiser, ce serait mieux si ça te rapportait de l’argent, non ?

Oh, que je la vois venir, la belle Hortense avec ses gros sabots !

– Vous êtes en train de recruter ? C’est ça ?
– Tout à fait ! Je dirige une maison de plaisir rue de Vaugirard. Tu pourrais gagner de l’argent facilement et m’en faire gagner à moi aussi par la même occasion. Nous avons une clientèle assez select et la sécurité est assurée.
– Vous me prenez au dépourvu…
– Ma proposition te choque ?
– Non pas du tout, j’ai déjà fait la putain !

Du coup son visage reflète l’incompréhension.

– Et t’as laissé tomber, pour travailler comme vendeuse ? C’est le monde à l’envers !
– On m’a viré !

Hortense semble dépitée et est à deux doigts de mette fin à cet entretien, mais la curiosité féminine étant ce qu’elle est, elle désire en savoir davantage.

– Et tu peux me dire pourquoi on t’as viré ? T’as fait une connerie ?
– Pas du tout, ça marchait bien, en fait c’était un bistrot à putains, et un jour dans la salle j’ai aperçu mon frère, je ne voulais pas qu’il me voit et je l’ai expliqué à la patronne. Elle m’a dit que ce genre de situation était une source d’embrouilles, qu’elle ne voulait pas d’histoires et elle m’a gentiment prié de dégager.
– Ah, je comprends mieux !

La voilà rassurée, Hortense !

– Mais comment tu t’es retrouvé « Au bonheur des dames » ?
– C’est toute une histoire…
– Tu ne veux pas me la raconter ?

Je lui est donc raconté, mais pas à l’exact, j’ai donc passé sous silence l’épisode des ottomans et lui indiquais que je n’avais été embauchée chez des bourgeois que de façon provisoire suite à l’incapacité temporaire de la bonne titulaire… Hortense m’a écouté sans m’interrompre.

– Eh bien, quelles aventures ! Dis-moi, tu sais faire quoi sinon ?
– Je suis une fille de la campagne…
– Non je veux dire : tu lis ? Tu dessines ? Tu joues d’un instrument,
– J’ai lu deux ou trois trucs, un jour je suis tombée sur un bouquin avec des poèmes coquins, du coup je me suis amusée à en écrire quelques-uns.
– Intéressant, je pourrais les voir.
– Ils sont chez moi, mais vous risquez d’être déçue !
– Tu m’invites ?

Elle devient collante la mère Hortense.

– C’est-à-dire, c’est très modeste…
– Je m’en doute bien, mais qu’importe, si ça t’embarrasse, je n’insisterais pas, mais je suis persuadée que tu me montreras tes poèmes un jour ou l’autre. Alors donc que dirais tu de venir faire la putain dans mon établissement ?
– Je suis obligée de répondre maintenant ?
– Bien sûr que non
– Alors laissez-moi réfléchir quelques jours.

Le garçon de café finit pas arriver. Ils ne sont pas trop pressés de servir dans ce bistrot pourtant très chic !), m’empêchant de quitter les lieux (quoi que j’aurais pu m’en aller mais bon…)

Je commande une menthe à l’eau. Un ange passe, le visage d’Hortense me fascine, elle est trop belle cette femme !

Alors je ne sais pas ce qui m’a pris mais consciente de me laisser manipuler, j’ai lâché :

– Je bois ma menthe à l’eau et si vous voulez on fait un saut chez moi.

– Bon, on ne va pas tourner bêtement autour du pot. En acceptant de m’inviter chez toi tu te doutes bien qu’on va s’envoyer en l’air.
– Et mes poèmes ?
– Après ! Approche-toi, j’ai envie de goûter à tes lèvres.

Ça tombe bien, moi aussi.

Quelle sensation, quel plaisir de sentir sa douce langue jouer avec la mienne. On ne se contente pas de s’embrasser, on se pelote, on se débraille et quand nous avons repris notre souffle c’est pour finir de nous déshabiller et nous jeter sur mon petit lit.

– Mes nichons ! Mes nichons ! Implore-t-elle

Décidément, c’est son truc ! Mais ça ne me dérange pas, bien au contraire.

Et je ne m’en lasse pas de cette jolie poitrine mais au bout de quelques minutes elle m’invite à aller voir plus bas. Madame a le pubis très poilu et la chatte charnue.

Je me régale en léchant tout ça, mélange de mouille, de sueur et d’urine. Je voudrais bien aussi qu’elle s’occupe de moi parce que j’ai la chatte en feu, mais je suppose que ça viendra ensuite. Ne dit-on pas qu’il n’est pas meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?

En même temps que je lui broute le gazon je m’autorise à lui enfoncer un doigt dans le cul.

– Oh oui, encule-moi avec ton doigt .Touche ma crotte !

Puisque j’ai son assentiment, je ne vais pas me gêner, alors je pilonne, je pilonne tandis que ma langue vient taquiner don gros clito érigé comme une petite bite .

Hortense jouit en éjectant un geyser de mouille. C’est impressionnant !

Elle m’enlace, elle m’embrasse, me dit qu’elle m’adore , faut pas exagérer non plus !

– T’es vraiment un bonne pute !

Un compliment ça fait toujours plaisir !

– Lèche-moi ! Implorais-je ..
– Bien sûr ma chérie ! Je ne vais pas laisser cette jolie chatte s’endormir, elle mérite mieux que ça ! Putain qu’est-ce que tu mouilles, ça dégouline sur tes cuisses !
– C’est toi qui me fait mouiller.
– J’en suis fort aise !

Mes nichons ne semblent pas l’intéresser outre mesure, en revanche ma chatte et mon cul …

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Elle me lèche le trou de balle, elle me doigte, putain mon cul ! Elle m’a foutu combien de doigts là-dedans ? Mais c’est bon, j’adore !

Elle m’a fait jouir, ce fut intense, puis elle me fit part de son envie de pisser. Entre putes je sais comment se passe ce genre de chose. Je lui ai offert la bouche, elle m’a offert son pipi, il était délicieux. Tout va bien !

– Alors cette réponse ? me demande-t-elle en se rhabillant
– Laisse-moi quelques jours.
– D’accord, voici l’adresse de l’établissement ! Ça s’appelle « La poule d’eau »

En fait ma décision était prise mais je temporisais par principe ne voulant pas paraître comme une proie facile.

Mais les choses se sont précipitées…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:52

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 10 – Au bonheur des dames
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Le lendemain

Il est 9 h 50, une calèche avec à son bord André Leduc et moi-même ainsi que Jojo la flèche, s’arrête à 30 mètres de l’entrée « Rue de Rome » de la Gare Saint-Lazare.

Je suis emmitouflée dans une pèlerine à capuche, méconnaissable.

Guigui, le conducteur, descend en sifflotant et fait semblant de vérifier les roues.

Je repère Izmir sur le trottoir et l’indique à Leduc. Celui-ci jette un œil aux alentours, repère un gros patapouf au physique de catcheur qui ne cesse de regarder à gauche et à droite

– A tous les coups, c’est la couverture, apparemment il n’y en a pas d’autres, on attend cinq minutes et on y va.

Cinq minutes plus tard Jojo la flèche et Guigui s’approchaient de Patapouf et lui tenaient des propos incohérents afin de l’empêcher d’agir.

Leduc descend approche Izmir, le menace d’un pistolet et l’oblige à monter dans la calèche, puis l’assomme d’un violent coup de matraque.

Je prends la place du cocher et démarre en direction du Boulevard Pereire sous les yeux éberlués de Patapouf qui ne comprend rien à ce qui se passe.

– Voilà, vous pouvez descendre, la suite ne vous regarde pas, mais j’en fait mon affaire.

Je suis revenue chez les Conrad, juste le temps de prendre quelques affaires (pas grand-chose, quelques changes et bien sur mon bouquin cochon et mon petit carnet) puis j’ai loué une chambre meublée avec mes économies, dans le quartier de Notre dame de Lorette.

Le lendemain la presse restait étonnamment muette à propos de la disparition d’Izmir. Il faut dire que Patapouf, craignant que l’on lui reproche d’avoir mal effectué son travail avait préféré ne pas rentrer à l’ambassade et s’en était allé chercher du travail boulevard du Temple où l’on recrutait des catcheurs.

L’ambassade de l’Empire ottoman s’inquiéta néanmoins et entama une démarche auprès du ministère des affaires étrangères. Mais nous étions en pleine crise ministérielle, le cabinet Jules Ferry venait d’être renversé et le nouveau titulaire avait autre chose à faire que de s’occuper de la disparition d’un diplomate de troisième zone. Les ottomans eurent juste droit à un communiqué par lequel on leur indiquait que la police française mettrait tous ses moyens eu œuvre afin de découvrir et de châtier les coupables (refrain connu).

Est-ce qu’alors j’aurais pu rester chez les Conrad ?

– Non, ces gens-là ne renoncent jamais, ils vont calmer le jeu quelques temps puis ils enverront un autre espion… C’est à moi de trouver un plan pour les contrer, j’ai une vague idée mais il faut que je l’affine. Reviens nous voir quand tu voudras… mais pas tout de suite.

Je me présentais donc « Au bonheur des dames » et demandait à rencontrer le chef du personnel.

Celui-ci un dénommé Minier est un grand échalas complètement chauve au visage poupin.

– Ah mademoiselle, je ne demanderais pas mieux de vous embaucher, mais voyez cette pile, ce ne sont que des demandes d’embauche, ceux avec recommandation sont au-dessus. J’ai donc l’embarras du choix, évidemment comme vous êtes mignonne, ça peut faciliter les choses, mais ça ne suffira pas.
-C’est donc un refus ?
– Pas forcément, en fait tout dépend de vous
– J’ai peur de ne pas comprendre.
– Disons que si vous étiez gentille avec moi, vous seriez sans doute embauchée.
– Je pense être une personne gentille.
– Mais jusqu’où pourrait aller votre gentillesse ?
– Arrêtons de tourner autour du pot, vous avez envie de me sauter, c’est ça ?
– Que voulez-vous, la chair est faible
– Alors d’accord, mais vous m’embaucherez !
– Cela va de soi !

Il se lève et ferme la porte à clé.

– Hum, j’ai l’impression que votre poitrine doit être plaisante… Montrez la moi, je vous prie.

Ils veulent tous voir mes nénés, c’est terrible, ça !

Je dégage tout mon haut et me voilà torse nu, les nichons à l’air. Minier ne peut alors s’empêcher de les tripoter avec ses grosses pattes. Je prends mon mal en patience, mais il ne semble jamais vouloir s’arrêter, et maintenant non content de tripatouiller, il lèche me foutant sa vilaine salive partout. Quel gros porc ! Je ferme les yeux et m’imagine que c’est un beau jeune homme, blond aux yeux bleus et poète à ses heures qui me traite ainsi. Ça aide !

Ah, enfin il s’arrête et me regarde avec un air idiot !

– Voyez-vous j’ai un petit vice. Oh ça n’a rien de méchant, mais j’adore la fessée ! Déclare Minier d’un air salace.
– Ah, vous voulez que je vous donne la fessée?
– Mais non voyons, c’est moi qui vais vous fesser !
– A mains nues ?
– Faut voir, j’ai ici quelques badines dont j’aime bien me servir. Mais ne craignez rien je ne vais pas vous abimer… Si vous voulez bien me dégager vos fesses et vous coucher sur mes cuisses
– Et après la fessée ?
– Après la fessée, je vous baise… sur le bureau ! Si vous pouviez savoir le nombre de nanas que j’ai baisé sur le bureau ! Hi ! Hi !.

Bon, puisqu’il faut en passer par là…

Je relève ma robe, retire la culotte et m’affale sur les cuisses du bonhomme.

– Vous avez un fessier magnifique ! Me complimente-t-il.
– Puisque vous le dites !
– Si, si, c’est sincère, vous savez j’en ai vu des culs !

Et vlan ! Je reçois une première fessée, elle est très supportable mais la seconde est plus forte, je serre les dents. Il tape maintenant à la volée. Ça commence à chauffer sévère. Il va s’arrêter quand ce con ?

Je sens sous mon ventre que le type bande comme un âne.

La fessée s’arrête soudainement.

– Relevez-vous. Vous avez le cul tout rouge, mais ça va partir. Je me suis fait mal aux mains mais ça valait le coup, je pourrais me servir d’un instrument mais ce n’est pas pareil, il manque cette sensation de contact entre les fesses et les mains, vous comprenez ?

Il est en train de me faire un cours cet abruti !

– Bon, maintenant il faut que je me vide les couilles !

Poète en plus !

– Allongez-vous sur le bureau, en laissant vos jambes pendantes’
– Vous ne préférez pas une bonne pipe ? Il paraît que je fais ça très bien ?
– Non c’est un truc de pute ! Moi je baise !

Mais qu’est-ce qu’il est con ! C’est pas possible d’être aussi con.

– Alors d’accord, mais faites ça par derrière.
– Et pourquoi donc ?
– Parce que je préfère et ce n’est pas négociable.
– T’es vraiment une salope !
– Si vous le dites !

Pauline10J’ai un peu relevé mon bassin afin de lui faciliter la pénétration, il n’a rien trouve de mieux que de m’y introduire un doigt et le faire bouger, puis content de lui, il m’a enculé en trois minutes chrono.

Fin de la corvée. Je suis embauchée.

J’ai donc été affecté au rayon lingerie. Drôle d’ambiance, toutes les collègues ont été embauchées dans les mêmes conditions que moi, certaines étaient adorables, d’autres de vraies pestes. Nous étions sans cesse sollicitées, le chef de rayon, le directeur des ventes et d’autres aussi. A force ça devient pénible.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:49

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 9 – Les trois lascars
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Je me rendais donc le lendemain en fin de matinée à une adresse, Boulevard Richard Lenoir et montais chez un certain monsieur Leduc.

– Que me vaut cette visite, ma charmante dame ? Me demande l’individu en me déshabillant des yeux.
– Une personne dont je ne puis relever le nom, m’a demandé de vous contacter au sujet d’un contrat.
– Les contrats, c’est payant !
– J’ai ce qu’il faut !
– Racontez !
– Demain à 10 heures, gare Saint Lazare, j’ai rendez-vous avec un type à qui je dois remettre une enveloppe. (bref je lui explique sans lui dire qu’il s’agit d’un attaché de l’ambassade de l’empire ottoman)
– Et dans l’enveloppe il y a quoi ?
– Elle est factice, elle sera censée contenir des documents compromettants, mais en fait ce ne sera pas le cas.
– Je vois, il y a fort à parier que votre bonhomme sera couvert par un ou deux comparses, ça va être compliqué. Il faut que je réfléchisse un peu. Et vous savez ce qui stimule la réflexion ?
– Non mais vous allez me le dire !
– La chose, voyons ! La chose !
– Quelle genre de chose ?
– Quelque chose comme le sexe !

J’éclatais de rire me méprenant complétement sur ces intentions.

– C’est en vous branlant le bigoudi que vous allez trouver un plan ? Me gaussais-je.
– Non, c’est en faisant l’amour avec vous

Gloups !

– Mais rien ne presse, j’ai une vague idée sur la façon dont nous pourrions procéder, mais il faut que j’en parle avec quelques amis. Allez donc vous poser sur un banc sur le boulevard, le temps est clément aujourd’hui, et revenez dans une heure !

Une heure plus tard je revenais chez le bonhomme qui n’étais plus seul.

– Voici Georges dit Jojo la flèche, et Guillaume dit Guigui.

N’étant pas complétement débile, je me doutais bien que ces appellations venaient tout juste d’être inventées. Ces deux gaillards-là affichaient des figures patibulaires (pas tibulaires du tout comme disait un humoriste)

– Comme je vous le disait tout à l’heure, il nous faut un plan qui tienne la route, nous avons un vague idée mais il faut l’affiner. Et pour l’affiner il faut un stimulant. Acceptez-vous de nous stimuler ?
– Tous les trois ?
– Tant qu’à faire !
– Et si je refuse ?
– On majore la prime, mais comme je suppose que vous n’avez pas sur vous le montant de cette majoration…

Me voilà au pied du mur ! Bien sûr j’aurais pu refuser et dire à monsieur Conrad que ce Monsieur Leduc ne souhaitait pas honorer ce contrat… Mais en fait je n’y ai même pas pensé !

– Bon, je vais être à vous, mais promettez moi de ne pas user de brutalité.
– Mais chère amie dont nous ne saurons jamais le nom, nous sommes doux comme des agneaux.
– Par ailleurs, si vous me pénétrez le con, retirez-vous avant de gicler.
– Mais oui, ma douce, maintenant assez parlé, montre-nous tes atours !

Je me suis donc débarrassée de mes vêtements tandis que les trois lascars se dégageaient de leur vêtements du bas.

Et aussitôt c’est la ruée ! Six mains qui me pelotent, me caressent, me triturent. Pas un seul endroit n’est épargné. J’ai des doigts dans la chatte, d’autres dans mon trou du cul.

J’essaie de ne pas rester passive, mais ça n’a rien d’évident. Je parviens tout de même à m’emparer d’un bite que je branlote.

– Suce-moi salope !

J’ignorais que j’étais chez des poètes.. Mais la salope que je suis se baisse et fourre la bite de Guigui (car c’est de lui qu’il s’agit) .dans ma bouche..

Les deux autres viennent à ses côtés. J’ai compris ce qu’ils veulent, et donc je les suce les uns après les autres. J’ai complétement oublié l’épisode « lingette », mais heureusement leur état n’a rien de repoussant. En même temps Leduc tripote les fesses de jojo. Ces deux-là seraient à voile et à vapeur que cela ne m’étonnerais pas.

Je suce, je suce, je n’arrête pas de sucer, à ce point que je vais finir par avoir mal à la mâchoire.

Jojo se retourne et me présente ses fesses. Il veut donc que je lui prodigue une feuille de rose. Or justement ça ne sent pas précisément la rose à cet endroit mais j’en ai vu d’autre et lèche donc de trou de balle avec application.

Au bout d’un moment Leduc me demande de m’étaler sur le sol, ou plus exactement sur le vieux tapis.

– Ben non, ça ne va pas le faire ! Objecte Jojo.

S’en suit une courte discussion sur la meilleure position à adopter. Ils me font rire à être aussi empruntés

Pauline09C’est finalement Leduc qui vient s’étaler à ma place et on me demande de le chevaucher.

Du coup Jojo peut venir derrière moi afin d’accéder à mon trou de balle

Et le trio se met en branle. Pas évident comme figure de style, il faut de la synchronisation et ça ne vient pas de suite.

Quant à Guigui, il se pointe devant mon visage la bite en avant. Je vais donc le sucer pendant que les deux autres vont m’enfiler

C’est Jojo qui a jouit le premier, il se retire de mon cul exposant sa bite bien polluée. Il me contourne et a sans doute l’idée de me la faire nettoyer. Manque de chance pour lui, ma bouche est occupée, du coup il s’en va je ne sais où.

Guigui a déchargé dans ma bouche, j’en ai recraché un peu, j’ai avalé le reste. Leduc s’est retiré (c’est bien de tenir ses promesses) et sa bite vient dans ma bouche remplacer celle de son acolyte.

Ouf, c’est fini !

Je me relève et cherche de quoi me rincer un peu. Mais voilà que Guigui et Leduc entreprennent de pousser le tapis sur le côté. En dessous ce sont des tomettes. Et on me demande de m’y allonger.

Pourquoi faire ?

J’avoue ma grande perplexité

– On va t’arroser, ça va te rafraichir ! Indique Leduc.

Ah bon ! Mais c’est froid les tomettes ! Je m’installe néanmoins et j’attends. Mes trois zigotos me pissent dessus. Curieusement alors que la partouze m’avait laissé indifférente, cette douche dorée aurait tendance à m’exciter. Allez comprendre, vous ?

Et en se rhabillant, Leduc m’annonça que le plan était prêt.

– Voilà comment nous allons procéder…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:46

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 8 – Le curé libidineux suivi du turc intrigantcure stamp2

La première semaine m’a permis de prendre mes marques. Le travail ne manque pas et je m’efforce de le faire aux mieux. J’ai dû répondre aux sollicitations sexuelles de Romain Conrad, ce fut rapide et sans imagination ce qui m’a quelque peu étonné. J’ai dû également me farcir plusieurs fois, Théophile, le fiston….

– Nous allons recevoir l’abbé Hurel, un curieux personnage avec lequel mon mari échange quelques menus services ! Précisa Madame Conrad. Il est… comment dire… assez libidineux, et avait ses habitudes avec Fernande, il est donc probable qu’il te sollicite.
– Bien Madame, j’espère me montrer à la hauteur.

L’abbé Hurel est un petit rondouillard dans la cinquantaine. Il est venu accompagné d’un jeune séminariste au physique ambigu.

– Ah monsieur Conrad, je vous présente Armand, j’aimerais que vous me rendiez un petit service…
– Si c’est dans mes cordes…
– J’ai écrit, sous un nom d’emprunt une petit roman licencieux, j’aimerais que vous fassiez le nécessaire pour qu’il soit publié.
– Et en échange ?
– Que pensez-vous d’Armand ?
– Ce serait donc lui la monnaie d’échange ?
– Si cela vous agrée.
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Je vois que vous avez une nouvelle bonne ! Fernande n’est donc plus là ?
– La pauvre s’est cassé la jambe. Pauline la remplace. Et elle aussi coquine que Fernande.
– Dans ce cas prenons un peu de bon temps. Mais auparavant trinquons, je vous ai apporté un flacon de Bénédictine…

Je prends trois verres dans le vaisselier et les dispose sur la table en prenant bien soin de me pencher en avant de telle façon que le curé puisse constater que je ne porte pas de culotte sous ma jupette.

Non seulement il constate, mais il touche sans demander, ce gros cochon. Et sa main remonte très haut !

– Oh, monsieur le curé, qu’est-ce que vous me faites ? Fis-je semblant de m’indigner.
– Vous êtes une tentatrice, le diable vous habite !
– Si ça vous pose vraiment un problème, je peux m’éclipser.
– N’en faites surtout rien !
– J’ai du mal à vous suivre.
– Je ne suis qu’un pauvre pécheur, mais c’est sans doute la volonté de Dieu et comme les desseins de Dieu sont impénétrables….
– Pas comme moi !
– Pardon ?
– Si nous en venions aux faits, vous avez envie de me sauter si je ne m’abuse ?
– Hélas, la chair est faible !
– Pas grave !
– Mais regardez Monsieur Conrad et Armand ! Que font-ils donc ? Me demande-t-il alors qu’il le sait fort bien
– On dirait bien qu’ils se tripotent.
– Nous allons les regarder, cela me mettra en forme et ensuite nous batifolerons.
– Comme il vous plaira !
– Nous allons nous assoir côte à côte. Et surtout n’en profitez pas pour m’imposer des attouchements vicieux, je serais capable de me laisser faire !

En face de nous, Romain Conrad et Armand ont envoyés pantalon et caleçon sur leurs chevilles et se branlent mutuellement la nouille.

– Non, mais regardez-moi ces cochons ! Me dit le curé, vous croyez qu’il vont se sucer la bite ?
– Oh, monsieur le curé ! Sont-ce là des mots d’un homme d’église ?
– Il faudra que je me confesse mais répondez donc à ma question !
– Cela me paraît dans l’ordre des choses ! Répondis-je en plaçant ma main sur son entrejambe.
– Mais que fait votre main à cette endroit ?
– Tu le sais très bien, curé… Mais dis donc tu commences à bander comme un gros goret !
– C’est votre main impie…
– Oui, bon si tu arrêtais ta comédie ! T’es venu pour tirer un coup, alors laisse-moi faire et épargne moi tes propos de vierge effarouchée !
– Eh bien, vous avez un sacré tempérament, vous !
– N’est-ce pas ? Allez sors-moi ta bite de curé libidineux, j’ai hâte de voir à quoi elle ressemble !

Il se contorsionne pour baisser son pantalon sans se relever, idem pour le caleçon, le voilà la bite à l’air, demi-molle mais conséquente. Je la branlote un peu et en vérifie l’état. J’ai parfois des petits soucis avec les invités de Monsieur Conrad. Si la chose manque de netteté, je les invite le plus diplomatiquement possible à pratiquer un petit rafraichissement préalable. Mais sa bite est bien propre (bizarre, je n’aurais pas cru !). Je peux donc la sucer !

Pauline08Gloup !

Et me voilà avec la bite de l’ecclésiastique dans la bouche, il ne tarde pas à bander de fort belle façon comme un cochon. Je pourrais continuer jusqu’à ce qu’il jouisse, mais je me doute bien qu’il n’est pas venu pour une pipe rapide et qu’il va vouloir me baiser.

Afin de faire un peu diversion, je dirige un doigt vers son trou du cul.

– Oh ! Mais que fait ce doigt à cet endroit ?
– Que des bonnes choses !
– Vous allez me l’enfoncez ?
– Je vais le mouiller un peu avant, ça glissera mieux !
– Faites donc !

Je l’ai ainsi doigté quelques instants, le faisant se pâmer de plaisir avant de lui proposer autre chose :

– Et si tu me caressais la foufoune ?
– Tu ne m’as pas montré tes nichons ! Objecte le cureton.
– Tu as raison, corrigeons cette impardonnable erreur!

J’appréhende toujours cette situation, certains bonhommes ayant tendance à traiter les nénés comme s’ils étaient en pâte à modeler..

Effectivement il me les malaxe sans grande douceur. Je suis à deux doigts de lui envoyer une vanne, mais pour le moment je supporte. Et gatalement il s’en prend après mes tétons qu’il tortille à qui mieux mieux.

Un coup d’œil de l’autre côté de la pièce où les deux mâles sont maintenant entièrement nus. Armand, le jeune séminariste s’est baissé et à pris en bouche la bite de Romain Conrad qu’il suce avec voracité.

Il commence à m’énerver le cureton à me lécher les tétons de sa vilaine langue. Je décide donc de reprendre l’initiative.

– C’est bon, curé ! Tu voudrais m’enculer ?
– Pourquoi pas ? Mais pourquoi faire par derrière ce que l’on peut faire par devant ?
– Parce que je n’ai aucune envie de me retrouver dans neuf mois avec un bébé curé.
– Savez-vous que la sodomie est un péché mortel ?
– Oh ! Tu ne vas pas recommencer ! Tu m’encules ou tu te branles tout seul dans ton coin, c’est au choix.
– J’ai tellement péché dans ma vie, qu’un peu plus, un peu moins, présentez-moi votre cul ma douce que je vous enfile gaillardement.

Qu’est-ce qu’il est lourd, ce mec !

Je lui ai demandé de me lubrifier l’anus avec sa langue, ce qu’il a fait sans rechigner, j’en avais bien besoin car jusqu’à présent je ne mouillais pas du tout.

Il m’encula donc tandis qu’un peu plus loin Romain Conrad en faisait autant avec le jeune séminariste qui poussait des gloussements de plaisir.

– Sic itur ad astra ! S’écria-t-il en jouissant.
– Pardon ?
– C’est du latin, ma fille !!
– Je ne suis pas votre fille !

Ce fut quand même la première fois que j’entendis quelqu’un jouir en latin !

Quand le curé sortit sa bite mon cul, je n’avais aucunement l’intention de la lui rincer de ma bouche, Je lui indiquais donc que j’allais revenir et réapparu avec quelques débarbouillettes puis quittait le salon pour vaquer à d’autres activités beaucoup moins charnelles

Et la semaine suivante…

– Pauline, nous allons recevoir Can Guzel, l’attaché culturel de l’ambassade de l’empire Ottoman, tu ne l’aguicheras pas, c’est à lui de faire le premier pas, donc s’il te fait des avances, tu te laisses faire gentiment.
– Bien, monsieur !

Il n’est pas beau, ce Guzel, la cinquantaine, ventripotent, fines moustaches, cheveux gras, odeur de transpiration… berk.

Il est accompagné de deux types plus jeunes qui ressemblent davantage à des bandits de grands chemins qu’à des diplomates.

Je sers à boire à ces messieurs (du thé, pas d’alcool) qui me reluquent sans aucune discrétion.

Ils discutent sans que je comprenne la conversation. Pas grave, je m’en fiche.

Un moment, Guzel tend une feuille à monsieur Conrad qui la parcoure d’un air satisfait.

– Parfait, absolument parfait, je vais mettre ça au coffre de suite !

Pourquoi un tel empressement ?

– Venez avec moi, Pauline !.

Ah bon ?

Une fois dans le petit bureau Conrad me fait partager son agacement mais en parlant très doucement.

– Non seulement ces abrutis ne boivent pas de pinard, mais ils se montrent insensibles à tes charmes, ça se présente mal pour la suite…
– J’avais pourtant cru qu’ils me déshabillaient des yeux !
– Oui mais ça ne va pas plus loin…
– Que dois-je faire, monsieur ?
– Essaie quand même d’allumer Guzel ou l’un de ses sbires, mais sans insister, maintenant je vais mettre ce papelard au coffre, tout est bidon là-dedans, mais je ne vais pas leur dire que je m’en suis aperçu.

Qu’est-ce qu’il raconte ?

Conrad compose la combinaison permettant l’ouverture du coffre-fort, sort une chemise en papier et sent comme une un présence derrière lui, il se retourne, aperçoit Izmir, l’un des accompagnateurs de Guzel

– Oh, mais que faites-vous là Monsieur ?
– Je cherchais les commodités.
– Vous vous trompez de porte, Pauline accompagnez monsieur où il convient.

Je précède donc le dénommé Izmir en me tortillant le popotin.

– Aimeriez-vous que je vous la tienne ? Lui demandais-je.
– Me tenir quoi ? La porte ? Elle ne ferme pas à clé ?
– Non pas la porte !
– Que voulez-vous tenir alors ?

Mais il est con ce mec ou quoi ?

– Vous ne comprenez pas… je suis un peu coquine…
– Foutez moi la paix, créature lubrique !

Bon, ben c’est raté !

– Vous ne savez pas ce que vous perdez !.

J’attends derrière la porte qu’il ait terminé afin de le raccompagner au salon. Bizarrement je n’entends aucun bruit de pipi. Il est louche ce type !

Il finit par sortir.

– Je n’ai pas besoin de vous ! Me dit-il avec suffisance, je connais le chemin !.

On ne fait pas plus aimable !

L’affaire en resta-là du moins pour ce jour parce que deux jours plus tard…

J’étais allé faire quelques courses sans me rendre compte que j’étais suivie. C’est sur le chemin du retour, mon cabas rempli, qu’Izmir m’aborda avec un grand sourire.

– Mademoiselle Pauline ! Quel hasard ! Que le monde est petit. Décidemment Paris est un village…

Tu parles !

Je n’avais aucune envie d’être aimable avec ce citoyen.

– Passez votre chemin, monsieur, je ne vous connais point.
– Je n’ai pas été très aimable avec vous l’autre jour, veuillez accepter mes excuses.
– C’est ça, au revoir !
– Je voulais vous poser une question…
– Bon vous allez me foutre la paix ou j’appelle un sergent de ville.
– Combien gagnez-vous par quinzaine ?
– Et qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?

Pour information je gagnais 1,8 franc par jour hors prestations spéciales, ce qui est au-dessus des salaires moyens pratiqués et qui nous fait la quinzaine à 25 francs.

– Et si je vous offrait 200 francs en échange d’un tout petit service ?
– Merde !
– Vous n’aimez pas l’argent ?

Ben si et du coup je suis dubitative, et bien malgré moi je ne peux m’empêcher de lui demander de quoi il s’agit.

Dans le coffre de vos patrons, il y a une chemise à sangle marquée EO (comme Empire Ottoman), Vous la subtilisez et vous me l’apportez. Pour ouvrir le coffre la combinaison c’est 2754.

Mon cerveau se met à fonctionner à toute vitesse, si je refuse, ça va mal tourner, le type n’en restera pas là et utilisera la menace. Si j’accepte, je me rends sans doute complice de quelque chose de grave. Je fais donc semblant d’accepter.

– OK, demain à 10 heures devant l’entrée de la Gare St Lazare, rue de Rome
– Demain je ne sors pas, ce sera après-demain.
– D’accord, vous aurez vos 200 francs à ce moment-là !

Revenu chez mes patrons je me suis empressé de raconter cette étrange rencontre. Il en est tout chamboulé, monsieur Conrad.

– Et il vous a indiqué quoi comme code ?
– 2754 !
– C’est le bon ! Nous avons donc eu affaire à un mentaliste, il faisait semblant de chercher les chiottes alors qu’il m’a vu faire la combinaison du coffre. Les ottomans jouent avec le feu, je vais essayer de régler çà.

Roman Conrad se fait conduire en calèche au Quai d’Orsay et demande à rencontrer d’urgence le ministre des Affaires étrangères, Jules Ferry

– Je ne vois pas d’autre solution que de faire procéder à l’élimination de cet individu ! Explique Conrad. Je crois savoir que vous avez à votre disposition des gens qui savent faire !
– Je ne peux pas écarter le risque qu’un petit malin découvre le rôle des services secrets français… dans ce cas les conséquences diplomatiques peuvent être catastrophiques. C’est donc un refus, monsieur. Conrad.
– Je suis déçu, monsieur le ministre, mais je comprends votre point de vue. Dans ce cas je peux m’occuper moi-même de trouver un voyou qui se chargera de l’affaire.
– Je vous le déconseille, si après son forfait votre voyou est appréhendé, il parlera et l’enquête remontera jusqu’à vous. Je vous déconseille expressément cette procédure. En aucun cas nous ne souhaitons des problèmes avec les diplomates ottomans.
– Et que me conseillez-vous ?
– Je n’en sais rien, moi, recommandez à votre domestique de dire que le code de votre coffre a changé…
– Je crains dans ce cas que l’individu revienne à la charge…
– Il ne pourra pas !
– Si ! Il emploiera la menace, le chantage et mettra en danger la vie de ma domestique.
– Et qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse, Excusez-moi monsieur Conrad mais je dois me rendre d’urgence à Matignon. Ne faites rien d’inconsidéré !
– Merci de m’avoir reçu, monsieur le ministre.

« Quel con ce Ferry ! » se dit Conrad en sortant du ministère.

En revenant à son domicile, l’esprit d’escalier avait effectué son travail et Conrad avait un plan.

Il me l’expliqua. Ça ne me disait pas grand-chose, mais j’avais une certaine confiance en lui, j’acceptais donc.

– Après il te faudra disparaitre par mesure de sécurité, ça te plairait d’être vendeuse ?
– Pourquoi pas ?
– Je vais t’écrire une lettre de recommandation pour le chef du personnel du « Bonheur des dames »…Mais d’abord la mission…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:41

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 7 – Chez les Conrad
Stamp sodo2

Auguste se demande où j’ai bien pu passer, il arpente les rues, entre dans quelques rades pour en ressortir aussitôt, visite les squares, bref il ne sait quoi faire et s’apprête à rentrer, il passe devant la gare et ça fait tilt dans sa pauvre tête.

Il entre dans le hall, achète un ticket de quai et rejoint les quais, et plus précisément celui destiné à recevoir les trains allant à Paris.

Et justement sur ce quai, j’y étais, et voilà que le train arrive et que je me dirige vers la porte afin d’y monter à l’intérieur.

Auguste me voit, il aurait pu monter me rejoindre et me suivre jusqu’à Paris, puisque le train va marquer cinq minutes d’arrêt, mais Auguste ne saurait voyager sans billet, il est comme ça Auguste.

Remarquez, heureusement car s’il m’avait rejoint l’histoire que vous lisez aurait pris une tout autre tournure. Admettez que cela eut été dommage !

Cinq heures de train, un machin qui s’arrête partout conduit par une locomotive aux fumées fort peu discrètes. Je suis près de la fenêtre dans un compartiment occupé par un couple chic avec un gosse braillard et turbulent, il y a aussi un prêtre entre deux âges à moitié endormi et un jeune homme en casquette. J’essaie de m’intéresser au paysage qui défile, mais décidemment ça défile trop vite, alors j’essaie de dormir, mais avec le môme infernal, c’est peine perdue.

La mère sort du compartiment avec son gosse, je suppose qu’elle l’accompagne aux toilettes. Une belle femme, pour qui apprécie les grandes brunes. Le curé somnole, je me demande comment il a pu s’endormir avec un tel barouf.

Le père du gamin m’interpelle.

– Vous allez jusqu’à Paris ?
– Oui, je cherche un emploi !
– Quel genre ?
– Peu importe, je ne suis pas difficile. Un emploi de maison me conviendrait volontiers

Il fouille dans son portefeuille et me tend une carte.

– Romain Conrad ! Se présente-il. Voici mon adresse, présentez-vous après 20 heures, je vous trouverai quelque chose… et ne vous inquiétez pas pour mon épouse, je m’arrangerai !
– C’est gentil, mais pourquoi cette soudaine sollicitude ?
– J’aime faire le bien et puis j’aime les jolies femmes !
– Je ne sais comment vous remercier !
– Je suis un homme et je suis très sensible aux charmes féminins si vous aviez l’obligeance de me montrer vos cuisses, je serais le plus heureux des hommes.

Ben voyons…

– Mais enfin, monsieur, je ne suis pas celle que vous croyez ! Me défendais-je fort hypocritement.
– Epargnez moi votre couplet d’effarouchée, ça ne prend pas avec moi !
– Alors soit, puisque vous tenez à me pervertir, je vais vous faire un tour de catin.

Je retire ma chaussure droite, soulève ma jupe jusqu’à mi-cuisse et lance ma jambe vers la braguette du père Conrad qui ne s’attendait pas à ça.

Mon regard se déporte un moment vers la gauche où le curé fait très mal semblant de dormir, sa main descendant en bas de son ventre et ce n’est pas son missel qu’il tripote.

Il a vu que je l’ai vu et change d’attitude.

– Ce n’est point le lieu pour faire de telles cochonneries. Vous vous croyez où ? S’exclame-t-il.
– Si ça vous gêne tant que ça, vous n’avez qu’à pas regarder ! Lui répond sèchement Conrad.
– Vous n’avez donc aucune moralité, vous devriez avoir honte !
– Et de vous tripoter la bistouquette en nous regardant du coin de l’œil, ça ne vous gêne pas ? Intervins-je.
– Calomnies ! Basses calomnies !

Mais voici que la porte du compartiment s’ouvre, je retire subrepticement mon pied et ajuste ma jupe.

– Madame ! Dit alors le curé, il est de mon devoir de prêtre de vous informer que votre époux s’est livré en votre absence à des gestes que la morale réprouve en compagnie de cette créature.
– Et ça ne vous gêne pas de proférer de tels propos devant un enfant ? Rétorque Madame Conrad.
– D’autant que c’est même pas vrai ! Intervient le jeune homme en casquette.
– Maman c’est quoi, une créature ? Demande le mioche !
– Demande au curé il va essayer de t’expliquer.

Il est tout rouge le curé, mais ne se dérobe pas.

– C’est une femme de mauvaise vie !
– C’est quoi une femme de mauvaise vie ? insiste le gamin.
– Un personne qui ne respecte pas les commandements de notre seigneur en matière de luxure.
– C’est quoi une luxure ?

C’en est trop, j’éclate !

– Une luxure, c’est un accident musculaire… et si vous continuez à emmerder le monde, j’appelle le contrôleur et je vais lui raconter que vous n’êtes qu’un curé libidineux.
– Il ne vous croira pas !
– Si, il me croira car j’irais aussi dans ce sens ! Intervint Conrad.
– Et moi aussi ! Ajoutent à l’unisson Madame Conrad et le jeune en casquette.
– Dis Maman, il est méchant le curé ?
– Très méchant, mais maintenant il va se taire et nous ficher la paix.

Et ce fut alors le silence dans le compartiment… jusqu’à Vernon où le curé descendit, suivi du jeune en casquette.

– Bonne fin de voyage messieurs-dames ! Mademoiselle vous êtes charmante. Indiqua ce dernier.
– Merci vous êtes un gentleman !

Et Madame Conrad put enfin interpeller son époux.

– Je peux savoir ce que ce curé te reprochait exactement ?
– Eh bien, figure-toi qu’ayant échangé quelques mots avec mademoiselle, celle-ci m’a fait part de sa volonté de chercher un emploi de maison. Et comme notre pauvre Fernande qui s’est cassé la jambe n’est toujours pas remplacée…
– Mais le curé a parlé de gestes immoraux.
– C’est lui qui est immoral !
– Vous pourriez refaire ces gestes que je me rende compte ? Insiste Madame
– Quels gestes ? Demandais-je innocemment.
– Refaite-le ! Me propose alors le mari. Cela amusera mon épouse.

Je rêve ou quoi ?

– Moi je veux bien, mais je n’ai pas envie de recevoir une gifle ! Et puis il y a l’enfant !
– C’est si cochon que ça ! Théophile mon petit, va jusqu’au buffet et rapporte-nous des bonbons à la menthe !
– Oui maman ! Je peux prendre des gaufrettes aussi !
– Bien sûr mon chéri, maman va te donner des sous.

Me voilà au pied du mur ! Bien sûr je pourrais refuser mais je ne l’ai pas fait.

Je lance mon pied comme précédemment sauf que je ne vise pas la braguette mais la cuisse.

– Votre pied était ailleurs ! Me signale Conrad.
– Il était où ? Demande Madame.

Ils commencent à me saouler ces deux-là. Alors advienne que pourra je déplace mon pied au « bon endroit ».

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine, ce n’est pas pour me déplaire ! M’indique Madame Conrad. Mais savez-vous tenir une maison ?
– On dit que je suis bonne cuisinière.
– Vous savez servir ? Vous savez repasser ?

Il fallut donc que je lui explique que je suis mariée… mais en fuite…

– Et la raison de cette fuite ?
– Mon père m’a surpris en galante compagnie. Le galant a craint un mauvais coup et a un peu bousculé mon père. Je me suis dit alors que quand mon mari apprendrait ça, j’allais passer un sale quart d’heure…
– Vous être donc une femme infidèle ! Me demande-t-elle avec un sourire étrange.
– Pas vraiment. Ce fut ma première infidélité C’est l’occasion qui fait la débauchée.
– Et bien je crois que nous allons t’embaucher à l’essai ! D’accord Romain ?
– Approuvé !
– Vous savez, reprend Madame Conrad, personne n’est parfait…

Pourquoi me sort-elle ça ?

– Euh…
– Je veux dire que tout le monde fait des bêtises.
– Ah… oui…
– Donc si vous restez à notre service, vous ferez des bêtises…
– Je m’efforcerais de ne point en faire.
– Certes, mais vous en ferez quand même ! Quand notre belle Fernande faisait des bêtises nous la punissions…. Quelques fessées le derrière nu… ça lui remettait les idées en place.
– Ah bon ?
– Vous avez des vilains patrons lorsque leur domestiques font des bêtises, ils ne trouvent rien de mieux que leur infliger une amende en déduction de leur appointements. Nous ne sommes pas comme ça, au contraire vous serez payée au-dessus des tarifs habituels, mais en cas de bêtises ce sera panpan cucul ! Cela vous convient-il ?

Ils m’ont l’air un peu frappés ces deux-là mais ne me paraissent pas méchants, alors j’ai accepté.

– Alors, reprit Madame Conrad, embrassons-nous pour sceller cette embauche !

Et ce ne fut pas le baiser de politesse, non ce fut plutôt un roulage de galoche en règle. Elle embrasse divinement la madame et j’en suis tout excitée.

– T’as déjà été au lit avec une femme ? Demande-t-elle.

(On remarquera le passage au tutoiement.)

– Oui !
– Et ça te plait ?
– Quand la femme est douce oui !

Mais cette très intéressante conversation fut interrompue par le retour de Théophile avec ses bombons à la menthe et ses gaufrettes.

– Maman c’est qui la dame ?
– C’est… euh c’est quoi ton prénom ?
– Pauline.
– C’est donc Pauline qui va être notre nouvelle bonne.
– Et t’as déjà oublié son prénom, maman ?
– C’est quoi cette impertinence ? Je confisque les gaufrettes.
– Ouin !

Madame Conrad me demande où j’allais dormir ce soir, et comme je n’en savais rien du tout, elle me fournit tout de suite la solution.

– Alors, tu dormiras à la maison et tu commenceras à travailler dans la foulée.

Arrivé à Paris Saint-Lazare je les ai accompagné à pied jusqu’à leur bel appartement situé rue de Rome à quelques centaines de mètres de la gare.

Après m’avoir offert un petit rafraichissement, Madame Conrad a tenu à mettre les choses au point.

– Nous allons faire un essai, repose-toi une demi-heure ensuite il faudra faire un peu de ménage, c’est fou comme la poussière s’accumule ici., Vers 18 heures tu partiras en courses puis tu prépareras le repas du soir, je te dresserais une liste. Et si tu as encore du temps, il y a du repassage en retard, je ne te dis pas de tout faire, mais fais-en un peu afin que je me rende compte comment tu te débrouilles. Après la vaisselle, tu pourras allez te coucher, je vais te montrer ta chambre. Ta journée d’essai te sera payée quoiqu’il arrive. Viens avec moi !

La chambrette est minuscule, juste la place pour un lit d’une personne, une petite commode, une armoire, une chaise et une petite table. On fera avec.

– Voilà une tenue de soubrette, elle devrait te convenir essaie-là !
– Maintenant ?
– Bien sûr.

Elle reste devant moi, telle une statue, je me retourne pour me déshabiller.

– Pourquoi tu te tournes ? Je ne vais pas te mordre.
– C’est un réflexe !
– Tu m’as dit que tu étais déjà allée avec des femmes ?
– Oui madame, ça m’est arrivé !
– Tu le ferais avec moi ?

Bon, j’ai compris, elle veut me sauter. Je ne pense pas que ce sera une corvée !

– Pourquoi pas, vous êtes une belle femme !
– Alors retourne-toi, j’ai envie de te caresser.
– Avec plaisir, madame !
– Hum, c’est pas mal tout ça ! T’as une jolie poitrine !
– Merci madame !

Elle me la caresse, me pince les pointes, me les tortille, puis décide de se déshabiller à son tour.

Elle est vraiment jolie cette madame Conrad.

– Ben ne reste pas comme une andouille, occupe-toi de moi !

Alors à mon tour de lui caresser ses jolis seins. Je suis saisie d’une folle envie de les embrasser, j’avance mes lèvres sans qu’elle ne proteste, je lui suce les tétons., Ça me plait bien et je me surprend à mouiller.

– Occupe-toi un peu de mon cul, dit-elle en de retournant.

Son cul est bien agréable, je l’embrasse d’abord chastement puis j’en écarte les globes afin d’accéder au pourtour de l’anus.

Le moins que l’on puisse dire c’est que l’endroit n’est pas d’une netteté évidente. Elle a dû se torcher le cul avec un courant d’air. Comment une femme à l’allure aussi distinguée peut-elle se négliger à ce point ,

Cela dit ça ne me dérange pas outre mesure, ma petite expérience avec madame Berthe a vaincu les inhibitions en la matière (c’est le cas de le dire)

Donc je lèche tout ça sans problème.

– Oh ! Quelle langue tu as ! Continue !

Bien sûr que je continue, Je le demande si elle ne va pas me faire un trip comme madame. Berthe (voir le chapitre précédent). En fait non. Elle se retourne et m’offre sa chatte dégoulinante à lécher.

Elle mouille comme une éponge et c’est bien agréable de lécher tout ça.

– Attend, il faut que je pisse ! M’interrompt-elle.

Je me recule.

– Ma pisse t’intéresse ?
– Oui bien sûr.
– Cochonne !
– J’aime bien !
– Alors tu ne vas pas être déçue, ouvre bien la bouche !
– Aaaaah. !

Hum, délicieux son pipi. J’en ai bu plein et m’en lèche les babines.

– T’est vraiment une petite catin
– Oui madame !

J’allais reprendre mon broute minou quand soudain la porte s’ouvre.

– Ben alors, on fait des cochonneries ici, qui est cette charmante personne, je n’ai pas eu l’honneur d’être présent& ?

Le nouveau venu est un grand échalas blond d’une vingtaine d’années, un poil efféminé.

– Théophile, mon fils. Indique Madame Conrad, elle c’est Pauline notre nouvelle bonne, on vient de l’embaucher. Elle n’est pas mal, non ?
– Enchanté, souhaitez-vous que je me retire ?
– Mais non, répond la bourgeoise, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.

On ne me demande pas mon avis, pourquoi le demanderaient-ils, je ne suis que la boniche.

Le Théo se déshabille, exhibant son sexe en étendard.

– Il a une belle bite, mon fils. !. Croit devoir commenter madame Conrad. Suce-là !

Pauline07Je suppose que ces petites fantaisies me donneront droit à un petit pourboire, alors je suce la bite de fiston.

– Wha ! Quelle technique, Où as-tu appris à faire ça ?
– Quand je me suis enfuie de chez moi, je ne savais où aller, il fallait bien que je vive, alors j’ai travaillé dans un rade comme serveuse montante.

Il fallait bien que je leur dise un jour, maintenant c’est fait !

– Et pourquoi tu n’e pas resté ? Demande le Théo décidément trop curieux.
– Ecoutez, c’est promis je vous raconterai ça par le détail, mais plus tard, je ne peux pas à la fois raconter et sucer.

Et je reprends ma fellation, Madame Conrad viens à mes côté et réclame sa part de pipe. La voilà donc qui suce la bite de son fils. Me voilà donc tombée sur une famille tuyau de poêle. Ça ne me traumatise pas !

– Maman, est-ce que je peux t’enculer
– Mais bien sûr, mon fils. Pauline place-toi devant moi pendant que mon fils m’encule, je vais te brouter la chatte. »

Quelle famille !

Théophile pénètre d’un coup d’un seul le cul de sa maman et j’approche ma chatte de son visage pour qu’elle me la lèche.

Sauf que la position n’est pas si évidente, Théo donne de tels coups de boutoir dans l’intimité rectale de sa mère que celle-ci n’arrive pas à coller correctement son visage contre ma foufoune.

J’attends donc que le fiston ait pris son pied pour me faire lécher correctement.

Mais les choses se passèrent quelque peu différemment.

– A ton tour ! Me dit-il en sortant sa bite du con de sa mère

Ah bon ? Je me mets donc en position. J’espère simplement qu’il ne va pas me défoncer, la fougue avec laquelle il a enculé sa mère n’étant pas faite pour me rassurer.

– Faut peut-être lubrifier un peu avant ! Suggérais-je
– Tu n’es quand même pas vierge du cul ! On voit bien qu’il y a eu du passage !
– S’il vous plait ! Quelques coups de langue devraient suffire !
– Fais ce qu’elle te demande ! intervient Madame Conrad.

Théophile est un garçon obéissant et il m’humecte convenablement la rosette avant de m’enfoncer son machin dans le trou.

Madame Conrad passe derrière lui et lui introduit un doigt dans le cul ! Pourquoi faire ? Pour le stimuler ! Je ne pense pas qu’il en ait besoin ! Non il apprécie tout simplement que sa maman lui doigte le cul !

Ça n’a pas duré bien longtemps et je n’ai même pas joui. Il se retire, la bite poisseuse de sperme et d’autre chose aussi. Maman Conrad s’empresse de nettoyer tout ça, et il s’en va se rhabiller avant de disparaître de la chambre.

Me revoilà donc en tête à tête avec Madame Conrad. Un tête à tête qui s’est rapidement transformé en tête à chatte.

Excitée comme nous étions, nous avons jouis rapidement avant de nous enlacer comme des vieilles copines.

– T’es une bonne fille, mais autant que tu le saches, pour chaque prestation dans laquelle tu feras la putain, ce sera une enveloppe. D’ailleurs je vais t’en donner une tout de suite. Tu seras sollicité par mon mari et par mon fils mais aussi par des gens que nous recevons. Si tu es réticente, il faut nous le dire de suite et nous ne retiendrons pas.
– Je ne suis pas réticente !
– D’accord ! Nous recevons parfois des gens très importants dans le cadre des activités de mon époux, il convient donc de les contenter sans rechigner. Tout le monde doit y trouver son compte, l’invité car il se sent comblé, mon époux parce que ces situations font avancer les choses et toi parce que le pourboire sera bon.

– J’ai parfaitement compris, je pense pouvoir faire l’affaire.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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