Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:11

Marla et le chien par Estonius
zoo

Bonjour, je m’appelle Simon et je travaille dans une boite d’assurance. On m’a proposé une mutation à Brest. Le coin ne m’emballait pas trop mais puisque c’est la seule façon d’avoir une promotion, j’y suis allé.

J’ai 37 ans et suis en couple avec Marla, une jolie brune espiègle aux cheveux frisés. Pas d’enfants. Sexuellement je suis curieux de tout, ne pense pas avoir de tabous, mais je suis sage comme une image, la plupart de mes fantasmes restent dans ma boite à fantasmes… Oui bien sûr quelques écarts tout de même … qui n’en fait pas ?

Au boulot j’ai sympathisé avec Julien, un type très jovial assez déconnant et large d’esprit.

Et un jour, il m’a invité à un barbecue dans le jardin de son pavillon.

Il me présente sa femme, Tina une jolie métisse au sourire craquant et Viviane sa mère, la soixantaine mais joliment conservée.

Le chien de la maison, un grand labrador noir vient vers nous en battant de la queue, il renifle Marla avec une instance gênante, mais Tina lui intime l’ordre d’aller se coucher

On évite les sujets qui fâchent et de parler de sport afin de ne pas incommoder ces dames, alors on cause météo, souvenirs de voyages et de vacances.

Puis, le pinard contribuant à délier les langues, ça commence à causer de choses en dessous de la ceinture…

– L’été dernier on a été au Cap, on voulait essayer le naturisme, ça nous a bien plus ! Nous indique Julien.
– Evidement puisque tu t’es rincé l’œil ! le chambre Tina.
– C’est vrai qu’on a vu de ces choses ! Lance Viviane d’un air égrillard.
– Ben racontez nous ! Intervient Marla
– Je ne voudrais pas vous choquer. Rétorque la mamie.
– Mais non !
– Donc on longeait la plage, ça forniquait pas mal un peu partout et tout au bout on a vu des mecs entrer dans une espèce de sous-bois, on se demandait ce qui s’y passait et on a décidé d’aller voir… Que des mecs entre eux, quelque part c’était fascinant.

Elle n’en dit pas plus.. J’ai compris son jeu, elle veut savoir si on est intéressé par la suite, dans ce cas c’est à nous de relancer et c’est Marla qui s’y colle.

– Fascinant vous dites, ils faisaient quoi ?
– Ce que font des mecs entre eux quand ils sont à poil.
– Humm, ça m’aurait excitée de voir ça ! Répond Marla.
– Ça nous a excité aussi, on n’est pas de bois ! Reprend la mémé.
– Ah ! Oui ?
– Même que mon fils bandait comme un cochon !
– Je suppose qu’ensuite vous avez quitté les lieux ! Suggère Marla
– Non ça ne s’est pas passé comme ça !

Ça devient chaud ! Mais une nouvelle fois Viviane s’interrompt.

Et comme précédemment c’est Marla qui relance.

– Alors ça s’est passé comment ?
– Vous savez, parfois quand on est très excité, les tabous tombent !
– Racontez-nous, on est prêts à tout entendre, on n’est pas coincés.
– Ben j’ai lancé un défi à mon fils « Si ça t’excite tant que ça, va les rejoindre ». Il a refusé mais Tina est venu à ma rescousse. Alors il s’est avancé…
– Maman, tu n’es pas obligée de tout raconter ! Intervient Julien Tu vas choquer nos invités.
– Mais non, on a les idées larges ! Rétorque Marla décidemment très remontée.
– Bin alors, mon fils s’est mêlé à un petit groupe qui regardait deux mecs s’enfiler, un mec lui a saisi la bite et à commencé à le branler. Un autre s’est accroupi devant lui et a porté son sexe en bouche. Voir son fils se faire sucer la bite par un autre homme, c’est fabuleux non ?J’espère que je ne vous choque pas, Simon ?
– Non, non… il y a une suite ?
– Oui, mais je peux raconter, Julien ?
– Je ne sais pas, faut se mettre un peu dans le contexte, on était en vacances et qui plus est dans un camp naturiste où ça baise dans tous les coins, alors on se laisse aller.
– Espèce de faux cul, lui dit Tina, tu t’es régalé en suçant des bites, tu t’es même fait enculé et t’arrête pas de dire qu’à l’occasion tu recommencerais.
– Mais enfin Tina !
– Ben c’est la vérité, non ?
– Tss tss intervient Mamie Viviane, et vous Simon, vous avez eu des aventures dans ce genre.

Je suis embêté, je pourrais effectivement raconter qu’il m’est arrivé de sucer quelques bites dans des cabines de sex-shop, mais ne l’ayant jamais confié à Marla, je fais une autre réponse.

– Je pense que dans ce genre de situation, c’est l’occasion qui fait le larron. Je n’ai jamais eu ce genre d’occasion et je ne les pas cherché non plus.
– Vous suceriez une bite, alors ? Demande Vivianne !

Ça va dégénérer, je le sens.

– Elle est peut-être ici, l’occasion, Julien montre nous ta bite ! Reprend la mamie
– Mais enfin Maman !
– Est-ce que je vais être obligée d’aller la chercher ?
– Pas cap !

Viviane ne se dégonfle pas, ouvre le jeans de son fils et en extrait une jolie quéquette bien bandé, qu’elle masturbe quelques instants avant de la mettre dans sa bouche. Puis elle me regarde d’un air de défi ! C’est fou de voir ça ! En fait je ne suis pas choqué, juste surpris de l’insolite de la situation.

– A vous Simon ! Je vous la laisse !

Dans quoi on s’embarque là ? Je lance un regard interrogateur en direction de Marla qui me fait signe d’y aller..

J’y vais donc et fourre cette bonne bite dans ma bouche, puis commence à la sucer comme dans les films pornos.. Et tout le monde d’applaudir… C’est malin !

Ça ne dure pas très longtemps, deux ou trois minutes, je me relève et vais pour regagner ma place quand Julien me suggère qu’on pourrait permuter. Je fais quoi ? Comme c’est parti si je refuse je vais passer pour un rabat joie. Je baisse donc mon short et offre ma biroute à la bouche de Julien.

Il suce bien ce con, mais je le fais arrêter, pas envie de jouir maintenant et je ne sais pas pourquoi ! Un peu la trouille que ces dames complétement barrées nous demandent de nous faire une démo de sodo entre hommes. En fait non, mais ce sera peut-être pour tout à l’heure.

On rejoint les filles, on se reboit un petit coup et voilà que Mamie Viviane retire son tee-shirt laissant apparaitre un soutien-gorge en dentelle blanche bien rempli

– Tout cela donne chaud ! Dit-elle en le retirant ! Les filles, ça vous dirait de me caresser la poitrine.

Belle poitrine soit dit en passant, du bonnet E sans doute (je ne suis pas un spécialiste des bonnets)

Marla et Tina n’hésitent même pas et viennent lécher les tétons de Viviane qui se pâme d’aise sous cette double caresse.

– Attendez ! Finît-elle par dire, si on se mettait tous à poil, ce serait plus fun, non ?

Ben oui, pendant qu’on y est !

Joli spectacle que nous offrent ces dames, Tina avec sa peau couleur de café crème et ses jolis seins qui semblent défier les lois de la pesanteur, Viviane les jambes écartées exhibant sans pudeur une jolie chatte charnue entièrement épilée.

Elle y porte la main d’un air de défi, manifestement elle attend qu’on vienne la lécher…

Je ne peux faire autrement que de me dévouer, je me lève donc, mais voici le clébard qui se ramène et vient se placer là où je souhaitais me rendre… entre les cuisses de Viviane.

Et il se met à laper à grands coups de langue

Et là, je suis gêné, pas pour moi, je m’en fiche, mais pour Marla qui risque de me reprocher de l’avoir emmené chez des gens ayant des drôles de pratiques.

Je reviens à ma place et chuchote à ma douce :
– Rhabille-toi, on va se barrer !
– Pourquoi, tu ne te sens pas bien ?
– Non, mais ça va trop loin !
– Et alors ? on ne vois pas ça tous les jours !
– Ah bon !

Et la voilà qui se lève pour aller voir ça de plus près. Elle a pété un câble ou quoi ?

– Tu voudrais te faire lécher ? Lui demande Viviane.
– J’aimerais bien essayer, oui.
– Je vais te laisser ma place.

Viviane se lève, Marla s’assoit et écarte les cuisses.

– Viens toutou, viens me lécher mon jus !

Et ça y est, cette foldingue est en train de se faire lécher par le chien… et moi je bande..

Tina s’approche de moi en se tortillant.

– Ça te plait de regarder ta copine se faire brouter le minou par le chien ?
– Disons que c’est inattendu !
– Moi aussi j’aime bien ça ! Je lui suce la bite aussi, c’est si pervers…
– Tu suce la bite du chien !
– Oui, c’est ma belle-mère qui m’a initié, on se fait baiser aussi !
– Mon dieu !
– N’empêche que ta bite, elle est toute raide. Je vais te sucer un peu et ensuite tu vas me la foutre dans le cul, Tu veux ? Ta copine n’est pas jalouse ?

Elle n’attend même pas ma réponse et m’embouche la bite d’autorité. Mais voilà que se ramène Viviane qui veut sa part du gâteau (en l’occurrence ma bite) et j’ai donc droit à une pipe à deux bouches. Le rêve !

Je me suis levé pour leur rendre l’accès plus facile… Julien s’approche de nous à son tour. C’est donc moi la vedette en ce moment. Quel honneur.

Julien passe derrière moi et me pelote le cul !

– Quel belles fesses tu as, ce serait dommage de ne pas t’enculer !

Ben voyons ! Mais je me résigne ! En fait j’en ai envie. Et tandis que les deux vicieuses continuent de me pomper la bite, Julien me lèche le fion me provoquant une réaction inattendue de mon anus qui se met à bailler. Et après la langue c’est le doigt, et quand je dis le doigt, il doit en fait y en avoir deux,. Il me pistonne. Le doigt ressort, et c’est sa bite qui s’invite à l’entrée. Il s’enfonce d’un coup sec, un autre coup pour s’enfoncer davantage. Drôle d’impression, comme une gène, l’anus voulant se débarrasser de cette intrusion. Et puis peu à peu c’est un sentiment de bien être qui m’habite (sans jeu de mot) Je me fais enculer et c’est bon.

Tellement bon que je joui dans la bouche de ses dames. Du coup Julien accélère sa cadence et finit par jouir dans mon fondement.

Elles sont mignonnes les deux nanas avec du sperme qui leur macule le visage…

Ce petit trip m’a un peu épuisé, je jette un coup d’œil du côté de Marla. C’est le grand amour avec le chien qui après lui avoir brouté la chatte s’est mis à lui lécher les nénés.

Viviane reviens vers elle.

– Pauvre bête ! Il est tout excité, on ne va pas le laisser comme ça ! Je vais lui sucer la bite, tu le fais avec moi ?
– Tu veux que suce la bite du chien ?
– C’est une proposition ma chère.
– Je crois que je ne suis pas prête pour faire ça !
– .Pas grave tu vas nous regarder, tu viens Tina ?

Les deux femmes après avoir placé le chien dans une position adéquate, se mettent à sucer la bestiole de conserve

Marla regarde le spectacle tout en se tripotant la chatte. Elle me dira plus tard qu’elle était comme quelqu’un qui s’apprête à faire du saut à l’élastique, genre, je le fais ou je le fais pas ? En respirant très fort.

Et, mais vous vous en doutiez bien, chers lecteurs, chères lectrices, Marla se lance, se fait faire de la place auprès des deux autres nanas et prend le sexe de la bestiole dans sa bouche.

MarlaEt on se sait trop comment, Viviane et Marla se retrouve en soixante-neuf et se gamahuchent jusqu’à en jouir, tandis que Tina s’est mise en levrette invitant le chien à venir la besogner.

Quelle folle soirée mes enfants .Je regarde sur la table, il n’y a plus rien à boire.

– T’as soif, tu veux ma pisse, me propose mamie Vivianne.

Pour ce genre de chose, je n’ai depuis longtemps plus aucune réticence et c’est bien volontiers que je reçois sa pisse tiède au fond de mon gosier..

– On va vous prêter la chambre d’amis, vous n’allez pas prendre le volant avec tout ce que vous avez picolé. Propose Viviane
– D’accord !
– Mais vous n’allez pas nous quitter avant de m’avoir enculé ce serait une faute de gout.
– Je le conçois aisément !

Et Viviane se met en levrette en cambrant bien le derrière offrant à ma vue tous ses trésors. Comment ne pas bander devant un tel spectacle ?

Une capote et je l’ai pénétré, c’est rentré comme un couteau dans du beurre, et pendant que je la pilonnais son fils est venu devant elle lui offrir sa queue à sucer.

Je voulais conclure la soirée en faisant l’amour avec Marla mais je me suis écroulé de fatigue, ce sont des choses qui arrivent.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:05

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 15 – La punition de Sierra par Nicolas Solovionni
stamp transblack

J’emmenais ensuite Sierra, la belle transsexuelle dans mon bureau privé dans lequel se trouve un moelleux canapé au cas où..

– Sierra, tu dois avoir plein de choses à me raconter ?
– Plein !
– Mais tu me les raconteras plus tard, pour le moment j’ai envie de te prendre dans mes bras.
– Faites-moi tout ce que vous voulez ! Je me laisse faire, j’ai confiance !
– Eh bien commence par te déshabiller, j’ai trop envie de revoir ta bite !

Stoffer515Elle n’avait pas grand-chose à enlever, mais en bonne professionnelle elle fit durer le plaisir, me dévoilant d’abord ses seins magnifiques sur lesquels je me jetais comme un fou, les embrassant et leur tétant les bouts.!

Je m’accroupissais ensuite pour lui baisser moi-même sa culotte et emboucher sa bite demi-molle mais que mon action combinée des lèvres et de la langue eut tôt fait de lui rendre une honorable rigidité.

Je cessais ma fellation au bout de quelques minutes n’ayant pas l’intention de la faire jouir prématurément.

– Au fait, Sierra, je te dois une punition !
– Une punition, pourquoi ? J’ai été vilaine ?
– Bien sûr, tu ne serais pas allé faire de la provocation dans un rade sur Idoxa, tu ne te serais pas fait kidnapper.
– Alors c’est vrai, patron ! Punissez-moi comme je le mérite.

J’ai toujours quelques gadgets dons les tiroirs de mon bureau. Je demande à la joli trans de ne pas bouger et lui fixe une pince à chaque téton.

Oh, la vilaine grimace qu’elle me fait !

– Ça fait mal, patron !
– Bon, je vais te les enlever…
– Non, non patron punissez-moi, je ne suis qu’une chienne.
– Ça c’est vrai, et tu sais ce qu’elles font les chiennes ?
– Des cochonneries, je suppose.
– Tout à fait ! Et je vais te demander de me lécher le trou du cul !

Elle ne se fait pas prier et sa petite langue vicieuse vient me lécher ma rondelle. J’adore cette caresse, et mon anus aussi puisqu’il finit par bailler de plaisir.

– T’aimes ça lécher les culs, hein Sierra ?
– J’adore !
– Même quand il ne sont pas très propres ?
– Quand ils ne sont pas propre, je nettoie, puisque je suis une chienne.
– C’est bien, fous moi un doigt maintenant !

Sierra possède de très jolies mains avec de grands doigts. Tant mieux plus c’est long, plus c’est bon !

Elle me ramone ainsi mon conduit anal pendant plusieurs minutes et quand je lui demande se retirer, c’est un doigt pas très net qui ressort.

– Ben tu ne va pas rester avec le doigt pollué, lèche-moi tout ça !

Et là encore, elle ne se fait pas prier, elle donne même l’impression de se régaler. C’est vraiment une bonne soumise !

– Alors c’était bon ?
– Oui, j’aime bien.
– Parfait mais la punition n’est pas terminée.

C’est bizarre la nature humaine, parce que je suis plutôt en matière de sexualité, orienté maso, mais il m’arrive parfois de me laisser aller à des instinct sadiques… Non pas sadique, je ne m’amuse qu’avec des partenaires consentants. J’ai quand même quelques principes.

Je lui ai accroché deux autres pinces sur ses grosses couilles que j’ai ensuite ligaturé.

Retour des grimaces.

– J’ai mal patron.
– Et qu’est-ce que je dois faire ?
– Continuez à me faire mal !

J’ai dans mon attirail, un Rimba, c’est un peu comme un martinet mais avec beaucoup plus de lanières..

Je la flagelle à la volée sur son joli petit joufflu. Pas trop cependant, je n’ai aucune intention de la mettre en arrêt de travail.

– Bon tu m’a bien excité, tu as vu ma bite comme elle est raide !
– Elle est belle !
– Merci c’est gentil ! Attention, je retire les pinces

Une opération toujours douloureuse…

– Et maintenant suce moi la bite ! Lui ordonnais-je en quittant promptement mes vêtements. Elle s’accroupit et ce fut donc à son tour de me pomper.

Elle le fit en m’agrippant les fesses, sa main glissant presque imperceptiblement vers l’anus avant d’y faire pénétrer un doigt inquisiteur.

C’est pas vrai, elle doit être accro a ce truc là !

J’étais bien sûr aux anges !

Mais elle non plus n’avait pas l’intention de me faire jouir trop vite, aussi se releva-t-elle et se retourna pour m’offrir ses fesses. Des fesses magnifiques soit dit en passant au risque de me répéter.

Je l’enculais donc (même si j’aurais préféré le contraire) avec d’autant plus de vigueur que je sentais mes couilles prêtes à exploser, tandis que la belle trans se branlait la bite comme une forcenée.

Mais quand je la senti jouir du cul sans aucune simulation ce fut pour moi le plus beau des cadeaux, alors j’accélérais la cadence et me libérais dans son fion de princesse.

On s’enlace, Sierra me nettoie ma bite gluante de sperme et de jus de cul, de sa bouche. On s’embrasse profondément…

Et pour finir en beauté, supposant que toutes ces turpitudes avait du lui donner soif, je lui pissais dans la bouche. J’avais une grosse envie !

Et c’est chères lectrices, chers lecteurs, chères lectrices, la fin de ce trip et aussi la fin de cette aventure qui j’espère vous aura satisfait.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:03

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 14- Trio torride au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
StampFFH

La tension est retombée, je reprends la parole :

– Mesdames messieurs les naufragés, vous aller vous retrouvez sur Vargala… Vous connaissez ?

Non, ils ne connaissent pas ..

– Etant donné que vous êtes sans ressources, il va falloir vous diriger vers le pôle administratif, comme ils ont rien à foutre ça les occupera, ils sont en droit de vous attribuer une cagnotte de dépannage, en attendant de vous trouver du boulot, il y a toujours de la demande dans les restos ou à l’extérieur dans la zone agricole… Vous monsieur Ozawa vous n’aurez aucun mal à retrouver un poste de navigateur ..
– Pourrais-je bénéficier de votre recommandation ?
– Mais avec grand plaisir, reste le problème de l’hébergement…

Dilos s’est alors proposé de les loger provisoirement dans son hôtel.

La nuit commence à tomber sur Vargala et dans le ciel se dessine les deux petits stellites brillants de mille feux.

Après avoir réintégré rapidement mon appartement dans lequel personne n’avait fait le ménage (Mais putain les aspirateurs robots ça sert à quoi ?), ma première visite fut comme vous vous en doutez pour le Carrie’s bar dans lequel je retrouvais Marcia, ma vieille copine. (dans tous les sens du terme)

– Ah ! Te voilà, toi ! Je commençais à m’inquiéter…
– Beaucoup d’impondérables, je te raconterai, mais j’ai récupéré ton collier.
– T’es un amour !

Et je lui déballe l’objet sous ses yeux incrédules.

– Il est joli mais ce n’est pas le bon !
– Quoi ?
– C’est pas grave, c’est sympa d’avoir essayé.

Je tombe de haut. Toutes ces péripéties pour rapporter un truc qui n’est pas le bon !

– Mais non, je rigole, arrête de faire cette gueule.
– C’est malin !
– Allez viens, je vais te gâter, on va attendre ma fille, ce sera mieux, elle est occupée mais ne devrait pas tarder à descendre. Ce sera gratuit, je te dois bien ça !

J’ai commencé à narrer nos aventures sans le plus grand désordre quand Carrie est descendu précédé de son client.

Bisous, bisous, je me régale à l’avance du petit trio auquel je vais participer avec ces deux belles coquines. Mais Carrie est curieuses comme une chatte et me pose un tas de questions.

– Il nous racontera ça tout à l’heure, je crois qu’en ce moment il a surtout envie de se détendre ! Intervient Marcia.

On laisse donc Candice, leur nouvelle recrue faire le service en bas et on monte dans la meilleure chambre. Nous nous mettons immédiatement à poil et hop sur le lit tout le monde…

Me voilà au milieu de ces deux superbes créatures, je leur caresse les nichons, m’attardant sur les tétons. Je passe de la mère à la fille et de la fille à la mère.

Au bout d’un moment Marcia s’étale de tout on long sur le lit en écartant les jambes. Je m’apprête donc à lui lécher sa chatte offerte. Mais Carrie me devance.

– Attends une seconde, ça fait plusieurs jours que je n’ai pas léché la moule de ma mère !

Je la laisse faire, on ne voit pas ça tous les jours. C’est assez rapide la langue de Carrie a tôt fait de cibler le clito maternel. Marcia jappe, Marcia hâlette, Marcia jouit, Marcia hurle son plaisir…

Carrie se dégage et me laisse la place… Je laisse Maria souffler quelques instants en revenant sur ses seins dont les tétons sont maintenant durcis et érigés. Inutile de préciser que je me régale.

Pendant ce temps, Carrie est passé derrière moi et me doigte le trou du cul avec énergie. Quelle sensation !

Et quand elle retire son doigt, c’est pour me flanquer une bonne fessée sur le cul que je n’avais pas demandée.

Excité comme un poux, je pénètre Mamie Marcia en position du missionnaire et commence à la besogner. Au bout de quelques minutes elle me suggère…

– Attends, on va changer de position !

Elle se retourne, se met en levrette, soulève son popotin, écarte les cuisses m’offrant à la vue tous ses trésors.

Je suis comme fou, son trou du cul m’attire inexorablement, je le lèche rencontrant un goût âcre qui ne me gêne pas plus que ça. J’allais écrire « au contraire »… Mais… bon ça y est je l’ai écrit.

Et que pensez-vous que faisait Carrie pendant ce temps ? Eh bien elle s’est posé à côté de sa maman, dans la même position que cette dernière.

Un autre cul à butiner ! Je suis comblé ! Je me déplace donc derrière la fille en lui réservant le même traitement. Le cul de Carrie sent la savonnette, elle a dû se le nettoyer avec son dernier client. Dommage, je préfère les odeurs naturelles.

Je retourne derrière Marcia et cette fois je l’encule bien comme il faut.

– Un peu mon tour ! Me supplie Carrie.

Ok, je décule de chez Marcia pour enculer la fille, et je change ainsi de partenaire plusieurs fois tandis que mes couilles se remplissent.

Et pendant toute cette agitation les deux femme se roulent des patins qui ne semblent pas vouloir finir.

J’essaie de me contrôler mais quand ce n’est pas possible, ce n’est pas possible, c’est dans le fion de Marcia que je projette ma jouissance.

Bonnes filles elle viennent tous les deux me nettoyer la queue polluée par le sperme et d’autre chose aussi.Stoffer514

Elles n’ont pas joui et si Marcia a eu un orgasme, c’est uniquement sous l’effet de la langue de sa fille. Les putes ne jouissent pas avec leur client (du moins en principe) Elles ont toutefois eu l’honnêteté de ne pas faire semblant.

– Alors, ça t’a plus ? Me demande Marcia.
– Bien sûr !
– Il y a autre chose qui te ferait plaisir.
– Si vous aviez envie de pipi ! Osais-je.
– Pas de problème !

Et elle sont venues se soulager, l’une après l’autre sur mon corps allongé sur le sol et dans ma bouche. C’est chaud, c’est gouleyant ! J’ai adoré !

Le lendemain je décidais d’aller faire un visite de routine au Diable Rose, cabaret dont je suis rappelons-le, le propriétaire.

C’est Riquita qui m’accueille toujours aussi avenante et sexy.

– Ah patron, content de vous revoir, on commençait à se demander…
– On a fait une virée qui a duré plus longtemps que prévu, sinon tout va bien ?
– Oui, on a récupéré Sierra, j’ai avancé l’argent…
– De quoi ?

Mais ce n’est pas possible, j’ai mal entendu, elle me raconte n’importe quoi.

Elle m’explique mieux

– Ça alors ! Et elle est où en ce moment ?

– Je regarde… Elle est dans la salle au comptoir, je la fait monter ?
– Bien sûr.

Je n’en crois pas mes yeux, Sierra est là devant moi en maillot deux pièces jaune citron, en pleine forme et tout sourire.

– Ça alors !
– Ben oui !

On s’étreint…

– Je vous laisse en tête à tête ? Suggère Riquita
– Bonne idée !
– Euh, j’ai avancé l’argent…

Ça fait la deuxième fois qu’elle me le dit.

– OK, dis-moi la somme, je te vire ça de suite.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:59

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 13 – Dans l’espace profond, personne ne nous entend jouir par Nicolas Solovionni
Trio2

– La version que vous a raconté Rotulo n’est pas la bonne. Commence Surya. Le Swing27 était un vaisseau de croisière léger, on emmenait à son bord 15 rupins pour un petit circuit, la colonne de Kekolo, les étangs bleus de Jaunissar, le canyon géant de Frestopol… il y avait aussi un couple d’animateurs et puis trois filles chargées de distraire ces messieurs dames de la façon que vous pouvez deviner, j’étais l’une de ces trois femmes les deux autres ce sont Blanche et Maelys
– Je comprends.
– Rotulo vous a raconté dans quelles circonstances nous nous sommes retrouvés ici… Quand on s’est posé sur le ventre, les sirènes ont signalé le risque d’explosion imminente. On est tous descendus en catastrophe, je dis bien tous. L’ambiance était nauséabonde, ça gueulait de partout. Un espèce de gros con s’est improvisé leader des passagers et s’est mis à invectiver l’équipage de façon stupide. Quand ils en sont venus aux mains alors que le vaisseau explosait, je me suis planqué avec les deux collègues. L’équipage était en infériorité numérique, la bagarre est devenue très violente, le second du capitaine a été étranglé. Le capitaine et ses hommes ont alors fait usage de leurs armes. Plusieurs personnes sont tombées les autres ont levé les mains en signe de rémission. Et là Rotulo a continuer à tirer. Ça a été une véritable boucherie, tous les passagers ont été tués, le couple d’animateurs aussi. Du côté de l’équipage il ne restait que Rotulo, Ozawa et deux autres dont Malvin. Ils étaient amochés, certains choqués mais vivants. On n’a pas été vaches, on les a soigné, puis on s’est organisé comme vous l’a raconté Rotulo, sauf qu’en ce qui concerne les filles on a continué notre travail de distraction. Je ne suis pas bégueule mais je vous assure que distraire Rotulo était une véritable corvée, si au moins il l’avait bouclé, non, ce type n’arrêtait pas de nous cracher tout son mépris à la gueule. J’ai même pensé à le tuer ou à me suicider, je n’en ai pas eu le courage.

Évidemment Dyane a demandé à Surya de répéter tout ça devant mon staff.

Du coup il m’a semblé salutaire de revenir sur la composition des cabines de façon à ne pas laisser cohabiter Rotulo avec des femmes.

Je n’ai pas eu le temps de mettre cette décision à exécution, les choses s’étant précipitées…

Dans la salle de contrôle, je me livre à un check-up afin d’éviter toute mauvaise surprise au moment du saut de rentrée… Je suis en compagnie de Nerren et d’Ozawa.

Et voici Rotulo qui se pointe comme une fleur…

– Monsieur Rotulo, vous n’avez rien à faire ici, regagnez vos quartiers je vous prie.
– Premièrement je vous prie de m’appeler par mon grade, je suis le capitaine Rotulo et non monsieur Rotulo.
– Foutez-moi le camp !
– Et secundo, j’estime que mon grade mérite une certaine considération, notamment celle de ne pas être traité comme un paria dans cette salle de contrôle.
– Sortez ou je vous promet que ça va mal se terminer.

Et c’est à ce moment-là que Yoyo, le chat du bord entre dans la salle et de façon complètement incongrue s’en va se frotter contre la jambe de Rotulo (allez donc comprendre ces bestioles, vous !)

– Si je comprends bien j’ai moins de droit que ce connard de chat ! S’écrie Rotulo en se débarrassant du matou d’un violent coup de pied

C’en est trop !

– Ce chat ne vous a rien fait ! Nerren aide moi à maîtriser ce connard.

C’est qu’il est costaud ce Rotulo, mais à un contre deux, il n’a pas le dessus, je lui tords le bras, tandis qu’Ozawa se garde bien d’intervenir et que Yoyo effrayé par toute cette agitation s’en va voir ailleurs

– Ozawa, sale traître, je te ferais payer ça ! Fulmine Rotulo
– On en fait quoi ? Demande Dyane.
– On va l’enfermer avec Malvin, ça lui fera de la compagnie.

C’est donc ce que nous avons fait avant de terminer notre check-up

C’est quelques heures plus tard que Dilos nous a averti d’un vacarme provenant de la cabine où nous avons enfermé Rotulo et Melvin, j’accours, arme au poing en compagnie de Dyane.

On ouvre, ahurissant spectacle, Rotulo a le visage en sang et au sol Malvin est inanimé. Dyane vérifie sin état…

– Il est mort !
– Légitime défense ! balbutie Rotulo.
– Il est mort de quoi ? Demandais-je à Dyane.
– Strangulation.
– Légitime défense ! répète bêtement Rotulo
– On va voir.

On referme la porte.

– On fait quoi ? Demande Dyane.
– On applique la procédure.
– Quelle procédure ?

Je n’ai jamais été confronté à une telle situation, je consulte donc le code de la marine spatiale tout en sachant que seul maître à bord je peux faire ce que je veux

Le code indique que le présumé coupable doit passer devant un jury de cinq personnes tirés au sort, qu’il faut un avocat et un procureur…

Je préviens tout le monde, on tire au sort le jury. Dilos, Ozawa, Nadget, Blanche, (l’une des nanas naufragées) et Dyane.

– Maintenant il faut un procureur et un avocat de la défense des volontaires ?

Surya se propose comme procureur, Il n’y a aucun volontaire pour le défendre, je nomme Nerren d’office puis on ne perd pas de temps, je présente les faits, Dyane confirme. On écoute Rotulo qui plaide la légitime défense.

Surya prend la parole et raconte tous ce qu’elle a sur le cœur.

– C’est un assassin…

Et d’insister sur le massacre des passagers exécutés de sang-froid alors qu’il se rendaient… Puis de conclure en demandant qu’il soit éjecté dans l’espace comme le veut la tradition

Nerren ne sait pas trop comment se dépatouiller de son rôle d’avocat de la défense.

– Parfois dans une bagarre on fait des gestes qu’on n’aurait pas dû faire, on peut donc à juste titre retenir la thèse de la légitime défense, je réclame donc un enfermement jusqu’à notre arrivée à destination au terme de laquelle il sera remis aux autorités portuaires.

– Un dernier mot, Rotulo avant que le jury délibère ?
– Merde !
– Merci Monsieur Rotulo.

Les cinq jurés s’en vont à côté et reviennent rapidement.

– Le jury par trois voix et deux abstentions ont jugé l’ex-capitaine Rotulo coupable d’homicide volontaire sur la personne du dénommé Melvin et le condamne à l’éjection dans l’espace.

Je constate qu’il n’y a eu aucune voix contre…

– C’est un simulacre de procès, je fais appel ! Vocifère Rotulo.

Sauf que la procédure ne prévoit pas ce genre de choses.

– L’application de la sentence est immédiate. Monsieur Rotulo vous avez doit à une dernière parole.

Non, pas de dernière parole. Rotulo est blanc comme un linge. Nerren et Dilos le conduisent manu militari dans le sas. On ferme la porte intérieure puis on ouvre la porte extérieure. Rotulo est happé par le vide, la mort est immédiate. On referme le sas.

– C’est pas terrible, terrible, ce qu’on vient de faire ! Me confie Dyane.
– J’en ai bien conscience, mais pouvait-on faire autrement ?
– Je ne crois pas, non !

Nous avons ensuite procédé à l’éjection de la dépouille de Malvin en s’efforçant d’y apporter une certaine solennité. Pas évident…

Une dizaine de jours plus tard…

La voix robotisée de l’écran de contrôle annonce au micro :

« Sortie de l’hyperespace programmée dans 20 minutes standards… »

Je demande à tout le monde de se réunir dans la salle de contrôle.. l’inquiétude et l’angoisse sont palpables sur tous les visages, seul Ozawa paraît serein.

– Bon , l’heure n’est pas aux discours, dans un quart d’heure soit nous serons dans le système de Vargala, soit nous serons au milieu de nulle part sans avoir assez de vivre pour continuer.
– Amen ! Ajoute Dyane qui use parfois d’un humour bien particulier.

Plus un mot n’est prononcé…

« Saut dans 30 secondes, 29, 28, 27… 4, 3, 2, 1 0 »

Des coordonnées s’affichent sur l’écran.

– C’est bon s’écrie ! Ozawa.

Annonce qui me paraît prématurée.

L’écran se complète :

« Système GKU678 détecté, répertorié RDV589A ou système de Vargala, distance à l’étoile 5 heures lumière… »

Et cette fois c’est le délire, on applaudit, on se congratule, on s’embrasse. Blanche me roule un patin.

L’ordinateur de bord me demande notre cap, je lui répond : « Vargala 3 », le moteur ionique se met en branle et je vais chercher du Champagne

On boit on rigole…

Blanche se colle à moi ! J’ai un sacré ticket avec elle je ne vais pas m’en plaindre. Malgré son prénom, elle est très brune et mate de peau.

Les hommes de Rotulo ne sont pas nés de la dernière pluie et connaissent les usages de la marine cosmique. Aussi, c’est le grand relâchement Nadget s’est acoquinée avec un Ozawa, Dilos drague Maelys… Tout le monde se surveille du coin de l’œil. La première bite ou la première chatte exposée devrait donner le signal de la partouze.

Et c’est Blanche complétement barré qui commence à me tripoter la braguette. Je me laisse faire volontiers. Son tripotage a pour effet de me faire bien bander. Elle n’a plus qu’à sortir l’engin. Mais au lieu de faire ça discrètement elle crie à la cantonade

– Oh, regardez ce que j’ai trouvé !
– On dirait une bite ! S’esclaffe Maelys. Ben maintenant que tu l’as trouvé, tu n’as plus qu’à la sucer !
– C’est vrai je peux ? Demande Blanche jouant les innocentes.

Mais elle n’attend aucune permission et fait pénétrer ma virilité dans sa bouche gourmande tandis que Maelys fait de même avec la bite de Dilos. Un dénommé Ludwig semble s’intéresser de très près au physique ambiguë de Nerren. Quant à Dyane et Surya elles semblent être tombées amoureuses l’une de l’autre.

Alors si on a bien compté en doit être dix dans le mess cinq hommes et cinq femmes. Tout le monde se retrouve à poil, et je peux admirer les beaux atours de Suya et de Blanche. Chacun s’est dégoté un ou une partenaire et ça devient de plus en plus chaud et de plus en plus difficile à suivre !

Stoffer513Blanche est montée sur mes cuisses et s’est carrément empalé le cul sur ma bite. La position est peinarde c’est la fille qui fait tout le boulot et moi je peux peloter ses jolis seins et en téter les bouts.. Elle pousse des gémissements de plus en plus explicites tandis que je me sens prêt à décharger. Ça y est je jouis, c’est allé trop vite !

Blanche après m’avoir embrassé goulument se dirige vers Nadget et s’immisce dans le couple qu’elle formait avec Ozawa. Ce dernier finit par lui laisser la place et passe devant moi sa bite en étendard.

– Quelle ambiance ! Me dit-il. Mais dis donc C’est Blanche qui t’as épuisé comme ça !
– On dirait !
– Quand elle est déchainée, c’est une vraie tornade !
– Et toi tu fais quoi… Elle est bien belle ta bite !
– Elle t’intéresse ?
– J’avoue !
– Tu veux la sucer ?
– Volontiers !

Et me voilà avec la bite du monsieur dans la bouche ! Qu’est-ce que j’aime ça, sucer des bites !

– Oh, tu suces bien ! Me félicite-t-il.
– Hummpff..
– Tu aimerais que je te prennes ?

Ben oui pourquoi pas ? Je lui ai donc offert mon cul. Il apprécie l’offrande et après m’avoir léché le troufignon, il m’a enculé en cadence comme un chef. Certains nous ont applaudis mais je ne les ai pas identifié.

Je ne suis pas le seul à me faire sodomiser, Nerren y a droit aussi.

Les femmes sont terriblement excitées. Dyane et Surya ont été rejointe par Blanche et Nadget. Un ravissant mélange goudou dans lequel on ne sait plus qui caresse qui, qui lèche qui, mais les langues sont en action, les doigts également qui vont allégrement de chattes en trou du cul.

Dilos et Maelys dans leur coin sont pour l’instant les seuls à se la jouer hétéro. L’homme en sueur enculant sa partenaire à grands coup de rein.

Yoyo, le chat du bord, vient faire un tour sans doute attiré par l’odeur de stupre mais ne reste pas, rien n’étant prévu pour lui. Pauvre minet !

Pas facile à suivre avec tous ces gens, mais après tout qu’importe ! Tout le monde a fini par jouir, Dyane ne peut retenir son envie de pisser et se soulage dans la bouche de Surya qui se régale comme une cochonne.

Le mess fleure le sperme et la transpiration on se boit un coup sans se rhabiller. Le chat revient et se met à miauler de façon intempestive. J’ai compris, il a soif, mais heureusement il y a une bouteille de lait dans le frigo du mess…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:57

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 12 – Planète grise par Nicolas Solovionni
bisou1719

Une heure plus tard nous étions tous réunis dans le mess.

– Bien, c’est très simple, commence Dyane, on est tous un peu stressé, alors il va falloir que chacun y mette du sien. Ajas et Dilos, arrêtez de faire les enfants et serrez-vous la main.

Il me tend une main molle, sourire crispé, je la lui serre sans enthousiasme.

– Bon eh bien la crise est fini, je rends donc le commandement du vaisseau au Capitaine Ajas Stoffer.

Ouf !

– Bon je vais lancer le compte à rebours, on rentre sur Vargala ! Annonçais-je calmement.

Et du coup chacun rejoignit son poste.

Trois jours terrestres plus tard…

Une sirène retentit dans le poste de pilotage, je vais voir, et trouve Nerren mon navigateur afféré devant ses écrans de contrôle.

– C’est quoi ce bordel ?
– On dirait que le contrôleur hyperspatial déconne.
– Passe en back up.
– C’est déjà fait, ça ne vient pas de nous.
– Hein ? Ça vient de qui alors ?
– En fait, j’ai peur qu’on soit tombé sur un nœud de l’hyperespace.
– Ah ! Et on fait quoi dans ces cas-là ?
– Faut reprogrammer, mais pour reprogrammer, il faut savoir où on est et pour savoir où on est, il faut sortir de l’hyperespace.
– Eh bien faisons le..
– Tu es fou ! C’est trop dangereux, on ne sait pas ce qu’il y a derrière, une étoile géante, une étoile à neutron, un trou noir.

Mais c’est qu’il va me foutre la trouille, ce con !

Tout le staff nous a rejoint, on en mène pas large.

– Et si tu reprogrammais comme ça, à l’aveuglette ? Propose Dyane.
– On va se retrouver n’importe où ! Fait remarquer Nerren.
– C’est toujours mieux que de se retrouver à l’intérieur d’un trou noir, non ?
– Bon, tu reprogrammes au pif, on attend quelques heures, on sort de l’hyperespace, on voit où on est et on reprogramme, ça me paraît simple, non ?
– On aura assez de jus pour faire tout ça ? S’inquiète Dilos.
– Ben vérifie, mon vieux !

Si on manque de jus, on va être mal, mais vérification faites, ça allait.

Et quelques heures après nous sortions de l’hyperespace. Tout le monde est fébrile.

– On est où ?
– Je vais regarder, répond Nerren, mais on dirait qu’on est à une semaine lumière d’un système.

Le navigateur tripote ses logiciels la voix robotisée finit par répondre :.

– Environnement stellaire non répertorié, souhaitez-vous une approximation ?
– Oui.

L’écran de contrôle affiche une série de chiffres groupés par trois : longitude, latitude, ascension droite…

– Et en clair ça veut dire quoi ?
– Qu’on est là, ou là ou là ! Explique-il-en pointant les coordonnées
– Mais encore ?
– Qu’on est vachement loin… Dans une zone inexplorée et non répertorié ! Répond Nerren.
– Mais comment est-ce possible ?
– C’est le nœud qui a fait ça.
– Connard de nœud ! Bon tu reprogrammes ?
– Le souci c’est que pour rejoindre Vargala, vu notre position, on va mettre au moins six mois. Déclare Nerren
– Mais comment est-ce possible
– En deux mots, le nœud nous a envoyé à Pétaouchnock. La galaxie tourne sur elle-même donc pour revenir, le nœud ne sera plus là, on sera dans l’hyperespace normal si je puis dire.

Stupéfaction générale.

– Attendez, je fais une petite simulation…

On le laisse faire…

– Entre cinq et huit mois ! Annonce-t-il la mine déconfite.
– On a pas cinq mois de vivres, on en est même loin. Ajoute Nadget, finissant de nous achever moralement.

Et voilà qu’un grésillement se fait entendre dans le canal radio.

– C’est quoi ça encore ?
– Ça vient du système, je localise… La seconde planète on dirait.
– Mais c’est quoi ce signal ?
– Ça veut sans doute dire qu’il y a du monde…
– Pourquoi « sans doute » ?
– Parce que ça peut être un machin automatique, une balise qui s’est retrouvé là !
– Au point où on en est ça ne nous coûte pas grand-chose d’aller voir, combien de temps avec le moteur ionique ?
– 6 jours
– Alors on y va.

On s’est donc approché de cette planète, sous sa couverture nuageuse ou en découvre la couleur, elle est grise, couleur de cendre…

Les analyses tombent :

« Atmosphère respirable, radioactivité nulle, faible présence d’activité biologique supérieure, activité bactériologique non mesurable, température au sol 35° C à l’équateur, – 20° C aux pôles  »

– Ok on descend, tu as localisé la source radio ?
– Positif !

On descend en survolant la région. Spectacle de fin du monde, des blocs qui pourraient être du béton, éparpillés un peu partout, des ruines de bâtiments qui devaient être gigantesques et de la poussière grise partout. J’en ai la chair de poule.

On repère la source avec précision, un dôme épargné par le chaos ambiant, mais impossible d’y atterrir de près tellement c’est le bordel.

On se pose donc à un kilomètre de cet endroit dans un zone partiellement dégagée.

– Je vais descendre aller voir ce dôme de plus près, qui m’accompagne ? Demandais-je.

C’est Nadget qui s’y colle, on enfile des combinaisons de survie et on y va. En ce moment je suis aussi optimiste qu’un agneau d’abattoir.

On chemine dans les gravats, quand soudain nous percevons des bruits de voix

Putain, des voix, c’est pas vrai !

Et au détour de ce qui devait peut-être ressembler à une rue, ils sont là juste devant nous…

Un vieillard hirsute et barbu, sale comme un cochon et vêtu de haillons, il est accompagné de trois hommes et de trois femmes dans un état analogue.

– Vous venez nous sauver après tout ce temps, merci, merci !

Il se met à genoux dans une posture aussi humiliante que ridicule

– Bon, ça va relevez-vous mon vieux !
– Je suis le capitaine Rotulo et voici…

Il nous présente ses compagnons, il n’arrête pas de parler, à mon avis ça doit faire un certain temps qu’il n’a pas dû faire la conversation avec des étrangers.

– C’est bien volontiers que nous vous porterions secours, mais la situation est un peu compliqué…

Je lui explique tout.

– On va trouver une solution ! Me répond-il.

C’est beau l’optimisme !

– Venez dans mon vaisseau, on va boire un coup ! Proposais-je à Rotulo.
– Vous allez nous rapatrier?
– Je viens de vous expliquer que ce n’est pas possible…
– Pour les vivres on peut s’arranger, on se nourrit de grosses sauterelles, c’est un peu fade mais ça se mange…

Six mois de voyages avec sept personnes en plus, il a perdu le sens des réalités, pépère !

Il existe un code d’honneur dans la flotte spatiale qui stipule qu’on doit assistance aux naufragés. En admettant que l’on arrive à gérer correctement le problème des vivres, nous serions obligés moralement de les secourir.

Mais avant je veux savoir qui sont ces gens.

Mais voilà que l’un de ces types s’approche de Nadget, la bouscule par surprise et lui saute dessus.

– Oh ! Ducon ! Tu te calmes ou je t’envoie un coup de désintégrateur.!

Je bluffe, la seule arme que j’ai sur moi est un rayon paralysant.

– Excusez le, c’est Malvin, il a un peu perdu la boule, il faut le comprendre, ça fait 15 ans qu’il n’a pas vu de femmes.
– Comment ça, il y a bien trois femmes dans votre groupe à ce que je voie…
– Je veux dire des nouvelles femmes.
– Bon, je vais vous faire monter à bord, mais cet individu restera ici.
– Pardonnez-lui…
– Je lui pardonnerais peut-être plus tard, mais pour l’instant on fait comme on a dit.

On les a fait monter à bord…

Putain, ils puent la charogne, on leur propose une douche et on leur offre des habits propres. Ça prend un temps fou.

On s’est tous assis dans le mess…

– Vous allez rire, ça doit faire 15 ans terrestres que je ne me suis pas assis sur une chaise. Nous sort Rotulo.

Je ne sais pas pourquoi,,. mais ça ne me fait pas rire.

– Bon on a des tas de questions, j’aimerais déjà savoir comment vous êtes arrivé ici ?
– Ozawa, tu peux répondre ? Suggère Rotulo
– Oui, je suis Ozawa, j’étais le navigateur du Swing27, un cargo de croisière on était sur la route du retour et le contrôleur spatio-temporel s’est mis à déconner. J’ai réinitialisé le système et on s’est retrouvé ici au milieux de nulle part mais proche d’un système distant d’un mois-lumière. On a constaté qu’une des planètes était potentiellement habitable et on a décidé d’aller voir ça de près. On a forcé sur le moteur ionique et il a commencé à nous lâcher quand on a traversé l’atmosphère de la planète. On s’est posé en catastrophe sur le ventre, ça clignotait de partout, j’ai eu peur que ça explose, on a commencé à sortir et effectivement ça a explosé quelques minutes après… alors que des passagers étaient encore dedans.
– Et puis ?
– On a cherché à s’abriter et on a trouvé un dôme dans lequel il avait un appareil qui envoyait des signaux radio en continu.
– Mais qu’est-ce qui l’alimente ?
– On a cherché, on n’a pas trouvé. On est pas resté dans le dôme à cause du bruit et on est allé squatter un peu plus loin. On a vite appris à survivre, on a trouvé une source, il y a des sauterelles et d’autres bestioles, il y a aussi des baies, elles ne sont pas terribles mais ça nous fait des vitamines.
– Il s’est passé quoi ici ?
– On ne sait pas, on a trouvé aucun artefact…
– Même dans le dôme ?
– L’émetteur est une espèce d’ogive métallique compacte, pas de boutons, pas de manettes, rien du tout ! on a juste estimé que les habitants du coin devaient être très grands étant donné la hauteur des plafonds.
– Les gravats, c’est du béton ?
– Ça y ressemble, oui.
– Et pas d’autres matières ? Du verre, du plastique, du métal…?
– Non la seule chose métallique c’est le dôme radio. On s’est demandé d’ailleurs s’il n’était pas plus récent que le reste.
– Ah ?
– Ben oui, s’il y a eu une guerre atomique ou quelque chose du genre, je ne vois pas comment le dôme aurait été épargné.
– Bon on ne va pas perdre de temps, il vous faut combien de temps pour stocker six mois de sauterelles ?

A ces mots le dénommé Ozawa se met à trépigner.

– Mais pourquoi parlez-vous de 6 mois ? S’énerve-t-il.

Nerren lui explique alors de quelle façon il a fait son estimation

– Ah ! Ça vous dérange si je jette un coup d’œil sur votre plan de vol ?
– Non, mais ça ne servira à rien.

Les deux navigateurs se dirigent néanmoins vers la salle de contrôle et je les suis.

– Voyons voir, ça ce sont vos coordonnées de l’entrée en hyperespace ?
– Oui on était sur Idoxa…
– Et donc vous êtes ressorti… trois jours après ? C’est ça ? Pourquoi si tôt ?
– Le contrôleur hyperspatial a détecté un nœud…
– Et donc vous êtes ressorti… ah non vous avez reprogrammé, mais ces quoi ces coordonnées.
– J’ai fait ça au pif !
– Et donc vous vous êtes retrouvés dans le coin !
– Voilà !
– Autrement dit, il vous a fallu trois jours pour venir d’Idoxa jusqu’ici en passant par l’hyperespace. Pourquoi voudriez-vous qu’il vous fasse 6 mois pour faire le retour.
– Mais enfin, la mécanique céleste… Objecte Nerren qui commence à se demander s’il n’a pas affaire à un gogol.
– J’entends bien mais il suffit d’appliquer des correctifs.
– A l’aveuglette ?
– Non, faudra faire mouliner l’ordinateur… Montrez-moi un appareil déconnecté, je vais voir si c’est possible.

Je laisse Ozawa avec Nerren et vais rejoindre les autres. Rotulo est en plein discours expliquant à ses interlocuteurs milles et une anecdotes sur leur présence ici. J’écoute dix minutes puis repart chercher les deux navigateurs et reviens avec eux.

– Bon voilà ma décision, en vertu des obligations que nous impose le code d’honneur de la marine spatiale je vais vous rapatrier. Ma seule condition est que vous remplissiez mes soutes froides avec pour six mois de sauterelles.
– Mais puisqu’il ne faut pas six mois ! S’insurge Ozama.
– Je vais vous dire franchement, je n’ai pas du tout confiance en vos explications…
– Ce n’est pas possible d’être borné à ce point !
– Je vous dispense de vos réflexions.
– Il va nous falloir du matériel, vous auriez des pelles et des seaux ? Intervient Rotulo.

Tiens, bizarre qu’il ne vienne pas prêter main forte à son navigateur !

– Mais oui on va vous prêter tout ça ! Reste le problème de votre type qui est à moitié fou, il fera donc le voyage en cabine fermée. Bon ne perdons pas de temps, je vous laisse vous occuper des sauterelles.

On leur a donné une pelle (j’en ai pas cinquante) et des containers (de ça, on en a plein). Ainsi qu’un émetteur afin de rester en contact. Et ils sont partis faire le taf.

J’ai pris Nerren à part.

– Tu crois que ça tient debout ce qu’il raconte cet Ozawa ?
– J’en sais rien, il avait commencé une simulation, mais c’est super long tellement il y a de variables. Viens on va voir où ça en est !

Le résultat s’affichait, il ne fallait que 12 jours pour rejoindre Idoxa.

– Mais on n’a pas besoin de repasser par Idoxa, on va aller directement sur Vargala !
– Bon j’ai vu à peu près comment il a fait, je relance le bouzin.

Au mess je recroise Dyane.

– Je vais descendre avec Nadget, je vais regarder comment ils font pour les sauterelles et je vais prendre quelques photos du coin.

C’est impressionnant sur une grande nappe d’eau boueuse s’agitent des centaines de milliers de sauterelles qui ne sont d’ailleurs pas des sauterelles mais qui y ressemblent, elles sont silencieuses et abordent une couleur mordorée.

Le groupe s’affaire à ramasser à la pelle les pauvres bestioles en se relayant. En fait il sont cinq à bosser, Rotulo préférant donner des ordres, quant à Malvin il reste prostré dans un coin.

Une des trois nanas s’approche alors de mes deux collaboratrices.

– Je vais faire semblant d’aller pisser, suivez-moi je vais vous dire quelque chose.

Dyane et Nadget suivent la fille sans comprendre. Elle se positionne entre deux blocs de béton et se met à pisser pour de vrai sans se cacher.

– Restez sur vos gardes, Rotulo est un assassin, je vous en dirais davantage à l’occasion, je m’appelle Surya.

Et c’est tout, elle s’en retourne aider ses compagnons.

La simulation affiche son nouveau résultat : 11 jours.

– Ça vaut peut-être le coup de tenter ça ! Me dit Nerren.
– Et si ça marche pas on part pour 6 mois ! C’est ça ?
– Ben oui !
– On assez de jus ?
– Ça devrait le faire, je viens de revérifier.
– On prendra une décision au moment du départ il faudrait qu’on soit tous d’accord.

Et sur ces bonnes paroles j’ai à mon tour la curiosité d’aller voir où en est cette pêche aux sauterelles.

C’est vrai que c’est impressionnant, il y en a partout… mais je doute qu’il y en ai assez pour un périple de six mois.

– Ça ne fera jamais le compte ! M’inquiétais-je auprès de Rotulo.
– Il faudra peut-être qu’on se rationne !

C’est tout ce qu’il a trouvé à me dire ce con !

– Il y en a ailleurs des sauterelles ?
– Dans le coin c’est la plus importante concentration. Maintenant il est certain que sur la planète il doit y en avoir des tas, un peu partout…

Je réfléchis, sa réflexion n’est pas complétement idiote, mais concrètement cela signifie des vols de reconnaissances en barge puis une fois trouvé les nids de sauterelles, acheminer les pécheurs, et organiser des allers-et-retours jusqu’au vaisseau. Un travail de dingue !

Je rentre et je réunis mon staff et lui explique tout ça.

– Maintenant il faut choisir, Option 1 : On fait confiance à cet Ozawa mais si ça foire dans l’état actuel on aura jamais assez de vivres. Option 2 : On ratisse la région pour avoir suffisamment de vivres pour 6 mois, ça risque d’être long, très long, sans doute au moins un mois terrestre. Nerren t’en penses quoi ?
– Difficile à dire, manifestement cet Ozawa possède un niveau technique supérieur au mien, ce qui fait que j’ai un peu de mal à le suivre. J’ai quand même l’impression qu’il a l’air de savoir ce qu’il dit.
– Donc ?
– Moi je prendrais le risque !
– Et les autres ?
– Si Nerren a confiance, c’est bon pour moi ! Intervient Dyane

Dilos et Nadget allèrent dans le même sens.

– Et si ça foire ? Si on n’a pas assez de vivres ! Demande néanmoins Nadget.
– On se fera sauter, on ne souffrira pas !

Oups !

On a donc donné instruction à Rotulo et à sa bande d’emmagasiner à bord tous les containers à crevettes déjà remplis

– On en a pour combien de temps avec ça ?
– Environ un mois… et deux fois plus si on se rationne
– Bien, dès que le chargement est O.K je lance le compte à rebours…

Et nous voilà partis ! Pour l’instant nous voyageons grâce au moteur ionique dans le continuum spatiotemporel afin de nous éloigner quelque peu de l’étoile..

– On va pouvoir sauter dans une heure, qu’en pensez-vous monsieur Ozawa ?
– Ça me paraît raisonnable!
– Et maintenant un peu d’organisation j’avais trois cabines de libre. Sachant que pour des raisons de sécurité nous avons déjà attribué une cabine au dénommé Malvin il n’en reste que deux, donc comme vous êtes six ça fera deux groupes de trois, à vous de vous répartir comme vous le souhaitez.

Alors là je ne vous décris pas le bordel Machin qui ne veut pas être avec Truc, Bidule qui ne veut pas être avec Chose…

Et au milieu du brouhaha, Rotulo ne trouve rien de mieux que de prendre la parole.

– Je proteste contre cette façon de faire !
– Protestez si vous voulez mais si vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord, on va faire ça par tirage au sort.
– Je pensais que par égard à mon rang vous m’attribueriez une cabine individuelle.
– Bon on fait quoi on tire au sort. M’agaçais-je.

Ça n’arrange apparemment personne, mais comme il n’y a guère d’autres solutions…

Mais c’est sans compter sur Rotulo qui continue à énerver son monde

– Vous autres, vous allez conserver vos cabines individuelles, et nous nous allons être parqué comme des cochons. Si vous faisiez preuve d’un peu de courtoisie, vous auriez pu vous regrouper deux par deux et…
– Rotulo vous commencez à m’énerver ! Si vous commencez comme ça le voyage ne va pas être simple.
– Je faisais juste une suggestion. Et je vous prie de m’appeler Capitaine Rotulo.

Et là j’ai eu envie de jouer un coup de poker.

– Parmi vous, il y en a qui pense que Rotulo devrait avoir une cabine individuelle ?

Personne ne répond j’ai gagné mon coup Rotulo est humilié… quand soudain Surya lève la main :

– Moi !
– Ah, m’étonnais-je !
– Oui, de cette façon il ne nous emmerdera plus !

Eclat de rire général ! Rotulo fulmine.

Je m’empare de six sticks à apéritif, je leur casse les bouts et les présente à ces messieurs dames.

Les trois plus longs ensembles, les trois plus courts ensembles.

J’ai essayé de tricher en présentant le stick à Surya, mais elle ne m’a pas compris. Résultat elle se retrouve avec Rotulo et fond en larmes.

Je vous disais que ça devenait compliqué !

Dyane s’approche de Surya pour la consoler et lui chuchote quelque chose que je ne peux pas entendre, mais j’ai quand même ma petite idée.

Je regarde l’heure il va bientôt être temps de sauter dans l’hyperespace

– Monsieur Ozawa, je vous laisse programmer le saut, Nerren va rester avec vous pour les codes. Les autres merci de regagnez vos postes ou votre cabine.
– Merci de me faire confiance.
– Vous n’avez pas l’air surpris
– Non, comme votre stock de vivres est restreint je m’attendais à cette décision.

Je rejoins donc la salle de contrôle… Horreur Rotulo nous emboite le pas.

– Euh votre cabine c’est de l’autre côté, monsieur Rotulo !
– Je vous répète que veux que l’on m’appelle Capitaine Rotulo et je considère que mon grade m’autorise à assister aux manœuvres de navigation.
– Foutez-moi le camp ou je vais devenir violent !
– Vous me menacez ?
– Mais tu vas te barrer oui ou merde, espèce de tête de con !

Stupéfait devant cette violence verbale il s’en va, la queue basse rejoindre la cabine partagée qu’on lui a attribué

Que chuchotait Dyane aux oreilles de Surya ?

– Je vais t’héberger dans ma cabine….
– Ça ne va pas poser de problèmes ?.
– Mais non !

Une fois dans la cabine, Dyane tint à mettre les choses au point.

– J’ai accepté de t’héberger dans ma cabine parce que je n’aime pas voir les gens malheureux et puis je suppose que tu as un tas de choses à nous raconter…
– Oh, ça oui.
– Et puis autant que tu saches où tu mets les pieds il te faut savoir que je suis à moitié gouine et que ton physique ne me laisse pas indifférente, mais si ça ne t’intéresse pas, je n’insisterais pas et ça ne remet pas en cause l’hébergement.
– Je m’en doutais un peu…
– Parce que ?
– Ben la façon dont tu me regarde !
– Ah ?
– Je vais te raconter des trucs, mais si tu as envie de me caresser, ça ne me dérange pas !
– Alors viens plus près de moi !
– Tu vas me caresser où ça ?
– Partout !
– Il faudrait que je me déshabille, alors ?
-Ben oui ce serait plus pratique, allez on se met à poil toutes les deux !

Dyane était loin de penser que ce serait si facile.

– T’aimes aller avec les femmes ? Demanda-t-elle à Surya.
– Les hommes, les femmes, j’ai les idées larges.
– Je vois.. Dis donc quelle belle poitrine !
– Il y avait longtemps qu’on ne me l’avait pas dit. La tienne n’est pas mal non plus.

Attirée par cette paire de seins comme un aimant, Dyane ne peut s’empêcher de les caresser et d’en éprouver la douceur.

Inexorablement les doigts s’approchent des tétons et les pincent délicatement. Surya se pâme mais ne lui rend pas la réciproque.

Qu’importe ! se dit Dyane qui remplace ses doigts par sa langue venant mordiller ces fruits offerts tandis que sa main descend vers la chatte de Surya qui déjà commence à mouiller.

Stoffer512Et puis de façon complétement inattendue, Surya colle sa bouche sur celle de sa partenaire. Et c’est le baiser profond, baveux et interminable.

Surya restée passive jusqu’ici se déchaine, prend les seins de Dyane pour cible et les tortille en tous sens.

– Je ne te fais pas mal ?
– Non, continue, c’est bon !

Les deux femmes se livrent ainsi à un petit jeu de pince-tétons pendant plusieurs minutes avant que leurs mains se décident d’aller voir ailleurs…

Ailleurs c’est plus bas, bien sûr, les doigts pénètrent les chattes humides avec un bruit de floc-floc.

Et Surya, se révélant trop coquine, retire un moment ses doigts imbibés pour les lécher avec gourmandise… puis elle redescend mais cette fois c’est le trou du cul de Dyane qu’elle prend pour cible. Elle entre un doigt, puis un deuxième, puis pilonne en cadence.

– Continue, j’adore ça ! lui précise Dyane
– Tu ne me pensais pas si salope n’est-ce pas ?
– Je ne vais pas m’en plaindre !

Quand les doigts ressortent du cul, ils ne sont pas vraiment très nets, Surya n’en a cure et lèche tout cela avec délectation.

Les deux femmes s’enlacent, se caressent, se pelotent, s’embrassent, se lèchent partout, les seins, la chatte, le trou du cul… et finissent par se retrouver chatte contre chatte en soixante-neuf.

Leur plaisir réciproque comment à monter quand soudain Surya s’interrompt.

– Un problème ? Demande Dyane, surprise.
– Non, mais j’ai trop envie de pisser…
– Ben vas-y !
– C’est où ?
– Dans le coin, là-bas ! Sinon tu peux me pisser dessus, j’aime bien !
– Hi, hi, t’aimes plein de choses alors ?
– Plein !
– On fait comment ?
– Je vais m’allonger par terre et tu t’accroupis un peu au-dessus de ma bouche ! Si ça déborde, on épongera tout à l’heure.

Les deux femmes se mettent dans la position suggéré. L’envie de Surya était aussi pressante qu’abondante et le jet doré dégringole avec force dans la bouche de Dyane qui se régale cette délicieuse urine.

– Tu voudrais la mienne ! Lui propose-t-elle en se relevant.
– Bien sûr !

On inverti les rôles, le pipi de Dyane n’était pas très abondant mais la qualité était bien là. Les deux filles ont ensuite repris leur soixante-neuf comme si cela était une évidence en se broutant la chatte jusqu’à leur jouissance.

Et après un moment de calme ponctué par d’innocentes caresses…

– Alors maintenant, tu me racontes ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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