Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:10

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 3 – Les Amazones de la presqu’ile par Nicolas Solovionni

StampFFH

Je loue donc une barge volante et m’en vais explorer la presqu’ile. La marée est basse ce qui veut dire que le type a déjà dû pénétrer dans l’épaisse jungle.

Et là, ça ne va pas être facile car la végétation est tellement dense que la survoler en barge ne servira à rien.

Je me pose à la lisière de la jungle et entre dans ce fouillis, je cherche désespérément des traces de son passage, je n’en vois pas ! Il est donc entré soit plus vers la gauche, soit plus vers la droite… Je ne suis pas sortie de l’auberge. Je ne vois toujours rien, il reste encore une entrée… Et si je ne trouve rien, je vais laisser tomber. Mon plan devait être mauvais à la base…

J’avance et aperçois des plantes piétinées. Quelqu’un est donc passé par là. Mais un moment je ne sais plus trop où j’en suis, il y a à la fois des traces de passages à gauche, à droite et devant. C’est quoi ce cirque ?

Et alors que je me perds en conjectures, une flèche siffle au-dessus de ma tête et va se loger dans le tronc d’un arbre bizarroïde.

Une flèche ? C’est quoi ce délire ? Serais-je tombé dans une faille spatio-temporelle qui m’aurait téléporté sur Terre à l’époque de la conquête de l’Ouest. Trêve de plaisanterie, je n’ai aucune envie de me faire percer et prenant mon courage à deux mains, je rebrousse chemin…

Et voici que devant mon nez une autre flèche vient se loger dans un autre tronc.

J’ai franchement la trouille, mais je me fais quand même la réflexion que ces flèches qui se sont logées à plus de deux mètres du sol, n’étaient pas destinés à me tuer.

Et soudain les voilà devant moi…

Stoffer603Deux nanas, à moitié à poil, des bouts de chiffons (sortant d’où ?) autour du pubis, et équipées d’arcs rudimentaires et de carquois de fortune

Donc je m’étais trompé, ce n’est pas dans l’ambiance de la conquête de l’Ouest que j’ai été téléporté mais en Amazonie, à moins que ce soit des Amazones de la Grèce antique.

– Jette ton arme ! M’ordonne la fille.

Moment d’hésitation, je pourrais leur retourner ma trouille en les menaçant de mon pistolet laser. Mais je m’aperçois que les deux filles sont maintenant cinq. Le rapport de force n’étant pas vraiment en ma faveur, j’obtempère et pose tout doucement mon arme au sol.

– T’es qui toi ? Qu’elles me demandent.
– Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau.
– Et que viens faire un capitaine de vaisseau dans cette jungle ? T’as fait des conneries ?
– Non, je cherche un type louche… vous ne l’auriez pas vu, par hasard…
– Un type comment ?
Je vais vous montrer sa photo ! Répondis-je en sortant mon spacephone.

Je suis quand même stupéfié que ces sauvageonnes ne soit même pas étonnées de découvrir un spacephone et une photo… Et puis qui leur a appris à parler notre langue ?

– Et tu le cherches pourquoi ?
– C’est un tueur, je veux l’attraper.
– T’es flic alors ! Je croyais que t’étais capitaine de vaisseau.
– Ce n’est pas incompatible ! (je n’ai aucune envie de rentrer dans les détails). Donc vous ne l’avez pas vu ?
– Si !
– Il est parti où ?
– On a fait dégringoler son corps dans le grand ravin un peu plus loin.
– Il est mort alors ! Répondis-je avant de me rendre compte de l’idiotie de ma réplique.
– Ben oui il est mort, on l’aurait bien bouffé, mais c’est de la vieille carne…

Brrr ! Elles seraient cannibales ?

– Et je peux vous demander pourquoi il est mort ?
– Tu vas nous suivre jusqu’à notre camp, et là Zorah t’expliquera…
– Vous n’allez pas me bouffer, j’espère ?
– Si t’es gentil avec nous, il ne t’arrivera rien.

Leur campement n’était pas bien loin, une baraque mal foutue avec des troncs d’arbres disposés en rondins et des énormes feuilles séchées en guise de toit pour se garder des pluies.

A l’intérieur assise en tailleur à même le sol; une autre amazone manifestement plus âgée et à ses côtés une jolie blonde, sans doute la plus belle du lot. Donc si j’ai bien compté ces dames sont sept.

L’une des amazones chuchote je ne sais quoi à l’oreille de Zorah qui ensuite m’interpelle.

– Le type que tu cherches est mort ! Il nous a demandé de l’accompagner au camp principal, nous avons refusé, on aurait pu négocier et le mettre juste sur le chemin, mais il est devenu agressif et il a giflé Vidia. Tout le monde lui est alors tombé dessus… et il en est mort.
– Donc je n’ai plus rien à faire ici, j’espère que vous allez me laissez partir…
– Ben oui, on n’est pas méchantes…
– Je n’ose pas vous demander de m’accompagner jusqu’à la sortie de cette jungle…
– Si, on pourra, mais avant tu vas nous satisfaire…
– Pardon ?
– Pas toutes, certaines sont lesbiennes et ne seront pas intéressées, mais moi et ma fille… et puis Sheila et Antinéa…
– Si je comprends bien vous voudriez que je vous baise ?
– Oui, et on va commencer tout de suite, je suis très excitée tout d’un coup. Les filles que ça intéresse, restez là, les autres faites ce que vous voulez.
– Je peux vous demander comment vous avez atterri ici ?
– Oui mais après, pour l’instant mets-toi à poil !

Je vais donc être le sex-toy de ces dames, c’est toujours mieux que de finir dans une marmite.. Mais va falloir que j’assume ! J’aime le sexe mais je ne suis pas Super-queutard !

On me demande de me déshabiller. Normal, c’est la moindre des choses !

On me fait m’allonger sur une paillasse improvisée et c’est alors un festival de caresses. J’ai dix mains qui s’occupent de moi, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Vidia et Antinéa.

Ça tombe bien j’aime parfois être complétement passif dans ce genre de situation…

Mais c’est que ce sont des expertes ! Ces mains vont partout, m’effleurant la bite, me titillant légèrement les tétons

Kali passe sa main en dessous de mes testicules, caresse le périnée et allonge son doigt jusque sur ma rosette.. Elle a l’intention de me doigter le cul, ça tombe bien j’adore ça !

Et en même temps Antinéa me gratifie d’un frotti-frotta avec la pointe de ses seins ! Zorah er Sheila se relaient pour me rouler une gamelle. Je vous dit je suis au paradis.

Après toutes ces mises en bouche, Zorah me prévient.

– Tu as vu comme on est gentille avec toi ! Mais ne te trompes pas, ce n’est pas ta fête, c’est la nôtre ! Tu vas toutes nous baiser. Alors débrouille-toi pour tenir la distance et ne t’inquiètes pas, on n’est pas pressées.

Tu parles d’un challenge… et si je n’y arrive pas, elles vont me faire quoi ?

Par qui commencer ? Mais je n’ai pas à me poser de question ! Antinéa me tire par la main et se met en levrette. J’ignore quel trou choisir et comme elle ne me le dit pas je fais dans le classique et lui pénètre la chatte.

Et pendant que je la bourre, un spectacle insolite se déroulait devant mes yeux, celui de Zorah et de sa fille Kali, se tripotant mutuellement la chatte tout en s’embrassant baveusement ! Les coquines !

Pour l’instant Antinéa ne réagit pas trop à mes assauts, voilà qui m’embête un peu car si j’accélère, je crains de jouir prématurément. Alors j’attends, Zorah ne m’a-t-elle pas indiqué qu’elles n’étaient pas pressées :

Finalement je l’ai fait jouir, et plutôt bruyamment. Je me retire et demande à Kali de s’approcher. Pourquoi Kali ? Parce que me disais-je, sa chatte étant déjà bien excitée par les doigts de sa mère, l’exercice devrait être facile.

Et après que Kali eut pris son pied, je sollicitait sa maman, laquelle me précisa qu’elle préférait que la pénétration soit anale ! Pas de problème…

Sauf que la nana a une façon de gigoter du fion qui fait monter mon plaisir et que je ne sais pas trop comment me contrôler. Et ce qui ne devait pas arriver arriva… J’éjaculais dans le cul de Maman Zorah. Je me fit violence pour continuer mais quand ça ne peut pas, ça ne peut pas.

J’ai donc raté Zorah, mais aussi Sheila et Vidia. J’explique à ces dames qu’après un petit laps de temps je serais prêt à redémarrer.

Elles ne sont pas en colère, ça les fait rigoler.

– Allonge-toi ! Me dit Zorah, je vais te pisser dessus, ça va te faire du bien.

Je n’ai rien contre et j’ouvre la bouche. Son pipi est très gouteux… mais ce que je n’avais pas prévu c’est que son envie de pisser devait être communicative, car les quatre autres sont venues à leur tour m’inonder de leur urine.

Trop c’est trop, je suis évidemment incapable d’avaler tout ça…

Quelques minutes passent puis Zorah vient me narguer en me présentant son fessier, globes écartés, rosette brune bien en évidence…

Le résultat ne se fait pas attendre, je bande (et pas qu’un peu) et j’encule de nouveau la belle mature et cette fois je la fais jouir.

Reste Sheila et Vidia. Cette dernière me fait signe de rester à ma place et de m’allonger par terre. Elle vient alors me chevaucher dans la position du Duc d’Aumale. C’est donc elle qui fait tout le boulot. J’adore cette position, c’est reposant ! Et quand elle eut pris son pied elle laissa sa place à Sheila.

Je suis épuisé et j’ai la bite douloureuse, on m’offre à boire, de la flotte mélangé à du jus de je ne sais pas quoi, ça fait du bien.

– Alors, vous me racontez comment vous avez fait pour vous retrouver ici ?
– C’est tout simple ! M’explique Zorah, On travaillait dans un bordel de la ville, tout se passait à peu près bien, et puis il y eu un changement de propriétaire, un malade qui nous infligeait des châtiments corporels pour un oui ou pour un non. Au bout d’une semaine on en a eu marre, on s’est réuni toutes les sept, on lui est tombé dessus, en fait on l’a lynché. Après on a eu la trouille que la mafia nous cherche des noises. Alors on a pris les devants et on est venu ici.
– Mais comment…
– Antinéa était bien avec un client qui possédait une barge volante, on a fait deux voyages et on lui a renvoyé en automatique.
– Mais pourquoi ici ?
– Parce que on a avait aucune envie de rejoindre le camp principal. D’après les rumeurs il y a très peu de femmes dans la presqu’ile. Alors vous vous rendez compte, sept femmes pas trop mal foutues parmi tous ces mecs… non merci !
– Et vous êtes là depuis quand ?
– On a un peu perdu la notion du temps, mais ça doit bien faire une année en équivalence terrienne.
– Et pour la nourriture ?
– Il y a pas mal de gros lézards, il sont inoffensifs et stupides mais excellents à bouffer. Sinon il y a des baies et une petite source.
– Mais vous n’allez pas rester là cent sept ans…
– Non, on va attendre que ça se tasse, peut-être que quelqu’un nous aidera ? Et d’ailleurs, pourquoi pas toi ?

Je ne m’attendais pas à cette réaction et ne sachant trop quoi répondre je leur répondis simplement.

– Pourquoi pas ? Il faudrait que j’y réfléchisse, que je trouve un moyen…
– C’est une promesse ?
– Oui bien sûr !

Que n’avais-je pas dit là ?

– Et comment pourrait-on être certaines que tu tiendras ta promesse ? Reprend Zorah,

Oh que je n’aime pas ça…

– Il faut me faire confiance !
– La confiance c’est comme les bites, ça va, ça vient…
– Je ne sais pas quoi vous dire d’autre…
– Moi je sais, on va te raccompagner vers la sortie, mais tu ne vas pas partir seul… Sheila et Antinéa, laquelle de vous deux serait volontaire pour accompagner le capitaine ?

Elles sont toutes les deux volontaires. Alors on tire à la courte-paille… et c’est Sheila qui s’y colle.

Putain, mais qu’est-ce que je vais en faire… et elle est là en face de moi toute contente en train de ma narguer avec ses seins comme des obus et son sourire carnassier.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:07

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 2 – Andréa et Lisa, puis Schwartzman par Nicolas Solovionni
StampFFH

– Et maintenant que je t’ai rendu service, tu vas me récompenser comment ? Me demande la mère Dalhia
– Je suppose que tu aimerais que je profite des avantages de la maison ?
– On peut dire ça comme ça ! Une petite doublette par exemple ? Et ensuite tu signeras le livre d’or.

Comment refuser ?

– Monte au premier, et entre dans la chambre 12, les filles vont te rejoindre.

– Je suis Andréa ! Se présente une grande brune aux formes sculpturales tout de noir vêtue et ma copine c’est Linda (une petite rousse frisée comme un mouton avec un grand nez) Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Du classique ou des spécialités ?
– J’aime beaucoup de choses…
– Les petites misères, t’aimes ça ?
– Des petites alors !
– Alors on y va, Mets-toi à poil, on va te gâter !

Je m’exécute puis elles me demandent de me coucher par terre. C’est du carrelage, ce n’est pas très agréable ! Ils ne peuvent pas poser de la moquette dans ce bordel, ou acheter des tapis, non ?

Andréa m’enjambe… Ah, ça y est j’ai compris ce qu’elle veut faire. Elle écarte ses grandes lèvres et m’envoie sa pisse sur la bite, puis elle remonte vers mon visage. J’ouvre ma bouche en signe d’assentiment et reçoit son joli jet doré dans ma bouche. Il est ma foi, savoureux et je m’en lèche les babines, cochon que je suis.

Je vais pour me relever, mais Linda m’indique de n’en rien faire, venant à son tour m’offrir son bon pipi..

Et pendant ce temps, la belle Andréa s’est harnaché d’un gode ceinture qu’elle a la bonne idée d’enduire de gel intime.

Pas besoin qu’on me fasse un dessin, je me mets spontanément en levrette, j’écarte mes fesses et j’attends.

– Regarde-moi ce pédé, il attend qu’on l’encule ! Se gausse Andréa. Ben non, ça ne va pas se passer comme ça, ça te ferait trop plaisir… Mais garde la position, on va te rougir un peu le cul.

C’est Linda qui s’en charge, elle s’est munie d’un martinet multi-lanières à manche court et elle me tape les fesses en cadence. Je supporte en me mordant les lèvres. Je tente de sublimer la douleur mais ça devient difficile. Heureusement elle finit pas s’arrêter, j’ai le cul en vrac, j’espère que je vais pouvoir m’assoir..

Alors elle m’encule ou elle m’encule pas ?

Hé non, il me faudra attendre, elle me fait me relever et c’est Andréa qui vient me poser des pinces sur mes tétons. Je me laisse faire, mais horreur voilà d’autres pinces, celles-là sont pour mes couilles. Mes pauvres couilles !

Je lui demande de les retirer, je ne suis pas maso à ce point, ou alors ses pinces sont trop fortes.

– Tu préfères qu’on baise ? Me demande la grande brune.
– Oui, mais je veux bien un peu de ton gode ceinture.
– D’accord ! Suce-le d’abord !

Stoffer602Je sais bien que ça fait partie du rituel, mais l’intérêt de sucer un machin en latex n’a rien d’évident. Je me prête néanmoins au jeu en fermant les yeux et en m’imaginant sucer un beau travelo… et ça fonctionne puisque je bande comme un sapeur.

Elle me fait ensuite me retourner… Et hop, j’ai son machin dans le cul. Et faut voir comment elle m’encule, la nana ! Elle doit être championne de la pénétration anale. Des ondes de plaisir envahissent mon trou de balle, je suis aux anges.

Et pendant qu’Andréa m’encule, Linda vient se glisser devant moi et me fourre ma bite dans sa bouche. Autant dire que je suis comblé.

Andréa a beau être endurante, il faut bien qu’à un moment elle s’arrête, elle sort donc de mon cul le laissant béant et Linda me lâche la bite.

Cette dernière avise un morceau de carton, en découpe deux languettes qu’elle me tend.

– On fait courte paille, tu as le droit d’enculer celle qui va tirer la plus courte !

J’adore ces jeux idiots !

C’est Linda qui tire la plus courte. J’aurais préféré m’occuper d’Andréa, mais je ne vais quand même pas faire la fine bouche.

J’aime bien ses petites fesses à Linda, elles sont douces et accueillantes, je lui lèche le fion (j’adore !) puis je m’introduit.

Tagaga, tagada… Après quelques va-et-vient, je deviens incapable de me retenir et je décharge dans son cul et me retire.

– Merci les filles, c’était bien !
– Attends, on assure aussi le service après-vente ! Me dit alors Linda en venant avec sa bouche me nettoyer la bite du sperme agglutiné et de quelques traces douteuses…

En quittant le café des lauriers, je découvrais un message de la capitaine de police Annabelle Jiker qui m’informait de la découverte d’une troisième victime, un dénommé Wang lui aussi membre de l’équipage du Tamanoir.

Voilà qui commence à bien faire.

Sans plan précis, je rends visite à un petit futé qui se fait à ma demande un malin plaisir de craquer le spacephone de Schwartzman. Il n’y a pas grand-chose d’intéressant dedans hormis le passe de son hôtel, ça peut toujours servir.

Je fais quoi ? Je n’ai pas de nouvelles des autres gus que j’avais listé… Alors retourner voir ce Schwartzman et l’avoir au forcing. Ça ne coute rien d’essayer.

Lui aussi est descendu à l’hôtel du Cygne, l’hôtel racheté par Dilos, mon ingénieur de bord (voir plus avant) Je m’y rends et demande à voir ce dernier.

– Salut ! Tu fais quoi ? Tu mènes une enquête ? M’interpelle Dilos
– Plus ou moins, t’as un Schwartzman chez toi.
– Ah oui, c’est le mec qui a perdu son spacephone… Tu veux le voir ?
– Oui, mais ne l’appelle pas, je vais monter j’ai son numéro de chambre.
– Ah ?
– Ben oui, c’est moi qui ai son spacephone avec le passe !
– O.K. Vas-y, j’espère que tu ne vas pas trouver un cadavre comme l’autre fois !
– Touchons du bois !

Je monte, repère la chambre et j’active le passe. Le mec entendant du bruit demande ?

– C’est quoi ?
– Service d’étage !

La tronche qu’il me fait en me voyant débouler.

– Vous ! Mais qui vous a autorisé à rentrer dans ma chambre ?
– Asseyez-vous, faut qu’on cause !

Il n’en fait rien et va pour activer l’interphone. Je l’en empêche et le pousse sans trop de ménagement sur le plumard !

– Bon si t’es sage dans 10 minutes je serais parti, alors tu arrêtes tes conneries et tu m’écoutes.
– Mais pourquoi faire, je n’ai rien à vous dire ! Foutez-moi la paix !
– Trois membres de l’équipage du Tamanoir ont été assassiné et s’ils ont été assassinés ici sur Vargala-station avec tous les risques que ça comporte, c’est qu’il devait y avoir une bonne raison…
– C’est pas mes oignons !
– Tu travaillais sous les ordres du subrécargue à bord du Tamanoir, c’est bien ça.

Pas de réponse.

– Eh ! Je te parles !

Manifestement le type a choisi le mutisme comme stratégie défensive. Ça va pas être de la tarte !

– Ecoute, j’avais prévu 10 minutes, mais si tu fais ta tête de lard, je vais changer la règle et je ne partirais pas d’ici avant d’avoir mes réponses.

Toujours pas un mot ! J’ai comme une envie de lui foutre un pain, mais ce serait contre-productif… et puis jusqu’à preuve du contraire ce mec n’a rien fait de mal, c’est juste un trouillard !

– Ce que je veux savoir c’est ce que le vaisseau livrait et à qui ? C’est quand même pas compliqué. Je ne te demande pas les coordonnées de la planète, je suppose que tu ne les connais pas et je les trouverais autrement, il me suffira de retrouver le navigateur.

Pas de réponse mais un rictus que je ne sais comment interpréter.

– Alors t’accouche ?

Ça devient pénible, je laisse passer cinq minutes et le voilà qui se lève…

– Où tu vas ?
– Pisser !
– Non !

Et je sors mon pistolet à laser.

– Des menaces physiques, maintenant, mais vous êtes ignoble !

Miracle, il parle !.

– Réponds à mes questions et ensuite je m’en vais et tu pourras aller pisser !

Silence radio. Il est mal, il se dandine, à tous les coups il va pisser dans son pantalon. Il continue son mutisme puis se rendant compte que ça ne sert à rien, il éclate :

– Vous me faites chier ! Vous êtes en train de me considérer comme un coupable ! Un coupable de quoi ? Je n’ai rien fait de mal, je ne suis qu’un navigant qui fait son travail. Et je n’ai aucune raison de répondre aux questions d’un type qui n’a aucun droit de m’interroger.
– Je ne m’adresse pas à toi comme coupable, mais comme témoin.
– Eh bien le témoin, il n’a rien à vous dire et il vous emmerde !
– Elles sont compliquées, mes questions ?

Il devient rouge comme un coquelicot et cette fois ça y est, il se pisse dessus.

– Vous vous rendez compte que vous mettez ma vie en danger ! Hurle-t-il.
– Comment ça ?
– Admettons que je vous dise des trucs, j’ai bien dit « admettons ». Vous les utilisez pour faire je ne sais quoi. Fatalement les gens qui ont tué Riddick et Salim vont vous tomber dessus, on va vous torturer, et sous la torture vous allez lâcher que c’est Schwartzman qui vous a tuyauté, et ça va me retomber sur la gueule.

Je m’abstiens de répondre et passe à autre chose

– Le Tamanoir va repartir ?
– Dans 10 jours à moins que ce soit retardé.
– Et toi, tu vas repartir ?
– Surement pas !
– Ah ? Et tu vas faire quoi ?
– Je trouverais bien un vaisseau qui voudra de moi !
– Peut-être pas !
– Pardon ?
– En tant que capitaine, j’ai accès a pas mal de fichiers, y compris celui des postulants navigants. Je peux donc ajouter sur ta fiche un truc du genre « élément indiscipliné et peu fiable »… et personne ne voudra de toi !
– C’est dégueulasse !
– Prends le risque de répondre à mes questions et je te foutrais la paix.
– Non !
– Bon, je ne peux pas t’obliger, je me casse. Au fait tu sais comment je peux trouver le navigateur de Tamanoir ?
– Mais enfin, vous dites n’importe quoi !
– Hein ?
– Vous m’annoncez sa mort et après vous me demandez comme le trouver !
– C’était Riddick, le navigateur ?
– Non, c’était Salim !

Et patatras tout s’écroule, entre Schwartzman qui ne veut rien me dire et Salim qui aurait sans doute été le seul à m’indiquer la destination du « Tamanoir », je suis servi… Il me reste quoi ? Je peux me débrouiller pour avoir accès aux livres de bord de leur vaisseau. Je ne me fais aucune illusion sur le livre courant qui doit être un ramassis de mensonges, quand à l’autre, la « Boite Noire », certains savent très bien la trafiquer.

Donc je laisse tomber. Mais je vais quand même rendre visite à la capitaine Jiker.

– T’as du nouveau ? Lui demandais-je
– Oui, apparemment la dernière victime du tueur s’est défendu, ce qui fait qu’on a de l’ADN,
– Le tueur n’a même pas pensé à se protéger ?
– Si, on le voit sur une vidéo avec un masque et des gants… Mais quand tu te bats, tu baves et tu postillonnes, d’où l’ADN sur le corps de la victime. Donc l’agresseur s’appelle Jando Sambariz. Tiens voilà sa tronche, ça te dit quelque chose ?
– Non, il a l’air plutôt insignifiant !
– Pourquoi voudrait-tu qu’il ait une tête spéciale ?
– La mafia est au courant ?
– Non, mais je peux m’arranger pour qu’elle le soit.
– N’en fait surtout rien ! Et si tu le choppes, préviens-moi, j’aimerais bien lui causer.
– J’ai donné l’ordre au cosmodrome de l’appréhender s’il essayait de quitter la planète.

Et pour le retrouver, la Capitaine Jiker n’a d’autres moyens que d’activer son réseau d’indics. Opération hasardeuse puisque ses indics peuvent aussi bien être également des indics doubles au service de la mafia.

Le lendemain, un message apparaissait sur tous les spacephones (enfin presque tous) de la ville.

« Les compagnons vigilants ont identifié et capturé l’assassin de trois membres de l’équipage du Tamanoir. Nous lui avons coupé trois doigts et l’avons éjecté de la ville en direction de la presqu’ile des exclus. Vu ses antécédents son espérance de vie devrait y être fort courte. Sur Vargala, on ne plaisante pas avec le crime ! »

La mafia l’a donc retrouvé, mais ne l’a pas tué, fidèle en cela sa politique visant à empêcher les vendettas dans l’enceinte de la cité.

Je peux donc éventuellement le retrouver, et je ne vais pas me compliquer la vie en passant par le sas permettant d’y accéder (voir Vargala Station 8 – La presqu’île des exclus du même auteur). Non je vais faire plus simple…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:04

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 1 – Meurtre à l’Hôtel du Cygne par Nicolas Solovionni
StampFFH

Bonjour tout le monde, moi c’est Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau (spatial, bien sûr !). Une expédition juteuse sur Orza (voir ce chapitre), m’a permis de faire fortune et d’acheter « Le Diable rose » un cabaret fréquenté par des transsexuelles, tandis que ma seconde de vaisseau s’offrait un institut de massage haut de gamme baptisé « Les doigts d’or ».

Il pleut aujourd’hui sur Vargala. Des trombes d’eau ! Ça me rend de mauvais poil. Nadget la ravissante blackette qui a partagé maintes et maintes aventures avec moi cohabite actuellement dans mon bel appartement.

Nadget occupe les fonctions de technicienne de bord à bord de mon vaisseau. Avec ce qu’on a gagné sur Orza elle s’est acheté un restaurant assez chic qu’elle a placé en gérance ainsi qu’une piscine privée où elle passe beaucoup de temps.

Elle est gentille et elle essaie de me distraire en se baladant à poil dans toutes les pièces et en tortillant du popotin (qui est fort joli).

Mais aujourd’hui, ça ne marche pas, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

Je décide d’écouter un peu de musique… de la musique terrienne du 19ème siècle… Ils savaient faire de la bonne musique en ces temps-là.

– C’est de la musique de film ? Me demande-t-elle.
– Non, c’est Beethoven !
– C’est joli !
– Ben oui !

Et voici que mon spacephone se met à sonner, C’est Dyane, ma seconde, je décroche.

– Bonjour ! Tu as vu, il pleut ! M’annonce-t-elle fièrement.
– Tu parles d’un scoop !
– Non, mais j’en ai un pas mal, de scoop, passe donc à l’institut, je te raconterais.
– Par téléphone, c’est pas possible ?
– Allons, allons !
– Bon, j’arrive !

J’en informe Nadget. Elle n’est pas jalouse mais elle est jalouse quand même.

– Qu’est-ce qu’elle te veut cette pétasse ?
– Je vous croyait copines ?
– C’est ma copine, mais n’empêche que c’est une pétasse !
– Elle a un scoop ! Je ne sais pas de quoi il s’agit, je peux toujours aller voir, ça me fera une balade !
– Sous la flotte !
– J’ai un parapluie !

La technologie a évidemment fortement évoluée ces siècles derniers et cela dans tous les domaines, mais un parapluie reste toujours un parapluie !

J’arrive à l’institut, l’accueil est occupé par une brune piquante aux seins débordant (volontairement je suppose) du décolleté.

– Ah ! Bonjour Capitaine ! Je suppose que vous désirez rencontrer madame Dyane ?
– Exactement, ma chère !
– Je crois bien qu’elle est occupée. Attendez que je vérifie…

Elle active son ordinateur, et de ma place, je ne distingue pas ce qui se passe à l’écran.

– Oh ! S’écrie-t-elle.
– Un problème ?
– Pas du tout, actuellement Madame Dyane est en partouze. Elle se fait enculer par une grosse bite !
– Epargnez-moi les détails !.
– Pourquoi, ça ne vous excite pas ?
– Si, mais bon… je peux repasser à quelle heure ?
– Madame Dyane m’a donné instruction au cas où elle serait occupée de vous offrir un massage royal à quatre mains. Si vous vous désirez en profiter, je vous suggère de vous diriger vers la cabine 7…

Puisque c’est offert…

– Je m’appelle Gudrun ! Me dit une jolie blonde aux cheveux mi court et au nez en trompette, et ma copine c’est Mirabelle (une brune au sourire ravageur) Mets-toi à poil sur la couchette, on va bien s’occuper de toi !
– Sur le ventre ? Sur le dos ? Demandais-je après m’être déshabillé.
– Sur le ventre pour commencer !

Et les deux filoutes se débarrassent de leur kimono à fleurs dévoilant leurs jolies poitrines, plutôt modestes avec les bouts très roses pour Gudrun, assez conséquente pour Mirabelle.

Cette dernière se place devant moi de telle façon que je puisse avoir accès à ses gros tétons. Pensez-bien que je m’en régale et pendant ce temps Gudrun après m’avoir versé de l’huile parfumée, me malaxe les fesses avec une certaine énergie. Je bande !

Gudrun m’écarte ostensiblement les globes fessiers. Pas difficile de deviner ce qu’elle compte faire ! Et fatalement son doigt m’entre dans le trou de balle et s’agite en cadence. Qu’est-ce que c’est bon !

– T’aimes ça que je t’encule avec mon doigt ?
– J’adore !
– Je vais te foutre un gode ce sera mieux que mon doigt !
– Si tu veux !

Le gode est équipé d’un petit vibrateur intégré, je ne vous raconte pas l’effet que cela me procure !

– Je parie que tu adores te faire enculer ! Me nargue-t-elle.

Je ne réponds pas, ça ne la regarde pas et de toute façon, elle n’en a probablement rien à foutre.

Après plusieurs minutes de plaisir anal et de léchage de tétons, les filles me demandent de me retourner.

Attention, ça va être la fête à ma bite !

Ah, non pas tout de suite, Gudrun se recule et Mirabelle me grimpe dessus en se débrouillant pour ramper sur mon corps de telle façon que ses tétons me touchent la peau. Faudrait vraiment être un pape en retraite pour ne pas bander devant une telle figure de style. Elle termine cette petite fantaisie en me gratifiant d’un patin magistral, puis de façon tout à fait inattendue elle me pince mes propres tétons. D’abord doucement puis remarquant que je réagis bien à cette petite misère, elle augmente sa pression… Qu’est-ce que c’est bon !

En même temps, Gudrun me caresse les couilles, puis entreprend de me branler la bite de l’extrémité de ses doigts.

Mais qu’est-ce qu’elle attend pour me sucer ? Est-ce au moins à son programme ?

Ah ! Ça y est ! Juste un petit coup de langue sur le gland pour commencer avant de me balayer la verge de haut en bas puis de bas en haut.

Stoffer601
Et voilà Mirabelle qui la rejoint… Une pipe à deux bouches ! N’est-ce point merveilleux ? Les voilà qui s’amusent comme des petites folles, Mirabelle met tout dans sa bouche, se livre à quelques va-et-vient puis repasse ma bite à sa collègue et ainsi de suite.

A ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Et elles s’en aperçoivent (ben oui ce sont des pros !)

Court moment calme pendant lequel elles se contentent de me caresser sensuellement, puis Gudrun se retourne et m’exhibe son bel œillet brun déjà entrouvert.

– Encule-moi, capitaine !

Voilà une proposition qui ne se refuse pas ! Mais avant d’introduire ma bite dans ce délicieux fourreau, je ne peux résister au plaisir de le lui lécher, j’adore ça !

Mais ma bite n’en peut plus, il me faut conclure, j’encule la masseuse d’un coup sec, quelques allers et retours auront suffi, je décharge en soufflant comme un bœuf. Je décule, je suis bien et Gudrun vient me nettoyer ma bite maculée de sperme.

– Le pourboire n’est pas obligatoire, mais on aime bien quand même ! Me chuchote Mirabelle.

C’est ce qui s’appelle ne pas perdre le nord !

J’ai pris une douche rapide et me suis rhabillé, avant que l’on m’accompagne jusqu’au bureau privé de Dyane.

– Alors, c’était bien ?
– Il faudrait être difficile…
– N’est-ce pas ? Mais regarde un peu ça !

Elle me tend son spacephone qui affiche une photo d’un mec qu’une cinquantaine d’années crasseux et en haillons, la barbe et les cheveux hirsutes, en train de cueillir des plantes que je n’identifie pas.

– C’est quoi que tu me montres ?
– Le mec c’est Martin Bonifacio…
– Jamais entendu parler !
– Un magnat de la finance. Disparu suite au piratage du vaisseau de luxe « La licorne ».
– Oui, et alors ?
– Ça veut dire qu’un certain nombre de passagers mâles ont été réduit en esclavage après le piratage. Pour les femmes, je suppose que les circuits sont différents.
– Mais où est-ce que tu veux en venir ?
– On pourrait les libérer, non ?
– N’importe quoi ! Tu me vois risquer ma vie pour sauver des milliardaires. Ces gars-là ont eu une vie chanceuse et puis un jour le vent a tourné, tu ne voudrais quand même pas que je les plaigne ?
– D’abord il n’y a pas que des milliardaires, il doit y avoir des membres de l’équipage, du personnel de maintenance, des employés de la restauration…
– Mais tu la sors d’où cette information ?
– Un client, il m’a juste transféré la photo et l’identité du type qui fait de la cueillette, sinon je ne l’aurais pas reconnu. Il m’a simplement dit que si je connaissais quelqu’un qui pourrait lui acheter des informations complémentaires…
– Donc au lieu d’aller raconter aux flics ce qu’il a vu, il préfère moyenner l’information. Pas trop gêné le mec !
– Il tente sa chance, c’est son droit !
– Admettons ! Je suppose qu’il t’a laissé ses cordonnées ?
– Oui ! Zubin Riddick, hôtel du cygne.
– C’est l’hôtel que Dilos a racheté ?
– Oui !

Dilos était mon ingénieur de bord sur mon vaisseau « Le Rosamunda », quand on s’est partagé le magot suite à notre expédition sur Orza, il a acheté ce bel hôtel avec sa part .

Je décide donc de rencontrer ce type, non pas que j’ai l’intention de me lancer dans je ne sais quelle expédition hasardeuse, mais j’aime bien savoir parfois…

– Alors Dilos; les affaires marchent bien ?
– Faut pas se plaindre.
– Est-ce que t’as un certain Zubin Riddick chez toi ?
– Décidemment il est très demandé, tu veux le voir ?
– Oui !
– Je l’appelle.

Il l’appelle, mais ça ne répond pas…

– Il a dû couper l’interphone, et je n’ai pas son numéro de spacephone ! Tu veux lui laisser un message ?
– Non mais j’ai comme un mauvais présentiment, on ne peut pas aller faire un tour dans sa chambre ?
– Attends ! Mina s’il vous plait, trouvez un prétexte pour entrer dans la chambre 14 et prévenez-nous s’il a quelque chose d’anormal.

Et trois minutes plus tard !

– Monsieur Dilos, le monsieur du 14 ben…
– Ben quoi ?
– On dirait bien qu’il ne respire plus.

On monte et nous ne pouvons que confirmer que le bonhomme est passé de vie à trépas, probablement par étranglement.

On fouille un peu, évidemment on ne trouve rien d’intéressant d’autant que son spacephone a disparu.

On appelle la police, c’est la capitaine Annabelle Jiker, une grande rousse au physique impressionnant, (voir les épisodes précédents) qui se déplace en personne

Très vite l’identité de la victime est confirmée, mais l’individu était jusqu’à présent inconnu des services de police locaux.

– Tu voulais le voir à quel sujet ? Me demande la fliquette.

Vite un gros mensonge ;

– J’en sais rien, c’est lui qui a demandé à me rencontrer.
– Ah ? Je contacte l’astroport, je voudrais savoir d’où il sort !

Jiker s’éloigne de quelques pas, puis revient.

– Bizarre ça, c’est le deuxième en trois jours !

Qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Il est descendu à bord du vaisseau « le Tamanoir », un autre membre du même équipage a été retrouvé mort avant hier. J’ai contacté le capitaine, mais pas facile de dialoguer avec ce mec d’autant que ses documents sont en règle.
– Tu pourrais me filer les coordonnées de ce capitaine ? Et aussi le nom de cette autre victime.
– Dans quoi tu vas encore aller te fourrer ?
– S’il te plaît Annabelle ?
– Bechima, hôtel des vagues. Mais je ne t’ai rien dit.
– Tu vas continuer à enquêter ?
– Pas facile, l’autre victime a été attaqué en pleine rue par un mec masqué… monsieur Dilos, montrez-moi la vidéo de l’accueil
– Voilà, c’est ce mec-là.

Jiker actionne son logiciel de reconnaissance faciale

– Que dalle ! Le mec avait un masque en latex. Je ne vais pas m’acharner. La mafia locale n’aime pas trop les meurtres en ville, je vais les laisser s’en occuper, ils ont d’autres moyens que moi…

Bon je fais quoi avec tout ça ?

Pour l’instant, je n’ai toujours aucune envie de m’occuper du fond de l’affaire, c’est-à-dire d’aller fouiner sur cette planète négrière pour laquelle de toute façon je ne possède pas les coordonnées.

D’un autre côté aller tuer un mec (et peut-être même deux) uniquement parce qu’il souhaitait dénoncer une situation de mise en esclavage, me révulse !

Les meurtres sont interdits de facto sur Vargala. Un petit aparté à propos de cette situation.

La mafia locale évite de tuer, du moins officiellement, depuis qu’un pacte de non-agression a été conclu entre les différents parrains du lieu, non par conviction pacifique mais par crainte de voir leurs effectifs fondent comme neige au soleil (voir pour plus de précisons sur ce point : Vargala station -3 – La-Maison parme). Par contre quand un meurtre est perpétré sur la planète, elle s’érige en main justicière et ne fait pas de cadeau !

Qu’est-ce que je pourrais bien faire pour me rendre utile ? Pas question de rencontrer ce capitaine Rutger Béchima qui doit inévitablement être impliqué d’une façon ou d’un autre dans l’affaire ! Alors essayer de sonder l’un des membres de son équipage, mais je ne les connais pas…

Mais en tant que capitaine de vaisseau, j’ai l’autorisation d’accéder à la composition de l’équipage via les fichiers de l’astroport, à l’aller comme au retour.

Alors allons-y, je choppe la fiche de Zubin Riddick qui effectuait son second voyage à bord du Tamanoir. OK, mais ce n’est pas ce que je cherchais, je mémorise les tronches des autres membres de l’équipage, j’en sélectionne quatre parmi ceux qui ont le moins d’ancienneté sur le vaisseau et n’ai plus qu’à activer mon (modeste) réseau d’indics occasionnels.

Ça ne loupe pas on me signale la présence d’un dénommé Schwartzman au café des Lauriers..

Je mémorise sa tronche et m’y rends donc ! C’est un semi-bordel comme il y en a des tonnes dans cette ville portuaire.

Un rapide tour d’horizon, je n’aperçois pas le mec en question…

Une gagneuse au décolleté impressionnant s’approche de moi

– Bonjour capitaine, on ne vous voit pas souvent ici !
– Que voulez-vous ! J’ai mes habitudes ailleurs.
– Les habitudes, c’est fait pour en changer, non ?
– Certes, mais en fait j’attends quelqu’un.
– Quel dommage, je vous aurai volontiers fait une pipe d’enfer. Je m’appelle Iris !
– Cela aurait été avec grand plaisir mais on ne peut pas tout faire à la fois… Ah justement le voilà qui descend… Si vous pouviez le prévenir que je l’invite à ma table.
– Mais bien sûr mon chéri !

Le type est surpris mais se pointe néanmoins devant ma table.

– Asseyez-vous, je suis le capitaine Stoffer, je veux juste vous dire deux mots. Je vous commande une bière ?

Il ne me connait pas, je suppose que Vargala station n’est pas son port d’attache. Aucune importance.

– Vous étiez à bord du Tamanoir, je ne me trompe pas ?
– Non, mais qu’est-ce que vous me voulez ?
– Zubin Riddick, ça vous dit quelque chose ?
– Un collègue. Il était à bord du Tamanoir avec moi.
– Il vient de se faire assassiner !
– Ici ?
– Dans son hôtel. Et Stal Salim ça vous parle aussi ?
– Vous n’allez pas me dire qu’il s’est fait tuer lui aussi ?
– Ben si !
– Je croyais que les crimes n’existait pas ici ?
– Que voulez-vous, il y a toujours des gens qui prennent des risques. Mais pour prendre un risque pareil, il faut sans doute une raison grave. Vous en pensez quoi ?
– Qu’est-ce que voulez que je vous dise ?
– Ce que vous en pensez ?
– Je n’en pense rien !
– Peut-être que quelqu’un a trouvé qu’ils étaient trop bavards… lui suggérais-je.
– Bon, vous n’êtes pas de la police à ce que je sache, alors merci de me foutre la paix. Répond Schwartzman en haussant le ton..

Et il se lève brusquement en renversant son verre de bière, puis va pour se diriger vers la sortie.

Et là, il est bloqué par une sculpturale brune entre deux âges, il s’agit de Madame Dalhia, la patronne du lieu. une brune mature et potelée arborant un impressionnant décolleté.

– Dites donc jeune homme, vous n’êtes pas très aimable avec le capitaine Stoffer, il vous paie à boire et vous faites une esclandre ! Ce n’est pas dans les habitudes du lieu.
– Bon ça va, je m’excuse !

Un impressionnant videur est arrivé à la rescousse. Schwartzman est blême.

– Capitaine, si vous souhaitez l’interroger, on a un petit local discret au sous-sol !
– Non, laissez-le partir, il n’a tout simplement pas de couilles au cul.
– Alors remercie le capitaine de sa générosité.
– Excusez-moi, mais ce n’est pas de ma faute si je ne peux pas répondre à vos questions..
– Ce ne sont pas des remerciements, ça ? Insiste Madame Dahlia
– Merci, merci !
– C’est ça dégage !

Ma voilà bien avancé, et j’avoue ne pas comprendre le sens de l’intervention de la patronne.

– J’ai par mégarde entendu votre conversation, je voulais vous donner un coup de main. Cela aurait été un échange de bons procédés, en échange nous aurions eu l’honneur de vous avoir comme client VIP.

Evidemment vu sous cet angle…

Mais c’est qu’elle est curieuse la mère Dalhia avec ses gros nichons. Elle s’assoit devant moi.

– Un double crime ici ? La mafia ne va pas laisser passer ça ! Il en va de sa crédibilité.
– Pour l’une des victimes, je ne sais pas, mais l’autre a eu le tort de ne pas rester discret, ce vaisseau avait des choses à cacher…
– Quelles genre de choses ?
– Je ne sais pas trop. (il me faut rester prudent).
– Tiens, j’ai un cadeau pour toi.

Et elle me tend un spacephone.

– C’est celui du mec, je lui ai fait les poches pendant qu’on le bloquait.

Je regarde l’objet, évidemment il est sécurisé et je ne peux pas l’ouvrir. Pas grave il y a plein de hackers sur Vargala.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:21

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 18 – Meurtre au bordel suivi du Chien d’Hortense
zoo

C’est en se rhabillant que Gravier me tint à peu près ce langage.

– C’était pas mal tout ça, j’ai bien aimé, mais je voudrais vous parler d’autre chose. Pour être très franc, je serais intéressé par cet immeuble, avec quelques travaux je pourrais le valoriser et le revendre à bon prix.
– Je ne vends pas !
– Réfléchissez ! Soit je vous en donne un bon prix, soit je peux faire encore mieux et vous verser une rente à vie en tant que produit de la vente. Rendez-vous compte, plus besoin de travailler, la belle vie…
– Je vais réfléchir.
– Bien sûr, je repasserai demain.

Rente à vie, belle vie… après tout pourquoi pas ? Et le lendemain je donnais ma réponse… positive bien sûr.

Et rendez-vous fut pris chez le notaire… Et là je ne vous dis pas la douche froide…

– Madame, quand on signe des documents, on les lit ! Me dit le notaire avec une telle suffisance que je l’aurais bien claqué.
– Quelque chose m’aurait échappé ?
– Plutôt, oui ! Vous n’êtes pas propriétaire de cet établissement.
– Je vous demande pardon ?
– L’état l’a préempté et le contrat que vous avez signé sans le lire se contente de vous en attribuer l’usufruit pour un an, renouvelable par tacite reconduction.!

Du coup Gravier se lève en maugréant je ne sais trop quoi et quitte le bureau du notaire. Je m’apprête à faire la même chose.

– Une dernière chose, Mademoiselle.
– Oui !
– La loi sur le divorce a été promulgué l’an dernier, mais à ce que je sache vous n’êtes point divorcée.
– Ben non.
– Donc il vous est interdit d’effectuer une transaction immobilière sans l’accord de votre mari.
– Eh bien je crois que je vais aller boire un alcool fort après toutes ces bonnes nouvelles. Au revoir Monsieur.
– On dit Maître !
– Maître, mon cul !

Le second événement fut plus compliqué. Nous avions comme client un dénommé Leriche, chef de cabinet au ministère des affaires étrangères. Un petit bonhomme ne payant pas de mine, il payait bien et restait une heure entière avec Juliette, une jeune bourguignonne aux formes épanouies.

Leriche, très imbu de sa personne ne cachait pas sa fonction et l’exhibait comme un étendard..

J’ignore comment Hans Shokoloff, un homme au fort accent germanique mais qui se disait alsacien (l’Alsace était redevenue allemande depuis la défaire de 1870) réussit à être au courant des relations tarifées entre Leriche et Juliette, mais il le fut.

En fait Shokoloff était un espion à la solde de l’Allemagne. Or il se trouve que Leriche était un indécrottable bavard racontant rien que pour se faire mousser auprès de Juliette des choses qu’elle n’auraient jamais dû savoir.

Pour Leriche ces confidences lui paraissaient sans risque ! Qu’en aurait fait Juliette ?

Sauf que Juliette savait elle aussi être bavarde, d’autant que Shokoloff l’encourageait de quelques beaux billets.

Ce qu’ignorait l’espion allemand c’est qu’il était surveillé par la Sureté et plus précisément par l’inspecteur Tardieu, lequel n’eut pas grand mal à comprendre ce qui se tramait. Il reçut alors des ordres stricts de sa hiérarchie.

C’est ainsi que Leriche dégringola « accidentellement » du troisième étage de son immeuble haussmannien et fut remplacé à son poste par quelqu’un de moins bavard.

Restaient Juliette et Shokoloff… Ce dernier, pas au courant du faux suicide de Leriche se rendit comme tous les mercredi à « la Mouette grise ». Tardieu lui emboita le pas.

A ce moment-là quatre de mes pensionnaires étaient présentes au salon.

– Choisissez ! Ces demoiselles peuvent être toutes à vous ! Signifiais-je au nouveau venu.
– Monsieur était avant moi, j’attends qu’il choisisse et je ferais mon propre choix ensuite ! Répondit Tardieu
– Vous venez pour Juliette, je suppose ? demandais-je à l’Alsacien.
– Je ne m’en lasse pas !
– Elle est occupée, elle ne devrait pas tarder à redescendre.

Un contretemps qui contrarie Tardieu qui ne sait comment trop gérer la situation d’autant que ces demoiselles ne se gênent pas pour venir le solliciter de façon fort explicite.

– Alors, le relançais-je, vous n’allez pas me dire qu’aucune de ces demoiselles ne vous tente ?
– En fait j’attends Juliette, on m’a tellement vanté ses mérites.
– Juliette est réservée par Monsieur, il va donc falloir attendre une bonne heure, puis-je vous suggérer d’aller faire une petite promenade en attendant !
– Je préfère attendre ici….
– Ce n’est point l’usage…

En fait la chose aurait été possible, mais j’ai eu quelques cas de types qui font banquette pendant une heure, puis après s’en être foutu plein la vue, s’en sont allés sans consommer. Alors non c’est un bordel ici, pas un salon pour voyeurs..

Le mec reste assis.

– Décidez-vous, monsieur !

Et là, le mec sort son pistolet, vise Shokoloff et l’abat avant de s’enfuir à toutes jambes.

Je ne vous dis pas la panique, il y a du sang partout. Des filles se précipitent sur le corps de Shokoloff, mais ne peuvent rien faire puisqu’il est mort sur le coup..

J’ai fait prévenir la maréchaussée qui a embarqué le corps.

L’événement fut certes, traumatisant mais aurait pu en rester là… ce ne fut pas le cas.

Le lendemain le journal « l’Aurore » en faisait ses choux gras.

« Enorme scandale sous forme de règlements de compte entre espions au sein de la maison de tolérance « la Mouette grise ». Hier un individu originaire des Balkans (n’importe quoi !) a ouvert le feu sur un restaurateur alsacien soupçonné d’être un agent double. Cet événement survient après l’étrange suicide de Benoit Leriche également habitué de l’établissement. La gérante de la maison de passe a été interpellé pour complicité de haute trahison ainsi que la dénommée Marguerite Chambon dite Juliette… L’établissement a été fermée sur décision du tribunal administratif de la Seine.

Je n’ai jamais su ce qu’il était advenu de cette pauvre Juliette. Plusieurs mois de prison je suppose ! Mais en ce qui me concerne je fus rapidement blanchi, mon avocat faisant valoir que je ne pouvais être au courant des conversations qui se tenaient dans l’intimité des chambres.

J’étais donc libre, mais sans activité. Certes il me restait mon appartement de la rue Notre Dame de Lorette, je n’étais pas sans toit, mais l’idée de refaire salon ne me disait rien que vaille, je manquais considérablement d’inspiration pour écrire de nouveaux poèmes licencieux.

J’eu l’idée d’aller rencontrer Robert Lelièvre au ministère de la guerre. Mais ce dernier n’eut même pas la politesse de me recevoir. (Ingratitude, quand tu nous tient !) Mes pas me menèrent ensuite rue de Vaugirard à la « Poule d’eau », le bordel tenue par Hortense Pilla.

– Simone, quelle plaisir de te revoir !
– Appelle moi Pauline, je préfère !
– Quel joli vent t’amène ?
– J’ai quelques soucis en ce moment, je te raconterais… Disons que j’avais envie de te faire un gros bisous, pour me changer les idées !
– Un bisou coquin ?
– Tant qu’à faire…
– Tiens, je te présente Aglaé, c’est ma nouvelle chouchoute, elle est mignonne non !

La nana en question, une jolie blonde aux yeux clairs, s’approche pour m’embrasser. En voilà une qui m’a l’air d’une sacrée coquine et d’ailleurs le bisou n’eut pas grand-chose à voir avec un bisou de politesse… je vous laisse imaginer.

– Sais-tu qu’il y a quelques semaines j’ai dû virer deux bonhommes qui te recherchaient ? M’indique Hortense

A ma demande elle m’en fit une brève description.

– Mon père et mon mari !
– Ne t’inquiètes pas, Lucien s’est occupé d’eux, ils ont quitté Paris, la queue basse. Claire, tu vas garder la boutique pendant que je vais m’envoyer en l’air avec Simone ! Aglaé viens avec nous !
– Pauline, pas Simone !
– Mais oui, mais oui, allez viens, je vais te faire grimper aux rideaux

En chambre, Aglaé se déshabille spontanément, Hortense et moi l’imitons (évidemment !)

Elle est vraiment très jolie, cette Aglaé, avec des seins… Oh ma Mère !

– Je veux vous regarder vous gouiner toutes les deux ! Indique Hortense, ensuite je vous rejoindrai.

Ce n’est pas tout à fait comme cela que je voyais les choses, mais après tout pourquoi pas ?

Je ne sais pas trop par quoi commencer. Aglaé, pour sa part ne se pose pas de question et vient me butiner me tétons.

Quelle langue elle a cette petite putain, elle virevolte comme un papillon… je ne vais pas déjà commencer à mouiller ? Si !

Elle me prend la main et m’entraine sur le plumard, je m’y affale en écartant les cuisses, elle arrive sur moi et me présente son cul.

Je lèche ! J’ai toujours adoré lécher les trous du cul des femmes et le sien est bien sympathique, une petite étoile brune contrastant avec le blanc de la peau de ses fesses.

Et puis ce petit gout si particulier ! Hummm…

Son anus finit par bailler sous mes coups de langue. Du coup puisque le passage est ouvert, j’y introduit un doigt préalablement mouillée de ma salive et le fais aller et venir.

– Oh ! Salope, tu m’encules bien !

Hortense a sorti de je ne sais où un magnifique gode très réaliste et me le tend.

– Fous-y ça dans le cul à cette salope, ce sera mieux que ton doigt.

Ben oui, pourquoi pas ?

Je le lui enfonce en la traitant de poufiasse et d’enculée !. Elle halète, elle gémit, on dirait bien qu’elle va jouir comme ça !

Effectivement, et elle jouit dans un geyser de mouille ! Je retire le gode dont l’état est pour le moins douteux. Aglaé s’en empare et le lèche en me regardant d’un air de défi.

– Et si tu t’occupais un peu de moi ? lui demandais-je.

Elle ne me répond pas mais fout ses doigts dans ma chatte en les agitant frénétiquement.

Au bout de quelques courtes minutes, elle retire ses doigts (ça devait la fatiguer) et c’est maintenant sa langue qui vient me faire du bien. Elle ne s’éternise pas trop et me titille rapidement le clito. A mon tour de gueuler.

– T’es marrante ! Me dit-elle

Ah bon, je suis marrante ? Il faut mieux être marante que d’avoir une gueule de raie, non ?

– Humm vous m’avez bien excité mes chéries, venez me voir maintenant.

Hortense a semble-t-il décidé d’être passive, alors on l’embrasse, on lui lèche les seins, on lui excite la moule, on la doigte dans ses deux trous, on alterne les caresses, on est complétement mélangées.

– Faites-moi jouir, faites-moi jouir ! Implore-t-elle.

Pas de chance je ne suis pas à la bonne place, c’est Aglaé qui lui prodigue un « bouche contre chatte ». Mais j’ai un beau lot de consolation en léchant ses tétons formidablement érigés.

Mais voilà que l’on gratte à la porte, c’est assez énervant comme bruit.

– C’est Brutus, je l’ai acheté la semaine dernière, c’est un bon chien mais il est parfois un peu collant, je vais le faire entrer.

La bestiole arrive en agitant sa queue. Il a un petit moment d’hésitation avant de filer directement entre les cuisse d’Hortense.

– Veut-tu être sage, vicieux toutou !

Elle dit ça, mais ne le repousse pas et semble même apprécier la chose.

– T’as déjà sucé la bite d’un chien ? Me demande Aglaé.
– Ma foi non !
– Et tu n’as pas envie d’essayer ?
– Et tu l’as fait, toi ? Rétorquais-je.
– Oui j’aime bien… J’ai un client régulier qui vient avec son chien….

Le récit d’Aglaé.

Le client me choisit et on monte en chambre; il tient son chien en laisse, je suppose qu’il va l’attacher quelque part pendant qu’on fera notre petite affaire..

Il me paye (assez génréreusement)

– Voilà je voudrais que tu suces la bite du chien…
– Ah non, désolé, je ne fais pas ça !
– Pas grave je vais demander à Madame Hortense de me trouver une fille moins coincée. Répond-il en reprenant son argent.

On redescend au salon, je n’entends pas ce que le client et Madame Hortense se disent, mais cette dernière s’avance vers moi et m’ordonne de la suivre.

Elle désigne deux filles qui faisaient banquette et on se dirige vers « le cabinet des punitions » en compagnie du client.
.
Et à peine entrée, elle me gifle sévèrement.

– C’est quoi ces manières ? On ne te demande pas la lune…
– Je n’ai jamais fait ça…
– Ben, il y a un début à tout.
– Les filles, attachez-moi cette grue sur la croix, tu vas recevoir 30 coups de martinet sur les fesses.
– Mais Madame !

Et j’ai donc été fouettée par les collègues qui avaient l’air de trouver ça très drôle.(les salopes !)

J’ai les fesses toutes rouges et des larmes me coulent sur le visage.

– Voilà, ça méritait bien une punition ! Maintenant tu vas choisir. Ou bien tu t’entêtes dans ton refus et dans ce cas je te prépare ta note et tu fous le camp d’ici sur le champ, ou bien tu deviens raisonnable. Me propose Madame Hortense tout en me caressant la joue.

Imaginez mon trouble… et je n’ai pas de délai de réflexion, le client est là…

– Je veux bien essayer… mais si je bloque…
– Tu ne bloqueras pas ! Allez, l’incident est clos, Monsieur remontez dans la chambre, Aglaé va vous satisfaire, c’est une bonne fille.

Tu parles !

On se déshabille, le client couche alors le chien sur le flan et dégage sa bite.

– Viens !

Pauline18
Je me dis qu’au pire, ce sera un mauvais moment à passer, je ferme les yeux et j’embouche le zizi du chien… Et là il s’est passé quelque chose de bizarre, je réalisais que j’étais en train de commettre un acte obscène et que ça m’excitait, alors j’ai continué à sucer.

Pendant ce temps-là le client se branlait tout seul comme un grand et a fini par faire jaillir sa sauce sur le parquet.

– La prochaine fois, j’aimerais bien que le chien te prenne.
– Me prenne quoi ?
– Qu’il te baise !
– Ça ne va pas non ?
– Au point où t’en es… et puis je paie bien…
– On essaiera mais je ne te promets rien.

Et en fait maintenant ça m’amuse de faire ça, dans un bordel on n’a pas si souvent l’occasion de s’exciter…

Fin du récit d’Aglaé

– Alors tu veux essayer ? Me relance-t-elle

En fait l’envie me titillait et le récit d’Aglaé n’a rien arrangé.

– Alors d’accord !
– On va le faire ensemble ! Reprit Aglaé qui après avoir récupéré le chien d’entre les cuisses de Madame Hortense le disposa de façon à ce qu’on ait accès à son pénis.

Et c’est en cœur que nous avons sucé de gros mandrin rougeâtre.

Puis excitée comme une puce, j’abandonnais ma fellation pour m’installer en levrette, les cuisses ouvertes. Aglaé a compris le message et à guidé le chien qui m’a enculé frénétiquement.

J’ai adoré ce petit moment de folie ! Et cela m’a donné quelques idées pour mon carnet de poèmes. Quand on est perverse autant l’être complétement !

Epilogue

J’aurais pu travailler de nouveau chez Hortense, mais j’étais devenue trop indépendante. J’avais quelques économies et acquérais la gérance d’un modeste rade, rue de Budapest et j’embauchais trois jolies serveuses montantes.

Il ne me restait plus qu’à attendre que je rencontre le prince charmant… à moins que ce prince ne soit une princesse..

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:19

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 17 – Petite séance à la « Mouette Grise »
Domina

Voyage sans histoire en direction de Paris dans un compartiment calme, j’ai roupillé pendant tout le trajet

On arrive à Paris Saint Lazare, je suis en queue de train et j’ai tout le quai à remonter. Pas grave, je ne suis pas pressée.

Et puis alors que j’avais presque oublié la présence de mon époux et de mon paternel dans ce train, je sens soudain deux bras qui m’attrapent de chaque côté.

– Pauline ! Quelle bonne surprise ! Tu croyais sans doute qu’on ne t’avait pas reconnu !

Moment de panique comme vous pouvez aisément l’imaginer !

– Lâchez-moi, bande de brutes !

Par chance, ces deux débiles ne s’attendait pas à me rencontrer, du moins pas dans ces circonstances, ils me tiennent, mais comment peuvent-ils gérer la suite ?

Alors je hurle ! Un attroupement se forme

– Qu’est ce qui se passe ? Demande un péquin en casquette.
– C’est ma femme, elle a quitté le domicile conjugal.
– Évidemment, j’en avais marre de recevoir des coups.
– Lâchez la ! Vous lui faites mal.
– Mais lâchez la ! Intervient un gros costaud.

Mes deux agresseurs sont désemparés et devant la pression qui monte n’ont d’autres solutions que d’obtempérer.

– Je vous accompagne jusqu’à la sortie me propose le gros costaud
– Ce n’est pas de refus.
– J’ai comme l’impression qu’ils vont vous suivre, je vais m’en occuper, si vous voulez on se retrouve au café « la Grenouille », rue d’Amsterdam, à gauche en sortant, je vous paierais un pot.

Voilà un plan qui me rassure .

Costaud se pointe devant les deux emmerdeurs et leur barre la route.

– Vous allez où comme ça ? Leur demande-t-il.
– Mais enfin, laissez-nous passer, de quoi vous mêlez-vous ?
– Je n’aime pas qu’on embête les dames.
– Ce n’est pas une dame, c’est une pute.
– Et alors, vous avez quelque chose contre les putes ?

Ils ne répondent pas, cette diversion aura suffi à me fondre dans la foule. Du coup je rejoins le rade indiqué en m’assurant de ne pas être suivie.

Ce type ne me branche pas outre mesure, mais j’ai été bien content de le trouver, alors je ne vais pas être vache et accepter son invitation. A tous les coups il va profiter de la situation, c’est de bonne guerre.

– Vous êtes très jolie ! Commence-t-il.

Qu’est-ce que je disais !

– Bon, on ne va pas tourner autour du pot, vous m’avez sorti d’une situation compliquée, ça mérite une récompense. Qu’est-ce qui vous ferais plaisir.
– Je n’ose pas…

L’hypocrite !

– Mais si, osez !
– Vous allez me prendre pour un salopard’
– Je ne suis pas une femme facile mais je suis très décontractée vis-à-vis des choses du sexe et je sais récompenser les gens qui me rendent service.
– Une petite pipe alors ?

Je donne mon accord, il m’explique qu’aux toilettes, il y a une cabine un peu vaste… On y va !

Je trifouille dans son calfouette, un peu inquiète de l’état dans lequel je crains de trouver sa bite.

Mais ça va, à part une inévitable odeur de pipi…

Je lui suce tout ça et ça devient rapidement tout raide. Elle est plutôt jolie sa bite avec son gland violacée.

– Tu ne me montres pas tes doudounes ! Demande-t-il.

Eh, oui, à part deux ou trois spécimens, ils veulent tous voir mes nichons. Un rigolo m’expliquait qu’il s’agissait d’une des lois de l’attraction universelle.

Alors je lui montre, il touche, il caresse, il m’embrasse, il m’aspire les tétons sans me demander la permission. Faut surtout pas se gêner Il s’excite, il s’excite, je sens que cette affaire ne va pas s’éterniser.

Et puis tout d’un coup il me lâche les seins et me regarde avec un air idiot.

– Un problème ?
– Non, non ! Tu es trop belle !
– Merci ! Tu veux que je te suce à fond ?
– J’aimerais bien une cravate de notaire !

Qu’à cela ne tienne, il va l’avoir sa cravate.!

Je coince sa bite entre mes nénés et la fait coulisser. Cinq minutes plus tard, il lâchait sa purée, je reçois plein de sperme sur le visage…

– Oh, pardon !
– Ce n’est pas grave, il parait que c’est bon pour le teint.

Georges Chamuseaux et Ernest Féval sont dépités.

– Quelle occasion qu’on vient de manquer !
– On fait comment maintenant ?
– On va se renseigner. Répond Georges.
– Et on se renseigne comment ?
– On va aller voir au journal.

Ce fut un échec, les deux bonhommes eurent beau faire valoir leurs liens de parenté avec moi, personne ne voulut leur fournir de renseignements complémentaires et devant leur insistance on les pria de déguerpir.

Pendant trois jours ils tournèrent en rond tentant de lier conversation avec des piliers de bistrot au sujet des personnes citées dans l’article, mais rien n’y fit….

Jusque dans un rade du boulevard Richard Lenoir…

– Hortense Pila ? Ce ne serait pas la maquerelle de « La Poule d’eau ? »
– Ça doit être ça, vous connaissez l’adresse ?
– Rue de Vaugirard, juste après le jardin du Luxembourg, vous ne pouvez pas le rater.

Et nos deux zouaves, satisfaits du tuyau se rendent sur place où on leur fait l’article

– En fait on aimerait rencontrer madame Hortense
– Ben c’est moi !
– On peut parler en privé ?
– Parler de quoi ?
– On va vous dire.
– Non ce n’est pas comme ça que ça se passe, vous me dites de quoi il s’agit et ensuite je verrais si j’ai convenance à vous recevoir en privé.
– En fait on aimerait rencontrer Pauline Féval
– Connais pas !
– Mais si, regardez cet article.
– Je vous dis que je ne connais pas ! Maintenant sortez de mon établissement !
– Je vous en prie, lisez…
– Si vous me foutez pas le camp immédiatement, j’appelle le videur, et il est très baraqué mon videur.

Et alors que les deux hommes dépités sortent de l’établissement, Madame Hortense appelle Lucien, son videur.

– Encore des gens qui cherchent après Simone, tu les suis et tu te débrouilles pour leur faire passer l’envie de fouiner !
– Bien madame !

Lucien a vite fait de repérer les deux hommes qui vont en direction du boulevard St Michel. Il ne s’embarrasse pas trop et profitant du fait que la rue soit pratiquement déserte, il les rattrape, et d’un crochepied bien calculé fait dégringoler Ernest.

– Oh, monsieur excusez-moi, de cette maladresse !
– Vous pourriez faire attention !
– Donnez-moi la main, je vais vous aider à vous relever !

Georges qui a senti le coup fourré ne le laisse pas faire.

– Laissez-nous tranquille ou j’appelle la police !
– Chiche ! Il y en a un là-bas, Monsieur l’agent, venez par ici s’il vous plait !

Le gardien de la paix s’avance d’une démarche débonnaire.

– Ah ! Monsieur Lucien ! Des ennuis ?
– Plutôt oui, Ces deux voyous voulaient chercher des noises à Madame Hortense.
– J’attends vos explications et vos papiers, Madame Hortense est une personne respectable.
– Maïs nous sommes en plein quiproquo ! Tente d’expliquer Georges.
– Oui, c’est ce que tout le monde raconte dans ces cas-là. Je vous verbalise pour troubles à l’ordre public.
– Mais laissez-moi parler !
– Fermez-là ou j’ajoute une amende pour outrage à agent.
– Vous nous aviez demandé de nous expliquer.
– Impertinent en plus ! Vous payez de suite ou on vous envoie une sommation à domicile ?

C’est alors qu’Ernest Féval, saisi d’une impulsion soudaine se met à déguerpir en prenant ses jambes à son cou. Evidemment Lucien le rattrape et le plaque au sol. Le poulet se sert de son sifflet pour rameuter ses collègues et c’est ainsi que les deux compères finirent leur journée en cellule de dégrisement.

Le lendemain après une nuit impossible, ils paraissaient en comparution immédiate, Georges écopant d’une amende supplémentaire pour délit de fuite.

Dégoutés, ils décidèrent de rentrer au bercail.

– Je te retiens, toi avec tes idées à la con ! Fulmine Ernest !
– Je ne t’ai pas obligé, t’étais d’accord pour venir !
– Si ! Tu m’as obligé moralement !
– N’importe quoi ! Réplique Georges
– Comment ça je dis « n’importe quoi » ? C’est quand même pas de ma faute si t’es cocu !
– Répète un peu !
– Quand on est cocu, c’est qu’on a pas fait tout ce qu’il fallait pour ne pas l’être.
– Conard !

Les deux hommes n’ont pas voyagé ensemble dans le train qui les ramenait à Rouen et depuis ils ne s’adressent plus la parole.

Après toutes ces péripéties, je suis rentrée pour me reposer un peu puis je suis allée au ministère de la guerre rencontrer Lelièvre afin de lui rendre compte de ma mission havraise.

– Et bien bravo, c’est du beau travail, je vous félicite ! Cela a été difficile ?
– Disons que j’ai eu beaucoup de chance.
– Alors chose promise, chose due, quelques formalités à remplir et d’ici une dizaine de jours « la Mouette grise » sera à vous !

Le lendemain de mon entrevue avec Lelièvre, le journal l’Aurore publiait un article à la une !

« Grâce à la pugnacité de nos services secrets, un énorme trafic d’armes favorisant une puissance hostile a pu être démantelé, le responsable accusé de haute trahison croupit désormais sous les verrous, etc etc… »

Évidemment on ne parle pas de moi, mais je ne vais pas m’en plaindre.

Et huit jours plus tard, je prenais mes quartiers à « la Mouette grise ». Certaines des filles de l’ancienne équipe étaient revenues. Elles étaient neuf en tout et je bénéficiais également des services d’un videur.

Je ne suis pas restée fort longtemps à la tête de cette maison, deux évènements indépendants l’un de l’autre me l’ont fait quitter bien plus tôt que prévu.

Parlons-en !

La maison tournait bien et les filles étaient appréciées. En ce qui me concerne je ne payais plus de ma personne sauf si le client insistait.

Et justement ce jour-là, un dénommé Gravier m’entreprit et comme il me paya double tarif, j’acceptais de « monter » avec lui. Et nous voilà dans la plus belle chambre du bordel : La mienne !

– Alors, qu’est-ce qui vous ferais plaisir ?
– On va faire un petit scénario, disons que je suis un vilain garçon qui a fait des bêtises et maman m’envoie chez une méchante maitresse pour me punir
– Ça peut se faire, on se donne une heure ?
– Oui.
– Alors à poil, morue !
– Oh, oui, j’adore qu’on m’insulte…
– Dépêche-toi, pédale, lopette, enculé !

Le voilà complétement nu, je lui accroche une pince à chaque téton, il me remercie d’une impossible grimace. Mais il grimaça bien davantage quand j’accrochais deux autres pinces… à ses couilles cette fois.

Pauline17– Et maintenant à genoux, salope ! Et ouvre bien la bouche.

Je lui crache dans le gosier, il est tout content et me remercie

Je me tourne, lui présente mes fesses que j’écarte afin de bien dégager mon trou du cul.

– Allez lèche mon trou du cul plein de merde. Je ne m’essuie jamais quand je vais chier.

Qu’est-ce qu’il ne faut pas raconter comme connerie, mais en fait, tout se passe dans la tête.

Mais c’est vrai qu’il a l’air d’apprécier mon petit trou qu’il lèche avec une telle passion qu’il s’entrouvre laissant passer le bout de sa langue.

– Bon dégage de mon cul, tu y prends trop de plaisir. Dis-moi, puisque tu aimes ce genre chose, que dirais-tu si je te chiais dessus ?
– Rien, c’est vous qui décidez, maîtresse !

Pas contrariant le bonhomme, mais il n’aura pas cette joie, je ne chie pas à volonté… en revanche pisser, je peux. Mais ne brulons pas les étapes. Je le fais s’arbouter contre ma commode, puis m’emparant d’un fouet à manche courte, je lui flagelle le dos et les fesses sans aucun ménagement. Il souffre, il gémit, il hurle, mais ne me demande pas d’arrêter… alors je continue, je résultat est spectaculaire, je lui ai fait un dos à rayures. C’est assez coquet je trouve !

Estimant qu’il a eu sa dose je passe à autre chose et m’harnache d’un gode ceinture.

– Tu vas me sucer cette fausse bite et après je vais te la foutre dans le cul !
– Oui, maitresse !

Il n’est pas contrariant, pépère !

Je le pilonne en cadence et lui pose la question que toute bonne gagneuse pose en de telles circonstances..

– T’est vraiment un gros pédé ! Et si je te faisais enculer par une vraie bite au lieu de ce machin en caoutchouc ?
– C’est comme vous voulez, maîtresse !

Il n’a même pas hésité, j’en suis surprise !

– Tu veux qu’on le fasse ? J’ai qu’un mot à dire et mon videur viendra t’enculer.
– C’est comme vous le sentez, maitresse.
– Oui, mais ça mérite un petit supplément.
– Je vous ai payé largement ! Répond-il d’un ton ferme qui me surprend car il n’a plus rien de celui d’un soumis.

Je fais quoi ? Si je chipote, ce n’est pas comme ça que je le fidéliserai. Donc je rétropédale.

– C’est vrai que tu m’as bien payé ! Alors pas de supplément. Je vais aller chercher le videur, il va te soigner ! Ne bouge pas d’un poil !

Je trouve donc Prosper et lui indique ce qu’il doit faire. Il a l’habitude, étant parfois sollicité pour ce genre de prestation qu’il accomplit avec beaucoup de professionnalisme.

J’ordonne donc à Gravier de lui sucer la bite.

Il le fait et apparemment pour lui cette pratique n’a rien d’une corvée. Il a même l’air d’y prendre du plaisir..

C’est quoi cette attitude ? il est venu pour se faire humilier et dominer par pour se régaler en suçant des bites ! Allez donc comprendre les soumis, vous !

J’arrête donc les frais et demande à Prosper d’enculer le monsieur.

J’ai beau avoir vu une infinité de situations dans mon activité, jusqu’à en être blasée, j’ai toujours eu une fascination à regarder deux hommes s’enculer. Ces choses-là ça ne s’expliquent guère !

Le spectacle de Prosper coulissant sa bonne bite dans le trou du cul du client lequel pousse des miaulements de plaisir ne tarde pas à m’exciter. En voilà une situation imprévue.

– Bon Prosper, retire-toi de son cul ! Il aime trop ça, ce n’est pas du jeu.

Il décule ! Sa bite ne sort pas très propre.

– Dis donc, grosse morue, tu as vu comment tu as rendu la bite de Prosper. Elle est pleine de merde ! Tu vas me nettoyer tout ça en vitesse.

Ni protestation, ni hésitation, il lèche tout ça comme s’il s’agissait d’une tarde aux myrtilles.

Passons à autre chose, je m’empare d’une cravache et je me défoule sur les fesses et le dos de Gravier. Il braille comme un malade mais ne demande pas d’arrêter. Je casse volontairement le rythme de mes coups l’empêchant de les appréhender. Un coup suivi d’un second après 30 secondes de répit puis deux coups consécutifs… Je le marque bien et son cul est maintenant strié de traces cramoisies.

– Allez on va conclure, tu vas t’allonger par terre et garder la bouche ouverte, tu vas te branler pendant que je vais te pisser dans la bouche.
– Oui, maîtresse !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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