Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:10

Chanette 31 – La clairière secrète – 7 – Jacques en galère, Max en rut

Mat Stamp

Samedi

Il est très matinal, monsieur Max, à 9 heures du matin, il sonnait à ma porte.

Anne-Marie et Roquevert sont en faction en bas de chez moi, la première devant l’entrée piéton, le second à l’entrée véhicules. Anne-Marie ne prête aucune attention à Max qui est entré peinard en composant le digicode.

– Alors, Chanette, tu t’es encore foutue dans un truc impossible !
– En fait je crois surtout qu’on me prend pour une autre.

Je lui explique, je lui raconte.

– Bon, il y a donc deux choses à faire, la première c’est de savoir ce qu’il y a à cette adresse, ce sera facile, la seconde c’est de savoir ce que manigance ce Jacques Machin, il ne t’a laissé aucune coordonnée ?
– Non.
– T’aurais dû lui demander.
– On ne peut pas penser à tout.
– Je sais.

Pour le premier problème, Max s’évite le déplacement et téléphone à son patron qui lui répond dans la demi-heure.

– C’est une assos. Ça s’appelle Afrique 3000 et ça soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Et en clair ?
– En clair je ne sais pas trop..

A la DGSE on ne s’est pas déplacé non plus, l’adresse et ses responsables étant connus et fichés

Cependant le général Tauvron se demande s’il n’a pas zappé un épisode.

– Quelque chose ne cloche pas. Les voleurs d’armes refilent une adresse et d’autres coordonnées à leur contact. Or le contact ignore le contenu. Ce qui veut dire que la transaction est en stand bye. Mais pourquoi ? Soit la fille attend quelque-chose, mais quoi ? Soit elle fait double jeu ? Attendons !

Max a pris des notes quand je lui ai raconté ce que je savais, il n’arrête pas de les relire, il les apprend par cœur ou quoi ?

– T’as rien oublié ?
– Je ne crois pas, non.
– Et la patronne du gite, tu crois qu’elle est complice de cette bande ?
– Je ne pense pas, non, mais bon, elle est bien contente de trouver ces mecs… 30 paniers repas par jour, ce n’est pas rien.
– Et ses rapports avec les agents secrets ?
– Des rapports purement commerciaux, un peu tendus parfois.
– Et avec Jacques ?
– Ce doit être une vieille connaissance de la maison, des rapports cordiaux mais je n’ai décelé aucune complicité, ils gardaient leurs distances.
– Et avec toi ?
– Super sympa, aussi bien elle que sa fille
– Jacques a dû renseigner son numéro de téléphone sur sa fiche de réservation. Tu peux peut-être lui demander.

Mais c’est bien sûr !

– Allô, Marjorie.
– Christine, quelle joie d’entendre ta voix, tout va bien ?
– Super ! J’ai embarqué par erreur un bouquin qui appartient à Jacques, il avait l’air d’y tenir, je voudrais lui rendre, tu n’aurais pas son numéro ?
– Mais bien sûr ma chérie…

Et voilà le travail !

Max m’explique son plan. Il a le mérite d’être simple.

Je téléphone à Jacques, pas plus étonné que ça de savoir que je possède son numéro…

– J’ai réfléchi, je vais peut-être accepter ce que vous me proposez mais faut que l’on discute un peu.
– Ok, je peux passer chez vous vers quelle heure ?
– En milieu d’après-midi si vous voulez. Je vous donne l’adresse.

Il est venu à pied, évidemment Anne Marie le reconnait mais ce n’est pas réciproque, le visage de l’espionne étant camouflé dans son capuchon de jogging

– Allô, mon général, coup de théâtre, le suspect numéro deux vient de monter chez la pute. On fait quoi ?
– Je vous envoie du renfort, dans un premier temps on va le localiser…
– Et s’il redescend avant ?
– Improvisez !

Donc vers 16 heures Jacques sonnait à ma porte, je lui ouvre, tout sourire, referme la porte et la verrouille, puis tout alla très vite…

Max surgit, pistolet au poing.

– Les mains en l’air, monsieur.
– Mais qu’elle est cette plaisanterie ?
– Justement on est là pour en parler, alors tu les lèves tes mains ou il faut que j’aille chercher une grue ?
– Et si je refuse ?
– Si tu refuses, je vais devenir méchant.

Jacques fini par obtempérer.

– Chanette, fouille-le ! Vide-lui ses poches.
– Je vais porter plainte ! Proteste l’individu..
– T’as raison, ça nous fera l’occasion de rigoler.

Pas d’armes, un porte carte, un portemonnaie, des clés et un téléphone portable.

– Pique lui sa montre aussi.

On fait assoir Jacques et on le menotte. Il est blanc comme un linge, le garçon.

– Et maintenant tu vas nous raconter ce que tu es en train de fabriquer…
– Je ne fabrique rien, je fais de l’investigation indépendante.
– Investigation, mon cul ! Pourquoi tiens-tu à ce que Chanette se rende à cette adresse ?
– C’est qui, Chanette ?
– C’est moi. Crus-je devoir préciser .
– Alors la réponse ? Insiste Max.
– Je veux bien vous expliquer mais ça risque d’être un peu long et pas facile à comprendre…
– Pourquoi, on est trop con ?
– J’ai pas dit ça.
– Alors tu racontes ?
– Je suis journaliste d’investigation…
– Oui bon, on commence à le savoir, ce qu’on veut c’est la suite ! s’énerve Max
– La grande clairière est occupée par des voleurs d’armes. Il est tout de même étrange que l’armée n’intervienne pas pour récupérer ce qui lui appartient. J’en déduis donc qu’il y a une activité mafieuse là-dessous. Je soupçonne même un scandale d’état. Cela dit je ne suis pas un kamikaze, Si ça remue trop la merde, je laisse tomber.
– Sauf que tu n’as pas répondu à la question. Que viens foutre Chanette dans cette salade ?
– Ben elle est censé être l’agent de liaison, non ?
– Je ne suis l’agent de rien du tout !
– Soit la personne qui vous a refilé le papelard s’est trompé de personne ce qui me semble ahurissant, soit vous êtes en train de vous dégonfler pour des raisons qui m’échappent…
– Bon, on t’a posé une question, on attend toujours la réponse… et je ne suis pas du genre à attendre trois semaines. S’énerve Max.
– Je ne peux pas tout vous dire.

Max, hors de lui envoie deux baffes dans la tronche de Jacques.

– Fasciste ! Hurle ce dernier.
– Chanette, tu n’aurais pas un sécateur, on va lui couper les doigts…

Je comprends qu’il bluffe, et entre dans son jeu.

– Non mais j’ai de très beaux couteaux de cuisine ils coupent très bien.
– Vous êtes leurs complices, c’est ça ? Bafouille Jacques.
– Hein ?
– Vous ne voulez pas que la vérité éclate… mais même si vous me tuez la vérité finira un jour par éclater…

Mais qu’est-ce qu’il nous raconte ?

– Je vais compter jusqu’à 10, si à 10 tu n’as pas répondu à ma question, je te coupe un premier doigt. 1, 2…

Jacques est livide, mais ne bronche pas, il est persuadé que Max bluffe.

– 8, 9 , 10.

Max appuie la lame du couteau sur l’index de Jacques au niveau de la phalangine. Une légère pression… du sang coule.

– Arrêtez, assassins, fascistes !
– On t’écoute connard !
– J’ai complétement par hasard mis à jour une opération mafieuse au sommet de l’état….
– Mais ce n’est pas ça qu’on te demande ! Que viens foutre Chanette là-dedans ?
– Si elle ne remplit pas sa mission, je ne peux pas écrire mon article !
– Hein ? Demande Max.
– Mais quelle mission, je n’ai pas de mission !
– Vous n’auriez pas un sparadrap, je suis en train de foutre du sang partout.
– On s’en fout ! Et on comprend rien à ton histoire.

Oui mais moi je ne m’en fous pas et m’en vais chercher un sparadrap et une serpillère..

– Laissez-moi m’expliquer cinq minutes sans m’interrompre et vous allez tout comprendre !
– T’as intérêt à être convainquant
– La France soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Hein ?
– Actuellement le Fagonda Occidental est gouverné par des fantoches servant les intérêts de Oil Miller Company, un trust américain. Les rapports avec la France sont calamiteux et ne se sont pas arrangés depuis que la France soutient la rébellion intérieure.
– Hum…
– Seulement la rébellion pour pouvoir prétendre renverser le gouvernement en place à besoin d’armes. Alors comme officiellement on ne peut pas leur en livrer en raison de complications diplomatiques, on va leur en livrer de façon détournée.
– Mais…
– Laissez-moi terminer, c’est déjà assez compliqué comme ça… Donc premier acte : un convoi. militaire est attaqué par des barbouzes, la presse parle d’explosion accidentelle. En réalité les armes sont transbordées vers des camions banalisés puis acheminés on ne sait trop comment dans une clairière près du village de Mombillac accessible par le lieu-dit, le chemin de la fouine.. Sur place une communauté mal défini mais encadré par les barbouzes s’attelle à gommer sur ces armes tout ce qui pourrait identifier leur provenance. Acte deux, les armes étant prêtes, un agent de liaison est chargé de se rendre à une adresse parisienne et de leur communiquer les conditions de livraison (date et emplacement). Je n’ai pas tout déchiffré mais LH ça veut dire Le Havre et on a un numéro de dock, je suppose que J245 signifie « 1er septembre ». C’est dans trois semaines, mais je suppose que pour faire sortir tout ça de la clairière il va falloir du temps… Donc je comptais dénoncer toute cette magouille sur Internet. Or si l’agent de liaison ne se rend pas à l’adresse indiquée, l’opération ne pourra pas se faire, puisque le destinataire ignorera la date et le lieu de livraison… Et en plus je ne pourrais pas écrire mon article !
– Autrement dit, tu envoies Chanette au casse-pipe, juste pour que tu puisses écrire ton article à la con !
– Ce n’est pas un article à la con, je dénonce des pratiques scandaleuses.
– Bon on va te relâcher, récupère tes affaires, mais attention, si je te revois de nouveau tourner autour de Chanette, je te casse les deux jambes.
– Fasciste !
– Tu te répètes un peu là.

On le détache.

– Je peux avoir un verre d’eau ?
– Non ! Fous le camp !

Et Jacques s’en va s’en demander son reste.

Anne-Marie le voit sortir.

– Merde, je fais quoi.

Elle décide de le suivre et en avise Roquevert.

– Remplace moi à l’entrée piéton… un collègue va venir en renfort …

Anne Marie suit Jacques en métro, puis à pied jusqu’à l’hôtel des Grives, rue de Charenton.

– Suspect numéro deux localisé, quelles sont les instructions ?
– Interrogatoire puis neutralisation si nécessaire.

C’est un hôtel bas de gamme.

– Je voudrais voir le monsieur qui vient de rentrer, on s’est raté de près.
– Chambre 12.

Anne Marie frappe pistolet en main, Jacques ouvre, stupéfait.

– Tu me laisses entrer et tu fermes ta gueule, je ne suis pas ici pour rigoler.
– Je me disais aussi… Tente d’ironiser l’homme.
– Bon alors maintenant tu me racontes tout.
– Mais je n’ai rien à raconter.
– Qu’est-ce que tu es allé foutre chez la pute ?
– J’ai le droit d’avoir une vie privée, non ?
– Je ne pense pas qu’il s’agissait d’affaires privées.
– Puisque vous savez tout, pourquoi vous me demandez ?
– Parce que je veux l’entendre de ta bouche.
– Bon on va jouer carte sur table, j’ai appris par hasard ce qui se passait avec les gens de la clairière… Commence Jacques.
– C’est qui « par hasard » ?
– Un mec dans un bistrot du village, il avait déserté le campement et comme il était complètement torché, il m’a tout raconté. J’ai ensuite recoupé avec que nous ont dit Christine et Frédérique, je le suis dit alors que je pourrais écrire là-dessus… mais si ça pose des problèmes je laisse tomber, je veux pas d’emmerdes.
– Et ta visite à la pute ?
– Quelque chose clochait, je voulais savoir pourquoi elle ne portait pas le message à ses destinataires.
– Et elle t’a dit quoi ?
– Des conneries… à mon avis elle s’est dégonflée.
– Bon

Anne Marie réfléchit, le stade suivant c’est l’élimination. Elle peut le faire, elle a déjà tué, mais dans le cas présent elle hésite, allez savoir pourquoi ?

Alors elle temporise.

– Quand les gens en savent de trop, il y a deux façons de les faire taire, la première c’est le fric, mais ce n’est jamais fiable à cent pour cent, la seconde est plus efficace, on élimine la personne…
– Bon, bon, je ne dirais rien, et je n‘ai pas besoin de fric… rétorque Jacques, blême comme un cachet d’aspirine.
– Comment être sûr ?
– J’en sais rien, ma mère va mourir de chagrin si vous me tuez.
– Arrête ton baratin, on sait tout de toi, ta mère est décédée il y a dix ans. Ecoute conard, je vais te faire une fleur, je dirais que tu as réussi à me semer, mais disparais, t’as compris ça, tu disparais de la circulation. Et attention, il n’y aura pas de deuxième chance, si je te recroise, je te flingue.
– Mais pourquoi ?
– Pose pas de questions, adieu pauvre connard.

Jacques flaire le piège mais ne parvient pas à comprendre ce qu’il pourrait être.

– Elle préfère peut-être me tuer dehors que dans cette chambre ? Mais pourquoi ?

Il rassemble ses affaires, descend règle sa note et sort dans la rue, la peur au ventre. Peur qui ne le quittera pas jusqu’à la gare de Lyon où il prend un aller simple pour Rodez.

– Cible perdue, mon général.
– Ce sont des choses qui arrivent y compris aux meilleurs, ne vous mettez pas la rate au court-bouillon, il réapparaîtra.

Max a le regard libidineux je sens que je ne vais pas tarder à passer à la casserole, mais avec lui ce n’est jamais une corvée.

– Chanette, je vais être direct, j’ai envie de t’enculer !
– Ça pour être direct, c’est direct ! On va dans ma chambre ?
– Attends, il faut que j’aère ma bite, elle étouffe !

Et le voilà qu’il ouvre sa braguette et m’exhibe son chibre quasiment bandé.

Je l’aime bien la bite de Max, je la trouve attendrissante.

– A toi de jouer ! Croit-il devoir préciser.

Il a raison, c’est un jeu et je suis très joueuse, je m’accroupis, prend en main ce charmant organe, le caresse, le branlotte, avant d’en embrasser le gland, puis d’un seul coup d’un seul je mets tout ça dans ma bouche et commence une fellation en règle.

– Attends, me dit-il !
– Un problème ?
– Non, mais il faut que je pisse, je ne peux plus tenir.
– D’accord !
– Tu la veux ma pisse ?
– Bien sûr, mais je me déshabille avant, j’ai pas envie de mouiller mes fringues.

J’enlève mes vêtements à l’arrache…

– Qu’est-ce qu’ils sont beau tes nichons ! Me complimente-t-il.

Et il se met à les peloter, je le laisse faire ça m’amuse à défaut de m’exciter.

– Je croyais que tu avais envie de pisser ?
– Oui, ouvre la bouche !

Elle est délicieuse sa pisse, mais son débit va trop vite, je ne peux pas suivre, ça me coule sur les nichons.

On fait quoi maintenant ? Allez chercher une serviette ? Gagner la chambre ? Reprendre ma pipe ? Ce ne sont pas les possibilités qui manquent !

Je crois comprendre néanmoins qu’il souhaite encore de la turlutte. Alors allons-y turluttons ! Et j’y vais de la langue et des lèvres tandis que mes mains lui flattent ses couilles, avant de passer derrière et de lui peloter les fesses.

– Oui, oui !

Je sais ce qu’il souhaite maintenant, depuis le temps que je le connais, le Max !

Mon doigt préalablement humecté lui est entré dans le rectum.

– C’est bon tout ça…

Je ne réponds pas, il est inconvenant d’interrompre une fellation avec des paroles futiles.

– On va dans la chambre ? Me propose-t-il enfin.

C’était inéluctable… je m’essuie les seins encore mouillés de pisse et on y va…

Je m’affale sur le lit et fait ma passive, me laissant tripoter par les grosses paluches de Max. Ça dure quelques minutes avant qu’il me propose de me placer dans une position plus adaptée à la sodomie.

Il me lèche le fion peu avare de sa salive, et quand je crois que je vais être bonne pour l’enculade, le voilà qui change d’avis.

– Et si tu t’occupais un peu de mon cul à moi ?

C’est dans mes cordes, il se met à son tour en levrette et je viens lui faire une belle feuille de rose, mais je sais ce qu’il souhaite, J’ouvre le tiroir de ma table de chevet. Il y a là-dedans un joli gode très réaliste avec vibreur incorporé.

J’encapote le machin et le lui enfonce dans le trou du cul.

– T’aimes ça, hein mon cochon !
– J’adore !
– Je sais que tu préférerais une vraie bite, mais je n’ai pas ça dans mes tiroirs.
– Dommage.

Max à découvert (on devrait dire à pris conscience) de sa bisexualité assez tard suite à sa rencontre avec Valentin (voir Chanette 16 – La Partouze de Mr le Ministre) et depuis il essaie de rattraper le temps perdu.

J’ai joué avec son trou de balle pendant plusieurs minutes, puis il m’a fait cesser, l’excitation devant être trop forte..

Chanette3107Je me replace en levrette, je cambre mon petit cul, Max s’encapote… et hop le voilà qu’il me sodomise. Un peu bourrin aujourd’hui mais il m’a fait tout de même jouir du cul. J’adore me faire enculer par mes amis !

Il est 18 heures, j’offre un apéritif à Max, il l’a bien mérité, j’ose espérer que maintenant je vais avoir la paix…

Ben non…

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:08

Chanette 31 – La clairière secrète – 6 – Massage à quatre mains
Massage3

Il devait être minuit lorsqu’on frappa à la porte de ma chambre, je me réveille en sursaut me souvenant que j’avais commandé un massage à quatre mains Je ne suis plus très motivée mais j’aurais mauvaise grâce à me défiler.

– C’est pour le massage ! Croit devoir préciser Marjorie.

Ben oui ce n’est pas pour changer l’eau du poisson rouge.

J’enlève mon pyjama et m’allonge sur le ventre. Les deux masseuses se déshabillent en silence, se reventent d’une blouse blanche qu’elle oublie (volontairement) de boutonner, puis Clotilde vient devant moi me masser les épaules tandis que Marjorie s’occupe de mes fesses.

Je ferme les yeux, me laisse aller, pour l’instant ce qu’elles me font est fort agréable, quand ces dames se décideront à être coquines, j’aviserai.

Je n’ai pas accès à la pendule mais je trouve que ça commence à être long. le massage traditionnel ça va bien cinq minutes. Je me dis alors que la fille et la mère n’osent peut-être pas faire des coquineries l’une devant l’autre…

Je me décide à précipiter les choses, on verra bien.

– Bon les filles si on passait à la suite ?
– On allait y venir, tu aimes les claques sur les fesses ? Me demande Marjorie.
– Pas trop fort !

Elle me tapote le cul, j’ai demandé pas trop fort, mais là c’est pas fort du tout.

– Un peu plus fort quand même !
– Pourquoi ? Tu as été vilaine ?
– Oui, très vilaine ! Répondis-je entrant dans le jeu.

Et cette fois elle tape correctement, ce n’est pas désagréable.

– Clotilde, donne-lui ta chatte à lécher pendant que je le lui donne la fessée. Suggère Marjorie

Voilà un programme qui me plait bien. Ce ne sera jamais que la deuxième fois que je lui broute son minou, mais que voulez-vous on ne se lasse jamais de bonnes choses.

C’est tout mouillé là-dedans, je lèche à qui mieux mieux, je la sens déjà prête à partir. Je redouble d’efforts et la voilà qui braille sa jouissance pendant que la mère continue de me rougir le cul.

– Oh, qu’est-ce qu’elle lèche bien ! Tient à indiquer Clotilde à sa maman.
– Mieux que moi ? Répond cette dernière.
– Disons que c’est différent.

Et voilà que ces dames permutent, non sans s’être échangé un baiser torride au passage.

Chanette3106
Je me retrouve donc cette fois avec la chatte de Marjorie devant mon visage, son goût est différent de celui de sa fille, plus musqué mais tout aussi agréable. Pendant ce temps Clotilde a entrepris de me balayer mon trou de balle avec sa petite langue agile. J’adore que l’on s’occupe de mon cul.

Je suppose qu’après la langue ce sera le doigt. Bingo et allons-y pour les « ça va, ça vient » intempestifs… Et ensuite ? Le gode sans doute. Non pas de gode ! Ce n’est pas gentil d’oublier ses outils !.

Je ne parviens pas à faire jouir Marjorie. Un blocage ? Ce sont des choses qui arrivent. Elle me demande de me retourner et se met en retrait.

J’offre ainsi mon intimité aux caresses linguales de Clotilde qui réussit à me faire jouir an moins de trois minutes.

Affaire terminée ? Non pas tout à fait.

– Vous allez vous occupez de moi, toutes les deux ! Propose Marjorie, je vais prendre ta place.

Elle s’affale sur le lit, cuisses écartées, j’ignore comment elle souhaite que nous pratiquions, mais j’ai comme une envie de lui lécher ses bouts de seins, c’est donc ce que je fais tandis que sa fille lui broute la chatte. De sacrés coquines ces deux-là !

Vendredi

Le taxi que j’ai commandé ne sera là qu’à midi, je descends dans la salle vers 9 h 30. Frédérique et William n’y sont pas, tant mieux, cela aurait été embarrassant après ce qui s’est passé hier. Sinon il y a l’inamovible Jacques et le couple de pieds nickelés.

Un type arrive, son visage me dit quelque chose, il s’adresse à Marjorie, je comprends alors qu’il s’agît d’un commissionnaire du camp des fadas, ce n’est pas le même que d’habitude… aucune importance. Mais pourquoi il me regarde comme ça ?

Bontempi (c’est son nom) ne comprend pas, il a en tête le descriptif de l’agent de liaison. « Fausse blonde, jolie, entre 30 et 40… »

– Ça ne peut être qu’elle… mais c’est la fille qu’on avait kidnappée, quelque chose m’échappe…

Le type prend possession de sa livraison puis revient, il se dirige vers ma table et me tend un papelard plié en quatre

– Ne le dépliez pas ici !

Il s’en va prestement. C’est quoi ce cirque ?

Je déplie le papelard.

Bélanger 145 bd de l’amiral Hautfleur. Paris.
J 245 LH D 21

C’est quoi, ça ? A tous les coups ce type s’est trompé de personne. Je m’apprête à me lever pour le montrer à Marjorie, mais voilà que les deux fins limiers m’entourent .

– Montre nous ça ! Me dit Adrien sur un ton qui a oublié d’être aimable.
– De quoi ?
– Il se passe des choses très graves, on veut voir ce papier !
– Mais vous m’emmerdez… et je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer.
– Alors s’il vous plait, madame, montrez-nous ce papier, on ne vous demande pas la lune !
– Pff.

J’ai fini par leur montrer. Après tout qu’est-ce que j’en ai à cirer ? Adrien Roquevert le met dans sa poche après l’avoir consulté..

– Ne bougez pas, je reviens !
– J’attends un taxi, lui précisais-je.

Moment de flottement, il échange un regard avec sa collègue.

– A quelle heure ? Me demande-t-il
– A quelle heure quoi ?
– Le taxi
– Midi !
– Alors tout va bien…

Les deux agents secrets sortent à l’extérieur, Adrien s’empare de son portable et compose le numéro d’urgence du général Tauvron.

– Agent Roquevert au rapport. L’adresse de livraison vient d’être récupérée, je vous la communique… l’agent de liaison est démasqué, c’était l’une des deux suspectes…
– Ok, laissez la libre mais ne la quittez pas d’une semelle..
– C’est qu’elle rentre à Paris ce midi.
– En train ?
– Oui elle attend un taxi pour l’emmener à la gare.
– Je gère. Rentrez à Paris immédiatement et attendez mes instructions.

Voici des nouvelles qui ont rendu le général Tauvron d’excellente humeur. Il compose le numéro de son aide de camp.

– Romer, contactez le responsable de la sécurité de la SNCF. Débrouillez-vous pour obtenir le numéro de place et l’horaire de la fille pour un Rodez-Paris aujourd’hui. Je veux qu’on la suive dès sa descente de train, je vous envoie sa photo…

Adrien prend le papelard en photo et revient vers moi.

– Je vous rends votre truc, c’est un malentendu.
– Ce n’était pas pour moi…
– Eh bien, jetez-le. Donc vous rentrez à Paris, c’est ça ?
– Ouai.
– Vous avez fait un bon séjour ?
– Un peu mouvementé, dirais-je, bonne journée, monsieur
– De même et bon retour.

Faux cul !

J’ai jeté le papelard sans m’apercevoir que Jacques l’avait aussitôt récupéré dans la corbeille.

Et le soir après un voyage ennuyeux (j’avais pris un polar dont la lecture s’est avéré décevante), je rentrais à la maison et récupérais mon matou chez ma voisine.

Evidemment j’ignorais qu’un fin limier m’avait filoché.

– La cible est rentrée chez elle, je fais quoi ?
– Vous nous attendez, on va prendre le relais. Répond Adrien Roquevert.

Je me préparais un petit en-cas quand la sonnette de l’entrée retentit

Qui cela peut bien être à cette heure ?

Un coup d’œil dans l’œilleton… Je n’en crois pas mes yeux… c’est Jacques ! Par quel prodige est-il arrivé jusqu’ici ?

– Qu’est ce vous foutez là ? Criais-je à travers la porte.
– C’est un peu compliqué, mais ouvrez-moi, je vais vous expliquer.

(Evidemment l’agent secret parisien ne le connaissant pas n’y a pas fait attention, je suppose que si Adrien et Anne-Marie étaient arrivés, l’histoire aurait pu prendre une tournure différente.)

Alors je fais quoi, si je n’ouvre pas, il est capable de rester scotché derrière la porte, il faut absolument que je me débarrasse de ce boulet, mais pour cela je dois d’abord le faire entrer.

J’ai un flingue à maison, acheté aux puces un jour, mais non chargé

Je le prends ainsi qu’une bombe au poivre et enfouis tout ça dans la poche de mon peignoir. Et j’ouvre.

– Comment vous m’avez retrouvé ?
– Il y avait votre adresse sur votre fiche de réservation.
– Je vois. Je vous préviens je suis ceinture noire de karaté (oh la menteuse !) et j’ai un flingue dans ma poche.
– Mais je n’ai aucune intention de vous nuire, bien au contraire, je suis là pour vous sauver la vie…
– Pauvre mytho !
– Ecoutez moi, je vous ai dit qu’il se passait des choses étranges avec cette secte dans les bois…
– Vous n’allez pas recommencer…
– Mais laissez-moi parler cinq minutes, dans cette affaire vous êtes un pion, et si le pion n’agit pas comme prévu, il se met en grand danger.
– Bon, j’en ai assez entendu, foutez-moi le camp.
– Je vous en conjure, il faut absolument vous rendre à cette adresse.
– Quelle adresse ?
– Celle écrite sur le papier…
– Le papier je l’ai jeté.
– Je sais mais j’ai recopié l’adresse, la voici.
– Rien à cirer. Maintenant dehors !
– Réfléchissez quand même, je ne voudrais pas avoir fait tout ce voyage pour rien.

Et il s’en va.

(Roquevert et Anne Marie, coincés dans les embouteillages ne sont toujours pas arrivés.)

Complétement cinglé ce type, il faut que je trouve le moyen de l’écarter de ma route. Je laisse un message à Max le dur, l’homme de main de Gauthier-Normand, qui m’a déjà sorti de maintes situations fâcheuses. (voir mes aventures antérieures)

Il me répond qu’il passera me voir demain matin

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:59

Chanette 31 – La clairière secrete – 5 – On s’agite au gite

bisou1719

Jeudi

Le lendemain matin, je retrouvais les mêmes tronches dans la salle commune. Un type entre, je l’ai déjà vu celui-ci. une fois ici, mais aussi à la baraque de la secte. Clotilde l’appelle par son prénom, Pierre. Elle lui livre de la bouffe, du poulet et des patates, dans des Tupperware, devinais-je. L’homme passe une feuille à Clotilde qui l’enfouit dans la poche de son tablier.

L’homme reparti avec sa mule, Anne Marie suit Clotilde dans la cuisine.

– Montrez-moi ce papelard !
– Mais vous n’avez rien à faire ici, sortez de cette cuisine. Proteste Clotilde
– J’ai tous les droits, rétorque-t-elle en exhibant son insigne. Allez, montrez-moi ça !
– Mais enfin, c’est juste une liste de courses.

Anne Marie découvre la liste avec stupéfaction, il est question de sparadrap, de sérum physiologique et de Doliprane.

– Désolé, je pensais qu’il s’agissait d’autre chose… vous leur faites leurs courses alors ?
– Et alors, c’est défendu ?
– Non, non, mais vous savez à qui vous avez affaire, au moins ?
– Je suis commerçante, et la qualité première d’une commerçante c’est la discrétion.
– Et sinon, vous livrez quoi ?
– Essentiellement des paniers repas. Bon c’est fini l’interrogatoire, parce que j’ai du travail.

Et on va maintenant parler d’autres choses pour comprendre la suite de cette ténébreuse affaire.

Communiqué de presse. AFP.

Spectaculaire explosion d’un convoi militaire sur l’axe Béziers Aurillac.

Cette nuit un convoi militaire de trois véhicules lourds, transportant des explosifs dangereux a explosé accidentellement. Selon le responsable du convoi, l’explosion se serait produite dans le camion numéro 2, se propageant ensuite sur les camions 1 et 3, le command-car roulant cent mètres en avant n’a pas été touché. Les trois conducteurs et leurs copilotes ont été tués par l’explosion. La sécurité militaire est intervenue pour boucler le périmètre interdisant l’accès aux journalistes…

Rapport du lieutenant-colonel Bourget. Classé secret défense.

Cette nuit à 3 heures du matin, notre convoi a été victime d’un guet-apens. L’effet de surprise a été total, nous avons eu affaire à des professionnels aguerris, j’ai été maîtrisé, et menotté ainsi que mes compagnons. Les conducteurs des camions et leurs copilotes ont été invités à descendre sous la menace et obligé d’actionner les systèmes d’ouverture. Les caisses d’armes ont ensuite été transféré dans des camions banalisés. Le transfert effectué, les assaillants ont fait exploser nos camions et ont pris la direction de Rodez avec leur camion. J’ai pu ensuite prévenir la sécurité militaire. On ne déplore aucun blessé.

Annexe 1. Secret défense. Général Tauvron.

Analyse des menottes :
Aucune empreinte exploitable.
Compte rendu du traçage de la cargaison :

Les armes sont stockées dans une clairière près du village de Mombillac accessible par le lieu-dit, le chemin de la fouine.

Analyse des émissions de radio provenant de la clairière et de leur décodage :
La destination des armes sera communiquée à un élément extérieur non identifié, sa description n’ayant pu être décodée correctement.

Annexe 2 secret défense général Tauvron
Les dix militaires témoins du guet-apens doivent être briefés d’urgence, il leur est interdit de communiquer à qui que ce soit au sujet de cet événement.

Annexe 3 secret défense, général Tauvron
En collaboration secrète avec la sécurité du territoire deux agents sont missionnés afin de déterminer la destination des armes. L’affaire devra se faire avec discrétion et l’agent de liaison devra être identifié.

Bien évidemment je ne fus au courant de tout cela que bien plus tard… comme vous vous en doutez bien.

Reprenons le fil du récit.

Avec Frédérique, nous avions envie aussi bien l’une que l’autre de nous rejouer la petite scène goudou de l’autre jour. Nous sommes donc allées près de l’étang, nous avons choisi un endroit où l’on ne pourrait (en principe) nous observer.

– Tu veux mon pipi, comme l’autre jour ? Me propose-t-elle.
– S’il est aussi bon que l’autre fois, je vais me régaler.

Je me couche dans l’herbe, Frédérique dégage son pantalon et son string et vise ma bouche. C’est délicieux et je me régale. Et miracle elle n’en met pas à côté.

Sa miction terminée, elle s’accroupit de telle façon que sa chatte soit en contact avec la bouche.

J’ai compris, la coquine souhaite que je la débarrasse des dernières gouttes d’urine. Ce n’est pas un problème, je lèche volontiers, j’adore le goût de sa chatte, elle commence à gémir, j’attaque son clito, madame jouit en hurlant dans un geyser de mouille.

Complètement excitée je retire mon pantalon à l’arrache. Pas besoin de lui faire un dessin, elle a compris, elle le demande de retirer mon haut, pas de problème.

Elle s’empare de mes nénés et les tripote ostensiblement le faisant durcir les tétons qu’elle suçote avec gourmandise.

Chanette3105Sa bouche redescend, la voilà qui me lèche la figue tandis que son doigt a trouvé mon trou du cul et s’y enfonce vicieusement.

Je suis aux anges, je sens mon plaisir monter inexorablement, je me lâche et jouis dans un spasme.

Un gris bisou pour conclure ces quelques minutes de douce folie.

On fait une petite pause, il me semble alors voir les branchages environnants bouger alors qu’il n’y a aucun vent. Une bestiole ? Drôle de bestiole, oui…

– William, sort de ton trou, tu es repéré.

Il se dévoile, tout penaud.

– Alors, c’était un coup monté ? Tançais-je Frédérique.
– Un peu, j’avoue.
– Et tu es fière de toi ?
– Non, mais est-ce si grave ?
– Non, ce n’est pas grave mais je n’aime pas qu’on se foute de ma gueule. Salut, rentre bien !

Et je m’éloignais consciente d’avoir été un peu vache.

J’en ai marre de ce gîte et de tous ces personnages bizarres, demain je me barre, mais je voudrais néanmoins m’en aller avec un bon souvenir, alors j’indique à Marjorie que j’aimerais bien un massage à quatre mains à la fin de leur service.

Sinon seul l’inévitable Jacques et les deux soi-disant agents secrets sont présents dans la salle commune. Mais qu’est-ce qu’il fout ce Jacques ? Et le voilà qui s’avance vers moi… au secours…

– J’ai une proposition à vous faire.
– Ça ne m’intéresse pas.
– Attendez au moins que je vous dise, c’est une proposition rémunérée..
– Je vous remercie mais je n’ai pas de problème de trésorerie.
– En voilà une repartie originale, on me l’avait encore jamais fait.
– Vous vous en remettrez, maintenant fichez-moi la paix.
– Trois minutes, accordez-moi juste trois minutes…
– Pfff

J’ignore pourquoi je l’ai laissé parler, la curiosité sans doute, on ne se refait pas !.

– Je vais vous faire une confidence : je suis journaliste d’investigation, j’ai la présomption qu’il se passe ici quelque chose de pas très clair, impliquant sans doute des complicités au plus haut niveau de l’état…
– Vous êtes mythomane à plein temps ou quoi ?
– Ces complicités, il faut les dévoiler…
– Abrégez, mon vieux, abrégez, vous me soulez…
– J’aurais besoin de votre témoignage.

Alors là j’éclate :

– Vous ne manquez décidément pas d’air, vous vous dégonflez comme une baudruche quand on vous demande de nous secourir, mais vous vous octroyer le droit d’écrire des trucs en pantouflant et en écoutant les autres…
– Mais…
– Casse toi, tu me donnes envie de dégueuler et je t’interdis de m’adresser de nouveau la parole.
– Pétasse !
– Connard !

Les deux agents secrets ont été formés à écouter les conversations distantes en faisant abstraction des éventuels bruits de fonds, ils savent aussi lire sur les lèvres, ils ont donc entendu une partie de la conversation, surtout la fin. Ils ne comprennent que dalle, les pauvres chéris !.

– Mais qu’est-ce qu’il essaie de nous faire ?
– Il risque de devenir gênant !
– On le neutralise ?
– Faudra peut-être mais donnons-nous du temps.

Jacques est reparti bouder à sa table. Quel con, mais quel con !

Et sur ce je suis montée dans ma chambre et j’ai commandé un taxi pour le lendemain

A suivre

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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:56

Chanette 31 – La clairière secrète – 4 – D’une clairière à l’autre
Stamp Mature Sodo

– Ce mec ne me dit rien du tout ! Chuchotais-je à l’oreille de Frédérique.
– Ben, quoi, il est mignon, non ? Et il a une belle bite ! Me répondit-elle
– Pas mon genre !
– Alors on se casse ! C’est dommage, j’aurais bien brouté la Rachel.
– T’auras d’autres occasions !
– Peut-être, mais je me demande bien pourquoi elle nous a proposé ça ?
– Arrête, c’est toi qui l’a branché en lui parlant de sa chatte.
– Je l’ai provoqué, mais j’ai l’impression qu’elle nous aurait sollicité de toute façon.
– T’es sûre de ça ?
– Evidemment, pour elle c’est la meilleure façon de protéger son petit secret.
– Tu parles d’un secret, ils n’ont pas été discrets.
– Elle ne s’est pas rendu compte qu’on pouvait les voir…
– On fait quoi alors ?
– Pour l’instant on roupille, ensuite on va se brancher la Rachel à deux et je m’arrangerais pour que son fiston te foute la paix.

Et une demi-heure plus tard…

– Alors Frédérique, tu la veux toujours, ma chatte ?
– Bien sûr que je la veut !
– On est tous les deux à votre disposition ! Nous indique-t-elle, tout en branlant la bite de son fils, regardez-moi cette bite, ce serait dommage de ne pas la sucer, n’est-ce pas ?
– Je vais te lécher la chatte et pendant ce temps-là, Christine (c’est moi) va te lécher le troufignon.
– Allons-y !
– Et moi je fais quoi ? Demande Bertrand.
– Patience, on est pas pressée ! lui dit sa mère.
– Je veux bien qu’il s’occupe de mon cul pendant que je te lèche ! intervient Frédérique.

Et le quadrille se met en place. Me voilà donc derrière Rachel en train de lui lécher le fion. De l’autre côté Frédérique se régale (du moins je suppose qu’elle se régale) de la chatte charnue de Rachel. Quant à Bertrand, je n’ai pas beaucoup de visibilité mais il me semble bien qu’il s’active accroupie derrière Frédérique.

Au bout de cinq minutes, Rachel se dégage, elle devait avoir des crampes, et s’assoie par terre.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il sont jolis, tes pieds ! me dit-elle.

Ah bon ?

Je ne suis pas moi-même fétichiste du pied, mais j’en ai croisé pas mal. Mais c’est vrai qu’un pied ce peut être très joli surtout s’il est entretenue et les ongles vernis.

– Tu veux les lécher ?
– Oh oui ! Oh oui !

Je lui tend mon panard.

– Me chatouille pas s’il te plait !

Elle me lèche les orteils, mais la position est intenable je suis debout sur un pied et suis à deux doigts de me casser la gueule.

– Attends !

Je m’assoie par terre et lance mes pieds en avant, dans cette position, elle peut me lécher tant qu’elle veut, je ne risque pas la chute.

Chanette3104A côté de nous, Frédérique a engloutit la bite de Bertrand. Donc pour l’instant tout va bien.

Rachel me fait signe qu’elle aimerait bien m’embrasser, ce n’est pas un problème, on se roule un gamelle, elle embrasse bien la filoute !

– Tu m’as l’air d’une sacré coquine ! Me complimente-t-elle.
– Et toi donc !
– On va dire que je suis libertine.
– T’es venu ici par hasard !
– Non, j’ai trouvé les coordonnées sur Internet. Dans un site qui listait des endroit coquins, il disaient qu’il y venait des couples échangistes.

Intéressant ! Je comprends mieux pourquoi ma copine Anna a voulu m’emmener ici. Elle va m’entendre celle-là !

Des gémissements intempestifs proviennent d’à côté. Frédérique en position de levrette se fait proprement enculer par Bertrand. J’espère qu’il va jouir en elle, comme ça il me foutra la paix.

Je lèche la belle poitrine de Rachel, faut voir les gros tétons qu’elle se paye, c’est un vrai délice sous ma langue.

Mais j’en veux davantage et descends vers sa chatte charnue qui mouille comme une éponge.

Je me régale de ses sucs et quand elle commence à haleter de façon intempestive, je porte le bout de ma langue sur son clito et la fait partir au septième ciel. Il faut dire que dans ce genre de rapport, j’ai ma petite expérience..

– A toi de me faire jouir ! Lui indiquais-je.

Elle n’a pas refusé (heureusement encore !) et s’est montrée très douée.

Un peu de repos maintenant ? Bertrand sort du troufignon de Frédérique qui a jouit du cul comme une malade. Il retire sa capote (elle sort d’où sa capote ?) Manifestement il n’a pas joui.

Je me relève pour l’éviter, mais il n’est pas si bête que ça et à du deviner qu’il ne me branchait pas.

– Maman, je peux encore t’enculer ?
– Mais bien sûr mon chéri.

Rachel se positionne et écarte des globes fessiers pour recevoir la bite de son fils, il la pénètre à la hussard. L’affaire fut rapide, il devait avoir les couilles pleines.

– Faut que je pisse ! Vous voulez une petite douche, les filles ? Propose Rachel décidemment déchaînée.
– Oui, oui, pisse-moi dessus ! Répond Frédérique. Je veux ton pipi dans ma bouche !

Elle se fait donc arroser et comme c’est le genre de délire que j’apprécie tout particulièrement, je me pose à côté d’elle pour recevoir ma part.

Petit flashback

Anne-Marie chemine, elle a beau être désormais équipée pour se garder des vipères, elle n’est pas si rassurée que ça !.

– J’ai horreur de ces bestioles, c’est viscéral.

Et la voilà qui entend du bruit, des drôles de bruits.

– C’est pas possible, y’en a qui s’envoient en l’air dans le coin ?

Elle se rapproche. Elle n’en croit pas ses yeux.

– Des gouines ! Quelles salopes ! Elle a un de ces culs la rousse ! Hum elle m’excite, elle m’excite. Mais, mais ce sont les deux nanas que je file. Trop la chance de les avoir retrouvées. Mais bon, si elles sont parties en balade uniquement pour s’envoyer en l’air, je vais avoir l’air de quoi ? Et on dirait un couple plus loin… c’est la clairière des nymphos ici ou quoi ?

Anne-Marie assiste à la partouze, la main dans la culotte et attend patiemment que nous relevions et que nous reprenions notre marche. Puis elle reprend sa filature…

Reprise

Nous marchons encore un quart d’heure avant de découvrir une clairière beaucoup plus grande au milieu de laquelle trône une bâtisse en rondins apparemment récemment rafistolée.

Des gens s’activent sur une grande table devant cette cabane, on ne voit pas bien, mais Frédérique a emporté ses jumelles.

– C’est quoi ces pitres ? Regarde, ils sont tous en aube blanche.
– Une secte ?
– Mais qu’est-ce qu’il fabrique sur cette table ? Tiens regarde !

Deux types sont en train de trifouiller ce qui ressemble bien à une arme de guerre, je ne peux l’identifier, je n’y connais rien, Frédérique non plus.

– On n’en saura pas plus, on va rentrer. Me suggère cette dernière.
– Ok on y va !
– Ne bougez plus, levez les mains en l’air ! Nous gueule un type derrière nous.

Manquais plus que ça ! Bien obligées d’obéir.

On nous maitrise, on nous emmène derrière la cabane où règne une odeur nauséabonde. On nous fait assoir par terre après nous avoir ligotées et bâillonnées. J’ai connu des situations plus confortables.

Anne-Marie a tout vu, elle a des jumelles et elle est armée et entraînée. Mais elle se refuse à prendre une initiative sans instruction claire. Elle tente de contacter Adrien. Pas de réseau…

Il va donc lui falloir se décider, soit ne rien faire pour le moment et revenir avec Adrien, soit intervenir immédiatement…

Elle sent une imperceptible présence derrière elle. Elle se retourne d’un bond et vise à cinquante centimètres du sol. Le type blessé à la jambe hurle comme un malade.

Tout ce vacarme a rameuté les gens en aube.

– Personne ne bouge ! Hurle Anne Marie en pointant son flingue contre cette bande de dangereux excités.

Mouvement de flottement.

– Maintenant libérez les deux femmes.

Un gros caillou venu d’on ne sait où lui atterri sur le front. Anne Marie s’écroule, elle est maitrisée et vient nous rejoindre derrière la cabane, comme nous, ligotée et bâillonnée.

Evidemment je suis d’abord surprise de la voir. Je comprends néanmoins qu’elle nous a suivi. Elle me prend pour qui cette pétasse ?

Pas facile de dialoguer quand on est bâillonnée, Anne Marie essaie de nous dire quelque chose, je n’y comprends rien

Anne Marie approche son visage de ma nuque et à l’aide de ses dents parvint à dégager mon bâillon. Elle me tend sa propre nuque, je comprends qu’elle souhaite que je la dégage à mon tour, mais je n’y arrive pas. Frédérique vient à la rescousse et cette fois ça fonctionne.

Nous ne sommes plus bâillonnées. Je pose des tas de questions, Frédérique aussi.

– On parlera de tout ça tout à l’heure, nous interromps Frédérique, pour l’instant il faut qu’on se détache !

Les liens ont été confectionnés avec des torchons serrés. Anne Marie avise un petit bout de bois un peu large, l’attrape avec les dents. Elle s’approche de Frédérique.

– Toi tu vas m’aider, il fait essayer d’introduire le bout de bois dans le nœud.

On fait ça pratiquement en aveugle avec nos mains liées dans le dos . Pas pratique mais on y arrive. Une fois le bâton dans le nœud, il suffit de faire pression dessus afin de le desserrer. (Toute une technique !)

Nous voilà libérées de nos liens.

– Maintenant on se barre ! Nous dit Anne Marie, ne faites pas de bruit, je vais voir si la voie est libre.

Elle revient très vite.

– Pas moyen, ils sont toute une flopée !
– Et par là ? Proposais-je
– Je vais voir…

Quand elle revint, ce fut pour nous dire que cette issue débouchait sur un ravin impraticable.

– Je vais réfléchir, la solution c’est sans doute de prendre l’un de ces abrutis en otage, mais ça risque d’être un peu compliqué.

A l’intérieur, Graziello, le gourou de la bande tient conciliabule avec Lyrta, sa groupie préférée.

– On en fait quoi de ces connes ? Demande-t-elle.
– Faudra bien qu’on les relâche.
– On pourrait aussi bien les faire disparaitre, on les fait dégringoler dans le ravin, et bing, ça s’appelle un accident de montagne…
– T’es pas un peu malade, leur disparition sera signalée et le coin va être envahi par la gendarmerie, les gardes chasses, les chiens renifleurs…
– Oui, bon … mais si on les torturait un peu avant de les relâcher ?
– Pour qu’elles portent plainte, tu devrais arrêter de fumer n’importe quoi. Par contre on peut leur faire peur et les énerver un peu. Qu’on aille me les chercher.

Ils sont venus nous chercher à je ne sais combien, ils ont l’air complètement abrutis ne s’étonnant même pas que nous soyons libérées de nos entraves.

– Ils vont nous interroger ! Laissez-moi parler, je sais faire face à ce genre de situation. Nous confie Anne Marie en catimini.

Le gourou est plutôt beau gosse pour qui apprécient le genre brun ténébreux avec des sourcils de compétition, auprès de lui trône une blondasse qu’on dirait sortie d’un épisode d’Alerte à Malibu

– Je me demande de ce que je vais faire de vous, commence le gourou, mais dites-moi donc ce que vous veniez faire ici ?
– On se baladait ! C’est interdit ? Répond Anne Marie.
– Avec un revolver et dans un coin infesté de vipères ?
– Le revolver c’est pour les mauvaises rencontres, et les vipères ne me font pas peur
– On tient à notre tranquillité, nous ne faisons de mal à personne. Vous pouvez comprendre ça ? Nous dit le gourou.
– Mais parfaitement. Nous ne pensions pas rencontrer du monde mais nous n’avons rien contre vous !
– Encore heureux, nous sommes les adorateurs d’Odilon.
– Je crains de ne pas connaître…
– Evidemment, il faut être initié. Je vais réfléchir à votre sort, rien ne presse.
– Etes-vous conscient que nos amis vont vouloir nous rechercher ?
– Bien sûr, pour qui nous prenez-vous ? Mais nous savons gérer ce genre de situation. Gardes donnez-leur à boire et reconduisez-les derrière la baraque.

Retour donc à la case départ.

– Ils vont nous libérer, ils ne peuvent faire autrement . Nous dît Anne Marie se voulant rassurante.
– Et pourquoi ils ne le font pas tout de suite.
– Pour nous emmerder.

Au gîte on commence à s’inquiéter. Oh pas pour moi, tout le monde s’en fout de moi, mais William s’inquiète pour Frédérique et Adrien pour Anne Marie, d’autant que les portables restent désespérément muets.

William pâle comme un linge s’approche de Jacques.

– Excusez-moi, vous connaissez bien la région ?
– J’y suis né.
– Parce que ma copine est partie ce matin vers le chemin de la fouine, elle n’est pas rentrée et son portable ne répond pas.
– Normal, il n’y a pas de réseau par-là !.
– Oui mais je suis inquiet quand même, ça vous dirait de m’accompagner…
– Mais elle va revenir votre copine, arrêtez de baliser. Vous me faites rire les Parisiens, toujours en train de vous inquiéter pour rien

Adrien qui n’était pas très loin s’approche.

– Laissez ce pleutre ! Moi, je vais venir avec vous, dit-il à William.
– Comment vous m’avez appelé ? Réplique Jacques jouant les offusqués.
– Fallait écouter mieux, venez William, ne perdons pas de temps.

Les deux hommes cheminent et… (vous vous en serez douter !) tombent sur l’ermite.

– C’est pas possible, c’est une invasion, il n’y a rien à voir par là. Foutez le camp !
– Bonjour monsieur. Répondit Adrien avec un calme olympien. Nous recherchons trois jeunes dames qui se sont sans doute aventurées dans le secteur
– Foutez le camp !
– Répondez-nous et on s’en ira.
– Je ne suis pas une agence de renseignements.
– Bien sûr, mais répondez moi quand même !
– Foutez le camp.
– Ecoute pépère, si la courtoisie ne te convient pas, on peut faire autrement.

Adrien attrape le bras de l’ermite et le tord violement.

– Maintenant tu me réponds ou je serre plus fort ?
– Vous n’avez pas le droit… aïe.
– Alors t’a retrouvé ta langue ?
– Il y a trois pétasses qui sont passées ce matin.
– Et elles sont revenues ?
– Bien sûr que non, elles ont dû crever, c’est trop dangereux par là.

Passant outre les vociférations de l’ermite les deux hommes poursuivent leur chemin… jusqu’au fameux panneau dissuasif.

– Merde, je n’avais pas pensé à ça, si on se fait piquer, c’est la cata… on retourne au gîte en vitesse, J’espère qu’ils ont encore des doses de sérum.

Ils rebroussent chemin, repassent devant l’ermite qui se contente de ricaner stupidement.

Le temps d’embarquer le sérum et de se protéger et c’est reparti.

Et soudain Adrien pousse un cri de douleur et s’écroule au sol ! Non ce n’est pas une vipère, il a buté sur on ne sait quoi, sa cheville gonfle à vue d’œil. C’est l’entorse.

– Putain, ça fait trop mal, Il va falloir que tu m’aides à revenir. On ne peut plus continuer comme ça. On va prévenir la gendarmerie, c’est eux qui feront le boulot.

La marche est pénible. Adrien a beau être un dur à cuire, quand ça fait mal, ça fait mal.

On a fini par nous libérer. Il commence à faire tard, on vérifie s’ils ne nous ont rien piqué, non tout est là à l’exception du flingue d’Anne-Marie, faut pas rêver non plus !

On est un peu choqué quand même par cet épisode sordide, on le serait à moins ! Aussi Frédérique et moi commentons en boucle l’événement. Anne-Marie pour sa part s’est enfermée dans le silence. Personne ne gère son stress de la même façon.

Après avoir dépassé le fameux panneau anti-vipère, Frédérique constate qu’elle a enfin du réseau

– On arrive, on sera là dans vingt minutes.
– Dieu soit loué ! répond William qui pourtant n’y crois guère.

Anne-Marie téléphone à son tour… pas moi, personne ne s’inquiète de moi.

On arrive, on a droit de la part de la patronne et de sa fille a une flopée de commentaires dont nous n’avons que faire, même si ça partait d’une bonne intention.

– On est tombé sur une bande de fous furieux, une secte d’abrutis. On va porter plainte pour séquestration.

Anne-Marie a continué à se taire mais ne perdait pas une miette des conversations.

William et Frédérique m’ont invité à leur table. Je me suis étonné de déguster une omelette aux champignons avec grand appétit.

Dans la salle, il n’y a personne d’autres hormis Jacques mettant un temps infini à dévorer sa part de clafoutis.

Adrien et Anne Marie sont montés dans leur chambre après avoir simplement avalé un verre de jus d’orange .

– Bon, faisons le point, commence Adrien.
– Attends, je téléphone d’abord aux gendarmes, il n’est pas question que ces conasses portent plainte… Allô la gendarmerie, ici l’agent 475689U, sécurité du territoire. Je vous donne mon code pour vérification…
– Allez-y… votre identité s’il vous plaît
– Anne Marie Ledoux
– Je vous écoute
– Deux personnes s’apprêtent à porter plainte au sujet d’individus suspects opérant dans une clairière accessible par le chemin de la fouine près du gîte de la Gloriette.
– Hum ..
– Il s’agit d’une affaire classée Défense, je suis missionnée pour la prendre en charge…
– Donc on enregistre la plainte mais on ne fait rien, c’est ça ?
– Vous avez tout compris ! Pas trop cons ceux-là, commente-t-elle en raccrochant .
– Tu parles, on leur évite une opération merdique. Bon alors fait moi un rapport sur tes aventures.
– J’ai suivi la pute qui s’est embarqué avec cette Frédérique. Elles ont rencontré l’ermite, c’était un peu chaud mais rien d’important, elles ont dépassé le panneau anti-vipère, je suis revenue m’équiper…
– Je sais tout ça, mais après ?
– Je ne savais pas si j’arriverais à les rattraper, l’ai j’ai eu du bol, figure-toi que, elles sont arrêtées pour se bouffer le gazon .
– Non ?
– Si ! Et ça a duré un certain temps parce qu’après elles ont partouzé avec un autre couple… Ensuite elles sont arrivées devant une baraque où s’activait une quinzaine de personnes en toge blanche…
– Ce serait donc une secte ?
– Ça y ressemble sauf que certains d’entre eux, dehors autour d’une table s’amusaient à bricoler des armes de guerre. Et là les nanas ont été capturées, j’ai voulu t’appeler mais pas de réseau. Obligé de prendre une décision, j’ai braqué tout ce petit monde mais j’ai reçu un caillou sur le crâne

Elle raconte la suite, la libération des liens, l’entretien devant le gourou ..

– Tout ça, ça change un peu la donne, je vais appeler le boss.

Adrien lui raconte tout ça, au bout du fil la réponse est très brève.

– Il a dit quoi ?
– Il a dit qu’il fallait qu’on se démerde et il t’a reproché d’avoir pris le risque de faire capoter la mission
– N’importe quoi ! Et concrètement on fait quoi maintenant ?
– La pute est de fait hors de cause, reste ce connard de Jacques et éventuellement les patronnes, on se partage le boulot, je prends Jacques, si je pouvais me le cogner, celui-ci !
– Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
– Quand William lui a demandé de l’accompagner pour rechercher sa copine, il a carrément refusé…

A table après le dessert on a un peu traîné, William invoquant une grande fatigue nous a laissé, Frédérique et moi en tête à tête.

– Faut qu’on oublie tout ça, si tu veux demain on ira se balader ailleurs, peut-être que l’on trouvera une clairière accueillante ?
– Coquine !
– Ça ne te dis pas ?
– Bien sûr que si.
– Si j’osais je te demanderais bien un truc un peu chelou !
– Dis toujours.
– Mon copain a un fantasme, c’est de regarder deux femmes ensemble.
– Classique.
– Ça te gênerait ?
– Je ne sais pas trop, ce n’est pas que ça me gêne, c’est que ça fout la spontanéité en l’air.
– C’est non, alors ?
– Ça me dit rien .
– Pas grave. Sinon je ne comprends pas l’attitude de cette Anne Marie, on a quand même partagé des sales moments et maintenant elle nous snobe… et d’abord qu’est-ce qu’elle avait à nous suivre ?
– C’est une espèce de fliquette ou de détective, enfin quelque chose dans le genre. Je ne sais pas trop ce qu’elle cherche avec son copain ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:54

Chanette 31 – La clairière secrète – 3 – Sexe bucolique
bisou1719

Je suis redescendue à 19 h 30. Tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). Jacques, l’artiste peintre, Adrien, le flic qui m’a pris la tête et sa copine, ainsi que le couple de la voiture dont la femme rigole comme une bossue avec son compagnon, celle-ci m’adresse un sourire de bienvenue que je lui renvoie volontiers .

Ce n’est pas un hôtel restaurant et le choix des plats est restreint, mais c’est bon et je commande du chou farci… (excellent)

Deux personnes descendent de l’étage, des nouvelles têtes. La femme doit avoir dépassé la quarantaine, cheveux châtain bouclés, visage agréable. L’homme, je devrais dire le jeune homme doit avoir 20 ans de moins qu’elle. Je note une certaine ressemblance… C’est peut-être son fils. Quelle drôle d’idée de venir en vacances avec sa maman quand on a vingt ans !

Et voilà que la rousse du couple arrivé en voiture s’extirpe de son siège et vient à ma rencontre.

C’est une coutume locale ou quoi ?

– Frédérique ! Se présente-t-elle. Pardonnez mon audace, je vois que vous mangez seule. Si vous désirez un peu de compagnie nous serions heureux de vous avoir à notre table.

Je m’apprêtais à lui débiter mon petit couplet sur mon besoin de solitude, mais devant une telle apparition je restais dubitative et finissais par accepter cette singulière invitation.

Je me présente et elle me présente son compagnon, William.

Evidemment la conversation tourne autour des balades à faire dans le coin.

Je leur parle de ma petite virée à l’étang et de la magnifique vue qu’il y a. Mais aussi de ma première virée au Bois de la Fouine avec la rencontre de l’ermite et la découverte de ce panneau très dissuasif indiquant la présence de vipères.

– Des vipères ? Pourquoi y en aurait-il plus qu’ailleurs ?
– Ma foi je n’en sais rien.
– Ce doit être un vieux panneau !
– Non au contraire, il est tout neuf…

Et je leur montre la photo que j’ai prise.

– Si ça se trouve, c’est ton ermite qui a posé ça pour qu’on lui foute la paix.
– Ah, oui je n’y avais pas pensé.
– Ça me dirait bien d’aller faire un tour par-là ! Tu viendrais avec moi ? Oh désolée, voilà que je vous tutoie ..
– Ça ne me dérange pas du tout .
– Super. Tu viendrais avec moi ?
– Pourquoi pas ? Monsieur vient aussi ?
– Hélas non, il s’est blessé au pied le pauvre chéri, alors pour lui les grandes balades, faut attendre un peu.
– Demain 10 heures, ça te va ?

On a ensuite parlé de choses et d’autres, elle est vraiment agréable cette Frédérique, elle rigole tout le temps, et puis son visage me fascine, il faut que je fasse attention, elle va finir par s’en apercevoir. Et puis c’est bien beau de fantasmer mais il ne faut pas rêver non plus, toutes les femmes ne sont pas attirées par les femmes ! Et en plus elle est accompagnée alors calme toi, Chanette !

La nouvelle venue a terminé son repas et passe devant moi en me gratifiant d’un très joli sourire.

– Bonjour je suis Rachel, et voici mon fils Bertrand.
– Enchantée, moi c’est Christine.

C’est donc bien le fiston, mais au moins ils ne sont pas collants et remontent à l’étage.

N’empêche que je remontais dans la chambre excitée comme une puce. Et j’en arrivais à souhaiter que Marjorie et sa fille viennent me prodiguer un massage à quatre mains. Mais personne n’est venu, je me suis donc soulagée toute seule comme une grande.

Lendemain matin, Mercredi

Adrien et Anne Marie les deux agents (à peine) secrets tiennent conciliabule.

– Aucun coup de fil suspect, normal, ils ne sont pas complètements fous, rien à signaler du côté du peintre, en revanche la pute a cherché à se barrer, elle a passé un temps fou à écumer les agences de locations de vacances, elle a failli en trouver une à Antibes, j’ai fait ce qui fallait pour la bloquer. Je veux qu’on se la garde sous la main.
– Elle a eu la trouille ?
– Ça c’est sûr, et quand on a la trouille on fait des conneries. Donc à mon avis on tient le bon numéro. Il va falloir redoubler de vigilance.
– OK je descends. répond Anne Marie.

Je suis descendue de bonne heure, seule Anne Marie est dans la salle.

Clotilde, la fille de patronne me sert mon petit dej’. Un type se pointe, il a davantage le look d’un ouvrier agricole que celui d’un touriste. Il s’assoit et attend. Quelques minutes plus tard Clotilde réapparaît avec deux très grands sacs en papier, l’inconnu les prend, paye et disparaît.

Je ne sais quel démon m’a poussé alors à m’aventurer à l’extérieur, toujours est-il que j’ai pu voir le type charger une mule avec les sacs puis se diriger vers le Bois de la fouine.

Il se passe décidément d’étranges choses en cette contrée.

En revenant, Clotilde devança ma question.

– Ce sont des militaires en manœuvre, du moins c’est ce que j’ai compris .

Le type n’avait pourtant le look d’un militaire, mais parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre.

Et à 10 heures, Frédérique et moi partions à l’aventure.

– J’ai emporté du sérum anti venimeux, on ne sait jamais. m’informe-t-elle

Et ça n’a pas loupé, il a fallu que l’on rencontre l’ermite .

– T’es revenu, toi la salope et avec du renfort. Je ne peux pas vous empêcher de passer mais vous ne ressortirez pas vivantes de cette forêt.
– C’est ça, on lui dira..

On a continué à avancer, on a dépassé le fameux panneau. J’ai un peu la trouille quand-même.

50 mètres derrière nous, Anne Marie nous file le train en s’efforçant d’être la plus discrète possible.

– Ça n’a aucun sens, avait-elle confié à son collègue, hier elle voulait se barrer et aujourd’hui elle copine avec une parfaite inconnue et s’engage dans ce chemin pourri.
– Ben justement, on est là pour essayer de comprendre ce qui est incompréhensible.
– T’as trouvé ça tout seul.

Evidemment elle tombe à son tour sur l’inévitable ermite.

– Qu’est-ce que tu fous là, pétasse ? C’est pas le château de Versailles ici, retourne tapiner ailleurs !

Le sang de l’agent secret ne fait qu’un tour, l’ermite reçoit une baffe en pleine poire.

– Tu me parles autrement, abruti !

Elle continue sa filature, mais tombe en arrêt devant le panneau indiquant la présence de vipères.

Elle appelle Adrien.

– Je ne peux pas prendre un risque pareil…
– Bon, reviens.

A son retour, Adrien l’informe avoir déniché une dose de sérum dans la boîte à pharmacie de gîte.

– Voilà, change-toi, met toi un pantalon, des grosses chaussettes et couvre-toi les bras. Et essaie de les rattraper.
– Je n’ai pas de grosses chaussettes.
– Superpose deux paires.

Elle retourne donc au charbon.

– Si je les rattrape, c’est que j’aurais eu du bol…

Un peu avant…

– Oh, la jolie clairière ! S’exclame Frédérique. On se pose un cul cinq minutes ?

OK, ça fait du bien de souffler un petit peu .

– Quel calme !
– Juste les petits oiseaux.
– Dis-moi t’as choisi ce gîte par hasard, ou tu connaissais déjà ?
– C’est ma copine qui a trouvé ça, elle a toujours des idées originales.
– Elle va te rejoindre ?
– Non, elle a eu un empêchement professionnel de dernière minute.
– Ah ! T’es célibataire ?
– Divorcée .

Je n’arrive pas à trouver le petit truc qui lui ferait dévoiler sa sexualité. Pourtant elle n’est pas aveugle, elle doit bien voir comment je la regarde.

– Mais si tu me parlais un peu de toi ? Repris-je.
– Bof, on a trouvé ça par hasard, je pensais qu’il y aurait davantage d’animation. J’espère que je. ne vais pas m’emmerder. Nous on aime bien les rencontres
– Ouai, c’est vrai qu’il n’y a pas grand monde….

Je ne sais plus trop quoi dire…

– J’aime bien la façon dont tu me regardes.

Enfin !

– Tu es très belle !
– N’exagérons rien, tu aimes les belles femmes ?
– J’avoue.
– Tu aimerais m’embrasser ?
– Oui .

Un cataclysme, j’ai déclenché un cataclysme !

Elle ne m’embrasse pas, elle m’aspire et en même temps elle me débraille, elle passe ma main sous mon tee-shirt, puis sous le soutif, me caresse le sein…

– Doucement, doucement !

Je proteste mollement mais me laisse faire, ça l’encourage, du coup elle me dégage mes seins et se jette dessus bouche en avant. Elle me fait des guiliguilis avec sa langue sur mes tétons, mais au bout de quelques instants j’ai l’impression qu’elle s’agite bizarrement…

– Faut que je fasse pipi ! M’informe-t-elle.

Elle s’éloigne de deux ou trois mètres, baisse son pantalon et sa culotte et pisse devant moi avec un sourire désarmant.

– J’avais une de ses envies ! Me confie-t-elle en guise de commentaire.
– Je vois ça.
– Passe-moi un kleenex que j’essuie ma foufoune.
– Laisse-moi ce plaisir !
– Si tu veux, c’est dans mon sac !
– Tu ne veux pas que je fasse ça avec ma langue ?Minaudais-je
– Oh ! Tu ne serais pas un peu vicieuse, toi ? S’amuse-t-elle.
– Disons que j’aime bien les jeux de pipi., Mais je proposais ça comme ça…
– Alors viens ma biche, viens me rincer la foufoune.

Il est des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois. Frédérique s’étale sur le sol en écartant ses cuisses et je viens la butiner.

Vous vous doutez bien que dans cette situation, je ne vais pas lui lécher les quelques gouttes d’urine résiduelles puis repartir dans mon coin. Non, j’ai bien l’intention de lui brouter la chatte…

Mais c’est elle qui me surprend…

– Attends, ne bouge plus, laisse ta bouche ouverte, je crois que je peux encore faire quelques gouttes. Tu veux ?
– Mmmm

Effectivement quelques petites gouttes me dégringolent dans le gosier. Je m’en délecte

– Et toi, t’as envie ? Me demande-t-elle !
– Je veux bien essayer.

A mon tour de dégager pantalon et culotte. Frédérique s’allonge sous moi; je m’accroupis, me concentre et parvient à libérer un petit jet

L’autre à l’air d’apprécier, mais je ne la vois pas avaler. Qu’est-ce qu’elle fout ?

Alors par gestes, elle me fait signe de rapprocher mon visage du sien J’ai compris, mes lèvres rejoignent les siennes. Et cette salope me rend toute mon urine qu’elle avait conservé en bouche ! Un peu timbrée la fille, mais ça m’a amusé !

On se redresse et de nouveau elle m’attaque mes nénés, Je m’abandonne aux douces caresses de sa langue agile tout en m’efforçant de lui débrailler le haut.

Mais soudain…

– Merde v’la du monde !

On essaie de se recouvrir… Les deux importuns avancent vers nous, il s’agit de Rachel et de son grand fiston. Ils arrivent à notre hauteur. On ne leur a jamais appris à ces gens-là qu’il y a des circonstances où il faut savoir se montrer discret ?

– Ne vous gênez pas pour nous, on va se poser un peu plus loin ! Nous annonce Rachel.

On reste bouche bée ! Que répondre ?

Ils filent cinquante mètres plus loin et s’allongent, mais avant ils retirent leurs vêtements. Ils vont donc faire une petite partie de bronzette à poil. Complétement à poil !

– On fait quoi, on se barre ? Proposais-je à Frédérique.
– Dommage on était bien parties !
– Ben oui !
– Et puis on les emmerde, si on les choque, ils n’ont qu’à aller se faire bronzer le cul ailleurs.
– On fait quoi alors ?
– On va s’allonger cinq minutes.

Chanette3103
OK on s’allonge côte à côte, j’ai complétement dégagé la poitrine de Frédérique qui déjà me pelote la mienne, ce doit être une manie.

Par curiosité je jette un coup d’œil dans la direction de Rachel.

– Mais attends, regarde ce qui se passe !
– Il se passe quoi ?
– Ben regarde !

En effet la scène ne manque pas de sel, Rachel s’est emparée de la bite de son fils et la branle en cadence.

– Ils se font pas chier, ils pourraient être plus discrets !
– Ils doivent croire qu’on ne les voit pas.

Après la branlette, c’est la sucette ! Rachel est maintenant en train de sucer la bite du fiston.

– Putain, ça m’excite ! Me dit Frédérique.

Je lui fous mon doigt dans sa chatte, toute mouillée.

– Regarde, il va la baiser !

Effectivement, Rachel se met en levrette (quel beau cul !) Bertrand passe derrière et c’est parti mon kiki ! Le grand dadais parait tout content de sodomiser sa maman.

Ces excentricités n’ont pas duré longtemps, cinq, dix minutes, allez savoir. La mère et le fils se sont de nouveau allongés et offrent leur corps au soleil.

Encore plus excitées que tout à l’heure, on se pelote à qui mieux mieux, nos doigts vont partout et évidement le mien ne tarde pas à pénétrer le trou du cul de Frédérique.

– Hum, j’aime ça, mais tu risques d’avoir des surprises…

Je crois comprendre mais je fais l’âne.

– Ben oui, je ne vais peut-être pas tarder à faire caca ! Se croit-elle obligée de préciser.

Je ressorts mon doigt qui effectivement n’est pas trop propre. Ça fait rire ma partenaire qui n’attrape le doigt et se met à le lécher en toute décontraction.

– T’as déjà fait de la scato ? Me demande Frédérique.
– Un peu comme voyeuse et comme donneuse !
– Ben c’est déjà beaucoup ! Tu veux me regarder chier ?
– Pourquoi pas ?

Elle s’est retournée afin de m’offrir la vue de son joli fessier et elle s’est mise à pousser. Un long boudin marron finit par sortir et s’enrouler dans l’herbe.

– Ça t’a plu ?
– Oui ! Balbutias-je.

En fait j’étais considérablement troublée.

– Tu m’essuie ?
– Je ne sais pas…
– Essaie, je vois bien que tu es tout excitée.

Alors dans un état pour ainsi dire second, j’ai approché ma langue de son anus, j’ai inspiré profondément et j’ai léché les deux ou trois traces douteuses.

– Viens me lécher, je n’en peux plus ! Lui indiquais-je

Et c’est en soixante-neuf que nous sommes toutes deux envoyées en l’air.

On s’est reposé quelques minutes avant d’être réveillées par un raclement de gorge. Rachel et son fiston sont là, ils sont à poil, leurs vêtements sous le bras.

– Euh, je voulais vous demander… je compte sur votre discrétion ! Commence Rachel.
– Ne vous faites pas de soucis ! Répondis-je
– Ce doit être le climat qui nous pousse à faire des choses interdites…

Ben voyons.

– Mais c’était magique ! C’est formidable de se faire enculer par son fils, n’est-ce pas mon chéri ?
– Oui maman !

On ne sait trop quoi dire ! Mais c’est Frédérique qui mets les pieds dans le plat.

– Vous avez une jolie chatte, chère madame.
– Si elle vous intéresse, je suis à votre disposition.
– Pourquoi pas ?
– Un petit truc à quatre, ça vous dirait ?

Frédérique a vu ma tronche, en effet le Bertrand ne me branche guère.

– On vient de faire les folles, on est un peu crevées. On se repose une demi-heure et après on verra.

On s’attendait à ce qu’il aillent patienter un peu plus loin, ben non, ils s’allongent à 5 mètres de nous et Rachel tripote négligemment la bite de son fils qui se met à bander de fort belle façon.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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