Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:23

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 1 – Adultère en Normandie
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Nous sommes en 1885, la France est calme après les événements de 1870 et de 1871 (Guerre avec la Prusse, destitution de Napoléon III, Commune de Paris,…). Après l’Empire nous sommes en République et le président a pour nom Jules Grevy, un monsieur très distingué avec une courte barbe blanche.

Nous sommes précisément en Normandie et encore plus précisément à Livarot, célèbre par son excellent fromage dans la ferme des Chamuseaux.

Pauline Chamuseaux, née Féval, qui sera la principale protagoniste de ce récit est une jolie femme de 22 ans. Elle est brune, possède un joli minois très ovale avec un mignon petit bout de nez (un peu grand, se plaint-elle parfois), des beaux yeux bleus et un teint de pêche. Elle a de jolies formes, mais n’en montre rien, son mari étant jaloux comme un tigre.

Un jour qu’elle recherchait on ne sait plus très bien quoi dans un local servant de débarras, elle découvrit un bouquin sans reliure aux pages jaunies par le temps. Elle l’ouvrit au hasard et tomba sur un bien curieux poème racontant à l’aide de mots très crus la rencontre charnelle entre un curé et une jeune novice. Pauline en fut si émoustillée que sa main droite dû la soulager.

Elle prit le bouquin avec elle, et souvent le soir dans sa chambre, avant que son mari la rejoigne, elle en lisait une page et se faisait plaisir.

Jusqu’au jour où son petit diable intérieur lui souffla qu’elle serait sans doute capable d’écrire elle-même de telles choses. C’est donc ce qu’elle fit, décrivant en vers hésitants des orgies à répétition où se mêlaient hommes, femmes, bourgeois et domestiques usant de pratiques perverses réprouvées par la morale mais tellement excitantes.

Au fil des temps son style s’améliora et les pages de son petit carnet secret s’étoffaient.

Pauline s’est marié relativement tard, pourtant elle eut des prétendants, mais son père exigeait qu’elle reste au bercail pour s’occuper de la grand-mère grabataire. Quand cette dernière avala son bulletin de naissance, c’est le paternel qui choisit le mari, le mariage qui fut arrangé avec Georges Chamuseaux, la quarantaine, veuf et riche vacher permettait aux deux familles d’y trouver avantage.

La noce fut grandiose. Mais Pauline n’était point vierge et craignait que son futur le prenne mal. Qu’importe, il y a toujours une copine qui est de bons conseils…

– Voici une petite éponge, tu l’imbiberas de sang de poulet (pas trop, hein !) tu l’enfermes dans ce petit étui de cuir, et après qu’il t’aura pénétré, tu lâcheras ça sur les draps.

Effectivement Georges n’y vit que du feu et la lune de miel dura une quinzaine de jours avant que le naturel de l’homme reprenne le dessus.

Une simple histoire d’assiette mal lavée et la pauvre Pauline reçu sa première trempe.

Eh, oui Georges se révéla colérique, violent et assez bas du plafond. De plus au lit c’était une véritable catastrophe, aucun préliminaire, aucun geste de douceur. Non une fois son affaire terminée, monsieur se retourne pour ronfler comme une locomotive !

C’est en faisant des courses au marché du village qu’elle rencontra Léon, jeune homme d’allure agréable et au sourire aussi charmeur qu’irrésistible.

– Je crois que vous avez fait tomber ces fleurs ! Lui déclara ce dernier.
– Pas du tout, elles ne sont pas à moi.
– Alors je vous les offre ! Je m’appelle Léon ! Pour vous servir, charmante dame !
– C’est gentil, mais je ne peux accepter.
– J’insiste.
– Je n’ai pas envie que mon mari me fasse une scène.
– Il est si méchant que ça le père Chamuseaux ?
– Vous savez donc qui je suis ?
– Tout se sait ici, mais répondez-moi.
– Qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– Devinez ?
– Je ne vois pas.
– Vous connaissez le sentier des Souches ?
– Oui ! Personne ne va plus par là depuis que le père Lucas est mort.
– Justement c’est l’endroit idéal pour faire la causette en cachette.
– Je vous vois venir, vous !
– Comment ça ?
– La causette que vous me proposez, est-elle admise par la morale ?
– Qu’importe ! Cela vous détendrait… et personne ne le saura.
– Grand fou ! Si je rentre en retard, mon mari va se poser des questions…
– Il suffira de lui dire que vous avez eu une longue conversation avec une commère…

Pauline est troublée par la beauté de ce charmant jeune homme, aussi accepte-elle.

Le sentier des souches est bordé d’une végétation sauvage, mais il y a un peu plus loin, une cabane de jardin en ruines.

– Arrêtons-nous là pour causer un peu ! Propose Léon, l’œil concupiscent.

– L’endroit me paraît guère confortable.
– Peu importe ! J’ai derrière ma braguette un braquemard qui ne demande qu’à faire votre connaissance.
– Vous n’y allez pas par quatre chemins, vous !
– La vie est si courte, pourquoi se priver d’une occasion ?
– Vous savez parler aux femmes, vous ! Allez, déballez-moi votre machin que je vois s’il a bonne allure !

Ainsi encouragé, Léon n’hésite plus et baisse son pantalon exhibant fièrement son service trois pièces.

– Pas mal, mais un peu mou, je trouve ! Constate la jeune femme.
– Il ne tient qu’à vous de la rendre moins molle.
– On va voir ce qu’on peut faire.

Pauline s’empare de ce vit, le caresse en éprouve la douceur, le branlotte, et c’est magique, ça devient tout raide…

– C’est mieux, n’est-ce pas ?
– Vous avez des doigts de fée !
– Je vais vous turlutter ! Vous n’avez rien contre ?
– Turluttez-moi la pine, ma douce Pauline !
– Taquineriez-vous la rime, beau Léon.
– A mes heures mais présentement ce que je taquinerais volontiers ce sont vos nichons.
– Vous êtes un cochon, Léon !
– Oui, oui un gros cochon.
– Un gros cochon qui veut voir mes nichons ?
– Oui, oui !
– Alors les voilà, j’espère que vous ne serez pas déçu, dit-elle en se dépoitraillant.
– Oh, mais ce sont des merveilles !
– N’exagérons rien, mais je n’en suis pas mécontente.
– Oserais-je les toucher ?
– Bien sûr, mais soyez doux

Et le voilà .qui caresse, qui pelote et qui malaxe.

– Doucement, doucement !

Les doigts de l’homme viennent agacer les tétons de Pauline, qui du coup se mettent à se raidir .

– Vous allez me rendre fou !
– Mais non, mais non ! Et puis on peut sans doute se tutoyer, au point où on en en est !
– Oui, oui
– Je t’avais promis une turlutte ! Lui rappelle Pauline en opérant une flexion des cuisses de façon à ce que sa bouche soit en contact avec le chibre maintenant fièrement dressé.

Elle met tout dans sa bouche et joue de sa langue.

– C’est trop bon de sucer des bites ! Indique-t-elle en reprenant sa respiration
– Tu en as sucé beaucoup ?
– Ça ne te regarde pas.
– J’ai envie de te baiser !
– Tiens donc ! Je m’en serais doutée. Seulement il y a un problème.
– Un problème ?
– Oui, on ne me baise pas.

Et devant l’expression d’incompréhension du jeune homme, elle se crut obligée de lui fournir une explication de texte

– Pas envie que tu me fasses un moutard.
– Je sais me contrôler. Objecte Leon.
– Désolée, ce n’est pas négociable, mais tu peux me prendre par derrière, ça ne me dérange pas et j’apprécie quand c’est bon fait
– Alors d’accord. Répondit Léon ravi de cette aubaine.
– Prépare-moi un peu, ce sera mieux.

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Pauline de retourna afin de lui offrir son joli popotin. Léon ravi de cette jolie vue qui s’offrait à lui en écartant les globes permettant ainsi à sa langue de venir butiner l’œillet brun dont il appréciait le goût particulier.

Puis quand il estima l’endroit suffisamment lubrifié, il approcha son gland de sa cible et d’un puissant coup de rein, l’encula corps et bien en la pistonnant en cadence.

Il s’y prenait plutôt bien Léon, ce qui n’était pas le cas de tous ceux qui avait en l’occasion de visiter l’arrière-train de la belle..

Pauline sentit sa jouissance monter et se mit à japper de plaisir. Ces cris encouragèrent Léon qui redoubla d’efforts jusqu’à sa propre jouissance

On se rhabille, on s’embrasse et on se promet de remettre ça la semaine suivante.

Cette liaison dura plusieurs semaines, puis un jour des charpentiers et des maçons virent travailler sur la fermette du sentier des Souches, il fallut donc trouver un autre endroit pour s’envoyer en l’air.

– Pourquoi pas chez ton père ? Dans sa grange personne ne nous verra.
– Pourquoi pas en effet !

La première fois, tout ce passa sans encombre, mais la seconde…

Ce jour-là les choses allèrent très vite (et très mal). Les deux amants ne sont pas encore déshabillés mais sont bien débraillés. On s’embrasse, on se pelote… et puis un bruit de porte…

– Pauline, espèce de catin ! Venir tromper son mari dans MA grange, tu vas voir de quel bois je me chauffe ! S’époumone Ernest Feval, le père de notre héroïne.

Il est dans une colère noire, le papa et la bave aux lèvres, menace le couple de sa fourche.

Le sang de Léon ne fait qu’un tour.

– On peut vous expliquer ! Dit-il en quittant sa place, les yeux fixés sur le paternel.

Il n’espère aucune réponse, il fallait simplement qu’il s’approche, et là il écrase le nez du paternel qui se met à saigner d’abondance, un autre coup l’assomme à moitié.

– Tu l’as tué ? S’inquiète Pauline
– Bien sûr que non, mais maintenant il nous faut filler !
– Filer où ?
– Fais-moi confiance, vite dépêchons nous !

Pauline

Et après cette nécessaire introduction (Oh !), le récit va se poursuivre à la première personne. Ma personne. Je raconterais donc ce que j’ai vécu, les passages dans lesquelles je n’étais pas présente ont été romancée, mais j’ai la faiblesse de les croire proche de la réalité.
.
La forêt est toute proche et nous nous y sommes engouffrés.

– Je connais une cabane, un peu plus loin, nous pourrons nous y cacher. M’explique Léon.
– Mais après on va faire quoi ?
– Je ne sais pas, faisons les choses dans l’ordre.

A la ferme de mes parents, c’est mon frère Auguste qui découvre mon père à moitié groggy.

– Qu’est-ce qui t’es arrivé, t’es tombé ?
– Non c’est pire que ça, j’ai surpris ta sœur en train de faire des saloperies avec un jeune coq du village.
– Quoi ?
– Tu te rends compte, ils ont osé faire ça dans MA grange !
– Et il t’a battu ?
– Oui, il m’a cogné par surprise.
– On ne peut pas laisser ça comme ça !
– Ben non ! Il nous faut prévenir Georges Chamuseaux…
– On va lui dire qu’il est cocu ?
– On va y mettre les formes, mais il faut qu’il la corrige, c’est à lui de le faire.

Le Georges est fort surpris de voir arriver le beau-frère et le beau-père.

– Il se passe quelque chose ? Je m’inquiète, Pauline n’est pas rentrée.
– Il y a un problème, nous avons surpris Pauline avec un jeune homme, à l’évidence, ils allaient passer à l’acte…
– A l’acte ? Quel acte ?
– On ne va pas te faire un dessin !
– Ils allaient… Oh ! La salope ! Je m’en vais la corriger, elle s’en souviendra !
– Elle mérite une leçon, il faut lui faire dire qui est ce voyou qui l’a entrainé dans ces turpitudes et lui faire passer un sale quart d’heure.
– J’y compte bien. Mais ils sont où en ce moment ces deux dévergondés ? Demande Georges.
– Ils doivent se cacher quelque part. Pauline finira par rentrer, je la connais elle va jouer les pleureuses et implorer ton pardon…
– Il y a des choses qui ne se pardonnent pas !
– Ne l’abime pas quand même, malgré tout c’est ma fille !
– Tu l’aurais mieux élevé, ça ne serait pas arrivé.

Voyant que la discussion partait dans une mauvaise direction, Auguste tira son père par le bras.

– On s’en va, on se tient au courant.

Avec Léon, nous avons marché pendant près de trois heures…

– S’ils font une battue avec les chiens ils vont nous retrouver
– Non il y a une petite rivière un peu plus loin, on la traversera à guet, les chiens ne comprendrons pas.

Encore une heure de marche et nous avons atteint cette fameuse baraque.

J’ignore qui habitait là-dedans mais ça sentait la vielle crasse.

– Bon on ne va pas rester là-dedans éternellement, on fait quoi ?
– Si tu retournes chez ton mari, il va te tuer !
– Alors je n’y retourne pas, mais je repose la question : on fait quoi ?
– Je ne sais pas, faut que je réfléchisse. On pourrait essayer d’aller à Rouen, c’est deux ou trois jours de marche.
– Mais il nous faudra manger, boire, dormir.
– A boire on trouve toujours, il y a des ruisseaux, et pour manger on piquera des pommes…

Journée de merde, on n’a rien bouffé, Léon a proposé que nous couchions sur place et que demain nous prenions la route de Rouen à moins que la nuit portant conseil, nous trouvions meilleure idée.

J’ai eu du mal à m’endormir, les images de mon père, avec sa fourche puis avec le nez écrasé me revenant en boucle.

Je fus réveillée par les premières lueurs de l’aube et le piaillement des petits oiseaux

– Léon où es-tu ?

Je ne le vois pas, je sors de la cabane, je l’appelle, il ne répond pas, il est nulle part. J’attends un peu présumant qu’il est parti chercher quelque chose en guise de petit déjeuner. Mais une heure plus tard, il n’était toujours pas là.

Je me rends donc à l’évidence, il est parti tenter sa chance tout seul on ne sait où me laissant abandonné comme une vielle culotte.

Le salopard ! Et moi qui pensait que ce Léon était différent des autres…

Je ne sais pas me repérer dans cette forêt, je me dis qu’en me dirigeant tout droit, je vais forcément tomber sur une route ou un chemin, mais aller tout droit dans cette forêt chaotique n’a rien d’évident.

J’avance, j’avance, je me dis que j’ai sans doute choisi une mauvaise direction, ça monte et ça descend, un vrai foutoir !

Je m’arrête un moment pour souffler un peu. Les oiseaux chantent à tue-tête dans leur chanceuse insouciance. Ils ne pourraient pas m’indiquer la route au lieu de gazouiller, ces volatiles !

Je reprends mon chemin et par chance, je tombe sur un petit ru. L’eau est claire, je peux enfin me désaltérer et me débarbouiller le visage. Petits bonheurs simples dans ma détresse du moment.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Lundi 28 avril 2025 1 28 /04 /Avr /2025 13:48

La vengeance de l’enculée par petitlapinou

 

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Transgression

Cette plage naturiste est vraiment un havre de paix et un avant-poste du paradis. Seuls quelques corps nus sont éparpillés seuls ou en couples entre les dunes semées de quelques touffes de genêts qui bordent la plage, où meurent de paresseuses vagues d’eau limpide. Je suis affalé à plat ventre sur l’ondulation de la dune, mes fesses nues liquéfiées par le soleil de cette fin d’après-midi, qui darde aussi entre mes jambes écartées ses rayons encore brûlants sur mes grosses couilles bouillantes répandues sur le sable blond.

Devant moi, j’ai une vue plongeante sur le corps parfait d’Emma, étalée dans mon prolongement sur la pente de la dune, face à la mer turquoise. Elle aussi est écrasée de chaleur, comme encastrée dans le sable, bras et jambes en croix.

Ça fait deux ans que nous vivons une passion dévorante. Avides l’un de l’autre, nous baisons comme des bêtes, découvrant ensemble les inépuisables ressources de nos sexes qui réagissent au quart de tour. Nos langues ont exploré et goûté chaque détour de nos beaux corps juvéniles. Nous nous sommes presque tout permis. C’est Emma qui a imposé un seul interdit : je lui lèche le cul qu’elle me permet aussi d’explorer du doigt, mais elle refuse que je l’encule, prétextant que ma grosse biroute lui déchirerait l’anus en le pénétrant, et que de toute façon elle n’y trouverait aucun plaisir.

Le menton posé sur les mains, je me délecte du spectacle de son cul magnifique : les fesses bronzées bien écartées dégageant son trou de balle ourlé de rose foncé luisant de la sueur qui perle le long de la raie. J’ai devant les yeux son entrecuisse bien ouvert, la vulve suintant un filet de mousse visqueuse sous l’excitation du soleil caressant, quelques grains de sable mêlés à ses poils humides. Nous avons déjà baisé dans les dunes ce matin, mais je bande à nouveau comme un bouc, la bite moulée dans le sable chaud pressée contre mon ventre jusqu’au nombril.

J’allonge un bras, remonte de la main l’intérieur de sa cuisse puis m’attarde sur sa fesse, dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin. Mon pouce humide s’occupe de son clito que je sens se raidir et que je branle doucement. Mes autres doigts écartés vont et viennent dans son sexe mûr à point et le laboure doucement. Avec un gémissement d’aise alanguie, elle ouvre encore un peu plus les cuisses et tend sa croupe vers moi.

Relevant mon bassin, je me traîne sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu’à mettre mon museau à portée de sa chatte baveuse, dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui s’en échappe.

Elle roule le bassin pour que ma langue puisse pénétrer plus à fond dans sa moule qui dégorge et que je suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé, qu’elle excite en un mouvement enveloppant, le faisant rapidement doubler de volume. J’ai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui s’en dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines. Le dos trempé, je sens la sueur couler de mes reins dans la raie de mon cul.

Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses qu’elles ont dégagé du sable et dont je fais rouler les tétons tétanisés, pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher l’espace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt, que j’enfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un petit cri d’approbation gourmande.

Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de l’enculer.

Mon index ramonant toujours son fion, j’introduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. De mon autre main j’essuie mon gland tapissé de sable mouillé de la bave qui en suinte abondamment. Préparant mon forfait, je cherche à tâtons la bouteille d’huile solaire qui gît dans le sable, l’ouvre du pouce et en asperge une copieuse rasade sur mon madrier enflammé. Agenouillé derrière Emma, j’avance le torse et le plaque contre son dos, ma bouche dans son cou lui baisant la base de l’oreille au goût de sel, une main remontée au niveau de son épaule pressée contre le sable. De ma main libre, j’empoigne mon pieu bien graissé, le guide fermement vers sa cible innocente et force l’entrée de son cul par surprise, en une poussée lente mais implacable. Mon engin hypertrophié avance par à-coups, forçant ce passage trop étroit qu’il distend à l’extrême.

Emma tente de se dégager de mon étreinte, mais je suis en position de force et maîtrise ses mouvements convulsifs, qui redoublent mon excitation, surtout quand elle contracte violemment son fessier pour m’en éjecter. Le visage contre le sol, elle vocifère, mais sourdement, bouche fermée pour ne pas bouffer du sable. Il y a longtemps que je rêvais de braver cet interdit. Je la pistonne en longs coups profonds, mon gros phallus confiné dans ce boyau soyeux, comprimé par tous les muscles en anneaux qui se resserrent à son passage. A chaque poussée, je sens mes couilles boursouflées qui viennent buter contre son vagin aux poils mouillés. Je suis en ébullition et je sens que je vais décharger lourd. Dans un ultime coup de boutoir, je lâche un feu d’artifice de purée brûlante au fond de son derche violé, et me laisse retomber de tous mon poids sur elle, salaud repu de son cul délicieux.

Emma se dégage en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse, et sans un mot se dirige vers la mer d’un pas rageur. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. Je la suis et cours me jeter à l’eau à quelques pas d’elle. J’ai vraiment pris un pied d’enfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas d’avoir transgressé son interdit, mais j’espère qu’elle y a aussi trouvé son compte. Je lui jette un regard curieux, un sourire gêné aux lèvres :

– Alors, comment c’était ? Tu vois, je ne t’ai pas déchirée comme tu le craignais !

Elle me retourne un regard noir, lance d’un ton courroucé :

– Mon salaud, tu vas me le payer très cher !

Et elle sort de l’eau en courant vers la dune pour y ramasser son maillot et se rhabiller rageusement. Bon, il va falloir que je me fasse tout petit pour laisser passer l’orage. J’enfile rapidement mon short de toile, saute dans mes savates, ramasse mes affaires et la suit sur le chemin qui serpente en direction de la route où nous avons laissé la tire louée pour la semaine. C’est elle qui a les clés et elle serait bien capable de me planter là si je traîne. Elle a déjà lancé le moteur quand je me jette sur le siège passager, et elle démarre en trombe. L’ambiance du trajet jusqu’au bungalow risque d’être assez lourde. Comme Emma ne desserre pas les dents, je ne me risque pas à commenter ma prestation, ou même à tenter d’excuser ma conduite. Je sens bien que ce serait peine perdue. Mes actions sont au plus bas.

Autostop

A peu près à mi-chemin, nous dépassons un jeune gars qui revient aussi de la plage, et qui fait du stop en levant le pouce. Il est torse nu avec un vieux short élimé et des baskets éculées, un sac à dos jeté sur une épaule. Quelques mètres plus loin, Emma ralentit et stoppe la bagnole en bord de route.

– Qu’est c’que tu fais ? Je demande, tu veux jamais prendre des stoppeurs !

Mais elle ne me répond pas et le mec arrive nonchalamment à ma hauteur. C’est un beau latino aux cheveux châtains qui tombent en longues boucles sur ses épaules bronzées. Un large tatouage court sur son bras bien musclé. Il dégage une impression de forte animalité renforcée par le sourire un peu énigmatique qu’il affiche et qui lui donne un air d’ange déchu sûr de son charme. Emma se penche vers ma fenêtre ouverte et lui dit de monter. Je n’ai rien contre, mais c’est bien la première fois qu’elle accepte un inconnu à bord. La séquence qui s’est déroulée dans les dunes doit y être pour quelque chose. J’ai l’impression qu’elle est en train d’orchestrer sa vengeance. Le mec jette son sac sur la banquette arrière et monte derrière moi. Il amène avec lui une odeur de sable mêlée de sueur mâle salée qui envahit l’habitacle. Du coin de l’œil, je surprends un frémissement des narines d’Emma qui lui fait monter le rouge au front.

– Où tu vas ? lui demande-t-elle.

Le gars se fend d’un plus large sourire et lâche :

– Não falo franceses, falo apenas português, e brasileiro… je pas parle français, Brazil

Bon, c’est pas sa conversation qui va faire diversion dans la voiture ! Par gestes, Emma répète sa question en dessinant un point d’interrogation dans l’air. Il semble comprendre et répond :

– Vou onde vai, vous y va, je va.

Pas trop compliqué le latino, mais où on va, c’est au bungalow que nous avons loué au milieu de nulle part, assez loin d’ici mais aussi du prochain village. Enfin, il verra bien, et de toute façon, Emma a déjà démarré. Nous échangeons nos prénoms, lui c’est Raphaël. Puis le silence s’installe et il doit sentir la lourde tension électrique qui règne entre Emma et moi. Arrivés au chemin d’accès aux bungalows, Emma lui propose par gestes de venir boire un verre et il acquiesce de la tête avec toujours son sourire ambigu.

Une fois débarqués au bungalow, nous prenons d’assaut les fauteuils de la terrasse ombragée. Je rentre préparer des caipirhinas glacées et un plateau de fruits que j’apporte dehors. Tout en sirotant son drink, Emma ne lâche Raphael des yeux que pour me lancer des regards de défi. Le jeune latino ne se pose pas de questions et la couve du regard sans vergogne. Les yeux plongés dans les siens, il choisit à tâtons une figue presque trop mûre, l’ouvre entre ses doigts, et se met à en lécher la chair violacée d’une langue gourmande. Un peu de jus mêlé de salive bave de son menton et coule en un sillon visqueux le long de son torse glabre. Le salaud n’a pas besoin de traducteur ! Je peux mesurer l’effet sur Emma au rythme de sa respiration qui s’est accéléré. A son tour, elle se penche vers le plat et saisit une banane tigrée qu’elle décalotte avec les dents, faisant apparaître la chair plus claire qu’elle dégage à moitié de sa peau et qu’elle caresse d’un doigt avant de l’introduire entre ses lèvres entrouvertes, de l’enfourner dans sa bouche et de l’en faire ressortir lentement en la suçant, le regard toujours rivé à celui de Raphaël. Pas difficile de voir comment Emma envisage sa vengeance, mais si elle croit me faire chier en se tapant le brésilien, elle se goure. Ça m’exciterait un max de la voir se faire mettre devant moi par ce bel étalon.

Le mec avance une main vers la cuisse d’Emma et commence à en caresser doucement l’intérieur. Mais elle se lève, s’empare de nos verres vides et part vers la cuisine pour les recharger. Je la soupçonne de vouloir en fait se débarrasser discrètement de son slip et de son sous-tif. En effet, quand elle revient avec nos drinks, ses seins lâchés bougent librement sous sa blouse à demi transparente. Elle pose les verres embués sur la table pour s’approcher du mec qui s’est levé et l’attend les reins appuyés contre la barrière de la terrasse. Elle promène ses paumes sur les pectoraux et les abdos bien dessinés du beau gosse, les seins appuyés contre son biceps, avant de déboucler fébrilement son ceinturon et de lui déboutonner sa braguette, d’où jaillit une belle grosse queue en plein raidissement.

Son short lui tombe sur les chevilles, et il s’en débarrasse en l’expédiant du pied sous une chaise. Il est maintenant complètement à poil devant nous, et enserre dans son poignet sa bite encore en train d’enfler.

Sans complexe, regardant Emma droit dans les yeux, il se met à se branler lentement en se massant les couilles de l’autre main. Emma semble fascinée. Attirée comme par un aimant, elle vient se coller contre lui en ouvrant sa blouse pour lui plaquer contre la poitrine ses seins aux tétons déjà gonflés, les mains agrippées à ses fesses musculeuses qu’elle se met à pétrir avec force. Une main insinuée par l’arrière dans le slip d’Emma, il continue de l’autre à masser son manche turgescent. Je dois avouer que le spectacle de cette belle bite en mouvement me fout aussi une solide trique, qui n’échappe pas à Raphaël dont le regard ironique sur le renflement peu discret de mon short en dit long. Par-dessus la tête d’Emma qui lui couvre le cou de baisers et lui lèche le lobe de l’oreille, il me fait un clin d’œil en portant un doigt à sa bouche pour le sucer. Je réalise que son exhibition m’est aussi destinée et ça m’excite grave. Je n’ai jamais eu l’occasion de me faire pomper la gaule par un mec, même si je me suis déjà dit que ça me brancherait assez. Surtout, un frisson me court le long de l’échine à l’idée de lui sucer la pine et de téter son gland et je me prends à saliver d’avance. Mais ça risque de brouiller les plans d’Emma et de ne pas être du tout à son goût, même si elle est assez ouverte aux expériences qui ne touchent pas son trou du cul. Il faudra la jouer finement. Emma, le slip maintenant baissé sous les fesses, la main affairée de Raphaël lui fouillant la chatte, le prend par le bras et l’attire à sa suite vers l’intérieur du bungalow.

Dès qu’ils ont disparu, je me désape fébrilement, libérant mon membre comprimé qui me fait mal d’être si dur, et je les rejoins discrètement dans notre chambre aux persiennes closes.

Festin de bites

Le beau mâle me fait face, debout au pied du lit, jambes écartées, la tête renversée en arrière dans la pénombre. Emma est agenouillée devant lui et lui suce les couilles avec des grognements gourmands, tout en le branlant d’une main, l’autre affairée à rouler un de ses tétons entre ses doigts. Je tombe moi aussi à genoux sans bruit derrière Emma. J’ai devant les yeux son cul défloré, et je ne résiste pas à caresser cette douce rondeur veloutée d’une main légère, tout en me branlant d’un poignet souple. Comme elle ne réagit pas, je m’enhardis, glisse une main entre ses cuisses, entrouvre les lèvres gonflées de son vagin et enfonce doucement l’index à la recherche de son point G que je connais bien. Je sais que je l’ai trouvé lorsqu’elle bascule son pubis en arrière vers moi et commence à se trémousser en gémissant de façon assourdie, la bouche maintenant vissée à la queue de Raphaël qu’elle aspire bruyamment. Cette double stimulation doit l’amener au summum de l’excitation car elle ne tarde pas à m’inonder la main d’une gerbe de jus brûlant dans une série de spasmes incontrôlés. Elle laisse échapper de sa bouche la biroute du bandeur brésilien luisante de salive, et se jette en avant sur le lit, le menton enfoui dans les draps pour se reprendre en main.
Bisex297
J’en profite pour prendre la relève et empoigner la gaule dressée que Raphaël tend vers moi comme un étendard. Du bout de la langue, j’ouvre son méat et en extrais le pré cum visqueux au goût salé qui en suinte, puis je gobe son gros gland obèse et l’enfourne goulûment dans ma gueule. Mon cerveau est affolé de sentir cette masse de chair vivante qui pulse entre mes lèvres et me remplit la bouche avant de ressortir un instant pour mieux revenir forcer son passage entre mes dents, le gros bout protubérant palpitant contre mon palais. Agrippé à mes cheveux des deux mains, c’est lui qui règle en silence la cadence de mes aller-venues. Je lui broie les burnes d’une main, l’autre toujours vissée à mon sexe enflammé, que je secoue au même rythme, frère jumeau de celui qui m’emplit la bouche à m’étouffer. Si nous déchargeons en même temps, j’aurais la sensation que c’est moi qui me découille dans la gorge. Mais le salaud me frustre de ce délire en retirant de ma bouche son engin luisant de ma salive pour me tourner le dos et s’approcher d’Emma, qui l’appelle d’une voix étouffée par le drap, lui offrant un con béant encore baigné de cyprine, ouvert des deux mains tirant sur les fesses. Tombé à genoux, complètement en rut, il l’empoigne sous les cuisses largement écartées, l’embroche par l’arrière d’un coup de son pieu d’acier et la pistonne sauvagement à coups de bassin brutaux. Elle l’accueille avec un soupir d’aise et l’attire par la tignasse pour lui bouffer la bouche.

Je suis à peine remis de mon festin de phallus avorté et trop excité pour rester spectateur. Me trainant sur le sol, j’atteins la tête du lit que j’enjambe, et viens frotter contre leurs visages ma gaule dressée raide comme une poutre, cherchant à attirer leurs bouches soudées l’une à l’autre. C’est Emma qui prend conscience la première de ce monstre qui se presse devant ses yeux, et le happe au passage d’une bouche avide qui se ventouse autour du gland. De son côté, Raphaëlito saisit mes roustons entre ses dents et me les suce comme des sucres d’orge. J’ai l’impression que ces deux sangsues vont avaler mes parties génitales bousculées en tous sens par les coups de boutoir du baiseur qui lime ma copine. Très rapidement, la situation devient incontrôlable. Tout le corps du mec se raidit, fesses serrées et torse crispé. Il me mord le sac en laissant échapper un brame rauque et je sens qu’il éjacule en une longue série de convulsions. J’imagine son foutre épais qui englue le vagin hyper excité d’Emma, qui réagit en inondant le lit d’une marée de son jus. Ma trique me fait mal de tellement me retenir, et à mon tour, j’abandonne le contrôle, je lâche une puissante giclée de riche purée qui tapisse le visage et les cheveux des deux suceurs, et me laisse retomber en arrière, dos contre la paroi. Raphaël s’est écroulé, son sexe toujours emmanché encore animé d’un lent mouvement coulissant, la poitrine collée au dos d’Emma.

Enfilade

De ma position, je domine le corps musclé du brésilien, dont le large dos aux muscles saillants est perlé de sueur, comme ses fesses un peu velues qu’il serre et relâche au rythme ralenti de ses mouvements de va et viens. La vision de ce beau cul ! Je contourne les deux corps imbriqués et agrippe à deux mains les fesses fermes et duveteuses qui ondulent devant moi. Je les pétris et les écarte pour dégager le trou de balle dont je ne résiste pas à lécher et en saliver copieusement la rosace. Le mec m’encourage en relâchant les muscles de son fessier largement ouvert, dont j’ai idée qu’il a déjà été forcé plus d’une fois. De la main, je guide mon engin encore lubrifié de sperme jusqu’à l’orée de cet orifice accueillant et j’en force l’entrée d’une poussée résolue du gland visqueux.

Mon membre comprimé coulisse avec peine dans cet espace confiné, pour venir butter contre la prostate souple. Comme Raphaël a recommencé à besogner Emma avec plus d’ardeur, nos mouvements se coordonnent et j’ai l’impression que mes coups de hanche sont démultipliés. Je sens mes couilles bien pendues battre contre son gros sac quand nos balloches dilatées s’entrechoquent à la même cadence. Je caresse des doigts ce double paquet de couilles gluant des sécrétions qui ont coulé du vagin engorgé. Je saisis nos bijoux de famille et les masse ensemble d’une main ferme, pendant que de l’autre, je lui malaxe une de ses fesses, dure et poilue. A chacune de mes poussées, le jeune éphèbe bande tous ses muscles fessiers et compresse mon polar écrasé dans l’étau de son anus contracté.

Comparé au cul douillet et velouté d’Emma, même lorsqu’elle tentait de m’en éjecter, ce derche nerveux, qui pourtant m’accueille volontiers n’est que convulsions violentes et m’impose un rodéo sauvage qui tuméfie mon braquemart, qui pistonne et affole le frein de mon gland irrité. Je ne sais pas lequel des deux culs je préfère, et je n’en ai rien à branler. Je sens le foutre bouillonner dans mes burnes et s’engouffrer dans ma bite emprisonnée entre ses fesses qui ne demande qu’à cracher. Mais voilà maintenant tout le corps de mon enculé qui se raidit dans un violent spasme, essorant mon braquemart en train de vomir une salve incontrôlée d’épaisse purée au fond de son fion. Il éjacule aussi dans la foulée, et j’ai l’impression que c’est mon foutre qui gicle de sa grosse queue, prolongement de la mienne. La vengeance d’Emma s’est transformée en une nouvelle expérience plutôt jouissive pour moi.

Une fois relâchée toute la tension de cette séance, nous retirons nos dagues souillées de leurs fourreaux, que nous essuyons au drap, et nous nous laissons aller sur le lit, vautrés l’un sur l’autre à côté d’Emma le visage toujours enfoncé dans le matelas. Je crois bien que nous faisons un somme pour récupérer. En tout cas, le soir est tombé quand je reprends mes esprits sous les caresses d’une main douce, qui remonte le long de ma cuisse. J’entrouvre les paupières et espionne à travers le rideau de mes cils Emma, qui me fourrage les poils du pubis, son autre main baladeuse faisant de même à Raphael, agenouillée à cheval au-dessus de nos deux corps. Nous avons son beau cul et son vagin maculé de foutre séché entrouvert devant les yeux. Raphaël y a déjà introduit ses doigts. J’avance une main fébrile et viens le rejoindre dans cet antre moite où nos doigts se mêlent. A sentir comme Emma me manipule la gaule, il semble que je sois rentré en grâce. Du coin de l’œil, je peux vérifier qu’elle applique le même traitement au brésilien, et qu’il y est aussi sensible que moi. Nos deux verges jumelles sont en train de se déployer et de se redresser côte à côte en durcissant entre les mains expertes de ma femelle préférée, qui les caressent en stéréo. Puis elle les presse ensemble, et le souffle de son haleine chaude vient caresser mon gland hypersensible avant qu’elle le gobe tout entier avec son jumeau et nous traie les bites avec application. Je sens pulser contre ma pine gonflée la grosse veine saillante qui longe la teub de Raphael.

Nos deux corps tendus sont accolés, cuisse contre cuisse, poitrine contre poitrine, nos lèvres se cherchent et nos langues se trouvent. Nos doigts mêlés alternent à agacer le clitoris d’Emma qui bande grave. Mais sa bouche abandonne bientôt nos phallus et elle se dégage de nos caresses. Elle traine son pubis sur nos ventres et guidant nos deux manches tumescents qu’elle enserre ensemble entre ses doigts, elle vient empaler sa moule béante et détrempée sur nos deux pieux de chair qui l’emmanchent avec peine. Elle monte et descend sur nous, faisant lentement coulisser nos poutres dures comme de l’acier pressées l’une contre l’autre. Toujours à nous sucer les langues, nous nous paluchons nos poitrines et nos fesses de mecs pendant que nous laissons notre femelle coulisser langoureusement son vagin qui enrobe nos queues palpitantes et caresser ensemble nos sacs de couilles. Nous savourons religieusement cette communion voluptueuse et lascive, jusqu’à ce qu’Emma accélère le rythme de ses va et viens au gré de son excitation grandissante. Mes mains crispées sur les muscles contractés du jeune latino, je sens nos deux corps mâles se raidir à l’extrême. Je savoure la montée en puissance de mon excitation, peinant à retenir le flux de sève qui gonfle mes couilles dures comme du bois et qui ne demande qu’à gicler. Je saisis Emma par le bras et la force à figer ses mouvements pour nous laisser un peu de répit. Tous les sens en alerte, nous restons quelques instants sans bouger, au bord de la syncope. Puis Emma reprend son ouvrage avec encore plus de vigueur, nous amenant tous au-delà du point de non-retour. Dans un grand désordre de soubresauts hystériques, nous jouissons les trois en un cataclysme spastique de foutre et de jus qui débordent du con engorgé pour dégouliner sur nos balloches et se mêler à nos poils de queue. L’odeur enivrante de stupre m’enchante les narines.

Aveu et Perspective

Après avoir un peu récupéré, Emma se dégage et s’éclipse en direction de la salle de bains. Je me lève aussi, essuyant de la main mon phallus glaireux.

Raphaël est resté allongé, sa belle biroute à peine débandée encore suppurant sur une de ses cuisses, les poils pubiens englués de foutre. Levant un pouce, il me jette un regard entendu, que je lui rends avec un sourire ironique, puis je rejoins Emma sous la douche.

Je suis pardonné ? Je lui glisse à l’oreille ruisselante d’eau.

Elle sourit sous le jet puissant de la douche.

– Je crois, mais seulement si tu me promets de… revenir me fourrer le cul de temps en temps. En fait, j’aime assez

J’en suis un peu estomaqué. La salope m’a joué les vengeresses alors qu’elle avait autant pris son pied que moi! Après un temps d’arrêt, elle ajoute :

– D’ailleurs tu devrais profiter de la bite de Raph pour te faire mettre toi aussi

A vrai dire, je m’étais déjà dit que ça ne me déplairait pas de me faire déflorer et ramoner le trou du cul par la grosse pièce d’artillerie du latino, mais avec la bénédiction d’Emma, et sous ses yeux, ça en devient parfaitement alléchant, et je me reprends une trique monumentale.

Sortis de la douche, nous traversons le bungalow en ruisselant sur le carrelage et retrouvons notre beau jouet qui s’est assoupi en travers du lit. Nous le poussons de côté sans qu’il ne se réveille, et nous couchons lovés ensemble contre lui. Ça ne fait rien, je peux attendre jusqu’à demain matin. Je me vois déjà réveillé par une bonne odeur de café, prendre le petit déj’ au lit. Je vais tartiner mon pain de beurre, en graisser la gaule de Raphaël encore mal réveillé, et le faire bander prêt à me trouer le cul. J’aurais aussi beurré ma queue en érection et il se pourrait bien qu’Emma vienne m’offrir la fleur de son cul à défoncer pendant que je me ferais enculer dans la moiteur du petit matin.

FIN

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Lundi 21 avril 2025 1 21 /04 /Avr /2025 13:32

Champagne à la piscine par Pascal_G

Gs2

Comme tous les samedis, j’étais à la piscine. Je faisais mes longueurs comme
à l’accoutumé. Il y avait toujours du monde au bord, et il fallait regarder
avant de pouvoir faire son demi-tour pour éviter d’envoyer ses pieds dans la
figure de quelqu’un.

Ce jour-là, j’ai remarqué, au bout de quelques allées retours, qu’une fille
se mettait systématiquement tout près d’où je tournais. J’ai commencé à
l’observer et ce n’est qu’au tour suivant que j’ai vu qu’elle écartait très
fort les genoux à mon passage et que sa main se glissait sous son maillot.
Elle alla plus loin encore le tour suivant car de l’autre main, elle écarta
le maillot pour que je puisse bien voir son intimité. Ce spectacle aquatique
était des plus excitant et je bandais ferme. Je feignais n’avoir rien vu,
mais elle savait que je ne pouvais pas avoir manqué cela. D’ailleurs, le
tour suivant, au moment où je m’élançais les pieds en appui contre le mur,
elle a tendu sa main à plat sous mon corps, paume vers le haut pour me
toucher. Elle n’a pas raté sa cible et sa main a frôlé mon sexe en érection.
Ca m’a coupé mon élan et j’ai eu beaucoup de mal à continuer ma route.

Lorsque je suis revenu, elle n’était plus là. Je me suis arrêté pour voir si
je la voyais encore quelque part. Elle avait du se dire que si avec ça je
n’avais pas encore compris c’est que je devais être con ou pas intéressé. Et
puis, je l’aperçu, prêt de la porte du couloir qui mène aux toilettes. Elle
me fixait et m’a fait un petit signe m’invitant à la rejoindre. Je bandais
de plus belle et je ne voyais pas trop comment sortir de l’eau sans attirer
l’attention sur ma protubérance qui menaçait maintenant de faire sauter mon
maillot de bain.

Elle disparu derrière la porte. Il fallait que je trouve quelque chose pour
la rejoindre. Je ne voulais pas laisser passer une telle occasion. J’avais
si souvent fantasmé de me faire draguer à la piscine et de m’envoyer en
l’air dans une cabine au risque de se faire entendre par tout le monde.
C’était d’un excitant !

C’était mon jour de chance ! Arrivé au bord, il y avait des planches en
mousse dure qu’on utilise comme bouée pour travailler uniquement les jambes.
J’en ai pris une et je suis sorti de l’eau par l’escalier dans la petite
profondeur en collant cette planche contre moi comme si j’avais peur qu’on
me la vole. Je préférais de toute façon que les gens pensent çà plutôt
qu’ils voient ce qui se cachait derrière.

Enfin, j’ai atteint la porte et je suis entré à mon tour dans le couloir. Il
faisait très calme et il n’y avait personne dans le couloir. Je me suis
approché de l’entrée des toilettes femmes. Une porte était entrebâillée,
c’était plus qu’une invitation. Contrairement aux toilettes habituelles de
piscine, les portes allaient jusque par terre et il n’était pas possible de
regarder en dessous. Je me suis précipité vers la porte, je suis entré et je
l’ai refermée derrière moi.

C’était bien elle. Elle a mis son doigt sur ma bouche pour ne pas que je
parle. Elle m’a poussé contre la porte puis elle a reculé pour s’appuyer sur
le mur du fond. Elle était debout, les jambes écartées de part et d’autre de
la cuvette. Elle a fait glisser les bretelles de son maillot pour me faire
découvrir sa poitrine. Elle avait des seins superbes, bien rond et que je
devinais ferme. Les pointes étaient naturellement tendues par l’action de
l’eau. Elle se caressait la poitrine passant d’un sein à l’autre et se
pinçait par moment un téton en laissant échapper un petit cri étouffé de sa
bouche. Elle finit par retirer complètement son maillot. Une main descendit
à la rencontre de son entrejambe et elle commença à se caresser sous mes
yeux médusés. Elle m’offrait un spectacle d’un érotisme intense. Elle
s’abandonnait au plaisir devant moi, les yeux à demi clos. Sa langue fine
sortait légèrement de sa bouche entrouverte et parcourait ses lèvres
pulpeuses très lentement. Je n’en pouvais plus mais je voulais la laisser
faire à sa guise. C’est elle qui avait pris toutes les initiatives jusque là
et je voulais lui laisser carte blanche. Elle s’est interrompue un moment
pour sortir ma verge de mon maillot mais sans la toucher. Elle a juste
défait le nœud de mon maillot et mon sexe a bondit comme un diable de sa
boîte. J’avais maintenant mon maillot sur les chevilles. Elle a pris ma main
droite et l’a posé sur mon sexe. Elle voulait que moi aussi je me caresse
pour elle. Je ne me suis pas fait prier, j’ai caressé mes couilles, ma tige
et mon gland mais sans me masturber sinon j’aurais explosé dans la minute.
De l’autre main je me suis aussi excité les tétons.

Elle a fini par s’introduire deux doigts dans la chatte. Elle coulissait
lentement en elle presque au ralenti. Ses doigts étaient maintenant
recouverts d’un liquide épais et brillant. Elle a sorti les doigts de sa
grotte pour les porter à sa bouche. Elle a d’abord humé longuement puis
léché ses doigts, couverts de son plaisir, tout en me regardant droit dans
les yeux. Elle suçait ses doigts avec délicatesse et délectation, pas du
tout comme une chienne en chaleur. Elle a repris le chemin de son antre. Et
lorsqu’à nouveau les doigts en ressortirent, elle me les a tendus sous le
nez. J’ai pris tout mon temps pour apprécier son parfum intime. L’odeur
était puissante et enivrante. Elle a caressé le bord de mes lèvres et j’ai
entrouvert la bouche. Elle a introduit ses doigts dans ma bouche et j’ai
léché son plaisir qui en dégoulinait.

Des voix se sont fait entendre et plusieurs femmes sont entrées dans les
toilettes. Elles venaient se débarrasser d’une envie pressante. Le bruit de
l’urine qui tombait dans les cuvettes résonnait dans toute la pièce. Je
n’osais plus bouger. Je regardais toujours ma superbe inconnue et là, elle a
fait quelque chose d’incroyable ! Toujours debout, les jambes écartées au
dessus de la cuvette, d’une main visiblement experte elle a écarté ses
lèvres vaginales et placé ses doigts d’une manière particulière. Et puis
j’ai vu tomber les premières gouttes dans la cuvette. Elle avait la ferme
intention d’uriner debout devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux, un long
flot doré continu tombait droit dans la cuvette. Elle pissait debout comme
un homme !

verena003Mais elle retira sa main avant de terminer et cette fois, le liquide doré courait le long de ses jambes et tombait sur ses pieds. Elle a repris ses caresses tout en continuant à uriner. Elle s’est à nouveau arrêtée. Je voyais bien qu’elle n’avait pas terminé, elle se retenait. Elle a porté ses doigts à sa bouche pour goûter son urine. Elle a léché jusqu’à la dernière goutte. J’étais stupéfait et de la situation et de ma réaction car je ne trouvais pas cela dégoûtant. Au contraire ça m’excitait de plus belle et elle s’en est aperçue. Elle a mis sa main en cuillère entre ses jambes et a relâché sa vessie pour remplir cette coupe improvisée. Ensuite elle a tendu sa main vers moi. Elle m’invitait à goûter son champagne. Je suis tombé à genoux devant elle et j’ai lapé le liquide chaud dans sa main comme un petit chat. Je ne me serais jamais cru capable d’un tel acte, mais j’étais dans un état second. Une fois la coupe improvisée vidée de tout contenu, elle a pris ma tête entre ses mains et m’a attiré vers son entrejambe. J’avais maintenant le visage devant sa chatte juste au-dessus de la cuvette. Elle a relâché à nouveau sa vessie et m’arrosa le visage du reste de son nectar. Je me suis surpris à ouvrir la bouche pour en goûter encore plus. Lorsqu’enfin la source s’est tarie, j’ai fouillé ce sexe offert pour ne pas perdre la moindre goutte.

Je m’apprêtais à lui donner du plaisir avec ma langue lorsqu’elle a repoussé
gentiment mon visage vers l’arrière. Elle m’a fait asseoir sur les WC. D’une
main, elle caressait mon scrotum qui pendait dans le vide au dessus de la
cuvette et de l’autre elle caressait son entrejambe. Elle a poussé son
exploration plus loin et a caressé le pourtour de mon anus. Elle m’a relevé
pour que je me mette debout au dessus de la cuvette face au mur du fond. Je
lui tournais à présent le dos. Elle m’a penché en avant et je me tenais en
appui sur le mur. Elle a repris sa caresse anale. Mais ce n’était plus avec
ses doigts car de ses deux mains elle écartait mes fesses et c’est sa langue
qui parcourait maintenant mon sillon. C’était divin. Ca n’avait rien de
dégoûtant car on venait de passer deux heures dans de l’eau chlorée et mon
cul devait être propre. Sa langue tourbillonnait autour de mon anus, je ne
savais pas qu’on était aussi sensible à cet endroit là, mais chacune de ses
caresses buccales me donnait la chair de poule. Elle a fini par introduire
un doigt dans mon cul. Et de son autre main, elle a enserré la base de mon
sexe et des mes couilles. Elle serrait puis relâchait comme on fait avec le
pis d’une vache. Je n’ai pas tardé à éjaculer ne pouvant retenir un râle de
bonheur. Elle m’a retourné et a nettoyé mon sexe avec sa bouche.

A nouveau quelqu’un est entré et le bruit familier a de nouveau résonné dans
les toilettes. Elle m’a demandé à l’oreille si je n’avais pas moi aussi une
petite envie à assouvir. Par chance, quelques minutes après avoir joui, j’ai
toujours besoin de pisser. Elle s’est assise sur la cuvette et je me suis
mis en face d’elle. Après de longues minutes et beaucoup de concentration,
j’ai commencé à sentir que ça venait. Mais je continuais à être bloqué et si
l’excitation revenait, c’en serait terminé. Je voulais absolument lui faire
ce cadeau. J’avais appris par des amis adeptes de ce type de plaisir
qu’avaler sa salive aidait beaucoup dans de telles circonstances (merci
Jean Michel et Martine ;-). Et j’ai fini par produire un grand jet
incontrôlé. Elle a saisi ma main pour diriger le jet à sa guise. D’abord sur
son torse et ses seins, puis sur son sexe et finalement le reste sur son
visage et dans sa bouche qu’elle a refermé de mon pénis. Heureusement que
j’en avais terminé car sa bouche experte a eu tôt fait de redonner vigueur à
mon intimité. C’est d’ailleurs ce qu’elle attendait et elle m’a fait me
rasseoir sur la cuvette. Elle s’est alors empalée sur mon sexe en me faisant
face. Son corps dégoulinait encore de mon urine. Elle se léchait un sein et
me présenta l’autre. Je ne me fis pas prié, oubliant qu’il était couvert de
ma propre miction. J’ai léché, sucé, mordillé ce sein avec avidité. Nous
avons fini par jouir presque en même temps.

Nous sommes restés quelques temps encore l’un sur l’autre. Nous étions seuls
dans les toilettes et aucun de nous ne voulait rompre ce silence. C’est
pourtant elle qui a fini par se lever. Elle a remis son maillot et m’a gratifié d’un tendre baiser. Avant de sortir, elle s’est retournée une dernière fois pour me dire dans un sourire

« Merci ! 15 heure la semaine prochaine ? »

Et moi j’ai fais « Oui » de la tête.

Je suis sorti discrètement des toilettes et je suis allé prendre une bonne
douche. Cette nuit là j’ai rêvé d’elle et je lui ai fait l’amour toute la
nuit dans ma tête. Je me suis réveillé au petit matin avec une trique
d’enfer et personne pour en profiter. Tant pis, j’ai expédié la chose
rapidement aux toilettes et je me suis recouché.

Dire qu’il faut attendre une longue semaine pour retrouver ma belle
inconnue. Je ne sais même pas comment elle se prénomme !

Pascal G

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 20 avril 2025 7 20 /04 /Avr /2025 15:11

Soir d’été par Odin
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Bonjour tout le monde, Je suis Pierre, 40 ans, brun, moustaches et lunettes. Je suis en couple libre avec Jody, fausse blonde et belle poitrine, un peu salope mais tellement mignonne.

C’était une petite fête. Nous étions en été, installés autour de la grande table en bois du jardin. Il y avait là un couple de voisins, René et Henriette, la cinquantaine ainsi qu’Irma, une belle dame de soixante ans, accompagnée de son fils Philippe, un grand échalas à lunettes

L’alcool aidant nous nous sommes mis à parler sexe de plus en plus crument.

Irma qui lorgnait dans le décolleté d’Henriette finit par lui dire :

– Je trouve que vous avez une poitrine magnifique !
– N’exagérons rien, mais si vous voulez mieux la voir, je peux volontiers vous la montrer.
– Chiche ?

Et sans hésiter une seconde, Henriette se dépoitrailla libérant une véritable merveille de la nature.

– Waouh !
– Et si elle vous plait tant que ça, vous pouvez même la caresser ! Ajouta-t-elle
– Vous appréciez donc les caresses des femmes ? Lui demande Irma.
– Mais bien sûr.

Irma se leva et vint palper les deux généreux globes d’Henriette avant d’en sucer les bouts déjà érigés de plaisir.

Evidement n’étant pas de bois la situation me fit bander, et de façon machinale je portais ma main à ma braguette.

– Elle te fais bander ma femme, on dirait ! S’amusa René.
– Ça se voit tant que ça ?
– Ben oui !

Et le voilà qui me touche la braguette dans un mouvement spontané qu’il stoppe aussitôt.

– Ben dit donc, petit coquin ! Lui dis-je
– Désolé !
– Ne soit pas désolé, c’était amusant.
– Ça ne te choque pas ?
– Mais non !
– Et si je recommence ?
– Je me laisserais faire.

Alors il remit sa main et se sentant encouragé dézippa la fermeture éclair et entra la main dans l’ouverture à la recherche de ma bite qu’il finit par extraire, et la masturba quelques instants.

– En voilà une belle queue ! Je peux la sucer ? demande-t-il.
– Oui, mais ensuite, c’est moi qui suce la tienne.
– T’aimes ça sucer des bites ?
– Oui, mais il faut dire que je n’ai pas si souvent l’occasion de le faire
– Non mais regardez-moi ces deux cochons ! S’écria ma femme faisant semblant d’être choquée

Henriette et Irma maintenant complétement débraillées se pelotent comme des furies, René me suce la queue… Jody, ma compagne ne souhaite pas être en reste et s’approche de Philippe.

– Ne bouge pas mon grand, je vais te sortir ta queue.
– Bonne idée !
– Mais dis donc Philippe, comment ça se fait que tu n’as pas de petite copine à ton âge ?
– Pas besoin de copine, j’ai ma mère qui s’occupe de moi !
– Ta mère ? Elle te fait quoi ?
– Elle me branle, elle me suce et parfois je l’encule !
– Oh ! Tu encules ta mère ? Mais c’est très cochon ça, je ne te crois pas !
– Maman, Jody elle ne veut pas me croire…
– Tu ne vois pas que je suis occupée.

Mais la curiosité est la plus forte, abandonnant sa partenaire, Irma s’approche de son fils.

– Jody ne me croit pas quand je lui dis ce que nous faisons ensemble…
– En principe se sont des choses qui ne se disent pas ! Mais il a raison j’adore sucer la bite de mon fils, et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais.

Laquelle bite est maintenant sortie et est agité par les doigts de Jody. Du coup Irma se penche et engloutit dans sa bouche la queue de son rejeton, avant que les deux femmes se mettent à la sucer de conserve.

La soirée tourne à la folie, René et moi nous nous sommes mis à poil, je lui ai sucé sa bonne bite, puis lui ai demandé s’il serait d’accord pour m’enculer.

OdinEt quelques instants plus tard, c’était la fête des culs, René m’enculait et par effet de mimétisme, Philippe se mit en sodomiser sa mère, tandis que ma tendre épouse se faisait lécher et doigter le trou du cul par Henriette.

Que c’est bon de sentir une bonne bite aller et venir dans mon cul, tout cela dans une ambiance de sexe libéré.

Merde, un gros orage se profile, nous mangerons le dessert à l’intérieur.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 12 avril 2025 6 12 /04 /Avr /2025 06:52

Les filles du café, récit anonyme proposé par Benoît de Macadamia
StampFFH

Il y avait dans ma rue un café qui faisait l’angle avec le grand boulevard. J’allais dans ce café tous les matins ou presque, et il y avait plusieurs raisons à cela. Premièrement, et ce n’est pas la moindre des raisons, j’aimais leurs cafés. Un vrai café, pas un jus de chaussette américain aromatisé. Deuxièmement, vu son emplacement, il me permettait d’observer la vie à travers la baie vitrée, et cela servait parfois d’inspiration à mon métier d’écrivain. Et troisièmement, le patron, un homme que je n’avais vu qu’une ou deux fois, avait choisi deux filles pour tenir la boutique, chacune étant plus ravissante que l’autre. Peut-être étaient-ce ces deux-là qui m’inspiraient le plus, à vrai dire.

Il y avait d’abord Laure. Une grande blonde, élancée, fine. Les cheveux arrivant aux épaules et souvent attachés en queue-de-cheval, et des yeux bleus, un bleu clair, limpide. Et puis il y avait Sophie. Plus petite en taille, plus pulpeuse également. Ses yeux verts, son teint mat et ses cheveux ondulés me laissaient deviner un métissage méditerranéen. Elles étaient toutes deux complémentaires. Laure s’occupait plutôt du service, et Sophie de la caisse. Elles avaient l’air d’être proches l’une de l’autre, peut-être même amies, ce qui rajoutait un peu de chaleur à l’établissement.

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée en hiver. Je venais dans ce café quotidiennement depuis plusieurs mois déjà, et aussi bien Laure que Sophie me connaissaient, ou plutôt me reconnaissaient. Nous échangions parfois quelques mots en plus des politesses habituelles, mais nos conversations n’allaient pas plus loin. Je me mettais dans un coin, proche de la baie vitrée, commandais un café, puis souvent un deuxième, et j’écrivais des bouts d’idée sur des bouts de papier. C’est Laure, en m’apportant mon café, qui a enclenché la conversation la première.

– Je suis un peu curieuse, désolée, avait-elle dit. Je vous vois écrire tous les matins à la même place. Vous êtes écrivain?
– Disons que j’essaie de l’être.

J’étais resté vague, ma profession était plus complexe et ne se résumait pas à simplement « écrire des livres », mais je n’avais pas envie de l’embêter avec tout ça. Je lui ai simplement expliqué qu’effectivement, je travaillais sur l’écriture d’un recueil de nouvelles. Je ne sais pas si c’était par pure politesse, mais elle a eu l’air intéressée, et je lui ai promis de lui en fournir un exemplaire si jamais j’arrivais à le faire éditer.

Les jours suivants, Laure continuait de me questionner, sans jamais être envahissante pour autant, sur l’écriture de mon bouquin.

– De quoi ça parlera ? m’a-t-elle demandé en posant la tasse de café là où je n’avais pas encore trop étalé de papiers.
– Eh bien… principalement des relations humaines, de notre place dans la société, de comment tout ça s’accorde…
– Vaste sujet.
– Pas faux. C’était sûrement pour cela que cela prenait autant de temps.

Le matin suivant, Laure m’a, encore et toujours, apporté ma tasse de café à la même table. Elle était prête à lancer la conversation mais a vu que j’étais occupé à écrire un e-mail sur mon téléphone, et s’est abstenue. Elle a simplement posé la tasse sur la table, et c’est là que je l’ai vue tourner un peu plus la tête vers l’une de mes notes, puis la prendre en main. Je n’ai pas eu le temps de l’en empêcher, Laure lisait déjà :

« L’une était grande, blonde, élancée, la deuxième était brune, plus petite, plus pulpeuse »

– Vous parlez de nous ?
– Non, non, me suis-je défendu. Mais disons que je m’inspire de ce que je vois.

Laure s’est mise à regarder mes autres notes, et elle en a pris une autre au hasard.

« Sa main venait de glisser dans sa petite culotte… »

– Vous parlez encore de nous ?
– Non, pas du tout, je…
– Je croyais que vous écriviez sur la société, mais vous écrivez sur le cul.
– L’un n’empêche pas l’autre. Mais ce sont deux récits différents. Et vous devenez un peu trop curieuse.

Voilà qui avait clos la discussion. Laure avait posé mes notes, repris son plateau, et était repartie vers le comptoir avec un petit sourire poli. Je l’ai ensuite vu parler à Sophie. Grillé. J’étais grillé comme jamais. Sans réfléchir plus longtemps, j’ai rassemblé toutes mes notes, laissé un billet pour l’addition, et je suis parti sans demander mon reste. J’écrivais certes de l’érotisme. De l’érotisme ainsi que de la sociologie, et parfois les deux à la fois. Mais ce n’était pas une raison pour être jugé. A moitié humilié, à moitié énervé, je suis rentré chez moi, et je n’ai pas remis les pieds dans le café pendant une semaine. Jusqu’à ce que je me rende à l’évidence, cet endroit m’inspirait réellement. Chez moi je n’écrivais plus.

J’ai poussé la porte ce matin-là avec un peu moins d’entrain. J’étais un peu stressé à l’idée de revenir ici. Je me suis assis à ma place, j’ai sorti mes affaires, et Laure est venue poser mon café sur la table sans que j’aie à le commander.

– Vous n’êtes pas venu cette semaine ?
– Oui, désolé, je… j’étais occupé.
– C’est à cause de notre dernière conversation ?
– Aussi, oui.
– Je suis désolée, j’aurais pas dû fouiller.

Elle avait l’air vraiment désolée. Je regrettais d’avoir fait le mort pendant tout ce temps.

– C’est déjà oublié, ai-je menti.

Plus tard, Laure est revenue m’apporter mon deuxième café, ainsi qu’une part de cheesecake que je n’avais pas commandée.

– Cadeau de la maison, a-t-elle précisé. Pour me faire pardonner.
– Vous n’auriez pas dû. Mais merci.
– Je peux vous poser une question ?
– Allez-y, ai-je répondu en sentant le piège se refermer sur moi.
– Ces deux notes que j’ai lues… elles étaient liées ? Je veux dire, est-ce que vous écrivez des trucs érotiques sur nous ?

Comme prévu, le piège se refermait. Autant jouer l’honnêteté.

– Vous voulez une réponse honnête j’imagine, alors non, ces deux notes n’étaient pas liées, mais oui, j’écris des nouvelles érotiques et je me suis inspiré de vous pour deux de mes personnages.
– D’accord. Et… On peut les lire ?
– Eh bien, c’est-à-dire que…
– Ce serait quand même plus juste, m’a-t-elle dit. On est quand même directement concernées. J’en ai parlé à Sophie. Elle aimerait savoir ce que vous écrivez, elle aussi.
– Je n’ai pas ces notes sur moi, désolé.
– Ce n’est pas grave. On ferme à dix-neuf heures. Vous pourrez repasser à ce moment ?
– Je… Oui. Oui d’accord, je vous apporte ça tout à l’heure.

Le reste de la journée a été un bordel sans nom. Tout comme l’était mon bureau, chez moi, dans lequel j’ai dû fouiller pour retrouver toutes ces notes que j’avais écrites sur les filles du café. J’étais stressé. Ces deux filles, que je trouvais toutes les deux extrêmement belles, allaient lire ce que je pensais d’elles, intimement. ça me stressait, mais ça m’excitait aussi un peu. Allez, pourquoi faire le modeste. J’étais complètement excité à cette idée. Si bien que j’ai dû me masturber deux fois dans l’après-midi pour pouvoir rester concentré. Quand il a commencé à faire nuit, j’ai pris mes affaires et je suis retourné au café. La population n’était pas la même que le matin. Le soir, c’était rempli d’étudiants qui venaient décompresser après les cours, si bien que je n’ai même pas eu ma place à côté de la baie vitrée. Je me suis retrouvé à une table proche des toilettes, un peu décontenancé. Laure m’a vu arriver de loin, et est venue me retrouver.

– Qu’est-ce que je vous sers ?
– Euh… Je… Un café. S’il vous plaît.

Je ne savais pas quoi prendre d’autre. J’ai attendu une heure et demie avant que tout le monde s’en aille. Il ne restait que moi. Laure et Sophie rangeaient l’établissement et faisaient comme si je n’étais pas là. Un petit sourire par-ci par-là me rassurait sur le fait que je n’étais pas complètement invisible. Puis Sophie a fait tomber les rideaux de fer de la devanture, tandis que Laure finissait de mettre les chaises sur les tables. Sophie est venue se planter devant moi.

– Bonsoir !

C’est la première fois que nous nous adressions réellement la parole. Jusque-là je n’avais eu affaire qu’à Laure.

– Bonsoir, ai-je répondu un peu fébrilement.
– Bon, Laure m’a un peu expliqué. Vous écrivez, vous écrivez sur nous deux, et c’est plutôt… érotique, c’est ça ?
– C’est à peu près ça. Mais je vous ai tout rapporté, comme ça vous pouvez y jeter un œil. Laure avait raison, ce matin. Vous êtes les premières à être concernées.

J’ai poussé mon tas de papiers, toutes mes notes les concernant, vers Sophie et Laure qui venait de la rejoindre.

– On a un peu changé d’avis, a rétorqué Laure. En fait on préférerait que ce soit vous qui lisiez. On s’est dit que ce serait plus sympa.
– Sympa ?

Je ne trouvais pas vraiment ça « sympa » mais plutôt gênant, presque humiliant. Les filles ont pris deux chaises et se sont assises à ma table, prêtes pour mon audition.

– Bien, ai-je fini par bredouiller. Qu’est-ce que vous voulez entendre, plus précisément ?
– Je ne sais pas, a répondu Sophie. On veut vous entendre lire ce que vous avez écrit sur nous. Lisez, au hasard, on verra bien.

J’ai attendu un instant avant de commencer. J’avais le trac. Je me suis éclairci la voix, puis j’ai commencé.

« Cachée derrière la porte, la grande et jolie blonde épiait sa collègue se changeant dans les vestiaires. Impossible de résister à l’envie de glisser sa main dans sa culotte en voyant cette paire de seins qui lui donnait tant envie depuis des semaines ».

– Vous fantasmez sur nous deux ensemble ? m’a demandé Sophie.
– Eh bien, c’est un fantasme assez commun, je dois dire… et, vous êtes toutes les deux très jolies, alors toutes les deux ensemble… oui, j’avoue, je…
– Attends Sophie, a coupé Laure, laisse-le continuer.

« Ses doigts glissèrent contre son sexe humide de désir, à la rencontre de son clitoris déjà bien excité. Dans le vestiaire, la petite brune laissa son string glisser le long de ses gracieuses jambes sans savoir qu’elle était espionnée. »

– C’est bien écrit, a dit Laure.
– C’est surtout intimidant de vous lire ça comme ça.
– Oh bah non, faut pas ! s’est exclamée Sophie. Attendez, on va se mettre là-bas, on sera plus à l’aise pour vous écouter.

Les filles se sont levées pour aller s’assoir sur une large banquette, à la table derrière nous. J’ai rassemblé mes papiers et les ai rejointes, un peu fébrile.

– Vous en avez peut-être entendu assez, non ? ai-je demandé. Je peux vous laisser lire la suite si vous voulez…
– Non, a répondu Laure, c’est mieux quand c’est vous qui le lisez.
– C’est-à-dire que c’est un peu long, et…
– Passez au vif du sujet alors, a renchéri Sophie. Elles finissent par coucher ensemble ?
– Euh, oui, oui, en effet.
– Allez directement à cette partie alors.

J’ai fouillé un instant dans mes papiers, puis je me suis remis à lire.

« Allongées sur le matelas du petit appartement, les deux filles étaient entièrement nues, corps contre corps, bouche contre bouche, toison blonde contre toison brune. Les langues se mêlaient, les doigts s’égaraient, les sexes coulaient. »

J’avais captivé mon auditoire. Les deux filles me regardaient avec un air plus qu’intéressé, et avec cette lueur dans les yeux qui trompe rarement. Le récit leur plaisait. Enorgueilli par ce succès, j’ai continué ma lecture.

« La jolie brune se laissa couler contre le corps de sa collègue et amie, embrassant chaque centimètre de sa peau, jusqu’à se laisser emprisonner par ses jambes au teint hâlé. Sans plus attendre, elle posa sa bouche sur ce sexe ruisselant et se…  »

– Bien ! a coupé Sophie. Je… Je crois qu’on a bien saisi le sujet.
– Oui, a continué Laure, on pourra peut-être lire la suite plus tard si ça ne vous dérange pas…
– Pas du tout, ai-je répondu soulagé.
– En attendant, a-t-elle continué, je crois que nous aurions quelques suggestions à vous faire. Disons plutôt, des remarques, pour être au plus proche de la réalité. ça ne vous dérange pas ?
– Eh bien, non, pas du tout ! Je vous écoute.
– Tout d’abord, a commencé Sophie, Laure ne porte jamais de culotte et elle est épilée intégralement.
– Et Sophie a les tétons percés.

J’ai réagi à cette double déclaration comme quiconque l’aurait fait. En restant muet, incapable de parler, mais en sentant dans mon ventre une boule d’excitation se former.

– Ne soyez pas si choqué, a dit Laure en souriant, c’est juste que… c’est pour ça qu’on vous a demandé de venir nous lire ce que vous écriviez.
– Vous avez visé juste, a renchéri Sophie. Disons qu’avec Laure, on n’est pas que collègues… Voyez ?

La main de Sophie avait glissé sur la cuisse de Laure, me mettant un peu plus encore dans l’incapacité de dire quoi que ce soit. Laure avait réagi en souriant et en embrassant sa collègue sur la joue.

– Que diriez-vous de faire évoluer votre récit, m’a demandé Laure.
– Qu’est-ce que vous entendez par là ?
– Ce qu’elle veut dire, a continué Sophie, c’est que vous vous installez confortablement et vous faites ce que vous faites d’habitude. Vous observez et vous notez. ça vous intéresse ?
– Euh, et bien, oui bien sûr !

Je voyais plus ou moins les choses venir. Je n’en étais pas sûr à cent pour cent cependant, je me demandais si mon excitation n’était pas en train de me jouer des tours.

– Vous devriez prendre votre carnet et votre stylo, a dit Sophie avant de tourner la tête vers Laure.

S’en est suivi un long et passionné baiser. Leurs langues dansaient ensemble, et j’essayais de noter autant de détails que possible, sachant très bien que ce petit jeu ne pourrait continuer indéfiniment. Si elles n’arrêtaient pas très vite, mon excitation me ferait perdre toute concentration, et je n’arriverais même plus à tenir mon stylo entre mes doigts. Hélas pour mon récit, les deux filles ont décidé de ne pas s’arrêter à ce très peu chaste baiser. Leurs corps se sont rapprochés, et j’ai vu les mains de Laure passer sous le pull de Sophie. Puis le pull est passé au-dessus de sa tête. Elle ne portait rien en dessous, et j’ai ainsi pu confirmer leurs dires : Sophie avait bien deux petits anneaux accrochés à ses tétons très bruns. Puis c’est le pull de Laure qui a valsé. Elle portait un débardeur en dessous, mais si moulant qu’il laissait bien deviner l’absence de soutien-gorge chez elle aussi. Le débardeur a volé, et les filles ont continué à s’embrasser, caressant maintenant la poitrine de l’autre. Jusqu’à ce que Sophie tourne la tête vers moi.

– Vous ne notez plus ?
– C’est un peu compliqué de rester concentré.
– Je comprends. Regardez seulement, alors, vous écrirez plus tard.

C’est ce que j’ai fait. J’ai regardé la scène en faisant en sorte que chaque détail reste gravé dans ma mémoire. J’observais ces tétons s’ériger sous l’excitation, la chair de poule sur la peau de Laure, cette tache de naissance au-dessus de la hanche gauche de Sophie. Je regardais leur salive passer d’une bouche à l’autre, j’écoutais leur respiration accélérer. Je voulais me souvenir de tout. C’est Laure qui a mis fin à ce baiser d’anthologie, et qui, tout en me regardant, s’est attaquée à la ceinture de sa collègue. Le jean trop serré a eu du mal à descendre, mais Sophie s’est rapidement retrouvée avec pour seul vêtement un tanga en dentelle noire, aussi sexy que transparent. J’avais, depuis longtemps, lâché mon stylo, et luttais intérieurement pour ne pas glisser ma main dans mon jean. Mon sexe bandait à m’en faire mal ! Puis ça a été au tour de Laure de perdre son pantalon. Le jean était moins serré, ça a été plus simple, mais beaucoup plus compliqué pour moi de retenir mes ardeurs. Encore une fois, les faits étaient vérifiés : Laure ne portait aucun sous-vêtement, et son sexe était aussi lisse que la peau d’un nouveau-né. Comment ne pas défaillir à la vue de ces deux lèvres charnues, alléchantes, où le doigt de Sophie s’aventurait déjà ?

– Les filles, ai-je bredouillé, je… est-ce que…
– Oui, a répondu Sophie, vas-y, mettez-vous à l’aise…

Je n’ai pas attendu une seconde de plus. J’ai défait ma ceinture en quatrième vitesse, et j’ai plongé ma main dans mon boxer pour commencer une lente masturbation.

– Ne faites pas le timide, m’a lancé Laure. Faites voir…

J’étais un peu gêné. Je ne sais pas pourquoi je pensais à ça, à cet instant précis, mais je me demandais comment j’allais faire pour revenir dans ce même café dès le lendemain. Mais je me suis lancé, et j’ai sorti mon sexe de mon sous-vêtement. Laure s’est penchée au-dessus de la table qui nous séparait pour en apercevoir un peu plus, et s’est mise à sourire en voyant mon membre dur et veineux entre mes doigts. Quand j’ai vu sa bouche s’ouvrir, ses yeux se fermer, j’ai compris que derrière elle, Sophie était en train de jouer avec son sexe. Je ne voyais rien, si ce n’est leurs deux visages, mais j’entendais Laure gémir, et j’entendais le clapotis des doigts de Sophie entre les cuisses de son amie. Puis ça s’est arrêté, et j’ai imaginé que Sophie avait retiré ses doigts. Un peu essoufflée, Laure a de nouveau jeté un coup d’œil à mon sexe, d’où perlait une goutte de liquide séminal. Un grand sourire aux lèvres, elle a posé le bout de son doigt sur le bout de mon gland, puis le bout de son doigt sur le bout de sa langue.

– On est ouvertes à plus que l’amour entre femmes, a-t-elle justifié. On aime tous les sexes, tous les plaisirs, tous les…

Elle n’a pas fini sa phrase, trop occupée à gémir lorsque Sophie a fait disparaître son visage entre ses cuisses. Laure s’est laissé glisser contre la table, laissant à la fois Sophie profiter de son entrejambe, et se faufilant entre les miennes par la même occasion. Elle a lentement posé ses doigts fins à la base de mon sexe, puis m’a regardé, essayant d’avoir mon approbation. Bien sûr qu’elle l’avait, et je le lui ai fait comprendre en m’avançant légèrement vers elle. Laure a sauté sur l’occasion, et a ouvert la bouche pour gober mon gland. Je n’ai pu réprimer un grognement de plaisir. Non, de pure extase. C’était irréel. C’était tellement bon que je devais lutter pour ne pas me laisser aller trop vite dans cette bouche si chaude et si gourmande. Les yeux fermés, adossé à la banquette de mon café préféré, je sentais Laure qui commençait à aller et venir lentement sur ma hampe. Puis c’est la sensation d’une langue sur mes testicules qui m’a fait ouvrir les yeux. Sophie s’était glissée sous la table pour nous rejoindre. Je me suis mis à grogner de plaisir, c’était bien trop bon. Laure et Sophie échangeaient mon sexe comme bon leur semblait. Quand l’une avait mon membre en bouche, l’autre me léchait les testicules. Et quand ni l’une ni l’autre ne s’affairait sur moi, c’était pour se rouler des pelles baveuses au-dessus de mon sexe palpitant.

Puis elles se sont relevées, toujours en s’embrassant. A ce moment-là, je n’existais plus. J’avais repris mon rôle d’observateur. Sophie a poussé Laure contre la table avec tendresse, puis s’est laissé glisser à nouveau entre ses cuisses. Je l’ai regardée y mettre la bouche, l’embrasser lentement, titiller ses lèvres du bout de la langue, remonter sur son clitoris déjà bien excité. Ses mains allaient et venaient le long de ses cuisses. J’avais terriblement envie d’être à sa place, mais je suis resté en retrait. Je l’ai regardée glisser ses doigts dans le sexe lisse et détrempé de Laure, lui soutirant des gémissements qui résonnaient dans le café vide. Après cinq minutes de ce traitement, Sophie s’est relevée. Elle a glissé sa bouche contre le corps de Laure, remontant jusqu’à son nombril, puis ses seins qu’elle a entrepris de lécher et sucer. Puis elle est montée sur la table, a chevauché son amie, et les deux filles se sont embrassées à nouveau, frottant leurs deux corps l’un contre l’autre. Quand leurs bouches se sont enfin séparées, Laure a passé sa tête par-dessus l’épaule de Sophie et m’a souri.

– Venez, a-t-elle dit doucement, rejoignez-nous. Venez nous prendre. J’ai une capote dans la poche de mon jean.

Sans hésiter, j’ai récupéré le bout de latex dans le pantalon de Laure, l’ai sorti de son emballage, et ai emballé mon sexe avec. Je bandais comme rarement. Je me suis alors avancé entre ces deux paires de jambes, et il a fallu que je fasse un choix. J’ai finalement posé ma main sur la hanche de Sophia, et de mon autre main, j’ai glissé mon sexe dans celui de Laure. Après tout, c’est elle qui avait demandé. J’y suis allé doucement, presque fébrilement. Je ne voulais ni les brusquer, ni partir trop vite. Je n’arrivais presque plus à respirer, tant le plaisir était grand. Le souffle court, j’ai fini par m’enfoncer entièrement en elle, flattant au passage la croupe délicieuse de Sophie. Puis j’ai commencé à aller et venir, accélérant progressivement. Laure gémissait. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle aussi se cramponnait au fessier de sa collègue. J’ai compris, en regardant entre leurs cuisses, que c’était aussi la faute de Sophie, dont les doigts s’activaient sur son clitoris. J’ai accéléré encore un peu mes coups de reins. Peut-être un peu par péché d’orgueil, parce que je voulais être la cause de son plaisir. Même si c’était peine perdue, ces filles se connaissaient trop bien.Café

Laure a fini par jouir. Bruyamment, arquant son corps, contractant ses muscles autour de mon sexe. J’ai dû fermer les yeux, tenter de penser à autre chose, pour ne pas défaillir à ce moment-là. Du bout de ses doigts fins, Laure a sorti mon sexe du sien, et s’est laissé glisser au pied de la table. Sans plus attendre, je l’ai vue commencer à lécher et sucer, à littéralement manger le sexe de Sophie. Les grognements plus rauques de celle-ci ont commencé à se faire entendre. C’était tellement excitant à voir et à écouter. Laure ne m’avait pas oublié pour autant. Elle a attrapé mon membre qui était toujours au garde-à-vous à quelques centimètres d’elles, et elle l’a placé contre les lèvres de Sophie. Elle était si excitée que je m’y suis enfoncé facilement, d’une traite. Alors, mes mains sur ses hanches, j’ai commencé à la besogner. Encore une fois, ses cris étaient sûrement dus à la langue de Laure, que je sentais aussi par moments sur mes testicules, mais je me persuadais que j’y étais quand même pour quelque chose. Mes mains sur ses fesses, j’ai accéléré la cadence. Je regardais autour de moi pour tenter de ralentir mon envie de jouir, mais c’était pire car je me rendais compte de la situation dans laquelle je me trouvais. Je pouvais voir à ma gauche cette table à laquelle j’étais assis tous les matins pour travailler et prendre un café, je pouvais voir la déco, le comptoir, tout. Mais impossible de faire abstraction des cris, de nos cris de plaisir à tous les trois, et cela rendait la situation terriblement excitante. Mon regard s’est à nouveau posé sur mes partenaires. Mon sexe allait et venait maintenant à toute vitesse entre les cuisses de Sophie, tandis que Laure, toujours affairée sous elle, caressait maintenant son derrière, écartant subtilement ses fesses pour le plus grand plaisir de mes yeux. C’en était trop.

– Les… les filles, ai-je balbutié, je…
– Attends, m’a coupé Sophie, attends… Ooooh…

Le plaisir lui avait fait oublier le vouvoiement, mais comment lui en tenir rigueur? L’orgasme l’a terrassée, et comme pour Laure, j’ai senti tout son corps se tendre et se contracter autour de moi. Je n’en pouvais plus. Je n’ai pas pu attendre plus longtemps et d’un geste, je me suis retiré de Sophie. J’ai à peine eu le temps de retirer le préservatif que déjà, j’éjaculais. Abondamment. Mon sperme a explosé contre son derrière, avant de couler lentement dans sa raie culière. Aux aguets, Laure a relevé la tête, et s’est précipitée sur son amie pour lécher l’endroit souillé. Du plat de la langue, je l’ai vue prendre en bouche toute ma semence, ou du moins autant que possible, avant de se relever et d’embrasser Sophie. Ces deux-là auraient pu provoquer chez moi une nouvelle érection instantanée ! Mais le baiser en est resté là. Elles se sont toutes les deux regardées en souriant, tandis que je n’osais même pas les regarder dans les yeux.

– Oh merde, a soudain dit Sophie en regardant sa montre, j’avais pas vu l’heure, je dois filer. Mon mec a invité un couple d’amis à la maison, il faut absolument que je rentre !

Son mec ? Un couple d’amis ? Mais est-ce qu’on ne venait pas de… Et mon sperme qui coulait encore entre ses fesses. Je n’osais imaginer la situation si son homme découvrait ça. Sophie s’est rhabillée en vitesse, avant de donner un nouveau baiser à Laure et de partir par l’arrière du café. Nous nous sommes retrouvés seuls avec Laure, je n’osais pas prononcer un mot. Alors c’est elle qui l’a fait, en se rhabillant.
– C’était bien. Non ?
– Oh, si ! Si si, c’était génial.
– Inspirant ?
– Possible, oui !

Une fois tous les deux vêtus à nouveau, nous sommes sortis à notre tour et nous sommes retrouvés sur le trottoir. Il faisait un froid glacial, c’était plutôt étrange de nous voir ainsi emmitouflés alors que nos corps étaient encore brûlants de nos ébats. Laure m’a alors regardé avec un petit sourire.

– On se voit demain j’imagine ?
– Pardon ? ai-je demandé, toujours aussi déboussolé.
– Eh bien, même heure, même table, même café ? Non ?
– Oh ! Si ! Oui bien sûr, on se voit demain.
– Bonne soirée alors.
– Oui, également.

Elle m’a embrassé. Sur la bouche. D’une façon si sensuelle que jamais je ne pourrais l’oublier. C’était la première et dernière fois que nous nous embrassions, il ne s’est plus rien passé entre nous par la suite.

Aussitôt chez moi, j’ai tenté de réécrire tout ce que j’avais vécu, mais c’était impossible. Trop intense. Il n’y aura donc pas de nouvelle sur les deux serveuses du café de ma rue. Par contre, j’ai publié une histoire à ce sujet sur un site d’histoires érotiques

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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