Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:06

Martinov 26 – Les sculptures incas – 4 – Intrigante Sophia par Maud-Anne Amaro
Bombe

A Alençon, Martinov et Béatrice se sont posés à la terrasse d’un bistrot pout tenter de faire le point.

– C’est bien nébuleux tout ça ! A moins d’un coup de théâtre on n’aura jamais le temps d’approfondir le truc ! Se lamente Béatrice.
– On peut essayer de négocier quelques jours supplémentaires, je m’entends bien avec Gino.
– Ça j’ai vu ! Se gaussa-t-elle

Le restaurant de l’hôtel des « Deux bornes » était à moitié rempli, (ou à moitié vide, question de point de vue). A quelques tables de la leur, dinait une femme seule, brune, la quarantaine, joli visage assez atypique avec un grand nez aquilin qui le faisait bien et des lunettes à la monture très fine.

Le regard des deux femmes finit par se croiser, l’inconnue sourit et Béatrice lui rendit son sourire avant de replonger dans son assiette, profondément troublée.

Ce petit manège se répéta plusieurs fois, Martinov, lui, ne se rendait compte de rien.

– On fait quoi on monte dans la chambre où on va prendre le frais ! Demanda Martinov quand ils eurent terminé leur dîner.
– Fais comme tu veux, moi, je vais rester un peu ici, on dirait que j’ai un tiquet avec la dame là-bas, non reste discret, je te raconterais… si toutefois il y a quelque chose à raconter.

Martinov parti, Béatrice fixa de nouveau son regard vers l’inconnue, celle-ci répondit par un nouveau sourire, mais celui-ci était différent et semblait être une invite.

Béatrice se leva et se dirigea vers la femme en noir !

– Béatrice, enchantée, votre sourire est craquant.
– Sophia, enchantée également, merci de vous êtes déplacée, asseyez-vous donc, je ne mords pas.
– Je ne mords pas non plus, mais puisque je semble vous intéresser, m’en direz-vous les raisons ?
– Avec plaisir, mais promettez moi de ne pas faire de scandale, si ce que je vais vous dire ne vous intéresse pas, on en restera là et nous ferons comme si nous ne nous étions jamais rencontrées. D’accord ?
– Remarquez, je crois deviner, mais j’ai peur de me tromper !
– O.K Reprit Sophia, cassons le suspense, je suis sexuellement attirée par les femmes.
– Je l’aurais parié ! Répondit Béatrice avec un large sourire.
– Et vous ?
– Quoi, « moi » ?
– Les femmes vous attirent-elles ?
– Parfois, oui !
– Un petit moment avec moi, ça vous dirait ?
– Oui !
– Alors trêve de préliminaires, vous êtes disponible, là tout de suite ?
– Juste le temps de prendre une douche…
– Vous la prendrez après. Je suis impatiente de vous lécher la chatte.
– Oh ! On peut dire que vous êtes directe, vous !
– Oui, j’aime bien… comme ça les choses sont claires.
– Alors allons-y :
– Mais votre partenaire de table ?
– Je vous expliquerai.

Coup de foudre réciproque ? Non il faudrait plutôt parler d’une attirance simultanée, d’une envie subite et brutale de s’envoyer en l’air.

Parfois les explications ne sont pas de mises, Mais sans doute Béatrice a-t-elle été subjuguée par le côté énigmatique de cette brune, par son visage respirant le désir, mais aussi une certaine autorité.

Dès la porte de la chambre refermée, Sophia enlace fougueusement Béatrice. Elles s’embrassent avec une telle passion que de la salive dégouline sur leur menton.

La brune porte ses mains sur la poitrine de la chimiste.

– Déballe-moi tout ça !

Prestement Béa retire son petit haut…

– Hum, joli soutif… enlève-le vite.

Sophia se jette sur les seins libérés de leur entrave, elle les pelote, les lèche et bien sûr en agace les pointes.

– T’aime un peu fort !
– Oui, tu peux y aller.
– T’aime bien l’amour un peu vache !
– Pas toujours, mais de temps en temps, j’aime bien.
– Je vais te faire crier, alors ! Reprend-elle en augmentant sa pression sur les tétons
– Aïe !
– C’est trop fort ?
– Non, continue ! Aïe !

La brune accentue sa pression, elle étire les tétons, les tortille.

– Tu me fais mal !
– Tu veux que j’arrête ?
– Non !
– Hum, on dirait que j’ai tiré le bon numéro ce soir, tu veux être ma petite esclave… pendant une heure ?
– Oui mais accorde-moi une faveur !
– Laquelle ?
– J’aimerais bien te voir à poil !
– Je le ferai, mais rien ne presse.
– Non, écoute, je te propose un truc, tu te mets à poil, je te caresse un peu et après tu peux me faire ce que tu veux.
– D’accord, on va faire comme ça ! Finit de te déshabiller, assieds-toi sur le bord du lit et regarde.

Sophia retire d’abord ses chaussures et son pantalon, puis son boléro noir et son tee-shirt blanc. Ses sous-vêtements sont en dentelle mauve, probablement une grande marque.

Elle se débarrasse ensuite de la petite culotte dévoilant une chatte taillée en ticket de métro, elle pivote afin d’exhiber son cul puis enlève son soutien-gorge.

Martinov2604seins sont lourds, mais de bonne tenue, magnifiquement galbée et terminé par de jolis tétons bruns que l’excitation a déjà durci.

– Voilà ! C’est pas trop mal, non ?
– Tu es très belle ! Répond Béa.
– Je ne me plains pas. Tu as cinq minutes pour me caresser et après tu seras à moi.

Alors, vous vous vous imaginez bien que Béatrice ne reste pas les deux pieds dans le même escarpin. Elle caresse, le tripote, elle embrasse…

– Hum, tu caresse bien ! La flatte la brune.

Béatrice lui fout la main sur la chatte, ses doigts en quémandent l’entrée, déjà humide, Sophia se laisse faire, ses yeux pétillant de malice.

– Stop !
– Déjà !
– Eh, oui le temps passe plus vite quand on fait du sexe que quand on attend le taxi. C’est ce qu’a très bien expliqué Albert Einstein.
– Quel cochon cet Albert !
– Ne m’en parle même pas ! Bon éloigne-toi un peu du lit je vais m’assoir sur le bord, toi tu vas venir me voir à genoux et me lécher les pieds.

Voilà qui ne déplait pas à notre belle chimiste qui n’a rien bien au contraire contre cette activité qu’elle n’a pas si souvent l’occasion de pratiquer.

– Tu les trouves comment ?
– Jolis !
– Et le vernis bleu ?
– Ma foi, je trouve, ça pas mal !
– Lèche !

Béatrice commence par s’occuper du dessus, Le goût est légèrement salé, normal madame à un peu transpiré, mais cela ne gêne aucunement la jolie chimiste qui y va de ses grands coups de langue.

Après avoir bien léché le pied gauche, elle passe au droit. Ben oui, il n’y a pas de raisons…

Puis ce sont les orteils…

– Tu peux y aller, je ne suis pas chatouilleuse.

Les orteils c’est mignon (enfin ça dépend lesquels) mais le chouchou des adorateurs du pied c’est évidemment le gros, celui que les cuistres nomment « hallux » (vous parlez d’un nom à la con !)

Béatrice s’en empare, le met en bouche et le suce comme elle le ferait d’une bite rabougrie.

– C’est bien ! Maintenant pour te récompenser, tu vas t’allonger sur mes cuisses et je vais te donner la fessée que tu mérites ! Sale gosse que tu es !
– Pas trop fort, hein ! J’ai besoin de mes fesses pour m’assoir !
– Arrête de faire ta chochotte, je ne suis pas une brute, je suis juste une vilaine coquine !

Béatrice s’installe comme demandé. En fait de fessée Sophia commence par une série de caresses.

– J’aime bien la peau de ton cul ! C’est doux !

Elle caresse et caresse encore et soudain alors que Béa ne s’y attendait plus, le premier coup tombe.

– Aïe !
– Veux-tu te taire !

Les coups pleuvent à ce point que cinq minutes plus tard le cul de la belle chimiste avait viré cramoisie, tandis que Sophia jetait l’éponge, l’exercice finissant par faire mal aux mains.

– Allez, dégage de mes cuisses, je vais aller chercher un truc.

Sophia revient avec une petite trousse et en extrait fièrement un joli godemichet.

– Tu emportes un gode dans tes déplacements ? S’étonne Béa.
– Juste le minimum, gode, capotes, gel.
– Des capotes ?
– Ben oui pour envelopper le gode ! Tu croyais que je m’envoyais des mecs ? Remarque ça m’arrive de temps en temps, faut bien varier les plaisirs, Tiens il n’y a pas si longtemps sur une aire d’autoroute un beauf avec sa femme me reluquait avec insistance, je l’ai provoqué et je lui dis un truc du genre : Toi t’es en train de fantasmer, tu m’imagines en train de te faire une pipe ? » « Vous vous méprenez… » qu’il me répond et moi je continue, je lui dis « c’est cinquante euros et madame peut regarder… » Je pensais que l’affaire s’arrêterait là. Non il échange des messes basses avec sa femme. « Chiche qu’il me dit » J’étais prise à mon propre piège, mais ça m’a bien amusée !

Béatrice se demande tout de même si sa partenaire n’affabule pas.

– Il s’est formé un petit attroupement ! Continue-t-elle. C’était très chaud, des mecs sortaient leurs queues et se branlaient, certains ont essayé d’entreprendre la femme du mec que je suçais, mais elle les a repoussés. Le mec m’a éjaculé dans la bouche, je n’ai pas avalé, j’ai voulu embrasser sa femme pour lui refiler le foutre, mais elle s’est dérobée, alors j’ai craché. Evidemment après ça j’étais excitée comme une puce, j’avais envie de me faire baiser mais les mecs présents ne me disaient pas grand-chose. Je me suis donc enfermé dans ma bagnole, et j’ai été bien content de retrouver mon gode. Elle t’a plus mon histoire ?
– C’est excitant !
– Remarque, si ça se trouve, il n’y a rien de vrai là-dedans, je suis peut-être en train de tout inventer !
– Peu importe, tout le monde a le droit de fantasmer !
– Et toi ? Demande Sophia, t’aime bien sucer des bites ?
– Je suis davantage attiré par les femmes, mais de temps en temps, une bonne bite, ça change, il faut bien varier les plaisirs.
– T’as raison ! Et le vieux qui était à ta table, tu le suces aussi ?
– Dis donc, curieuse !
– T’as raison, ça ne me regarde pas, allez, assez discuté, mets-toi en levrette, je vais t’astiquer le trou du cul !

Béatrice obtempère, se met dans la position demandée, le croupion cambré, les jambes légèrement écartées. Le gode entre comme une cuillère dans un pot de miel.

– Ahhh !
-T’aimes ça te faire remplir le cul, hein ?
– Ouiii.
– Attends, je vais activer les piles, ça sera encore meilleur.
– Ahhh ! C’est bon, Oh là là !
– T’es vraiment une petite salope ! Dis-le que t’es une petite salope !
– Oui, je suis une petite salope … mais toi tu es une grosse salope.
– Alors on était fait pour s’entendre.

Béatrice n’en peut plus des coups de boutoir de ce gode diabolique et se met à jouir comme une damnée. Elle se relève en soufflant comme un bœuf. Sophia s’est assise sur le rebord du lit, jambes écartées.

– Maintenant viens me brouter le gazon !

Béatrice se précipite, elle lui devait bien ça…

– Ben dis donc toi quand tu mouilles, tu ne fais pas semblant.
– Lèche, tu me feras des commentaires après.

Ça pour lécher, elle ne s’en prive pas, se régalant des sucs intimes de sa partenaire, balayant les lèvres gonflées d’excitation.

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir ! Implore Sophia dont la respiration devient saccadée.

L’extrémité de la langue de Béatrice vient titiller le berlingot opportunément dressé. Sophia jouit. Les deux femmes s’étreignent en un long baiser sensuel et passionné.

– Tu m’as complètement épuisé ! Soupire Béatrice.
– C’est de la bonne fatigue, tu vas bien dormir.
– Oui je vais y aller…
– Mettons les choses au point, dit alors Sophia, on ne peut jamais jurer de rien, mais en principe il n’y aura pas de suite. Ce que j’apprécie dans ce genre de rencontre, c »est le plaisir de la découverte, l’attrait de la nouveauté. Je ne m’attache pas !
– Ça tombe bien, moi non plus ! Mais on sera peut-être amené à se croiser, on va sans doute prolonger notre séjour…
– Et alors ? Où est le problème, si nous nous croisons, nous nous saluerons en vitesse comme deux femmes bien élevées. Juste une question, je ne te demande pas ce que tu fabriques ici, ce ne sont pas oignons, mais ôte- moi d’un doute, serais-tu avocate ?
– Pas du tout, ma chère !
– Alors un bisou et bonne nuit !

Béatrice se demanda le pourquoi de cette étrange question.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:03

Martinov 26 – Les sculptures incas – 3 – Retour à l’atelier du peintre par Maud-Anne Amaro

Fathia

Mardi 2 mars

Le lendemain matin, Martinov et Béatrice furent accueillis par la famille Chamoulet, du moins une partie de la famille parce que Arsène n’était point-là !

Béatrice descendit en rappel. Et une fois au fond constata que le bas-relief avait disparu ! Complètement disparu, il y aurait dû avoir des débris, eh bien non, aucun débris.

– C’est quoi ce délire ?

Elle prit des photos de la paroi qui était redevenue vierge de tout ornement.

Le sol du fond était meuble et on pouvait y voir nettement des traces de chaussures qui n’étaient pas les siennes, des traces très nettes, genre grosse godasses de randonnées marquées avec six étoiles à l’avant et trois étoiles sur le talon. Elle en prit photo et en mesura la longueur…

– Ohé, on me remonte ?

Et une fois en haut, elle montra à Gino les photos qu’elles avaient prises (mais pas celle de l’empreinte de chaussure)

– Mais alors il n’y a rien ?
– Hier il y avait quelque chose, regardez !

Elle lui montre les photos prises la veille au même endroit.

– C’est ahurissant, ça veut dire que quelqu’un serait descendu dans le puit en pleine nuit et qu’il aurait piqué les bas-reliefs, mais ça n’a aucun sens !
– Ça n’a peut-être aucun sens, mais le fait est que les bas-reliefs ne sont plus là ! Donc pour nous la mission est terminée, il y a un mystère, mais là on tombe dans une enquête policière, nous nous sommes des scientifiques. Donc ce n’est plus notre affaire.
– Je me vois mal confier cette affaire à un détective privé ! Se désole Gino. Bon je vais vous payer. Maman, où est Papa ?
– Il est parti ce matin à Paris, il avait une démarche à faire pour l’assurance de la maison.

Probablement une excuse « diplomatique », mais Gino ne creusa pas l’affaire. Hélène Chamoulet rédigea un chèque.

– Quittons-nous bons amis, nous pourrions partager notre repas du midi, j’avais pensé à une pintade avec des patates ! Proposa Hélène.
– Avec plaisir ! Répondit Béatrice au grand dam du professeur qui l’a pris à part un peu après.

– Tu sais bien que ça me saoule, ces repas avec des gens qu’on ne connait pas.
– Je t’expliquerai !

En fait Béatrice aurait bien voulu savoir… ben oui l’éternelle curiosité féminine ! Qui était descendu en pleine nuit au fond du puit, et surtout pourquoi un tel acte ?

La personne qui avait opérée avait pris des risques considérables. Déjà il fallait pénétrer dans les lieux, ensuite descendre dans le puit… avec quoi ? Sans doute avait-elle apporté une échelle de cordes, à moins d’être aidé par un complice assurant une corde de rappel. Et ensuite détacher le bas-relief, ce qui n’est pas forcément évident, ensuite il faut remonter avec le bas-relief, puis repartir. Combien de temps pour accomplir tout ça ? Au moins une heure, non ?

Si Béatrice voulait connaitre le fin mot de l’histoire il lui faudrait trouver un prétexte pour prolonger leur présence. Elle se dit qu’elle aurait le temps d’y réfléchir avant le déjeuner prévu pour midi.

– Tu n’as pas envie d’en savoir davantage ? Demanda-t-elle au professeur.
– Si, mais si ça reste un mystère, je n’en mourrai pas.
– Je vais essayer de négocier un jour au deux supplémentaires, t’a rien contre ?
– Tu ne trouveras rien !
– Je peux essayer, 24 ou 48 heures c’est tout !
– Et moi je vais faire quoi ?
– T’inquiète, j’aurais sans doute besoin d’aide.

La table est dressée, le professeur Martinov est assis à côté d’Hélène Chamoulet, Devant lui, s’est assise Fanny, revêtue d’un chemisier noir en dentelle semi-transparent qui laisse entrevoir ses tétons. Imaginez notre pauvre professeur, complètement troublé par cette vision. Elle est entourée de Béatrice et de Gino.

– Vous excuserez mon mari, ! Nous dit Hélène, il est en course, du moins c’est l’excuse qu’il a donné, en fait il boude, ça lui passera, ça lui passe toujours !
– Ces bas-reliefs sont très intrigants ! Intervient Béatrice, il faut que j’effectue des recherches, mais comme j’aurais des questions à vous poser, je préfèrerais rédiger notre rapport ici. C’est l’affaire d’un jour ou deux.
– Ce n’est pas un problème, prenez le temps qu’il faudra ! répond immédiatement Gino.
– O.K, on va se prendre une chambre d’hôtel à Alençon…
– D’accord, vous nous ferez une note de frais.

Pendant le repas, le professeur a du mal à ne pas porter les yeux sur sa vis-à-vis, laquelle un moment se lève en déclarant :

– Je vais pisser, je reviens !

Et elle quitte la table en tortillant du croupion.

Des cris dans la courette, ils se rapprochent, Fanny revient affolée !

– Venez voir, vite !
– Qu’est qui se passe ?
– Mais venez, venez !

Tout le monde est dehors

– Ben quoi ?
– Là !

« Là », c’est la petite dépendance servant de dépôt de bois coupé. Et posé contre un pilier de soutien sur le côté et donc non visible directement… il y a quoi ?

Le bas-relief !

Béatrice l’examine de suite, le bas-relief est en fait une plaque de plâtre concave, elle devait être maintenue sur la paroi du puit à l’aide d’une matière facile à rompre (du mastic ?) Le temps d’intervention de l’intrus est du coup, revu à la baisse. Elle prend quelques photos afin de s’assurer qu’il s’agit bien du même bas-relief que celui découvert au fond du puit.

Sur les photos, on pouvait remarquer un petit défaut de moulage sur la partie supérieure gauche, ce défaut est également présent sur le bas-relief « remonté ». Il s’agit donc bien du même !

– Quelqu’un se serait introduit chez nous en pleine nuit ? S’étonne Gino.
– Et le chien n’a pas réagi ? S’étonne Béatrice.
– Ce n’est pas vraiment un chien de garde, et puis il ne couche pas dehors…

Hélène sonne le rappel :

– Revenez à table, j’ai fait un bon clafoutis.

Tout le monde y va, mais Fanny a le temps d’échanger quelques mots avec le professeur.

– Ils te plaisent mes nichons, hein ?
– C’est bien malgré moi… balbutie le professeur.
– Arrête ton baratin, je ne te fais aucun reproche, j’aime bien qu’on me regarde, mais si tu veux les voir encore mieux, ça peut se faire… mais chut !

Béatrice pour sa part ne pense pas au sexe (patience, ça viendra…) elle est perplexe et se demande à quoi rime cette mise en scène !

« Retirer ce bas-relief du puit pour le poser devant la réserve de bois… Quelqu’un joue au con ! Mais dans quel but ? »

Le délicieux clafoutis étant consommé, Béatrice et Martinov refuse le café et s’isolent.

– Et si l’un des deux mecs d’ici faisait double jeu ? Se demande Béatrice.
– Mais dans quel but ?
– Ah, ça, je n’en sais rien ! Mais j’aimerais bien éliminer cette hypothèse. On serait des détectives privés on aurait regardé toutes leurs godasses sous un prétexte quelconque, mais je ne nous vois pas faire ça.
– Et alors on fait quoi ?
– On va déjà regarder si on trouve d’autres indices, on va faire le tour de la propriété, moi je vais à gauche, toi à droite, tu as bien mémorisé le dessin des semelles…

« Si au moins ce con avait laissé tomber un objet personnel… » Se dit-elle

Elle longe le grillage de la propriété… du matériel bas de gamme. Le terrain est très cabossé et elle manque de s’étaler plusieurs fois. A un endroit le grillage ne descend pas jusqu’au niveau du sol, cela sur environ deux mètres, ce qui est largement suffisant pour pénétrer dans la propriété en faisant un roulé-boulé.

Quelque chose brille dans l’herbe. Béatrice se penche et ramasse un briquet.

« Un zippo ! A tous le coups le mec qui est entré l’a fait tomber de sa poche »

Elle passe sous la grille…

« Merde je me suis toute dégueulassée…  »

Le chemin extérieur est resté détrempé à cet endroit, elle inspecte le sol, il y a des traces de chaussures un peu floues, mais le doute n’est pas permis, ce sont bien les mêmes que celle du fond du puit…

« Et là un mégot… !

Une cigarette que le type n’a pas eu le temps de finir ! Normal il n’allait pas faire son roulé-boulé avec sa clope. Elle le ramasse, en lit la marque : « Winston »

Elle se dirige vers la droite cherchant d’autres traces ou indices mais sans en trouver, il n’y en pas non plus dans l’autre direction.

« Bon, on sait que le mec qui a déplacé le bas-relief venait de l’extérieur, qu’il fume des Winston et qu’il a perdu son zippo ! Avec ça je ne suis pas tellement avancée ! Et maintenant je fais quoi ? »

Béatrice revient vers la bâtisse, elle n’aperçoit pas le professeur, d’ailleurs il n’y a personne dans la courette.

– Allo, mon petit professeur, tu es où ?
– Dans l’atelier de Gino, il m’a prêté son ordi, j’ai trouvé des trucs, monte si tu veux, c’est l’avant dernière porte au premier…

Béatrice pénètre dans l’atelier et à la surprise de trouver Martinov et Gino entièrement nus.

– Euh, vous faite du naturisme en chambre ? Se gausse-t-elle.
– On peut dire ça comme ça en effet, Répond Gino. En fait je voulais peindre Monsieur en faune antique, il fallait pour cela qu’il soir nu, n’est-ce pas ?
– Et le peintre aussi ?
– Comme monsieur hésitait à se déshabiller, il a fallu que je montre l’exemple ! Répondit Gino en rigolant à moitié.
– Vous avez l’imagination fertile ! Et en plus vous avez une bien belle bite, monsieur le peintre ! Le taquine Béatrice.
– Je vous en aurais volontiers proposé l’usage, mais voyez-vous, l’ami Martinov m’a fait jouir intensément, il suce fort bien l’animal et son cul est très accueillant !
– Eh bien j’en apprends des choses ! Mais je ne venais pas pour la gaudriole, tu m’as dit avoir trouvé des trucs…
– Oui, j’ai d’abord examiné le bas-relief, c’est du plâtre de modelage basique, il est récent sans aucune altération, l’auteur a dû fabriquer un moule avec du silicone ou une autre matière malléable, et a fait sept moulures.
– Quand tu dis récent…
– S’il était resté longtemps au fond du puit, il y aurait dû avoir des saletés, des moisissures, il n’y en a pas.
– Et sinon ?
– Sinon, j’ai trouvé sur Google la sculpture qui a servi de modèle au bas-relief. Ce serait une statuette Incas trouvé en Equateur. C’est d’ailleurs amusant parce que l’image n’est présente que sur des sites farfelus, tu sais le genre, « grands anciens », il est donc possible que ce soit un faux. De toute façon ça ne tient pas debout, ça parle de cosmonaute parce que le type a comme un casque que la tête, mais à part ça il est à poil avec juste une espèce de pagne. Ça pourrait être aussi bien un motocycliste, mais je crois que les incas n’avaient pas découvert la roue…
– Intéressant, mais ça nous mène à quoi ?
– Le gars qui a fabriqué le bas-relief doit être un passionné d’ésotérisme, partisan de la théorie des « grands anciens ».
– Oh là ! Tu vas loin là !
– C’est juste une piste !
– Mwais…
– Faudrait peut-être que tu te rhabilles, on doit aller à Alençon !

Mais voilà que l’on frappe à la porte.

– Entrez !

C’est Hélène Chamoulet.

– Tu pourrais répondre quand je t’appelle ! T’es sourd ou quoi ?
– J’ai pas entendu ! Répond Gino.
– Je voulais te prévenir que ton père est parti une semaine au Canada rendre visite à son cousin, il a appelé un taxi qui vient de partir, il m’a chargé de te dire aurevoir.
– Il n’est même pas foutu de faire ça tout seul ce con !
– Un peu de respect, s’il te plait, faut prendre ça du bon côté, ça va nous faire des vacances.

Et tout d’un coup Martinov a un flash, le visage de la femme faisant une fellation sur la toile que lui a montrée Gino, c’est celui d’Hélène !

– Et puis d’abord qu’est-ce que tu fous à poil en bandant comme un sapeur ! Reprend la Maman.
– On n’a pas eu le temps de se rhabiller.
– Je n’ose même pas demander ce que vous fabriquiez ! Mais quelle belle bite ! S’il n’y avait pas ces messieurs dames, je te la sucerais volontiers.
– Ne vous gênez pas pour nous, faites comme chez vous ! Répond Béatrice, par défi.

Béatrice pensait qu’Hélène parlait de la bite de Martinov, certes agréable à regarder mais pas exceptionnelle non plus. Mais en fait c’est de la pine de son fils qu’elle parlait. Elle s’approche du fiston et lui prend le sexe dans sa bouche.

– A ben ça alors ! Ne peut s’empêcher de clamer la belle chimiste
– Je vous choque ? Il me semblait pourtant que j’avais votre feu vert ! Réplique Hélène en lâchant momentanément sa proie.
– Je ne suis pas choquée, j’en ai vu d’autres, Disons que j’ai été un peu surprise, mais ne vous occupez pas de moi, je vais pendre plaisir à vous regarder.
– Alors tout va bien, vous pouvez même le droit de participer !

Alors folie pour folie, Béatrice se range aux côtés d’Hélène et les deux cochonnes se mettent à sucer tantôt alternativement tantôt conjointement la bite de Gino.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la bite de mon fils ! S’exclame Hélène.
– Cochonne ! Lui répond Béa.
– Oui, mais j’assume !

Un moment les lèvres d’Hélène et celles de Béatrice sont très proches les unes des autres, alors ce qui devait arriver arriva, les deux femmes se roulent un patin comme deux vieilles goudous.

– Dis donc toi tu embrasses bien, je parie que tu aimes brouter du gazon ! Lui balance Hélène.
– T’as tout compris !
– On devrait se mettre à poil, ce serait plus cool.
– Alors soyons cool.

Et nos deux coquines se mettent à poil. Hélène possède ce qui s’appelle une bonne poitrine, elle tombe un tout petit peu (normal Hélène approche de la cinquantaine) mais qu’importe.

Béatrice veut se jeter sur les nénés de la mature, mais cette dernière la prend de rapidité et se met lui sucer les tétons avec gourmandise.

Du coup Gino se retrouve sans partenaire. Mais Martinov vient à ses côtés et les deux hommes se branlent mollement la bite en regardant ces dames se donner du plaisir.

– Regarde ma mère comme elle est salope !
– Je vois ça ! Répond le professeur

– Hum, j’aime ça lécher les nichons des belles femmes ! Ça m’excite ! Annonce Hélène à l’attention de Béatrice
– Continue, c’est bon !
– Tu dois me trouver vicieuse !
– Faire du sexe ce n’est pas du vice ! Répond doctement Béatrice.
– Super !
– Tu fais ça souvent !
– Dis donc ma grande on ne se connait pas encore assez pour se faire des confidences.
– Je demandais ça comme ça…
– Embrasse-moi encore et peut-être que je te dirais mes petits secrets, mais il faudra que tu me dises les tiens.

De nouveau les deux femmes se livrent à un french-kiss bien baveux, en même temps Béatrice a maintenant accès aux seins d’Hélène et ne se prive pas pour les tripoter avant de se jeter dessus pour se régaler de ses tétons turgescents.

– J’ai pas vu ton cul ? Lui demande la mature.
– Ce n’est pas ce que j’ai de mieux…
– Tourne-toi quand même, j’aime bien lécher les petits culs…

Hélène se tourne en cambrant les fesses.

– Ecarte-les que je vois ton petit trou.

Ce qui permet à Madame Chamoulet de pointer sa langue contre l’anus de la jolie chimiste.

– Hum, il a bon cul ! J’adore lécher les culs !
– Régale toi ma grande !

Elle lèche, elle lèche, mais il faut bien que s’arrête un moment.

– J’adore lécher ! Commente-t-elle, les culs, les chattes, les bites… Hum j’ai la chatte en feu, viens me la bouffer.

Hélène se couche carrément sur le sol les jambes écartées, tandis que Béatrice s’approche de ses cuisses.

– Non, en 69 ! Indique Madame Chamoulet.

Eh oui, la position magique celle où on se fait lécher tout en léchant à ce point qu’on a l’impression de se lécher soi-même.

Le deux femmes mouillent comme des éponges, chacune se régalant des sucs de l’autre. Gino et Martinov se branlent en les regardant.

Quand Béatrice porta sa langue sur le clito de sa partenaire, cette dernière par une belle réciprocité en fit de même ce qui fait que les deux diablesses jouirent quasiment en même temps…

Les deux femmes s’embrassent encore une fois et se relèvent pantelantes.

– Ben dis donc, Maman tu pètes la forme ! lui dit Gino.
– Toi aussi on dirait ! Tu comptes rester longtemps avec ta bite raide comme un bout de bois ! Viens donc enculer ta mère !

Martinov2603Elle ne lui demande pas s’il est d’accord, elle se met en levrette et attend l’assaut. Mais Gino ne se dégonfle pas et lui fous sa bite dans le cul.

– Martinov, vient devant moi que je te suce la bite pendant que mon fils m’encule.

Vous pensez bien que le professeur n’allait pas refuser une telle proposition. Et le trio infernal se met en place.

– Oh, toi aussi t’as une bonne bite ! Dit-elle à Martinov après avoir gouté à son chibre. Béatrice ne fait pas banquette, passe derrière mon fils et fous lui ton doigt dans le cul, ça va le motiver encore plus.

Imaginez le tableau ! Quatre joyeux érotomanes en furie ! Mais c’est le professeur qui sera le premier à quitter le quatuor, trop de jouissance contenue, ne pouvant ternir la distance il explosa son sperme dans la bouche gourmande d’Hélène qui s’en pourlécha les babines.

– Il est trop bon, ton foutre, pépère !

Il va s’assoir complètement lessivé, tandis que Gino stimulé par le doigt de Béatrice qui s’agite dans son cul continue de sodomiser sa génitrice.

– Continue, insulte-moi, allez !
– Ça te plait de te faire enculer par ton fils, grosse morue !
– Morue je veux bien, mais je ne suis pas grosse, bourre-moi le cul, pédé, suceur de bites, buveur de pisse.

Le lecteur remarquera qu’on est désormais en pleine poésie.

Mais les meilleures choses ont une fin. Après avoir fait hurler sa mère de plaisir plusieurs fois de suite, il finit par éjaculer. Sa mère lui retire la capote et nettoie tout ça !

– Eh bien quelle séance, mes amis, maintenant faut que j’aille pisser…
– Moi aussi ! Précise Béatrice.
– Tu voudrais me regarder pisser ?
– Si t’as rien contre !
– T’es aussi vicieuse que moi, on dirait !
– Je ne vois pas où est le vice là-dedans, mais ça ne fait rien…
– Je sais, je sais… Je crois deviner ce que tu veux…
– Ah oui ?
– Tu voudrais que je te pisse dessus ?
– Oui !
– Peut-être même dans la bouche ?
– Oui !

Et c’est qui se passa, dans la salle de bain Béatrice s’assit sur le sol, ouvrant une large bouche et avala plusieurs rasades du nectar dorée de la belle mature. Et comme vous vous en doutez, elles échangèrent ensuite les rôles.

– Tu fais d’autres trucs extrêmes ? Demanda Hélène.
– Ça ce sont mes petits secrets.
– O.K, je n’insiste pas, mais toi tu m’avais posé une question. Tu veux que je te réponde ?
– T’es pas obligée.
– Non, mais je vais le faire quand même. A Paris nous sortions régulièrement en boite échangiste avec mon fils et Fanny… elle est où d’ailleurs Fanny ?
– Partie faire des courses !
– Elle a raté quelque chose !
– Et Monsieur Chamoulet, il ne doute de rien ?
– Il fait l’autruche, et de toute façon il n’a rien à dire, il a une maîtresse, alors on fait dans le gentleman agrément.
– Mais maintenant comment allez-vous faire ?
– Tu peux continuer à me tutoyer. Le Mans n’est qu’à une demi-heure de voiture, Angers, un peu plus loin, et à la limite il ne faut que trois heures pour aller sur Paris…

Hélène eu le tact de ne pas relancer Béatrice afin de lui faire avouer ses « petits secrets »

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:57

Gaystamp

Martinov 26 – Les sculptures incas – 2 – L’atelier du peintre par Maud-Anne Amaro

– Bizarre cette visite, en premier lieu on pourrait penser que la bonne femme était envoyée par un type déçu de ne pas avoir pu acheter la propriété… mais il y a cette affaire de slip, j’avoue ma perplexité ! C’est quelqu’un de connu dans le coin ? Demande Martinov
– On n’a pas trop cherché à savoir et puis vous savez, ça ne fait même pas un mois que nous sommes ici…
– J’ai quand même l’impression que cette visite vous a troublé ?
– On le serait à moins…
– Vous êtes superstitieux, monsieur Chamoulet ?
– Peu importe ! Bon, je vous propose de regarder le puit maintenant, à moins que vous vouliez boire quelque chose avant ?
– Si vous aviez un jus de fruit ? Demande Béatrice.
– Pour moi aussi ! Ajoute le professeur.

On sent Chamoulet agacé par ce petit contretemps. Manifestement il a hâte que ses visiteurs se rendent au puit.

C’est un puit bien banal avec son petit muret de pierre en cercle, il n’y a plus ni treuil ni poulie.

– Il est à sec ! Explique Chamoulet, ça l’agence s’est bien gardée de nous le préciser, mais je vais faire un relevé de tout ce qu’ils ont oublié de nous dire, je ne suis pas du genre à me laisser emmerder.

Béatrice sort de son sac un télémètre laser afin de mesurer la profondeur

– 12,5 mètres ! Annonce-t-elle
– C’est drôlement pratique votre truc, on trouve ça où ?
– Je vous dirais ! Donc en fait ce que vous souhaitez c’est qu’on aille voir au fond du puit ! C’est bien ça ?
– C’est tout à fait ça ! Je suppose que vous avez apporté une caméra !
– Ça ne suffira pas, si vraiment il y a des bas-reliefs en bas, il faut savoir d’où ils sortent et pour cela il faut examiner la matière dont ils sont faits, la caméra ne sait pas faire ça
– Ah ? Mais qui va descendre ? Demande Chamoulet.
– Pourquoi ne pas demander à votre fils !
– Impossible !
– Et pourquoi donc ?
– Il est claustrophobe ! Il va paniquer !
– Ah ! Donc deux solutions, soit on embauche quelqu’un, soit je m’y colle.
– Non, non, pas d’interventions extérieure !
– Mais comme cette prestation est hors devis, je vais vous demander un petit supplément !
– Ce n’est pas un problème ! Il y a une échelle de corde dans la réserve avec un grappin, vous allez pouvoir descendre…

Et le voilà qui s’en va pour aller la chercher !

– Attendez, Monsieur Chamoulet !
– Un problème ?
– Je ne vais pas descendre comme ça, il y a peut-être des bestioles, voire des pièges, je vais faire un saut à Alençon et acheter une tenue adéquate.
– C’est vraiment indispensable ?
– Ben oui !
– Vous y allez maintenant ?
– Dans cinq minutes !

Il bout d’impatience, Chamoulet… et Béatrice s’amuse à le faire lanterner,

– Tu viens avec, moi mon petit professeur ? Lui demande Béatrice.
– Non, je te laisse faire. Moi, je vais faire une balade dans le coin.

La balade s’avère vite décevante, trop de chemins privés et ceux qui ne le sont pas semblent envahis par une inextricable végétation. Il choisit donc de rebrousser chemin et tombe sur Gino.

– Je voulais me balader, mais je n’ai pas dû prendre la bonne direction ! Explique Martinov.
– Faut aller plus loin, le bois est là-bas. Moi je cherche l’inspiration !
– Vous peigniez quoi ? Lui demande Martinov qui s’en fiche complément mais il faut bien alimenter la conversation
– Un peu de tout ! Vous aimeriez voir ?
– Pourquoi pas ?

Et quelques minutes plus tard, Martinov se retrouvait dans l’atelier de Gino. Un joli fouillis avec des toiles partout…

– Oui, il y a pas mal de nus, j’aime bien, D’ailleurs c’est comme ça que j’ai rencontré Fanny, elle était modèle pour peintre… et pas farouche… Vous aimez bien celui-ci ?
– Il est assez joli, j’avoue !
– J’en ai des plus osés, mais je ne voudrais pas vous choquer !
– J’ai passé l’âge de me choquer, voyez-vous ?

Gino ouvre un carton à dessin et en extrait une grande feuille sur laquelle est dessiné au fusain, une femme faisant une fellation du bout de la langue.

C’est très réaliste, très troublant, mais le visage de la femme semble rappeler quelqu’un au professeur mais il ne saurait dire qui ?

– Ce n’est pas évident, il faut que le modèle masculin reste en érection permanente le temps de l’esquisse. Certains travaillent d’après photos, mais moi je n’aime pas ça !
– Intéressant !
– Eh oui, il y a des choses que l’on n’imagine pas, par exemple les annonces de modèles, c’est parfois de la prostitution déguisée, en fin de séance, la fille va se faire aguichante vous demander un supplément… et comme la chair est faible…
– Pareil pour les modèles masculins ?
– Oh là, ne m’en parlez pas ! Mais là je suis moins intéressé… sauf si le mec à vraiment une belle bite… Oh pardonnez-moi, je suis en train de vous dévoiler ma sexualité, passons à autre chose.
– Ne vous excusez pas, je trouve vos propos intéressants.
– Vous trouvez intéressant que je sois un poil bisexuel ? S’amuse Gino.
– Ben oui, peu de gens l’avoue…
– Eh, oui, on vit dans une société de coincés0
– Confidence pour confidence, je le suis aussi un peu moi-même. Précise le professeur.
– Coincé ?
– Non, pas du tout, un peu bi, je voulais dire ?
– Ah, je comprends mieux, Et vous faites quoi ? Vous sucez ? Demande carrément Gino.
– Oui, j’aime bien !
– Vous êtes un coquin, vous !
– Bof, on ne vit qu’une fois.
– Ça vous fait bander que l’on parle de ça ?
– Non quand même pas, et vous ?
– Rendez-vous compte par vous-même !
– C’est vrai je peux ?
– Bien sûr, ce sera un plaisir…

L’engrenage ! C’est un engrenage ! Martinov porte sa main à la braguette de Gino. Il sent la bite demi-molle.

– Attendez je vais la dégager ! Indique le peintre.

Et le voilà, la bite à l’air

– Hum, joli !
– A vous maintenant, il n’y a pas de raison…

Ben oui c’est l’engrenage, Martinov retire son pantalon et son caleçon.

– On se met carrément à poil ? suggère Gino

Et c’est ainsi que deux bonhommes qui ne se connaissaient pas du tout se retrouvent en tenue d’Adam l’un devant l’autre…

– Oh, la belle bite ! S’exclame Martinov.
– Elle te plait !
– Oui, beaucoup !

Les mains ne restent pas inactives, on se touche le zizi, on se palpe les couilles, Gino constatant que les tétons du professeur sont bien développés (dame, à force de se les faire tripoter !) il se met donc à les tournicoter ce qui a pour effet immédiat de rendre la bandaison de Martinov raide comme un piquet.

– T’aime ça, hein mon cochon !
– Hé !

Le lecteur ne sera pas sans remarquer comment le tripotage sexuel facilite le passage au tutoiement !

– Je te suce et après tu me suceras ?
– D’accord.

Flexion du torse, Gino se retrouve bouche contre pine, il l’embouche.

Mouvement de va-et-vient, langue sur le gland… Martinov est bien obligé de constater le savoir-faire de son complice du moment.

Et en même temps qu’il suce, sa main gauche s’égare sur les fesses du professeur, le doigt se rapproche du sillon, file vers l’anus, se fait caressant, puis se retire… mais c’est pour le mouiller de sa salive et revenir.

Petite pression sur la rosette.

– Je peux !
– Bien sûr ! Répond le professeur qui apprécie la correction de son partenaire
– Le doigt pénètre dans le fondement de Martinov et entame une série de va-et-vient.
– T’aimes ça, hein !
– Ouuuuii !
– Tu t’es déjà fait enculer ?
– Oui j’aime bien !
– Tu aimerais que je t’encule !
– Oui ! Si t’as des capotes…
– J’ai tout ce qu’il faut, les capotes, le gel et même une bonne bouteille de Porto pour arroser notre rencontre !

Quand on vous disait que c’était l’engrenage.

Martinov2602

Martinov est invité à sucer Gino afin que sa bite soit bien raide. Voilà une tâche qui n’est pas une corvée pour notre bon professeur Martinov qui se régale de cette bonne bite dans sa bouche. Si on ne l’arrêtait pas il serait capable de sucer des bites pendant des heures entières !

– C’est bon, tourne-toi maintenant que je t’encule !
– Euh faudrait peut-être que tu verrouilles la porte ?
– Pourquoi ? Mon père ne vient jamais ici !
– Mais ta mère, ta femme…
– Ce sont deux belles cochonnes, elles en ont vu d’autres. On est tous un peu coquin dans la famille, il n’y a que mon père qui est coincé du cul !
– Eh bin, on ne doit pas s’ennuyer ici !
– Je ne pense pas ! Mais toi, ta collaboratrice…
– Elle sait aussi être coquine, à ses heures !
– Alors tout va bien, tourne-toi que je t’encule !

Gino s’encapote, passe un peu de gel là où il faut, approche son chibre et entre sa bite dans le cul du professeur.

– C’est bon ?
– Oui !

Un coup de rein et cette fois la pine entre complètement, les va-et-vient peuvent commencer et le professeur en miaule de plaisir.

– T’aime ça te faire enculer, on dirait !
– Oh, oui ! Moi aussi j’aime ça, on pourra inverser les rôles ?
– Si tu veux, et si j’arrive à bien bander. Oh c’est bon continue comme ça !

Et tout d’un coup Gino s’énerve. C’est qu’il sent la jouissance proche, alors il augmente la cadence et pilonne Martinov à une vitesse infernale avant d’éjaculer en criant comme un cochon.

– Désolé, je croyais pouvoir tenir plus longtemps ! Dit Gino en déculant.
– Pas grave tu m’as bien enculé !
– T’as pas joui !
– Ben non !
– Je vais te sucer à fond.

En fait Gino alterna sucette et branlette jusqu’à ce que le professeur éjacule dans un râle.

– La prochaine fois, c’est toi qui m’encules, d’accord ?
– Pas de soucis

Et tandis que le professeur se reculottait, un coup de klaxon résonna dans la courette.

C’est Béatrice qui revient d’Alençon, elle se gare et ouvre le coffre récupérant ainsi l’équipement qu’elle y a acheté.

Elle est rejointe par Martinov et Chamoulet

– Vous en avez mis du temps ! Lui fait remarquer ce dernier sur un ton peu amène
– Oh ! Vous me parlez sur un autre ton, s’il vous plait ! Se rebiffe-t-elle

Chamoulet se recule en marmonnant quelque chose d’incompréhensible. Béatrice enfile une combinaison indéchirable, des bottes et un casque intégral équipé d’une lampe frontale.

– Vous aviez vraiment besoin de tout cet attirail ? Persifle Chamoulet.
– Bon, écoutez, vous nous avez demandé un travail, on va le faire, mais si vous continuez à m’emmerder, ça va devenir compliqué.

On accroche le grappin de l’échelle de corde sur le flan extérieur du puit, on lâche l’échelle. Béatrice s’assoit sur le rebord du puit, envoi ses jambes dans le vide afin de trouver le premier barreau, puis place ses mains comme il faut. La descente peut commencer.

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Au fond du puit, sur la paroi, Béatrice découvre une sorte de bas-relief. Il représente sept personnages complétement nus à l’exception d’un caleçon de forme étrange. Les visages sont recouverts d’un casque grossier leur enveloppant le visage, un énorme collier (ou un tuyau, une écharpe) entoure le cou… Les traits des visages sont peu parlants, nez épatés, et yeux bridés avec des valises en dessous…

L’artiste ne s’est pas cassé la tête, c’est le même bonhomme reproduit sept fois !

– Bon quelqu’un s’est bien amusé ! Se dit Béatrice qui prend une série de photos. Je vais quand même prélever un échantillon qu’on pourra analyser. Merde j’ai oublié ma trousse à outils. Ola, là-haut ! Crie-t-elle.
– Un problème ? Demande Martinov
– Non, dans le coffre de la bagnole, il y a une trousse à outils que je viens d’acheter, un étui jaune ! Tu la prends et tu me la balances !
– Pourquoi avez-vous besoin d’outils ? Demande Chamoulet.
– Pour faire mon métier !
– Mais précisément ?
– Bon, vous nous laissez travailler ou quoi ?

Chamoulet fait barrage de son corps empêchant Martinov de balancer la trousse.

– Je veux savoir ce qu’elle veut faire ! Hurle-t-il.
– Mais enfin calmez-vous, je suppose qu’elle va effectuer un prélèvement pour l’analyser.
– Il n’en est pas question, on laisse tout en état, Si vous avez pris les photos, vous pouvez remonter.

Martinov profite d’un moment d’inattention de Chamoulet pour envoyer la trousse au fond du puit.

Du coup Chamoulet ne se contient plus.

– Mais ce n’est pas possible, quelle idée j’ai eu de traiter avec deux crétins, vous voulez bricoler au fond du puit, eh bien allez-y bricolez.

Et saisissant l’un des barreaux de l’échelle de corde, il la remonte sous les yeux ébahis du professeur.

– Mais vous êtes complètement fou !
– Parfaitement, et elle n’est pas près de remonter, ta pute !

Chamoulet décroche le grapin et fais tomber l’échelle dans le puit, Béatrice a juste le temps de se pousser pour éviter un accident.

Martinov ne sait que faire, physiquement il ne fait pas le poids face à Chamoulet. Alors il fonce vers la voiture de Béatrice, s’installe à la place du chauffeur et sort son téléphone portable pour appeler la gendarmerie.

Chamoulet s’avance. Subodorant que ses intentions ne sont pas pacifiques, Martinov qui n’a jamais passé son permis, démarre et téléphone un peu plus loin.

Dans la courette, Gino, Hélène et Fanny ont rejoint Chamoulet.

– Mais c’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce qui se passe ? demande Gino.
– Il se passe que j’ai engagé deux incapables, la pétasse est descendue dans le puit et a fait tomber l’échelle…
– Et Martinov ?
– Il est parti !
– En abandonnant sa collègue ? Il ne serait pas plutôt parti chercher du secours ? Demande Gino.
– Il faut faire remonter la fille, sinon tu vas avoir des ennuis. Suggère Hélène
– On fait comment ?
– J’en sais rien, je vais aller voir s’il reste de la corde dans la réserve.

Il y en avait une.

– Mademoiselle, on vous lance une corde, vous allez pouvoir remonter avec ? Annonce Gino.
– Bien obligée !

Gino, Fanny et Hélène tiennent fermement l’extrémité de la corde permettant à Béatrice de sortir du puit.

Une fois à l’air libre, Beatrice se dirigea vers Chamoulet et lui balança une paire de gifles, celui-ci fut tellement surpris qu’il ne réagit même pas !

– Il est où Martinov ? La voiture elle est où ?
– Il s’inquiétait, il a dû prévenir les gendarmes ! Répond Gino.
– Bon, je vais l’attendre là-bas, en attendant foutez-moi la paix.
– Je ne peux pas voir les photos ? Demande Chamoulet.

Béatrice sans lui répondre alla s’assoir par terre au fond de la courette.

Le professeur Martinov ne tarda pas à revenir, Béatrice lui fit signe.

– Tu vas bien, t’es remontée comment ? S’inquiéta-t-il.
– On m’a lancé une corde ! Allez, on se barre d’ici, je les ai assez vu tous ces connards !
– C’est-à-dire, j’ai prévenu la gendarmerie, ils devraient être là d’un moment à l’autre.
– Je t’en remercie, mais ça ne sert plus à rien….

Mais justement les voilà qui arrivent.

Le brigadier Michel sort de son véhicule accompagné d’une gendarmette à queue de cheval et d’un type bedonnant en veston-cravate. Du coup tout le monde se retrouve de nouveau dans la courette.

– Bonjour, qui est-ce qui nous a téléphoné ?
– C’est moi ! Répond Martinov.
– Il y a toujours une personne au fond du puit ?
– Non, on m’a lancé une corde ! Intervient Béatrice
– Ben alors il est où le problème ?
– Y’a aucun problème, l’échelle de corde est tombée, elle a paniqué, on lui lancé une corde… Rétorque Chamoulet…
– Et même que j’ai failli recevoir le grappin sur la gueule ! Le coupe Béatrice.
– Et vous faisiez quoi au fond du puit ? Demande la gendarmette.
– J’étais sous contrat avec ce monsieur qui soupçonnait les parois inférieures du puit d’abriter des bas-reliefs étranges.
– Bon, si je comprends bien tout est rentré dans l’ordre ! Quelqu’un veut porter plainte ! Reprend le brigadier.
– Laissez tomber ! Conclut Béatrice.
– Vous êtes nouveaux ici ! Intervient le type en civil.

Ce n’est pas une question, c’est un constat, mais il ne s’adresse pas aux bonnes personnes.

– Le propriétaire c’est ce monsieur ! Rectifie Martinov en désignant Chamoulet du doigt.
– Ah ! Je me présente, Emile Delornière, je suis le maire de cette ville.
– Enchanté ! Répond hypocritement Chamoulet.
– Vous ne vous êtes pas présenté à votre arrivé.
– Pourquoi, c’est obligatoire ?
– Non monsieur, ce n’est pas obligatoire, c’est de la politesse élémentaire.
– J’ignorais ce genre d’usage…
– Nous sommes ici une grande famille, si vous voulez vous faire accepter, il faudra le mériter et éviter de faire appel à la force publique pour des queues de cerises.
– Mais ce n’est pas moi…
– Au revoir, messieurs dames

Et il remonte dans la voiture des gendarmes qui démarre dans la foulée.

Chamoulet est au bord de l’apoplexie

– Bravo, maintenant je vais avoir tout le patelin contre moi à cause de vos conneries !

Martinov et Béatrice se gardent bien de répondre.

– Allez mon petit professeur, on se casse ! Lui dit Béatrice en ouvrant la portière de sa voiture.

Et c’est à ce moment-là que Gino accoure vers la bagnole.

– Accordez-moi cinq minutes, juste cinq minutes.
– Ta gueule ! Lui répond Béatrice très remontée.
– Attends, il ne nous a rien fait ! Intervient le professeur qui n’a rien contre Gino (et pour cause)
– Je vais monter à l’arrière ! Avancez-vous sur 300 mètres, je vous explique ce que j’ai à vous dire, ça ne durera que cinq minutes.
– Bon d’accord, mais vous avez intérêt à être génial. Lui répond Béa.

500 mètres plus loin, Béatrice stoppe le véhicule sur le bas-côté.

– Allez ! Cinq minutes chronos pas une seconde plus.
– Mon père a pété les plombs, mais c’est un problème que je vais régler. Ce que je vous propose c’est de vous racheter le contrat qu’il a passé avec vous. Je vous paie cash et d’avance. Voilà c’est tout !
– Vous rêvez, vous croyez vraiment que l’on va continuer à travailler en ayant votre père sur notre dos ?
– Il ne sera pas sur votre dos, je m’en charge, je vous demande une demi-heure, ensuite vous pourrez revenir en toute tranquillité.
– Bon, sortez de la voiture, on se concerte ! Répond Béatrice.

– On tente le coup ! Propose Martinov.
– Ça me prend le chou !
– Qu’est-ce qu’il nous resterait à faire ?
– Prélever un petit morceau du bas-relief pour l’analyser, c’est tout ce qui reste à faire sur place, pour le reste ça peut se faire à distance.
– A distance ?
– Oui je t’expliquerais.
– Donc si on revient, c’est juste pour que tu puisses redescendre ?
– Oui, mais tu vois, je n’ai pas du tout envie d’y retourner maintenant, alors on peut faire une chose, on va aller faire un tour à Alençon, on se paie un bon restau, on se prend une chambre d’hôtel et on finira le boulot demain !

Ils rappellent Gino qui accepte la solution de Béatrice.

Le Maire aperçoit Simon Lansac dans son champ et demande au gendarme d’arrêter la voiture afin qu’il puisse le saluer.

– Bonjour Simon, tu vas bien !
– Chaudement, mais ça va, qu’est-ce que tu fais avec les gendarmes ?
– C’est le nouveau propriétaire du Clos de Merisiers qui nous a appelé, Il est complètement fou ce mec, il nous a dit qu’une personne était bloquée au fond de son puit, quand on est arrivé, il n’y avait personne dans le puit. D’ailleurs personne n’a porté plainte. Je lui ai dit ma façon de penser ! On ne va pas se laisser emmerder par des parigots débiles.
– Oui il n’a pas l’air net, je l’ai croisé l’autre jour, il n’a même pas répondu à mon bonjour.
– Bon je te laisse bosser, bonne journée.

Le venin était distillé, le bouche à oreille se chargerait de la suite et en un temps record toute la bourgade serait bientôt au courant des « incivilités » de Chamoulet.

En revenant au Clos des Merisiers, Gino aperçut son père qui l’attendait de pied ferme.

– Qu’est-ce que tu es allé discuter avec ces connards ?
– Tu devrais te calmer, tu vas nous faire une crise cardiaque !
– Répond à ma question !
– Tu veux vraiment savoir la vérité au sujet des bas-reliefs ?
– Evidemment, mais ces deux connards…
– Arrête avec ça, ce ne sont pas des connards, ils ont d’excellentes références mais je t’en prie laisse les travailler comme ils l’entendent.
– Mais qu’est-ce tu me racontes, elle allait casser un morceau du bas-relief…
– Elle n’a pas dit qu’elle allait le casser, elle a dit qu’elle voulait en prélever un bout.
– Si, elle allait le casser ! Insiste Chamoulet.
– Mais non !
– Je sais encore ce que je dis, et puis si t’es pas content, t’as qu’à te barrer d’ici avec ta poule, quand je pense que je t’héberge gratuitement et que tu oses me tenir tête.
– Arsène ! Tu exagères, tu es en train de dire n’importe quoi ! Intervient Hélène que l’on n’avait pas entendu jusque-là.
– Tu t’y mets aussi, toi. Tout le monde est contre moi alors !
– Mais non !
– T’as discuté de quoi avec eux, alors ? Reprend Chamoulet
– Je leur ai dit que je rachetais le contrat et que je les paierais cash.
– Avec quoi, t’as pas un rond !
– Oui mais toi, tu en as !
– Ben voyons !
– Bon je monte me reposer, faites ce que vous voulez puisque je n’ai plus droit à la parole ici !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:52

Martinov 26 – Les sculptures incas – 1 – La visite de la sorcière par Maud-Anne Amaro
Martinov

Arsène Chamoulet, sous-chef de service au Crédit du Sud est enfin à la retraite, il va réaliser le rêve de sa vie en se rendant dans une agence immobilière, accompagné de son épouse, Hélène. Il y explique ce qu’il recherche :

– Oui, nous avons quelques corps de ferme qui devraient correspondre à vos attentes, celui-ci dans la Nièvre…Leur répond l’agent immobilier en leur présentant une mosaïque de photos.
– Non, il ne me plait pas.
– Celui-ci dans la Sarthe…
– Vous appelez ça un corps de ferme, vous ?
– Disons que ça s’y assimile… sinon j’ai encore celui-ci dans l’Orne, mais il est un peu plus cher.
– Ah, ça n’a pas l’air mal !
– Je vous montre une jeu de photos complet ?
– Bien sûr.

Le diaporama défile sous les yeux du couple, l’intérieur, la courette, le petit jardin, le terrain.

– On peut visiter ?
– Bien sûr, fixons une date et mon collègue d’Alençon vous accompagnera.

Rendez-vous est pris par téléphone et deux jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient dans les locaux de l’agence d’Alençon.

– Ah, le Clos de Merisiers ! Leur dit le type de l’agence, vous n’êtes pas tous seuls sur les rangs.
– Mais qu’est-ce que ça signifie ? A quoi bon visiter si quelqu’un a déjà pris une option ? S’offusque Chamoulet.
– Ne nous emballons pas, vous venez visiter, alors on va visiter, ensuite on discutera. La devise de l’agence c’est « Il n’y a jamais de problème, il n’y a que des solutions ! »

Ils se rendirent à Vertgland à quelques dizaines de kilomètres d’Alençon. On fit donc la visite. Monsieur et Madame Chamoulet furent emballés, c’était exactement ce qu’ils cherchaient, enfin surtout Monsieur parce que Madame, elle s’en foutait un peu…

– Il reste deux ou trois meubles, l’ancien propriétaire les fera enlever. Bon je vois que ça vous intéresse, on retourne à l’agence pour les papiers ou vous souhaitez réfléchir ?
– Non, non, ça nous intéresse ! répondit Chamoulet.

Une fois revenu à l’agence, le type prit un air contrit.

– Le soucis, c’est que j’ai un client qui a pris une option dessus, il est en attente de l’obtention d’un prêt, mais son dossier est bon, il va l’avoir son prêt.
– Non, mais j’aimerais comprendre, vous nous aviez dit qu’on revenait ici pour signer des papiers…
– Je peux éventuellement m’arranger pour vous accorder la priorité.
– Vous voulez quoi ? Un dessous de table, C’est ça ?
– On pourrait faire comme ça, oui !
– Vous êtes gonflé quand même !
– Le monde des affaires est cruel, et ce n’est pas moi qui vais le changer.
– Bon, arrêtez de tourner autour du pot ! Vous voudriez combien ?
– 50 000 euros
– Vous plaisantez ?
– Non ! Mais ce que je sais c’est que vous allez avoir du mal à trouver l’équivalent à un prix aussi avantageux, alors si vous voulez ce corps de ferme, vous me faites un petit chèque, sinon je ne vous retiens pas.
– 10 000, je ne peux pas plus !
– Au revoir messieurs dames !
– Pfff ! Quelle mentalité!

Les époux Chamoulet quittent l’agence, ils ont à peine franchi dix mètres qu’une discussion s’engage. Et les voilà qui reviennent.

– On vous propose 25 000…
– Vous ne pouvez pas aller jusqu’à 30 ?
– Non !
– Asseyez-vous on va s’occuper des formalités et convenir d’un rendez-vous chez le notaire.

Et quinze jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient devenus propriétaires du Clos de Merisiers.

Louveciennes jeudi 24 février

Eh oui, nous revoilà dans l’antre du professeur Martinov, sexagénaire et inventeur génial, associé à Béatrice Clerc-Fontaine, chimiste diplômée, dans la trentaine, blonde, pulpeuse et peu farouche.

– Alors qu’est-ce qui vous amène Monsieur Chardonnay ?
– Chamoulet !
– Pardon !

Ah, nous n’avons pas décrit Arsène Chamoulet, pas grand-chose d’original, dégarni, un peu d’embonpoint, visage ovale en œuf de Pâques, nez trop petit, lèvres trop fines, cheveux rares, pantalon gris en flanelle, veste blazer marine, chemise blanche. Un vrai playboy, quoi !

– Vous n’avez pas pris connaissance de mon dossier ? Demande ce dernier.
– Si, j’y ai jeté un coup d’œil, (le menteur) mais rien ne vaut l’échange physique. Répond le professeur Martinov.
– Vous avez lu ce que j’ai trouvé sur le carnet ?
– Oui, mais je ne peux pas me souvenir de tout. Rafraichissez-moi la mémoire.
– C’est très simple. L’ancien propriétaire devait finir de vider les lieux, il ne l’a pas fait, ce que je me suis empressé de faire remarquer à l’agence. Ils n’ont rien voulu savoir, ces gens-là sont des voyous, J’ai pensé prendre un avocat mais finalement je ne l’ai pas fait, je ne vais pas entamer une procédure pour une commode, une armoire et deux ou trois chaises…
– Oui…
– Sans compter toutes les saloperies…
– Venons-en au fait, Monsieur Chardonnay, je vous en prie.
– Chamoulet si vous permettez.
– Désolé !
– L’un des tiroirs de la commode n’avait pas été vidé, il y avait des vieux journaux et puis ce fameux petit carnet.
– Et il dit quoi ce carnet ?
– Vous ne l’avez donc pas lu la photocopie ?
– Je lis tellement de choses…
– Je vous ai apporté l’original, beaucoup de pages ont été arrachées mais ce qui nous intéresse est là.

Le carnet est ancien, broché comme on n’en fait plus, l’écriture est appliquée à l’encre violette.

Martinov lit :

« Je suis retourné dans le puit, je me suis équipé pour éviter les bestioles, les bas-reliefs m’ont parlé à travers mon esprit, je n’ai pas tout compris, ils semblent avoir perdu quelque chose qu’ils veulent récupérer. Je n’y retournerais pas, j’ai eu trop peur »… puis sur la feuille suivante : « je n’arrive pas à bien les dessiner mais on voit bien qu’ils ont un casque leur entourant le visage »

– Humm ! (Ça c’est le professeur Martinov qui se racle la gorge) T’en penses quoi, Béatrice ?
– Pas grand-chose.
– Ben moi non plus, vous attendez quoi de nous Monsieur… Monsieur…
– Chamoulet !
– C’est ça, Chamoulet !
– D’éclaircir cette affaire ! En vous rendant sur place…Tous frais payés bien entendu !
– Vous avez essayé de descendre au fond de ce puit ?
– A mon âge ? Vous plaisantez !
– Ce n’est pas moi qui vais le faire non plus ! Rétorque Martinov.
– S’il faut embaucher quelqu’un pour descendre, ça m’embête un peu… je ne voudrais pas que cette affaire s’ébruite. Il doit y avoir d’autres moyens, je ne sais pas, des caméras…
– On réfléchit et on vous rappelle demain.

Le professeur Martinov poussa un long soupir.

– C’est dingue le nombre de tarés qui viennent nous voir !
– N’exagère pas, il n’y en pas tant que ça ! Répond Béatrice.
– Oui mais ils sont pénibles !
– On fait quoi, on va voir ?
– On peut toujours y aller.
– Comment veut-tu qu’on démêle une histoire pareille ?
– On verra bien, des bas-reliefs au fond d’un puit, ça peut être intéressant ! Conclue Martinov
– Et ton bas-relief à toi, il est intéressant en ce moment ? Demande Béatrice avec un air canaille.
– Hein ? Quel bas-relief ?
– Celui-là ! Répond Béa en portant la main sur la braguette du professeur.
– Mais enfin ?
– Enfin quoi ? Elle ne t’excite plus ta petite Béatrice ?
– Mais si, mais si, mais il y a un temps pour chaque chose.
– Le temps que l’on consacre au sexe n’est jamais du temps de gâché, a dit Saint Trazibule.
– Que c’est celui-ci ?
– Un copain… mais qu’est-ce qu’elle a cette braguette.

Et Béatrice s’acharna si violemment sur la fermeture éclair professorale que celle-ci se cassa bel et bien.

– C’est malin !
– Ce sont des choses qui arrive, je l’apporterai à la retoucherie tout à l’heure, enlève-le.

Ce qu’il fut bien obligé de faire… Du coup Béatrice se fit un plaisir de dégager la pine du professeur de son slip démodé et de lui administrer quelques branles afin qu’il bandât convenablement.

– Ben voilà une bite comme je les aime ! Dit Béatrice satisfaite du résultat.

Et la voilà qui par une flexion du corps se retrouve pine contre bouche. Et dans ce genre de situation que fait-on ? On ouvre la bouche et on vient gober la chose.

– Humm qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite !
– Je ne sais pas ce que tu peux y trouver, c’est une bite de vieux.
– Te poses pas de questions existentielles j’aime bien ta bite et point barre. Fin de l’interruption.

Et Béatrice reprit sa fellation. Depuis le temps qu’elle suçait Martinov, elle savait ce qu’il aimait et savait comment il fonctionnait. Elle procédait par de longs va-et-vient en bouche avant de lécher la hampe en de savants balayages, sans oublier de titiller le gland ce qui provoquait des décharges quasi-électrique chez notre vert professeur.

Quand elle sentit une goutte de pré-jouissance perler au niveau du méat, elle lâcha sa proie, son intention n’étant pas de faire jouir son partenaire prématurément.

– Tourne-toi je vais m’occuper un peu de ton cul.
– Euh, on serait peut-être mieux là-haut ! Suggéra le professeur.
– Mais bien sûr mon petit cochon !

Là-haut, c’est tout simplement la chambre du professeur Martinov, doté d’un joli lit à deux places malgré le fait qu’il soit toujours resté célibataire.

Ils y grimpent, finissent de se déshabiller et se jettent sur le plumard. Qui va sauter sur l’autre ?

Martinov2601
D’ordinaire c’est Béatrice qui dirige les opérations, Martinov se laissant faire par sa partenaire, mais aujourd’hui par pure taquinerie, elle s’est couchée sur le dos, les jambes écartées et attend.

Mais cela ne déstabilise aucunement notre vert professeur qui s’en va lécher les superbes seins offerts de la jolie chimiste.

– Tu les aimes, mes nichons, hein mon salaud !
– Non, je les adore !
– Continue, continue… non, lèche-moi la chatte maintenant.
– Déjà ?
– Je veux jouir, lèche-moi, donne-moi ta langue.

Il est ainsi des propositions qu’on ne saurait refuser (comme dirait Marlon Brando dans le Parain) et Martinov se met à laper la cramouille de sa collaboratrice avec gourmandise. C’est tout mouillé et il adore ça.

Sans doute pour lui rendre l’accès plus facile, Béatrice lève les jambes au ciel. Interprétant de travers ce geste, et l’anus de sa complice de jeu étant à sa portée, le professeur, il se met à la suçailler.

Il adore ce petit endroit plissé où le goût est parfois âcre mais néanmoins subtil.

– Hum, quel trou du cul délicieux !
– Petit cochon !
– Ben oui !
– Ce n’est pas ça que je t’ai demandé de faire !
– Tu ne vas pas me dire que ça ne te plait pas !
– Enfonce-y un doigt !
– Tu ne préfères pas ma bite ?
– Tout à l’heure la bite ! Pour le moment, je veux le doigt.

Pas de problème, Martinov s’humecte le majeur… et hop le doigt dans le trou du cul ! Et c’est parti pour une série d’allers et retours…

On peut raconter ce qu’on veut mais le doigtage est un exercice qui à la longue fatigue les mimines, aussi le professeur finit par retirer son doigt. Il en constate l’état. Oh, certes il n’y a rien de catastrophique, mais n’empêche qu’il pourrait être plus net.

– Lèche-le ! Lui dit Béa !
– Quel intérêt ?
– L’intérêt, c’est que j’aime bien quand tu lèches le doigt qui sort de mon cul !

C’est un argument comme un autre mais il est suffisant pour que le professeur obtempère. Puis dans la foulée il reprend son léchage de chatte. L’endroit est de plus en plus humide, la mouille dégouline sur ses cuisses.

Après quelques mouvements gourmands, Béa sentant le désir monter se met à haleter, Martinov cible son clito et y enroule sa langue.

Et soudain, c’est la tempête, Béatrice hurle son plaisir, en éjectant un geyser de mouille.

– Tu m’as bien fait jouir, mon petit professeur, allonge-toi je vais bien ‘occuper de toi.

Elle sait que dans le tiroir du chevet se loge un joli godemichet très réaliste, elle s’en empare.

– Qui sait qui va sucer la jolie bibite ! Se moque-t-elle.
– Ben c’est moi !

Elle tend le joujou au professeur qui se met à lui faire une fellation.

– Y’a longtemps que tu n’as pas sucé une vraie bite ? Lui demande Béatrice.
– Quelques mois ! Quand j’ai l’occasion j’aime bien, mais je ne cherche pas.
– Allez suce encore le machin pendant ce temps-là je vais te pincer tes petits bouts de seins, t’aimes ça hein mon cochon !
– Oh, oui !

Il aimant d’autant ça que la pratique le faisait bander de bien belle façon.

– La belle bite que tu te payes !
– Suce là !
– Faisons les choses dans l’ordre, tourne-toi que je t’encule avec le gode !

Et Béatrice fit donc aller et venir le gode dans le trou du cul de Martinov qui poussait des jappements de plaisir.

– T’aimes ça te faire enculer, hein mon cochon ?
– Oui, oui !

Au bout de quelques minutes (pas facile de calculer le temps en de telles circonstances) elle retira le gode laissant le cul du professeur béant mais ravi !

– Ah, tu débandes un peu, je vais t’arranger ça, couche-toi sur le dos !
– Tu vas faire quoi ?
– On ne pose pas de question.

Béa reprit en bouche la bite de son partenaire tandis que mains projetées en avant lui pinçait les tétons.

Lorsque la bite eut retrouvé sa rigidité, la jolie chimiste se mit en levrette afin que Martinov puisse l’enculer. Celui-ci à la vue de ce cul splendide s’encapota à grande vitesse avant de la pénétrer comme il se doit.

Excitée comme une puce, Béatrice ne tarda pas à jouir de nouveau, le professeur fut un peu plus long à venir mais se tapa une jouissance du tonnerre !

Epuisée Martinov s’allonge sur le dos, Béatrice lui retire sa capote et de sa petite langue coquine lui nettoie tout le sperme gluant qui s’y était accumulé.

Moment calme, avant de rejoindre de conserve la salle de bain pour une petite toilette et afin de perpétuer les traditions, Béatrice ne manqua pas de s’amuser à pisser dru sur la bite de son complice de jeu. Il finit d’ailleurs par se baisser afin de pouvoir en avaler quelques gouttes.

Lundi 1er mars

La Peugeot 108 de Béatrice klaxonne à l’entrée du clos des Merisiers. Ils sont accueillis par Arsène Chamoulet

– Bienvenue chez nous, venez je vais vous présenter ma petite famille.

Ils entrent de plain-pied dans une grande pièce transformée en salon-salle à manger.

– Voici donc Hélène ma femme, mon fils Gino et sa copine Fanny. Ah nous avons un chien, mais soyez tranquille, il n’est pas méchant.

Nous allons un peu décrire ces gens-là puisqu’ils auront leur importance dans l’histoire,

Hélène est une femme qu’on devine discrète et réservée, (à moins qu’elle ne cache bien son jeu, mais n’anticipons pas) son visage est lisse et calme, de beaux yeux bleus, très brune.

Fanny est une petite brunette au regard pétillant de malice, elle est aujourd’hui habillée d’un jean et d’une chemise à carreau qui lui donne un air un peu western. Et puis je vais vous dire aussi, petits cochons que vous êtes, que la chemise est bien remplie !

Gino est un grand blondinet habillé n’importe comment, pantalon blanc et chemise jaune.

– Gino est artiste peintre ! Précise Chamoulet comme ici nous avons de la place je lui ai proposé de déménager son atelier ici et d’habiter avec nous.

Martinov et Béatrice s’échangent un regard, ils ont eu la même pensée « Pourquoi ce n’est pas ce mec qui descendrait au fond du puit ? »

– Ah, il faut que vous mette au courant, il y a un élément nouveau ! Nous annonce Chamoulet.
– Ah ?
– Oui, nous avons eu la visite d’une voyante, ou d’une sorcière, je ne sais pas trop comment l’appeler…

Flashback : la sorcière.

On sonne à la grille d’entrée, C’est Hélène qui se déplace pour aller voir.

– Bonjour, je suis Miranda, je voudrais voir monsieur Chamoulet, ça ne prendra que cinq minutes.

Hélène dévisage l’inconnue, c’est une assez belle femme brune dans les quarante ans, attifée d’une jupe violette qui lui descend jusqu’aux chevilles et d’un corsage beige assez décolleté. Elle a sur la tête une coiffe en tissu ornée de médailles pendantes et qui laisse échapper quelques mèches de cheveux. Une gitane de carnaval !

– Vous voulez le voir pourquoi ?
– Pour lui dire des choses importantes, mais vous pourrez écouter.
– Si c’est pour nous demander de l’argent, ce n’est pas la peine…
– Je ne demande rien, je suis là pour informer, c’est tout.
– Si vous faites partie d’une secte, ce n’est même pas la peine de continuer
– Je ne fais partie de rien du tout, je sui là à titre individuel.
– Bon venez, je vais appeler mon mari. J’espère que vous n’allez pas nous faire perdre notre temps.

Hélène la fait entrer dans le salon et appelle Arsène.

– Je serais brève ! Commence Miranda. Je suis une sorte de médium et je communique avec des êtres venus d’ailleurs…
– Ecoutez, la coupe Chamoulet, si c’est pour nous sortir des trucs de charlatans, on va s’arrêter là, la sortie, c’est juste derrière vous !
– Et les sculptures au fond du puit, c’est des charlataneries ?
– Parce que vous êtes au courant ?
– Ben d’après vous, ça sert à quoi les mediums ? Cet endroit abrite une base de communication avec les Nosrog. Donc vous ne devez pas rester là. L’ancien propriétaire était leur servant, quand il a quitté les lieux un autre servant devait prendre la place, mais quelque chose n’a pas fonctionné. Donc partez avant qu’il ne vous arrive malheur, et surtout, surtout, ne cherchez pas à déplacer les sculptures ! Voilà c’est tout ce j’avais à vous dire, aurevoir messieurs dames.
– Mais…
– Peut-être allez-vous penser que je ne suis pas vraiment médium, alors je vais vous faire une révélation : aujourd’hui, le slip de Monsieur est couleur bleu ciel. Allez, je me sauve !

Et elle a disparue.

– Ton slip, il est vraiment bleu ciel ? Me demande Hélène
– Ben oui ! Elle me fout la trouille cette bonne femme.

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:40

Mireille, le livreur, la copine et le chien par Ursulin Neveway
zoo

Mireille à la soixantaine. Combien exactement ? Peu importe à cet âge on ne le dit point. Elle est bien conservée, possède de jolies formes et son visage est restée agréable et souriant.

Elle attend Fabienne une jolie brunette de 30 ans sa cadette, elles se sont connues il y a deux ans à Saint Malo dans un institut de thalassothérapie et sont devenues amantes. Fabienne habite Bordeaux mais monte parfois à Paris pour affaires et justement aujourd’hui Mireille l’attend, simplement vêtue d’une nuisette rose quasi transparente à ce point que l’on voit les tétons érigés frôler sous le tissus. Elle a commandé quelques gâteaux dans une pâtisserie de luxe…

Et justement voilà que le livreur arrive.

Mireille ouvre…

Mais c’est qu’il beau ce livreur ! Mais on ne peut courir deux lièvres à la fois… quoi que…

Ce dernier n’en perd pas un miette, il a sa boite à gâteaux dans une main, son terminal dans l’autre et reste bouche bée.

– Eh bien jeune homme, ne soyez pas timide.
– Ça fait 310 euros… balbutie-t-il
– Non je sais bien que tout augmente, mais ce n’est surement pas ce prix-là.
– Je voulais dire 31 euros !
– Je préfère, c’est moi qui vous trouble à ce point ?.
– Je… je…
– Voyons ce n’est pas raisonnable, je pourrais être votre grand-mère !
– Vous êtes très belle.
– Merci, un compliment, ça fait toujours plaisir ! Dites-moi vous êtes pressé ? Lui demande Mireille en lui portant sa main sur la braguette
– Je peux m’arranger ! Répond le livreur, plein d’espoir.
– Je vais te dire une chose, à mon âge je suis blasée des amours classiques, alors je fais un peu dans la fantaisie, je suis un peu dominatrice, j’aime avoir les hommes à mes pieds.
– Je veux bien être à vos pieds !
– Alors d’accord on va jouer ! Déshabille-toi esclave !

Le livreur complétement parti dans un autre monde se déshabille sans sourciller offrant à la vue de Mireille une jolie bite magnifiquement bandée.

– Hum, pas mal du tout ça ! Tourne-toi que je vois ton cul. Hum, un vrai cul de pédé… tu t’es déjà fait enculer ?
– Voyons madame…
– Ce n’est pas une réponse, reste comme ça je vais chercher ma cravache.

Mireille revient et assène dix coups de cravache sur le postérieur du livreur qui encaisse en gémissant.

– Et maintenant tu me réponds correctement, Je t’ai posé une question !
– Oui ça m’est arrivé !
– Et t’as aimé ?
– Ce n’est pas désagréable.
– T’as sucé des bites aussi.
– Vous m’embarrassez…

Mireille le fait se relever et lui pince fortement les tétons

– C’est bon ça ?
– Oui maîtresse !
– Ah c’est gentil de m’appeler maitresse. Alors tu en as a sucé combien de bites ?
– Plusieurs !
– Et ça t’a plu !
– Ce n’est pas désagréable.

Mireille sort un joli gode réaliste de son fouillis et le met sous le nez du livreur.

– Voilà montre-moi comment tu suces.
– Non !
– Alors rhabille-toi et fous le camp. Dommage t’es en train de rater une super séance…
– Pardon je ne sais plus ce que je fais. Retendez-moi ce gode je vais le sucer.
– Non c’est trop tard.

Il est dépité et se dirige vers la chaise où il a laissé ses affaires. Cela amuse Mireille. (un peu sadique la Mireille)

– Allez je te laisse une chance…

Et cette fois il s’applique faisant une véritable démonstration de fellation à ce pauvre gode qui n’avait rien demandé.

– Et maintenant tourne toi je vais te l’enfoncer dans le cul.

Mais voilà que l’on sonne..

– Ne bouge pas c’est ma copine !

Effectivement c’est Fabienne tenant en laisse un labrador beige. Fabienne est une jolie blondinette au visage mutin et aux formes épanouies

Les deux femmes s’embrassent… on devrait dire : se roulent un patin.

– Oh mais tu n’es pas toute seule !
– C’est un petit esclave j’étais en train de l’enculer, je vais un peu continuer et ensuite on s’occupera de nous.

Mireille fait aller et venir le gode plusieurs fois de suite dans le fondement du livreur qui se pâme d’aise. En même temps elle lui serre fortement les couilles de sa main.

– Je le fais pas jouir, on en aura peut-être besoin tout à l’heure ! Commente-elle
– Je vais faire pipi, je reviens indique Fabienne.
– Pisse donc sur l’esclave, les esclaves ça aime la pisse !
– Non proteste ce dernier.
– Dis donc malpoli tu sais que c’est très impoli de refuser un cadeau ! Lui dit Fabienne, allez à genoux esclave et bouche ouverte !

Il se met en position tandis que Fabienne dégage le bas. Le jet lui atterrit dans le gosier il avale ce qu’il peut…

– Tu l’avais déjà fait
– Peut-être !
– Ce n’est pas une réponse. Dis-nous que tu es un suceur de bites et un enculé et tu auras une récompense.
– Je suis un suceur de bite et un enculé.

Les deux femmes l’attachent alors sur une chaise puis après s’être mises complétement nues s’assoient côte à côté sur le canapé et s’adonnent à quelques caresses manuelles.

Mireille24– Viens Moustache viens ! Demande Fabienne au chien qui accourt et commence à lui lécher la chatte. Oh quelle langue ! Mais garde-en pour ma copine !

Elle se dégage et fait en sorte que le chien change de cible.

Cette opération de lèche minou dure quelques minutes avant que les deux femmes fassent coucher le chien sur le côté, elles ont ainsi accès à sa bite qu’elles sucent à tour de rôle.

Le livreur n’en croit pas ses yeux.

– Tu veux qu’il te prennes ? Demande Fabienne
– Bien sûr ! Répond Mireille qui déjà se positionne en levrette offrant la vue de son joli cul et de tous ce qui va avec.

Fabienne aide le chien à pénétrer son amie et c’est parti pour une série de va-et-vient infernale au terme de laquelle le chien satisfait se cherche un coin pour se vautrer tranquillou.

Les deux femmes s’enlacent et se pelotent, Fabienne n’hésitant pas à lécher la chatte de son amie, gluante du sperme du chien.

– Il t’as fait jouir, hein ma salope !
– Pas qu’un peu ! Et toi tu aimerais quoi ?
– Tu crois que l’autre là-bas il va pouvoir m’enculer ! Demande Fabienne
– De la façon dont il bande ça devrait le faire.

Le livreur libéré de ses liens et excité comme un malade se délivra de son excitation en sodomisant à la hussarde la belle Fabienne qui cria sa jouissance comme une damnée.

Il reparti après en oubliant de réclamer ses 31 euros.

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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