Samedi 20 juillet 2024 6 20 /07 /Juil /2024 07:04

Orgie chez les Duchavel par Angela
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Je m’appelle Angela, J’ai 35 ans, je suis divorcée sans enfants.

J’aime le sexe et, depuis mon divorce, ne manque pas une occasion d’assouvir ce démon qui se cache dans mon bas-ventre.

Des amis de mes parents, les Duchavel, gens particulièrement fortunés, m’ont appelé un soir pour me demander si cela ne me dérangeait pas de passer le week-end dans leur hôtel particulier parisien car ils devaient partir à l’étranger et ne souhaitaient pas laisser inoccupé leur domicile.

N’ayant rien de particulier à faire, et connaissant le luxe de leur logis, je répondis que ce serait avec plaisir que je leur rendrais ce service.

J’arrivais donc chez eux le vendredi soir vers 19 heures, devant dîner avec eux avant leur départ en avion. Je m’étais habillée d’une veste de tailleur et d’une jupe en cuir, le tout recouvrant des sous-vêtements un peu olé-olé et, bien sur un porte-jarretelles et une paire de bas gris fumé. J’adore me vêtir comme ça, imaginant la tête de mes invités s’ils devinaient la nature des vêtements que je porte.

Nous n’étions pas seuls, Il y avait là deux jeunes hommes d’à peine vingt ans que nos hôtes me présentèrent comme étant leurs neveux. Ils se prénommaient Camille et Simon et devaient coucher sur place ce soir, puis repartir le lendemain matin.

Je n’étais pas au bout de mes surprises puisque je vis apparaître dans le salon un énorme dogue allemand qui s’appelait Simba. J’avoue que je fus un peu effrayée par la taille de ce chien mais m’aperçut bien vite qu’il était doux comme un agneau. On ne pouvait toutefois pas ignorer qu’il s’agissait d’un mâle compte tenu de la paire de bourses qui se balançaient entre ses pattes arrière.

Nous nous installâmes dans le salon pour boire l’apéritif. J’étais assise dans un profond canapé en cuir, Camille me faisant face de l’autre côté de la table basse, les Duchavel assis sur les côtés, Simon étant quant à lui parti je ne sais où.

Une conversation mondaine commença, potins, météo, politique, littérature etc… La barbe, quoi !

Au bout de quelques minutes, je m’aperçus que Camille ne parlait pas beaucoup. Levant les yeux, je vis qu’il avait le regard braqué sur mes jambes, essayant certainement de deviner ce qui pouvait se cacher derrière mes genoux serrés. Cette situation un rien perverse me causa un certain émoi. Si ce petit vicieux voulait de rincer l’œil, après tout pourquoi pas, adorant les regards des hommes sur moi.

J’écartais donc discrètement un peu les cuisses tout en continuant à bavarder mollement avec le couple. Je savais ce que Camille devait voir, mes cuisses gainées de soie, les attaches de mon porte-jarretelles et, plus haut, dissimulé par l’ombre de ma jupe, la dentelle du minuscule string recouvrant ma courte toison rousse.

Jetant un œil sur son visage, je vis qu’il était tout rouge d’excitation. Baissant les yeux, je remarquais également qu’il avait posé ses mains en conque sur son entrejambes, sans doute pour dissimuler l’érection qui devait tendre le tissu de son slip. Je me pris à imaginer la taille de sa bite bandée, la couleur de son gland, le velouté de sa peau. Ces pensées m’excitèrent au plus haut point et je sentis ma petite chatte s’humidifier. La mouille se mit à suinter sur mes lèvres chaudes et ouvertes. J’avais très envie de me branler mais cela eut été un peu déplacé en ce lieu..

J’avais aussi envie que Camille me voie encore mieux puisque cela semblait beaucoup lui plaire.

Je me levais et, m’adressant à lui, je lui demandais de m’indiquer l’endroit des toilettes

Il se dressa d’un coup, ce qui me permit de discerner que son pantalon était bosselé au niveau de la braguette ainsi que je l’avais deviné.

Me précédant, il me guida à travers un dédale de couloirs et nous arrivâmes devant la porte des chiottes.

– Attends-moi car sinon je vais me perdre au retour ! Lui indiquais-je

Entrant dans les toilettes, je soulevais ma jupe et enlevait mon string trempé de mon désir. Puis, je posais mes doigts sur mon clito gonflé que je caressais légèrement. Je ne voulais pas me faire jouir mais juste me donner un peu de plaisir, puis je pissais quelques gouttes..

Je mis mon slip dans la poche de ma veste et, tirant la chasse, sortit de la pièce et précisait à l’attention de Camille !

– Laisse-moi un peu d’avance car je voudrais voir si je saurais revenir toute seule jusqu’au salon !
– Ce n’est pas si grand que ça …
– Peut-être mais ça m’amuse !

Et, le plantant là, je m’avançais dans un couloir qui me semblait être le bon. Je savais que Camille me suivait à quelques pas derrière. J’avais ma petite idée derrière la tête. Aussi, profitant d’un angle qui me cachait à ses yeux, je sortis mon slip de ma poche et le laissait tomber à terre. Puis je continuais ma progression et, au bout de quelques minutes, me retrouvais dans le salon où mes hôtes nous attendaient.

Je me réinstallais à ma place, sentant le cuir du canapé sur mes cuisses et sur mes fesses, ayant pris soin, dans un geste discret, de relever ma jupe.

J’attendais avec impatience le retour de Camille. Il arriva rapidement, le visage cramoisi. Sa main droite était dans sa poche. Il s’assit en face de moi et me regarda. Je lui fis un sourire puis baissait les yeux vers mes jambes, l’incitant à fixer son regard sur cet endroit.

Profitant que les Duchavel, accaparés par leur discussion sur leurs projets de week-end, ne fassent pas attention à nous, j’écartais largement les cuisses en avançant le cul au bord du canapé.

Camille avait maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je crus qu’il allait exploser quand il découvrit le spectacle de ma chatte béante, luisante de mouille et d’urine de mes lèvres intimes d’autant plus exposées que j’avais pris soin de couper mes poils.

La mère Duchavel annonça alors que le repas allait être servi et nous nous levâmes, ma jupe retombant en cachant ce que Camille dévorait des yeux.

Une fois à table, Camille en face de moi et Simon installé à ses côtés, le repas se déroula à priori sereinement. Toutefois, j’avais le ventre en feu et ne pensait qu’à me faire enfiler par cet agréable jeune homme. Lui plongeait régulièrement la main dans sa poche puis faisait glisser ses doigts sous ses narines. Je devinais qu’il devait tripoter mon slip dans sa poche afin de recueillir ma bonne odeur de cyprine et de pisse. J’étais complètement ouverte et je coulais avec abondance. Protégée par la longue nappe, j’avais relevé ma jupe le plus haut possible et me touchait régulièrement.

Au milieu du repas, Camille, dans un geste parfaitement conscient, fit tomber quelques petits pois par terre. S’excusant auprès de la mère Duchavel pour sa maladresse, il bredouilla :

– Je vais les ramasser, et, joignant le geste et la parole, il se mit à quatre pattes et se glissa sous la table.

L’esprit d’initiative de ce jeune homme était vraiment surprenant.

Sachant très bien ce qu’il voulait faire, j’écartais mes cuisses au maximum et attendis la suite des évènements.

Je ne fus pas déçue car quelques secondes plus tard, des doigts tremblants se posèrent sur ma jambe et se mirent à progresser rapidement vers ma chatte bouillante. Malhabile, Camille posa sa main sur ma motte, caressant ma toison, tirant mes lèvres et tripotant ma mouille. Il ne faisait pas ça très bien mais j’en tirais quand même un vif plaisir.

Ne pouvant quand même rester sous la table pendant des heures, Camille mit fin à ses caresses, ramassa ses légumes et ressortit de sous la nappe, le visage rouge comme une pivoine. Se rasseyant, il me regarda et me fit un charmant sourire que je lui rendis d’un clin d’œil.

J’avais toujours les jambes écartées lorsque je sentis un souffle chaud sur ma peau. Surprise, je resserrais les jambes quand je sentis la tête du chien entre mes genoux. Il me passa un coup de langue à l’intérieur des cuisses puis, avançant la tête avec puissance, sa truffe vint se poser au beau milieu de ma chatte.

Angela
N’ayant jamais pratiqué ce genre de rapport, bien qu’ayant déjà visionné une vidéo du genre qui m’avait d’ailleurs particulièrement émoustillée, je n’étais pas trop en confiance mais le caractère insolite de la situation ainsi que mon désir de jouir furent les plus forts. J’écartais donc à nouveau les jambes et m’avançait au bord de la chaise le plus possible, les fesses presque dans le vide.

Un frisson me parcourut tout entière lorsque je sentis la large langue râpeuse se posait sur mes muqueuses intimes et commençait à aller et venir. Simba me léchait de l’anus au clito, passant au milieu de mes lèvres écartelées, lapant ma mouille. Le plaisir qu’il me procurait était délicieux. Je m’imaginais à quatre pattes couverte par cet animal. Tachant de rester la plus discrète possible, je me laissais aller à la jouissance en serrant les dents pour ne pas gémir de bonheur.

Je vécus la fin du repas comme dans un rêve, répondant par onomatopées aux différentes réparties des convives.

Enfin, le dîner arriva à son terme, nous débarrassâmes la table et les Duchavel appelèrent un taxi afin de se faire conduire à l’aéroport.

Je n’attendais qu’une chose, leur départ, afin de retrouver Camille et de lui faire l’amour. J’avais envie qu’il me prenne, de sentir ses mains sur ma peau, qu’il me triture les seins, bref qu’il me procure l’orgasme dont j’avais tant besoin après celui procuré par le chien.

Camille et Simon embrassèrent les Duchavel et gagnèrent les chambres d’amis mises à leur disposition.

Dix longues minutes s’écoulèrent avant que nous entendions le taxi arriver et que mes hôtes s’en aillent.

Immédiatement, je me précipitais vers la chambre de Camille. Arrivée devant la porte entrouverte, je l’entendis parler. Je restais près de la porte et tendis l’oreille :

– Si, si c’est une vraie salope ! Je te dis que je lui ai touché la chatte, c’était tout gluant, c’est pas des conneries !
– T’es vraiment sûr de ce que tu racontes parce que si c’est vrai on pourrait peut-être lui demander qu’elle se mette à poil devant nous, et on pourrait se la sauter. Répondit la voix de Simon.

Un gros problème se posait à moi car je m’étais mis dans la tête de me faire baiser par Camille mais Simon ne branchait pas trop..

Si cela n’était pas possible, il me restait la solution de me branler.

Toutefois, mes seuls doigts me semblaient insuffisants à me remplir la chatte comme je le souhaitais. Cédant à une impulsion, je me dirigeais vers la cuisine et trouvait ce qu’il me fallait dans le frigo, à savoir un superbe concombre dont le diamètre et la longueur me semblaient correspondre tout à fait au but fixé, c’est à dire me remplir le vagin au maximum.

Empoignant le légume, je retournais vers ma chambre quand même un peu déçue par ce revirement de situation. Repassant devant la chambre de Camille et n’entendant plus de bruit, je poussais tout doucement la porte et là je n’en crus pas mes yeux. Allongés à poil sur le lit, les deux gars étaient en position de 69 et ils se suçaient mutuellement la bite avec une application digne d’éloges. Camille, qui était au-dessus, avait la queue de son partenaire presque entière dans la bouche ce qui constituait une sorte d’exploit.

La vue de ce spectacle m’excita au plus haut point.

Je poussais résolument la porte d’un coup et leur dit d’un ton sévère :

– Bande de petits dégueulasses, qu’est-ce que vous faites comme cochonneries !
– Pourquoi, ça te choque ?
– Disons que c’est inattendu, mais ça ne me choque pas, ce serait même plutôt excitant.
– Si ça t’excite, continue de regarder Me répondit Camille, tu ne va pas être déçue. Simon mets toi en levrette qu’Angéla mate bien ton petit cul de pédé.

Simon fit ce qu’on lui demandait, et se mit à tortiller du croupion, je pu alors constater que pour un homme il avait décidemment de très jolies feses.

– Maintenant je vais lui foutre ma pine dans le cul ! Reprit Camille. Mais ce qui serait bien c’est que tu me suce un peu avant… comme ça.. pour lubrifier. Mais dis-moi, c’est quoi ce concombre que tu as dans la main.
– C’est pour si j’ai un petit creux ! Plaisantais-je
– Un petit creux dans ta chatte !
– Tout à fait

Me demander de sucer une belle bite, voilà une chose qu’il n’est pas nécessaire de me répéter deux fois. Et j’avançais mon visage vers sa bite.

– Ce serait plus sympa si tu te foutais à poil ! intervint Simon
– Je croyais que vous étiez pédés !
– Non on aime bien les femmes, mais on aime bien les bites aussi !
– D’accord, je vous montre juste mes seins. Asseyez-vous cinq minutes

Mes doigts commencèrent à défaire les boutons de ma veste un par un. Je la retirais et la laissais tomber par terre. Mon torse apparut, ma poitrine encore voilée par la dentelle diaphane de mon soutien-gorge.

Simon serra sa bite de sa main droite et commença à se branler. Chaque mouvement décalottait le gland turgescent. J’étais tellement ouverte qu’un cheval aurait pu me baiser sans que je ne sente rien.

Lançant mes mains derrière mon dos, je défis les attaches du soutien-gorge et le retirais. Je n’ai pas une très forte poitrine mais, par contre, la taille de mes tétons est toujours assez importante. A cet instant et compte tenu de l’excitation que je ressentais, ils avaient atteint la taille de mon petit doigt et me faisaient presque mal de bander autant.

Les deux jeunes hommes poussèrent un soupir à la vue de ce spectacle, Camille se branlant lui aussi.

Je m’approchais du lit et me penchait vers eux, mes seins à quelques centimètres de leurs visages.

– Allez, avant que je remballe la marchandise, je vous autorise à téter un petit peu !

Immédiatement et du même mouvement, leurs bouches vinrent se poser sur moi. Ils se mirent à sucer mes pointes, les excitant encore plus du bout de leurs langues. C’était vraiment délicieux et je crus atteindre l’orgasme rien qu’avec cette caresse.

Je me relevais, les seins mouillés de leur salive.

‘Bon, voilà, vous avez eu ce que vous vouliez. Le spectacle est fini.
– Oh non, s’il te plait, pas encore. Montre-nous le reste

Je m’apprêtais à céder et à leur dévoiler ma chatte lorsque le chien entra dans la pièce. Peut-être était-ce l’odeur de la cyprine qui dégoulinait de ma chatte en feu, toujours est-il qu’il bandait et je pus constater avec ravissement que sa pine était d’une taille qui me plaisait bien. Certes j’avais envie de baiser, mais l’expérience que je pourrais retirer d’un accouplement bestial était aussi très tentant. Et puis après tout j’avais tout le week-end devant moi !

– Bon, je devais sucer une bite, mais je vais peut-être en sucer deux !

Les deux gars se dressèrent immédiatement, exhibant leurs queues gonflées. La poitrine toujours à l’air, je m’assis sur le lit.

– Venez en face de moi. Plus près !

Ils s’avancèrent et je me retrouvais avec leurs glands à hauteur de mon visage.

Levant les mains, je vins empoigner leurs couilles poilues. Quand mes doigts se posèrent sur leur peau, un profond soupir partit de leur poitrine. Mes doigts remontèrent et vinrent s’enrouler autour de leurs sexes durs comme des bouts de bois. Jetant un coup d’œil sur le côté, je vis le chien qui s’était assis sur le derrière. Entre ses pattes arrière, sa bite tressautait, rouge et gonflée. Je devais m’occuper rapidement des deux gars afin de profiter pleinement de cet état d’excitation animale.

Je commençais à branler mes deux partenaires puis, les rapprochant encore de mon visage, mis leurs deux glands sur mes lèvres. Ma langue léchait leur peau satinée tandis que mes doigts serraient leurs verges.

Je me doutais que cela ne durerait pas très longtemps. En effet, au bout de quelques instants, je sentis la bite de Simon se tendre encore plus, annonçant l’arrivée imminente de son plaisir.

Me reculant un peu, je dirigeais son gland vers ma poitrine et accélérait encore ma masturbation. Poussant un cri, il éjacula arrosant à foison mes seins de son sperme tout chaud.

– Vas-y maintenant, Camille encule-le.

Camille pénétra son comparse d’un coup sec. Qu’est-ce que c’est excitant de regarder deux hommes s’enculer, un spectacle que je n’ai pas eu l’occasion de voir si souvent ! Malheureusement il se termina assez vite, Camille vidant son trop plein d’excitation dans le cul de son camarade.

– Vous faites ça souvent ? Demandais-je (curieuse je suis !)
– Ça nous arrive, hier Francis m’a enculé ! Me précise Simon.
– Qui c’est Francis ?
– Monsieur Duchavel. Et pendant que je me faisais enculer, Camille tringlait Monique !
– Monique ?
– Oui, Madame Duchavel !
– Oh, quelle famille !

Sur ces mots, je ramassais mon soutien-gorge et ma veste et, sortant de la pièce, me baissait pour ramasser le concombre et me dirigeait vers la chambre que je devais occuper ce week-end. Je ne souhaitais qu’une chose, c’est que Simba me suive et ne veuille pas rester avec ses maîtres. Mais je pensais que l’état d’excitation dans lequel il était l’inciterait à venir vers moi.

Je ne m’étais pas trompée car j’entendis distinctement le bruit de ses pattes sur la moquette quelques pas derrière moi. Je m’assis sur le rebord du lit, le chien vint vers moi et se mit à l’envers, alors saisit d’une pulsion incontrôlable de lui attrapait la bite et me la fourrait dans la bouche !

Et le Week -end n’est pas terminé.
fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 6 juillet 2024 6 06 /07 /Juil /2024 08:36

La blackette du comptoir par Firmin Dumigron
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22 h 30 ! Je sors enfin du bureau après avoir travaillé toute la journée et une bonne partie de la soirée sur un projet important. Bref, en sortant j’étais épuise, et a vrai dire, je n’avais aucune envie de rentrer chez moi pour me retrouver encore enfermé, et seul (puisque bobonne est parti avec son prof de fitness… la salope !). On a beau dire, mais Barcelone la nuit c’est fantastique, surtout au mois de juin. Le soir, les rues sont peuplés de gens qui profitent du temps et des vacances. Je décidai d’aller au café du coin prendre un remontant. J’ai commandé une Vodka orange, puis je me suis allumé une clope. C’était vraiment tranquille, il n’y avait pas trop de monde dans ce rade.

En sirotant tranquillos mon verre, j’aperçois au comptoir une jeune femme qui venait d’arriver. Elle a toute de suite attiré mon attention. Elle devait faire quoi ? 1 m 70, une ravissante blackette habillée d’une robe verte avec des fleurs, très décolleté mettant ses seins, assez gros à mon gout, très en valeur. Elle avait aussi une longue chevelure crépue, qui lui descendait au milieu du dos.

Tout en la fixant, j’ai vidé d’un trait mon verre, et je me suis approché d’elle. J’ai toute de suite entamé la conversation, elle ne semblait nullement surprise par mon approche un peu trop directe, elle me dit s’appeler Ida et n’être à Barcelone que depuis 6 mois. Nous avons bu quelques verres, et nous étions un peu éméchés. Enfin, surtout moi !

Je l’ai regardé dans les yeux, et lui dis que j’avais envie d’elle. Là, tout de suite ! Je me suis dit que j’avais complètement foiré le coup. Mais elle me sourit, me prit par la main, et nous sommes sortis du café. Nous sommes allés jusqu’à sa voiture. Au moment où elle s’est retourné pour ouvrir sa portière, j’ai posé mes mains sur ses fesses, je les lui caressais, tout en l’embrassant dans le cou lui susurrant :

– Ida, j’ai trop envie de toi !
– Moi aussi ! Me répondit elle en gémissant.

Je sentis le plaisir gonfler entre mes jambes. Je ne pouvais attendre plus longtemps. il devait être minuit passé, la rue était déserte, alors nous sommes montés à l’arrière de sa voiture.

IdaElle s’est allongé sur le dos, a retiré son chemisier et relevé sa robe verte. Je pouvais alors distinguer sa chatte, très poilue, l’entrée de son vagin, et ses lèvres toutes mouillées.

Tout en se malaxant les seins, elle me lança :

– Viens me lécher la chatte, ouiii viens…

Moi je ne pus me contenir, j’ai approché mon visage entre ses jambes et commencé à lui lécher frénétiquement sa chatte, tout en massant les pointes de ses seins pointus comme des flèches. Je l’entendais pousser des petits gémissements. J’ai introduit ma langue entre ses lèvres, plus je lui ai léché son clito qui avait doublé de volume. J’étais impatient de la baiser, je ne pris pas le temps de me faire sucer, je retirai tant bien que mal mon pantalon, baissais mon calfouet, et laissai ma bite prendre l’air. Je pris la précaution de m’enfiler une capote Nestor (Capote Nestor, Pas Né Pas Mort !) Et hop, c’est rentré comme dans du beurre. Son vagin était bouillant et spacieux. Hmmm, de suite son bassin fut pris de crampes, je sentais qu’elle n’était pas loin de l’orgasme, alors j’accélérai la cadence. Elle gémissait, criait, hurlait, j’en fus surpris. En plus, je ne voulais pas qu’elle attire l’attention. Le milieu de la banquette était trempé de sa mouille, une vraie fontaine, à croire qu’elle n’avait pas baisé depuis la bataille de Poitiers. Mais bon, moi j’étais comblé. Avant qu’elle ne jouisse, je me suis retiré juste à temps pour changer de position. Je voulais faire durer le plaisir et lui ai demandé de se mette à quatre pattes.

– Oh oui, prends-moi par derrière…Vas-y défonce moi la rondelle !

Ok j’avais compris, j’étais tombé sur une nympho. Ses yeux me suppliaient de la baiser. Alors je commençai à introduire ma bite gonflée à bloc, dans son anus, et d’un coup sec, je fis tout rentrer, et recommençai à lui donner de grands coups de butoirs, j’y allais franchement, et de ma main droite je lui caressai la chatte, et son clito… Et là, elle partit au 7eme ciel. Elle dandinait ses fesses comme une vraie chienne, et je commençai à mon tour à gémir, je sentais que ma bite allait bientôt exploser.

Pour finir en beauté, je fis un dernier tour en enfonçant ma queue dans sa chatte brulante, ça ne dura pas longtemps, car son corps se raidit, elle hurla et retomba sur la banquette en suffoquant, moi je me suis retiré, j’ai ôté ma capote, j’ai tout juste eu le temps de la retourner, et d’éjaculer dans sa bouche. Son corps se remit à se crisper, je sus qu’elle venait d’avoir un deuxième orgasme. Elle avala tout mon sperme, et me nettoya le gland comme jamais une fille ne me l’avait fait. 15 minutes après, nous nous rhabillâmes, nous nous sommes longuement embrassés, puis elle me dit :

– Normalement on paye avant, mais toi tu me plait bien, je sais que tu ne vas pas me la faire à l’envers !
– Ah parce que…
– Ben oui !
– Tu veux combien ?

Elle m’indiqua le prix et je la payais, elle me gratifia du plus beau de ses sourires et partit en me faisant un signe de la main dans le rétroviseur. Moi j’étais épuisé, complétement mort. Je n’avais pas la force de prendre le métro pour rentrer chez moi. Alors je suis retourné au bureau, et j’ai dormis sur la moquette, ma braguette ouverte et ma chemise trempée. Je n’avais jamais eu d’expérience avec une pute nympho, et franchement, franchement, ça m’a complétement crevé pour la journée du lendemain.

Moralité: Les putes nymphos, sont à consommer avec modération. L’abus de nymphos peut nuire à la sante

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Vendredi 28 juin 2024 5 28 /06 /Juin /2024 18:15

Mes vacances avec Séverine par Via512

 FDR

Séverine et moi sommes un couple de 30 ans tous les deux. Nous sommes ensemble depuis 10 mois. Ayant été pris de cours dans l’organisation de nos vacances d’été nous avons décidé, au dernier moment, de partir dans ma famille qui est dans les landes.

J’aime beaucoup y aller mais pour ce qui est de l’intimité, on fait mieux. Mes parents habitent un appartement qui donne sur la mer mais quand tout le monde est là, on se marche un peu dessus.

Après 6 jours de disette forcée, nous commencions Séverine et moi à être sur les dents et en manque de sexe. La seule possibilité qui m’est apparue pour se retrouver seuls est la cave située, fort logiquement, en sous-sol de l’immeuble.

Quand j’ai proposé ça à Séverine elle m’a rit au nez en me précisant qu’elle n’était pas ce genre de fille, à faire ça n’importe où, à « baiser à la va-vite », et que d’ailleurs elle ne baise pas elle fait l’amour et dans une cave ça s’appelle baiser etc… Face à ce refus, je me la suis remise derrière l’oreille et ai ravalé ma frustration.

Si tout se passe bien dans notre couple, je trouve quand même que Séverine, même si elle a un bon appétit sexuel, est très classique et ne se laisse pas assez aller. J’imagine qu’elle peut être bien plus coquine que ce qu’elle a laissé paraître jusque là. La suite des évènements me donna raison.

Deux jours après m’avoir renvoyé dans mes 22, Séverine est venue se coller à moi alors que nous étions entrain de nous baigner. Elle a saisi ma verge à travers mon short de bain et m’a susurré à l’oreille « toujours prêt à me faire visiter la cave ? »

Ne me faisant pas prier, je suis immédiatement sorti de l’eau en essayant de cacher mon érection naissante et deux minutes après mes affaires étaient rangées et j’étais prêt à partir.

Il a fallut que je la rassure sur le chemin du retour car elle avait peur que je la prenne pour une traînée vu qu’on ne se fréquentait pas depuis très longtemps. J’en ai donc profité pour lui dire que je n’attendais qu’une chose, qu’elle se lâche.

« Ok et bien tu vas voir mon petit père » me répondit-elle en riant nerveusement.

Mes parents habitent une résidence landaise de standing et nous avons la chance que la cave soit très spacieuse et très éclairée. Ca ne rend pas les choses trop glauques.

Nous arrivâmes donc à cette fameuse cave, tous deux en maillots de bains et serviettes. Je ne cherchais plus à dissimuler mon érection qui commençait à me faire mal tellement j’étais excité.

La porte fermée, elle se dirigea tout de suite vers un tabouret, me fit face et posa un pied dessus.

– Tu es déjà bien excité mon cochon ! Avant que je ne m’occupe de ta queue, viens vite m’enlever le sel de mer avec la langue.

En disant ça, elle écartait la culotte de son deux pièces d’une main et de l’autre me faisait signe d’approcher.

Là c’est clair qu’elle se lâche, je ne l’ai jamais vu comme ça. Je ne me fis pas prier 2 secondes de plus et je me suis mis à genoux sous elle en tendant ma langue vers son abricot. Je me suis d’abord attaqué au contour des lèvres, puis aux lèvres elles-mêmes que je me suis appliqué à laper. Je suis remonté sur le bouton que j’ai commencé à sucer et aspirer.

– Oui c’est ça mon chéri c’est bien, lèche-moi bien. Nettoie moi bien la chatte de tout ce sel.
– Elle est bonne ta chatte ma chérie, tu es déjà toute trempée.
– Oui, je suis très en manque et tu m’excites tellement.

Séverine s’est, à ce moment là, dégagée les seins de son haut de maillot et commença d’une main à se pincer les tétons pendant que de l’autre elle m’appuyait sur la tête pour que je sois le plus plaqué possible à son bas-ventre.

– Hum mm c’est bon, vas-y mon petit salaud, bouffe-moi bien. Regarde moi dans les yeux pendant que tu me suces le bonbon. Tu aimes ça me bouffer la chatte hein!!!

2 minutes à ce régime où je l’aspirais, la buvais de toutes mes forces puis elle se dégagea.

– Reste à genoux!

Elle se redressa, enleva son bas, me tourna le dos, se pencha en avant en s’appuyant les mains sur le tabouret, jambes droites et écartées.

– Bouffe moi le cul!

Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle n’a effectivement jamais été contre que je lui fasse une feuille de rose mais de là à la réclamer avec tant de force et de conviction, il y a un monde. Effectivement elle se lâchait…

Le temps de penser à tout ça, je suis resté quelques secondes qui ont dû paraître trop longues pour la demoiselle.

– Faut que je t’envoie une invitation? Ecarte moi les fesses et plonge ton visage dans mon cul pour me lécher la rondelle pendant que je me branle.

Ne voulant pas couper ce merveilleux élan, j’ai pris une fesse dans chaque main, je les ai écarté et me suis jeté tête la première, langue conquérante, vers sa petite étoile. Appliqué à la tâche, je ne me décollais de sa lune que pour cracher un peu sur le cratère pour lubrifier tout ça et repartir à la charge.
Pendant que je lui suçais l’arrière train, mademoiselle commençait à se doigter à toute vitesse. Le bruit de clapotis de sa chatte trempée se mêlant à ses gémissements de plus en plus forts.

– Ouuuhhh c’est bon ça, vas-y, dévore moi bien le cul pendant que je me doigte comme une salope.

On va de surprise en surprise, elle qui me disait il y a quelques jours qu’elle ne baisait pas mais faisait l’amour en arrive à se traiter de salope…
Elle se releva comme une furie, les yeux injectés de désir. S’agenouilla à son tour.

– Mets-toi à poils et branle toi sur mon visage, je veux sentir ta bite collée à ma joue.

Aussitôt demandé, aussitôt fait, le short de bain a valsé et a pu enfin laissé respirer ma bite bien trop à l’étroit vu comme elle était tendue. C’est moi qui, à présent, est debout un pied sur le tabouret et trop heureux de pouvoir enfin me prendre le membre à pleine main.

Séverine me prend les couilles d’une main, de l’autre, continue de se branler tout en se collant le visage sur ma queue que j’astique énergiquement.

La voir ainsi a été un spectacle renversant pour moi, elle était magnifique avec cette soif de sexe dans tout le corps. Cette pulsion bestiale qui la poussait à être, comme elle le disait elle même, si salope.

– Alors petite cochonne, t’aime ça que je me branle sur toi pendant que tu te doigtes ? Quelle belle salope tu fais avec cette bite collée à ton visage qui n’attend que de te baiser !
– Oui, je vais bien l’exciter cette bite pour qu’elle me baise bien à fond. Je vais lui avaler les copines déjà, elle aime bien.

Joignant les gestes à la parole elle se mis à me lécher les couilles pour ensuite les gober l’une après l’autre en les aspirant bien à fond à chaque fois. Elle glissa également sa main libre entre mes fesses et je sentis très vite son index jouer avec mon étoile

– T’aimes ça quand je joue avec ton cul hein mon salaud! Dit-elle entre deux gobages de bourses.
– Vas-y ma salope, éclate toi avec mon cul, doigte moi.

Il ne fallut pas plus pour que cette cochonne enfonce d’un coup sec son majeur en moi et commence à le remuer au rythme de sa propre masturbation. Je bandais de plus belle.

A mon tour je décidais de me lâcher complet. Je me libérai de son emprise. Je me mis sur le dos, passa mes bras derrière mes genoux, pour m’arrondir la croupe au maximum et présenta à Séverine mon derrière poilu.

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– A toi de me bouffer le cul salope.
– Hum mm tu aimerais ça mon gros cochon hein! Tu veux que je te le salive ton petit anneau hein…

Elle se mis au dessus de moi et se mis à me lécher le trou tout en me branlant d’une main. Jamais on ne me l’avait fait et j’ai de suite adoré.

Séverine alternait, quand elle me léchait le cul elle se doigtait et quand elle arrêtait elle M’enculait avec ses doigts trempés de sa cyprine.

– C’est que je peux mettre deux doigts dans ton petit cul mon cochon. C’est toi la petite salope. Fais moi penser à acheter un gode ceinture que je t’encule comme tu le mérites.
– C’est comme ça que je te veux ma Séverine, une vraie salope assoiffée de sexe.
– Mais c’est comme ça que tu m’auras, maintenant que tu as enlevé le couvercle ne crois pas pouvoir refermer la boîte si facilement. En attendant viens me baiser comme une chienne, je n’en peux plus il faut que je jouisses.

Elle se plaça à 4 pattes en tendant la croupe vers moi. Je l’ai enfilé d’un coup sec, elle était tellement humide que ça ne posa pas de problème. Il ne fallut pas que je la lime beaucoup avant que Séverine explose.

– Oh putain oui défonce moi vas-y. Mets moi des grands coups de bite. AHHHH j’aime oui, vas-y baise moi.

Elle se faisait d’une gourmandise sexuelle impressionnante et c’est dans un énorme râle qu’elle eu un orgasme violent. Il ne m’en fallait pas d’avantage pour moi-même vouloir libérer toute cette tension.

Juste le temps pour moi d’entendre Séverine me demander de lui éjaculer sur le cul pour pouvoir satisfaire sa demande.

Enfin c’est vite dit car j’ai plus envoyé dans tous les sens que sur son cul, trop d’excitation rend le contrôle difficile…

Nous avons remis nos maillots et sommes remontés à l’appartement, heureux de cette partie de jambes en l’air et également heureux de nous être découverts un peu plus.

Je savais bien que Séverine était plus coquine que ce qu’elle laissait paraître jusque là.

La suite des vacances me le confirma mais ça, ça sera l’occasion d’autres épisodes de nos aventures.

Via512

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:33

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 22 – Torrides retrouvailles

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– Mais en arrivant ici, comment cela s’est passé ? Demande Edouard à sa sœur…
– Je me suis retrouvé avec Gertrude. Nous avons cherché du travail, nous avons vite trouvé un emploi de filles de salles dans des rades. On n’a pas tardé à nous expliquer qu’il fallait être gentille avec les clients et au cas où nous n’aurions pas compris, on nous a précisé jusqu’où devait aller ces gentillesses. La chose sembla amuser Gertrude qui prit la chose avec philosophie. Moi pour ma part j’en avait soupé des hommes et de leurs biroutes. Je refusais et quittais les lieux. Ce jour-là je dormit dans la rue, heureusement il n’avait pas plus. Lorsque je rejoignis Gertrude celle-ci m’expliqua que les clients du rade n’avait rien à voir avec les marins. Effectivement la plupart étaient plutôt corrects et nous avions la permission de virer ceux qui ne l’étaient pas. Donc après avoir été bonne sœur, j’étais devenue pute !
– Et qu’est devenue Gertrude ?
– Gertrude ? Mais elle est là, en ce moment elle est occupée avec un client !
– Et pourquoi avoir quitté le rade.
– L’envie d’aller voir ailleurs, tout simplement.

Edouard regarde sa sœur, il la trouve très belle, mais s’efforce refouler cette pensée.

– Oh, mon frère, tu me regardes avec de ces yeux !
– Tu es si belle.
– Je te fais bander ?
– Allons, allons, je suis ton frère.
– Et alors ? Un frère n’aurait pas le droit de bander pour sa sœur ?

Edouard cherche une réponse intelligente mais est interrompu par la main de Blandine qui lui met la main au paquet.

– Il ne faut pas… bredouille l’homme.
– Et pourquoi ? Montre-moi ta bite, nous allons nous amuser, Minaude-t-elle.
– Soyons raisonnable…
– C’est ce que disent les gens qui ont raté toutes les occasions qui se présentaient à eux.
– Te voilà philosophe !
– Pute et philosophe. Est-ce incompatible ?
– Je n’en sais rien, mais parlons d’autre chose.
– Tu en as envie, je le vois à tes yeux, pourquoi résister ? D’autant que j’en ai autant envie que toi.
– Et si je refuse, que diras-tu ?
– J’accepterais ton refus, je ne vais tout de même pas te violer… et j’attendrais que tes dispositions à mon égard évoluent.

Une boule se forme dans la gorge du jeune homme, d’un côté le désir, de l’autre les conventions… et en sachant que ces conventions lui semblent bien nébuleuses (ce qui l’arrange), il se sent proche de succomber à la tentation… Il n’y a plus qu’à attendre l’occasion.

Blandine le regarde avec un sourire craquant, son visage se rapproche de celui d’Edouard, c’est l’occasion qu’il souhaitait. Les lèvres se touchent, les lèvres s’ouvrent les langues se palpent. Le baiser devient fougueux tandis que les mains partent à l’aventure, celles d’Edouard sur les seins de sa sœur, celles de Blandine sur le sexe de son frère. Un sexe qui bande si dur qu’il en devient douloureux.

Les deux jeunes gens s’enlacent, se débraillent, se pelotent, se tripotent.

Tous deux sont pris d’une incroyable frénésie, Edouard peut enfin profiter de la jolie poitrine de sa sœur. Et Blandine porter en bouche la pine de son frère.

La fougue est à son comble, à ce point qu’ils font se renverser la table de chevet (laquelle ne tenait pas trop bien) et du coup dégringoler la cuvette et le petit broc qui s’y trouvait dessus. De la belle faïence maintenant réduite en morceaux.

Le bruit m’interpelle, je demande à Pauline d’aller voir en espérant qu’elle ne va pas tomber sur une scène de drame. Non, en fait de drame Edouard et Blandine nus comme des vers sont en train de jouer à la bête à deux dos.

– Oh, pardon, j’ai entendu du bruit…

Et elle s’apprête à repartir.

– Pauline, ce n’est pas ce que tu crois ! Me dit alors Edouard, rouge comme une pivoine
– Mais Edouard, tu ne me dois aucune explication, tu fais ce que tu veux de ta personne.
– C’est-à-dire…
– Chut ! Tu couches avec ta sœur, et alors où est le problème ? Je couche bien avec ma mère (avec ma sœur aussi d’ailleurs)
– Je ne voulais pas te faire de peine ! Reprend-il
– Mais pourquoi cela me ferait de la peine, tu m’as bien négligé ces derniers temps, mais je me suis consolé dans les bras de la jolie Georgia. Je serais donc mal placée pour être jalouse.
– Tu es sa petite amie ? Lui demande Blandine.
– J’étais… maintenant je ne sais plus trop.
– Je m’en voudrais de briser vos relations, vous faites un joli couple tous les deux. Reprend-elle.
– Humm
– Et si on s’amusait tous les trois ? Propose Blandine de façon complétement imprévue.

Pauline qui n’est pas insensible à la beauté de la sœur d’Edouard la prend au mot, se débraille et vient les rejoindre.

Margot 22
Et la frénésie sexuelle reprend de plus belle et ce qui se faisait à deux se fait maintenant à trois.

Léchage de bite à deux bouches, gouinage entre les deux filles pendant qu’Edouard distribue caresses sur caresses, et tout cela dans un climat de bonne humeur totalement débridée.

Les ébats se conjuguèrent en tous sens, jusqu’à ce qu’Edouard sentit qu’il lui fallait conclure. Il encula donc sa sœur (avec sa permission) tandis que Pauline se faisait lécher la minette.

Pauline laissa le frère et la sœur récupérer et redescendit au salon.

– C’était quoi ? demandais-je
– C’était un plan à trois ! Répondit ma sœur.

Que s’est-il passé ensuite ? Pas grand-chose. Edouard et Pauline se sont mariés uniquement pour sauver les apparences, en fait le ménage à trois a perduré.

Nous avons ma mère et moi modernisé la maison de plaisir, Elle est désormais l’une des plus belles de la ville, une jolie pancarte en annonce la couleur : « Le Savourey Brothel ».

Et voilà, chères lectrices et chers lecteurs… j’espère vous avoir bien excité.

Bisous

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:30

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 21 – Le récit de Blandine

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Le récit de Blandine

Tout a commencé un jour où je m’étais intoxiqué avec mon repas, à ce point que j’avais attrapé une forte fièvre. Comme ça ne passait pas, je me suis décidée à me rendre à la cabane de Finette la guérisseuse, elle m’a fait boire je ne sais quelle saloperie, mais en sortant de chez elle mon ventre allait mieux mais ma tête tournait, je voyais tout de travers…

Et c’est sur le chemin du retour que la Vierge Marie m’est apparue. Evidemment je n’en croyais pas mes yeux et je me suis agenouillée. C’est la moindre des choses, non ?

Et la Vierge m’a parlé.

– Ma fille, je t’ai choisi pour me servir, tu vas rejoindre les sœurs du couvent de Ture et l’honorer de tes prières. En retour ta place au Paradis t’est d’ores et déjà acquise.

J’étais subjuguée, être choisie ainsi par la Vierge Marie était pour moi un honneur inespéré d’autant que je ne voyais pas bien pourquoi je le méritais, mais ne dit-on pas que les desseins de Dieu sont impénétrables !

Aussi, c’est avec une foi complètement régénérée que j’ai pris le voile avant de déchanter.

Je n’ai au début accordé que peu d’importance a des attitudes qui me semblaient peu compatibles avec la vie monacale, disputes, cancaneries, jalousies, mesquineries et pire : affinités particulières. J’étais dans le déni me disant ça que la perfection et la sainteté sont choses rares et qu’il ne fallait pas accorder à ces choses davantage d’importance à ce qu’elles étaient.

Jusqu’au jour où l’une des sœurs m’a cherché querelle sous un prétexte fallacieux, m’insultant vertement, je sortis de mes gonds et lui balançait une gifle magistrale qui l’a fit chuter au sol. Elle cria et une nuée de bonnes sœurs me tomba dessus à bras raccourcis. Je n’ai pu prouver ma bonne foi, on m’a fouettée sévèrement et j’ai eu droit à trois jours de cachot sans manger, avec juste un peu d’eau et sans literie. J’ai donc imploré la Vierge, voulant savoir pourquoi elle m’infligeait cette épreuve injuste. Mais la Vierge ne m’a pas répondu, elle devait être occupée ailleurs, on ne peut pas être partout !

N’empêche qu’en sortant du cachot je ne voyais plus certaines de mes consœurs de la même façon. Ce n’était pour la plupart que des garces. Quand le confesseur est venu je lui ai tout raconté. Là où j’attendais de la compassion, il m’a enfoncé, en fait j’avais eu tort de me défendre. Drôle d’homme d’église ! Et puis il détourna la conversation voulant me faire avouer des rapports contre nature avec d’autres sœurs. J’ai trouvé que ce type était complètement fou.

Je commençais à me demander si j’allais rester dans ce lieu qui me décevait de jour en jour, mais la Vierge m’avait donné mission, il me fallait être forte. L’ambiance devenait pesante, oh rien de violent, mais une série d’attitudes malaisantes qui devenaient insupportables : regards méprisants, haussements d’épaules intempestifs, l’une des sœurs allait même jusqu’à faire semblant de cracher quand elle me croisait…

Et puis vint sœur Gertrude laquelle sans crier gare entra un jour dans ma cellule. J’avais déjà repéré cette jeune sœur au joli visage. Elle au moins ne m’avais jamais jeté son mépris à la face.

– Coucou ! Je suis venue te consoler ! M’annonça-t-elle.
– Me consoler ?
– Ces salopes vont te faire craquer, elles ne te lâcheront plus, tu ne t’en sortiras pas seule, je t’offre mon amitié
– C’est gentil, mais c’est la Vierge qui me met à l’épreuve, je ne flancherais pas.
– Qu’est-ce que la Vierge vient faire là-dedans ?

Cette réflexion venant d’une religieuse me stupéfia, aussi lui narrais-je l’épisode de la forêt au cours duquel la Vierge m’apparut. Elle m’écouta jusqu’au bout sans m’interrompre mais sans dissimuler le scepticisme qu’affichait son visage..

– Sais-tu, me dit-elle que les fortes fièvres et les remèdes de guérisseuses peuvent nous provoquer des rêves éveillés ?
– Ce n’était point un rêve.
– C’est ce que tu crois, je ne suis pas là pour te décevoir, mais réfléchis, pourquoi donc la Vierge de serait adressée à toi. Tu as quoi de particulier ? Tu aspires à la sainteté ?
– Les desseins de Dieu sont impénétrables…
– Oui je connais la chanson. N’empêche que la Vierge si toutefois elle existe, elle a sûrement mieux à faire que de racoler les jeunes filles pour les envoyer au couvent.
– Oh ! Mais qui es-tu pour blasphémer ainsi ? Sors de ma cellule et cesse de me tourmenter ! Tu es aussi mauvaise que les autres…
– Je ne suis pas venue te tourmenter, je ne m’attendais pas à ce que la conversation tourne ainsi.
– Que fais-tu dans ce couvent si tu n’as point la foi ?
– La foi ? Tu veux vraiment que je te dise, il y a un Dieu tout puissant, c’est évident mais je crois aussi que les curés l’ont affublé de légendes absurdes.
– Oh !
– Ben oui ! Quant à savoir pourquoi je suis là, c’est mon petit secret, si nous devenons amies je te le confierai.
– Hum ! Laisse-moi à présent
– Tu ne veux pas que l’on fasse minette ?
– C’est quoi ça ?
– Je te donne du plaisir et tu me donnes du plaisir.
– Impie et dévergondée, tu les accumules…
– Où est le mal quand on se donne du plaisir ? Si Dieu a créé le plaisir, pourquoi le bouder ?
– Tu confonds plaisir et tentation, sors d’ici, ville tentatrice.
– D’accord je ne veux rien t’imposer. Repose-toi et réfléchis à tout cela, je reviendrai sans doute demain
– C’est inutile !

Sœur Gertrude partie, je m’abandonnais à mes réflexions, il me paraissait tout d’abord que cette femme était habitée par Satan. Aussi me mis-je en prière en quête d’un signe qui ne m’apparut pas.

Lassée de prier dans le vide, je laisser tomber et me laissai envahir par mes pensées. Des pensées de plus en plus en plus confuses… Et si sœur Gertrude avait raison, si la Vierge qui m’était apparue n’était que le fruit de mon imagination ?

Voulant en avoir le cœur net, j’élaborais un stratagème, j’allumais sept cierges et entrais de nouveau en prière, au bout d’un certain temps que je ne peux évaluer j’adressais ma requête.

– Sainte Vierge, le doute m’assaille. Si je dois continuer la mission que tu m’as assigné, fais le moi savoir par un signe tangible. Au nom du père et du fils et du saint esprit. Amen !

Je surveillais les cierges, persuadée que la Vierge les soufflerait, (juste un peut-être ?) me confirmant ainsi ma mission.

Mais il ne se passa rien !

– Elle se fout de ma gueule ! M’entendis-je penser avant de chasser cette horrible pensée impie.

J’abandonnais l’expérience en proie à des pensées de plus en plus contradictoires.

Je me résolu à me dire que la sœur Gertrude avait peut-être raison. Pas complétement convaincue malgré tout, difficile d’abandonner si brutalement de telles certitudes.

Sœur Gertrude revint le lendemain.

– Alors t’as réfléchi un peu…
– Pfff, je ne sais plus où j’en suis…
– Normal, tiens je t’ai apporté ça, c’est une part de gâteau aux noisettes, je l’ai piqué à la mère supérieure. Le jardinier apporte toujours un gâteau quand il vient l’enculer.
– Quoi ? Tu veux dire..
– Ben oui, à part deux ou trois vieilles peaux, les vœux d’abstinence n’ont plus vraiment cour ici !
– Mais tu les a vu ?
– Bien sûr, je sais où ils font ça, dans la petite cabane… comme les planches sont mal fixées on peut tout voir, moi ça m’excite.
– T’es vraiment vicieuse !
– Un peu oui, mais je ne peux pas m’en empêcher. Il a une très belle bite le jardinier.
– Oh !
– Ben quoi, tu n’aimes pas les bites ?
– Mais enfin !
– Mais rassure-toi, j’apprécie aussi les jolies femmes, en fait, je préfère. Alors on se l’a fait cette minette ?
– Tu veux vraiment me damner ?
– Tu ne seras pas damnée si tu te confesses après, c’est super pratique la confession, tu pèches, tu te confesses, et hop, envolé le péché !

Margot21bJe la regardais, ne sachant comment réagir.

– Soulève ta chasuble que je vois ta forêt !
– Mais ça ne se fait point !
– Bien sûr que si, ça se fait ! Tu veux voir la mienne ?

Et sans attendre de réponse Sœur Gertrude se défroqua me laissant bouche bée.

– Caresse-moi ! Implora-t-elle.
– Je n’ose pas…
– Alors c’est moi qui vais te caresser, mais enlève moi tout ça !
– Pourquoi me demande-tu ça ?
– Parce que tu vas aimer ! Aie un peu confiance, Nom de Dieu !
– Oh ! Tu as juré !
– Oui, et alors ! Mais secoue-toi, enfin ! J’essaie de te faire réagir et tu ne veux rien entendre. Je ne te veux que du bien, tu peux comprendre ça ou pas ?
-Et pourquoi voudrais-tu mon bien ?
– Parce que tu as un gentil minois et que tu m’excites ! Ça te va comme réponse?
– Excuse-moi, je ne sais plus quoi penser.

Et je me suis mise à chialer.

– Bin, v’la autre chose ! Faut pas pleurer comme ça !

La Gertrude se rapproche de moi, m’enlace, essuie mes larmes, sa main se pose sur ma jambe, passe en-dessous de ma chasuble, remonte jusqu’en haut des cuisses, trouve mon minou et se met à le caresser. Je suis complétement tétanisé, je me laisse faire.

Je me suis laissé faire également quand elle m’a retiré ma chasuble, quand elle ma léché le bout de mes seins et quand elle m’a gratifié d’un baiser profond à pleine bouche, baiser que j’ai fini par partager de façon instinctive.

J’ai senti le plaisir monter en moi, je m’offrais complétement à elle, y compris lorsqu’elle me dépucela avec une carotte qu’elle avait judicieusement apportée.

– Alors, ça t’a fait du bien ??
– C’est vrai que ça délasse, mais ce n’est pas bien !
– On a fait du mal à qui ?
– Ce sont des choses interdites.
– Ça ne répond pas à la question ! On a fait du mal à qui ?
– Si c’est interdit, il doit y avoir une raison.
– Si tu la trouves, cette raison, je te couvrirais de cadeaux..
– Tu crois avoir réponse à tout ?
– Non mais j’aime pas les trucs inexplicables. Bon, on recommence ? Je ne suis guère rassasiée
– Ne me tente pas !
– Juste un bisou alors ?

Nous nous sommes de nouveau embrassées.

– Cette fois, c’est toi qui t’occuper de moi ! Me dit-elle sur un ton qui n’admettait pas de réplique .
– Je n’ai aucune expérience, tu vas me trouver gourdasse.
– Je vais t’appendre, te guider…

Alors je me suis surprise à gouter à la pointe de ses seins, aux lèvres de sa chatte et à son petit berlingot.

Elle m’a de nouveau excitée et bientôt je flirtais avec l’extase.

Notre liaison dura plusieurs mois, et puis un jour nous avons toutes été arrêtés par la maréchaussée. Emprisonnées, battues, déportées… Sur le bateau, les marins s’en donnèrent à cœur joie. Si au moins ils avaient été gentils, mais non, ce n’était que des soudards abrutis. A me dégouter des hommes et des bites !

Fin du récit de Blandine

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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